Easy2boot - Le site d`Alain BACH

Transcription

Easy2boot - Le site d`Alain BACH
Un nouveau script de sauvegarde
Dans cet article, j’ai évoqué ma manière de faire les sauvegardes sous Linux. Aujourd’hui (depuis plusieurs jours en fait,
vous vous en douterez quand vous aurez lu cet article) je me suis penché sur un nouveau script permettant de gérer la
sauvegarde du répertoire $HOME de l’utilisateur. Contrairement au script précédent, j’ai voulu faire quelque chose de bien
plus souple. J’ai cherché à proposer à l’utilisateur de faire une sauvegarde soit TOTALE (en excluant juste quelques
dossiers qu’il jugera inutile) soit PARTIELLE (en excluant tout sauf quelques dossiers qu’il jugera utile). J’ai par ailleurs
cherché à lui donner la possibilité de placer sa sauvegarde, soit sur un support USB local, soit sur un serveur SSH branché
sur le réseau (local ou Internet).
J’ai de plus essayé de faire quelque chose qui ne nécessite que peu de manipulation de fichiers par l’intermédiaire d’un
éditeur.
La solution que je vous propose se décompose en trois fichiers qu’il conviendra de placer dans un même répertoire sur
votre $HOME.
Le premier est le programme proprement dit. Je l’ai appelé svg.sh.
Il devra être marqué exécutable et ce par la commande
chmod +x svg.sh
Le second fichier s’appellera RsyncExclusion.
Le troisième fichier s’appellera RsyncInclusion
Plutôt que de mettre les listings, j’ai préféré mettre dans ce fichier ZIP l’ensemble des trois fichiers.
Vider toutes ses corbeilles en une ligne
de commande
Comme vous avez pu le remarquer, j’utilise de plus en plus la ligne de commande. Pourquoi ? Tout simplement parce que
c’est souvent plus rapide qu’en utilisant l’interface graphique. Il est aussi possible d’intégrer ses commandes dans des
alias, ce qui les rend encore plus facilement accessibles (j’y reviendrais plus tard, dans un autre article.
Ma problématique du jour est très simple : je voudrais vider toutes mes corbeilles en une seule ligne de commande.
En cherchant un peu sur mon moteur de recherche favori, j’ai trouvé la réponse :
for v in $(find / -maxdepth 4 -name ".Trash*"); do rm --preserve-root -Rf "$v"; done
Easy2boot : une clé USB multi-boot
Qui n’a pas rêvé d’avoir une clé USB qui contienne à elle seule les différentes versions des systèmes d’exploitation
susceptibles d’être installés sur un ordinateur ?
Le plus souvent, on se retrouve à, soit utiliser plusieurs clés (une par système), soit à générer LA clé au moment où on en
a besoin (ce qui prend et fait perdre beaucoup de temps).
La solution la plus simple, je l’ai trouvée sur le forum de LinuxMint, dans ce post de Sirhudson que je tiens à remercier au
passage. Sans lui et les différents contributeurs de ce post, le présent article n’aurait jamais pu voir le jour.
Cette solution s’appelle easy2boot.
Tout d’abord, quel est le principe d’easy2boot ?
Il s’agit de créer une clé USB, bootable, qui contiendra tout bêtement les images ISO des systèmes souhaités. Ces
systèmes sont accessibles via un menu.
A la grande différence des autres clés USB de ce type (Unetbootin, Multisystem par exemple), easy2boot ne
nécessite pas de manipulation particulière pour la génération et l’intégration des ISO dans le menu.
Autre particularité d’easy2boot, rien n’est installé sur le PC servant à générer la clé USB.
Que faut-il pour créer easy2boot ?
Il faut un PC fonctionnant sous Linux. Pour ma part, j’utilise mon bon « vieux » Mint 17 Cinnamon.
Il faut ensuite (c’est logique mais précisons le tout de même) une clé USB de bonne capacité (8Go est un minimum).
Pour ma part, j’ai choisi une clé de 32Go, voir 64Go.
Il faut enfin deux logiciels : Easy2boot et grub4dos que vous pourrez télécharger en cliquant tout simplement sur leur
nom. Je précise que ce ne sont pas les dernières versions de ces logiciels, mais que ce sont les versions que j’utilise
et que j’ai testées.
Comment créer votre clé USB easy2boot ?
La première des choses à faire est de formater votre clé USB en FAT32, en une seule partition. Pour cela, le plus
simple est d’utiliser gparted.
Vous nommerez cette clé comme bon vous semble, en respectant les normes du DOS. Dans mon cas, je me suis
contenté de l’appeler « easyboot«
Vous êtes dans gparted, alors profitez-en pour noter le « dev » de votre clé USB. Ceci vous servira par la suite.
Toujours dans gparted, veillez à ce que votre clé USB soit bien bootable. Pour cela allez dans les drapeaux comme
indiqué sur l’image suivante.
Vous avez téléchargé easy2boot selon le lien indiqué précédemment ? Il ne vous reste plus qu’à décompresser ce
fichier sur votre clé USB.
Notez bien que le dossier _ISO doit être à la racine de votre clé USB
Vous avez aussi téléchargé Grub4Dos ? Décompressez ce fichier à un endroit quelconque de votre disque dur, mais
pas sur votre clé USB.
Placez-vous dans le dossier où vous avez décompressé Grub4Dos et lancez la commande suivante :
sudo ./bootlace.com –time-out=0 /dev/sdX où vous prendrez soin de replacer « X » par la lettre
représentant votre clé USB.
ATTENTION : devant « time-out« , il y a deux tirets et non pas un trait simple !
Voilà, votre clé easy2boot est prête !
Il ne vous reste plus qu’à y rajouter les images ISO des systèmes sur lesquels vous souhaitez démarrer. Ces images ISO
doivent être mises dans le dossier _ISO/MAINMENU de la clé easy2boot.
En bootant sur la clé USB, vous devriez obtenir un écran similaire à celui qui suit.
Notez au passage que cette clé USB est au format FAT32, et donc visible sous tous systèmes Windows. Vous pouvez donc
parfaitement vous en servir pour y stocker d’autres données, dans des dossiers différents de ceux crées par easy2boot
bien entendu.
Voilà en tous cas un superbe outil qui va me rendre bien des services et m’éviter pas mal de perte de temps et donc
d’efficacité.
A quoi sert…
Petits mots d’humour (quoi que) à l’attention de ceux qui viennent sur ce blog et qui n’ont pas encore compris :
A quoi sert Windows ? A télécharger Linux.
A quoi sert Internet Explorer ? A télécharger Firefox (ou Google Chrome, selon les affinités).
Ce n’est pas de moi, mais j’adore.
Commande post installation LinuxMint 17
Qiana
Installer une distribution de Linux, c’est bien, mais ensuite il faut l’adapter à ses propres besoins.
Pour ma part, chez moi, j’installe la dernière version de LinuxMint, la 17 « Qiana ».
Après, je lance la commande suivante :
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade && sudo apt-get install gnome-scheduler glabels
filezilla lftp cups-pdf virtualbox-nonfree openssh-server ttf-mscorefonts-installer vlc xsane
skype -y
Ceci me permet, en une seule ligne de commande, de faire une mise à jour des dépôts, une mise à jour de mon installation
et enfin l’installation des logiciels que j’estime incontournables.
Virtualiser un système 64 bits
J’ai déjà eu l’occasion de vanter les mérites de la virtualisation de systèmes d’exploitation avec virtualbox.
L’installation classique de virtualbox se fait en utilisant la commande
sudo apt-get install virtualbox
Le hic, c’est que ce package ne permet pas de virtualiser un système 64 bits. Pour cela, il faut utiliser le package
« virtualbox-nonfree« .
J’ai été confronté au problème récemment, quand j’ai voulu créer une machine virtuelle avec Cubuntu
Un PC pour Ubuntu ? PCUbuntoo est pour
vous !
Vous utilisez encore feu Windows XP ? Votre ordinateur fait partie des « ordinosaures » et il commence à donner des
signes de faiblesse ? Vous en avez marre de Windows (pour tout un tas de bonnes raisons) ?
Bref, vous avez décidé de changer de PC pour une nouvelle machine toute belle toute neuve. Vous voulez profiter de
l’occasion pour quitter la face obscure et venir nous rejoindre au pays des linuxiens.
Vient maintenant le moment de faire un choix dans le matériel. Bien entendu, le premier reflex est de faire un tour dans
une grande surface, chez un revendeur de matériel informatique généraliste, chez Darty ou autre Boulanger. Je ne saurais
que trop vous déconseiller cette démarche…
Certes, vous repartirez aussi sec avec un bel ordinateur flambant neuf, à un prix que vous trouverez sur l’instant
intéressant. Mais cet ordinateur aura un gros, un très gros défaut : il vous sera livré avec Windows 8 !
Viendra ensuite le moment d’installer Linux (Ubuntu par exemple). Et là, les ennuis vont commencer.
D’abord, vous chercherez à créer les supports de réinstallation de Windows 8 (on ne sait jamais, le jour où vous voudrez
revendre cette machine). Pas évident que vous trouviez comment faire.
En désespoir de cause, vous vous direz : « Que nenni, je sais ce que je fais, je vais installer Ubuntu sur le PC. En général,
ça se passe sans problème. »
Alors allons-y, dans la joie et la bonne humeur.
Vous téléchargez maintenant la version de Linux de vos rêves, vous gravez l’ISO sur le CD/DVD et vous voulez booter sur
ce support.
Pas de chance, votre PC boote systématiquement sur votre disque dur et en Windows 8. C’est parti pour un premier petit
tour dans le bios, non sans mal, car entre les différentes touches de fonctions possible, vous devez déjà trouver comment
y accéder, à ce fameux bios.
Une fois que vous avez trouvé comment démarrer sur le DVD, vous avez le problème de l’UEFI, la « nouveauté » (et je
reste courtois) mise au point par M$soft pour Windows 8.
Retour dans le bios pour passer en mode « Legacy ». Cette fois, ça y est, vous bootez sur le DVD
Encore pas de chance : votre carte graphique, votre carte réseau filaire, votre wifi, votre… n’est pas reconnu par Linux. Et
encore, si votre distribution vous permet de démarrer en Live, vous n’avez pas encore lancé l’installation, et donc pas
reformaté votre disque dur. Dans le cas contraire pas de chance, bienvenu au pays des grosses galères.
Vous prenez un autre ordinateur, et vous téléchargez une nouvelle distribution de Linux, au cas où elle soit plus
compatible avec votre matériel (on ne sait jamais). Après tout, c’est pas un PC qui va vous résister. Non mais !
Retour à la case « boote sur le DVD« , puis essai, puis… puis enfin pas de bol (encore une fois).
Vos connaissances en informatique sont grande, votre opiniâtreté aussi. Vous allez bien trouver LE linux qui va bien. Donc
vous remettez le couvert.
Tout ça va vous prendre un, voir deux mois. Au final, vous devrez vous rendre à l’évidence : votre PC tout beau tout neuf
n’est pas compatible avec Linux et ne le sera pas avant des lustres, avant que vous ne soyez définitivement découragés
par ce système d’exploitation que bien des aficionados (moi le premier) jugent excellentissime.
La mort dans l’âme, vous vous déciderez à revendre votre belle acquisition, non sans au passage y laisser quelques
plumes (ou plutôt quelques euros, le cours des plumes étant au plus bas en ce moment).
Vous revoilà à la case départ : sans ordinateur
LA solution pour éviter ces déboires (car elle existe) est de vous adresser dès le début à un revendeur spécialisé dans
le monde Linux, dans le monde Ubuntu.
Pour ma part, j’ai fais le choix de travailler avec PCUbuntoo. Alain, votre contact dans cette société, saura vous conseiller
sur la matériel qui convient à votre utilisation. Il vous installera votre distribution sur votre nouvel ordinateur et vous serez
livrés dans des délais que je considère comme acceptables compte tenu du travail fourni par PCUbuntu. Bien sûr, vous ne
repartirez pas avec votre PC sous le bras 1/4 d’heure après avoie décidé de l’acheter, soyons honnêtes. Mais vous aurez
une machine 100% compatible avec Ubuntu, avec un service que vous n’aurez pas dans une grande surface.
Bien entendu, il y a d’autres revendeurs de PC sous Linux. Je ne fais ici rien d’autre qu’un retour de ma récente
expérience, de mon propre vécu.
Je précise enfin que les déconvenues que j’évoque ne sont pas le fruit de mon imagination débordante. Elle sont
simplement le reflet de ce que je viens de vivre avec le dernier ordinateur que j’ai voulu utiliser sous Linux.
HandyLinux : ouverture automatique de
la session
HandyLinux est une distribution que j’aime bien. J’en ai déjà assez largement parlé par ailleurs sur ce blog. Destinée aux
personnes n’ayant que très peu (ou pas du tout) d’expérience en informatique, elle peut facilement être améliorée,
notamment en supprimant la demande du login / mot de passe à l’ouverture de session.
Ceci m’a été demandé dans un commentaire. Le point me semble intéressant et voici la démarche :
Une fois votre session Handylinux lancée :
Allez dans l’onglet « Aventuriers ».
Cliquez sur « Liste des applications ».
Choisissez la catégorie « Système ».
Dans cette catégorie, exécutez « SlimConf » (il vous demande le mot de passe que vous avez défini à l’installation, le
mot de passe « root »).
En haut à gauche, vous avez une liste déroulante appelée « Utilisateur ». Choisissez l’utilisateur devant se connecter
automatiquement, puis cochez « Connexion auto ».
Sauvez puis quittez.
Redémarrez votre ordinateur.
Normalement, il ne vous demande plus de login / mot de passe.
HandyLinux
Ce matin, j’ai reçu un mail me demandant de tester une distribution que je ne connaissais pas : HandyLinux. Je suis donc
allé faire un tour sur le site de cette distribution (http://handylinux.org/) et j’ai tout de suite commencé à télécharger une
ISO.
Première bonne nouvelle, les deux ISO sont téléchargeables en torrent ce qui est à mon sens une bonne chose,
notamment par le fait que le téléchargement peut être interrompu (volontairement ou pas).
Comme je ne veux pas casser mon ordinateur à chaque fois que je fais un test, j’ai crée une machine virtuelle pour
installer HandyLinux. HandyLinux étant basé sur Debian, pas de soucis.
Seconde bonne nouvelle, cette distro propose un mode « Live » qui permet de la tester sans casser son PC. Il va de soit
que, dans mon cas, je suis tout de suite passé à l’installation proprement dite.
Cette installation se passe sans soucis particulier. Elle propose de prendre tout le disque dur pour installer le nouveau
système d’exploitation, sans séparer les partitions « / » et « /home » ce qui va faire hurler les spécialistes, mais bon,
pourquoi pas. Elle cée par contre tout seul la partition « swap » ce qui facilitera la vie aux débutants. Dans mon cas, j’ai
tout de suite configuré le réseau. Il faudrait que je fasse un second test d’installation « hors réseau » pour voir comment
ça se passe, si le DVD est complet ou si une connexion Internet est indispensable. J’ai refait ensuite une seconde
installation, toujours en machine virtuelle bien entendu, mais sans connexion Internet. A ma grande joie, tout c’est installé
correctement (du moins j’ai l’impression).
A l’issue de l’installation, le PC reboote automatiquement.
Attention : le nom du PC est imposé à l’installation. Il s’agit de « handylinux ». Ceci est peut être un détail mais il a son
importance si papy et mamie ont chacun leur propre ordinateur. Dans ce cas, il y aura forcément conflit dans le nom
d’hôte sur le réseau. Heureusement, nous sommes sous Linux et il suffit d’ouvrir un terminal et de taper
sudo leafpad /etc/hostname
pour changer le nom d’hôte du PC en question, puis de rebooter (j’évoque le changement de nom d’un PC Linux dans cet
article)
Une fois le PC redémarré, il demande un login et un mot de passe. Bien, mais dommage qu’il ne propose pas une
connexion automatique s’il n’y a qu’un seul utilisateur.
Ca y est, la session est ouverte, sur un bel écran d’accueil, relativement explicite :
Je débute, donc je clic ici !
Le guide d’accueil et de vulgarisation à l’informatique qui s’ouvre est plutôt bien fait. J’apprécie.
En bas à droite, le système nous signale qu’il y a des mises à jour à faire. Bien vu. On lance et on rentre le mot de passe.
Dommage que « Check » et « Install Updates » ne soient pas francisés. Pas cool pour papy et mamie qui ne parlent pas la
langue de Shakespeare.
Voyons maintenant le menu principal. Il est sympa, il faut bien l’avouer.
Pour la partie Internet, Chromium et Icedove me semblent être des bons choix, même si on pourrait préférer Firefox à
Chromium. J’apprécie la présence de « Communiquer avec Skype », « Rejoindre Facebook » et « Rejoindre Twitter ».
Pour la partie « Multimédia », rien à dire, il y a l’essentiel, le nécessaire et suffisant.
Idem pour la partie « Bureautique ».
Bien vu aussi la partie « Jeux ».
Passons maintenant à la partie « Aventuriers »
Je regrette l’absence de la gestion des utilisateurs, même dans la configuration détaillée (Papy et Mamie ont chacun leur
compte sur le PC…). Pas bien grave : il suffit de chercher « users » dans la logitèque.
A noter la présence de Teamviewer 9 dans l’installation de base, mais je regrette que cet outil n’apparaisse pas dans l’un
des menus principaux (« Aventuriers » m’aurait semblé adéquat). Il faut chercher Teamviewer dans la liste des
applications, puis dans Internet.
J’ai apprécié :
La facilité d’installation
La possibilité de faire une installation, même sans accès Internet
La sobriété du menu
Le choix des logiciels installés de base
La présence (même cachée) de teamviewer
Je regrette :
Le nom d’hôte par défaut imposé
L’absence de teamviewer dans le menu de base
Au final, j’ai bien apprécié le (petit) moment que je viens de passer avec HandyLinux et, si j’avais à installer un PC pour
une personne âgée, sans expérience avec l’informatique, je me poserais sérieusement la question d’utiliser cette
distribution. Elle s’installe facilement mais sa mise en place chez un utilisateur totalement novice en informatique devrait
tout de même être faite par quelqu’un d’un peu initié, avec une petite phase d’apprentissage avant de laisser « papy »
tout seul devant son ordinateur.
Je suis passé à Cinnamon
Avec la sortie de Linux Mint 16 « Petra », j’ai fait le choix de quitter l’interface « Mate » au profit de « Cinnamon ». J’avoue
avoir longuement hésité à faire le saut, mais au final je ne le regrette pas du tout.
Ce changement m’a, entre autre, permis de résoudre pas mal d’ennuis que j’avais dans le partage de mes dossiers sous
Linux avec un autre PC qui, lui, est encore sous Windows 7 (hé oui, je n’ai pas encore réussi à convaincre tout le monde,
suivez mon regard ;)).
Je craignais que Cinnamon soit plus lent, plus lourd que Mate mais (sous Petra tout au moins) il n’en est rien.
Tout mon matériel a été parfaitement reconnu, y compris nos deux imprimantes (une laser Samsung ML-1640 partagée
depuis le poste en Windows 7 et une HP Envy 4500 wifi). A noter que, dans le cas de cette dernière, même le scanner
fonctionne via le wifi ce qui est une très bonne nouvelle et qui m’a étonné je ne vous le cache pas.
La prochaine évolution ? Passer à Linux Mint 17 quand cette version va sortir en 2014. Cette version sera une LTS et je
vais (peut être) y rester. Je dis ça, mais je l’avais déjà dit à la sortie de Mint 13 alors…

Documents pareils

Pages Articles par catégorie

Pages Articles par catégorie Se connecter à sa Raspberrypi sans mot de passe Installer Ubuntu ? C’est vraiment pas compliqué ! Ubuntu 15.04 est sorti ! Se connecter à une imprimante partagée par Linux Raspberry PI comme serveu...

Plus en détail