Le décompte est terminé : votre compte est limité à 400 0001!

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Le décompte est terminé : votre compte est limité à 400 0001!
Automne 2012 • Vol. 7, No 3
Le décompte est terminé :
votre compte est limité à 400 0001!
Par Jean Durocher, M.Sc., D.M.V., coordonnateur de la santé des troupeaux laitiers, R et D, Valacta.
Nous voilà déjà au lendemain du
1er août 2012, date d’entrée en vigueur
de la nouvelle norme pour les cellules
somatiques. Étiez-vous prêts?
Certains diront oui, d’autres c’est
moins sûr…
Oui, j’étais prêt!
Si le CCS de votre troupeau est stable
depuis plusieurs mois, entre 200 000
et 250 000 : bravo! Ceci dit, pourquoi
ne pas maintenant atteindre un CCS
< 200 000 pour profiter de la prime de
0,50 $/hectolitre? Vous pourriez même
viser un CCS < 150 000 pour une prime
additionnelle en vigueur cette année.
J’étais prêt, mais…
Au dernier contrôle, le CCS de votre
troupeau était, disons, à 340 000, donc
sous la barre des 400 000. Ouf! Pour
cette fois ça va et la prochaine fois
peut-être aussi. Toutefois, vous êtes
dans une position risquée. En effet, la
variation du CCS à l’échelle d’un troupeau est un phénomène dynamique
influencé par plusieurs facteurs. Dans
votre situation, il y a un risque important de dépasser, à quelques reprises
au cours des prochains mois, la limite
de 400 000.
Pour éviter de se retrouver hors
norme, les experts suggèrent de viser
une moyenne de troupeau sous les
250 000 (idéalement sous 200 000).
Ça va mal!
Le 1er août est arrivé et votre plus
récente moyenne de CCS dépasse
la nouvelle limite. Avant longtemps,
vous risquez des pénalités. Il n’est
jamais trop tard pour bien faire,
mais que faire?
CCS haut ou bas : visez encore
plus bas!
Que ce soit pour vous conformer à la
nouvelle norme, éviter les pénalités,
bénéficier des primes ou surtout augmenter la rentabilité de votre troupeau
en favorisant la santé du pis de vos
vaches, il y a toujours avantage à viser
un CCS plus bas. Évidemment, les
problèmes des troupeaux à CCS élevé
sont différents des troupeaux à CCS
plus bas. L’approche idéale est donc
différente, selon le cas.
Dans ce numéro du Savoir laitier à
votre portée, nous avons fait appel à
un expert sur la question : Dr Simon
Dufour, nouveau directeur scientifique
du Réseau canadien de recherche sur
la mammite bovine et la qualité du lait.
Il nous présente des pistes de solution
différentes pour les troupeaux dont
le CCS est au-dessous ou au-dessus
d’un seuil de 200 000.
1. Toutes les valeurs de CCS dans ce texte sont en cellules par ml.
Sommaire
Le top trois des pistes de
solution proposées par Simon 2
Des outils à votre portée! 6
Conseil d’administration 2012 8
Améliorer la santé du pis et diminuer le CCS de mon troupeau
Le top trois des pistes de solution
proposées par Simon
Selon votre situation, le Dr Simon Dufour vous présente ses recommandations, basées sur les résultats
de ses recherches dans des fermes laitières du Québec et d’ailleurs au Canada* :
Un expert sur
la santé du pis,
à votre portée!
Le CCS de mon
troupeau est de
200 000 cs/ml ou
1
Sur la paille
1
Les gants sont à la mode!
Dans votre situation,
les bactéries SCN** sont
fort probablement les
principales responsables
du CCS dans votre
réservoir. En fait, les
infections causées par
ces SCN sont un obstacle
majeur à tous vos
efforts d’amélioration
additionnelle de la santé
du pis de vos vaches.
s
Au cours de
ses dix premières années de
carrière, Simon
a pratiqué la
médecine des
bovins laitiers
au Québec et
en ColombieBritannique.
En 2007, il a entamé des études de
doctorat au sein du Réseau canadien
de recherche sur la mammite bovine
et la qualité du lait, à la Faculté de
médecine vétérinaire de l’Université
de Montréal. Le sujet de ses recherches portait sur l’impact des pratiques de gestion à la ferme sur la
dynamique des infections du pis dans
les troupeaux laitiers. Son diplôme
de Ph.D. en main, il a ensuite poursuivi ses recherches dans le cadre
d’un stage postdoctoral à l’Université
de l’Île-du-Prince-Édouard. Il est
depuis peu professeur à la Faculté de
médecine vétérinaire de l’Université
de Montréal et Directeur scientifique
du Réseau.
s
Dr Simon Dufour
Le CCS de mon
troupeau est de
200 000 cs/ml ou
Dans votre situation,
ce sont les infections
contagieuses comme
celles causées par
S. aureus, qui sont
souvent responsables
d’une part importante du
CCS de votre réservoir.
Votre priorité sera donc
de prévenir les infections
à S. aureus pour viser une
amélioration de la santé
du pis de vos vaches à
long terme.
Le type de litière est fortement lié à la
présence des bactéries SCN dans l’environnement de la vache.
La litière de paille est couramment
utilisée dans nos fermes, mais elle
augmente le risque d’infections du pis
causées par les SCN. En comparaison, les litières à base de produits du
bois permettent de diminuer ce risque
(1,8 fois moins d’infections). Si vous
pouvez envisager les litières de sable, la
diminution du risque sera encore plus
importante (3,7 fois).
Si vous décidez d’utiliser la paille, assurez-vous de remplacer la litière tous les
jours et même d’en ajouter à quelques
reprises au cours d’une journée.
Les infections à S. aureus sont le plus
souvent transmises d’une vache à l’autre
durant la traite. Porter des gants permet
de réduire de près de la moitié des
nouvelles infections causées par cette
bactérie.
Attention : porter des gants c’est
important, mais porter des gants
propres, c’est beaucoup mieux!
Prenez le temps de les laver souvent
pendant la traite et jetez les gants
après chaque utilisation.
Au-delà du
top trois…
Que votre moyenne de CCS
soit basse ou plus élevée, la
désinfection des trayons après
la traite et le traitement universel au tarissement sont des
pratiques importantes pour
contrer les infections contagieuses, comme celles causées
par les SCN ou S. aureus. Chez
presque toutes (88 %) les
fermes laitières canadiennes,
ces pratiques sont déjà bien
ancrées dans la routine.
2
3
2
3
La recette
du succès
Dehors les vaches!
Les vaches ayant accès au pâturage courent près de
deux fois moins de risque de contracter une infection
à SCN. Selon vos installations, cette option pourrait être
intéressante.
Attention : l’utilisation d’un parc d’exercice, gazonné ou
non, ne semble pas suffire à diminuer le risque.
La motivation au travail
Vous connaissez bien les bonnes pratiques d’hygiène et de
méthode de traite, mais pour mille raisons, il est si facile
de les négliger.
Dans des fermes où les trayeurs recevaient un boni pour la
qualité, le risque d’acquisition d’infections à SCN était trois
fois plus faible qu’ailleurs.
Ainsi, l’équipe de trayeurs doit être bien sensibilisée à l’importance des bonnes pratiques de traite. Tous les moyens
sont bons pour y arriver, faites preuve de créativité!
Attention aux trayons!
La bonne intégrité de l’extrémité des trayons constitue la
principale barrière contre les infections à S. aureus.
Pour limiter les dommages, il est important de :
- bien stimuler les trayons,
- respecter le délai minimal de 60 sec. entre le début de
la stimulation et la pose de l’unité de traite,
- et bien ajuster les retraits automatiques.
Un bon bain avant la traite!
Non, il n’est pas nécessaire pour vous de prendre un bain
avant la traite…vous laver les mains sera bien suffisant. On
parle plutôt des trayons ici!
En effet, la désinfection des trayons avant la traite pourrait
prévenir jusqu’à 40 % des infections à S. aureus.
Assurez-vous de laisser agir la solution désinfectante sur
les trayons pendant environ 30 sec.
Message – clé
Toute pratique qui
permet d’offrir un
environnement
propre, sec et
confortable à vos
vaches pourrait
vous permettre de
réduire substantiellement votre
CCS. C’est souvent
là que réside la
différence entre un
troupeau à bas et à
très bas CCS.
Message – clé
De bonnes pratiques d’hygiène et
une méthode de
traite éprouvée
demeurent à la
base du succès
dans la démarche
pour diminuer une
moyenne de CCS
trop élevée. Vous
connaissez bien
l’ensemble de ces
bonnes pratiques,
il vous faut maintenant trouver la
motivation de les
mettre en place et
de les maintenir.
Pour réussir à diminuer le CCS
de votre troupeau, il vous faut
bien cerner la problématique
par un diagnostic précis. Cela
vous permettra de prioriser les
pratiques de gestion qui auront
l’impact le plus important sur
la santé du pis de vos vaches.
Voici donc les ingrédients
de base de cette recette du
succès :
12
3
1- une équipe multidisciplinaire d’intervenants
compétents qui travaillent
ensemble (médecin
vétérinaire, conseiller
en production laitière,
représentant d’équipement de traite, etc.),
2- un plan de match
personnalisé et concerté,
3- une exécution impeccable
et durable de ce plan de
match par toutes les
personnes concernées.
* Le top trois des recommandations est basé sur
les résultats d’un projet de
recherche mené au sein du
Réseau canadien de recherche sur la mammite bovine,
par S. Dufour, Faculté de
médecine vétérinaire,
Université de Montréal, I.R.,
Dohoo Atlantic Veterinary
College, University of
Prince-Edward-Island et D.T.
Scholl, College of Agriculture
and Biological Sciences,
South Dakota State University.
**staphylocoques à coagulase
négative
1
Porter des gants propres durant la traite.
nOui, je porte toujours des gants et je les nettoie régulièrement
durant la traite.
nOui, je porte des gants, mais je ne les nettoie pas durant la traite.
n Je porte parfois des gants ou certains membres de l’équipe de trayeurs
ne portent pas de gants.
Faites le
test
nAucun des trayeurs de mon entreprise ne porte des gants durant la traite.
Y a-t-il un potentiel d’amélioration de cette pratique dans votre entreprise? Oui/Non
Idée pour améliorer l’adoption de cette pratique dans votre entreprise :
_________________________________________________________________
Une bonne procédure de
traite est un art qu’il faut
maîtriser et un engagement
2
Déterminer un ordre de traite.
n L’ordre de traite est respecté dans mon troupeau et est révisé régulièrement.
à respecter dans ses
nUn ordre de traite a été mis en place, mais n’a pas été révisé récemment.
détails. Les grands succès
nIl n’y a pas d’ordre de traite en vigueur dans mon troupeau.
sont associés au respect
des petits détails et c’est
Y a-t-il un potentiel d’amélioration de cette pratique dans votre entreprise? Oui/Non
ainsi que vous atteindrez
Idée pour améliorer l’adoption de cette pratique dans votre entreprise :
votre objectif de diminuer
_________________________________________________________________
le CCS. Le guide Comment
réduire et maintenir un
bas niveau de cellules
3
Nettoyer les trayons.
somatiques à votre
n Je nettoie les trayons avec un linge propre différent pour chaque vache et
une solution désinfectante.
compteur (voir page 6)
n J’utilise un bain de trayon pour une désinfection avant la traite.
revoit en détail les
éléments d’une procédure
n Le nettoyage des trayons n’est pas effectué adéquatement par tous les
trayeurs de mon équipe.
de traite complète et
n Les trayons ne sont pas nettoyés avant la traite.
éprouvée. Ces bonnes
Y a-t-il un potentiel d’amélioration de cette pratique dans votre entreprise? Oui/Non
pratiques sont-elles
Idée pour améliorer l’adoption de cette pratique dans votre entreprise :
bien adoptées dans votre
entreprise?
Pour vous aider à répondre à
cette question, consultez d’abord
le guide et ensuite remplissez le
questionnaire qui suit. À la fin de
chaque question, voyez comment
il serait possible d’améliorer
l’adoption de cette pratique
dans votre entreprise.
_________________________________________________________________
4
Tirer les premiers jets.
n Je tire les premiers jets dans une tasse-filtre juste avant le nettoyage
des trayons ou juste après le bain de trayon pré-traite.
n Je tire les premiers jets directement sur le sol.
n Je ne tire pas les premiers jets ou certains trayeurs de mon équipe
ne le font pas.
Y a-t-il un potentiel d’amélioration de cette pratique dans votre entreprise? Oui/Non
Idée pour améliorer l’adoption de cette pratique dans votre entreprise :
_________________________________________________________________
5
Bien assécher les trayons.
n J’assèche complètement les trayons à l’aide de serviettes individuelles.
n J’assèche rapidement les trayons et j’utilise parfois la même serviette
pour plus d’une vache.
n Je n’assèche pas les trayons.
Y a-t-il un potentiel d’amélioration de cette pratique dans votre entreprise? Oui/Non
Idée pour améliorer l’adoption de cette pratique dans votre entreprise :
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6
S’assurer d’avoir une bonne stimulation.
n Le délai entre le début de la stimulation (premiers jets, nettoyage,
essuyage) et la pose de l’unité de traite se situe entre 60 et 90 secondes.
n Le délai entre le début de la stimulation (premiers jets, nettoyage,
essuyage) et la pose de l’unité de traite est de moins de 60 secondes ou
plus de 120 secondes.
Y a-t-il un potentiel d’amélioration de cette pratique dans votre entreprise? Oui/Non
Idée pour améliorer l’adoption de cette pratique dans votre entreprise :
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7
Éviter la surtraite en fin de traite.
n Les retraits automatiques de mes unités de traite sont bien ajustés et
révisés régulièrement.
nIl m’arrive de mettre les trayeuses en mode retrait manuel et de les
oublier sur une vache trop longtemps.
n Je n’utilise pas les retraits automatiques et je me fie à mon expérience
pour retirer l’unité de traite.
Y a-t-il un potentiel d’amélioration de cette pratique dans votre entreprise? Oui/Non
Fixez-vous un
objectif
À la lumière de vos réponses
à ce questionnaire, révisez les
questions pour lesquelles
vous avez repéré un potentiel
d’amélioration. Choisissez-en
une et mettez en place un plan
d’action pour rectifier la situation.
Le cas échéant, faites l’exercice
en collaboration avec les
membres de votre équipe.
Mon objectif :
Idée pour améliorer l’adoption de cette pratique dans votre entreprise :
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8
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Désinfecter les trayons après la traite.
n J’applique un désinfectant sur toute la longueur du trayon.
nIl peut arriver que les trayons ne soient pas entièrement couverts
par le désinfectant.
Y a-t-il un potentiel d’amélioration de cette pratique dans votre entreprise? Oui/Non
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Idée pour améliorer l’adoption de cette pratique dans votre entreprise :
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Des outils à
!
votre portée
Suivez le guide
En juin dernier, vous avez
reçu un guide intitulé Comment réduire et maintenir
un bas niveau de cellules somatiques à votre
compteur, par le biais de
la Fédération des producteurs de lait du Québec.
Si vous ne l’avez pas
encore lu, prenez la
peine de le feuilleter.
Vous y trouverez des
informations pratiques
fort utiles et présentées
dans un style simple,
coloré et agréable à lire.
Avec son format facile
à afficher dans l’étable, il deviendra un aidemémoire utile pour vous et toute votre équipe!
Le document s’est perdu dans la pile pendant que
vous étiez occupé aux champs? Vous trouverez la
version électronique du guide (et même encore plus)
sous l’onglet Santé du pis sur le site www.monvet.ca.
!
!
Service VSMT
À quand remonte la dernière
vérification de votre
système de traite?
Parmi les grandes recommandations énoncées
dans le guide, on suggère de faire « effectuer la
vérification régulière et complète du système de
traite par une personne objective et munie des
appareils appropriés ».
Le service de vérification du système et de la
méthode de traite (VSMT) est offert chez Valacta.
Nos techniciens spécialisés pour la VSMT,
Gilles et Marcel sont équipés de l’appareillage
nécessaire et ont l’expérience et les connaissances pour effectuer une révision complète de votre
système de traite (pompe, tuyaux, pulsateurs, vide,
etc.). Ils évalueront également votre méthode
de traite (préparation, pose et retrait, etc.) et
vous proposeront des correctifs, le cas échéant.
Faites appel à nos techniciens senior
de la qualité du lait VSMT :
Gilles Laramée
450-774-1554
[email protected]
Des ateliers intitulés
Objectif : qualité du lait
sont offerts sur demande par nos
techniciens senior de la qualité du lait.
Les participants apprécient grandement le
côté pratico-pratique des connaissances
de nos formateurs. Si cela vous intéresse,
parlez-en à votre technicien ou à votre
conseiller ou encore appelez au
1-800-BON LAIT
(1-800-266-5248).
Marcel Thiboutot
418-492-9496
[email protected]
Tout le monde gagne
au Pique-Nique
Holstein Québec!
La validation LCQ
à votre portée
L’échéance du 1er août 2013 approche à grands pas
et la prime de 2 $ par hectolitre est encore disponible pour vous. En date du 1er juillet 2012, près
de 50 % des producteurs ont fait une demande de
validation et ont en mains leur certification LCQ. Une
grande majorité nous ont informés que le processus
s’est très bien déroulé alors que certaines appréhensions existaient au départ; la prime de 2 $ par
hectolitre ajoute maintenant à leur satisfaction.
Sylvain Biron, directeur régional Valacta Rive-Nord, Kevin
Gilbert, représentant de l’Association des jeunes ruraux du
Québec et Annie Gaudreault, technicienne en production
laitière, Valacta Rive-Nord.
Le Pique-Nique Holstein Québec a été un grand
succès malgré une chaleur intense. La bonne
humeur était au rendez-vous pour les nombreux
producteurs venus de toutes les régions du Québec et
qui ont eu l’occasion de visiter le kiosque de Valacta.
Merci à tous les employés Valacta du SaguenayLac St-Jean qui ont participé à l’événement. Ils ont
fait preuve de créativité et d’engagement envers la
communauté locale en organisant la vente de billets
pour un tirage afin d’amasser des fonds pour les
jeunes ruraux de la région. La somme de 201 $ ira
au financement d’activités de cette belle relève.
Nos 155 techniciens en production laitière ont
accompagné 3389 producteurs jusqu’à maintenant,
dans le cadre de la préparation pour la validation et
n’attendent que votre appel pour vous aider.
Concernant la capacité de validation, ­
22 « valideurs » ayant une capacité de plus de
300 validations par mois, suffisent amplement dans
un contexte où les demandes de validations entrent
graduellement, mais le fait que 3000 producteurs
n’aient à ce jour pas encore fait leur demande
constitue un défi qui risque très fortement de causer
des retards pour les producteurs qui feront leur
demande dans les derniers mois.
Profitez donc de la prime et d’une tranquillité
d’esprit en nous appelant dès aujourd’hui.
1-800-bon-lait
Rendez-vous l’année prochaine!
Félicitations aux gagnants des tirages PrixNomFermeVille/VillageNom du conseiller ou technicien Valacta
Lactomètre
François Laurin Ferme Laubel Mirabel
S.E.N.C.
Lactomètre
Frédéric Marcoux
Ferme Philippe Ste-Marguerite
Marcoux inc.
Laissez-passer pour la Georges Jean
Ferme Ricxan
Laterrière
formation Valacta 2013
Laterrière
S.E.N.C.
Laissez-passer pour la Real Ruel
Ferme Ruel et
St-Gervais
formation Valacta 2013
Fils St-Gervais
Bellechasse
Nathalie Rondeau
(00189)
Hélène Tremblay
(00053),
Louis Marcoux (00301)
Chantale Riverin
(00305)
Claudia Vermette
(00558)
GraphismE : groupe charest Impression : Groupe CIDMA
Conseil d’administration
de Valacta 2012
Le Conseil d’administration de
Valacta s’est réuni le 5 juillet
dernier à Sainte-Anne-de-Bellevue.
Le nouveau président, M. Pierre
Lampron, ainsi que les nouveaux
membres du conseil ont eu
l’occasion de rencontrer les
employés du siège social.
En avant :
M. Richard Bouchard, producteur de Baie Saint-Paul, Charlevoix, administrateur à la FPLQ
M. Humberto Monardes, Ph.D., professeur agrégé, Université McGill
M. Pierre Lampron, président de Valacta, producteur de Saint-Boniface, Mauricie,
administrateur à la FPLQ
M. Alphonse Pittet, vice-président, producteur de St-Tite, Mauricie, administrateur au CIAQ
M. Marc Dion, Ex sous ministre, administrateur nommé par le MAPAQ
M. Ernest Desrosiers, administrateur désigné par le conseil d’administration de Valacta,
vice-président financement, FADQ
M. Philippe Marcoux, producteur de Sainte-Marguerite, nommé par le CQRL
En arrière :
Absents de la photo :
M. Doris Pellerin, agr., professeur et
directeur, dépt. Sciences animales, FSAA,
Université Laval, administrateur à partir
de juillet 2012
M. Gilles Fecteau, DMV, Faculté de médecine
vétérinaire de l’université de Montréal
M. Paul Gaunce, producteur laitier
du Nouveau-Brunswick (observateur)
M. Daniel Lefebvre, Ph.D., agr., directeur général et directeur R et D
M. Gilbert Perreault, producteur de Sainte-Mélanie, administrateur à la FPLQ
M. Nicolas Lavoie, producteur de Chicoutimi, administrateur à la Fédération des groupes conseils
agricoles du Québec
M. Guy D. Lapointe, responsable du secteur des bovins laitiers, Direction du développement
et de l’innovation (MAPAQ) (observateur)
M. Dannie Mackinnon, producteur de l’Île-du-Prince-Édouard
M. Jean-Paul Laforest, agr., doyen de la FSAA, Université Laval, administrateur jusqu’en juillet 2012
M. André Campeau, producteur de Courcelles, Beauce, administrateur à la FPLQ
M. Roger Cue, professeur agrégé, Université McGill
Volume 7 - Numéro 3 - automne 2012
Bulletin d’information de Valacta,
centre d’expertise en production laitière,
Québec-Atlantique.
Rédaction et édition : Annik Perron, directrice des communications,
Clémence Godfroy, rédactrice-réviseure et Julie Baillargeon, M.Sc., agr.,
coordonnatrice des projets de recherche et du transfert technologique, R&D
Collaborateurs à ce numéro : Jean Durocher, M.Sc., D.M.V., coordonnateur de la
santé des troupeaux laitiers, R et D, Valacta, Simon Dufour, Ph.D., médecin vétérinaire,
Hélène Poirier, agente de transfert, Réseau canadien de recherche sur la mammite
bovine, Louis Fréchette, directeur marketing et ventes, Valacta.
Téléphone : 1 800-BON-LAIT, 514 459-3030 • Télécopieur : 514 459-3020
www.valacta.com
Courriels : Savoir laitier : [email protected]
Service à la clientèle : [email protected]
Dépôt légal : ISSN 1496-2721 Bibliothèque et Archives nationales du Québec et
Bibliothèque nationale du Canada