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LIVRE BLANC Les solutions métier pour les secteurs de la banque, de l'assurance et de la finance Réalisé par Dominique Dupuis Directrice de la Recherche, le CXP © 2009 CXP Page 1/11 Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance >>>>> © 2009 CXP Page 2/11 Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance Sommaire 1 2 3 4 1 Introduction ________________________ Le marché __________________________ Le secteur Banque/Finance ___________ Le secteur Assurances/Mutuelles ______ Les problématiques métier ____________ Priorité aux projets de front office _____ Une gouvernance accrue _____________ La gestion de contenus, nouvel enjeu ___ Les éditeurs ________________________ Approche par taille et origine _________ Approche par spécialités _____________ 3 4 4 5 6 7 7 7 7 7 8 Introduction Le secteur bancaire continue à subir de plein fouet les effets de la crise financière mondiale et il est difficile aujourd'hui de savoir comment vont évoluer les investissements informatiques dans les établissements financiers. Pourtant, du front office au back office en passant par le middle office, la relation client multicanal, la gestion de la conformité réglementaire et celle des flux interétablissements, les défis de cette industrie sont considérables. Le logiciel a un rôle primordial à jouer dans l'incontournable chantier de sa modernisation. Le secteur banque/assurance/finance regroupe un grand nombre de métiers. On trouve des offres logicielles qui couvrent une grande partie de ces métiers comme des offres au contraire très spécialisées. Ce livre blanc a pour objectif de fournir une cartographie des éditeurs de progiciels présents sur les secteurs de la banque, de l'assurance et de la finance. © 2009 CXP Page 3/11 Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance 2 Le marché Le poids dans le produit intérieur brut français de l’"intermédiation financière" correspondant à l’activité bancaire dans les statistiques de la Comptabilité nationale 3 pour 2007 était de 2,6 % (comme en 2005 et 2006) et celui des branches d’assurances était de 1,8 %. L’ensemble banque-assurance employait environ 743 600 salariés à la fin de 2007, contre 731 600 à fin 2006. Le secteur Banque/Finance Malgré une conjoncture difficile, les grandes banques françaises ont su relever plusieurs défis au cours de ses dernières années, réussissant à passer le cap de la désétatisation, en rationalisant leurs activités. LA BANQUE EN CHIFFRES 500 entreprises bancaires en France Fusions/acquisitions 427 agences pour 1 million Cette réorganisation s’est traduite par une série d’acquisitions et de prises de contrôle spectaculaires qui ont restructuré tout le secteur bancaire. Sur les 1554 banques et sociétés financières recensées en 1984, il n’en reste plus aujourd’hui que 775 dans l’Hexagone ! Et ce mouvement de concentration semble loin d’être terminé au regard des différentes fusionacquisitions actuellement en cours (mariage des groupes Caisse d'épargne et Banque populaire, rachat de Fortis par BNP Paribas…). d'habitants (moyenne européenne : Près de la moitié des établissements de crédit actifs en France sont aujourd’hui entre les mains de seulement six grands groupes bancaires français. Et les autres établissements de crédit sous contrôle français appartiennent pour la plupart à 35 autres groupes relevant de divers secteurs économiques. paiement traitées chaque année Établissements bancaires en 2007 Nombre 490) 500 000 salariés 1051 milliards d'euros de crédits 914 milliards d'euros de dépôts 12 milliards d'opérations de Effectifs Moyenne 47 194 1 050 323 27 000 84 Institutions financières spécialisées 7 1 400 200 Caisses de crédit municipal 19 880 46 TOTAL 775 476 474 615 Établissements de crédit à vocation générale Banques commerciales 316 Banques mutualistes ou coopératives 110 Établissements de crédit spécialisés Sociétés financières Hormis 20 établissements qui restent entre les mains d’un actionnariat familial, il n'existe quasiment plus de banques indépendantes de petite ou de moyenne taille. © 2009 CXP Page 4/11 Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance Ouverture à l'international Le système bancaire français s’est largement ouvert à l’international, en particulier sur le Vieux Continent, où l’on recense près de 400 implantations françaises dans 23 pays de l’Espace Economique Européen. Les banques hexagonales se sont également développées dans le reste du monde : aux Etats-Unis, en Europe de l’Est, en Asie et en Amérique Latine. Mais elles sont aujourd’hui obligées de faire face à une concurrence étrangère de plus en plus accrue et de respecter des réglementations communautaires (près de 90 % de la réglementation bancaire est d’origine européenne), qui pourraient leur faire perdre certaines de leurs spécificités comme l’absence de tarification du service des chèques. Elles doivent également inventer de nouveaux services clients ainsi que de nouveaux canaux de distribution pour répondre à la diffusion massive de l’Internet dans les foyers français. Cela explique en partie pourquoi, malgré un contexte difficile, la plupart des grandes banques hexagonales ont continué d’accroitre leurs dépenses informatiques en 2007 et 2008. Des investissements informatiques importants Selon le cabinet Pierre Audouin Consultants (PAC), les investissements informatiques du secteur bancaire français ont, en effet, dépassé les 12,7 milliards d’euros en 2007, soit plus de 16 % des investissements informatiques en France. Et ce sont surtout les logiciels et les services qui ont bénéficié de cette manne, avec une croissance annuelle de 8 %, alors que le marché global des services IT oscillait, lui, autour de 6 %. Comme le système d’information doit aujourd’hui être multicanal, les banques ont beaucoup investi autour des architectures web. Et elles ont du aussi s’adapter aux nouvelles réglementations (Sepa, directive MIF…). Vu l’ampleur de la tâche, il apparaît que ce type d’investissement devrait encore alimenter le marché pendant encore plusieurs années. A ces facteurs structurels, s’ajoute le rattrapage après la période de "gel" des années 2003-2004. Enfin, les établissements bancaires ont vraiment pris conscience que l’amélioration de leur chaîne de production passait par le traitement informatique. D’où l’importance des investissements dans les outils de la gestion de la relation client (CRM) et dans le décisionnel (reporting). Pour 2009, IDC table, en revanche, sur un net ralentissement des marchés logiciels et services hexagonaux, avec une croissance qui pourrait avoisiner les 2 à 4 %. La banque, et en particulier la finance de marché, devraient enregistrer une stagnation, voire une réduction de ses investissements informatiques. Le secteur Assurances/Mutuelles L'ASSURANCE EN CHIFFRES Le nombre d’acteurs de ce marché diminue progressivement, le chiffre d’affaires total reste stable à 253 milliards d’euros. Le résultat net total poursuit sa croissance, à 14,4 milliards d'euros. Le nombre total de sociétés d’assurances en France ne traduit pas la réalité du marché, car un même groupe rassemble plusieurs entités juridiques. En particulier, lorsqu’il exerce des activités d’assurances de dommages et des activités d’assurance vie, il doit le faire au sein de deux entreprises juridiquement distinctes. Les 10 premiers groupes représentent 79 % du CA (en forte hausse) et les 50 premières mutuelles rassemblent 80 % des 18 millions d’adhérents en France. © 2009 CXP Page 5/11 461 compagnies en France 195,4 milliards d’euros de revenu (en baisse) dont : 152 milliards pour les personnes (en baisse) 44 milliards pour les biens et responsabilités (en hausse) 144 100 personnes travaillent dans les sociétés d’assurance – (stable). Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance 3 Les problématiques métier La crise financière actuelle rappelle de manière brutale les limites du système bancaire. En prenant la mesure de leurs engagements sur des marchés globalisés de plus en plus interdépendants, les établissements sont plus que jamais confrontés à un risque de responsabilité. Encore une fois, l’exigence réglementaire donnera le tempo de l’adaptation des systèmes et des processus à cette situation. Dans le domaine bancaire, une réglementation en suit une autre, ce qui ouvre régulièrement à de nouveaux chantiers informatiques. Le secteur banque regroupe aujourd’hui un grand nombre de métiers. Et l’on trouve sur le marché des offres qui couvrent une grande partie de ces métiers et au contraire des offres très spécialisées… avec toutes les situations intermédiaires. LES MÉTIERS DE LA BANQUE Source Le CXP, 2009 Pour un métier bancaire donné, les éditeurs présents sur ce marché peuvent, par ailleurs proposer des solutions front office, qui traitent les fonctions liées à la relation client et aux services/opérations négociées et/ou des solutions back-office pour la gestion administrative et financière des opérations. Entre les deux se positionnent des solutions de middle office pour la mise en place des opérations traitées par le front office : gestion du risque, de la conformité juridique et financière, etc. Enfin on trouve aussi des solutions de business intelligence, des solutions de gestion de contenu métier ou encore des logiciels outils pour par exemple le traitement des flux d'information inter-banques ou des échanges clients/ banque. Globalement la gestion de l’entreprise, ses budgets, ses achats, etc. sont encore peu ou pas couverts par les offres présentes sur le marché. © 2009 CXP Page 6/11 Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance Priorité aux projets de front office Au cours des trois dernières années, les établissements financiers ont beaucoup investi dans les solutions de backoffice afin de créer un socle fiable de traitement des contrats, des transactions et des demandes clients, le tout dans une logique multicanal. Aujourd’hui, pour fidéliser leurs clients et en conquérir de nouveaux, priorité est donnée aux projets front-office, avec des solutions dédiées à la gestion de contacts multicanal, mais aussi au multimédia pour dynamiser leur site Internet, à la gestion des e-mails, à la téléphonie sur IP et au recours à des bases de connaissance client. Les applications de Business Intelligence sont également de plus en plus prisées pour optimiser la gestion de la relation client. Une gouvernance accrue En France, la banque de détail représente à elle seule les deux tiers des investissements IT de la sphère financière. Ceux-ci concernent les chantiers réglementaires (Bâle II, MiFID, Directive anti-blanchiment, etc.), la construction de l’Europe des paiements, l’internationalisation et les opérations de restructuration interne en vue d’une optimisation des processus de gouvernance et de transparence. La gestion de contenus, nouvel enjeu Avec l’affirmation d’Internet comme vecteur de croissance et la multiplication des contenus non structurés, les systèmes d’ECM qui se concentrent sur la production, la collaboration, le stockage, la recherche, la diffusion et le cycle de vie des documents numériques d’une organisation représente désormais un outil de fidélisation et de conquête de la clientèle. Ces applications permettent notamment de cibler l’information pertinente à délivrer. La gestion de documents et de contenus constituent un enjeu d’autant plus important que les banques devront demain servir leurs clients, avec de nouveaux canaux comme celui du téléphone mobile. 4 Les éditeurs Approche par taille et origine Huit grands éditeurs se partageraient aujourd’hui l’essentiel du marché français des logiciels bancaires, selon une étude de Pierre Audoin Consultants de 2007. Cinq d’entre eux sont des éditeurs nationaux : Linedata Services, Viveo Finance, GL Trade (devenu filiale de Sungard depuis octobre 2008), SAB et Fininfo (devenu SIX Telekurs France, filiale de SIX Telekurs Ltd, en septembre 2008). Les trois autres – Microsoft, Oracle (avec PeopleSoft, Siebel) et Adobe sont américains et occupent respectivement la première, la cinquième et la septième marche de ce podium (voir tableau cicontre). Ce classement ne prend toutefois pas en compte d’autres intervenants, de taille plus modeste, mais qui se positionnent clairement sur un secteur très vaste où l’offre foisonne. © 2009 CXP Page 7/11 Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance Selon le rapport sur "Les défis de l’industrie bancaire", rédigé en 2006 par le Comité consultatif du secteur financier, les banques ont, en effet, également largement recours aux assistants extérieurs dans le domaine des systèmes d’information et des télécommunications. Ainsi, le secteur bancaire est le premier client des fournisseurs de services informatiques. Selon le syndicat professionnel de ces métiers, le Syntec, 20 % des dépenses de services informatiques sont également réalisées par les banques, contre 25 % pour l’industrie dans son ensemble et 5 % pour les assurances. Approche par spécialités Les spécialistes de la banque ou de l’assurance Parmi les principaux acteurs de cette famille, le CXP a recensé : Sopra Group. Avec plus de 600 banques et sociétés financières clientes, Sopra Group est aujourd’hui le premier acteur français dans le domaine de la banque et de la finance. Ce secteur représente d’ailleurs près d’un tiers de son chiffre d’affaires, et ceci depuis la création du groupe. En Europe, ce sont plus de 1 500 collaborateurs de Sopra Group qui agissent exclusivement sur le secteur bancaire et le groupe a été associé à la quasi totalité des projets interbancaires de la profession (Bafi, Euro, Image-chèque, BCE...). L’offre de Sopra englobe les solutions Evolan pour gérer les crédits (tout le cycle de vie du crédit, de la vente au recouvrement amiable ou contentieux), le reporting réglementaire ou financier (IFRS), la tenue de compte et la gestion de la facturation globale, la banque en ligne, la monétique, le traitement du chèque, la communication client, la gestion des successions, les marchés de capitaux. Sopra propose également un EAI, des solutions de gestion de contenu, portails et archivage, SAB. Editeur de solutions informatiques pour les institutions financières depuis 1989, SAB compte plus de 150 clients auxquels il propose deux gammes de progiciels bancaires : l’une dédiée à la Banque de Détail et d'Entreprises (offre SAB), l’autre à la Banque Privée (offre SAMIC). Ces deux gammes constituent un Global Bancaire. La philosophie de l'éditeur est de développer un progiciel centré sur le client, présentant par exemple à l'utilisateur une position Intra-day, une vue globale client, le suivi du risque crédit, un reporting d'activité et de rentabilité. La gestion des risques est également au cœur du système : risque opérationnel avec des habilitations par profil métier, piste d'audit, lutte contre le blanchiment, comptes dormants… Mais aussi risque crédit avec scoring, limites, position globale intra-day, gestion des débits non autorisés... Viveo. Pionnier des progiciels bancaires, le groupe Viveo a développé une expertise dans ce secteur en accompagnant, depuis 1983, plus de 700 établissements financiers dans une trentaine de pays. A son catalogue, on trouve l’intégré bancaire, V-BANK, une solution issue d'une réécriture en mode Intranet /Java de la gamme LOGOS (nom originel de la société), avec une quarantaine de modules dont une plate-forme de paiements (domestique, SEPA, international), une offre complète en matière de Compliance (reporting réglementaire, Suite Bâle 2, Lutte Anti Blanchiment), ainsi que des modules Banque en Ligne Web 2.0 couvrant toutes les typologies de clients (particulier, professionnels, entreprises, grands corporates). Viveo apporte également une réponse aux enjeux métiers et techniques des professionnels du secteur avec ECM Finance (Enterprise Component Model for finance), une architecture fonctionnelle de composants spécialisés métier bancaire et personnalisables au contexte du client, GL Trade. Filiale de SunGard depuis octobre 2008, GL Trade est un fournisseur mondial de solutions pour les opérations de front-office, middle-office et back-office, auxquelles recourent les établissements financiers internationaux qu’ils soient acheteurs ou vendeurs. Parmi les nombreuses références à son catalogue, figurent GL CLEARVISION, une solution de middle office dédié aux traitements des produits dérivés listés, GL RIMS, une solution de middle et back office, GL STREAM, un système automatisé de gestion d'ordres ou encore UBIX, une solution de back office pour le traitement des produits dérivés, © 2009 CXP Page 8/11 Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance ITN. Editeur européen de progiciels et composants pour l’assurance (9,7 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2007), cible les compagnies et mutuelles, les sociétés de bancassurance, les grossistes et des courtiers, pour l’optimisation et l’industrialisation des systèmes d’information. ITN conçoit et développe depuis plus de 20 ans des solutions de gestion à valeur ajoutée permettant de gérer et d’industrialiser l’intégralité des processus métiers de l’assurance en IARD, Santé, Prévoyance, Delta Informatique. Cet éditeur français propose un système bancaire complet, baptisée Delta-Bank, intégrant les processus de gestion Front Office et Back Office. Les fonctionnalités du système couvrent tous les aspects de la gestion bancaire, du Grand Livre aux canaux de diffusion. Delta-Bank offre un large éventail de fonctionnalités commerciales pour tous les domaines bancaires, notamment les services aux particuliers et aux entreprises, transactions interbancaires, titres et placements. Il est aujourd’hui utilisé par plus de 120 instituts financiers de par le monde, Fimasys. Cet éditeur développe des solutions e-finance personnalisables. Sa solution intégrée, ProFinance, est dédiée à la gestion Front (point de vente), Middle (analyse du risque) et Back Office des institutions financières, des banques et des compagnies d'assurance : crédit consommation (revolving, carte privatives, facilités de paiement, prêt personnels), financement de bien (ex. : auto...), leasing (tout type d'équipements-LOA, LLD), financement de stocks (engagement, floorplaning, factoring...). ProFinance est une solution SOA 100 % J2EE. Fimasys propose également WebEpargne pour la gestion administrative d'épargne salariale et retraite. La plupart des éditeurs du secteur sont spécialisés sur la banque ou l’assurance, plus rarement les deux (citons Infoel et Simcorp). Quelques éditeurs ciblent aussi d’autres secteurs : industrie, négoce et retail (CISA Informatique), HBJO, Services pro, commerce de détail non alimentaire (RFI), presse, aéronautique, CCI, secteur public et négoce technique (ACA), négoce et retail (Erival), sans qu’il soit possible d’en déduire une tendance. Les solutions transversales verticalisées pour la banque De grands noms du logiciel se sont également positionnés sur le marché de la banque et de la finance en verticalisant leurs solutions "tous secteurs". Les ERP La plupart des grands éditeurs généralistes internationaux ont développé une offre adaptée au secteur financier. Nous ne citerons ici que les deux principaux, SAP et Oracle. © 2009 CXP o Oracle. L’éditeur a développé une série d’applications de gestion préintégrées regroupant des fonctionnalités clés spécifiquement conçues pour le secteur bancaire. Sa solution de gestion des données clients, qui comprend Oracle Customer Data Hub, Oracle Customer Data Spoke et Oracle Data Librarian, constitue une source unique et intégrée d'informations clients actualisées et cohérentes pour les différentes applications. De même, les solutions PeopleSoft Enterprise CRM for Wealth Management et Enterprise Customer Relationship Management (CRM) permettent d'exploiter efficacement ces informations pour cibler les clients, proposer des services personnalisés, ainsi que des offres ciblées. Oracle propose également une combinaison de solutions de finance, de gestion des performances et de gouvernance d'entreprise permettant de surmonter les pressions réglementaires. Un modèle de base de données financière unique et intégrée, associé à des applications telles que Oracle Internal Controls Manager, permet de répondre aux exigences réglementaires (Sarbanes-Oxley, Basel II, Gramm-Leach-Bliley…). o SAP. Avec SAP for Banking, l’éditeur propose une plate-forme de processus d'entreprise et une série complète de solutions de gestion et de pilotage de l'entreprise : des processus de support aux transactions bancaires sans oublier la gestion des risques et les solutions dédiées à la conformité. SAP for Banking permet aux banques d'améliorer leur efficacité et de mieux se différencier afin de devenir les prochains grands acteurs du secteur. Page 9/11 Livre Blanc – Avril 2009 Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance Certains éditeurs français d'ERP se positionnent aussi sur ce secteur. Il faut ici citer en particulier : o Qualiac. L'éditeur français d'ERP a mis en œuvre une stratégie forte de verticalisation. Il a déjà décliné son ERP Qualiac, qui se définit comme une solution complète de gestion de la chaîne des dépenses, pour adresser les entreprises de l'industrie de process, de l'immobilier, du secteur presse/édition/média, des services aux entreprises, de la santé/hôpitaux privés et pour le secteur associatif. Il s'adresse également de façon privilégiée au secteur finance, banque, assurance et mutuelles, où l'éditeur compte déjà un certain nombre de belles références clients. Les éditeurs de solutions de reporting et de gestion de trésorerie o Enablon. Cet éditeur, spécialisé dans la maîtrise des risques environnementaux, sociaux, financiers et juridiques, a développé une solution de gestion du contrôle interne en milieu bancaire (Enablon CA), ainsi qu’une offre de pilotage et de suivi de l'intégralité du cycle d'évaluation des contrôles en milieu bancaire, Enablon Continuous Assessment, qui répond aux contraintes réglementaires du CRBF 97-02 modifié. o CISA Informatique. Cet opérateur global de services positionné sur le conseil, l'édition, l'intégration et l'infogérance, édite, Ginkgo, un progiciel de gestion intégrée des opérations de trésorerie bancaire pour les Middle et Back office des banques et entreprises gérant des contrats placés auprès des banques ou sur les marchés financiers (compagnies d'assurances, mutuelles, grandes entreprises,...). o Datalog Finance. Spécialisé dans l’édition de progiciels de gestion autour des métiers de la direction financière, cet éditeur offre des solutions de gestion dynamique et sécurisée des flux financiers : en matière de centralisation de paiement et de cashpooling (CashPooler), de reporting de trésorerie (CashReport) et de compensation des paiements intragroupe (CashNetting). Ce Livre Blanc intitulé "Solutions métier pour les secteurs de la banque, de l'assurance et de la finance", édité par le CXP, est accessible aux abonnés de l'offre CXP Classic, ensemble de documents et de services de veille centrés sur le système d'information et les solutions progicielles. Une souscription à offre CXP Classic vous donne, entre autres, accès à : des études de cas (témoignages d'utilisateurs de solutions progicielles), des notes de synthèse et de recherche : Livres blancs, Synthèses et perspectives sur des domaines ayant fait l'objet d'une expertise par nos analystes, des éclairages sur l'actualité du domaine logiciel, l'ensemble des fiches de synthèse des éditeurs évalués, expertisés ou étudiés par nos analystes, aux archives de notre bulletin hebdomadaire L'Œil Expert et au moteur de recherche permettant d'y accéder Pour en savoir plus sur l'offre CXP Classic, cliquer ici, ou contacter notre service clientèle au 01 53 05 05 53 © 2009 CXP Page 10/11 Livre Blanc – Avril 2009 Le Service Desk : fonctions, apports et solutions Le CXP, Centre d’eXpertise des Progiciels* vous aide à choisir vos progiciels et vos solutions informatiques Le CXP, une structure unique en Europe Créé en 1973 sous l’impulsion du Ministère de l’Industrie, par des utilisateurs de grands groupes : Air France, Anotec, Bred, BSN (aujourd’hui Danone), EDF, la RATP et la Société Générale, le CXP sensibilise alors la profession informatique sur l’intérêt du nouveau concept de "package logiciel" et fournit la première méthode de choix d’un produit logiciel. Dédié à l'expertise des progiciels et de leur environnement technologique, le CXP représente une structure originale, unique en Europe. Les valeurs du CXP Le souci de l'objectivité et la fiabilité des informations publiées, Une approche pragmatique des besoins des clients : le CXP a été créé par des utilisateurs pour des utilisateurs, La garantie d'une complète et véritable indépendance fondée sur le principe déontologique d'objectivité vis-à-vis des fournisseurs. Les services CXP : de l’information au conseil Des experts renommés Les analystes du CXP bénéficient de plusieurs années d’expérience métier et informatique. LA VEILLE Des bases de données uniques en Europe (6 600 progiciels, 2 300 éditeurs, 1 300 prestataires). Ils ont mis en place une méthodologie unique et éprouvée pour évaluer les progiciels. Un décryptage et une analyse de l’actualité du logiciel d’entreprise. Les études du CXP sont une référence dans le domaine IT et servent de sources à de nombreuses publications spécialisées. De nombreux événements : Forum CXP, webconférences, petits déjeuners, participation à des salons. Ils sont en contact permanent et privilégié avec l’ensemble des acteurs du marché des progiciels : rendez-vous individuels d’expertise, salons, conférences, séminaires. LES ETUDES Des outils d’aide au choix de progiciel : le Service Expert (à découvrir dans ce document). Véritables experts, ils animent également des blogs, des conférences dans des salons professionnels et assurent des cours dans des écoles d'ingénieurs. LES MISSIONS DE CONSEIL Rédaction de cahier des charges, consultation des éditeurs, sélection de progiciel, négociation commerciale, assistance à maitrise d’ouvrage. ●●● La vocation du CXP : aider l'utilisateur final à faire le meilleur choix de ses outils progiciels . le CXP - 12, rue Godot de Mauroy - 75009 Paris - Tél. : +33 1 53 05 05 53 - www.cxp.fr © 2009 CXP Page 11/11 Livre Blanc – Avril 2009