rapport d`activite - CHU de Clermont
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rapport d`activite - CHU de Clermont
RAPPORT D’ACTIVITE 2014 CHU de Clermont-Ferrand Gabriel-Montpied Estaing Hôpital Nord 1 © Création graphique et crédits photos: Service communication - CHU de Clermont-Ferrand 58 rue Montalembert - 63003 Clermont-Ferrand Edito Alain MEUNIER Directeur Général Pr Henri LAURICHESSE Président CME Pr Jean CHAZAL Doyen Faculté de médecine L e rapport d’activité 2014 du CHU retrace le bilan et les temps forts de l’année écoulée. Il témoigne de la dynamique et de l’engagement de nos équipes soignantes, administratives et techniques au service de la santé de la population de notre territoire. Le CHU par sa triple mission de soins, d’enseignement et de recherche joue un rôle majeur dans l’offre de soins de proximité pour l’agglomération clermontoise et se pose comme établissement de référence pour les activités de recours en Auvergne. 2014 : année de la performance Comme un symbole, au moment où les feux de la rampe saluaient en ce début d’année 2014 l’exceptionnelle performance d’un perchiste auvergnat, notre CHU s’engageait sur le chemin de la performance et de l’efficience avec la définition d’une figure imposée dénommée « feuille de route ANAP ». La déclinaison de cette feuille de route obligatoire, et nécessaire, pour permettre à l’établissement de consolider sa situation financière et reconstituer une capacité d’autofinancement à la hauteur des projets du CHU alimentera la réflexion institutionnelle autour de la révision capacitaire, du développement de la chirurgie ambulatoire, de la réorganisation des blocs opératoires… Dans ce contexte difficile, le CHU a réussi à maintenir son effort de modernisation comme en témoignent l’ouverture du centre de soins dentaires ou bien l’extension du plateau technique d’imagerie avec le projet IMABLOC notamment. De même l’engagement du CHU dans la coopération territoriale ou régionale a été une nouvelle fois une contribution décisive au maintien ou à la consolidation de l’offre de soins dans d’autres hôpitaux. Soucieux des efforts budgétaires et de gestion indispensables au maintien d’une capacité d’investissement qui conditionne l’excellence, le CHU, grâce à l’engagement de toutes ses équipes, a rempli sa mission par une activité soutenue et reconnue de soins, d’enseignement et de recherche. Ce rapport 2014 dont nous vous invitons à prendre connaissance, vous en décrit la diversité et l’importance. sommaire Sommaire 1 2 I. Le CHU et son positionnement territorial II. Le CHU : un acteur majeur de l’offre de soins  3 1. Le CHU .........................................................................................................8 • Présentation des spécialités médicales par site et capacité d’accueil ............................................................................................8 • Principaux équipements des plateaux médico-techniques et du plateau technique informatique .................................................10 2. Fréquentation 2014 des services du CHU ...................................................11 • Origine géographique des patients .................................................11 • Pyramide des âges ...........................................................................12 • Attractivité du CHU ..........................................................................12 • Le CHU dans la Région .....................................................................13 1. L’activité globale du CHU ...........................................................................18 • Les entrées MCO ...........................................................................18 • La répartition des séjours MCO .......................................................19 • Les consultations ............................................................................20 • Mode de sortie ................................................................................20 2. L’activité du plateau technique ...................................................................21 • L’activité des blocs opératoires .......................................................21 • La cardiologie ..................................................................................21 • L’activité obstétricale .......................................................................21 • Les endoscopies digestives ...............................................................21 3. L’activité médico-technique .......................................................................22 • Les laboratoires ...............................................................................22 • L’imagerie ........................................................................................24 • La pharmacie ...................................................................................25 4. Les activités ciblées ....................................................................................29 • Les urgences ....................................................................................29 • La cancérologie au CHU ...................................................................30 • Les prélèvements et transplantations d’organes et de tissus ..........33 5. L’évolution médico-économique de l’activité .............................................34 • Part des recettes T2A et nombre de séjours par CMD ....................34 • Recettes 100% T2A par type de valorisation ...................................35 • Recettes 100% T2A par pôle en K€ ..................................................36 III. L’actualité 2014 1. Les pôles .....................................................................................................38 • Les pôles et leurs projets .................................................................38 • Interviews ........................................................................................42 2. Les temps forts 2014 ..................................................................................45 4 5 IV. Le CHU : pivot de la coopération régionale V. L’activité de recherche et d’enseignement : une dynamique hospitalo-universitaire 6 7 8 1. Stratégie du CHU en matière de coopération interhopitaliere ...............50 2. Les différentes formes de partenariats ...................................................50 3. La communauté hospitaliere de territoire ..............................................52 4. Renforcement de la collaboration avec le Service de Santé des Armées ........52 5. Partenariat avec le CLCC Centre Jean Perrin ...........................................53 1. Enseignement et formation .....................................................................56 • La formation délivrée par les instituts et écoles paramédicales du CHU ..........................................................................................56 • La formation continue des non-médicaux et des sagesfemmes .........................................................................................57 • Le développement professionnel continu ....................................58 • Le centre de formation des professionnels de santé ....................60 2. La recherche ............................................................................................61 VI. Moyens et ressources au service du patient 1. Les ressources humaines .........................................................................66 2. La direction des soins ..............................................................................69 3. Les ressources matérielles .......................................................................72 4. La logistique ............................................................................................76 5. Le système d’information ........................................................................79 6. La qualité : une démarche au quotidien ..................................................81 VII. Les finances 1. Résultats d’exploitation consolidé 2014 ..................................................90 2. Capacité d’autofinancement (CAF) ..........................................................91 3. Les investissements et leurs financements .............................................91 4. Compte de résultat principal ...................................................................92 5. Compte de résultat principal 2014 ..........................................................93 VIII. L’organisation hospitalière du CHU de ClermontFerrand 1. Logigramme de gouvernance ..................................................................96 .................................................................97 2. Logigramme de Direction 3. Les instances ...........................................................................................98 1 Le CHU et son positionnement territorial 8 1.Le CHU Les activités de soins sont regroupées sur trois sites hospitaliers : Saint-Jacques, Cébazat, Estaing . En tout, se sont 1 963 lits, places et postes qui sont installés au CHU de Clermont -Ferrand. St. Jacque Site s Le CHU Gabriel Montpied, siège du SAMU 63, dispose notamment d’un service des urgences adultes, d’unités de réanimation, d’une unité de dialyse et des spécialités médicales et chirurgicales suivantes : • cardiovasculaire et chirurgie • cardiaque vasculaire • centre d’évaluation et de traitement de la douleur • chirurgie générale à compétence thoracique et vasculaire • chirurgie plastique et reconstructive • endocrinologie et maladies métaboliques • maladies infectieuses et tropicales Gabriel-Montpied • • • • • • • • • • médecine du sport médecine interne neurologie et neurochirurgie nutrition clinique ORL et ophtalmologie orthopédie et traumatologie pneumologie rhumatologie urologie et néphrologie psychiatrie Dialyse 785 lits et places de médecine et chirurgie dont 752 lits et 33 places 24 postes de dialyse Centre médico-psychologique 300 lits et places de psychiatrie dont 189 lits, 71 places et 40 places de CATTP* Le CHU Hôpital Nord regroupe particulièrement les spécialités liées aux personnes âgées : • médecine physique et • unité de long séjour réadaptation • EHPAD • soins de suite et de réadaptation • soins palliatifs Hôpital Nord 309 lits et places de médecine, moyen, long séjour et EHPAD 294 lits et 15 places de MPR * CATTP: Centre d’accueil thérapeutique à temps partiel Site Cébazat 9 Site Estaing Le CHU Estaing associe un hôpital mère‐enfant et d’autres spécialités médicales et chirurgicales : • pédiatrie générale • néonatologie • réanimation pédiatrique et néonatale • chirurgie infantile • cancérologie pédiatrique • urgences pédiatriques • génétique médicale • chirurgie digestive • • • • • • • • • gynécologie / obstétrique biologie de la reproduction chirurgie maxillo‐faciale dermatologie hématologie clinique hépato‐gastro‐entérologie médecine interne réanimation adulte odontologie Estaing 545 lits, places et postes de médecine, chirurgie et obstétrique dont 456 lits et 85 places et 4 postes de dialyse et d’aphérèse pédiatrique Répartition par discipline ... ... des lits 110 - 6% ... des places 114 - 7% 15 - 8% 56 - 3% 71 - 35% 189 - 11% 72 - 35% 721 - 43% 98 - 6% 23 - 11% 403 - 24% 23 - 11% 10 Principaux équipements des plateaux médicaux-techniques Imagerie RADIO 4 scanners dont 1 scanner interventionnel IMABLOC depuis mai 2014 3 IRM dont 1 IRM 3T (dédiée à 50% à la Recherche) 10 échographes Doppler 14 salles de radiologie numérisée 1 salle de radiologie interventionnelle 4 salles de radiologie vasculaire mais seulement 3 salles fonctionnelles en 2014 (2 salles fermées successivement pour travaux depuis l’arrivée de la 4ème salle d’angiographie IMABLOC en mai 2014) Les réanimations 66 lits de réanimation adultes (médicale - médico- chirurgicale - neuro - CCV) 4 lits de réanimation pédiatrique Néonatologie : 21 lits + 10 lits de réanimation + 12 lits de Soins Intensifs Blocs opératoires et sites assimilés 1 lithotripteur 2 blocs centraux - site Estaing : 14 salles - site Gabriel Montpied : 16 salles dont 2 dédiées aux urgences et 1 aux prélèvements multi organes 1 bloc ambulatoire (4 salles dont 1 laser) 1 bloc CCV (3 salles) 1 bloc obstétrical composé de 6 salles de naissances, 3 de pré-travail et de 2 salles d’interventions pour césariennes et interventions obstétricales 1 plateau médico-technique de cardiologie équipé de 2 salles de coronarographie, 1 salle d’implantologie, 2 salles d’électrophysiologie et 1 salle dédiée aux urgences douleurs thoraciques 1 plateau endoscopie digestive de 4 salles Laboratoires 9 automates de biochimie et d’immunoanalyses dont 1 plateforme automatisée et robotisée 11 automates d’hématologie immunologie dont une chaîne robotisée de cytologie 1 plateforme de cytométrie en flux avec trieur de cellules 6 automates de virologie dont une plateforme pour les charges virales 7 automates en bactériologie dont une plateforme d’identification bactérienne et d’antibiogramme 2 automates et une plateforme de 4 LC/MS/MS, de 2 CPG/Masse, d’1 GCMS/MS, d’HPLC en pharmacologie toxicologie 6 automates en anatomopathologie Des postes d’analyses d’images en cytogénétique 1 laboratoire haute sécurité L3 (réseau Biotox et Piratox ) 11 Principaux équipements du plateau technique informatique Moyens mis à disposition Infrastructure 3 857 postes fixes et 604 portables 1 650 imprimantes 3 892 postes téléphoniques fixes 1 600 postes téléphoniques mobiles 610 bornes WIFI 570 bornes DECT 2.Fréquentation 2014 des services du CHU Origine géographique des patients Le statut du CHU au niveau régional correspond à un rôle d’établissement de recours pour les activités de médecine, chirurgie, obstétrique : maternité de niveau 3, diagnostic prénatal, PMA, gynécologie, prise en charge de la douleur, cancérologie, transplantations et greffes d’organes et cellules, chirurgie cardiaque, radiologie interventionnelle, neurochirurgie, polytraumatisés, unité neurovasculaire, obésité, génétique... La vocation régionale du CHU s’exerce en s’appuyant sur son plateau technique spécialisé en imagerie et biologie médicale, sur ses missions d’intérêt général, notamment centres de références, centres de compétences et vigilances, équipe mobile gériatrique, de l’éducation thérapeutique, de la médecine légale, du centre de ressources pour les intervenants auprès des auteurs de violences sexuelles (CRIAVS). Allier 9,4 % Puy-de-Dôme 83,4 % Cantal 4,1 % Haute-Loire 3% 91,9% des patients sont originaires de la région Auvergne, ce qui confirme le rôle et la vocation du CHU au sein de sa région. 24,5 % des patients viennent de Clermont-Ferrand et 73,2 % du Grand Clermont. Le CHU a également un rôle de proximité : près de 3/4 des patients hospitalisés sont originaires du Grand Clermont. 16,6% des patients sont issus de l’Auvergne hors Puy-de-Dôme, le recrutement le plus important après le Puy-de-Dôme se faisant dans le département de l’Allier (9,4%). 12 CHU de Clermont-Ferrand - Rapport d’activité 2013 Pyramide des âges des patients hospitalisés, hors naissances SourcePyramide PmsiPilotdes ages 2014, hors naissances Source PmsiPilot CHU de ClermontEn 2014, l’âge moyen des patients hospitalisés au CHU, toutes disciplines confondues, est de 54,54 ans pour les hommes et de 52,71 ans pour les femmes. 100 ans Attractivité du CHU 90 ans 80 ans 29,3% des patients ont plus de 70 ans. De manière générale, le profil des malades hospitalisés Attractivité du la CHU s’illustre par forte proportion de personnes de plus de 60 ans : 53,6% chez les hommes et plus de 46% Femme chez les femmes. 70 ans 60 ans 50 ans Homme Par ailleurs, du fait de la forte activité d’obstétrique du CHU, la tranche d’âge des 25 à 44 ans est largement représentée par les femmes. 23% des femmes hospitalisées se trouvent dans cette tranche d’âge (soit 12 211 femmes), contre 10,72% pour les hommes (6444 hommes hospitalisés). 40 ans 30 ans 20 ans 10 ans 0 an 1500 CHU deCHU Clermont-Ferrand - Rapport d’activité 2013 2013 de Clermont-Ferrand - Rapport d’activité 1000 femmes 500 0 500 1000 1500 hommes Attractivité du CHU Attractivité du CHU Attractivité du CHU Incidence d’hospitalisation Incidence d’hospitalisation Incidence d’hospitalisation Chirurgie Médecine Médecine Incidence d’hospitalisation Incidence d’hospitalisation Médecine Médecine Incidence d’hospitalisation Incidence d’hospitalisation Incidence d’hospitalisation Chirurgie Chirurgie Incidence d’hospitalisation Médecine Incidence d’hospita Chirurgie Incidence d’hospitalisation IncidenceObstétrique d’hospitalisation Obstétrique Pour 100 000 habitants Chirurgie Incidence d’hospitalisation Obstétrique ) 1000 500 - 999 200 - 499 100 - 199 50 - 99 Pour 100 000 habitants ) 1000 500 - 999 200 - 499 100 - 199 50 - 99 < 50 7 < 50 13 Le CHU dans la région Positionnement dudans CHU dans la Région Positionnement du CHU la région S É A N C E S Discipline (Classif Aso de l'ATIH) Séjours PdM Classemt région Dpt Médecine (hors séances) 53 834 26,4% 1er Principal concurrent 2ème. CH VICHY Chirurgie 22 058 16,5% 1er 2ème. CL CHATAIGNERAIE - BEAUMONT Obstétrique 6 104 30,0% 1er 2ème. CL CHATAIGNERAIE - BEAUMONT TOTAL ACTIVITE MCO hors séances 81 996 22,9% 1er 2ème. CL CHATAIGNERAIE - BEAUMONT Dialyse 13 615 20,3% 1er 2eme CENTRE D HÉMODIALYSE AURA Transfusion 1 938 38,4% 1er 2ème POLE SANTE REPUBLIQUE - CLERMONT Chimiothérapie 12 671 20,7% 1er 2ème POLE SANTE REPUBLIQUE - CLERMONT Chimiothérapie non tumorale 4 068 47,8% 1er 2ème. CH VICHY Aphérèse sanguine 630 91,3% 1er 2ème. CH VICHY Oxygénothérapie hyperbare 9 100,0% TOTAL ACTIVITE MCO 114 918 20,8% 2ème. CENTRE REGIONAL JEAN PERRIN 1er Virage ambulatoire Positionnement des activités du CHU dans la Région CHU Médecine Chirurgie Obstétrique Etablissements publics Etablissements privés Total Séjours 0 48 % Interventions 0 Naissances 3 894 45,2 % 2 235 7 050 13 179 28,7 % Le taux de chirurgie ambulatoire constaté en 2014, 28,7% reste en retrait de la moyenne nationale ou régionale mais se situe toutefois dnas la moyenne supérieure des taux des CHU (source ATIH). 14 Périnatalité en Auvergne «20 ans de restructuration - situation comparée 1996/2014» Cartographie Public Montluçon Moulins Moulins Montluçon Privé Niveau 3 Vichy Vichy Niveau 2 Niveau 1 Riom Beaumont Thiers Clermont-Fd Aurillac St Flour Thiers Beaumont Clermont-Fd Ambert Issoire Mauriac CPP Brioude Ambert Issoire Mauriac St Flour Le Puy Brioude Le Puy Aurillac Part des naissances au CHU sur la Région Auvergne : 29,55% (3 894 naissances au CHU / 13179 en Auvergne) En terme de nombre de naissance, en 2014, le CHU est la 21ème maternité de France. Effet Estaing sur activité public - privé en Auvergne 15 Comment naît-on à Estaing ? Primipares • 41,12 % Sièges • 4,3% des accouchements • Dont 33% par voie basse Multiples • 2,5 % des accouchements • Dont 45 % par voie basse Césariennes (N = 677) • Programmées 30,86 % • Urgence = 73% - De jour = 27,8% - De nuit = 41, 4 % Mortalité Périnatale • Globale = 0,95% • Corrigée des IMG = 0,44% Interruption Médicales de grossesses • après 22 SA : 40 à 55 par an 2 Le CHU un acteur majeur de l’offre de soins 18 1.L’activité globale du CHU Les entrées MCO Globalement l’activité du CHU progresse en 2014 de + 3%, cette évolution doit être nuancée car elle repose sur une forte progression de l’activité d’Hôpital de jour de + 8,5% associé à une diminution des séjours d’hospitalisation complet supérieur de -0,7%. Hospitalisation < 24H Hospitalisation > 24H Evolution en % 7,2 % 13,7 % 6,7 % 7,9 % -3,4 % 5,0 % 30 009 17 701 6 430 54 140 Evolution en % -0,6 % -2,0 % 2,9 % -0,7 % 54 140 -0,7 % TOTAL HOSPITALISATION (entrées directes) Cumul à fin décembre 2014 Médecine (hors dialyses) Chirurgie Obstétrique Total séjours Dialyses Total MCO 36 089 5 479 3 266 44 834 13 775 58 609 2014 2014 66 098 23 180 9 696 98 974 13 775 112 749 Evolution en % 3,5 % 1,3 % 4,2 % 3,0 % -3,4 % 2,2 % Source GAM Source :: GAM Dans les données administratives (GAM), le décompte des séjours se matérialise dès l’entrée alors que dans le décompte médical, le séjour se comptabilise à la sortie du patient. Ce qui explique les écarts observés entre les données administratives et les données médicales. Médecine adulte (hors réanimation et hors UHCD) Médecine pédiatrique (hors réanimation et hors Hausse de l’activité de 4% (soit + 1905 entrées Urgences) directes) avec : L’activité de médecine pédiatrique (HC+HJ) est en • - 0,7% d’entrées directes en hospitalisation > 24H hausse : +9,8% soit +566 entrées directes à • + 7,2% d’entrées directes en hospitalisation < 24H fin décembre : Pédiatrie (y compris SC) : L’activité augmente de Activité de réanimation adulte 1,7%, répartie comme suit : Le nombre d’entrées directes • Diminution des entrées en hospitalisation > 24H en réanimation adulte est en (-7%), soit 108 entrées de moins hausse avec : • Augmentation des entrées en hospitalisation < 24H • +87 entrées, soit une (+11,9%) , soit 155 entrées de plus hausse de 8,1% • La DMS recule de 9,72 jours Cancérologie pédiatrique (y compris SC) : L’activité augmente de 17,5%, répartie comme suit : à 8,81 jours • + 13,6%, pour les hôpitaux de jour : - HJ cancéro : + 412 entrées directes - HJ aphérèse : - 90 entrées directes Dialyses Les dialyses • + 143 entrées en hospitalisation complète > 24H (HC + SC cancéro). La DMS est de 3,47 jours. 14 000 12 000 10 000 11 489 12 268 13 709 14 263 13 775 8 000 Néonatologie : Activité en hausse avec + 38 entrées directes totales. La DMS est de 13,07 jours. 6 000 4 000 2 000 0 2010 2011 2012 2013 2014 Décès 1% Transfert vers établissement hors CHU 5% Mutation vers SSR, Psy ou SLD 1% 19 Activité de réanimation pédiatrique Activité de réanimation pédiatrique : L’activité recul par rapport à décembre 2013 avec -70 entrées directes soit – 19,8%. Chirurgie En 2014, la chirurgie adulte est en hausse par rapport à 2013, soit + 1,8 % : • Hospitalisation > 24H : - 194 entrées directes • Hospitalisation < 24H : + 560 entrées directes L’activité de chirurgie pédiatrique enregistre une baisse de 4,1% d’activité par rapport à 2013 : • Hospitalisation > 24H : - 174 entrées directes • Hospitalisation < 24H : + 92 entrées directes Gynécologie-obstétrique L’activité de gynécologie-obstétrique a connu une forte évolution lors de l’ouverture du site Estaing. Après une baisse d’activité en 2013, l’activité retrouve en 2014 un niveau équivalent à celui de 2012. Notons que le nombre d’accouchements à lui aussi augmenté en 2014, avec environ 240 naissances de plus qu’en 2013 soit 3 894 naissances en 2014. Répartition des RSS 2014 2011 Interruption Volontaire de Grossesse dont IVG par mode médicamenteux Fécondation in vitro - prélèvement Fécondation in vitro - transfert 2012 1 181 1 095 312 305 744 759 1 067 2013 2014 DIM 1 359 1 145 Obstétrique 5% 328 DIM321 726 DIM756 1 079Chirurgie 980 DIM 1 353 19% La répartition des séjours MCO Médecine 76% contre 112 897 en 2013. • L'activité globale du CHU a connu en 2014 une croissance avec 115 636 séjours (RSS) • L'activité de médecine représente 75,5% de l'activité totale MCO, et génère près de 55% des recettes. • L'activité de chirurgie représente 19,2% des séjours et presque 41% des recettes. Répartition des RSS 2014 Répartition des RSS 2014 Répartition de la Valorisation des séjours 20142014 Répartition de la Valorisation des séjours Obstétrique Obstétrique 4% 4% Obstétrique Obstétrique 5% 5% Chirurgie Chirurgie 19% 19% Chirurgie Chirurgie 42% 42% Médecine Médecine 76% 76% Source : PMSI Pilot Médecine Médecine 54% 54% Source : PMSI Pilot Ces recettes incluent la tarification issue des GHS, les suppléments de réanimation, de soins intensifs et de Répartition la Valorisation séjoursspécifiques. 2014 surveillance continuede ainsi que les tarifsdes et forfaits Obstétrique 4% Chirurgie 42% Médecine 54% 20 Durée Moyenne de Séjours et Taux d’occupation Transfert vers établissement hors CHU 5% Taux d'occupation Taux d'occupation Taux d'occupation Durée de Séjour(responsabilité(responsabilité Durée Moyenne deMoyenne Séjour Durée deMoyenne Séjour(responsabilité Mutation vers SSR, Psy ou SLD 1% Cumul à fin décembre Cumul à fin décembre 2013 2014 Cumul à fin décembre 2013 Médecine Médecine (hors dialyses)(hors 6,84 (hors dialyses) 6,55 Médecine dialyses) 6,84 Chirurgie 6,05 Chirurgie Chirurgie 6,05 5,99 Obstétrique Obstétrique Obstétrique 4,57 4,62 4,57 Total séjoursTotal séjoursTotal 6,34 séjours6,34 6,16 Evolution 2013 2014 N-1 6,84 -0,29 6,55 6,05 -0,06 5,99 4,57 0,05 4,62 6,34 -0,18 6,16 d'hebergement) d'hebergement) d'hebergement) Evolution Evolution 2014 2013 2014 N-1 N-1 6,55 -0,29 94,86% 95,93% -0,29 94,86% 5,99 -0,06 83,07% 83,29% -0,06 83,07% 4,62 0,05 77,24% 74,43% 0,05 77,24% 6,16 -0,18 90,77% 90,79% -0,18 90,77% 2014 2013 2013 94,86% 95,93% 83,07% 83,29% 77,24% 74,43% 90,77% 90,79% 95,93 83,29 74,43 90,79 Source : GAM Source Source:: GAM GAMSource : GAM La baisse régulière des durées de séjours , en hospitalisation complète (passage de 6,44 en 2013 à 6,16 jours en 2014), nous amène en 2014 à nous situer dans la moyenne nationale (IPDMS 100%). Les taux d’occupation enregistrés au niveau de l’établissement sont satisfaisants au regard de l’activité de recours réalisée. La restructuration du schéma capacitaire engagée en 2014 (74 lits supprimés) et concrétisée en fin d’année 2014 aura un impact en année pleine en 2015. Les consultations 14 263 13 775 2013 2014 Dossiers typés « EXTERNE » ayant fait l’objet de la cotation d’un ou plusieurs actes 470 482 496 426 Source : GAM Mode de2014sortie 2013 Décès 1% Transfert vers établissement hors CHU 7% 5% Mutation vers SSR, Psy ou SLD 1% Retour à domicile 91% 81% Source : PMSI Pilot 21 2.L’activité du plateau technique L’activité des blocs opératoires Estaing Gabriel Montpied Bloc Central 76 Urologie 1 636 Chirurgie vasculaire 1 985 Ortho-traumato 3 012 Chirurgie thoracique 331 Neurochirurgie 1 881 Chirurgie ambulatoire 3 457 ORL 2 528 Chirurgie gynécologique 3 587 Chirurgie infantile 1 839 Chirurgie maxillo-odonto 1 838 Neurochirurgie pédiatrique 18 Urgences CHGE Chirurgie digestive 27 Chirurgie infantile orthopédique 3 Chirurgie infantile viscérale 5 Bloc Obstétrical 2 997 977 Chirurgie Cardio vasculaire 1 176 Ophtalmologie TOTAL 901 La cardiologie interventionnelle 2013 Procédures de coronographies/angioplasties 2014 Evolution 3 725 3 864 3,5% 155 219 34,8% dont coronographie 2 015 2 062 2,5% dont angioplasties et coronographies 1 177 1 175 0,6% 378 408 5,6% 1 359 1 460 6,8% dont angioplasties dont autres procédures (KT, TAVI, Vulcoplastie) Procédures de rythmologie dont poses de défibrilateur 268 271 1,9% dont poses de stimulateur 516 596 13,8% dont autres procédures 575 593 2,8% 5 084 5 324 4,4% Total Les lithotripsies 2011 2012 2013 2014 486 421 420 509 Les endoscopies digestives 6 343 Interventions réalisées sur le plateau technique d’endoscopies digestives 28 274 22 3.L’activité médico-technique Les laboratoires La biologie hospitalière au CHU de Clermont Ferrand présente des atouts non seulement performants mais également innovants sous la forme de plateformes de biologie de routine et d’urgence sur les deux sites , d’un L3 (réseau Biotox et Piratox) au centre de Biologie et de plateformes spécialisées équipées de technologies innovantes en lien avec le projet médical. La création de deux centres de prélèvements modernes et performants permettent une prise en charge des patients au fil de l’eau, une rapidité de traitements des prélèvements et une traçabilité dans le dossier patient. Production d'actes de biologie - B et BHN Biologie de la reproduction CECOS AMP Virologie médicale et moléculaire Biochimie medicale - biologie moleculaire Production d'actes de biologie - B et BHN Cytogenetique medicale Médecine du sport et explorations fonctionnelles Hygienede hospitaliere Biologie la reproduction CECOS AMP Bactériologie mycologie et parasitologie Virologie médicale et moléculaire Pharmacologie toxicologie Biochimie medicale - biologie moleculaire Hématologie biologique Cytogenetique medicale Immunologie Nombre d'actes Nombre coefficients Evolution Evolution 2012 2013 2014 2014/2013 2014/2013 6 155 6 213 6 330 1,88% 2 552 860 2 347 790 2 441 130 3,98% 161 231 169 658 209 672 23,59% 12 216 275 13 216 829 15 958 036 20,74% d'actes0,82% coefficients 2 356 542 2 443 714 Nombre 2 463 773 43 421 080 43 148 283 Nombre 42 053 049 -2,54% 32 258 34 937 39 019 11,68%Evolution 9 410 520 9 843 655 10 681 195 8,51% 2012 2013 2014 2012 2013 2014 289 427 293 453 323 241 10,15%2014/2013 13 977 980 13 806 095 15 173 535 9,90% 16 882 -9,22% 1,88% 1 928 494 2 552 2 177 2 034 862 -6,54% 6 155 19 3696 21317 583 6 330 860155 2 347 790 2 441 130 405 304 446 861 445 236209 672 -0,36% 23,59% 22 591 37512 216 25 392 339 15 3,52% 161 231 169 658 275978 13 26 216286 829 958 036 37 856 40 636 46 661 14,83% 3 537 524 4 016 073 4 707 388 2 356 542 2 443 714 2 463 773 0,82% 43 421 080 43 148 283 4217,21% 053 049 1 051 294 1 101 574 1 123 817 2,02% 27 753 548 29 300 693 28 868 981 -1,47% 32 258 34 937 39 019 11,68% 9 410 520 9 843 655 10 681 195 71 966 73 425 73 835 0,56% 5 145 355 5 183 844 5 245 499 1,19% 2012 2013 2014 Médecine du sport et explorations fonctionnelles 289 427 293 453 323 241 TOTAL des actes de biologie 4 428 915 4 629 840 4 749 167 2,58% Hygiene hospitaliere 16 882 19 369 17 583 Bactériologie et parasitologie 446259 861actes445 236 L’activitémycologie totale de biologie et d’anatomopathologie en 2014405 est304 de 5 038 Pharmacologie 37 856 40 636 46 661 - B+BHN : toxicologie 4 749 059 actes et 153 439 070 coefficients Hématologie biologique 1 051 294 1 101 574 1 123 817 - Actes CCAM + AHC + P + PHN : 289 200 actes L’activité en 2014 est de 5 Immunologietotale de biologie et d’anatomopathologie 71 966 73 425 73 835 10,15% 13 977 980 13 806 095 142 535 011 148 433 395 153 450 014 -9,22% 1 928 494 2 177 155 -0,36% 22 591 375 25 392 978 14,83% 3 537 524 4 016 073 2,02% 27 753 548 29 300 693 038 367 actes. 0,56% 5 145 355 5 183 844 Nombre d'actes 4 428coefficients 915 4 629 840 4 749 167 2,58% • B+BHN : 4 749 167 actes et 153 450 014 Evolution 2012 2013 2014 2014/2013 • Actes CCAM + AHC + P + PHN : 289 200 actes L’activité totale de biologie et d’anatomopathologie en 2014 est de 5 038 259 actes Production d’actes d’anatomie pathologique TOTAL des actes de biologie– actes CCAM, PHN et AHC Anatomie et cytologie pathologiques CHU Estaing 158 635 160 468 121 660 123 998 1,92% 277 166 282 128 289 200 2,51% - B+BHN : 4 749 059 actes et 153 439 070 coefficients Anatomie cytologie pathologiques CHU Gabriel 118 531 - Actes etCCAM + AHC + P + PHN : 289 200Montpied actes TOTAL des actes d'anatomie pathologique 165 202 142 535 011 148 433 395 15 173 535 3,38% 2 034 862 26 286 339 4 707 388 28 868 981 5 245 499 Evolution 2014/2013 3,98% 20,74% -2,54% 8,51% 9,90% -6,54% 3,52% 17,21% -1,47% 1,19% 153 450 014 3,38% 2,95% Nombre d'actes Production d’actes d’anatomie pathologique – actes CCAM, Evolution Cette activité des laboratoires suivants PHN et AHCest réalisé au moyen des équipements 2012 2013 : 2014 2014/2013 - En biochimie-hormonologie : une chaine robotisée analytique (4 automates) et post analytique permet de traiter environ 1 300 dossiers/jours, des Anatomie et cytologie pathologiques CHULuminex, Estaing diagnostic néonatal, 158 635 160 468 165 202de la2,95% secteurs spécialisés de pointe avec diagnostic des marqueurs maladie d'Alzheimer... - Dans le domaine de la Biologie moléculaire les principaux appareils sont les séquenceurs et DNA HPLC permettant la réalisation de diagnostics au Anatomie et cytologie pathologiques CHU Gabriel Montpied 118 531 121 660 123 998 1,92% niveau national et international TOTAL deschaines actes d'anatomie pathologique 277 166 282 128 étaleur 289 200 2,51% un plateau technique de cytomètrie en flux - En hématologie : des automatisées et robotisées de cytologie intégrant et colorateur, analyseur et trieur de cellules avec une utilisation régionale . - Les analyses de Pharmacologie Toxicologie de routine ainsi que les analyses médicolégales sont réalisées sur une plateforme de spectromètre LC Cette activité des laboratoires est réalisé au moyen des équipements suivants : et CPG Masse/Masse . Des automates d'immunoanalyses permettent le traitement des actes de routine et d'urgence - En biochimie-hormonologie : une chaine robotisée analytique (4 automates) et post analytique permet de traiter environ 1 300 dossiers/jours, des secteurs spécialisés de pointe avec Luminex, diagnostic néonatal, diagnostic des marqueurs de la maladie d'Alzheimer... Anatomie et cytologie - Dans le domaine de la Biologie moléculaire les principaux appareils sont les séquenceurs et DNA HPLC permettant la réalisation de diagnostics au pathologiques CHU 2014 Cette activité des laboratoires est réalisée au moyen desBiologie équipements suivants : Gabriel Montpied niveau national et international de la 2,50% En hématologie : des chaines automatisées et robotisées de cytologie intégrant étaleur et colorateur, un technique de cytomètrie reproduction CECOS AMP Anatomie et cytologie • En biochimie-hormonologie : une chaine robotisée analytique (4 automates) etplateau post analytique permet en flux Virologie médicale et 0,13% analyseur et trieur de cellules avec une utilisation régionale . pathologiques CHU moléculaire de traiterEstaing environ 1 300 dossiers/jours, des secteurs spécialisés de pointe avec Luminex, diagnostic - Les analyses de Pharmacologie Toxicologie de routine ainsi que les analyses médicolégales sont réalisées 4,22% sur une plateforme de spectromètre LC 3,33% néonatal, diagnostic des marqueurs de lapermettent maladie led’Alzheimer... et CPG Masse/Masse . Des automates d'immunoanalyses traitement des actes de routine et d'urgence • Dans le domaine de la Biologie moléculaire les principaux appareils sont les séquenceurs et DNA HPLC Anatomie et cytologie permettant la réalisation de diagnostics au niveau national et international Hématologie biologique pathologiques CHU 2014 22,64% • En hématologie : des chaines automatisées dedecytologie intégrant étaleur et colorateur, Gabriel Montpied et robotisées Biologie la 2,50% reproduction CECOS AMP un plateau technique de cytomètrie en flux analyseur et trieur de cellules avec unemédicale utilisation régionale. Anatomie et cytologie Virologie et 0,13%pathologiques CHU Biochimie medicale Pharmacologie moléculaire • Les analyses de Pharmacologie Toxicologie de routine ainsi que les analyses médicolégales sont réalisées biologie moleculaire Estaing toxicologie 4,22% sur une plateforme de spectromètre LC et CPG Masse/Masse . Des automates d’immunoanalyses 49,63% 0,94% 3,33% permettent le traitement des actes de routine et d’urgence Bactériologie mycologie Hématologie biologique et parasitologie 22,64% 8,97% Cytogenetique medicale 0,79% 23 Activités des laboratoires Anatomie et cytologie pathologiques CHU Estaing 3,33% Anatomie et cytologie pathologiques CHU Gabriel Montpied 2,50% Biologie de la reproduction CECOS AMP 0,13% Virologie médicale et moléculaire 4,22% Pharmacologie toxicologie 0,94% Hématologie biologique 22,64% Biochimie medicale biologie moleculaire 49,63% Bactériologie mycologie et parasitologie 8,97% Hygiene hospitaliere 0,35% Médecine du sport et explorations fonctionnelles 6,51% Cytogenetique medicale 0,79% Le changement de cotation à la nomenclature des actes de biologie médicale (NABM) au 13 avril 2014 et 4 septembre 2014 s’est traduit par des variations significatives des cotations en B de certains actes de routine. Globalement, l’activité B+BHN exprimée en actes à fin décembre 2014 a augmenté d’environ 2,58% : + 1,70% pour les patients hospitalisés, +5,29 % pour les consultants externes et 6,82 % pour les établissements extérieurs. Pour les actes d’anatomie pathologique, le nombre d’actes a augmenté en 2013 de 2,51%. 4 421 4 421 2,42% 2,42% magerie 24 4 421 2,42% Passages Passages 20122012 Actes CCAM 2014 Actes CCAM 2014 Actes CCAM 2014 Passages 2014 Passages 2014 Consultations Consultations 616 616 0,23% 0,23% Radiologie conventionnelle 128 552 48,40% Scanner 35 680 Scanner 19,51% Scanner 76 392 76 392 28,76% 28,76% Actes CCAM 2014 7,49% IRM 26 061 9,81% Radiologie conventionnelle 109 121 59,67% Echographie Echographie 21 771 21 771 8,20% 8,20% diologie ogie Radiologie entionnelle onnelle Interventionnelle 25 225 12 225 4,60% % 4,60% CAM : Adaptations pour la CCAM transitoire : Adaptations la CCAM transitoire chapitre 19 de pour la CCAM : Adaptations pour la CCAM transitoire Passages 2014 2,42% 120 000 Scanner IRM 76 392 13 693 28,76% IRMIRM 26 061 26 061 9,81% 9,81% Passages 2014 Passages Passages 2013 2014 4 421 Actes CCAM 2014 L’imagerie Consultations Consultations 1 072 616 0,59% 0,23% Interventionnelle Passages 2013 Passages Passages 2012 2013 Echographie 21 771 8,20% 100 000 Consultations Consultations 616616 80 000 0,23% 0,23% 60 000 Radiologie Radiologie conventionnelle Echographie Conventionnelle 552 128128552 18 881 48,40% 48,40% 10,32% Scanner Scanner 76 76392392 28,76% 32 934 28,76% IRM IRM 35 680 18 241 2626 061 061 30 828 13 0779,81% 9,81% 17 395 18 881 12 970 13 693 40 000 20 000 36 0 Echographie Echographie 21 771 21 771 8,20% Radiologie Interventionnelle 4 421 2,42% Radiologie Radiologie 8,20% Interventionnelle Interventionnelle 12 225 12 225 4,60% Passages 2012 4,60% * hors chapitre 19 de la CCAM : Adaptations pour la CCAM transitoire Passages 2 Actes CCAM 2014 140 120 100 80 60 40 20 Actes CCAM* Actes CCAM* Actes CCAM* 134 134 425 425 134 425 128 552 136 136 962 962 136 962 128 552 140 140 000 000 140 000 76 392 76 392 76 392 120 120 000 000 120 000 69 839 839 69 839 100 100 000 000 69 100 000 68 948 26 061 21 771 80 00068 948 26 948 061 21 771 26 061 21 771 80 000 80 000 68 12 225 20 415 22 661 60 000 12 225 12 225 20 415 22 661 20 415 60 000 22 661 60 000 11 015 21 341 18 452 40 000 11 18 015452 11 015 448 448 18 452 21 341 40 000 40 21 000341 9 856 9 856 20 000 9 856 53 53 616 616 20 000 20 000 Scanner 0 0 0 128 552 Le nombre de passages en 2014 (182 868) est stable . Cette évolution conforme à la tendance nationale, comporte un recul de l’activité de radiologie conventionnelle (-4,1%) au profit des techniques de scanner (+8,3%), d’IRM (+5,1%), d’échographie (+3,5%,) et de radiologie interventionnelle (+7,6%). En radiologie interventionnelle, où l’on dispose d’une salle d’angiographie supplémentaire Imabloc depuis mai 2014, la 448 616 53 Consultations forte croissance616 de l’activité est répartie sur les 3 axes (neuroradiologie interventionnelle, radiologie vasculaire 76 392 périphérique et radiologie interventionnelle 28,76% viscérale) avec une croissance très significative des procédures à 0,23% Le nombre de passages en 2014 (182 868) est stable . Cette évolution conforme à la tendance nationale, com visée thérapeutique, plus longues et complexes. de scanner (+8,3%), d'IRM (+5,1%), d'échographie (+3,5%,) et de radiologie interventionnelle (+7,6%). En radi IRM depuis mai 2014, la forte croissance de l'activité est répartie sur les 3 axes (neuroradiologie interventionnelle L’activité de consultations externes du pôle se maintient avec une évolution de +0,8% (77plus754 passages) Actes CCAM2012 Actes CCAM2013 Actes CCAM2014 très significative des procédures à visée thérapeutique, longues et complexes. 26croissance 061 Actes CCAM2012 Actes CCAM2013 Actes CCAM2014 CCAM2012 CCAM2013 Actes CCAM2014 Radiologie L'activité de consultations externes du pôle se maintient avec une évolution de +0,8% forte (77 754 passages) mal malgré le recul de l’activité externe de radiologie conventionnelle (3,6%). On observe néanmoins une 9,81% conventionnelle néanmoins une forte croissance deconventionnelle l'activité externe en imagerie de coupe (scanner +9,7%, échographie +4,7 ges en 2014 (182 868) est stable . Cette évolution conforme à la tendance nationale, comporte un recul de l'activité de radiologie (-4,1%) au profit des techniques en 2014 (182 868) est stable . Cette évolution conforme à la tendance nationale, comporte un recul de l'activité de radiologie conventionnelle (-4,1%) au profit des techniques nombre de passages en 2014 (182 est stable .externe Cette évolution à la tendance nationale, comporteL'installation un recul deenl'activité radiologie conventionnelle (-4,1%) au+4,4%) profit des techniques rendez-vous. maiéchographie 2014de d'un scanner supplémentaire pour les examens interventionnels a con croissance de868) l’activité enconforme imagerie de coupe (scanner +9,7%, +4,7% et IRM 128 552 d'IRM (+5,1%), d'échographie (+3,5%,) etradiologie de radiologie interventionnelle (+7,6%). En radiologie interventionnelle où l'on dispose d'une salle d'angiographie supplémentaire Imabloc M (+5,1%), d'échographie (+3,5%,) et de interventionnelle (+7,6%). En radiologie interventionnelle oùde l'on d'une salle supplémentaire Imabloc scanner (+8,3%), d'IRM (+5,1%), d'échographie (+3,5%,) et de radiologie interventionnelle (+7,6%). En radiologie interventionnelle où l'on dispose d'une511 salle d'angiographie supplémentaire Dans le cadre sondispose activité recherche, led'angiographie pôle enregistre passages en 2014, soit une progressionImablo de 28,1 48,40% orte croissance de l'activité est répartie sur les 3 axes (neuroradiologie interventionnelle, radiologie vasculaire périphérique et radiologie interventionnelle viscérale) avec une malgré la répartie saturation des vacations et(neuroradiologie la longueur des délais d’accès rendez-vous. L’installation en maiavec une euis croissance de est sur les 3 est axes (neuroradiologie interventionnelle, radiologie vasculaire périphérique et aux radiologie interventionnelle viscérale) avec une viscérale) mai 2014, lal'activité forte croissance de l'activité répartie sur les 3 axes interventionnelle, radiologie vasculaire périphérique et radiologie interventionnelle icative àdes visée thérapeutique, plus longues et complexes. ive des des procédures à visée thérapeutique, plus longues et complexes. ssance trèsprocédures significative procédures à visée thérapeutique, plus longues et complexes. 2014 d’un scanner supplémentaire pour les examens interventionnels, a contribué à cette évolution de tions externes du pôle se maintient avec évolution de une +0,8% (77 754 passages) malgré le recul demalgré l'activité externe de radiologie conventionnelle (-3,6%). On observe ns externes du pôle se maintient avec une évolution deavec +0,8% (77 754 passages) malgré le recul de l'activité externe de conventionnelle (-3,6%). On observe tivité de consultations externes du pôle seune maintient évolution de +0,8% (77 754 passages) le recul deradiologie l'activité externe de radiologie conventionnelle (-3,6%). On observe croissance de l'activité externe en imagerie de coupe (scanner +9,7%, échographie +4,7% et IRM +4,4%) malgré la saturation des vacations et la longueur des délais d'accès aux l’activité scanographique. issance une de l'activité externe en coupeen(scanner +9,7%, échographie IRM +4,4%) +4,7% malgréetlaIRM saturation vacations et la longueur des délais auxdes délais d'accès aux nmoins forte croissance de imagerie l'activité de externe imagerie de coupe (scanner+4,7% +9,7%,etéchographie +4,4%) des malgré la saturation des vacations et lad'accès longueur ation en mai 2014 scanner supplémentaire les examens interventionnels ainterventionnels contribué à cette évolution l'activité scanographique. on en mai 2014 d'und'un scanner supplémentaire pourpour les examens interventionnels a contribué à cette évolution de l'activité scanographique. D dez-vous. L'installation en mai 2014 d'un scanner supplémentaire pour les examens a contribué àdecette évolution de l'activité scanographique. Délais de RDV Dans le cadre de son activité recherche, le pôle enregistre 511 passages en 2014, soit une progression de activité recherche, le pôle enregistre passages en 2014, soit progression de d'examens de recherche sur de l'animal en 2014 signifiant des examens moins recherche, pôle enregistre 511le511 passages en 2014, soit uneune progression de 28,1% (peu(peu d'examens de recherche sur l'animal en 2014 signifiant desen examens moins longs). nsvité le cadre de sonleactivité recherche, pôle enregistre 511 passages en 2014, soit une28,1% progression de 28,1% (peu d'examens recherche sur l'animal 2014 signifiant deslongs). examens moins longs) pati externes 28,1% (peu d’examens de recherche sur l’animal en 2014 signifiant despatients examens moins longs). Echographie Délais globaux de RDV 15,0 Délais globaux de RDV patients Délais globaux de RDV patients Délais globaux de RDV patients patients 10,0 SCANNER SCANNER 20122012 20132013 2012 IRM 42,5 42,6 38,5 35,5 38,6 38,5 Actes CCAM 12,3 38,6 38,5 14,7 10,0 13,6 10,0 10,0 140 000 35,5 20,0 38,6 35,5 30,0 20,020,0 12,3 30,0 SC 2012 2014 13,6 12,3 21,1 20,9 2013 30,0 19,9 3,2 20142014 2013 0,0 40,0 IRM 14,7 21,1 21,1 IRM IRM SCANNER 5,0 14,7 13,6 0,0 20,9 19,9 20,9 5,0 40,0 40,0 SCANNER 3,2 0,0 0,0 15,0 10,0 0,0 32,2 35,0 20,0 38,9 20,0 30,0 2012 4,5 10,010,0 5,0 5,0 20,0 3,2 3,2 42,5 42,6 38,9 0,0 SCANNER SCANNER IRM IRM SCANNER IRM 20122012 20132013 2012 20142014 2013 2014 20,020,0 15,015,0 4,5 10,0 32,2 20,0 42,6 38,9 35,0 42,5 42,6 33,9 42,5 32,2 38,9 32,2 33,9 35,0 30,0 25,0 4,5 3,2 0 0,0 35,0 33,9 020,0 010,0 40,0 25,0 40,0 10,0 s050,0 chapitre 19 de50,0 la CCAM : Adaptations pour la CCAM transitoire25,025,0 040,0 030,0 50,0 33,9 de RDV patients hospitalisés Délais de RDV Délais de RDV patients hospitalisés patients hospitalisés patients hospitalisés 3,2 19,9 lais de RDV ents externes Délais de RDV Radiologie Interventionnelle patients externes 12 225 4,60% 21 771 8,20% Délais Délais de RDV 76 392 120 000 0,0 0,0 69 0,0 839 IRM SCANNER 100 000SCANNER IRMSCANNER IRM 68 948 2013 21 2014 26 061 80 000 2014 20122012 2013 2012 2014 2013 2014 20 415 22 661 60 000 21 341 18 452 40 000 20 000 0 Actes CCAM2012 Actes CC nombre de passages en 2014 (182 868) est stable . Cette évolution conforme à la tendance nationale, comporte un recul de l'activité de radiologie conv e scanner (+8,3%), d'IRM (+5,1%), d'échographie (+3,5%,) et de radiologie interventionnelle (+7,6%). En radiologie interventionnelle où l'on dispose d'un epuis mai 2014, la forte croissance de l'activité est répartie sur les 3 axes (neuroradiologie interventionnelle, radiologie vasculaire périphérique et radiolo 25 La Pharmacie La pharmacie assure des fonctions d’achats-logistique, de dispensation des médicaments et dispositifs médicaux stériles et de production pharmaceutique. Afin de contribuer à l’amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse, des activités de pharmacie clinique sont déployées vers les unités de soins. Au-delà de ses activités pharmaceutiques hospitalières, le pôle pharmacie participe également à l’enseignement et à la recherche. 1- Activités pharmaceutiques hospitalières • Achats / Approvisionnements / Analyse de gestion Achats En 2014 la pharmacie a mené divers appels d’offre et marchés négociés pour lesquels les économies attendues sont de l’ordre de 990 000€/an (essentiellement sur le segment des anticancéreux) pour le médicament et 560 000€ pour les dispositifs médicaux stériles (DMS). A noter que les économies réalisées en 2014 (sur marchés passés en 2013) ont été de 305 000€ pour le médicament et 427 000€ pour les DMS. Approvisionnement Le nombre de commandes/liquidations de DMS est très largement supérieur à celui des médicaments en raison d’un grand nombre de références et d’une gestion essentiellement via l’achat direct (peu de références en stock). Le nombre de commandes/liquidations des médicaments est resté relativement stable. Pour les DMS on note une augmentation qui devrait se réduire en 2015 du fait de l’intégration de 250 références en stock. Médicament : nombre de commandes et de Médicament: nombre de commandes et de liquidations liquidations 35000 29567 30143 30000 24015 25000 23862 10000 8536 10780 11498 9328 53683 60000 55315 58204 59733 50000 2013 30000 22836 25616 29038 25895 2013 2014 2014 20000 10000 5000 0 DMS: nombre de commandes et de liquidations 40000 20000 15000 DMS: nombre de commandes et de liquidations 0 Commandes (nombre) Commandes (lignes) Liquidations (nombre) Liquidations (lignes) En 2014 la pharmacie a optimisé sa propre gestion des stocks parallèlement à celle des unités de soins avec la mise en place du plein/vide. Le plein/vide a été mis en place sur le site Estaing et l’unité de production des chimiothérapies. La pharmacie a poursuivi l’accompagnement du déploiement du plein/vide dans les unités de soin (32 services fin 2014). Le secteur DMS a engagé une importante réorganisation en 2014 pour préparer la mise en place du plein/vide au bloc central puis dans les services les plus consommateurs : réaménagement du stock avec passage de 530 à 815 références, révision des circuits d’approvisionnements, inventaires et préparation des dotations de services. Les mesures mises en place sur les stocks ont mis en évidence un gain en valeur de 1 252 377€ en 2014 attribuables en 2014 à la gestion des médicaments (essentiellement les molécules onéreuses) Commandes (nombre) Commandes (lignes) Liquidations (nombre) Liquidations (lignes) 26 Analyse de gestion : suivi de dépenses pharmaceutiques En 2014 la consommation en médicaments et DMS a été de 98 277 212 € (59% pour les médicaments et 41% pour les DMS). Les dépenses des médicaments et DMS inclus dans le forfait GHS sont bien maîtrisées, de même que celles des molécules onéreuses Facturables en Sus. Une augmentation de la consommation des dispositifs médicaux implantables est notée mais corrélée à une hausse d’activité. L’écart de consommation observé entre 2013 et 2014 est essentiellement dû aux rétrocessions de médicaments utilisés dans le traitement de l’hépatite C (7M€). Au-delà de la gestion budgétaire des produits de santé à l’échelle de l’établissement, la pharmacie établit des tableaux de bord semestriels permettant un suivi quantitatif et qualitatif des consommations par pôle et par service. • Dispensation / Pharmacie clinique L’activité de dispensation des médicaments a connu une évolution secondaire au déploiement du plein/vide (plus de temps consacré à la préparation des armoires et au traitement des demandes hors dotation). La pharmacie assure une dispensation à délivrance nominative et une traçabilité des médicaments à risque élevé, des molécules onéreuses et dispositifs médicaux implantables, ce qui nécessite une disponibilité importante de l’équipe pharmaceutique mais contribue à l’amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse et à la maîtrise des coûts. La pharmacie assure également l’analyse de l’ordonnance des services informatisés (traitement complet pour services informatisés + toutes les chimiothérapies anticancéreuses). En 2014, les pharmaciens prennent en charge l’analyse de 269 prescriptions en moyenne par jour. Sachant que l’analyse selon les critères de la Société Française de Pharmacie Clinique nécessite environ 10 minutes pour un patient entrant et 4 minutes pour un patient déjà hospitalisé, le temps consacré par chaque pharmacien à cette tâche est de 1 à 2h par jour. Une activité de paramétrage est également assurée par un pharmacien de l’équipe qui assure également la formation des médecins au fur et à mesure du déploiement de l’informatisation. L’équipe pharmaceutique participe activement à la sécurisation du circuit du médicament par les activités de pharmacie clinique : actions de bon usage menées au sein de la Comedims (coordination des sous-groupes), participation à des programmes d’éducation thérapeutique, mise en place de la conciliation médicamenteuse, management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse, cartographie des risques,… La pharmacie assure également la dispensation de médicaments aux patients ambulatoires (rétrocessions), de médicaments sous ATU et d’unités thérapeutiques dans le cadre des essais cliniques. En 2014, la dispensation de médicaments aux patients ambulatoires a été marquée par la rétrocession des médicaments de l’hépatite C. L’impact budgétaire est de plus de 7M d’€. 442 demandes d’ATU ont été réalisées pour 324 patients. Le nombre d’essais cliniques ouverts reste stable en 2014, 88 protocoles ont été créés. • Activités de production La pharmacie réalise des préparations stériles (chimiothérapies anticancéreuses, nutrition parentérale, collyres et solutions ophtalmiques injectables,…) et non stériles (gélules, suppositoires,…) pour les unités de soins du CHU. Les préparations hospitalières font l’objet d’un contrôle qualité physico-chimique associé à un contrôle microbiologique pour les produits stériles. 27 Pharmacotechnie/Unité de reconstitution des chimiothérapies anticancéreuses L’activité de production pharmaceutique est présentée dans le tableau ci-après. La pharmacie fabrique également les chimiothérapies pour le CH de Riom (630 poches) et, depuis 2014, diverses préparations pour d’autres établissements dans le cadre de conventions de sous-traitance. 14 conventions ont été signées, 285 lignes de commandes (essentiellement des préparations ophtalmiques) ont fait l’objet d’une prestation qui a généré un bénéfice de 52 000€ pour le CHU. Nombre d’unités produites par la pharmacie Chimiothérapies anticancéreuses 2013 2014 29 036 30 095 Evolution 2013/2014 2012/2013 (%) + 3.6% Préparations de nutrition parentérale 2 222* 2 582 + 16.2% Autres préparations stériles 18 874 20 982 + 11.2% Préparations non stériles 49 645 48 550 -2.2 % Préparations pour essais cliniques Gélules injectables 20 805 20 650 155 58 215 57 900 315 +179.8% + 180.4% +103.2% *Activité interrompue pendant la durée des travaux de la ZAC A noter qu’en 2014, la pharmacie a pris en charge la réalisation de préparations pour la transplantation de microbiote fécal. A noter qu’en 2014, la pharmacie a pris en charge la réalisation de préparations pour la transplantation de • Contrôles microbiote fécal. La pharmacie réalise essentiellement les contrôles de sa production pharmaceutique (contrôle des lots fabriqués) mais également un suivi de la qualité de la production d’eau de dialyse, d’eau alimentant la stérilisation, de gaz médicaux et de l’environnement des ZAC. Contrôles La pharmacie réalise essentiellement les contrôles de sa production pharmaceutique (contrôle des lots Nombre de contrôles réalisés par la pharmacie fabriqués) mais également un suivi de la qualité de la production d’eau de dialyse, d’eau alimentant la 3500 stérilisation, de gaz médicaux et de l’environnement des ZAC. 3000 2500 2000 1500 1000 500 3500 0 Nombre de contrôles réalisés par la pharmacie Nombre de contrôles réalisés par la pharmacie 34772013 3337 3450 3425 3000 2500 2256 2337 1987 2014 2431 2000 1500 1000 2013 612 637 268 2014 182 184 de contrôles de préparations stériles 109 que la production augmente (en La baisse500 du nombre 83 88 alors unités) est 0liée à la taille des lots. Les lots préparés sont plus grands, la durée de péremption de certaines préparations a également été augmentée suite aux études de stabilité. A l’inverse les préparations non stériles sont moins nombreuses en nombre d’unités mais les principes actifs plus variés et les lots plus nombreux. La baisse du nombre de contrôles de préparations stériles alors que la production augmente (en unités) est liée à la taille des lots. Les lots préparés sont plus grands, la durée de péremption de certaines préparations a également été augmentée suite aux études de stabilité. A l’inverse les préparations non stériles sont moins nombreuses en nombre d’unités mais les principes actifs plus variés et les lots plus nombreux. 28 Stérilisation 67% La pharmacie assure la stérilisation pour le CHU G. Montpied et le centre d’Odontologie. La CCV a son propre autoclave. La stérilisation du CHU Estaing est externalisée (Stérience). Le volume stérilisé par la pharmacie a été de 3138 m3 en 2014, soit une augmentation de 480 m3 en 2014 en raison de la prise en charge de la stérilisation du centre de soins dentaires. Au-delà du volume stérilisé, cette nouvelle activité génère un important travail de conditionnement des instruments. 2806% CCV Stérience 27% Stérilisation GM 67% 3200 2- Activités de recherche Thématique de recherche : compatibilité dispositifs médicaux/contenu (solution médicamenteuse) et interface avec le vivant (biocompatibilité). En collaboration avec EA 4676 C-Biosenss Projets en cours: Armed (financement ANSM de 500 000€ pour 3 ans). Bourse Hopipharm de 5000 € (étude sur les préparations de collyres de ciclosporine) Contrats industriels : 25 000€ (études de stabilité de médicaments en pratique clinique) Production scientifique 2014 : 9 publications, 102 points SIGAPS 3- Activités d’enseignement et d’encadrement En dehors des activités d’enseignement propres aux pharmaciens hospitalo-universitaires, les PH assurent divers enseignements aux étudiants en pharmacie. Les pharmaciens interviennent également dans les Ecoles notamment à l’IFSI, en DU, DIU, DES, Master. L’équipe pharmaceutique assure également la formation et l’encadrement des internes, des étudiants en pharmacie de 5ème année option officine, industrie et internat. 4- Autres activités La pharmacie assure une permanence pharmaceutique 24 heures sur 24 avec la présence d’un interne de garde les nuits, week-end et jours fériés et de 2 astreintes de pharmaciens seniors dont une spécifique pour les chimiothérapies anticancéreuses. Participation à diverses démarches institutionnelles : certification V2010 (préparation de la visite de suivi critères 20a et 20abis) ; élaboration du rapport d’étape annuel REA 2014 du contrat de bon usage ; mission CREF-COPERMO ; certification des comptes Participation aux commissions : CME, Comedims, CCQSGR, CLIN, CLAN, CLUD,… La médecine d'urgence Le circuit du patient admis aux urgences a été revu en 2011 : après l’évaluation initiale du patient 29 p l’accueil, le patient peut être orienté vers l’un des trois secteurs : ambulatoire (patients relevant ess traumatologie), couché (pathologies médicales et/ou psychiatriques avec nécessité d’hospitalisation urgences vitales). 4.Les activités ciblées II.2. L'activité médicale et chirurgicale 2014 En 2014, on dénombre 77 662 passages aux urgences dont : - 50 074 aux urgences adultes du CHU Gabriel Montpied, 29% des passages donnant lieu à une hosp - 27 588 aux urgences pédiatriques du CHU Estaing, 12% des passages donnant lieu à une hospitalis Les urgences La médecine d'urgence L'activité médicale et chirurgicale 2014 Le circuit du patient admis aux urgences a été revu en 2011 : après l’évaluation initiale du patient par l’infirmière organisatrice de Accueil urgences l’accueil, patient peut être orienté vers l’un des trois II.2. L'activité médicale etlechirurgicale 2014 90 000secteurs : ambulatoire (patients relevant essentiellement de la petite 35,0% 32,7% avec nécessité d’hospitalisation) ou « SAUV » (salle d’accueil des traumatologie), couché (pathologies médicales édecine d'urgence Le circuit du patient admis aux urgences a été revuet/ou psychiatriques 31,2% 31,6% urgences vitales). La médecine d'urgence 80 000 29,7% en 2011 : après l’évaluation initiale du patient par 29% II.2. L'activité médicale chirurgicale 2014 30,0% e circuit du patient admis aux urgences a étéet revu en 2011 : après l’évaluation initiale du patient par l’infirmière organisatrice de En 2014, ontrois dénombre 77:662 passages aux urgences dontessentiellement : l’infirmière organisatrice de l’accueil, le patient accueil, le patient peut être orienté vers l’un des secteurs ambulatoire (patients relevant de la petite Le circuit du patient admis aux urgences a été revu en 2011 : après 70 l’évaluation initiale du patient par l’infirmière organisatrice de l’accueil, le 000 - 50 074 aux urgences adultes avec du CHU Gabrield’hospitalisation) Montpied, 29% des lieu à une La couché médecine d'urgence raumatologie), (pathologies médicales et/ou psychiatriques nécessité ou passages « SAUV » donnant (salle d’accueil des hospitalisation peut être orienté vers l’un des trois secteurs : patient peut être orienté vers l’un des trois secteurs : ambulatoire (patients relevant de la petite traumatologie), couché 25,0% - 27 588 aux urgences pédiatriques du CHU Estaing, 12% des passagesessentiellement donnant lieu à une hospitalisation. urgences vitales). (pathologies médicales et/ourelevant psychiatriques avec nécessité d’hospitalisation) ou « SAUV » (salle d’accueil des urgences vitales). 60 000 ambulatoire (patients essentiellement Le circuit du patient admis aux urgences a été revu en 2011 : après l’évaluation20 initiale 27 588 25 763 26 889 24 736 par l’infirmière 294 du patient n 2014, on de dénombre 77 662 passages aux urgences dont : être orienté organisatrice de l’accueil, le patient peut vers l’un des trois secteurs : ambulatoire (patients relevant laEn petite traumatologie), couché (pathologies 2014, on dénombre 77 662 passages aux urgences dont : 20,0% 50 074 aux urgences adultes du CHU Montpied, 29% descouché passages donnant lieu à une 50 000 hospitalisation de Gabriel la90petite (pathologies médicales et/ou psychiatriques avec 000 traumatologie), 35,0%nécessité -essentiellement 50 pédiatriques 074 aux urgences adultes du12% CHUdes Gabriel Montpied, 29% des passages donnant 17,1%lieu à une hospitalisation et/ou psychiatriques avec nécessité 27 588 auxmédicales urgences du CHU Estaing, passages donnant lieu à une hospitalisation. 32,7% ou « pédiatriques SAUV » (salle d’accueil des urgences vitales). -d’hospitalisation) 27 588 aux urgences du CHU Estaing, passages donnant lieu à une hospitalisation. 14,9% 31,2% 12% des31,6% 90 000 80 000 70 000 60 000 50 000 40 000 30 000 20 000 10 000 - d’hospitalisation) ou « SAUV » (salle d’accueil des 80 000 En 2014,vitales). on dénombre 77 662 passages aux urgences dont : urgences 14,0% 40 000 29,7% 29% 15,0% 12,9% 30,0% 12% - 50 074 aux urgences adultes du CHU Gabriel Montpied, 29%35,0% des passages 30 000 donnant lieu à une hospitalisation 000 32,7% - 27 588 aux urgences70pédiatriques du CHU Estaing, 12% des passages donnant lieu à une hospitalisation. 10,0% 31,2% 31,6% 47 823 44 686 46 468 50 074 49 363 90 000 35,0% 25,0% 20 000 29,7% 32,7% 29% 60 000 30,0% 31,2% 31,6% 27 588 25 763 26 889 5,0% 24 736 20 294 80 90 000 29,7%10 000 35,0% 29% passages urgences 20,0% 30,0% 32,7% 50 000 pédiatriques 31,2% 17,1%31,6% 25,0% 0,0% passages urgences 70 80 000 29,7% 14,9% 2011 2012 2013 2014 adultes 30,0% 2010 27 588 14,0%29% 763 26 889 24 736 4025 000 20 294 25,0% 15,0% 12,9% passages urgences % hospitalisation adultes 20,0% 60 000 70 12% pédiatriques 27 588 25 763 26 889 24 736 20 29430 000 17,1% 25,0%passages urgences 10,0% hospitalisation passages % urgences 14,9% 2014 SAMU 20,0% pédiatrie 2013 14,0% 44 686 50 pédiatriques 60 000 4715,0% 823 46 468 49 363 adultes50 074 12,9% Dossiers 116 734 163 423 27 588 de régulation 25 763 26 889 2017,1% 294 20 00024 736 % hospitalisation adultes passages urgences adultes passages urgences 12% 14,9% Dossiers de régulation 20,0% effectués pédiatriques 5,0% 14,0% 40 50 000 15,0% 12,9% % hospitalisation par des médecins libéraux 116 734 118 648 17,1% 10 000 10,0% % hospitalisation adultes pédiatrie rémunérés par l'assurance 47 823 44 686 46 468 50 074 49 363 12% maladiepassages urgences 14,9% adultes 14,0% 30 40 000 15,0% 0,0% 12,9% Nombre d'appels 370 000 ND pour l'année 2014 % hospitalisation pédiatrie 10,0% 2010 2011 2012 2013 2014 % hospitalisation adultes 5,0%12% 47 823 44 686 46 468 50 074 49 363 20 30 000 SMUR % hospitalisation 10,0% Nombre d'interventions 7 132 pédiatrie 5,0% 47 823 44 686 46 468 50 074 49 363 0,0% 10 20 000 2010 2011 SAMU 2012 2013 2014 2013 2014 2010 2011 201 5,0% Dossiers de régulation 116 734 Sorties 163 terrestres 423 primaires 3 929 3 994 3 84 0,0% 10 000 Sorties terrestres secondaires 2 198 2 111 2 19 2010 de régulation 2011effectués 2012 2013 Sorties terrestres 2014 Dossiers En 2014, on dénombre 77 662 passages aux urgences dont : • 50 074 aux urgences adultes du CHU Gabriel Montpied, 29% des passages donnant lieu à une hospitalisation • 27 588 aux urgences pédiatriques du CHU Estaing, 12% des passages donnant lieu à une hospitalisation. U - ers de régulation par des médecins libéraux 2013 rémunérés par l'assurance maladie 1162013 2010 2011 2012 734 2014 2014 163 423 0,0% 116 734 Total118 648 terrestres Sorties Sorties aériennes primaires 6 127 6 105 6 03 129 108 103 pour l'année 2014 car il y a eu un 128 changement de téléphonie (d'ap Nombre d'appels 370 000 NDSorties Sorties aériennes aériennes secondaires 131 120 ers de régulation effectués 2013 2014 SAMU Total Sorties aériennes 257 239 223 es médecins libéraux 116 734 118 648 Dossiers de régulation 116 734 163 423 SAMU nérés par l'assurance maladie SMUR Total Général 6 384 6 344 6 25 2014 SAMU Nombre d'interventions 2013 7 132 Dossiers de régulation effectués pour l'année 2014 car il y a eu un changement de téléphonie (d'apres le Dr Dissait) re d'appels Dossiers de régulation 370 000 ND163 116 734 423 par des médecins libéraux 116 734 118 648 2010 2011 2012 2013 2014 rémunérés par l'assurance maladie Dossiers de régulation effectués R Sorties terrestres primaires 3 929 3 994 3 844 4 397 5 007 par des médecins 116 734 7 132 118 648 re d'interventions Nombre d'appels libéraux 370 000 Sorties terrestres Sorties terrestres secondaires 2 198 2 111 2 192 2 421 2 701 rémunérés par l'assurance maladie Nombre d'appels Sorties SMUR terrestres Sorties terrestres primaires Sorties terrestres Sorties secondaires aériennes Total Sorties terrestres Total Sorties terrestres 2010 2011 2012 370 000 3 929 3 994 3 844 Sorties aériennes primaires 2 198 2 111 secondaires 2 192 Sorties aériennes 2010 6 127 6 105 Total Sorties aériennes 6 036 Sorties aériennes primaires 129primaires 108 Sorties terrestres Total Général 2010 Sorties aériennesSorties terrestres Sorties Sorties aériennes secondaires 128 131 Sorties terrestres secondaires terrestres 3 929 239 Total Sorties aériennes 257 Total Sorties terrestres primaires Sorties Sorties terrestres Général 6 384 2 1986 344 Sorties aériennes primaires terrestres Total Sorties 6 127 Sorties aériennes Sorties aériennes secondaires terrestres Sorties 129 aériennes Total Sorties aériennes Sorties Sorties aériennes 128 aériennes Total Général Total Sorties 257 aériennes Total Général 6 384 3 103 929 2011 120 2 198 3 994 223 127 66127 6 259 2 111 129 6 105 128 108 257 131 6 384 239 6 344 6 127 2013 6 1052014 6 036 6 818 7 708 1294 397 108 5 007 103 187 154 1282 421 2011 2576 818 131 2 701 2012 239 7 708 120 127 223 2013 314 3 994 6 344 154 3 844 6 259 4 397 7 132 6 384187 2012 2013 2014 127 139 2 111 2 192 2 421 3 844 4 397 5 007 314 293 818 6 105 66 036 66 818 7 132 8 001 2 192 2 421 2 701 108 103 187 6 036 6 818 7 708 131 120 127 103 187 154 314 239 223 314 120 127 139 6 344 6 259 7 132 223 314 293 6 259 7 132 8 001 2014 139 293 5 007 8 001 2 701 7 708 154 139 293 293 8 001 30 La cancérologie au CHU La fédération de cancérologie au coeur du CHU de Clermont-Ferrand La fédération a été mise en place au CHU conformément au Plan cancer, elle coordonne les soins au sein de l’établissement. Son coordonnateur médical est le Pr Jacques-Olivier Bay, assisté du Dr Cécile Moluçon-Chabrot et pour la Direction Générale, André Salagnac, Directeur Général Adjoint du CHU. Elle regroupe les spécialités suivantes : Ophtalmologie, ORL , Neuro-chirurgie, Rhumatologie, Pneumologie, Urologie, Hépato-Gastro-Entérologie, Chirurgie Digestive , Gynécologie , Pédiatrie , Hématologie Clinique, Dermatologie, Chirurgie Maxillo-Faciale. A ces spécialités se sont joints les soins de support qui viennent en complément des soins médicaux traditionnels, à savoir : les consultations douleur (aïgue/chronique), la nutrition, les assistants sociaux, l’onco gériatrie, l’onco-réadaptation, la psycho-oncologie, l’addictologie, les soins palliatifs, la socio-esthétique, l’aumônerie. Se joint également en termes de plateau technique : • Le Pôle d’Imagerie médicale et de Radiologie interventionnelle (Pr Boyer, Dr Chabrot, Dr Agaicha) : actions portant sur la contribution au dépistage, diagnostics, bilans d’extension, traitement (radiologie interventionnelle) et le suivi en oncologie : radio-pédiatrie ou imagerie adulte (neuro-radiologie, imagerie ORL, thoracique, cardio-vasculaire, musculo-squelettique, uro-néphrologique, abdominale et digestive, gynécologique et endocrinienne) • La pharmacie (CHU Gabriel Montpied) avec l’Unité de Préparation des Chimiothérapies (Pharmacien : Dr Trevis) Le Comité Patients du CHU a été mis en place en avril 2012. Depuis se déroule une réunion par trimestre. Ce comité permet aux patients volontaires, à leurs proches, ainsi qu’aux soignants de se rencontrer et de faire part de leur expérience et suggestions (parcours de santé, traitements…). Il s’agit d’optimiser la prise en charge de chaque patient. Ce comité est à vocation consultative et son fonctionnement induit une sollicitation réciproque dans tout nouveau projet. La fédération de cancérologie se réunit en séance plénière une fois parfois trimestre. Elle associe l’ensemble des La fédération de cancérologie se réunit en séance plénière une par trimestre. Elle associe correspondants descorrespondants services membres de la fédération. l’ensemble des des services membres de la fédération. Bilan de la fédération de cancérologie en chiffres Bilan de la Fédération de Cancérologie en chiffres Eléments d'activité Nombre de séances de chimiothérapies anticancéreuses Nombre de nouveaux cas de cancer au CHU (sans antécédents de cancer) Nombre de réunions RCP* Nombre de cas de dossiers discutés en RCP* Nombre de consultations d’annonce Nombre d’inclusions dans les essais de recherche clinique Nombre de patients âgés de 75 ans et plus inclus dans les essais cliniques Nombre de PPS** remis Nombre de patients ayant bénéficié d’un entretien spécifique avec un soignant 2013 2014 13 526 3 356 566 8 802 2 191 503 21 1 258 13 925 3 673 599 10 079 1 786 545 67 1 199 924 1145 * RCP : réunion de concertation pluridisciplinaire ** PPSde : programme personnalisé de soins *RCP : réunion concertation pluridisciplinaire **PPS : programme personnalisé de soins 2014 en quelques items • Le temps d’accompagnement soignant (TAS) : o écoute, reformulation, information sur la prise en charge, réalisation du traitement, o orientation vers d'autres professionnels (service social, psychologue ...), 31 Réalisation d’un audit HAS, RCP - Indicateurs IPAQSS Audit réalisé en juin 2014 à partir de 60 dossiers de 2013 tirés au sort. Ces indicateurs évaluent l’exhaustivité et les modalités d’organisation de la RCP lors de la prise en charge initiale d’un patient atteint de cancer. En conclusion, la fiche RCP pour être conforme à ces exigences, doit comporter au moins : 1. l’identité du patient, 2. le titre de « réunion de concertation pluri-disciplinaire », 3. la date, 4. le nom des médecins participants (au moins 3), 5. la spécialité des médecins participants (au moins 3 différentes), 6. la proposition de prise en charge. Réalisations 2014 : • Rapport d’activité de la fédération de cancérologie du CHU • Plaquette de présentation de la Fédération de cancérologie à destination des patients • Semaine d’information sur les cancers ayant pour thème « le cancer et l’image de soi, le cancer et la société» • Mise en ligne du site de la Fédération de cancérologie LA Fédération Cancérologie DE au coeur du CHU de Clermont-Ferrand Chiffres clés 2013 m ble em or ma ti o n Rass en td eZ umb a nf d’i e ain lors de la sem Nombre de séjours pour chirurgie des cancers, par pathologies 2012 2013 2014 Sein 4 13 10 Digestif 396 403 438 Urologie 162 188 188 Thorax 28 27 10 Gynécologie 110 91 91 ORL 205 199 170 Total 905 921 907 32 Dr Cécile CHABROT La Fédération de cancérologie a été mise en place au CHU en 2011. Elle regroupe l’ensemble des services du CHU de Clermont Ferrand qui ont à prendre en charge des patients atteints de cancer. Nous avons depuis 2 ans maintenant, établi un rapport de l’activité de cancérologie sur le CHU ce qui nous permet de nous mesurer à d’autres établissements. En 2014, nous avons recensé 3 673 nouveaux cas de cancer pris en charge au CHU. Au cours de cette même année, ont eu lieu 599 RCP au cours desquelles 10 079 dossiers ont été discutés. En 2014, nous avons travaillé sur : • La poursuite du déploiement du temps d’accompagnement soignant (consultation infirmière après la consultation d’annonce) et du PPS ou programme personnalisé de soins. • L’amélioration de la traçabilité des données pour obtenir un rapport d’activité de la fédération plus complet. • La qualité de nos RCP avec la réalisation d’un audit HAS sur les RCP (exhaustivité et organisation de la RCP lors de la prise en charge initiale d’un patient atteint de cancer juin 2014). • La communication : Création d’un Site Internet pour rendre lisible la cancérologie au CHU, site destiné aux professionnels et aux patients (mine d’informations) : http://cancero.chu-clermontferrand.fr/Cancero/Pages/accueil.aspx Semaine d’information sur les cancers : au cours de laquelle ont eu lieu des conférences sur cancer et image de soi, le cancer et la société, Inauguration d’un espace Info Cancer sur Estaing. • L’amélioration du parcours de soins avec l’aide précieuse du Comité Patients toujours plus actif et impliqué. [email protected] Evolution des activités dede greffes et et Evolution des activités greffes prélèvements prélèvements Les prélèvements et transplantations d'organes et de tissus 33 700700prélèvements et transplantations d’organes et de tissus Les 600 600 des activités de greffes Évolution des activités de greffesEvolution et prélèvements 500 500 400 400 300 300 200 200 100 100 0 0 214 214 700 600 176 500 176 400 122 300 122 167 167 167 167 191 191 214 117 117 167 prélèvements261 210 210 124 124 136 136 167 117 117 136 210 136 119 261 119 261 170 170 et 243 119 243 168 299 243 119 168 124 299 187 119 119 124 2012 2013 2014 299 124 187 191 176 124 2011 117 2009 2010 2012 2013 2014 2009 2010 2011 2012 2013 187 2014 170 168 136 136 122 117 Greffes de moëlle osseuse Prélèvements 0 Transplantations Transplantations Greffes de moëlle osseuse Prélèvements 2008 200 2008 100 2008 2009 Transplantations 2010 Greffes de moëlle osseuse Prélèvements - 2014 Prélèvements - 2014 Prélèvements - 2014 Cœurs Prélèvements - 2014 FoiesCœurs Cœurs 14 Foies 14 20Foies 14 20 20 Cornées Cornées 202 202 2011 Reins Reins 50Reins 50 50 Poumons Cornées Poumons 12 202 Poumons 12 Pancréas 12 1 Pancréas Pancréas 1 1 Prélèvements Transplantations Transplantations - 2014- 2014 Transplantations - 2014 Transplantations - 2014 Cœurs CœursCœurs 1414Foies Foies 14 Foies 20 20 20 Cornées Cornées 98 Cornées 98 98 Reins 55Reins 55 Reins 55 Au cours de l'année 2014, dans le cadre des prélèvements multi-organes, le CHU a également réalisé des prélèvements de vaisseaux sur 12 donneurs et des prélèvements de valves sur 2 donneurs. Au cours de l'année 2014, dans le cadre des prélèvements multi-organes, le CHU a également réalisé des Au cours de l'année dans sur le cadre des prélèvements multi-organes, le CHU prélèvements de2014, vaisseaux 12 donneurs et des prélèvements de valves sura 2également donneurs. réalisé des prélèvements vaisseaux surdes 12 prélèvements donneurs et des prélèvements de valves sur 2 donneurs. Au cours de l’année 2014,dedans le cadre multi-organes, le CHU a également réalisé des prélèvements de vaisseaux sur 12 donneurs et des prélèvements de valves sur 2 donneurs. 34 5.L’évolution médico-économique de l’activité Part des recettes T2A et nombre de séjours par CMD 28,6% Séances 4,8% 9,2% 21,6% Affections de l'appareil circulatoire 7,4% 9,9% Affections du système nerveux Affections et traumatismes de l'appareil musculosquelettique et du tissu conjonctif Grossesses pathologiques, accouchements et affections du postpartum 5,6% 8,4% 5,3% 4,2% 5,1% Affections du tube digestif Facteurs influant sur l'état de santé et autres motifs de recours aux services de santé 2,8% 5,0% 3,6% Nouveau-nés, prématurés et affections de la période périnatale 3,4% Affections de l'oeil Affections de l'appareil respiratoire 6,3% 4,7% 2,4% 5,8% 3,2% 3,0% 1,9% Affections du sang et des organes hématopoïétiques 2,8% Affections du rein et des voies urinaires 3,3% 2,6% 2,3% Affections de l'appareil génital féminin 2,4% Affections endocriniennes, métaboliques et nutritionnelles 2,3% 2,3% 3,8% Affections du système hépatobiliaire et du pancréas Affections des oreilles, du nez, de la gorge, de la bouche et des dents 2,2% 1,9% Affections de la peau, des tissus souscutanés et des seins 2,0% 1,9% 1,6% 3,9% Affections myéloprolifératives et tumeurs de siège imprécis ou diffus Troubles mentaux organiques liés à l'absorption de drogues ou induits par celles-ci 1,2% 0,4% Maladies et troubles mentaux 0,9% 0,6% Affections de l'appareil génital masculin 0,8% 0,7% Traumatismes, allergies et empoisonnements 0,7% 1,2% Maladies infectieuses et parasitaires 0,7% 1,3% Transplantations d'organes 0,2% 3,0% Traumatismes multiples graves 0,1% 0,5% 0,0% Brûlures 0,1% 0,0% 0,1% Maladies dues à une infection par le VIH 0% Part de l'activité 5% 10% 15% Part des recettes 20% 25% 30% 35% 40% Recettes 100% T2A par type de valorisation Recettes 100% T2A Année 2011 Valorisation des GHS Valorisation extrême bas (à déduire) Année 2012 Année 2013 221 571 673 228 511 880 229 517 902 233 131 442 3 109 897 -3 361 983 -2 776 122 -2 518 203 -15 677 -14 756 5 135 163 4 862 745 - Valorisation séjours avec rehosp dans 2 597 -4 791 Recettes même GHM100% (à déduire)T2A par type de valorisation Valorisation journéesmédico-économique extrême haut 5 de 311l'activité 484 II.4. L'évolution 5 993 670 Recettes 100% T2A par type de valorisation Valorisation actes d'irradiation Recettes 100% T2A Année 2011 Valorisation des GHSd'aphérèse Valorisation actes 372 653 Valorisation extrême bas (à déduire) Valorisation suppléments antepartum Valorisation séjours avec rehosp dans même GHM (à déduire) - - Année 2012 35 Année 2014 Année 2013 352 Année 2014 221 488 571 673 815 228554 511 157 880 229 517 902 278 523 3 109 897 -3 361 983 -2 776 122 -2 518 203 -15 677 -14 756 266 738 330 702 2 597 -4 791 430 373 233 131 442 Valorisation suppléments de Valorisation journées extrême haut réanimation 16 383 304 165 803 894 311 484 165842 993 705 670 539 638 516135 163 4 862 745 Valorisation suppléments de réa Valorisation actes d'irradiation pédiatrique 450 414 1 269 100 757 528 691 907 352 Valorisation suppléments de néonat sans SI Valorisation suppléments antepartum 372 653 488 815 1 943 488 1 910 972 2 012 744 2 012 163 Valorisation suppléments de néonat Valorisation suppléments de réanimation avec SI 1 807 656 16 383 304 1 859 118 16 803 017 894 1 965 16 1842 705 940 975 Valorisation suppléments de de réa pédiatrique Valorisation suppléments réanimation néonat 2 919 386 2 566 509 2 372 199 1 943 488 Valorisation actes d'aphérèse Valorisation suppléments de néonat sans SI Valorisation prélévements d'organe Valorisation suppléments de néonat avec SI 187 037 Valorisation des actes de Valorisation suppléments decaissons réanimation néonat hyperbares en sus - Valorisation prélévements d'organe Valorisation suppléments de dialyse 450 414 - 266 738 330 702 278 523 430 373 16 539 638 757 528 691 907 1 910 972 2 012 744 2 012 163 101 1 255 807 656 1175 859 090 118 244 472 1 965 017 1 940 975 2 919 - 386 2 566 - 509 2 372 -199 2 712 653 255 101 175 090 244 472 187 037 1 269 100 554 157 2 712 653 609 750 650 562 732 245 2 106 083 609 750 2 668 397 650 657 562 2 800 Valorisation suppléments de de surveillance Valorisation suppléments soins continue validés 5 996 939 intensifs validés 6 642 096 6 445 211 2 668 397 2 800 657 2 984 510 5 996 939 6 642 096 6 445 211 7 542 640 Valorisation des actes de caissons hyperbares en sus Valorisation suppléments de Valorisation suppléments de dialyse surveillance continue validés Valorisation suppléments de soins intensifs validés Total valorisation hospitalisation Total valorisation hospitalisation 256 547 374 - 2 106 083 266 520 079 256 547 374 - 266 849 520 266 520 079 Source ATIH e-PMSI (Tableau 1.V.1.RAV) : valorisation 100% T2A - Activité assurance maladie 666 913 - 245 2732 984 510 7 542 640 271 506 347 266 849 520 666 913 271 506 347 36 Part des recettes 100% T2A par pôle en K€ Part des recettes 100% T2A par pôle en K€ 52 408 51 850 POLE SPECIALITES MEDICALES ET CHIRURGICALES 43 021 44 453 POLE CARDIOLOGIE 37 797 38 775 POLE RMND M2O POLE RHEUNNIRS 34 135 36 497 POLE ARCHIBLOC 34 752 35 269 23 871 25 713 POLE PEDIATRIE 19 698 21 130 POLE GORH 11 922 12 201 POLE RESSOURCES INTERVENTIONNELLES 9 872 9 842 POLE URGENCES 227 369 POLE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MEDICALE 0 10 000 Année 2013 20 000 Année 2014 30 000 40 000 50 000 60 000 3 L’actualité 2014 du CHU 38 1.Les pôles Les pôles et leurs projets Pôles cliniques P iM péC S ôle ed Spésialités médicales et chi rur gic al es Pr BAY Chef de pôle Agnès BARRIER et Mireille BORDAS cadres supérieurs de santé > Chirurgie digestive et hépatobiliaire Pr PEZET > Hépato-gastro-entérologie Pr ABERGEL > Dermatologie Pr D’INCAN > Hématologie clinique Thérapie cellulaire Pr BAY > Odontologie Pr ORLIAGUET > Stomatologie et Chirurgie Maxillo-faciale Pr BARTHÉLÉMY > Médecine interne Pr RUIVARD > Centre de soins palliatifs Dr GUASTELLA • Poursuivre et généraliser l'optimisation de l'activité de kinésithérapie au sein du pôle • Consolider les soins de support en cancérologie • Organiser des consultations contre la douleur en cancérologie • Constituer un site intranet • Fédérer les greffes : renforcer la coordination IDE et la garde médicale pour les greffes hépatiques • Structurer la recherche clinique au sein du pôle • Projet ARIAME : développer la télémédecine en lien avec le GCS SIMPA pour la médecine interne • Augmentation de 5 lits HC en hématologie clinique (par redéploiement de 5 lits de médecine interne) • Poursuite de l’autonomisation de la neurochirurgie pédiatrique à l’hôpital ESTAING, intégration progressive de l’urgence sur le site • Poursuite de l’accueil de la chirurgie pédiatrique de spécialité en ORL, individualisation d’une consultation ORL délocalisée • Structuration d’une antenne de MPR pédiatrique • Dépistage de la surdité néonatale à la maternité en lien avec le pôle GORH • Consolisation de l’activité du Centre de Ressources et de Compétences de la Mucoviscidose • Mise en oeuvre de l’HAD sur la périnatologie. • Salle d’admission en néonatologie Gé ôle CHU - CHT Riom o-p t -En n v ro Dr BOHATIER Chef de pôle Michèle DE MACEDO cadre supérieur de santé > Médecine gérontologique clinique Dr BOHATIER Soins de Suite et Réadaptation gérontologique et Court séjour gériatrique > Long séjour gériatrique Dr BOHATIER al Pôle Pédiatrie Pr LABBÉ Chef de pôle Brigitte FAVARD cadre supérieur de santé > Pédiatrie générale multidisciplinaire Pr LABBE > Réanimation pédiatrique et périnatalogie Pr LABBÉ > Chirurgie infantile Pr CANAVESE > Génétique médicale Dr FRANCANNET > Centre régional de cancérologie et de thérapie cellulaire pédiatrique Pr KANOLD > Centre de Biothérapie d’Auvergne Pr KANOLD > SMUR Urgences pédiatrique Pr LABBÉ • Prise en charge des personnes âgées présentant des troubles psycho-comportementaux (PASA / UHR / UCC) • Améliorer les procédures d’admission de la filière gériatrique (RCP, visio-conférence) • Consolider la coordination gérontologique (pérennisation du COGERT, développement de la télémédecine) • Former les personnels soignants (prise en charge des urgences vitales, assistants de soins en gérontologie) • Suivi de l’ac.vité de l’UMG dans le cadre du plan de traitement de la saturation des urgences 2013/2015 e ôl ologie Obstétrique et Repr ynéc o du G cti H R on Hu GO ma in Pr LEMERY Chef de pôle Florence DERPIROU cadre supérieur de santé e P 39 > Gynécologie Pr CANIS > Obstétrique Pr LEMERY > Biologie du développement et de la reproduction humaine Dr JANNY > Services communs AMP Pr POULY • Redéfinition du fonctionnement de l’accueil des femmes enceintes et mineures victimes de violences • Mise en place d’un conseil de bloc obstétrical en lien avec le conseil de Bloc • Prise en charge de la douleur en pelvi-périnéologie • Mise en place du dépistage de la Surdité néonatale en lien avec le pôle PEDIATRIE Pôle RHEUNNIRS Pr SOUWEINE Chef de pôle Marie-Claire ARNAUD cadre supérieur de santé • Evaluation des activités spécifiques : lit neuromusculaire et echo-endoscopie bronchique gences - CHT Ri U - Ur om M A -En S e Pr SCHMIDT Chef de pôle va l ô l P Patrice EYMERE cadre supérieur de santé > SAMU-SMUR Dr DISSAIT > Accueil Urgences Dr PIC > Porte Dr BILLAULT > Post Urgences et thérapeutique Pr SCHMIDT > Psychiatrie d’urgence, addictologie et médecine pénitentiaire Dr GENESTE > Urgences CH Riom Pr SCHMIDT > Néphrologie - Hémodialyse Pr HENG > Réanimation médicale Pr SOUWEINE > Urologie Pr BOITEUX > Pneumologie Pr CAILLAUD > Endocrinologie Pr TAUVERON > Nutrition clinique Pr BOIRIE > Hygiène hospitalière Pr TRAORÉ > Maladies infectieuses et tropicales Pr BEYTOUT > Santé, travail et environnement Pr CHAMOUX • Unité sanitaire en milieu pénitentiaire (USMP) : définition du projet médical dans le cadre du regroupement des unités sanitaires sur Riom • Cellule d’Urgences Médico-Psychologiques (CUMP) : clarifier les moyens affectés dans le respect de la dotation MIG allouée • Urgence Douleur Thoracique : permanence médicale du service de cardiologie à l’accueil des urgences • Structurer la PASS • Renforcer le SAMU dans le cadre de la modélisation JPE régionale des MIG en lien avec l’interconnexion et les correspondants des SAMU • Finalisation et mise en oeuvre des actions du plan de traitement de la saturation des urgences 2013-2015 Pôle • Augmenter l’activité du centre du sommeil et de vidéo de l’EEG • Mise en place d’une consultation multidisciplinaire dans le cadre du dépistage de l’ostéoporose • Mise en service du laser ophtalmo réfractif • Déployer une activité de recours ORL pédiatrique en lien avec le pôle PEDIATRIE • Sortie du patient (HAD, PRADO) • Structurer l’activité de recherche du pôle en lien avec la DRCI RMNDO - CH Enva l Pr LEMAIRE Chef de pôle Claude LYS cadre supérieur de santé > Rhumatologie Pr SOUBRIER > MPR CH Clémentel Pr COUDEYRE > Neurologie - EEG Pr CLAVELOU > Neurochirurgie Pr LEMAIRE > CETD Pr ESCHALIER > ORL Pr GILAIN > Ophtalmologie Pr CHIAMBARETTA > Médecine interne Pr AUMAÎTRE 40 hiatrie Enfant - Ad Psyc ulte e l Pô Pr JALENQUES Chef de pôle Annie FLORENTIN cadre supérieur de santé • • • • > Psychiatrie Adulte A et Psychologie médicale Pr JALENQUES > Psychiatrie Adulte B Pr LLORCA > Pédopsychiatrie Dr NOTON-DURAND > SSR Addictologie CH Clémentel Equipe mobile de pédopsychiatrie Réorganisation des liaisons somatiques / psychiatriques HJ psychiatrie personnes âgées Centre expert de schizophrénie urces Interven t i on nel les esso PRI R e l Pô Pô > Réanimation Pr BAZIN > Service Commun Pr MAGE > Bloc Pr MAGE > Unité de chirurgie ambulatoire commune Dr SLIM le Pr CAMILLERI Chef de pôle Brigitte CALIMÉ-WATIEZ cadre supérieur de santé a le Pr MAGE Chef de pôle Christian BOILLE cadre supérieur de santé ie médicale et ch iolog irur d r gic Ca > Cardiologie médicale Pr LUSSON responsable de service coordonnateur Pr CITRON chef de service > Chirurgie cardio-vasculaire Pr CAMILLERI Pôle BLOC ARCHI Pr RIBAL Chef de pôle Frédérique MARSON cadre supérieur de santé > Chirurgie générale à compétence thoracique et vasculaire Pr RIBAL > Orthopédie, traumatologie, chirurgie plastique et reconstructive Pr BOISGARD > Médecine du sport et explorations fonctionnelles Pr DUCLOS > Bloc et Anesthésie-Réanimation Pr SCHOEFFLER Pôles médico-techniques médicales et Ana tom ie Pa th BM Pr ESCHALIER Chef de pôle Marie-Claire POUZADOUX cadre supérieur de santé og ol > Biochimie et biologie moléculaire Pr SAPIN > Hématologie biologique Pr BERGER > Immunologie Dr EVRARD > Bactériologie Pr BONNET > Virologie Pr PEIGUE-LAFEUILLE > Pharmacologie-Toxicologie Pr ESCHALIER > Anatomie et cytologie pathologiques CHU Estaing Pr DECHELOTTE > Anatomie et cytologie pathologiques CHU Gabriel-Montpied Pr KEMENY > Cytogénétique médicale Pr VAGO e iqu Pô le AP ie log Bio • Développement de l’activité du centre de prélèvement d’Estaing • Autonomisation du service d’immunologie • Mutualisation des services d’anatomie pathologique • Structuration de la plateforme de génétique moléculaire • Prise en charge biologique pluridisciplinaire des patients suspects d’infection Ebola • Coordination et évolution de la biologie délocalisée réalisée sur des appareils à gazométrie • Développement de nouvelles techniques des différents secteurs : - Biochimie : PS100 - Virologie : * reprise d’examens pour le suivi des patients immunodéprimés ( Parvovirus B19 et hépatite E chronique) actuellement sous-traités * amélioration de la prise en charge des infections respiratoires sévères en PCR chez les immunodéprimés * mise en place d’un nouveau marqueur du suivi de l’infection VIH1 en PCR • Créa.on de postes médicaux dans le cadre de la procédure institutionnelle de révision des effectifs (hématologie, pharmacologie) Radiologie interv ent ie et r e ion g a n Im Pr BOYER Chef de pôle les el Pô le 41 Catherine AIGUEBONNE cadre supérieur de santé > CHU Estaing Pr GARCIER > Gabriel-Montpied Radio B Pr BOYER • Poursuite du développement des techniques de Radio Interventionnelle non vasculaire • Concrétisation IMABLOC • Création d’une astreinte de radiopédiatres séniors à Estaing • Télé radiologie (organisation, équipement et temps médecin spécifiques) • Structuration des IRM avec sédation anesthésique à Estaing: majoration du temps d’anesthésiste réanimateur dédié aux IRM pédiatriques • Suites données à la visite de conformité en neuroradiologie interventionnelle • Autorisations (4ème IRM avec CJP, scanner urgences, renouvellement IRM Estaing, renouvellement IRM 3T) • Projet THEO : organisation et régulation du circuit de brancardage sur le site GM • Constitution d’un pôle interhospitalier d’imagerie et radiologie interventionnelle avec les CH d’Issoire et de Riom • Création d’un poste d’ARC AIaché de Recherche Clinique MEM • Secrétariat : poursuite de la démarche d’amélioration • Poursuite de la restructuration du plateau technique GM (désamiantage HNA/HNB, patio, travaux extension 97) • Proposition d’un nouveau Plan Pluriannuel d’investissement • Plateforme de recherche IVIA, en partenariat avec l’Université Pôles médico-économiques Pôle Santé publique Pôle Pharmacie Pr GERBAUD Chef de pôle Pr SAUTOU Chef de pôle > Epidémiologie, prévention, économie de la santé Pr GERBAUD > DIM Dr JOURDY > Biostatistiques et biomathématiques Pr BOIRIE > Médecine légale Dr BOYER > CRIAVS Mme CANALE > Pharmacie Pr SAUTOU > Unité de reconstruction centralisée des cytostatiques > Stérilisation Pôle de Recherche biomédicale R Pôle echerche biomédic Pr DUBRAY Chef de pôle > DRCI André SALAGNAC > CIC Pr DUBRAY > CRNH Pr CANO > CRB Pr BERGER > IRM 3 Tesla recherche Pr BOYER ale 42 Interviews Pr. Didier LEMERY Chef de pôle Gynécologie Obstétrique er Reproduction Humaine L’année 2014 au Pôle GORH a été marquée par une confirmation de l’attrait des familles Clermontoises, mais aussi Puydômoises et Auvergnates, pour la Maternité du CHU Estaing : nous avons, cette année encore, battu nos records avec 3894 naissances (3717 en 2013) avec un souci de qualité et d’analyse des pratiques professionnelles qui nous permet de contenir notre taux de césariennes à 17.8%, ce qui est très faible pour un CHU mais correspond à un objectif national de santé publique qui est de diminuer les césariennes inutiles. Cette activité nous situe comme la 21ème plus grosse des 515 maternités françaises et représente 29,5% des 13 179 naissances des maternités Auvergnates. Cette évolution nous a amenés à mettre en place, le 1er juin 2014, une astreinte de 2ème ligne d’appel exceptionnel d’un second médecin sénior. Sur le plan gynécologique, le fait saillant est l’augmentation, en quantité et en complexité : de l’activité de cancérologie gynécologique avec 51 RCP correspondant à 257 dossiers (240 en 2013), de l’activité de chirurgie uro-gynécologique dont les délais d’attente s’allongent et enfin de l’activité de référence en chirurgie de l’endométriose sévère comme en témoigne l’augmentation des actes associés mobilisant 2 équipes tels les résections digestives et la chirurgie urétérale . Notre centre de PMA a réalisé 736 FIV (199 grossesses), 378 transferts d’embryons congelés (84 grossesses), 440 inséminations (86 grossesses), 14 dons d’ovocytes (6 grossesses). Parmi toutes procédures, 58 ont bénéficié du tout nouveau système TimeLapse de surveillance vidéo de croissance des embryons. Le Centre Pluridisciplinaire de Diagnostic Prénatal a pris en charge 545 patientes en Concertation Pluridisciplinaire, réalisé 1554 échographies, 401 prélèvements et 54 traitements in utero et autorisé 135 interruptions médicales de grossesse. Trois démarches d’APP et d’audit ont été réalisées de même que 9 revues de morbi-mortalité. Malgré nos 75 400 consultations, la demande reste supérieure à l’offre…. Enfin, l’année 2014 aura aussi été consacrée à la préparation du rapprochement et de la fusion avec le Pôle de Pédiatrie, programmée pour juillet 2015. 43 Pr. Louis BOYER Chef de pôle Imagerie et radiologie interventionnelle « Une année marquée par d’importants travaux » Quels ont été les temps forts en 2014 au niveau de la restructuration du plateau technique d’imagerie du CHU ? En ce qui concerne le CHU Estaing, nous avons enregistré une évolution médicale très importante avec la concrétisation de notre demande de reconnaissance d’une astreinte de radio-pédiatres seniors : dorénavant, il est possible de disposer d’un avis radiologique spécialisé en radio-pédiatrie 7j/7 , 24h/24. Il a fallu depuis 3 ans, en parallèle aux travaux sur le Gabriel Montpied (cf. supra), assurer le bon fonctionnement du service dans des conditions provisoires ; nous avons pu néanmoins constater une croissance de l’activité entre 2013 et 2014 à GM : en termes de passages pour l’IRM et le scanner X, respectivement +5,4 % et + 9,2 % ; pour la radiologie interventionnelle, la progression a atteint + 8,2 %. L’année 2014 a été aussi marquée en radiologie par la promotion du Dr Pascal Chabrot au grade de PU-PH (Professeur des Universités-Praticien Hospitalier). On imagine que vos équipes ont dû s’adapter aux contraintes générées par les travaux, n’est-ce pas ? Effectivement, les équipes du pole ont dû s’adapter pour assurer le maintien de la qualité des soins : l’implication de tous doit être saluée ! Le déroulement de ces opérations nous a aussi permis d’apprécier l’efficacité de l’ensemble des équipes techniques de l’hôpital : le résultat architectural sera de qualité, dans les délais prévus, alors que la radiologie a pu fonctionner sans discontinuité. En parallèle durant cette période, les liens et la synergie fonctionnelle avec les services de radiologie des Centres Hospitaliers de Riom et d’Issoire se sont encore renforcés, amenant la Direction commune de notre CHU et de ces hôpitaux à la constitution d’un pôle inter-hospitalier de radiologie, qui s’appuie sur une logique hospitalo-universitaire de qualité des soins et des enseignements, en mettant en commun nos forces et nos compétences . 44 Pr. Valerie SAUTOU Chef de Pôle Pharmacie « L’année 2014 a été particulièrement chargée pour l’équipe pharmaceutique. La pharmacie a été au cœur de grands chantiers visant à optimiser la gestion des médicaments et des dispositifs médicaux « sous l’œil » de l’Anap / Copermo, et à sécuriser la prise en charge médicamenteuse du patient pour laquelle la HAS avait émis une réserve majeure lors de la certification V2010. Préparateurs, OP, logisticien, pharmaciens se sont mobilisés sans relâche pour assurer le déploiement du plein/vide dans les unités de soins à la cadence d’un service déployé tous les 15 jours, pour réorganiser les stocks de médicaments et dispositifs médicaux au sein de la pharmacie et préparer le plein/vide dispositifs médicaux au bloc central GM. Au-delà de la gestion des stocks, l’équipe a poursuivi le développement de la pharmacie clinique : informatisation et analyse pharmaceutique des prescriptions, conciliation médicamenteuse, éducation thérapeutique, … le pharmacien sort de plus en plus de son apothicairerie! En tant que pharmacien, je suis persuadée que cette démarche contribuera à améliorer la sécurité de la prise en charge médicamenteuse, d’autant que le travail collaboratif avec les équipes médicales et soignantes porte déjà ses fruits. Notre plateau technique a également connu une importante évolution en 2014 avec la prise en charge de la stérilisation du matériel du service d’odontologie. Cette activité nouvelle a demandé aux agents une grande capacité d’adaptation. L’activité de l’unité de production des préparations pharmaceutiques a également été soutenue en 2014 avec, entre autre, plus de 30 000 chimiothérapies anticancéreuses fabriquées, et le développement de la sous-traitance pour d’autres établissements notamment de préparations ophtalmiques. Les préparations pour essais cliniques ont nettement augmenté cette année. Sur ce dernier point, il n’est pas toujours possible de répondre à la demande, souvent pour des raisons techniques ou de locaux non-conformes aux exigences des promoteurs mais les choses progressent. Voici en quelques lignes les faits marquants de l’année 2014. Ces grandes missions ont été menées grâce au dynamisme et à la cohésion de l’équipe. Les porteurs de projet ont été particulièrement moteurs secondés par le reste de l’équipe qui assurait le quotidien. En conclusion une année très productive pour la pharmacie ! » 2.Les temps forts 2014 Cellule de régulation des lits Mise en place de la cellule de régulation des lits, outil de gestion des lits à l’hôpital, s’organisant sur deux niveaux : l’activité opérationnelle et l’activité d’analyse. La cellule opérationnelle de régulation des lits participe à l’hébergement des patients dans les services d’aval de médecine et de chirurgie et assure le relevé de différentes données, comme l’activité des urgences, la disponibilité en lits, les séjours longs… Cette cellule rend compte à la cellule de régulation des lits qui fait le bilan des journées précédentes, évalue et propose si besoin des améliorations au dispositif, suit et analyse les séjours longs. Centre de soins dentaires L’ouverture des portes du nouveau complexe odontologique, en janvier 2014, constitue l’aboutissement du projet immobilier du CHU Estaing, commencé en mars 2010 par le transfert des services auparavant situés à l’Hôtel‐Dieu. Ce projet, partagé par le CHU de Clermont-Ferrand et l’Université d’Auvergne, est une composante majeure du CHU et de sa mission hospitalouniversitaire. Pensée par Gazeau Architectes, la nouvelle structure est composée de deux bâtiments, l’un dédié au service hospitalier et l’autre à la faculté dentaire. Le service d’Odontologie, placé sous la responsabilité du Pr Thierry Orliaguet, répond à trois missions : les soins, l’enseignement et la recherche. 45 46 Validation de la feuille de route ANAP – plan d’actions performance Le COPERMO du 28 janvier 2014 a validé la feuille de route ANAP présentée par l’ARS, l’ANAP et le CHU de Clermont-Ferrand. 4 chantiers sont mis en œuvre : • gestion des lits (schéma capacitaire, durée des séjours et chirurgie ambulatoire), • blocs opératoires, • circuit du médicament et dispositifs médicaux • facturation – recouvrement. En cours d’année, ce projet ANAP a été rapproché de l’ensemble des projets du Contrat de Retour aux Equilibres Financiers pour aboutir à un plan d’actions global et mieux coordonner l’ensemble de ces projets L’ERERA sur les fonts baptismaux Conformément à l’arrêté de 2012, un espace de réflexion éthique régional Auvergne (ERERA) a été créé le 27 mai 2014 sous l’égide de l’Agence régionale de santé. Il rassemble plusieurs membres fondateurs parmi lesquels le CHU, la Fédération hospitalière d’Auvergne, les Universités d’Auvergne et Blaise Pascal, l’Ecole supérieure de Chimie, l’IFMA ou encore la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne… Lieu de rencontres et d’échanges interdisciplinaires, l’ERERA a pour but d’améliorer les connaissances et la réflexion sur l’éthique de la santé. Il a vocation à promouvoir l’information et la consultation des citoyens, à apporter un soutien méthodologique, logistique et documentaire aux professionnels et aux étudiants. Le protocole d’accord pour la vente de l’Hôtel-Dieu signé Soumis au Conseil de surveillance du CHU le 12 décembre, lequel a donné un avis favorable à l’unanimité, puis au Conseil municipal le 19 décembre (35 voix pour, 19 contre), le protocole d’accord portant sur la vente de l’Hôtel-Dieu a finalement été signé le 23 décembre à l’Hôtel de ville de Clermont-Ferrand. Cet accord important, conclu entre le CHU, la ville et les trois représentants de la « SCI Hôtel-Dieu », garantit la vente de l’ancien hôpital au prix de 25 millions d’€ net vendeur. Alain Meunier, Directeur général du CHU, n’a pas caché qu’il s’agissait d’une avancée très importante qui va conditionner la fin du désamiantage mais aussi la reconstruction du site Gabriel-Montpied dans le cadre du projet « GM3 ». 47 Inauguration du cytomètre trieur de cellules haute performance La plateforme de cytométrie en flux du CHU de Clermont-Ferrand, situé au service d’hématologie biologique au CHU Estaing, a fait l’acquisition en 2014 d’un automate analyseur/trieur de dernière génération (FACSAria SORP 5 lasers, Becton Dickinson), financé par le CHU de Clermont‐Ferrand, la Région Auvergne, la Fondation ARC et le FEDER. La cytométrie en flux permet de trier les cellules en fonction des molécules exprimées à leur surface, qui représentent une sorte de carte d’identité. Cet appareil tri aussi les molécules avec un taux supérieur à 99% de pureté, grâce aux dernières générations qui l’animent. Les cellules vont défiler une par une devant des lasers, grâce à un flux liquidien. Ce tri de cellules très pures est fondamental pour l’analyse des chercheurs, dans le but de comprendre comment une population de cellules fonctionne. Contrat unique en recherche Inscrite dans le contrat stratégique de filière Industries et Technologie de Santé signé en juillet 2013, la mise en place du contrat unique pour les recherches biomédicales à promotion industrielle dans les établissements de santé publics, mesure jugée prioritaire par le Ministère, a été officialisée par la signature le 17 juin 2014 d’une instruction du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé. L’objectif étant de simplifier et raccourcir les procédures de mise en place des essais industriels au sein des établissements publics de santé pour notamment renforcer l’attractivité des hôpitaux français, et permettre à davantage de patients d’accéder aux dernières innovations thérapeutiques. La mise en application au CHU de Clermont-Ferrand a été immédiate pour tous les nouveaux essais déclarés à la DRCI à partir de la date de l’instruction. Inauguration d’un «bar à vins» Depuis septembre 2014, le vin a fait son entrée au Centre de soins palliatifs, faisant ainsi du CHU de Clermont‐ Ferrand un précurseur au niveau national. Après 12 années d’exercice, la question du comment prendre soin et améliorer la qualité du temps de vie qui reste demeure essentielle pour le Dr Virginie Guastella, chef de service du Centre de Soins Palliatifs et porteuse du projet. Pour le Dr Guastella, ce bar à vins est « une autre façon de penser le prendre soin de l’autre ». Ce projet a aussi donné lieu à une formation sur la symbolique des vins réalisée par Catherine Legrand-Sebille (socio anthropologue, enseignant chercheur à l’Université de Lille) auprès du personnel soignant et des bénévoles d’accompagnement du CSP. Les premières bouteilles sont arrivées très vite dans la cave à vins de 200 litres l’automne dernier, à travers des dons généreux de vignerons mais aussi de familles des patients. 48 Revue de contrat CPOM En octobre 2014 a eu lieu, la rencontre entre l’ARS et le CHU de Clermont-Ferrand, afin de réaliser l’évaluation annuelle du contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM) signé avec l’ARS Auvergne pour échanger notamment sur quatre principaux points formant l’ordre du jour : - l’organisation de l’offre de soins avec notamment le développement des alternatives à l’hospitalisation complète, la mise en œuvre du plan régional sur les urgences, la mise en place de l’interconnexion des SAMU, la convention de prestation de services des SDIS au fonctionnement des SMUR,… - les programmes d’investissements avec les projets immobiliers et le système d’information, - la gestion financière avec la comptabilité analytique, la certification des comptes, FIDES, le Contrat de retour aux équilibres financiers, - l’efficience avec le programme PHARE et le suivi des effectifs dans le cadre du COPERMO. PHRC National 2014 Dans le cadre de la campagne 2014 des PHRC Nationaux, deux projets clermontois ont été retenus et acceptés à financement : • Pr Durif (neurologie) : évaluation de l’effet d’injection de toxine botulinique dans le traitement du tremblement du chef par une étude multicentrique, contrôlée randomisée en double aveugle versus placebo. Montant accordé : 513 958 € • Pr Futier (Anesthésie-Réanimation) : antibioprophylaxie combinée orale et intraveineuse pour la prévention des infections du site opératoire en chirurgie colorectale élective : étude prospective, randomisée, contrôlée, multicentrique en double aveugle. Montant accordé : 811 881 € IMABLOC – extension du plateau technique de radiologie Concernant le plateau technique de radiologie du site Gabriel Montpied, l’année 2014, a été marquée par d’importants travaux, qui avaient en fait débuté en 2013, et se poursuivront jusqu’ à l’automne 2015. Ces travaux s’articulent autour de trois axes principaux : • l’achèvement de la mise en place d’ « Imabloc » (secteur interventionnel), • le désamiantage des ailes HNA et HNB (avec au final la réinstallation du secteur échographie et de l’accueil des patients/ bureau des entrées), • la construction dans le patio d’un bâtiment à 3 niveaux : - le 1er étage sera dévolu aux IRM (qui seront enfin à l’intérieur même du bâtiment de GM, rendant possible leur accès en urgence et pour les patients réanimés), - le rez-de-chaussée, destiné à l’installation d’un scanner qui sera préférentiellement utilisé pour explorer les patients des services d’Urgences et de Réanimation, - le niveau inférieur, qui abritera des vestiaires neufs pour les personnels. 4 Le CHU : pivot de la coopération régionale 50 1.Stratégie du CHU en matière de communication interhospitalière Au cours de l’année 2014, le CHU de Clermont-Ferrand a renforcé son engagement dans les coopérations territoriales et régionales. IV. Le CHU : pivot de la coopération régionale Cet engagement est le fruit d’une volonté stratégique actée dans le projet d‘établissement qui consiste à soutenir les activités de soins dans les établissements publics de la région, pour mieux se consacrer à l’accueil 1. Stratégie du CHU en matière de coopération interhospitalière de patients nécessitant soins les plus lourds et au développement des activités de recours. Le CHU assure une mission d’appui audans maintien de l’activité centres hospitaliers du G6 Le hospitaliers Les coopérations régionales s’inscrivent le cadre du G6dans quiles regroupe l’ensemble des(Aurillac, centres Puy-en-Velay, Montluçon, Moulins, et Vichy) au regard notamment du dispositif des assistants partagés et de généraux de la région et le CHU. Essentiellement médicales ces coopérations s’articulent sur des conventions de mise à disposition. simples deconventions mise à disposition de compétences et favorisent le recrutement de praticiens en exercice partagé. En soutenant les plateaux des établissements publics de la région, le CHU peut en effet se concentrer sur son Cet apportcœur de compétences médicales au bénéfice des plateaux techniques de proximité participe au rayonnement de métier et ainsi accueillir les patients qui nécessitent les soins les plus lourds, tout en facilitant la du CHU et contribue à assurer un maillage et une graduation de l’offre de soins duau territoire auvergnat en conformité mutation des établissements périphériques qui doivent prioriser leurs activités vu de leurs ressources avec les orientations duleurs SROS-PRS. Toutes formes de partenariat envisageables : consultations médicales et de moyens, dans un souci de qualité et de sécurité,sont en veillant à garantir à leurs populations avancées, postes partagés, mise en place de protocole commun, fédération médicale inter-hospitalière… un accès continu et coordonné à l’ensemble des soins. Cet apport de compétences au bénéfice de plateaux techniques « de proximité » participe au rayonnement du CHU et contribue à assurer un maillage et une gradation de l’offre au sein du territoire auvergnat, en pleine conformité avec les orientations du SROS-PRS. Il peut s’exprimer sous forme de consultations avancées, de postes de praticiens ou d’assistants partagés, de la mise en place de protocoles communs, de fédérations médicales inter établissements, de GCS de moyens, de projets de territoire, ayant vocation pour ces derniers à enrichir les projets de territoire de santé élaborés par l’agence, bassin de santé par bassin de santé. 2.Les différentes formes de partenariats 2. Les différentes formes de partenariats Les conventions de mise disposition de temps médical Les conventions de mise à à disposition de temps médical (autres qu’assistants partagés) CHT PERSONNEL MÉDICAL DU CHU MIS À DISPOSITION D’UN ÉTABLISSEMENT EXTÉRIEUR G6 AUTRES Etablissements Nombre de conventions ETP CH RIOM CH ISSOIRE CH CLEMENTEL CH BILLOM CH LE MONT DORE SOUS-TOTAL CH AURILLAC CH MOULINS CH VICHY CH LE PUY CH MONTLUCON SOUS-TOTAL AUTRES ETABLISSEMENTS CENTRE JEAN PERRIN CH BRIOUDE CMI ROMAGNAT ARS CH ST FLOUR CH THIERS ADAPEI SOUS-TOTAL 10 5 2 2 1 20 6 5 4 4 4 23 107 19 5 4 4 3 3 3 148 7,6 1,4 0,5 0,5 0,5 10,5 1,6 0,4 à la demande 0,28 1,5 3,78 11,97 8,9 1,52 0,1 1 0,3 0,2 0,2 24,19 TOTAL (hors assistants spécialistes partagés) 191 (dont 46 pour l'équipe mobile de soins palliatifs) Assistants spécialistes partagés 11 5,85 TOTAL GÉNÉRAL 202 44,32 38,47 51 Répartition régionale des postes d’assistants spécialistes partagés Répartition régionale des postes d’assistants partagés Financement - nombre de postes 2011-2013 2012-2014 2013-2015 2014-2016 Spécialités Etablissements partenaires Anesthésie - réanimation Fédération médicale interhospitalière Biochimie et biologie moléculaire CH Mont-Dore 1 CH Puy-en-Velay 1 CH Aurillac 1 Cardiologie CH Vichy Chirurgie maxillo-faciale 3 1 1 CH Aurillac 1 1 CH Vichy Chirurgie vasculaire CH Issoire 1 CHU Clermont-Ferrand 1 Dermatologie CH Vichy Endocrinologie CH Thiers 1 Gériatrie CH Montluçon 1 Hématologie biologique CH Aurillac Médecine du travail CH Brioude 1 CH Saint-Flour 1 1 1 Médecine interne CH Moulins 1 CH Brioude 1 Neurologie CH Puy-en-Velay 1 CH Thiers Ophtalmologie CH Vichy 1 ORL CH Riom 1 CH Riom puis Montluçon 1 Orthopédie 1 1 CH Vichy Nutrition CH Riom 1 1 CH Issoire Psychiatrie CH Clémentel Radiologie FMI Issoire Réanimation médicale CH Vichy Rhumatologie CH Puy-en-Velay CH Montluçon Urgences 1 1 1 TOTAL 1 1 1 1 1 2 CH Riom Urologie 1 2 21 1 2 1 CH Aurillac 2 CH Issoire 1 12 10 13 12 11 15 52 3.La communauté hospitalière de territoire ϯ͘>ĂĐŽŵŵƵŶĂƵƚĠŚŽƐƉŝƚĂůŝğƌĞĚĞƚĞƌƌŝƚŽŝƌĞ ŽŵŵƵŶĂƵƚĠ ,ŽƐƉŝƚĂůŝğƌĞ ĚĞ dĞƌƌŝƚŽŝƌĞ ƵŶƉƌŽũĞƚĚĞƚĞƌƌŝƚŽŝƌĞƉĂƌƚĂŐĠƐ͛ĂƉƉƵLJĂŶƚƐƵƌƵŶƉƌŽũĞƚ Le CHU est l’établissement porteur de la Communauté hospitalière du Grand Clermont constituée en 2011 avec les centres hospitaliers de RIOM, ISSOIRE, CLEMENTEL, LE MONT DORE et BILLOM. L’axe stratégique autour duquel s’articule le projet de territoire partagé, vise à maintenir une activité MCO de proximité au sein des établissements de la CHT dans le respect strict de la réglementation et de l’équilibre financier. Le référencement des activités au CHU conduit dans cette logique au développement des conventions de mise à disposition (202 à ce jour), la mise en place de postes partagés et l’organisation de consultations avancées. Au-delà des activités purement médicales, la mutualisation des fonctions support s’avère indispensable pour assurer une meilleure cohérence de nos organisations et en assurer la pérennité. L’exemple des fédérations inter-établissement mise en place en Anesthésie Réanimation et Imagerie médicale doit être repris pour l’organisation de filières de soins en médecine et chirurgie. 4.Le renforcement de la collaboration avec le Service de Santé des Armées En 2014 un accord-cadre définissant les modalités de coopération entre le CHU de Clermont-Ferrand et les Centres Médicaux des Armées (CMA) dépendants du Service de Santé des Armées de Lyon a été signé. Cette coopération, qui s’intègre dans le cadre du « Projet de Service de Santé des Armées 2020 », a pour objectif de définir des projets médicaux complémentaires pour construire une stratégie répondant aux besoins de santé du territoire des régions Rhône-Alpes et Auvergne et à la mission de soutien sanitaire des forces armées. Cet 53 accord-cadre vise à renforcer la collaboration entre les CMA et le CHU de Clermont-Ferrand qui existe depuis 2012 par le biais de la participation de personnel des CMA aux activités de médecine d’urgence du CHU. Il prévoit en outre des coopérations concernant la formation, la mutualisation de compétences et de moyens dans le cadre d’exercices communs et la promotion de la politique de réserve du Service de Santé des Armées. 5.Partenariat avec le CLCC Centre Jean Perrin Depuis 2006 le partenariat avec le CLCC Centre Jean Perrin s’inscrit dans le cadre d’un Groupement de Coopération Sanitaire intitulé Institut Régional Universitaire du Cancer en Auvergne (IRUCA). De nombreuses collaborations médicales ont été mises en place dans le cadre de l’IRUCA : • • • • réanimation commune transfert activité chirurgie thoracique regroupement hématologie clinique imagerie médicale Sur l’année 2014, la création d’une plateforme de génétique moléculaire de haute technologie a prioritairement mobilisé les gouvernances des deux établissements. Cette plate-forme sera située au 6ème étage du bâtiment de biologie (Gabriel Montpied) et sera équipée de matériels de dernière génération (séquenceurs hauts débits) permettant de recourir à des analyses massives parallèles de gènes. La plate-forme pourra être utilisée pour différentes applications : • génétique somatique des tumeurs cancéreuses, • génétique constitutionnelle de l’individu dans le cadre d’une médecine prédictive du risque de maladie aboutissant à des mesures de dépistage et de prévention (on repère les sujets non malades mais à très haut risque d’être malade un jour et on met en place des mesures de prévention pour leur éviter d’être malade), • dépistage prénatal Non-Invasif pour le diagnostic ainsi que pour la recherche translationnelle. L’Intérêt pour les patients est de passer à une médecine personnalisée pour le traitement des cancers, en passant par des phases de séquençage haut débit (séquenceurs NGS), haute innovation technologique. 54 5 L’activité de recherche et d’enseignement 56 1.Enseignement et formation La formation délivrée par les instituts et écoles paramédicales du CHU Les instituts sont gérés par le CHU de Clermont-Ferrand, en partenariat avec le Conseil Régional d’Auvergne qui en assure le financement depuis 2005, aux côtés des établissements de santé employeurs qui paient les frais pédagogiques de leurs personnels en formation continue. Les entreprises peuvent contribuer à la formation des futurs professionnels en versant leur taxe d’apprentissage aux instituts délivrant une formation initiale : Institut de Formation d’Ambulanciers, Institut de Formation d’Auxiliaires de Puériculture, Institut de Formation d’Aides Soignants, Institut de Formation en Soins Infirmiers, Institut de Formation de Manipulateurs d’Electroradiologie Médicale, Ecole de Puéricultrices(teurs), Ecole de Sages Femmes (Maïeutique). Les dix écoles et instituts de formation comptaient 981 élèves/étudiants pour la rentrée 2013/2014 ; 404 ont obtenus leur diplôme en 2014. L’année 2014 a été marquée par la mise en place, par le Conseil Régional d’Auvergne, de groupes de travail thématiques par formation dans le cadre du renouvellement des arrêtés d’autorisation. Les écoles et instituts ont participé activement à ces réunions. Répartition des 946 élèves et étudiants dans les instituts de formation du CHU à la rentrée 2014/2015 Institut de Formation d'Ambulanciers 48 Institut de Formation des Aides Soignants 113 Ecole de Sages Femmes Ecole d'Infirmiers de 118 Bloc Opératoire 14 Institut de Formation de Manipulateurs d'Electroradiologie Médicale 88 Institut de Formation de Cadres de Santé 14 Institut de Formation en Soins Infrmiers 474 Ecole d'Infirmiers Anesthésistes 26 Ecole de Puéricultrices(teurs) 22 Institut de Formation d'Auxiliaires de Puériculture 29 57 La formation continue des non-médicaux et des sages-femmes 3398 personnels non médicaux et sages-femmes du CHU ont suivi au moins une action de formation en 2014, soit 54,6 % de l’effectif (effectif pris au 31/12/2014). Répartition des départs en formation des personnels non médicaux et sages-femmes ayant suivi des actions de formation continue en 2014 Autres 3% Techniques et ouvriers 11% Direction et Admin. 12% Médicotechniques 6% Soignants 68% La formation continue du personnel non médical et des sages-femmes a représenté 218 426 heures en 2014 (stable par rapport à 2013). Le budget cotisé, représentant la somme des contributions au titre des 2,1% + 0,2% + 0,6%, à la formation continue des personnels non-médicaux et des sages-femmes, s’est élevé en 2014 à 4 976 667 euros. Répartition du temps de formation continue pour des personnels non-médicaux et es sages-femmes au CHU en 2014 Durée de Formation HORS ETUDES PROMOTIONNELL ES 103 692heures Durée de Formation cumulée en ETUDES PROMOTIONNELL ES 114 734heures Obligation de Développement Professionnel Continu des non-médicaux et des sages-femmes Nombre de non-médicaux et de sages-femmes du CHU de Clermont-Ferrand ayant rempli leur obligation de DPC sur 2014 : 1 189 agents. 58 Le Développement Professionnel Continu Médical Le développement professionnel continu (DPC) a pour objectif l’évaluation des pratiques professionnelles, le perfectionnement des connaissances, l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, ainsi que la prise en compte des priorités de santé publique et la maîtrise médicalisée des dépenses de santé. L’obligation de DPC s’est imposée à tous les professionnels de santé à compter de l’année 2013 L’obligation de DPC est remplie en réalisant un programme de DPC qu’il le soit avec ou sans prise en charge financière par le CHU. Un programme de DPC doit être conforme à une orientation nationale ou régionale de DPC, comporter des méthodes et des modalités validées par la HAS et être mis en œuvre par un organisme de DPC enregistré auprès de l’OGDPC. Un programme de DPC comporte obligatoirement une partie cognitive ET une démarche d’analyse des pratiques professionnelles. PROGRAMME DE DPC + APPROCHE COGNITIVE DU, congrès en France, congrès à l’étranger, master, formation technique, lecture d’articles, revue bibliographique ANALYSE DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES RCP,RMM, CREX,REMED, revues de pertinence, registres ... La commission du Développement Professionnel Continu Médical est une sous-commission de la Commission Médicale d’Établissement, qui s’est réunie à 5 reprises au cours de l’année 2014. Le budget consacré au développement professionnel continu s’est élevé à 151 980 € en 2014 (soit 14 % d’augmentation par rapport au budget 2013). En 2014, 204 praticiens ont bénéficié d’une prise en charge financière partielle ou intégrale d’une action de formation au titre de la Formation Médicale Continue, parmi lesquels les praticiens hospitaliers ont été majoritaires (45% des praticiens). Évolution des différents types de formation (% par rapport au budget total utilisé) Évolution des différents types de formation 50% 44% 45% 40% 40% 38% 35% 30% 28% 27% 25% 20% 15% 10% 5% 0% 42% 23% 23% 18% 16% 13% 14% 15% 12% 6% 6% 5% 2% 14% 1% 0% 0% 1% 2% 2% 8% 0% 0% Le nombre des formations techniques et des journées et congrès a considérablement augmenté. 2014 2013 2012 2011 59 Le nombre des formations techniques et des journées et congrès a considérablement augmenté. Le pourcentage du budget dédié aux formations diplômantes diminue en raison d’un changement de procédure comptable induit par l’adhésion à l’ANFH, (les actions se terminant en juin 2014 ont été payées sur le budget 2013, et celles qui commençaient fin 2014 ont été réglées au prorata du temps de formation de l’année en cours). Profil des praticiens ayant participé à une action de formation 407 praticiens du CHU (soit 34 % d’augmentation) pour 678 départs en congé formation. Évolution 2011/2014 en nombre de praticiens Evolution 2011/2014 en nombre de praticiens 200 180 160 140 120 100 80 60 40 20 0 PU-PH MCU-PH CCU-AH PH Praticiens sous contrat 2011 2012 2013 2014 Répartition par statut des praticiens ayant bénéficié d’une prise en charge financière d’une formation en 2014 Pourcentage du budget utilisé par statut PU-PH 17,67% CONTRACTUELS 21,56% CCU-AH 9,09% PH 44,83% MCU PH 6,84% 100% des demandes ont obtenu un avis favorable de la Commission DPC. Les demandes des Praticiens Hospitaliers représentent un fort pourcentage des prises en charge (45 %), les praticiens contractuels suivent ensuite (21%). Près de 23 % des praticiens du CHU de Clermont-Ferrand ont ainsi bénéficié d’une prise en charge financière du CHU au titre du DPC en 2014. 60 Le Centre de formation des professionnels de santé – CFPS En 2014, le Centre de Formation des Professionnels de Santé (CFPS) - organisme de formation du CHU de Clermont-Ferrand - a mis en place 306 sessions de formation (soit 5 315 heures de formation) réparties comme suit : • 102 INTER* (33.5% des sessions de formations) • 182 INTRA* (59.5% des sessions de formations) • 17 préparations concours et formations d’adaptation à l’emploi (5.5% des sessions de formations) • 5 colloques Le CFPS a formé 3 681 professionnels issus d’établissements publics, privés, en activité libérale ou inscrits à titre individuel. Plus de 248 formateurs occasionnels, dont plus de la moitié sont des professionnels médicaux ou non du CHU, ont assuré les actions mises en place par l’organisme. *INTER = formations destinées à un public originaire de plusieurs établissements. INTRA = formations destinées aux agents d’une même structure Origine des personnes formées par le CFPS en 2014 Etablissement privés 17,50% Etablissement publics 43% CHU Clermont-Fd 37% Particuliers 2,50% 61 2.La recherche Le rapport d’activité illustre chaque année l’engagement des équipes de professionnels de l’établissement, à ce titre les données relatives aux activités recherche sont significatives de la dynamique de recherche soutenue par l’établissement. Les résultats d’ensemble de la recherche, que traduisent la réussite aux appels à projets nationaux et interrégionaux (PHRC) les indicateurs SIGREC sur le nombre d’essais et inclusions réalisés au cours de l’année, sont satisfaisants. Toutefois dans ce domaine où l’excellence scientifique prime il est nécessaire d’atténuer ce bilan positif au travers de deux constats. L’acquisition du logiciel EASYDORE ® : un outil unique pour la gestion quotidienne des budgets et Tout d’abord l’année 2014 restera marquée par notre manque de réussite à l’appel à projet de labellisation FHU des projets de recherche (fédération hospitalo-universitaires) organisé par le GCS HOURRA dans l’inter-région. Nos projets jugés bons Le lalancement de n’était l’appel d’offres en 2013seront pour retravaillés l’acquisition dans d’un logiciel de gestion administrative, mais dont maturation pas suffisante la perspective d’une deuxième vague réglementaire et budgétaire des projets et notre programmes de recherche s’est inscrit dans le universitaire. cadre des de labellisation. Cet objectif est important pour établissement et son positionnement objectifs prévus par l’avenant au projet médical du CHU pour les années 2013/2017. Dans le même esprit, la production scientifique en termes de publications n’est pas à la hauteur des ambitions l’établissement. cette production chaque nous par sommes de Au de terme de la procédureCertes de l’appel d’offres, c’est le progresse logiciel Easydore ® quiannée, a été retenu le CHUpassés de 300 publications en 2004 à près de 600 publications en 2014. Mais comparativement aux autres CHU nous Clermont-Ferrand. progressons moins vite. Développé initialement par le CHU de Nantes dont il est propriétaire, ce logiciel gère l’ensemble des Notre établissement, qui se situe rangRecherche. français enEasydore nombre® d’essais cliniques retrouve au financements Recherche et au du 7ème personnel est en mesure de réalisés, traiter lesse aspects 22ème rang pour le score publications. C’est ainsi qu’au titre de l’année 2014 et a été définie une administratifs, réglementaires et de gestion de projet de l’ensemble des essais cliniques et programmes politique de de soutien stratégique à la publication autour de deux axes : recherche d’un établissement. Aide d’engranger au financement • des traductions aux publications Capable des données d’activitésliées au quotidien puis de les restituer facilement de façon • Aide à laceprise en charge frais soumission des publications consolidée, logiciel, interfacédes avec le de système d’information du CHU, doit devenir l’outil unique, quotidien et partagé de la DRCI du CHU de Clermont-Ferrand. La phase de déploiement et de mise en Par ailleurs dans un contexte financier contraint, une politique d’intéressement sur le volet recherche à production de l’application est prévue courant 2014. destination des pôles a été mise en place. Cette politique valorise notamment les publications dans les revues de rang A et B. Quelques chiffres relatifs à l’activité de recherche clinique Le contrat unique pour les essais industriels En 2013, La direction de la recherche clinique a procédé,retenu en lien les médecins la mise en 1 projet de recherche translationnelle par avec une équipe du CHU investigateurs, dans le cadre deà l’AAP place du nouveau dispositif conventionnel avec les industriels pour la réalisation d’essais cliniques au sein DGFOS/ANR 2013 (Dr E FUTIER : Projet TAURA) de l’établissement. Visant à la réduction des délais de signature des conventions et amélioration de la 1 publication parue dans la prestigieuse revue NEJM issue d’un projet de recherche promu par le CHU compétitivité de la recherche industrielle française, il a conduit l’établissement a une réflexion en termes de (Etude IMPROVE) et dont le 1er auteur est un praticien du CHU (Dr E. FUTIER) délais et de modalités de gestion des financements industriels. Nos projets de recherche clinique Nos projets de recherche cliniques PHRC NATIONAL PHRC NATIONAL 2 1,5 1 0,5 0 2 1 1 0 0 PHRC IR PHRC 2 2 2 1 1 0 1 0 0 0 6 6 4 4 00 0 2 2 2 6 4 3 2 1 0 Hors Cancer Cancer AOI AOI 20 15 10 12 13 14 PROMOTIONSIMPLE SIMPLE PROMOTION 16 12 12 9 18 12 5 0 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 50 40 30 20 10 0 46 35 18 19 21 23 28 41 42 62 Projets clermontois retenus dans l’appel à projet 2014 Appel à projet Porteur du projet Acronyme Montant accordé DGOS PHRC N Pr Durif Btx HT 513 598€ DGOS: Direction générale de l’offre de soins DGOS PHRC N Pr Futier Combine 811 881€ DGOS PHRC IR Pr Perbet Win in Wean 208 711€ PHRC: Programme hospitalier de recherche clinique ANSM Pr Futier Flash 250 000€ ANSM Pr Authier POMA 240 000€ ANSM: Agence nationale sécurité du médicament N: National IR: Inter-régional Nombre d’études promues par le(RBM) CHU (RBM) Nombre d’études promues par Nombre d’études promues le CHU (RBM) Nombre d’études promues par lepar CHU (RBM) Nombre d’études promues par le CHU (RBM) Nombre d’études promues par le CHU (RBM) Médicament Médicament Médicament Médicament s s s s 24% 24% Médicament24% 24% s 24% 60 6060 60 6050 5050 50 5040 4040 58 58 58 40 49 49 58 49 49 49 4030 3030 44 49 49 44 40 44 58 30 40 40 44 49 3249 40 3020 202032 49 32 32 44 40 20 32 2010 10 HPS HPS 10 HPS 10 HPS 51% 51% 0 10 0 HPS 51% 51% 0 0 2009 2011 2013 20092009 2010 2010 2011 2011 2012 2012 2013 2013 2014 201451% 0 2009 20102010 2011 2012 2012 2013 2014 2014 2009 2010 2011 2012 2013 2014 Dispositifs Dispositifs Dispositifs Dispositifs médicaux médicaux médicaux Dispositifs médicaux 24% 24% 24% médicaux 24% 24% Le CHU « investigateur » Le CHU « investigateur » » Le CHU « investigateur CHU investigateur Le CHU «investigateur» LeLeCHU « «investigateur » » 117 117 115 115 117 117 120 120 115 107 115 105 117 107 115 105 120 120 102 102 107 107 120 105107105 102 102 105 102 92 92 100 100 87 87 92 92 100 100 82 8281 92 81 100 79 79 87 87 87 82 82 81 72 81 82 81 79 68 79 79 65 66 6468 68 80 80 686472 72 65 66 64 65 65 72 72 68 68 8080 8064 68 68 68 68 66 65 65 66 64 65 65 64 65 65 66 64 64 64 64 60 60 6060 60 40 40 4040 40 20 20 2020 20 0 0 0 0 2006 2007 2011 2012 2013 2014 0 2006 2007 2008 2008 2008 2009 2009 2010 2010 20112012 2012 2006 2013 2013 2014 2014 2006 2007 2007 2008200920092010201020112011 2012 2013 2014 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 IndustriellesInstitutionnelles Institutionnelles Industrielles Industrielles Industrielles Institutionnelles Institutionnelles Industrielles Institutionnelles La production scientifique termes de Publications La production scientifique enen termes de Publications (SIGAPS 2004-2013) Laproduction production scientifique termes Publications (SIGAPS 2004-2013) La scientifique enen termes de de Publications (SIGAPS 2004-2013) production scientifique en termes de Publications (SIGAPS 2004-2013) (SIGAPS La 2004-2014) La production scientifique en termes de Publications (SIGAPS 2004-2013) – 2004 2004 2004 2004 2005 2005 20052004 2005 2006 2006 20062005 2006 2007 2007 20072006 2007 2008 2008 20082007 2008 2009 2009 20092008 2009 2010 2010 20102009 2010 2011 2011 20112010 2011 2012 2012 20122011 2012 2013 2013 20132012 2013 2014 2014 20142013 2014 0 0 2014 0 0 – – – – 0 297 297 297 297 292 292 292 297 292 312 312 312 292 312 320 320 320 312 320 393 320 393 393 393 400 400 400 393 400 433 433400433 433 482 482 433482 482 511 511482511 511 603 603 511 603 595 603 595 595 595 603 200 400 600 200 200 400 400 600 600595 200 400 600 200 400 600 NC NC NC E8% NC 8% E E E 19% 8% 8% A NC 19% 19% A E 19% 8% AA 19% 19% 19% 19% A 19% D D D 19% D 15% 15%15% 15% D B B 15% B 19% B 19% 19% C C C 19% B 19% C 19% 19% 19% 19% C 19% – – – – – 63 L’activité recherche du CHU de Clermont-Ferrand décrite au travers des chiffres SIGREC *A partir de l’année 2014, cumul des scores des années 2010, 2011 et 2012 pour le calcul de la dotation Scores essais : calculé à partir du nombre d’études actives au sein de l’établissement (Tous promoteurs - Sur pondération pour les études Phase I ou Phase II) Scores inclusions promoteur : Nombre total d’inclusions réalisées dans les études pour lesquelles l’établissement est promoteur. Coefficient multiplicateur de 2 pour les études Médicament de Phase I ou Phase II Scores inclusions investigateur : Nombre d’inclusions réalisées dans l’établissement pour études institutionnelles ou industrielles. Coefficient multiplicateur de 2 pour les études Médicament de Phase I ou Phase II A propos de la production scientifique (SIGAPS) 6 372 points SIGAPS au titre des publications scientifiques en 2014 Un important travail de réflexion a été engagé en interne pour déterminer une stratégie commune en matière de publications scientifiques avec pour objectif principal « publier plus et mieux » 64 Le graphique ci-dessous représente la concrétisation en euro de l’évolution positive de la production scientifique (part modulable = logique de résultats) Innovations La Commission des Innovations s’est réunie deux fois en 2014, huit demandes de financement ont été acceptées pour un total de 331 318€. Ces innovations concernent la prise en charge de 4 800 patients. Liste des demandes de financement acceptées : • • • Recherche de mutation dans le gène de la calréticuline dans le cadre du diagnostic des syndromes myéloprolifératifs (A Janel – laboratoire d’Hématologie) Montant : 11 205 € (2 ans) Nombre de patients : 320 patients Dispositif WEB (Woven EndoBridge) pour l’embolisation des anévrismes intracrâniens complexe (Jean Gabrillargues, Neuroradiologie) Montant : 72 000 € (1 an) Nombre de patients : 6 patients • Transplantation fécale (J Scanzi – Hépato-gastro-entérologie et C Aumeran – Hygiène hospitalière) Montant : 20 000 € (1 an) Nombre de patients : 10 patients Dispositif médical OroCareTM (Evelyne Raybaud, Hygiène hospitalière) Montant : 6 000 € (0,5 an) Nombre de patients : 1 200 patients • Prise en charge des fractures vertébrales par implantation d’un distracteur intravertébral : SpineJack® (Emmanuel Chabert, Neuroradiologie) Montant : 70 000 € (1 an) Nombre de patients : 20 patients • Extraction de défibrillateurs et de stimulateurs cardiaques à l’aide de sonde laser (Romain Eschalier, Cardiologie) Montant : 15 000 € (1 an) Nombre de patients : 24 patients • Dosage sérique de la protéine S100B (D Bouvier – Laboratoire de Biochimie) Montant : 50 953 € (1 an) Nombre de patients : 2 220 patients • Génotypage fœtal RH1 sur sang maternel (H Laurichesse – Obstétrique) Montant : 86 160 € (2 ans) Nombre de patients : 1000 patientes 6 Moyen et ressources au service du patient 66 1.Les ressources humaines Personnel médical Effectif total rémunéré au 31/12, en personnes physiques Effectif total rémunéré au 31/12, en personnes physiques 2012 2013 2014 Evolution 2014/2013 PU-PH (y.c consultants) MCU-PH CCU/AH et A.H.U PHU Odontologistes (PU-PH, MCU-PH, AHU) Total Praticien Temps Plein 92 36 69 6 17 220 93 34 73 5 19 224 93 29 73 5 23 223 0,00% -14,71% 0,00% 0,00% 21,05% -0,45% Odontologistes Temps Partiel Odontologistes 15 15 13 -13,33% 235 239 236 -1,26% 2012 2013 2014 Evolution 2014/2013 Total Praticien Temps Plein 259 57 32 348 278 61 15 354 269 70 18 357 -3,24% 14,75% 20,00% 0,85% Praticiens des Hôpitaux Praticiens contractuels Total Praticien Temps Partiel 19 1 20 20 3 23 22 6 28 10,00% 100,00% 21,74% 368 377 385 2,12% 2012 2013 2014 Evolution 2014/2013 Praticiens attachés Praticiens attachés associés 216 13 1 193 13 1 193 13 0 0,00% 0,00% -100,00% Total Praticien Attaché et Vacataire 230 207 206 -0,48% Effectif total pers. physique (hors internes et étudiants) 833 823 827 0,49% Total Internes Etudiants en médecine Etudiants en pharmacie Etudiants en odontologie Total Etudiants 504 515 556 7,96% 487 70 187 557 67 183 580 39 * 192 4,13% -41,79% 4,92% 744 807 811 0,50% 2014 Evolution 2014/2013 -1,92% PRATICIEN HOSPITALO-UNIVERSITAIRE Total Praticien Hospitalo-Universitaire PRATICIEN HOSPITALIER Praticiens hospitaliers Assistants spécialistes Praticiens contractuels Total Praticien Temps Plein et Temps Partiel PRATICIEN ATTACHÉ ET VACATAIRE * Rentrée universitaire des étudiants hospitaliers option internat désormais en janvier ( + 24 étudiants en janvier 2015) ETP moyen annuel rémunéré STATUT Titulaires Temporaires Praticiens Hospitalo-Universitaires temps plein et temps partiel Praticiens hospitaliers temps plein et temps partiel (Titulaires) Assistants des Hôpitaux Praticiens Contractuels temps plein et temps partiel Vacations (effectif moyen annuel, y/c vacations d'Odontologie) Effectif total en ETP (hors internes et étudiants) 2012 2013 69,47 69,2 67,87 36,25 35,78 39,11 9,31% 105,72 265,43 44,38 26,99 80,26 104,98 275,78 50,34 20,21 76,46 106,98 283,31 60,33 16,10 69,91 1,91% 2,73% 19,85% -20,34% -8,57% 522,78 527,77 536,63 1,68% Total Internes Etudiants en médecine Etudiants en pharmacie Etudiants en odontologie Total Etudiants 504 515 556 7,96% 487 70 187 557 67 183 580 39 * 192 4,13% -41,79% 4,92% 744 807 811 0,50% 2013 2014 Evolution 2014/2013 69,47 69,2 67,87 -1,92% 36,25 35,78 39,11 9,31% 105,72 265,43 44,38 26,99 80,26 104,98 275,78 50,34 20,21 76,46 106,98 283,31 60,33 16,10 69,91 1,91% 2,73% 19,85% -20,34% -8,57% 522,78 527,77 536,63 1,68% * Rentrée universitaire des étudiants hospitaliers option internat désormais en janvier ( + 24 étudiants en janvier 2015) ETP moyen annuel rémunéré ETP moyen annuel rémunéré STATUT Titulaires Temporaires Praticiens Hospitalo-Universitaires temps plein et temps partiel Praticiens hospitaliers temps plein et temps partiel (Titulaires) Assistants des Hôpitaux Praticiens Contractuels temps plein et temps partiel Vacations (effectif moyen annuel, y/c vacations d'Odontologie) Effectif total en ETP (hors internes et étudiants) 2012 ETP moyen 2014 rémunéré par statuts (en pourcentage) ETP moyen 2014 rémunéré par statuts (en pourcentage) Vacations (effectif moyen annuel, y/c vacations d'Odontologie) 13% Praticiens Contractuels temps plein et temps partiel 3% Assistants des Hôpitaux 11% Praticiens HospitaloUniversitaires temps plein et temps partiel 20% Praticiens hospitaliers temps plein et temps partiel (Titulaires) 53% 67 68 Personnel non médical Personnel non médical Effectif total rémunéré au 31/12, en personnes physiques Effectif total rémunéré au 31/12, en personne physique Evolution Effectif total rémunéré au 31/12, 2013 en personne physique Evolution Personnels 2012 2014 Personnels 2012 2013 2014 2014/2013 2014/2013 Evolution Administratifs, sociaux, Personnels 2012 2013 2014 Administratifs, sociaux, 664 665 670 0,75% 2014/2013 664 665 670 0,75% secrétariats médicaux,… secrétariats médicaux,… Administratifs, sociaux, 664 670 0,75% 4 4193 44665 173 210 0,89% Soignants / Educatifs secrétariats Soignants /médicaux,… Educatifs 193 173 44210 0,89% Effectif total rémunéré au 31/12, en personne physique Soignants / Educatifs Médico-techniques Médico-techniques 4417 193 417 4425 173 425 4425 210 425 0,89% 0,00% 0,00% Médico-techniques Techniques Ouvriers Techniques et et Ouvriers 417 812 812 425 803 803 425 826 826 0,00% 2,86% 2,86% 812 086 6 6086 066 66803 066 66826 131 131 2,86% 1,07% 1,07% 6 086 6 066 6 131 1,07% Techniques etCHU Ouvriers TOTAL TOTAL CHU TOTAL CHU EffectifETP moyenrémunéré rémunéré Effectif ETPmoyen rémunéré sur surl’année l'année Effectif sur l'année Effectif ETP moyen rémunéré sur l'année 2012 2013 2014 2012 2013 2014 Personnels Personnels Personnels Administratifs, sociaux, Administratifs, sociaux, secrétariats médicaux,… Administratifs, sociaux, secrétariats médicaux,… secrétariats Soignants /médicaux,… Educatifs Soignants / Educatifs 2012 634,68 634,68 634,68 3 979,85 2013 638,41 641,27 638,41 3 969,47 641,27 3 968,82 3395,09 969,47 3402,02 968,82 -0,02% 1,75% 395,09 793,55 402,02 802,92 1,75% 1,18% 638,41 3 979,85 3 969,47 Médico-techniques Médico-techniques 393,49 395,09 Techniques et et Ouvriers Techniques Ouvriers 787,00 787,00 Soignants / Educatifs Médico-techniques Techniques et Ouvriers TOTAL CHU TOTAL CHU TOTAL CHU 3393,49 979,85 393,49 787,00 5 795,02 5 795,02 5 795,02 2014 793,55 793,55 5 796,52 55796,52 796,52 641,27 3 968,82 402,02 802,92 5802,92 815,03 55 815,03 815,03 Effectif ETP non médical rémunéré sur l’année 2014 Soignants / Educatifs 68% Administratifs, sociaux, secrétariats médicaux,… 11% Techniques et Ouvriers 14% Evolution Evolution 2014/2013 Evolution 2014/2013 2014/2013 0,45% 0,45% Médicotechniques 7% 0,45% -0,02% -0,02% 1,75% 1,18% 1,18% 0,32% 0,32% 0,32% Effctif ETP non m 69 Données ressources humaines CHU total rémunéré au 31.12 personne physique et par catégorie Effectif totalEffectif rémunéré au 31.12 enenpersonnes physiques et par catégorie Soignants / Educatifs 50% Médico-techniques 5% Techniques et Ouvriers 10% Administratifs, sociaux, secrétariats médicaux,… 8% Internes 7% Etudiants hospitaliers 10% Personnel médical (hors internes, étudiants,…) 10% Masse salariale Personnel médical Personnel non médical TOTAL 84 104 951€ 268 446 660€ 352 551 611€ 24% 76% 2.La direction des soins La Direction des Soins a pour mission principale, la conception et la mise en œuvre du projet de soins et des objectifs de qualité et de sécurité des soins définis dans ce cadre. A ce titre, elle est associée et participe aux instances et groupes de travail institutionnels, aux réflexions et travaux des directions fonctionnelles et direction de site. L’année 2014 a été marquée par différents temps forts pour l’institution, nous en retiendrons principalement: les travaux en lien avec les résultats de la certification V 2010 afin de contribuer à la levée des réserves, la contribution à l’accompagnement de la restructuration des activités cliniques et des plateformes blocs opératoires ainsi que la sécurisation du circuit du médicament. Dans ces deux champs en particulier l’engagement de l’encadrement a été essentiel pour parvenir à des avancées majeures. Dominique PERRON 70 Les principales avancées du projet de soins en 2014 Le projet de soins a été construit en référence au manuel de certification V2010. L’encadrement et les professionnels non médicaux afin d’atteindre les objectifs retenus. Concernant la certification, l’objectif principal a porté sur le document unique de prescription administration. A la fin de l’année 2014 la majorité des services du CHU se conformait aux règles de bonnes pratiques en la matière. La Direction des Soins s’est particulièrement investie dans la politique d’identitovigilance en partenariat avec le président de la CME et le DIM. Ce partenariat et la contribution des cadres de tous les secteurs d’activités, a permis d’élaborer la charte d’identitovigilance, de définir des procédures adaptées au parcours de soins et d’étendre à tous les publics hospitalisés la politique d’identification par le bracelet d’identification. Dans le domaine de la politique de lutte contre la douleur, le CLUD a fait montre d’une dynamique importante et là encore l’implication de l’encadrement a permis de mettre en œuvre la formation des référents tant médicaux que paramédicaux. Sur le plan de la gestion des risques a postériori, on note des déclarations davantage centrées sur les incidents liés aux soins notamment sur les erreurs médicamenteuses et de l’identitovigilance, déclarations qui ont fait l’objet d’analyse de cause. L’accompagnement des chantiers ANAP a été l’occasion de proposer des nouvelles modalités d’organisation dans le cadre des restructurations des unités de soins et du bloc opératoire et de conforter l’analyse et le plan d’action qui avaient été portés par la Direction des Soins suite à la cartographie du circuit des médicaments. Par ailleurs, la Direction des Soins s’est impliquée auprès de la DRH concernant la mise en œuvre de la GPMC et a participé aux travaux concernant le document unique. Le groupe Accès Cible a poursuivi sa contribution à la définition des règles de tenue du dossier patient et à la formation des professionnels sur cette thématique. La Direction des Soins contribue au déploiement du dossier informatisé. Dans la continuité des actions engagées, l’Unité transversale d’éducation aux patients a accompagné les équipes de soins dans l’élaboration de nouveaux programmes d’éducation thérapeutique et l’évaluation des programmes labellisés. Par ailleurs les actions de formation sur cette thématique se sont renforcées. Afin d’évaluer les actions engagées, la Directeur des Soins a conduit ou participer à deux audits : • l’audit dit observationnel qui portait sur 8 thématiques en lien avec la certification V 2010 et qui avait pour finalité de mesurer les écarts entre les pratiques observées et les bonnes pratiques. Les thèmes étaient les suivants : tenue professionnelle, gestion du linge, circuit des déchets, restauration, circuit des médicaments, identitovigilance, gestion du dossier patient, affichage et information. Les pratiques étaient observées au travers de 71 critères. Le taux de conformité attendu était de 80%. Les résultats obtenus figurent dans le tableau ci-dessous et montrent des marges de progrès nécessaire dans les domaines suivants : gestion du dossier patient, identitovigilance, gestion du linge, restauration et information. 71 • l’audit de dossiers, comme en 2013, nous a permis d’évaluer la présence dans les dossiers de soins de 4 critères : - la traçabilité de l’évaluation du risque escarre à l’entrée du patient, - la mesure du poids et calcul de l’IMC dans les 48h suivant l’arrivée du patient, - la traçabilité de l’évaluation de la douleur à l’entrée du patient et au cours du séjour, - la traçabilité de la désignation ou de refus de désignation de la personne de confiance. Dans chaque unité de soins, 10 dossiers de soins de personnes hospitalisées présentes dans le service depuis au moins 48h ont été tirés au sort. Pour les unités de long séjour, il s’agissait d’auditer des dossiers de nouveaux résidents (entrés depuis le début 2014). Pour chaque dossier l’auditeur devait consulter le fiche C1 du dossier de soins ou un autre document afin de vérifier la présence des items cités ci-dessus. Comme le montrent les résultats reportés dans le schéma ci-dessous, des progrès notables sont constatés en comparaison avec l’année 2013. Néanmoins des progrès restent à accomplir sur la traçabilité de l’évaluation du risque escarre, sur le calcul de l’IMC et sur l’évaluation de la douleur. 3.Les ressources matérielles Bilan des travaux réalisés en 2014 SITE GABRIEL MONTPIED i ta Dé Faç n ti o ade en cours d’isola Désamiantage et reconstruction Poursuite du désamiantage de Gabriel Montpied et de la restructuration de HNA-HNB, construction d’un bâtiment IRM pour un coût total de 59 000 000 Euros jusqu’à la démolition de l’aile HO prévue en 2016. tI RM 72 ld n el me i ac t bâ har pente du nouveau IMABLOC Ouverture d’IMABLOC, plateau d’imagerie avec échographie, scanner, salle d’angiographie et bloc opératoire pour un montant total de travaux de 2 200 000 Euros. Salle Scanner Salle Angio Salle de neuroradiologie Montant total de travaux de 440 000 Euros SITE ESTAING Centre de ressources biologiques Montant total de travaux de 70 000 Euros u No Réorganisation des laboratoires Déménagement de l’immunologie du CHU Estaing au centre de biologie, déménagement de la biochimie à la place de l’immunologie, réorganisation de l’activité d’hématologie au CHU Estaing : 320 000 Euros. ve au lab o ratoire de biochi e mi Programme ANAP de réorganisation des lits Optimisation du nombre de lits au CHU Estaing en Médecine interne, dermatologie, Chirurgie maxillo-faciale, pédiatrie pour un montant total de travaux de 70 000 Euros. 73 SITE HÔPITAL NORD Désenfumage Fin du désenfumage mécanique des circulations de l’Hôpital nord et poursuite du programme de restructuration, humanisation de l’hôpital nord représentant un investissement de plus de 2 millions d’euros en 2014. Ces travaux ont concerné en 2014 environ 65 % de la surface allant de travaux de peinture, remplacement de sol à la création de locaux déchets, de mise aux normes électriques, d’installation de rails plafonnier pour lève malades ou de remplacement de système appel malade. Trois ascenseurs ont également été modernisés et mis aux normes pour 156 000 €. x H al l 1B s vau ud après tra Bilan du contrôle des installations électriques 2014 Les installations de l’ensemble des sites font l’objet d’un contrôle annuel de conformité vis-à-vis de la protection contre les risques électriques. Les éléments suivants ont été concernés par ces visites en 2014 : • 60 transformateurs Haute Tension /Basse Tension • 45 alimentations autonomes (groupes électrogènes – Onduleurs – Batteries stationnaires) • 1 760 tableaux et armoires électriques • 24 610 dispositifs de protection • 89 120 appareils d’éclairage et prises de courant • 32 350 récepteurs (appareils électriques divers) Les visites se déroulent du mois de janvier au mois d’avril et représentent environ 23 semaines/homme d’intervention. Elles sont assurées par les inspecteurs d’un organisme agréé, accompagnés en permanence les agents des Services Techniques. Les rapports et les remarques qui en sont issues sont ensuite diffusés aux équipes techniques au moyen d’une base de données informatisée permettant le suivi des actions correctives. En complément de ces visites, au mois de septembre, sont effectués des contrôles thermographiques visant à détecter d’éventuels échauffements au niveau des organes de puissance. Cette démarche a pour objectif de réduire les risques d’incendie d’origine électrique. Elle consiste à examiner les équipements à l’aide d’une caméra infrarouge, mettant ainsi en évidence les échauffements anormaux avant que ceux-ci évoluent dangereusement. Exemple de rapport sur anomalie ANALYSE DES CAUSES DE L’ANOMALIE CONSTATÉE Echauffement anormale du télérupteur du à un disfonctionnement au niveau du circuit de commande (bouton poussoir bloqué et/ou présence d’interrupteur sur le circuit commande) 3 360 tableaux et armoires, préalablement sélectionnée à partir de critères d’importance lors des visites de conformité, ont ainsi été vérifiés en 2014. Lorsque qu’une anomalie est détectée, elle est photographiée puis intégré au rapport d’intervention. 74 Les consommations (évolution 2012 - 2014) Consommations énergétiques - kwh L’année 2014 s’est caractérisée par un hiver doux et un été médiocre qui ont impacté les consommations de chauffage et d’électricité au niveau de la climatisation. Consommations d’eau - m3 eau En 2014 d’importantes fuites de réseaux d’eau ont été constatées sur le plateau St Jacques. Dépenses d’énergies (évolution 2012 - 2014) Les dépenses d’énergies électriques sont en hausse du fait de la tarification qui n’est pas compensée par la baisse de 0,5% des consommations. Les dépenses de gaz sont en baisse de 16% de 2013 à 2014 alors que les quantités ont évolué à la baisse de 11% sur la même période, cet écart est dû à la renégociation des tarifs gaziers suite au changement des fournisseurs. 75 Evolution de l’activité astreinte résidents par sites (en nombre d’heures par an) Les astreintes techniques 24h/24 et 7 jours sur 7 sont assurées au niveau des 3 sites du CHU par une équipe de 4 agents rattachées à chaque site. Ces équipes interviennent en dehors des heures ouvrées, les week-ends et jours fériés sur appel du standard pour assurer la continuité de service de l’institution. Résidents Saint-Jacques Résidents HD/NHE Résidents Hôpital Nord 76 4.La logistique La Blanchisserie L’activité de blanchisserie au CHU a été organisée à compter du 1er janvier 2011 au sein d’un Groupement de Coopération Sanitaire dont les membres sont : le CHU, le CH de Riom, le CH Clémentel, le CHS Ste-Marie et le CCAS de la ville de Clermont-Ferrand. La blanchisserie en 2014, c’est : • 3 815 tonnes de linge lavé soit 15,20 tonnes par jour • une légère diminution de la production de 0,07 % par rapport à 2013 Volume de linge lavé en 2014 (kg) Volume de linge lavé en 2014 (kg) CH Clémentel 80 857,38 2,12% CHS Ste-Marie 294538,75 7,72% CCAS 70 905,30 1,86% CH Riom 423 897,93 0,11 CHU 2 944 829,61 77,19% UCP Restauration L’UCP du CHU produit et livre tous les repas dans le respect des coûts et des normes d’hygiène et de qualité. Depuis février 2011, tous les repas de l’établissement (CHU Estaing, CHU Gabriel-Montpied, Pôle Psychiatrie, CHU Hôpital Nord) sont produits sur le site hospitalier Saint-Jacques. 100% 80% Nombre de repas produits Nombre de repas produits 28 745 27 625 28 823 28 642 351 843 392 133 400 811 404 079 60% 40% Divers (accompagnants, crèche…) 1 274 404 1 262 636 1 267 128 1 180 082 2011 2012 2013 2014 20% Personnels (y compris l'internat) Patients 0% L’UCP a produit 1 612 803 repas en 2014 soit une diminution de 4.95% par rapport à 2013. La fréquentation du self a légèrement diminué de 0.28% et s’établit à 209 221 passages en 2014. 95,43% des passages sont des personnels du CHU et 3,63% sont des accompagnants. Les repas gratuits représentent moins de 0,94% (1 965 passages en 2014). Les repas hospitalisés n’intègrent plus, sur aucun site, les plateaux des médecins, sages-femmes ou éducateurs qui sont envoyés dans les services. Ils sont comptabilisés dans les repas du personnel. 77 Archives La Direction des Travaux, Achats et Logistique (DTAL) assure la gestion des archives médicales : stockage, livraison et le retour des dossiers, classement des documents dans les dossiers et destruction régulière de ceux-ci selon les règles légales. Pour l’ensemble des 3 sites, il y a eu environ 292 344 mouvements sur 10 mois. Il n’y a pas eu de destruction de dossier cette année. Depuis 2012, les dossiers les plus anciens (16 à 20 ans d’ancienneté) sont gérés par un prestataire spécialisé et sortis à la demande. Il y a eu 474 dossiers commandés en 2014. En 2014, on comptabilise 3 105 637dossiers archivés pour 2 466 512 en 2013. Grâce au nouveau logiciel MO Archives, on intègre des informations nouvelles que n’intégrait pas ARCHIMED tel que le stockage par sites, les mouvements des dossiers sur l’ensemble du CHU entre les services et les Archives ainsi que la traçabilité de chaque mouvement. Transports sanitaires La DTAL assure les transports non médicalisés intra et intersites des patients du CHU, prescrits par les services de soins. En 2014, le nombre de prises en charge est de 22 965, en recul important pour la troisième année consécutive (-7,40% par rapport à 2013, -9,32 % par rapport à 2012 et 15,45% par rapport à 2011), réparties entre le CHU et les sociétés privées. Le recours à ces sociétés privées de transport est en recul par rapport à 2013, soit - 126 transports en volume (-4,35% de l’activité). Le transfert des 2 services de Court Séjour Gériatrique à Riom est l’origine principale de cette diminution d’activité. Les patients de ces deux services avaient recours de façon importante au plateau médico-technique de Riom (convention radiologie). Répartition des prises en charges assurées par le CHU Répartition des prises en charges assurées par le CHU 30 000 25 000 20 000 1 234 7 443 1 027 6 837 15 000 10 000 1 033 6 481 1 018 6 125 16 983 16 184 14 390 13 052 2011 2012 2013 2014 5 000 Week-end VSL Ambulances 0 Répartition des prises en charges assurées par les sociétés Répartition des prises en charges assurées par les sociétés privées privées 4 000 267 3 000 809 195 949 2 000 1 000 2 597 2 157 164 162 1 062 1 153 1 670 1 455 2013 2014 0 2011 2012 VSL Ambulances nuit Ambulances jour 78 Le Pôle Logistique Intégré P.L.I Le Pôle Logistique Intégré apporte aux pôles cliniques, médico-techniques et autres unités logistiques les moyens optimaux, au moindre coût, pour accomplir leur activité. Le pôle logistique intégré (P.L.I) en 2014, c’est : • • • • 861 211 plis envoyés (pour un coût de 471 263 €), 154 590 lignes de commandes pour le Centre d’Approvisionnement Logistique (CAL), soit 669/ jour, 3 522 973 copies générées à la reprographie, soit - 14,13% par rapport à 2013, 46 621 transports de produits dits «sensibles» comme les produits sanguins labiles ou les cytostatiques, soit une augmentation de 2.86 % par rapport à 2013, • 110 véhicules gérés pour 1 344 727 km parcourus (- 4.31 % par rapport à 2013), • nombre de litres d’essence utilisés : 159 601.29 soit – 2.44%, • coût du carburant : 203 813.40€ soit -7.01%. Le coût du traitement des déchets (1946 tonnes en 2014) augmente de 1.68 % par rapport à 2013 et s’établit à 1 064 000€ (revalorisation des tarifs au 1/02/2014 de 1,5 %). Répartition des déchets - 2014 Répartition des déchetsRépartition - 2014 des déchets -des 2014 Répartition déchets - 2014 Répartition des déchets 2014 DASRIA 905,43 tonnes 47% DASRIA Déchets 905,43 tonnes domestiques 47% 951 tonnes 48% DASRIA 905,43 tonnes 47% DASRIA 905,43 tonnes 47% Déchets industriels 89,67 tonnes 5% –– –– Evolution du coût des déchets 683 445 € €635 429 633 522 € Répartition des déchets - 2014 Répartition des déchets - 2014 Répartition des déchets - 2014 DASRIA DASRIA Déchets 905,43 tonnes 905,43 tonnes domestiques 47% 47% 951 tonnes 48% DASRIA Déchets 905,43 tonnes domestiques 47% DASRIA tonnes Déchets 905,43 tonnes 951 Déchets Déchets domestiques Déchets 48% 47% industriels industriels 951 industriels tonnes 89,67 tonnes 89,67 tonnes 89,67 48%tonnes 5% 5% 5% Déchets –– industriels 89,67 tonnes Déchets 5% industriels DASRIA 683 445 € 654 € 951 €672 296 ––339704 Déchets industriels Déchets domestiques Déchets domestiques 951 tonnes 48% Déchets domestiques 951 tonnes 48% Déchets domestiques 951 tonnes Déchets 48% domestiques 951 tonnes 48% Déchets industriels 89,67 tonnes Déchets 5% industriels 89,67 tonnes 5% Évolution du coût des déchets Evolution du coût des déchets Evolution du coût des déchets Evolution du coût des déche 89,67 tonnes 5% –– –– 704 951 € Répartition des déchets - 2014 Evolution déche 683 Evolution du€635 coût déchets 654445 339 429€€des 654 €635 429 654 672 296 672 339 296 €des 672 633 522 € 296 633339 522€€du coût DASRIA DASRIA DASRIA Evolution du coût des déchets Evolution du coût des déche €635 704 951429 € –– 683 704 951 633445 522€€€ Déchets industriels Déchets i 145 921 € Déchets industriels 185 445 699 € € 190 185 704 951 683 145699 921€€€ 190 750 €146 175 €635 750429 € €178 338 190 750 633 522 150 900704 € 951 Déchets domestiques 185 683 445 150699 900 654 339 €178 338€€ €635 429 146 175 145 921 € €178 338 672 296 654 339 150 150 146 900 175 € 633900 522€€ domestiques Déchets 145 921 672 296 d 146 175 Déchets €205 626 220 097 € 269 445 279 € 683 234 804 €245 530 241 136704 € 951 234 804429 € €205 626 €635 704 951 €€ 269 220279 097€€ € 234 804 633 522 683 445 €€ 241279 136 269 €205 626€ 654 339 € €635 429 245 530 220 097 € €205 626 672 296 672 530 296 245 2011 2012 699 € 2009 2010 750 € 2014185 2013190 2011 2009 €178 338 2012 2010 2009 190 750 145 921€€ 185 699 2013 2011 2010 150 900€€ 2014 2012 2011 €178 338 146 175 234 750 804 € 190 185 269 699 279 € €205 338 626 €178 190 234 804 220750 097€€ 145 921 185 699 € 269 241 136 150279 900€€ €178 245 530 €205 626 146 338 175 DASRIA 654 339 633136 522€€ 241 245 136 530 € 241 220 097 Déchets industriels DASRIA 150 900 € 2013 2014 2012 2013 145 921 € domestiques Déchets Déchets industriels 150 241 900 136 € 145 921 220 Déchets 097 € domestiques 2009 234 804 € 269 279 € 2010 2011 €205 626 234 804 2009 220 097€€ 2012 269 279 2010 241 136€€ 2013 €205 626 2011 245 530 2014 220 097 € 2012 241 136 € 2013 245 530 2014 2009 2010 2011 2009 2012 2010 2013 2011 2014 2012 2013 2014 190 750 € 185 699 € €178 338 234 804 € 269 279 € 2009 2010 146 175 2014 146 245 175 530 79 5.Le Système d’information Les activités de la Direction du Système d’Information (DSI) sont réparties en plusieurs domaines : Déploiement d’application Accompagnement des projets d’informatisation des services de soins : @ • CROSSWAY / HEO / URQUAL : > Démarrage Phase I (Remplacement I2000 – dossier médical hors prescription, plan de soins) : Service Médecine Physique et Réadaptation, Services Endocrinologie, Service Urologie, Secteur REANIMATION I2000 => CROSSWAY pour identités / mouvements / CR, préparation des déploiements 2015 pour les services de Psychiatrie Adulte (A et B) et pédopsychiatrie > Démarrage Phase II (Prescriptions médicales et plan de soins informatisés) : Service dermatologie, Service Endocrinologie, Services du pôle de cardiologie • Service d’odontologie : mise en œuvre du dossier de spécialité dentaire ODS dès le démarrage en janvier 2014, Suivi important pour la gestion de flux des patients et tous les aspects de facturation, mise en place de la CCAM dentaire au 30 octobre 2014 • Endoscopie digestive adulte et pédiatrique/pneumologie : mise en place d’ENDOALPHA : logiciel de génération de comptes rendus automatisés, de gestion de films et des images diagnostiques envoyées vers le PACS CHU. • Déploiement de la solution CORA M-PMSI, avec une collaboration forte DI / DIM, Dr Jourdy JeanChristophe. > CORA RECUEIL : sur l’ensemble du secteur MCO (hors Ophtalmologie à ce jour, décision Chef de service), > CORA ACTIVITE : qualification et validation du calcul du PMSI T2A pour permettre un meilleur usage des outils de pilotages transversaux touchant à la bonne valorisation de l’activité, > Travail important sur les interfaces nécessaires au bon fonctionnement. Accompagnement des projets d’informatisation des plateaux techniques : • Pour les laboratoires : appel d’offre sous la forme d’un dialogue compétitif pour la modernisation du système de gestion des laboratoires, avec l’appui du groupe projet composé de biologistes et techniciens des laboratoires : > RESLAB : Evolution du serveur de résultats de laboratoires : Mise en place du retour confidentiel aux prescripteurs pour la trisomie 21 (construit sur l’identification de l’adresse mail du prescripteur), > IDLAB : Mise en place d’un module de rapprochement d’identité pour permettre de rendre les résultats aux établissements extérieurs sur leur identifiant. • En imagerie : Radiologie : Mise à jour majeur du système PACS, et du système de reconstruction 3D par spécialités, formation des radiologues. • Pharmacie : Accompagnement au déploiement généralisé du Plein/Vide • SAMU : AMOA interconnexion des SAMU d’Auvergne, le CHU coordonnateur pour les 4 SAMU d’Auvergne : choix de la solution EXOS (Téléphonie / Radio / Régulation), mise en œuvre Infrastructure de téléphonie propre au SAMU, mise en œuvre de la solution de régulation avec les fonctions de téléphonie avancée, mise en œuvre pour le SAMU 63 le 25 novembre 2014. 80 Accompagnement des projets cliniques normatifs : • Normalisation des Ordonnances (RPPS, FINESS), et application de la charte graphique comme pour l’ensemble des services pour les comptes rendus, ceci avec l’appui du comité du dossier patient. • Internet/Intranet : générateur des entêtes d’ordonnances normalisées pour le mode dégradé. • Rappel de leur RDV aux patients par SMS : déploiement général après validation du chef de service. • Messagerie sécurisée de santé : notre CHU fait partie des 15 pilotes nationaux : mise en place de l’infrastructure technique opérationnelle, validation ASIP et validation CNIL, intervention sur HIT 2014, déploiement en octobre 2014 avec l’appui du GCS SIMPA pour mobiliser la médecine libérale. • Reconnaissance Vocale : configuration technique de la solution ZENIDOC retenu dans le cadre UNIHA, intégration avec CROSSWAY, démarrage du service de Néphrologie et de cardiologie, poursuite de déploiement sur 2015, avec l’appui d’un groupe de travail institutionnel. • Formulaires / Gestion documentaire : mise en œuvre et déploiement de la solution QUAL’NET permettant de répondre aux exigences de la HAS, mise en production des formulaires FEI / enquêtes / Biologie CNR / ARIAME /… Sécurité et maintien du système d’information La DSI doit également garantir la sécurité et le maintien en bon état de fonctionnement de l’infrastructure du système d’information tant sur le plan de l’infrastructure réseau, que sur le plan du stockage avec le renouvellement des baies informatiques de stockage central et la mise en œuvre de la nouvelle architecture (architecture virtuelle) plus souple et plus performante. Le projet de rénovation de la salle informatique principale est engagé en lien avec les services techniques. Ce projet est nécessaire pour répondre aux exigences de sécurité d’accès aux données et aux équipements, en augmentant le niveau de disponibilité du système d’information. Ceci conformément aux exigences de la Haute Autorité de Santé, des prérequis à Hôpital numérique et à l’auditabilité du SIH dans le cadre de la certification des comptes. « Poste de travail et services » Le domaine « Poste de travail et service » de la DSI en 2014, c’est : • un centre d’appel informatique qui a répondu à 3604 demandes soit une moyenne quotidienne d’appel de 164 appels/jour pour un taux de résolution de 74.33% au niveau 1, les restes des demandes étant traités par le niveau 2 et 3 couvert par les équipes expertes de la DSI, en lien avec les fournisseurs. • une équipe technique « poste de travail » intervenue 4267 fois sur site et l’installation en supplément ou en remplacement de 530 PC neufs et 65 imprimantes. Dans le cadre de son assistance, 2112 interventions en téléphonie 6.La qualité : une démarche au quotidien Plusieurs temps forts ont marqué l’année 2014, dans les différents domaines d’activités de la Direction de la Qualité, de la Gestion des Risques et des Droits des Usagers : • les actions d’amélioration à mettre en œuvre pour lever le sursis à certification prononcé par la HAS dans le cadre de la certification V2010, • la mise en place de la cellule opérationnelle de régulation des lits pour améliorer l’aval des urgences, • la mise en place du Comité de Revue des Evénements Indésirables et d’un Club Utilisateur de la FEI informatisée pour la simplifier, • l’organisation de rencontres qualité et gestion des risques avec les pôles, • les formations à la gestion des risques a priori et a postériori, • l’élaboration du calendrier prévisionnel de la cartographie des risques a priori, • la mise à jour du plan blanc, de l’annexe NRBC, du plan canicule et la rédaction et la formation à la procédure EBOLA, • la poursuite du déploiement de la gestion documentaire sur le logiciel institutionnel QUAL’NET, • l’engagement dans l’évaluation des risques du système d’information, • le lancement de la nouvelle enquête de satisfaction des patients I-SATIS, • une progression de 25% des réclamations des patients ou de leurs familles, • l’organisation de la 2ème journée qualité du CHU, la participation à la semaine nationale sécurité des patients et la réunion des associations des usagers du CHU, • la réunion de lancement de l’Espace de Réflexion Ethique Régional Auvergne, présidé par le Professeur BAZIN, • l’enquête interne sur l’état des lieux des questions éthiques liées aux activités de l’établissement et les conférences à destination du grand public et des professionnels du CHU organisées par le Groupe de Réflexion Ethique Clermontois (GREC). La certification V2010 Le rapport de certification de la Haute Autorité de Santé (HAS) faisant suite à la visite de fin septembre-début octobre 2013 a été transmis à l’établissement le 5 mai 2014. La HAS a décidé de surseoir à la certification du CHU et une visite de suivi a été préparée par l’établissement, avec l’élaboration d’actions d’amélioration sur les 10 thèmes faisant l’objet de réserves majeures et de réserves, à savoir : • la gestion des évènements indésirables, • l’identitovigilance en MCO, SSR, SLD et SM, • la prise en charge médicamenteuse du patient en MCO, SSR, SLD et SM, • le programme d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins (PAQSS), • la gestion des risques à priori, • la gestion du dossier patient en MCO, SSR, SLD et SM, • le management de la prise en charge médicamenteuse en SSR, SLD et SM, • la prise en charge des urgences et des soins non programmés, • l’organisation du bloc opératoire • la mise en œuvre des démarches d’analyse des pratiques professionnelles. Une communication a été conduite en interne auprès des différentes instances et publics concernés (représentants des usagers, représentants des professionnels, professionnels) afin de présenter les enjeux de la certification et préparer le dossier de la visite de suivi, réceptionné par la HAS le 20 novembre 2014. 81 82 La cellule régulation des lits La mise en place de la cellule de régulation des lits (CRL) au CHU répond à la problématique des urgences, priorité des pouvoirs publics et fait suite à la mise en place du programme national d’amélioration de la gestion des lits, décliné en région par le Plan d’actions sur les urgences Auvergne 2013-2015. Elle s’inscrit dans un dispositif déjà existant au CHU : le protocole d’hospitalisation des patients accueillis au service des urgences du 3 décembre 2012. La CRL a débuté durablement le 17 mars 2014 avec le recrutement de 2 IDE (cellule opérationnelle de régulation des lits-CORL), placée sous le pilotage de Mme Berlandi, CSS et sous l’autorité du Directeur de la Qualité, Gestion des Risques Droits des Usagers). Les missions confiées à la CORL sont les suivantes : • gestion de l’aval des urgences du lundi au vendredi – horaire privilégié 10h30-18h30 • suivi des hébergements • relevé et suivi des hospitalisations de plus de 21 jours La gestion des risques Gestion des évènements indésirables et coordination des vigilances Au cours de l’année 2014, 2 549 évènements indésirables ont été recensés (dont 1504 via la FEI informatisée QUALNET, soit une progression des déclarations de 13% par rapport à 2013 : 2012 2013 2014 Nombre total d’EI (Événements Indésirables) 1 699 100% 2 211 100% 2 549 100% Nombre d’EI (hors EIAS) 1 168 69% 1 510 68% 1 901 75% EIAS (Événements Indésirables Assoxiés aux Soins) 531 31% 701 32% 648 25% Ils se répartissent de la manière suivante : eriotarobal IE EI laboratoire 673 376 - 15% %51 noitaruatser IE EI restauration 04 40 - 1% %1 ––– ud tiucric IE tnemacidém EI circuit du médicament 642 246 - 10% %01 secnaligiv IE EI vigilances 686 686% -7 27% 2 tnod( UDEIRG QD IE DQGRDU ,ecnaligivot(dont itnedI )Iidentitovigilance, SS ,ETR 140RTE, 1 SSI) 1 041 - 41% %14 sneib sed étirucés IE sennosrep sed te 061 o EI sécurité des biens et des %6 personnes 160 - 6% Répartition des EI Vigilances Répartition des EI Vigilance EI AMP-Vigilance 1 0% EI radioprotection EI AMP-Vigilance 5 1% 1 - 0% EI réactovigilance EI réactovigilan EI biovigilance 3 - 1% EI addictovigilance 3 90 23 - 3% 1% 13% EI radioprotection EI addictovigilance EI hémovigila 5 - 0% 145 90 - 13% 21% EI hémovigilance 145 - 21% EI biovigilance 23 3% EI pharmacov 274 40% EI matériovigilance 145 EI matériovigilance 21% 145 - 21% EI pharmacovigilance 274 - 40% 83 En 2014, les 2 549 EI se décomposent en 1 901 EI et 648 EIAS (25% des EI signalés). Pharmacie; 3% Autres et non déterminés; 0% BLOC ARCHI (GM); 9% Biologie Médicale et Anatomie Pathologique (GM; Estaing); 14% Cardiologie Médicale et chirurgicale (GM); 7% Imagerie et Radiologie Interventionnelle; 2% RMND M2O; 12% PRI (Estaing); 3% Urgences (GM); 7% Spécialités Médicales et Chirurgicales (Estaing); 16% RHEUNNIRS (GM) ; 8% Psychiatrie Enfant - Adulte (GM) ; 2% GORH; 7% Pédiatrie; 8% Géronto Pôle CHU-CHT (HN); 2% 54 EIG ont été signalés (EI avec décès ou menace vitale immédiate ou sévère). Les principales actions d’amélioration qui en ont découlé sont les suivantes : • en matériovigilance : expertise d’appareillage permettant la diffusion contrôlée des gaz d’anesthésie, expertise de cœurs artificiels et d’un circuit de CEC, mise en place d’une procédure de maintenance et de surveillance des PSE toujours utilisés, changement de batterie des PSE, priorisation de l’achat de nouveaux PSE, • pour le circuit du médicament : sécurisation des modalités de préparation des médicaments en service de psychiatrie, sécurisation de l’administration du méthotrexate, sécurisation des modalités de dispensation des rétrocessions, sécurisation du circuit des chimiothérapies périmées, • en hémovigilance : sécurisation du circuit des demandes de PSL et des retraits de PSL (suppression de 2 gares de pneumatique à l’EFS pour n’en garder qu’une et mise en place d’un retrait nominatif des PSL à l’EFS), • en restauration : sécurisation des commandes de repas pour les patients poly allergiques (révision des procédures NATAMA, création de profils allergique et poly allergique dans WINREST…), • en psychiatrie : actions de prévention du risque suicidaire (échelle RUD, formations), • en identitovigilance : procédure de conduite à tenir en cas d’usurpation d’identité, • autre (EI de fin 2014, actions planifiées début 2015) : Sécurisation des ouvertures sur le site Estaing (vérification du bon fonctionnement des limiteurs d’ouverture sur toutes les fenêtres des chambres des services et vérification systématique de l’ouverture limitée des fenêtres dans les protocoles de départ après chaque patient). 84 La gestion documentaire Le déploiement de la gestion documentaire sur le logiciel institutionnel QUAL’NET s’est poursuivi en 2014 avec l’accompagnement de plusieurs services de soins, en lien avec la Direction Informatique. Nombre de personnes référentes « gestion documentaire » formées en 2014 : 21 personnes. Les relations avec les usagers La CRUQPEC La commission a tenu 10 séances sous la présidence du Professeur RIBAL et examiné 189 réclamations en Thèmes des réclamations revenant leune plus souvent 2014 (dont 12 courriers de satisfaction), contre 151 en 2013, soit progression de 25%. 46,75% des réclamations proviennent des patients, 11,24% de leur conjoint, 9,45% de parents d’enfants mineurs, 32,56% d’apparentés ou autres. Les médiateurs ont eu un entretien avec 7 patients, familles ou ayants droit. Relations avec les Thèmes des réclamations le plus souvent médecins revenant Aspects para-médicaux 5 Qualité des soins Information du 4% Relations avec les médecins 4 malade/de la famille Aspects para-médicaux 5 - 4% 3% Qualité des soins 12 9% Information du malade/de la famille 12 - 9% Aspects médicaux Qualité des soins 62 Aspects médicaux Qualité48% des soins 4 - 3% Accueil/Administration /Finances 46 Accueil/Administration 36% /Finances 46- 36% 62 - 48% Recommandations de la CRUQPEC : Les actions d’amélioration préconisées par la CRUQPEC en 2015, au regard des dossiers traités en 2014 sont les suivantes : • Mettre en place du temps psychologue dédié pour un soutien aux praticiens dans certaines situations difficiles de fin de vie des patients (en cancérologie et en réanimation notamment) ; • Améliorer le système de gestion des rendez-vous médicaux des patients ; • Rappeler les conditions de confidentialité et le respect des règles de courtoisie aux personnels des services ; • Faciliter l’accès des handicapés aux boxes du bureau des entrées de l’hôpital Gabriel Montpied ; • Actualiser la procédure de gestion des biens et des valeurs des patients hospitalisés, rappelant notamment l’obligation de réaliser des inventaires ; • Poursuivre l’amélioration de la prise en charge de la douleur des patients ; • Autoriser les accompagnants à partager la chambre d’un patient au-delà de 48h ; • Rappeler la procédure existante «urgences vitales» ; • Revoir l’organisation des lits accompagnants sur Estaing ; • Prévoir une salle dédiée à l’accueil des familles de patients en cours de prélèvements d’organes à l’hôpital Gabriel Montpied. 85 Nombre de demandes de dossiers médicaux Hôpital G.Montpied et CMP Hôpital Estaing Hôpital Nord Total CHU 2013 717 351 15 1 083 2014 700 345 14 1 059 Les associations d’usagers Une réunion des associations des usagers du CHU s’est tenue le 25 novembre 2014. Le contentieux et la gestion du contrat d’assurance responsabilité civile hospitalière • Dossiers de sinistres corporels amiables et contentieux indemnitaires ouverts de 2012 à 2014 Dossiers ouverts en : Recours amiables pour dommages corporels Commission de Conciliation et d’Indemnisation Contentieux devant le Tribunal Administratif Contentieux devant le Tribunal de Grande Instance Contentieux devant la juridiction pénale Contentieux lié à la transfusion sanguine TOTAL 2012 28 24 17 1 2013 26 19 20 3 2014 23 24 15 1 1 70 68 64 • Le nouveau contrat Responsabilité civile du CHU L’élément à souligner est la modification du montant de la franchise à la charge du CHU qui passe de 30 000 à 15 000 euros pour le contrat signé à compter du 1er janvier 2014. Il n’y a pas de modifications des risques souscrits. Ethique : le GREC et l’ERERA (GREC : Groupe de Réflexion Ethique Clermontois) / (ERERA : Espace de Réflexion Ethique Régional Auvergne) Le GREC En 2014, le GREC s’est réuni 3 fois en Assemblée Plénière. Les thématiques choisies par l’Assemblée Plénière en 2013 ont été reconduites sur l’année 2014. Les deux commissions de réflexion (Ethique et soins palliatifs – Famille et Ethique) se sont réunis régulièrement de façon mensuelle ou bimestrielle. Le premier groupe de réflexion a mis au point une grille d’évaluation qui se veut être un instrument pour guider la réflexion lorsque l’équipe est sollicitée pour des études de cas. De même, au cours de ces réunions, une large place a été accordée sur « la présence de la famille au cours des soins » et une fiche technique de situation a été élaborée. Le deuxième groupe de réflexion a poursuivi ses travaux sur l’élaboration de Flyers qui sont insérés régulièrement dans les bulletins de salaire du personnel du CHU. En 2014, 3 fiches ont été diffusées : • « Soins de fin de vie, comment exprimer ma volonté jusqu’au bout » • « Le maintien ou la restauration du sentiment de dignité » • « La notion de proche ». 86 Une conférence thématique, à destination du personnel du CHU et du grand public a eu lieu en juin 2014. Elle a réuni plus d’une centaine de personnes autour du sujet « la Bien – Mal – Traitance ». Le GREC a par ailleurs participé à une Journée régionale d’échanges sur « La Réflexion éthique dans les établissements sanitaires, sociaux et médicaux-sociaux : enjeux et questionnements» ainsi qu’à une soirée grand public « A la découverte de la Bioéthique » organisée par les étudiants en Santé et Sciences de la Vie. Actuellement, une cinquantaine de personnes collaborent plus ou moins ponctuellement aux travaux du GREC. Enseignement : les membres de l’Espace Ethique ont été sollicités pour participer à des heures d’enseignement à destination des élèves infirmiers, des élèves de l’école de puériculture, et de la Faculté de Médecine ainsi que dans le cadre du DU Ethique et Soins palliatifs. Enquête : dans le cadre de la certification V2010, la HAS a souhaité que l’établissement réalise un « état des lieux des questions éthiques liées aux activités de l’établissement ». Pour y contribuer, un questionnaire a été élaboré et toute personne travaillant au CHU a été sollicitée fin 2014 pour y répondre. 607 questionnaires anonymisés ont été retournés et exploités par le Service de Santé Publique du CHU qui en produira les résultats en 2015. L’ERERA L’arrêté du 4 janvier 2012 prévoit la création d’Espaces de Réflexion Ethique Régionaux et Interrégionaux. Pour la Région Auvergne, le CHU a piloté ce dossier en partenariat avec le GREC pour la mise en place d’un espace régional en son sein. Une convention constitutive a été élaboré avec l’ARS, convention qui associe le CHU, le Président de l’Université, des parties signataires telles que les établissements hospitaliers régionaux, établissements médico-sociaux, des ESPIC, des unions régionales de professions de santé, etc… La réunion d’installation de l’ERERA s’est tenue le 27 juin 2015 et le Professeur Jean Etienne BAZIN a été nommé Directeur de cet Espace. Le Conseil d’Orientation est en cours de constitution et sera opérationnel courant 2015. IPAQSS Des enquêtes nommées IPAQSS : Indicateurs Pour l’Amélioration de la Qualité et de la Sécurité des Soins sont menées par le Service de santé publique (Pr Laurent Gerbaud, Dr Marie Blanquet, Candy Auclair, Bénédicte Belgacem) De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’indicateurs dont le recueil est obligatoire pour tous les établissements de santé publics ou privés. Ils sont définis et sélectionnés par la Haute autorité en Santé (HAS). Ces indicateurs ont un impact sur les résultats de la certification du CHU ainsi que, à partir de 2016, sur ses finances. Quels sont les résultats du CHU ? Les derniers résultats sont ceux de l’enquête réalisée en 2014 sur les dossiers de 2013. Dans l’ensemble les résultats du CHU ont globalement tendance à être plutôt en dessous des résultats des établissements français ou des résultats des autres CHU comme l’illustrent l’extrait de résultats MCO présenté dans les tableaux qui suivent. 87 Comment faire pour améliorer les résultats du CHU ? Nous pouvons agir sur les résultats de l’enquête qui aura lieu en 2016 et qui concernera les dossiers remplis en 2015 notamment en notant plus systématiquement les éléments suivants : • Pour les prescriptions médicamenteuses en cours d’hospitalisation : nom et signature du prescripteur, voie d’administration • Pour le traitement de sortie : présence du double, nom et signature du prescripteur, voie d’administration et durée du traitement • Pour le dépistage des troubles nutritionnels : la variation de poids avant l’hospitalisation • Pour l’évaluation du risque d’escarre : celle-ci doit être systématique même en cas de risque nul (il suffit de le noter) • Pour la Réunion de Concertation Pluridisciplinaire : la date, la décision, les noms et spécialités d’au moins trois médecins de spécialités différentes 7 Les finances 90 1.Résultat d’exploitation consolidé 2014 Le compte financier 2014 présenté au Conseil de Surveillance le 3 juillet 2015 affiche les résultats si-dessous: Compte de résultat principal Dépenses Recettes Résultat 568 096 920 567 548 902 -548 019 USLD 6 926 686 6 345 850 -580 836 EHPAD 5 803 350 5 674 505 -128 844 Ecoles et instituts 6 961 311 7 185 678 224 367 Dotation non affectée 2 167 870 2 165 639 -2 232 401 417 434 054 32 637 590 357 554 589 354 628 -1 002 926 Centre Ressources Autisme Résultat consolidé (en euros) Le résultat d’exploitation Après 4 années consécutives de résultat comptable à l’équilibre , le résultat 2014 , en légère dégradation par rapport à 2013 , affiche un déficit d’exploitation consolidé de 1M€ pour un montant de recettes consolidé de 590M€. Si le résultat comptable du budget principal reste proche de l’équilibre avec un déficit de 548 K€ représentant moins de 0,1% des recettes , le résultat des budgets USLD ( Soins de longue durée ) et EHPAD ( Hébergement pour personnes âgées dépendantes ) est en nette dégradation en raison de dépenses de personnels plus importantes que prévues et par rapport à 2013 ce qui s’explique par un niveau élevé d’absentéisme et par les travaux de mise aux normes et d’humanisation avec opérations tiroirs ayant nécessité des renforcement. en personnels. Les dépenses médicales et pharmaceutiques sont par ailleurs en progression constante. Pour ce qui concerne le budget principal : le résultat comptable intègre une aide de 2M€ allouée au titre du contrat de retour aux équilibres financier 2013/2016 dont l’objectif consiste à restaurer une capacité d’autofinancement compatible avec les besoins d’investissement courants du CHU. L’EPRD initial avait été construit en intégrant l’impact sur l’année 2014 du plan de retour aux équilibres CREFANAP pour un montant net de 6,8 M€ en 2014. Si toutes les mesures ont bien été mises en œuvre, l’impact réel de ces mesures sur 2014 a été limité à 4,5 M€, compte tenu du processus complexe de réorganisation que certaines d’entre elles ont nécessité. Le résultat comptable 2014 doit donc être analysé au regard de ce décalage, les objectifs étant bien entendu maintenus dans leur globalité. En revanche le dynamisme de l’activité a conduit à un montant de recettes (recettes MCO T2A), en progression de 2,5% par rapport à 2014 conforme aux prévisoins de l’EPRD initial. 91 2.La capacité d’autofinancement (CAF) Le tableau de calcul de la CAF Si la capacité d’autofinancement nette après remboursement du capital des emprunts est positive à 5,7 M€ , elle reste insuffisante pour assurer les programmes d’investissement et l’exercice 2014 se solde par un prélèvement de 13 M€ sur le fonds de roulement. Capacité (en K€) 2013 2014 Résultat consolidé 111 -1 002 + dotations aux amort. 30 671 31 680 + dotations aux provisions 10 006 7 364 - reprises sur dépréciations et prov. 9 358 8 115 136 91 - Produits de cessions d’éléments d’actifs 4 21 - QP des subv. d’inv. Virées au cpte de rt 29 32 31 532 29 965 + valeurs comptables d’éléments d’actfs cédés Capacité d’autofinancement 3.Les investissements et leurs financements Le tableau de financement Emplois (en K€) 2013 2014 Ressources (en K€) 2013 2014 Capacité d’Autofinancement 31 532 29 965 Rempboursement du capital des emprunts dont B.E.H.* 24 981 24 253 Emprunts (1) 35 377 15 Immobilisations (travaux et équipements) (1) 56 701 25 202 Dotations et subventions 15 494 6 549 7 21 82 410 36 550 Autres emplois** 100 Total des emplois 81 782 Apport au fond de roulement Total EQUILIBRE DU TAB. DE FINANCEMENT Cessions d’éléments d’actifs 49 455 Prélèvement sur fond de roulement 628 82 410 Total des ressources 49 455 Total EQUILIBRE DU TAB. DE FINANCEMENT 12 905 82 410 49 455 * B.E.H. : Bail Emphytéotique Hospitalier ** Titres de participations GCS blanchisserie et Sympa et dépots et cautionnement versés (1) Effet comptable en 2013 de la réintégration au bilan des BEH conformément aux nouvelles écritures requises pour la certification des comptes 2015. Le montant des dépenses d’investissement s’est élevé à 25,2 M€ dont 13 M€ en travaux et 12 M€ en équipements. • Les dépenses de travaux 2015 concernent essentiellement les opérations pluriannuelles : Désamiantage Hôpital Gabriel Montpied ( 6,87 M€) , mise aux normes et humanisation Hôpital Nord ( 2,11 M€ ) , sécurité incendie des bâtiments psychiatrie ( 0,94 M€ ) et salle immabloc ( 1,7 M€ ). • Les dépenses d’équipement : 6,7 M€ pour les équipements médicaux , 1,9 M€ pour les équipements logistiques et 3,4 M€ pour le système d’information ( équipements et logiciels ). Il n’a pas été nécessaire de mobiliser en 2014 l’emprunt prévu pour le financement des travaux de désamiantage dans la mesure ou les décaissements ont été décalés sur 2015. 92 4.Compte de résultat principal Charges Charges Charges Chargesde depersonnel personnel dont dontcharges chargesde depersonnel personnel médical médical dont dontcharges chargesde depersonnel personnel non nonmédical médical 2013 2013 2014 2014 Evol. Evol. 329 329927 927073 073 338 338773 773194 194 2,7% 2,7% 81 81369 369950 950 83 83864 864945 945 3,1% 3,1% 248 248557 557123 123 254 254908 908249 249 2,6% 2,6% Charges Chargesààcaractère caractère médical médical 125 125939 939506 506 dont dontcharges chargesintégrées intégrées dans dansles lestarifs tarifset etles les dotations dotations 40 40522 522661 661 dont dontcharges chargesremboursées remboursées en ensus susdes desséjours séjours 33 33616 616854 854 dont dontcharges chargespour pour rétrocessions rétrocessions dont dontcharges chargesfinancées financéespar par les lesMissions Missionsd'Intérêt d'Intérêt Général Général(ATU) (ATU) 14 14026 026814 814 605 605510 510 135 135934 934461 461 40 40271 271496 496 34 34489 489988 988 21 21209 209074 074 11046 046935 935 Produits Produits Produits Produitsversés verséspar par l'assurance l'assurancemaladie maladie 2013 2013 2014 2014 Evol. Evol. 416 416862 862218 218 422 422822 822617 617 1,4% 1,4% dont dontvalorisation valorisationde de l'activité l'activité 281 281600 600897 897 288 288538 538204 204 2,5% 2,5% dont dontfacturable facturableen ensus sus 33 33741 741535 535 34 34487 487523 523 2,2% 2,2% dont dontMIG MIG//MERRI MERRI 58 58787 787195 195 60 60005 005207 207 2,1% 2,1% dont dontcrédits créditsAC AC 88148 148642 642 88191 191793 793 0,5% 0,5% dont dontforfaits forfaits 55183 183637 637 66086 086980 980 17,4% 17,4% dont dontLAMDA LAMDA * 55404 404628 628 670 670516 516 7,9% 7,9% -0,6% -0,6% 2,6% 2,6% 51,2% 51,2% 72,9% 72,9% -- dont dontautres autres(charges (chargesgérées gérées par parles leslabo. labo.et etles lesautres autres charges chargesààcaract.méd.) caract.méd.) 37 37167 167667 667 38 38916 916968 968 4,7% 4,7% dont dontdotation dotationannuelle annuellede de financement financement 23 23995 995683 683 24 24842 842394 394 3,5% 3,5% Charges Chargesààcaractère caractère hôtelier hôtelieret etgénéral général 43 43419 419592 592 41 41850 850401 401 -3,6% -3,6% Produits Produitsd'activité d'activitéde de soins soinsnon nonfinancés financéspar par l'Assur. l'Assur.Maladie Maladie 43 43784 784763 763 44 44220 220195 195 1,0% 1,0% Charges Chargesd'amortiss.de d'amortiss.deprov. prov. et etdépréciation, dépréciation,financières financières et etexcept. except. 54 54072 072387 387 51 51538 538864 864 -4,7% -4,7% Autres AutresProduits Produits 92 92673 673865 865 100 100506 506090 090 8,5% 8,5% dont dontdotations dotationsaux aux amortissements amortissements 28 28969 969045 045 30 30002 002735 735 3,6% 3,6% dont dontintérêts intérêtsfinanciers financiers 11 11030 030898 898 99595 595793 793 -13,0% -13,0% 99892 892570 570 77233 233440 440 -26,9% -26,9% 44179 179874 874 44706 706896 896 12,6% 12,6% 553 553358 358559 559 568 568096 096920 920 2,7% 2,7% dont dontdotations dotationsaux aux provisions provisions dont dontcharges charges exceptionnelles exceptionnelles Total Totaldes descharges charges Résultat Résultatd'exploitation d'exploitation -- 37 37713 713 -- 548 548018 018 * recettes valorisation activité sur exercice antérieur dont dontrétrocessions rétrocessions dont dontreprises reprisessur sur provisions provisions dont dontautres autres(produits (produits except., except.,prestations prestationsde de services…) services…) Total Totaldes desproduits produits 14 14297 297430 430 21 21562 562667 667 50,8% 50,8% 77708 708091 091 66651 651545 545 -13,7% -13,7% 70 70668 668344 344 72 72291 291878 878 2,3% 2,3% 553 553320 320846 846 567 567548 548902 902 2,6% 2,6% 5.Compte de résultat principal 2014 COMPTE DE RESULTAT PRINCIPAL 2014 Charges d’Exploitation Charges d'Exploitation - Année 2014 Charges d'amortiss.de prov. et dépréciation, financières et Charges d'amortiss.de exceptionnelles 9% prov. et dépréciation, financières et exceptionnelles 9% Charges à caractère Charges à caractère hôtelier général hôtelier etetgénéral 7% 7% Charges de personnel non Charges de personnel médical non médical Charges de personnel Charges de personnel 59% 59% Charges à caractère médical Charges24% à caractère médical 15% 51 s tt e 09 437 1 9 7 0 ce re 494 20 4 4 79 7 6 76 9 69 4 502 785 986 7 6 8 25 217 41 94 1 9 83 5 51 médical 24% Produits d'Exploitation - Année 2014 Produits d’Exploitation - LAMDA Forfaits Dotation annuelle de financement Crédits AC Autres produits 18% #REF! #REF! 1 #REF! #REF! #REF! #REF! Facturable en sus Effort réalisé sur les équipements des Ecoles Valorisation de l'activité r de u és pt m o C l a ip ir nc tp lta in ef an 0 r2 e i c Produits versés par l’assurance maladie 74% résultat #REF! MIG / MERRI e e ée s pt ct ane ism m e f o t D f a C SL D m u on xico es A U HA s n EP ole ion x to urc dé Ec otat au esso soli D ins e R con So entr tat C ésul R recettes 494 909 517 6 207 437 4 764 401 8 502 979 785697 256986 412177 515 839 194 10 Compte financier 2010 Compte de résultat principal USLD EPHAD Ecoles Dotation non affectée Soins aux toxicomanes Centre Ressources Autisme Résultat consolidé Facturation des soins hors Assurance Maladie * 8% 45% Charges de personnel Charges de personnel médical *Il s’agit notamment de la facturation des forfaits et du ticket modérateur aux patients et mutuelles et de la facturation aux patients étrangers 93 8 L’organisation hospitaliere du CHU de Clermont-Fd Sur v ce et co n Co nsultati on ncertati on Co Décision lan eil GOUVERNANCE le Catherine RAYNAUD Président Commission des Relations avec les Usagers et de la Qualité de la Prise en Charge Pr Claude DUBRAY Président Alain MEUNIER Président Comité Technique d’Établissement Pr Henri LAURICHESSE Pr Jean CHAZAL Pr Claude DUBRAY (V.P Recherche) Vices Présidents Alain MEUNIER Directoire André SALAGNAC Directeur général Adjoint Alain MEUNIER Directeur Général Président Pr Henri LAURICHESSE Président Commission Médicale d’Établissement Comité de recherche biomédicale et de santé publique Dr Françoise VENDITTELLI Vice Président Pr Henri LAURICHESSE Président Président de la CME Direction générale Suzanne RIBEROLLES Vice Président Pr Annie VEYRE Président Conseil de Surveillance Alain MEUNIER Président Comité d’Hygiène de Sécurité et des Conditions de Travail Pr Stéphanie TUBERT JEANNIN Doyen Faculté d’odontologie Dominique PERRON Président Commission des Soins Infirmiers, de Rééducation et MédicoTechniques Doyen Pr Brigitte VENNAT Faculté de pharmacie Pr Jean CHAZAL Doyen Faculté de médecine LOGIGRAMME DE GOUVERNANCE DU CHU DE CLERMONT-FERRAND trô 96 Pôle SpéciMed Pr BAY Pôles Hospitalo-Universitaires Pôle Recherche Biomédicale Pr DUBRAY Pôle Santé Publique Pr GERBAUD Pôle Pharmacie Pr SAUTOU Pôle Imagerie et Radiologie Interventionnelles Pr BOYER Pôle BMAP Pr ESCHALIER Pôle BLOC ARCHI Pr RIBAL Pôle Psychiatrie Enfant-Adulte Pr JALENQUES Pôle RMNDO Pr LEMAIRE Pôle SAMU Urgences Pr SCHMIDT Pôle RHEUNNIRS Pr SOUWEINE Pôle Cardiologie Médicale et Chirurgicale Pr CAMILLERI Pôle GORH Pr LEMERY Pôle Ressources Interventionnelles Pr MAGE Pôle Géronto Dr BOHATIER Pôle Pédiatrie Pr LABBÉ DIRECTION Pr Henri LAURICHESSE Présidence de CME Jean-Christophe JOURDY Directeur Département de l’Information Médicale Jean-François TIREFORT Directeur Adjoint Arnaud BRUEY Directeur Travaux , Achat et Logistique Catherine MAILLOT Hôpital du Mont-Dore Philippe COURCIER CH d’Issoire Régis THUAL CH Clémentel Régis THUAL CH Riom Territoires Ressources Humaines Alexis JAMET Casimir BOYER Directeur Adjoint chargé du système d’information Directeur Adjoint Directeur Martine BUISSON Directeur Adjoint Directeur Armelle DREXLER Directeur Guy MATHIAUX Karine BOURDÉ-VACHER Directeur Laboratoire Régis THUAL CHU Hôpital Nord Directeur Christine ROUGIER CHU Estaing Directeur Agnès SAVALE Ressources des coopérations médicales Nicolas SAVALE André SALAGNAC Directeur Général Adjoint Alain MEUNIER Directeur Général Direction Générale Sites CHU Gabriel-Montpied Directeur André SALAGNAC Directeur Général Adjoint Recherche et Innovation Finances, Contractualisation et Système d’information Dominique PERRON Coordinateur Général Soins Catherine RAYNAUD Directeur Qualité, Gestion des risques et Droits des usagers LOGIGRAMME DE DIRECTION DU CHU DE CLERMONT-FERRAND 97 98 1.Les instances LE CONSEIL DE SURVEILLANCE - CS Le CS est doté d’une compétence d’attribution et se prononce sur la stratégie et exerce le contrôle permanent de l’établissement. Compétences Le Conseil de surveillance se prononce sur la stratégie et exerce le contrôle permanent de l’établissement. Il délibère sur le projet d’établissement, le compte financier et l’affectation des résultats, la participation à une communauté hospitalière de territoire, la fusion avec d’autres établissements publics de santé, le rapport annuel d’activité du Directeur général du CHU. Il donne des avis sur la politique d’amélioration continue de la qualité, de la sécurité des soins et de la gestion des risques, les conditions d’accueil et de prise en charge des usagers, les acquisitions, échanges et affectations d’immeubles, les contrats de partenariat, le règlement intérieur. Le Conseil de surveillance dispose également d’attributions spécifiques à sa mission de contrôle : il formule des observations au Directeur général de l’ARS sur le rapport annuel du Directeur général, opère les vérifications et contrôles qu’il juge opportuns et entend le Directeur général sur l’état prévisionnel de recettes et de dépenses, ainsi que sur le programme d’investissement. Composition La liste nominative des membres est arrêtée par le Directeur de l’Agence régionale de santé (ARS). La durée du mandat est de cinq ans. Trois catégories sont représentées par des membres ayant voix délibérative : - les élus représentant les collectivités territoriales d’implantation de l’établissement - les personnels médicaux et non médicaux - les personnalités qualifiées Assistent au CS avec voix consultative : le Directeur général, le président de la Commission médicale d’établissement (CME), le Directeur de l’Agence régionale de santé, un directeur de caisse d’assurance maladie, un représentant des familles des personnes accueillies dans les unités de soins de longue durée et de maison de retraite, le Doyen de la Faculté de médecine. Le Conseil de Surveillance s’est réuni 5 fois en 2014. Membres du CS du CHU de Clermont-Ferrand Avec voix délibérative : • représentants des collectivités territoriales (5 membres) - M. Jean-Marc Miguet, Conseiller régional d’Auvergne - M. Serge Godard, Maire de Clermont-Ferrand (remplacé par Olivier Bianchi en juin 2014) - Mme Suzanne Duris, Conseillère communautaire, Clermont Communauté (remplacée par Jérôme Auslender en juin 2014) - Mme Mireille Lacombe, Conseillère générale, Conseil général du Puy-de-Dôme - Mme Marie-Françoise Lacarin, Conseillère générale, Conseil général de l’Allier • représentants des personnels de l’établissement (5 membres) - Mme Mireille Berlandi, représentant la Commission des soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques (CSIRMT) - M. le Pr Lionel Camilleri, membre de la CME - M. le Dr Philippe Vanlieferinghen, membre de la CME - M. Daniel Chalier, représentant FO - M Michel Martin, représentant CGT (décédé en octobre 2014) 99 • personnalités qualifiées dont deux représentants des usagers (5 membres) - Mme le Pr Annie Veyre, Professeur de biophysique et médecine nucléaire, Présidente du Conseil de surveillance ; personnalité qualifiée désignée par le Préfet du Puy-de-Dôme - M. Hubert Poinas, personnalité qualifiée désignée par le Directeur général de l’ARS - M. Henri Chibret, personnalité qualifiée désignée par le Préfet du Puy-de-Dôme - Mme Suzanne Riberolles, personnalité qualifiée représentant les usagers désignée par le Préfet du Puy-de-Dôme - M. Jean-Pierre Bastard, personnalité qualifiée représentant les usagers désignée par le Préfet du Puyde-Dôme Avec voix consultative : - M. François Dumuis, Directeur général, ARS Auvergne - M. le Pr Henri Laurichesse, Président de la CME, Premier Vice-président du Directoire, CHU de Clermont-Ferrand - M. le Pr Jean Chazal, Doyen de la Faculté de médecine, Vice-président du Directoire, CHU de ClermontFerrand - M. le Pr Jean-Etienne Bazin, membre de la CME, CHU de Clermont-Ferrand - M. Christian Fabre, Directeur, Caisse primaire d’Assurance maladie (CPAM) Représentant des familles LE DIRECTOIRE Le Directoire est l’instance de pilotage de l’établissement, créé par la loi HPST. Il succède au Conseil exécutif. Le Directoire est un collège à majorité médicale, chargé de conseiller le Directeur général du CHU dans la gestion et la conduite de l’établissement. Attributions Il adopte le projet médical et prépare le projet d’établissement. De la concertation avec le Directoire résultent les décisions du Directeur général ou les propositions qu’il soumet au CS Le Directoire est, entre autre, concerté sur : - le contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens - la politique d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins ainsi que des conditions de prise en charge des usagers - le bilan social - le programme d’investissement - l’état prévisionnel des dépenses et des recettes (EPRD) et le compte financier - l’organisation interne de l’établissement et les contrats de pôles d’activité - la participation à des coopérations et des réseaux - les opérations immobilières - les délégations de service public Composition Le Directoire est composé de membres du personnel (dont une majorité de membres du personnel médical, pharmaceutique, maïeutique et odontologique). Il comprend neuf membres dont : - le Directeur général du CHU (Président du Directoire) - le Président de la Commission Médicale d’Etablissement (Premier Vice Président du Directoire) - le Doyen de l’Unité de Formation et de Recherche de Médecine (Vice Président du Directoire) 100 - le Président de la Commission des Soins Infirmiers, de Rééducation et Médico –Techniques - des membres nommés par le Directeur général après information du CS - des membres médicaux proposés par le Président de la CME Le Directoire s’est réuni 10 fois en 2014. Membres du Directoire 1/ Membres de droit - Le Directeur Général, Monsieur Alain MEUNIER, Président du Directoire - Le Président de la Commission Médicale d’Etablissement, Monsieur le Professeur Henri LAURICHESSE, Premier Vice Président du Directoire - Le Doyen de l’Unité de Formation et de Recherche de Médecine, Monsieur le Professeur Jean CHAZAL, Vice Président du Directoire - La Présidente de la Commission des Soins Infirmiers, de Rééducation et Médico -Techniques, Madame Dominique PERRON 2/ Membres nommés par le Directeur Général a) parmi les médecins du Centre Hospitalier Universitaire : - sur proposition du Président de l’INSERM, du Président de l’Université d’Auvergne et du Doyen de l’Unité de Formation et de Recherche de Médecine : - Monsieur le Professeur Claude DUBRAY, Vice Président du Directoire chargé de la Recherche - sur proposition du Président de la Commission Médicale d’Etablissement et du Doyen de l’Unité de Formation et de Recherche de Médecine : - Monsieur le Professeur Louis BOYER - Monsieur le Docteur Dominique GUELON b) parmi les membres de la Direction du Centre Hospitalier Universitaire : - Monsieur André SALAGNAC, Directeur Général Adjoint - Monsieur Guy MATHIAUX, Directeur Adjoint 3) Membres invités au titre de l’article 15 du règlement intérieur du Directoire - Madame le Docteur Françoise VENDITTELLI, Vice Présidente de la CME - Monsieur le Professeur Jacques Olivier BAY - Monsieur le Professeur Stéphane BOISGARD - Monsieur le Professeur Didier LEMERY - Monsieur le Professeur Martin SOUBRIER - Madame RAYNAUD, Directrice de la Qualité, de la Gestion des Risques et des Droits des Usagers - Madame Christine ROUGIER, Directrice du CHU Estaing, - Madame Agnès SAVALE, Directrice du CHU Gabriel Montpied LA COMMISSION MEDICAL D’ETABLISSEMENT - CME La CME est une instance représentative des médecins du CHU qui se réunit au moins quatre fois par an. Les membres de cette commission sont élus pour quatre ans par tous les médecins, chirurgiens, odontologistes et pharmaciens du CHU. Compétences La CME est consultée sur le projet médical de l’établissement, le projet d’établissement, les modifications des missions de service public attribuées à l’établissement, le règlement intérieur, les programmes d’investissement concernant les équipements médicaux, la convention constitutive des CHU, le plan de développement professionnel continu relatif aux professions médicales, maïeutiques, odontologiques et 101 pharmaceutiques, les modalités de la politique d’intéressement et le bilan social. La CME est informée de l’état prévisionnel de recettes et de dépenses (EPRD) initial et ses modifications, le compte financier et l’affectation des résultats, du contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens, du rapport annuel d’activité, des contrats de pôles, de la politique de recrutement des emplois médicaux, de l’organisation de la formation des étudiants et internes et la liste des postes que l’établissement souhaite leur ouvrir, du projet de soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques et de l’organisation interne de l’établissement. La CME contribue à l’élaboration de la politique d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins : gestion globale et coordonnée des risques visant à lutter contre les infections associées aux soins, politique du médicament et des dispositifs médicaux stériles, prise en charge de la douleur. Elle contribue à l’élaboration de projets relatifs aux conditions d’accueil et de prise en charge des usagers, notamment par la réflexion sur l’éthique liée à l’accueil et à la prise en charge médicale, l’évaluation de la prise en charge des patients, et en particulier des urgences et des admissions non programmées, l’évaluation de la mise en œuvre de la politique de soins palliatifs, le fonctionnement de la permanence des soins. La CME propose au Directeur général le programme d’actions d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins ainsi que des conditions d’accueil et de prise en charge des usagers (en relation avec la CSIRMT et la Commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge (CRUQ). Ce programme prend en compte le bilan des améliorations mises en œuvre à la suite de l’analyse des événements indésirables. Composition Des membres élus ou de droit avec voix délibérative : - l’ensemble des chefs de pôle, - des représentants élus des responsables des structures internes de l’établissement - des représentants élus des praticiens titulaires de l’établissement - des représentants élus des personnels temporaires ou non titulaires et des personnels contractuels ou exerçant à titre libéral de l’établissement - un représentant élu des sages-femmes - des représentants des internes - des représentants élus des personnels enseignants et hospitaliers Des membres avec voix consultative : - le Président du directoire - le Président de la CSIRMT - un représentant du Comité technique d’établissement (CTE) - le médecin référent du Département d’information médicale (DIM) - un médecin hygiéniste - les Doyens des Facultés de médecine, pharmacie et odontologie - un représentant des pharmaciens hospitaliers Le Président de la CME Il est élu par ses pairs parmi les personnels enseignants et hospitaliers titulaires non chefs de pôle. Il n’est rééligible qu’une fois. Le Président de la CME a un rôle important dans la gestion de l’établissement en relation avec le Directeur général. Il élabore avec le Directeur général le projet médical, en assure le suivi de la mise en œuvre et en dresse le bilan annuel, il coordonne la politique médicale de l’établissement. Il contribue à la diffusion et à l’évaluation des bonnes pratiques médicales, veille à la coordination de la prise en charge du patient, contribue à la promotion de la recherche médicale et de l’innovation thérapeutique, coordonne l’élaboration du plan de développement professionnel continu des personnels médicaux et présente au Directoire ainsi qu’au CS un rapport annuel sur la mise en œuvre de la politique médicale de l’établissement. Le Président de la CME du CHU de Clermont-Ferrand est M. le Pr Henri Laurichesse, Chef du service Maladies infectieuses et tropicales. La CME s’est réunie huit fois en 2014. 102 Membres de la CME du CHU de Clermont-Ferrand en 2014 Collège n° 1 : Chefs de pôles cliniques et médicotechniques Sous-sous-collège D : Biologie - M. le Dr Jean-Pierre Romasko - M. le Pr Olivier Bay - M. le Dr Jérôme Bohatier - M. le Pr Louis Boyer - M. le Pr Lionel Camilleri - M. le Pr Alain Eschalier - Mme le Pr Isabelle Jalenques - M. le Pr André Labbé - M. le Pr Jean-Jacques Lemaire - M. le Pr Didier Lemery - M. le Pr Jean-Pierre Ribal - M. le Pr Jeannot Schmidt - M. le Pr Bertrand Souweine Collège n°3 : Représentants des personnels enseignants et titulaires de l’établissement Collège n°2 : Représentants des responsables de structures internes, services ou unités fonctionnelles Sous-collège A : Personnels hospitalo-universitaires titulaires et temporaires - M. le Pr Pierre Déchelotte Sous-collège B : Praticiens hospitaliers temps plein et temps partiel et personnels temporaires ou non titulaires et personnels contractuels Sous-sous-collège A : Médecine - M. le Dr Christophe Perrier - M. le Dr Jean Gabrillargues - Mme le Dr Anna Ferrier - Mme le Dr Christine Francannet - M. le Dr Daniel Pic - Mme le Dr Magalie Miolanne-Debouit - M. le Dr Philippe Vanlieferinghen - Mme le Dr Claire Billault - M. le Dr François Planche - M. le Dr Patrick Bailly - Mme le Dr Corinne Pourrat - Mme le Dr Dominique Fénéon Sous-sous-collège B : Chirurgie Mme le Dr Françoise Vendittelli - M. le Dr Thierry Scheye Sous-sous-collège C : Anesthésie - M. le Dr Bernard Cosserant - M. le Dr Dominique Guélon - Mme le Dr Pascale Picard Sous-collège A : Médecine - M. le Dr Georges Brousse - M. le Pr Olivier Aumaitre Sous-collège B : Chirurgie - M. le Pr Stéphane Boisgard Sous-collège C : Biologie - M. le Pr Marc Berger - M. le Pr Frédéric Libert Sous-collège D : Odontologie - Mme le Dr Dominique Roux Sous-collège E : Pharmacie - Mme Valérie Sautou Sous-collège F : Anesthésie-Réanimation - M. le Pr Jean-Étienne Bazin Collèges n°4 : Représentants des personnels hospitaliers titulaires de l’établissement Sous-collège A : Médecine - M. le Dr Géraud Souteyrand - Mme le Dr Agnès Lhoste - Mme le Dr Christine Lespiaucq Sous-collège B : Chirurgie-Odontologie - Mme le Dr Marie-Véronique Savary Sous-collège C : Anesthésie-Réanimation - Mme le Dr Brigitte Storme - Mme le Dr Laurence Escaravage Sous-collège D : Pharmacie - Mme Sandrine Bagel-Boithias Sous-collège E : Biologie 103 Collège n°5 : Représentants des personnels temporaires ou non titulaires et des personnels contractuels Sous-collège A : Chefs de clinique des universitésassisants des hôpitaux, assistants hospitaliers universitaires, praticiens hospitaliers universitaires, assistants hospitaliers universitaires d’odontologie - M. le Dr Aurélien Lebreton - M. le Dr Damien Bouvier Sous-collège B : Assistants spécialistes des hôpitaux, assistants généralistes des hôpitaux et praticiens attachés effectuant au moins trois vacations hebdomadaires - Mme Sylviane Dydymski - Mme Ève Parry - Mme le Pr Vennat, Doyen de l’UFR de pharmacie - Mme le Pr Tubert, Doyen de l’UFR d’odontologie - Mme Perron, Présidente de la CSIRMT - M. le Dr Jourdy, Praticien responsable de l’information médicale - M. Foulquier, Représentant du CTE - M. le Pr Traoré, Praticien responsable de l’équipe opérationnelle d’hygiène - M. le Pr Chopineau, Représentant des pharmaciens hospitaliers, désigné par le Directeur Sous-collège C : Praticiens contractuels Médecine Générale : - Cindy Crouzet Spécialités médicales : - Arnaud GALLON Odontologie : - pas de représentant Pharmacie : - Benjamin LEBECQUE Collège n°6 : Représentant des sages-femmes Collège n°8 : Représentant des Étudiants - Mme Florence Delpirou - Mme Valérie Bruhat Nommés par le Président du Directoire Médecine : - Jules BERTINO Odontologie : - Maxime Cubertafon Maïeutique : - Marine Parizet Pharmacie : - pas de représentant Collège n°7 : Représentant des Internes Désignés par le Président du Directoire Membres avec voix consultative - M. Meunier, Président du Directoire - M. le Pr Chazal, Doyen de l’UFR de médecine LA COMMISSION DES SOINS INFIRMIERS, DE REEDUCATION ET MEDICOTECHNIQUES - CSIRMT La CSIRMT est présidée par le Coordonnateur général des soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques. Elle se compose de représentants élus des différentes catégories de personnels qui participent à la mise en oeuvre des soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques. La Commission comprend 34 membres élus. Elle est consultée sur: - l’organisation générale des soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques et de l’accompagnement des malades dans le cadre du projet de soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques - la recherche dans le domaine des soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques et l’évaluation de ces soins - l’élaboration d’une politique de formation - l’évaluation des pratiques professionnelles (EPP) - la politique d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins- le projet d’établissement et l’organisation interne de l’établissement La CSIRMT s’est réunie cinq fois en 2014. 104 Membres de la CSIRMT - Mme Dominique Perron, Directrice coordinatrice générale des soins Membres avec voix délibérative : • Collège des cadres (12 titulaires, 4 suppléants): Titulaires: - Mme Brigitte Calime Watiez , cadre supérieur Pôle Cardiologie GM - M. Jean-Philippe Roddier, cadre Bloc CCV GM - Mme Brigitte Favard, cadre supérieur Pôle Pédiatrie CHU Estaing - Mme Frédérique Marson, cadre supérieur Pôle BLOC ARCHI GM - Mme Annie Florentin, cadre supérieur Pôle Psychiatrie CMP - Mme Mireille Berlandi, cadre supérieur Direction qualité - Mme Andrée Bonichon, cadre supérieur IFCS - M. Dominique Dorvau, cadre Radiologie GM - Mme Isabelle Genès, cadre formateur IADE - Mme Sylvie Fourgeaud, cadre Réanimation pédiatrique CHU Estaing - Mme Sandra Clauson, cadre Néonatologie CHU Estaing - Mme Aurélie Carette, cadre formateur IFAS Suppléants: - Mme Dominique Decouteix, cadre Psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent Rochefeuille CMP - Mme Marie-Anne Barlot, cadre Laboratoire Anatomo et cytologie pathologiques (2 sites) - Mme Myriam Dumas, cadre formateur École de puériculture - Mme Christine Martin, cadre Hématologie et immunologie biologique (2 sites) • Collège des personnels infirmiers, de rééducation et médico-techniques: Groupe filière infirmière (13 titulaires et 5 suppléants): Titulaires: - Mme Delphine DESMAILLET, infirmière RMC GM - Mme Monique Malleret, infirmière Chirurgie maxillo-faciale CHU Estaing - Mme Stéphanie Faure, infirmière Médecine Interne CHU Estaing - Mr Philippe Boudet, infirmier Direction informatique - Mme Corinne Molette, cadre Anesthésie SSPI GM - Mme Isaura Julien, infirmière Unité Les Dômes CMP B - Mr Sébastien Cladiere, cadre Chirurgie vasculaire A - Mme Marie-Sophie Chérillat, infirmière Santé publique - M. Régis Treille, puériculteur Hémato-oncologie pédiatrique/ Hôpital de jour CHU Estaing - Mme MALTERRE Valérie, cadre dermatologie Estaing - Mme Prat Fabienne, infirmière Consultation addictologie CMP B - Mme Garcia Emeline, infirmière endoscopie digestive CHU Estaing - Mme Blancard Anne, infirmière Hygiène Hospitalière GM Suppléants: - Mr Prudhomme David, cadre endocrinologie GM - Mme Sala Géraldine, infirmière Unité Gravenoire CMPB - Mme Duboisset-Condé Florence, infirmière Unité Ravel CMP A - Mme Vlaemynck Christelle, infirmière consultation psychiatrie CMP A - Mme Gaillot-Payard Marie-José, infirmière bloc opératoire Bloc CCV GM 105 Groupe filière rééducation (1 titulaire, pas de suppléant): Titulaire: - Mme Bernadette Fournier, ergothérapeute Médecine Physique et Réadaptation CHU Hôpital Nord Groupe filière médico-technique (2 titulaires, 2 suppléants): Titulaires: - M. Laurent De Brito, cadre Stérilisation Pharmacie GM - Mme Éliane Juillard, technicienne de laboratoire Exploration fonctionnelle GM Suppléants: - Mme Danielle Murat, technicienne de laboratoire Anatomo-cytologie pathologique - Mme Anne-Marie Touillon, technicienne de laboratoire Pharmocologie-toxicologie • Collège des Aides-soignants et des auxiliaires de puériculture (4 titulaires et 3 suppléants): Titulaires: - M. Dominique Plane, aide-soignant Roulement RMND GM - M. Antoine Mubenga, aide-soignant Stérilisation Pharmacie GM - Mme Nathalie Boisson, aide-soignante Neurologie A GM - M. Jean-François Revil, aide-soignant Cardiologie B2 GM Suppléants: - Mme Florence Lebard, aide-soignante Long séjour Mège CHU Hôpital Nord - M. Serge Six, aide-soignant EEG Exploration fonctionnelle GM - Mme Dalila Zitouni, aide-soignante Chirurgie maxillo-faciale CHU Estaing • Collège des Agents des services hospitaliers qualifiés (2 titulaires, 1 suppléant): Titulaires: - Mme Nadine Nadeau, ASH Chirurgie maxillo-faciale CHU Estaing - Mme Catherine Belin, ASH Roulement Pôle BLOC ARCHI GM Suppléants: - M. Dominique Tavarès, ASH UCP GM Membres avec voix consultative : 1 : Les directeurs de soins et directeurs des écoles paramédicales rattachées au CHU - Mme Marie-Christine Simon, Directrice IFSI / IFAS - M. Patrice Perrier-Gustin, Directeur IFCS / IFMEM - Mme Martine Mouchet, Directrice EIA /EIBO Directrice École de puéricultrices/ IFAP - Mme Nadine Gaillard, Directrice des soins GM - Mme Karine Carletta, Directrice des soins (ff) CHU Estaing 2 : Un représentant de la Commission Médicale d’Etablissement - M. le Pr Ousmane Traoré 3: Un représentant des étudiants de l’IFSI (3ème année) 4: Un représentant des étudiants de l’IFAS 5 : Un représentant des étudiants de l’IFMEM (3ème année) 106 LE COMITE D’HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL (CHSCT) Le CHSCT est l’instance consultative du CHU chargée de contribuer à la protection de la santé et de la sécurité de l’ensemble des agents du CHU, ainsi qu’à l’amélioration de leurs conditions de travail. Il se réunit obligatoirement au moins quatre fois par an, et chaque fois que les circonstances l’exigent, sur la convocation de son Président, soit à l’initiative de ce dernier, soit à la demande motivée d’au moins deux de ses membres représentants du personnel. Le CHSCT est également réuni dans les plus brefs délais en cas d’urgence à la suite de tout accident ayant entraîné ou ayant pu entraîner des conséquences graves, ou à la demande motivée de deux de ses membres représentant le personnel. Le CHSCT est présidé par le Directeur Général ou son représentant. Jusqu’en 2014, il est composé de 9 LE COMITE D'HYGIENE, DE SECURITE ET DES DE TRAVAIL (CHSCT) représentants du personnel non médical désignés par CONDITIONS les organisations syndicales suite aux résultats des élections professionnelles aux CAP Départementales, et d’un représentant des médecins désigné par la CME. Le CHSCT est l’instance consultative CHU chargée de contribuer la protection de la santé et de lal’inspecteur sécurité A ces membres délibérants, s’ajoutent desdu membres consultatifs tels àque les médecins du travail, de l’ensemble des agents du CHU, ainsi qu’à l’amélioration de leurs conditions de travail. du travail ou un médecin chargé de l’hygiène… Il se réunit obligatoirement au moins quatre fois par an, et chaque fois que les circonstances l’exigent, sur la NB : A compter des élections du 4 décembre 2014, les représentants du personnel non médical au CHSCT, convocation de son Président, soit à l’initiative de ce dernier, soit à la demande motivée d'au moins deux de sont désignés par les organisations auLevuCHSCT des résultats obtenus scrutin du CTE. ses membres représentants syndicales du personnel. est également réuniau dans les plus brefs délais en cas d’urgence à la suite de tout accident ayant entraîné ou ayant pu entraîner des conséquences graves, ou à la demande de deux de différents ses membres représentant le personnel. Compte tenu de lamotivée répartition des Etablissements qui composent le CHU, et afin d’installer des Le CHSCT est présidé le Directeur Général ou son représentant.est Jusqu’en 2014, il est composé de 9 CHSCT au plus près possible dupar personnel, le CHU de Clermont-Ferrand doté de deux comités regroupant représentants du personnel non médical désignés par les organisations syndicales suite aux résultats des les sites suivants : élections professionnelles aux CAP Départementales, et d’un représentant des médecins désigné par la CME. A - CHSCT ESTAINGdélibérants, s’ajoutent des membres consultatifs tels que les médecins du travail, l’inspecteur du ces membres travail ou un médecin chargé /deHOPITAL l’hygiène… - CHSCT GABRIEL MONTPIED NORD NB : A compter des élections du 4 décembre 2014, les représentants du personnel non médical au CHSCT, Leur coordination est assurée des réunions communes deuxobtenus CHSCT,auorganisées par la Direction des sont désignés par lespar organisations syndicales au vu desdes résultats scrutin du CTE. RessourcesCompte Humaines. tenu de la répartition des différents Etablissements qui composent le CHU, et afin d’installer des CHSCT au plus près possible du personnel, le CHU de Clermont-Ferrand est doté de deux comités regroupant les sites suivants : Le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail a pour mission : CHSCT ESTAING - de contribuer à la protection de la santé physique et mentale et de la sécurité des travailleurs de CHSCT GABRIEL MONTPIED / HOPITAL NORD l’établissement et deest ceux mis àpar sa des disposition par une entreprise extérieure ; Leur coordination assurée réunions communes des deux CHSCT, organisées par la Direction des - de contribuer à l’amélioration des conditions de travail ; Ressources Humaines. - de veiller à l’observation des prescriptions légales prises en ces matières. Le Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail a pour mission : de contribuer à la protection de la santé physique et mentale et de la sécurité des travailleurs de Le comité effectuel'établissement des inspections et mène desentreprise enquêtesextérieure en matière d’accidents de travail. et dedans ceux les mis services à sa disposition par une ; Il contribue à la- promotion de àlal'amélioration préventiondes desconditions risques professionnels dans l’établissement. de contribuer de travail ; de veiller à l'observation des prescriptions légales prises en ces matières. En 2014, leLeCHSCT réuni comités’est effectue des:inspections dans les services et mène des enquêtes en matière d’accidents de travail. Il contribue à la promotion de la prévention des risques professionnels dans l’établissement. En 2014, le CHSCT s’est réuni : SEANCES GABRIEL MONTPIED / HOPITAL ESTAING REUNION COMMUNE NORD ORDINAIRES Gabriel Montpied : 6 6 4 Hôpital Nord : 4 EXTRAORDINAIRES Gabriel Montpied : 6 2 0 Hôpital Nord : 1 Par ailleurs, il est à noter pour l’année 2014, quelques sujets marquants abordés au CHSCT : CHSCT SUJETS Hôpital Nord : GABRIEL MONTPIED / Installation des rails plafonniers HOPITAL NORD Restructuration du site et en particulier les unités EHPAD et USLD Suivi de l’absentéisme Suite à l’audit SECAFI, création de 2 groupes de travail : ressources humaines (accès à GESTOR pour tous les agents, trames horaires et semaines sans rappel, alternance jour/nuit fatiguant pour les agents) et ergonomie et conditions de travail (achat ou choix d’équipements ergonomiques tels que les draps de glisse, analyse des AT les plus récurrents et recherche de solution) ESTAING ANAP : retravailler les organisations et conditions de travail dans les secteurs concernés en prenant en ORDINAIRES GM + HN ESTAING CGT CGT ARCOUTEL Danièle, Titulaire - Syndicat CGT (GM + HN) SOULIER Agnès, Titulaire - Syndicat CGT (GM + HN) AIGUEBONNE Serge, Suppléant - Syndicat CGT (GM + HN) CHALET Philippe, Suppléant - Syndicat CGT (GM + HN) Suppl Titu Suppl Titu Gabriel Montpied : 6 6 4 Hôpital Nord : 4 EXTRAORDINAIRES Gabriel Montpied : 6 2 0 Hôpital Nord : 1 Par ailleurs, est à noter 2014, quelques marquants abordés au CHSCT : Paril ailleurs, il est àpour noter l’année pour l’année 2014, quelques sujets sujets marquants abordés au CHSCT : CHSCT SUJETS Hôpital Nord : GABRIEL MONTPIED / Installation des rails plafonniers HOPITAL NORD Restructuration du site et en particulier les unités EHPAD et USLD Suivi de l’absentéisme Suite à l’audit SECAFI, création de 2 groupes de travail : ressources humaines (accès à GESTOR pour tous les agents, trames horaires et semaines sans rappel, alternance jour/nuit fatiguant pour les agents) et ergonomie et conditions de travail (achat ou choix d’équipements ergonomiques tels que les draps de glisse, analyse des AT les plus récurrents et recherche de solution) ESTAING ANAP : retravailler les organisations et conditions de travail dans les secteurs concernés en prenant en compte notamment les remarques du rapport SECAFI CHSCT extraordinaire relatif aux RPS du secteur digestif : enquête demandée par le CHSCT et conduite par le SST et le psychologue du travail Audit SECAFI relatif aux conditions de travail REUNION COMMUNE Restructurations ANAP GAILLARD Jean-Michel, Titulaire - Syndicat FO (GM + HN) LOUBERT-CHALIER Rosa, Titulaire - Syndicat FO (GM + HN) MONTAGNER Jérôme, Titulaire - Syndicat FO (GM + HN) BLANCHARD Bruno, Suppléant - Syndicat FO (GM + HN) PAPON Richard, Suppléant - Syndicat FO (GM + HN) PARAIRE Benjamin, Suppléant - Syndicat FO (GM + HN) VILLEMIN Marie-Claude, Suppléant - Syndicat FO (GM + HN) PASSELAIGUE Pascale, Titulaire - Syndicat SUD (GM + HN) BATIAT Aline, Suppléant - Syndicat SUD (GM + HN) FRANCOIS Delphine, Suppléant - Syndicat SUD (GM + HN) FERRARA Marie-Claudine, Suppléant - Syndicat CGT (Estaing) VILLET Max, Suppléant - Syndicat CGT (Estaing) AUGIER Jean-Pierre, Titulaire - Syndicat FO (Estaing) BILLOIS Eric, Titulaire - Syndicat FO (Estaing) GUYOT Pascale, Titulaire - Syndicat FO (Estaing) MOREL Martine, Titulaire - Syndicat FO (Estaing) AUGIER Nadine, Suppléant - Syndicat FO (Estaing) DA SILVA Arlette, Suppléant - Syndicat FO (Estaing) PATRONE Daniel, Suppléant - Syndicat FO (Estaing) VIGNAL Yves, Suppléant - Syndicat FO (Estaing) SUD Suppl Titu Suppl Titu SUD FOULQUIER Thierry, Titulaire - Syndicat SUD (GM + HN) MARTIN Michel, Titulaire - Syndicat CGT (Estaing) FO Titulaires BERTHOMMIER Marielle, Titulaire - Syndicat FO (GM + HN) Suppléants Suppléants Titulaires FO BRACHET Véronique, Titulaire - Syndicat CGT (Estaing) UNSA CHAVANAZ Claudine, Titulaire - Syndicat SUD (Estaing) COLLAS Maïté, Titulaire - Syndicat SUD (Estaing) FOULQUIER Thierry, Suppléant - Syndicat SUD (Estaing) FRANCOIS Delphine, Suppléant - Syndicat SUD (Estaing) UNSA T SEITER Muriel, Titulaire - Syndicat UNSA (GM + HN) T BRESSON Séverine, Titulaire - Syndicat UNSA (Estaing) S LASSALLE Bruno, Suppléant - Syndicat UNSA (GM + HN) S LASSALE Bruno, Suppléant - Syndicat UNSA (Estaing) Monsieur le Docteur BOHATIER, Représentant CME (GM + HN) Madame le Docteur FRANCANNET, Représentant CME (Estaing) LE COMITE TECHNIQUE D’ETABLISSEMENT - CTE Le CTE est l’instance consultative du CHU chargée de donner un avis sur les sujets ayant une incidence sur le fonctionnement et sur l’organisation de l’établissement. Il se réunit obligatoirement au moins une fois par trimestre. Le CTE est présidé par le Directeur Général ou son représentant. Jusqu’en décembre 2014, il est composé de 18 représentants du personnel non médical élus issus de 3 collèges différents (A – B – C), et d’un représentant des personnels médicaux désigné par la CME. Lorsque l’ordre du jour du CTE comporte des questions intéressant l’hygiène, la sécurité et les conditions de travail, un médecin du travail assiste avec voix consultative à la réunion du CTE. Le cas échéant, le médecin responsable de l’hygiène hospitalière peut être convoqué pour des questions relatives à sa compétence. NB : Le décret n°2014-822 du 18 juillet 2014 a supprimé la notion de collèges et revu le nombre de représentants du personnel non médical (18 15 membres) à compter de la nouvelle composition du CTE après les élections professionnelles du 4 décembre 2014. Le Comité Technique d’Etablissement est obligatoirement consulté sur le projet d’établissement, les conventions passées par le CHU, les orientations stratégiques de l’établissement et son plan de financement, la 107 108 LE COMITE TECHNIQUE D’ETABLISSEMENT - CTE Le CTE est l’instance consultative du CHU chargée de donner un avis sur les sujets ayant une incidence sur le fonctionnement et sur l’organisation de l’établissement. Il se réunit obligatoirement au moins une fois par trimestre. Le CTE est présidé par le Directeur Général ou son représentant. Jusqu’en décembre 2014, il est composé de 18 représentants du personnel non médical élus issus de 3 collèges différents (A – B – C), et d’un représentant des personnels médicaux désigné par la CME. Lorsque l’ordre du jour du CTE comporte des questions intéressant l’hygiène, la sécurité et les conditions de travail, un médecin du travail assiste avec voix consultative à la réunion du CTE. Le cas échéant, le médecin responsable de l’hygiène hospitalière peut être convoqué pour des questions relatives à sa compétence. NB : Le décret n°2014-822 du 18 juillet 2014 a supprimé la notion de collèges et revu le nombre de représentants du personnel non médical (18 15 membres) à compter de la nouvelle composition du CTE après les élections professionnelles du 4 décembre 2014. Le Comité Technique d’Etablissement est obligatoirement consulté sur le projet d’établissement, les conventions passées par le CHU, les orientations stratégiques de l’établissement et son plan de financement, la politique générale de formation du personnel, les critères de répartition de la prime de service et de technicité, la politique d’amélioration continue de la qualité de la sécurité des soins et de la gestion des risques ainsi que les conditions d’accueil et de prise en charge des usagers,… Il doit également être informé de la situation budgétaire (EPRD), des effectifs prévisionnels et réels de l’établissement,… En 2014, le CTE a été convoqué à 8 reprises dont 5 réunions au cours desquelles le quorum n’a pas été réuni. Par conséquent, seuls 3 CTE ont donné lieu à avis et votes. Par ailleurs, il est à noter pour l’année 2014, quelques sujets marquants abordés au CTE : Par ailleurs, il est à noter pour l’année 2014, quelques sujets marquants abordés au CTE : CTE AVIS VOEUX SUJETS Feuille de route ANAP Réorganisation de l’unité BERLIOZ en Psychiatrie Convention avec le FIPHFP Modification des modalités de calcul des indemnités forfaitaires techniques et primes de technicité "Les délégués du personnel demandent : - à ce qu'un financement soit trouvé pour que tous les agents qui ont réussi un concours d'entrée dans le cadre d'une mesure d'études promotionnelles puissent en bénéficier sans report ; - à augmenter le nombre de départs à l'école d'AS dès la rentrée 2014" Liste des membres du CTE Titulaires Suppléants COLLEGE A CGT BRACHET Véronique N'GUYEN Josefa AVEL Sandrine AUGIER Corinne ROUZEAU Danielle DAYRAS Michelle SUD FOULQUIER Thierry FRANCOIS Delphine UNSA MEVIAL Pascal SAUNIERE Jonathan FO COLLEGE B report ; - à augmenter le nombre de départs à l'école d'AS dès la rentrée 2014" Liste des membres du CTE Liste des membres du CTE Titulaires Suppléants COLLEGE A CGT BRACHET Véronique N'GUYEN Josefa AVEL Sandrine AUGIER Corinne ROUZEAU Danielle DAYRAS Michelle SUD FOULQUIER Thierry FRANCOIS Delphine UNSA MEVIAL Pascal SAUNIERE Jonathan FO COLLEGE B CGT ARCOUTEL Danielle TASCONE Pascal RELLIER Michelle FO DERRIEN Joël BARRIERE Bruno SUD CHAVANAZ Claudine PASSELAIGUE Pascale COLLEGE C CGT FO SUD MARTIN Michel AIGUEBONNE Serge FERRARA Marie-Claudine LABOURIER Alain PERONY Patrick SOULIER Agnès LOUBERT-CHALIER Rosa VIGNAL Yves CHALIER Daniel MOREL Gérard GAILLARD Jean-Michel MOREL Martine GUYOT Pascale AUGIER Jean-Pierre BERTHOMMIER Marielle BONHOMME Julien CIBERT Christophe COLLAS Marie-Thérèse LES COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES LOCALES – CAP LES COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES LOCALES - CAP Les Commissions administratives paritaires locales (CAPL) sont des instances consultatives représentant les personnels. Elles sont obligatoirement consultées sur les questions d'ordre individuel concernant les agents, Les Commissions administratives paritaires locales (CAPL) sontavancement des instances représentant les notamment en matière de titularisation, avancement d'échelon, deconsultatives grade, inscription sur une liste personnels. d'aptitude, ...Elles sont obligatoirement consultées sur les questions d’ordre individuel concernant les agents, notamment en matièreà de titularisation, avancement d’échelon, avancement dereprésentants grade, inscription sur une Les CAPL comprennent nombre égal des représentants de l'administration et des du personnel. liste ... de membres titulaires et suppléants. Elles d’aptitude, sont composées Les CAPL comprennent à nombre égal des représentants de l’administration et des représentants du personnel. Elles sont composées de membres titulaires et suppléants Les CAPL se sont réunies 4 fois en 2014. 109 110 Les CAPL comprennent à nombre égal des représentants de l'administration et des représentants du personnel. Elles sont composées de membres titulaires et suppléants. Les CAPL se sont réunies 4 fois en 2014. Representants De L’administration Aux Commissions Administratives Paritaires Locales REPRESENTANTS DE L'ADMINISTRATION AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES LOCALES COMMISSION SIEGE TITULAIRE SUPPLEANT C.A.P. 1 Personnels d’encadrement technique N° 1 N° 2 M BASTARD Mme BUISSON Mme DURIS M JAMET C.A.P. 2 Personnels des services de soins, Médicotechniques et sociaux N° 1 N° 2 N° 3 N° 4 N°5 M BASTARD Mme BUISSON Mme RIBEROLLES Mme PERRON M POINAS Mme DURIS Mme LOCQUET Mme NOUHEN M JAMET Mme LACOMBE N° 1 M BASTARD Mme RIBEROLLES C.A.P. 4 Personnels d’encadrement technique et ouvrier N° 1 N° 2 M BASTARD Mme BUISSON Mme DURIS M JAMET C.A.P. 5 Personnels des services de soins, Médicotechniques et sociaux N° 1 N° 2 N° 3 N° 4 M BASTARD Mme BUISSON Mme RIBEROLLES Mme PERRON Mme DURIS Mme LOCQUET Mme NOUHEN Mme GAILLARD C.A.P. 6 Personnels d’encadrement administratif et des secrétariats médicaux N° 1 N° 2 N° 3 M BASTARD Mme BUISSON Mme RIBEROLLES Mme DURIS Mme LOCQUET Mme NOUHEN C.A.P. 7 Personnels techniques et ouvriers N° 1 N° 2 N° 3 M BASTARD Mme BUISSON Mme RIBEROLLES Mme DURIS Mme LOCQUET Mme NOUHEN C.A.P. 8 Personnels des services de soins, Médicotechniques et sociaux N° 1 N° 2 N° 3 N° 4 N° 5 M BASTARD Mme BUISSON Mme RIBEROLLES Mme PERRON M POINAS Mme DURIS Mme LOCQUET Mme NOUHEN M JAMET Mme LACOMBE C.A.P. 9 Personnels administratifs N° 1 N° 2 N° 3 M BASTARD Mme BUISSON Mme RIBEROLLES Mme DURIS Mme LOCQUET Mme NOUHEN CORPS DE CATEGORIE A C.A.P. 3 Personnels d’encadrement administratif CORPS DE CATEGORIE B CORPS DE CATEGORIE C 111 Representants Du Personnel Aux Commissions Administratives Paritaires Locales REPRESENTANTS DU PERSONNEL AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES LOCALES COMMISION GROUPE 1- Pers.Techniques CORPS DE CATEGORIE A 2- Pers. Soignants 3- Pers. Administratifs 4- Pers.Techniques CORPS DE CATEGORIE B 5- Pers. Soignants 6- Pers. Administratifs 7- Pers.Techniques CORPS DE 8- Pers. Soignants CATEGORIES C 9- Pers. Administratifs Syndicat TITULAIRE SUPPLEANT FO GONZALES Jean-Jacques ROUZEAU Danielle FO BOIGE Jean Jacques CGT FO DELEUZE Christine ROSSI Nadine N’GUYEN Josepha POUGET Suzanne FO AVEL Sandrine RAMEAU Nadine SUD FRANCOIS Delphine DUMONT Céline UNSA MEVIAL Pascal SAUNIERE Jonathan FO BOUTONNET Myriam MANTIN Patricia FO DERRIEN Joël GROUEIX Stephane FO BARRIERE Bruno DURIER Gilles CGT BELAUBRE Thierry LAYBROS Patricia CGT ARCOUTEL Danielle BOSCHER Jacqueline FO AUGIER Nadine LACOSTE Carine SUD CHAVANAZ Claudine PASSELAIGUE Pascale CGT CGT RELLIER Michelle GALTIER Christine PARRAGA Marie Isabelle SUD COELHO Fabienne GIRAUDET Didier CGT FO FO PERONY Patrick VIGNAL Yves BILLOIS Eric CHALET Philippe BARRIERE Lionel MONTAGNER Jérôme CGT AIGUEBONNE Serge DUFRAISSE Bernadette CGT FO FO RODIER Eric LOUBERT CHALIER Rosa GUYOT Pascale PLANE Philippe GAILLARD Jean-Michel BLANCHARD Bruno FO MOREL Martine DRAVERT Sandrine CGT FO SUD FERRARA Marie-Claudine MOREIRA Emilie GUILLOT Anne Marie SOULIER Agnès BOURGUET Agnès BATIAT Aline CHU de Clermont-Ferrand 58 rue Montalembert 63003 Clermont-Ferrand Cedex 1 04.73.750.750 www.chu-clermontferrand.fr