DOSSIER DE PRESSE « Le Monde à l`Envers
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DOSSIER DE PRESSE « Le Monde à l`Envers
DOSSIER DE PRESSE « Le Monde à l’Envers » Carnavals et Mascarades d’Europe et de Méditerranée. Du 25 janvier au 28 juin 2015 au Musée international du Carnaval et du Masque Sommaire Communiqué de presse Le MICM partenaire Mons2015 Le projet Présentation de l’exposition Parcours de l’exposition Autour de l’exposition Le MuCEM – coproducteur de l’exposition 2015, année anniversaire, le Musée a 40 ans Renseignements pratiques Annexe Revue de presse : « Le Monde à l’Envers » au MuCEM 2 Janvier 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE EXPOSITION « LE MONDE A L’ENVERS. CARNAVALS ET MASCARADES D’EUROPE ET DE MEDITERRANEE » Du 25 janvier au 28 juin 2015 Au Musée international du Carnaval et du Masque à Binche Du 25 janvier au 28 juin 2015, plus de 200 pièces seront présentées dans l’exposition « Le Monde à l’envers. Carnavals et mascarades d’Europe et de Méditerranée », une coproduction avec le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM, Marseille). Une exposition qui fait partie de la programmation Mons2015, capitale européenne de la Culture. Après avoir rencontré un vif succès au Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, à Marseille, l’exposition « Le Monde à l’Envers » est à Binche. Masques, déguisements et autres objets exposés sur plus de 800 m² pour un autre regard sur les mascarades rurales et les parades urbaines d’Europe et de Méditerranée. Une exposition à découvrir au travers de trois sections : la première est consacrée aux composantes des mascarades traditionnelles et leur lien à la nature cyclique des saisons. La seconde présente la diversité des masques et la transformation symbolique qu’ils peuvent opérer sur les personnes qui les portent. La troisième aborde la parade urbaine contemporaine et ses caractéristiques. Le parti-pris est assez nouveau. Les expositions sur le thème du carnaval traitent généralement des traditions d’une région ou du masque en soi. Ici, l'ouverture sur les rituels masqués des mondes musulman et juif d'une part, sur les carnavals créolisés des anciennes colonies d'autre part, ainsi que l'approche à la fois agraire et urbaine, historique et contemporaine renouvellent le point de vue. Afin de rendre la visite interactive et de plonger le visiteur au cœur de l’ambiance forte, souvent féerique, parfois subversive de ces manifestations, de nombreux reportages sont présentés, et dialoguent avec les costumes et les masques. Le musée est fier de cette nouvelle collaboration internationale, et l’est d’autant plus que cette exposition s’insère dans le programme de Mons2015, Capitale européenne de la Culture. 3 Le MICM - partenaire Mons2015 Le Musée international du Carnaval et du Masque a toujours reconnu les traditions carnavalesques comme des phénomènes éminemment contemporains et vivants. Et c’est bien naturel! Comment aurait-il pu en être autrement, puisque notre ville est le berceau d’une tradition ancestrale reconnue par l’Unesco depuis 2003 où chacun vit le carnaval dans sa vie quotidienne et son identité ? C’est également ce patrimoine carnavalesque qui est à la base de la création de notre première collection européenne dès la fin des années 1960. Depuis lors, et ce depuis près de quarante ans, les fondateurs, conservateurs et directeurs successifs du Musée n’ont eu de cesse de préserver des témoignages de nombreuses fêtes masquées et carnavalesques en Europe et dans le monde, afin d’inviter à la pluralité des regards et d’être un lieu de partage et de questionnement sur l’identité. Pour nous, cette exposition « Le Monde à l’Envers : carnavals et mascarades d’Europe et de Méditerranée » est la consécration de quatre décennies de travail acharné de notre institution dans un domaine longtemps perçu comme trop « populaire » ou trop « archaïque », bref, pas suffisamment scientifique pour être pris au sérieux. Quoi de plus beau que de faire partie de l’aventure Mons2015, exprimant la reconnaissance culturelle de toute une région à un niveau international ? C’est dans ce cadre qui embrasse parfaitement nos valeurs, que nous souhaitons, au travers de l’exposition « Le Monde à l’Envers », confirmer notre raison d’être dans un monde qui a besoin de (re)découvrir l’importance de la fête collective et souvent masquée, lieu d’intense sociabilité et d’échanges pour construire le monde de demain. Christel DELIEGE Directrice du MICM 4 Le projet Présentation de l’exposition A partir de l'évocation des pratiques carnavalesques actuelles, l'exposition « Le Monde à l’Envers » proposera un voyage dans l'imaginaire carnavalesque et une réflexion sur ce que cette fête nous apprend de nous-mêmes et des sociétés contemporaines. L'exposition propose de traiter de façon transversale de tous les rituels masqués que l'on regroupe aujourd'hui sous l'appellation « carnaval » dans l'espace euro-méditerranéen : les mascarades rituelles de l'hiver, qui commençaient parfois à la Toussaint, caractérisaient ailleurs la période des 12 jours, entre Noël et l’Epiphanie, ou se concentraient sur les « jours gras » précédant le carême. Toutes ces manifestations connaissent aujourd'hui un renouveau général ; les parades urbaines, liées ou non au calendrier liturgique, anciennes ou récemment inventées ou revisitées ; les carnavals exportés d’Europe vers les anciennes colonies, créolisés, africanisés, qui reviennent aujourd’hui revivifier les carnavals européens et représenter la population immigrée originaire de ces pays. Le parti-pris est assez nouveau. Les expositions sur le thème du carnaval traitent généralement des traditions d’une région ou du masque en soi. Les expositions traitant des mascarades traditionnelles s'y intéressent peu en tant que phénomène contemporain. L'ouverture sur les rituels masqués des mondes musulman et juif d'une part, sur les carnavals créolisés des anciennes colonies d'autre part, ainsi que l'approche à la fois agraire et urbaine, historique et contemporaine renouvelleront le point de vue. 5 Parcours de l’exposition Première partie : Les masques de l’hiver ou la refondation cyclique du monde Cette section présente un ensemble de pratiques traditionnelles ou réinterprétées par les participants des fêtes masquées actuelles, et que l’on retrouve aujourd’hui uniformément dans les villes ou les campagnes. On va voir que ces pratiques avaient généralement pour but de célébrer la fin de l’hiver et l’arrivée du printemps, s’inscrivant ainsi dans un cycle recommençant chaque année. Elle sera divisée en 5 parties : - Le tunnel du temps Il conduit le visiteur au cœur de l’exposition, évoque le lien entre la nature cyclique du temps et les mascarades. - Les sonneurs de cloches Les cloches sont une composante universelle des carnavals. Par leur bruit, elles provoquent un grand charivari (bruit étourdissant) qui évoque le vacarme originel qui a présidé à la création du monde. - Le carnaval, un rite de renouveau Séduire le printemps ; Balayer, chasser ; Convoquer des esprits de la végétation ; Célébrer et moquer la sexualité ; Se transformer en animal ; Rejouer les scènes originelles du premier labour et la domestication des animaux. Voilà ce que vous propose cette section. - Les ancêtres, le Diable et la Mort Célébration de la vie et du renouveau, le carnaval est indissociablement lié à la mort. Le carnaval est célébré pendant une période de passage, un moment suspendu, où l’on considère que les Enfers s’ouvrent et que les morts reviennent sur terre demander des comptes aux vivants. - Au miroir des interprétations Il existe différentes hypothèses quant aux origines des carnavals et des mascarades en Europe. Il ne s’agit pas de donner une réponse scientifique, de trancher définitivement le débat sur les origines de ces fêtes, mais de présenter chacun de ces points de vue comme autant de miroirs où nous croyons et aimons nous reconnaître. Deuxième partie : Cacher ou révéler ? Le pouvoir des masques Cette deuxième section est consacrée au masque. Si le masque inclut dans sa définition l’ensemble du costume, la partie qui cache le visage exprime le plus explicitement une transformation symbolique de la personne qui le porte, lui permettant d’être un autre, ou justement d’être davantage lui-même. Elle sera divisée en 3 parties : - Haut les masques Il existe une grande variété de masques, d’origines diverses, permettant de se rendre compte de la diversité des formes et des matériaux (végétaux, bois, carton, plâtre, cire, métal) qui les composent. Effrayants ou comiques, ils témoignent de la vitalité des traditions carnavalesques euroméditerranéennes. 6 - Les héritages Certains masques de carnaval sont les héritiers des masques remontant à l’Antiquité dont les fonctions sont très anciennes dans le monde euro-méditerranéen. On retrouve, ici, le masque funéraire, le masque de théâtre, le masque prophylactique. - Les témoignages : l’homme derrière le masque Des films présentent un ensemble de témoignages de porteurs de masques de diverses origines. Ils donnent à voir les émotions que le port du masque permet d’exprimer. Les thèmes abordés sont la mise en scène de l’identité, la relation des acteurs à leur rôle rituel et le sens qui est donné au masque. Troisième partie : En suivant la parade : la fête à l’envers ou le domaine de l’ambivalence Cette dernière section est consacrée à l’une des fonctions les plus importantes du carnaval, à savoir la refondation de l’ordre social, qui s’exprime à travers le rapport à l’autre et à l’étranger, le rapport au corps, et le rapport à la société et à l’actualité politique. Elle sera divisée en 4 parties : - Nous et les autres Le carnaval est l’occasion d’exprimer les utopies et les préjugés. La relation entre hommes et femmes, maîtres et esclaves, sauvages et civilisés exprime également le rapport à l’autre et nous permet ainsi de redéfinir qui nous sommes par un jeu de reflet. - Les sous-catégories des étrangers L’homme sauvage ; L’étranger à la marge ou étranger proche ; L’envahisseur/l’envahi : la rencontre violente. - Le corps grotesque : nains ou géants, jeunes ou vieux, hommes ou femmes Difformes, burlesques, ambigus, voire obscènes, les corps grotesques sont au centre des mises en scène carnavalesques, mettant à mal les règles d’harmonie et de mesure couramment admises. Inversion hommes-femmes ; Les héros populaires. - Du carnaval au carnavalesque : le grand charivari Les défilés carnavalesques font allusion aux événements politiques locaux ou globaux. Cela se fait à travers des caricatures d’hommes politiques ou autres personnalités de la scène publique, ou à travers des mises en scène de scandales et d’événements de la crise économique et financière de l’année écoulée. Cela peut aller de la dérision à la manifestation contestataire. - Rêves d’ailleurs Exportés d’Europe à l’époque coloniale, les carnavals tropicaux connaissent aujourd’hui un succès mondial. Le carnaval incite de nombreux touristes à se déplacer chaque année pour y assister, et même parfois y participer activement. Conclusion : on brûle carnaval La mise à feu du Bonhomme carnaval. Après l’avoir jugé et l’avoir chargé symboliquement de toutes les fautes commises par la communauté durant l’année écoulée, on le brûle ou on le noie. Mais il reviendra avec sa gaieté et tous ses excès l’année prochaine. 7 Autour de l’exposition Le catalogue1 Publication du MuCEM (Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée). Sous la direction de Marie-Pascale Mallé. Préface de Michel Agier. Coédition MuCEM/éditions Flammarion Loin des représentations traditionnelles des carnavals, l’ouvrage accompagnant l’exposition « Le Monde à l’envers » s’attache aux pratiques contemporaines et à la façon dont elles s’inscrivent dans le monde euro-méditerranéen d’aujourd’hui, du Royaume-Uni à Israël, en passant par le Maroc et la Bulgarie. Aussi s’intéresse-t-il à la persistance et à l’universalité de certains défilés séculaires, à leur rapport avec le religieux ; à l’écho particulier que ces traditions parfois folklorisées, au cœur d’enjeux identitaires, mais aussi d’expressions politiques subversives, trouvent dans le monde contemporain. On y découvrira aussi l’émergence de nouvelles pratiques, réinventées à partir de défilés disparus pendant des siècles, ou nées de la circulation de savoir-faire et de traditions d’un pays à l’autre au gré de la globalisation. Le livre met en scène les objets emblématiques du carnaval, qui stimulent l’imaginaire et travaillent les peurs et fantasmes de ceux qui les arborent : masques mystérieux, drôles ou effrayants, costumes et accessoires éclectiques, chars spectaculaires. Mais il s’agira aussi de retrouver l’ambiance des défilés urbains et des foules festives : aussi la part belle est faite à l’immersion dans les parades urbaines d’Europe et de Méditerranée, grâce aux photos prises sur le terrain et aux témoignages des acteurs de la fête, qui se livrent sans fard. Texte de Christian Bromberger, Michel Vovelle, Daniel Fabre, Marie-Pascale Mallé, Monika Salzbrunn, Laurent-Sébastien Fournier, et des spécialistes du carnaval de différents pays… 1 Source : Dossier de presse : exposition temporaire « Le Monde à l’Envers. Carnavals et mascarades d’Europe et Méditerranée» du 26 mars au 25 août 2014 au MuCEM de Marseille 8 Le MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille Coproducteur de l’exposition L’exposition « Le Monde à l’envers. Carnavals et mascarades d’Europe et de Méditerranée » a été présentée au Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) à Marseille du 26 mars au 25 août 2014. Occupant un site unique à l’embouchure du Vieux-Port à Marseille, avec un bâtiment moderne conçu par Rudy Ricciotti et Roland Carta, et un monument historique, le fort SaintJean, le MuCEM, accueille de grandes expositions et une programmation variée de spectacles et débats. Il présente un regard culturel, social, scientifique et politique sur la pluralité des civilisations qui ont constitué le monde méditerranéen de la préhistoire à nos jours. Toutes les disciplines s’y croisent : anthropologie, histoire, archéologie, histoire de l’art et art contemporain… Depuis octobre 2014 jusqu’en mars-avril 2015, trois nouvelles expositions sont présentées : « RAYMOND DEPARDON – Un moment si doux », avec la couleur comme fil conducteur, elle présente 137 photographies ; 40 ont été spécialement réalisées pour l’exposition au MuCEM, dont 23 prises à Marseille. « FOOD – Produire, manger, consommer». 37 artistes venus des cinq continents présentent le fruit de leur réflexion sur les enjeux liés à l’alimentation. Parmi eux, cinq artistes - John Armleder, Stefano Boccalini, Antoni Miralda, Angelo Plessas, Barthélémy Toguo - réalisent des installations originales avec des objets choisis dans les collections du MuCEM. « HISTORY ZERO » est une installation conçue par l’artiste grec Stefanos Tsivopoulos pour la biennale de Venise de 2013, composée de trois films de fiction et d’un espace dédié aux monnaies alternatives et aux monnaies officielles. Elle pose la question de la place de l’argent dans les sociétés d’aujourd’hui et son rôle dans les relations entre les individus. 9 2015, année anniversaire, le musée a 40 ans ! Même si, dès le début du XXème siècle, il existe un petit musée communal dédié à l’histoire locale et aux traditions, c’est en juin 1975 que le Musée international du Carnaval et du Masque ouvre ses portes sous la direction du folkloriste Samuël Glotz. C’est avec une exposition sur les traditions européennes que le Musée a véritablement pris son envol et c’est avec l’Europe que nous fêterons ce quarantième anniversaire. En effet, le vendredi 13 juin 1975, en présence de Maurice Herlemont, député permanent et de Mr Van Aal, Ministre de la Culture Française, Samuël Glotz inaugurera l’exposition temporaire "Le Masque dans la Tradition Européenne". Cette exposition s'intégrait dans un ensemble de manifestations organisées par le Gouvernement Belge sous les auspices du Conseil de l'Europe avec - déjà - la collaboration de l'Unesco. Outre un colloque organisé dans le cadre de l’exposition « Le Monde à l’Envers », un événement festif est programmé au printemps. Une exposition exceptionnelle et des travaux pour faire peau neuve. Le Musée fermera ses portes pour 5 mois afin de préparer l’ouverture, en 2016, d’un Centre d’interprétation sur le Carnaval de Binche ainsi qu’un espace permanent extra-européen qui marquera le retour de la section « Masques aux 5 coins du monde ». ». 10 Renseignements pratiques Musée international du Carnaval et du Masque Rue Saint Moustier, 10 7130 Binche www.museedumasque.be Contact presse : Sandrine Baron Tél. : 064/23.89.21 Fax : 064/34.14.30 E-mail : [email protected] Horaires : Le musée est ouvert du mardi au vendredi de 9h30 à 17h00, le samedi et le dimanche de 10h30 à 17h00 (billetterie 16h30). Fermé le lundi, le mercredi des Cendres, le 1er novembre et du 22 décembre 2014 au 5 janvier 2015 inclus. Réservations : Tél. : 064/33.57.41 – 064/23.89.29 Email : [email protected] Thèmes pour les visites guidées : 1. Un musée à quoi ça sert ? Découverte de la section pédagogique (fonctions d’un musée, universalité du masque et coulisses du carnaval de Binche) ; 2. Les carnavals de Binche et Wallonie ; 3. Exposition temporaire : du 25 janvier au 28 juin 2015 « Le Monde à l’Envers » Animation – avec le soutien de Hainaut Culture Tourisme Ateliers lecture vivante, ateliers créatifs Stages Anniversaires pour les enfants à partir de 6 ans Infos : cellule pédagogique – animations Martine ANTOINE, responsable : 064/23.89.38 [email protected] Tessy GREGOIRE, animatrice : 064/23.89.27 [email protected] 11 ANNEXE 12 « Le Monde à l’envers. Carnavals et mascarades d’Europe et Méditerranée » L’exposition « Le Monde à l’envers. Carnavals et mascarades d’Europe et de Méditerranée » est coproduite par le MUM, le MuCEM et Mons 2015. Elle a été présentée au Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) à Marseille du 26 mars au 25 août 2014, et est installée au Musée international du Carnaval et du Masque (MUM) à Binche, Belgique, du 25 janvier au 28 juin 2015, dans le cadre de Mons 2015, Capitale européenne de la Culture. COMMISSARIAT Marie-Pascale Mallé, conservateur en chef du patrimoine, MuCEM Commissariat général Clémence Mathieu, collaboratrice scientifique depuis avril 2014, MUM Co-commissariat Emilie Botteldoorn, collaboratrice scientifique jusque décembre 2013, MUM Co-commissariat Olivier Desart, MuM Scénographie Pour le MUM, MUSEE INTERNATIONAL DU CARNAVAL ET DU MASQUE, Binche, Belgique : Christel Deliège Directrice Martine Antoine et ses équipes Documents pédagogiques et accueil Sandrine Baron Secrétariat et communication Benoît Bouffioux Graphisme Olivier Desart Soclage Claude Gille Comptabilité Sabine Mäuseler Recherche scientifique, traduction et relecture, gestions prêts et droits d'auteur Marc Meurant et son équipe Montage Gaëlle Vangilbergen et son équipe Régie des collections et mannequinage Pour le MuCEM, MUSEE DES CIVILISATIONS DE L’EUROPE ET DE LA MEDITERRANEE, Marseille, France : Jean-François Chougnet Président depuis le 1er septembre 2014 Bruno Suzzarelli Président jusqu’au 1er septembre 2014 L’ensemble des équipes du MuCEM et plus particulièrement : Zeev Gourarier Directeur scientifique et des collections Françoise Dallemagne Chargée de collections et de recherches, commissaire associée Frédéric Mougenot Conservateur du patrimoine, commissaire associé Marina Zvinguezoff Chargée de collections et de recherches Sylvia Amar Responsable du département de la production culturelle Léonore Branche Chargée de la production Elsa Acosta-Mendez Assistante chargée de la production 13 Valérie Decombas Caroline Ragot Karine Bonjour Émilie Girard Marie-Charlotte Calafat Mélisande Engelbrecht Marina Zvinguezoff Mikael Mohamed Muriel Filleul Responsable technique des expositions Régisseure des œuvres Chargée de production audiovisuelle Responsable du département des collections et ressources documentaires Adjointe au service des collections Régisseure des prêts Chargée de collections et de recherches Chargé des relations internationales Chargée des relations presse et de l’information CONSEIL SCIENTIFIQUE Michel Agier Ethnologue et anthropologue, directeur de recherche à l’IRD et directeur d'études à l’EHESS. Zvjezdana Antoš Ethnologue et historienne, conservatrice au Musée d'ethnographie de Zagreb (Croatie). Christian Bromberger Ethnologue, professeur émérite à l'université de Provence. Laurent-Sébastien Fournier Ethnologue, maître de conférences à l’université de Nantes. Giovanni Kezich Ethnologue, directeur du Museo degli Usi e Costumi della Gente Trentina, à San Michele all'Adige (Trentin, Italie). Iglika Mishkova Ethnologue, conservatrice au Musée d'ethnographie de Sofia, spécialiste du carnaval en Bulgarie. Annie Sidro Ancien consultant-expert auprès de l'UNESCO pour les carnavals dans le monde, présidente de l'association Carnavals Sans Frontières. Dominique Wunderlin Directeur adjoint du Musée des Cultures de Bâle, Suisse, conservateur responsable du département Europe. REMERCIEMENTS Notre reconnaissance va aux responsables des collections publiques qui ont eu à cœur de participer à cette manifestation au MUM par des prêts exceptionnels : Autriche Musée du Schemenlaufen, Imst, Tyrol Belgique Maison des Géants, Ath Musée de la ville de Gand, Stadsmuseum, STAM Musée Juif de Belgique, Bruxelles Musée Royal de Mariemont 14 Musée des Beaux-Arts de Mons (BAM) Archives de la Ville d’Ath France Musée alsacien, Strasbourg Nous adressons un hommage particulier à la bienveillance de tous ceux qui ont accepté, avec enthousiasme, de construire avec nous ce projet : Les collectionneurs privés et prêteurs particuliers Alain Taillard, Colors of Carnaval, Herve (Xhendelesse), Belgique Desiderata, Stéphane Lafa, Pierre Puigcerver, Saint-Hippolyte-du-Fort, France Musée du Schemenlaufen, Imst, Tyrol, Autriche Les donateurs Le MuCEM Le Kölner Karnevalsmuseum, Cologne, Allemagne Asociación Cultural Amanecer de Aliste, Riofrío de Aliste, Espagne Musée basque, Bilbao, Espagne Les artistes Romain Duverne Ursus Wehrli Les cinéastes Jean-Marc Boeckmans (JMB Production) Jean-Christophe Gaudry (Les Films du Tambour de Soie) Dominique Leroy et Véronique Térech (C dans la boîte Production) Pedro Losada (SAGA - Sociedade antropolόxica galega) Manoël Pénicaud Hans-Joachim Popp Gildas Sergé (L’œil graphique) Michele Trentini (CKE-Carnival King of Europe) Ecole de Cinéma d’animation Supinfocom-Arles Faouzivision Les photographes Olivier Desart Yves Inchierman Pedro Losada Jean-Pierre Soyeur Photographe, MuM Photographe, MuCEM SAGA, Espagne Belgique Nous adressons également tous nos remerciements à ceux qui nous ont apporté un soutien déterminant : Ayuntamiento de Riofrío de Aliste, Espagne Association culturelle La Vijanera de Silió, Silió (Cantabria), Espagne Association Cultures et Traditions, Ganat, France 15 Association du Carnaval Bu-ilmawen / Bu-udmawen, Inezgane, Maroc Association Progestur-Cultura, Lisbonne Association SAGA (Sociedade antropoloxica galega), Noia, Coruña, Espagne Association Taymanout, Tiznit, Maroc Collectif Charivari, Stéphanie Bohnert, Marseille Comité d’animation de Mézilles, Yonne Comité de jumelage Hyères-Rottweil Comité des fêtes d’Arles-sur-Tech Compagnie Zouak / Association Fine Guif'Théâtre Diputación Provincial de Zamora, Patronato de Turismo, Espagne From here to fame publishing, Berlin, Allemagne Projet “King of Europe”, Musée San Michele , Trento, Italie Leda Atomica, Marseille Musée basque, Bilbao, Espagne Musée de Mataró, Espagne Musée des Cultures, Bâle, Suisse Musée national d’Ethnographie de Varsovie Musée du Carnaval de Cologne, Allemagne Musée du Carnaval de Viareggio, Italie Musée du Masque de la Méditerranée, Mamoiada, Sardaigne, Italie Musée du Schemenlaufen, Imst, Tyrol, Autriche Museu de Sant Antoni i el dimoni, Sa Pobla, Majorque, Espagne Museu Iberico da Mascara, Bragança, Trás-os-Montes, Portugal Office du Tourisme de la ville de Dunkerque Office du Tourisme de la ville de Nice Office du Tourisme de Rottweil Office du Tourisme de la vallée du Tech (Pyrénées-Orientales) Services socio-culturels de la ville de Marseille. 16 REVUE DE PRESSE : « Le Monde à l’Envers » au MuCEM 17