Thèse – article

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Thèse – article
Oréal Emmanuelle
[email protected]
directeurs de thèse
Pr WAINSTEN JEAN-PIERRE
Dr CITTEE JACQUES
Département de Médecine Générale de la faculté de médecine de Créteil
Image du médecin généraliste dans la littérature de jeunesse de 1945 à nos jours
Résumé
La société française a connu de grands changements après 1945, industriels, sociaux,
culturels et scientifiques. Le corps médical a lui aussi vécu ces mutations majeures. En
moins de cinquante ans, la littérature jeunesse est passée d’un statut subalterne et dévalorisé
à un statut privilégié d’un point de vue économique et social par l’important marché
éditorial qu’elle représente. Le stéréotype du médecin généraliste qu’elle véhicule permet à
l’enfant d’intégrer la représentation collective de la profession.
Une recherche qualitative sur un corpus de 312 ouvrages jeunesse, publié entre 1945 et
2008, a été menée afin d’étudier l’image du médecin généraliste dans la littérature de
jeunesse de l’après-guerre à nos jours.
L’utilisation anthropomorphique de l’ours médecin est la plus fréquente dans la littérature
enfantine. La femme médecin du corpus jeunesse, parce qu’elle représente encore une
singularité, personnifie la sainte laïque, archétype du parfait médecin de famille. La
description de la pratique en milieu rural, dans les ouvrages jeunesse, illustre la pérennité du
stéréotype du médecin de campagne, fleuron de la médecine générale. Le médecin de
l’après-guerre est un héros sauveur, désintéressé, altruiste, aimé et admiré de ses patients.
Sa vie de famille elle-même est exemplaire, quand veuf, il élève seul ses enfants. Son
stéréotype se simplifie avec le temps vers une représentation édulcorée et réduite à ses seuls
actes médicaux de base. Certaines pathologies traitées, comme la tuberculose ou la
poliomyélite disparaissent, dans la littérature de jeunesse comme dans l’histoire. D’autres
apparaissent dans les récits comme l’angine ou l’otite. Les attributs fondamentaux du
médecin sont le stéthoscope, la trousse et la blouse blanche qui semble suppléer la perte
d’aura du praticien. Le médecin généraliste est rassurant, chaleureux, gentil et bon.
Consciencieux dans son travail, il possède la confiance des patients. Des portraits d’enfants
délaissés par leurs parents médecins, troublent cependant cette image positive.
1 Introduction
Nous étudions l’image du médecin généraliste dans la littérature jeunesse de 1945 à 2008,
comme élément de l’histoire de la médecine générale. Le corps médical français a connu les
grands bouleversements de la société française d’après-guerre, socioculturels, économiques
et scientifiques. Mais l’évolution de la représentation des médecins généralistes telle qu’elle
apparaît dans les ouvrages de la littérature jeunesse a-t-elle été aussi rapide ! ? Certains
éléments forment-ils un noyau qui perpétuerait une image particulière du médecin de
famille ?
La définition de la littérature de jeunesse est complexe (1). Nous retenons celle de Jean
Perrot «!la seule définition réaliste d’un livre d’enfant (...) c’est que le livre apparaisse dans
le catalogue d’un éditeur pour la jeunesse». Cette littérature permet la transmission de
représentations sociales et de normes socioculturelles (2) et peut servir au conditionnement
et à la socialisation de l’enfant. De plus, il s’agit d’un secteur éditorial très dynamique.
2 Matériel et méthodes
Notre étude est de type qualitatif quantitatif (3) et procède de l’analyse de contenu (4). Le
corpus est constitué de 312 ouvrages de jeunesse. Il a été sélectionné à partir de recherche
par mot clés (5) et par dépouillement systématique de revues critiques anciennes, ainsi que
par des recherches sur des sites spécialisés en littérature jeunesse. Ces données ont été
ensuite colligées et vérifiées sur le catalogue informatique Bibliothèque Nationale de France
(BNF) OPALE et la joie par les livres. Puis, les ouvrages ont été consultés à la BNF.
Notre recherche a été menée sur trois périodes suivant la date de publication. La première de
1945 à 1969 correspondant à l’après-guerre et la deuxième de 1970 à 1989 à l’après Mai
68. Enfin la troisième période s’étend de 1990 à 2008. Le public ciblé est également
découpé en 3 groupes!: les 0-6 ans, les 7-12 ans, les 13 ans et plus.
Une grille d’analyse a été remplie pour chaque ouvrage retenant 184 items pour les 312
ouvrages, soit au total 57408 entrées. Nous avons en particulier utilisé pour son
élaboration, des données sur l’évolution de la profession de médecin généraliste, une
typologie des médecins élaborée dans le cadre d’étude sur le «!burn out!» médical. Existe-til une typologie des actes en médecine générale ? (7). Ils recouvrent différents domaines
comme le médecin et son image, son rôle dans le récit, son physique, sa famille, son image
morale, sa pratique ou la consultation.
Enfin, nous avons fait développer un logiciel d’analyse adapté à nos besoins pour des
calculs de pourcentages et de co-occurrences. Les items de la grille peuvent être de trois
types: soit ouverts (réponse libre) comme l’item titre, soit semi-ouverts (réponse à choisir
dans une liste) comme l’item public soit fermés (défini / non défini) comme lunettes.
Les pourcentages cités pour les réponses aux questions fermées peuvent apparaître faibles à
cause du grand nombre d’ouvrages où ces réponses ne peuvent être renseignées et pourtant
être significatif.
3 Résultat et Discussion
3-1 Le médecin héros de l’après-guerre
De 1945 à 1969, le médecin généraliste de l’après-guerre se comporte en médecin héros,
très loin de l’agent médico-social qu’il tend à devenir par la suite. Il exerce avec vocation et
dans le sacerdoce. Le praticien est un notable (24%), avec un niveau de vie élevé (25%). Ce
médecin d’exception est un sauveur (24%) et joue un rôle principal (45%). Il peut, lors de
ces péripéties livresques, se livrer à des diagnostics plus variés que les pathologies
enfantines courantes. Le médecin, héros de l’après-guerre, est 6 fois plus désintéressé, 4
fois plus altruiste, 2 fois plus souvent aimé des patients qu’après 1970. Le médecin
généraliste est un conseiller (16%). Il est admiré près de 4 fois plus qu’après 1990.
3-2 Vie de famille
Héros en action, le médecin généraliste de 1945 à 1969 l’est aussi dans sa vie familiale. Il
est représenté veuf dans un cas sur trois environ, avec alors à charge, ses enfants qui
peuvent être nombreux. L’image du médecin généraliste de l’après-guerre est une vision
idéalisée, romantique et déjà nostalgique d’un passé plus lointain.
3-3 Des fléaux du passé aux bobos d’aujourd’hui
De 1945 à 1969, le médecin généraliste est amené à diagnostiquer la tuberculose, référence
absolue au mal (8). Jamais nommée précisément, élément dramatique de le narration, elle
sépare les mères des enfants, fait des orphelins qui devront montrer leur détermination à se
construire une nouvelle vie et permet au « bon » docteur de prodiguer conseils et
encouragements.
Le médecin généraliste va aussi rencontrer au cours de son existence livresque, la
poliomyélite, maladie phare du 20ème siècle (9). Cette pathologie est rarement nommée
mais est décrite avec précision. Elle rappelle alors au jeune lecteur d’avant 1970, la peur de
la paralysie dont il a déjà vu les stigmates autour de lui.
La rougeole est représentée de façon constante au cours des trois périodes, de 1945 à 2008.
Pourtant le vaccin est introduit dans le calendrier vaccinal français depuis 1983, et depuis
1986 sous la forme trivalente actuelle. Les auteurs jeunesse des années 90, décrivent sans
doute la rougeole de leur enfance plutôt que celle de leurs enfants.
A partir de 1990, représenter le praticien diagnostiquant une otite ou une angine n’est plus
ressenti comme une incongruité. Le temps des pathologies moins lourdes et moins graves a
sonné dans la pratique du généraliste de fiction.
3-4 Stéréotypes du médecin généraliste
Le portrait physique du médecin généraliste de notre corpus de littérature jeunesse le décrit
comme un homme blanc (95%), de corpulence moyenne (87%), glabre (73%), souriant
(71%), brun (48%). Il porte de plus en plus souvent une blouse blanche (illustration
symbolique du déséquilibre de la relation médecin/malade) (10) et de moins en moins
souvent des lunettes. Il utilise un stéthoscope (44%) (11), une trousse (32%), un abaisse
langue (16%), des seringues (16%), un otoscope (14%) et des pansements (13%).
Le stéréotype de médecin généraliste présente des constantes indépendantes de nombreux
paramètres comme le public, la période, le sexe, l’âge du praticien ou le lieu de pratique. Il
est rassurant (32%), chaleureux (33%), digne de confiance (37%) et consciencieux (28%).
Le stéréotype devient plus lisse et édulcoré. Le médecin généraliste est réduit à ses seuls
actes courants. La triade auscultation cardiaque, auscultation pulmonaire, examen de la
gorge est retrouvée dans près d’un tiers des ouvrages. Enfin, la fièvre (21%) à partir de
1970 devient l’archétype du motif de consultation. Le sirop est le traitement de référence
(17%).
3-5 Histoires de famille
Le médecin généraliste de notre corpus de littérature jeunesse est marié et de plus en plus
avec le temps (31% à 60%) donnant ainsi une image de stabilité. Nous ne retrouvons pas
mention d’enfants hors mariage. Le praticien possède une descendance dans près de 3/4 des
cas. Nous pouvons constater que, contrairement au médecin du 7ème art (12), il n’est
jamais représenté délaissant son épouse. En revanche, dans environ un ouvrage sur six où
des enfants de médecin sont présents, ils sont délaissés par leur père ou leurs deux parents
médecins, en opposition avec l’image du docteur altruiste et bon. L’écrivain renforce ainsi
le côté insupportable et incompréhensible de la négligence. Ce mauvais géniteur tout entier
dévoué à ses patients, ne possède pas de temps familial et pratique des horaires lourds. Le
praticien désintéressé paye un tribu encore plus fort à sa vocation, puisque 19 fois plus que
son confrère, il délaisse ses propres enfants.
La représentation de la vocation dans la littérature jeunesse correspond à la réalité
sociologique (13) comme les enfants de médecin portant une hérédité professionnelle de
type Obélix «!tombés dedans quand ils étaient petits ». Parfois le fils du médecin a essayé
d’échapper à son destin pour finalement être rattrapé par la vocation paternelle.
3-6 Femme médecin, sainte laïque
Depuis 1875, année où Madeleine Gebelin soutient sa thèse de médecine en France,
l’évolution historique montre une féminisation de la profession médicale. Pourtant les
auteurs jeunesse sous représentent les médecins généraliste femmes dans notre corpus par
rapport à la réalité démographique (14, 15, 16). Mais cela ne veut pas dire qu’elle est
méprisée. Bien au contraire quand la femme médecin apparaît dans un ouvrage, elle est tout
simplement parfaite, sainte laïque de la médecine (17). Elle est plus jeune (53% vs 23%
chez les hommes), plus souriante (85% vs 68% chez les hommes). Elle porte la blouse
blanche, 2 fois plus que son confrère comme s’il fallait un signe visuel fort pour mieux la
reconnaître. Elle est représentée plus souvent mariée (57% vs 36% chez les hommes) (18)
mais jamais veuve et n’a pas plus de deux enfants comme si pour les auteurs jeunesse une
nombreuse progéniture n’était pas compatible avec la pratique de la médecine générale par
les femmes. Elle possède davantage de qualités telles que chaleureuse, bonne, gentille,
rassurante, altruiste, désintéressée. Elle n’est pas moins autoritaire que son confrère.
Toujours militante, elle réussit socialement 2 fois plus souvent. Modèle à suivre, 4 fois
plus souvent que son homologue masculin, elle n’est jamais incompétente.
3-7 Médecin des champs fleuron de la médecin générale
Le médecin rural est quant à lui, le fleuron de la médecine générale (19). A la campagne, le
praticien est un notable (45% vs 2% en ville), surtout avant 1970 où nous ne retrouvons
pas de médecin notable en ville. Le généraliste rural de notre corpus est ainsi représenté par
les auteurs jeunesse, 6 fois plus sauveur, 4 fois plus admiré, 2 fois plus compétent qu’à la
ville. Il semble être aimé des patients 2 fois plus souvent que son confrère citadin. Il est
plus attentif à ses malades. La pérennité de l’archétype du médecin de campagne au-delà
même des années 90, illustre bien l’ancrage profond dans les mentalités de cette image
idyllique du praticien rural, fleuron de la médecine de famille.
3-8 Représentation littéraire et réalité médicale
La littérature de jeunesse peut être le reflet exact du monde ou prendre une certaine licence
avec la réalité. Le médecin du corpus, comme son double réel, pratique des horaires lourds
qui s’allège avec le temps (86% à 68%). Il travaille de plus en plus en cabinet (4% à 47%).
Mais il continue de faire beaucoup de visite à domicile, en opposition avec la réalité de la
pratique. De plus, le médecin de fiction, pour des nécessités narratives peut pratiquer en
dehors du cadre classique du cabinet et du domicile (8%), ce qui est très rare dans la réalité.
La représentation de la vaccination triple entre la première (45-69) et la deuxième période
(70-90) ce qui correspond à la réalité médicale. La prévention dans la fiction jeunesse, en
doublant entre les deux premières périodes (7% à14%), augmente comme dans la réalité.
Dès 1970, moins accaparé par une lutte visant à sauver ses malades, le généraliste prend le
temps de la prévention. Le généraliste de notre corpus joue peu son rôle de coordination
(5%) et pratique peu de consultations à motif psychologique (6%) (20). Il prescrit peu
d’antibiotiques (3%) bien que le médecin de fiction rejoigne la réalité en diminuant encore
sa prescription après 1990. Certains éléments ne sont jamais retrouvés dans le corpus de
littérature jeunesse comme le carnet de santé (21), les arrêts de travail, la rédaction de
certificats ou très rarement comme le versement d’honoraires (2%) qui semble tabou ou le
lavage des mains (1%).
3-9 Trois titres pour un seul art
Les deux dénominations, docteur et médecin, ne sont pas utilisées indifféremment par les
auteurs dans notre corpus. Le terme docteur est utilisé surtout pour les ouvrages destinés au
moins de 6 ans (77%). Il est le bon docteur en empathie avec le patient. Si vous êtes un
praticien cupide ou orgueilleux, alors vous êtes un médecin. Le terme généraliste est surtout
retrouvé dans les ouvrages didactiques (31%). Il illustre une autre facette de la profession,
par ailleurs très flatteuse. Le généraliste est confident (45%), altruiste (55%), digne de
confiance (45%) et conseiller (45%).
3-10 Anthropomorphisme
L’utilisation de l’anthropomorphisme dans notre corpus se retrouve très principalement
dans les ouvrages destinés aux 0-6 ans (91%) où l’identification aux animaux est chargée
d’affectivité et induit un jeu d’analogie qui permet la distanciation avec le référent humain
(22). Ainsi, dans les romans pour moyens ou grands, nous retrouvons peu ou pas
d’animaux anthropomorphes puisque l’enfant est déjà plus intégré aux structures culturelles
du monde adulte (23). Dans le bestiaire du médecin anthropomorphisé, nous retrouvons
tout d’abord, l’ours (16%), animal fétiche de l’univers enfantin depuis l’apparition de
l’ours en peluche en 1906 puis le chien (14%) emblème depuis le moyen âge du
dévouement, de la fidélité et des vertus (24). Seul le docteur souris (9%) présente un côté
rusé et malin, se référant sans doute au thème développé depuis les fables d’Esope et de La
Fontaine.
4 Conclusion
En moins de cinquante ans, la littérature jeunesse passe d’un statut dévalorisé à un statut
privilégié d’un point de vue social et économique par l’important marché éditorial qu’elle
représente. Par le stéréotype du médecin généraliste qu’elle véhicule, elle permet à l’enfant
d’intégrer la représentation collective de la profession.
L’âge d’or du médecin notable, édilitaire, participant au débat public est atteint vers 1900.
La relation entre le praticien et son patient se transforme pour aboutir à une relation plus
égalitaire. Notre étude de l’image du médecin généraliste dans la littérature jeunesse de 1945
à 2008, illustre elle aussi ces changements. Le médecin, ! sauveur héroïque des années
d’après-guerre cède le pas devant un médecin dont le stéréotype se simplifie en une
représentation édulcorée et réduite à ses seuls actes médicaux de base. L’« ! Esculape en
jupon!», rejeté par le médecin de la belle époque, peine à trouver, en quantité, sa vraie place
dans la littérature de jeunesse. Mais la femme docteur, parce qu’elle représente encore une
singularité, est un être quasiment angélique, représentant le meilleur de la médecine de
famille. Finalement, un noyau dur de l’image du médecin généraliste persiste au sein de la
littérature jeunesse. Notre praticien des récits jeunesse est rassurant, chaleureux, gentil et
bon. Consciencieux dans son travail, il possède la confiance de ses patients. Bien sûr, il a
toujours la vocation, mais chevalier qui a perdu son royaume, sa blouse blanche comme
armure, il range son stéthoscope dans sa fidèle trousse médicale et se souvient qu’il a
soigné autrefois des tuberculoses, des crises de poliomyélite avant d’aller soulager une
angine ou une otite.
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