IBM et EDF s`associent dans l`énergie renouvelable IBM et EDF s

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IBM et EDF s`associent dans l`énergie renouvelable IBM et EDF s
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 08/4
08/48
1er Décembre 2008
La pensée de la semaine
"Qu'importe le flocon pourvu qu'on ait l'Everest"
Thibaud Couturier
IBM et EDF s'associent dans l'énergie renouvelable
http://www.latribune.fr/entreprises/green-business/20081121trib000312915/ibm-et-edf-sassocient-dans-lenergie-renouvelable.html
EDF et IBM viennent de nouer un partenariat pour développer des systèmes de simulation numérique très performants. Améliorer la
production d’électricité sans CO2, notamment dans le nucléaire et les fermes hydrauliennes (utilisant les courants des marées), nécessite
une importante modélisation numérique pour calculer l’impact d’une centrale ou de quelques turbines. "Nos moyens actuels n’étaient plus
suffisants, reconnaît Jean-François Hamelin, directeur des systèmes d’informations pour la recherche d’EDF. Nous avons dû mobiliser le
meilleur de la recherche et de la technologie." EDF, qui dépense 1 million d’euros par jour dans la recherche, a trouvé une partie des
compétences requises chez IBM. Dans la pratique, l’électricien français a acheté un superordinateur Blue Gene P bâti par IBM et capable
de réaliser 100.000 milliards d’opérations par seconde. Malgré ses 30.000 processeurs PowerPC, il consomme 3 à 4 fois moins d’électricité
que des architectures concurrentes. Cependant, il faut permettre à ce supercalculateur de faire tourner les anciens programmes de
simulation imaginés par les équipes d’EDF et préparer ces derniers à fonctionner sur les prochaines machines. "Nous travaillons avec
30.000 processeurs et d’ici à un an nous pourrons envisager de faire tourner nos programmes sur 100.000 processeurs puis sur un million
dans trois ans", note Jean-François Hamelin. Et c’est là qu’intervient le partenariat avec IBM. Ses ingénieurs développeront des logiciels
en code libre pour "qu’ils puissent être réutilisés par la communauté scientifique", explique Jean-François Hamelin.
Un écran de 6 mètres sur 3 Les premières applications du projet concerneront la modélisation hydraulique pour les barrages mais
aussi les centrales nucléaires et le futur projet de ferme hydrolienne entre la Bretagne et le Cotentin. Pour visualiser ces simulations, EDF
s’est doté d’un écran de 6x3 m d’une définition de 23 millions de pixels, piloté par des cartes graphiques conçues pour les jeux vidéo.
Pour Europeana, revenez à la mimi-décembre ....
....
http://culture.france2.fr/livres/e-livre/48834711-fr.php
Non accessible depuis son lancement en fanfare jeudi, le site invite les internautes à revenir...à la mi-décembre
Argument : avec "plus de 10 millions de connexions par heure", le site est
victime de son succès.
On peut s'étonner qu'un tel afflux n'ait pas été prévu, vue l'ambition du
projet : avec plus de 2 millions de documents culturels, la bibliothèque
numérique européenne entend rivaliser avec Google. Il faudra commencer
par rivaliser en termes de capacité de réseau.
On peut par ailleurs être surpris d'un référencement peu satisfaisant : Google
ne donnait l'URL exacte du site - http://www.europeana.eu/portal/ - qu'en
huitième position, ce 21 novembre. Et dans l'article Europeana de Wikipedia,
la première "note et référence" renvoie à ... la recherche de livres Google.
La bibliothèque numérique européenne, une belle promesse La
bibliothèque prototype lancée jeudi en grande pompe (mais qui ne
fonctionnera visiblement que dans quelques semaines) comprendra, si les
promesses sont tenues, des manuscrits de Zola ou Balzac, "La Divine
Comédie" de Dante, des reproductions de peintures comme "La jeune fille à
la perle" de Vermeer, des documents historiques comme la "Magna Carta"
britannique, des enregistrements ou des manuscrits de Beethoven ou Mozart,
ou encore des images de la chute du mur de Berlin... A terme, un étudiant de Prague ou Varsovie pourra consulter de son ordinateur la
plupart des trésors de la British Library ou de la Bibliothèque nationale de France.
La France principal contributeur L'hexagone est d'ailleurs le principal contributeur, avec 52% des œuvres mises à disposition sur
Europeana. La Bibliothèque nationale de France a en effet joué un rôle moteur dans ce projet, grâce à son ancien président Jean-Noël
Jeanneney. Celui-ci, président la BNF de 2002 à 2007, avait fait campagne en 2005 pour que l'Europe apporte une véritable alternative
au projet de Google, qui lançait alors son offre de livres numérisés. Pour le moment, seul 1% du contenu des bibliothèques nationales en
Europe est numérisé. Ce chiffre devrait passer à 4% d'ici 2012.
Bruxelles compte allouer en 2009 et 2010 environ €120 M pour "l'amélioration de l'accessibilité en ligne du patrimoine culturel européen".
Priorités de Google : personnalisation et recherche universelle
http://www.journaldunet.com/solutions/moteur-referencement/analyse/les-moteurs-de-recherche-innovent-en-se-diversifiant/prioritesde-google-personnalisation-et-recherche-universelle.shtml
Google est bien décidé à garder son assise. Pour se concentrer sur son cœur de métier, le moteur a même abandonné Lively, son univers
virtuel, après seulement 5 mois d'existence. Google a surtout présenté plusieurs nouveautés. Etre le géniteur d'Android ne l'empêche
ainsi pas d'éditer des applications pour la plate-forme concurrente d'Apple.
Google a ainsi publié Google Mobile Map pour la recherche par reconnaissance vocale. D'après les premiers retours, le logiciel est
toutefois hermétique aux accents autres qu'américains.
Evoquant l'avenir de la recherche, Marissa Mayer, vice-président des produits de recherche et de l'expérience utilisateur de Google, faisait
référence à la personnalisation en tant qu'axe de progrès. Un premier pas en ce sens a été fait avec SearchWiki.
Cet outil permet à un utilisateur d'influer directement sur les résultats d'une requête en ajoutant, supprimant, classant et commentant les
résultats de recherche. Pour ce faire, l'internaute doit disposer d'un compte Google et être authentifié. Quant à ses modifications, elles ne
seront visibles des autres internautes que s'ils en font expressément la demande.
La géolocalisation s'impose aussi comme de plus en plus incontournable. Google propose désormais aussi, sur certaines requêtes, une
"oneboxe", nécessitant la saisie d'un code postal ou d'une ville. Les résultats permettent ainsi, pour la recherche d'un magasin, de fournir
des informations de géolocalisation sur Google Maps. Toutefois, selon Abondance, la pertinence des résultats est encore défaillante.
Marissa Mayer en faisait également mention, le futur de la recherche, c'est aussi la multiplicité des médias et leur référencement. La
réponse : la recherche universelle pour afficher aussi bien textes, actualités, images, livres, cartes et vidéos.
Pour les livres, Google dispose depuis 2004 de sa bibliothèque numérique. L'actualité est couverte par Google News. Les images
s'étoffent, de manière ciblée toutefois, avec l'indexation dans Google Images des photos du magazine Life.
Durant les présidentielles américaines, le moteur a aussi testé Gaudi pour Google Audio Indexing pour de la recherche dans les vidéos.
En ce qui concerne le Flash, si longtemps problématique, il fait de plus en plus l'objet d'efforts de la part des moteurs. A la conférence
Adobe Max, Google a présenté Google Analytics Tracking For Adobe Flash, une API pour le tracking des contenus Flash et Flex.
Bull: lancement d'une suite logicielle pour infrastructures.
Bull a annoncé le lancement de Bull System Manager, suite logicielle d'administration des infrastructures informatiques.
Dans un communiqué, le groupe informatique français explique que la solution permet notamment une administration automatisée des
tâches, un contrôle depuis un point central ainsi qu'un mode d'administration "virtualisable", puissante et modulaire.
Elle est censée simplifier l'administration des serveurs Bull, Escala, NovaScale et Bull blade series, tout comme celle des systèmes de
stockage Bull StoreWay. La solution, qui répond à un objectif de "coût de possession optimisé", s'appuie sur une architecture 3-tier et
utilise des composants logiciels Open Source, dont Nagios.
Selon Bull, la suite s'intègre facilement aux plates-formes d'administration Bull Open Master, HP OpenView, CA Unicenter et IBM Tivoli.
Bull System Manager sera disponible à partir du mois de décembre 2008.
Didier Lombard réclame une plus grosse part du gâteau Internet
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-didier-lombard-reclame-une-plus-grosse-part-du-gateau-internet-27456.html
Le PDG de France Télécom - Orange déplore la mainmise des "fournisseurs de service" sur la valeur générée par le réseau
des réseaux.
Didier Lombard, PDG de France Télécom - Orange anticipe la "deuxième vie des réseaux". Auteur de l'intéressant ouvrage paru en mai
"Le village numérique mondial", il se fait l'apôtre d'une redistribution des cartes de ce qu'est devenu aujourd'hui Internet.
Dans une interview accordée à notre confère l'Expansion, il n'hésite pas à comparer Internet à un super-coucou qui aurait fait
gratuitement son nid - et son beurre - sur les réseaux télécoms existants. Dans la foulée, il dénonce l'appropriation de la valeur générée
par la couche intermédiaire des "fournisseurs de service" qui se place entre les opérateurs de réseaux (comme France Télécom) et les
créateurs de contenu. Avec Google comme archétype. L'appellation englobe aussi, par exemple, les sites sociaux.
Presque tous Américains, ces fournisseurs de services occupent des positions dominantes et, pour la seule Europe, vont drainer cette
année €7 mrd en recette publicitaire. La somme atteindra 10 milliards dans deux ans.
Des risques pour les opérateurs européens face aux géants américains
Didier Lombard réclame que les opérateurs de réseaux puissent « participer au 'festin' de la couche des services ». Tout en expliquant
que le déploiement nécessaire de la fibre optique pour répondre à la demande croissante de débit doit s'accompagner d'une meilleure
rétribution des opérateurs réseaux, il a la finesse d'évincer élégamment le sujet sulfureux de la mise en place d'un Internet à deux
vitesses. Apparemment plus visionnaire que ses prédécesseurs, Didier Lombard déplore aussi la concentration des grands datacenters
entre les mains des sociétés américaines. L'Europe en manque cruellement.
Jean-Michel Planche, spécialiste des technologies Internet et défenseur de la neutralité du réseau des réseaux partage une bonne partie
de l'analyse de Didier Lombard. "Elle est plutôt raisonnable", constate celui qui fonda Oléane en 1989, le pionnier français de l'Internet
professionnel, avant de le vendre à FT à la fin des années 90 et de fonder Witbe. Aujourd'hui, les deux hommes semblent partager une
même inquiétude sur le risque des dépendances des Européens vis-à-vis des poids lourds américains du Net et de leurs infrastructures.
Les smartphones Nokia S60 sont maintenant compatibles avec Lotus Notes
http://www.vnunet.fr/news/les_smartphones_nokia_s60_sont_maintenant_compatibles_avec_lotus_notes-2029411
Grâce à son accord avec IBM, Nokia va proposer le client de messagerie Lotus Notes dans ses smartphones S60. Un pied-de-nez au
BlackBerry ?
Nokia a confirmé que les utilisateurs de smartphones S60 disposeront de leur messagerie Lotus Notes à partir de décembre prochain,
suite à un nouvel accord avec IBM, à qui appartient la majorité de Symbian et ce logiciel de messagerie.
D'après le constructeur finlandais, les utilisateurs de S60 (soit 80 millions de personnes) pourront se connecter à des comptes d'e-mails
d'entreprise en utilisant le logiciel serveur Lotus Domino, appelé Lotus Notes Traveler.
"Les gens doivent être connectés à leur système de messagerie, leurs informations et leur réseau lorsqu'ils sont absents du bureau, par
des moyens pratiques et appropriés", a souligné Soren Petersen, vice-président senior de Nokia. Cette collaboration avec IBM fait partie
de la vision à long terme de Nokia visant à établir des partenariats avec les fabricants internationaux majeurs de produits destinés à au
monde de l'entreprise. "Lotus Notes Traveler pour les périphériques Nokia en est un excellent exemple".
Kevin Cavanaugh, VP d'IBM Lotus Software, a suggéré que ce partenariat présente d'excellents avantages. "Nous évitons littéralement à
des millions d'utilisateurs de la plate-forme Symbian de Nokia de se connecter à un ordinateur de bureau ou à un portable pour accéder à
leurs communications professionnelles importantes".
Chrome : Google vise des partenariats avec les constructeurs
http://www.pcinpact.com/actu/news/47492-chrome-google-oem-partenariats.htm
Google a de très grandes ambitions pour son navigateur Chrome. Tandis que le développement avance rapidement, la levée du statut «
bêta » est prévue pour janvier sous Windows, les versions Mac OS X et Linux sont prévues pour le premier semestre 2009. Mais la firme
veut surtout se rapprocher des OEM pour distribuer son produit.
Sundar Pichai, vice-président de Google, a récemment répondu à quelques questions au Times. Il y révèle que le navigateur sortira de sa
phase bêta pour Windows dès le mois de janvier. Contrairement à ce que l’on aurait pu penser, il ne faudra donc pas attendre que le
produit atteigne la branche 1.X, puisqu’il en est à la 0.4.x. Google peut choisir en outre de publier une version 1.0 directement.
Durant le premier semestre, la firme lancera également les versions Mac OS X et Linux de son navigateur, ce qui lui permettra de toucher
les trois plateformes majeures. La société ne cache pas sa volonté de lier des partenariats avec les OEM afin de distribuer Chrome
largement. Elle ne cache pas sa volonté non plus de venir dévorer des parts de marché à Internet Explorer, attendu en version 8 dans la
période mars/mai 2009.
On sait depuis longtemps que Google est capable de s’investir dans un produit ou un service et d’en faire une référence. La firme
manipule très bien les technologies existantes et a d’ailleurs choisi le moteur de rendu WebKit pour le cœur de son navigateur. Ce dernier
se révèle rapide, tant au niveau logiciel que dans l’affichage des pages web, un critère de choix pour nombre d’utilisateurs.
Chrome ne sera pas d’emblée le navigateur le plus riche en fonctionnalités. Internet Explorer 8 vise précisément ce créneau, et il sera
difficile de détrôner Firefox et son système d’extensions qui fait justement sa renommée. Mais Google travaille également sur un tel
système, et il faudra mesurer le succès rencontré auprès des développeurs.
Sundar Pichai a d’ailleurs indiqué que Google mettra « tout son poids » derrière Chrome dès son lancement officiel. Il faut donc
s’attendre à une vraie campagne d’informations et à une large promotion. Ce ne sera de toute manière pas très difficile : il suffira de
parler de Chrome sur la page d’accueil Google.com.
Direct Energie, l'opérateur d'électricité alternatif accélère ses sauvegardes
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-direct-energie-l-operateur-d-electricite-alternatif-accelere-ses-sauvegardes-19073.html
Direct Energie est un fournisseur d'électricité français alternatif fondé en 2003. Parmi ses clients on citera les agences Relay, les salons
Franck Provost, les magasins Leroy Merlin, les restaurants Flunch, les cabines Photomaton, l'association EMMAÜS, etc ...
Des villes telles que Versailles et Caen ont également choisi Direct Energie. Suite à l'ouverture totale du marché de l'énergie au 1er juillet
2007, la hausse du nombre de clients et de projets de Direct Energie a généré une augmentation conséquente de son personnel.
L'entreprise est passée à 130 employés. Direct Energie annonce aujourd'hui plus de 250 000 clients.
En termes d'architecture, le parc informatique du fournisseur d'énergie se compose de 45 serveurs sous Linux et de 23 serveurs
Windows, et exploite un total de 10 To de stockage. Le pôle exploitation informatique est constitué de 8 personnes. Direct Energie a
migré son architecture de sauvegarde jusqu'alors basée sur la technologie de bandes magnétiques, pour passer à des sauvegardes sur
disque, puis sur bande (disk-to-disk-to-tape).
Cette migration s'inscrit dans un plan global de disaster recovery (reprise sur sinistre). « Cette nouvelle solution permet aux données
d'être sauvegardées et récupérées en un temps record », souligne Florent Gilain, responsable exploitation chez Direct Energie.
Ce responsable ajoute : « L'augmentation du nombre de nos clients, et donc du volume de nos bases de données, nous impose d'être
très réactifs et de disposer de solutions puissantes, facilement administrables ». Afin de gérer les sauvegardes sur l'ensemble de ses
serveurs, l'opérateur d'électricité a retenu les outils de la société BakBone.
Un ver contamine les profils Facebook et MySpace
http://www.vnunet.fr/news/un_ver_contamine_les_profils_facebook_et_myspace-2029430
Un nouveau ver Boface.G contamine les utilisateurs de Facebook et de MySpace en leur envoyant un lien vers une fausse vidéo YouTube.
Les réseaux sociaux sont-ils en passe de devenir les principaux de vecteurs de malwares ? Avec peu de moyens déployés, la contagion
peut être rapide et considérable vu les millions d'utilisateurs qui naviguent quotidiennement sur ce type de plate-forme communautaire.
PandaLabs, le laboratoire anti-malwares de l'éditeur de solutions de sécurité Panda Security, a récemment détecté un vers baptisé
Boface.G qui se propage sur les plates-formes Facebook et MySpace.
Boface.G poste ainsi un lien vers une fausse vidéo Youtube sur le "wall", le mur, d'un utilisateur Facebook ou sur son profil MySpace.
Mais ce n'est pas tout : le lien est aussi expédié à toute la liste des amis et contacts via un message privé directement signé de
l'utilisateur. Si l'internaute à qui a été envoyé ce lien choisi de cliquer dessus, il est automatiquement redirigé vers une fausse page Web
ressemblant fortement au site YouTube. Un texte lui demande alors de mettre en jour son lecteur Flash pour pouvoir visionner la vidéo.
Mais une fois cette procédure lancée, une copie du vers s'installe à l'insu de l'internaute sur son ordinateur, qui peut à son tour
contaminer les contacts Facebook ou MySpace de celui qui a accepté de lire la fausse vidéo.
Selon PandaLabs, des mesures ont commencé à être prises pour protéger ses utilisateurs contre ce ver.
IBM porte à son tour ses services IT dans les nuages
http://www.vnunet.fr/news/ibm_porte_a_son_tour_ses_services_it_dans_les_nuages-2029426
Big Blue s'organise pour accompagner ses clients dans l'élaboration d'une stratégie "cloud computing" alignée à la stratégie entreprise.
IBM a dévoilé de nouveaux services conçus pour aider les clients à évaluer, installer, configurer et livrer des systèmes sécurisés
d'informatique en nuage (cloud computing) dans les centres de données et se protéger de menaces Web.
La division IBM dédiée aux services de consulting va aider les entreprises à évaluer le coût total de propriété, et les meilleurs moyens de
gérer et d'intégrer le parfait équilibre entre les "nuages publics et privés" (public and private clouds) afin d'atteindre leurs objectifs.
Les services de technologie d'informatique en nuage de Big Blue ont vocation à aider les clients à définir un feuille de route pour
l'implémentation de systèmes d'informatique en nuage comme la configuration et les tests de serveurs, de systèmes de stockage, et
d'autres technologies associées. Le géant de l'informatique vise également à construire des systèmes de sécurité dans ses services
d'informatique en nuage, à l'aide de sa division de recherche et de sa division X-Force, et en focalisant ses efforts sur les domaines
virtuels de confiance et les technologies de contrôle d'authentification et d'accès.
"Les stratégies de nuages doivent être alignées avec les stratégies d'entreprise", déclare Willy Chiu, VP solutions hautes performances à
la demande chez IBM. "L'année dernière, dans nos 13 centres mondiaux d'informatique en nuage, nous avons travaillé avec des clients
pour comprendre comment les aider à tirer parti des nuages publics et privés de façon à en obtenir la meilleure économie."
IBM a également annoncé un programme de validation pour les fabricants livrant des applications ou des services aux clients dans un
environnement cloud computing. Il sera ainsi plus simple pour les clients d'identifier les meilleurs fournisseurs.
Google se sépare de 10 000 collaborateurs extérieurs
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39385079,00.htm
Le moteur de recherche va cesser son recours à la sous-traitance, qui correspond à un tiers de ses effectifs. Un scénario
pour affronter la crise.
Google n'échappe pas à la crise : des coupes en cours vont toucher un tiers de ses effectifs, soit 10 000 personnes. Un chiffre colossal qui
correspond à des prestataires externes travaillant à temps plein pour le groupe, sans bénéficier des conditions de ses salariés.
Des coûts déclarés par Google comme étant « opérationnels et temporaires » auprès de la SEC, l'autorité américaine des marchés
financiers, lui permettant de ne revendiquer officiellement que 20 000 salariés, selon le site WebGuild Silicon Valley.
La nouvelle avait été annoncée en octobre, dans le quotidien américain San Jose Mercury News, mais sans aucune précision quant aux
modalités des suppressions d'effectifs. Le cofondateur de Google, Sergey Brin, a confirmé le nombre de ces sous-traitants, qu'il juge «
beaucoup trop élevé ». L'entreprise a donc réfléchi indique-t-il, ces six derniers mois, à une solution de réduction significative, incluant
notamment l'embauche d'une partie de ces personnes.
Une porte-parole de Google, Jane Penner, a confirmé que ce plan « est antérieur au pic de la crise économique actuelle », sans rentrer
dans les détails, en particulier sur le délai de mise en application de ces décisions.
Google a freiné la cadence de ses embauches pour se concentrer sur la monétisation de sa plate-forme de vidéos YouTube et de ses
autres actifs. Le groupe a déjà décidé de mettre fin à deux projets - l'environnement 3D Lively et son site expérimental SearchMashs.
EDF lance son nouveau site Internet pour les jeunes
http://www.infosjeunes.com/EDF-lance-son-nouveau-site-Internet-pour-les-jeunes_a144406.html
EDF vient de mettre en ligne un nouveau site Internet dédié aux jeunes, « Energie Sphère », conçu comme un véritable site
communautaire d’information et d’échanges, consacré aux énergies. Ce site propose des contenus ludiques et pédagogiques, adaptés à
l’âge des internautes (de 5 à 11 ans, ou pour les + de 12 ans), pour comprendre l’énergie et les enjeux du développement durable. Il
accorde une large part à la vidéo.
Il s’agit d’un site contributif : les jeunes peuvent voter, faire des commentaires et poster leurs propres articles ou vidéos. Consciente de
sa responsabilité d’éditeur, EDF modère a priori les contenus proposés par les jeunes internautes.
Ce site est construit sur une seule page, avec 7 modules, évolutifs en fonction des centres d’intérêts des jeunes et de l’actualité. Par
exemple, « S'inscrire » permet de créer son profil (centres d'intérêt, journal de bord, contributions, favoris) et de pouvoir réagir sur les
contenus proposés et proposer ses propres contenus ; « Comprendre en s'amusant » de découvrir de manière ludique les métiers du
Groupe, mais aussi les enjeux du développement durable ; « Agir » de découvrir les réflexes à adopter pour économiser l’énergie, réduire
l’impact des activités humaines sur l’environnement, mais aussi pour éviter les accidents liés à un mauvais usage de l’électricité.
Ce nouveau site s’inscrit dans le cadre de nombreuses actions pédagogiques du Groupe en liaison avec le monde de l’éducation et illustre
la volonté de l’entreprise, dans le cadre de ses missions de service public, de donner les moyens aux jeunes d’accéder à une information
de qualité, adaptée à leur âge et à leurs attentes. « Energie Sphere » sur http://jeunes.edf.com
Un SMS pour bloquer son PC portable volé
http://www.01net.com/editorial/397034/un-sms-pour-bloquer-son-pc-portable-vole/
Lenovo lancera fin 2008 un système permettant de bloquer à distance l'accès aux données d'un ordinateur portable.
Les vols ou les pertes d'ordinateurs portables sont une plaie pour les entreprises. Pour endiguer ce fléau, les leaders de la microinformatique multiplient les solutions. Dernier en date, Lenovo, avec sa solution appelée « Constant Secure Remote Disable ». Disponible
à la fin de cette année ou au premier trimestre 2009, cet utilitaire pourra être employé gratuitement par les possesseurs de portables
ThinkPad équipés d'un processeur Intel Centrino 2. Il leur suffira de le télécharger sur le site de Lenovo et de mettre à jour leur Bios.
Son principe est le suivant : en cas de perte d'un PC, son propriétaire envoie un SMS à son ordinateur avec son téléphone mobile. Jusqu'à
10 numéros de téléphone portable peuvent être associés à un PC. Ce petit message va éteindre l'appareil et lancer le chiffrement
automatique des données contenues dans le disque dur. Pour être sûr que la machine est bloquée, l'utilisateur reçoit un SMS de
confirmation du portable. Si l'appareil est retrouvé, il suffit d'entrer un mot de passe pour s'en servir à nouveau.
Cette solution est simple à utiliser mais elle présente des limites selon des spécialistes. « J'en vois trois. Il faut que l'utilisateur ait un
abonnement 3G, que la carte SIM ne soit pas enlevée du PC et, enfin, que l'ordinateur se trouve dans une zone de couverture et donc
pas dans un parking par exemple », indique Nicolas Ruff, expert en sécurité au Centre de recherche d'EADS.
Classement mondial des supercalculateurs verts : le plus puissant est aussi économe
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-classement-mondial-des-supercalculateurs-verts-le-plus-puissant-est-aussi-econome-19089.html
Le classement Green 500 est le petit frère du Top 500 des supercalculateurs. Il donne une vue sur la consommation
énergétique de ces monstres de calcul. Le modèle le plus puissant du Top 500 est aussi économe en énergie.
Avec un pic de puissance à près de 1,1 Pétaflops, le Roadrunner d'IBM affiche une consommation énergétique impressionnante de 2,483
Mégawatts. Il s'agit du numéro un mondial en termes de puissance de calcul, en tête du classement Top 500.
Mais rapportée à sa capacité de calcul, cette mesure donne un rapport puissance/consommation presque raisonnable de 445
Mflops/Watt. Une mesure qui le positionne en septième place du Green 500.
Le numéro 2 du Top 500, le Jaguar de Cray (un XT5), n'occupe, lui, qu'une très piteuse 80ème place du Green 500 avec seulement 152
Mflops/Watt. Pour une puissance totale de 1,059 Pflops, il avale en effet près de 7 Mégawatts.
Pour le grand vainqueur, c'est l'inverse. Il s'agit d'un cluster polonais à base de lames IBM hybrides mélange des architectures PowerXCell
d'IBM et Opteron d'AMD. Ce cluster n'a pas besoin de plus de 34,63 kW pour fonctionner, d’où un rapport performance/consommation de
536 Mflops/Watt. Mais, au Top 500, il n'occupe que la 221ème place avec une performance de 18,570 TFlops.
Les quatre premiers de la liste verte (tous à base du Cell d'IBM) ont franchi le seuil des 500 Mflops/Watt. En France, le système le plus «
économe » est la configuration utilisée par la R&D d’EDF (370Mflops/watt) qui s'appuie sur des BlueGene d'IBM.
IBM continue d'occuper la majeure partie du classement. Mais seuls 276 systèmes issus du Top 500 ont effectivement réalisé les tests.
Les autres ne sont mesurés que par estimation. Pour entrer dans le Green 500, un système doit déjà être présent dans le Top 500. Pour
mesurer le rapport performance/consommation qui sera affiché dans le classement, les administrateurs des sites doivent exécuter un
ensemble de tests conformes aux spécifications Energy Star de l'EPA (Environmental protection agency) américaine.
Comme toutes les mesures, celle-ci n'est sans doute pas la panacée, en particulier pour des systèmes qui s'appuient sur des architectures
très disparates (processeurs, organisation des serveurs, connectivité, stockage, système d'exploitation, etc.) Mais comme toutes les
mesures, en particulier en matière de green IT, celle-ci a le mérite d'exister et de pointer certaines différences étonnantes telles que celle
qui existe entre le numéro un du Top 500, Roadrunner, et le numéro deux, Jaguar.
CPL ou WiWi-Fi ? La réponse des pros
http://www.indexel.net/1_6_5347__3_/15/89/1/CPL_ou_Wi-Fi___La_reponse_des_pros.htm
Plus sûre et plus rapide que les réseaux sans fil, la technologie du courant porteur en ligne permet de créer un réseau
informatique à moindre effort et moindre coût. Elle complète également les réseaux filaires existants.
Utilisée depuis plus de vingt ans par EDF sur ses lignes haute-tension, la technologie du courant porteur en ligne (CPL) permet de créer
un réseau informatique, sans effort et à moindre coût, en utilisant le câblage électrique d'une maison, d'un bureau, ou même d'un
immeuble. Le débit varie de 85 Mb/s (HomePlug) à 200 Mb/s (HomePlug AV) sur une distance d'environ 200 mètres. L'installation est
constituée d'un point d'accès CPL - qui se connecte au modem internet ou au routeur existant - et d'adaptateurs qui se branchent sur les
prises de courant du bâtiment. Un câble réseau standard (RJ45) relie la carte réseau du PC à l'adaptateur. "L'installation d'un réseau CPL
coûte 50 à 75 % moins cher qu'un câblage traditionnel et jusqu'à 50 % moins cher qu'un réseau Wi-Fi", estime Vincent Boukhobza,
directeur commercial de Domolane.
Plus rapide et plus sûr que le Wi-Fi
Un réseau opérationnel en moins de deux jours
Des technologies complémentaires
Les câbles téléphoniques aussi
Cette clé USB Kingston accuse 64 Go sur la balance
http://www.01net.com/fiche-produit/avis-redac-5043/cles-usb-kingston-datatraveler-150---64-go/
La gamme Data Traveler 150 de Kingston s’enrichit d’une clé USB de 64 Go, économique et peu encombrante.
Spécialiste en matière de mémoire, Kingston vient de proposer une nouvelle variante de sa clé USB Data Traveler 150. Car après la DT
150-32, voici la DT 150-64. Aussi élégante que cette dernière, elle en conserve la forme mais se pare d'une robe rouge moins criarde que
la livrée orange vif de la version de 32 Go. Enfin, comme son nom l'indique, elle embarque désormais une mémoire de 64 Go.
Grâce à cette capacité phénoménale pour un aussi petit support, les passionnés de musique, les férus de photographie numérique et les
fanas de films vidéo peuvent se balader en compagnie de leur bibliothèque multimédia, dans la poche ou accrochée à la ceinture. Cette
DT 150-64 est également capable de stocker et de transporter en toute sécurité des archives et des fichiers de sauvegarde.
Accessoire idéal pour le stockage temporaire et le déplacement de données, la DT 150-64 n'est cependant pas une solution économique
pour conserver des données en raison d'un rapport capacité/prix conséquent (près de €140 pour 64 Go, soit plus de €2,20 le gigaoctet).
En revanche, les rapports encombrement/prix et encombrement/capacité sont quant à eux quasiment imbattables.
Cette clé USB Kingston de 64 Go est utilisable sans aucuns souci ni pilote avec les systèmes Mac OS X et PC sous Windows et Linux.
Google scie les branches : Searchmash après Lively. A qui le tour ?
http://blog.abondance.com/2008/11/google-scie-les-branches-searchmash.html
Cette semaine, Google a annoncé la fin du projet "Lively", univers virtuel 3D lancé
cet été, en concurrence d'outils comme Second Life. Cette annonce n'a finalement
étonné personne, Lively apparaissant un peu comme un OVNI dans l'univers des
services Google.
Mais aujourd'hui, c'est au tour du site Searchmash de fermer ses portes avec un
message laconique en page d'accueil : "Searchmash has gone the way of the
dinosaur"... Et là, c'est plus étonnant, voire inquiétant, car Searchmash, lancé en
octobre 2006, était un moteur de recherche expérimental de Google et se situait
donc pleinement dans le "core business" et le métier premier de la société de
Mountain View : la recherche d'information.
Aucune raison n'est aujourd'hui avancée pour cet arrêt. On pourrait imaginer que
le lancement du projet SearchWiki en est une cause, puisque SearchMash avait
expérimenté ces fonctions de modification des résultats à ses débuts, mais ce
n'était plus le cas depuis quelques mois. Donc...
Donc, le message est clair aujourd'hui chez Google : tout ce qui ne fonctionne qu'à moitié, voire mal, va dégager pour laisser la place à
des services rémunérateurs. La peur de la crise économique et l'appréhension d'une baisse notable du marché de la publicité en 2009 ne
sont certainement pas loin. Google coupe les branches mortes ou en mauvais état pour rassembler ses troupes sur des projets
rémunérateurs qui vont lui permettre de rassurer ses actionnaires dans les mois qui viennent et qui s'annoncent difficiles...
Mon petit doigt me dit d'ailleurs qu'on va voir beaucoup de choses se passer chez Google très bientôt et que le moteur de recherche va
peut-être se permettre des choses qu'il n'aurait pas imaginées il y a quelques mois encore. Espérons que ce simili "vent de panique" ne
l'amène pas à faire des erreurs qu'il devrait regretter à terme (et que certains attendent certainement avec impatience...). Quel que soit
son nom, une société n'a droit qu'à quelques jokers sur le Web... Des sociétés comme Altavista et Yahoo! peuvent en témoigner...
L'offre Blackberry certifiée étanche par le Fraunhofer Institute
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-offre-blackberry-certifiee-etanche-par-le-fraunhofer-institute-27491.html
RIM vient de franchir une nouvelle étape dans sa quête de la respectabilité en matière de sécurité : son offre Blackberry a été certifiée
par l'Institut Fraunhofer SIT. Daniel Jouan, directeur grands comptes et expert sécurité de RIM France, explique que la sécurité a
toujours été le souci numéro un de RIM, et se réjouit de voir ainsi « prouvé par un tiers indépendant ce qu'on explique depuis longtemps
». Pour lui, « la sécurité est un pré-requis pour entrer dans les gouvernements et les entreprises ».
Concrètement, l'institut allemand estime que l'offre Blackberry Entreprise Solution for Microsoft Exchange « présente un chiffrement de
bout en bout et aucune 'backdoor' », indique Daniel Jouan. Qui ajoute que cela garantit que personne ne peut ainsi accéder aux données
d'un utilisateur, « y compris RIM ». La certification est valable jusqu'en décembre 2010.
SGI va créer des supercalculateurs à base d'Atom
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/11/26/sgi_va_creer_des_supercalculateurs_a_base_d_atom
Le processeur Atom d’Intel, peu gourmand en ressources, trouvera sa place dans des configurations massivement parallèles
SGI continue à faire évoluer ses supercalculateurs. La compagnie va ainsi adopter prochainement les processeurs Intel ‘Nehalem’ dans
ses serveurs de calcul Altix ICE. Ces derniers intégreront des puces comprenant deux, quatre ou huit cœurs, dès mars 2009.
La firme a également fait la démonstration d’un serveur de calcul, du nom de Molecule. Ce produit 3U intègre 180 cartes pourvues
chacune d’un composant bicœur Intel Atom N330, soit un ensemble de 360 cœurs cadencés à 1,6 GHz (720 cœurs logiques, grâce
à la technologie Hyper-Threading). Un total de 360 Go de mémoire est intégré à ce système.
En adoptant des composants de faible consommation, SGI emboite le pas à IBM. Effectivement, « Big Blue » utilise depuis de longues
années des PowerPC destinés au marché de l’embarqué dans ses superordinateurs. Ce que ces processeurs n’apportent pas en terme de
puissance est largement compensé par leur très faible consommation, qui permet de multiplier le nombre de composants.
Selon SGI, les performances de ce système (à encombrement égal) sont 3,5 fois supérieures à celles d’un serveur x86 64 bits
classique. Ce concept pourrait se transformer en produit réel d’ici 12 à 18 mois, la compagnie attendant la prochaine génération de
composants Atom, qui intègrera un contrôleur mémoire et permettra de réduire encore la taille des cartes filles.
Ulteo lance un bureau virtuel gratuit et open source
http://www.01net.com/editorial/397458/ulteo-lance-un-bureau-virtuel-gratuit-et-open-source/
La start-up vient de présenter une solution gratuite et librement téléchargeable permettant à une entreprise de
distribuer un bureau virtuel muni d'applications sur le poste des utilisateurs.
La start-up Ulteo, qui s'est fait connaître en mettant en ligne la suite Open Office, vient de faire un coup d'éclat dans le petit monde de la
virtualisation d'applications. Celle-ci vient de présenter Open Virtual Desktop, une nouvelle solution d'infrastructure permettant aux
entreprises de virtualiser une partie du poste client de leur collaborateurs. Destinée à être installé sur un serveur au sein d'un réseau local
d'entreprise, cette application permet de fournir un environnement Linux avec ses applications à tous les utilisateurs de ce réseau, dès
l'instant où ils disposent d'un navigateur Web (Firefox, IE, ou Safari, etc.).
L'éditeur précise qu'au début de 2009, cette solution sera également en mesure de fournir, sur le même bureau virtuel, des applications
Windows, se mélangeant allègrement avec les applications Linux. « Open Virtual Desktop, est la version installable et gratuite de notre
"Online Desktop" qui est en ligne depuis un an maintenant, et a déjà servi plus de 140 000 sessions utilisateurs. Elle embarque un set
d'applications Linux, mais les responsables informatiques auront tout le loisir de le modifier pour en ajouter d'autres », explique Thierry
Koehrlen, directeur général d'Ulteo.
Open Virtual Desktop est en réalité une solution de virtualisation d'applications, directement concurrente de celle de Citrix XenApp
(anciennement Presentation Server) ou de Microsoft Terminal Server. Mais à la différence de ces deux dernières, celle-ci ne nécessite
pas d'installation d'agent sur le poste client mais fonctionne avec un simple navigateur muni du plug-in Java. Cette solution offre
également une console d'administration complète, et peut s'interfacer avec un annuaire Active Directory ou LDAP, ainsi qu'avec des
serveurs de fichiers par le protocole de transfert de fichiers de Windows CIFS.
Côté serveur, Open Virtual Desktop nécessite l'installation de deux composants : un serveur de session, « Session Manager », pour
l'administration globale des comptes utilisateurs et un serveur d'applications « Application Server », permettant de gérer le set
d'applications. Les deux s'installent sur une machine sous Linux, a priori Ubuntu 8.04.1/x86-32 Server, mais l'éditeur fournit un guide
d'installation pour RHEL 5 et Fedora 9. Selon Ulteo, l'installation ne requiert que 5 petites minutes. Pour ceux qui voudront essayer de
battre ce chronomètre, l'application pourra être téléchargée en cliquant ici.
La domotique personnalisable est au bout du mobile
http://www.atelier.fr/applications/10/27112008/nokia-domotique-open-source-controle-a-distance-home-control-center-37503-.html#xtor=EPR-233-[HTML]-20081127
Nokia lance une plate-forme mobile de contrôle des appareils domestiques. Il sera possible de l'adapter à ses besoins en
y intégrant ses propres applications.
"Home Control Center" : tel est le nom de la nouvelle plate-forme mobile que Nokia ajoute à son éventail de solutions communicantes.
Dérivée du système d'exploitation GNU / Linux, cette nouvelle solution de domotique ouverte sera compatible avec la plupart des
technologies sans fil permettant déjà de contrôler ses appareils domestiques à distance : Z-Wave, ZigBee etc. Ceux qui le souhaitent
auront par ailleurs la possibilité de développer leurs propres applications. Elles seront toutes accessibles à partir d'une seule et même
interface, consultable sur le Net ou à partir d'un téléphone portable. L'objectif étant d'organiser l'intégration à partir d'un seul et même
outil toutes les solutions pour maisons intelligentes existantes et à venir.
Un effort d'interopérabilité "Le marché de la domotique possède un formidable potentiel", déclare Teppo Paavola, le responsable du pôle de
développement business de Nokia. "Il est déjà possible de se servir de son téléphone portable comme d'une télécommande pour superviser ses appareils
domestiques à distance. Mais un effort d'interopérabilité restait à faire." Il sera ainsi possible de gérer sa consommation d'électricité, d'allumer et
d'éteindre divers équipements. Mais aussi de contrôler sa température, une webcam ou un détecteur de mouvements, etc. Parallèlement
au développement de ce projet, Nokia annonce avoir conclu un accord avec l'électricien allemand RWE.
Partenariat avec RWE Ce partenariat permettra d'élaborer des solutions de gestion intelligente de sa consommation d'énergie.
L'équipementier finlandais projette enfin de mettre en place des initiatives similaires avec d'autres entreprises, dont Danfoss, Delta, Dore,
Ensto, Meishar Immediate Community (MIC) et Zensys. Ces programmes de domotique collaboratifs seront organisés autour des cinq
thèmes suivants : sécurité, énergie, bien être, bâtiment, immobilier. La plate-forme "Home Control Center" sera présentée à l'occasion du
"Nokia World Event" qui se tiendra à Barcelone les 2 et 3 décembre. Elle sera commercialisée à partir de la fin de l'année 2009.