C.Ô62-. 1931. Ic VSAGÜE OF NATIONS Geneva. Septembe r 14b h
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C.Ô62-. 1931. Ic VSAGÜE OF NATIONS Geneva. Septembe r 14b h
C.Ô62-. 1931. Ic VSAGÜE OF NATIONS Geneva. Septembe r 1 4b h ,1931, FREE CITY OF DANZIG. M Z I jJLïETI Tf; THE CONSTITUTION. Report- "by the Reprosenta. t1ve of Great Britain. On September cth, 1931, the High Commissioner of the League of Fat ions at Danzig transmitted to the Council a letter dated August 29th, 1931, from the Senate of the Free City, communicating the text of a law amending the Constitution of the Free City. Under Article 49 of the Constitution of Danzig, an amendment to the Constitution proposed by the popular Assembly cannot be adopted unless it passes its second reading by a two-thirds majority, at least two-thirds of the elected deputies being present; at least one month must elapse between the first and second readings. Amendments to the Constitution can only come into force after they have been communicated to the League of Nations and after the League has stated that it has no objection to these amendments. The purpose of the draft law submitted to us is the reduction of the salaries and pensions of ofiicials and employees on the active list and retired officials and their survivors. It was necessary that this law, since it involves interference with the established rights of officials and «.the modification of Articles 92 and 110 of the Danzig Constitution, should take the form prescribed by Article 49 of the Danzig Constitution for lav/s amending the Constitution. The Bill, as submitted to us, passed the first reading in the Popular Assembly of the Free City by a two-thirds majority on August 28th, 1931, at least two-thirds of the elected deputies being present. The Senate lias no doubt that the same majority will be forthcoming at the second reading, which, under the Constitution, cannot take place until September 26th, 1931 As the restoration of the Free City’s financial position crooks no delay, the Senate requests the League Council to state at once that it has no objection to the amendments made in the Constitution by the new law as submitted to us, subject always to the Bill's receiving at the second reading the majority of the votes of the Assembly required by the Constitution. In his covering letter, the the High Commissioner says that measure contemplated by this draft lav/ being in accordance with the recommendations made to the Council by the Financial Committee in 1926, when the Council approved a loan to Danzig, he can only recommend the procedure contemplated by the Senate of the Free City. I have examined the Bill in the light of the Council's earlier resolutions relative to the Constitution of Danzig, 1 have no observations to make on this point. 1 venture to submit the following draft resolution to the Council. and '. T > A T?rn '1 t - c -v^_jv U irUn_tX Ulv r y ~ The Council authorises the president, in the event of the lav/ amending the Constitution of the Free City, the draft of which passed its first reading on August 28th, 1951, and the text of which is reproduced in the annex to the letter of August 89 th, 1951, from the President of the Danzig Senate to the High Commissioner of the League of Nations, passing its second reading without amendment, in accordance with the Constitution, to inform the Senate of the Free City, through the High Commissioner, that the Council has no objection to this amendment to the Constitue ion. l i é r e l e t t r e d u G o u v e m e L i e n t C u l p a r s . iaève, le I4 septsmtre 1951 ■ » "hf-. i - -L W U _ -L-L ~n w ^ CfiPT'f—---L. 1y I.on.sieur le Président du Conseil de la l-rece, en quittant Genève, a bien voulu vous adresser une lettre ex posant de nouveau l ’attitude du Gouvernement hellénique dans le différend surgi entre la Bulgarie et la Grèce et soumis à la décision du Conseil de la Société des hâtions. Je n'ai aucun désir de ranimer de nouveau les débats qui se sont poursuivis lundi dernier, à la séance du Conseil, pendant laquelle les deux nanties ont, eu toute la possibi lité de développer leurs points de vue en explication de Mémorandums présentés déjà auparavant. Néanmoins, je me vois obligé de revenir aussi brièvement que possible sur certaines affirmations erronées et certaines inexactitudes de fait contenues dans la lettre susdite. .ainsi ’ m onsieur Yenizelos essaye de nouveau a faffir mer que c'est la Bulgarie qui a suspendu le 15 juillet der nier le paiement de sa dette de réparations et que ce n'es" que par simple mesure de défense que le Gouvernement hellé nique a, de son eôté, suspendu le versement dos sciâmes due: par la Grèce en vertu de l'^cccrc Mollcff-Caphandaris à la date du 1er août 1 9 3 1 . Or, il ne subsiste aucun doute que l ’échéance à la quo 1.Le la Bulgarie doit verser les sommes dues par elle au titre des réparations est octobre année courants. Autrement dit, celle du 1er il est évident sue - 2 - c ’est la Grèce q u i , sous un prétexte en désaccord avec les circonstances, a sciemment viçlé les stipulations de 1 ’Ac cord Mollof f-Caphandaris. Il est vrai que la Bulgarie s ’est adresses au Comité des experts à Londres avant que celui-ci eut pris sa décision concernant l'ajournement de la dette bulgare des réparations, ainsi q u ’à la Banque des règlements interna tionaux à Baie pour demander le déblocage de certaines som mes de la part de la Banque Nationale de Bulgarie et la suspension du blocage ultérieur prévu dans le contrat de m a n d a t , lequel se trouve approuvé par la Bulgarie, mais dont celle-ci n ’est pas partie signataire. Cependant, cette procédure ne peut en rien modifier les stipulations de l ’Accord de La Haye de I93O (Art.2) prévoyant que les échéances des semestrialités dues par la Bulgarie tombent respectivement aux dates du 1er octobre et du 1er a v r i l , dates auxquelles les sommes correspondantes doivent être versées à la R.R.l. D ’ailleurs, les trois mensualités dont le compte de la B.R.I. était crédité aux dates du 15 avril, 15 mai et 15 $uin se montent à une somme totale de 67 1/2 millions de Leva et représentent déjà la moitié de la seme strialité à 1 ’échéance du 1er octotre. Elle dépasse donc sensiblement la somme à verser au 1er août par la Grèce en s I• vertu de 1 'Accord Molloff-Caphandaris. Je joins ici la copie des télégrammes échangés avec la B.R.I. Il ressort avec évidence de ces télégrammes, notam ment de celui du 1b juillet, eue le mandataire lui-même, par le fait qu'il a saisi les puissances créancières de la ques tion du déblocage des sommes déjà créditées, a implicitement admis la suspension des écritures mensuelles ultérieures sur 1 A n .n m n t. ^ "R rl o le - . "R "D T - d s le contrat de mandat dois en outre préciser q u e , a y,- f i n •>— t r i n ii-Cy.-L.O U O’ . C l ~e su- I la Bulgar is n.q üoit ues réparations qu ce. n ve 11èr e de r e para t ions, le jr-u „ ;iit à 1 En d ’autres mets, r eut s ’adresser eu 'exclusi B.R.I. "mais àii aucun cas pac a une puissance créanciers jV.U C1 I1U LÀ ■ciame séparée, partant, pas à 1: i.ens leur Vcnizelos invoque a o n 3 , n - " a r: .q r * oui ne peut exister et r kv' —' vA. "C .. U _L —' e rc rn- C i Ci. i ....1 i—> .nsation de dettes aussi différentes v.ue celles des réparations et Biles dues peur le service d 'obligations représentant la valeur de: Bosses s ion ae 1 ’Etat réfugiés liquidés et se trouvant monsiou: a'existe pa; .zelos essaye d ’affirme] différend e n t r e la Grèce et la Bulgarie dans le question de l ’int; prêtât ion et d i 'execution ae f Ü' A r* o* i ! oH "P Pt _i Ç' * - y i r l rI xLi r» "î o ^nUx ur- i..r i o“ ‘ wouüiie. dl Xo, dans la lettre au Ministre des Financ au Gouverne ^"lares, dont je joins .O e OU dO..L> t a h . s experts 'és enté devant ici des O vt * > copie Gouvernement "Pr.p -py*Ç'., tend que/sa dette dérivant de 1 'Accord î.lolloff-Caohandaris nent inter-gouvernementaie et que p e r -a: dans la c a tégorie de pur conséquent elle e n t r e - p i e : celles p r é v u e s pan proposition r.eov ’ociiiie dettes de Gouvernement à Gouvernement. le Gouvernement bulgare affirme au contraireç> U U.o 1L ’r oc r Q m d a ris se rapport e a ^ n .es b iens des émig r é s U.U par l'Ftnt r -r élut £ =■ I-■ec en v e r t u de là G on ve jfirtu ii-e prix n ’a pas été versé en e s' :'rti"les 2,10 et 11 de ladite Gonv én pr 1" savoir le propriété a été a? d ^"■xri/’r ci"üicn ci■ r S t ‘s , lit pré v U. U. -A. la aecisin 111 Goc.ité des E x p e r t s à londre s a pr ecise a ’une maniere très clairs ~e tarant ère de ° e d i f f e r e n d / Et n ’est parce que ce caractère est lndubitablem< nt juridique que ledi t Comité n ’a pas pu se prononcer -tlâîlt à s n n -fond et s ’est décl aré in - e - Annexe 1. T^l jl i -■». V .t. O '.-r-A ■ * FF t.-j- ■ T,N I. J - J 7 T \o-j . i J) xL -+' . x- ry • ta o — L TtIjtTT T T_L:-rT i ^1 TO^T • Banque Règlements Internationaux. Es l e . Gouvernement Bulgare étant convaincu que proposition Président Hoover s ’applique aussi t. la Bulgarie, il a accepté avec profond remerciement cette proposition et estime qu’il doit suspendre versement recettes affectées au paiement répa rations en compte A chez Nationaltank prévu article cinq Contrat de Mandat, ainsi que le crédit au 15 juillet 1931 du compte E de la Banque Règlements Internationaux à la Naticnalbank Stop Gouvernement Bulgare sollicite également votre auto risation de libérer au profit Trésor Bulgare les s crime s portées au crédit votre compte B les 15 avril, 15 mai et 15 juin 1931. MINISTRE TES FINANCES BULGARI ;ig: A. Ghirghincff Pour copie conforme Le Secrétaire de la Dette Publique Bulgare TELEGRAMME EN DATE PU 16 JUILLET 1951. Ministre des Finances de Bulgarie. Sofia. Portons votre télégramme d ’hier à la connaissance les gouvernements créanciers et les ccnsultcns sur question sommes déposées à notre compte B en avril mai et juin. INTERBANK Pour copie conforme : Le Secrétaire de la Dette Publique Bulgare : des