. Cinquieme chapitre - michna 21 . 517 est rapporte ici: «Torah tsiva
Transcription
. Cinquieme chapitre - michna 21 . 517 est rapporte ici: «Torah tsiva
. Cinquieme chapitre - m ichna 21 . 517 d’abord au jeune enfant le sefere Vayikra, afin de l’habituer a la methode d'etude : il n'est pas oblige de comprendre le sens de tout ce qu'il apprend. Dans un premier temps, son etude sera peut-etre seulement une lecture, sans penetrer le sens profond des enseignements. Puis, lorsqu'il grandira, il commencera a etudier la Michna et le Talmud qui viennent expliquer le sens des textes. Cela nous permet de comprendre les propos de nos maitres (Soucca 42a) selon lesquels des qu’un enfant sait parler, son pere doit lui enseigner la Torah. Les sages du Talmud demandent: «Qu’est-ce que la Torah?» Rav Hamnouna dit: « Torah tsiva lanou Moche moracha kehilate Ya’akov » («C’est pour nous qu’Il dicta une doctrine a Moche; elle restera l’heritage de la communaute de Ya’akov») (Devarim 33, 4). Or, y a-t-il deux Torah pour demander: «Qu’est-ce que la Torah?» Une autre difficulte se pose encore: pourquoi le pere doit-il enseigner a son jeune enfant precisement ce verset? De plus, le midrach cite plus haut rapporte que la premiere chose enseignee aux jeunes enfants est le sefere Vayikra, tandis qu’il est rapporte ici: « Torah tsiva lanou Moche». Comment expliquer cela? Mais d'apres ce que nous avons dit, tout s'explique. En effet, la raison pour laquelle on entame l’etude par le sefere Vayikra est pour montrer a l'enfant qui commence a aller a l'ecole qu'il n'a pas besoin ---------------Recits de tsadikim ---------------tem ps u n hom m e d ’affaires. Cependant, il ne trouvait toujours pas d ’epouse. Vingt ans apres son entrevue avec Rabbi M oche A harone zatsal, il se rendit a u Mexique po u r ses affaires. La, il rencontra celle qui lui etait destinee et l ’epousa. U n coup d ’reil sur sa carte d ’identite confirm a qu ’elle etait effectivement nee u n jo u r apres sa visite chez Rabbi M oche A harone Pinto zatsal, vingt ans plus tot.