Jean-Philippe Accart Centre hospitalier Victor Dupouy, Argenteuil
Transcription
Jean-Philippe Accart Centre hospitalier Victor Dupouy, Argenteuil
Jean-Philippe Accart Centre hospitalier Victor Dupouy, Argenteuil BIBLIOTHEQUE ET PLURALITÉ L' À DOCUMENTATION DES DISCIPUNES, DIVERSITÉ L'HÔPITAL DES l'Ecole nationaledela santépublique EMPLOI de termes tels (ENSP) de Rennes.Plus rien n'est que « bibliothèque » et laissé au hasard :l'hôpital, de nos hôpital » fait immédiate« ment songeraux bibliothèquespour jours, se gère commeune véritable entreprise.Etudede marché,planifilesmaladescommecellesdel'Assistancepubliquedeshôpitauxde Paris. cation à long terme,informatisation De nombreuxarticlesont été écrits desservicessontdevenusdesoutils sur ce sujetet nous n'y reviendrons courants. ici un domaine C'est sous cet éclairage nouveau pas.Nousaborderons moins connuet en pleine évolution, qu'il faut considérerl'hôpital : non celui de la documentationhospita- pas comme un monde clos, mais lière, afin de mieux appréhender les commeun lieu composite,diversifié différentes catégoriesd'utilisateurs et riche, à l'image de notresociété, desbibliothèqueset centresde docu- s'ouvrantde plus en plus sur l'extémentationau seindeshôpitaux.Leur rieur ; le bibliothécairedocumentadiversité,la pluralitédes disciplines listehospitaliersedoit de l'appréhender de manière appropriée, et de et des domaines abordés, et les comprendre mis répondre cetteréalitéparticulière. moyens en oeuvrepour Les de l'hôpital des années besoins exprimés examiacteurs seront aux 1990sontvariés,exigeantsil: y a, en nés. effet,toujoursune urgenceà soigner, la durée de séjour des maladesest Photographie de l'hôpital raccourcie,et les coûtsde fonctionnementréduits. L'hôpital, en 1992,offre une image Celase traduitdansle domainede la documentation en pleine mutation : les plateaux par l'arrivéedesnoutechniquesdeshôpitauxdeviennent velles technologies,la diffusion de l'informationentempsréel,la constide plus en plus performantset les équipesmédicaleset soignantes sont tution de réseauxlocaux, de catade mieux en mieux formées.La ges- loguescollectifs, grâceauxquelsle bibliothécairedocumentalisteest à tion de l'hôpital est dorénavant même de répondreefficacementà confiéeà descadresde direction,qui suivi formation spécifique à tout typededemandes. ont une UTILISATEURS La bibliothèqueou le centrededocumentationsont devenuspartiesintégrantesdela vie hospitalière. Qu'ils proviennentdes personnels médicaux,paramédicaux, administratifs ou techniques, les besoinsdocumentairessont permanentset multidisciplinaires :de l'économie de la santéaux soinsinfirmiersen passant par le traitementd'une pathologie,le bibliothécairea donc en facede lui desinterlocuteurs variéset exigeants. Deux grandsgroupesd'utilisateurs ont étédégagés. La population médicale Le corpsmédical,bienqu'ayantsuivi un cursus universitaire de dix à quinze annéesd'études,n'a pas de formationparticulièreen documentation ou enrecherchebibliographique. Lesbanquesde donnéesspécialisées ne vont pas toujours résoudre ses problèmes. Malgrédesréunionsde servicerégulières - les « staffs de bibliographie » -, il existe peu d'échanges d'informations entre membres du corpsmédicalà l'hôpital. Conscientsde cette réalité,de nombreuxpraticienshospitaliersont réagi plusen plusattiréparl'informatique : l'utilisation desbanquesde données et de CD-ROM médicaux (PASCAL, Medline) lui sert dans ses recherches. Uneinitiation à cesoutils documentaires performantsest sounécessaire. vent A Paris,la bibliothèquede l'Internat (ADDM, Associationpour le développement de la documentation médicale)et la bibliothèqueinteruniversitairede Médecine(BIUM) sont desoutils précieuxpour approfondir Il peut ainsi accésesconnaissances. der à la littératureprimairerelativeà sondomained'intérêt. - Le professeuret le médecin-chef de service, dans un centre hospitalier universitaireou un centrehospitalier général.Il a recoursà des monographies, des comptes rendus de congrès,desrecueilsde revuesgénérales telles qu'en offre le chapitre « Bibliographyof medicalreviews» de l'Index Medicusou les revuesde synthèse.Il dépouilleles bibliographiesanalytiquesdans sa spécialité (typeBulletinsignalétiquedu CNRS) ou des sommaires des revues et ont étéà l'originede la créationde (Current contents, Medexpressou bibliothèquesmédicaleshospitalières Medactua). (misà partlesbibliothèques universitairesdescentreshospitaliersuniversitaires) à partir des années19751980.Ce phénomèneest en pleine expansionà l'heureactuelle. La bibliothèquemédicalehospitalière devientde plus en plus un centrede recherches bibliographiques intégré.A Argenteuil, l'exploitation des ressources documentairespasse,par exemple,par descoursde bibliograLe chercheur il: fait une recherche phiemédicale donnésauxinternespar -bibliographiquerétrospectivesur un lesdocumentalistes, oudesdémonstra- sujet pointu à l'aide de l'Index tions despossibilitésoffertespar les Medicus,qui est la bibliographiede nouvelles technologies. base en médecine, des Bulletins On distinguedonc, dansle premier signalétiquesdu CNRS,des Chemigroupe, quatre types d'utilisateurs cal Abstracts.Les banquesde donpotentiels : nées(Medlineet PASCAL) lui sont - l'interne ou l'étudianten médecine très utilespour affineret approfondir ou enpharmacie,qui, aucoursde ses sesrecherches.Il utilise les mêmes études,utiliseessentiellement lesres- outils que le professeurou le médesourcesproposées par la bibliothèque cin-chefdeservice. médicaledesonhôpital(quandcelleLa bibliothèqueinteruniversitaire de ci existe), pour rédiger sa thèse. Médecinede Parisa reçu la charge Parallèlement, il s'abonnepersonnel- d'un CADIST (Centred'acquisition lementà un ou deuxtitres derevues, et de diffusion de l'information ou à une spécialitéde l'Encyclopédie scientifique et technique) pour la médico-chirurgicale (EMC). Il estde médecineet la bibliothèqueuniversi- tairede Lyon I, sectionsanté,pourla pharmacie ;elles sont devenuesdes pôles très spécialisés pour la recherche. Environ 80 % de l'information qui est nécessaireau chercheurlui est apportéepar les périodiquesanglosaxons.Il peut,grâceà eux, se tenir au courantdes nouvellestechniques et des derniersrésultatsparusdans sondomaine.Ayant intégréla microinformatique,de nombreuxproduits de gestion documentaire ont été développés par et pourle chercheur : des derniers, testépar l'INSERM, un est BIBLIOMAC, sur Macinstosh ; gérer,classer,indexersadocumentation personnelle et professionnelle est désormais possible. - Le médecin-praticienhospitalier : pour sa formation permanente à l'hôpital, il a recoursaux Encyclopédies (EMC), aux périodiques de médecineinterne,aux revuesde spécialités,aux clinics qui font le point (il existeun clisurun sujetspécifique : nicsparspécialité dermatologie, gastro-entérologie, médecineinterne,...). Il a également recoursauxbanquesde données,dont il attenddes réponses rapideset précisespour affiner un diagnostic,connaître les nouvelles thérapeutiques pour une pathologie. Il peut égalementdécider d'entreprendreun travailde réflexionou de recherche dansle cadrede sa participation à une enquêteépidémiologique, en s'aidant du CREDES (Centre de recherched'étude et de documentationen économie de la santé)et de la banquede données RHESUS. Il comptebeaucoupsur les relations professionnelles,les rencontres,les colloques, la formation médicale continuepours'informer. - Le médecin-praticienlibéral : de plus en plus, l'hôpital montre une volonté d'ouverturesur « la méde- cine de ville ». Cetteouverturepasse documenpar l'accèsaux ressources tairesde l'hôpital. Les besoinsen la matière de ce médecinsont ponctuels,épisodiques. Il reçoit généralement un certainnombrede revuesà soncabinet.L'hôpital peutcependant lui être utile pour sa documentation générale,ou pour résoudreun cas spécifique,en mettantà sa disposi- tion desoutils qui sonttrop onéreux pour lui. La bibliothèquemédicale peut aussiêtre un lieu de rencontre avecsescollègueshospitaliers. Nous l'avons vu, les médecinssont donc preneursd'informationsdocumentaires :la connaissance scientifique estun desmoteursde la médecine, et une bonneappréhensionet un savoir intégré rejaillissentforcément sur les malades soignés à l'hôpital. Il ne faut pasoublierquela médecinedu XXIe siècle sera une médecinede l'information, décloi- sonnantlesspécialités,et s'efforçant de partagerplus largementle savoir scientifique. donné.La qualitéet l'importancedes publicationsest primordialedans le curriculumvitaedu médecin,et donc dansla progression desacarrière. En conclusion, la bibliothèque médiLes médecins cale ou le centrede documentation et l'écrit scientifique de l'hôpital sont une ressourceprécieusepour les médecins recherche : A la fin de leur cursus,lesétudiants d'articlesou de tirés à part, de référédigentunmémoired'étudesspécia- rencesbibliographiques, aide à la liséesou unethèse.Puis,au coursde rédactionscientifique,à la rédaction leur carrière, les médecins,et plus d'abstracts,à la réalisationdeposters particulièrement les praticienshospi- ou de diapositivesen vue d'une prétaliers, sont amenésà faire part de sentationà un congrèspar exemple. leurs conclusionssur un cas qui leur Dans ce domaine, la bibliothèque est soumis à l'hôpital, sur un sujet médicalede l'hôpital d'Argenteuil qu'ils étudientplus particulièrement possèdeun servicede PAO (Publicadansleur service.Il est fréquentque tion assistéepar ordinateur),dont le plusieursmédecinsde servicesdiffématériel est mis à la dispositiondu rents,voire de plusieurscentreshos- corps médical ;les documentalistes pitaliers,rédigentun articleen com- ontun rôle de conseilquantà sonutimun.Publierdansunerevuespéciali- lisation. Cetteexpérience,originale sée d'un certain renom rejaillit pour un servicede documentation, automatiquement sur l'auteur ou est un prolongementde l'aide à la l'équipequi l'entoure.Si l'article est communication scientifique. publié dans une revue indexéepar une banquede données,cet article Les autres types n'en auraqueplus d'importanceet sa diffusion n'en seraque plusgrande : d'utilisateurs l'indexation et la citation dans une banquede données(américaine Devant la croissanceexponentielle type Medline ou françaisecommePAS- de l'information sous toutes ses CAL) constituentla reconnaissance formes,les hôpitauxpublicsréagisd'un travail, d'une étude.Cela peut sent de diversesmanières.L'assisainsi faire référence sur un sujet tancepubliquedeshôpitauxde Paris (AP-HP)a développédescentresde documentationspécialisésdans des domainesbien sériés :la formation professionnelle continue,le domaine paramédical, la bibliothèque de l'Internat (ADDM). D'autreshôpitaux,endehorsdel'AP-HP, ont couplé bibliothèquemédicaleet formation continue.La règlecommuneest restéetrès longtempsle développementde petitesunitésdocumentaires dans les servicesde soin, de minibibliothèquesdanslesécolesd'infirmières, et enfin de bibliothèques médicalescentralisées. La documentation s'est développéede manière empirique,et chaqueservicea géré de façon plus ou moins organiséesa propredocumentation. Dansl'équipede directionet lesservicesadministratifs, ce sontlessecrétairesqui réceptionnent, dépouillent, classentles Journaux officiels, les Bulletins officiels de la Santé publique,et touteslesrevuestraitant de la gestionhospitalière (Techniques hospitalières,Gestionshospitalières, Technologieset santé,la Revuedu trésor). Les recherchesdocumentaires sont faitesle plus souventen fonction des demandesde l'équipe de direction en ayant recours à la télématique (banques de données juridiques« JOEL », « LEXIS », ou « JURISANTE » développéepar le Centrenationalde l'équipementhospitalier) ; les abonnements papierou microfiches correspondants sur représententla meilleure façon de s'informer.Desrevuesde pressethématiquessont le plus souventproduitespar les centresde documentation administratifs pour diffuser l'information : c'est le cas à Argenteuil, où une revuede pressesur la santéest diffuséeà une cinquantaine d'exemplaires. Lesécolesparamédicalesbeaucoup : d'hôpitaux ont ouvert leur propre école d'infirmières, d'infirmières spécialisées. Une bibliothèquey est en général intégrée,car un travail personnelimportant, qui nécessite certainesressourcesdocumentaires spécifiques - l'Encyclopédie de l'infirmière, des abonnementsà La Revue de l'infirmière, à Soins, à l'Aide-soignante, etc. -, estdemandé aux élèves.L'indexation des docu- mentsse fait grâceà plusieurssystèmes :le « CANDO » de Jacques Chevallier,la classificationdu Centre intemationalde l'enfance,ou cellede l'Organisationmondialede la santé. Ces structuressont bien géréeset répondentgénéralement aux normes bibliothéconomiques en vigueur. Les personnels soignants,avec,à leur tête,lesinfirmièresgénérales, bénéficientde peu de moyensde s'autoformer. Quelquesabonnementssont achetésen commun par et pour le servicede soinsinfirmiers.Le cadre infirmier responsable du service(en l'occurrencela surveillante)a un rôle à jouer enmatièrede nonnégligeable documentationet d'autoformation. Elle peut égalementêtre amenéeà assurerla formationdescadresde sa rôle normalement dévolu à une bibliothèqueadministrative. Les servicesinformatiqueset techniques présentent également des besoinsspécifiquesen documentation spécialisée, ainsi qu'uneprofession nouvellementapparueà l'hôpital : lesingénieursbio-médicaux, qui assurentle développementde plateauxtechniquesde pointe.La mise en réseauxinformatiquesde tous les servicesde soinsd'un mêmehôpital est unedesdonnéesqui modifie profondémentla gestionde l'hôpital en cette fin de siècle.Les informations sonttraitéespar la macro-informatique (systèmesIBM, Bull...) : la gestiondu personnelet deshoraires, lagestionadministrative desmalades, la facturation, les services écono- profession,aprèsplusieursannéesde pratiquehospitalière.Descentresde documentation spécialisés(le Centre de documentationpédagogiquede l'Assistancepubliquepar exemple), l'accès, grâce à une bibliothèque hospitalière centralisée ou à une autre structure extérieure, à des banquesde données(Cumulative Index to Nursing and Allied Health Literatureou PASCAL)répondentà des questionsaussi variées que la thérapeutique, l'éthique,l'épidémiologie, le SIDA, l'hygiène, la qualité des soins, la douleur ou les infectionsnosocomiales. A Argenteuil,l'enseignement assisté par ordinateur (EAO), à l'aide de didacticiels,peut êtreoffert pourune remise à niveau des connaissances (en techniques chirurgicales par exemple)auxpersonnels soignants. Le servicesocialet le personnelhospitalier de l'hôpital en généralont unedemandeen ce qui concerneles textes de lois, les décrets, arrêtés ministériels,et biensûr les actualités socialesainsi que desoutils permettant la formation professionnelle continuede tous les agents.C'est le miques.La micro-informatique, pour sa part, gère le dossiermédical du patient,en passantpar la feuille de soinsinformatisée. Des départements d'information médicale (DIM), souvent couplés ont avecle centrede documentation, étécrééspour connaître et évaluer l'activité médicale. Uneconnexion du centrededocumentationauxservices médicaux, administratifsou techniques peutêtreenvisagée le : fondsdocumentaire seraitdonc interrogeable grâceà un serveur. C'est le cas notammentde l'hôpital SaintLouisà Paris,oùlesservicesmédicaux interrogent, à partirde leur minitel, la bibliothèqueHenriFeulardspécialisée Au centrehospitalier en dermatologie. d'Argenteuil, cette connexion fait l'objetd'uneréflexion. En conclusion L'hôpital a essayé,quelle qu'en soit l'époque,et aujourd'huiplusencore, de trouver des réponses face à l'angoisse de l'hommedevantla souffranceet la mort.A l'heureactuelle,la BIBLIOGRAPHIE 1. Accart,Jean-Philippe, « La miseen placed'uncentrededocumentation pluridisciplinaire et informatisé auCentrehospitalierd'Argenteuil hospi»,Techniques talières, 1992, n° 556,p.48-51. 2. Alptuna, Françoise,« Desbibliothèquesmédicalesen bonnesanté : l'exempleaméricain», Bulletin des bibliothèques de France,1990,t. 35, n°4, p.306-311. 3. Archimbaud,Jacques, Bibliographie documentaire et recherche enmédecine et en pharmacie,Rueil-Malmaison, Laboratoires Sandoz, 1970. 4. ArchimbaudJacques, Introduction à la bibliographie danslessciences biomédicales,Rueil-Malmaison, Laboratoires Sandoz, 1973. majoritédela populationnaît et meurt à l'hôpital : cette donnéesociologique doit être prise en comptecar elle soutientla qualité et l'offre de soins,le coûtde la Santépubliqueet l'état de la recherchescientifiqueet médicale. En milieu hospitalier, les besoins d'information sontdonc multiples : ponctuelspour certains,permanents pour d'autres. Dans la plupart des cas,ce sontaussidesbesoinsde rapidité, de précision,d'exhaustivitéet d'actualité. Depuislestrentedernièresannées,la fonction de documentalistea beaucoup évolué. La gestion des documentsest devenuecapitaledans un mondeoù l'information est prépondérante,et les hôpitauxn'y échappentpas ; la fonctionde documentaliste a donc pris tout son sens ; son caractèreutile, voire indispensable, n'est plus à démontrer à l'heure actuelle. De plus en plus spécialiséet spécifique, ce métier nécessitepourtant un niveau d'études supérieures devants'exercerdans le cadred'un postede catégorieA de la Fonction publique. Comme le schéma ci-dessus le démontre,le rôle du bibliothécaire documentalistehospitalier est primordial dans la circulationd'informations spécialisées.Ce rôle est appeléà se développer.La demande est très forte dans toutessortes de domaineset montreainsila richesse, la diversitéet lesdifférentesinteractions possiblesde la documentation hospitalière. Certains hôpitaux l'ont compris et font appelà desprofessionnels, spécialistesde l'information, bibliothécairesdocumentalistes hospitaliers. Une bibliothèquehospitalièrecentralisée,ou un centrede documentation pluridisciplinaire, répondant aux besoinsdes différentes catégories d'utilisateurs,développantdestechniquesdocumentaires de pointe,joue rôle essentiel dans la délivrance un de l'information à l'hôpital. La tendanceactuelleva versle développementdetellesstructures. Août 1992 5. Belbenoît-Avich, Pierre-Marie,« La documentation médicaleen France», Newsletter healthlibrarians, to European 1992, n° 19,10-11. p. 6. Blondel,Françoise, « Unegestion des documentaires innovantes ressources », Gestionshospitalières,1991,n° 311, p.914-917. 7. Guenot,Catherine Goupil, ; Marie, S'informer, : des se documenterguides de données sources en santépublique, Rennes, ENSP,1990. 8. Mathieu-Capderou,Christine,La documentation hospitalière état : de la situationactuelleetpropositon pourune bibliothèque hospitalière intégrée, mémoire, Paris,Institutnational destechniquesdeladocumentation, 1982,1vol., 52 p. 9. Parret,Tû-Tâm,La documentation médicaleà Paris : mémoirede fin d'études, Lyon,Ecolenationale supérieure desbibliothèques, 1982,1 vol.99p. 10. 2' Conférenceeuropéennedes bibliothèques médicales, 2-8nov.1988, Bologne, Italie,Actes l'information : biomédicale : objectif commun, pourtous un Munich,K.G.Saur,1989,1vol. 11.« La scienceet l'écrit : la machine folle », Le Nouvelobservateur,17-23 octobre1991, p. 49. 12.« Lesnouvelles d'informasources tion», LeMonde,Dossiers etdocuments, n° 194,déc.1991.