DOSSIER DE PRESSE « Le Monde à l`Envers

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DOSSIER DE PRESSE « Le Monde à l`Envers
DOSSIER DE PRESSE
« Le Monde à l’Envers »
Carnavals et Mascarades d’Europe et de
Méditerranée.
Du 25 janvier au 28 juin 2015
au Musée international du Carnaval et du Masque
Sommaire
Communiqué de presse
Le MICM partenaire Mons2015
Le projet
Présentation de l’exposition
Parcours de l’exposition
Autour de l’exposition
Le MuCEM – coproducteur de l’exposition
2015, année anniversaire, le Musée a 40 ans
Renseignements pratiques
Annexe
Revue de presse : « Le Monde à l’Envers » au MuCEM
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Janvier 2015
COMMUNIQUE DE PRESSE
EXPOSITION
« LE MONDE A L’ENVERS.
CARNAVALS ET MASCARADES D’EUROPE ET DE MEDITERRANEE »
Du 25 janvier au 28 juin 2015
Au Musée international du Carnaval et du Masque à Binche
Du 25 janvier au 28 juin 2015, plus de 200 pièces seront présentées dans l’exposition « Le
Monde à l’envers. Carnavals et mascarades d’Europe et de Méditerranée », une
coproduction avec le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM,
Marseille). Une exposition qui fait partie de la programmation Mons2015, capitale
européenne de la Culture.
Après avoir rencontré un vif succès au Musée des Civilisations de l’Europe et de la
Méditerranée, à Marseille, l’exposition « Le Monde à l’Envers » est à Binche. Masques,
déguisements et autres objets exposés sur plus de 800 m² pour un autre regard sur les
mascarades rurales et les parades urbaines d’Europe et de Méditerranée.
Une exposition à découvrir au travers de trois sections : la première est consacrée aux
composantes des mascarades traditionnelles et leur lien à la nature cyclique des saisons. La
seconde présente la diversité des masques et la transformation symbolique qu’ils peuvent
opérer sur les personnes qui les portent. La troisième aborde la parade urbaine
contemporaine et ses caractéristiques.
Le parti-pris est assez nouveau. Les expositions sur le thème du carnaval traitent
généralement des traditions d’une région ou du masque en soi. Ici, l'ouverture sur les rituels
masqués des mondes musulman et juif d'une part, sur les carnavals créolisés des anciennes
colonies d'autre part, ainsi que l'approche à la fois agraire et urbaine, historique et
contemporaine renouvellent le point de vue.
Afin de rendre la visite interactive et de plonger le visiteur au cœur de l’ambiance forte,
souvent féerique, parfois subversive de ces manifestations, de nombreux reportages sont
présentés, et dialoguent avec les costumes et les masques.
Le musée est fier de cette nouvelle collaboration internationale, et l’est d’autant plus que
cette exposition s’insère dans le programme de Mons2015, Capitale européenne de la
Culture.
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Le MICM - partenaire Mons2015
Le Musée international du Carnaval et du Masque a toujours reconnu les traditions
carnavalesques comme des phénomènes éminemment contemporains et vivants. Et c’est
bien naturel! Comment aurait-il pu en être autrement, puisque notre ville est le berceau
d’une tradition ancestrale reconnue par l’Unesco depuis 2003 où chacun vit le carnaval dans
sa vie quotidienne et son identité ?
C’est également ce patrimoine carnavalesque qui est à la base de la création de notre
première collection européenne dès la fin des années 1960.
Depuis lors, et ce depuis près de quarante ans, les fondateurs, conservateurs et directeurs
successifs du Musée n’ont eu de cesse de préserver des témoignages de nombreuses fêtes
masquées et carnavalesques en Europe et dans le monde, afin d’inviter à la pluralité des
regards et d’être un lieu de partage et de questionnement sur l’identité.
Pour nous, cette exposition « Le Monde à l’Envers : carnavals et mascarades d’Europe et de
Méditerranée » est la consécration de quatre décennies de travail acharné de notre
institution dans un domaine longtemps perçu comme trop « populaire » ou trop
« archaïque », bref, pas suffisamment scientifique pour être pris au sérieux.
Quoi de plus beau que de faire partie de l’aventure Mons2015, exprimant la reconnaissance
culturelle de toute une région à un niveau international ? C’est dans ce cadre qui embrasse
parfaitement nos valeurs, que nous souhaitons, au travers de l’exposition « Le Monde à
l’Envers », confirmer notre raison d’être dans un monde qui a besoin de (re)découvrir
l’importance de la fête collective et souvent masquée, lieu d’intense sociabilité et
d’échanges pour construire le monde de demain.
Christel DELIEGE
Directrice du MICM
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Le projet
Présentation de l’exposition
A partir de l'évocation des pratiques carnavalesques actuelles, l'exposition « Le Monde à
l’Envers » proposera un voyage dans l'imaginaire carnavalesque et une réflexion sur ce que
cette fête nous apprend de nous-mêmes et des sociétés contemporaines.
L'exposition propose de traiter de façon transversale de tous les rituels masqués que l'on
regroupe aujourd'hui sous l'appellation « carnaval » dans l'espace euro-méditerranéen : les
mascarades rituelles de l'hiver, qui commençaient parfois à la Toussaint, caractérisaient
ailleurs la période des 12 jours, entre Noël et l’Epiphanie, ou se concentraient sur les « jours
gras » précédant le carême. Toutes ces manifestations connaissent aujourd'hui un
renouveau général ; les parades urbaines, liées ou non au calendrier liturgique, anciennes ou
récemment inventées ou revisitées ; les carnavals exportés d’Europe vers les anciennes
colonies, créolisés, africanisés, qui reviennent aujourd’hui revivifier les carnavals européens
et représenter la population immigrée originaire de ces pays.
Le parti-pris est assez nouveau. Les expositions sur le thème du carnaval traitent
généralement des traditions d’une région ou du masque en soi. Les expositions traitant des
mascarades traditionnelles s'y intéressent peu en tant que phénomène contemporain.
L'ouverture sur les rituels masqués des mondes musulman et juif d'une part, sur les
carnavals créolisés des anciennes colonies d'autre part, ainsi que l'approche à la fois agraire
et urbaine, historique et contemporaine renouvelleront le point de vue.
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Parcours de l’exposition
Première partie : Les masques de l’hiver ou la refondation cyclique du monde
Cette section présente un ensemble de pratiques traditionnelles ou réinterprétées par les
participants des fêtes masquées actuelles, et que l’on retrouve aujourd’hui uniformément
dans les villes ou les campagnes. On va voir que ces pratiques avaient généralement pour
but de célébrer la fin de l’hiver et l’arrivée du printemps, s’inscrivant ainsi dans un cycle
recommençant chaque année. Elle sera divisée en 5 parties :
- Le tunnel du temps
Il conduit le visiteur au cœur de l’exposition, évoque le lien entre la nature cyclique du
temps et les mascarades.
- Les sonneurs de cloches
Les cloches sont une composante universelle des carnavals. Par leur bruit, elles provoquent
un grand charivari (bruit étourdissant) qui évoque le vacarme originel qui a présidé à la
création du monde.
- Le carnaval, un rite de renouveau
Séduire le printemps ; Balayer, chasser ; Convoquer des esprits de la végétation ; Célébrer et
moquer la sexualité ; Se transformer en animal ; Rejouer les scènes originelles du premier
labour et la domestication des animaux. Voilà ce que vous propose cette section.
- Les ancêtres, le Diable et la Mort
Célébration de la vie et du renouveau, le carnaval est indissociablement lié à la mort.
Le carnaval est célébré pendant une période de passage, un moment suspendu, où l’on
considère que les Enfers s’ouvrent et que les morts reviennent sur terre demander des
comptes aux vivants.
- Au miroir des interprétations
Il existe différentes hypothèses quant aux origines des carnavals et des mascarades en
Europe.
Il ne s’agit pas de donner une réponse scientifique, de trancher définitivement le débat sur
les origines de ces fêtes, mais de présenter chacun de ces points de vue comme autant de
miroirs où nous croyons et aimons nous reconnaître.
Deuxième partie : Cacher ou révéler ? Le pouvoir des masques
Cette deuxième section est consacrée au masque. Si le masque inclut dans sa définition
l’ensemble du costume, la partie qui cache le visage exprime le plus explicitement une
transformation symbolique de la personne qui le porte, lui permettant d’être un autre, ou
justement d’être davantage lui-même. Elle sera divisée en 3 parties :
- Haut les masques
Il existe une grande variété de masques, d’origines diverses, permettant de se rendre
compte de la diversité des formes et des matériaux (végétaux, bois, carton, plâtre, cire,
métal) qui les composent.
Effrayants ou comiques, ils témoignent de la vitalité des traditions carnavalesques euroméditerranéennes.
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- Les héritages
Certains masques de carnaval sont les héritiers des masques remontant à l’Antiquité dont les
fonctions sont très anciennes dans le monde euro-méditerranéen. On retrouve, ici, le
masque funéraire, le masque de théâtre, le masque prophylactique.
- Les témoignages : l’homme derrière le masque
Des films présentent un ensemble de témoignages de porteurs de masques de diverses
origines. Ils donnent à voir les émotions que le port du masque permet d’exprimer. Les
thèmes abordés sont la mise en scène de l’identité, la relation des acteurs à leur rôle rituel
et le sens qui est donné au masque.
Troisième partie : En suivant la parade : la fête à l’envers ou le domaine de l’ambivalence
Cette dernière section est consacrée à l’une des fonctions les plus importantes du carnaval, à
savoir la refondation de l’ordre social, qui s’exprime à travers le rapport à l’autre et à
l’étranger, le rapport au corps, et le rapport à la société et à l’actualité politique. Elle sera
divisée en 4 parties :
- Nous et les autres
Le carnaval est l’occasion d’exprimer les utopies et les préjugés. La relation entre hommes et
femmes, maîtres et esclaves, sauvages et civilisés exprime également le rapport à l’autre et
nous permet ainsi de redéfinir qui nous sommes par un jeu de reflet.
- Les sous-catégories des étrangers
L’homme sauvage ; L’étranger à la marge ou étranger proche ; L’envahisseur/l’envahi : la
rencontre violente.
- Le corps grotesque : nains ou géants, jeunes ou vieux, hommes ou femmes
Difformes, burlesques, ambigus, voire obscènes, les corps grotesques sont au centre des
mises en scène carnavalesques, mettant à mal les règles d’harmonie et de mesure
couramment admises. Inversion hommes-femmes ; Les héros populaires.
- Du carnaval au carnavalesque : le grand charivari
Les défilés carnavalesques font allusion aux événements politiques locaux ou globaux. Cela
se fait à travers des caricatures d’hommes politiques ou autres personnalités de la scène
publique, ou à travers des mises en scène de scandales et d’événements de la crise
économique et financière de l’année écoulée. Cela peut aller de la dérision à la
manifestation contestataire.
- Rêves d’ailleurs
Exportés d’Europe à l’époque coloniale, les carnavals tropicaux connaissent aujourd’hui un
succès mondial.
Le carnaval incite de nombreux touristes à se déplacer chaque année pour y assister, et
même parfois y participer activement.
Conclusion : on brûle carnaval
La mise à feu du Bonhomme carnaval. Après l’avoir jugé et l’avoir chargé symboliquement
de toutes les fautes commises par la communauté durant l’année écoulée, on le brûle ou on
le noie. Mais il reviendra avec sa gaieté et tous ses excès l’année prochaine.
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Autour de l’exposition
Le catalogue1
Publication du MuCEM (Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée).
Sous la direction de Marie-Pascale Mallé. Préface de Michel Agier.
Coédition MuCEM/éditions Flammarion
Loin des représentations traditionnelles des carnavals, l’ouvrage accompagnant l’exposition
« Le Monde à l’envers » s’attache aux pratiques contemporaines et à la façon dont elles
s’inscrivent dans le monde euro-méditerranéen d’aujourd’hui, du Royaume-Uni à Israël, en
passant par le Maroc et la Bulgarie. Aussi s’intéresse-t-il à la persistance et à l’universalité de
certains défilés séculaires, à leur rapport avec le religieux ; à l’écho particulier que ces
traditions parfois folklorisées, au cœur d’enjeux identitaires, mais aussi d’expressions
politiques subversives, trouvent dans le monde contemporain. On y découvrira aussi
l’émergence de nouvelles pratiques, réinventées à partir de défilés disparus pendant des
siècles, ou nées de la circulation de savoir-faire et de traditions d’un pays à l’autre au gré de
la globalisation. Le livre met en scène les objets emblématiques du carnaval, qui stimulent
l’imaginaire et travaillent les peurs et fantasmes de ceux qui les arborent : masques
mystérieux, drôles ou effrayants, costumes et accessoires éclectiques, chars spectaculaires.
Mais il s’agira aussi de retrouver l’ambiance des défilés urbains et des foules festives : aussi
la part belle est faite à l’immersion dans les parades urbaines d’Europe et de Méditerranée,
grâce aux photos prises sur le terrain et aux témoignages des acteurs de la fête, qui se livrent
sans fard.
Texte de Christian Bromberger, Michel Vovelle, Daniel Fabre, Marie-Pascale Mallé, Monika
Salzbrunn, Laurent-Sébastien Fournier, et des spécialistes du carnaval de différents pays…
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Source : Dossier de presse : exposition temporaire « Le Monde à l’Envers. Carnavals et mascarades d’Europe
et Méditerranée» du 26 mars au 25 août 2014 au MuCEM de Marseille
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Le MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille
Coproducteur de l’exposition
L’exposition « Le Monde à l’envers. Carnavals et mascarades d’Europe et de Méditerranée »
a été présentée au Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) à
Marseille du 26 mars au 25 août 2014.
Occupant un site unique à l’embouchure du Vieux-Port à Marseille, avec un bâtiment
moderne conçu par Rudy Ricciotti et Roland Carta, et un monument historique, le fort SaintJean, le MuCEM, accueille de grandes expositions et une programmation variée de
spectacles et débats.
Il présente un regard culturel, social, scientifique et politique sur la pluralité des civilisations
qui ont constitué le monde méditerranéen de la préhistoire à nos jours. Toutes les
disciplines s’y croisent : anthropologie, histoire, archéologie, histoire de l’art et art
contemporain…
Depuis octobre 2014 jusqu’en mars-avril 2015, trois nouvelles expositions sont présentées :
« RAYMOND DEPARDON – Un moment si doux », avec la couleur comme fil conducteur, elle
présente 137 photographies ; 40 ont été spécialement réalisées pour l’exposition au
MuCEM, dont 23 prises à Marseille.
« FOOD – Produire, manger, consommer». 37 artistes venus des cinq continents présentent
le fruit de leur réflexion sur les enjeux liés à l’alimentation. Parmi eux, cinq artistes - John
Armleder, Stefano Boccalini, Antoni Miralda, Angelo Plessas, Barthélémy Toguo - réalisent
des installations originales avec des objets choisis dans les collections du MuCEM.
« HISTORY ZERO » est une installation conçue par l’artiste grec Stefanos Tsivopoulos pour la
biennale de Venise de 2013, composée de trois films de fiction et d’un espace dédié aux
monnaies alternatives et aux monnaies officielles. Elle pose la question de la place de
l’argent dans les sociétés d’aujourd’hui et son rôle dans les relations entre les individus.
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2015, année anniversaire, le musée a 40 ans !
Même si, dès le début du XXème siècle, il existe un petit musée communal dédié à l’histoire
locale et aux traditions, c’est en juin 1975 que le Musée international du Carnaval et du
Masque ouvre ses portes sous la direction du folkloriste Samuël Glotz.
C’est avec une exposition sur les traditions européennes que le Musée a véritablement pris
son envol et c’est avec l’Europe que nous fêterons ce quarantième anniversaire. En effet, le
vendredi 13 juin 1975, en présence de Maurice Herlemont, député permanent et de Mr Van
Aal, Ministre de la Culture Française, Samuël Glotz inaugurera l’exposition temporaire "Le
Masque dans la Tradition Européenne". Cette exposition s'intégrait dans un ensemble de
manifestations organisées par le Gouvernement Belge sous les auspices du Conseil de
l'Europe avec - déjà - la collaboration de l'Unesco.
Outre un colloque organisé dans le cadre de l’exposition « Le Monde à l’Envers », un
événement festif est programmé au printemps.
Une exposition exceptionnelle et des travaux pour faire peau neuve.
Le Musée fermera ses portes pour 5 mois afin de préparer l’ouverture, en 2016, d’un Centre
d’interprétation sur le Carnaval de Binche ainsi qu’un espace permanent extra-européen
qui marquera le retour de la section « Masques aux 5 coins du monde ». ».
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Renseignements pratiques
Musée international du Carnaval et du Masque
Rue Saint Moustier, 10
7130 Binche
www.museedumasque.be
Contact presse : Sandrine Baron
Tél. : 064/23.89.21
Fax : 064/34.14.30
E-mail : [email protected]
Horaires :
Le musée est ouvert du mardi au vendredi de 9h30 à 17h00, le samedi et le dimanche de
10h30 à 17h00 (billetterie 16h30).
Fermé le lundi, le mercredi des Cendres, le 1er novembre et du 22 décembre 2014 au 5
janvier 2015 inclus.
Réservations :
Tél. : 064/33.57.41 – 064/23.89.29
Email : [email protected]
Thèmes pour les visites guidées :
1. Un musée à quoi ça sert ? Découverte de la section pédagogique (fonctions d’un
musée, universalité du masque et coulisses du carnaval de Binche) ;
2. Les carnavals de Binche et Wallonie ;
3. Exposition temporaire : du 25 janvier au 28 juin 2015 « Le Monde à l’Envers »
Animation – avec le soutien de Hainaut Culture Tourisme
Ateliers lecture vivante, ateliers créatifs
Stages
Anniversaires pour les enfants à partir de 6 ans
Infos : cellule pédagogique – animations
Martine ANTOINE, responsable : 064/23.89.38
[email protected]
Tessy GREGOIRE, animatrice : 064/23.89.27
[email protected]
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ANNEXE
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« Le Monde à l’envers. Carnavals et mascarades d’Europe et Méditerranée »
L’exposition « Le Monde à l’envers. Carnavals et mascarades d’Europe et de Méditerranée »
est coproduite par le MUM, le MuCEM et Mons 2015.
Elle a été présentée au Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM)
à Marseille du 26 mars au 25 août 2014, et est installée au Musée international du Carnaval
et du Masque (MUM) à Binche, Belgique, du 25 janvier au 28 juin 2015, dans le cadre de
Mons 2015, Capitale européenne de la Culture.
COMMISSARIAT
Marie-Pascale Mallé, conservateur en chef du patrimoine, MuCEM
Commissariat général
Clémence Mathieu, collaboratrice scientifique depuis avril 2014, MUM
Co-commissariat
Emilie Botteldoorn, collaboratrice scientifique jusque décembre 2013, MUM
Co-commissariat
Olivier Desart, MuM
Scénographie
Pour le MUM, MUSEE INTERNATIONAL DU CARNAVAL ET DU MASQUE, Binche, Belgique :
Christel Deliège
Directrice
Martine Antoine et ses équipes
Documents pédagogiques et accueil
Sandrine Baron
Secrétariat et communication
Benoît Bouffioux
Graphisme
Olivier Desart
Soclage
Claude Gille
Comptabilité
Sabine Mäuseler
Recherche scientifique, traduction et relecture, gestions
prêts et droits d'auteur
Marc Meurant et son équipe
Montage
Gaëlle Vangilbergen et son équipe Régie des collections et mannequinage
Pour le MuCEM, MUSEE DES CIVILISATIONS DE L’EUROPE ET DE LA MEDITERRANEE,
Marseille, France :
Jean-François Chougnet
Président depuis le 1er septembre 2014
Bruno Suzzarelli
Président jusqu’au 1er septembre 2014
L’ensemble des équipes du MuCEM et plus particulièrement :
Zeev Gourarier
Directeur scientifique et des collections
Françoise Dallemagne
Chargée de collections et de recherches, commissaire
associée
Frédéric Mougenot
Conservateur du patrimoine, commissaire associé
Marina Zvinguezoff
Chargée de collections et de recherches
Sylvia Amar
Responsable du département de la production culturelle
Léonore Branche
Chargée de la production
Elsa Acosta-Mendez
Assistante chargée de la production
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Valérie Decombas
Caroline Ragot
Karine Bonjour
Émilie Girard
Marie-Charlotte Calafat
Mélisande Engelbrecht
Marina Zvinguezoff
Mikael Mohamed
Muriel Filleul
Responsable technique des expositions
Régisseure des œuvres
Chargée de production audiovisuelle
Responsable du département des collections et
ressources documentaires
Adjointe au service des collections
Régisseure des prêts
Chargée de collections et de recherches
Chargé des relations internationales
Chargée des relations presse et de l’information
CONSEIL SCIENTIFIQUE
Michel Agier
Ethnologue et anthropologue, directeur de recherche à l’IRD et directeur d'études à l’EHESS.
Zvjezdana Antoš
Ethnologue et historienne, conservatrice au Musée d'ethnographie de Zagreb (Croatie).
Christian Bromberger
Ethnologue, professeur émérite à l'université de Provence.
Laurent-Sébastien Fournier
Ethnologue, maître de conférences à l’université de Nantes.
Giovanni Kezich
Ethnologue, directeur du Museo degli Usi e Costumi della Gente Trentina, à San Michele
all'Adige (Trentin, Italie).
Iglika Mishkova
Ethnologue, conservatrice au Musée d'ethnographie de Sofia, spécialiste du carnaval en
Bulgarie.
Annie Sidro
Ancien consultant-expert auprès de l'UNESCO pour les carnavals dans le monde, présidente
de l'association Carnavals Sans Frontières.
Dominique Wunderlin
Directeur adjoint du Musée des Cultures de Bâle, Suisse, conservateur responsable du
département Europe.
REMERCIEMENTS
Notre reconnaissance va aux responsables des collections publiques qui ont eu à cœur de
participer à cette manifestation au MUM par des prêts exceptionnels :
Autriche
Musée du Schemenlaufen, Imst, Tyrol
Belgique
Maison des Géants, Ath
Musée de la ville de Gand, Stadsmuseum, STAM
Musée Juif de Belgique, Bruxelles
Musée Royal de Mariemont
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Musée des Beaux-Arts de Mons (BAM)
Archives de la Ville d’Ath
France
Musée alsacien, Strasbourg
Nous adressons un hommage particulier à la bienveillance de tous ceux qui ont accepté,
avec enthousiasme, de construire avec nous ce projet :
Les collectionneurs privés et prêteurs particuliers
Alain Taillard, Colors of Carnaval, Herve (Xhendelesse), Belgique
Desiderata, Stéphane Lafa, Pierre Puigcerver, Saint-Hippolyte-du-Fort, France
Musée du Schemenlaufen, Imst, Tyrol, Autriche
Les donateurs
Le MuCEM
Le Kölner Karnevalsmuseum, Cologne, Allemagne
Asociación Cultural Amanecer de Aliste, Riofrío de Aliste, Espagne
Musée basque, Bilbao, Espagne
Les artistes
Romain Duverne
Ursus Wehrli
Les cinéastes
Jean-Marc Boeckmans (JMB Production)
Jean-Christophe Gaudry (Les Films du Tambour de Soie)
Dominique Leroy et Véronique Térech (C dans la boîte Production)
Pedro Losada (SAGA - Sociedade antropolόxica galega)
Manoël Pénicaud
Hans-Joachim Popp
Gildas Sergé (L’œil graphique)
Michele Trentini (CKE-Carnival King of Europe)
Ecole de Cinéma d’animation Supinfocom-Arles
Faouzivision
Les photographes
Olivier Desart
Yves Inchierman
Pedro Losada
Jean-Pierre Soyeur
Photographe, MuM
Photographe, MuCEM
SAGA, Espagne
Belgique
Nous adressons également tous nos remerciements à ceux qui nous ont apporté un soutien
déterminant :
Ayuntamiento de Riofrío de Aliste, Espagne
Association culturelle La Vijanera de Silió, Silió (Cantabria), Espagne
Association Cultures et Traditions, Ganat, France
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Association du Carnaval Bu-ilmawen / Bu-udmawen, Inezgane, Maroc
Association Progestur-Cultura, Lisbonne
Association SAGA (Sociedade antropoloxica galega), Noia, Coruña, Espagne
Association Taymanout, Tiznit, Maroc
Collectif Charivari, Stéphanie Bohnert, Marseille
Comité d’animation de Mézilles, Yonne
Comité de jumelage Hyères-Rottweil
Comité des fêtes d’Arles-sur-Tech
Compagnie Zouak / Association Fine Guif'Théâtre
Diputación Provincial de Zamora, Patronato de Turismo, Espagne
From here to fame publishing, Berlin, Allemagne
Projet “King of Europe”, Musée San Michele , Trento, Italie
Leda Atomica, Marseille
Musée basque, Bilbao, Espagne
Musée de Mataró, Espagne
Musée des Cultures, Bâle, Suisse
Musée national d’Ethnographie de Varsovie
Musée du Carnaval de Cologne, Allemagne
Musée du Carnaval de Viareggio, Italie
Musée du Masque de la Méditerranée, Mamoiada, Sardaigne, Italie
Musée du Schemenlaufen, Imst, Tyrol, Autriche
Museu de Sant Antoni i el dimoni, Sa Pobla, Majorque, Espagne
Museu Iberico da Mascara, Bragança, Trás-os-Montes, Portugal
Office du Tourisme de la ville de Dunkerque
Office du Tourisme de la ville de Nice
Office du Tourisme de Rottweil
Office du Tourisme de la vallée du Tech (Pyrénées-Orientales)
Services socio-culturels de la ville de Marseille.
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REVUE DE PRESSE :
« Le Monde à
l’Envers » au MuCEM
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