Dossier Pin-Parasol 3:06:13
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Dossier de presse - Frontignan, 3 juin 2013 Unique : les fleurs de garrigue vinifiées « Quel plaisir de vous connaître ! Nous nous appelons Spiritin, Romarine et Souleil, vous ne pouvez pas savoir à quel point nous sommes heureux de parader devant vous ! Parce que nous n’avons pas chômé depuis que nos fleurs ont été cueillies en garrigue ! Transportées, triées, tracées, macérées, transvasées, embouteillées, étiquetées, livrées ! Rien que ça ! Et par qui ? Pourquoi et comment ? En voici un aperçu... A lire sans modération ! » Créée il y a tout juste un an, à Frontignan, par François SILVE, l'entreprise PINPARASOL innove en appliquant le procédé de vinification des raisins aux fleurs de Thym, de Romarin et d'Arbousier, pour offrir trois vins de fleurs, uniques, naturels et « multi-usages », tout droit sortis des meilleurs « spots » de nos garrigues. Boissons apéritives avant tout, ces vins apportent leur touche gastronomique aux plats et desserts qu’ils composent ou accompagnent. Ancien caviste, passionné de botanique et fasciné par le travail d'un ami ariégeois dont il détient le secret de fabrication du réputé Sambuc (vin de fleurs de Surreau), François Silve est devenu, à son tour, producteur de vins de fleurs de garrigues, et ça marche ! Spiritin, Romarine et Souleil sont déjà en vente dans 43 points de vente régionaux et sur les cartes de 23 restaurants. « Je n’hésite pas à faire goûter ces produits à mes clients, explique la restauratrice de l’Arbousier à Nîmes, il n’y a pas d’adjonction de vin, les ingrédients utilisés sont nobles et chacun, selon son palais, va trouver sa saveur. » « Aujourd'hui, déclare François Silve, de plus en plus de consommateurs souhaitent des produits qui préservent l'environnement mais aussi leur santé. Ils privilégient la qualité à la quantité, et sont soucieux de trouver plus de naturalité dans les produits qu'ils achètent. Cela se traduit par une demande persistante, malgré la crise, de produits locaux, naturels et biologiques. » Sans aucun apport d'alcool et sans sulfites, ces vins de fleurs n'ont rien à voir avec les mixtures aromatisées que l'on trouve sur le marché. Issus d'un long travail, à la fois minutieux et opiniâtre, qui va de la cueillette des fleurs à la fermentation naturelle des moûts floraux, ce sont d'authentiques produits du terroir méditerranéen. « J'ai un client qui a trouvé son idée cadeau ! A chaque anniversaire, à Noël, que sais-je ? À chaque fois qu'il est invité, il vient acheter son vin de fleurs de garrigue ! J'ai choisi ces produits parce qu'ils sont originaux, typiques, bons et jolis. C'est pas toujours évident de trouver, sur le marché, des produits à la fois bons et jolis, c'est vrai…», s'enflamme Clémentine, propriétaire de l'Épicerie-Sète à Sète. La marque Sud de France ne s'y est pas trompée elle non plus, en apposant sa mention sur ces trois vins de fleurs aux arômes inédits du midi. Contact presse François Silve, PinParasol 06 38 10 25 52 [email protected] www.pin-parasol.fr Photos libres de droits à disposition Merci d’inscrire le ©. Dames-jeannes © Ph. Fourcadier F. Silve © Philippe Fourcadier Trois boissons « innovantes » Produits exclusivement en Languedoc-Roussillon, Spiritin, Romarine et Souleil sont trois vins de fleurs, de type moelleux mais peu sucrés, où prédominent les arômes sauvages du Thym, du Romarin et de l'Arbousier, portant leurs saveurs au cœur des réjouissances. Ces vins de fleurs se consomment de multiples façons : en apéritif, en cocktail, en digestif, en déglaçage, en accompagnement de plats ou desserts ou dans leur préparation. « Ce sont des boissons vraiment innovantes qui se boivent très bien en apéritif, on n’est pas dans des arômes exubérants, on reste dans la finesse. Sur le thym et le romarin, on a juste une petite sucrosité qui fait qu’ils se boivent très facilement, on n’est pas sur du trop lourd, c’est gourmand, souple en bouche. Avec l’arbouse, on est plus sur du sucré qui passe bien avec des petits toasts de foie gras. Et surtout, ce sont des produits multi-usages, ça va relever les plats, on peut faire des déglaçages thym et romarin, ça c’est très très bon, même sur des viandes, vous faites cuire un peu, le temps que l’alcool et le jus s’enlèvent et il reste juste les arômes, ça apporte vraiment un plus. Ou encore pour faire des marinades avant un barbecue. On peut aussi les mettre dans certains cocktails, moi je sais que le Spiritin sur un jus de tomate, ça goûte super bien ; avec du champagne, très très bon, ça donne vraiment le côté provence. Depuis que l’on travaille avec ces produits, on a que des retours très satisfaisants, les gens reviennent dessus. On a un client qui a trouvé des recettes intéressantes... On a fait une belle découverte avec ces produits. » Témoignage du sommelier-caviste de la Maison régionale des vins à Montpellier B UNE ALTERNATIVE AUX OFFRES APÉRITIVES CLASSIQUES Bus en apéritif ou en digestif, ces vins ne dépassent pas les 12,5 ° ; ils satisfont les nouvelles tendances de consommation qui privilégient la qualité des arômes au nombre de degrés. « Leur destination première est l'apéritif, mais certaines personnes les consomment glacés, comme digestif. Il est dans l'air du temps de boire moins fort en alcool et ces deux manières de boire nos vins de fleurs vont dans ce sens, car la plupart des apéritifs font plus de 15° et les digestifs, plus de 18° », explique François Silve. Ces vins de fleurs se marient aussi à toutes sortes de cocktails qu'ils éveillent de leurs goûts subtils comme ce « Frappé de la gardiole » composé d'un tiers de vin de fleurs de Thym, deux tiers de champagne et d'un trait de citron, à consommer bien frais ! EN ACCOMPAGNEMENT DE METS Suivant les accords, ces vins de fleurs de garrigue accompagnent agréablement de nombreux plats. Par exemple le Souleil, vin de fleur d'Arbousier, est parfait sur un foie gras ; la Romarine et le Spiritin s'accordent plutôt avec les fromages ou les desserts. Pour preuve, 23 restaurateurs en LanguedocRoussillon les proposent sur leur carte. « Les gens aiment tout ce qui est floral et sort des sentiers battus. Ces vins de fleurs peuvent aussi bien accompagner une tartine de pélardon aux oignons doux des Cévennes recouverts de miel de châtaignier, qu’un cheese-cake auquel ils apportent un parfum supplémentaire, légèrement fruité pour le vin d’Arbousier. » (Restauratrice de l’Arbousier à Nîmes). UN NOUVEL APPORT À LA CUISINE DE TERROIR Chacun à leur façon, Spiritin, Romarine et Souleil constituent des ingrédients doux et raffinés parfumant les sauces et les plats de restaurants innovants, tel le Tamarios à Montpellier qui attend les fruits rouges d'été pour les cuisiner aux arômes de la fleur de Thym. Où acheter les vins de fleurs de garrigue ? 43 cavistes, épiceries fines et fromagers et 23 restaurants : quelques contacts en annexe vente en ligne : e-gastronomie.com Prix conseillé en boutique : 9€50 En représentation Le 5 octobre au marché régional de Quissac Fiches de dégustation et carte des recettes PinParasol en annexe. Liste des points de vente sur www.pinparasol.fr De la fleur au vin C’est tout le savoir-faire artisanal de F. Silve qui donne aux vins de fleurs de garrigue leur goût de terroir, unique au monde ; un savoir-faire qui débute avec la cueillette des fleurs. À CHAQUE FLEUR, SA CUEILLETTE ET SON TRI Si les trois espèces de fleurs utilisées dans les vins PINPARASOL ne se traitent pas de la même façon, toutes exigent beaucoup de patience, de minutie ainsi qu’une grande attention portée aux lieux de cueillette que F. Silve choisit bien éloignés des routes, des zones cultivées ou parcs industriels, afin d'éviter toute pollution. Les fleurs d'Arbousier sont cueillies en petites grappes, puis les clochettes sont séparées de leurs ombrelles. Une journée est nécessaire pour faire 4 kilos de fleurs. Les fleurs de Romarin sont cueillies une à une, ou trois par trois quand elles sont en grand nombre. Le tri se fait en même temps que la cueillette. Une journée de travail produit 1 seul kilo de fleurs. Pour les fleurs de Thym, c'est au sécateur que les sommités fleuries sont taillées. Ensuite, les fleurs sont séparées manuellement de leur tige à l’aide d’un peigne bien calibré. Huit heures, environ, sont nécessaires pour réunir 1 seul kilo de fleurs. Après le tri, rien ne se perd ! Le rebus est recyclé (rafles, tiges et feuilles) ; il est, soit composté, soit rassemblé sous forme de paillage, un allume-feu odorant, très demandé pour les barbecues d’été. Fleur de Thym (Spiritin) Fleur de Romarin (Romarine) Fleur d’Arbousier (Souleil) Photos libres de droits © faune-flore.be L’ALCHIMIE D’UN PROCÉDÉ VIEUX COMME LE MONDE C’est dans sa cave à Frontignan que F. Silve fabrique ses vins de fleurs, étape par étape. Six mois vont s’écouler pour que la fleur devienne vin. Et, répétons-le, ni alcool, ni base d’un vin quel qu’il soit, n’est ajouté aux fleurs ; seuls sont ajoutés des produits bios : sucre, levure, quelques grammes de raisins et de bananes pour donner du corps. Ces vins de fleurs de garrigue sont purs, naturels et produits artisanalement. Première étape, les fleurs sont mises à macérer dans des fûts à fruits et se transforment peu à peu en sirop. Ce moût floral part en fermentation jusqu'à ce que la vinification opère et produise l’alcool. C’est ainsi que PINPARASOL remet au goût du jour un procédé ancestral inégalé en conservation des aliments. Le liquide est ensuite transvasé dans de grandes bombonnes ventrues ; c’est la valse des dames-jeannes qui permet, à chaque soutirage (transvasement), d’éclaircir le vin en le débarrassant de ses dépôts. La quantité de sucre et les degrés d’alcool sont régulièrement analysés jusqu’à ce que les vins de fleurs atteignent les 12,5 °. C’est enfin l'heure de l'embouteillage, de l'étiquetage avec retour sur la traçabilité. Sur chaque étiquette est inscrit un numéro de lot qui correspond au lieu et à la date de chaque récolte. « Je tiens à jour précisément un carnet où est noté de quelle récolte est issu le vin embouteillé. Chaque stock de fleurs est pesé et répertorié avec le lieu de cueillette, la date. Chaque lot de bouteilles correspond à un stock de fleurs et porte un numéro. Je peux ainsi savoir, pour chaque lot qui n'excède pas les 400 bouteilles, les emplacements et les dates de cueillette, les dates de fabrication, celles des soutirages et des mises en bouteilles », précise F. Silve. La garrigue au cœur « J’ai un grand respect pour lui, confie un de ses clients. Il s’est lancé un gros défi car, pour le moment, il fait tout tout seul. J’étais prêt à aller chercher mes vins pour lui éviter de revenir les livrer ! » Entre la cueillette, le tri des fleurs, la mise en fermentation, l'élevage des vins, l’embouteillage, l’étiquetage, la mise en cartons, sans oublier le temps passé au repérage des spots et à la commercialisation des produits, F. Silve aurait bien du mal à compter ses heures de travail ! Mais c’est sans doute la cueillette et le tri qui sont les périodes les plus astreignantes. DES JOURS ET DES JOURS AU RYTHME DE LA NATURE C’est la nature et ses floraisons qui imposent le rythme annuel des productions des vins de garrigue. C’est au printemps que la charge de travail est la plus contraignante avec deux cueillettes successives à mener de front : le Romarin puis le Thym, celle de l’Arbousier étant réalisée à l’automne. Il faut compter une vingtaine de jours de cueillette triée par variété de fleurs, soit, au total, 60 journées pleines dans l'année pour les trois fleurs, avec une bonne dizaine d'hectares arpentés. Photo Cathy Fourcadier UN AUTODIDACTE BIEN ENTOURÉ « Tout ce travail se fait par le bon sens. J'ai essayé de prendre toutes les recommandations de mon mentor Nicolas Vaneick, créateur du Sambuc, et de les respecter. Mais je reste curieux, et je n'hésite pas à demander des conseils à d'autres personnes quand les occasions se présentent. J'ai un oeil sur les écologistes de l'Euzière, je compte un jour pouvoir participer à une de leur sortie à thème et rencontrer des passionnés. » (F.S.) Côté technique, F. Silve a aussi reçu l'aide de deux personnes : celle de son tuteur et ami, un œnologue d'un grand domaine viticole, qui l'a accompagné pour la vinification et la dégustation, et celle d’un responsable qualité de produits vinicoles, aujourd’hui à la retraite, qui, étonné de la qualité de ses vins de fleurs, l'a encadré, encouragé et le conseille encore aujourd’hui. Côté familial, son frère cuisinier est intervenu sur la partie “recettes”, un autre frère, sur la recherche des noms de l’entreprise et des produits. Et tant que l’on est dans une histoire de frères, c’est le chef sommelier du Jardin des Sens qui lui a donné des idées d’accords mets-vins. LA GARRIGUE RESPECTÉE ET VALORISÉE En 1940, ils étaient une cinquantaine de cueilleurs de Thym professionnels en Languedoc-Roussillon. En 2010, il n'en restait plus que 4 *. En cueillant les plantes de garrigue, F. Silve participe à la réhabilitation d'une activité traditionnelle, en valorisant les ressources locales, avec un grand respect de la garrigue méditerranéenne. Pour cela, certains principes sont appliqués. F. Silve renouvelle le plus souvent possible les emplacements de cueillette et intervient sur le domaine public. En cueillette, il évite le piétinement et avoue prendre parfois le temps d’admirer les autres espèces de plantes. Il ne débarrasse pas la plante de toutes ses fleurs. Concernant l’Arbousier qui produit fleurs et fruits en même temps, il semblerait qu’il n’y ait pas d'incidence sur l'évolution de l'arbre, si ce n'est la diminution du nombre de fruits l’année suivante. Par contre, note F. Silve, « on dirait que la floraison est stimulée, sans doute parce que l'arbre, dépourvu d'une partie de ses fleurs, n'a pas à former la totalité de ses fruits. La difficulté est pour les plants de thym. Je coupe, donc, je déstructure le plant, mais je laisse toujours à la plante le moyen de repartir en en laissant une partie. » PROJETS D’ENTREPRENEUR F. Silve espère bientôt être reconnu comme cueilleur professionnel, en revendiquant le temps passé sur le terrain, et quitter la Chambre de Métiers pour rejoindre la Chambre d'Agriculture, en tant que producteur de vins de fleurs. « Avec le doublement de la clientèle sur les 4 derniers mois, l’objectif des 10 000 bouteilles devrait être rapidement atteint. J'ai un projet de déménagement qui me permettra d'accroître la capacité de production et d'élargir la gamme », déclare François, confiant dans le succès de ses produits. * BOUGUET Guillaume, La cueillette du thym dans les garrigues, Master 2010, Montpellier, lien sur : www.wikigarrigue.info/.../fichier_ressource_Bouguet_Guillaume_2010_La_cueillette_de_thym.pdf DÉGUSTATION Annexe SPIRITIN Robe de belle intensité Couleur ambrée Nez expressif et frais En bouche : rond, épicé Arômes de fleurs de Thym Finale : longue, très arômatique Accords mets/vin : rougets entiers grillés avec confit de citron Fromages typés, persillés, pélardons, salers Pâtisseries Cuisine asiatique Composition de sauces Température de service : 6 - 8° ROMARINE Robe de belle intensité Couleur ambrée Nez et bouche marqués d’une grande expression, d’une légère amertume, très méditerranéen Arômes qui rappellent l’eucalyptus ou l’encens Finale : puissante et longue Accords mets/vin : fromages persillés, types salers, chèvres affinés et d’autres de caractère Composition de sauces Température de service : 6 - 8° SOULEIL Robe de belle intensité Couleur jaune-or Nez expressif, frais, résineux, miel En bouche : souple et rond Arômes d’abricot confit et pâte de coing Finale : notes de cognac, d’armagnac Accords mets/vin : tajines, viandes blanches et raisins, foie gras d’oie en terrine, rougets / homards agneau, viandes blanches Tarte à la rhubarbe Composition de sauces Température de service : 6 - 8° QUELQUES CONTACTS DE CLIENTS Liste complète sur www.pin-parasol.fr CAVISTES, ÉPICERIES FINES LA FERME 55 rue de Verdun à Carcassonne Tél : 04 68 25 02 15 VERGNE GOURMET 61 av. Georges Pompidou à Nîmes Tél : 04 66 68 72 30 LES TERROIRS 5 PLACE AUX HERBES à Uzès Tél : 04 66 03 41 90 LA CAVE À NICO 87 route de Montpellier à Frontignan Tél : 04 30 72 34 92 LA CAVE D’ARISTIDE 13 rue Aristide Briand à Palavas Tél : 04 67 47 17 93 L’EPICERIE-SÈTE 9 rue Gambetta à Sète Tél : 04 67 74 35 49 RESTAURANTS LA TAVERNE DU PORT Quai Antonin Gros à Marseillan Village- Tél : 04 67 01 78 78 LE TILAPIA 8 promenade Jean baptiste Marty à Sète - Tél : 04 67 78 00 26 LE PARIS MÉDITERRANÉE 47 rue Pierre Sémard à Sète -Tél : 04 67 74 97 73 LE REST’HAU 28 Quai Augustin Descournut à Mèze - Tél : 04 67 51 20 71 LA PALETTE GOURMANDE 29 rue Roussy à Nîmes - Tél : 04 66 23 74 34 L’ARBOUSIER 18 rue de l’horloge à Nîmes - Tél : 09 50 14 43 78 VENTE EN LIGNE : www.e-gastronomie.com CARTE PINPARASOL recettes sur www.pin-parasol.fr ENTRÉE Festin de poireaux sauvages Huîtres et caviar de Spiritin Moules gratinées sabayon de Romarine Foie gras d’oie maison, figues confites à la Romarine accompagnées d’un Souleil glacé Tampura de Murex (escargot de méditerranée), sabayon et sorbet au Spriritin Terrine de lapin en gelée de Romarine VIANDES Côtes d’agneau des «Moulières» Magret au jus de Spiritin et miel, figues, purée à l’ancienne et persil plat Daube provençale mijotée aux deux parfums POISSONS Filets de Turbot aux vapeurs de Spiritin Filets de rougets poêlés, croquants des garrigues et risotto d’asperges et Spiritin DESSERTS Tartare de mangue glacé à la Romarine Sorbet citron et royale de Spiritin Nougat glacé rhubarbe, pistache et Souleil Brochettes de fruits frais déglaçage «Pinparasol» Tarte au sucre Souleil et arbouses COCKTAILS Le Frappé de la Gardiole Le grog des garrigues Le colonel des garrigues