42013 - L`union européenne est
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42013 - L`union européenne est
Lettre numérique de l’Alliance Sociale des peuples et des pays de France n° 4/2013 www.alliance-sociale.fr/ L’Union européenne est-elle une colonie américaine ? Le titre peut choquer. Mais qu’est-ce au juste qu’une colonie ? Tous les médias – et les livres d’histoire des écoles – nous persuadent que le colonialisme n’existe plus, à tel point qu’on se demande pourquoi ce mot figure encore dans le dictionnaire... Une colonie – rappelez-vous – est un pays qui est soumis à un autre. Cela signifie que cet autre l’administre et décide, sans consultation de sa population, ce qui est bon pour lui. Voyons ce qu’il en est des relations entre les Etats-Unis et l’Europe dans le domaine financier. Ce n’est pas parce que l’Union Européenne dispose de sa propre monnaie, l’euro, qu’elle est maître de sa monnaie. D’une part parce que, depuis les accords de Bretton Woods du 22 juillet 1944, les 44 nations alliées ont décidé qu’il y aurait une et une seule monnaie d’échanges internationale, le dollar. A l’époque, le dollar était indexé sur l’or mais, en 1971, les USA ont décidé unilatéralement la non convertibilité du dollar en or. Par conséquent, lorsque EADS signe un contrat de vente d’AIRBUS avec l’Inde, par exemple, ce sont les Etats-Unis et non EADS qui décident du prix, tout simplement parce qu’entre le moment de la vente et la livraison, la valeur du dollar a fondu du fait que la Banque centrale américaine a fait marcher la planche à billets et a ainsi dévalué cette monnaie. D’autre part parce que, lorsque les Banques centrales affirment être indépendantes, c’est totalement faux. Par exemple, George Osborne, le ministre des Finances du Royaume Uni, a fait tout ce qui était en son pouvoir pour faire venir de Toronto Marc Carney, un ancien de Goldman Sachs qui a déjà évoqué la nécessité d'adopter rapidement des mesures plus accommodantes, à savoir des taux d'intérêts bas associés à une batterie de mesures d'assouplissements comme ceux dont on entend parler depuis le début de la crise. C'est ce qu'attendent les investisseurs. C'est ce qu'attendent les banques. Mark Carney, nouveau directeur de la Banque Centrale du Royaume Uni, préside à Bâle depuis 2011 le Bureau de Stabilité Financière où se retrouvent la Banque Mondiale, le FMI, l’OCDE, la BCE, la Commission Européenne et la Banque des Règlements Internationaux (BRI). Il a succédé à ce poste à un certain Mario Draghi, actuel président de la BCE. Il appartient au « Group of Thirty » (G30), qui est un lobby financier,. Mark Carney était un des invités de la session 2012 du Bilderberg et il est membre de la Trilatérale, deux clubs de pensée qui, avec le CFR, regroupent les puissants des mondes économique et financier des cinq continents. Nous ne sommes pas loin du gouvernement mondial ! Mario Draghi fait partie du G30. Auparavant il était chez Goldman Sachs. Etait aussi à la BCE Ottmar Issing, longtemps chef économiste et conseiller d’Angela Merkel. Aujourd’hui il conseille Goldman Sachs. Voici maintenant d’autres exemples. Le chef du Business International de Goldman Sachs est Peter Sutherland. C’est un ancien commissaire de l’Union Européenne. Il est aussi membre de la Trilatérale, un club de pensée de 300-400 membres avec beaucoup de pouvoir. Ainsi en font partie Lucas Papademos, chef du gouvernement provisoire grec et Mario Monti, ancien premier ministre italien, tous deux anciens de Goldman Sachs. En fait également partie Paul Wolfowitz, qui était le chef de la Banque Mondiale. Son successeur est Robert Zoellick, qui était auparavant chez Goldman Sachs. Il est aussi membre du G30 et de la Trilatérale. Se retrouvent au G30 Paul Volcker, Alan Greenspan, Jean-Claude Trichet (ancien directeur de la BCE et actuel président du G30), Mario Draghi, William Dudley de la FED (ancien directeur administratif de Goldman Sachs), Stanley Fisher (président de la Banque d’Israël et ancien directeur général du FMI), Paul Krugman, Lawrence Summers, Jacques de la Rosière, etc. Nous comprenons donc maintenant que les banquiers centraux ne sont que des marionnettes au service des politiciens et qu’ils acceptent les yeux fermés de mener des politiques monétaires dignes de bien des républiques bananières. « Un petit chez soi vaut mieux qu’un grand chez les autres ». La Suisse, la Suède, l’Islande et d’autres sont plus efficaces économiquement que l’Union Européenne. C’est pourquoi la France doit sortit de l’Union européenne, sortir de l’euro. Georges Tartaret L’As de Trèfle 4/2013------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 1/4 Travail et relations sociales : les « Propos d’Oscar L. Barenton, confiseur » Il existe une multitude d’ouvrages plus ou moins doctes et savants traitant de l’homme au travail. Les uns s’intéressent davantage à l’aspect contractuel. D’autres, moins nombreux sauf dans les milieux catholiques, essaient de cerner ce qui permet à la fois la bonne marche de l’entreprise et la satisfaction des besoins matériels et spirituels de ses collaborateurs. Un ancien industriel, polytechnicien, s’est dit que ce sujet plutôt austère pouvait être traité sur un mode plaisant : Auguste Detoeuf, fondateur et directeur de la société Alsthom entre les deux guerres, publia en 1948 les « Propos d’Oscar L. Barenton, confiseur » dans lequel il rassemblait les réflexions que lui avait apportées sa vie professionnelle. Même si certains passages peuvent ne plus être d’actualité avec la mondialisation accélérée que nous connaissons, l’essentiel de l’ouvrage, constitué de textes assez courts, reste frappé au coin du bon sens professionnel. En voici quelques exemples : ► Sur le travail : « Ce n’est pas au pied du mur qu’on connaît le maçon, c’est tout en haut » « Mauvais ouvrier n’a jamais trouvé bon outil. Mauvais patron n’a jamais trouvé bon ouvrier » « Pour diriger, il faut connaître les hommes. Pour connaître les hommes, il faut les écouter » « On a souvent plus de peine à persuader ses inférieurs qu’à convaincre ses supérieurs. Il est vrai qu’on s’y donne moins de mal. » « On fait tout avec de l’argent, excepté des hommes » « Bon sens et logique : un chef Bon sens sans logique, un employé Logique sans bon sens : une catastrophe, de là l’échec de beaucoup de polytechniciens » Nota : A l’époque, l’ENA n’existait pas. « Réfléchir : attendre quelques jours avant de ne pas changer d’avis » « théoricien : individu qui n’est pas de votre avis » ► Sur l’homme en général : « Les homme se répartissent naturellement en trois classes : les vaniteux, les orgueilleux et les autres. Je n’ai jamais rencontré les autres. » « L’homme expérimenté ne sait pas qu’il l’est » « On commence sa vie avec des convictions, on la fait avec des principes. » « Il est commode d’avoir des principes vis-à-vis des autres ; vis-à-vis de soi, il est plus pratique d’avoir du bon sens… Mais c’est moins facile » « Beaucoup de médiocres réussissent. La médiocrité rassure » « Un homme ne commence à savoir si on l’a bien ou mal traité que lorsqu’il sait comment on a traité son voisin » ► Sur le monde financier : « Un industriel place son argent ; un banquier le déplace » « Un aventurier est toujours de bas étage ; s’il était de haut étage, ce serait un homme d’affaires. » « Un idiot riche est un riche ; un idiot pauvre est un idiot ; « Il y a peu d’affaires qui ne soient bonnes quand elles ont un homme à leur tête ; mais il y a peu d’affaires qui aient à leur tête un homme » Pour terminer ces quelques extraits d’un livre de plus de 200 pages, cette réflexion tellement d’actualité : « Dans un pays sain, l’opinion est favorable aux vertus sociales : honneur chez les aristocrates, honnêteté chez les bourgeois, loyauté parmi le peuple. Si elle cesse de les honorer, c’est que le pays est malade. » Arnauld de Ledinghen ► Quelques définitions : « Consulter : façon respectueuse de demander à quelqu’un d’être de votre avis. « (n’est-ce pas aussi une définition applicable à nos gouvernants ?) Le retour de l’économie sociale et solidaire L’économie sociale recouvre une longue tradition de réflexion sociale que nous avons trop désertée et qui reste à reconquérir. D’une façon générale, elle regroupe les associations, les mutuelles, les coopératives et les fondations. Elle fut, à l’origine, une réponse au capitalisme industriel du XIXe siècle. On peut faire remonter ce concept à Frédéric Le Play (1806-1882) qui fonda en 1857 la « Société internationale des études pratiques d’économie sociale ». C’est également au XIX e siècle que les mutuelles, les coopératives et les syndicats acquirent une reconnaissance légale. Le concept d’économie sociale fut reconnu en France par décret en 1981. Il se définit surtout par ses règles et ses institutions. Les établissements d’économie sociale se distinguent par leurs normes d’administration qui obéissent au principe démocratique d’une voix par personne, indépendamment de l’apport en capital, de gestion avec un profit limité, et leur but à caractère social. L’As de Trèfle 4/2013------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 2/4 L’économie solidaire, souvent associée à l’économie sociale, est un concept plus récent qui regroupe des activités d’insertion sociale et économique, de lutte contre l’exclusion et de développement local. Elle peut recouvrir les secteurs privés, publics et non monétaire. On peut citer dans le secteur de l’économie solidaire, les systèmes d’échanges locaux (SEL), les réseaux d’échanges du savoir (RES), les Barter (WIR). L’Association pour le droit à l’initiative économique (ADIE), les clubs d’investissement et de gestion locale de l’épargne (CIGAlE) sont présentés comme des instruments de finance participative. - Le SEL est un système de troc multilatéral qui a pour objectif d’améliorer le pouvoir d’achat de ses participants. Il réunit des fournisseurs et des acquéreurs de biens et services qui échangent avec des bons qu’ils émettent librement et acceptés par tous. Le RES procède du même mécanisme. - Le Barter est un système de troc entre entreprises. Il commença à se développer en Europe dans les années 1980. Le barter le plus connu reste la banque WIR en Suisse (Bâle) qui, créée dans les années 1930, continue à financer de nombreuses PME/TPE. - L’ADIE fondée en France par Maria Novak s’inspire de la Grammen bank de Mohamad Yunus à l’origine des microcrédits. Dans son principe, il s’agit de constituer des groupes d’épargnants qui prêtent des petites sommes à des emprunteurs. Ces micro-prêts ne leur sont délivrés que si les précédents emprunteurs respectent leurs engagements de remboursement. Epargnants, emprunteurs et postulants se réunissent régulièrement pour vérifier le bon déroulement des opérations. On dit que la micro-finance bénéficie d’un taux d’impayés moindre que les autres financements classiques. - Les CIGALE sont des clubs de particuliers qui s’engagent à épargner et à investir dans des activités et entreprises de proximité. - La finance participative regroupe un ensemble d’instruments qui respectent un circuit court entre l’épargnant ou le donateur et l’emprunteur. Par exemple, un donateur offre un million à une ville, il aura en contredon un banc public à son nom. Ce sont des techniques ancestrales qui nous reviennent des Etats-Unis et que la France redécouvre depuis les années 2000. On inscrit la finance participative dans le cadre de la « consommation collaborative. » On y incorpore différents instruments de financement plus ou moins institutionnalisés comme le prêt entre particuliers (peer-to-peer lending), la collecte ou le don (crowfunding), l’investissement en capital (equity crowfunding), la microfinance. Enfin, certains auteurs ont voulu institutionnaliser ces activités d’économie sociale et solidaire dans un « Tiers secteur ». - Le concept de Tiers-secteur est notamment soutenu par Alain Lipietz, Pour le Tiers secteur. (L’économie sociale et solidaire : Pourquoi et comment ? La Documentation française et La Découverte 2005.) Il regroupe des activités et des services qui se sont développés pour répondre à des besoins que ne couvrent pas les secteurs public et privé. Il prétend ainsi répondre à ces besoins que l'État, faute de moyens, et le marché, faute de profit, ignorent. Il applique ainsi le principe de réciprocité (ou de solidarité) que le secteur marchand, davantage animé par l’échange, et le secteur public, davantage dirigé par la redistribution, ne réalisent que partiellement. Plus généralement, le Tiers-secteur regroupe des activités qui produisent des externalités positives, de l’utilité sociale collective et environnementale, des services offerts au public sur une initiative privée émanant de la société civile. A ce titre, on admet qu’elles peuvent être exonérées de prélèvements sociaux ou fiscaux, et recevoir des subventions publiques. En contrepartie, ces activités doivent répondre à des objectifs sociaux, collectifs, voire associer des logiques de bénévolat à des logiques de salariat. En ce sens, le Tiers secteur pourrait bénéficier d’un financement mixte, marchand et public, en proportion largement variable selon les branches et les activités. La réglementation de ce secteur suppose l’établissement d’un cahier des charges ou d’une charte, agréé par l’Etat, qui garantisse le respect des principes de fonctionnement démocratique, mutualiste et coopératif. Selon l’espace qui leur est réservé, l’économie sociale et solidaire et le Tiers-secteur peuvent aussi bien voiler la faillite de l’Etat providence et de sa politique de redistribution en jouant un rôle d’amortisseur social, ou préfigurer une société post-libérale en récréant du lien social dans des relations de proximité. Janpier Dutrieux Soyons des sentinelles Entretien avec Alexis Arette, autuur de son nouveau livre Fils d’homme, je t’ai fait sentinelle (Propos recueillis par Fabrice Dutilleul pour les éditions de l’ Æncre) Quel sens donnez-vous au mot « Sentinelle » tiré de l’ordre donné par Dieu au Prophète Ezéchiel : « Fils d’homme, je t’ai fait sentinelle » ? La réponse est dans la Bible. La Sentinelle, c’est l’homme lucide, à qui Dieu fait devoir d’annoncer l’ennemi, c’est-à- dire l’avancée des périls dans la société. Bainville disait « On a toujours les conséquences ! », et il n’est pas du tout certain que la phrase que l’on a prêtée à Louis XV : « Après moi le déluge ! » ne soit pas celle d’un visionnaire qui se sentait impuissant devant la perversité du siècle. De bonnes connaissances et l’exercice de la logique devraient établir des lois de sauvegarde, mais lorsque les responsables deviennent des privilégiés, si le vice est le soutien de leur prospérité, ils feront tout pour garder le L’As de Trèfle 4/2013------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 3/4 pouvoir jusqu’au déluge ! Aujourd’hui, ni Soljenitsyne, ni Xavier Emmanuelli, ni Maurice Allais ne sont perçus comme sentinelles, et la République des repus continue d’appliquer le précepte mortel de Rousseau : « Écartons les faits, ils n’ont rien à voir à l’affaire » ! Qu’apporte de nouveau ce livre par rapport à vos précédents ouvrages ? Des documents. Ils constituent la preuve que nous avons eu de tout temps des sentinelles et que, généralement, elles ne sont pas écoutées. Mais nous avons les textes de leurs prévisions. Il était bon de les réunir pour examiner leurs concordances. Il ne peut y avoir de science historique qu’à la lueur des concordances. Et c’est pour cela qu’après le déluge qui se prépare, l’« empirisme organisateur » de Charles Maurras retrouvera la place qui lui est due. Et si le langage religieux qu’emploient les sentinelles du passé peut paraître anachronique à notre époque, il faut se souvenir que l’on ne peut absolument pas juger le passé sur nos critères d’aujourd’hui, mais aussi que les lois du Décalogue restent le fondement justicialiste, c’est-à-dire le « garde fou » de la cité. Fils d’homme, je t’ai fait sentinelle d’Alexis Arette, éditions de L’Æncre, collection « Patrimoine des Religions », dirigée par Philippe Randa, 362 pages, 35 euros. Nous avons le plaisir de vous présenter le dernier livre de L’Alliance Sociale alliance-sociale.fr Colloque 2013 de l’Alliance sociale des peuples et des pays de France L’EUROPE, IMPLOSION OU REFONDATION ? (format 24 x 16, 254 pages) Les éditions d’Héligoland 2013. Le rêve européen s’épuise. Les règlementations bureaucratiques, les idéologies mondialistes, relativistes, libre-échangistes et mercantiles ne cessent de l’assombrir. Le samedi 26 octobre 2013 de 14h à 18h30 Au FIAP Jean Monnet (Salle Oslo) 30 rue Cabanis 75014 Paris (métro Glacière) PAF : 5 € L’Alliance Sociale a convié plusieurs auteurs et chercheurs à présenter leurs visions des aménagements ou réformes nécessaires à la restauration des ambitions de concorde, de justice et de prospérité qui furent à l’origine de la civilisation et des cultures européennes. Sans ignorer les réalités et les impératifs contemporains, la voie du bien commun doit être retrouvée. L’Alliance Sociale présente dans cet ouvrage collectif plusieurs propositions d’ordre politique, économique et social de reconstruction d’un nouveau modèle autour de deux idées forces : - Restaurer les équilibres économiques abandonnés aux intérêts privés - Investir dans l’homme et le territoire pour refonder le droit et la justice Avec les contributions de Alexis Arette, Georges Tartaret, Bruno Lemaire, Janpier Dutrieux, Rémi Bonnevialle, Yves Morel, Arnauld de Ledinghen, Loeiz Laurent. ► Vous pouvez dès à présent commander ce livre auprès de Georges Jacovlev, 21, rue du Niger, 75012 PARIS Au prix de 23,50 euros port compris (dont 3,5 euros de port). Egalement disponible chez Duquesne Diffusion, 27 avenue Duquesne 75007 Paris www.duquesnediffusion.com/ , Librairie de Flore, 75001 www.librairiede-flore.fr/ et www.editions-heligoland.fr/ Sur le thème de son dernier livre L’EUROPE, IMPLOSION OU REFONDATION ? Avec la participation des auteurs Programme Ici et maintenant Une approche macroéconomique de l’Europe Sortir de l’euro : le pour et le contre Les déséquilibres extérieurs contre l’Europe & L’incontournable réforme bancaire et monétaire Pause – Librairie - Cafétéria Janpier Dutrieux Quel avenir pour les PME et TPE françaises ? Georges Tartaret La démographie et l’âme européenne Rémi Bonnevialle L’apprentissage : un dispositif particulier de l’alternance Yves Morel Quel modèle éducatif pour l’Europe ? Arnaud de Europe et relations sociales en milieu Ledinghen professionnel Loeiz Laurent Six leçons sur le territoire Chaque intervention sera suivie d’un échange avec la salle Alexis Arette Georges Tartaret Bruno Lemaire Janpier Dutrieux ♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣ Un stand librairie - renseignements de l’Alliance sociale sera assuré sur place Un restaurant libre service est à votre disposition au FIAP de 12h à 13h30. Cafétéria ouverte pendant la pause. L’Alliance Sociale alliance-sociale.fr/ L’As de Trèfle Lettre numérique d’information de l’Alliance sociale des peuples et pays de France. L’Alliance sociale organise périodiquement des réunions de travail, des conférences, des colloques et édite des ouvrages de réflexion. Pour tous contacts, renseignements, date de réunions, demande de conférences, adhésion et dons, adresser un courriel à l’Alliance sociale sur son site : http://www.alliance-sociale.fr/ L’As de Trèfle 4/2013------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 4/4