Untitled - Cie La Bobine

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Untitled - Cie La Bobine
LA COMPAGNIE LA BOBINE
Née en 2007 dans la continuité du travail de Marie Rouge, la compagnie La
Bobine est un espace d'échange, de réflexion et de création autour de l'humain et
de sa société.
La compagnie met en forme ses réflexions dans des créations visuelles,
travaillant le symbolique, emmenant le spectateur dans un univers d'images
polysémiques, souvent esthétiques, toujours chargées et sensibles.
L'intime est au centre de ses spectacles, ce qui est au cœur de l'homme, le fait
exister individuellement et collectivement.
Nous travaillons sur des dispositifs de proximité au public, que ce soit dans le
choix des lieux de représentation ou dans la scénographie.
La Bobine imagine des moyens d'exprimer, de représenter ses questionnements
en faisant appel à plusieurs disciplines du spectacle vivant. Elle regroupe des
professionnels du spectacle vivant, comédiens, danseurs, marionnettistes,
vidéastes, plasticiens, techniciens,... dans le sillage de sa recherche.
LE CABARET DES SOLITUDES
LE PROPOS
L'intime créateur ou l'expression des singularités.
Aujourd'hui, on étale les performances, on cherche la nouvelle star, on déballe
les humains comme des monstres de foire. Où est le petit, le minuscule,
l'essentiel ? Où est l'intime ?
Avant de chercher le trop grand, trouvons l'infime.
« Le Cabaret des Solitudes » questionne notre petit théâtre intérieur.
Loin des regards, dans son salon, sa cuisine, son intimité, où notre solitude nous
permet-t-elle de partir ?
Ce spectacle interroge les parts de nous même que l'on cache, que l'on n'ose pas
montrer, parce que ça ne se fait pas, parce qu'on se demande ce que d'autres vont
en penser.
Ici, les solitudes sont des moments précieux où l'on s'approprie le monde, où on
le digère, on le transforme, on se transforme.
Nos solitudes sont des nécessités, pleines de nos envies et de nos fantasmes.
DE L'INTIMITÉ AU SPECTACLE
L'infiniment petit devient infiniment grand.
Il y a la grande histoire. Les événements majeurs, tragiques, les révoltes et les
révolutions. Il y a les gloires et les déboires de l'Homme.
Et il y a les petites singularités, les désirs secrets, ce que l'on garde, ce que l'on
est au fond.
En tout homme est un créateur, un joueur, par qui le monde passe et se
transforme. Le « Cabaret des Solitudes » regarde le monde dans toute sa
complexité, dans toute sa diversité, par le petit bout de la lorgnette.
LES CRÉATURES DU CABARET
Dévoilement de petits bouts d'humanité qui se croisent et se rencontrent.
Dans les rues, dans la vie de tous les jours, les personnages de notre cabaret
passent inaperçus.
Quand ils sont seuls, dans les interstices de leur quotidien, ils jouent, se
transforment, se révèlent. Chacun a son jeu, hors des conventions, se laissant
lâcher prise l'espace d'une solitude.
Puis un jour, ces petites choses que nos personnages font lorsqu'ils sont seuls
prennent trop de place. Ils veulent les partager. Ce qui nécessitait la solitude
pour exister demande à s'ouvrir, à se confronter au monde. Comment le monde
les accueillera, eux qui osent se montrer dans leurs désirs, leurs singularités
cachées ?
Voici donc notre cabaret.
Ils sortent. Ils viennent pour la première fois dévoiler leur face cachée. Ici, dans
une rue, un parc, une cour d'école, là où le monde passe et vit sa vie sociale, ils
viennent à la rencontre d'autres solitudes.
Ils se métamorphosent pour devenir créatures de cabaret et présenter leurs
numéros à un public qui, peut-être, leur ressemble.
Le cabaret est une porte sur l'intime.
UNE SCÉNOGRAPHIE POUR L'ESPACE PUBLIC
« Scène ouverte des petits travers », espace original et itinérant.
Lorsque l'on dévoile de l'intime sous forme de cabaret, il faut à la fois un endroit
chaleureux, protégé, mais aussi un espace visible, une vraie scène de spectacle,
quel que soit le lieu où il se joue.
Le « Cabaret des Solitudes » se déplace de ville en ville, de place en place, pour
accueillir les solitudes. Sorte de « scène ouverte des petits travers », le décor est
conçu pour que nos personnages se sentent en confiance pour partager leurs
solitudes mais se colore également des environnements dans lesquels il se pose.
L'espace scénique est un plateau circulaire de 5,5 mètres de diamètre.
Les spectateurs sont installés sur les trois quarts du pourtour.
En fond de scène, un décor sert de coulisses. La structure évoque un abri de
fortune, une cabane, un objet (peut-être bien volant, qui sait?) non identifié,
construite d'éléments épars qui forment un tout cohérent. Il représente les
obsessions des personnages, l'itinérance, les villes qu'il a traversées, les solitudes
qu'il a rencontrées.
La jauge est estimée à environ 200 spectateurs.
LE CERCLE
Mise à nu en toute intimité.
C'est une arène. Nul coin où se protéger, se cacher. Observé de tous côtés, c'est
le dévoilement en trois dimensions de l'interprète et de son personnage. Tous
voient et sont vus, à la fois menace et protection.
Le spectateur voit la scène, et au delà les autres spectateurs, et au delà l'espace
public, urbain ou rural, végétal ou minéral.
Le cercle représente le tout fini et infini, l'unique et le multiple, le temps, la
Terre, l'intime, le cœur.
Dessin préparatoires de Julien Léonhardt, scénographe-constructeur.
LA LUMIÈRE
D'une ambiance neutre à un véritable cabaret.
Le spectacle peut être joué en journée. Dans le cas d'une représentation en
soirée, la mise en lumière évolue du brut à une ambiance digne d'un véritable
cabaret, afin que les créatures en piste se dévoilent et se laissent aller au
spectacle.
UN THÉÂTRE ITINÉRANT
Un spectacle au plus proche du public.
Le propos du « Cabaret des Solitudes » nous incite à proposer le spectacle en
itinérance, dans l'esprit du théâtre de tréteaux. On s'installe où il y a un espace
pour présenter nos créatures et leurs solitudes, petits monstres de foire : là où se
déroule le quotidien, dans des lieux de mémoire, de vie.
La scénographie permet de créer un lieu privilégié où l'intime trouve sa place,
de favoriser l'écoute et le dévoilement.
Nous voulons proposer nos solitudes dans des espaces où le spectacle n'est pas
une habitude, avoir la liberté de poser notre cabaret partout où il y aura un
public pour l'accueillir, changer d'atmosphère et questionner nos créatures de
lieu en lieu, un même cabaret sur diverses toiles de fond.
Sortie de résidence Saint Julien Molin Molette, août 2012.saison
2012/2013 :
IMAGES DE PRESENTATIONS DE TRAVAIL EN COURS
Voici quelques images de présentations de travail en cours sur la saison 2012/2013 :
©Julien Léonhardt
Sortie de résidence Saint Julien Molin Molette, août 2012.
©Quelques p'Arts...
Sortie de résidence de diffusion « Quelques p'Arts... Scène Rhône-Alpes », Saint Symphorien de Mahun, mai 2013
L'ÉQUIPE
MARIE ROUGE (COMÉDIENNE ET METTEUR EN SCÈNE)
Parallèlement à des études à l'Institut d’Études Politiques de
Lyon, Marie se forme au métier de comédienne par de
nombreux stages. Elle assemble un patchwork de compétences
: mouvement, clown et mime, marionnette ou théâtre d’objets.
Elle a travaillé notamment avec le Voyageur Debout ou Lory
Leshin sur le clown, le Théâtre du Mouvement à Lyon sur le
corps, la FAI AR sur les arts de la rue, Christian Carrignon sur
le théâtre d'objets, François Lazaro sur la marionnette,
Norman Taylor sur le mime,...
Sa rencontre avec Alexandre Del Perugia, avec
lequel elle a suivi trois stages sur divers axes de travail, a orienté sa recherche
vers un théâtre simple et sincère, dans lequel le jeu et le joueur prennent une place
essentielle.
Elle collabore à de nombreux projets théâtraux et pluridisciplinaires depuis 2002
avec les compagnies Persona, Peut-être, Intrigant's Compagnie, Noir-Clair, la
Batahola de la Pintura...
En 2004, elle participe à la création d'Amphigouri Théâtre.
En 2007, elle crée La Bobine afin de poursuivre sa recherche autour de l'humain
et de la société par la création de spectacles pluridisciplinaires.
Elle met en scène “Mille e Tre”, spectacle sur les femmes de Don Juan et
“Eclosion de Clown”, spectacle jeune public.
Elle fait appel à Lionel Ménard pour mettre en scène deux monologues de Daniel
Véronèse dans lesquels elle joue : “Adela” et “Luisa”.
Pour la compagnie Tocadame, elle co-crée en 2010 le spectacle jeune public
danse-théâtre “Oh ! Loup”, autour le loup dans les contes.
Elle anime également plusieurs ateliers de théâtre et a obtenu en 2008 le Diplôme
Universitaire “Soin Psychique, Créativité et Expression Artistique”.
Et surtout, elle étale toujours la confiture jusqu'au bord de la tartine.
ANDRÉANE JENATTON (DANSEUSE)
Andréane se forme en danse contemporaine et
classique chez Michel Hallet Eghayan, puis chez
Kilina Cremona. Elle obtient en parallèle une licence
de psychologie à l'Université Lyon2.
Elle enrichit son travail avec des stages dans des
disciplines complémentaires : théâtre, composition
instantanée, butoh, yoga, chant, Feldenkrais.
En 2005, elle devient l’une des chorégraphes du Collectif Présente. Elle
développe ainsi un travail de performance improvisée en milieu extérieur ou sur
scène, ainsi que des vidéos danse.
Elle fonde en 2010 la compagnie Tocadame pour affiner sa démarche personnelle
et crée avec Marie Rouge le spectacle jeune public danse-théâtre “Oh ! Loup”,
autour le loup dans les contes.
Elle danse et joue dans plusieurs compagnies : Artworks, Skerzo, Pierre Deloche,
Zanka, les Lutins réfractaires, Noir Clair,...
Depuis 2007, elle collabore avec Marie Rouge dans la compagnie La Bobine.
Andréane développe un travail pédagogique pour les enfants et adolescents.
Depuis 2009, elle enseigne la danse contemporaine à des adultes au sein de
l'association LalYre, et chorégraphie depuis 2011 pour la compagnie LalYre.
Elle a suivi la formation du diplôme d'état de professeur de danse contemporaine
au Centre National de la Danse de Lyon qu'elle a obtenu en 2012 et intervient en
milieu scolaire dans plusieurs départements (01, 69, 74) où elle est agrémentée.
Ne peut pas sortir sans au moins trois sacs.
STÉPHANE GUILLAUMON (COMÉDIENNE)
Stéphane se forme de 1992 à 1996 au théâtre de
L'Ambroisie à Paris selon la méthode de J. Grotowski,
avec C. Ehrardt, vers une approche du théâtre par le
corps.
Elle participe ensuite à divers projets dont le collectif du
Théâtre Sans Nom (créations/ performances/ spectacles de
rue), " Utérasia" et "Un siècle d'amour" de K. Prugneau,
un laboratoire d'acteur dirigé par J.M Potiron autour de
"La mouette" de Tchekhov, "Les Bonnes" de J. Genet mis en scène P. Heirtz, le projet
"Kermesse" mis en scène par J.L. Sackur au Centre Théo Argence (St Priest ).
Elle crée des lectures poétiques accompagnées de musiciens : "Dire le bleu",
"Poésie et Jazz", "Histoires d'hommes" et participe à la mise en voix des œuvres :
"Le cercle des représailles" dirigé par A. Laforce, "Wagon" dirigé par J.L. Sackur.
Elle crée "Être", petite forme mêlant univers sonore et partition physique autour
de l’œuvre de Maillol.
Actuellement elle travaille pour La Myrtille Sauvage pour le spectacle jeune
public"Baba-Yaga" et une lecture d'appartement "Lettres à un jeune poète" de
Reiner Maria Rilke mise en scène de B.Kôhl.
Ne survit pas au delà de deux jours sans fromage et chocolat (ensemble ou
séparément).
RAPHAËL GOUISSET (COMÉDIEN)
Raphaël Gouisset est né en 1984. Comédien, auteur et
metteur en scène, il obtient en 2006 son D.E.T. (Diplôme
d’Études Théâtrales) au conservatoire de Villeurbanne
(direction Philippe Clément). En 2007 il est licencié en Arts
du Spectacle à l’Université Lyon 2.
Raphaël s’est également formé auprès d’Alexandre Del
Perugia, Alexis Tikovoï, Pierre Terzian, Pierre Kuentz,
Julian Boal, Emma Utgès, Philippe Giordani…
En 2008, avec une danseuse et un musicien, il
fonde
le
Collectif
ppcmART,
collectif
interdisciplinaire, sous l’étiquette duquel il travaille ses projets personnels.
En tant que comédien, Raphaël a croisé la route de la Face Nord Cie, de la Cie du
Théâtre de l’Iris, de la Cie Pas d’Ici, du collectif Polycarpe… et dernièrement de
la Bobine.
Il danse depuis 2007 sous la direction de la chorégraphe Maryann Perrone et
monte des performances jouées à l’étranger alliant danse et théâtre.
Il intervient également régulièrement auprès de public scolaire ou amateur.
En tant qu’auteur Raphaël a écrit les textes de Comme un Gant, Bulle de Son
(Collectif ppcmART), Six Doors, Flashback & Fastforward (Maryann Perrone)…
ll travaille actuellement une pièce sur les rapports virtuels, intitulée You, Me, Our
Love, And The Electronic Guy.
En 2009, Raphaël met conjointement en scène Jazz Dans le Ravin (set de jazz
autour de Gainsbourg – prod. collectifs Polycarpe et ppcmART et Amphithéâtre
de l’Opéra de Lyon), en 2010 Émile et Angèle Correspondance (ppcmART), pièce
dans laquelle il est également comédien.
Pour finir, il ne peut vivre sans café et crème de marron.
JULIEN LÉONHARDT (SCÉNOGRAPHIE)
Scénographe-constructeur, Julien Léonhardt apprend ce métier depuis 15 ans au
sein de plusieurs compagnies
Inscrit à l'école des beaux Arts de Saint-Étienne en 1997 (après une licence
d'histoire de l'art à Lyon II), élève de la section "art", il participe à des workshops
de la section "design" afin de connaître d'autres approches (techniques et
réflexives) de l'objet et des espaces. Il obtient son DNAP en 2000.
Dès son arrivée à Saint-Etienne il travaille à l'élaboration et à la construction de
décors, d'abord avec Coxa-Plana (courts et moyens métrages, ouverture de lieux
de diffusion cinématographique) puis avec différentes compagnies théâtrales
(A.O.I. , La Querelle, La quincaillerie moderne, Compagnie Théâtre de l'Eskabo,
Improcom, La bobine, Pixel 13...).
Construire un décor est pour lui comme l'élaboration d'un personnage. Le travail
avec le porteur de projet (metteur en scène, chorégraphe ou autre) est basé sur un
échange d'images, d'histoires, de références, qui mènent à des tentatives, des
propositions que l'on épure jusqu'à la concrétisation et qui continue souvent
pendant les répétitions.
ALEXANDRE DEL PERUGIA (CONSEIL ARTISTIQUE)
Après le professorat d'éducation physique, Alexandre Del Perugia s'est orienté
vers le spectacle.
Artiste, chercheur, pédagogue du mouvement, il est un ancien élève du
conservatoire national du cirque et du mime (carré Sylvia Monfort).
Sa pratique de la planche à voile et des jeux de compétition l'ont conduit à
poursuivre sa recherche sur les éléments air et eau, et à introduire dans sa
pédagogie un nouveau rapport au jeu (jeu de cirque, jeu de l'acteur, jeux de corps,
jeux d'enfants, plaisir du jeu) ainsi qu’un nouveau rapport à la pesanteur et à
l'équilibre pour les mettre au service du spectacle vivant, et du cirque en
particulier.
Après avoir travaillé à l'Opéra de Paris de 1985 à 1988, notamment avec Antoine
Vitez, Alexandre Del Perugia fonde le "Théâtre école du passage" avec Niels
Arestrup.
Il crée "Projections", un espace de recherche autour des jouets du cirque avec de
jeunes comédiens et acrobates et en 1995, "Regards et mouvement" à
Pontempeyrat, dans le Forez, "lieu sédentaire pour nomades", lieu d'accueil, de
formation, de recherche et d'expérimentation. Il travaille avec Régine Chopinot
dans "Chair obscur", avec la compagnie DCA de Philippe Découflé, et d'autres
encore...
Alexandre Del Perugia fait de la préparation corporelle pour des comédiens, tels
que Denis Lavant, Juliette Binoche, Anna Mouglalis, Isabelle Otero, François
Clavier, ...
Son parcours le conduit également à donner des cours au Conservatoire national
d'art dramatique ainsi qu'à mener de nombreux stages auprès de comédiens,
danseurs, chanteurs lyriques, rappeurs, etc.
Il intervient également à l’étranger : Canada, Venezuela, Pérou, Allemagne,
Suisse, Danemark…
MAGALI LARCHÉ (CRÉATION LUMIÈRE)
Magali fait ses débuts en administratif de compagnie, à la suite d'une
formation initiale en BTS Audiovisuel, elle se tourne rapidement vers la
régie technique, tout d'abord sur le tas avec 3 ans de tournées en régie lumière
avec Entre 2 Caisses et en remplacement pour divers groupes de musique.
(Evasion, Joyeux Urbains...).
Elle alterne diverses expériences sur des festivals dans les domaines du Cinéma et
des Arts Vivants en régie lumière ou en logistique (APSOAR, Fête du
Panier, festival du 1er film ...).
Elle se perfectionne avec une formation de Régisseur à l'ISTS, ajoutant une corde
à son arc, la régie plateau. Elle continue les tournées en régie lumière en concert
et s'oriente également vers le théâtre et la danse.
Elle travaille aujourd'hui régulièrement avec plusieurs compagnies de musique, de
théâtre, de danse et d'arts de la rue en régie lumière, plateau et en création (cie la
Bobine, cie les Décatalogués, Vocal 26, CCNO, Davy Brun, Olivier Rey,...).
CALENDRIER DE CRÉATION
2011/2012 – CABARET DES SOLITUDES #1
Première étape de travail avec la création de la structure et l'exploration des univers des interprètes.
Répétitions :
Du 1er au 5 novembre – résidence à la friche Lamartine, chez la compagnie Albatros.
Du 23 au 28 janvier – résidence d'écriture à « Quelque p'Arts... Scène Rhône Alpes » à
Boulieu les Annonay (07).
Du 10 au 14 avril – résidence au CCO de Villeurbanne (69).
Du 4 au 8 juin – résidence à la compagnie Les Yeux Gourmands à Bassens (73).
Du 30 juillet au 3 août – résidence chez Fred Radix à Saint Julien Molin Molette (42).
Présentations de travail en cours :
Le 8 juin à la compagnie Les Yeux Gourmands (CHS de Bassens – 73).
Le 16 juin à la salle des Rancy (Lyon 3ème).
Le 3 août à Saint Julien Molin Molette (42).
Le 4 août au festival le ChaM à Néronde (42).
2012/2013 – CABARET DES SOLITUDES #2
Répétitions :
Du 12 au 15 octobre – résidence à la friche Lamartine, chez la compagnie Albatros.
Du 25 au 30 mars– résidence à la compagnie Les Yeux Gourmands à Bassens (73).
Du 13 au 18 mai – résidence à la friche Lamartine, Lyon.
Du 20 au 26 mai – résidence de diffusion à « Quelque p'Arts... Scène Rhône Alpes » à
Boulieu les Annonay (07).
Sortie du spectacle au printemps 2013 dans le cadre de la résidence de diffusion à « Quelque p'Arts...
Scène Rhône Alpes ».
PARTENAIRES
Quelques p'Arts... Scène Rhône-Alpes (Boulieu les Annonay - 07)
CCO de Villeurbanne (69)
Maison Pour Tous – Salle des Rancy (Lyon - 69)
Compagnie Les Yeux Gourmands (Bassens - 73)
CONTACT
Compagnie La Bobine
Siège social : 39 rue Georges Courteline – 69100 VILLEURBANNE
Adresse de correspondance : 54 rue Waldeck Rousseau – 69006 LYON
tél. 04 37 24 37 51
mob. 06 85 90 71 53
[email protected]
Diffusion :
06 85 14 46 58
[email protected]
Site internet
http://www.cielabobine.fr

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