Le monde du… Reggae ! Ce mois ci, immersion dans un monde

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Le monde du… Reggae ! Ce mois ci, immersion dans un monde
Le monde du…
Reggae ! Ce mois ci, immersion dans un monde non moins philosophique que le monde du surf… Rasta en
herbe, ou pur néophyte, le Daily te rafraîchit la mémoire ou éclaire ta lanterne. Bonnes vibes à tous !
rhumatismes, l’insomnie, la perte d’appétit. Cette forme de médecine n’a
rien d’une affabulation, puisque des équipes de chercheurs indépendants
ont confirmé les actions analgésiques, anticonvulsives, antimicrobiennes
des cannabinoïdes. Enfin, les rastas voient dans la ganja un moyen
d’échapper au « brain washing » imposé par le système. On ne saurait
approcher Jah sans se déconditionner au préalable. Néanmoins, ces
revendications importent peu ou prou aux media qui la dénoncent plus
fermement que jamais en élaborant de fumeuses théories
criminologistes. Des universitaires participent à cette diabolisation. Au
milieu des années 60, fumer du cannabis est passible de 5 ans
d’emprisonnement ! Malgré tout, la Jamaïque devient le premier
exportateur de ganja durant les années 70. Proclamant l’ « état
d’urgence », les autorités radicalisent la politique antiganja.
S’ensuivent perquisitions dans les ghettos, saisies, arrestations.
Là où les Chrétiens accèdent au spirituel via les spiritueux, les rastas
exigent que l’on autorise l’usage ritualisé de la ganja. Cette
argumentation se situe aujourd’hui au cœur d’une vaste controverse
juridique et dépasse de beaucoup les limites géographiques de la
Jamaïque.
La naissance d’un style. U Roy->
Le terme Reggae est l’abréviation du terme de
l’argot jamaïcain « streggae », femme ayant
plusieurs amants. Style de musique issu du
Rocksteady, il naît en Jamaïque en 1968.
D’abord d’un tempo rapide le reggae désigne
d’abord un style musical bien plus nerveux que
le Rocksteady. Il se métamorphose vite avec de
nouveaux rythmes « one drop » et « rockers » dans les années 70, puis
un « rub-a-dub » et ragga dans la décennie suivante, et dancehall etc.
dans les années 90. Le mot reggae devient en 1975 le terme générique
de toute la musique jamaïcaine après le succès international de Bob
Marley. « Le ska est rapide. Le rocksteady et doux. Le reggae est dur.
Bien plus dur. » Bob Marley.
(Gan)Jah love !
Vous l’attendiez tous, bien sûr, cet article sur l’immanquable de la
panoplie rasta : l’herbe. Evidemment, on imagine assez mal rédiger un
article sur le reggae
sans évoquer la ganja,
qui plus qu’un sujet de
violentes controverses,
fait partie intégrante de
l’histoire des Rastas, du
reggae,
de
la
Jamaïque. Bref, voilà de
quoi briser ou alimenter
vos
clichés.
De
l’historique,
du
véridique, toute la vérité,
rien que la vérité. Il
était une fois… histoire
de ganja (c’est pas de
moi).
Coutume populaire jamaïcaine, la consommation de ganja est interdite
pour la première fois en 1913. Après de violentes insurrections sur l’île,
une nouvelle loi prohibitionniste clôt cette période de troubles sociaux : la
« dangerous drugs law » en 1938. Dans le collimateur, la ganja et ses
pseudos effets criminogènes, responsable de violences collectives, herbe
pernicieuse qui « rendrait les nègres insolents ». Son usage une fois
prohibé, il reste malgré tout très répandu au sein des
couches sociales défavorisées. Lorsqu’il ne vient pas à
leur rencontre, les citadins herbivores n’hésitent pas à
s’enfoncer dans les terres pour se procurer quelques
livres de cet or vert. Ceux que la presse nomme « Ras
Tafarites » font l’objet d’une surveillance accrue,
dénoncés comme adorateurs de la « plante du salut »
grâce au recours de laquelle ils atteignent une transe
facilitant l’interprétation des signes. En effet, les rastas
développent une vision du monde pan sémiotique où
chaque chose est porteuse d’une interprétation cachée.
Dans cette même optique, la Bible et ses allégories
fourmillent à leurs yeux d’indices cryptés qui doivent
être réinterprétés. La lecture sélective et interlinéaire
des écrits bibliques serait à l’origine de la sacralisation
de la ganja. Anecdote édifiante : la première bible imprimée en 1455 par
Gutenberg était en papier de chanvre… Pour justifier la sainteté de cette
« holy herb », les rastas citent le plus souvent un passage de la Genèse :
« Dieu dit : je vous donne toutes les herbes portant semence qui sont sur
la surface de la Terre […] : ce sera votre nourriture ». La criminalisation
croissante du cannabis par les autorités jamaïcaines contraste donc avec
la glorification progressive qu’en fait le « peuple de Jah ». Une légende
rasta raconte que la « wisdom weed » poussait librement sur le
tombeau du roi Salomon, pourtant, elle n’existait pas en
Jamaïque. Les ethnobotanistes sont formels, il n’y a aucune
trace d’utilisation de cette herbe chez les habitants primitifs de
l’île. Alors comment la ganja est-elle arrivée en Jamaïque ? On
soutient parfois la thèse qu’elle aurait été importée d’Afrique
avec la traite des Noirs, mais la thèse la plus plausible est
qu’elle a été introduite sur l’île par l’arrivée de travailleurs en
provenance d’Inde (les patrons recherchent une main d’œuvre
bon marché après l’abolition de l’esclavage en 1838), parmi
lesquels se trouvaient des prêtres tantriques rendant grâce à
Shiva en fumant la « ganja » (terme indien). Bref, à la fin des années 50,
la ganja dépasse sa fonction récréative ou festive chez les rastafariens
pour accéder au domaine de rituel. Les discours de Bob Marley
traduisent bien ce déplacement : « l’herbe est la guérison de la nation.
L’alcool tue, et l’herbe te construit. », « Lorsque tu fumes, tu t’ouvres à toi
même. L’herbe est la clé de la compréhension du monde. Avec elle, tu
t’expérimentes toi même comme Dieu. ». Le cannabis conçu comme
plante salutaire et salvatrice, et ce de façon primordiale aussi dans le
domaine médical rasta. S’ils ne sont assurément pas les premiers à avoir
découvert les propriétés médicales de cette herbe, les rastas en vantent
les bienfaits, concernant aussi bien les maux de tête, la nausée, les
Témoignage rasta. Le mysticisme est primordial chez les rastas,
fervents religieux adorateurs du Lion de Judah, l’empereur Haïlé Sélassié
Ier (cf. vocabulaire ci-dessous). Laissez vous relater un épisode assez
comique tiré de l’expérience de Rita Marley, l’épouse de l’illustre Robert
Nesta, qui montre sans équivoque l’attachement spirituel des rastas à leur
« messie »… L’épisode a eu lieu le 21 Avril 1966 à Kingston, alors que
Haïlé sélassié est en visite officielle en Jamaïque. Il est acclamé par la foule
sur des kilomètres à sa sortie de l’avion. Rita Marley se souvient de
l’événement : « La voiture est arrivée, et j’ai vu ce petit homme, comme un
petit agneau, il faisait signe de la main, et, quand il s’est tourné vers moi,
mes yeux l’ont vu entièrement. J’ai dit : « Jésus ! ». J’ai regardé à nouveau
et il a fait comme ça (elle salue de la main). J’ai regardé dans sa main et j’ai
vu un point noir (stigmate de clou). Je crois que je me suis
évanouie. J’ai changé. J’ai dit non, ça ne peut pas être vrai,
Jésus Christ…c’est lui ! Je suis rentrée à la maison et j’ai vu ma
tante. Je lui ai dit : « Auntie, j’ai vu… l’homme. C’est lui. » Elle
m’a dit : « Rita, tu as encore fumé trop de ganja !-Mais non
Auntie, c’est pour de vrai ! J’ai cherché, comme disait Bob, j’ai
cherché j’ai cherché et j’ai trouvé ! ». CQFD. (extrait de Le
reggae, Bruno Blum, Librio Musique).
<- Buju Banton
Le parler Reggaeman.
Marre d’entonner par cœur des chansons de Bob dont tu ne
pipes mot? Paniqué lorsqu’un roots s’adresse à toi et te
demande si tu « feel irie » ? Ce traducteur est fait pour toi ! Ou
comment passer du stade de ringard à celui de roots trendy…
Babylone : la cité païenne antique de Babylone combattit les Hébreux. Par
extension, le terme signifie pour les rastas tout ce qui est païen. A
commencer par la société occidentale catholique et anglicane qui a déporté
les Africains aux Antilles, et toute la société oppressive occidentale,
notamment la police (« dutty Babylon »).
Dread : de l’anglais « épouvante ». Désigne une personne qui laisse sa
chevelure pousser sans la coiffer, selon, à l’origine, le vœu du nazir de la
Bible (Nombres 6, 5) fait par les fils d’Israël, dont Jésus.
Haïle Sélassié Ier : empereur d’Ethiopie de 1930 à 1974,
considéré par beaucoup de Rastas comme étant « le dirigeant
légal de la Terre » et de surcroît le Messie, en raison de ses
ancêtres qui, selon la liturgie chrétienne éthiopienne, remonteraient
jusqu’au Roi Salomon.
Irie : sentiment de bien être. Bienvenue.
Jah : un des nombreux noms hébreux de Dieu.
Rasta/Rastafarien : de l’éthiopien « ras » (tête, duc) et Tafari
(prénom chrétien de Haïle Sélassié Ier). Personne se réclamant de
la culture rastafari, mouvement qui interprète la Bible de façon afro
centriste et prône une vie saine.
Rude Boy : voyou, criminel de ghettos jamaïcains. Devient « rudies » puis
« bad boys », bandulo, etc.
Toaster : nom donné aux DJ Jamaïcains des années 60, c’est-à-dire aux
animateurs de radio en sound system, qui est au micro, capable de parler
dans le rythme qu’il « monte ».
Zion : la Terre promise de Sion, située à Jérusalem ou, pour de nombreux
rastas, en Ethiopie. Flav (la lionne).
Vous en voulez plus ? Voici un très beau site de photos reggae à consulter :
www.reggae-portraits.com . Et pour la doc et les interviews choc :
www.reggae.fr,
premier
fanzine
reggae
français,
ou
encore
www.reggaearchives.com.
2
La discographie Reggae. Voilà de quoi alimenter tes
platines. Tout ce qu’il y a de plus culte, classé par genre
et par époque.
Ska, 1960-1966.
The
Maytals :
Never
grow
Old
(Studio
One/Heartbreak/Musisoft). Les premiers classiques de Toots
and The Maytals. Energique. Ska plus rythm and golspel.
The Skatalites: Foundation Ska (Heartbreak/Musisoft).
Impeccable compilation de base du seul super-groupe du ska,
qui a enregistré des centaines de titres, le plus souvent
disponibles en vyniles seulement. Instrumental à 95%.
Rock Steady 1966-1968.
Desmond Dekker & The Aces : Intensified ! (Beverley’s/Jet
Set/Culture Press). Album original. De l’or pur Contient le tube
mondial Israelites.
Early Reggae 1968-1971.
U Roy: Super Boss (Treasure Isle/Culture Press). Tous les
tubes originaux qui ont révolutionné le reggae en 1970 quand le
DJ U Roy posait sa voix sur les premiers dubs du rock steady et
regae de l’histoire. Décisif, historique, et absolument excellent.
Burning Spear : Marcus Garvey (Fox/Island/Universal), Social
Living. Les deux albums définitifs du géant, le Spear. Marcus
Garvey est le premier des deux à acheter. Essayez le et vous ne
résisterez pas longtemps à acheter le deuxième.
Roots Reggae (chant) 1970-1979.
Abyssinians : Best Of (Clinch/Music). Premier grand classique
rasta. Contient l’essentiel Satta Massa Gana.
Israel Vibration : The same song (Top Ranking/Pressure
Sound). Magistral premier et meilleur album du trio vocal rasta
séparé en 1998.
The Gladiators : Trench Town Mix Up (Well Charge/Virgin Front
line). Deuxième album magnifique d’un des grands trios vocaux
du roots reggae. Cet album a vraiment le feu. Contient le
mythique Look is deceiving.
Roots DJ 1970-1979.
Steel Pulse : Handsworth Revolution (Island). Un des rares
chefs-d’œuvre du reggae venu de Grande Bretagne. Innovant,
avec des harmonies vocales aériennes, et des compositions
incomparables.
Linton
Kwesi
Johnson
(LKJ) :
Forces
Of
Victory
(Island/Universal). Chef d’oeuvre d’un autre genre, la « poésie
dub ». Très engagé dans une lutte d’essence révolutionnaire,
LKJ a commencé par révolutionner le reggae anglais avec une
série de disques brillants, où le mysticisme rasta fait place à un
réalisme aussi poétique que résolu. Indispensable.
Serge Gainsbourg : Aux armes et caetara (Philips/Universal). Le
chef d’œuvre du reggae francophone. Avec Sly and Robbie et
leurs copains, et les choristes de Bob Marley.
Dancehall 1980-1984.
Barrington Levy : Collection (Greensleeves). Déjà un classique
même avant la consécration de ce chanteur qui n’aura lieu qu’à
partir de 1990.
Gregory
Isaacs :
Lonely
Lover
(African
Museum).
Incontournables perles de Gregory (Tune In, Poor & Clean
incluses) et sa voix suave accompagnée par Roots Radics.
New Roots 1992-2000 et reggae d’aujourd’hui.
Buju Banton : ‘Til Shiloh (Penthouse/Loose Canon). Un des
premiers classiques de ce DJ (superstar en Jamaïque) après sa
prise de position rasta.
Morgan Heritage : Protect us Jah (VP/Pense à moi/EMI). Une
famille de chanteurs et musiciens americano-jamaïcaine toute
entière s’y met pour le classique de 1966.
Patrice : Ancien Spirit. Hybride reggae-soul-dancehall, suave et
énergique, LE cd indispensable de cette décennie. Vraiment
magique.
Coffret :
Bob
Marley :
Songs
Of
Freedom
(4
CD
Tuff
Gong/Island/universal). Le guide idéal de la discographie de
Marley. Des skas obscurs de 1962 à un Redemption Song
prophétique enregistré lors de son ultime concert en 1980. Inclut
des dizaines de titres essentiels des années 60 introuvables
ailleurs.
School : la page de l’école pour l’école !
Le coin des Assoces : ce mois-ci, le Daily se fend d’une page spéciale sur les locaux des assoces.
Champagne, alors, puisqu’ils sont enfin là !
Cher deuxième année, toutes promo confondues, tu te languissais depuis si longtemps d’un local pour ton assoce. Tu en
rêvais depuis si longtemps. Un endroit personnalisé, chaleureux dans ces couloirs ternes, et où tu pourrais enfin être joint à
tout moment par tes cotisants, tes collègues, ton banquier… Eh bien ton vœu s’est enfin réalisé puisque depuis près d’une
semaine, les dernières associations se sont installées dans leurs locaux. Et toi, cher première année, combien d’heures n’as
tu pas erré dans les couloirs alambiqués du campus à la recherche de tes idoles en polos ? ô combien t’es tu senti délaissé,
quand, passée la première semaine d’accueil et de garde rapprochée, où les stands des diverses associations fleurissaient
dans le hall du campus 2, tu t’es vu livré à toi même dans l’école, après un WEP qui pourtant t’avais fait espérer des
échanges plus que denses entre les promos, et avec les associations ? Sache que pour ton plus grand bonheur, tu pourras
désormais rencontrer les assoces dans leurs fiefs respectifs. Petit récapitulatif de la localisation de ces locaux pour que tu ne
perdes pas le nord.
Au campus 2 se trouvent :
Les locaux BDE , BDS, Flying Fou Fun, et BDE Tema : dans le hall, les portes juste à gauche du guichet de l’accueil.
Les locaux BDA Wizzart, PEACH, BDE Cesem et SUP’TG : à gauche de la salle détente, dans le couloir de l’ancienne
assistance informatique (sous l’amphi 1).
Et au campus 1 : Le Foyer, ACCES, la JE, Atout Job Service (en face du foyer), les assoces informatiques et audiovisuelles
(Satourne, RMS4U, Virtual).
Enfin, cher première année, n’oublie pas le plus important : ces locaux sont ouverts à tous, alors n’hésite pas à passer nous
voir, nous, assoces, car tu pourras te renseigner facilement sur les horaires des cours et entraînements, sur les imprévus
(annulation etc), sur les soirées. Tu pourras acheter tes préventes, retirer ta carte de cotisant (BDA, Suas), et tout
simplement nous rencontrer, nous parler, nous demander conseil ou tout encore déconner avec nous ! Enfin, grâce à ces
locaux, RMS retrouve un soupçon d’animation associative dans l’école, un petit brin de folie qui nous tiendra chaud pendant
les longues journées d’hiver… ça fait bien plaisir, et ça mérite bien un grand merci à Magali Chautard d’avoir bataillé ferme
pour que les assoces obtiennent gain de cause ! Chapeau Magali !
3
Zoom sur : l’humanitaire.
Le daily rémois fait une place à Peach qui nous parle de ses
actions dans l’école. Alors que tous ceux qui se sentent Peachounes dans l’âme rallient la bonne
cause… il y en a pour tous les goûts.
PEACH ou Partenariat Entreprise/ Association à Caractère
Humanitaire est l’association humanitaire de l’école. Elle
compte plus de 60 membres, c’est l’assoce de l’école avec
le plus de monde, elle est ouverte à toutes les promos et à
toutes
les
écoles
d’RMS, que ce
soit
Sup
de Co, Tema,
Cesem ou
Sup TG. Si tu
es
intéressé par
l’humanitaire,
rejoins
nous quand tu
veux
tu
trouveras
forcément
ton bonheur dans les nombreux pôles que nous te
proposons.
Passons à une petite présentation rapide des différents
pôles :
Pôle
MHIGE
(Mission Humanitaire Inter Grandes Ecoles) :C’est un
projet commun à une quinzaine de grandes écoles de
commerce et d’ingénieur dont la mission est d’acheminer
matériel scolaire, matériel médical et autres pour venir en
aide aux pays de l’est. A côté de l’aide matériel, les
étudiants interviennent également dans des orphelinats
pour venir à la rencontre des enfants et les sortir un peu
de leur quotidien. La mission cette année se déroulera en
Ukraine où un convoi d’une vingtaine de camionnettes
partira courant Avril.
Pôle soutien scolaire : Ce pôle intervient dans un collège
classé ZEP de Reims pour aider les élèves à remonter leur
niveau pour finalement obtenir leur brevet des collèges,
mais il intervient également au foyer de l’enfance auprès
des plus petits. A côté de la dimension purement scolaire
de ce travail, on aimerait aussi cette année développer un
côté un peu plus artistique avec peut-être un spectacle en
fin d’année…
Pôle Dîners Joyeux : C’est un des pôles fédérateurs
des différents membres de Peach puisque tout les
membres de l’assoce y sont conviés. Il consiste en
l’organisation de dîners ou déjeuners à l’armée du
salut avec l’organisation de tombolas, des sorties
ponctuelles avec les résidents du foyer…
Pôle Génépi : Les membres de ce pôle interviennent
une fois par semaine dans la maison d’arrêt de
Reims pour donner des cours au prisonniers
finissant de purger leur peine afin de faciliter leur
réintégration.
Pôle Verseau : Les membres interviennent auprès
d’enfants handicapés dans différents centres de la
ville de Reims.
Pôle événements ponctuels : C’est l‘organisation
d’événements à différents moments de l’année,
comme par exemple les Virades de l’espoir, le
Téléthon, Sidaction ; c’est également l’organisation
de conférences…
Pôle Madabookine : Sa mission est de récolter des
livres dans différentes écoles, différents collèges ou
lycées de Reims et de financer leur envoi à
Madagascar.
Pôle Amérique Latine : C’est un
pôle que l’on
souhaiterai créer cette année en partenariat avec
d’autres associations humanitaires afin de financer
un micro crédit en Amérique Latine.
Peach c’est donc une association humanitaire qui
t’ouvre de nombreux horizons. A côté de ses
missions, c’est aussi la possibilité de rencontrer de
nombreuses personnes très différentes, d’aller un
peu à la rencontre du monde…
Alors si l’association t’intéresse, n’hésite pas, on
n’attend plus que toi. Djoule.
Agenda PEACH : découvrez
activités de PEACH dans le campus !
les
Lundi 10 Octobre,
Octobre 12h30-14h :
réunion d’information en salle
2C004 du campus 2
Mercredi 12 Octobre,
Octobre 13h-18h :
collecte de sang au foyer du
campus 1
Lundi 17 Octobre (à confirmer) :
Conférence « Des gestes pour se
comprendre » sur le langage des
signes dans un amphi du campus 1
Pôle Asie : Développement d’un système de parrainage
pour financer l’éducation d’enfants vietnamiens par les
élèves de SupdeCo Reims. Il organise également différents
événements ponctuels dans la ville de Reims comme le
nouvel an chinois, Asia Town…
Le Relais 4XSANG : L’objectif principal est de développer
un relais national en partenariat avec d’autres écoles de
commerce afin de sensibiliser les français au don du sang.
Il organise également des récoltes de sang au sein de
l’école en faisant venir des équipes médicales.
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