DOSSIER LV mail - Théâtre de la Jacquerie
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DOSSIER LV mail - Théâtre de la Jacquerie
la ville villevill e D’EVGUENI GRICHKOVETS Traduction Arnaud Le Glanic MISE EN SCENE ALAIN MOLLOT Avignon off 2013 Du 6 au 28 juillet à 17h25 (relâche le 22 juillet) Théâtre des Lucioles 10 rue Rempart St Lazare – 84000 Avignon CONTACT DIFFUSION Emmanuelle DANDREL 06 62 16 98 27- [email protected] PRODUCTION Théâtre de la Jacquerie Laurence CLAUZEL 01 47 26 45 34 [email protected] SOMMAIRE Le spectacle : p. 1 L’auteur : p. 3 Alain Mollot et La Jacquerie : p. 4 L’équipe : p. 5 La presse : p. 8 COPRODUCTION Théâtre Romain Rolland de Villejuif SOUTIENS La compagnie est soutenue par le Ministère de la Culture/DRAC Ile-de-France, le Conseil Général du Val-deMarne, la municipalité de Villejuif. Ce projet a reçu l’aide à la création du Conseil Général du Val-de-Marne. Date de M.A.J. dossier : 14/05/13 LE SPECTACLE Sergueï éprouve un irrépressible besoin de partir : tout abandonner, renoncer à sa vie actuelle en apparence confortable, mais à laquelle il ne parvient plus à donner un sens. Partir où ? On ne sait pas, lui même l’ignore : une autre ville, un autre pays, un autre monde ? Il tente de l’expliquer à son entourage incrédule. Un suspense poético-comique qui frôle l’absurde où se mêlent hyperréalisme et surréalisme. L’HISTOIRE D’UN DEPART ANNONCE Y a-t-il une histoire ? Il y a « lui », Serguei. Il parle : il dit qu’il va partir. Ou plutôt, il essaie de convaincre sa femme Tatiana, son père et son ami Maxime, qu’il part, qu’il doit partir. Il harcèle sa femme, ne sachant jamais où il range son agenda, ses chaussettes ou son billet de train. Tendrement lasse, elle retrouve tout. Maxime, son ami, vient lui emprunter de l’argent pour les travaux dans sa maison. Serguei refuse, il préfère le garder pour Tatiana puisqu’il doit partir… Quant à son père, c’est toujours les mêmes mots et pourtant il est le seul qui semblerait comprendre ce qui arrive à son fils. UN SUSPENSE POETICO COMIQUE ENTRE HYPERREALISME ET SURREALISME Il y a décidément quelque chose d’étrange et clownesque dans tout cela. Cela ressemble à un échange de répliques et pourtant on a le sentiment d’un dialogue de sourds. On commence à se poser des questions. Jusqu’où part-il ? Un voyage d’affaires ? Une autre femme, une autre ville, un autre monde ? C’est dans cet interstice que se situe le style de jeu, la recherche, la mise en scène. En fait, il s’agit de créer un suspense poétique et drolatique où se mêlent hyperréalisme et surréalisme. DE QUOI NOUS PARLE-T-ON? S’agit-il de l’éternel masculin qui sans cesse ressent le besoin de partir tandis que l’éternel féminin, lui, veut s’enraciner ? S’agit-il de la déliaison des êtres qui sévit aujourd’hui ? D'une humanité nouvelle, égoïste, qui s’éloigne des autres dans une époque où sévit un individualisme exacerbé ? D'une perte de sens à laquelle chacun a eu à se confronter à un moment donné de sa vie ? La pièce ne nous donne pas de réponses, chacun est libre de trouver la sienne. C’est ce dessin protéiforme, très contemporain, qui a séduit Alain Mollot dès le départ et qui l’a amené à créer un spectacle totalement diffèrent de ses précédentes créations et à mettre en scène un texte d’aujourd’hui. Mise en scène Alain MOLLOT Texte Evgueni GRICHKOVETS Traduction Arnaud LE GLANIC Avec Cécile METRICH Philippe MILLAT-CARUS Bruno PAVIOT François ROY Pierre TRAPET Scénographie Raymond SARTI Costumes et accessoires Nadia LEON Musique Gilles SIVILOTTO Lumières Philippe LACOMBE Assistanat à la mise en scène Cécile METRICH Régie générale Frédéric RUIZ Codirection Laurence CLAUZEL Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif. Tél 01 47 26 45 34 www.theatre-jacquerie.fr / [email protected] 1 LE DECOR Au fond, un mur comme infranchissable, un mur aux fenêtres comblées de parpaings, un mur aveugle : celui sur lequel semble se cogner Serguei. Ce mur c’est aussi la ville, un immeuble qui bouche la vue, l’avenir, la vie. Face à ce mur et dos au public 4 chaises d’où surgissent les 4 personnages qui entreront successivement dans le jeu. Le jeu, oui car il y a des jouets, ceux du fils de Serguei qui parsèment le sol. Un signal insistant de l’enfance dont Serguei a du mal à sortir. Et puis en avant-scène, une table où s’entasse le monde de Serguei ; ses dossiers, ses carnets, ses bouquins et ses piles de papiers qui s’amoncèlent. Peut être cela évoque-t-il une ville aussi, une ville jouet, une ville maquette. Et enfin le téléphone, insistant lui aussi, que l’on branche, débranche et rebranche. Et tout autour, le vide. LES COSTUMES La mise en scène nous situe dans l’œil de Serguei : nous voyons comme il voit. Et ce qu’il voit, c’est un monde qui lui est de plus en plus étranger. Les costumes des personnages du père, de la femme et de l’ami, se déclinent dans un camaïeu d’ocre et de beige. Quant à Serguei il arbore d’autres couleurs : il arrive dans un costume social identifié (le costume cravate) et il rejoindra peu à peu, par son « laisser aller », une sorte de clown. Dans le camaïeu des autres personnages arrivent, vers la fin des « surprises colorées » censées questionner le spectateur. LA MUSIQUE La musique, vivante, parfois terriblement drôle ou affreusement tragique, conduit le spectateur à travers les différents tableaux psychologiques de la pièce. Entre les scènes ou parfois à l’intérieur de celles-ci, des sons quotidiens déformés nous évoquent l’au dehors. On croit y reconnaître le bruit du métro, le brouhaha des voitures, les voix des gens dans la rue, etc. Un au dehors qui, une fois franchie la limite du mur, tend à devenir un au-delà ouvert à toutes les perspectives. Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif. Tél 01 47 26 45 34 www.theatre-jacquerie.fr / [email protected] 2 L’AUTEUR EVGUENI GRICHKOVETS, UN WOODY ALLEN MOSCOVITE Né en 1967 à Kemerovo en Sibérie, Evguéni Grichkovets s’inscrit, après son service militaire dans la marine, à l'université de Kouzbass où il suit des études de philologie russe. Passionné par le théâtre, il fonde le théâtre Loge où il est à la fois auteur, metteur en scène et comédien de mono-spectacles qui dessinent un tableau de la vie actuelle à travers de longs monologues attribués à des personnages divers. Il doit cependant attendre 1998 avant de connaître un succès national au Festival de théâtre international de Moscou avec sa pièce Comment j'ai mangé du chien. En 2000, le jury du Masque d'Or lui attribue le Prix d'Innovation et le jury des critiques le Prix pour la saison théâtrale. Il a été découvert en France par le Festival Passages de Nancy en 2001. Aujourd’hui, dix ans après la création de ses premiers spectacles solo, Evguéni Grichkovets continue à se produire à guichets fermés à Moscou et dans toute la Russie, parfois dans des cabarets, le plus souvent dans de grandes salles combles d’Arkhangelsk à Vladivostok. Lorsqu’il tourne à l’étranger, Grichkovets ne se sert pas de sous-titres : un acteur-traducteur, ici Arnaud Le Glanic, qui traduit par ailleurs tous ses ouvrages, présent sur scène, traduit ses propos au fur et à mesure. EXTRAIT DU TEXTE LUI : Tania, dis-moi…, je voudrais te demander, mais c’est une question… bizarre. Dis-moi, tu aimes qu’on t’offre des fleurs ? Attends, attends, quand on t’offre des fleurs, tu te réjouis de quoi ? Ta joie vient des fleurs ou… de l’attention ? Ou tu te réjouis par politesse ? Sincèrement, je ne comprends pas. Il est d’usage d’offrir des fleurs aux femmes, mais j’aimerais savoir, les fleurs plaisent aux femmes, c’est-à-dire, vous plaisent, enfin, ces… petits fleurs, là ? Après Nancy, Evguéni Grichkovets a présenté en 2002 Planète au Festival d’Avignon, En même temps et Comment j’ai mangé du chien au Théâtre de la Bastille à Paris. Il a d’autre part écrit deux romans, Asphalte et La Chemise. Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif. Tél 01 47 26 45 34 www.theatre-jacquerie.fr / [email protected] 3 ALAIN MOLLOT ET LE THEATRE DE LA JACQUERIE Formé à l’Université Internationale du Théâtre, puis à l’Ecole Jacques Lecoq, Alain Mollot fonde le Théâtre de la Jacquerie en 1974 avec un groupe de comédiens rencontrés dans cette école. Le théâtre de la compagnie sera résolument charnel, populaire, comique. Pendant dix ans, la Jacquerie est une troupe permanente qui sillonne la France sans véritable port d’attache. Les comédiens improvisent et des auteurs mettent cette matière en forme. C'est ainsi que l'écrivain Jean-Pierre Chabrol rencontre et accompagne la compagnie sur plusieurs créations, notamment Tit bonhomme l’est pas très mort en 1978 et Lumpen en 1980 qui auront un grand écho. La compagnie monte, à cette période, une petite forme théâtrale : Histoire du Théâtre Populaire qui tournera de nombreuses années dans toutes sortes de salles. Elle s’attachera toujours à rencontrer le public au plus près, notamment par le moyen de ses « petites formes ». En 1985, la Jacquerie s’implante dans le Val-deMarne, à Villejuif. Les comédiens changent, le metteur en scène devient le seul pivot de la compagnie qui aborde le répertoire à travers Molière, L’Ecole des femmes, Goldoni, Le Café, Romain Rolland, Robespierre, Hugo, Un œil profond dans l’ombre, Brecht , Maître Puntila et son valet Matti. Alain Mollot écrit son premier texte, Sur le sable, qu’il monte en 1993. En 1992, il travaille avec une nouvelle génération de comédiens dont il a été le professeur à l’école Jacques Lecoq, retrouvant ainsi l’improvisation comme base de création. De ce groupe vont naître les spectacles Croquis Marrants d’une vie redoutée et Cabaret Monstre. Alain Mollot rencontre des metteurs en scène d’Europe de l’Est avec qui il partage de nombreuses expériences. Après avoir utilisé la dérision pour dénoncer les méfaits de la société, il ressent à partir de ce moment-là, le besoin de s’attaquer aux “grands sentiments”. Alain Mollot a été co-directeur du Théâtre Romain Rolland de Villejuif de 2001 à 2010 Il commence par monter un mélodrame, Liliom, de Molnar et, à partir de 1999, avec une fidèle équipe de comédiens, construit le projet de « L’Epopée Quotidienne » en recueillant la parole des gens sur le thème du lien familial, qui aboutira sur le spectacle Roman de familles. Fort de ce succès, il est persuadé que c’est au cœur du plus intime qu’il faut se questionner. En 2003 il poursuit son exploration du quotidien pour aborder cette fois le thème du travail. Cela débouchera sur La Fourmilière qui intègre des comédiens venant d’autres horizons que l’école Lecoq. Parallèlement, il revient au texte en mettant en scène Le Manteau avec des comédiens rencontrés à l’Ecole nationale supérieure des arts de la marionnette où il a enseigné. En 2009, il monte La fin d’une liaison de Graham Greene en collaboration avec Jean-Pierre Lescot sur la mise en images. Il crée Res Publica, en 2011 à partir d’entretiens sur le thème de la nation, achevant ainsi la trilogie entamée avec Roman de familles et La Fourmilière. Ces dernières années, son travail rend compte d’un va-et-vient constant entre les spectacles créés à partir de témoignages et la mise en scène de grandes fables modernes. La fiction nourrit le réel et le réel la fiction. Les langages théâtraux s’entremêlent librement : jeux réalistes, masques, marionnettes, chansons. En 2013 Alain Mollot met en scène un texte d’aujourd’hui : La ville d’Evgueni Grichkovets. Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif. Tél 01 47 26 45 34 www.theatre-jacquerie.fr / [email protected] 4 L’EQUIPE A LA CONCEPTION RAYMOND SARTI, SCENOGRAPHIE Graveur et orfèvre de formation, son approche de la scénographie se veut d’être à la croisée des arts, c’est le théâtre qui initie cette recherche scénographique, et s’applique dans des domaines aussi différents que la danse, l’architecture, le paysage, le cinéma, le cirque, et les expositions. Il revendique l'éclectisme comme une des conditions de l'enrichissement intellectuel qui permet d'élargir l'angle de vue sur les sujets abordés. Il signe plus 135 scénographies pour le théâtre et la danse, une vingtaine pour les expositions, ainsi qu’une quinzaine de décors pour le cinéma. Au théâtre, il collabore avec Ahmed Madani, François Rancillac, Jean Pierre Rossfelder, Thierry Roisin, Guy Pierre Couleau, Pierre Santini, Jérôme Deschamps, Eugène Durif, Catherine Anne, Olivier Tchang Tchong, Guy Freixe…, NADIA LEON, COSTUMES ET ACCESSOIRES Formée à l’Ecole de la chambre syndicale de la couture parisienne et titulaire d’un diplôme de métier d’art en costumes, elle intervient depuis une vingtaine d’années dans le domaine du théâtre, de la danse et de l’opéra. Elle a notamment travaillé avec Vincent Collin, Thierry Collet, Hubert Jappelle, Béatrice Massin, Daniel Larieu, Paco Decina, Bruno Bayen et les compagnies Traffic de style et Deschamps. PHILIPPE LACOMBE, LUMIERES Il travaille depuis plus de vingt-cinq ans pour le théâtre (notamment avec La Jacquerie et du théâtre du Mouvement), la danse, la marionnette et l’opéra (Opéra National de Seoul). En suivant le processus de création aux côtés des initiateurs des différents projets, la lumière lui permet de se mettre au service de la dramaturgie afin d’en enrichir le sens. Sa rencontre avec Victoria Thierrée-Chaplin lui donne également la possibilité d’explorer le monde poétique et onirique du cirque allié au music-hall. Concerts de jazz, spectacles de variétés, musique électroacoustique, défilés de mode, viennent compléter son travail. GILLES SIVILOTTO, MUSIQUE Compositeur et Concepteur son, Gilles Sivilotto partage son temps entre écriture d’œuvres de concert, musique de scène (théâtre et danse), et musique pour les arts visuels (télévision, cinéma et jeux vidéo). Il a étudié la composition au CIRM (Nice), au California Institure of the Arts (Los Angeles), et à L’IRCAM (Paris), institutions où il a suivi les Cours de Michel Pascal, Mel Powel, Barry Shradder, Morton Subotnick, Tristan Murail et Brian Ferneyough. Il développe depuis 2011 un projet d’improvisation sur instruments electroniques en extérieur, dans des espaces publics tels que l’esplanade de la Grande Bibliothèque, le parc de Belleville, le Parc de Bercy et le Quartier de l'Horloge à Paris. Il travaille aussi en collaboration avec des artistes de tous horizons: Mathilde Monnier, Jacques Roubaud, Jean‐Louis Agobet, Reinhold Friedl et l’ensemble berlinois Zeitkrazer, Drew Neumann, Jean‐Luc Therminarias, Laurent Chambert, Alain Mollot, Marc Frémont, Camille Perraut et Laurence Renn. Il travaille avec la Jacquerie depuis 2001. Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif. Tél 01 47 26 45 34 www.theatre-jacquerie.fr / [email protected] 5 LES COMEDIENS BRUNO PAVIOT, SERGUEI Bruno Paviot a été formé au cours Florent puis à l’Ecole Nationale des Arts et Techniques du Théâtre (Rue Blanche). Au théâtre, il a joué dans une quarantaine de spectacles, sous la direction notamment de : Jean-Pierre Bouvier, Niels Arestrup, Anne Bourgeois, Jacques François, Nicolas Ducron, Stéphanie Tesson, Philippe Awat, Thomas Le Douarec, Justine Heynemann, Magali Léris, Adel Hakim… Au cinéma et à la télévision, il a tourné avec notamment : Marjane Satrapi, Jacques Maillot, Costa Gavras, Anne Fontaine, Sam Karmann, Laurent Tirard, Christophe Blanc, Virginie Sauveur, Yvon Marciano, Dominique Ladoge, Denis Dercourt, Sylvain Fusée, Joël Santoni… CECILE METRICH, TATIANA LA FEMME DE SERGUEI / ASSISTANTE A LA MISE EN SCENE Comédienne, issue de l’Ecole du Théâtre National de Chaillot, elle a travaillé avec Martine Harmel, Philippe Lecomte, Alain Gautré, Elisabeth Drulhe, Michaël Batz, Patrice Douchet, Delphine Augereau et Cécile Fraisse. Elle fait partie du collectif d’accompagnement d’auteurs A mots découverts depuis 2008 et participe régulièrement à une semaine consacrée à l’Ecriture théâtrale contemporaine, organisée par le théâtre de la Tête Noire, Text’avril. Elle met en scène également des publics amateurs adultes et adolescents. Elle a également assisté Alain Mollot sur la mise en scène de La Ville. PHILIPPE MILLAT-CARUS, L’AMI DE SERGUEI Formé au Conservatoire National de Région d'art dramatique de Grenoble puis à l'école Jacques Lecoq, il collabore régulièrement aux créations de La Jacquerie, dont il est un comédien de la première époque. A longtemps pratiqué le théâtre à domicile (T.E.P, Scène Nationale de Sénart), et affectionne le mélange des genres, du théâtre de répertoire (Lorenzaccio, Don Juan, Cyrano de Bergerac, la Cagnotte...) au théâtre contemporain (Tennessee Williams, Jean-claude Grumberg, David Mamet, Bernard Marie Koltès...). PIERRE TRAPET, LE PERE DE SERGUEI Formé au cours Simon et à l’Ecole Jacques Lecoq, il a créé dernièrement au Théâtre du Lucernaire à Paris son dernier spectacle Variations sur le rire. En interprète il a joué avec Justine Heyneman, Claude Brozzoni, Maurice Bénichou avec Fabrice Lucchini, JP.Tribout, Alain Mollot, Guy Rétoré, Benno Besson, Avron Evrard…etc. A la TV dernièrement (canal+) il tourne avec Patrick Grandperret. Il prépare son prochain spectacle « Techniciens de surface » et anime des ateliers sur le thème du rire et la vie quotidienne. Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif. Tél 01 47 26 45 34 www.theatre-jacquerie.fr / [email protected] 6 FRANCOIS ROY, LE CHAUFFEUR DE TAXI Il a eu pour maîtres Jacques Lecoq, Yoshi Oïda et Peter Brook. Il a joué au théâtre plus de 50 pièces notamment sous la direction de Jean-Pierre Miquel, Robert Hossein, Jacques Rosner, Jean-Paul Lucet, Yamina Hachemi, Alain Mollot, Gilles Zaeppfel, Sabine Stepanoff, Gérard-Henri Durand... ainsi que dans certaines de ses propres mises en scènes. Au cinéma il a tourné avec Claude Miller, Bernard Stora, Joseph Losey, Claude Zidi, Guy Lefranc, Frédéric Compain, Claude Dana, Olivier Schatzky, Julien Darras, Nicolas Birkenstock, Sébastien Grall, Alix Barbey, Hugo Chesnard. Il a tourné en Chine deux grandes séries TV et en Algérie avec Ahmed Rachedi. En 1981 il fonde sa compagnie L’Instant Théâtre et en 1989, il crée son théâtre La Maison de l’Acteur à Montrouge 92. En 2009, il fonde « La Forge des Mythes », collectif d’auteurs et de créateurs qui se consacre à revisiter toutes les mythologies dans des actes créateurs. EN COULISSES LAURENCE CLAUZEL, DIRECTRICE ADJOINTE Elle débute sa vie professionnelle en entreprise, dans des métiers tournés vers la relation commerciale dans le domaine de la gestion et des ressources humaines. Très vite, poussée par son goût prononcé pour les arts de la scène qu’elle a développé par une pratique assidue de loisir (théâtre et musique), elle choisit de rejoindre professionnellement le milieu du spectacle. D’abord chargée de diffusion pour plusieurs compagnies, elle rejoint la Jacquerie en 2001 comme chargée de production puis devient très vite administratrice. Elle est désormais directrice adjointe de la compagnie à mi-temps. Elle est par ailleurs secrétaire générale du Groupe des 20 théâtres en Ile-de-France, collectif de directeurs de théâtres dont la mission est de soutenir la création contemporaine. FREDERIC RUIZ, REGISSEUR GENERAL Depuis 1986, il exerce le métier de régisseur lumière et général, porté depuis toujours par le théâtre et la danse. A travers cette profession, et grâce aux metteurs en scène, aux chorégraphes, ou encore aux artistes, connus et moins connus avec qui il parcourt les routes, il essaie, par une approche humaine, technique et logistique, de partager le fruit de cette culture du spectacle vivant qui nous est précieuse. Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif. Tél 01 47 26 45 34 www.theatre-jacquerie.fr / [email protected] 7 LA PRESSE Extraits de presse des spectacles précédents. RES PUBLICA LA FOURMILIERE Les comédiens, tous excellents, poussent la roulotte de leur spectacle jusqu’à Avignon, avec une pêche d’enfer. Alain MOLLOT signe une création très conviviale, instructive et éloquente, tout public. Evelyne Tran, LE MONDE Les sept comédiens multiplient les rôles et incarnent ces éclats d’humanité avec une aisance protéiforme consommée et une très belle maîtrise du jeu. Pariant sur le simple sans tomber dans les pièges du simplisme, ce spectacle contribue en beauté à l’histoire des travailleurs. Catherine Robert, LA TERRASSE Sur le plateau vont défiler les principaux épisodes de l’histoire de France, finement mis en scène et interprétés avec brio. Pour ce faire, les acteurs présents (des rois du transformisme) se cachent derrière leurs bureaux d’où ils ressortent en nouveaux personnages à chaque époque historique donnée. Quant au professeur, il revient sur scène afin de permettre le passage d’une tranche d’histoire à une autre. La ronde est ainsi parfaitement maîtrisée Jack Dion, MARIANNE Un rythme soutenu, une belle mise en scène autour de quelques accessoires, une belle présence des 5 acteurs, des figures bien typées et croquées avec précision: le public se régale et rit beaucoup. Quelle belle fresque de l'histoire de France et quelle magnifique leçon de civisme et d'humanité tout simplement. Geneviève Dewulf, VAUCLUSE MATIN LA FIN D’UNE LIAISON Alain Mollot (trente-cinq ans de recherches sur les images scéniques) adapte et met en scène cette histoire avec un sens aigu de l’espace vide et de la place qu’y prennent les corps des acteurs. [...] Cinq acteurs qui jouent le ballet des émotions humaines (haine-amour, désir-jalousie, désespoir et pulsion de vie malgré tout). Yola Buszko, alias Sarah, électrise le plateau et se montre grande amoureuse. Emmanuel Depoix en Bendrix a le sourire amer et cynique qu’il faut. Les autres ont travaillé leurs personnages comme des archétypes. Emmanuelle Bouchez, TELERAMA Alain Mollot réussit une superbe adaptation du roman de Graham Greene, magnifiée par la mise en espace et en images de Jean-Pierre Lescot, véritable magicien du théâtre d’ombres Corinne Nèves, LE PARISIEN LE MANTEAU Alain Mollot et ses camarades du Théâtre de la Jacquerie présentent une adaptation saisissante du Manteau. C'est une sarabande de surprises, vous n'en croyez pas vos yeux, c'est formidable. (…) C’est une merveille, vraiment. Michel Cournot, LE MONDE Une histoire pour rire et pour pleurer, voire pour frissonner, qui emprunte tour à tour aux registres du roman réaliste, de la comédie sociale et, pour finir, du conte fantastique. Jaillissement constant d’invention, renouvellement incessant des plans, des cadrages, virtuosités des interprètes… Il y a un travail énorme derrière ce divertissement. Dominique Jamet, MARIANNE ROMAN DE FAMILLES Une pure merveille. Un spectacle, qui, sans tenter de reproduire à l’identique les conversations qui lui ont donné naissance, transcende des instants de vie et devient du théâtre. Un spectacle émouvant et magnifique. André Fetet, ZURBAN Roman de familles est un feu d’artifice d’émotions, l’épatante théâtralisation d’un vécu qui, derrière son apparente banalité, pose effectivement quelques unes des grandes questions sociétales du moment. Roman de familles est un spectacle juste, touchant, drôle, visuellement riche en trouvailles, servi par des comédiens incroyablement inventifs. Stéphane Bugat, L&A THEATRE Théâtre de la Jacquerie. Venelle du vieux bourg . 94800 Villejuif. Tél 01 47 26 45 34 www.theatre-jacquerie.fr / [email protected] 8