Domotique : OpenRemote veut contrôler une maison avec un

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Domotique : OpenRemote veut contrôler une maison avec un
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 09
0 9 /1 7
27 Avril 2009
La pensée de la semaine
La connaissance est en elleelle-même puissance.
Francis Bacon
Domotique : OpenRemote veut contrôler une maison avec un iPhone
URL : http://www.businessmobile.fr/actualites/technologies/0,39044306,39392491,00.htm
Le projet Open Source, OpenRemote, travaille à la conception de logiciels domotiques. Les actions de gestion peuvent
être réalisées en natif sur un iPhone ou un iPod Touch, mais aussi depuis une interface Web.
Le projet Open Source OpenRemote, sur lequel travaillent notamment Marc Fleury (ex-patron de JBoss) et Mark Spencer (Digium), vise à
mettre au point une application dans le domaine de la domotique.
La finalité du projet est de pouvoir contrôler depuis un iPhone ou un iPod Touch différents systèmes dans une maison, comme l'éclairage,
des caméras IP ou le chauffage. Technologie pourtant propriétaire, l'iPhone a été retenu, d'après le site OpenRemote, pour la qualité de
son interface utilisateur et les capacités de son SDK qui en font une télécommande universelle toute désignée.
Après l'iPhone, les smartphones sous Android ? Avec l'arrivée d'Android et des premiers téléphones équipés de l'OS Open Source,
il n'est pas exclu qu'OpenRemote s'oriente également à l'avenir sur cette plate-forme. Les utilisateurs peuvent en outre, s'ils ne disposent
pas d'un terminal Apple, recourir à une application Web (accessible donc sur tout téléphone accédant au Web).
Pour le moment, la communauté OpenRemote se concentre sur l'élaboration de son premier prototype. Il repose donc sur un logiciel
installé sur un iPhone et envoyant en Wi-Fi des commandes vers l'OpenRemote Box (ORB). Cette ORB peut se décrire comme une Box
Internet qui comprend donc matériel et logiciel, et est chargée de router les commandes vers différents appareils connectés.
Le prototype supportera prochainement les protocoles de communication X10 et KNX, deux standards.
The Carbon Footprint of Email Spam
Spam Report
http://img.en25.com/Web/McAfee/CarbonFootprint_12pg_web_REV_NA.pdf
• An estimated worldwide total of 62 trillion spam emails were sent in 2008
• Globally, annual spam energy use totals 33 billion kilowatt-hours (KWh), or 33 terawatt hours (TWh). That’s equivalent to the electricity
used in 2.4 million homes in the United States, with the same GHG emissions as 3.1 million passenger cars using two billion United States
gallons of gasoline
• Spam filtering saves 135 TWh of electricity per year. That’s like taking 13 million cars off the road
• If every inbox were protected by a state-of-theart spam filter, organizations and individuals could reduce today’s spam energy by
approximately 75 percent or 25 TWh per year. That’s equivalent to taking 2.3 million cars off the road
• The average GHG emission associated with a single spam message is 0.3 grams of CO2. That’s like driving three feet (one meter) in
equivalent emissions, but when multiplied by the annual volume of spam, it’s like driving around the Earth 1.6 million times
A year’s email at a typical medium-size business uses 50,000 KWh; more than one fifth of that annual use can be associated with spam
• Filtering spam is beneficial, but fighting spam at the source is even better. When McColo, a major source of online spam, was taken
offline in late 2008, the energy saved in the ensuing lull — before spammers rebuilt their sending capacity — equated to taking 2.2
million cars off the road
• Much of the energy consumption associated with spam (52 percent) comes from end-users deleting spam and searching for legitimate
email (false positives). Spam filtering accounts for just 16 percent of spam-related energy use
Google Maps : ajout d'un layer webcams
http://www.generation-nt.com/google-maps-webcam-actualite-264891.html
Google Maps complète son arsenal de fonctionnalités avec une nouvelle couche d'informations glanées via des webcams.
Le service en ligne de cartographie de Google propose une nouvelle couche
d'informations. Dans le menu Extras, une entrée Webcams a fait son apparition aux
côtés de Photos, Vidéos et Wikipédia. Comme son nom l'indique, le layer Webcams
propose les vues... webcams de divers endroits de la planète agrégées par le site
Webcams.travel, soit plus de 9 100 webcams dites touristiques du monde entier.
La plupart des clichés affichés bénéficient d'un taux rafraîchissement de 15 minutes
(pas de vidéo). Un clic sur l'image proposée renvoie sur Webcams.travel où un
deuxième clic donne accès au flux webcam pour plus de temps réel.
Rappelons que depuis peu, Google Maps affiche le trafic routier en France (bouton
Trafic à gauche d'Extras). On peut se demander ce que nous réserve dorénavant
Google Maps mais il n'est pas obligatoire de surcharger une carte avec toutes ces
informations.
IBM prépare une puce 28 nanomètres économe en énergie
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39392647,00.htm?xtor=EPR-101
En partenariat avec des spécialistes des semi-conducteurs, IBM travaille à la conception
électrique. Intel et AMD ne sont en effet pas les seuls à se battre sur le terrain de la finesse
Toutefois, parmi les partenaires du projet, IBM pourra compter sur GlobalFoundries, l'entité
activités de production. Sont également associés à l'élaboration de cette puce de
Manufacturing, Infineon, Samsung Electronics et STMicroelectronics.
de puces de 28 nm, à faible consommation
de gravure des microprocesseurs.
créée par AMD et qui regroupe désormais ses
28 nanomètres, Chartered Semiconductor
Ces entreprises se connaissent bien puisqu'elles ont déjà collaboré à la conception d'une puce de 32 nm. L'objectif du projet est de
mettre au point une puce pour les appareils mobiles comme les téléphones ou lecteurs multimédias, des terminaux pour lesquels la
consommation électrique est un critère important.
Selon les résultats communiqués par le consortium d'industriels, les prototypes permettent une baisse de la consommation en énergie de
20%, pour des performances améliorées de 40%. Aucune date de commercialisation n'a pour l'instant été annoncée. Intel devrait être le
premier à lancer cette année des puces à 32 nanomètres.
Steve Jobs Still Calls Shots at Apple: Report
http://www.internetnews.com/breakingnews/article.php/3814966/Steve+Jobs+Still+Calls+Shots+at+Apple+Report.htm
Despite being on official medical leave, Jobs maintains a tight grip on design and strategy decisions.
More than three months into a medical leave from Apple, CEO Steve Jobs remains closely involved in key aspects of running the
company, the Wall Street Journal reported Saturday, citing people familiar with the matter.
Chief Operating Officer Tim Cook runs the day-to-day operations, but Jobs has continued to work on the company's most important
strategies and products from home, the newspaper said in a story on its Web site.
He regularly reviews products and product plans, and was particularly involved in the user interface of the new iPhone operating system
that Apple unveiled last month, the Journal said. Jobs, an Apple co-founder who is considered the company's creative leader, is also
involved in the development of future projects, the paper said, citing people with knowledge of the company's strategy.
Jobs, 54, who was treated in 2004 for a rare form of pancreatic cancer, took a medical leave in early January, saying he would return in
June and would remain involved in "major strategic decisions while I am out."
But he has made no public appearances or statements since then, and it has been unclear just how involved he continued to be.
Jobs didn't respond to requests for comment, the paper said. Apple spokesman Steve Dowling told the Journal: "Steve continues to look
forward to returning to Apple at the end of June."
Apple stock has suffered since last summer on speculation about his condition.
FauxFaux-amis sur Twitter
http://www.france-info.com/spip.php?article280121&theme=81&sous_theme=109
C’est la grande tendance en ce moment : des petits rigolos créent de faux profils avec les noms de vraies personnalités sur le réseau
social Twitter - ce site qui permet d’envoyer des mini-message à plusieurs centaines de personnes à la fois. On trouve ainsi sur Twitter un
faux François Fillon qui s’épanche sur la politique ou un faux Pierre Gadonneix, le PDG d’EDF, plus cynique que jamais à propos
l’espionnage de Greenpeace. C’est drôle mais c’est de l’usurpation d’identité. Cependant, cette pratique bénéficie d’un vide juridique qui
ne permet pas de poursuivre les internautes se cachant derrière ces faux-peoples. Le seul risque est donc de prendre pour argent
comptant tout ce qu’on lit sur Twitter… On s’y perd d’autant qu’il existe aussi de vrais profils de personnalités sur Twitter comme, par
exemple, Nathalie Kosiusko Morizet. Pas facile de s’y retrouver...
AlcatelAlcatel-Lucent passe à Linux !
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/04/17/alcatel_lucent_passe_a_linux__
L’OS de la compagnie va abandonner sa base VxWorks au profit d’une version embarquée de Linux
Le géant du monde des réseaux Alcatel-Lucent compte abandonner VxWorks pour Linux au sein d’AOS (Alcatel-Lucent Operating
System). Selon nos confrères d’InternetNews.com, le basculement s’effectuerait en début d’année prochaine. Bon point, ce changement
sera transparent pour les utilisateurs.
Minka Nikolova, senior product manager chez Alcatel-Lucent a confié que « des logiciels intéressants sont disponibles sous Linux. Nous
pourrons ainsi intégrer de nombreux nouveaux paquetages dans nos switchs. VxWorks est ancien et n’évolue pas très rapidement. Les
paquets fournis avec cet OS ne sont plus vraiment récents. Aujourd’hui, tout le monde se dirige vers Linux. »
Pour la firme, l’adoption de Linux permettra d’augmenter le nombre de paquetages logiciels disponibles pour ses produits réseau. Elle
profitera de l’importante dynamique des logiciels libres. Évidemment, c’est un coup dur pour VxWorks, qui perd ici un marché important.
L’adoption de Linux par le constructeur est une nouvelle victoire de taille pour les logiciels libres, qui investissent aujourd’hui
presque toute l’industrie. Au final, il n’y a plus guère que dans les PC et les stations de travail classiques (ainsi que dans certains serveurs
et le monde de la téléphonie mobile) que Linux tarde à s’imposer. Cependant, même sur ces marchés, sa montée est rapide et
constante… bref, irrésistible.
Oracle rachète Sun pour 7,4 Md$
http://www.lemagit.fr/article/sun-oracle-fusion/3068/1/oracle-rachete-sun-pour/
Alors que l’éventualité d’un rachat de Sun par IBM a alimenté les rumeurs pendant les dernières semaines, c’est finalement Oracle qui
s’offre le créateur de Java. Cette technologie constitue d’ailleurs l’une des principales motivations pour cette opération : dans un
communiqué, Oracle indique ainsi s’intéresser tout particulièrement à Java, mais aussi à Solaris, l’Unix de Sun ; l’acquéreur rappelle ainsi
que son middleware Fusion est basé sur Java et que Solaris se distingue comme « plateforme leader pour les bases de données Oracle. »
Dans les deux cas, Oracle insiste sur les perspectives d’optimisation pour ses applications.
Aux termes de l’accord, Oracle paiera 9,5 $ par action Sun, valorisant l’entreprise à 7,4 Md$. L’acquisition doit être finalisée dans le
courant de l’été.
TRIBUNE: Oracle sort de son terrain de jeu... L'achat de Sun,défensif?
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/04/21/tribune__oracle_sort_de_son_terrain_de_jeu____l_achat_de_sun_defensif_
Il est rare qu'un acteur sorte de son terrain de jeu : Oracle éditeur de logiciel devient constructeur !
Pour qu'un acteur de ce rang change à ce point, il lui faut un motif profond ! C'est donc plutôt un achat défensif ! Ou alors, le pan
constructeur de Sun sera fermé ou revendu plus tard ?...
Dans le haut de gamme Unix, Oracle (pour son SGBD source de revenus) craignait l'achat de Sun par IBM : il ne voulait pas se retrouver
coincé entre IBM (qui a DB2) et HP. En rachetant Sun, il prend la main...au risque de faire fuir HP pour qui désormais DB2 et Oracle sont
des concurrents sur le hardware.
Notons aussi qu'Oracle travaille bien avec Linux : ce rachat signe peut être la mort de Solaris x-86 (mais n'était-il pas déjà mort ?)
Autre question à se poser: Oracle saura-t-il s'accommoder de MySQL ? La stratégie open source d'Oracle a toujours été un appoint (tout
comme pour le cloud) Sun doit également faire évoluer ses processeurs (Rock, Ultrasparc...). Or, on voit mal Oracle rester pertinent sur
ce sujet ! C'est un vrai point d'inquiétude !
Et comment se déroulera le rapprochement entre Oracle et Storagetek ? là encore le mariage va être très difficile ! Ou, là encore, une
future revente est-elle à prévoir (à IBM ? ou EMC ?) ?
Bref, on peut également s'interroger sur divers points:
- les clients grands comptes de Sun doivent être beaucoup moins rassurés que si IBM avait fait cette acquisition.
- Scott McNeally (chairman, fondateur) n'acceptait pas le rachat par un concurrent historique...il accepte un rachat par un partenaire.
- la culture "I love my technology only and use it everywhere" est partagée par les deux sociétés. Donc, à voir !
Décisionnel : changement de structure tarifaire pour SAPSAP-BO, pour développer les usages
http://www.lemagit.fr/article/sap-bo-decisionel-bi-tarification/3060/1/decisionnel-changement-structure-tarifaire-pour-sap-pour-developper-les-usages/
Visiblement, SAP-BO va changer la structure tarifaire de son offre pour grands comptes. A pas comptés, puisque peu
d’information filtre pour l'instant. Seuls quelques spécialistes du sujet ont eu accès aux premiers détails. Si la photo
reste floue, la tendance apparaît globalement positive pour les utilisateurs. Les types d’usage sont simplifiés,
l’intégration à SAP est amélioré, et la grille des prix devrait être simplifiée.
Un changement - discret - de politique tarifaire est à l’œuvre chez Business Objects, nous apprend Cindi Howson, experte en décisionnel
et fondatrice de BIScorecard, un site d’information et de banc d’essai sur les applications de BI. Depuis le 16 avril, SAP a décidé de
simplifier le modèle tarifaire de sa filiale pour le rapprocher de celui pratiqué sur son ERP. Pour l’instant les changements n’affecteraient
que l’offre pour grands comptes, les gammes destinées aux PME – les offres Crystal, Xcelsius ou la plate-forme complète Edge Series ayant déjà été clarifiées. Selon Cindi Howson, « dans la nouvelle formule de tarifs, les clients paieront une licence nominative pour un ou
deux rôles ». Le premier d’entre eux permet simplement de remonter des informations (« view and explore »). Il intègre le système de
recherche Polestar et la couche d’intégration Live Office pour Excel. Le second, plus complet, permet également l’exploitation de ces
données (« design and analyze »). Ce format s’ajoute à un forfait serveur qui inclut dorénavant tous les services de connexion associés à
la plate-forme : Polestar, Oracle E-Business Suite adaptors, PeopleSoft integration etc…
Démocratiser les fonctions de tableau de bord
Interrogé par Cindi Howson, Franz Aman - VP du marketing produits chez SAP - explique également que la nouvelle politique tarifaire est
également mise en place pour faciliter l’accès par l’ensemble de l’entreprise à la valeur du décisionnel en proposant un rôle – view and
explore – à coût réduit. « View and explore » sera d’ailleurs également intégré en natif dans les licences ERP de SAP.
La stratégie est donc relativement claire : en proposant une approche simplifiée et plus facilement intégrée avec un premier prix attractif,
SAP cherche à capitaliser sur sa base installée pour y imposer peu à peu BO. Reste que pour l’instant si le modèle est établi, aucun tarif
n’est communiqué. Difficile donc de savoir dans quels cas le nouveau système sera réellement plus avantageux que le précédent pour les
budgets des DSI. Dans tous les cas, il s'annonce plus simple et devrait permettre, si le coût d’accès bas du niveau « view and explore »
était confirmé, d’optimiser le nombre d’utilisateurs dans les comptes d’ores et déjà conquis.
Google Phone : Orange travaillerait sur sa propre interface pour Android
http://www.mobinaute.com/271552-orange-travaillerait-propre-interface-android.html
Non content d'avoir grillé la politesse à SFR en commercialisant les premiers smartphones Android sur le marché français, Orange
travaillerait également sur une nouvelle interface logicielle réservée à ses seuls clients.
Selon le webzine PointGphone relayant un 'mystérieux informateur', cette interface serait développée depuis près d'un an par les équipes
chinoises d'Orange Labs, basées à Pékin, et pourrait être lancée dans les prochaines semaines en même temps que des « applications à
valeur ajoutée » aux couleurs de l'opérateur. Même s'il est peu probable que cette interface soit disponible lors de la prochaine mise à
jour du HTC Dream, un smartphone n'étant pas équipé de la dernière version du système Google Android, cette interface témoignerait de
l'engagement d'Orange dans les « Google Phones », des smartphones visiblement nettement plus ouverts que ne l'est l'iPhone dont
l'interface et les principales applications restent sous le contrôle d'Apple.
On notera enfin qu'Orange n'est pas le seul opérateur à vouloir customiser Android. Selon Digitimes, le géant chinois China Mobile devrait
lancer début mai son 'oPhone', un smartphone sous Google Android, fabriqué par LG et Lenovo, et dont l'interface graphique baptisée
OMS (Open Mobile System) devrait être très proche de celle de l'iPhone.
Comment simplifier les logiciels open source sans fâcher la communauté?
communauté?
http://pro.01net.com/editorial/501239/comment-simplifier-les-logiciels-open-source-sans-facher-la-communaute/
Dans une récente interview Mark Shuttleworth, fondateur d'Ubuntu, la distribution GNU/Linux qui a le vent en poupe, déclarait à nouveau
vouloir faire de Linux un logiciel beau et très facile à utiliser. En deux mots : concurrencer Apple. C'est un défi qui mérite d'être relevé si
on veut voir Linux gagner en adoption et concurrencer Windows et Mac OS X.
Mais l'élégance et la simplicité recherchées ne sont pas compatibles avec la profusion de fonctions. Comme le précise Mark Shuttleworth,
« nous sommes habitués à ce que chaque version apporte quelque chose, plus d'options, plus de fonctions. C'est pourquoi il était
important de s'attaquer à un projet dont le design impliquait de retirer quelque chose. »
L'open source encourage la profusion de fonctions
Mark Shuttleworth a tout à fait raison de préciser que cette approche est sujet à controverse et ce pour plusieurs raisons. Déjà, comme il
l'indique, parce que l'utilisateur est habitué à ce que chaque version rajoute des possibilités. Mais dans le domaine du logiciel libre, les
choses sont plus compliquées encore :
1) Les développeurs de la communauté sont bien plus familiers avec le logiciel que les utilisateurs. Leur connaissance du sujet fait qu'ils
s'accommodent de bizarreries dans le fonctionnement du programme qui rebutent le non-informaticien. A ce titre, ils ont souvent du mal
à percevoir le besoin de simplicité des utilisateurs ordinaires.
2) De façon générale, la plupart des développeurs ont un avis tranché sur ce qui doit figurer ou pas dans l'interface utilisateur.
3) Alors que les projets libres cherchent à attirer des contributeurs, il est tentant d'accepter toute contribution car elle encourage les
développeurs à continuer à participer. A cela s'ajoute le fait que chaque contributeur ressent une légitime fierté de savoir qu'une partie
du code est son œuvre et cet attachement est d'autant plus fort quand la fonction est visible dans l'interface utilisateur.
En résumé, tout concourt à rajouter sans cesse de nouvelles possibilités et de nouveaux boutons dans le logiciel libre. Mais
en ne cherchant pas à contrer ces tendances, on risque de se retrouver avec des logiciels certes puissants, mais avec des interfaces
touffues et donc trop difficiles d'abord pour les utilisateurs ordinaires.
De fortes tensions à l'horizon La démarche de Mark Shuttleworth est courageuse, à défaut d'être facile. Mais elle laisse présager de
fortes tensions au sein de la communauté. On peut établir un parallèle entre Ubuntu et le projet Mozilla, qui est déjà passé par là. En
effet, avant de rencontrer le succès avec Firefox, Mozilla avait passé de longues années à produire une « suite Internet » appelée Mozilla
Suite, qui avait rencontré un succès d'estime. Ca n'est qu'en simplifiant la base de code pour faire un navigateur « pour tout le monde »
(Firefox) que le succès à grande échelle est arrivé, en multipliant par 100 le nombre d'utilisateurs actifs (de quelques millions pour la
suite Mozilla en 2004 à 250 millions aujourd'hui pour Firefox).
Au sein de la communauté Mozilla, le projet Firefox était mal compris, mal perçu, rencontrant parfois même l'hostilité. Son succès avant
même son lancement a fait que l'enthousiasme à son égard a vite remplacé le dédain. Pourtant, cinq ans plus tard, un projet appelé
SeaMonkey porté par des bénévoles continue de faire vivre la suite Mozilla.
Pour en revenir à Linux, on peut imaginer qu'une nouvelle variante d'Ubuntu soit publiée à l'avenir, en plus de celles qui existent, dont
Kubuntu, Edubuntu et Xubuntu. Elle intégrerait les progrès en termes de simplicité et d'interface utilisateur avant de devenir le produit
phare de la gamme Ubuntu. C'est tout ce qu'on peut lui souhaiter : en gagnant en parts de marché sur l'ordinateur personnel, Linux
pourrait devenir incontournable et ainsi forcer les éditeurs propriétaires à baisser leurs prix, comme on l'a vu sur le marché des netbooks.
Windows 7 : la RC disponible à partir du 5 mai prochain
http://www.vnunet.fr/news/windows_7_la_rc_disponible_a_partir_du_5_mai_prochain-2030616
Histoire de titiller les abonnés à MSDN et TechNet, Microsoft leur a permis de télécharger la Release Candidate pendant quelques heures.
A l’image de son concurrent Apple, Microsoft a appris à faire saliver ses utilisateurs. L’éditeur vient en effet d’annoncer sur son site dédié
aux partenaires la date de sortie de la RC (Release Candidate), la version quasi-finalisée de Windows 7, l’OS remplaçant de Vista. Ce sera
le 5 mai prochain. Cette RC est le prélude de la version finale et commercialisable, la Release To Manufacturing (RTM).
"Partenaires : si vous êtes abonnés MSDN ou TechNet, vous pouvez télécharger Windows 7 RC maintenant. (…) Sinon, vous pouvez
télécharger cette version à partir du 5 mai prochain", indiquait Microsoft sur une page de son site Partner Program, aujourd'hui disparue.
Si l’éditeur a dévoilé la date de sortie, pendant seulement quelques heures, les abonnés de MSDN et Technet ont ainsi pu télécharger la
RC, avant la suppression du lien. Rappelons qu’en janvier dernier, Microsoft avait déjà mis à disposition du public une version bêta.
La version commerciale de Windows 7 devrait être proposée début 2010. La RTM devrait quant à elle sortir en janvier de l’année
prochaine. Cette dernière date n’a pour le moment fait l’objet d’aucune confirmation.
Des recherches Google préparent le futur des captchas
http://www.webmarketing-com.com/2009/04/20/3636-des-recherches-google-preparent-le-futur-des-captchas
Qui ne s’est jamais énervé devant un captcha tellement illisible qu’il est impossible de valider le formulaire… Google réalise actuellement
des recherches pour rendre le captcha plus intuitif. Une étude a été réalisée autour d’un nouveau système demandant d’orienter une
image correctement plutôt que de taper un texte vu sur une image…
Des tests pour obtenir un captcha idéal… Le principe deux images, la deuxième dans
le bon sens et la première à réorienter par l’utilisateur pour valider le formulaire. Plusieurs
tests ont été effectués via trois catégories principales d’images. Sur le premier type avec des
images de personnes, l’orientation est facile pour un humain mais également pour un robot
qui utiliserait un système de détection de visage. Le deuxième type avec des images
d’animaux est l’idéal puisqu’un humain va résoudre le problème rapidement alors qu’un
robot en sera incapable. Enfin le dernier exemple n’est pas adéquate car un humain aura
des difficultés à remettre dans la bonne position ce genre d’image.
Pour obtenir un captcha idéal, Google a fait des tests avec un large éventail d’images. Suite à ces tests, toutes les images ayant été bien
orientées par un simple robot ont été supprimées. La sélection a ensuite été testée auprès d’humains pour ne garder que les images
facilement identifiable par l’homme et non par le robot.
Un captcha ne faisant tout de même pas l’unanimité… Ce nouveau type de captcha est beaucoup plus agréable qu’un captcha
basé sur la reconnaissance de texte. Malgré cela lors des tests, seuls 68.75% des utilisateurs ont préféré ce dernier. 31.25% préfère la
reconnaissance de texte, sûrement par habitude.
Leisure Suit Larry de retour dans les navigateurs Web
http://www.01net.com/editorial/501254/leisure-suit-larry-de-retour-dans-les-navigateurs-web/
Les nostalgiques des jeux vidéo des années 80 sur Commodore ou Sinclair vont apprécier. Un développeur néerlandais, Martin Kool, s'est
amusé à faire revivre les vieux hits de la maison Sierra On Line (avalée depuis par Activision Blizzard), comme Leisure suite Larry (l'un
des plus grand losers de l'histoire du jeu vidéo), Space Quest, Police Quest... Mais Martin ne s'est pas contenté de développer un énième
émulateur pour faire tourner ces jeux sur PC : il a carrément converti les programmes en javascript. Résultats, les logiciels tournent dans
n'importe quel navigateur Web, sans rien installer.
Un véritable exploit, qui ne s'arrête pas là... Martin a injecté de nouvelles fonctions à ces antiques programmes. Tout se pilote à la souris
et tire parti du mode multijoueur. On peut ainsi rencontrer d'autres Larry et dialoguer avec eux. Le tout est accessible sur sarien.net, et
Martin promet de nouvelles adaptations dans les prochaines semaines. On a hâte de voir ça.
Ingénierie : la sémantique facilite la transmission de l'information
http://www.atelier.fr/applications-it/10/20042009/ingenierie-semantique-information-seven-pro-vocabulaire-ontologie--38131-.html#xtor=EPR-233-[HTML]-20090420
En introduisant une couche de sémantique dans les logiciels d'ingénierie, les chercheurs du projet Seven Pro augmentent
la productivité et diminuent le temps nécessaire à la recherche de l'information.
La sémantique rend les données facilement compréhensibles par les humains et par les machines. Partant de ce constat, les chercheurs
du projet Seven Pro ont mis au point un logiciel de management du cycle de vie des produits auquel ils ont ajouté une couche de
sémantique. Ce, dans le but de faire des économies de temps, réduire les coûts et augmenter la productivité des ingénieurs lors de la
conception des produits. Le logiciel va faciliter la recherche afin de relier les informations nécessaires sur les différents composants et
processus de construction, même si celles-ci sont stockées sur des fichiers distribués ou des bases de données sur Internet.
L'ontologie mise en avant Pour cela le système se base sur l'ontologie. C'est-à-dire qu'il étudie les propriétés générales des processus
et des composants. Il intègre ainsi un vocabulaire qui relie les données entre elles d'après les spécificités laissées par les ingénieurs. Les
chercheurs mettent en avant que cette méthode est adaptable aux processus de chaque service, produit ou méthode de conception
utilisés dans les différentes entreprises. En pratique, les données sont annotées automatiquement avec des informations sémantiques
accompagnées de références et de commentaires des ingénieurs, dès leur introduction dans les bases de données des entreprises.
Une solution qui utilise les logiciels déjà existant Ce qui donne aux ingénieurs et techniciens l'accès à des informations détaillées
et rend les recherches sur les différents éléments plus précis. Il n'est plus nécessaire explique Mikel Renteria, directeur des technologies
au Sémantique Système d'Espagne, "de décrocher son téléphone pour demander aux participants des projets précédents où se trouve
l'information". Le système fonctionne avec différents types de données et peut être utilisé en simultané des logiciels pré-installés dans
l'entreprise comme Computer Aided Design (CAD) ou les Planning des Ressources de l'Entreprise. Des outils spéciaux ont été développés
en sus pour automatiquement extraire les données rentrées dans les CAD ou sur les bases de données de l'entreprise.
Western Digital lance un disque dur extrême
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/04/21/western_digital_lance_un_disque_dur_extreme
Capacité de 2 To, 64 Mo de mémoire cache et consommation réduite caractérisent ce nouveau modèle.
Avec le RE4-GP, Western Digital propose aux entreprises un disque dur Serial ATA
3,5 pouces aux caractéristiques exceptionnelles.
Grâce à des plateaux d’une densité de 500 Go, ce produit offre une capacité de
2 To. Le constructeur intègre également 64 Mo de mémoire cache, une taille
inédite pour un disque dur. Selon Western Digital, ces améliorations permettent
d’augmenter les performances de 25% par rapport à la génération précédente.
La compagnie a aussi mis l’accent sur la consommation électrique. Labellisé
GreenPower, le RE4-GP consommerait 50% d’énergie en moins qu’un disque dur
classique. Dans la pratique, il se contente de 3,7 W en fonctionnement (6,8 W
lors des phases de lecture et d’écriture) et de 0,8 W en veille. Notez que le
niveau sonore ne dépassera pas les 29 dB.
« La plupart des applications de stockage nécessitent des disques durs d’une capacité
de stockage élevée consommant peu de courant, comme le WD RE4-GP de 2 To. Il
permet de réduire la consommation d’électricité et d’influer de manière positive sur
l’environnement », commente John Rydning, directeur chez IDC.
Une consommation électrique réduite sera également synonyme d’une plus faible dissipation thermique. Le système de refroidissement
d’un centre informatique sera donc moins mis à contribution. Évidemment, et c’est ce que le constructeur omet de signaler, cette baisse
de la consommation électrique est probablement liée à une faible vitesse de rotation (5400 tours par minute ?). Heureusement,
elle sera ici compensée par une densité plus grande et la présence d’une importante quantité de mémoire cache.
L'Unesco lève le voile sur sa bibliothèque numérique
numérique mondiale
http://www.vnunet.fr/news/l_unesco_leve_le_voile_sur_sa_bibliotheque_numerique_mondiale-2030620
Promouvoir le patrimoine culturel de tous les continents grâce à Internet : c'est le défi relevé par l'Unesco avec sa
bibliothèque numérique mondiale.
Internet deviendrait-il un moyen privilégié de mettre l'histoire et la culture à la portée de tous ? Les bibliothèques numériques en sont un
bon exemple. A cet effet, l'Unesco (l'Organisation des nations unies pour l'éducation, la science et la culture) vient de mettre en ligne sa
Bibliothèque numérique mondiale (BNM), un site Internet gratuit, qui met à la disposition des internautes "une documentation
[numérisée] considérable en provenance des pays et des cultures du monde entier".
L'Union Européenne avait déjà lancé sa propre bibliothèque numérique, Europeana, en novembre dernier. Cette base de données
multimédia est riche de plus de deux millions d'œuvres provenant de musées, de galeries, de centres d'archives, de bibliothèques et de
collections audiovisuelles de toute l'Europe. Google avait initié le mouvement en 2004, en lançant Google Book Search, son propre
programme de bibliothèques en ligne qui compte aujourd'hui 7 millions d'ouvrages numérisés.
La BNM de l'Unesco se veut une véritable source d'éducation et de connaissances, où le patrimoine culturel mondial et toutes les sources
du savoir sont à la portée de tous les curieux. La BNM propose ainsi une multitude de supports numérisés : manuscrits, cartes, livres
rares, partitions musicales, films, enregistrements, gravures, photos, dessins.
Richesse des fonds documentaires et diversité des critères de recherche
Développée par une équipe de la Bibliothèque des Congrès aux Etats-Unis et soutenue par une aide technique fournie par la Bibliothèque
d'Alexandrie, en Egypte, la BNM a reçu le soutien de 26 bibliothèques, centres d'archives ou institutions de 19 pays, dont la France et sa
Bibliothèque Nationale de France (BNF). Celles-ci ont accepté de numériser leurs contenus pour les rendre facilement disponibles sur le
site de la Bibliothèque numérique mondiale. L'e-bibliothèque de l'Unesco est encore en cours de constitution, mais, d'ici un an, plus de 60
contributeurs devraient avoir participé à l'élaboration des fonds.
La BNM mise avant tout sur la simplicité d'utilisation et une belle diversité des critères tels que le choix de la langue, parmi les sept
proposées (français, arable, anglais, chinois, portugais, espagnol et russe), du lieu (Amérique du Nord, Afrique, Asie de l'Est,…), de la
période, du thème (philosophie, religion, technologies, arts, littérature,…) ou du type d'élément (manuscrits, cartes, films,…).
Quelques grands acteurs du monde des nouvelles technologies soutiennent également financièrement ce projet. Ainsi, Google a
contribué à hauteur de 3 millions de dollars à la bibliothèque de l'Unesco. Cette somme a servi à élaborer, dans un premier temps, le plan
et un prototype de la BNM. Microsoft a également mis la main à la poche en offrant un million de dollars d'"aide générale
Easynet équipe le Groupe EDF avec ses solutions de téléprésence
http://www.mag-securs.com/spip.php?article13378
Le Groupe EDF, un des leaders sur le marché de l’énergie choisit la solution MVM d’Easynet afin d’optimiser la
collaboration entre les sites
Easynet Global services, entreprise spécialisée dans les solutions administrées de réseaux et d’hébergement, annonce le déploiement des
6 premiers sites MVM (Managed Virtual Meeting) du Groupe EDF à travers le monde. En juillet dernier, Easynet, comme plusieurs
entreprises concurrentes de taille mondiale, avaient répondu à un appel d’offres initié par le Groupe EDF. Après cette phase de
consultation, EDF a décidé d’adopter les solutions de téléprésence d’Easynet. Aujourd’hui le déploiement dans un temps record des
premières salles téléprésence s’achève.
Le choix du Groupe EDF a été motivé par la réactivité, mais aussi par la souplesse de mise en œuvre de la solution d’Easynet et de
l’accompagnement constant de la société tout au long du projet.
Les solutions de visioconférence offrent les avantages de réunions interactives en haute définition dans des salles de téléprésence
spécifiquement aménagées ou dans des salles de réunion traditionnelles. Ces déploiements à travers des réseaux VPN MPLS permettent
de créer des environnements de réunions virtuels de qualité exceptionnelle permettant des prises de décision plus efficaces, réactives et
souples, et en réduisant considérablement les budgets de déplacements et les émissions de carbone. Le choix de cette solution permet à
EDF d’atteindre ses objectifs environnementaux.
La solution déployée par Easynet est accompagnée d’un service de conciergerie, une caractéristique particulièrement différente des
autres offres présentes sur le marché contribuant très fortement à l’ergonomie et le confort recherché par les utilisateurs. L’utilisateur ne
se concentre ainsi que sur l’objet de la réunion. Le service de conciergerie composée de techniciens des solutions de téléprésence prend
en charge la programmation des conférences, les réservations et l’assistance en français 24h/24.
« Nous avons su sensibiliser le Groupe EDF par une réponse à des problématiques similaires à celles que nous rencontrons nous mêmes ;
une dimension internationale, des besoins de communication interactifs, rapides, une volonté de maîtrise des coûts associé à un fort
engagement du respect de l’environnement. Je suis certains qu’EDF connaîtra rapidement l’engouement pour cette solution tels que nous
l’avons connus chez Easynet associé aux objectifs et résultats promis, » souligne Denis Planat, COO du Groupe Easynet.
Un premier netbook sous Android en Chine
http://www.lemagit.fr/article/android-netbooks/3091/1/un-premier-netbook-sous-android-chine/
Le premier netbook sous Android a fait son apparition chez le
revendeur chinois Skytone.
Le modèle Alpha-680, qui arbore un écran tactile rotatif, donne le coup
d'une tendance qui est appelée à se généraliser dans le monde des
ultra-portable à bas coûts.
Si Android est en premier lieu conçu pour la téléphonie mobile, son
ouverture – Linux oblige – pousse les constructeurs de netbooks à le
considérer comme un OS à part entière pour motoriser leur machine.
HP réfléchirait notamment à en équiper certains de ses ultra-portables.
Un autre point important : Android, qui est développé par Google, est
parvenu à fédérer et àstructurer la communauté Linux autour d'une
distribution taillée pour la mobilité. Là où des projets du type LiMo
peinent à percer.
Google Profiles : comment (mieux) contrôler son identité sur la Toile
http://www.vnunet.fr/news/google_profiles_comment_mieux_controler_son_identite_sur_la_toile-2030630
Le terme "googeliser" est certes un barbarisme mais il décrit un phénomène bien réel : une tendance qui pousse les gens à s’informer sur
une personne en tapant son nom dans le moteur de recherche du même nom. Google Profiles, le nouveau service proposé par le moteur
de recherche vise à offrir aux utilisateurs un plus grand contrôle sur les matériaux les concernant directement (images, textes, vidéos) et
circulant sur le Web.
La multiplication des sites de réseaux sociaux a engendré de la même manière une multiplication des informations concernant les
internautes sur la Toile. La firme de Mountain View vise ainsi à fournir à chacun les moyens de contrôler ce que les spécialistes appellent
une "identité numérique". Google souhaite donner aux utilisateurs "un plus grand contrôle sur ce que les gens trouvent lorsqu’ils
cherchent leurs noms ", explique le moteur de recherche sur son blog officiel.
Google Profiles arbore la forme d’une carte de visite. L’utilisateur est invité à remplir les différentes cases lui demandant son nom, sa
profession, sa ville de résidence, une photo ainsi qu’une courte biographie.
Contrôler ses informations personnelles grâce à une fiche récapitulative
L’option offre également la possibilité d’ajouter des liens vers les profils d’autres plates-formes où l’utilisateur pourrait être inscrit
(Facebook, LinkedIn, Hi5, etc.). Bien sûr, l’internaute reste libre de rajouter des informations. Google de son côté propose à l’utilisateur
une adresse e-mail (notamment avec gmail), compte qui sera accessible depuis la Toile. Cette "fiche" devrait apparaître prioritairement
lorsqu’une requête sur une personne sera lancée depuis le moteur de recherche.
Pour Google, l’ajout de cette fonction reste stratégique. Accusé de faire fructifier les données personnelles des utilisateurs dans l’ombre,
le moteur de recherche souhait ainsi s’offrir une image de moteur de recherche "ouvert".
Néanmoins, cette nouvelle initiative risque fort de s’avérer insuffisante aux yeux des autorités européennes, qui critiquent régulièrement
Google pour sa politique de conservation de données.
Pratique : bientôt une alimentation universelle pour les PC portables
http://www.indexel.net/actualites/pratique-bientot-une-alimentation-universelle-pour-les-pc-portables-2868.html
Vous en rêviez ? Grâce à Thermaltake, l'alimentation électrique de votre PC portable devient universelle. Une bonne
nouvelle pour votre porte-monnaie et pour la planète.
Thermaltake, un spécialiste des boîtiers et alimentations pour PC, propose désormais une alimentation électrique externe universelle pour
les PC portables. D'une puissance de 65 Watts (90 en pic), la Toughpower Ultra Slim 65W est livrée avec huit adaptateurs compatibles
avec les principaux fabricants de PC tels que Acer, Asus, Compaq, Dell, Fujitsu, Gateway, HP, IBM, Lenovo, Toshiba, Samsung, et Sony.
L'alimentation répond aux préconisations techniques de l'éco-label 80 Plus : son efficacité est de 82 %, ce qui signifie que seulement 18
% de l'électricité qui entre dans l'alimentation est dissipée en chaleur. Le reste alimente effectivement l'ordinateur. Avec ses six tensions
de sortie - 15, 16, 18, 19, 20 ou 21 Volts, l'alimentation Toughpower Ultra Slim 65W couvre tous les modèles de PC portables.
Thermaltake n'a pas encore précisé le prix et la date exacte de disponibilité de son produit. Il devance cependant les contraintes
réglementaires européennes. Il y a quelques semaines, le Financial Times Deutschland révélait que Bruxelles va imposer un chargeur
universel pour téléphone portable d'ici 2012. Et la commission européenne planche sur des normes techniques plus strictes pour les
chargeurs et alimentations externes. On pourrait donc bientôt voir apparaître une directive incitant les constructeurs de PC à prendre
exemple sur les fabricants de téléphones.
Cette alimentation flexible est une bonne nouvelle pour les utilisateurs de PC portables qui pourront se dépanner les uns les autres en cas
d'oubli de leur alimentation électrique ou de manque de place sur la multiprise du bureau. De quoi voyager plus léger également. Et les
plus écolos pourront aussi remplacer leur alimentation externe par le modèle de Thermaltake si celui-ci s'avère plus efficace.
Ubuntu 'Jaunty Jackalope' Jumps Linux Forward
http://www.internetnews.com/software/article.php/3816866/Ubuntu+Jaunty+Jackalope+Jumps+Linux+Forward.htm
Ubuntu 9.04 Linux set to speed up the desktop and open up its server to the cloud.
Known for its quirky animal named Linux releases, Canonical, the lead commercial sponsor behind Ubuntu Linux, is out with its 9.04
release today, codenamed the "Jaunty Jackalope." The "Jaunty" release includes new versions for netbooks, desktops and servers and
features faster boot times and cloud computing capabilities.
This is the tenth release for Ubuntu since its inception in 2004. Ubuntu has grown from being a small Debian Linux based distribution to
one of the most popular Linux distributions, with more than Windows 7 release.
"This our 10th release and we've really come quite a long way both in demonstrating the success of a model where a business can work
together with the community to produce a great product, and in the open source realm in really honing this concept of a strict time based
process," Canonical CTO Matt Zimmerman said during a press conference announcing the new release. "It ensures we always have a
fresh product on the market with all the greatest improvements that are available in free software."
Among the new improvements on the desktop side of Ubuntu 9.04 is faster boot time. Zimmerman noted on that "Jaunty" will startup in
25 seconds on a Dell Inspiron mini9, a dramatic improvement over the 45 second boot time of the previous release, "Intrepid Ibex."
Additional improvements on the desktop include improved suspend and resume capability on notebooks as well as additional support for
3G and Wi-Fi mobile connectivity. "Jaunty" will also include by default OpenOffice.org version 3, which came out just before the Ibex
release last year, but it was too late in the Ubuntu release process for it to be included.
Server edition One of the major necessities for server adoption is proven compatibility for server hardware, which is something that
Mark Shuttleworth, founder of Ubuntu Linux, noted the 9.04 release has achieved. According to Shuttleworth, "Jaunty" has been tested
with all the major server hardware vendors, including HP, Sun, IBM, Dell and Lenovo.
However, Shuttleworth admitted that Ubuntu's "Achilles heel" remains certification with proprietary software vendors. In a conversation
with Shuttleworth earlier this month, he noted that Oracle certification is one such key item which he viewed as a litmus test for Ubuntu.
One of the key new enhancements in the server version of "Jaunty" is a preview of the Ubuntu Enterprise Cloud (UEC).
"Cloud is the new hotness," Shuttleworth said. "It's a term that is being used vaguely to apply to lots of different technologies."
Canonical had a very specific focus on the cloud for the "Jaunty" release now that the Linux distribution is available on Amazon EC2.
Shuttleworth noted that now anybody can sign up over the web and fire up a minimal Ubuntu server.
Beyond just using Amazon, Ubuntu "Jaunty" is enabling its server users to build their own cloud internally. The technology, which is
officially a preview, will enable enterprises to use Ubuntu to build an Amazon EC2-compatible cloud inside their own datacenters.
Shuttleworth explained that enterprise could take their internal servers and can configure them as a cloud that responds to all the same
APIs as EC2. Ubuntu will be continuing to work on its cloud vision as part of its next distribution, codenamed the Karmic Koala, which is
set for an October release.
Orange ouvre ses portails Web et mobile à Wikipedia
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39393282,00.htm?xtor=EPR-102
Orange et Wikimedia vont travailler en partenariat pour développer la présence de Wikipedia sur les sites Web et mobile
d’Orange. Des widgets seront également conçus pour faciliter l’accès aux contenus de l’encyclopédie.
L'opérateur français Orange et la fondation Wikimedia ont signé un accord mondial afin de développer des services Web et la présence de
l'encyclopédie Wikipedia sur les portails Web et mobile d'Orange. Objectif de cet accord : étendre plus encore l'accès à Wikipedia,
particulièrement auprès des utilisateurs de la téléphonie mobile.
Dans un communiqué, la fondation Wikimedia explique que cet accord offrira aux clients Orange « un accès plus simple et plus rapide
aux contenus de Wikimedia en France, au Royaume-Uni, en Pologne et en Espagne. »
Un partenariat amené à s'étendre à l'ensemble de l'Europe Ce partenariat doit ainsi déboucher sur la création de chaînes
spécifiques pour Wikipedia sur les portails Web et mobile d'Orange. Orange enrichira par ailleurs certaines rubriques de ces portails en
intégrant des liens vers les contenus de l'encyclopédie en ligne. Enfin, des widgets seront développés pour plates-formes mobiles et PC
afin de permettre aux utilisateurs de rechercher et d'accéder directement à des données de Wikipedia.
Le partenariat entre Orange et Wikimedia doit par la suite s'enrichir au travers de la mise en place de nouveaux services dans les
domaines du mobile, de l'Internet et de la télévision. Ces réalisations communes seront également portées dans l'ensemble des pays
européens couverts par l'opérateur français. Par cet accord, Orange poursuit sa stratégie de développement des contenus sur téléphone
mobile et de soutien à la croissance des usages de l'Internet mobile.