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Les héros non conventionnels ont le vent en
poupe et écrivent les meilleures pages et les plus
beaux antagonismes des séries TV modernes :
Les Soprano, Dexter, Madmen, House of cards
et maintenant Ray Donovan. Donovan pourrait
même en être le nouveau mètre étalon. Cet
écorché vif excelle dans son métier, qui consiste
à user de manipulations (envers les médias, mais
pas seulement) pour sortir ses clients fortunés de
situations plus compromettantes les unes que les
autres, à côté desquelles ses relations personnelles
et notamment familiales ne sont qu’une succession
d’échecs savoureux ou de conflits autrement plus
dangereux pour lui et ses proches.
Entre Ray Donovan et son père Mickey, rien ne va
définitivement plus. Mickey n’a jamais autant eu la
bride autour du cou par le FBI, qui menace de le
renvoyer illico presto en prison s’il ne divulgue pas
un certain nombre d’informations compromettantes
pour son fils et ses activités. Si la liberté a un prix, et
que ce prix est la trahison de sa propre progéniture,
jusqu’où est-on prêt à aller pour demeurer libre ? La
question est posée, mais Mickey, lui, ne se la pose
pas bien longtemps…
Le principal moteur narratif de Ray Donovan, dont
l’intrigue de haute voltige est signée Ann Biderman
(Southland, Copycat, Public Enemies) est d’aller
puiser sa tension dramatique – et de la surmultiplier
– en croisant les styles. Thriller noir, mafieux et
même volontiers malsain, c’est aussi un drame
familial aux ramifications, aux trahisons et donc
aux rebondissements toujours plus haletants, qui
distille un entêtant parfum de soufre et de scandale,
quelque part entre Entourage et Scandal, deux
autres modèles du genre.
Outre l’impeccable Liev Schreiber dans le rôle-titre
et le fabuleux Jon Voight (récompensé d’un Golden
Globe pour ce rôle) pour incarner son père, le casting
de la série s’enrichit de participations prestigieuses.
Après James Woods ou encore Rosanna Arquette
dans la saison précédente, et en attendant Katie
Holmes dans la prochaine, la saison 2 voit arriver
notamment Sherilyn Fenn (Twin Peaks), Hank
Azaria (Friends, Les Simpson) et Wendell Pierce
(The Wire, Treme).
Depuis son lancement en septembre 2009 sur CBS aux États-Unis et sur M6 et Teva en
France depuis 2011, le succès public de The Good Wife est non seulement impressionnant
(plus de 11 millions de spectateurs en moyenne outre-Atlantique pour cette cinquième
saison !) mais en plus d’une constance suffisamment rare dans l’univers toujours plus
surpeuplé des séries TV pour être signalée.
À ce plébiscite s’ajoute une reconnaissance des professionnels pour le travail accompli
par la talentueuse équipe de production en général (en 2013, l’American Film Institute
a classé The Good Wife dans le Top 10 des meilleures séries diffusées) et par Julianna
Margulies en particulier (de nombreuses nominations et récompenses à la clé, dont un
Golden Globe en 2010 et deux Emmy Awards en 2011.) Le succès continue puisque la
série a reçu un autre Emmy Awards en 2014, année de diffusion de cette saison 5.
Julianna Margulies a toujours privilégié sa carrière à la télévision, et ce depuis une
vingtaine d’années et le moment où elle a littéralement explosé sur nos petits écrans
en tant que docteur Carol Hattaway dans Urgences (de 1994 à 2000 !). Depuis, elle a fait
les beaux jours de la minisérie The Lost Room, mais aussi des Soprano, des Brumes
d’Avalon (où elle est Morgane), de Scrubs ou d’État d’alerte, avant de décrocher le rôle
d’une vie, celui de The Good Wife, à la demande des frères Tony et Ridley Scott (Exodus,
Gladiator, True Romance, Prometheus, Déjà vu…), producteurs de la série.
Dans cette saison 5 comme dans les précédentes, les
scénaristes de The Good Wife ont eu à cœur de multiplier
ricochets et revirements de situation de toutes sortes – et les
personnages retors qui vont bien avec, tant et si bien que la
tension n’a jamais cessé de progresser d’une saison à l’autre,
loin de bon nombre de séries traitées de façon trop unilatérale
ou bêtement manichéenne.
Cette saison marque un nouveau départ pour Alicia et Cary, qui
fondent leur propre cabinet juridique dissident de Lockhart/
Gardner, emmenant avec eux certains clients importants, ce qui
n’est bien entendu pas bien vu par leurs anciens employeurs
qui ont à cœur de faire monter les hostilités d’un cran.
Suite au dysfonctionnement du processus d’exécution d’un
homme niant toujours fermement son crime, Diane et Alice
enquêtent pour l’innocenter.
Peter Florrick est élu gouverneur et prend Eli comme chef de
cabinet. Ensemble, ils se voient rapidement confrontés à des
problèmes de corruption suite à l’enquête de la commission de
l’éthique sur une probable fraude électorale lors des élections.
Quant aux problèmes relationnels d’Alicia, ses frictions
diverses et autres défiances au quotidien, ils annoncent
l’arrivée imminente de ses plus terribles affrontements à ce
jour…
SPOILER Côté casting, la saison 5 est marquée par le départ
brutal et inattendu d’un des personnages-clés, Will Gardner
(Josh Charles), tué dans une fusillade, départ compensé par
l’arrivée de Matthew Goode (Match Point, Watchmen…) dans
le rôle de Finley “Finn” Polmar…
D’emblée, les effets spéciaux “spielbergiens” sont
mis à l’honneur à travers des thématiques qui sont
chères au producteur, telles que l’espace, l’intelligence
artificielle ou encore les technologies futuristes. Ces
nombreux effets spéciaux d’une qualité irréprochable
sont exacerbés par des décors et des costumes qui
n’ont rien à envier aux productions hollywoodiennes.
À grand renfort de références incontournables (Alien,
Gravity ou encore A.I.), Extant entre par la grande porte
des séries TV de science-fiction les plus ambitieuses
jamais produites. Toutes ces composantes conduisent
à une immersion totale dans ce monde futuriste.
Il est sans discussion possible le cinéaste de l’imaginaire
le plus populaire de ces quatre dernières décennies,
connu non seulement pour avoir enfanté accouché
du tout premier blockbuster de l’histoire (Les Dents
de la mer), mais aussi et surtout pour son penchant
pour les mondes futurs en général et l’âge d’or de la
SF en particulier (Minority Report, d’après Philip K.
Dick, Rencontres du troisième type, A.I. Intelligence
artificielle, ou encore son remake du classique La Guerre
des Mondes). Preuve de son indéfectible amour pour la
SF, on lui doit déjà en tant que producteur ou producteur
exécutif les séries TV Terra Nova, Falling Skies et Under
the Dome. Extant est son nouveau jouet et Spielberg y a
apporté tout le soin et le savoir-faire (en particulier en ce
qui concerne les SFX) nécessaires à sa réussite avérée.
Molly Woods vient de passer un peu plus d’un an seule
dans l’espace. Elle retourne sur Terre retrouver son
mari, un scientifique spécialisé en robotique, et Ethan,
leur “enfant”, un prototype d’Humanich, un robot tout
ce qu’il y a de plus humain d’apparence. Un retour dans
son home sweet home et à un quotidien plus terre à
terre qui met Molly en joie… jusqu’à ce qu’elle découvre
qu’elle est mystérieusement enceinte, mystère d’autant
plus épais qu’elle vient de passer 13 mois totalement
isolée dans l’espace.
Découverte par Spike Lee, elle a été James Bond girl,
Catwoman ou encore Tornade, sous la bannière X-Men.
Elle a tourné pour les plus grands (Tony Scott, Bryan
Singer, James Foley…), a récemment déjà tâté de la
saga futuriste (Cloud Atlas) et ne refuse jamais un
challenge du niveau de son insatiable passion pour les
personnages forts et les rôles à risque.
Dans Extant, Halle Berry est entourée de Goran Visnjic
(Millenium, Cartel, Spartacus…) et de Camryn Manheim
(Scary Movie 3, Cop Car…).
Spécifications techniques :
• Langues : anglais, allemand – 5.1 Surround Dolby
Digital ; français, espagnol – 2.0 Surround Dolby
Digital
• Sous-titres : danois, allemand, anglais, espagnol, français, néerlandais, norvégien, finnois, suédois
Bonus :
• Commentaire audio de l’épisode 201
• Liv Schreider parle de Ray
• Jon Voight parle de Mickey
• Musicalement Ray
• Shooting Ray Donovan
• Sagesse et esprit
Sortie : 2 septembre 2015
Intégrales :
• coffret saison 5 de 6 DVD
22 épisodes de 42 minutes
PVC : 39,99 € TTC
Sortie : 30 septembre 2015
Intégrale : coffret de 4 DVD ou 4 Blu-ray
13 épisodes de 42 minutes - PVC : 29,99 € TTC (DVD)
et 39,99 € TTC (BR)
• coffret saisons 1 à 5 de 30 DVD
PVC : 79,99 € TTC
Spécifications techniques :
• Langues : anglais, français, allemand, italien – Dolby Digital 2.0 surround
• Sous-titres : anglais, français, allemand, italien
Bonus (de la saison 5) :
• Nouvelle saison, nouvelle Alicia • Requiem pour un ami : l’épisode 515
• Scènes coupées pour certains épisodes
• Clip de Thicky Trick
• Bêtisier
Spécifications techniques DVD :
• Langues : anglais, français, allemand – 5.1 Surround Dolby
Digital ; italien – 2.0 Surround Dolby Digital
• Sous-titres : anglais, français, allemand, italien,
néerlandais, danois, finnois, norvégien, suédois
Spécifications techniques BRD :
• Langues : anglais – 5.1 Surround DTS HD Master Audio ;
français, allemand – 5.1 Surround Dolby Digital ; italien – 2.0
Surround Dolby Digital
• Sous-titres : anglais, français, allemand, italien,
néerlandais, danois, finnois, norvégien, suédois
Bonus :
• L’histoire d’Extant
• Les acteurs
• La progéniture
• Les effets spéciaux
• Bêtisier
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42, rue des Jeûneurs - 75002 Paris - + 33 1 55 34 24 24 - www.fhcom.net
[email protected] - [email protected]
• Le tournage de la saison 1
• La mythologie d’Extant
• Le monde futuriste d’Extant
• Scènes coupées
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© 2015 CBS Studios Inc. CBS et tous les éléments s’y rapportant sont des marques déposées de CBS Broadcasting Inc. Tous Droits Réservés.
Sortie : 16 septembre 2015
Intégrale : coffret de 4 DVD
12 épisodes de 42 minutes
PVC : 29,99 € TTC