OUVERTURE du nouveau SUPER U le 25 février 2009

Transcription

OUVERTURE du nouveau SUPER U le 25 février 2009
Magazine Municipal - Janvier 2009
• Édito - État civil
Au revoir Marcel
OUVERTURE
du nouveau SUPER U
le 25 février 2009
2
•Les Élus visitent les Entreprises
De Sangosse et Leseur
3-4
• Spécial Interview : Loïc Frin
Directeur du Super U
5-7
• Le service minimum
d’accueil
8
• Dis, d’où vient le nom
de ma rue
9-10
• Anniversaire
de l’armistice 14 – 18
11-13
• S.I.A.A.O.R.
14
• Vivre l’Hermitage Autrement
TOM POUCE
15
• A.P.E.
A.P.E.L. École Saint-Joseph
Bourse aux vêtements
16
•Le mot du président du H.A.C.
H.A.C. V.T.T.
17
• H.A.C. Football
H.A.C. Basket
18
• Tennis club de la Flume
19
• Éducation physique et
gymnastique volontaire
20
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Vous trouverez dans ce magazine
un calendrier 2009 ainsi que la mise
à jour du guide de la commune
à plier en “accordéon”...
n°38
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2
État
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ÉÉditorial
Mesdames Messieurs
À l’heure des bilans, des promesses, des bonnes
intentions, peut être vous interrogez vous sur le
regard que peut porter le maire sur l’année passée
et sur celle à venir. Il ne s’agit pas ici de revenir
sur les élections, mais bien plus de s’interroger
sur les conséquences pour notre collectivité des
événements qui secouent le monde financier et
social ces derniers mois.
Tout d’abord, sachez que notre collectivité n’a pas
effectué de placements à risques et n’a donc rien a
craindre des faillites et autres avaries financières que
l’on voit apparaître autour de la planète boursière.
Nos emprunts sont quant à eux réalisés à partir
de taux fixes pour les quatre années qui viennent
et ne subiront donc pas l’incertitude actuelle des
variations.
Notre préoccupation première, mais cela a toujours
été le cas, sera de gérer au mieux nos ressources.
Et ça ne veut pas dire ne pas investir, car dans ce
passage délicat, notre mission est de confirmer
notre position de donneur d’ordres, de pourvoyeur
de chantiers pour les entreprises, bref de soutien
a une économie souvent locale qui a besoin de la
commande publique pour maintenir l’activité et
l’emploi qu’elle génère.
Je souhaite que notre budget 2009 donne des
signes forts dans ce sens.
Car l’emploi est bien le souci majeur de ce début
d’année. Les fermetures, licenciements, périodes
de chômage, incertitudes sur l’avenir entraînent
toutes des détresses auxquelles nous nous devons
d’être attentifs. Chacun peut être de plein fouet ou
indirectement confronté a ces difficultés, certains
d’entres nous le sont déjà.
Nous sommes souvent impuissants face aux logiques
économiques, nous ne devons pas l’être dans
l’accompagnement de nos concitoyens. Les élus et
les services municipaux, dans les compétences qui
sont les leurs, sont mobilisés. Leur action se veut
réactive et empreinte de solidarité.
Parce que nous ne devons pas céder a la morosité
et au catastrophisme ambiant mais, affronter les
réalités.
Parce que la richesse de notre tissu associatif doit
participer a ne laisser personne de côté. Parce que,
ensemble et solidaires, nous serons mieux armés
pour combattre ces difficultés Je souhaite à tous les
Hermitageois, leurs familles, leurs amis, une bonne
année 2009
Le Maire
André CHOUAN
Naissances
TANGUY, Lilou, Delphine, Olivia ....................................................29 juillet 2008
PIOCHE Léo, Nicolas, Mickaël ...........................................................5 août 2008
MAURAIS Léane, Philomène, Marcelle ..............................................7 août 2008
TISSERON Bryan, Bernard, Gérard .....................................................7 août 2008
CHÉREL Yanis, Ludovic, Gérard .........................................................9 août 2008
PELLAN Paul, Damien, Jonathan .....................................................19 août 2008
DAVY Ewen, Yves, Gilbert ......................................................17 septembre 2008
RANNOU Mathis, Guillaume ..................................................19 septembre 2008
RIHET Paul, Jérôme, Ronan ....................................................28 septembre 2008
GOSSELIN Paul, Guillaume, Marie ..........................................29 septembre 2008
SOURY Margaud, Ondine, Colette............................................... 2 octobre 2008
JOUSSAUD-L’HERMITTE Aaron, Romuald, Raymond....................8 octobre 2008
Mariages
M.
M.
M.
M.
BUFFERAND Jérôme et Melle TISSERON Karine .......................... 16 août
SAMMANI Vincent et Melle RUDASSO Vanessa .......................... 16 août
GUÉRIN Olivier et Melle AUFFRAY Morgane ..................... 13 septembre
JOUAULT David et Melle SÉCLET Maryse ........................... 20 septembre
2008
2008
2008
2008
Décès
M. LOUYER Gilbert ...................................................................... 18 janvier
M. RIVIERE Adolphe....................................................................... 23 juillet
M. DAVY Annick née Hirel ............................................................. 29 juillet
Mme CARRÉ Marie-Thérèse née Hossard................................. 26 septembre
M. SAUDRAIS Germain ...............................................................15 octobre
Mme LECHAUSSÉE Marie née Carillet ...........................................30 octobre
Mme LESEC Marie née Saulnier...................................................2 novembre
Mme BAZIN Joëlle née Baron ......................................................3 novembre
M.BLOT Marcel ......................................................................... 7 décembre
2008
2008
2008
2008
2008
2008
2008
2008
2008
Selon les dispositions de l’article 9 du Code Civil, chacun a droit au respect de sa vie
privée, en conséquence, les naissances, mariages et décès survenus dans une commune ne
peuvent donner lieu à publication dans le bulletin municipal sans autorisation écrite des
intéressés ou de leurs proches.
En conséquence, si vous souhaitez voir apparaître une naissance, un mariage ou un décès
dans la rubrique Etat Civil de « L’Hermitage Informations », merci de le signaler en Mairie.
Un imprimé à remplir et à signer vous sera alors remis.
Au revoir MARCEL !
Marcel Blot nous a quitté
le 7 décembre dernier.
Il était élu municipal
depuis 1995. D’abord
conseiller municipal, c’est
tout naturellement qu’il
devient adjoint au sports
en janvier 1996. Il le restera pendant 12
ans aux cotés de Christian Le Maout. En
mars 2008 il est réélu conseiller municipal
dans l’équipe actuelle menée par André
Chouan et depuis il s’était investi dans la
commission finances-affaires sociales et
la commission urbanisme-environnement.
Il fut également pendant dix années Vice
Président de l’office des sports du canton
de Mordelles.
Tout d’abord enseignant, ses qualités, son
expérience ont fait qu’il devint Directeur
de collège. Il était depuis de nombreuses
années le Directeur du collège Saint Yves
de Mordelles.
Homme intègre, mesuré ses avis étaient
toujours réfléchis, judicieux et écoutés.
Sportif accompli, c’était un compétiteur
qui pratiquait le cyclisme avec passion.
Très volontaire, il aimait ce sport et chaque
fois qu’il le pouvait il enfourchait son vélo.
Il aimait les jeunes, et malgré son emploi
du temps chargé, il conseillait et entraînait
les jeunes cyclistes de son club le V.C.
Chavagne. Il fut également longtemps
membre du comité des fêtes de notre
commune.
Marcel, nous qui avons eu la chance de te
côtoyer, nous garderons de toi le souvenir
d’un excellent camarade. Malgré tous tes
engagements tu savais rire, rester agréable
et garder le sourire. Merci pour ce que tu
as apporté à la vie de notre commune, à la
jeunesse, au monde associatif et sportif…
Yves Gautrais
Responsable de la Publication : André CHOUAN - Responsable de la Rédaction : Yves GAUTRAIS
Conception Réalisation : GOSSELIN GRAPHIC - Vern-sur-Seiche - 02 99 62 98 00 - Photos : mairie et associations
Vie Économique
Faire connaitre nos entreprises locales.
La vitalité économique d’une commune est importante, elle permet :
• La création de richesses dont bénéficie indirectement toute la collectivité
• L’existence d’emplois sur place
• La proposition de services marchands et non marchands à la population
• L’industriel est indépendant et à l’initiative de son implantation et de ses projets. Mais
faire connaître nos entreprises locales, les aider à s’implanter et à s’installer, favoriser les
infrastructures doit être un souci constant des élus.
Aussi en cette période morose et très difficile du point de vue économique, il m’a semblé utile de
faire un saut dans 3 entreprises locales qui impulsent du dynamisme à la commune :
Les établissements De Sangosse, les établissements Leseur ainsi que le nouveau « Super U ».
Yves Gautrais / Adjoint chargé de la communication.
Les Élus visitent les ets. DE SANGOSSE
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SLes élus visitent les établissements
DE SANGOSSE et LESEUR
en vue de l’établissement du futur Plan de Prévention des Risques Technologiques
La commune de l’Hermitage compte sur
son territoire deux établissements classés
SEVESO II « seuil haut » en raison de leurs
activités et des risques potentiels pour la
sécurité et l’environnement qui en sont liées.
Il s’agit des établissements DE SANGOSSE et
LESEUR qui ont, entre autre, une activité de
stockage de produits et notamment d’engrais
qui constitue un risque potentiel d’accidents
technologiques et naturels.
Depuis l’accident de l’entreprise AZF à
Toulouse, la réglementation concernant ces
établissements classés pour la protection
de l’environnement s’est renforcée. La loi
du 30 juillet 2003 relative à la prévention
des risques technologiques et naturels
oblige aujourd’hui les Préfets à prescrire
l’élaboration d’un Plan de Prévention des
Risques Technologiques (PPRT) en cas de
présence d’établissement classés SEVESO.
Ce plan a pour objet de délimiter un
périmètre d’exposition aux risques et de
dresser des recommandations tendant à
renforcer la protection des habitants. Il
aura aussi des conséquences sur les mesures
d’urbanismes en vigueur dans le périmètre en
question. Le Conseil Municipal et le Comité
Local d’Information et de Concertation
seront bien évidemment largement associés
à l’élaboration de ce document.
En marge de l’élaboration de ce PPRT sur
la commune de l’Hermitage, les élus ont
souhaité visiter ces établissements afin de
se rendre compte des dispositions déjà
mises en place par ces entreprises pour
limiter les risques liés à leur exploitation.
L’entreprise
DE SANGOSSE
La délégation a été reçue le mardi 14 octobre
par Monsieur Nicolas Fillon, Directeur
Général de l’entreprise DE SANGOSSE.
En préalable à la visite, Monsieur Fillon
a tenu a présenté l’activité du groupe
DE SANGOSSE et dresser un état des
lieux du secteur de l’agrofourniture.
Le groupe DE SANGOSSE, dont le siège
social se situe à Agen (47), est fabricant
et fournisseur en agrofournitures et anti
nuisibles à l’échelle nationale et mondiale et
M. Nicolas Fillon Directeur Général de
l’entreprise DE SANGOSSE.
f o u r n i t
les milieux et les métiers de l’agriculture
(semences et protection des cultures), des
espaces verts et du jardinage (produits
phytosanitaires et outillages). En dehors de
son implantation sur le territoire français, le
groupe possède des sites au Brésil, aux EtatsUnis d’Amérique et en Chine. Le Groupe est
leader mondial dans la production d’antilimace.
La production du groupe est tournée
principalement
vers
le
marché
« professionnel » mais s’adresse également
aux particuliers.
Bien que dépendant d’un secteur de
l’agroalimentaire moribond, la production
du groupe DE SANGOSSE s’est renforcée
par le biais d’acquisitions, de nouvelles
implantations et de diversification de son
activité.
Il est à noter que le grand Ouest et la
Bretagnae en particulier ont bien résisté à la
baisse d’activité du secteur agroalimentaire
grâce à l’implantation de coopératives qui
ont largement investi dans toute la filière et
à la présence sur le territoire des outils de
production et de transformation.
Quant au devenir de la filière de
l’agrofourniture et à son adéquation
avec la prise en compte croissante du
développement durable, Monsieur Fillon
pose cette question :
“Peux t’on produire et assurer suffisamment
de récoltes destinées à l’alimentation
mondiale sans produit chimique ?”. Selon
lui, en 20 ans, l’urbanisation croissante
couplée avec l’augmentation de la
population mondiale a réduit d’un tiers la
surface de la Terre destinée à la production
alimentaire.
Sur la base de ce constat, le Directeur du
Groupe DE SANGOSSE conclut en affirmant
la nécessité d’augmenter la productivité des
récoltes. Ainsi, si l’agriculture « bio » est pour
lui une des solutions qui doit se développer, il
précise qu’il convient également de soutenir
de nouvelles technologies dans le respect
des critères environnementaux satisfaisants
régulièrement définis et mis à jour par les
experts scientifiques de la Communauté
Européenne.
L’établissement de
l’Hermitage
Après cette présentation M. Lemierre
responsable du site de l’Hermitage,
a invité les élus à visiter les locaux de
l’établissement.
Six permanents travaillent sur le site qui
accueille également des commerciaux qui
visitent les jardineries et les magasins du
secteur agricole de la région.
Les produits sont rangés suivant leur données de
sécurité.
La gestion se veut moderne et les employés de
distribution disposent chacun d’un ordinateur.
3
4
Les
produits
stockés
dans
l’établissement, en majorité des
produits phytosanitaires et du matériel
de jardinage, sont destinés en majorité
à la grande distribution tels que Leroy
Merlin, Castorama ou Bricomarché.
L’établissement de L’Hermitage a été
rénové et agrandi en 2002. La gestion
aussi se veut moderne à travers une
informatisation poussée et la mise en
place du « Zéro Papier ».
Les commandes arrivent au bureau et
sont transmises par liaison informatique
aux employés de distribution qui
disposent chacun d’un ordinateur
Le fossé de rétention
fixé sur leur engin de manutention
qui entoure tous les bâtiments.
(Fenwick). Les produits sont rangés
suivant leurs données de sécurité;
L’informatique est également utilisée pour le stockage.
Sur le plan de la sécurité, tous les systèmes ont été mis en place
pour que l’établissement classé “SEVESO” ne fasse courir aucun
risque aux employés et à la population.
Pour cela un fossé de rétention entoure tous les bâtiments afin de
couper la liaison avec les eaux fluviales. Si un problème survenait
(incendie...) toutes les eaux seraient stockées sur le site et le
parking serait isolé. Un système de production de mousse peut
être enclenché à l’aide de pompes et turbines qui sont en mesure
d’injecter de la mousse dans tous les bâtiments. Ces derniers
sont également équipés de porte coupe-feux, d’extincteurs et de
matériel de désenfumage.
Des alarmes anti-intrusion sont installées sur tout le périmètre de
l’entreprise. M. Lemierre conclût en indiquant que tout le personnel
est formé au maintien du site en sécurité et que ce site est doté d’un
P.O.I. (Plan d’Opérations Internes) géré par l’entreprise et d’un P.P.I.
(Plan Particulier d’Intervention) géré par la préfecture.
Silos de stockage et conditionnement des
engrais.
Wagon de stockage de CO2
pour Air Liquide.
Le bassin de rétention.
Conditionnement et traitement de l’engrais, en “big bag” de 600Kg.
NB : Le Plan d’Opération Interne est un plan d’urgence, élaboré par
l’exploitant, qui organise les moyens, équipements et méthodes
d’intervention en cas de sinistre dans une installation alors que
le Plan Particulier d’Intervention est un plan qui permet de gérer
les moyens de secours en cas d’accident dont les conséquences
dépassent l’enceinte de l’installation.
L’entreprise Pierre LESEUR S.A.
Monsieur Thierry Legrain, directeur général de la société LESEUR
et Monsieur Pierre Leseur, président du conseil de surveillance et
fondateur de l’entreprise ont accueilli la délégation.
Monsieur Pierre Leseur retrace l’historique de l’entreprise. Cette
entreprises a été crée par la famille Leseur en 1931. Son premier
site se situait plaine de Baud à Rennes. Son développement,
la proximité de la voie ferrée et la création de la Z.A.C. de la
Hautière ont permis à cette entreprise de s’établir en juillet
1974 à l’Hermitage. Il y a une dizaine d’années le tonnage
des trains qui transitaient par la société Leseur était le 2ème
tonnage enregistré par la gare S.N.C.F. de Rennes après les
établissements Citroën. En 1978 l’entreprise Leseur était la première
entreprise en France à disposer d’un palettiseur automatique.
La Société “Les Matériaux de L’Ouest” implanté à l’Hermitage a été
crée par M. Jacques Leseur frère de M. Pierre Leseur.
L’établissement de l’Hermitage
L’entreprise Leseur emploie 33 personnes sur trois sites :
L’Hermitage, Carhaix, et Foligny dans la Manche. L’entreprise a
pour mission d’acheter et de vendre des engrais, des semences et
des produits phytosanitaires. Les trois-quart de l’activité concernent
le conditionnement et le traitement de l’engrais. Après avoir reçu
les engrais en vrac, l’entreprise mélange, conditionne et ensache.
Aujourd’hui, le sac de 50 Kg a pratiquement disparu au profit
du Big Bag de 600 Kilos. Le volume traité est de 150 à 160 000
tonnes équivalent à 120 trains par an. La S.N.C.F. ne peut fournir
le nombre demandé de trains et le reste du transport est assuré par
Vie Économique
M. Legrain directeur général de la société LESEUR accueille les élus.
camion, ce que regrette l’entreprise sachant qu’il faut multiplier les
camions.
M. Denis Le Féve chargé de la sécurité et de l’environnement, entame
la visite des locaux de l’entreprise. Les engrais sont composés en
majorité d’azote, de phosphate, et de potasse, beaucoup d’engrais
sont à base de nitrate. Le phosphate est également incorporé aux
aliments du bétail. Ces différentes prestations de service sont en
majorité destinées à la Bretagne, leader de l’agro-alimentaire en
France. Du fait de la baisse des productions liées à l’agroalimentaire,
les Etablissements Leseur ont décidé de diversifier leurs activités.
Aujourd’hui, la société stocke pour Air liquide du Co2. Trois cuves
de 300 tonnes sont entreposées sur des wagons dans l’enceinte de
l’entreprise.
L’établissement classé “SEVESO” dispose de moyens de détection
incendie, ainsi que de protection par la poudre et les lances autopropulsives de refroidissement. M. Le Fève insiste sur la formation
aux règles de sécurité dispensée aux employés.
Conformément à la législation, l’établissement est doté d’un P.O.I.
(Plan d’Opération Interne) géré par l’entreprise et d’un P.P.I. (Plan
Particulier d’Intervention) géré par la préfecture.
Il est à noter que la sirène que les Hermitageois entendent
chaque 1er mercredi du mois est implantée dans le périmètre des
établissements Leseur.
Textes : Yves Gautrais
Photos : Jean Pierre Chantrel
(Conseiller municipal délégué à la sécurité)
nterview
IInterview
Vie Économique
Loic FRIN
Directeur du « Super U » de L’Hermitage
Yves Gautrais : M. Frin vous êtes le directeur
du « Super U » de L’Hermitage. Pouvez-vous
vous présenter aux hermitageois ? Quel est
votre parcours professionnel ?
Loïc Frin : J’ai 45 ans. Je suis papa de deux
enfants : Antoine 12 ans et Clara 10 ans.
J’habite Saint-Grégoire, une commune où
mes parents tenaient une épicerie de 100m2
sous l’enseigne “Unico”. Autrement dit : « Je
suis tombé tout petit dans la marmite ».
Je connais bien la commune de L’Hermitage
puisque très jeune (au début des années
80) j’allais aider le dimanche matin M. et
Mme Lenoir qui étaient les propriétaires
du petit magasin “UNICO” de l’époque,
situé à l’emplacement de l’agence « Crédit
Agricole » actuel, à l’angle de la rue de
Rennes et de la rue de Mordelles. Puis j’ai
suivi l’évolution de ce petit commerce et
son déménagement place de la Mairie, là
ou se trouve aujourd’hui la bibliothèque
municipale. Ensuite en 1985 le magasin
« Unico » à été transféré sur le site de la
Meslais, là ou nous sommes aujourd’hui.
Concernant mon parcours professionnel,
après mon baccalauréat j’ai suivi une
formation dans une école de commerce à
Rouen pendant 3 ans. Puis je suis parti faire
mes armes en région parisienne chez « Euro
marché » à Saint Quentin en Yvelines, un
très grand hypermarché de 10 000 m².
En 1991 j’ai repris avec mes parents le
magasin Unico de L’Hermitage. La surface
du magasin était de 800 m². Et en 1996,
pendant l’ouverture du « Cora », j’ai agrandi
le magasin qui est devenu un « Super U »
de 1 500m². C’était déjà un challenge !
Y.G. : Vous avez décidé de développer votre
activité et de construire un nouveau magasin,
rester sur le territoire de la commune
constitue-t-il un choix stratégique de
développement ou une simple opportunité
liée à la disponibilité du terrain ?
L.F. : Compte tenu de la concurrence vive
qu’il y a autour de nous, nous avions besoin
de nous moderniser et de nous agrandir. Car
dans toute entreprise, si on ne s’adapte pas on
disparait. L’opportunité de cet emplacement
nous permet de nous resituer sur le passage
routier car nous avions perdu certains flux
depuis l’ouverture de la déviation nord de
L’Hermitage, les automobilistes ne passant
plus devant le magasin. Ces clients viennent
principalement des communes voisines de
Le Rheu, La Chapelle Thouarault, Breteil
et Vezin le Coquet et constituent la moitié
de notre clientèle. L’autre moitié étant
évidemment nos clients hermitageois.
Ceux-ci seront à moins de cinq minutes à
pied de l’actuel magasin de la Meslais. On
peut donc considérer que le futur magasin
restera un magasin de proximité. De plus
nous avons aménagé un sentier piéton
vélo sur le site du « Super U » qui reliera le
nouveau lotissement de la Musse à la piste
piétons cycles que la commune à décidé de
construire en bordure de la rue de Rennes.
L’accès au « Super U » sera donc facilité et
sécurisé pour ceux qui souhaitent venir faire
leurs courses à pied ou à vélo.
• D’un rayon culture presse. Nous allons
développer l’offre des livres et tout le
rayon presse.
Y.G. : Pour vous, qu’apportera aux
Hermitageois l’ouverture du nouveau
magasin « Super U » ?
• D’un rayon poissonnerie réfrigéré d’une
qualité de produit optimum.
L.F. : Ils vont y trouver plus de choix, un
magasin plus moderne qui j’espère leur
plaira. Pour recapter la clientèle le magasin
se devait d’être plus attractif et proposer
une offre plus complète.
En détaillant nous allons disposer :
• D’un point accueil avec
:
- Photo développement numérique
- Location U
- Vente de bijoux fantaisie
- D’un rayon textile plus attrayant, nous
proposerons la marque « U » à des prix
très compétitif.
• D’un rayon arts de la table avec une
collection régulière, renouvelée à des prix
très intéressants
• D’un rayon saisonnier. Tous les 10 jours,
une nouvelle offre au rythme des saisons.
• D’un rayon boucherie en privilégiant le
contact client et en étant exigeant sur la
qualité de la viande que nous choisissons.
• D’un rayon produit frais beaucoup plus
important qu’aujourd’hui (Nous étions
limités par les infrastructures du magasin
actuel).
• D’un rayon surgelés avec des bacs réfrigérés
beaucoup plus grands.
• D’un traditionnel
traiteur.
rayon
charcuterie
Et d’une gamme améliorée en fruits et en
légumes.
Nous allons également proposer des produits
régionaux et locaux à chaque fois que cela
sera possible.
Bruno,
le sympathique
responsable du rayon
boucherie traiteur
5
6
Y.G. : Comment est composé votre nouveau
magasin et quelles en sont les différentes
surfaces ?
L.F. : Aujourd’hui, avec le centre
commercial de la Meslais nous avons
2 600 M² construit. Sur le nouveau
site nous aurons 5 000 M² construit.
Le magasin principal sera d’une surface de
2 000 M², c’est la dimension moyenne des
magasins « Super U ». Ce dimensionnement
est adapté à la commune de L’Hermitage et
à notre zone de chalandise.
L.F. : Oui tous les commerçants du centre de
« la Meslais » nous suivent et je les félicite car
c’est un challenge fort avec son lot de soucis.
Mais ils ont aussi l’envie de moderniser
et d’améliorer l’offre commerciale de la
commune.
Et donc le 25 février prochain ouvriront dans
la nouvelle structure en même temps que le
« Super U » : La boulangerie « Groussard »,
le bar restaurant « Le Trégor », le pressing
de Mme Barandon et le salon de coiffure.
Les autres surfaces se composent :
De 380 m² pour le mail
De 500 m² pour les boutiques
De 700 m² pour les réserves
De 600 m² pour les laboratoires et stockage
des produits frais
• De 200 m² pour les bureaux et locaux
sociaux
• De 600 m² pour les locaux techniques et
quai de réception
Il y aura également :
• Une station essence
• Une station de lavage automatique
(automobiles)
Le tout est implanté sur un terrain de 38 000 m²
Y.G. : Les commerçants du centre
commercial de « La Meslais » vont-ils vous
accompagner sur le nouveau site ?
vie Économique
« Point Vert » qui réfléchit sur son transfert
et son implantation à coté du nouveau
« Super U ». Nous leur avons réservé un
emplacement.
Y.G. : L’Hypermarché « Cora » renforcé
par l’arrivée de « Ikea » attire de
nombreux clients. Appréhendez-vous cette
concurrence ?
L.F. : Cette concurrence nous la connaissons
depuis 1996, l’année où nous avons agrandi
notre magasin et qui correspond également à
l’ouverture de « Cora ». La concurrence était
déjà très forte avant l’ouverture de « Ikea ».
C’est à nous de retenir notre clientèle. Si on
ne fait pas les investissements nécessaires,
les clients vont ailleurs. Mais je peux vous
dire aussi que des Pacéens viennent chez moi
faire leurs courses. Ils trouvent dans notre
magasin plus de convivialité, un magasin
dimensionné à leurs attentes, facilement
accessible, ce qui n’est pas toujours le
cas dans les grand hypermarchés. De plus
autour de « Cora » le site est déjà saturé et la
circulation pour s’y rendre est importante.
Y.G. : Parlons un peu du contexte.
L’implantation d’une telle structure
représente, sans doute un investissement
très important et un défi pour votre société.
Le contexte et la crise du pouvoir d’achat ne
vous inquiète-t-il pas ?
• De 220 places de parking.
• Une laverie automatique (linge, couettes,
duvets…)
Nous attendons également la réponse de :
Un accueil souriant au
rayon poissonnerie
L.F. : C’est vrai ce contexte m’inquiète, tous
ces événements sont brutaux. La conjoncture
économique est difficile et le sera encore plus
l’an prochain. Il va falloir passer cette crise,
mais je crois que si tout s’arrête c’est encore
pire.
Y.G. : Ces difficultés importantes apparues
dans la vie économique ont-elles été
ressenties au niveau de votre magasin ?
Vie Économique
L.F. : Effectivement nos clients ont modifié
leurs comportements depuis plus de 2 ans
avec des achats de plus en plus orientés
vers la marque « U ». Ces produits « U »
sont de qualité égale aux grandes marques
mais sont 20 % moins cher. La marque
« U » est de très bonne qualité et bénéficie
d’une bonne image. Nous avons également
une offre 1er prix grâce aux produits « Bien
Vu » qui connaît un réel succès.
Y.G. : La crise a fait émerger une nouvelle
forme de grande distribution avec le
développement des enseignes hard discount
qui concurrencent fortement les enseignes
classiques. Que pensez-vous apporter de
plus à vos clients par rapport aux enseignes
hard discount ?
L.F. : La bataille porte sur les prix. Il faut
faire des économies sur toute la chaîne de
distribution, les coûts de transport etc...
Aujourd’hui tous les camions qui nous livrent
sont complets. Tout doit être calculé et géré
au plus juste. Grâce à ces adaptations,
depuis 2008 nous lançons des baisses de
prix successives sur les grandes marques.
Sur des produits de marque nationale nous
proposons des prix moins cher que « Lidl »
par exemple. De plus chez nous le client a
plus de choix que dans les magasins hard
discount.
Y.G. : Le nouveau magasin va-t-il être
équipé de caisses automatiques ?
L.F. : Nous aurons un îlot de caisse
automatique avec une hôtesse. Cette caisse
rapide de libre service permettra d’éviter les
files d’attente le soir après le travail. Pour les
petit paniers de courses le client pourra biper
lui même ses courses et régler lui-même soit
en espèces ou par carte bancaire ou chèque.
Cette caisse panier va accélérer le passage
des clients le soir mais ne remplacera pas le
travail de nos hôtesses. D’ailleurs en plus de
l’accueil nous disposerons de sept caisses
avec hôtesses.
Y.G. : L’accès au magasin aux personnes à
mobilité réduite a-t-il été favorisé ?
L.F. : Oui, la législation actuelle est respectée.
Nous aurons une caisse, des chariots, et
des sanitaires adaptés aux personnes à
mobilité réduite. Et bien sûr il est prévu
des emplacements de parking réservés aux
handicapés.
Y.G. : Les hermitageois sont attachés au
développement durable. Quelle attention
avez-vous eu, dans la construction de votre
magasin, par rapport à l’environnement ?
L.F. : Nous avons fait le choix d’une isolation
forte et performante pour l’ensemble du
magasin et des réserves. De plus une partie
du magasin va être chauffé en récupérant le
froid des armoires réfrigérées. A mi-saison ce
chauffage diffusé à partir de la récupération
des calories produites par la centrale de
production frigorifique suffira à chauffer
l’ensemble du magasin.
L’éclairage se fera à partir de néons
plus économiques et qui durent
5 fois plus longtemps. Nous aurons
également des vitrines réfrigérées « basse
consommation » qui nécessitent beaucoup
moins de dégivrage et de courant électrique.
Pour préserver l’environnement, nous
offrons de multiples cabas réutilisables et
de ce fait nous ne distribuons pratiquement
plus de sacs en plastique. Nous allons
aussi développer notre gamme de produits
biologiques : alimentaires bio, cosmétiques
bio, produits d’entretien bio. Il sera proposé
également des produits issus du commerce
équitable.
Y.G. : Beaucoup de vos employés
travaillent avec vous depuis de nombreuses
années. Cette stabilité du personnel fait
que des relations se sont établies entre vos
employés et les hermitageois. Attachez
vous de l’importance à ce relationnel ?
L.F. : Effectivement plusieurs de mes salariés
sont là depuis mes débuts à L’Hermitage.
Je peux compter sur eux. La réussite d’un
magasin c’est le résultat du travail de toute
une équipe. C’est aussi pour cela que je fais
ce projet. C’est un challenge également
pour le personnel. J’attache beaucoup
d’importance au relationnel. Les relations
humaines sont primordiales dans la vie.
L.F. : C’est une entreprise familiale qui s’est
développée à L’Hermitage grâce à mes
parents, mais aussi grâce à M. et Mme
Lenoir mes prédécesseurs. Actuellement
ma sœur Karine travaille également avec
moi au sein du magasin. Cette réussite
est le fait de ceux qui ont œuvrés avant
nous, avec nous mais aussi le fait d’avoir
une enseigne « Super U » très dynamique.
Mais aujourd’hui, même si je suis d’un
naturel prudent, il était temps de prendre
des risques en construisant un nouveau
magasin pour répondre au mieux aux
attentes de nos clients. Le magasin sera
simple, moderne, accueillant et il laissera
une grande place aux produits frais.
Y.G. : Nous savons que pour les hermitageois
le magasin « Super U » est important, c’est
le quotidien ! Avez-vous un message à leur
adresser ?
L.F. : Oui, je veux d’abord les remercier
pour leur fidélité. Et je veux les assurer
qu’avec mon équipe nous allons continuer à
travailler avec volonté pour que le nouveau
magasin donne satisfaction. Je souhaite
aussi que ce nouveau magasin soit un
lieu d’échange et de proximité pour les
habitants de la commune. Et pour terminer,
je veux remercier, à titre personnel, bon
nombre d’hermitageois pour la qualité des
relations que nous avons avec eux depuis
plus de 17 ans.
Interview réalisé par Yves Gautrais
Adjoint délégué à la communication
Photos de Franck Tardif
Animateur communication.
Y.G. : Votre commerce est une entreprise
familiale qui s’est développée sur notre
commune. Dans les commune voisines
beaucoup de moyennes surfaces de type
« Super U » de L’Hermitage ont eu des
difficultés et ne sont plus là aujourd’hui.
Pour vous quelles sont les explications de
l’attractivité de votre magasin et de sa
réussite ?
OUVERTURE
du nouveau
SUPER U
le 25 FÉVRIER
prochain
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minimu
pour les enfants des écoles élémentaires et maternelles,
mais un maximum en transfert de charge de l’État.
La loi du 20 août 2008 complétée par le décret du 4 septembre, oblige
les communes à mettre en place un service minimum d’accueil des
élèves des écoles maternelles et élémentaires pendant le temps
scolaire.
Que dit la loi 
La loi impose la mise en place d’un Service Minimum d’Accueil dès lors
qu’il y a plus de 25% d’enseignants en grève. La commune doit sous 48
heures mettre en place ce SMA. Une compensation financière est prévue.
L’HERMITAGE, comme de nombreuses communes ne va pas refuser
d’appliquer la loi. Cependant nous sommes réticents pour plusieurs
raisons :
Des raisons d’organisation :
La loi indique que l’inspecteur de circonscription informe les
mairies du nombre d’enseignants ayant déclaré leur intention de
faire grève, 48 H avant la date de la grève, La commune dispose
donc d’un temps très court pour informer les parents, recenser les
enfants susceptibles d’utiliser ce service et mobiliser les personnes
disponibles et compétentes pour s’occuper des enfants. La loi est
très floue, elle ne donne aucun critère d’encadrement, elle prévoie
simplement que les personnes proposées subiront un contrôle de
leur casier judiciaire. Aussi, selon la loi, le maire peut faire appel à
du personnel municipal, des enseignants en retraite, un animateur
de CLSH, des assistantes maternelles, des parents… Comment
imaginer que nous pouvons confier nos enfants à quelqu’un que
nous ne connaissons pas ou peu, qui ne connaît pas les enfants,
les lieux, les consignes de sécurité. Qu’une personne seule puisse
encadrer 30 à 40 enfants pendant six heures ? Quelle animation ?
Avec quel matériel ? De plus il est difficile d’imaginer que l’on
puisse communiquer certaines données personnelles sur l’enfant
et sa famille. La commune se doit de s’imposer certains critères
pour la sécurisation des enfants, c’est essentiel. C’est pourquoi
la municipalité a choisi de faire appel au personnel communal, il
connaît bien les lieux, les enfants, mais il faut qu’il soit disponible
le jour de la grève. La commune a choisi d’utiliser le lieu de l’école
pour ne pas perturber les enfants ni les parents. De plus les services
de garderie et de restauration seront maintenus si le personnel n’est
pas aussi en grève.
Des raisons de responsabilité :
La loi indique que la responsabilité administrative de l’état se substitue à
celle de la commune mais il prévoit aussi la protection juridique en cas
de poursuite pénale. Il s’agit d’un temps d’éducation nationale mais les
enfants sont encadrés par du personnel mis en place par des mairies
et dans des lieux municipaux ! Des interrogations subsistent malgré
tout. On imagine bien qu’en cas d’accident le parent ou le personnel se
retourne contre le maire.
transfère la responsabilité et la charge d’un temps qui le concerne sur
les communes avec suffisamment de flou dans le texte pour que nous
posions de nombreuses questions d’organisation. Pour toutes ces raisons,
notre commune est co-signataire d’un texte proposé par les communes de
l’agglomération Rennaise pour demander au législateur de reconsidérer les
modalités de ce droit d’accueil.
Organisation retenue pour la Commune
de l’Hermitage
Le taux d’encadrement visé sera de 1 adulte pour 15 enfants accueillis,
l’accueil s’effectuera dans l’ensemble des locaux disponibles de l’école
en privilégiant les espaces communs, il sera récréatif. En fonction de
l’ampleur du mouvement et au vu des conditions d’urgence dans
lesquelles il sera mis en place, ces taux d’encadrement pourraient ne pas
être atteints. C’est pourquoi, il est demandé aux familles des enfants
concernés qui peuvent s’organiser autrement ce jour là, de ne pas mettre
leur enfant à l’école.
Un courrier sera envoyé aux familles, dès que la municipalité sera
informée par l’Académie du nombre de professeurs susceptibles d’être
en grève, pour que les parents inscrivent leur enfant (seul les enfants
inscrits seront acceptés).
Les temps périscolaires (matin, midi, soir) ne sont pas concernés par
cette loi, et le droit d’accueil ne s’y applique donc pas. Cependant la
mairie, comme précédemment, fera son possible pour les assurer.
Bien entendu, les agents municipaux, qui n’ont pas d’obligation de se
déclarer gréviste à l’avance peuvent aussi être en grève ce jour là.
Si, malgré son travail d’anticipation, la mairie juge que le nombre
d’adultes présent ne permet pas l’accueil dans des conditions
de sécurité suffisante, le service ne serait pas mis en œuvre.
Dans ce cas vous serez alors prévenus par affichage à l’école ( la veille si
possible ou le matin même).
Pour la grève du Jeudi 20 Novembre, tous les enseignants de l’école
élémentaire étaient en grève, le service minimum d’accueil (SMA) a
fonctionné et a permis l’accueil de 33 enfants encadrés par 3 personnes
travaillant habituellement sur le temps périscolaire. Ce service à bien
fonctionné pour les raisons suivantes :
• Les parents ont privilégié en priorité les modes de garde
palliatifs : familles, voisins, assistantes maternelles…
(33 enfants accueillis sur 189) et nous les remercions pour
ce choix.
• Pas de grève dans la fonction territoriale
• Les enseignants ont prévenu suffisamment tôt la municipalité
pour organiser le SMA.
Pour ces raisons je remercie les personnels municipaux qui ont travaillé
sur le SMA, les enseignants et les parents en espérant vous avoir apporté
des précisions utiles sur la mise en place du droit d’accueil à l’Hermitage.
Michel Ecolan
Adjoint délégué à la vie Scolaire
Enfin des raisons politiques :
Cette loi remet en cause un acquis social qui est le droit de grève.
Il est évident qu’une grève perturbe le fonctionnement normal de
l’école. Que certaines familles sont vraiment gênées et ne peuvent pas
toujours bénéficier de l’entraide familiale ou de voisin. Ce service ne
devrait être mis en place que pour ces familles. Le nombre d’enfant à
accueillir serait moindre et il paraît dans ce cas plus envisageable. Ainsi
les tensions que l’on peut imaginer entre le personnel qui sera présent,
les enseignants dits grévistes et les parents seraient moins fortes.
Le service minimum ne devrait s’appliquer qu’aux familles qui en ont
réellement besoin, la crainte est que cet accueil devienne un droit et
que les communes se retrouvent avec des classes entières à accueillir.
Malgré la prise en charge financière par l’état, ce qui est un minimum,
l’organisation de cet accueil est difficile voire impossible selon le nombre
d’enseignants en grève. Imaginons une école entière en grève et que
tous les parents souhaitent bénéficier de ce service !!! Comment trouver
le nombre suffisant de personnes pour encadrer les enfants ? Cela s’est
sans tenir compte des grèves éventuelles de la fonction publique. L’état
Infos Municipales
École primaire
École maternelle
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Dis,
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vient
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Culture
de ma rue
Reprenons la toponymie des rues et
lieudits de L’hermitage après la Basse
Chèvrie, et toujours dans
les B, voici :
B…comme Beauvais
Allée de Beauvais (C4)
L’allée de Beauvais
En vieux français une bovée est la
surface qu’un boeuf peut labourer en
une journée. En
patois (gallo) un bové est d’ailleurs un
boeuf = bovin.
Par transposition, la toponymie de
Beauvais, ville de l’Oise, révèle une
origine gallo-romaine. La
ville est nommée Bellovacum
ou Bellovacis. Le nom
proviendrait de Bellovaques.
Il s’agit en fait du nom d’une
tribu gauloise : les bellovaques,
peuple celte d’origine belge
qui lutta avec Vercingétorix
contre César. L’étymologie
donne : « ceux qui luttent
en hurlant » de bello = fort
et hurler et Vac = guerre.
L’hermitage compte un lieudit
(pâturages) et une allée de
Beauvais, les deux se situent
en pleine zone artisanale de
la Hautière. Beauvais apparaît écrit de cette façon et sur la carte
CASSINI et sur le cadastre napoléonien. Ce dernier fait état
d’anciens hameaux : la Lande de Beauvais et ses pâturages et le
champ de Beauvais( très ancien village dont il ne reste aujourd’hui
qu’une ferme sur la commune de Mordelles au lieudit « Les champs
de Beauvais ») ils formaient la partie ouest de la commune en limite
de celle de Mordelles.
L’exploitation agricole qui appartenait à la famille PILARD au 18ème
siècle puis à la famille BUSNEL après la 1ère guerre mondiale, a été
reprise par la commune en 1973 pour y créer la ZAC. De l’ancien
hameau, il ne reste que quelques habitations qui bordaient le chemin
qui menait à la ferme dite métairie sur les relevés parcellaires.
Carte du cadastre dit Napoléonien (1829)
L’allée de Beauvais a été nommée par le conseil municipal
le 22 juin 2000 : elle concerne l’ensemble de l’ancien lieudit
Beauvais côté uest de la rue de Mordelles. L’ancien lieudit
Beauvais (D4) et l’allée de Beauvais sont situés vers le milieu
la ZAC d’un côté et de l’autre de la route de Mordelles.
B…comme Bérangeraie
Allée de la Bérangeraie (H1 et H2)
En Haute Bretagne, on ajoute les suffixes ais, ière et erie à un
descriptif ou le nom d’un propriétaire pour nommer une propriété
complète, un hameau ou un village.
L’origine de cette dénomination est le nom du champs indiqué sur
le relevé parcellaire.
L’éponyme de Bérangeraie pourrait être une famille Bérange/
Béranger/ Bérenger/Berrenger.
Bérenger de Poitiers né vers 1120 était écolâtre, célèbre défenseur
d’Abélard dans une lettre « Héloïse et Abélard » adressée à Saint
Bernard.
L’allée de la Bérangeraie se trouve derrière les premiers
logements HLM créés sur L’hermitage : elle longe le lotissement
des communes.
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Le premier geste de not
a été de rebaptiser
Christian LE MAOUT,
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en mai 20 08
Commanderie.
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Ainsi « la salle de bar
(1945/20 06 ), en
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salle René Ducluzea
son gardien pendant
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mémoire de
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presque quarante ans
B…comme Le BOBERIL
Lieudit le BOBERIL (C6/D6)
Il s’agit là d’un éponyme car l’origine de ce lieudit est le nom de
son propriétaire : le vicomte Du BOBERIL. Le lieudit comprend
aujourd’hui la Ferme du Boberil, exploitée par la famille BOSSARD
depuis le 14ème siècle, le très ancien manoir en ruine gardé par le
grand chêne séculaire, la maison construite dans les années 60 car
le manoir n’était plus habitable par la famille JOUET qui exploitait
la ferme du Manoir, la ferme du Noë Boberil (en limite de Le Rheu)
ainsi que les terrains agricoles entourant ces lieudits.
L’histoire de cette famille sur L’hermitage remonte à Geoffroy Du
Boberil au 13ème siècle. Ce comté aurait été érigé en châtellenie
en 1578 par Henri III. La famille Du Boberil était fondatrice et
bienfaitrice de l’église de L’hermitage. D’ailleurs ses armoiries et son
enfeu sont toujours visibles.
Desdiscere latine !
Chercher l’origine du nom d’un lieu fait appel à plusieurs sciences associées à la toponymie:
l’anthroponymie, qui consiste à étudier les noms des personnes et l’étymologie est la science qui étudie l’origine du mot.
Lorsque une personne donne son nom à un lieu, on parle d’éponyme.
Lorsque deux mots se ressemblent dans la forme ou la prononciation, on parlera de paronymie. Enfin, le diminutif d’un nom (langage
affectif), sera qualifié d’hypocoristique ! Les recherches s’effectuent sur des sources linguistiques quelques fois anciennes : en vieux
français, latin, gallo-romain, breton ou en patois local - pour nous de haute Bretagne- le Gallo. Du fait de la richesse et la diversité
des noms bretons, le résultat de la toponymie est rarement figé.
C’est pourquoi il sera toujours donné dans notre étude plusieurs propositions.
9
10
Le chapitreau et la fenêtre trilobée
Fenêtre du Manoir
Elle avait le droit de Haute Justice
qu’elle exerçait dans le bourg ou
directement au manoir. Elle était à
l’origine du marché hebdomadaire
du jeudi et de trois foires annuelles.
Le jour de la Saint Marc, une
assemblée avait lieu devant la
chapelle Saint Marc qui n’existe plus
(seule reste à cet endroit la croix
de Saint Marc derrière la Chèvrie).
Ce pourrait être de sa destruction que
provient sans doute le porche de bois
de charpente construit vers 1550. Il
reste du « château » l’ancien logis de
pierre et terre construit au XIVème et
remanié aux XV et XVIèmes siècles,
des restes de douves (il y aurait eu
un mur d’enceinte, des douves, un
pont levis et une tour de guet à
l’entrée), une grange en terre et les
restes d’un pigeonnier érigé en tour.
Les propriétaires n’habitaient plus
le manoir au début du 17ème siècle
préférant le château de Molant de Bréal
sous Monfort hérité lors du mariage
de Vincent II Du Boberil, chevalier de
l’ordre du roi, et de Françoise d’Ust,
dame du Molant. Jacques leur fils se
maria à Marguerite De Coëtlogon, fille
du seigneur de Méjusseaume, l’autre
seigneur de L’hermitage. L’actuel comte
Du Boberil toujours propriétaire vit dans le
château familial de Beauchêne en Mayenne
réputé pour son jardin ouvert au public.
Les différents cadastres et relevés
parcellaires font état du nom (quelques
fois inscrit Bobril) à plusieurs reprises
: Chemin de Noë du Boberil, Métairie
de la noë du Boberil, la janais du
bobril, la coudrais du bobril, le grand
domaine de la métairie du Bobril : ces
noms correspondent aux chemins et
aux prairies appartenant au domaine.
Le Boberil est situé sur la route de
Mordelles sur la gauche à environ deux
kilomètres.
Carte du cadastre dit Napoléonien (1829)
B…comme
BOTREL
Rue Théodore
BOTREL (F3)
(Barde/chanteur né à
Dinan en 1868 et mort à
Pont Aven en 1925)
« Employé de la Compagnie
des chemins de fer, il commence à chanter dans
des cabarets parisiens, tout en conservant son
emploi jusqu’en 1898. Compositeur prolifique, il
se fait connaître en France et même à l’étranger
grâce à sa chanson LA PAIMPOLAISE.
Pendant la guerre de 14/18, il est barde aux
armées et chante bénévolement sur tous les
fronts. Souvent critiqué, il n’en reste pas moins
un chanteur qui a connu un immense succès
populaire, notamment dans les campagnes
bretonnes et a laissé plus de deux cents chansons
souvent émouvantes et des poèmes divers sur la
Bretagne.
Il meurt à Pont Aven au retour d’une tournée
aux Etats Unis. »
B…comme BREAL
Allée du Bréal (H2)
Voici une rue qui ne nécessiterait aucune
recherche approfondie s’il s’agissait d’une rue
de destination : Bréal sous Montfort. Bréal qui
a en commun avec L’hermitage ses seigneurs les
Du Boberil.
Dans les écrits anciens on a mention de parochia
de breal en 1157 et ecclesia de Bréial en 1202.
Parmi plusieurs seigneuries, Bréal compte donc
les Du Boberil dont l’une des héritières habite
aujourd’hui encore le château du Molant qui se
trouve vers les étangs de Cramoux.
La fenêtre orientale de la chapelle du Molant
de l’église Saint Malo de Bréal sous Montfort
dispose de vitraux peints et les écussons des
familles Ust et Du Boberil.
En 1678 Louis Du Boberil déclare obtenir
prééminences, chapelle prohibitive, lisière et
tombe devant l’autel. En effet y sont enterrés en
1750 Julienne Hevin (la fille du jurisconsul) veuve
de René Du Boberil et René Henri Du Boberil.
Le château du Molant appartenait aux familles
LEVESQUE de 1388 à 1427 : Guillaume
LEVESQUE mort en 1388, seigneur d’Ossac et
du Molant était l’époux de Jeanne de Montfort.
En 1513, il appartenait à la famille UST, puis
aux Du Boberil en 1562 par le mariage de
Françoise D’Ust, Dame du Molant et Vincent II
Du Boberil.
Le huguenot Montbarot plaça une garnison en
1593 au Château Du Molant, et une autre à
Méjusseaume. Le château de Méjusseaume a été
totalement détruit (il ne reste plus qu’une motte
: en limite de L’Hermitage et le Rheu), celui du
Molant a été reconstruit au XVIIIème siècle.
Bréal en gallo se dit béreau. Mais Bréal peut aussi
être une déformation du vieux français préal ou
preail qui signifie vieux pré.
Et c’est cette origine que nous retiendrons de
cette allée car, nommée lors de la construction
du lotissement des communes, elle reprend
tout simplement le nom du lieu « bréal »
porté sur le cadastre : il s’agissait d’un pré.
Le domaine en 1900
Culture
Sources : cadastre, relevés parcellaires,
archives municipales et départementales, dictionnaires.
Photos et reportage : Marie-Pierre Bocherel,
conseillère déléguée à la préservation du patrimoine
Devoir de mémoire
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1918
1918
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On oubliera.
Les voiles du deuil, comme les feuilles mortes,
tomberont.
L’image du soldat disparu s’effacera lentement…
Et tous les morts mourront
pour la deuxième fois.
Roland Dorgeles « les croix de bois »
Novembre aura été le mois du
souvenir, un travail de recherches,
de
création,
d’organisation
qui a abouti à de très belles et
émouvantes manifestations. Tous
se sont mobilisés pour ce devoir de
mémoire : les enfants des écoles,
les équipes pédagogiques, les
associations d’anciens combattants
et leurs partenaires, la municipalité
(élus, personnels, bibliothèque),
les pompiers, les représentants
des différentes armées et
l’ensemble des Hermitageois , par
le prêt d’objets ou documents
personnels, leur témoignage ou
simplement leur participation aux
manifestations. Tous ont rendu un
très bel hommage à ceux qui ont
combattu, qui ont souffert, ceux qui sont morts pour notre liberté.
Pour que nous n’oublions jamais ce qui s’est passé, pour que les
derniers témoins encore vivants sachent qu’après eux, d’autres
pérenniseront leurs souvenirs : c’est notre devoir de mémoire.
Merci à tous ceux qui ont participé et assisté à ces événements.
Un hommage à ceux qui ont combattu
pour notre liberté et sont tombés
Vingt-deux noms sont inscrits sur notre monument aux morts.
Vingt-deux jeunes gens qui se sont sacrifiés pour notre liberté.
À ces vingt-deux noms nous allons ajouter celui de Pierre Marie
ROUAULT que l’histoire a oublié.
Cette découverte n’est pas exceptionnelle, les méthodes de
recherche ont bien évolué depuis la fin de ce conflit grâce aux
travaux sur les archives et à l’informatique.
90 ans après la fin de cette dramatique tragédie, c’est notre devoir
de l’honorer lui plus particulièrement mais tous ceux qui ont
combattu, ceux qui y sont restés, les gueules cassées, les victimes
civiles, les familles qui ont perdu un être cher, parfois deux voir
plus. A tous ceux qui sont revenus, meurtris pour le reste de leur
vie. Aux derniers poilus encore en vie dans le monde.
Pour que nous n’oublions
jamais.
Monsieur André CHOUAN, maire dépose une gerbe accompagné de deux écolières et lira le discours
adressé par le Ministère pour ce 90ème anniversaire
de l’armistice du 11 novembre 1918.
Le levé de drapeau et la cérémonie officielle
Le groupe des officiels de gauche à droite: M. LEMARRE, ancien combattant AFN, M. MALAGRE,
président des associations des anciens combattants, Monsieur le Maire, M. FONTAINE ancien
combattant 39/45, M. ROGEMONT, député, M. LE MAOUT, Maire honoraire, Mme BOCHEREL,
élue correspondante défense, Messieurs TILLON et notre doyen, anciens combattants 39/45 .
Au deuxième rang, M. VILBOUX, élu délégué aux Anciens combattants et deux représentants des
armées. Au fond, la fanfare.
Une cérémonie solennelle,
haute en couleurs et émotions
11
12
Exposition du 11 novembre à la Salle Le Vivier
Le parcours des vingt-deux poilus morts pour la France retracé par les
enfants des écoles, accompagnés des anciens combattants.
Vingt-trois roses seront déposées sur le monument par les enfants.
La 11ème heure du 11ème jour du 11ème mois de l’année
1918 est signé l’armistice de la 1ère guerre mondiale
Le 11 novembre 2008, L’Hermitage
organise une journée du souvenir en
mémoire de ses poilus de la guerre
14/18.
Les allocutions de Robert DUTAY, vice président de l’UNC de L’Hermitage, la
lecture d’un très beau texte par M. MALAGRE « si le monument aux morts
parlait », l’annonce par Mme BOCHEREL de la découverte du 23ème poilu
oublié, le discours de Monsieur le Député sur le devoir de mémoire.
À cette occasion il a été fait appel à la générosité des Hermitageois
et des collectionneurs qui par le prêt d’objets ayant appartenu aux
poilus de leur famille ont contribué à la réussite de cette exposition.
Plus de 500 visiteurs ont pu découvrir ou redécouvrir cette grande
guerre. Trois à quatre générations, qui ont partagé des souvenirs,
qui ont échangé sur le thème de la guerre, de la souffrance et de
la paix.
…une exposition composée uniquement d’objets
d’époque familiaux ou de
collectionneurs…
…les travaux de recherche
des enfants des écoles primaires sur nos poilus…
L’hymne européen chanté par les enfants des écoles Eugène ALLANIC
et Saint Joseph
Le défilé des pompiers
volontaires, de la fanfare et
des anciens combattants.
Armes, objets des tranchées,
équipements du poilus,
correspondances…
…projections
de documentaires
des archives de l’armée…
et 23 roses en l’honneur de nos
poilus morts pour la France
Devoir de mémoire
tout un travail de mémoire
pour comprendre cette guerre,
pour honorer ces hommes
et ne pas oublier.
Devoir de mémoire
Qui était ce soldat inconnu : notre 23ème poilu
mort pour la France ?
Pierre Marie ROUAULT
Animations autour de la Grande Guerre à la bibliothèque
du 12 novembre au 29 novembre 2008
La GRANDE GUERRE
à la Bibliothèque municipale
Les enfants se font « petits artistes de la mémoire » en illustrant le
parcours des 23 poilus de L’Hermitage . Ce travail d’abord exposé dans
la salle le Vivier lors de la journée du souvenir, puis à la bibliothèque,
a ensuite accompagné l’exposition de l’Office National des Anciens
Combattants « La Grande Guerre » présentée à la bibliothèque
municipale du 17 au 29 novembre 2008.
Présentation des panneaux effectués
par les enfants des écoles primaires
Eugène ALLANIC et ST Joseph
…les travaux de recherche des enfants
des écoles primaires sur nos poilus et la
Grande Guerre…
…documentaires, romans,
bandes dessinées, films DVD…
Un fonds particulier a été acquis
par la bibliothèque…
Il était le grand frère d’Arsène ROUAULT, mort lui aussi pour la
France au combat de Fleury près de DOUAUMONT dans la Meuse
en juillet 1916, et porté sur notre monument aux morts. Pierre Marie
est né le 9 décembre 1888 à Muel. Il était le fils de François ROUAULT
et Eugénie COLLIAUX de Saint- Méen Le Grand. Célibataire, il était
domicilié à L’Hermitage, comme son frère. Soldat, il était incorporé
au 9è RI sous le matricule 2812. Il est décédé deux ans après son
frère le 26 octobre 1918 à Origny Sainte Benoîte dans l’Aisne
quelques jours avant l’armistice.
Il avait 29 ans
Nous n’avons pas connaissance de son lieu d’inhumation.
Son décès est bien reporté sur le registre des décès de L’Hermitage.
L’acte enregistré en décembre 1918 à Argenlieu dans l’Oise,
retranscrit par le bureau des archives militaires que le 29
septembre 1919 , nous est parvenu en octobre 1919. Le maire
de l’époque, Monsieur DEPOUEZ a ajouté dans le registre des
décès la transcription en date du 11 octobre 1919. Pour une raison
que nous n’expliquons pas, le nom de Pierre Marie ROUAULT n’a
jamais été porté sur notre monument aux morts, ni sur la plaque
commémorative de l’église ou le tableau des honneurs conservé en
mairie.
Il n’est pas porté sur les monuments et registre de Muel ou St Méen le
grand, domicile de ses parents. Il est bien porté « Mort pour la France »
dans les archives de l’armée (site : mémoire des hommes).
Très prochainement nous graverons son nom sur notre monument
aux morts.
Reportage : Marie-Pierre TEXIER BOCHEREL,
déléguée à la conservation du patrimoine et correspondante défense.
Photos : MPB, les jeunes de la Maison Simon et Jeannine BIGOT.
Tous droits réservés.
Pierre Loti parlant des tranchées :
« Par degrés, nous pénétrons dans
ces zones inimaginables à force
de tristesse et de hideur que l’on a
récemment qualifiée de lunaires.
Mais dans la lune, au moins il pleut
pas. Tandis qu’ici tout cela est plein
d’eau. A l’infini, ce sont des séries
de cuvettes trop remplies que
l’averse inexorable fait déborder les
unes sur les autres »
...la Grande Guerre sous toutes ses formes
Ci dessus le monument
aux morts d’Origny
Ste Benoîte.
Ci dessous quelques
tombes de soldats
tombés à Origny et le
monument érigé
en mémoire des batailles
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Extrait du registre des décès de L’Hermitage
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L
L’assainissement non collectif…
non collectif...
Aujourd’hui en France 5,3 millions d’installations ne pouvant être raccordées au réseau d’assainissement collectif disposent
d’une installation d’assainissement non collectif (ANC) Afin d’assurer le contrôle de ces installations, et éventuellement de
les réhabiliter, les communes ou les groupements de communes ont eu l’obligation et la charge de mettre en place avant le
31 décembre 2005 un service public d’assainissement non collectif plus communément appelé SPANC. Les points présentés
ci-après sous forme de questions/réponses, ont pour but de vous informer en tant qu’usager du SIAAOR, que vous soyez
propriétaire, locataire, ou occupant d’une habitation non raccordée au réseau d’assainissement.
Qu’est ce que l’Assainissement
Non Collectif appelé ANC ?
C’est le terme utilisé par la réglementation, pour désigner tout
système effectuant la collecte, le pré-traitement, l’épuration,
l’infiltration dans le sol des eaux usées domestiques des
immeubles non raccordés au réseau public d’assainissement.
Historique
La loi sur l’eau du 3 janvier 1992 a imposé aux communes de
mettre en place un service de contrôle des assainissements non
collectifs sur leur territoire. En septembre 2000, six communes
se sont regroupées pour créer le Syndicat Intercommunal
d’Assainissement Autonome de l’Ouest de Rennes. En 2001,
deux autres communes ont souhaité intégrer ce syndicat.
Chacune a ainsi transféré sa compétence «assainissement non
collectif» au SIAAOR qui est aujourd’hui composé de huit
communes : La Chapelle Thouarault, Chavagne, Cintré, Le
Rheu, L’Hermitage, Mordelles, Le Verger et Vezin le Coquet.
En matière de réglementation…
La réglementation est issue de la loi N° 92-3 du 3 janvier 1992
dite Loi sur l’eau qui impose aux collectivités la création d’un
Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC). Il a vu
son rôle conforté par la loi sur l’Eau et les Milieux Aquatiques
(LEMA) du 30 décembre 2006. Le Code de la Santé Publique
(CSP), le Code de l’Environnement et le Code Général des
Collectivités Territoriales (CGCT) fixent des règles précises en
matière d’assainissement non collectif. L’arrêté du 6 mai 1996
fixe, quant à lui, les prescriptions techniques applicables aux
systèmes d’ANC et les modalités du contrôle technique que se
doivent d’exercer les communes sur ces systèmes.
Une technicienne, salariée du SIAAOR, assure ce service
de proximité et intervient auprès des particuliers souhaitant
réhabiliter leur installation. Elle conseille, informe et assure les
contrôles de bon fonctionnement. Elle émet des avis techniques
sur la conception, la réalisation et l’entretien de votre dispositif
d’assainissement. Au 31 décembre 2008, le syndicat environ
400 installations chez les particuliers.
Le contrôle de mon installation estil obligatoire et à quelle fréquence ?
Oui, il est imposé par la loi sur l’eau. C’est la technicienne du
SIAAOR qui assure le contrôle. Il peut s’agir soit d’un contrôle
de conception et de bonne exécution des travaux pour les
installations neuves ou réhabilitées, soit d’un contrôle périodique
de bon fonctionnement réalisé tous les 4 ans. La fréquence fixée
à quatre années correspond au rythme des vidanges des fosses
toutes eaux. De 2004 à 2007, 1.600 installations ont ainsi été
visitées et contrôlées sur les 8 communes du SIAAOR.
Qui doit payer la redevance ?
Le contrôle d’une installation neuve ou réhabilitée est
facturé au propriétaire de l’immeuble.
Le contrôle de bon fonctionnement est à la charge de
l’occupant.
Entre 2004 et 2007, la redevance s’élevait à 47,47 e TTC
par an (soit 189,90 e TTC pour 4 ans). Depuis le 1er
janvier 2008 son montant a été ramené à 40 e TTC (soit
160 e sur 4 ans).
Les coûts des contrôles de conception et de réalisation sont
respectivement de 50 e et 70 e TTC.
Qu’est ce qu’un SPANC ?
C’est le Service Public d’Assainissement Non Collectif qui devait
être crée obligatoirement dans chaque collectivité avant le 31
décembre 2005. Son fonctionnement est régi par un « règlement
de service » qui fixe les règles et rappelle les obligations de
chacune des parties : usagers et SPANC. Le SIAAOR a crée son
SPANC en 2004. Comme le service d’assainissement collectif, il
est entièrement financé par la redevance des usagers et non par
l’impôt. Le budget de fonctionnement du SIAAOR trouve donc
son équilibre uniquement au travers de la redevance perçue
auprès des usagers de ce service.
Quels sont les objectifs
et les missions du SPANC ?
•C
onseiller les usagers et les professionnels comme les
installateurs,
• Contrôler la conception et la réalisation des installations
nouvelles ou réhabilitées,
• Contrôler le bon fonctionnement des installations existantes.
Ecologie et développement durable
Contacts :
Delphine CHALIN (Technicienne)
02.99.64.02.34
Andrée GLEMEAU (Secrétariat et Comptabilité)
Mairie de Chavagne
02.99.64.38.42
Toute correspondance est à adresser à :
Monsieur le Président du SIAAOR
Mairie de L’Hermitage
35590 L’Hermitage.
Courriel : [email protected]
Infos Municipales
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Vivre
L’Hermitage
Autrement
Vivre L’Herm
Premier bilan de notre action
Commissions Rennes Métropole
Que faisons-nous ?
Finances , Personnel et
Commissions municipales de l’Hermitage
Finances , Affaires sociales Lamy, Buisine
Environnement, Urbanisme et
Vie quotidienne Lamy, Herbinot
Affaires culturelles et sportives,
communication et Associations Busnel, Seydoux
Éducation, Jeunesse et Transport Herbinot, Buisine
Appels d’offres
Lamy
Salle Festive
Herbinot
Administration générale Buisine
Économie , Enseignement Supérieur
Recherche Buisine
Aménagement et Habitat
Lamy, Herbinot
Cohésion Sociale Lamy
Collecte et Valorisation des déchets
Lamy
Prospection et Développement durable
Lamy
Formations
Finances Lamy, Busnel, Herbinot, Buisine, Seydoux
Réunions Spécifiques
Urbanisme Élaboration nouveau Plan Local d’Urbanisme (PLU - ex POS) :
Visites
L’Hermitage dans les 20 années à venir
Sites SEVESO Salle Festive : Etude du projet - élaboration du cahier des
Station d’épuration Lamy, Buisine
charges tenant compte du développement durable
Ateliers Municipaux
Lamy
Lamy, Busnel, Herbinot, Buisine
Lamy
Résultat ?
Nous intervenons de façon pertinente lors des commissions, et
Conseils Municipaux. Nous opérons un réel travail d’opposition
constructive.C’est-à-dire :
• Se faire expliquer toutes les décisions de la Municipalité
• Être force de proposition dans les débats et les choix,
fidèles aux fondements de notre programme.
Nous sommes à votre écoute et à votre
disposition.
N’hésitez pas à nous contacter
Les élus de Vivre L’Hermitage Autrement 
La halte-garderie « Tom Pouce » est une structure parentale.
Elle est le lieu de rencontres, de socialisation, d’éveil pour les
jeunes enfants dont les familles résident à l’Hermitage mais aussi
dans les communes environnantes (La Chapelle Thouarault,
Bréteil, Saint Gilles, Pacé, Vezin le Coquet...).
La structure est ouverte les lundis, mardis, mercredis, jeudis,
vendredi en périodes scolaires et peut accueillir 12 enfants par
matinée (référence agrément D.D.A.S.S.).
Les enfants sont pris en charge par une éducatrice diplômée
d’Etat et un parent. En effet une structure parentale implique
des permanences assurées par les parents pour accompagner
l’éducatrice dans ses fonctions.
L’éducatrice apprend à connaître au mieux chaque enfant et
veille à ce que le rythme et les habitudes de l’enfant accueilli
soit respecté de tous.
et faire le lien avec son parent ou son accompagnateur qui est
parfois l’assistante maternelle.
Les jeux d’éveil, de découverte, d’apprentissage sont proposés
en fonction des besoin et des capacités des enfants.
Un nouveau système de réservation (contrat d’accueil) vous
assure toujours une place pour votre enfant.
Depuis le 1er janvier 2005, la prestation de service unique
(P.S.U.) à été mise en place. Ainsi, le tarif horaire des présences
de l’enfant est calculé en fonction des revenus de la famille (avis
d’imposition référent) et aussi selon la composition familiale
(nombre d’enfants). Le tarif horaire est calculé en appliquant le
taux ci-dessous, aux revenus annuels déclarés : 12
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Tom
Pouce
h
e
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TomP
Chaque enfant doit trouver sa place au sein du petit groupe.
Aussi des moments d’adaptation sont prévus pour permettre au
mieux les échanges indispensables référant à l’enfant pour lui
permettre de vivre une séparation tout en douceur.
La présence du permanent, l’éducatrice assure le suivi de
l’enfant. Elle est son référent son repère et est là pour accueillir
calcul = 14 000 € / 12 x 0,05 % = 0,58 € / Heure (soit 3,83
FF / Heure)
Toute famille ayant un enfant handicapé à charge bénéficie
d’un tarif horaire minoré : le tarif horaire appliqué est celui au
taux inférieur (ex : 2 enfants dont un handicapé : tarif horaire
appliqué, celui pour 3 enfants)
Majoration pour les familles n’habitant pas l’Hermitage et la
Chapelle Thouarault. Le tarif horaire calculé est majoré de 0,30 €/ h.
Composition de la famille
Type Accueil
1 enfant
Accueil parental
taux horaire
Exemple : revenus annuels : 14 000 € et un enfant :
0,05
2 enfants 3 enfants 4 enfants
0,04
0,03
0,02
Pour toutes informations complémentaires,
vous pouvez venir nous rencontrer sur place à la halte
place de la mairie de l’Hermitage
ou nous téléphoner du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30.
Vous pouvez aussi contacter
madame la présidente de l’association « Tom Pouce »,
madame Rodallec Magali
06 61 09 19 67
15
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L’école
St-Joseph
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L’é
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AA.I.B.
Bonne affluence à la bourse aux
jouets et vêtements de l’A.I.B.
Chaque fois, c’est la même chose, avant l’ouverture, une queue
s’impatiente devant les portes du foyer rural où se déroule la bourse aux
jouets et vêtements de ski, organisée par l’association intercommunale
de bénévolat. « Nous sommes très rigoureuses sur la qualité des articles
déposés », d’où l’affluence des clients venus fouiner, chercher, trouver
des jouets et vêtements de ski en bon état.
La bourse aura été encore un succès pour l’AIB
L’APEL de l’école Saint-Joseph compte pour cette année
scolaire 15 membres, parents d’élèves élus lors de
l’assemblée générale du 10 octobre 2008. Le Bureau a
été renouvelé partiellement, toujours présidé par AnneCécile Chalm.
L’APEL poursuit activement son objectif d’apporter des fonds à
l’école pour améliorer la vie des élèves tout en animant l ‘année
scolaire par diverses manifestations. C’est ainsi qu’elle a organisé
le 7 décembre 2008 le traditionnel spectacle de Noël, au lycée
Sainte-Geneviève à Rennes, avec la participation active des
enfants et de l’équipe enseignante et du personnel de l’école.
Le vendredi 12 et le samedi 13 décembre, les membres de l’APEL et
des parents d’élèves bénévoles ont animé un marché de Noël sur le
thème « déco créative de Noël » devant le Super U.
«
«
les 19, 20 et 21 mars
R.D.V. 2009 : bourse printemps été
, 25 et 26 septembre
2009, bourse automne hiver les 24
embre.
2009, la bourse aux jouets 20 et 21 nov
Pendant les temps de
pause, les mamies
bénévoles s’instruisent
aux nouveaux jeux.
École
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Maternelle
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Des dates à retenir sur vos agendas !»
Pour l’année 2009, l’APEL participera :
• au carnaval de l’Hermitage
• animera les portes ouvertes de l’école le vendredi 24 avril
• organisera la fête de fin d’année, le samedi 27 juin 2008
La rentrée à l’école Saint Joseph
La rentrée à l’école Saint Joseph s’est bien passée.
L’école compte 5 classes pour 135 élèves.
Structure pédagogique :
L’équipe éducative a étérenouvelée après le départ du directeur, M.
Lafficher, remplacé par Mme Meier et le départ en retraite de Mme
Andrieux, remplacée par Marie Dubois et Sylvie Roncier. Sophie
Davitti est en congé parental pour l’année scolaire 2008-2009.
2 classes de maternelle : PS-MS : Janine Bossoutrot agent de
service : Marie Dubois
PS-GS : Marie Madeleine Robert agent de service : Thérèse Poirier
3 classes de primaire : CP-CE1 : Françoise Maussion, CE1-CE2 :
Sandrine Meier et Sylvain Gargadennec le jeudi pour la décharge de
direction.
L’objectif de l’école cette année est d’ouvrir la sixième classe
pour permettre que chaque élève puisse mieux réussir.
Le nouveau bureau des parents
d’élèves de l’école.
Les élèves de GS en musique avec Sébastien
Fraboule dans le projet codage et création
Madame Meier, directrice de l’école maternelle et primaire
Saint Joseph, est à la disposition des familles qui désirent
visiter les locaux, se renseigner sur l’école ou inscrire leur(s)
enfant(s) pour les différentes rentrées de janvier ou d’avril.
Elle vous recevra le mercredi et jeudi toute la journée, le soir
après la classe ou le samedi sur rendez-vous.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous au 02-99-64-17-26.
21, rue de la Poste - 35590 L’HERMITAGE
Tél. - Fax : 02 99 64 17 26
E-mail : [email protected]
Infos Municipales
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Le
mot
du
Président
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Le m
Infos Associatives
L’année sportive 2008 s’achève pour deux sections du club, la pétanque et le cyclo.
Pour les autres sections la saison 2008/2009 bat son plein. Les effectifs du H.A.C.
sont légèrement en baisse mais cette situation ne saurait durer.
Quelques évènements ont marqué l’année 2008, :la montée de l’équipe
première en football, ce qui n’était pas arrivé depuis 19 ans, et le doublé championnat
coupe en volley-ball catégorie « détente » .Ces équipes sont à féliciter.
Toutes les sections du H.A.C.ont en commun cette année le souci de la
meilleure organisation aussi bien dans la formation que le recrutement des bénévoles
sans lesquels les activités sportives de compétition ou de loisir ne seraient pas
possible.
Deux déménagements sont à prendre en compte, la section musculation
qui a pris sa place définitive dans l’ancien dojo, et le siège historique du H.A.C. qui
vient d’être transféré de la rue de la poste à la Commanderie.
Salutations sportives.
Le président du H.A.C.
Bernard QUILY
H.A.C.
V.T.T
.A.C.V.T.T.
H
À partir de 8h00 le dimanche matin, le HAC VTT vous propose :
• VTT : 5 circuits : 15 km familial,
• 25 km amateur, 35 km confirmé,
• 45 km sportif et 55 km super sportif.
Tarif : 5 € individuel (4 € pour les clubs)
Pour les moins de 15 ans : 1 €
Le port du casque n’est pas obligatoire
mais il est fortement conseillé.
• Pédestre : 2 circuits : 9 km amateur
et 12 km confirmé
Tarif : 3 €
Pour les moins de 15 ans : 1 €
Tous les circuits sont balisés et fléchés. Pour les vététistes, les passages ou traversés de routes dangereuses sont surveillés par des
commissaires. L’accueil et l’inscription se feront, à partir de 08h00 à la salle « des familles » au VIVIER. Un café ou un chocolat avec
une part de gâteau vous seront servis avant le départ.
Pour le retour, à l’arrivée pour récompenser les efforts fournis, chaque participant bénéficiera d’une boisson chaude ou froide ainsi
qu’un sandwich.
Avec la participation exceptionnel de Mr D. ce notable de notre commune qui a perdu quelques kilos depuis son inscription à la section
VTT et retrouver la silhouette de ses 20 ans… Malgré de nombreuses demandes il ne veut toujours pas dévoiler son nom et rester
anonyme.
«
Contact :
Benoit Le Marre
Tél : 02 99 64 04 88
Port : 06 87 48 80 89
Jean Pierre Chantrel
Port : 06 24 42 43 25
Alain Gaborel
Port : 06 03 10 79 78
Dernière minute :
démonstration de marche nordique
possibilité de prêt de bâtons. »
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Infos Associatives
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H.A.C.
Football
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A
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H
La section football du HAC a repris cette nouvelle saison avec
un total de 186 licenciés. 62 jeunes footballeurs composent
l’école de foot, dont 4 féminines et 98 représentent les autres
catégories de foot à 11. A signaler également que 20 dirigeants
s’occupent du bon fonctionnement du club et de l’entrainement
des différentes équipes.
Comme convenu en fin de saison dernière, le choix a été fait de
laisser évoluer les -18 ans en séniors afin d’avoir un potentiel de 3
équipes séniors tout en sachant que l’objectif sera de monter les
équipes réserves après celle de l’année dernière en 1ère division
pour l’équipe A.
EFFECTIFS
DÉBUTANTS
POUSSINS
BENJAMINS
- 13 ANS
- 15 ANS
- 18 ANS
SÉNIORS
VÉTÉRANS
ECOLE DE FOOT
FOOT À 11
DIRIGEANTS
22
18
22
18
4
7
51
18
20
Le samedi 22 novembre s’est déroulé le challenge Henri
regroupant 5 équipes de benjamins sous forme de tournois.
Cette année, les tournois de fin de saison se dérouleront les 5 et
6 juin 2009 et nous espérons que vous serez nombreux à venir y
participer ou à y assister.
Toute la section foot du HAC
vous souhaite une bonne et
heureuse année 2009.
Entrainement des jeunes
le mercredi
13 ans
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H.A.C.
Basket
A
H.
Responsable : Alain BOUGAUD – 02 99 78 64 51 ;
Secrétaire : Claudine CHENAIS – 02 99 64 06 61
Adresse site : http://hacbasket.free.fr
E-mail : [email protected]
Bonne nouvelle. Les effectifs augmentent cette année. Ainsi, une équipe de mini-poussins est née. Si vous êtes tentés par la grosse
balle orange, n’hésitez pas à nous rejoindre soit pour jouer, soit pour encadrer une équipe. Bonne ambiance assurée.
Catégories
Année
de naissance
Jours et Horaires d’entraînement
saison 2008 / 2009
Baby
2002 et plus
Mercredi 14h00 - 15h00
Mini poussins (es)
2000 / 2001
Mercredi 13h30 - 15h30
Poussines
1998 / 1999
Mercredi 15h00 - 16h30
Benjamines
1996 / 1997
Mardi 18h30 - 20h00
Minimes filles
1994 / 1995
Cadettes
1991 à 1993
Mardi 20h00 - 21h30
« Dates à retenir
Samedi 7 mars 2009
Soirée pizza des amis duvier
Basket-Ball Salle du Vi
Bonne année 2»009
à tous
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Tennis
Club
de
la
Flume :
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Ten
Infos Associatives
sportivité et convivialité !
Affilié à la fédération française de tennis (FFT), le tennis Club de
la Flume rassemble les joueuses et joueurs des communes de La
Chapelle Thouarault, Cintré et l’Hermitage.
Ce sont aujourd’hui près de 140 adhérents qui pratiquent leur
sport de prédilection en loisir ou en compétition.
L’année 2008 a été une grande année, notamment sur le plan
sportif : après 10 ans d’existence, le Club accède au championnat
régional. En effet, nos équipes premières Hommes et Femmes
accèdent pour la première fois au niveau supérieur, en finissant
parmi les meilleurs départementaux de leur catégories. L’équipe 1
féminine a gagné son ticket pour jouer en division 1 départementale
et l’équipe 1 masculine accède à la division régionale 3.
Nous récoltons là les fruits de notre investissement dans une
politique de formation de qualité, avec l’emploi d’un enseignant
professionnel.
Lors de l’assemblée générale, le 22 novembre 2008, nous avons
fait le bilan de la saison sportive et de l’activité du club et envisager
les projets pour 2009 : au programme la pérennisation du poste
d’enseignant, l’organisation de tournoi, les 10 ans du club, des
animations….. et pour clôturer le tout une nouvelle équipe de
dirigeants : Antoine Letacon (animation), Jean Cyril Fernando
(communication), Nicolas Pruszek (responsable sportif), Pascal
Chauvin (trésorier adjoint), Emmanuel Chilou (trésorier adjoint),
Delphine Bauchet (trésorière), Marie Claude Tanguy (secrétaire),
Jérôme Jouanneau (président).
J’en profite pour remercier Frédérique Forest pour ses 10 années
de bénévolat actif au Tennis Club de la Flume et les différents
dirigeants bénévoles qui ont contribués à faire du club ce qu’il est
aujourd’hui.
Et à ceux qui souhaitent nous rejoindre, nous nous ferons un
plaisir de vous compter parmi nous afin de partager nos valeurs
communes, car au fond notre objectif est de concilier loisir,
compétition, convivialité et implication pour que chacun se sente
bien au TC la Flume.
TC LA FLUME ou, le tennis façon conviviale !
Pour ses 10 ans d’existence, le TC LA FLUME va franchir un
nouveau cap.
Né du regroupement des joueuses et joueurs issus des communes
de L’Hermitage, Cintré et La Chapelle Thouarault, le club fait
désormais partie de ceux qui comptent dans le département.
Tout cela n’a été possible que grâce à vous et aux bénévoles qui
se sont succédés aux responsabilités pour construire l’association
sur de solides bases. J’en profite pour remercier ici tous les
bénévoles qui se sont impliqués et ont donné de leur temps
pour cela. Le bénévolat est un maillon primordial de la réussite
d’une association, le pratiquer n’est pas un sacerdoce, c’est une
ouverture aux autres.
Au-delà de la vie normale d’un club de tennis, une étape clef fut
la réalisation d’un projet club, courant 2005, pour formaliser les
aspirations et les souhaits des adhérents. Aujourd’hui, même s’il
faut toujours se mettre en mouvement pour imaginer le futur,
plusieurs thèmes ont abouti. Mais le principal sujet qui permettrait
désormais de prendre une nouvelle dimension, serait la réalisation
d’un complexe qui est une étape indispensable pour l’évolution de
notre sport et pour la vie du club. Nous comptons sur l’écoute et la
compréhension de nos partenaires des communes pour cela.
2008, grande année, notamment sur le plan sportif !
En effet, nos équipes premières accèdent pour la première fois au
haut niveau, en finissant parmi les meilleurs départementaux de
leurs catégories pour la saison 2008/2009.
L’équipe 1 féminine a gagné sont ticket
pour jouer en départemental 1, et l’équipe
1 masculine va jouer les troubles fêtes en
Régionale 3.
Une première pour le club !
Nous faisons partie des plus petits et
jouons parmi les grands, ceci sans l’aide
de joueurs extérieurs recrutés dans ce
Équipe1 homme
but, ça aussi c’est une victoire !
2009 verra la concrétisation de la pérennisation du poste
d’enseignant qui permet de fidéliser un professionnel, donc de
stabiliser le club. Ce qui augure de perspectives rassurantes pour
l’avenir. Ceci se fera avec le concours financier du conseil régional
et des communes, que je remercie au passage. Seul bémol, pour
durer, l’autofinancement est indispensable. Sans les équipements
ad hoc, comment accueillir plus d’adhérents et comment proposer
plus de créneaux d’enseignement et de jeu à ceux qui le
souhaitent ?
Je n’oublie pas non plus toutes les associations communales, qui,
pour 2008, avec le problème de disponibilité de la salle de sport
2, ont démontré que « solidarité » n’était pas qu’un mot. Par la
recherche de solutions et par leur adaptabilité face à cet imprévu,
ils ont permis au club de ne pas souffrir de la situation et lui ont
permis de préserver son activité dans les meilleures conditions.
Qu’ils en soient également remerciés ici.
2009 s’annonce bien pour le TC LA FLUME, je dirais donc : que
la fête commence !
P.A. GASCHARD
Président du TC LA FLUME
NOM
Coordonnées
9, allée du Talweg
35590 La Chapelle Thouarault
Jérôme JOUANNEAU
02.99.07.69.11
[email protected]
Fonction
Président
5, rue du Presbytère
35590 L’Hermitage
02.99.64.42.59
[email protected]
Secrétaire
Delphine BAUCHET
24 rue de la Vallée des Rochers
35590 La Chapelle Thouarault
02.99.07.67.82
delphine.bauchet@francetelecom.
fr
Trésorier
Pascal CHAUVIN
8 rue du Panay
35590 La Chapelle Thouarault
02.99.07.63.82
[email protected]
Trésorier
Adjoint
Emmanuel CHILLOU
2 rue de la paillette
35000 Rennes
06.86.53.00.56
[email protected]
Trésorier
Adjoint
Nicolas PRUSZEK
4 impasse du grand courtil
35590 La Chapelle Thouarault
02.99.07.68.79
[email protected]
Responsable
Sportif
Jean Cyril
FERNANDO
Le Pâtis du Chatellier
35590 L’Hermitage
06.76.73.86.78
Chargé de la
communication
Antoine LETACON
8, rue de l’orgerie
35590 La Chapelle Thouarault
02.99.07.61.59
Chargé de
l’animation
Marie-Claude
TANGUY
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La Gym 3 Pommes pour les enfants Venez découvrir la rando avec bâtons !
de 3 à 5 ans
La Gym 3 Pommes, c’est chaque mercredi, une séance
de 9H30 à 10H30 au Dojo, sous la conduite de Pascale
Honthaas, animatrice diplômée, spécifiquement formée à la
pédagogie du jeune enfant.
En toute sécurité, Pascale aide et encourage les enfants à vivre
des situations ludiques et variées pour leur apprendre à découvrir,
seuls ou en groupe, leurs possibilités d’action et d’expression.
Des places sont encore disponibles, n’hésitez pas à vous
renseigner pour inscrire votre enfant au 2ème trimestre, y
compris pour les enfants qui auront 3 ans début 2009.
Depuis cette saison, la Gymnastique Volontaire propose
deux cours de rando avec bâtons le vendredi matin.
Cette nouvelle activité rencontre un certain succès auprès des
publics adultes et seniors, hommes et femmes. Alors pourquoi
pas vous ? Sous la conduite de Yannick Bitauld, animateur
diplômé, venez profiter des bienfaits de la rando avec bâtons,
une marche tout terrain, où l’on s’aide de bâtons pour avancer
et enjamber les obstacles dans des lieux variés. La séance débute
par une mobilisation articulaire et se termine par des situations
d’étirement pour mieux récupérer.
La Gym 3 Pommes
Une gym qui allie détente et bien-être
Marie-France Villéger anime un cours de gym douce-détente
corporelle, depuis plusieurs années, le mardi de 18H45 à
19H45 à la Commanderie, dans la salle banalisée.
La qualité d’animation de Marie-France n’est plus à démontrer,
alors laissez-vous tenter pour ceux ou celles qui désirent concilier
une activation douce du corps pour améliorer ou entretenir sa
forme et une détente physique et mentale pour récupérer du
stress quotidien. C’est aussi une possibilité pour renouer tout en
douceur avec une activité physique.
Venez expérimenter le cours de gym douce-détente corporelle
à l’occasion d’une séance découverte gratuite.
La Gymnastique Volontaire,
c’est aussi un message
Toutes les études le prouvent, la pratique d’une activité physique
régulière, même à intensité modérée, permet de protéger son
capital santé. Il est en effet nécessaire d’entretenir sa condition
physique pour préserver ses aptitudes corporelles et conserver
sa vitalité. N’hésitez pas à vous renseigner pour vous inscrire,
au deuxième trimestre, à l’un des cours de la Gymnastique
Volontaire.
Infos Associatives
La randonnée avec bâtons
Cette marche dynamique renforce la tonicité générale en
engageant toutes les chaînes musculaires, soulage les articulations
en répartissant le poids du corps sur les 4 membres et induit
une bonne dépense énergétique. N’oublions pas la convivialité
et la bonne humeur qui règnent dans les groupes permettant
aux participants de profiter agréablement de leur séance.
Deux groupes sont constitués, chaque vendredi, pendant
1H15, de 9H00 à 10H15 et de 10H30 à 11H45. N’hésitez
plus, il reste encore des places, alors renseignez-vous sans
attendre.
Pour tout renseignement,
merci de contacter
Patrick Beudin au 02 99 64 19 03

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