Laissez-vousconter - Office de Tourisme de Feurs
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Laissez-vousconter - Office de Tourisme de Feurs
Villes et Pays d’art et d’histoire Au fil de la ville Laissez-vous conter Feurs Feurs entre ville et campagne Une ville verte de bord de Loire Au cœur de la plaine Située sur la rive droite de la Loire, à 346 m d’altitude, dans la partie orientale de la plaine du Forez, la ville de Feurs a le charme d’une petite ville à la campagne, encadrée de grands paysages agricoles. Elle est cernée par des milieux aquatiques variés. Au nord, la Loise, rivière prenant sa source dans les monts du Lyonnais voisins, anime le nord de la ville, assurant une coupure verte entre le centre commerçant et le quartier du Palais dédié à l’enseignement et aux loisirs sportifs. A l’est et au sud, une dizaine d’étangs sont voués à la pisciculture et à la chasse au gibier d’eau. A l’ouest, la proximité immédiate du fleuve ouvre sur des écosystèmes riches par leur diversité. Ainsi les nombreuses gravières jadis exploitées dans le lit mineur de la Loire sont-elles en cours de réhabilitation. Les bras morts du fleuve – appelés gourds – témoins des divagations de la Loire, sont repérables par une végétation semi-aquatique envahissante, à l’écart du lit majeur. Les rives accueillent volontiers de nombreuses espèces d’oiseaux, tels les grèbes huppés, les fuligules (canards plongeurs), les martins pêcheurs ou encore de nombreux rossignols. Une promenade sur les sentiers de bords de Loire, jalonnée de panneaux d’information, relie Feurs à l’Ecopôle du Forez situé à Chambéon. Concours de bovins au comice La passion du cheval Aujourd’hui, le Forez occupe le deuxième rang national derrière la Normandie pour l’élevage de trotteurs. Au XIXe siècle, la région fournit des chevaux de monte à l’armée française. En 1857, un groupe d’éleveurs et d’amateurs de chevaux créé une «Société d’encouragement pour la production et l’élève des Le comice agricole L’association du Comice Agricole de Feurs organise tous les ans trois semaines avant Pâques un grand concours de bovins de boucherie, complété par un concours d’agneau et deux expositions porcine et de reproducteurs Charolais, et ce depuis 1884. Cet évènement constitue un rendez-vous important qui s’inscrit dans l’histoire de l’activité d’élevage dans la plaine du Forez qui a connu un essor particulier dans la seconde moitié du XIXe siècle. chevaux dans le département de la Loire» dont le but est d’or- ganiser des concours ainsi que des courses de trot et de galop. Peu à peu, les épreuves des courses s’affinent. Un hippodrome s’avérera nécessaire à la valorisation des activités de la Société hippique. Son inauguration se déroule en septembre 1925. Aujourd’hui, l’hippodrome de Feurs, spécialisé dans le trot et dont la piste est réputée l’une des plus rapides du circuit, accueille des rencontres d’envergure nationale. Course de trotteurs à l’hippodrome Feurs, capitale des Ségusiaves Le sol de Feurs a livré de nombreux objets gallo-romains et monuments de qualité qui permettent de retracer l’histoire de la ville faite de périodes de gloire et de déclin. Un passé prestigieux Les origines de la ville Les fouilles archéologiques entreprises depuis 1978 ont démontré que Feurs était à l’origine une bourgade gauloise dont les vestiges occupent le sous-sol de l’agglomération actuelle. En 1984, une nécropole de la fin du Ier siècle av.J-C, composée d’une soixantaine de tombes à incinération, a livré un mobilier important exposé aujourd’hui au Musée d’Archéologie. L’histoire des Ségusiaves, peuple vivant dans le bassin de la Loire jusqu’au territoire délimité par le Rhône et la Saône, se confond avec celle des Celtes. Ptolémée, auteur latin, indique que les Ségusiaves sont établis à proximité des Arvernes et que leurs villes sont Rodumna (Roanne) et le Forum (Feurs). Le nom de Feurs résulte, en effet, de la contraction de Forum Segusiavorum signifiant «marché des Ségusiaves». Du village gaulois à la ville gallo-romaine Il semble que l’implantation romaine soit accompagnée d’une opération d’urbanisme faisant table rase d’une grande partie des structures antérieures. Dans le cadre de la réorganisation administrative de la Gaule, la bourgade celtique, qui jouissait d’atouts géographiques indéniables (richesse agricole, carrefour de voies, peuplement), est choisie comme capitale du peuple indigène des Ségusiaves. Forum Segusiavorum naît ainsi. La ville nouvelle présente, dès sa création, tous les caractères de l’urbanisme gallo-romain : la voirie orthogonale, délimitant des îlots d’habitation aux dimensions régulières, se développe autour d’un imposant forum qui occupe le centre de l’agglomération. Il subsiste de maigres vestiges de celui-ci place de la Boaterie. Un théâtre, connu par une inscription, des thermes, complètent la parure monumentale de la ville. Feurs connaît un essor à partir du règne de l’empereur Claude (41-54 ap. J.-C) et durant tout le IIe siècle. Rôle administratif, activités artisanales et commerciales lui assurent une réelle prospérité dont témoignent les riches demeures repérées lors des fouilles. La ville s’étend alors sur 80 hectares et rassemble peutêtre entre 6000 et 7000 habitants. Le Bas Empire voit le déclin de Feurs. A la fin du IIIe siècle, peut-être au début du IVe siècle, la capitale forézienne, déchue de son titre, est absorbée dans la Civitas Lugdunensium (Cité de Lyon). D’importantes traces d’incendie témoignent d’une destruction brutale de la ville que les trésors monétaires enfouis permettent de dater de la deuxième moitié du IIIe siècle. Au Ve siècle, Feurs est en ruine. Maquette du Forum, musée d’Archéologie Un nouvel essor au XVe siècle Le Moyen-âge : une empreinte durable l’ouest. Cette enceinte circonscrit un espace d’environ 6000 m 2 seulement, ce Les connaissances concernant Feurs durant le haut Moyen-âge sont très réduites. Au début du Xe siècle, une subdivision du pagus* de Lyon en conservait le nom : l’ager forensis. Dans la seconde moitié du Xe siècle, Feurs est qualifiée de burgus, t erme qui atteste d’une agglomération bien modeste, pâle reflet de l’antique splendeur. En 1227, date du premier texte médiéval indiscutable, Feurs possède un château. Celui-ci ne regroupe que quelques maisons tassées dans l’angle nord-est de l’actuelle place de la Boater ie. Il est ceint d’une murai lle précédée d’un fossé et s’ouvre par une seule porte située à qui prouve que la population n’était pas nombreuse. Cependant, dès la fin du XIIIe siècle, Feurs connaît un essor indéniable et réaffirme sa vocation urbaine grâce au renouveau du trafic commercial vers l’Auvergne, le long de l’antique route LyonThiers-Clermont. Le bourg s’étend désormais sur les ruines de l’ancien forum, utilisé comme carrière de matériau, et dont les traces au sol disparaissent alors complètement. Feurs est le siège d’une des quarante châtellenies comtales que compte le comté de Forez. L’essor de la ville est cependant freiné au XIVe siècle par les crises économiques qui affectent tout l’Occident, par la Peste et par la guerre de Cent Ans. Pour se protéger, la ville commence la construction du rempart en 1388. Quelques traces de cette enceinte d’environ 900 m de long, flanquée à l’origine de douze tours et percée de quatre portes (cf. Armorial de Revel ci-contre), subsistent aujourd’hui. Le redressement économique est sensible après 147 0 grâce aux foires de Lyon qui drainent un courant commercial important. Feurs au Moyen-âge. Vue topographique extraite de l’Armorial de Revel (circa 1450). BnF. Les bouleversements urbains du XIXe siècle sur son rôle de carrefour Feurs garde un visage médié- (1830), l’inauguration de la val jusqu’au début du XIXe siècle. Déjà au XVIIIe siècle, de nouveaux châteaux avaient été édifiés hors les murs : celui du Palais, de la famille Plasson de la Combe (Mu- Epoque contemporaine sée d’Archéologie actuel), de Bigny ainsi que la nouvelle Ecole des Minimes. commercial, Feurs se restructure : le pont suspendu voie ferrée d’Andrézieux à Roanne par Feurs (1834), le percement de l’avenue de la gare à l’église. L’implantation industrielle s’organise autour de la gare (atelier de construction de matériel ferroviaire Louis Caillot, féculerie Nigay en 1855, La première rue «moderne» entreprise de construction est percée en 1780 suite à de machines à vapeur Vulin l’ouverture de la route royale et Rousson en 1870, fonderie Lyon-Bordeaux. Franchissant en 1915). le rempart à l’angle sud-ouest de l’actuelle place Drivet, elle se dirigeait tout droit sur le fleuve pour gagner le bac permettant de le franchir. Le XIXe siècle inaugure un programme d’urbanisme de grande ampleur. Jouant Feurs à l’époque des «Trente glorieuses» L’expansion économique de Feurs s’accompagne d’un essor démographique. La ville passe, entre 1946 et 1975, de 5200 à 8000 habitants. Un réseau de villas et d’immeubles collectifs s’organise de part et d’autre du boulevard Clemenceau. L’extension urbaine se fait en direction de la Loise, vers l’est et vers le sud. C’est en direction de Montrond-les-Bains que le développement est le plus spectaculaire, avec, à la fin des années 60, la construction de l’ensemble d’immeubles de la Boissonnette (400 logements en partie en HLM) et avec l’extension de la zone d’activités industrielle et commerciale. Comprendre Feurs au Musée d’Archéologie Les collections du musée constituent un point de départ intéressant pour comprendre l’histoire de la ville Un site archéologique majeur L’origine du musée Fondé en 1930, le musée de Feurs est d’abord installé dans une partie des locaux de l’ancien Couvent des Minimes. Son rôle est de conserver les témoins les plus significatifs du passé antique de la ville. Une association des Amis du Musée, créée en 1931 pour gérer l’établissement, manifeste une activité de conférences sur le passé forézien. Les collections, au départ assez composites, sont réorganisées une première fois en 1952, déménagées en 1979 dans le château d’Assier, le site actuel. A partir de 1997, l’établissement rénove son fonctionnement ainsi que la présentation de ses collections et de son fonctionnement. Il obtient l’appellation «Musée de France» en 2002 et devient officiellement Musée d’Archéologie en 2004. Les collections Céramique antique. Scène de combat de gladiateurs. Musée d’Archéologie. Les collections émergentes touchent à trois domaines principaux : l L’archéologie, de la Préhistoire à l’époque gallo-romaine, avec une mention spéciale pour ce qui constitue l’élément fondateur du musée : le mobilier archéologique du IIIe siècle avant J.-C. jusqu’au IIIe siècle après J.-C., comportant la période brillante de Forum Segusiavorum. l L’ethnographie avec une collection sur le harnachement du cheval qui met en scène l’élevage en Forez. l Les Beaux-arts avec des peintures du XIXe siècle au charme villageois, des estampes du XXe siècle sur diverses thématiques, des sculptures en bois, marbre ou calcaire d’époques variées. Flâner à Feurs Eglise Notre-Dame de Feurs Une façade néo-gothique L’édifice actuel remonte en grande partie au XVe siècle et a remplacé une église romane (XIe siècle) dont quelques traces sont encore visibles dans le chœur. De grands travaux sont entrepris entre 1855 et 1862 : la nef de l’église est prolongée d’environ cinq mètres vers l’ouest tandis que l’ancien clocher est démonté. Les architectes Bossan (le concepteur de la basilique de Fourvière à Lyon) et Leo conçoivent une nouvelle façade et le clocher qui la surmonte dans un style néo-gothique très orné. Un ébéniste forézien, Ennemond Magat, sculpte la porte monumentale sur laquelle sont figurées des litanies de la Vierge. Dans le clocher, au niveau de l’horloge, les statues de Jacquemart et de sa femme frappent les heures. Ce sont des reproductions d’œuvres en bois coloré (fin XVe- XVIe siècle ?) dont les originaux sont conservés au Musée d’Archéologie. La façade de Notre-Dame et son clocher néo-gothique La nef et les bas-côtés Cette partie donne un bon exemple du gothique forézien du XVe siècle. Vers 1400, Anne Dauphine, comtesse de Forez et épouse de Louis II, duc de Bourbon, fait prolonger l’ancien chœur par trois nefs sur croisée d’ogives, Vue générale de la nef Les chapelles et leur mobilier Elles furent fondées et édifiées entre les XVe et le XVIe siècles par des familles de notables qui y établirent des sépultures. Trois d’entre elles sont à remarquer. La chapelle du Curé d’Ars (IV plan ci-contre) comporte une clé de voûte portant un blason orné d’une coquille Saint-Jacques. La chapelle du Baptistère (V) est la plus ancienne car elle conserve des traces du XIe siècle. La cuve baptismale est médiévale. La chapelle de Notre-Dame de Feurs (VI) est traitée en calcaire de Charlieu pour les croisées d’ogives. Elle abrite une statue de la Vierge, en marbre de Carrare. L’impression de douceur qu’elle dégage la situe dans la tradition des vierges gothiques. Elle fut présentée au Salon de 1848, à l’atelier de Jean Bonassieux. Ce sculpteur parisien, originaire de Panissières, établit plus tard le modèle de la vierge colossale qui domine la ville du Puy-en-Velay. Plan de masse de l’église sans transept. Soutenues par d’imposants piliers de granite, les voûtes de la nef centrale s’élèvent à 14 mètres de hauteur. Une clé de voûte porte les armes des Bourbons (croix grecque portant trois fleurs de lys). Flâner à Feurs Chapelle des Martyrs Place de la Boaterie De novembre 1793 à Février 1794, 80 victimes du Tribunal Révolutionnaire placé sous l’égide de Claude Javogues, sont exécutées à cet emplacement. Monsieur d’Assier de Valenches, maire de Feurs, propose en 1822, d’ériger un monument commémoratif afin «d’honorer d’un culte public la mémoire des Martyrs de la Monarchie et de la Religion». Un petit édifice en forme de temple grec est ainsi édifié à l’emplacement même d’un tertre de gazon qui recouvrait les ossements des victimes. Lors de la conduite de travaux d’urbanisme, de nombreuses découvertes ont été effectuées à l’occasion de diverses campagnes de fouilles. C’est ainsi que l’on a retrouvé des vestiges du forum antique, place publique sur laquelle se concentraient les activités commerciales et administratives et où se tenaient également les assemblées publiques. Aujourd’hui ne sont visibles que les traces de la Curie. Depuis la place on aperçoit la tour de Grézieux, reste des remparts du Moyen-âge. Chapelle des Martyrs Maisons bourgeoises du quartier de la gare En remontant vers la gare, de part et d’autre de l’avenue Jean Jaurès, de coquettes maisons bourgeoises de la fin du XIXe et du début du XXe siècles s’offrent au regard le long des contreallées plantées de platanes. Elles sont les derniers témoins de la «maison moderne» dont les principes sont dégagés par l’architecte Viollet-le-Duc en 1875 : confort, commodité, agrément et lien avec la parcelle de jardin. Les plans sont asymétriques, l’articulation entre intérieur et extérieur est très travaillée (porches, terrasses, pergolas). Les espaces de représentation (escalier intérieur, vestibule, hall) sont atténués et se vident de l’ostentation traditionnelle. Cette emphase se déplace dans la complexité des combles, véritables indicateurs d’une dépense superflue et donc du niveau de revenu du propriétaire. Certaines maisons étaient directement implantées à proximité de l’entreprise du propriétaire. Maison bourgeoise sur l’avenue Jean Jaurès Château du Rozier Un premier château a existé au XVIe siècle, construit par Jean du Rozier, capitaine-châtelain. Mis à sac une première fois pendant les guerres de Religion, le château est pillé et mutilé pendant la Révolution pour finir complètement détruit en 1796. Un nouveau château est édifié au début du XIXe siècle. Un plan d’architecte aquarellé laisse découvrir les plans du nouveau château dont l’architecture est inspirée du style «troubadour», très en vogue dans le XIXe siècle romantique. Les découvertes archéologiques réalisées dans le parc ont révélé l’existence d’un quartier gallo-romain. Détail du plan d’architecte du château du Rozier Place Guichard Elle doit son nom à Geoffroy Guichard (1867-1940), illustre représentant d’une famille forézienne et qui fut, avec son frère Georges, un des bienfaiteurs de la ville. Il fut à l’origine de l’entreprise commerciale du «Casino» dont le point de départ fut une épicerie située autrefois tout près de la succursale «Casino», à l’ouest de la place. Cet endroit correspond à l’ancienne place de la Grenette (marché aux grains) qui existait au Moyen-âge, remaniée ensuite au XIXe siècle. Quelques façades retiennent l’attention : le n°4 comporte des éléments de décor italianisants ; au n°5 est visible en très joli balcon en fer forgé ; au n° 6, l’ancien hôtel du cheval blanc présente une façade intéressante dont les fenêtres alternent frontons triangulaires et en demi-lune. Aux alentours du centre ville Couvent des Minimes et parc public Les Minimes constituaient un ordre mendiant institué par saint François de Paule en 1452. Leur établissement était, en général, voué aux principes de charité pour les pauvres et d’instruction pour les enfants du peuple. En 1609, Gilbert de Rivoire, marquis du Palais, fonde le couvent. Incendié en 1755, il est rebâti en 1758. La propriété se compose alors d’un enclos de 25 hectares environ et d’un monastère dont la vie spirituelle était animée par des moines, chassés en 1789 au début de la Révolution. En 1793, Feurs devient chef-lieu du département. L’administration départementale est installée dans le bâtiment avant d’être transférée à Montbrison peu de temps après. En 1926, la municipalité rachète l’ensemble. Situé à proximité immédiate de l’hippodrome, le parc est transformé en Jardin public. Château de Bigny Situé sur un promontoire qui domine la Loise, le château du Palais est édifié vers 1730 par François de Rivoire, marquis du Palais, dans le goût de l’époque. Un corps de logis central est flanqué en ses extrémités de deux pavillons en saillie. Un fronton triangulaire couronne l’avantcorps central tandis que des fenêtres hautes cintrées, parfaitement ordonnées selon l’axe symétrique du château, animent la façade principale. Aujourd’hui, le château est en cours de restauration pour être réhabilité en centre international d’hébergement. Edifié à partir de 1734 par Henri- Joseph Thoynet, conseiller du roi au baillage du Forez, le château de Bigny a été dessiné par l’architecte italien Michel Ange Del Gabio. Orientée d’est en ouest, la propriété (350 hectares à l’origine) s’étendait du fleuve Loire à la rivière le Lignon. Moulin, vers à soie, agriculture ont marqué l’histoire économique de Bigny. Le château, ses dépendances et la ferme dite du «Jeu de Paume» ont été inscrits à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 2004. Glossaire Château du Palais Forum : grande place dallée, entourée de portiques. D’un côté se trouve la basilique avec le tribunal et la curie, de l’autre, le temple principal de la cité. C’est au forum que les citoyens viennent discuter affaire. Basilique : édifice civil rectangulaire, divisé en plusieurs nefs parallèles et qui servait de tribunal. Pagus : division d’un territoire rural Ager : territoire rural CLEMENCEAU A L T PLEU Q U I GEORGES E D T N O D R UE RD BOULEVA E RTS VIC YM TO R HU GO U IL LO TI E R PA EM ES R G EN RU ED ER G LA D E U E R L A RAN DA N HARAS DES Z.I. LA BOISSONNETTE ILLANT LE SO DU ARD LEV BOU T LE RO Crêche ULS D E L 'E UR OPE RUE CHATEAU D'EAU u . Château d'ea Imp DES L E RUE H. BOU C CH D U GA U E RU ROUTE RUE R LES LILAS (lotissement) B O UL E V A RD N I E Centre Social LA BOISSONNETTE Y S IN U N E LE D G A R R (lotissement) AS D R LES HARAS DU P BOULEVARD D' OLCHING B O I S S O N N E T T E E RUE GALLIENI U V IE N AND A R F R A N C I S RANCIS GARNIER R P RUE TI LL E BE M CO L NE LO CO I M PAS SE DE RU E A R G EM IN CH U ARC ALDI HÉ O JARICHO D L A E E T D IN RU E D E L M ECOLE CHARLES PERRAULT R E RUE CHEMIN DE D E LA B O ISSON NETT E E E E ' H I P P O D R O M SUPE E RM B O P AST E UR H D U H IERE MASSENET C D R STADE RUGBY NET A R D E V U L B O I RUE E R CHATEAU D'EAU L QUI M D V A GENDARMERIE POMPIERS AR MEAUX DES RA CROIX E LA RUE D G O U R D E L E RUGBY R UE D E LA RO NZ EDG RUE HIPPODROME U DU TO Réalisation : Imprimerie Forézienne - Crédit photos : François Perrot ; Syndicat mixte des pays du Forez. S BOI D U E E V DU E RU L M O N TA DU DE RUE V. D E L APR A AN M IN ET T E LA N A RU E CE ZA NN E RUE RUE DU DE LA FON TAIN E IMP ND RA R O U S S E A U R U E U D E R LOT E T-AN RUE R K INE IMPASSE DE LA GARE C SUPERMARCHÉ LIDL TIE E MO ND E BROSSE GARE EN D SAIN RUE ES RM FAUBOURG ST-ANTOINE P EY LYAUT RTHE L BE U RUE JAU R JEAN E PA AY NIG J.M. RA GENE RUE L DU E U P A (lotisseme BO UT ER RUE DU ROSI PLACE DU 11 NOVEMBRE RU R W DU DE A E.D.F. U AV E N E EY ERN DUV RUE AU BOU DU MON IM PA SS E RUE E CHAPELLE DES MARTYRS LA VARENNE RUE DE T PLACE GUICHARD DU O E C E RU SALLE DES FETES B P RANDAN R CHÂTEAU DU ROZIER CARREFOUR DE LA BLIQUE LIBERATION LA REPU RUE DE CINÉ MO TT IN S PLACE DE LA BOATERIE 1. RUE SAUNERIE 2. RUE D'URFÉ 3. PLACE DU PUITS DE L'AUNE 4. RUE DE LA BOATERIE 5. RUE DE L'ABBÉ PERRIN 6. RUE DE LA PAIX HALLE DU ROZIER 5 R E P LE ROZIER P M B E T G A LA POSTE CPAM NES S A L M. CHAMPAGNAT 4 O I L ER D'ASSI FER RY S L E ECOLE JU JARDIN PU B L I C CHAMBRE FUNÉRAIRE D du SALLE COLLEGE FAYARD M. CHAMPAGNAT RUE E N Coeur Forez MIN IM (lotissement) RUE D ES PLA TA RUE BEAUVERIE A 3 1 2 1 1 3 RUE DE L'HERCULE ROMAIN E N RUE ME RCIERE LO OL .M EJ PH . P F ECOLE DU PARC R U E le Y V L AINE RL É DES S E 6 RU OR U E MARC H RUE DU PO U J. A PALAIS RUE DU R ECOLE DU 8 MAI I M A RE E RU OFFICE DU TOURISME MINI-GOLF A SENTIER DES BORDS DE LOIRE FEURS - ECOPÔLE DU 8 E P . L PLACE PLACE DU FORUM CARNOT ESPACE EMPLOI FORMATION RU MARD QUE PLACE R. JAC A. DRIVET E RU R D O HES NC VE COMMUNE E U R MAIRIE MUSÉE P DE LA T E G R AÉRODROME ÉCOPOLE PETITE MOTTE GRANDE MOTTE GRAND SANDY N D E D TEL E L'HÔ PLACE RUE D DORIAN CENTRE DES IMPÔTS SUPERMARCHÉ ATAC U LLE E VI S DE E RU MAISON TRESOR PUBLIC I A URBANISME PLACE FELIX NIGAY R SERVICE DES EAUX P BROUTIN RUE A. D E RU E HÔPITAL A 19 MARS 1962 MAISON DE RETRAITE P . 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