« Vocalist solo tameni Miss A. » Or « -I`ll
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« Vocalist solo tameni Miss A. » Or « -I`ll
Titre : Vocalist solo tameni Miss A. or -I’llSujet : Dans les « temps anciens », un jeune vocaliste essait de percer et se retrouve précepteur d’une jeune femme… Auteur, scénariste : Asako Co-scénariste : Anne Genre ; Romanticu… (À prononcer façon Gackt, si z’avez vu Moon Child) Commentaires : Elle était pas censé crever mais bon, merci Anne pour tes merveilleuses idées !! « Vocalist solo tameni Miss A. » Or « -I’ll- » By Asako, 12/08/2004 Tiens, voilà une douce chaleur ambiante bien familière. Comme en ce jour où j’étais encore si jeune et inexpérimenté. Le silence furtif qui s’installe doucement, le calme bien trop pesant arrivant ensuite et enfin les lumières laissant place aux ténèbres… Sauf que cette fois, cette chanson est pour toi, ce soir, je me dévoue à toi comme pendant notre première et dernière nuit… -I’ll for you… Je te désire… *** La famille DeGurei se plaça lentement dans les gradins. C’était le 5ème concert auquel ils assistaient, le père cherchant désespérément un précepteur à sa fille aînée, Asako. Le silence s’installa, laissant place à un calme plaisant, les lumières s’éteignirent furtivement avant le lever du rideau. Violons, basses, altos et contre basses… tout les instruments étaient merveilleusement en accord avec le chœur des voix qui s’élevaient doucement. Mais une voix en particulier, projetée du devant de la scène dans toute la vaste salle impressionnait vraiment son public. Un jeune homme, blond, plus petit que les autres certes, mais contenant une telle présence ! Une voix d’ange regagnant paisiblement les cieux qu’elle n’aurait jamais du quitter… C’était lui qu’il lui fallait ! Et il y mettrait le prix désiré… *** Le jeune vocaliste se présenta à l’adresse indiquée. Tout de même, lui offrir une si belle somme pour donner des cours de chants… d’autant plus qu’il n’avait jamais fait ça avant… il l’avait pourtant précisé… Il frappa à la porte et un serviteur l’accueillit. C’était une belle maison à l’ancienne, bien meublée et convenablement tapissée. Il en fut impressionné du fait qu’il n’était pas riche, souvent sans un sou en poche d’ailleurs. On l’emmena dans ce qui semblait être le salon et le Maître de maison le reçu amicalement. Il discuta longuement de ce qu’il souhaitait et lui promis même de l’augmenter si il était satisfait. Ceci dit, ils convinrent des jours et des heures des cours que le blondinet donnerait à la fille de Mr. DeGurei. *** -Melle est-elle prête ? La nouvelle servante s’affairait autour de sa jeune maîtresse. -Mais oui, tout va bien. Ce n’est là qu’un cours de chant qui va avoir lieu, pas de quoi s’affoler… -Tout de même, Melle se sent-elle bien ? -Oui, allez, sortez maintenant. Ils arrivent. -Bien Melle. Mr. DeGurei entra en compagnie du « Maître à chanter », beaucoup plus jeune qu’Asako ne l’aurait pensé et après lui avoir encore rappelé ce qu’il souhaitait, il sorti pour laisser le Maître et son Elève en tête à tête studieux. *** La première approche avait été plaisante, et Asako attendait ses prochains cours avec impatience, ne cessant pas de faire les louanges du jeune vocaliste blond à son attentive servante. -Il est si doux… il ne me brusque pas comme l’Ancien tu sais… -L’Ancien n’était qu’un vieux pervers… -Pour ça oui ! Et d’une laideur en plus… -Ha, ha ! Melle a bien raison ! Aussi laid qu’un poux !! -Ha, ha oui ! Kamisama, il est là l’heure de mon cours et je suis encore au bain ! Je l’entend qui arrive, onegai, retiens-le pendant que je me couvre… La fidèle servante alla ouvrir et demanda à l’arrivant de bien vouloir patienter quelques instants. Ce qu’il fit jusqu’à ce que la magnifique créature qui lui servait d’élève ne sorte de derrière un paravent, ses cheveux mouillés ondulants sur ses épaules. -Eh bien, fermez la bouche, mon cher Maître à chanter, rigola t-elle. Et vous avez là de la chance, il n’y a point de mouches dans cette pièce… -Ah euh… oui. Mr. Votre Père m’a déjà augmenté alors qu’il n’y a encore pas eu de résultat flagrant… -C’est que je suis heureuse d’apprendre avec vous. -Oh ! Votre père est un homme bon Melle Asako. -Trop bon des fois… Commençons nous notre cours ? -Bien sûr ! *** Le jeune vocaliste se plaça derrière Asako pour appuyer à un endroit spécifique avec sa main. -C’est presque bon, il faut que ça vienne de là. La jeune fille réessaya en y mettant plus de force. -Non, non, allez-y encore, vous y êtes presque… Asako se laissa aller contre son précepteur et ses épaules rencontrèrent le haut de son torse finement musclé et trouva apparemment la bonne note. -Euh… oui voilà… Il s’écarta d’elle pour lui faire face et la regarda un peu gêné. -Ah c’est bon ? ^_^ -Oui… -Qu’est-ce qui ne va pas ? Vous vous sentez mal ?? -Non, non… vous savez, je suis pas un type riche et… ça me fais vraiment trop bizarre de vouvoyer tout le temps. On ne pourrait pas se tutoyer ? Sans vous offenser bien sûr… Un grand sourire illumina le visage déjà radieux de son élève. -Ca serait avec grand plaisir, Mr. … ? -Appelles moi Kyo. -D’accord ! ^_^ Alors on reprend là où on en était ? -Ah euh oui… ^_^’ Et ils se remirent au « travail » pendant une bonne heure sans se remettre dans de gênantes positions, car si Mr. DeGurei les avait aperçus, il aurait vite renvoyé le jeune blond… *** -Ah ma fille ! Enfin debout ! -Oui père ^_^ -Tu es éblouissante dis-moi ! Y aurait-il un secret que tu me cacherais ? -Non, pas le moindre, père. -Tes cours privés te satisfont-ils ? -Oh oui ! J’aime apprendre avec ce garçon. -Bien, on va rapprocher les séances alors. J’ai aussi entendu que tu faisais des progrès. -Oui, je trouve aussi. -Mais quels sont ces textes ? Je n’en connais aucun… -Hum… je ne sais pas, je lui poserais la question à notre prochain cours… -D’accord. *** Kyo arrivait maintenant tous les deux jours en début d’après-midi, trouvant à chaque fois son élève qui sortait de son bain. Mais cette fois-ci, Asako avait prévu son arrivée et était déjà prête, et magnifiquement habillée et coiffée… -Ohayô ! -Ano… eto… ohayô… -Que chantons nous aujourd’hui ?? s’enquit la jeune fille. -Eh bien… j’ai une nouvelle chanson à te montrer… -Oh ! J’ai hâte de la lire !! Montre-moi ! Le jeune blond sortit une composition de sa poche et la tendit à Asako. Elle lu avec attention plusieurs fois puis releva les yeux, songeuse. -Kyo, qui écrit ces textes… ? Kyo devint aussitôt d’un rouge grenat et bafouilla péniblement : -Euh… je… c’est… euh… -C’est toi ? C’est toi qui les écris ? Elle se rapprocha de lui et prit son visage dans ses mains pour qu’il la regarde dans les yeux. Kyo articula difficilement un « Hai… » quasiment soufflé puis se tue. -Ils sont admirables, tous tes textes Kyo… vraiment admirables… *** L’élève et le Maître étaient devenus amis à force de se côtoyer. Ils passaient des fois leurs heures à parler au lieu de chanter en gardant quand même en tête l’idée de base qui était d’améliorer la voix d’Asako… mais la jeune fille pensait avoir assez progresser pour se prendre de longues pauses de temps en temps (souvent tout de même…) et préférait aider Kyo à corriger son orthographe et ses textes en s’amusant à le taquiner sur ses fautes répétées… -Là encore… -Arg… -Hi hi… ! -Et ça t’amuse toi hein ! -Gomen. Ah je voulais te demander… mon père organise un petit bal demain soir et, je sais que c’est un peu tard pour te le demander mais… est-ce que tu pourrais m’y accompagner ? -Ah euh… c’est que… Kyo baissa la tête, ses joues se tintant de rouge clair. -Qu’y a-t-il ? -Je… je… je sais pas danser ! -Oh… ! Mais euh… ce n’est pas grave ! On restera dans le coin et on parlera ! ^_^ S’il te plaît, viens… Le jeune homme releva les yeux et aperçut le visage d’Asako, elle avait un regard attristé, semblant vraiment vouloir la compagnie de son Maître à chanter… -O… ok… -C’est vrai ? C’est oui ?? Dans un élan de trop grand bonheur, Asako se jeta au cou de Kyo qui prit de suite une teinte pourpre. Et quand la jeune fille réalisa son geste, Kyo n’était plus le seul à rougir… *** Le soir du bal arriva. Kyo était assez nerveux et lorsqu’il aperçut sa cavalière cela fut encore pire… Asako s’était parée d’une magnifique robe bleu nuit, longue et fine. C’était plutôt une robe d’été mais la jeune femme ne semblait pas s’en soucier, elle voulait juste paraître somptueuse en cette belle soirée d’hiver où la neige tombait flocon par flocon sur les jardins sans vie. Les deux jeunes vocalistes se retrouvèrent dans le hall du manoir et Asako mena Kyo dans la salle où le bal devait avoir lieu. Après un bref discours de Mr. DeGurei, les maîtres de maison ouvrirent la danse. Puis les invités se mêlèrent à eux. Kyo et Asako demeuraient assis autour d’une petite table et discutaient de choses et d’autres jusqu’au moment où Kyo tendit une main hésitante à la jeune fille qui l’accepta voyant qu’une chanson douce et lente inspirait son cavalier à la danse. Et Kyo la fit danser, un instant merveilleux pour Asako qui ne se lassait pas d’être au près de cet homme qui lui plaisait de plus en plus. Mais le morceau se termina et ils durent se séparer. Asako qui disait avoir trop chaud se dirigea vers le balcon et sortit avant que Kyo ne la suive quelques instants plus tard. Il la retrouva dans le froid, de délicieux flocons de neige glacés dans ses longs cheveux bruns, tenant dans ses mains un petit bouquet de fleurs ayant apparemment survécus au froid de l’hiver. -Tiens, dit-elle en tendant le bouquet à son cavalier d’un soir. Elles sont pour toi… Et en même temps qu’elle lui passait le bouquet orné de magnifiques fleurs, elle rapprocha un peu plus son visage du sien avant de fermer les yeux pour déposer un doux baiser gelé sur les lèvres du petit blond. Lorsqu’ils se séparèrent, elle esquissa un fin sourire, lui montrant à quel point elle était heureuse d’avoir rencontré quelqu’un comme lui. Puis ses yeux se fermèrent et ses jambes se dérobèrent, elle s’évanouit. Kyo eut juste le temps de l’attraper par la taille avant de la reconduire à l’intérieur pour prévenir ses parents… *** Les jours passaient lentement pour le jeune vocaliste. Ses journées étaient devenues mornes depuis ce soir où elle s’était évanouie… Tous les matins, il passait au manoir dans l’espoir de pouvoir la revoir, et toujours on lui disait de repasser, qu’elle n’était ni en état de recevoir un cours de chant, ni en état de voir quelqu’un… Les jours passaient aussi lentement pour la jeune malade. Le docteur venait et repartait tous les jours avec toujours cet air de « Je suis désolé mais je ne peux rien faire, son sort est voué au destin ». Bien sûr, la maladie n’était pas contagieuse, ça non, elle le savait, mais son père s’évertuait à ce que personne d’étranger à la famille ne vienne la voir. Elle qui aurait tant voulu revoir le visage de cet homme fabuleux à qui elle avait offert un baiser la nuit du bal… Des fois, elle l’apercevait les jours où elle se sentait assez forte pour marcher jusqu’à la fenêtre. Et elle l’observait, il était inquiet pour elle… *** Plusieurs mois après le début de sa maladie, Kyo avait voulu la revoir coûte que coûte et s’était fait littéralement jeté dehors. Il l’avait alors aperçue, debout à sa fenêtre, lui faisant un signe de la main, apparemment heureuse de le voir même malgré la vitre et les étages qui les séparaient… Il se promit de monter la voir le soir même. *** Asako était allongée dans son lit, les yeux ouverts. Elle n’arrivait pas à dormir. Aujourd’hui, il l’avait vue. Depuis le temps que leurs regards ne s’étaient plus croisés… Soudain, elle entendit un drôle de bruit venant de sa fenêtre. Elle se redressa et avec un grand effort se traîna jusqu’à la fenêtre, qu’elle ouvrit. Elle allait se pencher pour voir de quoi il s’agissait lorsqu’une main s’agrippa fermement au rebord de la fenêtre et qu’une tête blonde apparut. Reconnaissant de qui il s’agissait, la jeune femme retînt son cri d’étonnement et aida tant bien que mal Kyo à se hisser dans sa chambre. Cet effort fourni, elle tomba à genoux et Kyo la prit dans ses bras pour la remettre au lit. Enlevant ses chaussures, il se glissa au près d’elle. Elle se serra contre lui et l’embrassa tendrement, murmurant qu’elle ne pensait pas pouvoir refaire ce geste vu son état… -Ne dis pas ça, tu as encore du temps… -Moins que tu ne le crois… selon le docteur, il ne me reste même pas un mois à vivre… Il ne me l’a pas dit directement mais je l’ai bien entendu. Les lèvres d’Asako tremblèrent et elle murmura pratiquement inaudible : -Vierge à sa naissance, vierge à sa mort… Puis, plus fort : -Moi qui pensais me trouver un bon mari et vivre en paix… Malgré la peine que Kyo ressentait pour elle, il ne pouvait s’empêcher d’esquisser un petit sourire. Il avait tout de même compris la phrase murmurée par la jeune femme. Doucement, il laissa ses doigts parcourir le visage d’Asako, descendant lentement dans son cou. Elle se laissa faire. Les doigts firent place à une bouche hésitante, et la main continua son chemin vers le bas. Asako gémit quand Kyo passa sa main sous sa chemise de nuit pour lui caresser la poitrine et embrassa le blond. Délicatement, il se glissa entre ses jambes sans arrêter de la caresser. C’était sa première fois pour elle, pour lui, elle ne savait pas, mais pour elle… Elle adorait la sensation que lui procuraient les doigts de Kyo courant un peu partout sur sa peau comme ses lèvres sucrées. Elle aimait ces lèvres et sa langue ne se lassait pas de goûter celle du jeune vocaliste. Elle aimait ces mains, qui avaient habilement fini de la déshabiller. Elle aimait ce torse, contre lequel sa poitrine était pressée. Elle aimait tout en lui jusqu’à cette douce voix qui lui murmurait à l’oreille des mots tous aussi plaisants les uns que les autres et aussi… -Hmm… Kyo… -Je te fais mal ?? s’enquit le jeune homme. -Hmmm, non pas du tout, continues… Kyo remonta les jambes de son amante afin de les croiser sur son dos. Elle suivit le mouvement et resserra son étreinte, le plaisir se fit plus fort. Kyo posa alors ses mains sur les hanches de la jeune femme pour accentuer le mouvement. Asako se cambra. -Hmm !! -Chuuut ! Doucement… Les mains du vocaliste suivirent la courbure des reins de son élève jusqu’à ses seins. Sa langue vint s’amuser avec les tétons de la jeune femme. Celle-ci s’arma de patience, se mordant la lèvre inférieure pour se maintenir en place. Soudain, elle sentit Kyo se cambrer et le plaisir se fit trop prenant. Elle ouvrit de grands yeux étonnés avant de les refermer quand un bien être puissant l’envahit. Kyo se retira et laissa son amante se blottir contre lui. Il était conscient de l’avoir fatiguée… Ils dormirent ainsi quelques heures, avant que Kyo ne se retire définitivement pour rentrer chez lui aux premières lueurs de l’aube. *** Les semaines passèrent et Asako s’affaiblissait et s’amaigrissait à vue d’œil. Tous les jours, elle demandait à son père de bien vouloir lui laisser voir Kyo, mais il refusait. De son côté, le jeune vocaliste insistait de même, sans plus de succès. Finalement, le matin où elle sentait que la vie commençait vraiment à la quitter, son père lui demanda quelle était sa dernière volonté, effondré et en pleurs. Elle ne prononça qu’un mot, ou plutôt un nom, en un souffle : « Kyo… ». Son père céda, puisque cela contribuait à son bonheur avant le moment fatidique. Kyo arriva à son heure habituelle et fut étonné qu’on le laisse entrer. Mais il en comprit vite la raison, en voyant les mines défaites de tous les proches parents de son aimée. Il entra dans la chambre aux rideaux tirés depuis maintenant deux bonnes semaines et s’approcha du lit d’Asako. Son front était en sueur, elle avait du mal à respirer, le souffle court et restait immobile. Il lui prit affectueusement la main. Elle ouvrit les yeux, lui jetant un regard tendre et lui sourit, tout aussi tendrement. Elle ouvrit difficilement la bouche et inspira péniblement. Voulait-elle lui dire quelque chose ? -Kyo, je… je t’ai… Son souffle s’interrompit et son regard se brouilla. Elle eut l’air de vouloir sourire à nouveau mais ses yeux se fermèrent définitivement avant qu’elle n’en n’ait le temps et sa main desserra son étreinte sur celle de Kyo. -Non… Asako… Asako ! Réveille toi !! Asaaaaa !! Non… Kyo se mit à pleurer sur le corps maintenant inerte de la seule femme qui ne lui ait jamais donné un amour véritable. Jamais il ne retrouverait cela chez une autre. Il resta là, à pleurer, sur la dépouille de son aimée, durant de longues heures… *** Aujourd’hui, je n’ai toujours pas retrouvé quelqu’un comme toi. C’est pour cela que je monte sur scène, sûr de moi, pour te dédier cette chanson, que j’ai écrite après ta mort, pour toi… Elle s’intitule -I’ll-… Ecoutes moi bien de là où tu te trouves désormais car je sais que tu m’entend encore… _Sabitsuiteru kono tokei boku no you da Hito no ai wa nanige naku owari wo mukaeru Osanai koro wo omou yasashisa ni ueteta a Amari ni mo toosugita anata no koe Cette horloge rouillée est comme moi L'amour des gens arrive à sa fin sans raison Je me souviens de mon enfance quand j'étais affamé de tendresse Ta voix était trop lointaine Boku no kokoro ano koro to nani mo kawarazu Mon coeur n'a pas changé depuis cette é époque Kimi ni okuru shitto dake ga tsunoru bakari Seule la jalousie que je t'ai prise augmente Kizu tsuku no ga kowakute nani mo dekinaku naru J'ai peur d'avoir mal et je ne peux rien f faire Itsuka yume ga kanau to boku wa negau Je souhaite qu'un jour mes rêves deviennent réalité Kisetsu ga yuki wo furashita sonna yoru Kimi ga boku ni okutta ai no hanataba Zoukei no doku no hanataba La nuit quand la saison fait tomber la neige Le bouquet de fleur d'amour que tu m'as envoyé Etait juste un bouquet de fleurs empoisonnées Osanai koro wo omou yasashisa ni ueteta Je me souviens de mon enfance quand j'étais a affamé de tendresse Itsuka yume ga kanau to boku wa negau Je souhaite qu'un jour mes rêves deviennent réalité Kisetsu ga yuki wo furashita sonna yoru Kimi ga boku ni okutta ai no hanataba Zoukei no doku no hanataba La nuit quand la saison fait tomber la neige Le bouquet de fleur d'amour que tu m'as envoyé Etait juste un bouquet de fleurs empoisonnées Boku no yume wa kuzurete suna ni nari Kaze ni nagasare Nido to hito wo ai sezu Demo ima mo kimi wo sagashiteiru Mes rêves écroulés sont devenus du sable Et ont été emporté par le vent Je ne serai plus capable d'aimer qui que ce soit Mais je te cherche toujours Aaaah.... Kisetsu ga yuki wo furashita Nido to hito wo ai sezu Demo ima mo... kimi wo sagashiteiru… Aaaah... Les saisons qui ont fait tomber la neige Je ne serai plus capable d'aimer qui que ce soit Mais je te cherche toujours... *** Aux cieux, un ange laissa couler une larme nacrée et murmura : -Kyo, je t’aime… où que je sois et où que tu te trouves… ~Owari !~ By Asako, 26/08/2004