DOSSIER la ville - Théâtre de la Jacquerie

Transcription

DOSSIER la ville - Théâtre de la Jacquerie
D’EVGUENI GRICHKOVETS
Traduction d’Arnaud Le Glanic
MISE EN SCENE
Alain Mollot
SOMMAIRE
Le spectacle:
L’auteur:
Alain Mollot et la Jacquerie :
L’équipe :
Calendrier :
La presse :
CONTACT
Laurence Clauzel
01 47 26 45 34
[email protected]
PRODUCTION
Théâtre de la Jacquerie
COPRODUCTION
Théâtre Romain Rolland de Villejuif
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C R E A T I O N 2 0 1 2 / 2 0 13
la ville
SOUTIENS
La compagnie est soutenue par le Ministère de la Culture / DRAC
Ile-de-France, le Conseil Général du Val-de-Marne, la municipalité de Villejuif
Date de M.A.J. dossier : 02.04.2012
LE SPECTACLE
Serguei essaie de convaincre sa femme, son père et son ami qu’il doit partir. On ne sait
pas où: une autre ville, un autre travail, un autre pays, un autre monde ?
Cela ressemble à un échange de répliques et pourtant on a le sentiment
d’un dialogue de sourds. Parle t-on à l’autre ou à soi-même ?
Un suspense poético-comique où se mêlent hyperréalisme et surréalisme
L’HISTOIRE D’UN DEPART
ANNONCE
Y a-t-il une histoire ? Il y a « lui ». Lui, c’est Serguei,
mais on dit aussi « lui ». Serguei parle : il dit qu’il va
partir. Ou plutôt, il essaie de convaincre sa femme
Tatiana, son père et Maxime, son ami, qu’il part,
qu’il doit partir. Où ? On ne sait pas. Il ne sait pas luimême. Dans une autre ville ? Vers un autre travail ?
Dans un autre pays ? Il harcèle sa femme, ne
sachant jamais où il range son agenda, ses
chaussettes ou son billet de train. Tendrement lasse,
elle retrouve tout. Maxime, lui, son ami, vient
emprunter de l’argent à Serguei pour les travaux
dans sa maison. Serguei lui dit qu’il a besoin de son
argent pour Tatiana, parce qu’il doit partir. Quant à
son père, c’est toujours les mêmes mots et pourtant
il est le seul à comprendre.
Il y a décidemment quelque chose d’étrange et
clownesque dans tout cela. Cela ressemble à un
échange de répliques et pourtant on a le sentiment
d’un dialogue de sourds. On commence à se poser
des questions. Jusqu’où part-il ? Une voyage
d’affaires ? Une autre femme, une autre ville, un
autre monde ?
UN SUSPENSE POETICO-COMIQUE
ENTRE HYPERREALISME ET
SURREALISME
C’est dans cet interstice que se situe le style de jeu,
le travail, la recherche, la mise en scène. En fait, il
s’agit de créer un suspense poétique et
drolatique où se mêleraient hyperréalisme et
surréalisme.
LE DECOR
Maquette
du décor
réalisée
par
Raymond
Sarti
Le jeu, oui car il y a des jouets ceux du fis de
Serguei qui parsèment le sol. Ils seront peut-être
légèrement surdimensionnés, comme un signal
insistant de l’enfance dont Serguei a du mal à
sortir. Et puis en avant scène, une table où
s’entasse le monde de Serguei ; ses dossiers, ses
carnets, ses bouquins et ses piles de papiers qui
s’amoncèlent. Peut être cela évoquera t- il une
ville aussi, une ville jouet, une ville maquette.
Et enfin le téléphone, insistant lui aussi qu l’on
branche, débranche et rebranche et tout
autour, le vide.
LE SON
Entre ou parfois pendant les scènes, des sons
quotidiens déformés. On croit y reconnaître le
peintre qui siffle en repeignant l’escalier, le voisin
qui gueule, le bruit du métro et le délire d’un
vagabond ou encore le son d’une radio
Et puis je vois comme une envolée musicale (Le
beau Danube bleu, ou de l’accordéon) et
Serguei qui court danse et s’amuse comme un
enfant à semer les autres personnages qui
cherchent à le rattraper. Mais on ne le
rattrapera pas. C’est vivant, peut être
affreusement tragique ou terriblement drôle
Au fond, un mur comme infranchissable, un mur aux
fenêtres comblées de parpaings, un mur aveugle :
celui sur lequel semble se cogner Serguei. Ce mur
c’est aussi la ville, un immeuble qui bouche la vue,
l’avenir, la vie. Va t il se fragiliser, s’écrouler en partie
ou complètement ?
Face à ce mur et dos au public 4 chaises d’où
surgiront
les
4
personnages
qui
entreront
successivement dans
le jeu.de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif.
Théâtre
www.theatre-jacquerie.fr/ [email protected]
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L’AUTEUR
EVGUENI GRICHKOVETS, UN
WOODY ALLEN MOSCOVITE
Né en 1967 à Kemerovo en Sibérie, Evguéni
Grichkovets s’inscrit, après son service militaire
dans la marine, à l'université de Kouzbass où il
suit des études de philologie russe.
Passionné par le théâtre, il fonde le théâtre Loge
où il est à la fois auteur, metteur en scène et
comédien de mono-spectacles qui dessinent un
tableau de la vie actuelle à travers de longs
monologues attribués à des personnages divers.
Il doit cependant attendre 1998 avant de
connaître un succès national au Festival de
théâtre international de Moscou avec sa pièce
Comment j'ai mangé du chien. En 2000, le jury
du Masque d'Or lui attribue le Prix d'Innovation et
le jury des critiques le Prix pour la saison
théâtrale.
Il a été découvert en France par le Festival
Passages de Nancy en 2001. Aujourd’hui, dix ans
après la création de ses premiers spectacles
solo, Evguéni Grichkovets continue à se produire
à guichets fermés à Moscou et dans toute la
Russie, parfois dans des cabarets, le plus souvent
dans de grandes salles combles d’Arkhangelsk à
Vladivostok.
Lorsqu’il tourne à l’étranger, Grichkovets ne se
sert pas de sous-titres : un acteur-traducteur, ici
Arnaud Le Glanic -qui traduit par ailleurs tous ses
ouvrages-, présent sur scène, traduit ses propos
au fur et à mesure.
EXTRAIT DU TEXTE
LUI- Tania, dis-moi…, je voudrais
te
demander,
mais
c’est
une
question…
bizarre.
Dis-moi,
tu
aimes qu’on t’offre des fleurs ?
Attend, attends, quand on t’offre
des fleurs, tu te réjouis de quoi ?
Ta joie vient des fleurs ou… de
l’attention ? Ou tu te réjouis par
politesse ?
Sincèrement,
je
ne
comprends
pas. Il est d’usage
d’offrir des fleurs aux femmes,
mais j’aimerais savoir, les fleurs
plaisent aux femmes, c’est-à-dire,
vous plaisent, enfin, ces… petits
fleurs, là ?
Après Nancy, Evguéni Grichkovets a présenté en
2002 Planète au Festival d’Avignon, En même
temps et Comment j’ai mangé du chien au
Théâtre de la Bastille à Paris.
Il a d’autre part écrit deux romans, Asphalte et
La Chemise.
Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif.
www.theatre-jacquerie.fr/ [email protected]
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ALAIN MOLLOT
ET LE THEATRE DE LA JACQUERIE
Formé à l’Université Internationale du Théâtre,
puis à l’Ecole Jacques Lecoq, Alain Mollot fonde
le Théâtre de la Jacquerie en 1975 avec un
groupe de comédiens rencontrés dans cette
école.
Le théâtre de la compagnie sera résolument
charnel, populaire, comique.
Pendant dix ans, la Jacquerie est une troupe
permanente qui sillonne la France sans véritable
port d’attache. Les comédiens improvisent et
des auteurs mettent cette matière en forme.
C'est ainsi que l'écrivain Jean-Pierre Chabrol
rencontre et accompagne la compagnie sur
plusieurs créations, notamment Tit bonhomme
l’est pas très mort en 1978 et Lumpen en
1980 qui auront un grand écho.
La compagnie monte, à cette période, une
petite forme théâtrale: Histoire du Théâtre
Populaire qui tournera de nombreuses années
dans toutes sortes de salles. Elle s’attachera
toujours à rencontrer le public au plus près,
notamment par le moyen de ses
« petites
formes ».
En 1985, la Jacquerie s’implante dans le Val-deMarne, à Villejuif. Les comédiens changent, le
metteur en scène devient le seul pivot de la
compagnie qui aborde le répertoire à travers
Molière, L’Ecole des femmes, Goldoni, Le Café,
Romain Rolland, Robespierre, Hugo, Un œil
profond dans l’ombre, Brecht , Maître Puntila
et son valet Matti. Alain Mollot écrit son
premier texte, Sur le sable, qu’il monte en
1993.
En 1992, il travaille avec une nouvelle génération
de comédiens dont il a été le professeur à
l’école Jacques Lecoq, retrouvant ainsi
l’improvisation comme base de création. De ce
groupe vont naître les spectacles Croquis
Marrants d’une vie redoutée et Cabaret
Monstre.
Alain Mollot rencontre des metteurs en scène
d’Europe de l’Est avec qui il partage de
nombreuses expériences. Après avoir utilisé la
Alain Mollot a
été co-directeur
du Théâtre
Romain Rolland de
Villejuif
de 2001 à 2010
dérision pour dénoncer les méfaits de la
société,il ressent à partir de ce moment-là, le
besoin de s’attaquer aux “grands sentiments”.
Il commence par monter un mélodrame, Liliom,
de Molnar et, à partir de 1999, avec une fidèle
équipe de comédiens, construit le projet de
« L’Epopée Quotidienne » en recueillant la
parole des gens sur le thème du lien familial, qui
aboutira sur le spectacle Roman de familles.
Fort de ce succès, il est persuadé que c’est au
coeur du plus intime qu’il faut se questionner.
En 2003 il poursuit son exploration du quotidien
pour aborder cette fois le thème du travail. Cela
débouchera sur La Fourmilière qui intègre des
comédiens venant d’autres horizons que l’école
Lecoq. Parallèlement, il revient au texte en
mettant en scène Le Manteau avec des
comédiens rencontrés à l’Ecole nationale
supérieure des arts de la marionnette où il a
enseigné.
En 2009, il monte La fin d’une liaison de
Graham Greene en collaboration avec JeanPierre Lescot sur la mise en images.
Il crée Res Publica, en 2011 à partir d’entretiens
sur le thème de la nation, achevant ainsi la
trilogie entamée avec la famille et le travail.
Ces dernières années, son travail rend compte
d’un va et vient constant entre les spectacles
créés à partir de témoignages et la mise en
scène de grandes fables modernes. La fiction
nourrit le réel et le réel la fiction. Les langages
théâtraux s’entremêlent librement : jeux réalistes,
masques, marionnettes, chansons.
Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif.
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L’EQUIPE
A LA CONCEPTION
RAYMOND SARTI, SCENOGRAPHIE
Né en 1961 à Paris. Graveur et orfèvre de formation, son approche de la
scénographie se veut d’être à la croisée des arts, c’est le théâtre qui initie cette
recherche scénographique, et s’applique dans des domaines aussi différents que
la danse, l’architecture, le paysage, le cinéma, le cirque, et les expositions. Il
revendique l'éclectisme comme une des conditions de l'enrichissement
intellectuel qui permet d'élargir l'angle de vue sur les sujets abordés. Pour le
théâtre, la danse, il signe plus 135 scénographies, une vingtaine pour les
expositions, et une quinzaine de décors pour les films. Ainsi ces collaborations pour
le Théâtre se font auprès de Ahmed Madani, François Rancillac, Jean Pierre
Rossfelder, Thierry Roisin, Guy Pierre Couleau, Pierre Santini, Jérôme Deschamps,
Eugène Durif, Catherine Anne, Olivier Tchang Tchong, Guy Freixe, Alain Mollot…
NADIA LEON, COSTUMES ET ACCESSOIRES
Formée à l’Ecole de la chambre syndicale de la couture parisienne et titulaire
d’un diplôme de métier d’art en costumes, elle intervient depuis eune vingtaine
d’années dans le domaine du théâtre, de la danse et de l’opéra. Elle a
notamment travaillé avec Vincent Collin, Thierry Collet, Hubert Jappelle, beatrice
Massin, Daniel Larieu, Paco Decina, Bruno Bayen et les compagnies Traffic de style
et Deschamps.
PHILIPPE LACOMBE, LUMIERES
Philippe Lacombe travaille depuis plus de vingt-cinq ans pour le théâtre
(notamment avec La Jacquerie et du théâtre du Mouvement), la danse, la
marionnette et l’opéra (Opéra National de Seoul). En suivant le processus de
création aux côtés des initiateurs des différents projets, la lumière lui permet de se
mettre au service de la dramaturgie afin d’en enrichir le sens. Sa rencontre avec
Victoria Thierrée-Chaplin lui donne également la possibilité d’explorer le monde
poétique et onirique du cirque allié au music-hall. Concerts de jazz, spectacles de
variétés, musique électroacoustique défilés de mode, viennent compléter son
travail.
GILLES SIVILOTTO, CONCEPTION SONORE
Au début trompettiste, il étudie la musique électroacoustique au CIRM de Nice
(Centre International de Recherches Musicales), au California Institute of the Arts
(Los Angeles 1989-90), à l’IRCAM (Paris 1993-95), et devient compositeur associé
au GMEM (Groupe de Musique Expérimentale de Marseille). Il compose
également pour les jeux vidéo, la télévision et collabore aux installations de
Laurent Chambert (Arts plastiques), Camille Perreau (Théâtre de rue) et Cristina de
Melho (poésie sonore). Depuis 2004, il se produit sur scène au sampler avec le
groupe Rose et Noire et plus récemment aux côtés de Jean-Louis Clos et Jean-Luc
Therminarias, au sein de l’Université du sang vert (Comédie de Caen). Il participe
régulièrement depuis 2001 aux créations d’Alain Mollot au sein de la Jacquerie.
CECILE METRICH, ASSISTANAT A LA MISE EN SCENE
Comédienne, issue de l’Ecole du Théâtre National de Chaillot, Cécile Métrich a
travaillé avec Martine Harmel, Philippe Lecomte, Alain Gautré, Elisabeth Drulhe,
Michaël Batz, Patrice Douchet, Delphine Augereau et prochainement avec
Cécile Fraisse. Elle fait partie du collectif d’accompagnement d’auteurs A mots
découverts depuis 2008 et participe régulièrement à une semaine consacrée à
l’Ecriture théâtrale contemporaine, organisée par le théâtre de la Tête Noire,
Text’avril .Elle met en scène également des publics amateurs adultes et
adolescents.
Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif.
www.theatre-jacquerie.fr/ [email protected]
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LES COMEDIENS
BRUNO PAVIOT,
SERGUEI
Bruno Paviot a été formé au cours Florent puis à l’Ecole Nationale des Arts et
Techniques du Théâtre (Rue Blanche). Au théâtre, il a joué dans une quarantaine
de spectacles, sous la direction notamment de: Jean-Pierre Bouvier, Niels Arestrup,
Anne Bourgeois, Jacques François, Nicolas Ducron, Stéphanie Tesson, Philippe
Awat, Thomas Le Douarec, Justine Heynemann, Magali Léris, Adel Hakim…
Au cinéma et à la télévision, il a tourné avec notamment : Marjane Satrapi,
Jacques Maillot, Costa Gavras, Anne Fontaine, Sam Karmann, Laurent Tirard,
Christophe Blanc, Virginie Sauveur, Yvon Marciano, Dominique Ladoge, Denis
Dercourt, Sylvain Fusée, Joël Santoni…
YOLA BUSZKO, TATIANA LA FEMME DE SERGUEI
Yola Buszko a été formée à l’Ecole Nationale Supérieure de cinéma, de Télévision
et de théâtre de Lodz en Pologne. Elle a obtenu le prix de la « meilleure actrice
de théâtre de l’année 1980 », à l’époque où elle travaillait au Théâtre National de
Lodz. Au cinéma, elle a notamment travaillé avec K Kieslowski, et a reçu au
festival du film polonais, le prix de la meilleure interprétation féminine dans un film
de Laco Adamik. En France, au théâtre, elle participe régulièrement aux
créations de la Jacquerie et a travaillé sous la direction de Dominique Verrier,
François Rancillac, Isabelle Starkier, Sabine Stepanoff et Wieslaw Komasa.
PHILIPPE MILLAT-CARUS, L’AMI DE SERGUEI
Formé au Conservatoire National de Région d'art dramatique de Grenoble puis à
l'école Jacques Lecoq, il collabore régulièrement aux créations de La Jacquerie,
dont il est un comédien de la première époque. A longtemps pratiqué le théâtre
à domicile (T.E.P, Scène Nationale de Sénart), et affectionne le mélange des
genres, du théâtre de répertoire (Lorenzaccio, Don Juan, Cyrano de Bergerac, la
Cagnotte...) au théâtre contemporain (Tennessee Williams, Jean-claude
Grumberg, David Mamet, Bernard Marie Koltès...).
PIERRE TRAPET, LE PERE DE SERGUEI
Formé au cours Simon et à l’ Ecole Jacques Lecocq…il a joué et crée dernièrement au
théâtre du Lucernaire à Paris son dernier spectacle « Variations sur le rire »
En interprète il a joué dans « les cuisinières » de Goldoni mes :Justine Heyneman….le
géant de Kaillass de Peter Turrini(mes Claude Brozzoni ) dans Knock mes Maurice
Bénichou avec Fabrice Lucchini…il a travaillé avec JP.Tribout…Alain Mollot…Guy
Rétoré…Benno Besson…La Volière Dromesko…AVRON-EVRARD…etc. A la TV
dernièrement (canal+) dans sécurité intérieure de Patrick Grandperret et au cinéma
dans « Meurtrières de Patrick Grandperret. Il prépare son prochain spectacle
« Techniciens de surface » et anime des ateliers sur le thème du rire et la vie
quotidienne.
FRANCOIS ROY, LE CHAUFFEUR DE TAXI
Il a eu pour maîtres Jacques Lecoq, Yoshi Oïda et Peter Brook. Il a joué au théâtre
plus de 50 pièces notamment sous la direction de Jean-Pierre Miquel, Robert
Hossein, Jacques Rosner, Jean-Paul Lucet, Yamina Hachemi, Alain Mollot, Gilles
Zaeppfel, Sabine Stepanoff, Gérard-Henri Durand... ainsi que dans certaines de
ses propres mises en scènes. Au cinéma il a tourné avec Claude Miller, Bernard
Stora, Joseph Losey, Claude Zidi, Guy Lefranc, Frédéric Compain, Claude Dana,
Olivier Schatzky, Julien Darras, Nicolas Birkenstock, Sébastien Grall, Alix Barbey,
Hugo Chesnard. Il a tourné en Chine deux grandes séries TV et en Algérie avec
Ahmed Rachedi. En 1981 il fonde sa compagnie L’Instant Théâtre et en 1989, il
crée son théâtre La Maison de l’Acteur à Montrouge 92. En 2009, il fonde « La
Forge des Mythes », collectif d auteurs et de créateurs qui se consacre à revisiter
toutes les mythologies dans des actes créateurs.
Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif.
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LE CALENDRIER
DE DIFFUSION
PRODUCTION EN COURS
Théâtre Romain Rolland, Villejuif
Jeudi 17 janvier 2013 à 20h30
Vendredi 18 janvier 2013 à 20h30
Samedi 19 janvier 2013 à 19h00
Dimanche 20 janvier 2013 à 15h30
Lundi 21 janvier 2013 à 19h00
Jeudi 24 janvier 2013 à 20h30
Vendredi 25 janvier 2013 à 20h30
Samedi 26 janvier 2013 à 19h00
Dimanche 27 janvier 2013 à 15h30
Lundi 28 janvier 2013 à 19h00
Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif.
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LA PRESSE
Le spectacle étant en création, nous vous proposons les extraits de presse des précédents spectacles
LA FIN D’UNE LIAISON
Alain Mollot (trente-cinq ans de recherches sur
les images scéniques) adapte et met en scène
cette histoire avec un sens aigu de l’espace vide
et de la place qu’y prennent les corps des
acteurs. [...]
Cinq acteurs qui jouent le ballet des émotions
humaines (haine-amour, désir-jalousie, désespoir
et pulsion de vie malgré tout). Yola Buszko, alias
Sarah, électrise le plateau et se montre grande
amoureuse. Emmanuel Depoix en Bendrix a le
sourire amer et cynique qu’il faut. Les autres ont
travaillé leurs personnages comme des
archétypes.
Emmanuelle Bouchez, TELERAMA
Alain Mollot réussit une superbe adaptation du
roman de Graham Greene, magnifiée par la
mise en espace et en image de Jean-Pierre
Lescot, véritable magicien du théâtre d’ombres
Corinne Nèves, LE PARISIEN
LA FOURMILIERE
Les sept comédiens multiplient les rôles et
incarnent ces éclats d’humanité avec une
aisance protéiforme consommée et une très
belle maîtrise du jeu. Pariant sur le simple sans
tomber dans les pièges du simplisme, ce
spectacle contribue en beauté à l’histoire des
travailleurs.
Catherine Robert, LA TERRASSE
LE MANTEAU
Alain Mollot et ses camarades du Théâtre de la
Jacquerie présentent une adaptation saisissante
du Manteau. C'est une sarabande de surprises,
vous n'en croyez pas vos yeux, c'est
formidable.(…)C’est une merveille, vraiment.
Michel Cournot, LE MONDE
Il règne sur ce spectacle où souffle l’esprit du
cabaret musical une humeur joyeuse, une
invention réjouissante. Chaque personnage est
dessiné avec drôlerie. Mais au final, Serge Djen
donne à Akaki une gravité tragique. Pas à dire,
ce manteau a de l’étoffe !
Marion Thébaud, LE FIGARO
Une histoire pour rire et pour pleurer, voire pour
frissonner, qui emprunte tour à tour aux registres
du roman réaliste, de la comédie sociale et,
pour finir, du conte fantastique. Jaillissement
constant d’invention, renouvellement incessant
des plans, des cadrages, virtuosités des
interprètes…
Il y a un travail énorme derrière ce
divertissement.
Dominique Jamet, MARIANNE
ROMAN DE FAMILLES
Une pure merveille. Un spectacle, qui, sans tenter
de reproduire à l’identique les conversations qui
lui ont donné naissance, transcende des instants
de vie et devient du théâtre. Un spectacle
émouvant et magnifique.
André Fetet, ZURBAN
Roman de familles est un feu d’artifice
d’émotions, l’épatante théâtralisation d’un vécu
qui, derrière son apparente banalité, pose
effectivement quelques unes des grandes
questions sociétales du moment. Roman de
familles est un spectacle juste, touchant, drôle,
visuellement riche en trouvailles, servi par des
comédiens incroyablement inventifs.
Stéphane Bugat, L&A THEATRE
LA
Il
Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif.
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