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LIVRE BLANC
Les solutions métier pour les secteurs de la banque,
de l'assurance et de la finance
Réalisé par Dominique Dupuis
Directrice de la Recherche, le CXP
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Livre Blanc – Avril 2009
Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance
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Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance
Sommaire
1
2
3
4
1
Introduction ________________________
Le marché __________________________
Le secteur Banque/Finance ___________
Le secteur Assurances/Mutuelles ______
Les problématiques métier ____________
Priorité aux projets de front office _____
Une gouvernance accrue _____________
La gestion de contenus, nouvel enjeu ___
Les éditeurs ________________________
Approche par taille et origine _________
Approche par spécialités _____________
3
4
4
5
6
7
7
7
7
7
8
Introduction
Le secteur bancaire continue à subir de plein fouet les effets de la
crise financière mondiale et il est difficile aujourd'hui de savoir
comment vont évoluer les investissements informatiques dans les
établissements financiers. Pourtant, du front office au back office
en passant par le middle office, la relation client multicanal, la
gestion de la conformité réglementaire et celle des flux interétablissements, les défis de cette industrie sont considérables. Le
logiciel a un rôle primordial à jouer dans l'incontournable chantier
de sa modernisation.
Le secteur banque/assurance/finance regroupe un grand nombre
de métiers. On trouve des offres logicielles qui couvrent une
grande partie de ces métiers comme des offres au contraire très
spécialisées.
Ce livre blanc a pour objectif de fournir une cartographie des
éditeurs de progiciels présents sur les secteurs de la banque, de
l'assurance et de la finance.
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Le marché
Le poids dans le produit intérieur brut français de l’"intermédiation financière" correspondant à l’activité bancaire
dans les statistiques de la Comptabilité nationale 3 pour 2007 était de 2,6 % (comme en 2005 et 2006) et celui des
branches d’assurances était de 1,8 %. L’ensemble banque-assurance employait environ 743 600 salariés à la fin de
2007, contre 731 600 à fin 2006.
Le secteur Banque/Finance
Malgré une conjoncture difficile, les grandes banques françaises ont su
relever plusieurs défis au cours de ses dernières années, réussissant à passer
le cap de la désétatisation, en rationalisant leurs activités.
LA BANQUE EN CHIFFRES
500 entreprises bancaires en
France
Fusions/acquisitions
427 agences pour 1 million
Cette réorganisation s’est traduite par une série d’acquisitions et de prises
de contrôle spectaculaires qui ont restructuré tout le secteur bancaire. Sur
les 1554 banques et sociétés financières recensées en 1984, il n’en reste
plus aujourd’hui que 775 dans l’Hexagone ! Et ce mouvement de
concentration semble loin d’être terminé au regard des différentes fusionacquisitions actuellement en cours (mariage des groupes Caisse d'épargne
et Banque populaire, rachat de Fortis par BNP Paribas…).
d'habitants (moyenne européenne :
Près de la moitié des établissements de crédit actifs en France sont
aujourd’hui entre les mains de seulement six grands groupes bancaires
français. Et les autres établissements de crédit sous contrôle français
appartiennent pour la plupart à 35 autres groupes relevant de divers
secteurs économiques.
paiement traitées chaque année
Établissements bancaires en 2007
Nombre
490)
500 000 salariés
1051 milliards d'euros de crédits
914 milliards d'euros de dépôts
12 milliards d'opérations de
Effectifs
Moyenne
47 194
1 050
323
27 000
84
Institutions financières spécialisées
7
1 400
200
Caisses de crédit municipal
19
880
46
TOTAL
775
476 474
615
Établissements de crédit à vocation générale
Banques commerciales
316
Banques mutualistes ou coopératives
110
Établissements de crédit spécialisés
Sociétés financières
Hormis 20 établissements qui restent entre les mains d’un actionnariat familial, il n'existe quasiment plus de
banques indépendantes de petite ou de moyenne taille.
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Ouverture à l'international
Le système bancaire français s’est largement ouvert à l’international, en particulier sur le Vieux Continent, où l’on
recense près de 400 implantations françaises dans 23 pays de l’Espace Economique Européen.
Les banques hexagonales se sont également développées dans le reste du monde : aux Etats-Unis, en Europe de
l’Est, en Asie et en Amérique Latine. Mais elles sont aujourd’hui obligées de faire face à une concurrence étrangère
de plus en plus accrue et de respecter des réglementations communautaires (près de 90 % de la réglementation
bancaire est d’origine européenne), qui pourraient leur faire perdre certaines de leurs spécificités comme l’absence
de tarification du service des chèques.
Elles doivent également inventer de nouveaux services clients ainsi que de nouveaux canaux de distribution pour
répondre à la diffusion massive de l’Internet dans les foyers français. Cela explique en partie pourquoi, malgré un
contexte difficile, la plupart des grandes banques hexagonales ont continué d’accroitre leurs dépenses
informatiques en 2007 et 2008.
Des investissements informatiques importants
Selon le cabinet Pierre Audouin Consultants (PAC), les investissements informatiques du secteur bancaire français
ont, en effet, dépassé les 12,7 milliards d’euros en 2007, soit plus de 16 % des investissements informatiques en
France. Et ce sont surtout les logiciels et les services qui ont bénéficié de cette manne, avec une croissance annuelle
de 8 %, alors que le marché global des services IT oscillait, lui, autour de 6 %. Comme le système d’information doit
aujourd’hui être multicanal, les banques ont beaucoup investi autour des architectures web. Et elles ont du aussi
s’adapter aux nouvelles réglementations (Sepa, directive MIF…). Vu l’ampleur de la tâche, il apparaît que ce type
d’investissement devrait encore alimenter le marché pendant encore plusieurs années.
A ces facteurs structurels, s’ajoute le rattrapage après la période de "gel" des années 2003-2004. Enfin, les
établissements bancaires ont vraiment pris conscience que l’amélioration de leur chaîne de production passait par le
traitement informatique. D’où l’importance des investissements dans les outils de la gestion de la relation client
(CRM) et dans le décisionnel (reporting).
Pour 2009, IDC table, en revanche, sur un net ralentissement des marchés logiciels et services hexagonaux, avec une
croissance qui pourrait avoisiner les 2 à 4 %. La banque, et en particulier la finance de marché, devraient enregistrer
une stagnation, voire une réduction de ses investissements informatiques.
Le secteur Assurances/Mutuelles
L'ASSURANCE EN CHIFFRES
Le nombre d’acteurs de ce marché diminue progressivement, le chiffre
d’affaires total reste stable à 253 milliards d’euros. Le résultat net total
poursuit sa croissance, à 14,4 milliards d'euros.
Le nombre total de sociétés d’assurances en France ne traduit pas la
réalité du marché, car un même groupe rassemble plusieurs entités
juridiques. En particulier, lorsqu’il exerce des activités d’assurances de
dommages et des activités d’assurance vie, il doit le faire au sein de deux
entreprises juridiquement distinctes.
Les 10 premiers groupes représentent 79 % du CA (en forte hausse) et
les 50 premières mutuelles rassemblent 80 % des 18 millions
d’adhérents en France.
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461 compagnies en France
195,4 milliards d’euros de revenu (en
baisse) dont :

152 milliards pour les personnes
(en baisse)

44 milliards pour les biens et
responsabilités (en hausse)
144 100 personnes travaillent dans les
sociétés d’assurance – (stable).
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Les problématiques métier
La crise financière actuelle rappelle de manière brutale les limites du système bancaire. En prenant la mesure de
leurs engagements sur des marchés globalisés de plus en plus interdépendants, les établissements sont plus que
jamais confrontés à un risque de responsabilité. Encore une fois, l’exigence réglementaire donnera le tempo de
l’adaptation des systèmes et des processus à cette situation. Dans le domaine bancaire, une réglementation en suit
une autre, ce qui ouvre régulièrement à de nouveaux chantiers informatiques.
Le secteur banque regroupe aujourd’hui un grand nombre de métiers. Et l’on trouve sur le marché des offres qui
couvrent une grande partie de ces métiers et au contraire des offres très spécialisées… avec toutes les situations
intermédiaires.
LES MÉTIERS DE LA BANQUE
Source Le CXP, 2009
Pour un métier bancaire donné, les éditeurs présents sur ce marché peuvent, par ailleurs proposer des solutions
front office, qui traitent les fonctions liées à la relation client et aux services/opérations négociées et/ou des
solutions back-office pour la gestion administrative et financière des opérations. Entre les deux se positionnent des
solutions de middle office pour la mise en place des opérations traitées par le front office : gestion du risque, de la
conformité juridique et financière, etc.
Enfin on trouve aussi des solutions de business intelligence, des solutions de gestion de contenu métier ou encore
des logiciels outils pour par exemple le traitement des flux d'information inter-banques ou des échanges clients/
banque.
Globalement la gestion de l’entreprise, ses budgets, ses achats, etc. sont encore peu ou pas couverts par les offres
présentes sur le marché.
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Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance
Priorité aux projets de front office
Au cours des trois dernières années, les établissements financiers ont beaucoup investi dans les solutions de backoffice afin de créer un socle fiable de traitement des contrats, des transactions et des demandes clients, le tout dans
une logique multicanal. Aujourd’hui, pour fidéliser leurs clients et en conquérir de nouveaux, priorité est donnée
aux projets front-office, avec des solutions dédiées à la gestion de contacts multicanal, mais aussi au multimédia
pour dynamiser leur site Internet, à la gestion des e-mails, à la téléphonie sur IP et au recours à des bases de
connaissance client. Les applications de Business Intelligence sont également de plus en plus prisées pour optimiser
la gestion de la relation client.
Une gouvernance accrue
En France, la banque de détail représente à elle seule les deux tiers des investissements IT de la sphère financière.
Ceux-ci concernent les chantiers réglementaires (Bâle II, MiFID, Directive anti-blanchiment, etc.), la construction de
l’Europe des paiements, l’internationalisation et les opérations de restructuration interne en vue d’une optimisation
des processus de gouvernance et de transparence.
La gestion de contenus, nouvel enjeu
Avec l’affirmation d’Internet comme vecteur de croissance et la multiplication des contenus non structurés, les
systèmes d’ECM qui se concentrent sur la production, la collaboration, le stockage, la recherche, la diffusion et le
cycle de vie des documents numériques d’une organisation représente désormais un outil de fidélisation et de
conquête de la clientèle. Ces applications permettent notamment de cibler l’information pertinente à délivrer. La
gestion de documents et de contenus constituent un enjeu d’autant plus important que les banques devront demain
servir leurs clients, avec de nouveaux canaux comme celui du téléphone mobile.
4
Les éditeurs
Approche par taille et origine
Huit grands éditeurs se partageraient aujourd’hui l’essentiel du marché français des logiciels bancaires, selon une
étude de Pierre Audoin Consultants de 2007. Cinq d’entre eux sont des éditeurs nationaux : Linedata Services, Viveo
Finance, GL Trade (devenu filiale de Sungard depuis octobre 2008), SAB et Fininfo (devenu SIX Telekurs France,
filiale de SIX Telekurs Ltd, en septembre 2008).
Les trois autres – Microsoft, Oracle
(avec PeopleSoft, Siebel) et Adobe sont américains et occupent
respectivement la première, la
cinquième et la septième marche
de ce podium (voir tableau cicontre).
Ce classement ne prend toutefois
pas
en
compte
d’autres
intervenants,
de
taille
plus
modeste, mais qui se positionnent
clairement sur un secteur très vaste
où l’offre foisonne.
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Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance
Selon le rapport sur "Les défis de l’industrie bancaire", rédigé en 2006 par le Comité consultatif du secteur financier,
les banques ont, en effet, également largement recours aux assistants extérieurs dans le domaine des systèmes
d’information et des télécommunications. Ainsi, le secteur bancaire est le premier client des fournisseurs de services
informatiques. Selon le syndicat professionnel de ces métiers, le Syntec, 20 % des dépenses de services
informatiques sont également réalisées par les banques, contre 25 % pour l’industrie dans son ensemble et 5 % pour
les assurances.
Approche par spécialités
Les spécialistes de la banque ou de l’assurance
Parmi les principaux acteurs de cette famille, le CXP a recensé :
 Sopra Group. Avec plus de 600 banques et sociétés financières clientes, Sopra Group est aujourd’hui le
premier acteur français dans le domaine de la banque et de la finance. Ce secteur représente d’ailleurs près
d’un tiers de son chiffre d’affaires, et ceci depuis la création du groupe. En Europe, ce sont plus de
1 500 collaborateurs de Sopra Group qui agissent exclusivement sur le secteur bancaire et le groupe a été
associé à la quasi totalité des projets interbancaires de la profession (Bafi, Euro, Image-chèque, BCE...).
L’offre de Sopra englobe les solutions Evolan pour gérer les crédits (tout le cycle de vie du crédit, de la
vente au recouvrement amiable ou contentieux), le reporting réglementaire ou financier (IFRS), la tenue de
compte et la gestion de la facturation globale, la banque en ligne, la monétique, le traitement du chèque, la
communication client, la gestion des successions, les marchés de capitaux. Sopra propose également un
EAI, des solutions de gestion de contenu, portails et archivage,
 SAB. Editeur de solutions informatiques pour les institutions financières depuis 1989, SAB compte plus de
150 clients auxquels il propose deux gammes de progiciels bancaires : l’une dédiée à la Banque de Détail et
d'Entreprises (offre SAB), l’autre à la Banque Privée (offre SAMIC). Ces deux gammes constituent un Global
Bancaire. La philosophie de l'éditeur est de développer un progiciel centré sur le client, présentant par
exemple à l'utilisateur une position Intra-day, une vue globale client, le suivi du risque crédit, un reporting
d'activité et de rentabilité. La gestion des risques est également au cœur du système : risque opérationnel
avec des habilitations par profil métier, piste d'audit, lutte contre le blanchiment, comptes dormants… Mais
aussi risque crédit avec scoring, limites, position globale intra-day, gestion des débits non autorisés...
 Viveo. Pionnier des progiciels bancaires, le groupe Viveo a développé une expertise dans ce secteur en
accompagnant, depuis 1983, plus de 700 établissements financiers dans une trentaine de pays. A son
catalogue, on trouve l’intégré bancaire, V-BANK, une solution issue d'une réécriture en mode Intranet /Java
de la gamme LOGOS (nom originel de la société), avec une quarantaine de modules dont une plate-forme
de paiements (domestique, SEPA, international), une offre complète en matière de Compliance (reporting
réglementaire, Suite Bâle 2, Lutte Anti Blanchiment), ainsi que des modules Banque en Ligne Web 2.0
couvrant toutes les typologies de clients (particulier, professionnels, entreprises, grands corporates). Viveo
apporte également une réponse aux enjeux métiers et techniques des professionnels du secteur avec ECM
Finance (Enterprise Component Model for finance), une architecture fonctionnelle de composants
spécialisés métier bancaire et personnalisables au contexte du client,
 GL Trade. Filiale de SunGard depuis octobre 2008, GL Trade est un fournisseur mondial de solutions pour les
opérations de front-office, middle-office et back-office, auxquelles recourent les établissements financiers
internationaux qu’ils soient acheteurs ou vendeurs. Parmi les nombreuses références à son catalogue,
figurent GL CLEARVISION, une solution de middle office dédié aux traitements des produits dérivés listés, GL
RIMS, une solution de middle et back office, GL STREAM, un système automatisé de gestion d'ordres ou
encore UBIX, une solution de back office pour le traitement des produits dérivés,
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 ITN. Editeur européen de progiciels et composants pour l’assurance (9,7 millions d'euros de chiffre
d'affaires en 2007), cible les compagnies et mutuelles, les sociétés de bancassurance, les grossistes et des
courtiers, pour l’optimisation et l’industrialisation des systèmes d’information. ITN conçoit et développe
depuis plus de 20 ans des solutions de gestion à valeur ajoutée permettant de gérer et d’industrialiser
l’intégralité des processus métiers de l’assurance en IARD, Santé, Prévoyance,
 Delta Informatique. Cet éditeur français propose un système bancaire complet, baptisée Delta-Bank,
intégrant les processus de gestion Front Office et Back Office. Les fonctionnalités du système couvrent tous
les aspects de la gestion bancaire, du Grand Livre aux canaux de diffusion. Delta-Bank offre un large éventail
de fonctionnalités commerciales pour tous les domaines bancaires, notamment les services aux particuliers
et aux entreprises, transactions interbancaires, titres et placements. Il est aujourd’hui utilisé par plus de
120 instituts financiers de par le monde,
 Fimasys. Cet éditeur développe des solutions e-finance personnalisables. Sa solution intégrée,
ProFinance, est dédiée à la gestion Front (point de vente), Middle (analyse du risque) et Back Office des
institutions financières, des banques et des compagnies d'assurance : crédit consommation (revolving, carte
privatives, facilités de paiement, prêt personnels), financement de bien (ex. : auto...), leasing (tout type
d'équipements-LOA, LLD), financement de stocks (engagement, floorplaning, factoring...). ProFinance est
une solution SOA 100 % J2EE. Fimasys propose également WebEpargne pour la gestion administrative
d'épargne salariale et retraite.
La plupart des éditeurs du secteur sont spécialisés sur la banque ou l’assurance, plus rarement les deux (citons Infoel
et Simcorp). Quelques éditeurs ciblent aussi d’autres secteurs : industrie, négoce et retail (CISA Informatique),
HBJO, Services pro, commerce de détail non alimentaire (RFI), presse, aéronautique, CCI, secteur public et négoce
technique (ACA), négoce et retail (Erival), sans qu’il soit possible d’en déduire une tendance.
Les solutions transversales verticalisées pour la banque
De grands noms du logiciel se sont également positionnés sur le marché de la banque et de la finance en
verticalisant leurs solutions "tous secteurs".
 Les ERP
La plupart des grands éditeurs généralistes internationaux ont développé une offre adaptée au secteur financier.
Nous ne citerons ici que les deux principaux, SAP et Oracle.
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o
Oracle. L’éditeur a développé une série d’applications de gestion préintégrées regroupant des
fonctionnalités clés spécifiquement conçues pour le secteur bancaire. Sa solution de gestion des
données clients, qui comprend Oracle Customer Data Hub, Oracle Customer Data Spoke et Oracle
Data Librarian, constitue une source unique et intégrée d'informations clients actualisées et
cohérentes pour les différentes applications. De même, les solutions PeopleSoft Enterprise CRM for
Wealth Management et Enterprise Customer Relationship Management (CRM) permettent
d'exploiter efficacement ces informations pour cibler les clients, proposer des services personnalisés,
ainsi que des offres ciblées. Oracle propose également une combinaison de solutions de finance, de
gestion des performances et de gouvernance d'entreprise permettant de surmonter les pressions
réglementaires. Un modèle de base de données financière unique et intégrée, associé à des
applications telles que Oracle Internal Controls Manager, permet de répondre aux exigences
réglementaires (Sarbanes-Oxley, Basel II, Gramm-Leach-Bliley…).
o
SAP. Avec SAP for Banking, l’éditeur propose une plate-forme de processus d'entreprise et une série
complète de solutions de gestion et de pilotage de l'entreprise : des processus de support aux
transactions bancaires sans oublier la gestion des risques et les solutions dédiées à la conformité. SAP
for Banking permet aux banques d'améliorer leur efficacité et de mieux se différencier afin de devenir
les prochains grands acteurs du secteur.
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Les solutions métier pour les secteurs banque, assurance, finance
Certains éditeurs français d'ERP se positionnent aussi sur ce secteur. Il faut ici citer en particulier :
o
Qualiac. L'éditeur français d'ERP a mis en œuvre une stratégie forte de verticalisation. Il a déjà
décliné son ERP Qualiac, qui se définit comme une solution complète de gestion de la chaîne des
dépenses, pour adresser les entreprises de l'industrie de process, de l'immobilier, du secteur
presse/édition/média, des services aux entreprises, de la santé/hôpitaux privés et pour le secteur
associatif. Il s'adresse également de façon privilégiée au secteur finance, banque, assurance et
mutuelles, où l'éditeur compte déjà un certain nombre de belles références clients.
 Les éditeurs de solutions de reporting et de gestion de trésorerie
o
Enablon. Cet éditeur, spécialisé dans la maîtrise des risques environnementaux, sociaux, financiers et
juridiques, a développé une solution de gestion du contrôle interne en milieu bancaire (Enablon CA),
ainsi qu’une offre de pilotage et de suivi de l'intégralité du cycle d'évaluation des contrôles en milieu
bancaire, Enablon Continuous Assessment, qui répond aux contraintes réglementaires du CRBF 97-02
modifié.
o
CISA Informatique. Cet opérateur global de services positionné sur le conseil, l'édition, l'intégration
et l'infogérance, édite, Ginkgo, un progiciel de gestion intégrée des opérations de trésorerie bancaire
pour les Middle et Back office des banques et entreprises gérant des contrats placés auprès des
banques ou sur les marchés financiers (compagnies d'assurances, mutuelles, grandes entreprises,...).
o
Datalog Finance. Spécialisé dans l’édition de progiciels de gestion autour des métiers de la direction
financière, cet éditeur offre des solutions de gestion dynamique et sécurisée des flux financiers : en
matière de centralisation de paiement et de cashpooling (CashPooler), de reporting de trésorerie
(CashReport) et de compensation des paiements intragroupe (CashNetting).
Ce Livre Blanc intitulé "Solutions métier pour les secteurs de la banque, de l'assurance et de la finance", édité par
le CXP, est accessible aux abonnés de l'offre CXP Classic, ensemble de documents et de services de veille centrés
sur le système d'information et les solutions progicielles.
Une souscription à offre CXP Classic vous donne, entre autres, accès à :
 des études de cas (témoignages d'utilisateurs de solutions progicielles),
 des notes de synthèse et de recherche : Livres blancs, Synthèses et perspectives sur des domaines ayant
fait l'objet d'une expertise par nos analystes,
 des éclairages sur l'actualité du domaine logiciel,
 l'ensemble des fiches de synthèse des éditeurs évalués, expertisés ou étudiés par nos analystes,
 aux archives de notre bulletin hebdomadaire L'Œil Expert et au moteur de recherche permettant d'y
accéder
Pour en savoir plus sur l'offre CXP Classic, cliquer ici, ou contacter notre service clientèle au 01 53 05 05 53
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Le Service Desk : fonctions, apports et solutions
Le CXP, Centre d’eXpertise des Progiciels*
vous aide à choisir vos progiciels et vos solutions informatiques
Le CXP, une structure unique en Europe
Créé en 1973 sous l’impulsion du Ministère de l’Industrie, par des utilisateurs de grands groupes : Air
France, Anotec, Bred, BSN (aujourd’hui Danone), EDF, la RATP et la Société Générale, le CXP
sensibilise alors la profession informatique sur l’intérêt du nouveau concept de "package logiciel" et
fournit la première méthode de choix d’un produit logiciel. Dédié à l'expertise des progiciels et de
leur environnement technologique, le CXP représente une structure originale, unique en Europe.
Les valeurs du CXP
Le souci de l'objectivité et la fiabilité des informations publiées,
Une approche pragmatique des besoins des clients : le CXP a été créé par des
utilisateurs pour des utilisateurs,
La garantie d'une complète et véritable indépendance fondée sur le principe
déontologique d'objectivité vis-à-vis des fournisseurs.
Les services CXP : de l’information au
conseil
Des experts renommés
Les analystes du CXP bénéficient de plusieurs
années d’expérience métier et informatique.
LA VEILLE
Des bases de données uniques en Europe
(6 600
progiciels,
2 300
éditeurs,
1 300 prestataires).
Ils ont mis en place une méthodologie unique et
éprouvée pour évaluer les progiciels.
Un décryptage et une analyse de l’actualité du
logiciel d’entreprise.
Les études du CXP sont une référence dans le
domaine IT et servent de sources à de
nombreuses publications spécialisées.
De nombreux événements : Forum CXP, webconférences, petits déjeuners, participation à des
salons.
Ils sont en contact permanent et privilégié avec
l’ensemble des acteurs du marché des progiciels :
rendez-vous individuels d’expertise, salons,
conférences, séminaires.
LES ETUDES
Des outils d’aide au choix de progiciel :
le Service Expert (à découvrir dans ce document).
Véritables experts, ils animent également des
blogs, des conférences dans des salons
professionnels et assurent des cours dans des
écoles d'ingénieurs.
LES MISSIONS DE CONSEIL
Rédaction de cahier des charges, consultation des
éditeurs, sélection de progiciel, négociation
commerciale, assistance à maitrise d’ouvrage.
●●● La vocation du CXP : aider l'utilisateur final à faire le meilleur choix de ses outils progiciels .
le CXP - 12, rue Godot de Mauroy - 75009 Paris - Tél. : +33 1 53 05 05 53 - www.cxp.fr
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