ÉCHOS – LOGİQUES

Transcription

ÉCHOS – LOGİQUES
ÉCHOS – LOGİQUES
Mensuel, juillet & août comptant pour un seul mois
ECOLO
Locale de Liège
En Hors–Château, 48
4000 Liège
Échos–Logiques
Avril 2006 – n°04
Sommaire
Édito __________________1
Projets thermo–efficaces __1
Ecolo et le Standard______2
La majorité PS-CDH 2000–
2006 : un cru amélioré pour la
gestion, un zéro pointé pour la
participation ____________3
In memoriam ___________4
Procès–verbal de l’A.G.du 9
mars 2006 _____________5
In–formation continue_____5
Nos mandataires ________6
Appel à candidatures ____6
La prochaine Assemblée
Générale locale se tiendra le
jeudi 13 avril à 20 heures à
l’auberge de Jeunesse « Simenon »
À l’ordre du jour :
ƒ Inscription des points « divers »
ƒ Approbation du P.V. de
l’A.G. du 9 mars 2006
ƒ Accueil de nouveaux membres
ƒ Finalisation du dépliant
électoral
ƒ Retour du bureau
ƒ Actualité politique
ƒ Traitement des points divers
Belgique – België
PP
4000 Liège 1
9/1807
P307186
Mais qui donc dessine cette ville ?
Il y a quelques semaines, EuroLiège-TGV
présentait à la presse, avec force images
3D, animations et paillettes, une esquisse
façon Calatrava de la future place devant
la gare en construction et de ses prolongements vers la Meuse et au-delà... Une
vision tout en grandeur et prestige dessinant un quartier inédit à mi-chemin entre
Champs-Élysées et nulle part ! Curieux et
significatif : si on trouvait, autour des responsables d'EuroLiège-TGV, des personnalités politiques fédérales ou régionales,
ni le Bourgmestre de Liège ni l'échevin de
l'urbanisme n'avaient été conviés à l'événement !
Cette communication pose de nombreuses
questions :
Le contenu du projet ne nous semble pas
pouvoir répondre à l'ensemble des exigences de valorisation de la gare dans
toutes ses dimensions, en particulier du
point de vue de la mobilité et des liaisons
train-transports en commun, mais également pour ce qui concerne la répartition
des surfaces entre logement et fonctions
économiques et commerciales évidemment indispensables autant pour revitaliser le quartier que pour participer au développement de la Ville.
Il n'y a pas, a priori, le premier euro pour
financer un tel projet. C'est loin d'être un
point de détail : il n'est évidemment pas
question de revivre, façon Guillemins, une
saga Saint-Lambert bis où, par manque
de moyens financiers, mais aussi par
manque d'un projet fort et consensuel, on
s'enliserait dans l'immobilisme pour trois
décennies.
L'oeuvre architecturale de Calatrava est
certes remarquable et le souhait de la
mettre en valeur est pertinent, mais la
préoccupation « d'image » ne doit pas
être la seule à piloter les choix urbanistiques. D'une part, la gare doit être traitée
aussi comme un élément fonctionnel dans
la politique de mobilité urbaine (articulation avec les transports en commun, les
modes de déplacement doux...). D'autre
part, les choix sociologiques, économiques... sont prioritaires. La SNCB n'a pas
pour vocation d'occuper le terrain de la
décision urbanistique à Liège en fonction
de ses propres intérêts. Calatrava n'a pas
non plus cette mission : son point de vue
est forcément subjectif et limité puisqu'il
n'a, de Liège, qu'une vision extérieure et
esthétisante.
Pour ECOLO, il est grand temps de trouver,
sur le site de la gare et de ses environs,
une démarche publique cohérente, éclairée et pilotée de manière incontestée.
Nous pensons que c'est à la Ville de Liège
d'assurer ce leadership et de prendre ainsi –enfin– l'initiative dans les choix importants conditionnant son propre devenir et
celui de ces habitants. Cela suppose une
coordination claire, sous la responsabilité
de la Ville, de tous les intervenants publics et semi-publics, coordination telle
qu'elle puisse servir de base au suivi du
projet, de lieu de rencontre entre habitants, commerçants... et politiques, de
point de départ de démarches réelles et
ambitieuses de promotion du quartier auprès d'investisseurs potentiels.
Au Collège et au Bourgmestre de prouver
sans délai qu'ils ont, dans ce dossier, la
vision et la carrure nécessaires pour positionner Liège à la place qui lui revient et
l'ambition de se donner les moyens d'y
parvenir. La reconstruction des Guillemins, c'est un test grandeur nature de la
capacité de Liège à faire face aux défis
qu'elle doit affronter !
Bénédicte HEINDRICHS,
Secrétaire locale
& Benoît LABAYE,
Chef de groupe au Conseil Communal
Projets thermo–efficaces
« Faire plus avec moins ! » Un entrepreneur a décidé d’appliquer ce principe
au travers de plusieurs projets immobiliers dans la grande région liégeoise.
Ces futurs bâtiments thermo–efficaces, alliant principes bio–climatiques, domotique et isolation soignée, suscitent pourtant parfois beaucoup de remous.
Est–ce le concept ? Est–ce l’homme ? Pour en avoir le cœur net et vous fournir
des arguments si vous êtes interpellé sur le sujet, nous avons invité cet entrepreneur, Laurent MINGUET, à venir nous exposer tout cela, le mercredi 19 avril
à 20h30 à l’Auberge de Jeunesse Simenon.
Cette soirée, organisée avec la participation de la Régionale, est destinée en
priorité aux militants ECOLO.
Le Secrétariat local
Echos–Logiques Avril 2006 – 1
ECOLO et le Standard
Le 30 janvier 2006, le Conseil
communal votait une convention
liant la Ville et le Standard et
définissant les modalités d’une
subvention de 50 000 € au Standard.
ECOLO fut le seul à voter contre
cette convention. Certains ont
cru discerner dans ce vote une
prise de position anti-football ou
anti-Standard. Voici pourquoi il
n’en est rien.
En octobre 2005, lors du vote du
2ème Cahier de Modification Budgétaire et suite à un dividende
exceptionnel de l’Association Liégoise du Gaz, apparaît un poste
« Protocole : frais de réception
et de représentation ». Traduction : « accord Ville de LiègeStandard » : 25 000 €. Ce versement est accompagné d’une
convention qui précise qu’en
contrepartie la Ville de Liège obtient la possibilité de recevoir
ses invités dans les logesbusiness du Standard et un dispositif publicitaire sur le stade.
ECOLO et le MR expriment leur
opposition.
Outré, le Directeur du Standard,
Pierre FRANÇOIS, refuse ce qu’il
considère comme une aumône.
Vexé, le Bourgmestre parle de
retirer l’offre de la Ville et ne
veut plus parler qu’avec le Président du CA du Standard. La
presse se fait les choux gras de
cette polémique. Devant ce
manque
de
communication,
j’interpelle le Collège en Conseil
du 21 novembre 2005 pour exiger la tenue d’un débat sur la
politique de la Ville vis–à–vis des
clubs sportifs avant toute décision… d’autant plus que Liège–
Basket ne reçoit aucun subside.
Le Bourgmestre répond « que la
communication au Conseil Communal de la politique menée par
le Collège en matière de clubs
sportifs aura lieu en décembre
dans le cadre du budget 2006. »
En commission du Bourgmestre
du 12 décembre 2005 et du 25
janvier 2006, je réitère ma demande d’un débat à partir de la
communication promise.
Arrive donc le conseil communal
du 30 janvier et la Convention
avec le Standard. Cette fois, le
Collège propose 50 000 € en
one–shot. Certes, la nouvelle
convention remplace la loge par
des places pour les équipes de
jeunes des clubs liégeois (« et, à
défaut, du personnel communal ») mais toujours rien quand
à une politique globale. Les subsides octroyés au Standard et à
Liège–Basket étant une opération unique, le Directeur du
Standard ne reparlera–t–il pas
d’aumône
l’année
prochaine
lorsque la Ville ne pourra plus
dégager que peu d’argent ?
Devant le refus de communication et de débat du Bourgmestre, la non–politique sportive de
la Ville et le one–shot que constitue cette subvention, le groupe
ECOLO vote contre la convention.
Hasard ou provocation, un communiqué de presse du Collège
du 9 février annonce, dans un
chapitre « politique sportive de
la Ville » une subsidiation de
23 000 € à 32 clubs sportifs et,
pour faire bonne mesure, ajoute
les subsides au Standard et à
Liège–Basket.
Les raisons de notre vote négatif
à ces subsidiations restent donc
pendantes :
1. Appartient-il à la Ville de
subsidier des clubs sportifs
professionnels,
disposant
d’un budget important ? Oui,
si l’on prend comme exemple
Charleroi qui accorde près de
10 millions d’euros à ses
nombreux
clubs
sportifs
(foot, basket, ping-pong, cyclisme…) une partie importante de cette subvention allant vers la construction et
l’entretien d’infrastructures.
Non si l’on considère que
l’ALE, dont la ville est le plus
gros actionnaire, est un
sponsor principal du Standard et que la Ville engage
de gros frais de sécurité
(55 000 € d’heures supplémentaires police, 65 000 €
de participation de la Ville au
fan-coaching).
2. Pourquoi ne pas avoir subsidié les clubs de jeunes du
Standard en lieu et place
d’une très électoraliste location de places et un panneau
publicitaire ?
Pour
l’anecdote, le Standard reçoit
également 584 € pour ses
équipes de jeunes via les
23 000 € destinés aux clubs
de la Ville.
3. Quelle sera la suite de la politique de la Ville pour les
grands clubs sportifs après
ce one–shot de 25.000 € ?
Lors de la signature de la
convention, le Bourgmestre
déclarait « ce n’est qu’un
début et un premier stade
collaboration. On le sait, la
préférence de la Ville dans ce
cadre va plutôt vers une politique d’action envers les
jeunes. Nous soutenons la
mise en place du centre de
formation des jeunes que le
Standard veut implanter au
Bois St-Jean ». De son côté
Pierre FRANCOIS insistait sur
ce centre technique, destiné
à la formation des jeunes,
qui coûtera 12,5 millions
d’euros. « J’aimerais voir la
Ville s’intéresser au Bois-StJean » terminait-il.
La Ville ne devrait-elle pas
investir dans ces installations
en synergie avec la Région
wallonne et la Province ? Évidemment, cela coûterait plus
cher et serait moins électoralement visible.
Et si on l’avait enfin ce débat sur
la politique sportive de la Ville
vis-à-vis des clubs sportifs ? Ou
bien on va continuer une politique à la petite semaine, sachant
qu’il n’y aura plus de dividendes
exceptionnels ALG ?
Alain LEENS
Conseiller Communal
Echos–Logiques Avril 2006 – 2
La majorité PS-CDH 2000–2006 : un cru amélioré pour la gestion, un zéro pointé pour
la participation
Avec l’approche des élections, voici venir le temps
des bilans. Il est indéniable que la gestion de notre
ville a fait des progrès, ceci étant dû notamment à
la situation moins déplorable des finances communales.
Mais il est un point sur lequel
le
Collège
ne
s’améliore pas : le débat
démocratique et la démocratie
participative
n’entrent décidément pas
dans ses méthodes de
gestion.
Au
Conseil
communal
d’octobre 2005, j’ai interpellé le Collège sur ce
point.
En effet, fin 2003 le Conseil
communal a adopté un projet
de ville qui reposait sur une
méthode participative. Force
est de constater que la pratique de cette méthode par le
Collège pose question.
La participation repose en effet sur des conditions :
ƒ la première est
l’information.
ƒ la deuxième est le débat.
ƒ la troisième est
l’évaluation.
Contrairement à ce que craint
le Collège, la participation ne
confisque pas le pouvoir, elle
l’enrichit de nouvelles idées
et d’une expertise différente.
Le débat et les critiques ne
sont pas destruceurs mais
des balises vers la qualité des
décisions prises. Information,
débat, évaluation renforcent
le sens du collectif, dont
Liège a le plus grand besoin
pour assurer son redéploiement d’une part, lutter contre
l’extrême-droite d’autre part.
Quelques exemples concrets
montrent que le Collège peut
mieux faire.
1. Dans plusieurs cas, les
expropriations d’immeubles
privés pour réalisation de
projets communaux (autour
de l’Emulation, de la future
piscine Jonfosse) n’ont pas
fait l’objet d’une information
préalable et complète des occupants
des
immeubles
concernés.
Donner
une
échéance est un élément
d’information important pour
les occupants. La Ville doit
également leur offrir une assistance pour retrouver un
autre lieu de vie sur le territoire de la commune.
2. Le futur règlement communal d’urbanisme a été
l’objet d’un examen sérieux
et attentif par la CCAT à plusieurs reprises. Toutefois le
Conseil communal n’a pas pu
bénéficier de cette expertise :
la commission générale a été
convoquée seulement deux
jours avant la réunion, et le
règlement lui-même n’a été
communiqué aux conseillers
communaux que la veille.
Depuis lors (rappelons que
cette
interpellation
date
d’octobre dernier) le même
phénomène se reproduit avec
l’aménagement du quartier des Guillemins. Interpellé à deux reprises par
l’opposition (en janvier et en
mars 2006), le Collège proteste de sa bonne foi, affirme
qu’il consulte les acteurs de
terrain, mais se propose
d’informer le Conseil communal en juin prochain…quand
l’étude sera terminée, et qu’il
sera trop tard pour y intégrer
de nouvelles propositions!
Pour l’échevin de l’urbanisme,
il faut éviter les « chamaille-
ries » et autres « liégeoiseries » qui ont retardé notamment les décisions sur
l’aménagement de la Place St
Lambert. Rappelons toutefois
que si on ne s’était pas
« chamaillé » comme il dit,
on aurait aujourd’hui droit à
une autoroute urbaine reliant
Burenville à Droixhe…Dans
des dossiers d’aménagement
aussi déterminants sur la
structuration d’une ville, le
temps du débat et de la réflexion n’est jamais du temps
perdu !
3. L’attribution de la subvention communale pour des
projets de développement.
Les membres de la Commission consultative Solidarité Liège Tiers Monde ont
été informés par la convocation à la réunion de septembre 2005 d’un changement
de leur rôle dans cette procédure. Ils n’ont pas été
consultés au préalable. Quel
que soit le bien-fondé éventuel de la décision du Collège,
il n’en reste pas moins que
cette façon de procéder est
démobilisatrice pour les participants qui n’ont pas eu voix
au chapitre. Depuis lors, la
Commission ne s’est plus réunie et, sans une initiative du
pouvoir communal, cet outil
de dialogue, de sensibilisation
et d’action avec les associations liégeoises impliquées
dans les enjeux Nord-Sud va
mourir à petit feu, après 20
ans d’activités...
4. L’ASBL Action Environnement est une ASBL paracommunale qui ne s’est réunie que 3 fois en 3 ans, en
octobre 2003, en octobre
2005 et depuis lors en janvier
2006.
Difficile
dans
ces
conditions de pouvoir jouer
un rôle, au minimum de
Echos–Logiques Avril 2006 – 3
contrôle, idéalement de proposition quant au respect de
ses missions de service au
public.
utilisés par le Collège. La
transparence, l’information,
bref la démocratie, cela
leur fait si peur ?
Voici quatre exemples de situations auxquelles je demandais au Collège de remédier par quelques mesures
concrètes :
ƒ veiller à organiser le débat
le plus large et le plus
complet possible sur des
questions qui engagent la
Ville à long terme, comme
c’est le cas pour le règlement
communal
d’urbanisme
ou
l’aménagement du quartier
des Guillemins.
ƒ améliorer l’information des
citoyens, des associations
et des conseillers communaux par rapport à ses décisions, leur contexte, leurs
motivations. Le Collège
dispose pour ce faire, outre
les media, d’un site web
et de la possibilité de
transmettre par courrier
électronique toute une série
d’informations.
Par
exemple, les conseillers
communaux
pourraient
ainsi recevoir tous les procès verbaux des commissions consultatives. Il n’en
coûterait à la ville que le
temps d’un « clic » …. Ces
outils informatiques sont
dramatiquement
sous-
ƒ procéder à l’évaluation périodique et publique des
objectifs du projet de ville
(nous en avons parlé au
Conseil communal depuis
lors, mais cela est une autre histoire –tout aussi décevante hélas– dont je
vous parlerai dans un prochain Echos–Logiques !)
oreille. Pour eux, c’est la majorité
qui
décide,
et
l’opposition, les associations
et les « chers administrés »
ont juste le droit d’apprendre
de la bouche des édiles le
contenu des décisions qu’ils
ont prises « pour notre plus
grand bien ». Avec ce despotisme éclairé, le débat démocratique et la participation citoyenne ne trouvent guère
leur compte. Ces « liégeoiseries »-là nous paraîtraient
bien utiles pourtant….
Vous avez vécu d’autres
expériences,
entendu
d’autres
exemples
du
même acabit ici à Liège ?
Signalez-les nous ! Cela
nous permettra d’enrichir
notre cahier de doléances
et de faire changer les
choses pour la prochaine
législature communale !
La réponse du Collège a été
plus que décevante : manifestement, ni DEMEYER, ni FIRKET ne l’entendent de cette
Brigitte ERNST
Conseillère communale
In memoriam
C'est avec émotion que le Secrétariat local a appris au détour de la manifestation de Vottem la triste nouvelle du décès de Francis JACQUES, membre de longue date de notre assemblée.
Je l'ai côtoyé lors de quelques actions comme la manifestation anti-Bolkenstein –où il portait les couleurs
d'Attac–, la Saint-Valentrain ou plus récemment le débriefing de l'enquête de la locale dont il a été un des
enquêteurs. Ces quelques moments m'ont permis d'apprécier cet homme humble et aimable, engagé dans
le combat pour un monde plus juste et solidaire.
Il m'avait confié être atteint d'une longue et pénible maladie, comme l'ont dit pudiquement. Et pudique, il
l'était à son propos et à propos de sa maladie. Il nous rejoignait en AG ou sur le terrain quand il en avait la
force. Il y a peu, il m'avait dit devoir aller, comme régulièrement, en institution se reposer et reprendre des
forces.
Ne le voyant pas revenir à nos réunions, je lui avais adressé un sms, resté sans réponse. Je ne voulais pas
plus le déranger, et supposais qu'il se reposait toujours. C'était dramatiquement vrai.
Merci Francis pour ces moments chaleureux partagés.
Au nom de la Locale, j'adresse à sa famille et à ses proches nos sincères condoléances.
Serge URBAN
Echos–Logiques Avril 2006 – 4
Procès–verbal de l’A.G.du 9 mars 2006
à l’auberge de jeunesse « Simenon »
Présent(e)s :
Vincent BUNTINX, Bogdan CHOMIK, Charles ÉLOI, Brigitte ERNST, Louis GENET, Henri GROSJEAN, Nicole HAUBERT, Bénédicte HEINDRICHS, Marc INSTALLÉ, Éric JADOT, Guy KRETTELS, Benoît LABAYE, Quentin LE BUSSY, Benoît LORENT,
Marc–Antoine MARCON, Murielle MAUER, Antonio MURILLO, Yamina MEZIANI, Serge SCORY, Gregor STANGHERLIN,
Christine TRIBOLET, Serge URBAN, Marc VANHAMEL, Marie–Louise VERLAINE, Daniel WATHELET, Jacques WÉBER,
Erwin WOOS, Yahya YAHYAOUI (28)
Excusés:
Véronique WILLEMART
1. Points divers
Néant.
2. Approbation du PV de l’AG de janvier 2006
Le PV est approuvé.
3. Approbation du PV de l’AG de février 2006
Le PV est approuvé.
4. Discussion sur nos idées maîtresses pour la campagne
Un groupe de travail « revisite » notre programme, un autre élabore quelques concept–clefs à développer dans
nos outils de campagne. C’est l’état de la question pour ce second volet de notre travail programmatique qui
est revu ici.
Les thèmes principaux sont parcourus par Bénédicte et Quentin et font à chaque fois l’objet d’un débat : comment exprimer nos, idées, quels sont les aspects à mettre en avant. Les différentes remarques seront intégrées
dans un document à approuver lors de notre prochaine AG.
Rapporteur :
Serge SCORY
In–formation continue
Sous le titre « Guillemins : la fin de la récré ! » les représentants de la Locale et de la Régionale ont
réagi aux derniers avatars des aménagements des alentours de la nouvelle gare des Guillemins.
Cette conférence de presse, donnée le 16 mars dernier, rebondissait sur les visions de Calatrava,
exposées avec beaucoup de tralala par EuroLiège–TGV. Présentation où l’absence de l’élite de nos
édiles communaux n’était pas passée inaperçue…
Vous avez pu découvrir les grandes lignes de notre intervention dans l’édito de ce bulletin. Si ce sujet vous intéresse, vous pourrez retrouver le texte complet de notre conférence de presse sur le site
Internet de la Locale : http://www.liege.ecolo.be/.
Ce n’est d’ailleurs pas le seul sujet que vous trouverez ainsi plus longuement développé sur notre
« site ». Nos réactions (« Cerexhe–Heuseux–Beaufays », 16.02.06), nos propositions (« Une politique active pour les commerçants », 10.10.05), nos réflexions (« Le temps dans la ville », 07.03.06),
autant de dossiers et d’articles que nous vous invitons à parcourir.
Nous souhaitons d’ailleurs que chaque militant et, plus encore, chaque candidat comprenne que cet
outil de communication, ainsi que le bulletin, est aussi le leur. Nous vous offrons la forme, amenez
le contenu !
Affinez vos idées, faites–vous connaître : entrez en campagne !
Le Secrétariat local
Echos–Logiques Avril 2006 – 5
Nos mandataires
Echos–Logiques
Éditeur responsable :
Serge SCORY
rue J. Hodeige 37
4030 Liège
Les conseillers communaux
En italique, les commissions où ils siègent
BENOÎT LABAYE
Chef de groupe
rue des Acacias 52, 4000 Liège
T. & F. : 04 252 11 13 – [email protected]
Bourgmestre ▲Finances, Propreté publique et
Politique immobilière ▲ État civil et Population
MADELEINE MAIRLOT
Montagne de Bueren 40, 4000 Liège
T. & F. : 04 221 45 36 – [email protected]
Urbanisme, Environnement, Tourisme et Cadre de Vie ▲Instruction publique ▲Culture,
Musées, Arts et Lettres
MESSAOUDA BARKAT
rue Dieudonné–Salme 29, 4000 Liège
T. :04 235 92 56
[email protected]
Services sociaux, Famille et Lecture publique
de proximité ▲Développement économique et
Commerce, Politique du personnel communal,
Logement urbain et Emploi ● Bourgmestre
LUC TOUSSAINT
Quai de Rome 68, 4000 Liège
T. : 0475 492 398 – [email protected]
Bourgmestre ▲Travaux et Mairies de quartier
▲Jeunesse, Sports et Logement péri-urbain
BRIGITTE ERNST
Thier de la Fontaine 49, 4000 Liège
T. : 04 223 71 73
[email protected]
Urbanisme, Environnement, Tourisme et Cadre de Vie (Présidente) ▲État civil et Population ▲Budget
ALAIN LEENS
rue Volière 23, 4000 Liège
T. : 04 223 52 11 – [email protected]
Culture, Musées, Arts et Lettres ▲Budget ▲Finances,
Propreté publique et Politique immobilière
MARC VANHAMEL
rue des Bergers 135, 4000 Liège
T. : 04 227 70 16 – [email protected]
Travaux et Mairies de quartier ▲ Développement économique et Commerce, Politique du
personnel communal, Logement urbain et Emploi ▲Jeunesse, Sports et Logement périurbain
VÉRONIQUE WILLEMART
rue Henri Maus 155, 4000 Liège
T. : 04 252 71 61 – [email protected]
Instruction publique ▲Services sociaux, Famille et Lecture publique de proximité
ECOLO
Groupe local de Liège
Secrétariat
BÉNÉDICTE HEINDRICHS
rue Naniot, 97
4000 Liège
Tél. : 0477 736 607
[email protected]
SERGE URBAN
avenue Jean–Hans, 56
4030 Grivegnée
04 341 19 36
[email protected]
SERGE SCORY (TRÉSORIER)
rue Joseph–Hodeige, 37
4030 Grivegnée
04 365 62 62
[email protected]
http://www.liege.ecolo.be/
[email protected]
Conseillers à l’aide sociale
(CPAS)
GUY KRETTELS
rue J. Lahaut 11, 4000 Liège
T. & F. : 04 225 13 55 – [email protected]
Conseillers provinciaux
THÉO BRUYÈRE
rue du Laveu 165, 4000 Liège
T. : 04 252 65 23
[email protected]
MICHÈLE MARÉCHAL–LAUMONT
rue des Acacias 46, 4000 Liège
T. : 04 254 29 60 – [email protected]
LUC CRÉMER
rue Prince de Liège 171, 4030 Liège
T. : 0485 564 007
[email protected]
Député régional
MURIELLE FRENAY
rue Lamark 97, 4000 Liège
T. : 04 227 54 02
[email protected]
BERNARD WESPHAEL
rue de la Scorre 23, 4000 Liège
T. : 04 254 07 59
[email protected]
Fax : 04 366 01 59
COTISATIONS 2006
MEMBRES
Pour être membre
d’ECOLO ? Il suffit de
s’inscrire et d’être en
ordre de cotisation !
Cotisation __________ 25 €
Cotisation réduite : moins de
23 ans, étudiants, pensionnés, chômeurs et autres allocataires sociaux ______ 12 €
LOUIS GENET
rue Saint–Gilles 318, 4000 Liège
T. : 04 223 47 70
[email protected]
Membre supplémentaire à la
même adresse _______ 12 €
Appel à candidatures
SYMPATHISANTS
Même les plus belles histoires d’amour ont parfois une fin… Le mandat de
notre Trésorier vient à échéance en mai prochain. Sa charge n’étant pas
étrangère à sa bonne humeur et à sa bonne mine légendaires, nous ne
doutons pas que vous serez nombreux à briguer ce poste !
Les candidatures motivées sont à adresser au Secrétariat local.
Cotisation ___________ 12 €
Pour la réduction ou toute
autre question liée à la
cotisation, prenez contact
avec le Trésorier local.
Par ailleurs, comme le Trésorier ne perd pas le Nord même par grand
vent, il nous signale qu’il est temps de procéder à la vérification des
comptes. Les candidatures de vérificateur desdits comptes sont également à adresser au Secrétariat local dans les plus brefs délais.
Echos–Logiques Avril 2006 – 6

Documents pareils