rapport d`activite - CHU de Clermont

Transcription

rapport d`activite - CHU de Clermont
RAPPORT D’ACTIVITE
2014
CHU de Clermont-Ferrand
Gabriel-Montpied
Estaing
Hôpital Nord
1
© Création graphique et crédits photos: Service communication - CHU de Clermont-Ferrand
58 rue Montalembert - 63003 Clermont-Ferrand
Edito
Alain MEUNIER
Directeur Général
Pr Henri LAURICHESSE
Président CME
Pr Jean CHAZAL
Doyen Faculté de médecine
L
e rapport d’activité 2014 du CHU retrace le bilan
et les temps forts de l’année écoulée. Il témoigne
de la dynamique et de l’engagement de nos équipes
soignantes, administratives et techniques au service
de la santé de la population de notre territoire.
Le CHU par sa triple mission de soins, d’enseignement
et de recherche joue un rôle majeur dans l’offre
de soins de proximité pour l’agglomération
clermontoise et se pose comme établissement de
référence pour les activités de recours en Auvergne.
2014 : année de la performance
Comme un symbole, au moment où les feux de
la rampe saluaient en ce début d’année 2014
l’exceptionnelle performance d’un perchiste
auvergnat, notre CHU s’engageait sur le chemin de
la performance et de l’efficience avec la définition
d’une figure imposée dénommée « feuille de
route ANAP ». La déclinaison de cette feuille de
route obligatoire, et nécessaire, pour permettre à
l’établissement de consolider sa situation financière
et reconstituer une capacité d’autofinancement à la
hauteur des projets du CHU alimentera la réflexion
institutionnelle autour de la révision capacitaire, du
développement de la chirurgie ambulatoire, de la
réorganisation des blocs opératoires…
Dans ce contexte difficile, le CHU a réussi à maintenir
son effort de modernisation comme en témoignent
l’ouverture du centre de soins dentaires ou bien
l’extension du plateau technique d’imagerie avec le
projet IMABLOC notamment. De même l’engagement
du CHU dans la coopération territoriale ou régionale
a été une nouvelle fois une contribution décisive au
maintien ou à la consolidation de l’offre de soins
dans d’autres hôpitaux.
Soucieux des efforts budgétaires et de gestion
indispensables au maintien d’une capacité
d’investissement qui conditionne l’excellence, le
CHU, grâce à l’engagement de toutes ses équipes,
a rempli sa mission par une activité soutenue et
reconnue de soins, d’enseignement et de recherche.
Ce rapport 2014 dont nous vous invitons à prendre
connaissance, vous en décrit la diversité et
l’importance.
sommaire
Sommaire
1
2
I. Le CHU et son positionnement territorial
II. Le CHU : un acteur majeur de l’offre de soins

3
1. Le CHU .........................................................................................................8
• Présentation des spécialités médicales par site et capacité
d’accueil ............................................................................................8
• Principaux équipements des plateaux médico-techniques et
du plateau technique informatique .................................................10
2. Fréquentation 2014 des services du CHU ...................................................11
• Origine géographique des patients .................................................11
• Pyramide des âges ...........................................................................12
• Attractivité du CHU ..........................................................................12
• Le CHU dans la Région .....................................................................13
1. L’activité globale du CHU ...........................................................................18
• Les entrées MCO ...........................................................................18
• La répartition des séjours MCO .......................................................19
• Les consultations ............................................................................20
• Mode de sortie ................................................................................20
2. L’activité du plateau technique ...................................................................21
• L’activité des blocs opératoires .......................................................21
• La cardiologie ..................................................................................21
• L’activité obstétricale .......................................................................21
• Les endoscopies digestives ...............................................................21
3. L’activité médico-technique .......................................................................22
• Les laboratoires ...............................................................................22
• L’imagerie ........................................................................................24
• La pharmacie ...................................................................................25
4. Les activités ciblées ....................................................................................29
• Les urgences ....................................................................................29
• La cancérologie au CHU ...................................................................30
• Les prélèvements et transplantations d’organes et de tissus ..........33
5. L’évolution médico-économique de l’activité .............................................34
• Part des recettes T2A et nombre de séjours par CMD ....................34
• Recettes 100% T2A par type de valorisation ...................................35
• Recettes 100% T2A par pôle en K€ ..................................................36
III. L’actualité 2014
1. Les pôles .....................................................................................................38
• Les pôles et leurs projets .................................................................38
• Interviews ........................................................................................42
2. Les temps forts 2014 ..................................................................................45
4
5
IV. Le CHU : pivot de la coopération régionale
V. L’activité de recherche et d’enseignement : une
dynamique hospitalo-universitaire
6
7
8
1. Stratégie du CHU en matière de coopération interhopitaliere ...............50
2. Les différentes formes de partenariats ...................................................50
3. La communauté hospitaliere de territoire ..............................................52
4. Renforcement de la collaboration avec le Service de Santé des Armées ........52
5. Partenariat avec le CLCC Centre Jean Perrin ...........................................53
1. Enseignement et formation .....................................................................56
• La formation délivrée par les instituts et écoles paramédicales
du CHU ..........................................................................................56
• La formation continue des non-médicaux et des sagesfemmes .........................................................................................57
• Le développement professionnel continu ....................................58
• Le centre de formation des professionnels de santé ....................60
2. La recherche ............................................................................................61
VI. Moyens et ressources au service du patient
1. Les ressources humaines .........................................................................66
2. La direction des soins ..............................................................................69
3. Les ressources matérielles .......................................................................72
4. La logistique ............................................................................................76
5. Le système d’information ........................................................................79
6. La qualité : une démarche au quotidien ..................................................81
VII. Les finances
1. Résultats d’exploitation consolidé 2014 ..................................................90
2. Capacité d’autofinancement (CAF) ..........................................................91
3. Les investissements et leurs financements .............................................91
4. Compte de résultat principal ...................................................................92
5. Compte de résultat principal 2014 ..........................................................93
VIII. L’organisation hospitalière du CHU de ClermontFerrand
1. Logigramme de gouvernance ..................................................................96
.................................................................97
2. Logigramme de Direction
3. Les instances ...........................................................................................98
1
Le CHU et son
positionnement
territorial
8
1.Le CHU
Les activités de soins sont regroupées sur trois sites hospitaliers : Saint-Jacques, Cébazat, Estaing .
En tout, se sont 1 963 lits, places et postes qui sont installés au CHU de Clermont -Ferrand.
St. Jacque
Site
s
Le CHU Gabriel Montpied, siège du SAMU 63, dispose notamment d’un service des
urgences adultes, d’unités de réanimation, d’une unité de dialyse et des spécialités
médicales et chirurgicales suivantes :
• cardiovasculaire et chirurgie
• cardiaque vasculaire
• centre d’évaluation et de
traitement de la douleur
• chirurgie générale à compétence
thoracique et vasculaire
• chirurgie plastique et
reconstructive
• endocrinologie et maladies
métaboliques
• maladies infectieuses et
tropicales
Gabriel-Montpied
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
médecine du sport
médecine interne
neurologie et neurochirurgie
nutrition clinique
ORL et ophtalmologie
orthopédie et traumatologie
pneumologie
rhumatologie
urologie et néphrologie
psychiatrie
Dialyse
785 lits et places
de médecine et chirurgie
dont 752 lits et 33 places
24 postes de dialyse
Centre médico-psychologique
300 lits
et places de psychiatrie
dont 189 lits, 71 places
et 40 places de CATTP*
Le CHU Hôpital Nord regroupe particulièrement les spécialités liées aux
personnes âgées :
• médecine physique et
• unité de long séjour
réadaptation
• EHPAD
• soins de suite et de réadaptation • soins palliatifs
Hôpital Nord
309 lits et places
de médecine, moyen, long séjour et EHPAD
294 lits et 15 places
de MPR
* CATTP: Centre d’accueil thérapeutique à temps partiel
Site Cébazat
9
Site Estaing
Le CHU Estaing associe un hôpital mère‐enfant et d’autres spécialités
médicales et chirurgicales :
• pédiatrie générale
• néonatologie
• réanimation pédiatrique et
néonatale
• chirurgie infantile
• cancérologie pédiatrique
• urgences pédiatriques
• génétique médicale
• chirurgie digestive
•
•
•
•
•
•
•
•
•
gynécologie / obstétrique
biologie de la reproduction
chirurgie maxillo‐faciale
dermatologie
hématologie clinique
hépato‐gastro‐entérologie
médecine interne
réanimation adulte
odontologie
Estaing
545
lits, places et postes
de médecine, chirurgie et obstétrique
dont 456 lits et 85 places
et 4 postes
de dialyse et d’aphérèse pédiatrique
Répartition par discipline ...
... des lits
110 - 6%
... des places
114 - 7%
15 - 8%
56 - 3%
71 - 35%
189 - 11%
72 - 35%
721 - 43%
98 - 6%
23 - 11%
403 - 24%
23 - 11%
10
Principaux équipements des plateaux médicaux-techniques
Imagerie
RADIO
4 scanners dont 1 scanner interventionnel IMABLOC depuis mai 2014
3 IRM dont 1 IRM 3T (dédiée à 50% à la Recherche)
10 échographes Doppler
14 salles de radiologie numérisée
1 salle de radiologie interventionnelle
4 salles de radiologie vasculaire mais seulement 3 salles fonctionnelles en 2014
(2 salles fermées successivement pour travaux depuis l’arrivée de la 4ème salle
d’angiographie IMABLOC en mai 2014)
Les réanimations
66 lits de réanimation adultes (médicale - médico- chirurgicale - neuro - CCV)
4 lits de réanimation pédiatrique
Néonatologie : 21 lits + 10 lits de réanimation + 12 lits de Soins Intensifs
Blocs opératoires et sites assimilés
1 lithotripteur
2 blocs centraux
- site Estaing : 14 salles
- site Gabriel Montpied : 16 salles dont 2 dédiées aux urgences et 1 aux
prélèvements multi organes
1 bloc ambulatoire (4 salles dont 1 laser)
1 bloc CCV (3 salles)
1 bloc obstétrical composé de 6 salles de naissances, 3 de pré-travail et de 2 salles
d’interventions pour césariennes et interventions obstétricales
1 plateau médico-technique de cardiologie équipé de 2 salles de coronarographie, 1 salle
d’implantologie, 2 salles d’électrophysiologie et 1 salle dédiée aux urgences douleurs
thoraciques
1 plateau endoscopie digestive de 4 salles
Laboratoires
9 automates de biochimie et d’immunoanalyses dont 1 plateforme automatisée et
robotisée
11 automates d’hématologie immunologie dont une chaîne robotisée de cytologie
1 plateforme de cytométrie en flux avec trieur de cellules
6 automates de virologie dont une plateforme pour les charges virales
7 automates en bactériologie dont une plateforme d’identification bactérienne et
d’antibiogramme
2 automates et une plateforme de 4 LC/MS/MS, de 2 CPG/Masse, d’1 GCMS/MS, d’HPLC
en pharmacologie toxicologie
6 automates en anatomopathologie
Des postes d’analyses d’images en cytogénétique
1 laboratoire haute sécurité L3 (réseau Biotox et Piratox )
11
Principaux équipements du plateau technique informatique
Moyens mis à disposition
Infrastructure
3 857 postes fixes et 604 portables
1 650 imprimantes
3 892 postes téléphoniques fixes
1 600 postes téléphoniques mobiles
610 bornes WIFI
570 bornes DECT
2.Fréquentation 2014 des
services du CHU
Origine géographique des patients
Le statut du CHU au niveau régional correspond à un
rôle d’établissement de recours pour les activités
de médecine, chirurgie, obstétrique : maternité de
niveau 3, diagnostic prénatal, PMA, gynécologie,
prise en charge de la douleur, cancérologie,
transplantations et greffes d’organes et cellules,
chirurgie cardiaque, radiologie interventionnelle,
neurochirurgie, polytraumatisés, unité neurovasculaire, obésité, génétique...
La vocation régionale du CHU s’exerce en s’appuyant
sur son plateau technique spécialisé en imagerie
et biologie médicale, sur ses missions d’intérêt
général, notamment centres de références, centres
de compétences et vigilances, équipe mobile
gériatrique, de l’éducation thérapeutique, de la
médecine légale, du centre de ressources pour
les intervenants auprès des auteurs de violences
sexuelles (CRIAVS).
Allier
9,4 %
Puy-de-Dôme
83,4 %
Cantal
4,1 %
Haute-Loire
3%
91,9% des patients sont originaires de la région Auvergne, ce qui confirme le rôle et la vocation du CHU au
sein de sa région.
24,5 % des patients viennent de Clermont-Ferrand et 73,2 % du Grand Clermont.
Le CHU a également un rôle de proximité : près de 3/4 des patients hospitalisés sont originaires du Grand
Clermont.
16,6% des patients sont issus de l’Auvergne hors Puy-de-Dôme, le recrutement le plus important après le
Puy-de-Dôme se faisant dans le département de l’Allier (9,4%).
12
CHU de Clermont-Ferrand - Rapport d’activité 2013
Pyramide des âges des patients hospitalisés, hors naissances
SourcePyramide
PmsiPilotdes ages 2014, hors naissances
Source PmsiPilot
CHU de ClermontEn 2014, l’âge moyen des patients hospitalisés au CHU,
toutes disciplines confondues, est de 54,54 ans pour
les hommes et de 52,71 ans pour les femmes.
100 ans
Attractivité du CHU
90 ans
80 ans
29,3% des patients ont plus de 70 ans.
De manière générale, le profil des malades hospitalisés
Attractivité
du la
CHU
s’illustre par
forte proportion de personnes de plus
de 60 ans : 53,6% chez les hommes et plus de 46%
Femme
chez
les femmes.
70 ans
60 ans
50 ans
Homme
Par ailleurs, du fait de la forte activité d’obstétrique du
CHU, la tranche d’âge des 25 à 44 ans est largement
représentée par les femmes. 23% des femmes
hospitalisées se trouvent dans cette tranche d’âge
(soit 12 211 femmes), contre 10,72% pour les hommes
(6444 hommes hospitalisés).
40 ans
30 ans
20 ans
10 ans
0 an
1500
CHU deCHU
Clermont-Ferrand
- Rapport
d’activité
2013 2013
de Clermont-Ferrand
- Rapport
d’activité
1000
femmes
500
0
500
1000
1500
hommes
Attractivité
du CHU
Attractivité
du CHU
Attractivité
du
CHU
Incidence d’hospitalisation
Incidence
d’hospitalisation
Incidence
d’hospitalisation
Chirurgie
Médecine
Médecine
Incidence
d’hospitalisation
Incidence
d’hospitalisation
Médecine
Médecine
Incidence
d’hospitalisation
Incidence
d’hospitalisation
Incidence
d’hospitalisation
Chirurgie
Chirurgie
Incidence d’hospitalisation
Médecine
Incidence d’hospita
Chirurgie
Incidence d’hospitalisation
IncidenceObstétrique
d’hospitalisation
Obstétrique
Pour 100 000 habitants
Chirurgie
Incidence d’hospitalisation
Obstétrique
) 1000
500 - 999
200 - 499
100 - 199
50 - 99
Pour 100 000 habitants
) 1000
500 - 999
200 - 499
100 - 199
50 - 99
< 50
7
< 50
13
Le CHU dans la région
Positionnement
dudans
CHU dans
la Région
Positionnement
du CHU
la région
S
É
A
N
C
E
S
Discipline
(Classif Aso de l'ATIH)
Séjours
PdM
Classemt
région
Dpt
Médecine (hors séances)
53 834
26,4%
1er
Principal concurrent
2ème. CH VICHY
Chirurgie
22 058
16,5%
1er
2ème. CL CHATAIGNERAIE - BEAUMONT
Obstétrique
6 104
30,0%
1er
2ème. CL CHATAIGNERAIE - BEAUMONT
TOTAL ACTIVITE MCO hors séances
81 996
22,9%
1er
2ème. CL CHATAIGNERAIE - BEAUMONT
Dialyse
13 615
20,3%
1er
2eme CENTRE D HÉMODIALYSE AURA
Transfusion
1 938
38,4%
1er
2ème POLE SANTE REPUBLIQUE - CLERMONT
Chimiothérapie
12 671
20,7%
1er
2ème POLE SANTE REPUBLIQUE - CLERMONT
Chimiothérapie non tumorale
4 068
47,8%
1er
2ème. CH VICHY
Aphérèse sanguine
630
91,3%
1er
2ème. CH VICHY
Oxygénothérapie hyperbare
9
100,0%
TOTAL ACTIVITE MCO
114 918
20,8%
2ème. CENTRE REGIONAL JEAN PERRIN
1er
Virage ambulatoire
Positionnement des activités du CHU dans la Région
CHU
Médecine
Chirurgie
Obstétrique
Etablissements
publics
Etablissements privés
Total
Séjours
0
48 %
Interventions
0
Naissances
3 894
45,2 %
2 235
7 050
13 179
28,7 %
Le taux de chirurgie ambulatoire constaté en 2014, 28,7% reste en retrait de la moyenne nationale ou
régionale mais se situe toutefois dnas la moyenne supérieure des taux des CHU (source ATIH).
14
Périnatalité en Auvergne
«20 ans de restructuration - situation comparée 1996/2014»
Cartographie
Public
Montluçon
Moulins
Moulins
Montluçon
Privé
Niveau 3
Vichy
Vichy
Niveau 2
Niveau 1
Riom
Beaumont
Thiers
Clermont-Fd
Aurillac
St Flour
Thiers
Beaumont
Clermont-Fd
Ambert
Issoire
Mauriac
CPP
Brioude
Ambert
Issoire
Mauriac
St Flour
Le Puy
Brioude
Le Puy
Aurillac
Part des naissances au CHU sur la Région Auvergne : 29,55% (3 894 naissances au CHU / 13179 en Auvergne)
En terme de nombre de naissance, en 2014, le CHU est la 21ème maternité de France.
Effet Estaing sur activité public - privé en Auvergne
15
Comment naît-on à Estaing ?
Primipares
• 41,12 %
Sièges
• 4,3% des accouchements
• Dont 33% par voie basse
Multiples
• 2,5 % des accouchements
• Dont 45 % par voie basse
Césariennes (N = 677)
• Programmées 30,86 %
• Urgence = 73%
- De jour = 27,8%
- De nuit = 41, 4 %
Mortalité Périnatale
• Globale = 0,95%
• Corrigée des IMG = 0,44%
Interruption Médicales de grossesses
• après 22 SA : 40 à 55 par an
2
Le CHU un acteur
majeur de l’offre
de soins
18
1.L’activité globale du CHU
Les entrées MCO
Globalement l’activité du CHU progresse en 2014 de + 3%, cette évolution doit être nuancée car elle repose
sur une forte progression de l’activité d’Hôpital de jour de + 8,5% associé à une diminution des séjours
d’hospitalisation complet supérieur de -0,7%.
Hospitalisation < 24H
Hospitalisation > 24H
Evolution
en %
7,2 %
13,7 %
6,7 %
7,9 %
-3,4 %
5,0 %
30 009
17 701
6 430
54 140
Evolution
en %
-0,6 %
-2,0 %
2,9 %
-0,7 %
54 140
-0,7 %
TOTAL
HOSPITALISATION
(entrées directes)
Cumul à fin décembre
2014
Médecine (hors dialyses)
Chirurgie
Obstétrique
Total séjours
Dialyses
Total MCO
36 089
5 479
3 266
44 834
13 775
58 609
2014
2014
66 098
23 180
9 696
98 974
13 775
112 749
Evolution
en %
3,5 %
1,3 %
4,2 %
3,0 %
-3,4 %
2,2 %
Source
GAM
Source :: GAM
Dans les données administratives (GAM), le décompte des séjours se matérialise dès l’entrée alors que dans
le décompte médical, le séjour se comptabilise à la sortie du patient.
Ce qui explique les écarts observés entre les données administratives et les données médicales.
Médecine adulte (hors réanimation et hors UHCD)
Médecine pédiatrique (hors réanimation et hors
Hausse de l’activité de 4% (soit + 1905 entrées Urgences)
directes) avec :
L’activité de médecine pédiatrique (HC+HJ) est en
• - 0,7% d’entrées directes en hospitalisation > 24H hausse : +9,8% soit +566 entrées directes à
• + 7,2% d’entrées directes en hospitalisation < 24H fin décembre :
Pédiatrie (y compris SC) : L’activité augmente de
Activité de réanimation adulte 1,7%, répartie comme suit :
Le nombre d’entrées directes • Diminution des entrées en hospitalisation > 24H
en réanimation adulte est en
(-7%), soit 108 entrées de moins
hausse avec :
• Augmentation des entrées en hospitalisation < 24H
• +87 entrées, soit une
(+11,9%) , soit 155 entrées de plus
hausse de 8,1%
• La DMS recule de 9,72 jours Cancérologie pédiatrique (y compris SC) : L’activité
augmente de 17,5%, répartie comme suit :
à 8,81 jours
• + 13,6%, pour les hôpitaux de jour :
- HJ cancéro : + 412 entrées directes
- HJ aphérèse : - 90 entrées directes
Dialyses
Les dialyses
• + 143 entrées en hospitalisation complète > 24H
(HC + SC cancéro). La DMS est de 3,47 jours.
14 000
12 000
10 000
11 489
12 268
13 709
14 263
13 775
8 000
Néonatologie : Activité en hausse avec + 38 entrées
directes totales. La DMS est de 13,07 jours.
6 000
4 000
2 000
0
2010
2011
2012
2013
2014
Décès
1%
Transfert vers
établissement
hors CHU
5%
Mutation vers
SSR, Psy ou SLD
1%
19
Activité de réanimation pédiatrique
Activité de réanimation pédiatrique : L’activité recul par rapport à décembre 2013 avec -70 entrées directes
soit – 19,8%.
Chirurgie
En 2014, la chirurgie adulte est en hausse par rapport à 2013, soit + 1,8 % :
• Hospitalisation > 24H : - 194 entrées directes
• Hospitalisation < 24H : + 560 entrées directes
L’activité de chirurgie pédiatrique enregistre une baisse de 4,1% d’activité par rapport à 2013 :
• Hospitalisation > 24H : - 174 entrées directes
• Hospitalisation < 24H : + 92 entrées directes
Gynécologie-obstétrique
L’activité de gynécologie-obstétrique a connu une forte évolution lors de l’ouverture du site Estaing.
Après une baisse d’activité en 2013, l’activité retrouve en 2014 un niveau équivalent à celui de 2012. Notons
que le nombre d’accouchements à lui aussi augmenté en 2014, avec environ 240 naissances de plus qu’en
2013 soit 3 894 naissances en 2014.
Répartition des RSS 2014
2011
Interruption Volontaire de Grossesse
dont IVG par mode médicamenteux
Fécondation in vitro - prélèvement
Fécondation in vitro - transfert
2012
1 181
1 095
312
305
744
759
1 067
2013
2014
DIM
1 359
1 145
Obstétrique
5%
328
DIM321
726
DIM756
1 079Chirurgie 980
DIM
1 353
19%
La répartition des séjours MCO
Médecine
76% contre 112 897 en 2013.
• L'activité globale du CHU a connu en 2014 une croissance avec 115 636 séjours (RSS)
• L'activité de médecine représente 75,5% de l'activité totale MCO, et génère près de 55% des recettes.
• L'activité de chirurgie représente 19,2% des séjours et presque 41% des recettes.
Répartition des RSS 2014
Répartition des RSS 2014
Répartition
de la Valorisation
des séjours
20142014
Répartition
de la Valorisation
des séjours
Obstétrique
Obstétrique
4%
4%
Obstétrique
Obstétrique
5%
5%
Chirurgie
Chirurgie
19%
19%
Chirurgie
Chirurgie
42%
42%
Médecine
Médecine
76%
76%
Source : PMSI Pilot
Médecine
Médecine
54%
54%
Source : PMSI Pilot
Ces recettes incluent la tarification issue des GHS, les suppléments de réanimation, de soins intensifs et de
Répartition
la Valorisation
séjoursspécifiques.
2014
surveillance
continuede
ainsi
que les tarifsdes
et forfaits
Obstétrique
4%
Chirurgie
42%
Médecine
54%
20
Durée Moyenne de Séjours et Taux d’occupation
Transfert vers
établissement
hors CHU
5%
Taux d'occupation
Taux d'occupation
Taux d'occupation
Durée
de Séjour(responsabilité(responsabilité
Durée Moyenne
deMoyenne
Séjour
Durée
deMoyenne
Séjour(responsabilité
Mutation vers
SSR, Psy ou SLD
1%
Cumul
à fin décembre
Cumul à fin décembre
2013
2014
Cumul à fin décembre
2013
Médecine
Médecine (hors
dialyses)(hors
6,84 (hors dialyses)
6,55
Médecine
dialyses)
6,84
Chirurgie 6,05
Chirurgie Chirurgie 6,05
5,99
Obstétrique Obstétrique Obstétrique
4,57
4,62
4,57
Total séjoursTotal séjoursTotal
6,34 séjours6,34
6,16
Evolution
2013
2014
N-1
6,84
-0,29
6,55
6,05
-0,06
5,99
4,57
0,05
4,62
6,34
-0,18
6,16
d'hebergement)
d'hebergement)
d'hebergement)
Evolution Evolution
2014
2013
2014
N-1
N-1
6,55
-0,29
94,86%
95,93%
-0,29
94,86%
5,99
-0,06
83,07%
83,29%
-0,06
83,07%
4,62
0,05
77,24%
74,43%
0,05
77,24%
6,16
-0,18
90,77%
90,79%
-0,18
90,77%
2014
2013
2013
94,86%
95,93%
83,07%
83,29%
77,24%
74,43%
90,77%
90,79%
95,93
83,29
74,43
90,79
Source : GAM Source
Source:: GAM
GAMSource : GAM
La baisse régulière des durées de séjours , en hospitalisation complète (passage de 6,44 en 2013 à 6,16 jours
en 2014), nous amène en 2014 à nous situer dans la moyenne nationale (IPDMS 100%).
Les taux d’occupation enregistrés au niveau de l’établissement sont satisfaisants au regard de l’activité de
recours réalisée.
La restructuration du schéma capacitaire engagée en 2014 (74 lits supprimés) et concrétisée en fin d’année
2014 aura un impact en année pleine en 2015.
Les consultations
14 263
13 775
2013
2014
Dossiers typés « EXTERNE » ayant
fait l’objet de la cotation d’un ou
plusieurs actes
470 482
496 426
Source : GAM
Mode de2014sortie
2013
Décès
1%
Transfert vers
établissement
hors CHU
7%
5%
Mutation vers
SSR, Psy ou SLD
1%
Retour à
domicile
91%
81%
Source : PMSI Pilot
21
2.L’activité du plateau
technique
L’activité des blocs opératoires
Estaing
Gabriel Montpied
Bloc Central
76
Urologie
1 636
Chirurgie vasculaire
1 985
Ortho-traumato
3 012
Chirurgie thoracique
331
Neurochirurgie
1 881
Chirurgie ambulatoire
3 457
ORL
2 528
Chirurgie gynécologique
3 587
Chirurgie infantile
1 839
Chirurgie maxillo-odonto
1 838
Neurochirurgie pédiatrique
18
Urgences CHGE
Chirurgie digestive
27
Chirurgie infantile orthopédique
3
Chirurgie infantile viscérale
5
Bloc Obstétrical
2 997
977
Chirurgie Cardio vasculaire
1 176
Ophtalmologie
TOTAL
901
La cardiologie interventionnelle
2013
Procédures de coronographies/angioplasties
2014
Evolution
3 725
3 864
3,5%
155
219
34,8%
dont coronographie
2 015
2 062
2,5%
dont angioplasties et coronographies
1 177
1 175
0,6%
378
408
5,6%
1 359
1 460
6,8%
dont angioplasties
dont autres procédures (KT, TAVI, Vulcoplastie)
Procédures de rythmologie
dont poses de défibrilateur
268
271
1,9%
dont poses de stimulateur
516
596
13,8%
dont autres procédures
575
593
2,8%
5 084
5 324
4,4%
Total
Les lithotripsies
2011
2012
2013
2014
486
421
420
509
Les endoscopies digestives
6 343 Interventions réalisées sur le plateau technique d’endoscopies digestives
28 274
22
3.L’activité médico-technique
Les laboratoires
La biologie hospitalière au CHU de Clermont Ferrand présente des atouts non seulement performants mais
également innovants sous la forme de plateformes de biologie de routine et d’urgence sur les deux sites , d’un
L3 (réseau Biotox et Piratox) au centre de Biologie et de plateformes spécialisées équipées de technologies
innovantes en lien avec le projet médical.
La création de deux centres de prélèvements modernes et performants permettent une prise en charge
des patients au fil de l’eau, une rapidité de traitements des prélèvements et une traçabilité dans le dossier
patient.
Production d'actes de biologie - B et BHN
Biologie de la reproduction CECOS AMP
Virologie médicale et moléculaire
Biochimie medicale - biologie moleculaire
Production
d'actes de biologie - B et BHN
Cytogenetique
medicale
Médecine du sport et explorations fonctionnelles
Hygienede
hospitaliere
Biologie
la reproduction CECOS AMP
Bactériologie
mycologie
et parasitologie
Virologie
médicale
et moléculaire
Pharmacologie toxicologie
Biochimie medicale - biologie moleculaire
Hématologie biologique
Cytogenetique medicale
Immunologie
Nombre d'actes
Nombre coefficients
Evolution
Evolution
2012
2013
2014
2014/2013
2014/2013
6 155
6 213
6 330
1,88%
2 552 860
2 347 790
2 441 130
3,98%
161 231
169 658
209 672
23,59%
12 216 275
13 216 829
15 958 036
20,74%
d'actes0,82%
coefficients
2 356 542 2 443 714 Nombre
2 463 773
43 421 080
43 148 283 Nombre
42 053 049
-2,54%
32 258
34 937
39 019
11,68%Evolution
9 410 520
9 843 655
10 681 195
8,51%
2012
2013
2014
2012
2013
2014
289 427
293 453
323 241
10,15%2014/2013
13 977 980
13 806 095
15 173 535
9,90%
16 882
-9,22% 1,88%
1 928 494 2 552
2 177
2 034
862
-6,54%
6 155 19 3696 21317 583 6 330
860155 2 347
790
2 441
130
405 304
446 861
445 236209 672
-0,36% 23,59%
22 591 37512 216
25 392
339 15 3,52%
161 231
169 658
275978 13 26
216286
829
958 036
37 856
40 636
46 661
14,83%
3 537 524
4 016 073
4 707 388
2 356 542
2 443 714
2 463 773
0,82%
43 421
080
43 148
283
4217,21%
053 049
1 051 294 1 101 574 1 123 817
2,02%
27 753 548
29 300 693
28 868 981
-1,47%
32 258
34 937
39 019
11,68%
9 410 520
9 843 655
10 681 195
71 966
73 425
73 835
0,56%
5 145 355
5 183 844
5 245 499
1,19%
2012
2013
2014
Médecine du sport et explorations fonctionnelles
289 427
293 453
323 241
TOTAL des actes de biologie
4 428 915 4 629 840 4 749 167
2,58%
Hygiene hospitaliere
16 882
19 369
17 583
Bactériologie
et parasitologie
446259
861actes445 236
L’activitémycologie
totale de biologie
et d’anatomopathologie en 2014405
est304
de 5 038
Pharmacologie
37 856
40 636
46 661
- B+BHN : toxicologie
4 749 059 actes et 153 439 070 coefficients
Hématologie
biologique
1 051 294 1 101 574 1 123 817
- Actes CCAM
+ AHC + P + PHN : 289 200 actes
L’activité
en
2014 est
de 5
Immunologietotale de biologie et d’anatomopathologie
71 966
73 425
73 835
10,15%
13 977 980
13 806 095
142 535 011 148 433 395 153 450 014
-9,22%
1 928 494
2 177 155
-0,36%
22 591 375
25 392 978
14,83%
3 537 524
4 016 073
2,02%
27 753 548
29 300 693
038
367 actes.
0,56%
5 145 355
5 183 844
Nombre d'actes
4 428coefficients
915 4 629 840 4 749 167
2,58%
• B+BHN : 4 749 167 actes et 153 450 014
Evolution
2012
2013
2014
2014/2013
• Actes
CCAM
+ AHC
+ P + PHN : 289 200
actes
L’activité
totale
de biologie
et d’anatomopathologie
en 2014
est de 5 038 259 actes
Production d’actes
d’anatomie
pathologique
TOTAL
des actes
de biologie– actes CCAM,
PHN et AHC
Anatomie et cytologie pathologiques CHU Estaing
158 635
160 468
121 660
123 998
1,92%
277 166
282 128
289 200
2,51%
- B+BHN : 4 749 059 actes et 153 439 070 coefficients
Anatomie
cytologie
pathologiques
CHU
Gabriel
118 531
- Actes etCCAM
+ AHC
+ P + PHN
: 289
200Montpied
actes
TOTAL des actes d'anatomie pathologique
165 202
142 535 011
148 433 395
15 173 535
3,38%
2 034 862
26 286 339
4 707 388
28 868 981
5 245 499
Evolution
2014/2013
3,98%
20,74%
-2,54%
8,51%
9,90%
-6,54%
3,52%
17,21%
-1,47%
1,19%
153 450 014
3,38%
2,95%
Nombre d'actes
Production d’actes d’anatomie pathologique – actes CCAM,
Evolution
Cette activité des laboratoires
suivants
PHN et AHCest réalisé au moyen des équipements
2012
2013 :
2014
2014/2013
- En biochimie-hormonologie : une chaine robotisée analytique (4 automates) et post analytique
permet de traiter environ 1 300 dossiers/jours, des
Anatomie
et cytologie
pathologiques
CHULuminex,
Estaing diagnostic néonatal,
158 635
160 468
165 202de la2,95%
secteurs
spécialisés
de pointe avec
diagnostic
des marqueurs
maladie d'Alzheimer...
- Dans le domaine de la Biologie moléculaire les principaux appareils sont les séquenceurs et DNA HPLC permettant la réalisation de diagnostics au
Anatomie
et cytologie pathologiques CHU Gabriel Montpied
118 531
121 660
123 998
1,92%
niveau national et international
TOTAL
deschaines
actes d'anatomie
pathologique
277
166
282 128 étaleur
289 200
2,51% un plateau technique de cytomètrie en flux
- En hématologie
: des
automatisées
et robotisées de
cytologie
intégrant
et colorateur,
analyseur et trieur de cellules avec une utilisation régionale .
- Les analyses de Pharmacologie Toxicologie de routine ainsi que les analyses médicolégales sont réalisées sur une plateforme de spectromètre LC
Cette
activité des laboratoires est réalisé au moyen des équipements suivants :
et CPG Masse/Masse . Des automates d'immunoanalyses permettent le traitement des actes de routine et d'urgence
- En biochimie-hormonologie : une chaine robotisée analytique (4 automates) et post analytique permet de traiter environ 1 300 dossiers/jours, des
secteurs spécialisés de pointe avec Luminex,
diagnostic
néonatal, diagnostic des marqueurs de la maladie d'Alzheimer...
Anatomie
et cytologie
- Dans le domaine de la Biologie moléculaire
les principaux
appareils sont les séquenceurs et DNA HPLC permettant la réalisation de diagnostics au
pathologiques
CHU 2014
Cette
activité
des
laboratoires est réalisée
au moyen desBiologie
équipements
suivants :
Gabriel Montpied
niveau
national
et international
de la
2,50%
En
hématologie
:
des
chaines
automatisées
et
robotisées
de
cytologie
intégrant
étaleur
et
colorateur,
un
technique de cytomètrie
reproduction
CECOS
AMP
Anatomie et cytologie
• En biochimie-hormonologie
: une chaine robotisée analytique (4 automates)
etplateau
post
analytique
permet en flux
Virologie médicale
et
0,13%
analyseur et
trieur de cellules
avec une utilisation régionale .
pathologiques
CHU
moléculaire
de traiterEstaing
environ
1 300 dossiers/jours, des secteurs spécialisés de pointe
avec Luminex, diagnostic
- Les analyses de
Pharmacologie Toxicologie de routine ainsi que les analyses médicolégales sont réalisées
4,22% sur une plateforme de spectromètre LC
3,33%
néonatal,
diagnostic
des marqueurs
de lapermettent
maladie led’Alzheimer...
et CPG
Masse/Masse
. Des automates
d'immunoanalyses
traitement des actes de routine et d'urgence
• Dans le domaine de la Biologie moléculaire les principaux appareils sont les séquenceurs et DNA HPLC
Anatomie et cytologie
permettant la réalisation
de diagnostics
au niveau national et international
Hématologie biologique
pathologiques CHU 2014
22,64%
• En hématologie : des chaines automatisées
dedecytologie
intégrant étaleur et colorateur,
Gabriel Montpied et robotisées
Biologie
la
2,50%
reproduction
CECOS
AMP
un plateau
technique
de
cytomètrie
en
flux
analyseur
et
trieur
de
cellules
avec
unemédicale
utilisation
régionale.
Anatomie et cytologie
Virologie
et
0,13%pathologiques
CHU
Biochimie
medicale
Pharmacologie
moléculaire
• Les analyses de Pharmacologie Toxicologie de routine ainsi que les analyses médicolégales
sont réalisées
biologie moleculaire
Estaing
toxicologie
4,22%
sur une
plateforme
de
spectromètre
LC
et
CPG
Masse/Masse
.
Des
automates
d’immunoanalyses
49,63%
0,94% 3,33%
permettent le traitement des actes de routine et d’urgence
Bactériologie mycologie
Hématologie biologique
et parasitologie
22,64%
8,97%
Cytogenetique medicale
0,79%
23
Activités des laboratoires
Anatomie et cytologie
pathologiques CHU
Estaing
3,33%
Anatomie et cytologie
pathologiques CHU
Gabriel Montpied
2,50%
Biologie de la
reproduction CECOS AMP
0,13%
Virologie médicale et
moléculaire
4,22%
Pharmacologie toxicologie
0,94%
Hématologie biologique
22,64%
Biochimie medicale biologie moleculaire
49,63%
Bactériologie mycologie
et parasitologie
8,97%
Hygiene hospitaliere
0,35%
Médecine du sport et
explorations
fonctionnelles
6,51%
Cytogenetique medicale
0,79%
Le changement de cotation à la nomenclature des actes de biologie médicale (NABM) au 13 avril 2014 et 4
septembre 2014 s’est traduit par des variations significatives des cotations en B de certains actes de routine.
Globalement, l’activité B+BHN exprimée en actes à fin décembre 2014 a augmenté d’environ 2,58% : + 1,70%
pour les patients hospitalisés, +5,29 % pour les consultants externes et 6,82 % pour les établissements
extérieurs.
Pour les actes d’anatomie pathologique, le nombre d’actes a augmenté en 2013 de 2,51%.
4 421
4 421
2,42%
2,42%
magerie
24
4 421
2,42%
Passages
Passages
20122012
Actes
CCAM
2014
Actes
CCAM
2014
Actes
CCAM 2014
Passages
2014
Passages 2014
Consultations
Consultations
616 616
0,23%
0,23%
Radiologie
conventionnelle
128 552
48,40%
Scanner
35 680
Scanner
19,51%
Scanner
76 392
76 392
28,76%
28,76%
Actes CCAM 2014
7,49%
IRM
26 061
9,81%
Radiologie
conventionnelle
109 121
59,67%
Echographie
Echographie
21 771
21 771
8,20%
8,20%
diologie
ogie
Radiologie
entionnelle
onnelle
Interventionnelle
25 225
12 225
4,60%
%
4,60%
CAM
: Adaptations
pour
la CCAM
transitoire
: Adaptations
la CCAM
transitoire
chapitre
19 de pour
la CCAM
: Adaptations
pour la CCAM transitoire
Passages 2014
2,42%
120 000
Scanner IRM
76 392
13 693
28,76%
IRMIRM
26 061
26 061
9,81%
9,81%
Passages
2014
Passages
Passages
2013 2014 4 421
Actes CCAM 2014
L’imagerie
Consultations
Consultations
1 072
616
0,59%
0,23%
Interventionnelle
Passages
2013
Passages
Passages
2012 2013
Echographie
21 771
8,20%
100 000
Consultations
Consultations
616616
80 000
0,23%
0,23%
60 000
Radiologie
Radiologie
conventionnelle
Echographie Conventionnelle
552
128128552
18 881
48,40%
48,40%
10,32%
Scanner
Scanner
76
76392392
28,76%
32 934
28,76% IRM
IRM
35 680
18 241
2626
061 061
30 828
13 0779,81%
9,81%
17 395 18 881
12 970 13 693
40 000
20 000
36
0
Echographie
Echographie
21 771
21 771
8,20%
Radiologie
Interventionnelle
4 421
2,42%
Radiologie
Radiologie
8,20%
Interventionnelle
Interventionnelle
12 225
12 225
4,60%
Passages 2012
4,60%
* hors chapitre 19 de
la CCAM : Adaptations pour la CCAM transitoire
Passages 2
Actes CCAM 2014
140
120
100
80
60
40
20
Actes
CCAM* Actes CCAM*
Actes
CCAM*
134 134
425 425
134 425
128
552
136 136
962 962
136
962
128
552
140 140
000 000
140
000
76
392
76 392
76 392
120 120
000 000
120 000
69 839
839
69 839
100 100
000 000 69
100 000
68
948
26 061
21 771
80 00068 948
26 948
061
21 771
26 061
21 771
80 000
80 000 68
12 225
20 415
22 661
60 000
12 225
12 225
20 415
22 661
20
415
60 000
22 661
60 000
11
015
21
341
18
452
40
000
11 18
015452
11 015 448 448
18 452 21 341
40 000
40 21
000341
9 856
9 856
20 000
9 856
53 53 616 616
20 000
20 000
Scanner
0 0
0
128 552
Le nombre de passages en 2014 (182 868) est stable . Cette évolution conforme à la tendance nationale,
comporte un recul de l’activité de radiologie conventionnelle (-4,1%) au profit des techniques de scanner
(+8,3%), d’IRM (+5,1%), d’échographie (+3,5%,) et de radiologie interventionnelle (+7,6%). En radiologie
interventionnelle, où l’on dispose d’une salle d’angiographie supplémentaire Imabloc depuis mai 2014, la 448
616
53
Consultations
forte croissance616
de l’activité est répartie sur les 3 axes (neuroradiologie interventionnelle, radiologie vasculaire
76 392
périphérique et
radiologie interventionnelle 28,76%
viscérale) avec une croissance très significative des procédures à
0,23%
Le nombre de passages en 2014 (182 868) est stable . Cette évolution conforme à la tendance nationale, com
visée thérapeutique, plus longues et complexes.
de scanner (+8,3%), d'IRM (+5,1%), d'échographie (+3,5%,) et de radiologie interventionnelle (+7,6%). En radi
IRM
depuis mai 2014, la forte croissance de l'activité est répartie sur les 3 axes (neuroradiologie interventionnelle
L’activité de consultations externes du pôle se maintient
avec
une évolution
de
+0,8%
(77plus754
passages)
Actes
CCAM2012
Actes
CCAM2013
Actes
CCAM2014
très
significative
des
procédures
à visée
thérapeutique,
longues
et complexes.
26croissance
061
Actes
CCAM2012
Actes
CCAM2013
Actes
CCAM2014
CCAM2012
CCAM2013
Actes CCAM2014
Radiologie
L'activité
de
consultations
externes
du
pôle
se
maintient
avec
une
évolution
de
+0,8% forte
(77 754 passages) mal
malgré
le
recul
de
l’activité
externe
de
radiologie
conventionnelle
(3,6%).
On
observe
néanmoins
une
9,81%
conventionnelle
néanmoins
une forte
croissance
deconventionnelle
l'activité externe en
imagerie
de coupe
(scanner
+9,7%, échographie +4,7
ges
en
2014
(182
868)
est
stable
.
Cette
évolution
conforme
à
la
tendance
nationale,
comporte
un
recul
de
l'activité
de
radiologie
(-4,1%)
au
profit
des
techniques
en
2014
(182
868)
est
stable
.
Cette
évolution
conforme
à
la
tendance
nationale,
comporte
un
recul
de
l'activité
de
radiologie
conventionnelle
(-4,1%)
au
profit
des
techniques
nombre de
passages
en 2014 (182
est stable .externe
Cette évolution
à la tendance
nationale,
comporteL'installation
un recul
deenl'activité
radiologie
conventionnelle
(-4,1%)
au+4,4%)
profit
des techniques
rendez-vous.
maiéchographie
2014de
d'un
scanner supplémentaire
pour
les examens
interventionnels
a con
croissance
de868)
l’activité
enconforme
imagerie
de coupe
(scanner
+9,7%,
+4,7%
et
IRM
128
552
d'IRM
(+5,1%),
d'échographie
(+3,5%,)
etradiologie
de radiologie
interventionnelle
(+7,6%).
En radiologie
interventionnelle
où l'on
dispose
d'une
salle
d'angiographie
supplémentaire
Imabloc
M (+5,1%),
d'échographie
(+3,5%,)
et de
interventionnelle
(+7,6%).
En radiologie
interventionnelle
oùde
l'on
d'une
salle
supplémentaire
Imabloc
scanner
(+8,3%),
d'IRM (+5,1%),
d'échographie
(+3,5%,)
et de radiologie
interventionnelle
(+7,6%).
En
radiologie
interventionnelle
où
l'on
dispose
d'une511
salle
d'angiographie
supplémentaire
Dans
le cadre
sondispose
activité recherche,
led'angiographie
pôle
enregistre
passages
en 2014,
soit
une progressionImablo
de 28,1
48,40%
orte
croissance
de
l'activité
est
répartie
sur
les
3
axes
(neuroradiologie
interventionnelle,
radiologie
vasculaire
périphérique
et
radiologie
interventionnelle
viscérale)
avec
une
malgré
la répartie
saturation
des
vacations
et(neuroradiologie
la longueur
des
délais
d’accès
rendez-vous.
L’installation
en maiavec une
euis
croissance
de
est
sur les 3 est
axes
(neuroradiologie
interventionnelle,
radiologie
vasculaire
périphérique
et aux
radiologie
interventionnelle
viscérale)
avec une viscérale)
mai 2014,
lal'activité
forte croissance
de l'activité
répartie
sur les 3 axes
interventionnelle,
radiologie
vasculaire
périphérique
et radiologie
interventionnelle
icative
àdes
visée
thérapeutique,
plus
longues
et complexes.
ive
des des
procédures
à visée
thérapeutique,
plus
longues
et complexes.
ssance
trèsprocédures
significative
procédures
à visée
thérapeutique,
plus longues
et complexes.
2014
d’un
scanner
supplémentaire
pour
les
examens
interventionnels,
a
contribué
à
cette
évolution
de
tions
externes
du pôle
se maintient
avec
évolution
de une
+0,8%
(77 754
passages)
malgré
le recul
demalgré
l'activité
externe
de radiologie
conventionnelle
(-3,6%).
On observe
ns
externes
du pôle
se maintient
avec
une
évolution
deavec
+0,8%
(77
754
passages)
malgré
le recul
de l'activité
externe
de
conventionnelle
(-3,6%).
On observe
tivité
de consultations
externes
du
pôle
seune
maintient
évolution
de
+0,8%
(77
754
passages)
le recul
deradiologie
l'activité
externe
de radiologie
conventionnelle
(-3,6%). On observe
croissance
de
l'activité
externe
en
imagerie
de
coupe
(scanner
+9,7%,
échographie
+4,7%
et
IRM
+4,4%)
malgré
la
saturation
des
vacations
et
la
longueur
des
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d'accès
aux
l’activité
scanographique.
issance une
de l'activité
externe
en
coupeen(scanner
+9,7%,
échographie
IRM +4,4%) +4,7%
malgréetlaIRM
saturation
vacations
et la longueur
des délais
auxdes délais d'accès aux
nmoins
forte croissance
de imagerie
l'activité de
externe
imagerie
de coupe
(scanner+4,7%
+9,7%,etéchographie
+4,4%) des
malgré
la saturation
des vacations
et lad'accès
longueur
ation
en mai
2014
scanner
supplémentaire
les examens
interventionnels
ainterventionnels
contribué
à cette
évolution
l'activité
scanographique.
on
en mai
2014
d'und'un
scanner
supplémentaire
pourpour
les examens
interventionnels
a contribué
à cette
évolution
de l'activité
scanographique.
D
dez-vous.
L'installation
en
mai
2014
d'un scanner
supplémentaire
pour
les examens
a contribué
àdecette
évolution
de l'activité
scanographique.
Délais
de RDV
Dans
le
cadre
de
son
activité
recherche,
le
pôle
enregistre
511
passages
en
2014,
soit
une
progression
de
activité
recherche,
le pôle
enregistre
passages
en 2014,
soit
progression
de
d'examens
de
recherche
sur de
l'animal
en 2014
signifiant
des
examens
moins
recherche,
pôle
enregistre
511le511
passages
en 2014,
soit
uneune
progression
de 28,1%
(peu(peu
d'examens
de recherche
sur l'animal
en 2014
signifiant
desen
examens
moins
longs).
nsvité
le cadre
de sonleactivité
recherche,
pôle
enregistre
511
passages
en
2014, soit
une28,1%
progression
de 28,1%
(peu
d'examens
recherche
sur l'animal
2014
signifiant
deslongs).
examens moins longs)
pati
externes
28,1% (peu d’examens de recherche sur l’animal
en 2014 signifiant despatients
examens
moins longs).
Echographie
Délais globaux de RDV
15,0
Délais
globaux
de RDV
patients
Délais
globaux
de RDV
patients
Délais
globaux de RDV patients
patients
10,0
SCANNER
SCANNER
20122012
20132013
2012
IRM
42,5
42,6
38,5
35,5
38,6
38,5
Actes CCAM
12,3
38,6
38,5
14,7
10,0
13,6
10,0
10,0
140 000
35,5
20,0
38,6
35,5
30,0
20,020,0
12,3
30,0
SC
2012
2014
13,6
12,3
21,1
20,9
2013
30,0
19,9
3,2
20142014
2013
0,0
40,0
IRM
14,7
21,1
21,1
IRM IRM
SCANNER
5,0
14,7
13,6
0,0
20,9
19,9
20,9
5,0
40,0
40,0
SCANNER
3,2
0,0 0,0
15,0
10,0
0,0
32,2
35,0
20,0
38,9
20,0
30,0
2012
4,5
10,010,0
5,0 5,0
20,0
3,2 3,2
42,5
42,6
38,9
0,0
SCANNER
SCANNER
IRM IRM
SCANNER
IRM
20122012 20132013 2012
20142014 2013
2014
20,020,0
15,015,0
4,5
10,0
32,2
20,0
42,6
38,9
35,0
42,5
42,6
33,9 42,5
32,2
38,9
32,2
33,9
35,0
30,0
25,0
4,5
3,2
0 0,0
35,0
33,9
020,0
010,0
40,0
25,0
40,0
10,0
s050,0
chapitre 19 de50,0
la CCAM : Adaptations pour la CCAM transitoire25,025,0
040,0
030,0
50,0
33,9
de RDV
patients hospitalisés
Délais de RDV
Délais de RDV
patients
hospitalisés
patients
hospitalisés
patients hospitalisés
3,2
19,9
lais de RDV
ents externes
Délais de RDV
Radiologie
Interventionnelle
patients externes
12 225
4,60%
21 771
8,20%
Délais
Délais
de RDV
76 392
120
000
0,0 0,0
69 0,0
839 IRM
SCANNER
100 000SCANNER
IRMSCANNER
IRM
68 948 2013
21
2014 26 061
80 000
2014
20122012
2013
2012 2014
2013
2014
20 415
22 661
60 000
21 341
18 452
40 000
20 000
0
Actes CCAM2012
Actes CC
nombre de passages en 2014 (182 868) est stable . Cette évolution conforme à la tendance nationale, comporte un recul de l'activité de radiologie conv
e scanner (+8,3%), d'IRM (+5,1%), d'échographie (+3,5%,) et de radiologie interventionnelle (+7,6%). En radiologie interventionnelle où l'on dispose d'un
epuis mai 2014, la forte croissance de l'activité est répartie sur les 3 axes (neuroradiologie interventionnelle, radiologie vasculaire périphérique et radiolo
25
La Pharmacie
La pharmacie assure des fonctions d’achats-logistique, de dispensation des médicaments et dispositifs
médicaux stériles et de production pharmaceutique. Afin de contribuer à l’amélioration de la qualité de
la prise en charge médicamenteuse, des activités de pharmacie clinique sont déployées vers les unités de
soins. Au-delà de ses activités pharmaceutiques hospitalières, le pôle pharmacie participe également à
l’enseignement et à la recherche.
1- Activités pharmaceutiques hospitalières
• Achats / Approvisionnements / Analyse de gestion
Achats
En 2014 la pharmacie a mené divers appels d’offre et marchés négociés pour lesquels les économies attendues
sont de l’ordre de 990 000€/an (essentiellement sur le segment des anticancéreux) pour le médicament et
560 000€ pour les dispositifs médicaux stériles (DMS). A noter que les économies réalisées en 2014 (sur
marchés passés en 2013) ont été de 305 000€ pour le médicament et 427 000€ pour les DMS.
Approvisionnement
Le nombre de commandes/liquidations de DMS est très largement supérieur à celui des médicaments en
raison d’un grand nombre de références et d’une gestion essentiellement via l’achat direct (peu de références
en stock). Le nombre de commandes/liquidations des médicaments est resté relativement stable. Pour les
DMS on note une augmentation qui devrait se réduire en 2015 du fait de l’intégration de 250 références en
stock.
Médicament : nombre de commandes et de
Médicament: nombre
de commandes et de liquidations
liquidations
35000
29567
30143
30000
24015
25000
23862
10000
8536
10780 11498
9328
53683
60000
55315
58204
59733
50000
2013 30000
22836
25616
29038
25895
2013
2014
2014 20000
10000
5000
0
DMS: nombre de commandes et de liquidations
40000
20000
15000
DMS: nombre de commandes et de liquidations
0
Commandes
(nombre)
Commandes
(lignes)
Liquidations
(nombre)
Liquidations
(lignes)
En 2014 la pharmacie a optimisé sa propre gestion des stocks
parallèlement à celle des unités de soins avec la mise en
place du plein/vide.
Le plein/vide a été mis en place sur le site Estaing et l’unité
de production des chimiothérapies.
La pharmacie a poursuivi l’accompagnement du déploiement
du plein/vide dans les unités de soin (32 services fin 2014).
Le secteur DMS a engagé une importante réorganisation
en 2014 pour préparer la mise en place du plein/vide au
bloc central puis dans les services les plus consommateurs
: réaménagement du stock avec passage de 530 à 815
références, révision des circuits d’approvisionnements,
inventaires et préparation des dotations de services.
Les mesures mises en place sur les stocks ont mis en évidence
un gain en valeur de 1 252 377€ en 2014 attribuables en 2014
à la gestion des médicaments (essentiellement les molécules
onéreuses)
Commandes
(nombre)
Commandes
(lignes)
Liquidations
(nombre)
Liquidations
(lignes)
26
Analyse de gestion : suivi de dépenses pharmaceutiques
En 2014 la consommation en médicaments et DMS a été de 98 277 212 € (59% pour les médicaments et 41% pour
les DMS). Les dépenses des médicaments et DMS inclus dans le forfait GHS sont bien maîtrisées, de même que
celles des molécules onéreuses Facturables en Sus. Une augmentation de la consommation des dispositifs médicaux
implantables est notée mais corrélée à une hausse d’activité. L’écart de consommation observé entre 2013 et 2014
est essentiellement dû aux rétrocessions de médicaments utilisés dans le traitement de l’hépatite C (7M€).
Au-delà de la gestion budgétaire des produits de santé à l’échelle de l’établissement, la pharmacie établit des tableaux
de bord semestriels permettant un suivi quantitatif et qualitatif des consommations par pôle et par service.
• Dispensation / Pharmacie clinique
L’activité de dispensation des médicaments a connu une évolution secondaire au déploiement du plein/vide
(plus de temps consacré à la préparation des armoires et au traitement des demandes hors dotation).
La pharmacie assure une dispensation à délivrance nominative et une traçabilité des médicaments à risque
élevé, des molécules onéreuses et dispositifs médicaux implantables, ce qui nécessite une disponibilité
importante de l’équipe pharmaceutique mais contribue à l’amélioration de la qualité de la prise en charge
médicamenteuse et à la maîtrise des coûts.
La pharmacie assure également l’analyse de l’ordonnance des services informatisés (traitement complet
pour services informatisés + toutes les chimiothérapies anticancéreuses). En 2014, les pharmaciens prennent
en charge l’analyse de 269 prescriptions en moyenne par jour. Sachant que l’analyse selon les critères de la
Société Française de Pharmacie Clinique nécessite environ 10 minutes pour un patient entrant et 4 minutes
pour un patient déjà hospitalisé, le temps consacré par chaque pharmacien à cette tâche est de 1 à 2h par
jour. Une activité de paramétrage est également assurée par un pharmacien de l’équipe qui assure également
la formation des médecins au fur et à mesure du déploiement de l’informatisation.
L’équipe pharmaceutique participe activement à la sécurisation du circuit du médicament par les activités de
pharmacie clinique : actions de bon usage menées au sein de la Comedims (coordination des sous-groupes),
participation à des programmes d’éducation thérapeutique, mise en place de la conciliation médicamenteuse,
management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse, cartographie des risques,…
La pharmacie assure également la dispensation de médicaments aux patients ambulatoires (rétrocessions), de
médicaments sous ATU et d’unités thérapeutiques dans le cadre des essais cliniques. En 2014, la dispensation de
médicaments aux patients ambulatoires a été marquée par la rétrocession des médicaments de l’hépatite C. L’impact
budgétaire est de plus de 7M d’€. 442 demandes d’ATU ont été réalisées pour 324 patients. Le nombre
d’essais cliniques ouverts reste stable en 2014, 88 protocoles ont été créés.
• Activités de production
La pharmacie réalise des préparations stériles (chimiothérapies
anticancéreuses, nutrition parentérale, collyres et solutions
ophtalmiques injectables,…) et non stériles (gélules,
suppositoires,…) pour les unités de soins du CHU. Les préparations
hospitalières font l’objet d’un contrôle qualité physico-chimique
associé à un contrôle microbiologique pour les produits stériles.
27
Pharmacotechnie/Unité de reconstitution des chimiothérapies anticancéreuses
L’activité de production pharmaceutique est présentée dans le tableau ci-après. La pharmacie fabrique
également les chimiothérapies pour le CH de Riom (630 poches) et, depuis 2014, diverses préparations pour
d’autres établissements dans le cadre de conventions de sous-traitance. 14 conventions ont été signées, 285
lignes de commandes (essentiellement des préparations ophtalmiques) ont fait l’objet d’une prestation qui a
généré un bénéfice de 52 000€ pour le CHU.
Nombre d’unités produites par la
pharmacie
Chimiothérapies anticancéreuses
2013
2014
29 036
30 095
Evolution 2013/2014
2012/2013
(%)
+ 3.6%
Préparations de nutrition parentérale
2 222*
2 582
+ 16.2%
Autres préparations stériles
18 874
20 982
+ 11.2%
Préparations non stériles
49 645
48 550
-2.2 %
Préparations pour essais cliniques
Gélules
injectables
20 805
20 650
155
58 215
57 900
315
+179.8%
+ 180.4%
+103.2%
*Activité interrompue pendant la durée des travaux de la ZAC
A noter qu’en 2014, la pharmacie a pris en charge la réalisation de préparations pour la
transplantation de microbiote fécal.
A noter qu’en 2014,
la pharmacie a pris en charge la réalisation de préparations pour la transplantation de
•
Contrôles
microbiote fécal.
La pharmacie réalise essentiellement les contrôles de sa production pharmaceutique (contrôle des
lots fabriqués) mais également un suivi de la qualité de la production d’eau de dialyse, d’eau
alimentant la stérilisation, de gaz médicaux et de l’environnement des ZAC.
Contrôles
La pharmacie réalise essentiellement les contrôles de sa production pharmaceutique (contrôle des lots
Nombre de contrôles réalisés par la pharmacie
fabriqués) mais également un suivi de la qualité de la production d’eau de dialyse, d’eau alimentant la
3500
stérilisation, de gaz médicaux
et de l’environnement des ZAC.
3000
2500
2000
1500
1000
500
3500
0
Nombre de contrôles réalisés par la pharmacie
Nombre de contrôles réalisés par la pharmacie
34772013
3337
3450
3425
3000
2500
2256
2337
1987
2014
2431
2000
1500
1000
2013
612 637
268
2014
182 184 de contrôles de préparations stériles
109 que la production augmente (en
La baisse500
du nombre
83 88 alors
unités) est 0liée à la taille des lots. Les lots préparés sont plus grands, la durée de péremption de
certaines préparations a également été augmentée suite aux études de stabilité.
A l’inverse les préparations non stériles sont moins nombreuses en nombre d’unités mais les
principes actifs plus variés et les lots plus nombreux.
La baisse du nombre de contrôles de préparations stériles alors que la production augmente (en unités) est
liée à la taille des lots. Les lots préparés sont plus grands, la durée de péremption de certaines préparations
a également été augmentée suite aux études de stabilité.
A l’inverse les préparations non stériles sont moins nombreuses en nombre d’unités mais les principes actifs
plus variés et les lots plus nombreux.
28
Stérilisation
67%
La pharmacie assure la stérilisation pour le CHU G. Montpied
et le centre d’Odontologie. La CCV a son propre autoclave.
La stérilisation du CHU Estaing est externalisée (Stérience).
Le volume stérilisé par la pharmacie a été de 3138 m3 en
2014, soit une augmentation de 480 m3 en 2014 en raison
de la prise en charge de la stérilisation du centre de soins
dentaires. Au-delà du volume stérilisé, cette nouvelle
activité génère un important travail de conditionnement
des instruments.
2806%
CCV
Stérience
27%
Stérilisation GM
67%
3200
2- Activités de recherche
Thématique de recherche : compatibilité dispositifs médicaux/contenu (solution médicamenteuse) et
interface avec le vivant (biocompatibilité). En collaboration avec EA 4676 C-Biosenss
Projets en cours: Armed (financement ANSM de 500 000€ pour 3 ans).
Bourse Hopipharm de 5000 € (étude sur les préparations de collyres de ciclosporine)
Contrats industriels : 25 000€ (études de stabilité de médicaments en pratique clinique)
Production scientifique 2014 : 9 publications, 102 points SIGAPS
3- Activités d’enseignement et d’encadrement
En dehors des activités d’enseignement propres aux pharmaciens hospitalo-universitaires, les PH assurent
divers enseignements aux étudiants en pharmacie. Les pharmaciens interviennent également dans les Ecoles
notamment à l’IFSI, en DU, DIU, DES, Master.
L’équipe pharmaceutique assure également la formation et l’encadrement des internes, des étudiants en
pharmacie de 5ème année option officine, industrie et internat.
4- Autres activités
La pharmacie assure une permanence pharmaceutique 24 heures sur 24 avec la présence d’un interne de
garde les nuits, week-end et jours fériés et de 2 astreintes de pharmaciens seniors dont une spécifique pour
les chimiothérapies anticancéreuses.
Participation à diverses démarches institutionnelles : certification V2010 (préparation de la visite de suivi
critères 20a et 20abis) ; élaboration du rapport d’étape annuel REA 2014 du contrat de bon usage ; mission
CREF-COPERMO ; certification des comptes
Participation aux commissions : CME, Comedims, CCQSGR, CLIN, CLAN, CLUD,…
La médecine d'urgence
Le circuit du patient admis aux urgences a été revu en 2011 : après l’évaluation initiale du patient
29 p
l’accueil, le patient peut être orienté vers l’un des trois secteurs : ambulatoire (patients relevant ess
traumatologie), couché (pathologies médicales et/ou psychiatriques avec nécessité d’hospitalisation
urgences vitales).
4.Les activités ciblées
II.2. L'activité médicale et chirurgicale 2014
En 2014, on dénombre 77 662 passages aux urgences dont :
- 50 074 aux urgences adultes du CHU Gabriel Montpied, 29% des passages donnant lieu à une hosp
- 27 588 aux urgences pédiatriques du CHU Estaing, 12% des passages donnant lieu à une hospitalis
Les urgences
La médecine d'urgence
L'activité médicale et chirurgicale
2014
Le circuit
du patient admis aux urgences a été revu en 2011 : après l’évaluation initiale du patient par l’infirmière organisatrice de
Accueil
urgences
l’accueil,
patient peut être
orienté vers l’un des trois
II.2. L'activité
médicale
etlechirurgicale
2014
90 000secteurs : ambulatoire (patients relevant essentiellement de la petite 35,0%
32,7% avec nécessité d’hospitalisation) ou « SAUV » (salle d’accueil des
traumatologie),
couché
(pathologies
médicales
édecine d'urgence
Le circuit du patient
admis aux
urgences
a été
revuet/ou psychiatriques
31,2%
31,6%
urgences
vitales).
La
médecine
d'urgence
80
000
29,7%
en 2011 : après l’évaluation initiale du patient par
29%
II.2. L'activité
médicale
chirurgicale
2014
30,0%
e circuit du patient
admis aux urgences
a étéet
revu
en 2011 : après
l’évaluation initiale du patient par l’infirmière organisatrice de
En 2014,
ontrois
dénombre
77:662
passages
aux urgences
dontessentiellement
:
l’infirmière
organisatrice
de
l’accueil,
le
patient
accueil, le patient
peut être orienté
vers
l’un des
secteurs
ambulatoire
(patients
relevant
de la petite
Le circuit du patient admis aux urgences a été revu en 2011 : après 70
l’évaluation
initiale du patient par l’infirmière organisatrice de l’accueil, le
000
- 50 074 aux
urgences
adultes avec
du CHU
Gabrield’hospitalisation)
Montpied,
29% des
lieu à une
La couché
médecine
d'urgence
raumatologie),
(pathologies
médicales
et/ou
psychiatriques
nécessité
ou passages
« SAUV » donnant
(salle d’accueil
des hospitalisation
peut
être
orienté
vers
l’un
des
trois
secteurs
:
patient
peut
être orienté
vers
l’un
des
trois
secteurs
:
ambulatoire
(patients
relevant
de la
petite traumatologie), couché 25,0%
- 27 588 aux urgences pédiatriques du CHU Estaing, 12% des passagesessentiellement
donnant lieu à une
hospitalisation.
urgences vitales).
(pathologies médicales
et/ourelevant
psychiatriques
avec nécessité d’hospitalisation)
ou « SAUV » (salle d’accueil des urgences vitales).
60 000
ambulatoire
(patients
essentiellement
Le circuit du patient admis aux urgences a été revu en 2011 : après l’évaluation20
initiale
27 588
25 763
26 889
24 736 par l’infirmière
294 du patient
n 2014, on de
dénombre
77 662 passages
aux urgences
dont
: être orienté
organisatrice
de
l’accueil,
le
patient
peut
vers
l’un
des
trois
secteurs
:
ambulatoire
(patients relevant
laEn
petite
traumatologie),
couché
(pathologies
2014,
on
dénombre
77
662
passages
aux
urgences
dont
:
20,0%
50 074 aux urgences
adultes du CHU
Montpied, 29% descouché
passages
donnant lieu
à une
50
000 hospitalisation
de Gabriel
la90petite
(pathologies
médicales
et/ou
psychiatriques avec
000 traumatologie),
35,0%nécessité
-essentiellement
50 pédiatriques
074 aux
urgences
adultes
du12%
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Gabriel
Montpied,
29%
des
passages
donnant
17,1%lieu à une hospitalisation
et/ou
psychiatriques
avec
nécessité
27 588 auxmédicales
urgences
du
CHU
Estaing,
passages
donnant
lieu
à
une
hospitalisation.
32,7%
ou « pédiatriques
SAUV » (salle
d’accueil
des urgences
vitales).
-d’hospitalisation)
27 588 aux urgences
du
CHU Estaing,
passages donnant lieu à une hospitalisation.
14,9%
31,2% 12% des31,6%
90 000
80 000
70 000
60 000
50 000
40 000
30 000
20 000
10 000
-
d’hospitalisation) ou « SAUV » (salle d’accueil des
80 000
En 2014,vitales).
on dénombre 77 662 passages aux urgences dont :
urgences
14,0%
40 000
29,7%
29%
15,0%
12,9%
30,0%
12%
- 50 074 aux urgences adultes du CHU Gabriel Montpied, 29%35,0%
des passages
30 000 donnant lieu à une hospitalisation
000
32,7%
- 27 588 aux urgences70pédiatriques
du CHU Estaing, 12% des passages donnant lieu à une hospitalisation.
10,0%
31,2%
31,6%
47 823
44 686
46
468
50 074
49 363
90 000
35,0%
25,0%
20 000
29,7%
32,7%
29%
60 000
30,0%
31,2%
31,6%
27 588
25 763
26 889
5,0%
24
736
20 294
80
90 000
29,7%10 000 35,0% 29%
passages urgences
20,0%
30,0%
32,7% 50 000
pédiatriques
31,2% 17,1%31,6%
25,0%
0,0%
passages urgences
70
80 000
29,7%
14,9%
2011
2012
2013
2014
adultes
30,0% 2010
27 588
14,0%29%
763
26 889
24 736
4025
000
20 294
25,0% 15,0%
12,9% passages urgences
% hospitalisation adultes
20,0%
60
000
70
12%
pédiatriques
27
588
25 763
26 889
24 736
20 29430 000
17,1%
25,0%passages urgences 10,0%
hospitalisation
passages %
urgences
14,9%
2014
SAMU
20,0%
pédiatrie 2013
14,0% 44 686
50
pédiatriques
60 000
4715,0%
823
46 468
49 363 adultes50 074
12,9%
Dossiers
116 734
163 423
27 588 de régulation
25 763
26 889
2017,1%
294 20 00024 736
% hospitalisation adultes
passages urgences adultes
passages
urgences
12%
14,9%
Dossiers de régulation
20,0% effectués pédiatriques
5,0%
14,0%
40
50 000
15,0%
12,9%
% hospitalisation
par
des médecins libéraux
116 734
118 648
17,1% 10 000
10,0%
% hospitalisation adultes
pédiatrie
rémunérés par l'assurance
47 823
44 686
46 468
50 074
49 363
12% maladiepassages urgences
14,9%
adultes
14,0%
30
40 000
15,0%
0,0%
12,9%
Nombre d'appels
370 000 ND pour l'année 2014
% hospitalisation pédiatrie
10,0%
2010
2011
2012
2013
2014 % hospitalisation adultes
5,0%12%
47 823
44 686
46 468
50 074
49 363
20
30 000
SMUR
% hospitalisation
10,0%
Nombre d'interventions
7 132
pédiatrie
5,0%
47 823
44 686
46 468
50 074
49 363
0,0%
10
20 000
2010
2011 SAMU 2012
2013
2014
2013
2014
2010
2011
201
5,0%
Dossiers de régulation
116 734 Sorties
163 terrestres
423
primaires
3
929
3
994
3
84
0,0%
10 000
Sorties terrestres secondaires
2 198
2 111
2 19
2010 de régulation
2011effectués 2012
2013 Sorties terrestres
2014
Dossiers
En 2014, on dénombre 77 662 passages aux
urgences dont :
• 50 074 aux urgences adultes du CHU Gabriel
Montpied, 29% des passages donnant lieu à
une hospitalisation
• 27 588 aux urgences pédiatriques du CHU
Estaing, 12% des passages donnant lieu à une
hospitalisation.
U
-
ers de régulation
par des médecins libéraux
2013
rémunérés par
l'assurance
maladie 1162013
2010
2011
2012
734
2014
2014
163
423
0,0%
116 734 Total118
648 terrestres
Sorties
Sorties aériennes primaires
6 127
6 105
6 03
129
108
103
pour l'année
2014
car il y a eu un 128
changement de
téléphonie (d'ap
Nombre d'appels
370 000 NDSorties
Sorties aériennes
aériennes
secondaires
131
120
ers de régulation effectués
2013
2014
SAMU
Total Sorties aériennes
257
239
223
es médecins libéraux
116 734
118 648
Dossiers de régulation
116 734
163 423
SAMU
nérés par l'assurance maladie SMUR
Total Général
6 384
6 344
6 25
2014
SAMU
Nombre
d'interventions 2013
7 132
Dossiers de régulation
effectués
pour
l'année 2014 car il y a eu un changement de téléphonie (d'apres le Dr Dissait)
re d'appels Dossiers de régulation
370 000 ND163
116
734
423
par des médecins libéraux
116 734
118 648
2010
2011
2012
2013
2014
rémunérés
par
l'assurance
maladie
Dossiers
de
régulation
effectués
R
Sorties
terrestres
primaires
3
929
3
994
3
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4
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5
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par des médecins
116 734 7 132 118 648
re d'interventions
Nombre
d'appels libéraux
370 000
Sorties
terrestres
Sorties terrestres secondaires
2 198
2 111
2 192
2 421
2 701
rémunérés par l'assurance maladie
Nombre d'appels
Sorties SMUR
terrestres
Sorties terrestres primaires
Sorties terrestres
Sorties secondaires
aériennes
Total Sorties terrestres
Total Sorties
terrestres
2010
2011
2012
370
000
3 929
3
994
3
844
Sorties aériennes primaires
2 198
2 111 secondaires
2 192
Sorties aériennes
2010
6 127
6 105
Total Sorties
aériennes 6 036
Sorties
aériennes primaires
129primaires 108
Sorties terrestres
Total Général
2010
Sorties aériennesSorties terrestres
Sorties
Sorties aériennes secondaires
128
131
Sorties
terrestres
secondaires
terrestres
3 929 239
Total Sorties aériennes
257
Total
Sorties terrestres
primaires
Sorties
Sorties terrestres
Général
6 384 2 1986 344
Sorties
aériennes primaires
terrestres
Total
Sorties
6 127
Sorties aériennes
Sorties aériennes secondaires
terrestres
Sorties
129
aériennes
Total
Sorties aériennes
Sorties
Sorties aériennes
128
aériennes
Total Général
Total Sorties
257
aériennes
Total Général
6 384
3 103
929
2011
120
2 198
3 994
223
127
66127
6 259
2 111
129
6 105
128
108
257
131
6 384
239
6 344
6 127
2013
6 1052014
6 036
6 818
7 708
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103
187
154
1282 421
2011
2576 818
131 2 701
2012
239 7 708
120
127
223
2013
314
3 994 6 344 154
3 844 6 259 4 397 7 132
6 384187
2012
2013
2014
127
139
2
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2
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2 421
3 844
4 397
5 007
314
293
818
6 105
66 036
66 818
7 132
8 001
2 192
2 421
2 701
108
103
187
6 036
6 818
7 708
131
120
127
103
187
154
314
239
223
314
120
127
139
6 344
6 259
7 132
223
314
293
6 259
7 132
8 001
2014
139
293
5 007 8 001
2 701
7 708
154
139
293
293
8 001
30
La cancérologie au CHU
La fédération de cancérologie au coeur du CHU de Clermont-Ferrand
La fédération a été mise en place au CHU conformément au Plan cancer, elle coordonne les soins au sein
de l’établissement. Son coordonnateur médical est le Pr Jacques-Olivier Bay, assisté du
Dr Cécile Moluçon-Chabrot et pour la Direction Générale, André Salagnac, Directeur
Général Adjoint du CHU.
Elle regroupe les spécialités suivantes : Ophtalmologie, ORL , Neuro-chirurgie,
Rhumatologie, Pneumologie, Urologie, Hépato-Gastro-Entérologie, Chirurgie Digestive ,
Gynécologie , Pédiatrie , Hématologie Clinique, Dermatologie, Chirurgie Maxillo-Faciale.
A ces spécialités se sont joints les soins de support qui viennent en complément des
soins médicaux traditionnels, à savoir : les consultations douleur (aïgue/chronique), la
nutrition, les assistants sociaux, l’onco gériatrie, l’onco-réadaptation, la psycho-oncologie, l’addictologie, les
soins palliatifs, la socio-esthétique, l’aumônerie.
Se joint également en termes de plateau technique :
• Le Pôle d’Imagerie médicale et de Radiologie interventionnelle (Pr Boyer, Dr Chabrot, Dr Agaicha) :
actions portant sur la contribution au dépistage, diagnostics, bilans d’extension, traitement (radiologie
interventionnelle) et le suivi en oncologie : radio-pédiatrie ou imagerie adulte (neuro-radiologie, imagerie
ORL, thoracique, cardio-vasculaire, musculo-squelettique, uro-néphrologique, abdominale et digestive,
gynécologique et endocrinienne)
• La pharmacie (CHU Gabriel Montpied) avec l’Unité de Préparation des Chimiothérapies (Pharmacien : Dr
Trevis)
Le Comité Patients du CHU a été mis en place en avril 2012. Depuis se déroule une réunion par trimestre.
Ce comité permet aux patients volontaires, à leurs proches, ainsi qu’aux soignants de se rencontrer et de
faire part de leur expérience et suggestions (parcours de santé, traitements…). Il s’agit d’optimiser la prise en
charge de chaque patient. Ce comité est à vocation consultative et son fonctionnement induit une sollicitation
réciproque dans tout nouveau projet.
La fédération
de cancérologie
se réunit
en séance
plénière
une fois
parfois
trimestre.
Elle associe
l’ensemble des
La fédération
de cancérologie
se réunit
en séance
plénière
une
par trimestre.
Elle associe
correspondants
descorrespondants
services membres
de la fédération.
l’ensemble des
des services
membres de la fédération.
Bilan de la fédération de cancérologie en chiffres
Bilan de la Fédération de Cancérologie en chiffres
Eléments d'activité
Nombre de séances de chimiothérapies anticancéreuses
Nombre de nouveaux cas de cancer au CHU (sans antécédents de cancer)
Nombre de réunions RCP*
Nombre de cas de dossiers discutés en RCP*
Nombre de consultations d’annonce
Nombre d’inclusions dans les essais de recherche clinique
Nombre de patients âgés de 75 ans et plus inclus dans les essais cliniques
Nombre de PPS** remis
Nombre de patients ayant bénéficié d’un entretien spécifique avec un
soignant
2013
2014
13 526
3 356
566
8 802
2 191
503
21
1 258
13 925
3 673
599
10 079
1 786
545
67
1 199
924
1145
* RCP : réunion de concertation pluridisciplinaire
** PPSde
: programme
personnalisé de soins
*RCP : réunion
concertation pluridisciplinaire
**PPS : programme personnalisé de soins
2014 en quelques items
•
Le temps d’accompagnement soignant (TAS) :
o écoute, reformulation, information sur la prise en charge, réalisation du traitement,
o orientation vers d'autres professionnels (service social, psychologue ...),
31
Réalisation d’un audit HAS, RCP - Indicateurs IPAQSS
Audit réalisé en juin 2014 à partir de 60 dossiers de 2013 tirés au sort. Ces indicateurs évaluent l’exhaustivité
et les modalités d’organisation de la RCP lors de la prise en charge initiale d’un patient atteint de cancer. En
conclusion, la fiche RCP pour être conforme à ces exigences, doit comporter au moins :
1. l’identité du patient,
2. le titre de « réunion de concertation pluri-disciplinaire »,
3. la date,
4. le nom des médecins participants (au moins 3),
5. la spécialité des médecins participants (au moins 3 différentes),
6. la proposition de prise en charge.
Réalisations 2014 :
• Rapport d’activité de la fédération de cancérologie du CHU
• Plaquette de présentation de la Fédération de cancérologie à destination des patients
• Semaine d’information sur les cancers ayant pour thème « le cancer et l’image de soi, le cancer et la
société»
• Mise en ligne du site de la Fédération de cancérologie
LA
Fédération
Cancérologie
DE
au coeur du CHU de Clermont-Ferrand
Chiffres
clés 2013
m
ble
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e
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lors de la sem
Nombre de séjours pour chirurgie des cancers, par pathologies
2012
2013
2014
Sein
4
13
10
Digestif
396
403
438
Urologie
162
188
188
Thorax
28
27
10
Gynécologie
110
91
91
ORL
205
199
170
Total
905
921
907
32
Dr Cécile CHABROT
La Fédération de cancérologie a été mise en place au CHU en 2011. Elle regroupe l’ensemble des services
du CHU de Clermont Ferrand qui ont à prendre en charge des patients atteints de cancer. Nous avons
depuis 2 ans maintenant, établi un rapport de l’activité de cancérologie sur le CHU ce qui nous permet
de nous mesurer à d’autres établissements.
En 2014, nous avons recensé 3 673 nouveaux cas de cancer pris en charge au CHU. Au cours de cette
même année, ont eu lieu 599 RCP au cours desquelles 10 079 dossiers ont été discutés.
En 2014, nous avons travaillé sur :
• La poursuite du déploiement du temps d’accompagnement soignant (consultation infirmière
après la consultation d’annonce) et du PPS ou programme personnalisé de soins.
• L’amélioration de la traçabilité des données pour obtenir un rapport d’activité de la fédération
plus complet.
• La qualité de nos RCP avec la réalisation d’un audit HAS sur les RCP (exhaustivité et organisation
de la RCP lors de la prise en charge initiale d’un patient atteint de cancer juin 2014).
• La communication :
Création d’un Site Internet pour rendre lisible la cancérologie au CHU, site destiné aux
professionnels et aux patients (mine d’informations) :
http://cancero.chu-clermontferrand.fr/Cancero/Pages/accueil.aspx
Semaine d’information sur les cancers : au cours de laquelle ont eu lieu des conférences
sur cancer et image de soi, le cancer et la société,
Inauguration d’un espace Info Cancer sur Estaing.
• L’amélioration du parcours de soins avec l’aide précieuse du Comité Patients toujours plus actif
et impliqué. [email protected]
Evolution
des
activités
dede
greffes
et et
Evolution
des
activités
greffes
prélèvements
prélèvements
Les prélèvements et transplantations d'organes et de tissus
33
700700prélèvements et transplantations d’organes et de tissus
Les
600
600
des activités de greffes
Évolution
des activités de greffesEvolution
et prélèvements
500
500
400
400
300
300
200
200
100
100
0
0
214
214
700
600
176 500
176
400
122
300
122
167
167
167
167
191
191
214
117
117
167
prélèvements261
210
210
124
124
136
136 167
117
117
136 210
136
119
261
119
261
170
170
et
243
119
243
168
299
243
119
168
124
299
187
119
119
124
2012
2013
2014
299
124
187
191
176
124 2011 117
2009
2010
2012
2013
2014
2009
2010
2011
2012
2013 187 2014
170
168
136
136
122
117
Greffes de moëlle osseuse
Prélèvements
0 Transplantations
Transplantations
Greffes de moëlle osseuse
Prélèvements
2008 200
2008
100
2008
2009
Transplantations
2010
Greffes de moëlle osseuse
Prélèvements - 2014
Prélèvements
- 2014
Prélèvements
- 2014
Cœurs
Prélèvements
- 2014
FoiesCœurs
Cœurs
14
Foies
14 20Foies
14
20
20
Cornées
Cornées
202
202
2011
Reins
Reins
50Reins 50
50
Poumons
Cornées
Poumons 12
202
Poumons
12 Pancréas
12 1
Pancréas
Pancréas
1
1
Prélèvements
Transplantations
Transplantations - 2014- 2014
Transplantations
- 2014
Transplantations - 2014
Cœurs
CœursCœurs
1414Foies
Foies
14 Foies
20
20
20
Cornées
Cornées
98
Cornées
98
98
Reins
55Reins
55 Reins
55
Au cours de l'année 2014, dans le cadre des prélèvements multi-organes, le CHU a également réalisé des
prélèvements de vaisseaux sur 12 donneurs et des prélèvements de valves sur 2 donneurs.
Au cours de l'année 2014, dans le cadre des prélèvements multi-organes, le CHU a également réalisé des
Au cours
de l'année
dans sur
le cadre
des prélèvements
multi-organes,
le CHU
prélèvements
de2014,
vaisseaux
12 donneurs
et des prélèvements
de valves
sura 2également
donneurs. réalisé des
prélèvements
vaisseaux
surdes
12 prélèvements
donneurs et des
prélèvements
de valves
sur 2 donneurs.
Au cours de
l’année 2014,dedans
le cadre
multi-organes,
le CHU
a également
réalisé des
prélèvements de vaisseaux sur 12 donneurs et des prélèvements de valves sur 2 donneurs.
34
5.L’évolution médico-économique
de l’activité
Part des recettes T2A et nombre de séjours par CMD
28,6%
Séances
4,8%
9,2% 21,6%
Affections de l'appareil circulatoire
7,4% 9,9%
Affections du système nerveux
Affections et traumatismes de l'appareil musculosquelettique et du
tissu conjonctif
Grossesses pathologiques, accouchements et affections du postpartum
5,6%
8,4%
5,3% 4,2%
5,1%
Affections du tube digestif
Facteurs influant sur l'état de santé et autres motifs de recours aux
services de santé
2,8%
5,0%
3,6%
Nouveau-nés, prématurés et affections de la période périnatale
3,4%
Affections de l'oeil
Affections de l'appareil respiratoire
6,3%
4,7%
2,4%
5,8%
3,2%
3,0% 1,9%
Affections du sang et des organes hématopoïétiques
2,8%
Affections du rein et des voies urinaires
3,3%
2,6% 2,3%
Affections de l'appareil génital féminin
2,4%
Affections endocriniennes, métaboliques et nutritionnelles
2,3%
2,3% 3,8%
Affections du système hépatobiliaire et du pancréas
Affections des oreilles, du nez, de la gorge, de la bouche et des dents
2,2%
1,9%
Affections de la peau, des tissus souscutanés et des seins
2,0%
1,9%
1,6% 3,9%
Affections myéloprolifératives et tumeurs de siège imprécis ou diffus
Troubles mentaux organiques liés à l'absorption de drogues ou induits
par celles-ci
1,2%
0,4%
Maladies et troubles mentaux
0,9% 0,6%
Affections de l'appareil génital masculin
0,8% 0,7%
Traumatismes, allergies et empoisonnements
0,7%
1,2%
Maladies infectieuses et parasitaires
0,7%
1,3%
Transplantations d'organes
0,2% 3,0%
Traumatismes multiples graves
0,1% 0,5%
0,0%
Brûlures
0,1%
0,0% 0,1%
Maladies dues à une infection par le VIH
0%
Part de l'activité
5%
10%
15%
Part des recettes
20%
25%
30%
35%
40%
Recettes 100% T2A par type de valorisation
Recettes 100% T2A
Année 2011
Valorisation des GHS
Valorisation extrême bas (à déduire)
Année 2012
Année 2013
221 571 673
228 511 880
229 517 902
233 131 442
3 109 897
-3 361 983
-2 776 122
-2 518 203
-15 677
-14 756
5 135 163
4 862 745
-
Valorisation séjours avec rehosp dans
2 597
-4 791
Recettes
même GHM100%
(à déduire)T2A par type de valorisation
Valorisation
journéesmédico-économique
extrême haut
5 de
311l'activité
484
II.4. L'évolution
5 993 670
Recettes 100% T2A par type de valorisation
Valorisation actes d'irradiation
Recettes 100% T2A
Année 2011
Valorisation des
GHSd'aphérèse
Valorisation
actes
372 653
Valorisation extrême bas (à déduire)
Valorisation suppléments antepartum
Valorisation séjours avec rehosp dans même GHM (à déduire)
-
-
Année 2012
35
Année 2014
Année 2013
352
Année 2014
221 488
571 673
815
228554
511 157
880
229 517
902
278
523
3 109 897
-3 361 983
-2 776 122
-2 518 203
-15 677
-14 756
266 738
330 702
2 597
-4 791
430 373
233 131 442
Valorisation suppléments de
Valorisation journées extrême haut
réanimation
16 383 304
165 803
894
311 484
165842
993 705
670
539
638
516135
163
4 862 745
Valorisation
suppléments
de réa
Valorisation actes
d'irradiation
pédiatrique
450 414
1 269 100
757 528
691 907
352
Valorisation suppléments de néonat
sans
SI
Valorisation
suppléments antepartum
372 653
488 815
1 943 488
1 910 972
2 012 744
2 012 163
Valorisation suppléments de néonat
Valorisation suppléments de réanimation
avec SI
1 807 656
16
383 304
1 859
118
16
803 017
894
1 965
16 1842
705
940
975
Valorisation suppléments
de de
réa pédiatrique
Valorisation
suppléments
réanimation néonat
2 919 386
2 566 509
2 372 199
1 943 488
Valorisation actes d'aphérèse
Valorisation suppléments de néonat sans SI
Valorisation
prélévements
d'organe
Valorisation suppléments
de néonat
avec SI
187 037
Valorisation
des actes de
Valorisation suppléments
decaissons
réanimation néonat
hyperbares en sus
-
Valorisation prélévements d'organe
Valorisation suppléments de dialyse
450 414
-
266 738
330 702
278 523
430 373
16 539 638
757 528
691 907
1 910 972
2 012 744
2 012 163
101
1 255
807 656
1175
859 090
118
244
472
1 965
017
1 940 975
2 919
- 386
2 566
- 509
2 372 -199
2 712 653
255 101
175 090
244 472
187 037
1 269 100
554 157
2 712 653
609 750
650 562
732 245
2 106 083
609 750
2 668
397
650 657
562
2 800
Valorisation suppléments
de de
surveillance
Valorisation
suppléments
soins continue validés
5 996 939
intensifs validés
6 642 096
6 445 211
2 668 397
2 800 657
2 984 510
5 996 939
6 642 096
6 445 211
7 542 640
Valorisation des actes de caissons hyperbares en sus
Valorisation suppléments de
Valorisation suppléments de dialyse
surveillance continue validés
Valorisation suppléments de soins intensifs validés
Total valorisation hospitalisation
Total valorisation hospitalisation
256 547 374
-
2 106 083
266 520 079
256 547 374
-
266 849 520
266 520 079
Source ATIH e-PMSI (Tableau 1.V.1.RAV) : valorisation 100% T2A - Activité assurance maladie
666 913
-
245
2732
984
510
7 542 640
271 506 347
266 849 520
666 913
271 506 347
36
Part des recettes 100% T2A par pôle en K€
Part des recettes 100% T2A par pôle en K€
52 408
51 850
POLE SPECIALITES MEDICALES ET CHIRURGICALES
43 021
44 453
POLE CARDIOLOGIE
37 797
38 775
POLE RMND M2O
POLE RHEUNNIRS
34 135
36 497
POLE ARCHIBLOC
34 752
35 269
23 871
25 713
POLE PEDIATRIE
19 698
21 130
POLE GORH
11 922
12 201
POLE RESSOURCES INTERVENTIONNELLES
9 872
9 842
POLE URGENCES
227
369
POLE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MEDICALE
0
10 000
Année 2013
20 000
Année 2014
30 000
40 000
50 000
60 000
3
L’actualité 2014
du CHU
38
1.Les pôles
Les pôles et leurs projets
Pôles cliniques
P
iM
péC
S
ôle
ed Spésialités médicales et
chi
rur
gic
al
es
Pr BAY Chef de pôle
Agnès BARRIER et Mireille BORDAS cadres supérieurs de santé
> Chirurgie digestive et hépatobiliaire Pr PEZET
> Hépato-gastro-entérologie Pr ABERGEL
> Dermatologie Pr D’INCAN
> Hématologie clinique Thérapie cellulaire Pr BAY
> Odontologie Pr ORLIAGUET
> Stomatologie et Chirurgie Maxillo-faciale Pr BARTHÉLÉMY
> Médecine interne Pr RUIVARD
> Centre de soins palliatifs Dr GUASTELLA
• Poursuivre et généraliser l'optimisation de l'activité
de kinésithérapie au sein du pôle
• Consolider les soins de support en cancérologie
• Organiser des consultations contre la douleur en
cancérologie
• Constituer un site intranet
• Fédérer les greffes : renforcer la coordination IDE
et la garde médicale pour les greffes hépatiques
• Structurer la recherche clinique au sein du pôle
• Projet ARIAME : développer la télémédecine en
lien avec le GCS SIMPA pour la médecine interne
• Augmentation de 5 lits HC en hématologie clinique
(par redéploiement de 5 lits de médecine interne)
• Poursuite de l’autonomisation de la neurochirurgie
pédiatrique à l’hôpital ESTAING, intégration
progressive de l’urgence sur le site
• Poursuite de l’accueil de la chirurgie pédiatrique de
spécialité en ORL, individualisation d’une consultation
ORL délocalisée
• Structuration d’une antenne de MPR pédiatrique
• Dépistage de la surdité néonatale à la maternité en
lien avec le pôle GORH
• Consolisation de l’activité du Centre de Ressources et
de Compétences de la Mucoviscidose
• Mise en oeuvre de l’HAD sur la périnatologie.
• Salle d’admission en néonatologie
Gé
ôle CHU - CHT Riom
o-p
t
-En
n
v
ro
Dr BOHATIER Chef de pôle
Michèle DE MACEDO cadre supérieur de santé
> Médecine gérontologique clinique Dr BOHATIER
Soins de Suite et Réadaptation gérontologique
et Court séjour gériatrique
> Long séjour gériatrique Dr BOHATIER
al
Pôle Pédiatrie
Pr LABBÉ Chef de pôle
Brigitte FAVARD cadre supérieur de santé
> Pédiatrie générale multidisciplinaire Pr LABBE
> Réanimation pédiatrique et périnatalogie Pr LABBÉ
> Chirurgie infantile Pr CANAVESE
> Génétique médicale Dr FRANCANNET
> Centre régional de cancérologie et de thérapie cellulaire
pédiatrique Pr KANOLD
> Centre de Biothérapie d’Auvergne Pr KANOLD
> SMUR Urgences pédiatrique Pr LABBÉ
• Prise en charge des personnes âgées présentant des
troubles psycho-comportementaux (PASA / UHR /
UCC)
• Améliorer les procédures d’admission de la filière
gériatrique (RCP, visio-conférence)
• Consolider
la
coordination
gérontologique
(pérennisation du COGERT, développement de la
télémédecine)
• Former les personnels soignants (prise en charge des
urgences vitales, assistants de soins en gérontologie)
• Suivi de l’ac.vité de l’UMG dans le cadre du plan de
traitement de la saturation des urgences 2013/2015
e
ôl
ologie Obstétrique et Repr
ynéc
o du
G
cti
H
R
on
Hu
GO
ma
in
Pr LEMERY Chef de pôle
Florence DERPIROU cadre supérieur de santé
e
P
39
> Gynécologie Pr CANIS
> Obstétrique Pr LEMERY
> Biologie du développement
et de la reproduction humaine Dr JANNY
> Services communs AMP Pr POULY
• Redéfinition du fonctionnement de l’accueil des
femmes enceintes et mineures victimes de violences
• Mise en place d’un conseil de bloc obstétrical en lien
avec le conseil de Bloc
• Prise en charge de la douleur en pelvi-périnéologie
• Mise en place du dépistage de la Surdité néonatale
en lien avec le pôle PEDIATRIE
Pôle RHEUNNIRS
Pr SOUWEINE Chef de pôle
Marie-Claire ARNAUD cadre supérieur de santé
• Evaluation des activités spécifiques : lit
neuromusculaire et echo-endoscopie bronchique
gences - CHT Ri
U - Ur
om
M
A
-En
S
e
Pr SCHMIDT Chef de pôle
va
l
ô
l
P
Patrice EYMERE cadre supérieur de santé
> SAMU-SMUR Dr DISSAIT
> Accueil Urgences Dr PIC
> Porte Dr BILLAULT
> Post Urgences et thérapeutique Pr SCHMIDT
> Psychiatrie d’urgence, addictologie
et médecine pénitentiaire Dr GENESTE
> Urgences CH Riom Pr SCHMIDT
> Néphrologie - Hémodialyse Pr HENG
> Réanimation médicale Pr SOUWEINE
> Urologie Pr BOITEUX
> Pneumologie Pr CAILLAUD
> Endocrinologie Pr TAUVERON
> Nutrition clinique Pr BOIRIE
> Hygiène hospitalière Pr TRAORÉ
> Maladies infectieuses et tropicales Pr BEYTOUT
> Santé, travail et environnement Pr CHAMOUX
• Unité sanitaire en milieu pénitentiaire (USMP) : définition
du projet médical dans le cadre du regroupement des
unités sanitaires sur Riom
• Cellule d’Urgences Médico-Psychologiques (CUMP) :
clarifier les moyens affectés dans le respect de la dotation
MIG allouée
• Urgence Douleur Thoracique : permanence médicale
du service de cardiologie à l’accueil des urgences
• Structurer la PASS
• Renforcer le SAMU dans le cadre de la modélisation
JPE régionale des MIG en lien avec l’interconnexion et
les correspondants des SAMU
• Finalisation et mise en oeuvre des actions du plan de
traitement de la saturation des urgences 2013-2015
Pôle
• Augmenter l’activité du centre du sommeil et de
vidéo de l’EEG
• Mise en place d’une consultation multidisciplinaire
dans le cadre du dépistage de l’ostéoporose
• Mise en service du laser ophtalmo réfractif
• Déployer une activité de recours ORL pédiatrique en
lien avec le pôle PEDIATRIE
• Sortie du patient (HAD, PRADO)
• Structurer l’activité de recherche du pôle en lien
avec la DRCI
RMNDO - CH Enva
l
Pr LEMAIRE Chef de pôle
Claude LYS cadre supérieur de santé
> Rhumatologie Pr SOUBRIER
> MPR CH Clémentel Pr COUDEYRE
> Neurologie - EEG Pr CLAVELOU
> Neurochirurgie Pr LEMAIRE
> CETD Pr ESCHALIER
> ORL Pr GILAIN
> Ophtalmologie Pr CHIAMBARETTA
> Médecine interne Pr AUMAÎTRE
40
hiatrie Enfant - Ad
Psyc
ulte
e
l
Pô
Pr JALENQUES Chef de pôle
Annie FLORENTIN cadre supérieur de santé
•
•
•
•
> Psychiatrie Adulte A
et Psychologie médicale Pr JALENQUES
> Psychiatrie Adulte B Pr LLORCA
> Pédopsychiatrie Dr NOTON-DURAND
> SSR Addictologie CH Clémentel
Equipe mobile de pédopsychiatrie
Réorganisation des liaisons somatiques / psychiatriques
HJ psychiatrie personnes âgées
Centre expert de schizophrénie
urces Interven
t i on
nel
les
esso
PRI R
e
l
Pô
Pô
> Réanimation Pr BAZIN
> Service Commun Pr MAGE
> Bloc Pr MAGE
> Unité de chirurgie ambulatoire
commune Dr SLIM
le
Pr CAMILLERI Chef de pôle
Brigitte CALIMÉ-WATIEZ cadre supérieur de santé
a
le
Pr MAGE Chef de pôle
Christian BOILLE cadre supérieur de santé
ie médicale et ch
iolog
irur
d
r
gic
Ca
> Cardiologie médicale
Pr LUSSON responsable de service coordonnateur
Pr CITRON chef de service
> Chirurgie cardio-vasculaire Pr CAMILLERI
Pôle BLOC ARCHI
Pr RIBAL Chef de pôle
Frédérique MARSON cadre supérieur de santé
> Chirurgie générale à compétence thoracique et vasculaire Pr RIBAL
> Orthopédie, traumatologie, chirurgie plastique et reconstructive Pr BOISGARD
> Médecine du sport et explorations fonctionnelles Pr DUCLOS
> Bloc et Anesthésie-Réanimation Pr SCHOEFFLER
Pôles médico-techniques
médicales et Ana
tom
ie
Pa
th
BM
Pr ESCHALIER Chef de pôle
Marie-Claire POUZADOUX cadre supérieur de
santé
og
ol
> Biochimie et biologie moléculaire Pr SAPIN
> Hématologie biologique Pr BERGER
> Immunologie Dr EVRARD
> Bactériologie Pr BONNET
> Virologie Pr PEIGUE-LAFEUILLE
> Pharmacologie-Toxicologie Pr ESCHALIER
> Anatomie et cytologie pathologiques
CHU Estaing Pr DECHELOTTE
> Anatomie et cytologie pathologiques
CHU Gabriel-Montpied Pr KEMENY
> Cytogénétique médicale Pr VAGO
e
iqu
Pô
le
AP
ie
log
Bio
• Développement de l’activité du centre de prélèvement
d’Estaing
• Autonomisation du service d’immunologie
• Mutualisation des services d’anatomie pathologique
• Structuration de la plateforme de génétique moléculaire
• Prise en charge biologique pluridisciplinaire des patients
suspects d’infection Ebola
• Coordination et évolution de la biologie délocalisée réalisée
sur des appareils à gazométrie
• Développement de nouvelles techniques des différents
secteurs :
- Biochimie : PS100
- Virologie :
* reprise d’examens pour le suivi des patients
immunodéprimés ( Parvovirus B19 et hépatite E
chronique) actuellement sous-traités
* amélioration de la prise en charge des infections
respiratoires sévères en PCR chez les immunodéprimés
* mise en place d’un nouveau marqueur du suivi de
l’infection VIH1 en PCR
• Créa.on de postes médicaux dans le cadre de la procédure
institutionnelle de révision des effectifs (hématologie,
pharmacologie)
Radiologie interv
ent
ie et
r
e
ion
g
a
n
Im
Pr BOYER Chef de pôle
les
el
Pô
le
41
Catherine AIGUEBONNE cadre supérieur de santé
> CHU Estaing Pr GARCIER
> Gabriel-Montpied Radio B Pr BOYER
• Poursuite du développement des techniques de
Radio Interventionnelle non vasculaire
• Concrétisation IMABLOC
• Création d’une astreinte de radiopédiatres séniors
à Estaing
• Télé radiologie (organisation, équipement et
temps médecin spécifiques)
• Structuration des IRM avec sédation anesthésique
à Estaing: majoration du temps d’anesthésiste
réanimateur dédié aux IRM pédiatriques
• Suites données à la visite de conformité en
neuroradiologie interventionnelle
• Autorisations (4ème IRM avec CJP, scanner
urgences,
renouvellement
IRM
Estaing,
renouvellement IRM 3T)
• Projet THEO : organisation et régulation du circuit
de brancardage sur le site GM
• Constitution d’un pôle interhospitalier d’imagerie
et radiologie interventionnelle avec les CH d’Issoire
et de Riom
• Création d’un poste d’ARC AIaché de Recherche
Clinique MEM
• Secrétariat : poursuite de la démarche
d’amélioration
• Poursuite de la restructuration du plateau
technique GM (désamiantage HNA/HNB, patio,
travaux extension 97)
• Proposition d’un nouveau Plan Pluriannuel
d’investissement
• Plateforme de recherche IVIA, en partenariat avec
l’Université
Pôles médico-économiques
Pôle Santé publique
Pôle Pharmacie
Pr GERBAUD Chef de pôle
Pr SAUTOU Chef de pôle
> Epidémiologie, prévention, économie
de la santé Pr GERBAUD
> DIM Dr JOURDY
> Biostatistiques et biomathématiques Pr BOIRIE
> Médecine légale Dr BOYER
> CRIAVS Mme CANALE
> Pharmacie Pr SAUTOU
> Unité de reconstruction centralisée des cytostatiques
> Stérilisation
Pôle de Recherche biomédicale
R
Pôle
echerche biomédic
Pr DUBRAY Chef de pôle
> DRCI André SALAGNAC
> CIC Pr DUBRAY
> CRNH Pr CANO
> CRB Pr BERGER
> IRM 3 Tesla recherche Pr BOYER
ale
42
Interviews
Pr. Didier LEMERY
Chef de pôle
Gynécologie Obstétrique er Reproduction Humaine
L’année 2014 au Pôle GORH a été marquée par une confirmation de l’attrait des familles Clermontoises,
mais aussi Puydômoises et Auvergnates, pour la Maternité du CHU Estaing : nous avons, cette année
encore, battu nos records avec 3894 naissances (3717 en 2013) avec un souci de qualité et d’analyse des
pratiques professionnelles qui nous permet de contenir notre taux de césariennes à 17.8%, ce qui est
très faible pour un CHU mais correspond à un objectif national de santé publique qui est de diminuer
les césariennes inutiles. Cette activité nous situe comme la 21ème plus grosse des 515 maternités
françaises et représente 29,5% des 13 179 naissances des maternités Auvergnates.
Cette évolution nous a amenés à mettre en place, le 1er juin 2014, une astreinte de 2ème ligne d’appel
exceptionnel d’un second médecin sénior.
Sur le plan gynécologique, le fait saillant est l’augmentation, en quantité et en complexité : de l’activité
de cancérologie gynécologique avec 51 RCP correspondant à 257 dossiers (240 en 2013), de l’activité
de chirurgie uro-gynécologique dont les délais d’attente s’allongent et enfin de l’activité de référence en
chirurgie de l’endométriose sévère comme en témoigne l’augmentation des actes associés mobilisant 2
équipes tels les résections digestives et la chirurgie urétérale .
Notre centre de PMA a réalisé 736 FIV (199 grossesses), 378 transferts d’embryons congelés (84
grossesses), 440 inséminations (86 grossesses), 14 dons d’ovocytes (6 grossesses). Parmi toutes
procédures, 58 ont bénéficié du tout nouveau système TimeLapse de surveillance vidéo de croissance
des embryons.
Le Centre Pluridisciplinaire de Diagnostic Prénatal a pris en charge 545 patientes en Concertation
Pluridisciplinaire, réalisé 1554 échographies, 401 prélèvements et 54 traitements in utero et autorisé
135 interruptions médicales de grossesse.
Trois démarches d’APP et d’audit ont été réalisées de même que 9 revues de morbi-mortalité.
Malgré nos 75 400 consultations, la demande reste supérieure à l’offre….
Enfin, l’année 2014 aura aussi été consacrée à la préparation du rapprochement et de la fusion avec le
Pôle de Pédiatrie, programmée pour juillet 2015.
43
Pr. Louis BOYER
Chef de pôle
Imagerie et radiologie interventionnelle
« Une année marquée par d’importants travaux »
Quels ont été les temps forts en 2014 au niveau de la restructuration du plateau technique d’imagerie du
CHU ?
En ce qui concerne le CHU Estaing, nous avons enregistré une évolution médicale très importante avec
la concrétisation de notre demande de reconnaissance d’une astreinte de radio-pédiatres seniors :
dorénavant, il est possible de disposer d’un avis radiologique spécialisé en radio-pédiatrie 7j/7 , 24h/24.
Il a fallu depuis 3 ans, en parallèle aux travaux sur le Gabriel Montpied (cf. supra), assurer le bon
fonctionnement du service dans des conditions provisoires ; nous avons pu néanmoins constater une
croissance de l’activité entre 2013 et 2014 à GM : en termes de passages pour l’IRM et le scanner X,
respectivement +5,4 % et + 9,2 % ; pour la radiologie interventionnelle, la progression a atteint + 8,2 %.
L’année 2014 a été aussi marquée en radiologie par la promotion du Dr Pascal Chabrot au grade de
PU-PH (Professeur des Universités-Praticien Hospitalier).
On imagine que vos équipes ont dû s’adapter aux contraintes générées par les travaux, n’est-ce pas ?
Effectivement, les équipes du pole ont dû s’adapter pour assurer le maintien de la qualité des soins :
l’implication de tous doit être saluée ! Le déroulement de ces opérations nous a aussi permis d’apprécier
l’efficacité de l’ensemble des équipes techniques de l’hôpital : le résultat architectural sera de qualité,
dans les délais prévus, alors que la radiologie a pu fonctionner sans discontinuité.
En parallèle durant cette période, les liens et la synergie fonctionnelle avec les services de radiologie des
Centres Hospitaliers de Riom et d’Issoire se sont encore renforcés, amenant la Direction commune de
notre CHU et de ces hôpitaux à la constitution d’un pôle inter-hospitalier de radiologie, qui s’appuie sur
une logique hospitalo-universitaire de qualité des soins et des enseignements, en mettant en commun
nos forces et nos compétences .
44
Pr. Valerie SAUTOU
Chef de Pôle
Pharmacie
« L’année 2014 a été particulièrement chargée pour l’équipe pharmaceutique. La pharmacie a été au
cœur de grands chantiers visant à optimiser la gestion des médicaments et des dispositifs médicaux
« sous l’œil » de l’Anap / Copermo, et à sécuriser la prise en charge médicamenteuse du patient pour
laquelle la HAS avait émis une réserve majeure lors de la certification V2010.
Préparateurs, OP, logisticien, pharmaciens se sont mobilisés sans relâche pour assurer le déploiement du
plein/vide dans les unités de soins à la cadence d’un service déployé tous les 15 jours, pour réorganiser
les stocks de médicaments et dispositifs médicaux au sein de la pharmacie et préparer le plein/vide
dispositifs médicaux au bloc central GM. Au-delà de la gestion des stocks, l’équipe a poursuivi le
développement de la pharmacie clinique : informatisation et analyse pharmaceutique des prescriptions,
conciliation médicamenteuse, éducation thérapeutique, … le pharmacien sort de plus en plus de son
apothicairerie!
En tant que pharmacien, je suis persuadée que cette démarche contribuera à améliorer la sécurité de
la prise en charge médicamenteuse, d’autant que le travail collaboratif avec les équipes médicales et
soignantes porte déjà ses fruits.
Notre plateau technique a également connu une importante évolution en 2014 avec la prise en charge
de la stérilisation du matériel du service d’odontologie. Cette activité nouvelle a demandé aux agents
une grande capacité d’adaptation. L’activité de l’unité de production des préparations pharmaceutiques
a également été soutenue en 2014 avec, entre autre, plus de 30 000 chimiothérapies anticancéreuses
fabriquées, et le développement de la sous-traitance pour d’autres établissements notamment de
préparations ophtalmiques. Les préparations pour essais cliniques ont nettement augmenté cette année.
Sur ce dernier point, il n’est pas toujours possible de répondre à la demande, souvent pour des raisons
techniques ou de locaux non-conformes aux exigences des promoteurs mais les choses progressent.
Voici en quelques lignes les faits marquants de l’année 2014. Ces grandes missions ont été menées grâce
au dynamisme et à la cohésion de l’équipe. Les porteurs de projet ont été particulièrement moteurs
secondés par le reste de l’équipe qui assurait le quotidien.
En conclusion une année très productive pour la pharmacie ! »
2.Les temps forts 2014
Cellule de régulation des lits
Mise en place de la cellule de régulation des lits, outil de gestion des lits à
l’hôpital, s’organisant sur deux niveaux : l’activité opérationnelle et l’activité
d’analyse.
La cellule opérationnelle de régulation des lits participe à l’hébergement des
patients dans les services d’aval de médecine et de chirurgie et assure le relevé
de différentes données, comme l’activité des urgences, la disponibilité en lits,
les séjours longs…
Cette cellule rend compte à la cellule de régulation des lits qui fait le bilan
des journées précédentes, évalue et propose si besoin des améliorations au
dispositif, suit et analyse les séjours longs.
Centre de soins dentaires
L’ouverture des portes du nouveau complexe odontologique,
en janvier 2014, constitue l’aboutissement du projet immobilier
du CHU Estaing, commencé en mars 2010 par le transfert des
services auparavant situés à l’Hôtel‐Dieu. Ce projet, partagé
par le CHU de Clermont-Ferrand et l’Université d’Auvergne, est
une composante majeure du CHU et de sa mission hospitalouniversitaire.
Pensée par Gazeau Architectes, la nouvelle structure est
composée de deux bâtiments, l’un dédié au service hospitalier
et l’autre à la faculté dentaire.
Le service d’Odontologie, placé sous la responsabilité du Pr
Thierry Orliaguet, répond à trois missions : les soins, l’enseignement et la recherche.
45
46
Validation de la feuille de route ANAP – plan d’actions performance
Le COPERMO du 28 janvier 2014 a validé la feuille de route ANAP
présentée par l’ARS, l’ANAP et le CHU de Clermont-Ferrand.
4 chantiers sont mis en œuvre :
• gestion des lits (schéma capacitaire, durée des séjours et
chirurgie ambulatoire),
• blocs opératoires,
• circuit du médicament et dispositifs médicaux
• facturation – recouvrement.
En cours d’année, ce projet ANAP a été rapproché de l’ensemble des
projets du Contrat de Retour aux Equilibres Financiers pour aboutir à un
plan d’actions global et mieux coordonner l’ensemble de ces projets
L’ERERA sur les fonts baptismaux
Conformément à l’arrêté de 2012, un espace de réflexion éthique
régional Auvergne (ERERA) a été créé le 27 mai 2014 sous l’égide de
l’Agence régionale de santé. Il rassemble plusieurs membres fondateurs
parmi lesquels le CHU, la Fédération hospitalière d’Auvergne, les
Universités d’Auvergne et Blaise Pascal, l’Ecole supérieure de Chimie,
l’IFMA ou encore la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide
à la personne…
Lieu de rencontres et d’échanges interdisciplinaires, l’ERERA a pour but
d’améliorer les connaissances et la réflexion sur l’éthique de la santé. Il
a vocation à promouvoir l’information et la consultation des citoyens, à
apporter un soutien méthodologique, logistique et documentaire aux
professionnels et aux étudiants.
Le protocole d’accord pour la vente de l’Hôtel-Dieu signé
Soumis au Conseil de surveillance du CHU le 12 décembre,
lequel a donné un avis favorable à l’unanimité, puis
au Conseil municipal le 19 décembre (35 voix pour, 19
contre), le protocole d’accord portant sur la vente de
l’Hôtel-Dieu a finalement été signé le 23 décembre à
l’Hôtel de ville de Clermont-Ferrand.
Cet accord important, conclu entre le CHU, la ville et les
trois représentants de la « SCI Hôtel-Dieu », garantit la
vente de l’ancien hôpital au prix de 25 millions d’€ net
vendeur. Alain Meunier, Directeur général du CHU, n’a
pas caché qu’il s’agissait d’une avancée très importante
qui va conditionner la fin du désamiantage mais aussi la
reconstruction du site Gabriel-Montpied dans le cadre du
projet « GM3 ».
47
Inauguration du cytomètre trieur de cellules haute performance
La plateforme de cytométrie en flux du CHU de Clermont-Ferrand, situé
au service d’hématologie biologique au CHU Estaing, a fait l’acquisition en
2014 d’un automate analyseur/trieur de dernière génération (FACSAria
SORP 5 lasers, Becton Dickinson), financé par le CHU de Clermont‐Ferrand,
la Région Auvergne, la Fondation ARC et le FEDER.
La cytométrie en flux permet de trier les cellules en fonction des
molécules exprimées à leur surface, qui représentent une sorte de carte
d’identité. Cet appareil tri aussi les molécules avec un taux supérieur à
99% de pureté, grâce aux dernières générations qui l’animent.
Les cellules vont défiler une par une devant des lasers, grâce à un flux liquidien. Ce tri de cellules très pures
est fondamental pour l’analyse des chercheurs, dans le but de comprendre comment une population de
cellules fonctionne.
Contrat unique en recherche
Inscrite dans le contrat stratégique de filière Industries et Technologie
de Santé signé en juillet 2013, la mise en place du contrat unique
pour les recherches biomédicales à promotion industrielle dans les
établissements de santé publics, mesure jugée prioritaire par le
Ministère, a été officialisée par la signature le 17 juin 2014 d’une
instruction du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé.
L’objectif étant de simplifier et raccourcir les procédures de mise en
place des essais industriels au sein des établissements publics de
santé pour notamment renforcer l’attractivité des hôpitaux français,
et permettre à davantage de patients d’accéder aux dernières
innovations thérapeutiques.
La mise en application au CHU de Clermont-Ferrand a été immédiate pour tous les nouveaux essais déclarés
à la DRCI à partir de la date de l’instruction.
Inauguration d’un «bar à vins»
Depuis septembre 2014, le vin a fait son entrée au Centre de soins palliatifs,
faisant ainsi du CHU de Clermont‐ Ferrand un précurseur au niveau national.
Après 12 années d’exercice, la question du comment prendre soin et améliorer
la qualité du temps de vie qui reste demeure essentielle pour le Dr Virginie
Guastella, chef de service du Centre de Soins Palliatifs et porteuse du projet.
Pour le Dr Guastella, ce bar à vins est « une autre façon de penser le prendre
soin de l’autre ».
Ce projet a aussi donné lieu à une formation sur la symbolique des vins réalisée
par Catherine Legrand-Sebille (socio anthropologue, enseignant chercheur
à l’Université de Lille) auprès du personnel soignant et des bénévoles
d’accompagnement du CSP.
Les premières bouteilles sont arrivées très vite dans la cave à vins de 200 litres
l’automne dernier, à travers des dons généreux de vignerons mais aussi de
familles des patients.
48
Revue de contrat CPOM
En octobre 2014 a eu lieu, la rencontre entre l’ARS et le CHU de Clermont-Ferrand, afin de réaliser l’évaluation
annuelle du contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM) signé avec l’ARS Auvergne pour échanger
notamment sur quatre principaux points formant l’ordre du jour :
- l’organisation de l’offre de soins avec notamment le développement des alternatives à l’hospitalisation
complète, la mise en œuvre du plan régional sur les urgences, la mise en place de l’interconnexion des SAMU,
la convention de prestation de services des SDIS au fonctionnement des SMUR,…
- les programmes d’investissements avec les projets immobiliers et le système d’information,
- la gestion financière avec la comptabilité analytique, la certification des comptes, FIDES, le Contrat de
retour aux équilibres financiers,
- l’efficience avec le programme PHARE et le suivi des effectifs dans le cadre du COPERMO.
PHRC National 2014
Dans le cadre de la campagne 2014 des PHRC Nationaux, deux
projets clermontois ont été retenus et acceptés à financement :
• Pr Durif (neurologie) : évaluation de l’effet d’injection de toxine
botulinique dans le traitement du tremblement du chef par une
étude multicentrique, contrôlée randomisée en double aveugle
versus placebo.
Montant accordé : 513 958 €
• Pr Futier (Anesthésie-Réanimation) : antibioprophylaxie
combinée orale et intraveineuse pour la prévention des
infections du site opératoire en chirurgie colorectale élective :
étude prospective, randomisée, contrôlée, multicentrique en
double aveugle.
Montant accordé : 811 881 €
IMABLOC – extension du plateau technique de radiologie
Concernant le plateau technique de radiologie du site Gabriel
Montpied, l’année 2014, a été marquée par d’importants travaux,
qui avaient en fait débuté en 2013, et se poursuivront jusqu’
à l’automne 2015. Ces travaux s’articulent autour de trois axes
principaux :
• l’achèvement de la mise en place d’ « Imabloc » (secteur
interventionnel),
• le désamiantage des ailes HNA et HNB (avec au final la
réinstallation du secteur échographie et de l’accueil des patients/
bureau des entrées),
• la construction dans le patio d’un bâtiment à 3 niveaux :
- le 1er étage sera dévolu aux IRM (qui seront enfin à l’intérieur
même du bâtiment de GM, rendant possible leur accès en urgence
et pour les patients réanimés),
- le rez-de-chaussée, destiné à l’installation d’un scanner qui sera préférentiellement utilisé pour explorer les
patients des services d’Urgences et de Réanimation,
- le niveau inférieur, qui abritera des vestiaires neufs pour les personnels.
4
Le CHU : pivot de
la coopération
régionale
50
1.Stratégie du CHU en matière de
communication interhospitalière
Au cours de l’année 2014, le CHU de Clermont-Ferrand a renforcé son engagement dans les coopérations
territoriales et régionales.
IV. Le CHU : pivot de la coopération régionale
Cet engagement est le fruit d’une volonté stratégique actée dans le projet d‘établissement qui consiste à
soutenir les activités de soins dans les établissements publics de la région, pour mieux se consacrer à l’accueil
1. Stratégie du CHU en matière de coopération interhospitalière
de patients nécessitant soins les plus lourds et au développement des activités de recours.
Le CHU assure
une mission
d’appui audans
maintien
de l’activité
centres hospitaliers
du G6
Le hospitaliers
Les coopérations
régionales
s’inscrivent
le cadre
du G6dans
quiles
regroupe
l’ensemble
des(Aurillac,
centres
Puy-en-Velay,
Montluçon,
Moulins,
et
Vichy)
au
regard
notamment
du
dispositif
des
assistants
partagés
et
de
généraux de la région et le CHU. Essentiellement médicales ces coopérations s’articulent sur des conventions
de mise à disposition.
simples deconventions
mise à disposition
de compétences et favorisent le recrutement de praticiens en exercice partagé.
En soutenant les plateaux des établissements publics de la région, le CHU peut en effet se concentrer sur son
Cet apportcœur
de compétences
médicales au bénéfice des plateaux techniques de proximité participe au rayonnement
de métier et ainsi accueillir les patients qui nécessitent les soins les plus lourds, tout en facilitant la
du CHU et contribue
à assurer
un maillage
et une graduation
de l’offre
de soins
duau
territoire
auvergnat
en conformité
mutation des
établissements
périphériques
qui doivent prioriser
leurs
activités
vu de leurs
ressources
avec les orientations
duleurs
SROS-PRS.
Toutes
formes
de partenariat
envisageables
: consultations
médicales et de
moyens, dans
un souci
de qualité
et de sécurité,sont
en veillant
à garantir à leurs
populations avancées,
postes partagés,
mise
en
place
de
protocole
commun,
fédération
médicale
inter-hospitalière…
un accès continu et coordonné à l’ensemble des soins.
Cet apport de compétences au bénéfice de plateaux techniques « de proximité » participe au rayonnement du
CHU et contribue à assurer un maillage et une gradation de l’offre au sein du territoire auvergnat, en pleine
conformité avec les orientations du SROS-PRS. Il peut s’exprimer sous forme de consultations avancées, de
postes de praticiens ou d’assistants partagés, de la mise en place de protocoles communs, de fédérations
médicales inter établissements, de GCS de moyens, de projets de territoire, ayant vocation pour ces derniers
à enrichir les projets de territoire de santé élaborés par l’agence, bassin de santé par bassin de santé.
2.Les différentes formes de
partenariats
2. Les différentes formes de partenariats
Les conventions
de mise
disposition
de temps
médical
Les conventions
de mise à
à disposition
de temps médical
(autres qu’assistants
partagés)
CHT
PERSONNEL
MÉDICAL DU
CHU MIS À
DISPOSITION
D’UN
ÉTABLISSEMENT
EXTÉRIEUR
G6
AUTRES
Etablissements
Nombre de conventions
ETP
CH RIOM
CH ISSOIRE
CH CLEMENTEL
CH BILLOM
CH LE MONT DORE
SOUS-TOTAL
CH AURILLAC
CH MOULINS
CH VICHY
CH LE PUY
CH MONTLUCON
SOUS-TOTAL
AUTRES ETABLISSEMENTS
CENTRE JEAN PERRIN
CH BRIOUDE
CMI ROMAGNAT
ARS
CH ST FLOUR
CH THIERS
ADAPEI
SOUS-TOTAL
10
5
2
2
1
20
6
5
4
4
4
23
107
19
5
4
4
3
3
3
148
7,6
1,4
0,5
0,5
0,5
10,5
1,6
0,4
à la demande
0,28
1,5
3,78
11,97
8,9
1,52
0,1
1
0,3
0,2
0,2
24,19
TOTAL (hors assistants
spécialistes partagés)
191
(dont 46 pour l'équipe mobile
de soins palliatifs)
Assistants spécialistes
partagés
11
5,85
TOTAL GÉNÉRAL
202
44,32
38,47
51
Répartition régionale des postes d’assistants spécialistes partagés
Répartition régionale des postes d’assistants partagés
Financement - nombre de postes
2011-2013
2012-2014
2013-2015 2014-2016
Spécialités
Etablissements
partenaires
Anesthésie - réanimation
Fédération médicale
interhospitalière
Biochimie et biologie
moléculaire
CH Mont-Dore
1
CH Puy-en-Velay
1
CH Aurillac
1
Cardiologie
CH Vichy
Chirurgie maxillo-faciale
3
1
1
CH Aurillac
1
1
CH Vichy
Chirurgie vasculaire
CH Issoire
1
CHU Clermont-Ferrand
1
Dermatologie
CH Vichy
Endocrinologie
CH Thiers
1
Gériatrie
CH Montluçon
1
Hématologie biologique
CH Aurillac
Médecine du travail
CH Brioude
1
CH Saint-Flour
1
1
1
Médecine interne
CH Moulins
1
CH Brioude
1
Neurologie
CH Puy-en-Velay
1
CH Thiers
Ophtalmologie
CH Vichy
1
ORL
CH Riom
1
CH Riom puis Montluçon
1
Orthopédie
1
1
CH Vichy
Nutrition
CH Riom
1
1
CH Issoire
Psychiatrie
CH Clémentel
Radiologie
FMI Issoire
Réanimation médicale
CH Vichy
Rhumatologie
CH Puy-en-Velay
CH Montluçon
Urgences
1
1
1
TOTAL
1
1
1
1
1
2
CH Riom
Urologie
1
2
21
1
2
1
CH Aurillac
2
CH Issoire
1
12
10
13
12
11
15
52
3.La communauté hospitalière
de territoire
ϯ͘>ĂĐŽŵŵƵŶĂƵƚĠŚŽƐƉŝƚĂůŝğƌĞĚĞƚĞƌƌŝƚŽŝƌĞ
ŽŵŵƵŶĂƵƚĠ ,ŽƐƉŝƚĂůŝğƌĞ ĚĞ dĞƌƌŝƚŽŝƌĞ 
 ƵŶƉƌŽũĞƚĚĞƚĞƌƌŝƚŽŝƌĞƉĂƌƚĂŐĠƐ͛ĂƉƉƵLJĂŶƚƐƵƌƵŶƉƌŽũĞƚ
Le CHU est l’établissement porteur de la Communauté hospitalière du Grand Clermont constituée en 2011
avec les centres hospitaliers de RIOM, ISSOIRE, CLEMENTEL, LE MONT DORE et BILLOM.
L’axe stratégique autour duquel s’articule le projet de territoire partagé, vise à maintenir une activité
MCO de proximité au sein des établissements de la CHT dans le respect strict de la réglementation et de
l’équilibre financier. Le référencement des activités au CHU conduit dans cette logique au développement
des conventions de mise à disposition (202 à ce jour), la mise en place de postes partagés et l’organisation
de consultations avancées.
Au-delà des activités purement médicales, la mutualisation des fonctions support s’avère indispensable pour
assurer une meilleure cohérence de nos organisations et en assurer la pérennité.
L’exemple des fédérations inter-établissement mise en place en Anesthésie Réanimation et Imagerie médicale
doit être repris pour l’organisation de filières de soins en médecine et chirurgie.
4.Le renforcement de la
collaboration avec le
Service de Santé des Armées
En 2014 un accord-cadre définissant les modalités de coopération entre le CHU de Clermont-Ferrand et les
Centres Médicaux des Armées (CMA) dépendants du Service de Santé des Armées de Lyon a été signé. Cette
coopération, qui s’intègre dans le cadre du « Projet de Service de Santé des Armées 2020 », a pour objectif de
définir des projets médicaux complémentaires pour construire une stratégie répondant aux besoins de santé
du territoire des régions Rhône-Alpes et Auvergne et à la mission de soutien sanitaire des forces armées. Cet
53
accord-cadre vise à renforcer la collaboration entre les CMA et le CHU de Clermont-Ferrand qui existe depuis
2012 par le biais de la participation de personnel des CMA aux activités de médecine d’urgence du CHU.
Il prévoit en outre des coopérations concernant la formation, la mutualisation de compétences et de moyens
dans le cadre d’exercices communs et la promotion de la politique de réserve du Service de Santé des Armées.
5.Partenariat avec le CLCC
Centre Jean Perrin
Depuis 2006 le partenariat avec le CLCC Centre Jean Perrin s’inscrit dans le cadre d’un Groupement de
Coopération Sanitaire intitulé Institut Régional Universitaire du Cancer en Auvergne (IRUCA).
De nombreuses collaborations médicales ont été mises en place dans le cadre de l’IRUCA :
•
•
•
•
réanimation commune
transfert activité chirurgie thoracique
regroupement hématologie clinique
imagerie médicale
Sur l’année 2014, la création d’une plateforme de génétique moléculaire de haute technologie a prioritairement
mobilisé les gouvernances des deux établissements.
Cette plate-forme sera située au 6ème étage du bâtiment de biologie (Gabriel Montpied) et sera équipée de
matériels de dernière génération (séquenceurs hauts débits) permettant de recourir à des analyses massives
parallèles de gènes.
La plate-forme pourra être utilisée pour différentes applications :
• génétique somatique des tumeurs cancéreuses,
• génétique constitutionnelle de l’individu dans le cadre d’une médecine prédictive du risque
de maladie aboutissant à des mesures de dépistage et de prévention (on repère les sujets
non malades mais à très haut risque d’être malade un jour et on met en place des mesures de
prévention pour leur éviter d’être malade),
• dépistage prénatal Non-Invasif pour le diagnostic ainsi que pour la recherche translationnelle.
L’Intérêt pour les patients est de passer à une médecine personnalisée pour le traitement des cancers, en
passant par des phases de séquençage haut débit (séquenceurs NGS), haute innovation technologique.
54
5
L’activité de
recherche et
d’enseignement
56
1.Enseignement et formation
La formation délivrée par les instituts et écoles paramédicales du CHU
Les instituts sont gérés par le CHU de Clermont-Ferrand, en partenariat avec le Conseil Régional d’Auvergne
qui en assure le financement depuis 2005, aux côtés des établissements de santé employeurs qui paient les
frais pédagogiques de leurs personnels en formation continue.
Les entreprises peuvent contribuer à la formation des futurs professionnels en versant leur taxe
d’apprentissage aux instituts délivrant une formation initiale : Institut de Formation d’Ambulanciers, Institut
de Formation d’Auxiliaires de Puériculture, Institut de Formation d’Aides Soignants, Institut de Formation en
Soins Infirmiers, Institut de Formation de Manipulateurs d’Electroradiologie Médicale, Ecole
de Puéricultrices(teurs), Ecole de Sages Femmes (Maïeutique).
Les dix écoles et instituts de formation comptaient 981 élèves/étudiants pour la rentrée 2013/2014 ; 404
ont obtenus leur diplôme en 2014.
L’année 2014 a été marquée par la mise en place, par le Conseil Régional d’Auvergne, de groupes de travail
thématiques par formation dans le cadre du renouvellement des arrêtés d’autorisation.
Les écoles et instituts ont participé activement à ces réunions.
Répartition des 946 élèves et étudiants dans les instituts de formation du CHU
à la rentrée 2014/2015
Institut de Formation
d'Ambulanciers
48
Institut de Formation
des Aides Soignants
113
Ecole de Sages
Femmes
Ecole d'Infirmiers de
118
Bloc Opératoire
14
Institut de
Formation de
Manipulateurs
d'Electroradiologie
Médicale
88
Institut de Formation
de Cadres de Santé
14
Institut de
Formation en
Soins Infrmiers
474
Ecole d'Infirmiers
Anesthésistes
26
Ecole de
Puéricultrices(teurs)
22
Institut de Formation
d'Auxiliaires de
Puériculture
29
57
La formation continue des non-médicaux et des sages-femmes
3398 personnels non médicaux et sages-femmes du CHU ont suivi au moins une action de formation en
2014, soit 54,6 % de l’effectif (effectif pris au 31/12/2014).
Répartition des départs en formation des personnels non médicaux et sages-femmes
ayant suivi des actions de formation continue en 2014
Autres
3%
Techniques
et ouvriers
11%
Direction et
Admin.
12%
Médicotechniques
6%
Soignants
68%
La formation continue du personnel non médical et des sages-femmes a représenté 218 426 heures en 2014
(stable par rapport à 2013).
Le budget cotisé, représentant la somme des contributions au titre des 2,1% + 0,2% + 0,6%, à la formation
continue des personnels non-médicaux et des sages-femmes, s’est élevé en 2014 à 4 976 667 euros.
Répartition du temps de formation continue pour
des personnels non-médicaux et es sages-femmes au CHU en 2014
Durée de
Formation HORS
ETUDES
PROMOTIONNELL
ES
103 692heures
Durée de
Formation
cumulée en
ETUDES
PROMOTIONNELL
ES
114 734heures
Obligation de Développement Professionnel Continu des non-médicaux et des sages-femmes
Nombre de non-médicaux et de sages-femmes du CHU de Clermont-Ferrand ayant rempli leur obligation de
DPC sur 2014 : 1 189 agents.
58
Le Développement Professionnel Continu Médical
Le développement professionnel continu (DPC) a pour objectif l’évaluation des pratiques professionnelles, le
perfectionnement des connaissances, l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, ainsi que la prise
en compte des priorités de santé publique et la maîtrise médicalisée des dépenses de santé.
L’obligation de DPC s’est imposée à tous les professionnels de santé à compter de l’année 2013
L’obligation de DPC est remplie en réalisant un programme de DPC qu’il le soit avec ou sans prise en charge
financière par le CHU.
Un programme de DPC doit être conforme à une orientation nationale ou régionale de DPC, comporter des
méthodes et des modalités validées par la HAS et être mis en œuvre par un organisme de DPC enregistré
auprès de l’OGDPC.
Un programme de DPC comporte obligatoirement une partie cognitive ET une démarche d’analyse des
pratiques professionnelles.
PROGRAMME DE DPC
+
APPROCHE COGNITIVE
DU, congrès en France, congrès
à l’étranger, master, formation
technique, lecture d’articles, revue
bibliographique
ANALYSE DES PRATIQUES
PROFESSIONNELLES
RCP,RMM, CREX,REMED, revues de
pertinence, registres ...
La commission du Développement Professionnel Continu Médical est une sous-commission de la Commission
Médicale d’Établissement, qui s’est réunie à 5 reprises au cours de l’année 2014.
Le budget consacré au développement professionnel continu s’est élevé à 151 980 € en 2014 (soit 14 %
d’augmentation par rapport au budget 2013).
En 2014, 204 praticiens ont bénéficié d’une prise en charge financière partielle ou intégrale d’une action
de formation au titre de la Formation Médicale Continue, parmi lesquels les praticiens hospitaliers ont été
majoritaires (45% des praticiens).
Évolution des différents types de formation (% par rapport au budget total utilisé)
Évolution des différents types de formation
50%
44%
45%
40%
40%
38%
35%
30%
28% 27%
25%
20%
15%
10%
5%
0%
42%
23%
23%
18%
16%
13%
14% 15%
12%
6%
6%
5%
2%
14%
1% 0%
0%
1%
2% 2%
8%
0% 0%
Le nombre des formations techniques et des journées et congrès a considérablement augmenté.
2014
2013
2012
2011
59
Le nombre des formations techniques et des journées et congrès a considérablement augmenté.
Le pourcentage du budget dédié aux formations diplômantes diminue en raison d’un changement de
procédure comptable induit par l’adhésion à l’ANFH, (les actions se terminant en juin 2014 ont été payées
sur le budget 2013, et celles qui commençaient fin 2014 ont été réglées au prorata du temps de formation
de l’année en cours).
Profil des praticiens ayant participé à une action de formation
407 praticiens du CHU (soit 34 % d’augmentation) pour 678 départs en congé formation.
Évolution 2011/2014 en nombre de praticiens
Evolution 2011/2014 en nombre de praticiens
200
180
160
140
120
100
80
60
40
20
0
PU-PH
MCU-PH
CCU-AH
PH
Praticiens sous contrat
2011
2012
2013
2014
Répartition par statut des praticiens ayant bénéficié d’une prise en charge
financière d’une formation en 2014
Pourcentage du budget utilisé par statut
PU-PH
17,67%
CONTRACTUELS
21,56%
CCU-AH
9,09%
PH
44,83%
MCU PH
6,84%
100% des demandes ont obtenu un avis favorable de la Commission DPC. Les demandes des Praticiens
Hospitaliers représentent un fort pourcentage des prises en charge (45 %), les praticiens contractuels suivent
ensuite (21%).
Près de 23 % des praticiens du CHU de Clermont-Ferrand ont ainsi bénéficié d’une prise en charge financière
du CHU au titre du DPC en 2014.
60
Le Centre de formation des professionnels de santé – CFPS
En 2014, le Centre de Formation des Professionnels de Santé (CFPS) - organisme de formation du CHU de
Clermont-Ferrand - a mis en place 306 sessions de formation (soit 5 315 heures de formation) réparties
comme suit :
• 102 INTER* (33.5% des sessions de formations)
• 182 INTRA* (59.5% des sessions de formations)
• 17 préparations concours et formations d’adaptation à l’emploi (5.5% des sessions de formations)
• 5 colloques
Le CFPS a formé 3 681 professionnels issus d’établissements publics, privés, en activité libérale ou inscrits
à titre individuel.
Plus de 248 formateurs occasionnels, dont plus de la moitié sont des professionnels médicaux ou non du
CHU, ont assuré les actions mises en place par l’organisme.
*INTER = formations destinées à un public originaire de plusieurs établissements.
INTRA = formations destinées aux agents d’une même structure
Origine des personnes formées par le CFPS en 2014
Etablissement
privés
17,50%
Etablissement
publics
43%
CHU Clermont-Fd
37%
Particuliers
2,50%
61
2.La recherche
Le rapport d’activité illustre chaque année l’engagement des équipes de professionnels de l’établissement,
à ce titre les données relatives aux activités recherche sont significatives de la dynamique de recherche
soutenue par l’établissement.
Les résultats d’ensemble de la recherche, que traduisent la réussite aux appels à projets nationaux et interrégionaux (PHRC) les indicateurs SIGREC sur le nombre d’essais et inclusions réalisés au cours de l’année,
sont satisfaisants. Toutefois dans ce domaine où l’excellence scientifique prime il est nécessaire d’atténuer ce
bilan positif au travers de deux constats.
L’acquisition du logiciel EASYDORE ® : un outil unique pour la gestion quotidienne des budgets et
Tout d’abord l’année 2014 restera marquée par notre manque de réussite à l’appel à projet de labellisation FHU
des projets de recherche
(fédération hospitalo-universitaires) organisé par le GCS HOURRA dans l’inter-région. Nos projets jugés bons
Le lalancement
de n’était
l’appel d’offres
en 2013seront
pour retravaillés
l’acquisition dans
d’un logiciel
de gestion
administrative,
mais dont
maturation
pas suffisante
la perspective
d’une
deuxième vague
réglementaire
et budgétaire
des projets
et notre
programmes
de recherche
s’est
inscrit dans le universitaire.
cadre des
de labellisation.
Cet objectif
est important
pour
établissement
et son
positionnement
objectifs
prévus
par
l’avenant
au
projet
médical
du
CHU
pour
les
années
2013/2017.
Dans le même esprit, la production scientifique en termes de publications n’est pas à la hauteur des
ambitions
l’établissement.
cette
production
chaque
nous par
sommes
de
Au de
terme
de la procédureCertes
de l’appel
d’offres,
c’est le progresse
logiciel Easydore
® quiannée,
a été retenu
le CHUpassés
de
300 publications
en
2004
à
près
de
600
publications
en
2014.
Mais
comparativement
aux
autres
CHU
nous
Clermont-Ferrand.
progressons moins vite.
Développé initialement par le CHU de Nantes dont il est propriétaire, ce logiciel gère l’ensemble des
Notre établissement,
qui se situe
rangRecherche.
français enEasydore
nombre® d’essais
cliniques
retrouve au
financements Recherche
et au
du 7ème
personnel
est en mesure
de réalisés,
traiter lesse
aspects
22ème rang
pour
le
score
publications.
C’est
ainsi
qu’au
titre
de
l’année
2014
et
a
été
définie
une
administratifs, réglementaires et de gestion de projet de l’ensemble des essais cliniques et programmes politique
de
de soutien
stratégique
à la publication autour de deux axes :
recherche
d’un établissement.
Aide d’engranger
au financement
•
des traductions
aux publications
Capable
des données
d’activitésliées
au quotidien
puis de les restituer facilement de façon
•
Aide à laceprise
en charge
frais
soumission
des publications
consolidée,
logiciel,
interfacédes
avec
le de
système
d’information
du CHU, doit devenir l’outil unique,
quotidien et partagé de la DRCI du CHU de Clermont-Ferrand. La phase de déploiement et de mise en
Par ailleurs dans un contexte financier contraint, une politique d’intéressement sur le volet recherche à
production de l’application est prévue courant 2014.
destination des pôles a été mise en place. Cette politique valorise notamment les publications dans les revues
de rang A et B.
Quelques chiffres relatifs à l’activité de recherche clinique
Le contrat unique pour les essais industriels
En 2013,
La direction de
la recherche
clinique
a procédé,retenu
en lien
les médecins
la mise en
1 projet
de recherche
translationnelle
par avec
une équipe
du CHU investigateurs,
dans le cadre deà l’AAP
place du nouveau
dispositif
conventionnel
avec
les
industriels
pour
la
réalisation
d’essais
cliniques
au sein
DGFOS/ANR 2013 (Dr E FUTIER : Projet TAURA)
de l’établissement. Visant à la réduction des délais de signature des conventions et amélioration de la
 1 publication parue dans la prestigieuse revue NEJM issue d’un projet de recherche promu par le CHU
compétitivité
de la recherche industrielle française, il a conduit l’établissement a une réflexion en termes de
(Etude IMPROVE) et dont le 1er auteur est un praticien du CHU (Dr E. FUTIER)
délais et de modalités de gestion des financements industriels.
Nos projets de recherche clinique
Nos projets
de recherche cliniques
PHRC
NATIONAL
PHRC
NATIONAL
2
1,5
1
0,5
0
2
1
1
0 0
PHRC IR
PHRC
2
2
2
1 1
0
1
0
0 0
6
6
4
4
00
0
2
2
2
6
4
3
2
1
0
Hors Cancer
Cancer
AOI
AOI
20
15
10
12
13
14
PROMOTIONSIMPLE
SIMPLE
PROMOTION
16
12
12
9
18
12
5
0
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
50
40
30
20
10
0
46
35
18
19
21
23
28
41
42
62
Projets clermontois retenus dans l’appel à projet 2014
Appel à projet
Porteur du projet
Acronyme
Montant accordé
DGOS PHRC N
Pr Durif
Btx HT
513 598€
DGOS: Direction générale de
l’offre de soins
DGOS PHRC N
Pr Futier
Combine
811 881€
DGOS PHRC IR
Pr Perbet
Win in Wean
208 711€
PHRC: Programme hospitalier
de recherche clinique
ANSM
Pr Futier
Flash
250 000€
ANSM
Pr Authier
POMA
240 000€
ANSM:
Agence
nationale
sécurité du médicament
N: National
IR: Inter-régional
Nombre
d’études
promues
par
le(RBM)
CHU (RBM)
Nombre
d’études
promues
par
Nombre
d’études
promues
le CHU
(RBM)
Nombre
d’études
promues
par lepar
CHU
(RBM)
Nombre d’études promues par le CHU (RBM)
Nombre d’études promues par le CHU (RBM)
Médicament
Médicament
Médicament
Médicament
s s
s
s
24%
24%
Médicament24%
24%
s
24%
60 6060
60
6050 5050
50
5040 4040
58
58 58
40
49 49
58
49 49
49
4030 3030
44
49 49
44
40
44
58
30
40 40
44 49
3249
40
3020 202032
49
32 32
44
40
20 32
2010 10
HPS HPS
10
HPS
10
HPS 51%
51%
0
10 0
HPS 51% 51%
0 0
2009
2011
2013
20092009
2010 2010
2011 2011
2012 2012
2013 2013
2014 201451%
0
2009 20102010
2011 2012 2012
2013 2014 2014
2009 2010 2011 2012 2013 2014
Dispositifs
Dispositifs
Dispositifs
Dispositifs
médicaux
médicaux
médicaux
Dispositifs
médicaux
24% 24%
24%
médicaux 24%
24%
Le CHU « investigateur »
Le CHU
« investigateur
» »
Le CHU
« investigateur
CHU
investigateur
Le CHU
«investigateur»
LeLeCHU
« «investigateur
» »
117 117
115 115
117 117
120 120
115
107
115
105
117
107
115
105
120 120
102 102
107
107
120
105107105
102 102
105
102
92 92
100 100
87
87
92
92
100 100
82 8281 92 81
100
79 79
87 87 87
82
82
81
72
81
82
81
79
68 79 79 65 66 6468 68
80 80 686472
72 65 66 64
65 65
72 72
68
68
8080 8064
68
68
68
68
66
65
65
66 64
65
65 64
65
65 66 64
64 64 64
60 60
6060 60
40 40
4040 40
20 20
2020
20
0
0
0 0
2006
2007
2011
2012 2013
2014
0
2006
2007 2008
2008 2008
2009 2009
2010 2010
20112012
2012
2006
2013 2013
2014 2014
2006 2007
2007 2008200920092010201020112011
2012
2013
2014
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
IndustriellesInstitutionnelles
Institutionnelles
Industrielles
Industrielles
Industrielles Institutionnelles
Institutionnelles
Industrielles
Institutionnelles
La production
scientifique
termes
de
Publications
La production
scientifique
enen
termes
de Publications
(SIGAPS
2004-2013)
Laproduction
production
scientifique
termes
Publications
(SIGAPS
2004-2013)
La
scientifique
enen
termes
de de
Publications
(SIGAPS
2004-2013)
production scientifique en termes de Publications (SIGAPS 2004-2013)
(SIGAPS La
2004-2014)
La production scientifique en termes de Publications (SIGAPS 2004-2013)
–
2004
2004 2004
2004
2005
2005
20052004
2005
2006
2006
20062005
2006
2007
2007
20072006
2007
2008
2008
20082007
2008
2009
2009
20092008
2009
2010 2010
20102009
2010
2011 2011
20112010
2011
2012
2012
20122011
2012
2013
2013
20132012
2013
2014
2014
20142013
2014
0
0
2014
0
0
–
–
–
–
0
297
297 297
297
292
292
292 297
292
312
312
312 292
312
320
320
320 312
320
393
320 393
393
393
400
400
400 393
400
433
433400433
433
482
482
433482
482
511
511482511
511
603
603
511 603
595 603
595 595
595 603
200
400
600
200 200 400 400 600 600595
200
400
600
200
400
600
NC NC NC
E8% NC 8%
E E
E 19% 8%
8% A NC
19% 19%
A
E
19%
8% AA
19%
19%
19%
19%
A
19%
D D
D
19%
D 15%
15%15%
15% D
B
B
15%
B
19% B 19%
19%
C
C
C
19%
B
19% C 19%
19%
19%
19%
C
19%
–
–
–
–
–
63
L’activité recherche du CHU de Clermont-Ferrand décrite au travers des
chiffres SIGREC
*A partir de l’année 2014, cumul des scores des années 2010, 2011 et 2012 pour le calcul de la dotation
Scores essais : calculé à partir du nombre d’études actives au sein de l’établissement
(Tous promoteurs - Sur pondération pour les études Phase I ou Phase II)
Scores inclusions promoteur : Nombre total d’inclusions réalisées dans les études pour lesquelles
l’établissement est promoteur. Coefficient multiplicateur de 2 pour les études Médicament de Phase I ou
Phase II
Scores inclusions investigateur : Nombre d’inclusions réalisées dans l’établissement pour études
institutionnelles ou industrielles. Coefficient multiplicateur de 2 pour les études Médicament de Phase I ou
Phase II
A propos de la production scientifique (SIGAPS)
6 372 points SIGAPS au titre des publications scientifiques en 2014
Un important travail de réflexion a été engagé en interne pour déterminer une stratégie commune en matière
de publications scientifiques avec pour objectif principal « publier plus et mieux »
64
Le graphique ci-dessous représente la concrétisation en euro de l’évolution positive de la production
scientifique (part modulable = logique de résultats)
Innovations
La Commission des Innovations s’est réunie deux fois en 2014, huit demandes de financement ont été
acceptées pour un total de 331 318€. Ces innovations concernent la prise en charge de 4 800 patients.
Liste des demandes de financement acceptées :
•
•
•
Recherche de mutation dans le gène de la calréticuline dans
le cadre du diagnostic des syndromes myéloprolifératifs (A
Janel – laboratoire d’Hématologie)
Montant : 11 205 € (2 ans)
Nombre de patients : 320 patients
Dispositif WEB (Woven EndoBridge) pour l’embolisation
des anévrismes intracrâniens complexe (Jean Gabrillargues,
Neuroradiologie)
Montant : 72 000 € (1 an)
Nombre de patients : 6 patients
•
Transplantation fécale (J Scanzi – Hépato-gastro-entérologie
et C Aumeran – Hygiène hospitalière)
Montant : 20 000 € (1 an)
Nombre de patients : 10 patients
Dispositif médical OroCareTM (Evelyne Raybaud, Hygiène
hospitalière)
Montant : 6 000 € (0,5 an)
Nombre de patients : 1 200 patients
•
Prise en charge des fractures vertébrales par implantation
d’un distracteur intravertébral : SpineJack® (Emmanuel
Chabert, Neuroradiologie)
Montant : 70 000 € (1 an)
Nombre de patients : 20 patients
•
Extraction de défibrillateurs et de stimulateurs cardiaques
à l’aide de sonde laser (Romain Eschalier, Cardiologie)
Montant : 15 000 € (1 an)
Nombre de patients : 24 patients
•
Dosage sérique de la protéine S100B (D Bouvier –
Laboratoire de Biochimie)
Montant : 50 953 € (1 an)
Nombre de patients : 2 220 patients
•
Génotypage fœtal RH1 sur sang maternel (H Laurichesse –
Obstétrique)
Montant : 86 160 € (2 ans)
Nombre de patients : 1000 patientes
6
Moyen et
ressources au
service du patient
66
1.Les ressources humaines
Personnel médical
Effectif total rémunéré au 31/12, en personnes physiques
Effectif total rémunéré au 31/12, en personnes physiques
2012
2013
2014
Evolution
2014/2013
PU-PH (y.c consultants)
MCU-PH
CCU/AH et A.H.U
PHU
Odontologistes (PU-PH, MCU-PH, AHU)
Total Praticien Temps Plein
92
36
69
6
17
220
93
34
73
5
19
224
93
29
73
5
23
223
0,00%
-14,71%
0,00%
0,00%
21,05%
-0,45%
Odontologistes
Temps Partiel
Odontologistes
15
15
13
-13,33%
235
239
236
-1,26%
2012
2013
2014
Evolution
2014/2013
Total Praticien Temps Plein
259
57
32
348
278
61
15
354
269
70
18
357
-3,24%
14,75%
20,00%
0,85%
Praticiens des Hôpitaux
Praticiens contractuels
Total Praticien Temps Partiel
19
1
20
20
3
23
22
6
28
10,00%
100,00%
21,74%
368
377
385
2,12%
2012
2013
2014
Evolution
2014/2013
Praticiens attachés
Praticiens attachés associés
216
13
1
193
13
1
193
13
0
0,00%
0,00%
-100,00%
Total Praticien Attaché et Vacataire
230
207
206
-0,48%
Effectif total pers. physique (hors internes et étudiants)
833
823
827
0,49%
Total Internes
Etudiants en médecine
Etudiants en pharmacie
Etudiants en odontologie
Total Etudiants
504
515
556
7,96%
487
70
187
557
67
183
580
39 *
192
4,13%
-41,79%
4,92%
744
807
811
0,50%
2014
Evolution
2014/2013
-1,92%
PRATICIEN HOSPITALO-UNIVERSITAIRE
Total Praticien Hospitalo-Universitaire
PRATICIEN HOSPITALIER
Praticiens hospitaliers
Assistants spécialistes
Praticiens contractuels
Total Praticien Temps Plein et Temps Partiel
PRATICIEN ATTACHÉ ET VACATAIRE
* Rentrée universitaire des étudiants hospitaliers option internat désormais en janvier ( + 24 étudiants en janvier 2015)
ETP moyen annuel rémunéré
STATUT
Titulaires
Temporaires
Praticiens Hospitalo-Universitaires temps plein et temps partiel
Praticiens hospitaliers temps plein et temps partiel (Titulaires)
Assistants des Hôpitaux
Praticiens Contractuels temps plein et temps partiel
Vacations (effectif moyen annuel, y/c vacations d'Odontologie)
Effectif total en ETP (hors internes et étudiants)
2012
2013
69,47
69,2
67,87
36,25
35,78
39,11
9,31%
105,72
265,43
44,38
26,99
80,26
104,98
275,78
50,34
20,21
76,46
106,98
283,31
60,33
16,10
69,91
1,91%
2,73%
19,85%
-20,34%
-8,57%
522,78
527,77
536,63
1,68%
Total Internes
Etudiants en médecine
Etudiants en pharmacie
Etudiants en odontologie
Total Etudiants
504
515
556
7,96%
487
70
187
557
67
183
580
39 *
192
4,13%
-41,79%
4,92%
744
807
811
0,50%
2013
2014
Evolution
2014/2013
69,47
69,2
67,87
-1,92%
36,25
35,78
39,11
9,31%
105,72
265,43
44,38
26,99
80,26
104,98
275,78
50,34
20,21
76,46
106,98
283,31
60,33
16,10
69,91
1,91%
2,73%
19,85%
-20,34%
-8,57%
522,78
527,77
536,63
1,68%
* Rentrée universitaire des étudiants hospitaliers option internat désormais en janvier ( + 24 étudiants en janvier 2015)
ETP moyen annuel rémunéré
ETP moyen annuel rémunéré
STATUT
Titulaires
Temporaires
Praticiens Hospitalo-Universitaires temps plein et temps partiel
Praticiens hospitaliers temps plein et temps partiel (Titulaires)
Assistants des Hôpitaux
Praticiens Contractuels temps plein et temps partiel
Vacations (effectif moyen annuel, y/c vacations d'Odontologie)
Effectif total en ETP (hors internes et étudiants)
2012
ETP moyen 2014 rémunéré par statuts (en pourcentage)
ETP moyen 2014 rémunéré par statuts (en pourcentage)
Vacations (effectif moyen
annuel, y/c vacations
d'Odontologie)
13%
Praticiens Contractuels
temps plein et temps
partiel
3%
Assistants des Hôpitaux
11%
Praticiens HospitaloUniversitaires temps
plein et temps partiel
20%
Praticiens hospitaliers
temps plein et temps
partiel (Titulaires)
53%
67
68
Personnel
non médical
Personnel non médical
Effectif total rémunéré au 31/12, en personnes physiques
Effectif total rémunéré au 31/12, en personne physique
Evolution
Effectif total rémunéré
au 31/12, 2013
en personne physique
Evolution
Personnels
2012
2014
Personnels
2012
2013
2014
2014/2013
2014/2013
Evolution
Administratifs,
sociaux,
Personnels
2012
2013
2014
Administratifs, sociaux,
664
665
670
0,75%
2014/2013
664
665
670
0,75%
secrétariats
médicaux,…
secrétariats
médicaux,…
Administratifs,
sociaux,
664
670
0,75%
4 4193
44665
173
210
0,89%
Soignants
/ Educatifs
secrétariats
Soignants
/médicaux,…
Educatifs
193
173
44210
0,89%
Effectif total rémunéré au 31/12, en personne physique
Soignants
/ Educatifs
Médico-techniques
Médico-techniques
4417
193
417
4425
173
425
4425
210
425
0,89%
0,00%
0,00%
Médico-techniques
Techniques
Ouvriers
Techniques
et et
Ouvriers
417
812
812
425
803
803
425
826
826
0,00%
2,86%
2,86%
812
086
6 6086
066
66803
066
66826
131
131
2,86%
1,07%
1,07%
6 086
6 066
6 131
1,07%
Techniques
etCHU
Ouvriers
TOTAL
TOTAL
CHU
TOTAL CHU
EffectifETP
moyenrémunéré
rémunéré
Effectif
ETPmoyen
rémunéré sur
surl’année
l'année
Effectif
sur
l'année
Effectif ETP moyen rémunéré sur l'année
2012
2013
2014
2012
2013
2014
Personnels
Personnels
Personnels
Administratifs,
sociaux,
Administratifs, sociaux,
secrétariats
médicaux,…
Administratifs,
sociaux,
secrétariats médicaux,…
secrétariats
Soignants /médicaux,…
Educatifs
Soignants / Educatifs
2012
634,68
634,68
634,68
3 979,85
2013
638,41
641,27
638,41
3 969,47
641,27
3 968,82
3395,09
969,47
3402,02
968,82
-0,02%
1,75%
395,09
793,55
402,02
802,92
1,75%
1,18%
638,41
3 979,85
3 969,47
Médico-techniques
Médico-techniques
393,49
395,09
Techniques
et et
Ouvriers
Techniques
Ouvriers
787,00
787,00
Soignants
/ Educatifs
Médico-techniques
Techniques et Ouvriers
TOTAL CHU
TOTAL
CHU
TOTAL
CHU
3393,49
979,85
393,49
787,00
5 795,02
5 795,02
5 795,02
2014
793,55
793,55
5 796,52
55796,52
796,52
641,27
3 968,82
402,02
802,92
5802,92
815,03
55 815,03
815,03
Effectif ETP non médical rémunéré sur l’année 2014
Soignants /
Educatifs
68%
Administratifs,
sociaux,
secrétariats
médicaux,…
11%
Techniques
et Ouvriers
14%
Evolution
Evolution
2014/2013
Evolution
2014/2013
2014/2013
0,45%
0,45%
Médicotechniques
7%
0,45%
-0,02%
-0,02%
1,75%
1,18%
1,18%
0,32%
0,32%
0,32%
Effctif ETP non m
69
Données ressources humaines CHU
total rémunéré
au 31.12
personne physique
et par catégorie
Effectif totalEffectif
rémunéré
au 31.12
enenpersonnes
physiques
et par catégorie
Soignants / Educatifs
50%
Médico-techniques
5%
Techniques et Ouvriers
10%
Administratifs, sociaux,
secrétariats médicaux,…
8%
Internes
7%
Etudiants hospitaliers
10%
Personnel médical (hors
internes, étudiants,…)
10%
Masse salariale
Personnel médical
Personnel non médical
TOTAL
84 104 951€
268 446 660€
352 551 611€
24%
76%
2.La direction des soins
La Direction des Soins a pour mission principale, la conception et la
mise en œuvre du projet de soins et des objectifs de qualité et de
sécurité des soins définis dans ce cadre.
A ce titre, elle est associée et participe aux instances et groupes
de travail institutionnels, aux réflexions et travaux des directions
fonctionnelles et direction de site.
L’année 2014 a été marquée par différents temps forts pour
l’institution, nous en retiendrons principalement: les travaux en
lien avec les résultats de la certification V 2010 afin de contribuer
à la levée des réserves, la contribution à l’accompagnement de la
restructuration des activités cliniques et des plateformes blocs
opératoires ainsi que la sécurisation du circuit du médicament. Dans
ces deux champs en particulier l’engagement de l’encadrement a
été essentiel pour parvenir à des avancées majeures.
Dominique PERRON
70
Les principales avancées du projet de soins en 2014
Le projet de soins a été construit en référence au manuel de certification V2010. L’encadrement et les
professionnels non médicaux afin d’atteindre les objectifs retenus.
Concernant la certification, l’objectif principal a porté sur le document unique de prescription administration.
A la fin de l’année 2014 la majorité des services du CHU se conformait aux règles de bonnes pratiques en la
matière.
La Direction des Soins s’est particulièrement investie dans la politique d’identitovigilance en partenariat avec
le président de la CME et le DIM. Ce partenariat et la contribution des cadres de tous les secteurs d’activités,
a permis d’élaborer la charte d’identitovigilance, de définir des procédures adaptées au parcours de soins et
d’étendre à tous les publics hospitalisés la politique d’identification par le bracelet d’identification.
Dans le domaine de la politique de lutte contre la douleur, le CLUD a fait montre d’une dynamique importante
et là encore l’implication de l’encadrement a permis de mettre en œuvre la formation des référents tant
médicaux que paramédicaux.
Sur le plan de la gestion des risques a postériori, on note des déclarations
davantage centrées sur les incidents liés aux soins notamment sur les
erreurs médicamenteuses et de l’identitovigilance, déclarations qui ont fait
l’objet d’analyse de cause.
L’accompagnement des chantiers ANAP a été l’occasion de proposer des
nouvelles modalités d’organisation dans le cadre des restructurations
des unités de soins et du bloc opératoire et de conforter l’analyse et le
plan d’action qui avaient été portés par la Direction des Soins suite à la
cartographie du circuit des médicaments.
Par ailleurs, la Direction des Soins s’est impliquée auprès de la DRH
concernant la mise en œuvre de la GPMC et a participé aux travaux
concernant le document unique.
Le groupe Accès Cible a poursuivi sa contribution à la définition des règles de tenue du dossier patient et à
la formation des professionnels sur cette thématique. La Direction des Soins contribue au déploiement du
dossier informatisé.
Dans la continuité des actions engagées, l’Unité transversale d’éducation aux patients a accompagné les
équipes de soins dans l’élaboration de nouveaux programmes d’éducation thérapeutique et l’évaluation des
programmes labellisés. Par ailleurs les actions de formation sur cette thématique se sont renforcées.
Afin d’évaluer les actions engagées, la Directeur des Soins a conduit ou participer à deux audits :
• l’audit dit observationnel qui portait sur 8
thématiques en lien avec la certification V
2010 et qui avait pour finalité de mesurer
les écarts entre les pratiques observées et
les bonnes pratiques. Les thèmes étaient les
suivants : tenue professionnelle, gestion du
linge, circuit des déchets, restauration, circuit
des médicaments, identitovigilance, gestion du
dossier patient, affichage et information. Les
pratiques étaient observées au travers de 71
critères. Le taux de conformité attendu était de
80%.
Les résultats obtenus figurent dans le tableau
ci-dessous et montrent des marges de progrès
nécessaire dans les domaines suivants : gestion
du dossier patient, identitovigilance, gestion du
linge, restauration et information.
71
• l’audit de dossiers, comme en 2013, nous
a permis d’évaluer la présence dans les
dossiers de soins de 4 critères :
- la traçabilité de l’évaluation du risque
escarre à l’entrée du patient,
- la mesure du poids et calcul de l’IMC
dans les 48h suivant l’arrivée du patient,
- la traçabilité de l’évaluation de la douleur
à l’entrée du patient et au cours du séjour,
- la traçabilité de la désignation ou de
refus de désignation de la personne de
confiance.
Dans chaque unité de soins, 10 dossiers de soins de personnes hospitalisées présentes dans le service depuis
au moins 48h ont été tirés au sort.
Pour les unités de long séjour, il s’agissait d’auditer des dossiers de nouveaux résidents (entrés depuis le
début 2014).
Pour chaque dossier l’auditeur devait consulter le fiche C1 du dossier de soins ou un autre document afin de
vérifier la présence des items cités ci-dessus.
Comme le montrent les résultats reportés dans le schéma ci-dessous, des progrès notables sont constatés en
comparaison avec l’année 2013. Néanmoins des progrès restent à accomplir sur la traçabilité de l’évaluation
du risque escarre, sur le calcul de l’IMC et sur l’évaluation de la douleur.
3.Les ressources matérielles
Bilan des travaux réalisés en 2014
SITE GABRIEL MONTPIED
i
ta
Dé
Faç
n
ti o
ade
en cours d’isola
Désamiantage et reconstruction
Poursuite du désamiantage de
Gabriel Montpied et de la
restructuration de HNA-HNB,
construction d’un bâtiment
IRM pour un coût total de
59 000 000 Euros jusqu’à la
démolition de l’aile HO prévue en
2016.
tI
RM
72
ld
n
el
me
i
ac
t
bâ
har
pente du nouveau
IMABLOC
Ouverture d’IMABLOC, plateau d’imagerie avec échographie, scanner, salle d’angiographie et bloc opératoire
pour un montant total de travaux de 2 200 000 Euros.
Salle Scanner
Salle Angio
Salle de neuroradiologie
Montant total de travaux de 440 000 Euros
SITE ESTAING
Centre de ressources biologiques
Montant total de travaux de 70 000 Euros
u
No
Réorganisation des laboratoires
Déménagement de l’immunologie du CHU Estaing au
centre de biologie, déménagement de la
biochimie à la place de l’immunologie, réorganisation
de l’activité d’hématologie au CHU Estaing :
320 000 Euros.
ve
au
lab
o
ratoire de biochi
e
mi
Programme ANAP de réorganisation des lits
Optimisation du nombre de lits au CHU Estaing en Médecine interne, dermatologie, Chirurgie maxillo-faciale,
pédiatrie pour un montant total de travaux de 70 000 Euros.
73
SITE HÔPITAL NORD
Désenfumage
Fin du désenfumage mécanique des circulations de l’Hôpital
nord et poursuite du programme de restructuration,
humanisation de l’hôpital nord représentant un investissement
de plus de 2 millions d’euros en 2014. Ces travaux ont
concerné en 2014 environ 65 % de la surface allant de travaux
de peinture, remplacement de sol à la création de locaux
déchets, de mise aux normes électriques, d’installation de
rails plafonnier pour lève malades ou de remplacement de
système appel malade.
Trois ascenseurs ont également été modernisés et mis aux
normes pour 156 000 €.
x
H al
l 1B s
vau
ud après tra
Bilan du contrôle des installations électriques 2014
Les installations de l’ensemble des sites font l’objet d’un contrôle annuel de conformité vis-à-vis de la
protection contre les risques électriques. Les éléments suivants ont été concernés par ces visites en 2014 :
• 60 transformateurs Haute Tension /Basse Tension
• 45 alimentations autonomes (groupes électrogènes – Onduleurs – Batteries stationnaires)
• 1 760 tableaux et armoires électriques
• 24 610 dispositifs de protection
• 89 120 appareils d’éclairage et prises de courant
• 32 350 récepteurs (appareils électriques divers)
Les visites se déroulent du mois de janvier
au mois d’avril et représentent environ 23
semaines/homme d’intervention. Elles sont
assurées par les inspecteurs d’un organisme
agréé, accompagnés en permanence les
agents des Services Techniques. Les rapports
et les remarques qui en sont issues sont
ensuite diffusés aux équipes techniques au
moyen d’une base de données informatisée
permettant le suivi des actions correctives.
En complément de ces visites, au mois de
septembre, sont effectués des contrôles
thermographiques visant à détecter
d’éventuels échauffements au niveau des
organes de puissance. Cette démarche a pour
objectif de réduire les risques d’incendie
d’origine électrique. Elle consiste à examiner
les équipements à l’aide d’une caméra
infrarouge, mettant ainsi en évidence les
échauffements anormaux avant que ceux-ci
évoluent dangereusement.
Exemple de rapport sur anomalie
ANALYSE DES CAUSES DE L’ANOMALIE CONSTATÉE
Echauffement anormale du télérupteur du à un disfonctionnement au niveau du
circuit de commande
(bouton poussoir bloqué et/ou présence d’interrupteur sur le circuit commande)
3 360 tableaux et armoires, préalablement
sélectionnée à partir de critères d’importance
lors des visites de conformité, ont ainsi été
vérifiés en 2014. Lorsque qu’une anomalie est détectée, elle est photographiée puis intégré au rapport
d’intervention.
74
Les consommations (évolution 2012 - 2014)
Consommations énergétiques - kwh
L’année 2014 s’est caractérisée par un hiver doux et
un été médiocre qui ont impacté les consommations
de chauffage et d’électricité au niveau de la
climatisation.
Consommations d’eau - m3 eau
En 2014 d’importantes fuites de réseaux d’eau ont
été constatées sur le plateau St Jacques.
Dépenses d’énergies (évolution 2012 - 2014)
Les dépenses d’énergies électriques sont en hausse du fait de la tarification qui n’est pas compensée par la
baisse de 0,5% des consommations.
Les dépenses de gaz sont en baisse de 16% de 2013 à 2014 alors que les quantités ont évolué à la baisse
de 11% sur la même période, cet écart est dû à la renégociation des tarifs gaziers suite au changement des
fournisseurs.
75
Evolution de l’activité astreinte résidents par sites (en nombre d’heures par an)
Les astreintes techniques 24h/24 et 7 jours sur 7 sont assurées au niveau des 3 sites du CHU par une équipe
de 4 agents rattachées à chaque site. Ces équipes interviennent en dehors des heures ouvrées, les week-ends
et jours fériés sur appel du standard pour assurer la continuité de service de l’institution.
Résidents Saint-Jacques
Résidents HD/NHE
Résidents Hôpital Nord
76
4.La logistique
La Blanchisserie
L’activité de blanchisserie au CHU a été organisée à compter du 1er janvier 2011 au sein d’un
Groupement de Coopération Sanitaire dont les membres sont : le CHU, le CH de Riom, le CH
Clémentel, le CHS Ste-Marie et le CCAS de la ville de Clermont-Ferrand.
La blanchisserie en 2014, c’est :
• 3 815 tonnes de linge lavé soit 15,20 tonnes par jour
• une légère diminution de la production de 0,07 % par rapport à 2013
Volume de linge lavé en 2014 (kg)
Volume de linge lavé en 2014 (kg)
CH Clémentel
80 857,38
2,12%
CHS Ste-Marie
294538,75
7,72%
CCAS
70 905,30
1,86%
CH Riom
423 897,93
0,11
CHU
2 944 829,61
77,19%
UCP Restauration
L’UCP du CHU produit et livre tous les repas dans le respect des coûts et des normes d’hygiène
et de qualité. Depuis février 2011, tous les repas de l’établissement (CHU Estaing, CHU
Gabriel-Montpied, Pôle Psychiatrie, CHU Hôpital Nord) sont produits sur le site hospitalier
Saint-Jacques.
100%
80%
Nombre de repas produits
Nombre de repas produits
28 745
27 625
28 823
28 642
351 843
392 133
400 811
404 079
60%
40%
Divers (accompagnants, crèche…)
1 274 404
1 262 636
1 267 128
1 180 082
2011
2012
2013
2014
20%
Personnels (y compris l'internat)
Patients
0%
L’UCP a produit 1 612 803 repas en 2014 soit une diminution de 4.95% par rapport à 2013.
La fréquentation du self a légèrement diminué de 0.28% et s’établit à 209 221 passages en 2014. 95,43% des
passages sont des personnels du CHU et 3,63% sont des accompagnants. Les repas gratuits représentent
moins de 0,94% (1 965 passages en 2014).
Les repas hospitalisés n’intègrent plus, sur aucun site, les plateaux des médecins, sages-femmes ou éducateurs
qui sont envoyés dans les services. Ils sont comptabilisés dans les repas du personnel.
77
Archives
La Direction des Travaux, Achats et Logistique (DTAL) assure la
gestion des archives médicales : stockage, livraison et le retour
des dossiers, classement des documents dans les dossiers et
destruction régulière de ceux-ci selon les règles légales.
Pour l’ensemble des 3 sites, il y a eu environ 292 344 mouvements sur 10 mois.
Il n’y a pas eu de destruction de dossier cette année.
Depuis 2012, les dossiers les plus anciens (16 à 20 ans d’ancienneté) sont
gérés par un prestataire spécialisé et sortis à la demande. Il y a eu 474 dossiers
commandés en 2014.
En 2014, on comptabilise 3 105 637dossiers archivés pour 2 466 512 en 2013. Grâce au nouveau logiciel MO
Archives, on intègre des informations nouvelles que n’intégrait pas ARCHIMED tel que le stockage par sites,
les mouvements des dossiers sur l’ensemble du CHU entre les services et les Archives ainsi que la traçabilité
de chaque mouvement.
Transports sanitaires
La DTAL assure les transports non médicalisés intra et intersites des patients du CHU,
prescrits par les services de soins. En 2014, le nombre de prises en charge est de 22 965, en
recul important pour la troisième année consécutive (-7,40% par rapport à 2013, -9,32 % par
rapport à 2012 et 15,45% par rapport à 2011), réparties entre le CHU et les sociétés privées.
Le recours à ces sociétés privées de transport est en recul par rapport à 2013, soit - 126 transports en volume
(-4,35% de l’activité).
Le transfert des 2 services de Court Séjour Gériatrique à Riom est l’origine principale de cette diminution
d’activité. Les patients de ces deux services avaient recours de façon importante au plateau médico-technique
de Riom (convention radiologie).
Répartition des prises en charges assurées par le CHU
Répartition des prises en charges assurées par le CHU
30 000
25 000
20 000
1 234
7 443
1 027
6 837
15 000
10 000
1 033
6 481
1 018
6 125
16 983
16 184
14 390
13 052
2011
2012
2013
2014
5 000
Week-end
VSL
Ambulances
0
Répartition des prises en charges assurées par les sociétés
Répartition des prises en charges
assurées par les sociétés privées
privées
4 000
267
3 000
809
195
949
2 000
1 000
2 597
2 157
164
162
1 062
1 153
1 670
1 455
2013
2014
0
2011
2012
VSL
Ambulances nuit
Ambulances jour
78
Le Pôle Logistique Intégré
P.L.I
Le Pôle Logistique Intégré apporte aux pôles cliniques, médico-techniques et autres unités
logistiques les moyens optimaux, au moindre coût, pour accomplir leur activité.
Le pôle logistique intégré (P.L.I) en 2014, c’est :
•
•
•
•
861 211 plis envoyés (pour un coût de 471 263 €),
154 590 lignes de commandes pour le Centre d’Approvisionnement Logistique (CAL), soit 669/ jour,
3 522 973 copies générées à la reprographie, soit - 14,13% par rapport à 2013,
46 621 transports de produits dits «sensibles» comme les produits sanguins labiles ou les
cytostatiques, soit une augmentation de 2.86 % par rapport à 2013,
• 110 véhicules gérés pour 1 344 727 km parcourus (- 4.31 % par rapport à 2013),
• nombre de litres d’essence utilisés : 159 601.29 soit – 2.44%,
• coût du carburant : 203 813.40€ soit -7.01%.
Le coût du traitement des déchets (1946 tonnes en 2014) augmente de 1.68 % par rapport à 2013 et s’établit
à 1 064 000€ (revalorisation des tarifs au 1/02/2014 de 1,5 %).
Répartition des déchets - 2014
Répartition des déchetsRépartition
- 2014
des
déchets -des
2014
Répartition
déchets - 2014
Répartition des déchets 2014
DASRIA
905,43 tonnes
47%
DASRIA
Déchets
905,43 tonnes
domestiques
47%
951 tonnes
48%
DASRIA
905,43 tonnes
47%
DASRIA
905,43 tonnes
47%
Déchets
industriels
89,67 tonnes
5%
––
––
Evolution du coût des déchets
683 445 €
€635 429
633 522 €
Répartition des déchets - 2014
Répartition des déchets - 2014
Répartition des déchets - 2014
DASRIA
DASRIA
Déchets
905,43 tonnes 905,43 tonnes
domestiques
47%
47%
951 tonnes
48%
DASRIA
Déchets
905,43 tonnes
domestiques
47%
DASRIA
tonnes
Déchets
905,43 tonnes 951
Déchets
Déchets domestiques
Déchets
48%
47%
industriels
industriels 951
industriels
tonnes
89,67 tonnes
89,67 tonnes 89,67
48%tonnes
5%
5%
5%
Déchets
––
industriels
89,67
tonnes
Déchets
5%
industriels
DASRIA
683 445 €
654
€ 951 €672 296
––339704
Déchets industriels
Déchets domestiques
Déchets
domestiques
951 tonnes
48%
Déchets
domestiques
951 tonnes
48%
Déchets
domestiques
951
tonnes
Déchets
48%
domestiques
951 tonnes
48%
Déchets
industriels
89,67
tonnes
Déchets
5%
industriels
89,67 tonnes
5%
Évolution du coût des déchets
Evolution du coût
des déchets
Evolution
du coût des
déchets
Evolution
du coût
des déche
89,67 tonnes
5% ––
––
704 951 €
Répartition des déchets - 2014
Evolution
déche
683
Evolution du€635
coût
déchets
654445
339
429€€des
654
€635
429
654
672
296
672 339
296 €des 672
633
522
€
296
633339
522€€du coût
DASRIA
DASRIA
DASRIA Evolution du coût des déchets
Evolution
du coût des déche
€635
704
951429
€ –– 683
704
951
633445
522€€€
Déchets industriels
Déchets i
145 921 €
Déchets industriels
185 445
699 €
€ 190
185
704
951
683
145699
921€€€
190
750 €146 175
€635
750429
€
€178
338
190
750
633
522
150 900704
€ 951
Déchets
domestiques
185
683
445
150699
900
654
339
€178
338€€
€635
429
146
175
145
921
€
€178
338
672
296
654
339
150
150
146 900
175 €
633900
522€€ domestiques
Déchets
145
921
672
296 d
146
175
Déchets
€205 626
220 097 €
269 445
279 €
683
234
804 €245 530
241 136704
€ 951
234
804429
€
€205
626
€635
704
951
€€
269
220279
097€€
€
234
804
633
522
683
445
€€
241279
136
269
€205
626€
654
339
€
€635
429
245
530
220
097
€
€205
626
672
296
672 530
296
245
2011
2012
699 €
2009
2010
750 € 2014185
2013190
2011
2009
€178
338
2012
2010
2009
190
750
145
921€€
185
699
2013
2011
2010
150
900€€
2014
2012
2011
€178
338
146
175
234 750
804 €
190
185
269 699
279 €
€205 338
626
€178
190
234
804
220750
097€€
145
921
185
699
€
269
241
136
150279
900€€
€178
245
530
€205
626
146 338
175
DASRIA
654
339
633136
522€€
241
245 136
530 €
241
220
097
Déchets industriels
DASRIA
150
900 €
2013
2014
2012
2013
145
921 € domestiques
Déchets
Déchets industriels
150
241 900
136 €
145
921
220 Déchets
097 € domestiques
2009
234
804 €
269
279 €
2010
2011
€205
626
234
804
2009
220
097€€
2012
269
279
2010
241
136€€
2013
€205
626
2011
245
530
2014
220
097 €
2012
241
136 €
2013
245
530
2014
2009
2010
2011
2009
2012
2010
2013
2011
2014
2012
2013
2014
190 750 €
185 699 €
€178 338
234 804 €
269 279 €
2009
2010
146
175
2014
146
245 175
530
79
5.Le Système d’information
Les activités de la Direction du Système d’Information (DSI) sont réparties en plusieurs domaines :
Déploiement d’application
Accompagnement des projets d’informatisation des services de soins :
@
• CROSSWAY / HEO / URQUAL :
> Démarrage Phase I (Remplacement I2000 – dossier médical hors prescription, plan de soins) : Service
Médecine Physique et Réadaptation, Services Endocrinologie, Service Urologie, Secteur REANIMATION
I2000 => CROSSWAY pour identités / mouvements / CR, préparation des déploiements 2015 pour les
services de Psychiatrie Adulte (A et B) et pédopsychiatrie
> Démarrage Phase II (Prescriptions médicales et plan de soins informatisés) : Service dermatologie,
Service Endocrinologie, Services du pôle de cardiologie
• Service d’odontologie : mise en œuvre du dossier de spécialité dentaire ODS dès le démarrage en janvier
2014, Suivi important pour la gestion de flux des patients et tous les aspects de facturation, mise en place
de la CCAM dentaire au 30 octobre 2014
• Endoscopie digestive adulte et pédiatrique/pneumologie : mise en place d’ENDOALPHA : logiciel de
génération de comptes rendus automatisés, de gestion de films et des images diagnostiques envoyées
vers le PACS CHU.
• Déploiement de la solution CORA M-PMSI, avec une collaboration forte DI / DIM, Dr Jourdy JeanChristophe.
> CORA RECUEIL : sur l’ensemble du secteur MCO (hors Ophtalmologie à ce jour, décision Chef de
service),
> CORA ACTIVITE : qualification et validation du calcul du PMSI T2A pour permettre un meilleur usage
des outils de pilotages transversaux touchant à la bonne valorisation de l’activité,
> Travail important sur les interfaces nécessaires au bon fonctionnement.
Accompagnement des projets d’informatisation des plateaux techniques :
• Pour les laboratoires : appel d’offre sous la forme d’un dialogue compétitif pour la modernisation du
système de gestion des laboratoires, avec l’appui du groupe projet composé de biologistes et techniciens
des laboratoires :
> RESLAB : Evolution du serveur de résultats de laboratoires : Mise en place du retour confidentiel aux
prescripteurs pour la trisomie 21 (construit sur l’identification de l’adresse mail du prescripteur),
> IDLAB : Mise en place d’un module de rapprochement
d’identité pour permettre de rendre les résultats aux
établissements extérieurs sur leur identifiant.
• En imagerie : Radiologie : Mise à jour majeur du système PACS,
et du système de reconstruction 3D par spécialités, formation
des radiologues.
• Pharmacie : Accompagnement au déploiement généralisé du
Plein/Vide
• SAMU : AMOA interconnexion des SAMU d’Auvergne, le CHU
coordonnateur pour les 4 SAMU d’Auvergne : choix de la
solution EXOS (Téléphonie / Radio / Régulation), mise en œuvre
Infrastructure de téléphonie propre au SAMU, mise en œuvre
de la solution de régulation avec les fonctions de téléphonie avancée, mise en œuvre pour le SAMU 63
le 25 novembre 2014.
80
Accompagnement des projets cliniques normatifs :
• Normalisation des Ordonnances (RPPS, FINESS), et application de la charte graphique comme pour
l’ensemble des services pour les comptes rendus, ceci avec l’appui du comité du dossier patient.
• Internet/Intranet : générateur des entêtes d’ordonnances normalisées pour le mode dégradé.
• Rappel de leur RDV aux patients par SMS : déploiement général après validation du chef de service.
• Messagerie sécurisée de santé : notre CHU fait partie des 15 pilotes nationaux : mise en place de
l’infrastructure technique opérationnelle, validation ASIP et validation CNIL, intervention sur HIT 2014,
déploiement en octobre 2014 avec l’appui du GCS SIMPA pour mobiliser la médecine libérale.
• Reconnaissance Vocale : configuration technique de la solution ZENIDOC retenu dans le cadre UNIHA,
intégration avec CROSSWAY, démarrage du service de Néphrologie et de cardiologie, poursuite de
déploiement sur 2015, avec l’appui d’un groupe de travail institutionnel.
• Formulaires / Gestion documentaire : mise en œuvre et déploiement de la solution QUAL’NET permettant
de répondre aux exigences de la HAS, mise en production des formulaires FEI / enquêtes / Biologie CNR
/ ARIAME /…
Sécurité et maintien du système d’information
La DSI doit également garantir la sécurité et le maintien en bon état de fonctionnement de l’infrastructure
du système d’information tant sur le plan de l’infrastructure réseau, que sur le plan du stockage avec le
renouvellement des baies informatiques de stockage central et la mise en œuvre de la nouvelle architecture
(architecture virtuelle) plus souple et plus performante.
Le projet de rénovation de la salle informatique principale est engagé en lien avec les services techniques.
Ce projet est nécessaire pour répondre aux exigences de sécurité d’accès aux données et aux équipements,
en augmentant le niveau de disponibilité du système d’information. Ceci conformément aux exigences de
la Haute Autorité de Santé, des prérequis à Hôpital numérique et à l’auditabilité du SIH dans le cadre de la
certification des comptes.
« Poste de travail et services »
Le domaine « Poste de travail et service » de la DSI en 2014, c’est :
• un centre d’appel informatique qui a répondu à 3604 demandes soit une moyenne quotidienne d’appel
de 164 appels/jour pour un taux de résolution de 74.33% au niveau 1, les restes des demandes étant
traités par le niveau 2 et 3 couvert par les équipes expertes de la DSI, en lien avec les fournisseurs.
• une équipe technique « poste de travail » intervenue 4267 fois sur site et l’installation en supplément ou
en remplacement de 530 PC neufs et 65 imprimantes. Dans le cadre de son assistance, 2112 interventions
en téléphonie
6.La qualité : une démarche
au quotidien
Plusieurs temps forts ont marqué l’année 2014, dans les différents domaines d’activités de la Direction de la
Qualité, de la Gestion des Risques et des Droits des Usagers :
• les actions d’amélioration à mettre en œuvre pour lever le sursis à certification prononcé par la HAS
dans le cadre de la certification V2010,
• la mise en place de la cellule opérationnelle de régulation des lits pour améliorer l’aval des urgences,
• la mise en place du Comité de Revue des Evénements Indésirables et d’un Club Utilisateur de la FEI
informatisée pour la simplifier,
• l’organisation de rencontres qualité et gestion des risques avec les pôles,
• les formations à la gestion des risques a priori et a postériori,
• l’élaboration du calendrier prévisionnel de la cartographie des risques a priori,
• la mise à jour du plan blanc, de l’annexe NRBC, du plan canicule et la rédaction et la formation à la
procédure EBOLA,
• la poursuite du déploiement de la gestion documentaire sur le logiciel institutionnel QUAL’NET,
• l’engagement dans l’évaluation des risques du système d’information,
• le lancement de la nouvelle enquête de satisfaction des patients I-SATIS,
• une progression de 25% des réclamations des patients ou de leurs familles,
• l’organisation de la 2ème journée qualité du CHU, la participation à la semaine nationale sécurité
des patients et la réunion des associations des usagers du CHU,
• la réunion de lancement de l’Espace de Réflexion Ethique Régional Auvergne, présidé par le
Professeur BAZIN,
• l’enquête interne sur l’état des lieux des questions éthiques liées aux activités de l’établissement et
les conférences à destination du grand public et des professionnels du CHU organisées par le Groupe
de Réflexion Ethique Clermontois (GREC).
La certification V2010
Le rapport de certification de la Haute Autorité de Santé (HAS) faisant suite à la visite de fin septembre-début
octobre 2013 a été transmis à l’établissement le 5 mai 2014. La HAS a décidé de surseoir à la certification du
CHU et une visite de suivi a été préparée par l’établissement, avec l’élaboration d’actions d’amélioration sur
les 10 thèmes faisant l’objet de réserves majeures et de réserves, à savoir :
• la gestion des évènements indésirables,
• l’identitovigilance en MCO, SSR, SLD et SM,
• la prise en charge médicamenteuse du patient en MCO, SSR, SLD et SM,
• le programme d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins (PAQSS),
• la gestion des risques à priori,
• la gestion du dossier patient en MCO, SSR, SLD et SM,
• le management de la prise en charge médicamenteuse en SSR, SLD et SM,
• la prise en charge des urgences et des soins non programmés,
• l’organisation du bloc opératoire
• la mise en œuvre des démarches d’analyse des pratiques professionnelles.
Une communication a été conduite en interne auprès des différentes instances et publics concernés
(représentants des usagers, représentants des professionnels, professionnels) afin de présenter les enjeux
de la certification et préparer le dossier de la visite de suivi, réceptionné par la HAS le 20 novembre 2014.
81
82
La cellule régulation des lits
La mise en place de la cellule de régulation des lits (CRL) au CHU répond à la problématique des urgences,
priorité des pouvoirs publics et fait suite à la mise en place du programme national d’amélioration de la
gestion des lits, décliné en région par le Plan d’actions sur les urgences Auvergne 2013-2015. Elle s’inscrit
dans un dispositif déjà existant au CHU : le protocole d’hospitalisation des patients accueillis au service des
urgences du 3 décembre 2012.
La CRL a débuté durablement le 17 mars 2014 avec le recrutement de 2 IDE (cellule opérationnelle de
régulation des lits-CORL), placée sous le pilotage de Mme Berlandi, CSS et sous l’autorité du Directeur de la
Qualité, Gestion des Risques Droits des Usagers). Les missions confiées à la CORL sont les suivantes :
• gestion de l’aval des urgences du lundi au vendredi – horaire privilégié 10h30-18h30
• suivi des hébergements
• relevé et suivi des hospitalisations de plus de 21 jours
La gestion des risques
Gestion des évènements indésirables et coordination des vigilances
Au cours de l’année 2014, 2 549 évènements indésirables ont été recensés (dont 1504 via la FEI informatisée
QUALNET, soit une progression des déclarations de 13% par rapport à 2013 :
2012
2013
2014
Nombre total d’EI (Événements
Indésirables)
1 699
100%
2 211
100%
2 549
100%
Nombre d’EI (hors EIAS)
1 168
69%
1 510
68%
1 901
75%
EIAS (Événements Indésirables Assoxiés
aux Soins)
531
31%
701
32%
648
25%
Ils se répartissent de la manière suivante :
eriotarobal IE
EI laboratoire
673
376 - 15%
%51
noitaruatser IE
EI restauration
04
40 - 1%
%1
–––
ud tiucric IE
tnemacidém
EI circuit du médicament
642
246 - 10%
%01
secnaligiv IE
EI vigilances
686
686%
-7
27%
2
tnod( UDEIRG
QD IE
DQGRDU
,ecnaligivot(dont
itnedI
)Iidentitovigilance,
SS ,ETR
140RTE,
1 SSI)
1 041 - 41%
%14
sneib sed étirucés IE
sennosrep sed te
061
o
EI sécurité des biens et des
%6
personnes
160 - 6%
Répartition
des EI Vigilances
Répartition
des EI Vigilance
EI AMP-Vigilance
1
0%
EI radioprotection
EI AMP-Vigilance
5
1%
1 - 0%
EI réactovigilance
EI réactovigilan
EI biovigilance
3 - 1%
EI addictovigilance
3
90
23 - 3%
1%
13%
EI radioprotection
EI addictovigilance
EI hémovigila
5 - 0%
145
90 - 13%
21%
EI hémovigilance
145 - 21%
EI biovigilance
23
3%
EI pharmacov
274
40%
EI matériovigilance
145
EI matériovigilance
21%
145 - 21%
EI pharmacovigilance
274 - 40%
83
En 2014, les 2 549 EI se décomposent en 1 901 EI et 648 EIAS (25% des EI signalés).
Pharmacie; 3%
Autres et non déterminés; 0%
BLOC ARCHI (GM); 9%
Biologie Médicale et
Anatomie Pathologique (GM;
Estaing); 14%
Cardiologie Médicale et
chirurgicale (GM); 7%
Imagerie et Radiologie
Interventionnelle; 2%
RMND M2O; 12%
PRI (Estaing); 3%
Urgences (GM); 7%
Spécialités Médicales et
Chirurgicales (Estaing); 16%
RHEUNNIRS (GM) ; 8%
Psychiatrie Enfant - Adulte
(GM) ; 2%
GORH; 7%
Pédiatrie; 8%
Géronto Pôle CHU-CHT (HN);
2%
54 EIG ont été signalés (EI avec décès ou menace vitale immédiate ou sévère).
Les principales actions d’amélioration qui en ont découlé sont les suivantes :
• en matériovigilance : expertise d’appareillage permettant la diffusion contrôlée des gaz d’anesthésie,
expertise de cœurs artificiels et d’un circuit de CEC, mise en place d’une procédure de maintenance
et de surveillance des PSE toujours utilisés, changement de batterie des PSE, priorisation de l’achat
de nouveaux PSE,
• pour le circuit du médicament : sécurisation des modalités de préparation des médicaments en
service de psychiatrie, sécurisation de l’administration du méthotrexate, sécurisation des modalités
de dispensation des rétrocessions, sécurisation du circuit des chimiothérapies périmées,
• en hémovigilance : sécurisation du circuit des demandes de PSL et des retraits de PSL (suppression
de 2 gares de pneumatique à l’EFS pour n’en garder qu’une et mise en place d’un retrait nominatif
des PSL à l’EFS),
• en restauration : sécurisation des commandes de repas pour les patients poly allergiques (révision
des procédures NATAMA, création de profils allergique et poly allergique dans WINREST…),
• en psychiatrie : actions de prévention du risque suicidaire (échelle RUD, formations),
• en identitovigilance : procédure de conduite à tenir en cas d’usurpation d’identité,
• autre (EI de fin 2014, actions planifiées début 2015) : Sécurisation des ouvertures sur le site Estaing
(vérification du bon fonctionnement des limiteurs d’ouverture sur toutes les fenêtres des chambres
des services et vérification systématique de l’ouverture limitée des fenêtres dans les protocoles de
départ après chaque patient).
84
La gestion documentaire
Le déploiement de la gestion documentaire sur le logiciel institutionnel QUAL’NET s’est poursuivi en 2014
avec l’accompagnement de plusieurs services de soins, en lien avec la Direction Informatique.
Nombre de personnes référentes « gestion documentaire » formées en 2014 : 21 personnes.
Les relations avec les usagers
La CRUQPEC
La commission a tenu 10 séances sous la présidence du Professeur RIBAL et examiné 189 réclamations en
Thèmes
des
réclamations
revenant
leune
plus
souvent
2014 (dont
12 courriers
de satisfaction),
contre 151
en 2013, soit
progression
de 25%.
46,75% des réclamations proviennent des patients, 11,24% de leur conjoint, 9,45% de parents d’enfants
mineurs, 32,56% d’apparentés ou autres. Les médiateurs ont eu un entretien avec 7 patients, familles ou
ayants droit.
Relations avec les
Thèmes des réclamations
le plus
souvent
médecins revenant
Aspects
para-médicaux
5
Qualité des soins
Information du
4%
Relations avec les médecins
4
malade/de la famille
Aspects para-médicaux
5 - 4%
3%
Qualité des soins
12
9%
Information du
malade/de la famille
12 - 9%
Aspects médicaux
Qualité des soins
62
Aspects médicaux
Qualité48%
des soins
4 - 3%
Accueil/Administration
/Finances
46
Accueil/Administration
36%
/Finances
46- 36%
62 - 48%
Recommandations de la CRUQPEC :
Les actions d’amélioration préconisées par la CRUQPEC en 2015, au regard des dossiers traités en 2014 sont
les suivantes :
• Mettre en place du temps psychologue dédié pour un soutien aux praticiens dans certaines situations
difficiles de fin de vie des patients (en cancérologie et en réanimation notamment) ;
• Améliorer le système de gestion des rendez-vous médicaux des patients ;
• Rappeler les conditions de confidentialité et le respect des règles de courtoisie aux personnels des
services ;
• Faciliter l’accès des handicapés aux boxes du bureau des entrées de l’hôpital Gabriel Montpied ;
• Actualiser la procédure de gestion des biens et des valeurs des patients hospitalisés, rappelant
notamment l’obligation de réaliser des inventaires ;
• Poursuivre l’amélioration de la prise en charge de la douleur des patients ;
• Autoriser les accompagnants à partager la chambre d’un patient au-delà de 48h ;
• Rappeler la procédure existante «urgences vitales» ;
• Revoir l’organisation des lits accompagnants sur Estaing ;
• Prévoir une salle dédiée à l’accueil des familles de patients en cours de prélèvements d’organes à
l’hôpital Gabriel Montpied.
85
Nombre de demandes de dossiers médicaux
Hôpital G.Montpied et CMP
Hôpital Estaing
Hôpital Nord
Total CHU
2013
717
351
15
1 083
2014
700
345
14
1 059
Les associations d’usagers
Une réunion des associations des usagers du CHU s’est tenue le 25 novembre 2014.
Le contentieux et la gestion du contrat d’assurance responsabilité civile hospitalière
• Dossiers de sinistres corporels amiables et contentieux indemnitaires ouverts de 2012 à 2014
Dossiers ouverts en :
Recours amiables pour dommages corporels
Commission de Conciliation et d’Indemnisation
Contentieux devant le Tribunal Administratif
Contentieux devant le Tribunal de Grande Instance
Contentieux devant la juridiction pénale
Contentieux lié à la transfusion sanguine
TOTAL
2012
28
24
17
1
2013
26
19
20
3
2014
23
24
15
1
1
70
68
64
• Le nouveau contrat Responsabilité civile du CHU
L’élément à souligner est la modification du montant de la franchise à la charge du CHU qui passe de 30 000
à 15 000 euros pour le contrat signé à compter du 1er janvier 2014. Il n’y a pas de modifications des risques
souscrits.
Ethique : le GREC et l’ERERA
(GREC : Groupe de Réflexion Ethique Clermontois) / (ERERA : Espace de Réflexion Ethique Régional Auvergne)
Le GREC
En 2014, le GREC s’est réuni 3 fois en Assemblée Plénière. Les thématiques choisies par l’Assemblée Plénière
en 2013 ont été reconduites sur l’année 2014.
Les deux commissions de réflexion (Ethique et soins palliatifs – Famille et Ethique) se sont réunis régulièrement
de façon mensuelle ou bimestrielle.
Le premier groupe de réflexion a mis au point une grille d’évaluation qui se veut être un instrument pour
guider la réflexion lorsque l’équipe est sollicitée pour des études de cas. De même, au cours de ces réunions,
une large place a été accordée sur « la présence de la famille au cours des soins » et une fiche technique de
situation a été élaborée.
Le deuxième groupe de réflexion a poursuivi ses travaux sur l’élaboration de Flyers qui sont insérés
régulièrement dans les bulletins de salaire du personnel du CHU. En 2014, 3 fiches ont été diffusées :
• « Soins de fin de vie, comment exprimer ma volonté jusqu’au bout »
• « Le maintien ou la restauration du sentiment de dignité »
• « La notion de proche ».
86
Une conférence thématique, à destination du personnel du CHU et du grand public a eu lieu en juin 2014. Elle
a réuni plus d’une centaine de personnes autour du sujet « la Bien – Mal – Traitance ».
Le GREC a par ailleurs participé à une Journée régionale d’échanges sur « La Réflexion éthique dans les
établissements sanitaires, sociaux et médicaux-sociaux : enjeux et questionnements» ainsi qu’à une soirée
grand public « A la découverte de la Bioéthique » organisée par les étudiants en Santé et Sciences de la Vie.
Actuellement, une cinquantaine de personnes collaborent plus ou moins ponctuellement aux travaux du
GREC.
Enseignement : les membres de l’Espace Ethique ont été sollicités pour participer à des heures d’enseignement
à destination des élèves infirmiers, des élèves de l’école de puériculture, et de la Faculté de Médecine ainsi
que dans le cadre du DU Ethique et Soins palliatifs.
Enquête : dans le cadre de la certification V2010, la HAS a souhaité que l’établissement réalise un « état des
lieux des questions éthiques liées aux activités de l’établissement ». Pour y contribuer, un questionnaire a été
élaboré et toute personne travaillant au CHU a été sollicitée fin 2014 pour y répondre. 607 questionnaires
anonymisés ont été retournés et exploités par le Service de Santé Publique du CHU qui en produira les
résultats en 2015.
L’ERERA
L’arrêté du 4 janvier 2012 prévoit la création d’Espaces de Réflexion Ethique Régionaux et Interrégionaux.
Pour la Région Auvergne, le CHU a piloté ce dossier en partenariat avec le GREC pour la mise en place d’un
espace régional en son sein. Une convention constitutive a été élaboré avec l’ARS, convention qui associe le
CHU, le Président de l’Université, des parties signataires telles que les établissements hospitaliers régionaux,
établissements médico-sociaux, des ESPIC, des unions régionales de professions de santé, etc…
La réunion d’installation de l’ERERA s’est tenue le 27 juin 2015 et le Professeur Jean Etienne BAZIN a été
nommé Directeur de cet Espace. Le Conseil d’Orientation est en cours de constitution et sera opérationnel
courant 2015.
IPAQSS
Des enquêtes nommées IPAQSS : Indicateurs Pour l’Amélioration de la Qualité et de la Sécurité des Soins
sont menées par le Service de santé publique (Pr Laurent Gerbaud, Dr Marie Blanquet, Candy Auclair,
Bénédicte Belgacem)
De quoi s’agit-il ?
Il s’agit d’indicateurs dont le recueil est obligatoire pour tous les établissements de santé publics ou privés.
Ils sont définis et sélectionnés par la Haute autorité en Santé (HAS). Ces indicateurs ont un impact sur les
résultats de la certification du CHU ainsi que, à partir de 2016, sur ses finances.
Quels sont les résultats du CHU ?
Les derniers résultats sont ceux de l’enquête réalisée en 2014 sur les dossiers de 2013. Dans l’ensemble
les résultats du CHU ont globalement tendance à être plutôt en dessous des résultats des établissements
français ou des résultats des autres CHU comme l’illustrent l’extrait de résultats MCO présenté dans les
tableaux qui suivent.
87
Comment faire pour améliorer les résultats du CHU ?
Nous pouvons agir sur les résultats de l’enquête qui aura lieu en 2016 et qui concernera les dossiers remplis
en 2015 notamment en notant plus systématiquement les éléments suivants :
• Pour les prescriptions médicamenteuses en cours d’hospitalisation : nom et signature du prescripteur,
voie d’administration
• Pour le traitement de sortie : présence du double, nom et signature du prescripteur, voie
d’administration et durée du traitement
• Pour le dépistage des troubles nutritionnels : la variation de poids avant l’hospitalisation
• Pour l’évaluation du risque d’escarre : celle-ci doit être systématique même en cas de risque nul (il
suffit de le noter)
• Pour la Réunion de Concertation Pluridisciplinaire : la date, la décision, les noms et spécialités d’au
moins trois médecins de spécialités différentes
7
Les finances
90
1.Résultat d’exploitation
consolidé 2014
Le compte financier 2014 présenté au Conseil de Surveillance le 3 juillet 2015 affiche les résultats si-dessous:
Compte de résultat principal
Dépenses
Recettes
Résultat
568 096 920
567 548 902
-548 019
USLD
6 926 686
6 345 850
-580 836
EHPAD
5 803 350
5 674 505
-128 844
Ecoles et instituts
6 961 311
7 185 678
224 367
Dotation non affectée
2 167 870
2 165 639
-2 232
401 417
434 054
32 637
590 357 554
589 354 628
-1 002 926
Centre Ressources Autisme
Résultat consolidé
(en euros)
Le résultat d’exploitation
Après 4 années consécutives de résultat comptable à l’équilibre , le résultat 2014 , en légère dégradation par
rapport à 2013 , affiche un déficit d’exploitation consolidé de 1M€ pour un montant de recettes consolidé de
590M€.
Si le résultat comptable du budget principal reste proche de l’équilibre avec un déficit de 548 K€ représentant
moins de 0,1% des recettes , le résultat des budgets USLD ( Soins de longue durée ) et EHPAD ( Hébergement
pour personnes âgées dépendantes ) est en nette dégradation en raison de dépenses de personnels plus
importantes que prévues et par rapport à 2013 ce qui s’explique par un niveau élevé d’absentéisme et par
les travaux de mise aux normes et d’humanisation avec opérations tiroirs ayant nécessité des renforcement.
en personnels. Les dépenses médicales et pharmaceutiques sont par ailleurs en progression constante.
Pour ce qui concerne le budget principal : le résultat comptable intègre une aide de 2M€ allouée au titre
du contrat de retour aux équilibres financier 2013/2016 dont l’objectif consiste à restaurer une capacité
d’autofinancement compatible avec les besoins d’investissement courants du CHU.
L’EPRD initial avait été construit en intégrant l’impact sur l’année 2014 du plan de retour aux équilibres CREFANAP pour un montant net de 6,8 M€ en 2014. Si toutes les mesures ont bien été mises en œuvre, l’impact
réel de ces mesures sur 2014 a été limité à 4,5 M€, compte tenu du processus complexe de réorganisation
que certaines d’entre elles ont nécessité.
Le résultat comptable 2014 doit donc être analysé au regard de ce décalage, les objectifs étant bien entendu
maintenus dans leur globalité.
En revanche le dynamisme de l’activité a conduit à un montant de recettes (recettes MCO T2A), en progression
de 2,5% par rapport à 2014 conforme aux prévisoins de l’EPRD initial.
91
2.La capacité
d’autofinancement (CAF)
Le tableau de calcul de la CAF
Si la capacité d’autofinancement nette après
remboursement du capital des emprunts est
positive à 5,7 M€ , elle reste insuffisante pour
assurer les programmes d’investissement et
l’exercice 2014 se solde par un prélèvement
de 13 M€ sur le fonds de roulement.
Capacité (en K€)
2013
2014
Résultat consolidé
111
-1 002
+ dotations aux amort.
30 671
31 680
+ dotations aux provisions
10 006
7 364
- reprises sur dépréciations
et prov.
9 358
8 115
136
91
- Produits de cessions
d’éléments d’actifs
4
21
- QP des subv. d’inv. Virées
au cpte de rt
29
32
31 532
29 965
+ valeurs comptables
d’éléments d’actfs cédés
Capacité d’autofinancement
3.Les investissements et
leurs financements
Le tableau de financement
Emplois (en K€)
2013
2014
Ressources (en K€)
2013
2014
Capacité d’Autofinancement
31 532
29 965
Rempboursement du capital
des emprunts dont B.E.H.*
24 981
24 253
Emprunts (1)
35 377
15
Immobilisations (travaux et
équipements) (1)
56 701
25 202
Dotations et subventions
15 494
6 549
7
21
82 410
36 550
Autres emplois**
100
Total des emplois
81 782
Apport au fond de
roulement
Total EQUILIBRE DU TAB.
DE FINANCEMENT
Cessions d’éléments d’actifs
49 455
Prélèvement sur fond de
roulement
628
82 410
Total des ressources
49 455
Total EQUILIBRE DU TAB.
DE FINANCEMENT
12 905
82 410
49 455
* B.E.H. : Bail Emphytéotique Hospitalier
** Titres de participations GCS blanchisserie et Sympa et dépots et cautionnement versés (1) Effet comptable en 2013 de la réintégration au bilan des BEH conformément aux nouvelles écritures requises pour la certification des comptes 2015.
Le montant des dépenses d’investissement s’est élevé à 25,2 M€ dont 13 M€ en travaux et 12 M€ en
équipements.
• Les dépenses de travaux 2015 concernent essentiellement les opérations pluriannuelles : Désamiantage
Hôpital Gabriel Montpied ( 6,87 M€) , mise aux normes et humanisation Hôpital Nord ( 2,11 M€ ) ,
sécurité incendie des bâtiments psychiatrie ( 0,94 M€ ) et salle immabloc ( 1,7 M€ ).
• Les dépenses d’équipement : 6,7 M€ pour les équipements médicaux , 1,9 M€ pour les équipements
logistiques et 3,4 M€ pour le système d’information ( équipements et logiciels ).
Il n’a pas été nécessaire de mobiliser en 2014 l’emprunt prévu pour le financement des travaux de
désamiantage dans la mesure ou les décaissements ont été décalés sur 2015.
92
4.Compte de résultat
principal
Charges
Charges
Charges
Chargesde
depersonnel
personnel
dont
dontcharges
chargesde
depersonnel
personnel
médical
médical
dont
dontcharges
chargesde
depersonnel
personnel
non
nonmédical
médical
2013
2013
2014
2014
Evol.
Evol.
329
329927
927073
073
338
338773
773194
194
2,7%
2,7%
81
81369
369950
950
83
83864
864945
945
3,1%
3,1%
248
248557
557123
123
254
254908
908249
249
2,6%
2,6%
Charges
Chargesààcaractère
caractère
médical
médical
125
125939
939506
506
dont
dontcharges
chargesintégrées
intégrées
dans
dansles
lestarifs
tarifset
etles
les
dotations
dotations
40
40522
522661
661
dont
dontcharges
chargesremboursées
remboursées
en
ensus
susdes
desséjours
séjours
33
33616
616854
854
dont
dontcharges
chargespour
pour
rétrocessions
rétrocessions
dont
dontcharges
chargesfinancées
financéespar
par
les
lesMissions
Missionsd'Intérêt
d'Intérêt
Général
Général(ATU)
(ATU)
14
14026
026814
814
605
605510
510
135
135934
934461
461
40
40271
271496
496
34
34489
489988
988
21
21209
209074
074
11046
046935
935
Produits
Produits
Produits
Produitsversés
verséspar
par
l'assurance
l'assurancemaladie
maladie
2013
2013
2014
2014
Evol.
Evol.
416
416862
862218
218
422
422822
822617
617
1,4%
1,4%
dont
dontvalorisation
valorisationde
de
l'activité
l'activité
281
281600
600897
897
288
288538
538204
204
2,5%
2,5%
dont
dontfacturable
facturableen
ensus
sus
33
33741
741535
535
34
34487
487523
523
2,2%
2,2%
dont
dontMIG
MIG//MERRI
MERRI
58
58787
787195
195
60
60005
005207
207
2,1%
2,1%
dont
dontcrédits
créditsAC
AC
88148
148642
642
88191
191793
793
0,5%
0,5%
dont
dontforfaits
forfaits
55183
183637
637
66086
086980
980 17,4%
17,4%
dont
dontLAMDA
LAMDA
*
55404
404628
628
670
670516
516
7,9%
7,9%
-0,6%
-0,6%
2,6%
2,6%
51,2%
51,2%
72,9%
72,9%
--
dont
dontautres
autres(charges
(chargesgérées
gérées
par
parles
leslabo.
labo.et
etles
lesautres
autres
charges
chargesààcaract.méd.)
caract.méd.)
37
37167
167667
667
38
38916
916968
968
4,7%
4,7%
dont
dontdotation
dotationannuelle
annuellede
de
financement
financement
23
23995
995683
683
24
24842
842394
394
3,5%
3,5%
Charges
Chargesààcaractère
caractère
hôtelier
hôtelieret
etgénéral
général
43
43419
419592
592
41
41850
850401
401
-3,6%
-3,6%
Produits
Produitsd'activité
d'activitéde
de
soins
soinsnon
nonfinancés
financéspar
par
l'Assur.
l'Assur.Maladie
Maladie
43
43784
784763
763
44
44220
220195
195
1,0%
1,0%
Charges
Chargesd'amortiss.de
d'amortiss.deprov.
prov.
et
etdépréciation,
dépréciation,financières
financières
et
etexcept.
except.
54
54072
072387
387
51
51538
538864
864
-4,7%
-4,7%
Autres
AutresProduits
Produits
92
92673
673865
865
100
100506
506090
090
8,5%
8,5%
dont
dontdotations
dotationsaux
aux
amortissements
amortissements
28
28969
969045
045
30
30002
002735
735
3,6%
3,6%
dont
dontintérêts
intérêtsfinanciers
financiers
11
11030
030898
898
99595
595793
793
-13,0%
-13,0%
99892
892570
570
77233
233440
440
-26,9%
-26,9%
44179
179874
874
44706
706896
896
12,6%
12,6%
553
553358
358559
559
568
568096
096920
920
2,7%
2,7%
dont
dontdotations
dotationsaux
aux
provisions
provisions
dont
dontcharges
charges
exceptionnelles
exceptionnelles
Total
Totaldes
descharges
charges
Résultat
Résultatd'exploitation
d'exploitation
--
37
37713
713 --
548
548018
018
* recettes valorisation activité sur exercice antérieur
dont
dontrétrocessions
rétrocessions
dont
dontreprises
reprisessur
sur
provisions
provisions
dont
dontautres
autres(produits
(produits
except.,
except.,prestations
prestationsde
de
services…)
services…)
Total
Totaldes
desproduits
produits
14
14297
297430
430
21
21562
562667
667 50,8%
50,8%
77708
708091
091
66651
651545
545 -13,7%
-13,7%
70
70668
668344
344
72
72291
291878
878
2,3%
2,3%
553
553320
320846
846
567
567548
548902
902
2,6%
2,6%
5.Compte de résultat principal
2014
COMPTE DE RESULTAT PRINCIPAL 2014
Charges d’Exploitation
Charges d'Exploitation - Année 2014
Charges d'amortiss.de prov.
et dépréciation, financières et
Charges d'amortiss.de
exceptionnelles
9% prov. et dépréciation,
financières et
exceptionnelles
9%
Charges
à caractère
Charges
à caractère
hôtelier
général
hôtelier
etetgénéral
7%
7%
Charges
de personnel
non
Charges de
personnel
médical
non médical
Charges
de personnel
Charges de personnel
59%
59%
Charges à caractère
médical
Charges24%
à caractère
médical
15%
51
s
tt e 09 437 1
9 7 0
ce
re 494 20 4 4 79 7
6 76 9 69
4 502 785 986
7
6
8
25 217
41 94
1
9
83
5
51
médical
24%
Produits d'Exploitation - Année 2014
Produits d’Exploitation
-
LAMDA
Forfaits Dotation annuelle de
financement
Crédits AC
Autres produits
18%
#REF!
#REF!
1
#REF!
#REF!
#REF!
#REF!
Facturable en sus
Effort réalisé sur les équipements des Ecoles
Valorisation de
l'activité
r
de
u
és
pt
m
o
C l
a
ip
ir nc
tp
lta
in
ef
an
0
r2
e
i
c
Produits versés par
l’assurance maladie
74%
résultat
#REF!
MIG / MERRI
e
e
ée s
pt
ct ane ism
m
e
f
o
t
D
f
a
C SL D
m u
on xico es A
U HA s
n
EP ole ion x to urc dé
Ec otat au esso soli
D ins e R con
So entr tat
C ésul
R
recettes
494 909 517
6 207 437
4 764 401
8 502 979
785697
256986
412177
515 839 194
10
Compte financier 2010
Compte de résultat principal
USLD
EPHAD
Ecoles
Dotation non affectée
Soins aux toxicomanes
Centre Ressources Autisme
Résultat consolidé
Facturation des
soins hors Assurance
Maladie *
8%
45%
Charges
de personnel
Charges de personnel
médical
*Il s’agit notamment de la facturation des forfaits et du ticket modérateur aux patients et mutuelles et de la
facturation aux patients étrangers
93
8
L’organisation
hospitaliere du
CHU de Clermont-Fd
Sur
v
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Co
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ncertati on
Co
Décision
lan
eil
GOUVERNANCE
le
Catherine RAYNAUD
Président
Commission des
Relations avec les Usagers
et de la Qualité de la Prise
en Charge
Pr Claude DUBRAY
Président
Alain MEUNIER
Président
Comité Technique
d’Établissement
Pr Henri LAURICHESSE
Pr Jean CHAZAL
Pr Claude DUBRAY (V.P Recherche)
Vices Présidents
Alain MEUNIER
Directoire
André SALAGNAC
Directeur général Adjoint
Alain MEUNIER
Directeur Général
Président
Pr Henri LAURICHESSE
Président
Commission Médicale
d’Établissement
Comité de recherche
biomédicale et de santé
publique
Dr Françoise VENDITTELLI
Vice Président
Pr Henri LAURICHESSE
Président
Président de la CME
Direction générale
Suzanne RIBEROLLES
Vice Président
Pr Annie VEYRE
Président
Conseil de Surveillance
Alain MEUNIER
Président
Comité d’Hygiène de
Sécurité et des Conditions
de Travail
Pr Stéphanie TUBERT
JEANNIN
Doyen
Faculté
d’odontologie
Dominique PERRON
Président
Commission des
Soins Infirmiers, de
Rééducation et MédicoTechniques
Doyen
Pr Brigitte VENNAT
Faculté de
pharmacie
Pr Jean CHAZAL
Doyen
Faculté de médecine
LOGIGRAMME DE GOUVERNANCE DU CHU DE CLERMONT-FERRAND
trô
96
Pôle SpéciMed
Pr BAY
Pôles Hospitalo-Universitaires
Pôle Recherche Biomédicale
Pr DUBRAY
Pôle Santé Publique
Pr GERBAUD
Pôle Pharmacie
Pr SAUTOU
Pôle Imagerie et Radiologie
Interventionnelles
Pr BOYER
Pôle BMAP
Pr ESCHALIER
Pôle BLOC ARCHI
Pr RIBAL
Pôle Psychiatrie Enfant-Adulte
Pr JALENQUES
Pôle RMNDO
Pr LEMAIRE
Pôle SAMU Urgences
Pr SCHMIDT
Pôle RHEUNNIRS
Pr SOUWEINE
Pôle Cardiologie Médicale et Chirurgicale
Pr CAMILLERI
Pôle GORH
Pr LEMERY
Pôle Ressources Interventionnelles
Pr MAGE
Pôle Géronto
Dr BOHATIER
Pôle Pédiatrie
Pr LABBÉ
DIRECTION
Pr Henri LAURICHESSE
Présidence de CME
Jean-Christophe JOURDY
Directeur
Département de
l’Information Médicale
Jean-François TIREFORT
Directeur Adjoint
Arnaud BRUEY
Directeur
Travaux , Achat et
Logistique
Catherine MAILLOT
Hôpital du Mont-Dore
Philippe COURCIER
CH d’Issoire
Régis THUAL
CH Clémentel
Régis THUAL
CH Riom
Territoires
Ressources Humaines
Alexis JAMET
Casimir BOYER
Directeur Adjoint chargé du
système d’information
Directeur Adjoint
Directeur
Martine BUISSON
Directeur Adjoint
Directeur
Armelle DREXLER
Directeur
Guy MATHIAUX
Karine BOURDÉ-VACHER
Directeur
Laboratoire
Régis THUAL
CHU Hôpital Nord
Directeur
Christine ROUGIER
CHU Estaing
Directeur
Agnès SAVALE
Ressources des coopérations
médicales
Nicolas SAVALE
André SALAGNAC
Directeur Général Adjoint
Alain MEUNIER
Directeur Général
Direction Générale
Sites
CHU Gabriel-Montpied
Directeur
André SALAGNAC
Directeur Général Adjoint
Recherche et Innovation
Finances, Contractualisation
et Système d’information
Dominique PERRON
Coordinateur Général
Soins
Catherine RAYNAUD
Directeur
Qualité, Gestion des risques
et Droits des usagers
LOGIGRAMME DE DIRECTION DU CHU DE CLERMONT-FERRAND
97
98
1.Les instances
LE CONSEIL DE SURVEILLANCE - CS
Le CS est doté d’une compétence d’attribution et se prononce sur la stratégie et exerce le contrôle permanent
de l’établissement.
Compétences
Le Conseil de surveillance se prononce sur la stratégie et exerce le contrôle permanent de l’établissement.
Il délibère sur le projet d’établissement, le compte financier et l’affectation des résultats, la participation
à une communauté hospitalière de territoire, la fusion avec d’autres établissements publics de santé, le
rapport annuel d’activité du Directeur général du CHU.
Il donne des avis sur la politique d’amélioration continue de la qualité, de la sécurité des soins et de la
gestion des risques, les conditions d’accueil et de prise en charge des usagers, les acquisitions, échanges et
affectations d’immeubles, les contrats de partenariat, le règlement intérieur.
Le Conseil de surveillance dispose également d’attributions spécifiques à sa mission de contrôle : il formule des
observations au Directeur général de l’ARS sur le rapport annuel du Directeur général, opère les vérifications
et contrôles qu’il juge opportuns et entend le Directeur général sur l’état prévisionnel de recettes et de
dépenses, ainsi que sur le programme d’investissement.
Composition
La liste nominative des membres est arrêtée par le Directeur de l’Agence régionale de santé (ARS). La durée
du mandat est de cinq ans.
Trois catégories sont représentées par des membres ayant voix délibérative :
- les élus représentant les collectivités territoriales d’implantation de l’établissement
- les personnels médicaux et non médicaux
- les personnalités qualifiées
Assistent au CS avec voix consultative : le Directeur général, le président de la Commission médicale
d’établissement (CME), le Directeur de l’Agence régionale de santé, un directeur de caisse d’assurance
maladie, un représentant des familles des personnes accueillies dans les unités de soins de longue durée et
de maison de retraite, le Doyen de la Faculté de médecine.
Le Conseil de Surveillance s’est réuni 5 fois en 2014.
Membres du CS du CHU de Clermont-Ferrand
Avec voix délibérative :
• représentants des collectivités territoriales (5 membres)
- M. Jean-Marc Miguet, Conseiller régional d’Auvergne
- M. Serge Godard, Maire de Clermont-Ferrand (remplacé par Olivier Bianchi en juin 2014)
- Mme Suzanne Duris, Conseillère communautaire, Clermont Communauté (remplacée par Jérôme
Auslender en juin 2014)
- Mme Mireille Lacombe, Conseillère générale, Conseil général du Puy-de-Dôme
- Mme Marie-Françoise Lacarin, Conseillère générale, Conseil général de l’Allier
• représentants des personnels de l’établissement (5 membres)
- Mme Mireille Berlandi, représentant la Commission des soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques (CSIRMT)
- M. le Pr Lionel Camilleri, membre de la CME
- M. le Dr Philippe Vanlieferinghen, membre de la CME
- M. Daniel Chalier, représentant FO
- M Michel Martin, représentant CGT (décédé en octobre 2014)
99
• personnalités qualifiées dont deux représentants des usagers (5 membres)
- Mme le Pr Annie Veyre, Professeur de biophysique et médecine nucléaire, Présidente du Conseil de
surveillance ; personnalité qualifiée désignée par le Préfet du Puy-de-Dôme
- M. Hubert Poinas, personnalité qualifiée désignée par le Directeur général de l’ARS
- M. Henri Chibret, personnalité qualifiée désignée par le Préfet du Puy-de-Dôme
- Mme Suzanne Riberolles, personnalité qualifiée représentant les usagers désignée par le Préfet du
Puy-de-Dôme
- M. Jean-Pierre Bastard, personnalité qualifiée représentant les usagers désignée par le Préfet du Puyde-Dôme
Avec voix consultative :
- M. François Dumuis, Directeur général, ARS Auvergne
- M. le Pr Henri Laurichesse, Président de la CME, Premier Vice-président du Directoire, CHU de
Clermont-Ferrand
- M. le Pr Jean Chazal, Doyen de la Faculté de médecine, Vice-président du Directoire, CHU de ClermontFerrand
- M. le Pr Jean-Etienne Bazin, membre de la CME, CHU de Clermont-Ferrand
- M. Christian Fabre, Directeur, Caisse primaire d’Assurance maladie (CPAM)
Représentant des familles
LE DIRECTOIRE
Le Directoire est l’instance de pilotage de l’établissement, créé par la loi HPST. Il succède au Conseil exécutif.
Le Directoire est un collège à majorité médicale, chargé de conseiller le Directeur général du CHU dans la
gestion et la conduite de l’établissement.
Attributions
Il adopte le projet médical et prépare le projet d’établissement.
De la concertation avec le Directoire résultent les décisions du Directeur général ou les propositions qu’il
soumet au CS
Le Directoire est, entre autre, concerté sur :
- le contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens
- la politique d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins ainsi que des conditions
de prise en charge des usagers
- le bilan social
- le programme d’investissement
- l’état prévisionnel des dépenses et des recettes (EPRD) et le compte financier
- l’organisation interne de l’établissement et les contrats de pôles d’activité
- la participation à des coopérations et des réseaux
- les opérations immobilières
- les délégations de service public
Composition
Le Directoire est composé de membres du personnel (dont une majorité de membres du personnel médical,
pharmaceutique, maïeutique et odontologique).
Il comprend neuf membres dont :
- le Directeur général du CHU (Président du Directoire)
- le Président de la Commission Médicale d’Etablissement (Premier Vice Président du Directoire)
- le Doyen de l’Unité de Formation et de Recherche de Médecine (Vice Président du Directoire)
100
- le Président de la Commission des Soins Infirmiers, de Rééducation et Médico –Techniques
- des membres nommés par le Directeur général après information du CS
- des membres médicaux proposés par le Président de la CME
Le Directoire s’est réuni 10 fois en 2014.
Membres du Directoire
1/ Membres de droit
- Le Directeur Général, Monsieur Alain MEUNIER, Président du Directoire
- Le Président de la Commission Médicale d’Etablissement, Monsieur le Professeur Henri LAURICHESSE,
Premier Vice Président du Directoire
- Le Doyen de l’Unité de Formation et de Recherche de Médecine, Monsieur le Professeur Jean CHAZAL,
Vice Président du Directoire
- La Présidente de la Commission des Soins Infirmiers, de Rééducation et Médico -Techniques, Madame
Dominique PERRON
2/ Membres nommés par le Directeur Général
a) parmi les médecins du Centre Hospitalier Universitaire :
- sur proposition du Président de l’INSERM, du Président de l’Université d’Auvergne et du Doyen de
l’Unité de Formation et de Recherche de Médecine :
- Monsieur le Professeur Claude DUBRAY, Vice Président du Directoire chargé de la Recherche
- sur proposition du Président de la Commission Médicale d’Etablissement et du Doyen de l’Unité de
Formation et de Recherche de Médecine :
- Monsieur le Professeur Louis BOYER
- Monsieur le Docteur Dominique GUELON
b) parmi les membres de la Direction du Centre Hospitalier Universitaire :
- Monsieur André SALAGNAC, Directeur Général Adjoint
- Monsieur Guy MATHIAUX, Directeur Adjoint
3) Membres invités au titre de l’article 15 du règlement intérieur du Directoire
- Madame le Docteur Françoise VENDITTELLI, Vice Présidente de la CME
- Monsieur le Professeur Jacques Olivier BAY
- Monsieur le Professeur Stéphane BOISGARD
- Monsieur le Professeur Didier LEMERY
- Monsieur le Professeur Martin SOUBRIER
- Madame RAYNAUD, Directrice de la Qualité, de la Gestion des Risques et des Droits des Usagers
- Madame Christine ROUGIER, Directrice du CHU Estaing,
- Madame Agnès SAVALE, Directrice du CHU Gabriel Montpied
LA COMMISSION MEDICAL D’ETABLISSEMENT - CME
La CME est une instance représentative des médecins du CHU qui se réunit au moins quatre fois par an. Les
membres de cette commission sont élus pour quatre ans par tous les médecins, chirurgiens, odontologistes
et pharmaciens du CHU.
Compétences
La CME est consultée sur le projet médical de l’établissement, le projet d’établissement, les modifications
des missions de service public attribuées à l’établissement, le règlement intérieur, les programmes
d’investissement concernant les équipements médicaux, la convention constitutive des CHU, le plan de
développement professionnel continu relatif aux professions médicales, maïeutiques, odontologiques et
101
pharmaceutiques, les modalités de la politique d’intéressement et le bilan social.
La CME est informée de l’état prévisionnel de recettes et de dépenses (EPRD) initial et ses modifications,
le compte financier et l’affectation des résultats, du contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens, du
rapport annuel d’activité, des contrats de pôles, de la politique de recrutement des emplois médicaux, de
l’organisation de la formation des étudiants et internes et la liste des postes que l’établissement souhaite
leur ouvrir, du projet de soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques et de l’organisation interne de
l’établissement.
La CME contribue à l’élaboration de la politique d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des
soins : gestion globale et coordonnée des risques visant à lutter contre les infections associées aux soins,
politique du médicament et des dispositifs médicaux stériles, prise en charge de la douleur.
Elle contribue à l’élaboration de projets relatifs aux conditions d’accueil et de prise en charge des usagers,
notamment par la réflexion sur l’éthique liée à l’accueil et à la prise en charge médicale, l’évaluation de la
prise en charge des patients, et en particulier des urgences et des admissions non programmées, l’évaluation
de la mise en œuvre de la politique de soins palliatifs, le fonctionnement de la permanence des soins.
La CME propose au Directeur général le programme d’actions d’amélioration de la qualité et de la sécurité
des soins ainsi que des conditions d’accueil et de prise en charge des usagers (en relation avec la CSIRMT et la
Commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge (CRUQ). Ce programme prend
en compte le bilan des améliorations mises en œuvre à la suite de l’analyse des événements indésirables.
Composition
Des membres élus ou de droit avec voix délibérative :
- l’ensemble des chefs de pôle,
- des représentants élus des responsables des structures internes de l’établissement
- des représentants élus des praticiens titulaires de l’établissement
- des représentants élus des personnels temporaires ou non titulaires et des personnels contractuels
ou exerçant à titre libéral de l’établissement
- un représentant élu des sages-femmes
- des représentants des internes
- des représentants élus des personnels enseignants et hospitaliers
Des membres avec voix consultative :
- le Président du directoire
- le Président de la CSIRMT
- un représentant du Comité technique d’établissement (CTE)
- le médecin référent du Département d’information médicale (DIM)
- un médecin hygiéniste
- les Doyens des Facultés de médecine, pharmacie et odontologie
- un représentant des pharmaciens hospitaliers
Le Président de la CME
Il est élu par ses pairs parmi les personnels enseignants et hospitaliers titulaires non chefs de pôle. Il n’est
rééligible qu’une fois. Le Président de la CME a un rôle important dans la gestion de l’établissement en
relation avec le Directeur général.
Il élabore avec le Directeur général le projet médical, en assure le suivi de la mise en œuvre et en dresse le
bilan annuel, il coordonne la politique médicale de l’établissement.
Il contribue à la diffusion et à l’évaluation des bonnes pratiques médicales, veille à la coordination de la prise
en charge du patient, contribue à la promotion de la recherche médicale et de l’innovation thérapeutique,
coordonne l’élaboration du plan de développement professionnel continu des personnels médicaux et
présente au Directoire ainsi qu’au CS un rapport annuel sur la mise en œuvre de la politique médicale de
l’établissement.
Le Président de la CME du CHU de Clermont-Ferrand est M. le Pr Henri Laurichesse, Chef du service Maladies
infectieuses et tropicales.
La CME s’est réunie huit fois en 2014.
102
Membres de la CME du CHU de Clermont-Ferrand en 2014
Collège n° 1 : Chefs de pôles cliniques et médicotechniques
Sous-sous-collège D : Biologie
- M. le Dr Jean-Pierre Romasko
- M. le Pr Olivier Bay
- M. le Dr Jérôme Bohatier
- M. le Pr Louis Boyer
- M. le Pr Lionel Camilleri
- M. le Pr Alain Eschalier
- Mme le Pr Isabelle Jalenques
- M. le Pr André Labbé
- M. le Pr Jean-Jacques Lemaire
- M. le Pr Didier Lemery
- M. le Pr Jean-Pierre Ribal
- M. le Pr Jeannot Schmidt
- M. le Pr Bertrand Souweine
Collège n°3 : Représentants des personnels
enseignants et titulaires de l’établissement
Collège n°2 : Représentants des responsables de
structures internes, services ou unités fonctionnelles
Sous-collège A : Personnels hospitalo-universitaires
titulaires et temporaires
- M. le Pr Pierre Déchelotte
Sous-collège B : Praticiens hospitaliers temps plein
et temps partiel et personnels temporaires ou non
titulaires et personnels contractuels
Sous-sous-collège A : Médecine
- M. le Dr Christophe Perrier
- M. le Dr Jean Gabrillargues
- Mme le Dr Anna Ferrier
- Mme le Dr Christine Francannet
- M. le Dr Daniel Pic
- Mme le Dr Magalie Miolanne-Debouit
- M. le Dr Philippe Vanlieferinghen
- Mme le Dr Claire Billault
- M. le Dr François Planche
- M. le Dr Patrick Bailly
- Mme le Dr Corinne Pourrat
- Mme le Dr Dominique Fénéon
Sous-sous-collège B : Chirurgie
Mme le Dr Françoise Vendittelli
- M. le Dr Thierry Scheye
Sous-sous-collège C : Anesthésie
- M. le Dr Bernard Cosserant
- M. le Dr Dominique Guélon
- Mme le Dr Pascale Picard
Sous-collège A : Médecine
- M. le Dr Georges Brousse
- M. le Pr Olivier Aumaitre
Sous-collège B : Chirurgie
- M. le Pr Stéphane Boisgard
Sous-collège C : Biologie
- M. le Pr Marc Berger
- M. le Pr Frédéric Libert
Sous-collège D : Odontologie
- Mme le Dr Dominique Roux
Sous-collège E : Pharmacie
- Mme Valérie Sautou
Sous-collège F : Anesthésie-Réanimation
- M. le Pr Jean-Étienne Bazin
Collèges n°4 : Représentants des personnels
hospitaliers titulaires de l’établissement
Sous-collège A : Médecine
- M. le Dr Géraud Souteyrand
- Mme le Dr Agnès Lhoste
- Mme le Dr Christine Lespiaucq
Sous-collège B : Chirurgie-Odontologie
- Mme le Dr Marie-Véronique Savary
Sous-collège C : Anesthésie-Réanimation
- Mme le Dr Brigitte Storme
- Mme le Dr Laurence Escaravage
Sous-collège D : Pharmacie
- Mme Sandrine Bagel-Boithias
Sous-collège E : Biologie
103
Collège n°5 : Représentants des personnels
temporaires ou non titulaires et des personnels
contractuels
Sous-collège A : Chefs de clinique des universitésassisants des hôpitaux, assistants hospitaliers
universitaires, praticiens hospitaliers universitaires,
assistants hospitaliers universitaires d’odontologie
- M. le Dr Aurélien Lebreton
- M. le Dr Damien Bouvier
Sous-collège B : Assistants spécialistes des
hôpitaux, assistants généralistes des hôpitaux
et praticiens attachés effectuant au moins trois
vacations hebdomadaires
- Mme Sylviane Dydymski
- Mme Ève Parry
- Mme le Pr Vennat, Doyen de l’UFR de pharmacie
- Mme le Pr Tubert, Doyen de l’UFR d’odontologie
- Mme Perron, Présidente de la CSIRMT
- M. le Dr Jourdy, Praticien responsable de
l’information médicale
- M. Foulquier, Représentant du CTE
- M. le Pr Traoré, Praticien responsable de l’équipe
opérationnelle d’hygiène
- M. le Pr Chopineau, Représentant des pharmaciens
hospitaliers, désigné par le Directeur
Sous-collège C : Praticiens contractuels
Médecine Générale :
- Cindy Crouzet
Spécialités médicales :
- Arnaud GALLON
Odontologie :
- pas de représentant
Pharmacie :
- Benjamin LEBECQUE
Collège n°6 : Représentant des sages-femmes
Collège n°8 : Représentant des Étudiants
- Mme Florence Delpirou
- Mme Valérie Bruhat
Nommés par le Président du Directoire
Médecine :
- Jules BERTINO
Odontologie :
- Maxime Cubertafon
Maïeutique :
- Marine Parizet
Pharmacie :
- pas de représentant
Collège n°7 : Représentant des Internes
Désignés par le Président du Directoire
Membres avec voix consultative
- M. Meunier, Président du Directoire
- M. le Pr Chazal, Doyen de l’UFR de médecine
LA COMMISSION DES SOINS INFIRMIERS, DE REEDUCATION ET MEDICOTECHNIQUES - CSIRMT
La CSIRMT est présidée par le Coordonnateur général des soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques.
Elle se compose de représentants élus des différentes catégories de personnels qui participent à la mise en
oeuvre des soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques. La Commission comprend 34 membres
élus. Elle est consultée sur:
- l’organisation générale des soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques et de l’accompagnement
des malades dans le cadre du projet de soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques
- la recherche dans le domaine des soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques et l’évaluation
de ces soins
- l’élaboration d’une politique de formation
- l’évaluation des pratiques professionnelles (EPP)
- la politique d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins- le projet d’établissement et
l’organisation interne de l’établissement
La CSIRMT s’est réunie cinq fois en 2014.
104
Membres de la CSIRMT
- Mme Dominique Perron, Directrice coordinatrice générale des soins
Membres avec voix délibérative :
• Collège des cadres (12 titulaires, 4 suppléants):
Titulaires:
- Mme Brigitte Calime Watiez , cadre supérieur Pôle Cardiologie GM
- M. Jean-Philippe Roddier, cadre Bloc CCV GM
- Mme Brigitte Favard, cadre supérieur Pôle Pédiatrie CHU Estaing
- Mme Frédérique Marson, cadre supérieur Pôle BLOC ARCHI GM
- Mme Annie Florentin, cadre supérieur Pôle Psychiatrie CMP
- Mme Mireille Berlandi, cadre supérieur Direction qualité
- Mme Andrée Bonichon, cadre supérieur IFCS
- M. Dominique Dorvau, cadre Radiologie GM
- Mme Isabelle Genès, cadre formateur IADE
- Mme Sylvie Fourgeaud, cadre Réanimation pédiatrique CHU Estaing
- Mme Sandra Clauson, cadre Néonatologie CHU Estaing
- Mme Aurélie Carette, cadre formateur IFAS
Suppléants:
- Mme Dominique Decouteix, cadre Psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent Rochefeuille CMP
- Mme Marie-Anne Barlot, cadre Laboratoire Anatomo et cytologie pathologiques (2 sites)
- Mme Myriam Dumas, cadre formateur École de puériculture
- Mme Christine Martin, cadre Hématologie et immunologie biologique (2 sites)
• Collège des personnels infirmiers, de rééducation et médico-techniques:
Groupe filière infirmière (13 titulaires et 5 suppléants):
Titulaires:
- Mme Delphine DESMAILLET, infirmière RMC GM
- Mme Monique Malleret, infirmière Chirurgie maxillo-faciale CHU Estaing
- Mme Stéphanie Faure, infirmière Médecine Interne CHU Estaing
- Mr Philippe Boudet, infirmier Direction informatique
- Mme Corinne Molette, cadre Anesthésie SSPI GM
- Mme Isaura Julien, infirmière Unité Les Dômes CMP B
- Mr Sébastien Cladiere, cadre Chirurgie vasculaire A
- Mme Marie-Sophie Chérillat, infirmière Santé publique
- M. Régis Treille, puériculteur Hémato-oncologie pédiatrique/ Hôpital de jour CHU Estaing
- Mme MALTERRE Valérie, cadre dermatologie Estaing
- Mme Prat Fabienne, infirmière Consultation addictologie CMP B
- Mme Garcia Emeline, infirmière endoscopie digestive CHU Estaing
- Mme Blancard Anne, infirmière Hygiène Hospitalière GM
Suppléants:
- Mr Prudhomme David, cadre endocrinologie GM
- Mme Sala Géraldine, infirmière Unité Gravenoire CMPB
- Mme Duboisset-Condé Florence, infirmière Unité Ravel CMP A
- Mme Vlaemynck Christelle, infirmière consultation psychiatrie CMP A
- Mme Gaillot-Payard Marie-José, infirmière bloc opératoire Bloc CCV GM
105
Groupe filière rééducation (1 titulaire, pas de suppléant):
Titulaire:
- Mme Bernadette Fournier, ergothérapeute Médecine Physique et Réadaptation CHU Hôpital Nord
Groupe filière médico-technique (2 titulaires, 2 suppléants):
Titulaires:
- M. Laurent De Brito, cadre Stérilisation Pharmacie GM
- Mme Éliane Juillard, technicienne de laboratoire Exploration fonctionnelle GM
Suppléants:
- Mme Danielle Murat, technicienne de laboratoire Anatomo-cytologie pathologique
- Mme Anne-Marie Touillon, technicienne de laboratoire Pharmocologie-toxicologie
• Collège des Aides-soignants et des auxiliaires de puériculture (4 titulaires et 3 suppléants):
Titulaires:
- M. Dominique Plane, aide-soignant Roulement RMND GM
- M. Antoine Mubenga, aide-soignant Stérilisation Pharmacie GM
- Mme Nathalie Boisson, aide-soignante Neurologie A GM
- M. Jean-François Revil, aide-soignant Cardiologie B2 GM
Suppléants:
- Mme Florence Lebard, aide-soignante Long séjour Mège CHU Hôpital Nord
- M. Serge Six, aide-soignant EEG Exploration fonctionnelle GM
- Mme Dalila Zitouni, aide-soignante Chirurgie maxillo-faciale CHU Estaing
• Collège des Agents des services hospitaliers qualifiés (2 titulaires, 1 suppléant):
Titulaires:
- Mme Nadine Nadeau, ASH Chirurgie maxillo-faciale CHU Estaing
- Mme Catherine Belin, ASH Roulement Pôle BLOC ARCHI GM
Suppléants:
- M. Dominique Tavarès, ASH UCP GM
Membres avec voix consultative :
1 : Les directeurs de soins et directeurs des écoles paramédicales rattachées au CHU
- Mme Marie-Christine Simon, Directrice IFSI / IFAS - M. Patrice Perrier-Gustin, Directeur IFCS / IFMEM - Mme Martine Mouchet, Directrice EIA /EIBO
Directrice École de puéricultrices/ IFAP - Mme Nadine Gaillard, Directrice des soins GM
- Mme Karine Carletta, Directrice des soins (ff)
CHU Estaing
2 : Un représentant de la Commission Médicale d’Etablissement
- M. le Pr Ousmane Traoré
3: Un représentant des étudiants de l’IFSI (3ème année)
4: Un représentant des étudiants de l’IFAS
5 : Un représentant des étudiants de l’IFMEM (3ème année)
106
LE COMITE D’HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL
(CHSCT)
Le CHSCT est l’instance consultative du CHU chargée de contribuer à la protection de la santé et de la sécurité
de l’ensemble des agents du CHU, ainsi qu’à l’amélioration de leurs conditions de travail.
Il se réunit obligatoirement au moins quatre fois par an, et chaque fois que les circonstances l’exigent, sur
la convocation de son Président, soit à l’initiative de ce dernier, soit à la demande motivée d’au moins deux
de ses membres représentants du personnel. Le CHSCT est également réuni dans les plus brefs délais en cas
d’urgence à la suite de tout accident ayant entraîné ou ayant pu entraîner des conséquences graves, ou à la
demande motivée de deux de ses membres représentant le personnel.
Le CHSCT est présidé par le Directeur Général ou son représentant. Jusqu’en 2014, il est composé de 9
LE COMITE
D'HYGIENE,
DE SECURITE
ET DES
DE TRAVAIL
(CHSCT)
représentants
du personnel
non médical
désignés
par CONDITIONS
les organisations
syndicales
suite aux résultats des
élections professionnelles aux CAP Départementales, et d’un représentant des médecins désigné par la CME.
Le CHSCT
est l’instance
consultative
CHU chargée
de contribuer
la protection
de la santé
et de lal’inspecteur
sécurité
A ces membres
délibérants,
s’ajoutent
desdu
membres
consultatifs
tels àque
les médecins
du travail,
de l’ensemble des agents du CHU, ainsi qu’à l’amélioration de leurs conditions de travail.
du travail ou un médecin chargé de l’hygiène…
Il se réunit obligatoirement au moins quatre fois par an, et chaque fois que les circonstances l’exigent, sur la
NB : A compter
des élections du 4 décembre 2014, les représentants du personnel non médical au CHSCT,
convocation de son Président, soit à l’initiative de ce dernier, soit à la demande motivée d'au moins deux de
sont désignés
par
les organisations
auLevuCHSCT
des résultats
obtenus
scrutin
du CTE.
ses membres
représentants syndicales
du personnel.
est également
réuniau
dans
les plus
brefs délais en cas
d’urgence à la suite de tout accident ayant entraîné ou ayant pu entraîner des conséquences graves, ou à la
demande
de deux
de différents
ses membres
représentant le personnel.
Compte tenu de lamotivée
répartition
des
Etablissements
qui composent le CHU, et afin d’installer des
Le CHSCT
est présidé
le Directeur
Général
ou son représentant.est
Jusqu’en
2014,
il est
composé
de 9
CHSCT au plus
près possible
dupar
personnel,
le CHU
de Clermont-Ferrand
doté de
deux
comités
regroupant
représentants
du
personnel
non
médical
désignés
par
les
organisations
syndicales
suite
aux
résultats
des
les sites suivants :
élections professionnelles aux CAP Départementales, et d’un représentant des médecins désigné par la CME. A
- CHSCT
ESTAINGdélibérants, s’ajoutent des membres consultatifs tels que les médecins du travail, l’inspecteur du
ces membres
travail
ou un médecin
chargé /deHOPITAL
l’hygiène…
- CHSCT
GABRIEL
MONTPIED
NORD
NB : A compter des élections du 4 décembre 2014, les représentants du personnel non médical au CHSCT,
Leur coordination
est assurée
des réunions
communes
deuxobtenus
CHSCT,auorganisées
par la Direction des
sont désignés
par lespar
organisations
syndicales
au vu desdes
résultats
scrutin du CTE.
RessourcesCompte
Humaines.
tenu de la répartition des différents Etablissements qui composent le CHU, et afin d’installer des
CHSCT au plus près possible du personnel, le CHU de Clermont-Ferrand est doté de deux comités regroupant
les sites suivants
:
Le Comité d’hygiène,
de sécurité
et des conditions de travail a pour mission :
CHSCT ESTAING
- de contribuer à la protection de la santé physique et mentale et de la sécurité des travailleurs de
CHSCT GABRIEL MONTPIED / HOPITAL NORD
l’établissement
et deest
ceux
mis àpar
sa des
disposition
par une entreprise
extérieure
;
Leur coordination
assurée
réunions communes
des deux CHSCT,
organisées
par la Direction des
- de contribuer
à l’amélioration des conditions de travail ;
Ressources Humaines.
- de veiller
à l’observation
des prescriptions
légales
prises
en ces
matières.
Le Comité
d'hygiène, de sécurité
et des conditions
de travail
a pour
mission
:
de contribuer à la protection de la santé physique et mentale et de la sécurité des travailleurs de
Le comité effectuel'établissement
des inspections
et mène
desentreprise
enquêtesextérieure
en matière
d’accidents de travail.
et dedans
ceux les
mis services
à sa disposition
par une
;
Il contribue à la- promotion
de àlal'amélioration
préventiondes
desconditions
risques professionnels
dans l’établissement.
de contribuer
de travail ;
de veiller à l'observation des prescriptions légales prises en ces matières.
En 2014, leLeCHSCT
réuni
comités’est
effectue
des:inspections dans les services et mène des enquêtes en matière d’accidents de travail.
Il contribue à la promotion de la prévention des risques professionnels dans l’établissement.
En 2014, le CHSCT s’est réuni :
SEANCES
GABRIEL MONTPIED / HOPITAL
ESTAING
REUNION COMMUNE
NORD
ORDINAIRES
Gabriel Montpied : 6
6
4
Hôpital Nord : 4
EXTRAORDINAIRES
Gabriel Montpied : 6
2
0
Hôpital Nord : 1
Par ailleurs, il est à noter pour l’année 2014, quelques sujets marquants abordés au CHSCT :
CHSCT
SUJETS
Hôpital Nord :
GABRIEL MONTPIED /
Installation des rails plafonniers
HOPITAL NORD
Restructuration du site et en particulier les unités EHPAD et USLD
Suivi de l’absentéisme
Suite à l’audit SECAFI, création de 2 groupes de travail : ressources humaines (accès à GESTOR pour
tous les agents, trames horaires et semaines sans rappel, alternance jour/nuit fatiguant pour les
agents) et ergonomie et conditions de travail (achat ou choix d’équipements ergonomiques tels que
les draps de glisse, analyse des AT les plus récurrents et recherche de solution)
ESTAING
ANAP : retravailler les organisations et conditions de travail dans les secteurs concernés en prenant en
ORDINAIRES
GM + HN
ESTAING
CGT
CGT
ARCOUTEL Danièle, Titulaire - Syndicat CGT (GM + HN)
SOULIER Agnès, Titulaire - Syndicat CGT (GM + HN)
AIGUEBONNE Serge, Suppléant - Syndicat CGT (GM + HN)
CHALET Philippe, Suppléant - Syndicat CGT (GM + HN)
Suppl Titu
Suppl Titu
Gabriel Montpied : 6
6
4
Hôpital Nord : 4
EXTRAORDINAIRES
Gabriel Montpied : 6
2
0
Hôpital Nord : 1
Par ailleurs,
est à noter
2014,
quelques
marquants
abordés
au CHSCT
:
Paril ailleurs,
il est àpour
noter l’année
pour l’année
2014,
quelques sujets
sujets marquants
abordés
au CHSCT
:
CHSCT
SUJETS
Hôpital Nord :
GABRIEL MONTPIED /
Installation des rails plafonniers
HOPITAL NORD
Restructuration du site et en particulier les unités EHPAD et USLD
Suivi de l’absentéisme
Suite à l’audit SECAFI, création de 2 groupes de travail : ressources humaines (accès à GESTOR pour
tous les agents, trames horaires et semaines sans rappel, alternance jour/nuit fatiguant pour les
agents) et ergonomie et conditions de travail (achat ou choix d’équipements ergonomiques tels que
les draps de glisse, analyse des AT les plus récurrents et recherche de solution)
ESTAING
ANAP : retravailler les organisations et conditions de travail dans les secteurs concernés en prenant en
compte notamment les remarques du rapport SECAFI
CHSCT extraordinaire relatif aux RPS du secteur digestif : enquête demandée par le CHSCT et conduite
par le SST et le psychologue du travail
Audit SECAFI relatif aux conditions de travail
REUNION COMMUNE
Restructurations ANAP
GAILLARD Jean-Michel, Titulaire - Syndicat FO (GM + HN)
LOUBERT-CHALIER Rosa, Titulaire - Syndicat FO (GM + HN)
MONTAGNER Jérôme, Titulaire - Syndicat FO (GM + HN)
BLANCHARD Bruno, Suppléant - Syndicat FO (GM + HN)
PAPON Richard, Suppléant - Syndicat FO (GM + HN)
PARAIRE Benjamin, Suppléant - Syndicat FO (GM + HN)
VILLEMIN Marie-Claude, Suppléant - Syndicat FO (GM + HN)
PASSELAIGUE Pascale, Titulaire - Syndicat SUD (GM + HN)
BATIAT Aline, Suppléant - Syndicat SUD (GM + HN)
FRANCOIS Delphine, Suppléant - Syndicat SUD (GM + HN)
FERRARA Marie-Claudine, Suppléant - Syndicat CGT (Estaing)
VILLET Max, Suppléant - Syndicat CGT (Estaing)
AUGIER Jean-Pierre, Titulaire - Syndicat FO (Estaing)
BILLOIS Eric, Titulaire - Syndicat FO (Estaing)
GUYOT Pascale, Titulaire - Syndicat FO (Estaing)
MOREL Martine, Titulaire - Syndicat FO (Estaing)
AUGIER Nadine, Suppléant - Syndicat FO (Estaing)
DA SILVA Arlette, Suppléant - Syndicat FO (Estaing)
PATRONE Daniel, Suppléant - Syndicat FO (Estaing)
VIGNAL Yves, Suppléant - Syndicat FO (Estaing)
SUD
Suppl Titu
Suppl Titu
SUD
FOULQUIER Thierry, Titulaire - Syndicat SUD (GM + HN)
MARTIN Michel, Titulaire - Syndicat CGT (Estaing)
FO
Titulaires
BERTHOMMIER Marielle, Titulaire - Syndicat FO (GM + HN)
Suppléants
Suppléants
Titulaires
FO
BRACHET Véronique, Titulaire - Syndicat CGT (Estaing)
UNSA
CHAVANAZ Claudine, Titulaire - Syndicat SUD (Estaing)
COLLAS Maïté, Titulaire - Syndicat SUD (Estaing)
FOULQUIER Thierry, Suppléant - Syndicat SUD (Estaing)
FRANCOIS Delphine, Suppléant - Syndicat SUD (Estaing)
UNSA
T
SEITER Muriel, Titulaire - Syndicat UNSA (GM + HN)
T
BRESSON Séverine, Titulaire - Syndicat UNSA (Estaing)
S
LASSALLE Bruno, Suppléant - Syndicat UNSA (GM + HN)
S
LASSALE Bruno, Suppléant - Syndicat UNSA (Estaing)
Monsieur le Docteur BOHATIER, Représentant CME (GM + HN)
Madame le Docteur FRANCANNET, Représentant CME (Estaing)
LE COMITE TECHNIQUE D’ETABLISSEMENT - CTE
Le CTE est l’instance consultative du CHU chargée de donner un avis sur les sujets ayant une incidence sur le
fonctionnement et sur l’organisation de l’établissement.
Il se réunit obligatoirement au moins une fois par trimestre.
Le CTE est présidé par le Directeur Général ou son représentant. Jusqu’en décembre 2014, il est composé de 18
représentants du personnel non médical élus issus de 3 collèges différents (A – B – C), et d’un représentant des
personnels médicaux désigné par la CME.
Lorsque l’ordre du jour du CTE comporte des questions intéressant l’hygiène, la sécurité et les conditions de
travail, un médecin du travail assiste avec voix consultative à la réunion du CTE. Le cas échéant, le médecin
responsable de l’hygiène hospitalière peut être convoqué pour des questions relatives à sa compétence.
NB : Le décret n°2014-822 du 18 juillet 2014 a supprimé la notion de collèges et revu le nombre de
représentants du personnel non médical (18  15 membres) à compter de la nouvelle composition du
CTE après les élections professionnelles du 4 décembre 2014.
Le Comité Technique d’Etablissement est obligatoirement consulté sur le projet d’établissement, les
conventions passées par le CHU, les orientations stratégiques de l’établissement et son plan de financement, la
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LE COMITE TECHNIQUE D’ETABLISSEMENT - CTE
Le CTE est l’instance consultative du CHU chargée de donner un avis sur les sujets ayant une incidence sur le
fonctionnement et sur l’organisation de l’établissement.
Il se réunit obligatoirement au moins une fois par trimestre.
Le CTE est présidé par le Directeur Général ou son représentant. Jusqu’en décembre 2014, il est composé de
18 représentants du personnel non médical élus issus de 3 collèges différents (A – B – C), et d’un représentant
des personnels médicaux désigné par la CME.
Lorsque l’ordre du jour du CTE comporte des questions intéressant l’hygiène, la sécurité et les conditions de
travail, un médecin du travail assiste avec voix consultative à la réunion du CTE. Le cas échéant, le médecin
responsable de l’hygiène hospitalière peut être convoqué pour des questions relatives à sa compétence.
NB : Le décret n°2014-822 du 18 juillet 2014 a supprimé la notion de collèges et revu le
nombre de représentants du personnel non médical (18 15 membres) à compter de la
nouvelle composition du CTE après les élections professionnelles du 4 décembre 2014.
Le Comité Technique d’Etablissement est obligatoirement consulté sur le projet d’établissement, les
conventions passées par le CHU, les orientations stratégiques de l’établissement et son plan de financement,
la politique générale de formation du personnel, les critères de répartition de la prime de service et de
technicité, la politique d’amélioration continue de la qualité de la sécurité des soins et de la gestion des
risques ainsi que les conditions d’accueil et de prise en charge des usagers,…
Il doit également être informé de la situation budgétaire (EPRD), des effectifs prévisionnels et réels de
l’établissement,…
En 2014, le CTE a été convoqué à 8 reprises dont 5 réunions au cours desquelles le quorum n’a pas été réuni.
Par conséquent, seuls 3 CTE ont donné lieu à avis et votes.
Par ailleurs, il est à noter pour l’année 2014, quelques sujets marquants abordés au CTE :
Par ailleurs, il est à noter pour l’année 2014, quelques sujets marquants abordés au CTE :
CTE
AVIS
VOEUX
SUJETS
Feuille de route ANAP
Réorganisation de l’unité BERLIOZ en Psychiatrie
Convention avec le FIPHFP
Modification des modalités de calcul des indemnités forfaitaires techniques et primes de
technicité
"Les délégués du personnel demandent :
- à ce qu'un financement soit trouvé pour que tous les agents qui ont réussi un concours
d'entrée dans le cadre d'une mesure d'études promotionnelles puissent en bénéficier sans
report ;
- à augmenter le nombre de départs à l'école d'AS dès la rentrée 2014"
Liste des membres du CTE
Titulaires
Suppléants
COLLEGE A
CGT
BRACHET Véronique
N'GUYEN Josefa
AVEL Sandrine
AUGIER Corinne
ROUZEAU Danielle
DAYRAS Michelle
SUD
FOULQUIER Thierry
FRANCOIS Delphine
UNSA
MEVIAL Pascal
SAUNIERE Jonathan
FO
COLLEGE B
report ;
- à augmenter le nombre de départs à l'école d'AS dès la rentrée 2014"
Liste des membres du CTE
Liste des membres du CTE
Titulaires
Suppléants
COLLEGE A
CGT
BRACHET Véronique
N'GUYEN Josefa
AVEL Sandrine
AUGIER Corinne
ROUZEAU Danielle
DAYRAS Michelle
SUD
FOULQUIER Thierry
FRANCOIS Delphine
UNSA
MEVIAL Pascal
SAUNIERE Jonathan
FO
COLLEGE B
CGT
ARCOUTEL Danielle
TASCONE Pascal
RELLIER Michelle
FO
DERRIEN Joël
BARRIERE Bruno
SUD
CHAVANAZ Claudine
PASSELAIGUE Pascale
COLLEGE C
CGT
FO
SUD
MARTIN Michel
AIGUEBONNE Serge
FERRARA Marie-Claudine
LABOURIER Alain
PERONY Patrick
SOULIER Agnès
LOUBERT-CHALIER Rosa
VIGNAL Yves
CHALIER Daniel
MOREL Gérard
GAILLARD Jean-Michel
MOREL Martine
GUYOT Pascale
AUGIER Jean-Pierre
BERTHOMMIER Marielle
BONHOMME Julien
CIBERT Christophe
COLLAS Marie-Thérèse
LES COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES LOCALES – CAP
LES COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES LOCALES - CAP
Les Commissions administratives paritaires locales (CAPL) sont des instances consultatives représentant les
personnels. Elles sont obligatoirement consultées sur les questions d'ordre individuel concernant les agents,
Les
Commissions
administratives
paritaires
locales (CAPL)
sontavancement
des instances
représentant
les
notamment
en matière
de titularisation,
avancement
d'échelon,
deconsultatives
grade, inscription
sur une liste
personnels.
d'aptitude, ...Elles sont obligatoirement consultées sur les questions d’ordre individuel concernant les agents,
notamment
en matièreà de
titularisation,
avancement d’échelon,
avancement
dereprésentants
grade, inscription
sur une
Les CAPL comprennent
nombre
égal des représentants
de l'administration
et des
du personnel.
liste
... de membres titulaires et suppléants.
Elles d’aptitude,
sont composées
Les CAPL comprennent à nombre égal des représentants de l’administration et des représentants du
personnel. Elles sont composées de membres titulaires et suppléants
Les CAPL se sont réunies 4 fois en 2014.
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Les CAPL comprennent à nombre égal des représentants de l'administration et des représentants du personnel.
Elles sont composées de membres titulaires et suppléants.
Les CAPL se sont réunies 4 fois en 2014.
Representants De L’administration Aux Commissions Administratives Paritaires Locales
REPRESENTANTS DE L'ADMINISTRATION AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES LOCALES
COMMISSION
SIEGE
TITULAIRE
SUPPLEANT
C.A.P. 1
Personnels d’encadrement technique
N° 1
N° 2
M BASTARD
Mme BUISSON
Mme DURIS
M JAMET
C.A.P. 2
Personnels des services de soins, Médicotechniques et sociaux
N° 1
N° 2
N° 3
N° 4
N°5
M BASTARD
Mme BUISSON
Mme RIBEROLLES
Mme PERRON
M POINAS
Mme DURIS
Mme LOCQUET
Mme NOUHEN
M JAMET
Mme LACOMBE
N° 1
M BASTARD
Mme RIBEROLLES
C.A.P. 4
Personnels d’encadrement technique et
ouvrier
N° 1
N° 2
M BASTARD
Mme BUISSON
Mme DURIS
M JAMET
C.A.P. 5
Personnels des services de soins, Médicotechniques et sociaux
N° 1
N° 2
N° 3
N° 4
M BASTARD
Mme BUISSON
Mme RIBEROLLES
Mme PERRON
Mme DURIS
Mme LOCQUET
Mme NOUHEN
Mme GAILLARD
C.A.P. 6
Personnels d’encadrement administratif et
des secrétariats médicaux
N° 1
N° 2
N° 3
M BASTARD
Mme BUISSON
Mme RIBEROLLES
Mme DURIS
Mme LOCQUET
Mme NOUHEN
C.A.P. 7
Personnels techniques et ouvriers
N° 1
N° 2
N° 3
M BASTARD
Mme BUISSON
Mme RIBEROLLES
Mme DURIS
Mme LOCQUET
Mme NOUHEN
C.A.P. 8
Personnels des services de soins, Médicotechniques et sociaux
N° 1
N° 2
N° 3
N° 4
N° 5
M BASTARD
Mme BUISSON
Mme RIBEROLLES
Mme PERRON
M POINAS
Mme DURIS
Mme LOCQUET
Mme NOUHEN
M JAMET
Mme LACOMBE
C.A.P. 9
Personnels administratifs
N° 1
N° 2
N° 3
M BASTARD
Mme BUISSON
Mme RIBEROLLES
Mme DURIS
Mme LOCQUET
Mme NOUHEN
CORPS DE CATEGORIE A
C.A.P. 3
Personnels d’encadrement administratif
CORPS DE CATEGORIE B
CORPS DE CATEGORIE C
111
Representants Du Personnel Aux Commissions Administratives Paritaires Locales
REPRESENTANTS DU PERSONNEL AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES LOCALES
COMMISION
GROUPE
1- Pers.Techniques
CORPS DE
CATEGORIE A
2- Pers. Soignants
3- Pers. Administratifs
4- Pers.Techniques
CORPS DE
CATEGORIE B
5- Pers. Soignants
6- Pers. Administratifs
7- Pers.Techniques
CORPS DE
8- Pers. Soignants
CATEGORIES C
9- Pers. Administratifs
Syndicat
TITULAIRE
SUPPLEANT
FO
GONZALES Jean-Jacques
ROUZEAU Danielle
FO
BOIGE Jean Jacques
CGT
FO
DELEUZE Christine
ROSSI Nadine
N’GUYEN Josepha
POUGET Suzanne
FO
AVEL Sandrine
RAMEAU Nadine
SUD
FRANCOIS Delphine
DUMONT Céline
UNSA
MEVIAL Pascal
SAUNIERE Jonathan
FO
BOUTONNET Myriam
MANTIN Patricia
FO
DERRIEN Joël
GROUEIX Stephane
FO
BARRIERE Bruno
DURIER Gilles
CGT
BELAUBRE Thierry
LAYBROS Patricia
CGT
ARCOUTEL Danielle
BOSCHER Jacqueline
FO
AUGIER Nadine
LACOSTE Carine
SUD
CHAVANAZ Claudine
PASSELAIGUE Pascale
CGT
CGT
RELLIER Michelle
GALTIER Christine
PARRAGA Marie Isabelle
SUD
COELHO Fabienne
GIRAUDET Didier
CGT
FO
FO
PERONY Patrick
VIGNAL Yves
BILLOIS Eric
CHALET Philippe
BARRIERE Lionel
MONTAGNER Jérôme
CGT
AIGUEBONNE Serge
DUFRAISSE Bernadette
CGT
FO
FO
RODIER Eric
LOUBERT CHALIER Rosa
GUYOT Pascale
PLANE Philippe
GAILLARD Jean-Michel
BLANCHARD Bruno
FO
MOREL Martine
DRAVERT Sandrine
CGT
FO
SUD
FERRARA Marie-Claudine
MOREIRA Emilie
GUILLOT Anne Marie
SOULIER Agnès
BOURGUET Agnès
BATIAT Aline
CHU de Clermont-Ferrand
58 rue Montalembert
63003 Clermont-Ferrand Cedex 1
04.73.750.750
www.chu-clermontferrand.fr

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