ÉCHOS – LOGİQUES
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ÉCHOS – LOGİQUES
ÉCHOS – LOGİQUES Mensuel, juillet & août comptant pour un seul mois ECOLO Locale de Liège En Hors–Château, 48 4000 Liège Échos–Logiques Avril 2006 – n°04 Sommaire Édito __________________1 Projets thermo–efficaces __1 Ecolo et le Standard______2 La majorité PS-CDH 2000– 2006 : un cru amélioré pour la gestion, un zéro pointé pour la participation ____________3 In memoriam ___________4 Procès–verbal de l’A.G.du 9 mars 2006 _____________5 In–formation continue_____5 Nos mandataires ________6 Appel à candidatures ____6 La prochaine Assemblée Générale locale se tiendra le jeudi 13 avril à 20 heures à l’auberge de Jeunesse « Simenon » À l’ordre du jour : Inscription des points « divers » Approbation du P.V. de l’A.G. du 9 mars 2006 Accueil de nouveaux membres Finalisation du dépliant électoral Retour du bureau Actualité politique Traitement des points divers Belgique – België PP 4000 Liège 1 9/1807 P307186 Mais qui donc dessine cette ville ? Il y a quelques semaines, EuroLiège-TGV présentait à la presse, avec force images 3D, animations et paillettes, une esquisse façon Calatrava de la future place devant la gare en construction et de ses prolongements vers la Meuse et au-delà... Une vision tout en grandeur et prestige dessinant un quartier inédit à mi-chemin entre Champs-Élysées et nulle part ! Curieux et significatif : si on trouvait, autour des responsables d'EuroLiège-TGV, des personnalités politiques fédérales ou régionales, ni le Bourgmestre de Liège ni l'échevin de l'urbanisme n'avaient été conviés à l'événement ! Cette communication pose de nombreuses questions : Le contenu du projet ne nous semble pas pouvoir répondre à l'ensemble des exigences de valorisation de la gare dans toutes ses dimensions, en particulier du point de vue de la mobilité et des liaisons train-transports en commun, mais également pour ce qui concerne la répartition des surfaces entre logement et fonctions économiques et commerciales évidemment indispensables autant pour revitaliser le quartier que pour participer au développement de la Ville. Il n'y a pas, a priori, le premier euro pour financer un tel projet. C'est loin d'être un point de détail : il n'est évidemment pas question de revivre, façon Guillemins, une saga Saint-Lambert bis où, par manque de moyens financiers, mais aussi par manque d'un projet fort et consensuel, on s'enliserait dans l'immobilisme pour trois décennies. L'oeuvre architecturale de Calatrava est certes remarquable et le souhait de la mettre en valeur est pertinent, mais la préoccupation « d'image » ne doit pas être la seule à piloter les choix urbanistiques. D'une part, la gare doit être traitée aussi comme un élément fonctionnel dans la politique de mobilité urbaine (articulation avec les transports en commun, les modes de déplacement doux...). D'autre part, les choix sociologiques, économiques... sont prioritaires. La SNCB n'a pas pour vocation d'occuper le terrain de la décision urbanistique à Liège en fonction de ses propres intérêts. Calatrava n'a pas non plus cette mission : son point de vue est forcément subjectif et limité puisqu'il n'a, de Liège, qu'une vision extérieure et esthétisante. Pour ECOLO, il est grand temps de trouver, sur le site de la gare et de ses environs, une démarche publique cohérente, éclairée et pilotée de manière incontestée. Nous pensons que c'est à la Ville de Liège d'assurer ce leadership et de prendre ainsi –enfin– l'initiative dans les choix importants conditionnant son propre devenir et celui de ces habitants. Cela suppose une coordination claire, sous la responsabilité de la Ville, de tous les intervenants publics et semi-publics, coordination telle qu'elle puisse servir de base au suivi du projet, de lieu de rencontre entre habitants, commerçants... et politiques, de point de départ de démarches réelles et ambitieuses de promotion du quartier auprès d'investisseurs potentiels. Au Collège et au Bourgmestre de prouver sans délai qu'ils ont, dans ce dossier, la vision et la carrure nécessaires pour positionner Liège à la place qui lui revient et l'ambition de se donner les moyens d'y parvenir. La reconstruction des Guillemins, c'est un test grandeur nature de la capacité de Liège à faire face aux défis qu'elle doit affronter ! Bénédicte HEINDRICHS, Secrétaire locale & Benoît LABAYE, Chef de groupe au Conseil Communal Projets thermo–efficaces « Faire plus avec moins ! » Un entrepreneur a décidé d’appliquer ce principe au travers de plusieurs projets immobiliers dans la grande région liégeoise. Ces futurs bâtiments thermo–efficaces, alliant principes bio–climatiques, domotique et isolation soignée, suscitent pourtant parfois beaucoup de remous. Est–ce le concept ? Est–ce l’homme ? Pour en avoir le cœur net et vous fournir des arguments si vous êtes interpellé sur le sujet, nous avons invité cet entrepreneur, Laurent MINGUET, à venir nous exposer tout cela, le mercredi 19 avril à 20h30 à l’Auberge de Jeunesse Simenon. Cette soirée, organisée avec la participation de la Régionale, est destinée en priorité aux militants ECOLO. Le Secrétariat local Echos–Logiques Avril 2006 – 1 ECOLO et le Standard Le 30 janvier 2006, le Conseil communal votait une convention liant la Ville et le Standard et définissant les modalités d’une subvention de 50 000 € au Standard. ECOLO fut le seul à voter contre cette convention. Certains ont cru discerner dans ce vote une prise de position anti-football ou anti-Standard. Voici pourquoi il n’en est rien. En octobre 2005, lors du vote du 2ème Cahier de Modification Budgétaire et suite à un dividende exceptionnel de l’Association Liégoise du Gaz, apparaît un poste « Protocole : frais de réception et de représentation ». Traduction : « accord Ville de LiègeStandard » : 25 000 €. Ce versement est accompagné d’une convention qui précise qu’en contrepartie la Ville de Liège obtient la possibilité de recevoir ses invités dans les logesbusiness du Standard et un dispositif publicitaire sur le stade. ECOLO et le MR expriment leur opposition. Outré, le Directeur du Standard, Pierre FRANÇOIS, refuse ce qu’il considère comme une aumône. Vexé, le Bourgmestre parle de retirer l’offre de la Ville et ne veut plus parler qu’avec le Président du CA du Standard. La presse se fait les choux gras de cette polémique. Devant ce manque de communication, j’interpelle le Collège en Conseil du 21 novembre 2005 pour exiger la tenue d’un débat sur la politique de la Ville vis–à–vis des clubs sportifs avant toute décision… d’autant plus que Liège– Basket ne reçoit aucun subside. Le Bourgmestre répond « que la communication au Conseil Communal de la politique menée par le Collège en matière de clubs sportifs aura lieu en décembre dans le cadre du budget 2006. » En commission du Bourgmestre du 12 décembre 2005 et du 25 janvier 2006, je réitère ma demande d’un débat à partir de la communication promise. Arrive donc le conseil communal du 30 janvier et la Convention avec le Standard. Cette fois, le Collège propose 50 000 € en one–shot. Certes, la nouvelle convention remplace la loge par des places pour les équipes de jeunes des clubs liégeois (« et, à défaut, du personnel communal ») mais toujours rien quand à une politique globale. Les subsides octroyés au Standard et à Liège–Basket étant une opération unique, le Directeur du Standard ne reparlera–t–il pas d’aumône l’année prochaine lorsque la Ville ne pourra plus dégager que peu d’argent ? Devant le refus de communication et de débat du Bourgmestre, la non–politique sportive de la Ville et le one–shot que constitue cette subvention, le groupe ECOLO vote contre la convention. Hasard ou provocation, un communiqué de presse du Collège du 9 février annonce, dans un chapitre « politique sportive de la Ville » une subsidiation de 23 000 € à 32 clubs sportifs et, pour faire bonne mesure, ajoute les subsides au Standard et à Liège–Basket. Les raisons de notre vote négatif à ces subsidiations restent donc pendantes : 1. Appartient-il à la Ville de subsidier des clubs sportifs professionnels, disposant d’un budget important ? Oui, si l’on prend comme exemple Charleroi qui accorde près de 10 millions d’euros à ses nombreux clubs sportifs (foot, basket, ping-pong, cyclisme…) une partie importante de cette subvention allant vers la construction et l’entretien d’infrastructures. Non si l’on considère que l’ALE, dont la ville est le plus gros actionnaire, est un sponsor principal du Standard et que la Ville engage de gros frais de sécurité (55 000 € d’heures supplémentaires police, 65 000 € de participation de la Ville au fan-coaching). 2. Pourquoi ne pas avoir subsidié les clubs de jeunes du Standard en lieu et place d’une très électoraliste location de places et un panneau publicitaire ? Pour l’anecdote, le Standard reçoit également 584 € pour ses équipes de jeunes via les 23 000 € destinés aux clubs de la Ville. 3. Quelle sera la suite de la politique de la Ville pour les grands clubs sportifs après ce one–shot de 25.000 € ? Lors de la signature de la convention, le Bourgmestre déclarait « ce n’est qu’un début et un premier stade collaboration. On le sait, la préférence de la Ville dans ce cadre va plutôt vers une politique d’action envers les jeunes. Nous soutenons la mise en place du centre de formation des jeunes que le Standard veut implanter au Bois St-Jean ». De son côté Pierre FRANCOIS insistait sur ce centre technique, destiné à la formation des jeunes, qui coûtera 12,5 millions d’euros. « J’aimerais voir la Ville s’intéresser au Bois-StJean » terminait-il. La Ville ne devrait-elle pas investir dans ces installations en synergie avec la Région wallonne et la Province ? Évidemment, cela coûterait plus cher et serait moins électoralement visible. Et si on l’avait enfin ce débat sur la politique sportive de la Ville vis-à-vis des clubs sportifs ? Ou bien on va continuer une politique à la petite semaine, sachant qu’il n’y aura plus de dividendes exceptionnels ALG ? Alain LEENS Conseiller Communal Echos–Logiques Avril 2006 – 2 La majorité PS-CDH 2000–2006 : un cru amélioré pour la gestion, un zéro pointé pour la participation Avec l’approche des élections, voici venir le temps des bilans. Il est indéniable que la gestion de notre ville a fait des progrès, ceci étant dû notamment à la situation moins déplorable des finances communales. Mais il est un point sur lequel le Collège ne s’améliore pas : le débat démocratique et la démocratie participative n’entrent décidément pas dans ses méthodes de gestion. Au Conseil communal d’octobre 2005, j’ai interpellé le Collège sur ce point. En effet, fin 2003 le Conseil communal a adopté un projet de ville qui reposait sur une méthode participative. Force est de constater que la pratique de cette méthode par le Collège pose question. La participation repose en effet sur des conditions : la première est l’information. la deuxième est le débat. la troisième est l’évaluation. Contrairement à ce que craint le Collège, la participation ne confisque pas le pouvoir, elle l’enrichit de nouvelles idées et d’une expertise différente. Le débat et les critiques ne sont pas destruceurs mais des balises vers la qualité des décisions prises. Information, débat, évaluation renforcent le sens du collectif, dont Liège a le plus grand besoin pour assurer son redéploiement d’une part, lutter contre l’extrême-droite d’autre part. Quelques exemples concrets montrent que le Collège peut mieux faire. 1. Dans plusieurs cas, les expropriations d’immeubles privés pour réalisation de projets communaux (autour de l’Emulation, de la future piscine Jonfosse) n’ont pas fait l’objet d’une information préalable et complète des occupants des immeubles concernés. Donner une échéance est un élément d’information important pour les occupants. La Ville doit également leur offrir une assistance pour retrouver un autre lieu de vie sur le territoire de la commune. 2. Le futur règlement communal d’urbanisme a été l’objet d’un examen sérieux et attentif par la CCAT à plusieurs reprises. Toutefois le Conseil communal n’a pas pu bénéficier de cette expertise : la commission générale a été convoquée seulement deux jours avant la réunion, et le règlement lui-même n’a été communiqué aux conseillers communaux que la veille. Depuis lors (rappelons que cette interpellation date d’octobre dernier) le même phénomène se reproduit avec l’aménagement du quartier des Guillemins. Interpellé à deux reprises par l’opposition (en janvier et en mars 2006), le Collège proteste de sa bonne foi, affirme qu’il consulte les acteurs de terrain, mais se propose d’informer le Conseil communal en juin prochain…quand l’étude sera terminée, et qu’il sera trop tard pour y intégrer de nouvelles propositions! Pour l’échevin de l’urbanisme, il faut éviter les « chamaille- ries » et autres « liégeoiseries » qui ont retardé notamment les décisions sur l’aménagement de la Place St Lambert. Rappelons toutefois que si on ne s’était pas « chamaillé » comme il dit, on aurait aujourd’hui droit à une autoroute urbaine reliant Burenville à Droixhe…Dans des dossiers d’aménagement aussi déterminants sur la structuration d’une ville, le temps du débat et de la réflexion n’est jamais du temps perdu ! 3. L’attribution de la subvention communale pour des projets de développement. Les membres de la Commission consultative Solidarité Liège Tiers Monde ont été informés par la convocation à la réunion de septembre 2005 d’un changement de leur rôle dans cette procédure. Ils n’ont pas été consultés au préalable. Quel que soit le bien-fondé éventuel de la décision du Collège, il n’en reste pas moins que cette façon de procéder est démobilisatrice pour les participants qui n’ont pas eu voix au chapitre. Depuis lors, la Commission ne s’est plus réunie et, sans une initiative du pouvoir communal, cet outil de dialogue, de sensibilisation et d’action avec les associations liégeoises impliquées dans les enjeux Nord-Sud va mourir à petit feu, après 20 ans d’activités... 4. L’ASBL Action Environnement est une ASBL paracommunale qui ne s’est réunie que 3 fois en 3 ans, en octobre 2003, en octobre 2005 et depuis lors en janvier 2006. Difficile dans ces conditions de pouvoir jouer un rôle, au minimum de Echos–Logiques Avril 2006 – 3 contrôle, idéalement de proposition quant au respect de ses missions de service au public. utilisés par le Collège. La transparence, l’information, bref la démocratie, cela leur fait si peur ? Voici quatre exemples de situations auxquelles je demandais au Collège de remédier par quelques mesures concrètes : veiller à organiser le débat le plus large et le plus complet possible sur des questions qui engagent la Ville à long terme, comme c’est le cas pour le règlement communal d’urbanisme ou l’aménagement du quartier des Guillemins. améliorer l’information des citoyens, des associations et des conseillers communaux par rapport à ses décisions, leur contexte, leurs motivations. Le Collège dispose pour ce faire, outre les media, d’un site web et de la possibilité de transmettre par courrier électronique toute une série d’informations. Par exemple, les conseillers communaux pourraient ainsi recevoir tous les procès verbaux des commissions consultatives. Il n’en coûterait à la ville que le temps d’un « clic » …. Ces outils informatiques sont dramatiquement sous- procéder à l’évaluation périodique et publique des objectifs du projet de ville (nous en avons parlé au Conseil communal depuis lors, mais cela est une autre histoire –tout aussi décevante hélas– dont je vous parlerai dans un prochain Echos–Logiques !) oreille. Pour eux, c’est la majorité qui décide, et l’opposition, les associations et les « chers administrés » ont juste le droit d’apprendre de la bouche des édiles le contenu des décisions qu’ils ont prises « pour notre plus grand bien ». Avec ce despotisme éclairé, le débat démocratique et la participation citoyenne ne trouvent guère leur compte. Ces « liégeoiseries »-là nous paraîtraient bien utiles pourtant…. Vous avez vécu d’autres expériences, entendu d’autres exemples du même acabit ici à Liège ? Signalez-les nous ! Cela nous permettra d’enrichir notre cahier de doléances et de faire changer les choses pour la prochaine législature communale ! La réponse du Collège a été plus que décevante : manifestement, ni DEMEYER, ni FIRKET ne l’entendent de cette Brigitte ERNST Conseillère communale In memoriam C'est avec émotion que le Secrétariat local a appris au détour de la manifestation de Vottem la triste nouvelle du décès de Francis JACQUES, membre de longue date de notre assemblée. Je l'ai côtoyé lors de quelques actions comme la manifestation anti-Bolkenstein –où il portait les couleurs d'Attac–, la Saint-Valentrain ou plus récemment le débriefing de l'enquête de la locale dont il a été un des enquêteurs. Ces quelques moments m'ont permis d'apprécier cet homme humble et aimable, engagé dans le combat pour un monde plus juste et solidaire. Il m'avait confié être atteint d'une longue et pénible maladie, comme l'ont dit pudiquement. Et pudique, il l'était à son propos et à propos de sa maladie. Il nous rejoignait en AG ou sur le terrain quand il en avait la force. Il y a peu, il m'avait dit devoir aller, comme régulièrement, en institution se reposer et reprendre des forces. Ne le voyant pas revenir à nos réunions, je lui avais adressé un sms, resté sans réponse. Je ne voulais pas plus le déranger, et supposais qu'il se reposait toujours. C'était dramatiquement vrai. Merci Francis pour ces moments chaleureux partagés. Au nom de la Locale, j'adresse à sa famille et à ses proches nos sincères condoléances. Serge URBAN Echos–Logiques Avril 2006 – 4 Procès–verbal de l’A.G.du 9 mars 2006 à l’auberge de jeunesse « Simenon » Présent(e)s : Vincent BUNTINX, Bogdan CHOMIK, Charles ÉLOI, Brigitte ERNST, Louis GENET, Henri GROSJEAN, Nicole HAUBERT, Bénédicte HEINDRICHS, Marc INSTALLÉ, Éric JADOT, Guy KRETTELS, Benoît LABAYE, Quentin LE BUSSY, Benoît LORENT, Marc–Antoine MARCON, Murielle MAUER, Antonio MURILLO, Yamina MEZIANI, Serge SCORY, Gregor STANGHERLIN, Christine TRIBOLET, Serge URBAN, Marc VANHAMEL, Marie–Louise VERLAINE, Daniel WATHELET, Jacques WÉBER, Erwin WOOS, Yahya YAHYAOUI (28) Excusés: Véronique WILLEMART 1. Points divers Néant. 2. Approbation du PV de l’AG de janvier 2006 Le PV est approuvé. 3. Approbation du PV de l’AG de février 2006 Le PV est approuvé. 4. Discussion sur nos idées maîtresses pour la campagne Un groupe de travail « revisite » notre programme, un autre élabore quelques concept–clefs à développer dans nos outils de campagne. C’est l’état de la question pour ce second volet de notre travail programmatique qui est revu ici. Les thèmes principaux sont parcourus par Bénédicte et Quentin et font à chaque fois l’objet d’un débat : comment exprimer nos, idées, quels sont les aspects à mettre en avant. Les différentes remarques seront intégrées dans un document à approuver lors de notre prochaine AG. Rapporteur : Serge SCORY In–formation continue Sous le titre « Guillemins : la fin de la récré ! » les représentants de la Locale et de la Régionale ont réagi aux derniers avatars des aménagements des alentours de la nouvelle gare des Guillemins. Cette conférence de presse, donnée le 16 mars dernier, rebondissait sur les visions de Calatrava, exposées avec beaucoup de tralala par EuroLiège–TGV. Présentation où l’absence de l’élite de nos édiles communaux n’était pas passée inaperçue… Vous avez pu découvrir les grandes lignes de notre intervention dans l’édito de ce bulletin. Si ce sujet vous intéresse, vous pourrez retrouver le texte complet de notre conférence de presse sur le site Internet de la Locale : http://www.liege.ecolo.be/. Ce n’est d’ailleurs pas le seul sujet que vous trouverez ainsi plus longuement développé sur notre « site ». Nos réactions (« Cerexhe–Heuseux–Beaufays », 16.02.06), nos propositions (« Une politique active pour les commerçants », 10.10.05), nos réflexions (« Le temps dans la ville », 07.03.06), autant de dossiers et d’articles que nous vous invitons à parcourir. Nous souhaitons d’ailleurs que chaque militant et, plus encore, chaque candidat comprenne que cet outil de communication, ainsi que le bulletin, est aussi le leur. Nous vous offrons la forme, amenez le contenu ! Affinez vos idées, faites–vous connaître : entrez en campagne ! Le Secrétariat local Echos–Logiques Avril 2006 – 5 Nos mandataires Echos–Logiques Éditeur responsable : Serge SCORY rue J. Hodeige 37 4030 Liège Les conseillers communaux En italique, les commissions où ils siègent BENOÎT LABAYE Chef de groupe rue des Acacias 52, 4000 Liège T. & F. : 04 252 11 13 – [email protected] Bourgmestre ▲Finances, Propreté publique et Politique immobilière ▲ État civil et Population MADELEINE MAIRLOT Montagne de Bueren 40, 4000 Liège T. & F. : 04 221 45 36 – [email protected] Urbanisme, Environnement, Tourisme et Cadre de Vie ▲Instruction publique ▲Culture, Musées, Arts et Lettres MESSAOUDA BARKAT rue Dieudonné–Salme 29, 4000 Liège T. :04 235 92 56 [email protected] Services sociaux, Famille et Lecture publique de proximité ▲Développement économique et Commerce, Politique du personnel communal, Logement urbain et Emploi ● Bourgmestre LUC TOUSSAINT Quai de Rome 68, 4000 Liège T. : 0475 492 398 – [email protected] Bourgmestre ▲Travaux et Mairies de quartier ▲Jeunesse, Sports et Logement péri-urbain BRIGITTE ERNST Thier de la Fontaine 49, 4000 Liège T. : 04 223 71 73 [email protected] Urbanisme, Environnement, Tourisme et Cadre de Vie (Présidente) ▲État civil et Population ▲Budget ALAIN LEENS rue Volière 23, 4000 Liège T. : 04 223 52 11 – [email protected] Culture, Musées, Arts et Lettres ▲Budget ▲Finances, Propreté publique et Politique immobilière MARC VANHAMEL rue des Bergers 135, 4000 Liège T. : 04 227 70 16 – [email protected] Travaux et Mairies de quartier ▲ Développement économique et Commerce, Politique du personnel communal, Logement urbain et Emploi ▲Jeunesse, Sports et Logement périurbain VÉRONIQUE WILLEMART rue Henri Maus 155, 4000 Liège T. : 04 252 71 61 – [email protected] Instruction publique ▲Services sociaux, Famille et Lecture publique de proximité ECOLO Groupe local de Liège Secrétariat BÉNÉDICTE HEINDRICHS rue Naniot, 97 4000 Liège Tél. : 0477 736 607 [email protected] SERGE URBAN avenue Jean–Hans, 56 4030 Grivegnée 04 341 19 36 [email protected] SERGE SCORY (TRÉSORIER) rue Joseph–Hodeige, 37 4030 Grivegnée 04 365 62 62 [email protected] http://www.liege.ecolo.be/ [email protected] Conseillers à l’aide sociale (CPAS) GUY KRETTELS rue J. Lahaut 11, 4000 Liège T. & F. : 04 225 13 55 – [email protected] Conseillers provinciaux THÉO BRUYÈRE rue du Laveu 165, 4000 Liège T. : 04 252 65 23 [email protected] MICHÈLE MARÉCHAL–LAUMONT rue des Acacias 46, 4000 Liège T. : 04 254 29 60 – [email protected] LUC CRÉMER rue Prince de Liège 171, 4030 Liège T. : 0485 564 007 [email protected] Député régional MURIELLE FRENAY rue Lamark 97, 4000 Liège T. : 04 227 54 02 [email protected] BERNARD WESPHAEL rue de la Scorre 23, 4000 Liège T. : 04 254 07 59 [email protected] Fax : 04 366 01 59 COTISATIONS 2006 MEMBRES Pour être membre d’ECOLO ? Il suffit de s’inscrire et d’être en ordre de cotisation ! Cotisation __________ 25 € Cotisation réduite : moins de 23 ans, étudiants, pensionnés, chômeurs et autres allocataires sociaux ______ 12 € LOUIS GENET rue Saint–Gilles 318, 4000 Liège T. : 04 223 47 70 [email protected] Membre supplémentaire à la même adresse _______ 12 € Appel à candidatures SYMPATHISANTS Même les plus belles histoires d’amour ont parfois une fin… Le mandat de notre Trésorier vient à échéance en mai prochain. Sa charge n’étant pas étrangère à sa bonne humeur et à sa bonne mine légendaires, nous ne doutons pas que vous serez nombreux à briguer ce poste ! Les candidatures motivées sont à adresser au Secrétariat local. Cotisation ___________ 12 € Pour la réduction ou toute autre question liée à la cotisation, prenez contact avec le Trésorier local. Par ailleurs, comme le Trésorier ne perd pas le Nord même par grand vent, il nous signale qu’il est temps de procéder à la vérification des comptes. Les candidatures de vérificateur desdits comptes sont également à adresser au Secrétariat local dans les plus brefs délais. Echos–Logiques Avril 2006 – 6