rapport-Thaïlande-Chiang Mai

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rapport-Thaïlande-Chiang Mai
Compte rendu de mission
1. PRESENTATION GENERALE
a) Le(s) bénévole(s)
•
•
Michael
Delphine
b) Le partenaire local
Contact
Institution
Université de Chiang Mai,
Faculté d’Education, Section
française.
Université de Chiang Mai.
Ecole d’application (de Satit) ou
Demonstration School.
Ecole Wattanothaïpayap,
Chiang Mai
22 Bunruangrit Road Haiya
Mueang Chiang Mai
Nom
Email
Pornsawan Phengpit
[email protected]
Thawit Wiriya
Lek*
[email protected]
[email protected]
Warapon*
Mme Warapon
KRITTHAM
[email protected]
Tél. portabgle : 089555-3874
Ecole
Wattanothaipayap
22 Boonruengrit Road
T. Haiya
A. Muang
Chiang Mai 50100
Thailand
Tel. : 053-277151
Fax : 053-277452
* Il s’agit du « petit nom » de la personne utilisé dans la vie quotidienne car les prénoms et
surtout les noms de famille peuvent parfois être très longs !
Note importante : le nom du partenaire local que nous a initialement fourni par la Guilde est
celui de Mme Pornsawan Phengpit. C’est elle qui était entrée en contact avec nos
prédécesseurs en 2009 (Marion) ; c’est elle qui a monté et déposé un projet auprès de
l’Université pour donner un cadre légal à nos interventions dans le cadre de l’Université ;
c’est elle qui a organisé notre venue. Elle a associé l’Ecole d’Application dit de Satit (niveau
secondaire) dans le projet car celle-ci est localisée dans l’Université. Au cours de notre
première réunion avec l’équipe des professeurs de français de Satit, outre le responsable de
la section et ses stagiaires, était aussi présent un autre professeur-stagiaire de français
exerçant à l’école Wattanothaïpayap située à 15 minutes environ de l’Université. Nous y
sommes donc allés et avons proposé nos “services”. L’accueil reçu a été tellement
chaleureux et enthousiaste de la part des stagiaires et notamment de la responsable
Warapon que nous la mettons dans la liste des contacts.
c) Lieu de la mission
•
•
Pays : Thaïlande
Ville : Chiang Mai (principale localité au nord du pays)
d) Information sur le pays
En la matière, les guides touristiques, du genre Le Routard, le Lonely Planet, sont
autant de mines d’information que l’on peut consulter avec profit.
2. La vie sur place
a) L’arrivée, l’accueil
•
Comme le dit si bien Le Routard, tous les chemins mènent à Chiang Mai. En avion,
en train ou en bus, il n’y a a uc une diffi culté pour s’ y rend re à tarif très abordable,
du moins pour les Occidentaux…
•
Concernant l’accueil, nous avons été pris en charge à notre arrivée par notre
contact sur place, Mme Pornsawan. Efficace et très gentille, elle s’occupe du logement, à
la convenance du volontaire ou selon les possibilités : sur la fac, chez des étudiants ou
dans un logement indépendant (cf. ci-dessous). A condition bien entendu de la prévenir :
le(s) volontaire(s) doivent entrer en contact le plus tôt possible afin qu’elle puisse
s’organiser.
b) Le trajet vers le logement
• La première fois, nous avons été conduits au logement par notre contact.
• Puis, nous avons loué un sc ooter pour deux : vivement conseillé pour les trajets
−
professionnels (du logement à l’Université et de l’Université au lycée
Wattanothaï, environ 20 minutes aux heures de pointe)
−
personnels (pour aller dans le centre de façon relativement rapide).
Les guides de voyage sont parfois réticents en la matière. Personnellement, nous avons
trouvé la conduite à Chiang Mai relativement aisée : et pourtant, c’est la première fois
que nous roulions en scooter, c’est pour dire ! Par ailleurs, nous n’avons déploré aucun
incident ni aucune aberration dans le comportement des autochtones sur la route. En
ville, il nous a semblé que les gens roulaient plutôt correctement et à vitesse raisonnable.
c) La nourriture
• Le nord du pays et Chiang Mai notamment sont les temples de la gastronomie
thaïlandaise en général, lanna en particulier. Un régal pour les papilles. Pour des coûts
modiques : de 20 bahts (0,5 euro) à moins de 100 bahts (2,5 euros) par personne selon le
lieu et le plat choisi. Pour une découverte éclairée des saveurs épicées ou aigres-douces,
rien de tel que d’être accompagné de Thaïlandais, les professeurs en personne par
exemple. A cet égard, Lek, de l’école Satit, s’est révélé très précieux !
• La ville étant très touristique, notamment en haute saison, les conditions sanitaires
sont très satisfaisantes même si une dose de prudence s’impose chez certains marchands
ambulants. Le mieux est de choisir un lieu relativement fréquenté, histoire d’être sûr
que les produits sont frais. Reste que, pour ce que nous avons constaté, hygiène et
propreté dans les préparations sont relativement bien respectées. Sinon, possibilités de
manger dans les cantines des établissements ou à l’université.
d) Le logement
Deux possibilités :
• Log em ent ch ez l’ h abi ta n t c’est-à-dire chez un(e) étudiant(e) vivant encore chez ses
parents. Cette solution permet à l’étudiant(e) en question de pratiquer son français, au
volontaire de vivre dans une famille thaïe typique – ce qui est autrement assez difficile.
Inconvénient : une certaine dépendance, en particulier si le volontaire n’a pas de moyen
de locomotion autonome (cf. ci-dessous) ; selon la personnalité des uns et des autres et
les circonstances (volontaires séparés), il peut amener un certain isolement.
• Logem en t i nd ép enda n t trouvé et loué par l’intermédiaire du contact sur place.
Etant en couple, c’est la solution que nous avons choisie. Mme Pornsawan s’était occupée
de tout avant notre arrivée : à 5 minutes en scooter de l’Université, le nôtre était situé
dans un quartier calme (à condition de porter des boules quies pour ne pas entendre les
gens partir au travail le matin). Avec une pièce principale et une « salle de bain »
attenante, les conditions étaient quelque peu spartiates : eau froide tous les matins et
toilettes à la turque juste à côté de la douche, sans oublier le sommier en bois. Avantages
importants malgré tout : la tranquillité, la proximité et l’accès Internet pour qui dispose
d’un ordinateur portable. Les voisins étaient sympas mais aucun échange possible en
l’absence de langue commune. Reste les sourires, ça fait toujours plaisir.
e) Les transports
• A l’image de la Thaïlande touristique, la ville de Chiang Mai est fort bi e n po ur vue en
moyens de c om m unica ti on i ntra- ur bai ns, du moins cher au plus cher : taxi rouge,
tuk-tuk ou taxi.
• Lou er u n sc ooter (motorbike) permet de se déplacer facilement entre l’école de
Wattanothaï et l’université (prévoir entre 15 et 30 minutes selon le moment de la
journée). C’est aussi un gage de rapidité, d’indépendance et un moyen pratique pour
visiter la ville et ses environs.
• Prix d’ u ne l oc ati on pour u n m ois en août 2010 : 3 200 soit 80 eu ros ; prix d’un
plein : 100 bahts soit 2,5 euros.
f) Santé
• D’après les guides, Chiang Mai est pourvu d’hôpitaux modernes avec du personnel
compétent. Nous n’en savons pas plus sur le sujet.
• Prévoir des pr od ui ts a nti-m o us tiq ues ; pour Chiang Mai en tant que tel la
moustiquaire n’est pas indispensable (elle peut s’avérer utile en cas de trek le weekend
mais, généralement, les agences fournissent le nécessaire). D’après les autorités
sanitaires, la Thaïlande en général, les villes a fortiori ne sont plus touchées par le
paludisme. Nous n’avons pris aucun médicament antipaludéen pendant le temps de la
mission.
e) Divers
• Des caf és I n t ern e t u n p e u par to u t dans le centre-ville et près de l’Université. Pas
mal de cafés offrent aussi un accès wifi gratuit pour les clients équipés d’un ordinateur
portable.
• Sinon, la chambre que nous occupions en était équipée, le prix étant compris dans le
loyer.
• Distr ib uteurs a utoma tiq ues om nipr és ents. En août 2010 : 10 bahts = 0,5 euro.
3. LES ACTIVITES MISES EN PLACE
A) Objectif de la mission : objectifs initial, objectifs atteints
• Les objectifs initiaux sont ceux indiqués sur la feuille de route que nous a envoyée la
Guilde : contribuer au renouvellement des méthodes pédagogiques et au rayonnement de
la culture française.
• Sur le papier, les objectifs apparaissent à la fois très généraux et ambitieux ; sur le
terrain, la m od est ie a été de m is e pour plusieurs raisons :
−
technique : il apparaît plutôt difficile de s’aventurer sur le terrain
pédagogique pour quiconque dont la profession n’est pas liée à l’enseignement des
langues de façon générale, du FLE en particulier. Et ce même pour les enseignants
de formation.
−
diplomatique : les futurs enseignants thaïs sont formés au métier par le biais
de la Faculté d’Education de Chiang Mai ; il s’est agi pour nous d’être prudents, de
ne pas juger ou remettre en cause la didactique et la pratique de l’enseignement du
français caractérisée notamment par un apprentissage essentiellement lexical, la
répétition individuelle et collective ainsi que par l’aspect très ludique des activités
proposées.
−
pragmatique : pour de multiples raisons inhérentes au système scolaire mais
également aux différences linguistiques, le ni veau d es él èv es é ta it
rela ti v em e nt f aibl e (difficulté voire incapacité à former des phrases ou même à
comprendre pour les élèves et même pour les professeurs-stagiaires – quiproquos
garantis !). De fait, le contenu culturel transmis a souvent été minime, d’autant
que les interventions ont été trop courtes et ponctuelles.
• Dans le domaine scolaire, il est toujours difficile d’évaluer si les objectifs ont été atteints, à
plus forte raison sur une mission courte faite d’interventions ponctuelles et sans bilan (test)
possible. Le seul critère d’évaluation est donc subjectif et repose sur des impressions, en
l’occurrence celles d’avoir surtout apporté – et énormément reçu – sur le plan humain. La
bonne humeur, le sourire et la participation des élèves pendant les activités mises en place
sont autant de signes d’adhésion et de bienveillance des publics que nous avons rencontrés.
Un des moments forts a sans doute été notre participation au stage linguistique de 2 jours
organisé par l’école de Satit : nous avons non seulement mené et encadré les activités, seul ou
en groupe, mais aussi largement participé à leur élaboration. De façon les autres enseignants,
se sont avérés très attentifs à nos idées et à nos propositions. Jusqu’à nous laisser carte
blanche dans les cours. C’est à ce moment là que tout se joue : il s’agit de se plier au système,
de réutiliser les mêmes ficelles tout en proposant quelques changements, quelques pistes.
• A l’université, nos interventions ont surtout été utiles auprès des étudiants de 1ère année
qui se sont montrés réguliers, attentifs, curieux et reconnaissants. Nous les avons aidés dans
le travail de lecture d’un « roman » au programme. Ils sont passés leur examen au mois de
septembre peu après notre départ ; malheureusement nous n’avons toujours pas leurs
résultats à ce jour. Mais un petit contrôle réalisé la dernière séance nous a permis de
constater que l’essentiel était passé. Les adieux ont été extrêmement difficiles… Pour des
raisons liées au calendrier (examens, jours fériés…), nous n’avons vu que très
ponctuellement les étudiants des années supérieures. A noter quelques interventions en
cours de phonologie extrêmement positifs avec les étudiants de 3e année : étant donné la
matière abordée et la méthode de la répétition après écoute pratiquée par le professeur, notre
présence a sans aucun doute été utile ; et qui plus est, l’une de ces interventions a même été
enregistrée ! Soit dit en passant, nous avons aussi été filmés lors d’un cours avec les néoapprenants à l’école de Satit. Nous tenons la vidéo à votre disposition en cas de besoin. Audelà du souvenir de notre passage, l’idée était pour la responsable de visionner et d’analyser
les deux cours avec ses étudiants de la Faculté d’Education.
B) Le public concerné (âge, nombre, niveau scolaire)
• Elève de 15-18 ans dans les deux lycées mentionnés ci-dessus.
• Etudiants de 18 à 22 ans à l’Université.
C) Les effets sur les bénéficiaires
• Côté lycées : étant donné la brièveté de la mission et le caractère ponctuel de nos
interventions, les effets linguistiques de la mission ne sont probablement pas les plus
importants. Encore qu’ils soient difficiles à mesurer en tant que tels. Reste que les élèves
auront au moins eu l’occasion d’entendre des locuteurs natifs, donc du français plus
authentique. Côté étudiants, l’impact des conversations et de nos échanges a été positif
notamment sur les « première année » que nous avons vus à plusieurs reprises : leur
compréhension orale et écrite orientée autour du livre étudié s’est incontestablement
améliorée même si nous n’avons pas à ce jour les résultats des examens passés après
notre départ, soit début septembre. Nos interventions, ponctuelles là aussi, dans les
cours de phonétique-phonologie a sans doute permis aux étudiants d’entendre et de
reproduire les sons plus authentiques grâce aux exercices d’écoute et de répétition.
• Au final, dans les écoles comme à l’université, l’impact le plus important est sans doute
d’ordre culturel et humain à travers les rencontres, les contacts et les échanges, à la fois
pour les élèves et pour nous en tant que volontaires. Nos deux cours de cuisine française
à l’école de Wattanothaïpayap ont été l’illustration d’une intervention réussie dans la
mesure où tous les ingrédients étaient réunis : linguistique (quasiment aucune
traduction en thaï), culturel – gastronomique en l’occurrence, nous leur avons appris à
faire des crêpes, de la compote de pomme notamment – et humain : bonne ambiance
générale, autonomie des élèves, participation de tous…
D) Organisation quotidienne
• Concernant nos rencontres avec les étudiants, le planning avait largement été établi
par notre contact, Mme Pornsawan.
• Concernant les écoles. L’emploi du temps qui nous a été initialement proposé était
plutôt léger, sans doute par volonté de nous ménager. Il ne faut pas hésiter à proposer
ses services et à proposer des interventions dans les classes, soit pour assister le
professeur ou le stagiaire, soit pour prendre la classe en charge ; à 99%, la réponse sera
un grand oui. Mieux vaut prendre les devants et établir son calendrier pour la semaine
suivante. Ne pas hésiter non plus à bien se renseigner sur le contenu de la leçon, les
objectifs pédagogiques. A cet égard, la capacité à improviser est une qualité importante
notamment en cas de sollicitation à la dernière minute. Sinon, une bonne organisation
doit permettre de définir ses interventions quelques jours avant afin de les préparer.
• En cas d’intervention dans les deux lycées au cours de la même demi-journée, prévoir
une demi-heure de battement pour le déplacement en scooter.
E) Matériel (matériel disponible sur place/ matériel à acheter
sur place/ matériel à apporter)
• Avant notre départ, nous avions envisagé de nombreuses pistes pédagogiques et
rassemblé divers outils pédagogiques dont des séquences filmées de notre région et de
notre quotidien. En pratique, très peu ce sont avérés exploitables sur le terrain, pour des
raisons liées soit au niveau des élèves-étudiants, soit aux contingences matérielles et
logistiques (emploi du temps) soit à la progression et aux demandes pédagogiques des
professeurs-partenaires ».
• Nous avons donné beaucoup de documents aux équipes enseignantes, sur différents
types de supports : papier & multimédia. Reste que, dans les deux écoles fréquentées, le
manuel scolaire, les sources trouvées sur Internet ou les supports fabriqués-maison sont
majoritairement utilisés.
4. CONSEILS PRATIQUES
- A emporter
• Peu de choses ; possibilité d’acheter les vêtements sur place. Au moins une tenue dite
« correcte » pour commencer à travailler : jupe/robe/chemisier pas trop courte pour les
filles, un pantalon & une chemise pour les garçons ; chaussures « de ville » dans les deux cas.
Tenues supplémentaires et autres vêtements pour être achetés sur place pour un coût
relativement modique.
• Un ordinateur portable, très pratique pour aller sur Internet (par mal de cafés équipés de
wifi) et pour préparer les cours.
• Parapluie, lampe de poche & matériel pédagogique surtout pour les équipes sur place,
histoire de renouveler, diversifier leurs stocks : ceci dit, ne pas trop s’inquiéter en cas
d’impossibilité, les enseignants utilisent abondamment la richesse documentaire d’Internet
(site FLE et autres dédiés à l’enseignement du français).
- A laisser à Paris
• Beaucoup de choses que l’on pense souvent être indispensables. Une seule tenue chaude
suffit.
- La pharmacie d’équipe
• Les fondamentaux contre maux de tête, de dents... mais inutile de se charger.
• Antipaludéens apparemment inutiles en ville sauf en cas d’excursions.
- Argent, assurance, visa
• Inutile de chercher des devises avant de partir. Possibilité de retirer de l’argent à l’aéroport
de Bangkok en arrivant.
• D’après nos informations, le visa peut être délivré en arrivant à Bangkok ; pour ceux qui
veulent voyager l’esprit tranquille, mieux vaut cependant le demander et l’obtenir auprès de
l’ambassade de Thaïlande à Paris avant de partir. Etant donné la durée de la mission, nous
avons opté pour un visa touristique, délivré gratuitement et en quelques jours quand nous
avons fait la demande.
- Petit lexique
• Consulter les guides de voyage.
5. BILAN
A) Points forts
• La souplesse du dispositif, la confiance de la Guilde dans ses volontaires et leur autonomie
sur le terrain pour la mise en place et le déroulement de la mission.
• L’accueil par les enseignants et les élèves ! Génial !
• Les conditions de vie sur place.
• La richesse humaine de la mission.
B) Points faibles
• Une mission trop courte. Il faut en effet déjà une bonne quinzaine de jours pour entrer
de plain-pied dans la mission, le temps de prendre ses marques, de contacter les
différents interlocuteurs, d’aménager son emploi du temps.
C) Points d’amélioration pour 2011
• Conséquence logique du point faible mentionné ci-dessus, une mission plus longue :
deux mois minimum voire plus.
• Ayant discuté avec plusieurs Français sur place, nous nous sommes rendus compte que
nous avions finalement payé très cher le billet d’avion : parfois du simple au double, en
tout état de cause toujours inférieur à 1000 euros pour les compatriotes rencontrés. Une
dimension pécuniaire importante qui mériterait plus de vigilance, sans pour autant
sacrifier la sécurité du transport aérien bien entendu.
• Inclure le 3e établissement dans la mission : Ecole Wattanothaïpayap. Elle ne faisait pas
partie de la liste initiale des partenaires avec lesquels nous devions travailler sur place
mais l’occasion s’étant présentée, nous avons pris contact et sommes intervenus
ponctuellement. Il semble y avoir une réelle envie de l’enseignante responsable de la
section française sur place d’accueillir des bénévoles l’année prochaine. C’est là
notamment que nous avons fait les cours de cuisine.
D) Coordonnées de l’équipe (e-mail) des bénévoles partis
• Lionne Michael : [email protected]
• Faillon Delphine : [email protected]
• Adresse du blog que nous avons tenu pendant notre séjour en Thaïlande :
http://missionthailande.over-blog.com