Semaine du 27 août au 4 septembre 2016
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Semaine du 27 août au 4 septembre 2016
Paroisse Saint Jacques – Sainte Montaine Aubigny-sur-Nère, La Chapelle d’Angillon, Ennordres, Ménétréol, Oizon, Ste Montaine, Presly Maison Paroissiale : 02 48 58 06 85 - [email protected] Paroisse Notre Dame de la Sauldre Argent sur Sauldre, Blancafort, Brinon, Clémont Centre Paroissial : 02 48 73 61 13 - paroisse.argent@diocèse-bourges.org Paroisse de Vailly sur Sauldre Barlieu, Concressault, Dampierre, Jars, Le Noyer, Subligny, Sury-es-Bois, Thou, Vailly, Villegenon Centre Paroissial : 02 48 73 79 47 – paroisse.vailly@diocèse-bourges.org - Semaine du 27 août au 4 septembre 2016 Samedi 27 août de 10h à 12h : Adoration du St Sacrement en l’église d’Aubigny 11h : Baptême à Dampierre-en-Crot de Maxence Claeys 14h : Mariage à Vailly de Juliette Bouquet et Maxime Bertrand 16h : Mariage à Aubigny de Séverine Doisne et Laurent Husson 18h30 : Messe à Vailly ème Dimanche 28 août 22 dimanche du Temps Ordinaire 11h : Messe à Aubigny * Jeanne Guignard - Isabelle Roblin - Eléonore Plançon – Gérard et Leda Plançon François Bissonnet et les défunts de la famille Dernière messe du Père Vinçon. Le verre de l’amitié sera offert par l’Association St Martin et nous lui offrirons son cadeau de départ. Nous vous convions ensuite, si vous le souhaitez, à un « repas partagé » où chacun apportera un plat salé ou sucré ou une boisson. Merci de venir nombreux à cette journée festive en compagnie des paroisses St-Jacques Ste-Montaine, Notre Dame de la Sauldre et Vailly-sur-Sauldre. 17h : Concert de l’Ensemble Instrumental MERAG en l’église d’Aubigny Mardi 30 août 17h30 : Prière du Chapelet en l’église d’Argent Vendredi 2 septembre 17h30 : Prière du Chapelet et Adoration du St Sacrement en l’église de Blancafort Samedi 3 septembre de 10h à 11h : Adoration du St Sacrement en l’église St Martin à Aubigny 11h : Baptême à Aubigny de Enzo Marais-Turpin 11h : Baptême à La Chapelle de Milàn Brandao 15h30 : Mariage à Jars de Cyrille Tabordet et Gaëlle Mrockzowski 15h30 : Mariage à Ste Montaine de Gaëlle Filckinger et Alexis Fenart 16h : Mariage à Aubigny de Elodie Da Mota et Arnaud Richer 18h30 : Messe à Vailly ème Dimanche 4 septembre 23 dimanche du Temps Ordinaire 9h30 : Messe à Aubigny Huguette Juglar 11h : Messe à Argent animée par l’harmonie Sauldre et Sologne à l’occasion du Comice Jules Mardesson – Familles Torteau Cauquy – Jean Florent Informations . Rentrée du Catéchisme et de l’Aumônerie : Pour Argent-Blancafort-Brinon-Clémont: les inscriptions au catéchisme se feront au moment de la réunion des parents : Mercredi 13 septembre 2016 à 18h30 au Centre Paroissial d’Argent La reprise du catéchisme aura lieu entre le 19 et 24 septembre 2016. ème La réunion d’information et la reprise de l’Aumônerie (6ème et 5 ) auront lieu le dimanche 25 septembre à 10h à la Maison Paroissiale d’Aubigny, suivie de la messe de rentrée. . er . Samedi 1 octobre : dans le cadre de l’année de la Miséricorde, une démarche de pèlerinage est proposée à la Cathédrale de Bourges dans laquelle on passe la porte Sainte. Renseignements et inscriptions à la maison paroissiale d’Aubigny. Un transport par autobus est assuré. L’Identité Chrétienne interroge les jeunes catholiques Le diocèse de Fréjus-Toulon et les dominicains de la Sainte-Baume organisent à partir de mercredi soir 24 août leur sixième université sur le thème des identités. Une manière de répondre aux questions et aux incertitudes de certains catholiques, bousculés sur le sujet, et également de ne pas le laisser aux politiques qui n’hésitent plus à s’emparer du concept d’« identité chrétienne ». « Déterminer le discours en dénonçant les instrumentalisations » Alors que certains utilisent l’identité chrétienne pour créer une frontière entre « eux et nous », le jésuite Alain Thomasset, professeur de théologie morale au Centre Sèvres et président de l’Association de théologiens pour l’étude de la morale (Atem), rappelle que cette identité est toujours ouverte. La Croix : Qu’est-ce que l’identité chrétienne ? Alain Thomasset : L’identité chrétienne n’est pas d’abord un ensemble de valeurs, de rites ou même de cultures, mais le fait de devenir comme le Christ, le suivre et l’imiter. Cette imitation est donc mouvante dans l’histoire, toujours à interpréter selon les appels du temps. De même que la « France de toujours » n’existe pas, « l’identité chrétienne de toujours » n’existe pas : elle s’ancre dans l’histoire, s’actualise, d’un point de vue individuel et collectif. C’est ainsi que je parlerais davantage d’« identités chrétiennes », au pluriel. Pourquoi cette notion fait-elle débat aujourd’hui ? A. T. ? Il est moins facile d’être chrétien aujourd’hui en France qu’il y a cinquante ans. La société s’est sécularisée, le pluralisme s’est installé, l’insécurité est devenue récurrente… On comprend que certains chrétiens, réalisant qu’ils sont une minorité, se sentent menacés, sont tentés par le repli pour défendre leur identité. Ils agissent comme si elle était un entre-soi face à l’autre, alors que le christianisme est par essence universel et a vocation à se proposer à tous. De la même manière, certains politiques s’emparent de cette notion comme moyen d’identification, pour rassembler ; ce qui permet « d’établir une frontière entre eux et nous ». Mais la religion, si elle a un impact politique, n’est pas « utile » au sens politique du terme et ne le sera jamais. Elle est irrécupérable sur le plan politique parce qu’elle est là pour témoigner du Christ, et ce, toujours dans un excès : un excès d’amour, un excès de pardon. Comment devons-nous, nous chrétiens, réagir face à ces différentes instrumentalisations de l’identité chrétienne ? A. T. ? Il faut, d’abord, déminer le discours en dénonçant ces instrumentalisations, mais aussi ne pas hésiter à intervenir dans le débat politique et social pour transmettre les positions qui nous sont inspirées par l’Évangile, et bien sûr manifester son identité par des actions : accueillir des réfugiés, défendre la famille, etc. La question des signes distinctifs est également complexe. Même si nous n’avons pas à nous cacher et à cacher le fait que nous soyons chrétiens, il est important selon moi, dans une société plurielle, de discerner, selon les cas, ce que ces signes peuvent provoquer chez l’autre, de ne pas mettre en danger la paix civile et la fraternité vécue au quotidien. Propos recueilli par Isabelle Demangeat Extrait du journal La Croix du mercredi 24 août 2016