OUVERTURE du nouveau SUPER U le 25 février 2009
Transcription
OUVERTURE du nouveau SUPER U le 25 février 2009
Magazine Municipal - Janvier 2009 • Édito - État civil Au revoir Marcel OUVERTURE du nouveau SUPER U le 25 février 2009 2 •Les Élus visitent les Entreprises De Sangosse et Leseur 3-4 • Spécial Interview : Loïc Frin Directeur du Super U 5-7 • Le service minimum d’accueil 8 • Dis, d’où vient le nom de ma rue 9-10 • Anniversaire de l’armistice 14 – 18 11-13 • S.I.A.A.O.R. 14 • Vivre l’Hermitage Autrement TOM POUCE 15 • A.P.E. A.P.E.L. École Saint-Joseph Bourse aux vêtements 16 •Le mot du président du H.A.C. H.A.C. V.T.T. 17 • H.A.C. Football H.A.C. Basket 18 • Tennis club de la Flume 19 • Éducation physique et gymnastique volontaire 20 6cYg8=DJ6C! BV^gZZiaZXdchZ^abjc^X^eVaYZaV Vous trouverez dans ce magazine un calendrier 2009 ainsi que la mise à jour du guide de la commune à plier en “accordéon”... n°38 ?6CK>:G ? & ?djgYZaÉ6c ;wKG>:G & K ' 7Vh^aZ A ' EghZciVi^dc H ( <ZcZk^kZ H , ;a^X^i 9 - ?VXfjZa^cZ H &) BVi]^aYZ 9 &* 8aVjYZ A &+ ?ja^ZccZ 9 &. :bbV A '% DYZiiZ H '& 8abZcXZ 9 '' >hVWZaaZ A '( AVoVgZ B ') BVgY^"<gVh B '* 8ZcYgZh * A '( E}fjZh 9 '+ HdjkZc^g A ', O^iV B '- I]dbVh H '- GdbV^c ? '. <^aYVh H '- <dcigVc 9 '. <laVYnh A (% 6bYZ B (& 6ccdcX^Vi^dc ? '& 6hXZch^dc K '' :b^aZ H '( 9^Y^Zg ? '( <Zdg\Zh 9 ') 9dcVi^Zc K ') ;^YaZ A '* Hde]^Z H '* BVgX ? '+ AVg^hhV K ', =VW^W K (% BVgi^cZ B ', 6j\jhi^c B '' 6aZmVcYgZ &( B ') 8Vi]Zg^cZ B '* 6ccdcX^Vi^dc ? '+ CZhidg K ', =dcdg^cZ H (& BVgXZaaZ &- ? &) BVii]^Vh K &* 9Zc^hZ H &+ =dcdg 9 &, EVhXVa A &- wg^X$Ig^c^i B &. NkZh B '& 6chZabZ 9 '' AV . B '% 7ZgcVgY^c ? &+ 7ZcdiAVWgZ K &, 6c^XZi H &- EVg[V^i ? &. ?dhZe] K '% EG>CI:BEH B ', 6c\aZ A '+ EVjaZ &, ? , <^haZ K - K^Xid^gZ&.)* H . EVXbZ 9 &% A && :hiZaaZ B &' 6X]^aaZ B &* EViZgcZ &' B &, EVig^X` B &- 8ng^aaZ ? &. <VW^c K '% 6^bZ H '& E^ZggZ B '& 6\ch ? '' K^cXZci K '( 7VgcVgY H ') ;gVcd^hH# 9 '* 8dck#EVja A &+ 7cY^XiZ B &( GdaVcYZ B &) BVm^bZ 9 &* Adj^hZ - &+ ? . <Vji^Zg K &% ;jaWZgi H && HiVc^haVh 9 &' E}fjZh A &( >YV B &, 6aZm^h B + EgjYZcXZ B - ?ja^Z && B &% K^k^Zc B && Gdh^cZ ? &' ?jhi^cZ K &( GdYg^\jZ B &- 7ZgcVYZiiZ ) A . ;gVcd^hZ 9 ( A ) HnakV^c B * ?jY^i] &* B , ?#"7Vei^hiZ 9 - ?ZVcYZ9^Zj , ? &' ;a^m K &( 7Vig^XZ H &) KVaZci^c B &) C^cV ? &* Gb^ K &+ BVgXZa H &, GdhZa^cZ 9 &- Eg^hXV A &. BVg^jh 9 * GVbZVjm A + BVgXZaa^c A . 6edaa^cZ B6> K & ;iZYjIgVkV^a H ' 7dg^h ? ' HVcYg^cZ K ( G^X]VgY H ) >h^YdgZ ? * Da^kZ K + 8daZiiZ B &% 6gcVjY B '% HWVhi^Zc &% B ( <jcda B ) 8Vh^b^g ? * BVgY^<gVh B && C#"9#YZA# ( B &( NkZiiZ A ' 8]VgaZh B & =j\jZh K + 8ZcYgZh H , :j\c^Z B , GVnbdcY ? - AjX^Zc K . 6a^m H &% <j^aaVjbZ 9 && EVja^c A &' IVi^VcV + B ) Kgdc^fjZ ' B + BaV^cZ 6KG>A 9 & B ( 7aV^hZ 9 ) :e^e]Vc^Z A * wYdjVgY B6GH 9 & :aaV !'> &) B '- KVag^Z B '. 8Vi]Zg^cZ ? (% GdWZgi B '+ 7gZc\Zg ? '- <ZgbV^c K '. 6nbVg H (% ;ZgY^cVcY 9 (& EZciZXiZ 2 État civil tatcivil ditorial É ÉÉditorial Mesdames Messieurs À l’heure des bilans, des promesses, des bonnes intentions, peut être vous interrogez vous sur le regard que peut porter le maire sur l’année passée et sur celle à venir. Il ne s’agit pas ici de revenir sur les élections, mais bien plus de s’interroger sur les conséquences pour notre collectivité des événements qui secouent le monde financier et social ces derniers mois. Tout d’abord, sachez que notre collectivité n’a pas effectué de placements à risques et n’a donc rien a craindre des faillites et autres avaries financières que l’on voit apparaître autour de la planète boursière. Nos emprunts sont quant à eux réalisés à partir de taux fixes pour les quatre années qui viennent et ne subiront donc pas l’incertitude actuelle des variations. Notre préoccupation première, mais cela a toujours été le cas, sera de gérer au mieux nos ressources. Et ça ne veut pas dire ne pas investir, car dans ce passage délicat, notre mission est de confirmer notre position de donneur d’ordres, de pourvoyeur de chantiers pour les entreprises, bref de soutien a une économie souvent locale qui a besoin de la commande publique pour maintenir l’activité et l’emploi qu’elle génère. Je souhaite que notre budget 2009 donne des signes forts dans ce sens. Car l’emploi est bien le souci majeur de ce début d’année. Les fermetures, licenciements, périodes de chômage, incertitudes sur l’avenir entraînent toutes des détresses auxquelles nous nous devons d’être attentifs. Chacun peut être de plein fouet ou indirectement confronté a ces difficultés, certains d’entres nous le sont déjà. Nous sommes souvent impuissants face aux logiques économiques, nous ne devons pas l’être dans l’accompagnement de nos concitoyens. Les élus et les services municipaux, dans les compétences qui sont les leurs, sont mobilisés. Leur action se veut réactive et empreinte de solidarité. Parce que nous ne devons pas céder a la morosité et au catastrophisme ambiant mais, affronter les réalités. Parce que la richesse de notre tissu associatif doit participer a ne laisser personne de côté. Parce que, ensemble et solidaires, nous serons mieux armés pour combattre ces difficultés Je souhaite à tous les Hermitageois, leurs familles, leurs amis, une bonne année 2009 Le Maire André CHOUAN Naissances TANGUY, Lilou, Delphine, Olivia ....................................................29 juillet 2008 PIOCHE Léo, Nicolas, Mickaël ...........................................................5 août 2008 MAURAIS Léane, Philomène, Marcelle ..............................................7 août 2008 TISSERON Bryan, Bernard, Gérard .....................................................7 août 2008 CHÉREL Yanis, Ludovic, Gérard .........................................................9 août 2008 PELLAN Paul, Damien, Jonathan .....................................................19 août 2008 DAVY Ewen, Yves, Gilbert ......................................................17 septembre 2008 RANNOU Mathis, Guillaume ..................................................19 septembre 2008 RIHET Paul, Jérôme, Ronan ....................................................28 septembre 2008 GOSSELIN Paul, Guillaume, Marie ..........................................29 septembre 2008 SOURY Margaud, Ondine, Colette............................................... 2 octobre 2008 JOUSSAUD-L’HERMITTE Aaron, Romuald, Raymond....................8 octobre 2008 Mariages M. M. M. M. BUFFERAND Jérôme et Melle TISSERON Karine .......................... 16 août SAMMANI Vincent et Melle RUDASSO Vanessa .......................... 16 août GUÉRIN Olivier et Melle AUFFRAY Morgane ..................... 13 septembre JOUAULT David et Melle SÉCLET Maryse ........................... 20 septembre 2008 2008 2008 2008 Décès M. LOUYER Gilbert ...................................................................... 18 janvier M. RIVIERE Adolphe....................................................................... 23 juillet M. DAVY Annick née Hirel ............................................................. 29 juillet Mme CARRÉ Marie-Thérèse née Hossard................................. 26 septembre M. SAUDRAIS Germain ...............................................................15 octobre Mme LECHAUSSÉE Marie née Carillet ...........................................30 octobre Mme LESEC Marie née Saulnier...................................................2 novembre Mme BAZIN Joëlle née Baron ......................................................3 novembre M.BLOT Marcel ......................................................................... 7 décembre 2008 2008 2008 2008 2008 2008 2008 2008 2008 Selon les dispositions de l’article 9 du Code Civil, chacun a droit au respect de sa vie privée, en conséquence, les naissances, mariages et décès survenus dans une commune ne peuvent donner lieu à publication dans le bulletin municipal sans autorisation écrite des intéressés ou de leurs proches. En conséquence, si vous souhaitez voir apparaître une naissance, un mariage ou un décès dans la rubrique Etat Civil de « L’Hermitage Informations », merci de le signaler en Mairie. Un imprimé à remplir et à signer vous sera alors remis. Au revoir MARCEL ! Marcel Blot nous a quitté le 7 décembre dernier. Il était élu municipal depuis 1995. D’abord conseiller municipal, c’est tout naturellement qu’il devient adjoint au sports en janvier 1996. Il le restera pendant 12 ans aux cotés de Christian Le Maout. En mars 2008 il est réélu conseiller municipal dans l’équipe actuelle menée par André Chouan et depuis il s’était investi dans la commission finances-affaires sociales et la commission urbanisme-environnement. Il fut également pendant dix années Vice Président de l’office des sports du canton de Mordelles. Tout d’abord enseignant, ses qualités, son expérience ont fait qu’il devint Directeur de collège. Il était depuis de nombreuses années le Directeur du collège Saint Yves de Mordelles. Homme intègre, mesuré ses avis étaient toujours réfléchis, judicieux et écoutés. Sportif accompli, c’était un compétiteur qui pratiquait le cyclisme avec passion. Très volontaire, il aimait ce sport et chaque fois qu’il le pouvait il enfourchait son vélo. Il aimait les jeunes, et malgré son emploi du temps chargé, il conseillait et entraînait les jeunes cyclistes de son club le V.C. Chavagne. Il fut également longtemps membre du comité des fêtes de notre commune. Marcel, nous qui avons eu la chance de te côtoyer, nous garderons de toi le souvenir d’un excellent camarade. Malgré tous tes engagements tu savais rire, rester agréable et garder le sourire. Merci pour ce que tu as apporté à la vie de notre commune, à la jeunesse, au monde associatif et sportif… Yves Gautrais Responsable de la Publication : André CHOUAN - Responsable de la Rédaction : Yves GAUTRAIS Conception Réalisation : GOSSELIN GRAPHIC - Vern-sur-Seiche - 02 99 62 98 00 - Photos : mairie et associations Vie Économique Faire connaitre nos entreprises locales. La vitalité économique d’une commune est importante, elle permet : • La création de richesses dont bénéficie indirectement toute la collectivité • L’existence d’emplois sur place • La proposition de services marchands et non marchands à la population • L’industriel est indépendant et à l’initiative de son implantation et de ses projets. Mais faire connaître nos entreprises locales, les aider à s’implanter et à s’installer, favoriser les infrastructures doit être un souci constant des élus. Aussi en cette période morose et très difficile du point de vue économique, il m’a semblé utile de faire un saut dans 3 entreprises locales qui impulsent du dynamisme à la commune : Les établissements De Sangosse, les établissements Leseur ainsi que le nouveau « Super U ». Yves Gautrais / Adjoint chargé de la communication. Les Élus visitent les ets. DE SANGOSSE R U E S S E L T E E S S O G N A SLes élus visitent les établissements DE SANGOSSE et LESEUR en vue de l’établissement du futur Plan de Prévention des Risques Technologiques La commune de l’Hermitage compte sur son territoire deux établissements classés SEVESO II « seuil haut » en raison de leurs activités et des risques potentiels pour la sécurité et l’environnement qui en sont liées. Il s’agit des établissements DE SANGOSSE et LESEUR qui ont, entre autre, une activité de stockage de produits et notamment d’engrais qui constitue un risque potentiel d’accidents technologiques et naturels. Depuis l’accident de l’entreprise AZF à Toulouse, la réglementation concernant ces établissements classés pour la protection de l’environnement s’est renforcée. La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels oblige aujourd’hui les Préfets à prescrire l’élaboration d’un Plan de Prévention des Risques Technologiques (PPRT) en cas de présence d’établissement classés SEVESO. Ce plan a pour objet de délimiter un périmètre d’exposition aux risques et de dresser des recommandations tendant à renforcer la protection des habitants. Il aura aussi des conséquences sur les mesures d’urbanismes en vigueur dans le périmètre en question. Le Conseil Municipal et le Comité Local d’Information et de Concertation seront bien évidemment largement associés à l’élaboration de ce document. En marge de l’élaboration de ce PPRT sur la commune de l’Hermitage, les élus ont souhaité visiter ces établissements afin de se rendre compte des dispositions déjà mises en place par ces entreprises pour limiter les risques liés à leur exploitation. L’entreprise DE SANGOSSE La délégation a été reçue le mardi 14 octobre par Monsieur Nicolas Fillon, Directeur Général de l’entreprise DE SANGOSSE. En préalable à la visite, Monsieur Fillon a tenu a présenté l’activité du groupe DE SANGOSSE et dresser un état des lieux du secteur de l’agrofourniture. Le groupe DE SANGOSSE, dont le siège social se situe à Agen (47), est fabricant et fournisseur en agrofournitures et anti nuisibles à l’échelle nationale et mondiale et M. Nicolas Fillon Directeur Général de l’entreprise DE SANGOSSE. f o u r n i t les milieux et les métiers de l’agriculture (semences et protection des cultures), des espaces verts et du jardinage (produits phytosanitaires et outillages). En dehors de son implantation sur le territoire français, le groupe possède des sites au Brésil, aux EtatsUnis d’Amérique et en Chine. Le Groupe est leader mondial dans la production d’antilimace. La production du groupe est tournée principalement vers le marché « professionnel » mais s’adresse également aux particuliers. Bien que dépendant d’un secteur de l’agroalimentaire moribond, la production du groupe DE SANGOSSE s’est renforcée par le biais d’acquisitions, de nouvelles implantations et de diversification de son activité. Il est à noter que le grand Ouest et la Bretagnae en particulier ont bien résisté à la baisse d’activité du secteur agroalimentaire grâce à l’implantation de coopératives qui ont largement investi dans toute la filière et à la présence sur le territoire des outils de production et de transformation. Quant au devenir de la filière de l’agrofourniture et à son adéquation avec la prise en compte croissante du développement durable, Monsieur Fillon pose cette question : “Peux t’on produire et assurer suffisamment de récoltes destinées à l’alimentation mondiale sans produit chimique ?”. Selon lui, en 20 ans, l’urbanisation croissante couplée avec l’augmentation de la population mondiale a réduit d’un tiers la surface de la Terre destinée à la production alimentaire. Sur la base de ce constat, le Directeur du Groupe DE SANGOSSE conclut en affirmant la nécessité d’augmenter la productivité des récoltes. Ainsi, si l’agriculture « bio » est pour lui une des solutions qui doit se développer, il précise qu’il convient également de soutenir de nouvelles technologies dans le respect des critères environnementaux satisfaisants régulièrement définis et mis à jour par les experts scientifiques de la Communauté Européenne. L’établissement de l’Hermitage Après cette présentation M. Lemierre responsable du site de l’Hermitage, a invité les élus à visiter les locaux de l’établissement. Six permanents travaillent sur le site qui accueille également des commerciaux qui visitent les jardineries et les magasins du secteur agricole de la région. Les produits sont rangés suivant leur données de sécurité. La gestion se veut moderne et les employés de distribution disposent chacun d’un ordinateur. 3 4 Les produits stockés dans l’établissement, en majorité des produits phytosanitaires et du matériel de jardinage, sont destinés en majorité à la grande distribution tels que Leroy Merlin, Castorama ou Bricomarché. L’établissement de L’Hermitage a été rénové et agrandi en 2002. La gestion aussi se veut moderne à travers une informatisation poussée et la mise en place du « Zéro Papier ». Les commandes arrivent au bureau et sont transmises par liaison informatique aux employés de distribution qui disposent chacun d’un ordinateur Le fossé de rétention fixé sur leur engin de manutention qui entoure tous les bâtiments. (Fenwick). Les produits sont rangés suivant leurs données de sécurité; L’informatique est également utilisée pour le stockage. Sur le plan de la sécurité, tous les systèmes ont été mis en place pour que l’établissement classé “SEVESO” ne fasse courir aucun risque aux employés et à la population. Pour cela un fossé de rétention entoure tous les bâtiments afin de couper la liaison avec les eaux fluviales. Si un problème survenait (incendie...) toutes les eaux seraient stockées sur le site et le parking serait isolé. Un système de production de mousse peut être enclenché à l’aide de pompes et turbines qui sont en mesure d’injecter de la mousse dans tous les bâtiments. Ces derniers sont également équipés de porte coupe-feux, d’extincteurs et de matériel de désenfumage. Des alarmes anti-intrusion sont installées sur tout le périmètre de l’entreprise. M. Lemierre conclût en indiquant que tout le personnel est formé au maintien du site en sécurité et que ce site est doté d’un P.O.I. (Plan d’Opérations Internes) géré par l’entreprise et d’un P.P.I. (Plan Particulier d’Intervention) géré par la préfecture. Silos de stockage et conditionnement des engrais. Wagon de stockage de CO2 pour Air Liquide. Le bassin de rétention. Conditionnement et traitement de l’engrais, en “big bag” de 600Kg. NB : Le Plan d’Opération Interne est un plan d’urgence, élaboré par l’exploitant, qui organise les moyens, équipements et méthodes d’intervention en cas de sinistre dans une installation alors que le Plan Particulier d’Intervention est un plan qui permet de gérer les moyens de secours en cas d’accident dont les conséquences dépassent l’enceinte de l’installation. L’entreprise Pierre LESEUR S.A. Monsieur Thierry Legrain, directeur général de la société LESEUR et Monsieur Pierre Leseur, président du conseil de surveillance et fondateur de l’entreprise ont accueilli la délégation. Monsieur Pierre Leseur retrace l’historique de l’entreprise. Cette entreprises a été crée par la famille Leseur en 1931. Son premier site se situait plaine de Baud à Rennes. Son développement, la proximité de la voie ferrée et la création de la Z.A.C. de la Hautière ont permis à cette entreprise de s’établir en juillet 1974 à l’Hermitage. Il y a une dizaine d’années le tonnage des trains qui transitaient par la société Leseur était le 2ème tonnage enregistré par la gare S.N.C.F. de Rennes après les établissements Citroën. En 1978 l’entreprise Leseur était la première entreprise en France à disposer d’un palettiseur automatique. La Société “Les Matériaux de L’Ouest” implanté à l’Hermitage a été crée par M. Jacques Leseur frère de M. Pierre Leseur. L’établissement de l’Hermitage L’entreprise Leseur emploie 33 personnes sur trois sites : L’Hermitage, Carhaix, et Foligny dans la Manche. L’entreprise a pour mission d’acheter et de vendre des engrais, des semences et des produits phytosanitaires. Les trois-quart de l’activité concernent le conditionnement et le traitement de l’engrais. Après avoir reçu les engrais en vrac, l’entreprise mélange, conditionne et ensache. Aujourd’hui, le sac de 50 Kg a pratiquement disparu au profit du Big Bag de 600 Kilos. Le volume traité est de 150 à 160 000 tonnes équivalent à 120 trains par an. La S.N.C.F. ne peut fournir le nombre demandé de trains et le reste du transport est assuré par Vie Économique M. Legrain directeur général de la société LESEUR accueille les élus. camion, ce que regrette l’entreprise sachant qu’il faut multiplier les camions. M. Denis Le Féve chargé de la sécurité et de l’environnement, entame la visite des locaux de l’entreprise. Les engrais sont composés en majorité d’azote, de phosphate, et de potasse, beaucoup d’engrais sont à base de nitrate. Le phosphate est également incorporé aux aliments du bétail. Ces différentes prestations de service sont en majorité destinées à la Bretagne, leader de l’agro-alimentaire en France. Du fait de la baisse des productions liées à l’agroalimentaire, les Etablissements Leseur ont décidé de diversifier leurs activités. Aujourd’hui, la société stocke pour Air liquide du Co2. Trois cuves de 300 tonnes sont entreposées sur des wagons dans l’enceinte de l’entreprise. L’établissement classé “SEVESO” dispose de moyens de détection incendie, ainsi que de protection par la poudre et les lances autopropulsives de refroidissement. M. Le Fève insiste sur la formation aux règles de sécurité dispensée aux employés. Conformément à la législation, l’établissement est doté d’un P.O.I. (Plan d’Opération Interne) géré par l’entreprise et d’un P.P.I. (Plan Particulier d’Intervention) géré par la préfecture. Il est à noter que la sirène que les Hermitageois entendent chaque 1er mercredi du mois est implantée dans le périmètre des établissements Leseur. Textes : Yves Gautrais Photos : Jean Pierre Chantrel (Conseiller municipal délégué à la sécurité) nterview IInterview Vie Économique Loic FRIN Directeur du « Super U » de L’Hermitage Yves Gautrais : M. Frin vous êtes le directeur du « Super U » de L’Hermitage. Pouvez-vous vous présenter aux hermitageois ? Quel est votre parcours professionnel ? Loïc Frin : J’ai 45 ans. Je suis papa de deux enfants : Antoine 12 ans et Clara 10 ans. J’habite Saint-Grégoire, une commune où mes parents tenaient une épicerie de 100m2 sous l’enseigne “Unico”. Autrement dit : « Je suis tombé tout petit dans la marmite ». Je connais bien la commune de L’Hermitage puisque très jeune (au début des années 80) j’allais aider le dimanche matin M. et Mme Lenoir qui étaient les propriétaires du petit magasin “UNICO” de l’époque, situé à l’emplacement de l’agence « Crédit Agricole » actuel, à l’angle de la rue de Rennes et de la rue de Mordelles. Puis j’ai suivi l’évolution de ce petit commerce et son déménagement place de la Mairie, là ou se trouve aujourd’hui la bibliothèque municipale. Ensuite en 1985 le magasin « Unico » à été transféré sur le site de la Meslais, là ou nous sommes aujourd’hui. Concernant mon parcours professionnel, après mon baccalauréat j’ai suivi une formation dans une école de commerce à Rouen pendant 3 ans. Puis je suis parti faire mes armes en région parisienne chez « Euro marché » à Saint Quentin en Yvelines, un très grand hypermarché de 10 000 m². En 1991 j’ai repris avec mes parents le magasin Unico de L’Hermitage. La surface du magasin était de 800 m². Et en 1996, pendant l’ouverture du « Cora », j’ai agrandi le magasin qui est devenu un « Super U » de 1 500m². C’était déjà un challenge ! Y.G. : Vous avez décidé de développer votre activité et de construire un nouveau magasin, rester sur le territoire de la commune constitue-t-il un choix stratégique de développement ou une simple opportunité liée à la disponibilité du terrain ? L.F. : Compte tenu de la concurrence vive qu’il y a autour de nous, nous avions besoin de nous moderniser et de nous agrandir. Car dans toute entreprise, si on ne s’adapte pas on disparait. L’opportunité de cet emplacement nous permet de nous resituer sur le passage routier car nous avions perdu certains flux depuis l’ouverture de la déviation nord de L’Hermitage, les automobilistes ne passant plus devant le magasin. Ces clients viennent principalement des communes voisines de Le Rheu, La Chapelle Thouarault, Breteil et Vezin le Coquet et constituent la moitié de notre clientèle. L’autre moitié étant évidemment nos clients hermitageois. Ceux-ci seront à moins de cinq minutes à pied de l’actuel magasin de la Meslais. On peut donc considérer que le futur magasin restera un magasin de proximité. De plus nous avons aménagé un sentier piéton vélo sur le site du « Super U » qui reliera le nouveau lotissement de la Musse à la piste piétons cycles que la commune à décidé de construire en bordure de la rue de Rennes. L’accès au « Super U » sera donc facilité et sécurisé pour ceux qui souhaitent venir faire leurs courses à pied ou à vélo. • D’un rayon culture presse. Nous allons développer l’offre des livres et tout le rayon presse. Y.G. : Pour vous, qu’apportera aux Hermitageois l’ouverture du nouveau magasin « Super U » ? • D’un rayon poissonnerie réfrigéré d’une qualité de produit optimum. L.F. : Ils vont y trouver plus de choix, un magasin plus moderne qui j’espère leur plaira. Pour recapter la clientèle le magasin se devait d’être plus attractif et proposer une offre plus complète. En détaillant nous allons disposer : • D’un point accueil avec : - Photo développement numérique - Location U - Vente de bijoux fantaisie - D’un rayon textile plus attrayant, nous proposerons la marque « U » à des prix très compétitif. • D’un rayon arts de la table avec une collection régulière, renouvelée à des prix très intéressants • D’un rayon saisonnier. Tous les 10 jours, une nouvelle offre au rythme des saisons. • D’un rayon boucherie en privilégiant le contact client et en étant exigeant sur la qualité de la viande que nous choisissons. • D’un rayon produit frais beaucoup plus important qu’aujourd’hui (Nous étions limités par les infrastructures du magasin actuel). • D’un rayon surgelés avec des bacs réfrigérés beaucoup plus grands. • D’un traditionnel traiteur. rayon charcuterie Et d’une gamme améliorée en fruits et en légumes. Nous allons également proposer des produits régionaux et locaux à chaque fois que cela sera possible. Bruno, le sympathique responsable du rayon boucherie traiteur 5 6 Y.G. : Comment est composé votre nouveau magasin et quelles en sont les différentes surfaces ? L.F. : Aujourd’hui, avec le centre commercial de la Meslais nous avons 2 600 M² construit. Sur le nouveau site nous aurons 5 000 M² construit. Le magasin principal sera d’une surface de 2 000 M², c’est la dimension moyenne des magasins « Super U ». Ce dimensionnement est adapté à la commune de L’Hermitage et à notre zone de chalandise. L.F. : Oui tous les commerçants du centre de « la Meslais » nous suivent et je les félicite car c’est un challenge fort avec son lot de soucis. Mais ils ont aussi l’envie de moderniser et d’améliorer l’offre commerciale de la commune. Et donc le 25 février prochain ouvriront dans la nouvelle structure en même temps que le « Super U » : La boulangerie « Groussard », le bar restaurant « Le Trégor », le pressing de Mme Barandon et le salon de coiffure. Les autres surfaces se composent : De 380 m² pour le mail De 500 m² pour les boutiques De 700 m² pour les réserves De 600 m² pour les laboratoires et stockage des produits frais • De 200 m² pour les bureaux et locaux sociaux • De 600 m² pour les locaux techniques et quai de réception Il y aura également : • Une station essence • Une station de lavage automatique (automobiles) Le tout est implanté sur un terrain de 38 000 m² Y.G. : Les commerçants du centre commercial de « La Meslais » vont-ils vous accompagner sur le nouveau site ? vie Économique « Point Vert » qui réfléchit sur son transfert et son implantation à coté du nouveau « Super U ». Nous leur avons réservé un emplacement. Y.G. : L’Hypermarché « Cora » renforcé par l’arrivée de « Ikea » attire de nombreux clients. Appréhendez-vous cette concurrence ? L.F. : Cette concurrence nous la connaissons depuis 1996, l’année où nous avons agrandi notre magasin et qui correspond également à l’ouverture de « Cora ». La concurrence était déjà très forte avant l’ouverture de « Ikea ». C’est à nous de retenir notre clientèle. Si on ne fait pas les investissements nécessaires, les clients vont ailleurs. Mais je peux vous dire aussi que des Pacéens viennent chez moi faire leurs courses. Ils trouvent dans notre magasin plus de convivialité, un magasin dimensionné à leurs attentes, facilement accessible, ce qui n’est pas toujours le cas dans les grand hypermarchés. De plus autour de « Cora » le site est déjà saturé et la circulation pour s’y rendre est importante. Y.G. : Parlons un peu du contexte. L’implantation d’une telle structure représente, sans doute un investissement très important et un défi pour votre société. Le contexte et la crise du pouvoir d’achat ne vous inquiète-t-il pas ? • De 220 places de parking. • Une laverie automatique (linge, couettes, duvets…) Nous attendons également la réponse de : Un accueil souriant au rayon poissonnerie L.F. : C’est vrai ce contexte m’inquiète, tous ces événements sont brutaux. La conjoncture économique est difficile et le sera encore plus l’an prochain. Il va falloir passer cette crise, mais je crois que si tout s’arrête c’est encore pire. Y.G. : Ces difficultés importantes apparues dans la vie économique ont-elles été ressenties au niveau de votre magasin ? Vie Économique L.F. : Effectivement nos clients ont modifié leurs comportements depuis plus de 2 ans avec des achats de plus en plus orientés vers la marque « U ». Ces produits « U » sont de qualité égale aux grandes marques mais sont 20 % moins cher. La marque « U » est de très bonne qualité et bénéficie d’une bonne image. Nous avons également une offre 1er prix grâce aux produits « Bien Vu » qui connaît un réel succès. Y.G. : La crise a fait émerger une nouvelle forme de grande distribution avec le développement des enseignes hard discount qui concurrencent fortement les enseignes classiques. Que pensez-vous apporter de plus à vos clients par rapport aux enseignes hard discount ? L.F. : La bataille porte sur les prix. Il faut faire des économies sur toute la chaîne de distribution, les coûts de transport etc... Aujourd’hui tous les camions qui nous livrent sont complets. Tout doit être calculé et géré au plus juste. Grâce à ces adaptations, depuis 2008 nous lançons des baisses de prix successives sur les grandes marques. Sur des produits de marque nationale nous proposons des prix moins cher que « Lidl » par exemple. De plus chez nous le client a plus de choix que dans les magasins hard discount. Y.G. : Le nouveau magasin va-t-il être équipé de caisses automatiques ? L.F. : Nous aurons un îlot de caisse automatique avec une hôtesse. Cette caisse rapide de libre service permettra d’éviter les files d’attente le soir après le travail. Pour les petit paniers de courses le client pourra biper lui même ses courses et régler lui-même soit en espèces ou par carte bancaire ou chèque. Cette caisse panier va accélérer le passage des clients le soir mais ne remplacera pas le travail de nos hôtesses. D’ailleurs en plus de l’accueil nous disposerons de sept caisses avec hôtesses. Y.G. : L’accès au magasin aux personnes à mobilité réduite a-t-il été favorisé ? L.F. : Oui, la législation actuelle est respectée. Nous aurons une caisse, des chariots, et des sanitaires adaptés aux personnes à mobilité réduite. Et bien sûr il est prévu des emplacements de parking réservés aux handicapés. Y.G. : Les hermitageois sont attachés au développement durable. Quelle attention avez-vous eu, dans la construction de votre magasin, par rapport à l’environnement ? L.F. : Nous avons fait le choix d’une isolation forte et performante pour l’ensemble du magasin et des réserves. De plus une partie du magasin va être chauffé en récupérant le froid des armoires réfrigérées. A mi-saison ce chauffage diffusé à partir de la récupération des calories produites par la centrale de production frigorifique suffira à chauffer l’ensemble du magasin. L’éclairage se fera à partir de néons plus économiques et qui durent 5 fois plus longtemps. Nous aurons également des vitrines réfrigérées « basse consommation » qui nécessitent beaucoup moins de dégivrage et de courant électrique. Pour préserver l’environnement, nous offrons de multiples cabas réutilisables et de ce fait nous ne distribuons pratiquement plus de sacs en plastique. Nous allons aussi développer notre gamme de produits biologiques : alimentaires bio, cosmétiques bio, produits d’entretien bio. Il sera proposé également des produits issus du commerce équitable. Y.G. : Beaucoup de vos employés travaillent avec vous depuis de nombreuses années. Cette stabilité du personnel fait que des relations se sont établies entre vos employés et les hermitageois. Attachez vous de l’importance à ce relationnel ? L.F. : Effectivement plusieurs de mes salariés sont là depuis mes débuts à L’Hermitage. Je peux compter sur eux. La réussite d’un magasin c’est le résultat du travail de toute une équipe. C’est aussi pour cela que je fais ce projet. C’est un challenge également pour le personnel. J’attache beaucoup d’importance au relationnel. Les relations humaines sont primordiales dans la vie. L.F. : C’est une entreprise familiale qui s’est développée à L’Hermitage grâce à mes parents, mais aussi grâce à M. et Mme Lenoir mes prédécesseurs. Actuellement ma sœur Karine travaille également avec moi au sein du magasin. Cette réussite est le fait de ceux qui ont œuvrés avant nous, avec nous mais aussi le fait d’avoir une enseigne « Super U » très dynamique. Mais aujourd’hui, même si je suis d’un naturel prudent, il était temps de prendre des risques en construisant un nouveau magasin pour répondre au mieux aux attentes de nos clients. Le magasin sera simple, moderne, accueillant et il laissera une grande place aux produits frais. Y.G. : Nous savons que pour les hermitageois le magasin « Super U » est important, c’est le quotidien ! Avez-vous un message à leur adresser ? L.F. : Oui, je veux d’abord les remercier pour leur fidélité. Et je veux les assurer qu’avec mon équipe nous allons continuer à travailler avec volonté pour que le nouveau magasin donne satisfaction. Je souhaite aussi que ce nouveau magasin soit un lieu d’échange et de proximité pour les habitants de la commune. Et pour terminer, je veux remercier, à titre personnel, bon nombre d’hermitageois pour la qualité des relations que nous avons avec eux depuis plus de 17 ans. Interview réalisé par Yves Gautrais Adjoint délégué à la communication Photos de Franck Tardif Animateur communication. Y.G. : Votre commerce est une entreprise familiale qui s’est développée sur notre commune. Dans les commune voisines beaucoup de moyennes surfaces de type « Super U » de L’Hermitage ont eu des difficultés et ne sont plus là aujourd’hui. Pour vous quelles sont les explications de l’attractivité de votre magasin et de sa réussite ? OUVERTURE du nouveau SUPER U le 25 FÉVRIER prochain 7 8 il e u Un Service Minimum d’Accueil c c ’a d e ic v r e s n U s t n a f n e s le r u o p m minimu pour les enfants des écoles élémentaires et maternelles, mais un maximum en transfert de charge de l’État. La loi du 20 août 2008 complétée par le décret du 4 septembre, oblige les communes à mettre en place un service minimum d’accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires pendant le temps scolaire. Que dit la loi La loi impose la mise en place d’un Service Minimum d’Accueil dès lors qu’il y a plus de 25% d’enseignants en grève. La commune doit sous 48 heures mettre en place ce SMA. Une compensation financière est prévue. L’HERMITAGE, comme de nombreuses communes ne va pas refuser d’appliquer la loi. Cependant nous sommes réticents pour plusieurs raisons : Des raisons d’organisation : La loi indique que l’inspecteur de circonscription informe les mairies du nombre d’enseignants ayant déclaré leur intention de faire grève, 48 H avant la date de la grève, La commune dispose donc d’un temps très court pour informer les parents, recenser les enfants susceptibles d’utiliser ce service et mobiliser les personnes disponibles et compétentes pour s’occuper des enfants. La loi est très floue, elle ne donne aucun critère d’encadrement, elle prévoie simplement que les personnes proposées subiront un contrôle de leur casier judiciaire. Aussi, selon la loi, le maire peut faire appel à du personnel municipal, des enseignants en retraite, un animateur de CLSH, des assistantes maternelles, des parents… Comment imaginer que nous pouvons confier nos enfants à quelqu’un que nous ne connaissons pas ou peu, qui ne connaît pas les enfants, les lieux, les consignes de sécurité. Qu’une personne seule puisse encadrer 30 à 40 enfants pendant six heures ? Quelle animation ? Avec quel matériel ? De plus il est difficile d’imaginer que l’on puisse communiquer certaines données personnelles sur l’enfant et sa famille. La commune se doit de s’imposer certains critères pour la sécurisation des enfants, c’est essentiel. C’est pourquoi la municipalité a choisi de faire appel au personnel communal, il connaît bien les lieux, les enfants, mais il faut qu’il soit disponible le jour de la grève. La commune a choisi d’utiliser le lieu de l’école pour ne pas perturber les enfants ni les parents. De plus les services de garderie et de restauration seront maintenus si le personnel n’est pas aussi en grève. Des raisons de responsabilité : La loi indique que la responsabilité administrative de l’état se substitue à celle de la commune mais il prévoit aussi la protection juridique en cas de poursuite pénale. Il s’agit d’un temps d’éducation nationale mais les enfants sont encadrés par du personnel mis en place par des mairies et dans des lieux municipaux ! Des interrogations subsistent malgré tout. On imagine bien qu’en cas d’accident le parent ou le personnel se retourne contre le maire. transfère la responsabilité et la charge d’un temps qui le concerne sur les communes avec suffisamment de flou dans le texte pour que nous posions de nombreuses questions d’organisation. Pour toutes ces raisons, notre commune est co-signataire d’un texte proposé par les communes de l’agglomération Rennaise pour demander au législateur de reconsidérer les modalités de ce droit d’accueil. Organisation retenue pour la Commune de l’Hermitage Le taux d’encadrement visé sera de 1 adulte pour 15 enfants accueillis, l’accueil s’effectuera dans l’ensemble des locaux disponibles de l’école en privilégiant les espaces communs, il sera récréatif. En fonction de l’ampleur du mouvement et au vu des conditions d’urgence dans lesquelles il sera mis en place, ces taux d’encadrement pourraient ne pas être atteints. C’est pourquoi, il est demandé aux familles des enfants concernés qui peuvent s’organiser autrement ce jour là, de ne pas mettre leur enfant à l’école. Un courrier sera envoyé aux familles, dès que la municipalité sera informée par l’Académie du nombre de professeurs susceptibles d’être en grève, pour que les parents inscrivent leur enfant (seul les enfants inscrits seront acceptés). Les temps périscolaires (matin, midi, soir) ne sont pas concernés par cette loi, et le droit d’accueil ne s’y applique donc pas. Cependant la mairie, comme précédemment, fera son possible pour les assurer. Bien entendu, les agents municipaux, qui n’ont pas d’obligation de se déclarer gréviste à l’avance peuvent aussi être en grève ce jour là. Si, malgré son travail d’anticipation, la mairie juge que le nombre d’adultes présent ne permet pas l’accueil dans des conditions de sécurité suffisante, le service ne serait pas mis en œuvre. Dans ce cas vous serez alors prévenus par affichage à l’école ( la veille si possible ou le matin même). Pour la grève du Jeudi 20 Novembre, tous les enseignants de l’école élémentaire étaient en grève, le service minimum d’accueil (SMA) a fonctionné et a permis l’accueil de 33 enfants encadrés par 3 personnes travaillant habituellement sur le temps périscolaire. Ce service à bien fonctionné pour les raisons suivantes : • Les parents ont privilégié en priorité les modes de garde palliatifs : familles, voisins, assistantes maternelles… (33 enfants accueillis sur 189) et nous les remercions pour ce choix. • Pas de grève dans la fonction territoriale • Les enseignants ont prévenu suffisamment tôt la municipalité pour organiser le SMA. Pour ces raisons je remercie les personnels municipaux qui ont travaillé sur le SMA, les enseignants et les parents en espérant vous avoir apporté des précisions utiles sur la mise en place du droit d’accueil à l’Hermitage. Michel Ecolan Adjoint délégué à la vie Scolaire Enfin des raisons politiques : Cette loi remet en cause un acquis social qui est le droit de grève. Il est évident qu’une grève perturbe le fonctionnement normal de l’école. Que certaines familles sont vraiment gênées et ne peuvent pas toujours bénéficier de l’entraide familiale ou de voisin. Ce service ne devrait être mis en place que pour ces familles. Le nombre d’enfant à accueillir serait moindre et il paraît dans ce cas plus envisageable. Ainsi les tensions que l’on peut imaginer entre le personnel qui sera présent, les enseignants dits grévistes et les parents seraient moins fortes. Le service minimum ne devrait s’appliquer qu’aux familles qui en ont réellement besoin, la crainte est que cet accueil devienne un droit et que les communes se retrouvent avec des classes entières à accueillir. Malgré la prise en charge financière par l’état, ce qui est un minimum, l’organisation de cet accueil est difficile voire impossible selon le nombre d’enseignants en grève. Imaginons une école entière en grève et que tous les parents souhaitent bénéficier de ce service !!! Comment trouver le nombre suffisant de personnes pour encadrer les enfants ? Cela s’est sans tenir compte des grèves éventuelles de la fonction publique. L’état Infos Municipales École primaire École maternelle m o n e l t Dis, d’où vient le nom n e i v ù o d’ is,ma Dde rue ? ? Culture de ma rue Reprenons la toponymie des rues et lieudits de L’hermitage après la Basse Chèvrie, et toujours dans les B, voici : B…comme Beauvais Allée de Beauvais (C4) L’allée de Beauvais En vieux français une bovée est la surface qu’un boeuf peut labourer en une journée. En patois (gallo) un bové est d’ailleurs un boeuf = bovin. Par transposition, la toponymie de Beauvais, ville de l’Oise, révèle une origine gallo-romaine. La ville est nommée Bellovacum ou Bellovacis. Le nom proviendrait de Bellovaques. Il s’agit en fait du nom d’une tribu gauloise : les bellovaques, peuple celte d’origine belge qui lutta avec Vercingétorix contre César. L’étymologie donne : « ceux qui luttent en hurlant » de bello = fort et hurler et Vac = guerre. L’hermitage compte un lieudit (pâturages) et une allée de Beauvais, les deux se situent en pleine zone artisanale de la Hautière. Beauvais apparaît écrit de cette façon et sur la carte CASSINI et sur le cadastre napoléonien. Ce dernier fait état d’anciens hameaux : la Lande de Beauvais et ses pâturages et le champ de Beauvais( très ancien village dont il ne reste aujourd’hui qu’une ferme sur la commune de Mordelles au lieudit « Les champs de Beauvais ») ils formaient la partie ouest de la commune en limite de celle de Mordelles. L’exploitation agricole qui appartenait à la famille PILARD au 18ème siècle puis à la famille BUSNEL après la 1ère guerre mondiale, a été reprise par la commune en 1973 pour y créer la ZAC. De l’ancien hameau, il ne reste que quelques habitations qui bordaient le chemin qui menait à la ferme dite métairie sur les relevés parcellaires. Carte du cadastre dit Napoléonien (1829) L’allée de Beauvais a été nommée par le conseil municipal le 22 juin 2000 : elle concerne l’ensemble de l’ancien lieudit Beauvais côté uest de la rue de Mordelles. L’ancien lieudit Beauvais (D4) et l’allée de Beauvais sont situés vers le milieu la ZAC d’un côté et de l’autre de la route de Mordelles. B…comme Bérangeraie Allée de la Bérangeraie (H1 et H2) En Haute Bretagne, on ajoute les suffixes ais, ière et erie à un descriptif ou le nom d’un propriétaire pour nommer une propriété complète, un hameau ou un village. L’origine de cette dénomination est le nom du champs indiqué sur le relevé parcellaire. L’éponyme de Bérangeraie pourrait être une famille Bérange/ Béranger/ Bérenger/Berrenger. Bérenger de Poitiers né vers 1120 était écolâtre, célèbre défenseur d’Abélard dans une lettre « Héloïse et Abélard » adressée à Saint Bernard. L’allée de la Bérangeraie se trouve derrière les premiers logements HLM créés sur L’hermitage : elle longe le lotissement des communes. s ? -vou Le saviez re maire honoraire, Le premier geste de not a été de rebaptiser Christian LE MAOUT, salles de la des e l’un en mai 20 08 Commanderie. » est devenue la Ainsi « la salle de bar (1945/20 06 ), en u salle René Ducluzea son gardien pendant été a i qu ui cel mémoire de . presque quarante ans B…comme Le BOBERIL Lieudit le BOBERIL (C6/D6) Il s’agit là d’un éponyme car l’origine de ce lieudit est le nom de son propriétaire : le vicomte Du BOBERIL. Le lieudit comprend aujourd’hui la Ferme du Boberil, exploitée par la famille BOSSARD depuis le 14ème siècle, le très ancien manoir en ruine gardé par le grand chêne séculaire, la maison construite dans les années 60 car le manoir n’était plus habitable par la famille JOUET qui exploitait la ferme du Manoir, la ferme du Noë Boberil (en limite de Le Rheu) ainsi que les terrains agricoles entourant ces lieudits. L’histoire de cette famille sur L’hermitage remonte à Geoffroy Du Boberil au 13ème siècle. Ce comté aurait été érigé en châtellenie en 1578 par Henri III. La famille Du Boberil était fondatrice et bienfaitrice de l’église de L’hermitage. D’ailleurs ses armoiries et son enfeu sont toujours visibles. Desdiscere latine ! Chercher l’origine du nom d’un lieu fait appel à plusieurs sciences associées à la toponymie: l’anthroponymie, qui consiste à étudier les noms des personnes et l’étymologie est la science qui étudie l’origine du mot. Lorsque une personne donne son nom à un lieu, on parle d’éponyme. Lorsque deux mots se ressemblent dans la forme ou la prononciation, on parlera de paronymie. Enfin, le diminutif d’un nom (langage affectif), sera qualifié d’hypocoristique ! Les recherches s’effectuent sur des sources linguistiques quelques fois anciennes : en vieux français, latin, gallo-romain, breton ou en patois local - pour nous de haute Bretagne- le Gallo. Du fait de la richesse et la diversité des noms bretons, le résultat de la toponymie est rarement figé. C’est pourquoi il sera toujours donné dans notre étude plusieurs propositions. 9 10 Le chapitreau et la fenêtre trilobée Fenêtre du Manoir Elle avait le droit de Haute Justice qu’elle exerçait dans le bourg ou directement au manoir. Elle était à l’origine du marché hebdomadaire du jeudi et de trois foires annuelles. Le jour de la Saint Marc, une assemblée avait lieu devant la chapelle Saint Marc qui n’existe plus (seule reste à cet endroit la croix de Saint Marc derrière la Chèvrie). Ce pourrait être de sa destruction que provient sans doute le porche de bois de charpente construit vers 1550. Il reste du « château » l’ancien logis de pierre et terre construit au XIVème et remanié aux XV et XVIèmes siècles, des restes de douves (il y aurait eu un mur d’enceinte, des douves, un pont levis et une tour de guet à l’entrée), une grange en terre et les restes d’un pigeonnier érigé en tour. Les propriétaires n’habitaient plus le manoir au début du 17ème siècle préférant le château de Molant de Bréal sous Monfort hérité lors du mariage de Vincent II Du Boberil, chevalier de l’ordre du roi, et de Françoise d’Ust, dame du Molant. Jacques leur fils se maria à Marguerite De Coëtlogon, fille du seigneur de Méjusseaume, l’autre seigneur de L’hermitage. L’actuel comte Du Boberil toujours propriétaire vit dans le château familial de Beauchêne en Mayenne réputé pour son jardin ouvert au public. Les différents cadastres et relevés parcellaires font état du nom (quelques fois inscrit Bobril) à plusieurs reprises : Chemin de Noë du Boberil, Métairie de la noë du Boberil, la janais du bobril, la coudrais du bobril, le grand domaine de la métairie du Bobril : ces noms correspondent aux chemins et aux prairies appartenant au domaine. Le Boberil est situé sur la route de Mordelles sur la gauche à environ deux kilomètres. Carte du cadastre dit Napoléonien (1829) B…comme BOTREL Rue Théodore BOTREL (F3) (Barde/chanteur né à Dinan en 1868 et mort à Pont Aven en 1925) « Employé de la Compagnie des chemins de fer, il commence à chanter dans des cabarets parisiens, tout en conservant son emploi jusqu’en 1898. Compositeur prolifique, il se fait connaître en France et même à l’étranger grâce à sa chanson LA PAIMPOLAISE. Pendant la guerre de 14/18, il est barde aux armées et chante bénévolement sur tous les fronts. Souvent critiqué, il n’en reste pas moins un chanteur qui a connu un immense succès populaire, notamment dans les campagnes bretonnes et a laissé plus de deux cents chansons souvent émouvantes et des poèmes divers sur la Bretagne. Il meurt à Pont Aven au retour d’une tournée aux Etats Unis. » B…comme BREAL Allée du Bréal (H2) Voici une rue qui ne nécessiterait aucune recherche approfondie s’il s’agissait d’une rue de destination : Bréal sous Montfort. Bréal qui a en commun avec L’hermitage ses seigneurs les Du Boberil. Dans les écrits anciens on a mention de parochia de breal en 1157 et ecclesia de Bréial en 1202. Parmi plusieurs seigneuries, Bréal compte donc les Du Boberil dont l’une des héritières habite aujourd’hui encore le château du Molant qui se trouve vers les étangs de Cramoux. La fenêtre orientale de la chapelle du Molant de l’église Saint Malo de Bréal sous Montfort dispose de vitraux peints et les écussons des familles Ust et Du Boberil. En 1678 Louis Du Boberil déclare obtenir prééminences, chapelle prohibitive, lisière et tombe devant l’autel. En effet y sont enterrés en 1750 Julienne Hevin (la fille du jurisconsul) veuve de René Du Boberil et René Henri Du Boberil. Le château du Molant appartenait aux familles LEVESQUE de 1388 à 1427 : Guillaume LEVESQUE mort en 1388, seigneur d’Ossac et du Molant était l’époux de Jeanne de Montfort. En 1513, il appartenait à la famille UST, puis aux Du Boberil en 1562 par le mariage de Françoise D’Ust, Dame du Molant et Vincent II Du Boberil. Le huguenot Montbarot plaça une garnison en 1593 au Château Du Molant, et une autre à Méjusseaume. Le château de Méjusseaume a été totalement détruit (il ne reste plus qu’une motte : en limite de L’Hermitage et le Rheu), celui du Molant a été reconstruit au XVIIIème siècle. Bréal en gallo se dit béreau. Mais Bréal peut aussi être une déformation du vieux français préal ou preail qui signifie vieux pré. Et c’est cette origine que nous retiendrons de cette allée car, nommée lors de la construction du lotissement des communes, elle reprend tout simplement le nom du lieu « bréal » porté sur le cadastre : il s’agissait d’un pré. Le domaine en 1900 Culture Sources : cadastre, relevés parcellaires, archives municipales et départementales, dictionnaires. Photos et reportage : Marie-Pierre Bocherel, conseillère déléguée à la préservation du patrimoine Devoir de mémoire 90ème èmeanniversaire niversaire n a 0 9 de l’armistice 1918 1918 isticedede de l’arm On oubliera. Les voiles du deuil, comme les feuilles mortes, tomberont. L’image du soldat disparu s’effacera lentement… Et tous les morts mourront pour la deuxième fois. Roland Dorgeles « les croix de bois » Novembre aura été le mois du souvenir, un travail de recherches, de création, d’organisation qui a abouti à de très belles et émouvantes manifestations. Tous se sont mobilisés pour ce devoir de mémoire : les enfants des écoles, les équipes pédagogiques, les associations d’anciens combattants et leurs partenaires, la municipalité (élus, personnels, bibliothèque), les pompiers, les représentants des différentes armées et l’ensemble des Hermitageois , par le prêt d’objets ou documents personnels, leur témoignage ou simplement leur participation aux manifestations. Tous ont rendu un très bel hommage à ceux qui ont combattu, qui ont souffert, ceux qui sont morts pour notre liberté. Pour que nous n’oublions jamais ce qui s’est passé, pour que les derniers témoins encore vivants sachent qu’après eux, d’autres pérenniseront leurs souvenirs : c’est notre devoir de mémoire. Merci à tous ceux qui ont participé et assisté à ces événements. Un hommage à ceux qui ont combattu pour notre liberté et sont tombés Vingt-deux noms sont inscrits sur notre monument aux morts. Vingt-deux jeunes gens qui se sont sacrifiés pour notre liberté. À ces vingt-deux noms nous allons ajouter celui de Pierre Marie ROUAULT que l’histoire a oublié. Cette découverte n’est pas exceptionnelle, les méthodes de recherche ont bien évolué depuis la fin de ce conflit grâce aux travaux sur les archives et à l’informatique. 90 ans après la fin de cette dramatique tragédie, c’est notre devoir de l’honorer lui plus particulièrement mais tous ceux qui ont combattu, ceux qui y sont restés, les gueules cassées, les victimes civiles, les familles qui ont perdu un être cher, parfois deux voir plus. A tous ceux qui sont revenus, meurtris pour le reste de leur vie. Aux derniers poilus encore en vie dans le monde. Pour que nous n’oublions jamais. Monsieur André CHOUAN, maire dépose une gerbe accompagné de deux écolières et lira le discours adressé par le Ministère pour ce 90ème anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918. Le levé de drapeau et la cérémonie officielle Le groupe des officiels de gauche à droite: M. LEMARRE, ancien combattant AFN, M. MALAGRE, président des associations des anciens combattants, Monsieur le Maire, M. FONTAINE ancien combattant 39/45, M. ROGEMONT, député, M. LE MAOUT, Maire honoraire, Mme BOCHEREL, élue correspondante défense, Messieurs TILLON et notre doyen, anciens combattants 39/45 . Au deuxième rang, M. VILBOUX, élu délégué aux Anciens combattants et deux représentants des armées. Au fond, la fanfare. Une cérémonie solennelle, haute en couleurs et émotions 11 12 Exposition du 11 novembre à la Salle Le Vivier Le parcours des vingt-deux poilus morts pour la France retracé par les enfants des écoles, accompagnés des anciens combattants. Vingt-trois roses seront déposées sur le monument par les enfants. La 11ème heure du 11ème jour du 11ème mois de l’année 1918 est signé l’armistice de la 1ère guerre mondiale Le 11 novembre 2008, L’Hermitage organise une journée du souvenir en mémoire de ses poilus de la guerre 14/18. Les allocutions de Robert DUTAY, vice président de l’UNC de L’Hermitage, la lecture d’un très beau texte par M. MALAGRE « si le monument aux morts parlait », l’annonce par Mme BOCHEREL de la découverte du 23ème poilu oublié, le discours de Monsieur le Député sur le devoir de mémoire. À cette occasion il a été fait appel à la générosité des Hermitageois et des collectionneurs qui par le prêt d’objets ayant appartenu aux poilus de leur famille ont contribué à la réussite de cette exposition. Plus de 500 visiteurs ont pu découvrir ou redécouvrir cette grande guerre. Trois à quatre générations, qui ont partagé des souvenirs, qui ont échangé sur le thème de la guerre, de la souffrance et de la paix. …une exposition composée uniquement d’objets d’époque familiaux ou de collectionneurs… …les travaux de recherche des enfants des écoles primaires sur nos poilus… L’hymne européen chanté par les enfants des écoles Eugène ALLANIC et Saint Joseph Le défilé des pompiers volontaires, de la fanfare et des anciens combattants. Armes, objets des tranchées, équipements du poilus, correspondances… …projections de documentaires des archives de l’armée… et 23 roses en l’honneur de nos poilus morts pour la France Devoir de mémoire tout un travail de mémoire pour comprendre cette guerre, pour honorer ces hommes et ne pas oublier. Devoir de mémoire Qui était ce soldat inconnu : notre 23ème poilu mort pour la France ? Pierre Marie ROUAULT Animations autour de la Grande Guerre à la bibliothèque du 12 novembre au 29 novembre 2008 La GRANDE GUERRE à la Bibliothèque municipale Les enfants se font « petits artistes de la mémoire » en illustrant le parcours des 23 poilus de L’Hermitage . Ce travail d’abord exposé dans la salle le Vivier lors de la journée du souvenir, puis à la bibliothèque, a ensuite accompagné l’exposition de l’Office National des Anciens Combattants « La Grande Guerre » présentée à la bibliothèque municipale du 17 au 29 novembre 2008. Présentation des panneaux effectués par les enfants des écoles primaires Eugène ALLANIC et ST Joseph …les travaux de recherche des enfants des écoles primaires sur nos poilus et la Grande Guerre… …documentaires, romans, bandes dessinées, films DVD… Un fonds particulier a été acquis par la bibliothèque… Il était le grand frère d’Arsène ROUAULT, mort lui aussi pour la France au combat de Fleury près de DOUAUMONT dans la Meuse en juillet 1916, et porté sur notre monument aux morts. Pierre Marie est né le 9 décembre 1888 à Muel. Il était le fils de François ROUAULT et Eugénie COLLIAUX de Saint- Méen Le Grand. Célibataire, il était domicilié à L’Hermitage, comme son frère. Soldat, il était incorporé au 9è RI sous le matricule 2812. Il est décédé deux ans après son frère le 26 octobre 1918 à Origny Sainte Benoîte dans l’Aisne quelques jours avant l’armistice. Il avait 29 ans Nous n’avons pas connaissance de son lieu d’inhumation. Son décès est bien reporté sur le registre des décès de L’Hermitage. L’acte enregistré en décembre 1918 à Argenlieu dans l’Oise, retranscrit par le bureau des archives militaires que le 29 septembre 1919 , nous est parvenu en octobre 1919. Le maire de l’époque, Monsieur DEPOUEZ a ajouté dans le registre des décès la transcription en date du 11 octobre 1919. Pour une raison que nous n’expliquons pas, le nom de Pierre Marie ROUAULT n’a jamais été porté sur notre monument aux morts, ni sur la plaque commémorative de l’église ou le tableau des honneurs conservé en mairie. Il n’est pas porté sur les monuments et registre de Muel ou St Méen le grand, domicile de ses parents. Il est bien porté « Mort pour la France » dans les archives de l’armée (site : mémoire des hommes). Très prochainement nous graverons son nom sur notre monument aux morts. Reportage : Marie-Pierre TEXIER BOCHEREL, déléguée à la conservation du patrimoine et correspondante défense. Photos : MPB, les jeunes de la Maison Simon et Jeannine BIGOT. Tous droits réservés. Pierre Loti parlant des tranchées : « Par degrés, nous pénétrons dans ces zones inimaginables à force de tristesse et de hideur que l’on a récemment qualifiée de lunaires. Mais dans la lune, au moins il pleut pas. Tandis qu’ici tout cela est plein d’eau. A l’infini, ce sont des séries de cuvettes trop remplies que l’averse inexorable fait déborder les unes sur les autres » ...la Grande Guerre sous toutes ses formes Ci dessus le monument aux morts d’Origny Ste Benoîte. Ci dessous quelques tombes de soldats tombés à Origny et le monument érigé en mémoire des batailles 13 Extrait du registre des décès de L’Hermitage 14 t n e m e s s i n i a s s a ’ L L’assainissement non collectif… non collectif... Aujourd’hui en France 5,3 millions d’installations ne pouvant être raccordées au réseau d’assainissement collectif disposent d’une installation d’assainissement non collectif (ANC) Afin d’assurer le contrôle de ces installations, et éventuellement de les réhabiliter, les communes ou les groupements de communes ont eu l’obligation et la charge de mettre en place avant le 31 décembre 2005 un service public d’assainissement non collectif plus communément appelé SPANC. Les points présentés ci-après sous forme de questions/réponses, ont pour but de vous informer en tant qu’usager du SIAAOR, que vous soyez propriétaire, locataire, ou occupant d’une habitation non raccordée au réseau d’assainissement. Qu’est ce que l’Assainissement Non Collectif appelé ANC ? C’est le terme utilisé par la réglementation, pour désigner tout système effectuant la collecte, le pré-traitement, l’épuration, l’infiltration dans le sol des eaux usées domestiques des immeubles non raccordés au réseau public d’assainissement. Historique La loi sur l’eau du 3 janvier 1992 a imposé aux communes de mettre en place un service de contrôle des assainissements non collectifs sur leur territoire. En septembre 2000, six communes se sont regroupées pour créer le Syndicat Intercommunal d’Assainissement Autonome de l’Ouest de Rennes. En 2001, deux autres communes ont souhaité intégrer ce syndicat. Chacune a ainsi transféré sa compétence «assainissement non collectif» au SIAAOR qui est aujourd’hui composé de huit communes : La Chapelle Thouarault, Chavagne, Cintré, Le Rheu, L’Hermitage, Mordelles, Le Verger et Vezin le Coquet. En matière de réglementation… La réglementation est issue de la loi N° 92-3 du 3 janvier 1992 dite Loi sur l’eau qui impose aux collectivités la création d’un Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC). Il a vu son rôle conforté par la loi sur l’Eau et les Milieux Aquatiques (LEMA) du 30 décembre 2006. Le Code de la Santé Publique (CSP), le Code de l’Environnement et le Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT) fixent des règles précises en matière d’assainissement non collectif. L’arrêté du 6 mai 1996 fixe, quant à lui, les prescriptions techniques applicables aux systèmes d’ANC et les modalités du contrôle technique que se doivent d’exercer les communes sur ces systèmes. Une technicienne, salariée du SIAAOR, assure ce service de proximité et intervient auprès des particuliers souhaitant réhabiliter leur installation. Elle conseille, informe et assure les contrôles de bon fonctionnement. Elle émet des avis techniques sur la conception, la réalisation et l’entretien de votre dispositif d’assainissement. Au 31 décembre 2008, le syndicat environ 400 installations chez les particuliers. Le contrôle de mon installation estil obligatoire et à quelle fréquence ? Oui, il est imposé par la loi sur l’eau. C’est la technicienne du SIAAOR qui assure le contrôle. Il peut s’agir soit d’un contrôle de conception et de bonne exécution des travaux pour les installations neuves ou réhabilitées, soit d’un contrôle périodique de bon fonctionnement réalisé tous les 4 ans. La fréquence fixée à quatre années correspond au rythme des vidanges des fosses toutes eaux. De 2004 à 2007, 1.600 installations ont ainsi été visitées et contrôlées sur les 8 communes du SIAAOR. Qui doit payer la redevance ? Le contrôle d’une installation neuve ou réhabilitée est facturé au propriétaire de l’immeuble. Le contrôle de bon fonctionnement est à la charge de l’occupant. Entre 2004 et 2007, la redevance s’élevait à 47,47 e TTC par an (soit 189,90 e TTC pour 4 ans). Depuis le 1er janvier 2008 son montant a été ramené à 40 e TTC (soit 160 e sur 4 ans). Les coûts des contrôles de conception et de réalisation sont respectivement de 50 e et 70 e TTC. Qu’est ce qu’un SPANC ? C’est le Service Public d’Assainissement Non Collectif qui devait être crée obligatoirement dans chaque collectivité avant le 31 décembre 2005. Son fonctionnement est régi par un « règlement de service » qui fixe les règles et rappelle les obligations de chacune des parties : usagers et SPANC. Le SIAAOR a crée son SPANC en 2004. Comme le service d’assainissement collectif, il est entièrement financé par la redevance des usagers et non par l’impôt. Le budget de fonctionnement du SIAAOR trouve donc son équilibre uniquement au travers de la redevance perçue auprès des usagers de ce service. Quels sont les objectifs et les missions du SPANC ? •C onseiller les usagers et les professionnels comme les installateurs, • Contrôler la conception et la réalisation des installations nouvelles ou réhabilitées, • Contrôler le bon fonctionnement des installations existantes. Ecologie et développement durable Contacts : Delphine CHALIN (Technicienne) 02.99.64.02.34 Andrée GLEMEAU (Secrétariat et Comptabilité) Mairie de Chavagne 02.99.64.38.42 Toute correspondance est à adresser à : Monsieur le Président du SIAAOR Mairie de L’Hermitage 35590 L’Hermitage. Courriel : [email protected] Infos Municipales t n e m e r t u A e g a t i Vivre L’Hermitage Autrement Vivre L’Herm Premier bilan de notre action Commissions Rennes Métropole Que faisons-nous ? Finances , Personnel et Commissions municipales de l’Hermitage Finances , Affaires sociales Lamy, Buisine Environnement, Urbanisme et Vie quotidienne Lamy, Herbinot Affaires culturelles et sportives, communication et Associations Busnel, Seydoux Éducation, Jeunesse et Transport Herbinot, Buisine Appels d’offres Lamy Salle Festive Herbinot Administration générale Buisine Économie , Enseignement Supérieur Recherche Buisine Aménagement et Habitat Lamy, Herbinot Cohésion Sociale Lamy Collecte et Valorisation des déchets Lamy Prospection et Développement durable Lamy Formations Finances Lamy, Busnel, Herbinot, Buisine, Seydoux Réunions Spécifiques Urbanisme Élaboration nouveau Plan Local d’Urbanisme (PLU - ex POS) : Visites L’Hermitage dans les 20 années à venir Sites SEVESO Salle Festive : Etude du projet - élaboration du cahier des Station d’épuration Lamy, Buisine charges tenant compte du développement durable Ateliers Municipaux Lamy Lamy, Busnel, Herbinot, Buisine Lamy Résultat ? Nous intervenons de façon pertinente lors des commissions, et Conseils Municipaux. Nous opérons un réel travail d’opposition constructive.C’est-à-dire : • Se faire expliquer toutes les décisions de la Municipalité • Être force de proposition dans les débats et les choix, fidèles aux fondements de notre programme. Nous sommes à votre écoute et à votre disposition. N’hésitez pas à nous contacter Les élus de Vivre L’Hermitage Autrement La halte-garderie « Tom Pouce » est une structure parentale. Elle est le lieu de rencontres, de socialisation, d’éveil pour les jeunes enfants dont les familles résident à l’Hermitage mais aussi dans les communes environnantes (La Chapelle Thouarault, Bréteil, Saint Gilles, Pacé, Vezin le Coquet...). La structure est ouverte les lundis, mardis, mercredis, jeudis, vendredi en périodes scolaires et peut accueillir 12 enfants par matinée (référence agrément D.D.A.S.S.). Les enfants sont pris en charge par une éducatrice diplômée d’Etat et un parent. En effet une structure parentale implique des permanences assurées par les parents pour accompagner l’éducatrice dans ses fonctions. L’éducatrice apprend à connaître au mieux chaque enfant et veille à ce que le rythme et les habitudes de l’enfant accueilli soit respecté de tous. et faire le lien avec son parent ou son accompagnateur qui est parfois l’assistante maternelle. Les jeux d’éveil, de découverte, d’apprentissage sont proposés en fonction des besoin et des capacités des enfants. Un nouveau système de réservation (contrat d’accueil) vous assure toujours une place pour votre enfant. Depuis le 1er janvier 2005, la prestation de service unique (P.S.U.) à été mise en place. Ainsi, le tarif horaire des présences de l’enfant est calculé en fonction des revenus de la famille (avis d’imposition référent) et aussi selon la composition familiale (nombre d’enfants). Le tarif horaire est calculé en appliquant le taux ci-dessous, aux revenus annuels déclarés : 12 ie r e d r a g e lt a Tom Pouce h e c u o TomP Chaque enfant doit trouver sa place au sein du petit groupe. Aussi des moments d’adaptation sont prévus pour permettre au mieux les échanges indispensables référant à l’enfant pour lui permettre de vivre une séparation tout en douceur. La présence du permanent, l’éducatrice assure le suivi de l’enfant. Elle est son référent son repère et est là pour accueillir calcul = 14 000 € / 12 x 0,05 % = 0,58 € / Heure (soit 3,83 FF / Heure) Toute famille ayant un enfant handicapé à charge bénéficie d’un tarif horaire minoré : le tarif horaire appliqué est celui au taux inférieur (ex : 2 enfants dont un handicapé : tarif horaire appliqué, celui pour 3 enfants) Majoration pour les familles n’habitant pas l’Hermitage et la Chapelle Thouarault. Le tarif horaire calculé est majoré de 0,30 €/ h. Composition de la famille Type Accueil 1 enfant Accueil parental taux horaire Exemple : revenus annuels : 14 000 € et un enfant : 0,05 2 enfants 3 enfants 4 enfants 0,04 0,03 0,02 Pour toutes informations complémentaires, vous pouvez venir nous rencontrer sur place à la halte place de la mairie de l’Hermitage ou nous téléphoner du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30. Vous pouvez aussi contacter madame la présidente de l’association « Tom Pouce », madame Rodallec Magali 06 61 09 19 67 15 16 h p e s o J t in a L’école St-Joseph S le o c L’é .I.B AA.I.B. Bonne affluence à la bourse aux jouets et vêtements de l’A.I.B. Chaque fois, c’est la même chose, avant l’ouverture, une queue s’impatiente devant les portes du foyer rural où se déroule la bourse aux jouets et vêtements de ski, organisée par l’association intercommunale de bénévolat. « Nous sommes très rigoureuses sur la qualité des articles déposés », d’où l’affluence des clients venus fouiner, chercher, trouver des jouets et vêtements de ski en bon état. La bourse aura été encore un succès pour l’AIB L’APEL de l’école Saint-Joseph compte pour cette année scolaire 15 membres, parents d’élèves élus lors de l’assemblée générale du 10 octobre 2008. Le Bureau a été renouvelé partiellement, toujours présidé par AnneCécile Chalm. L’APEL poursuit activement son objectif d’apporter des fonds à l’école pour améliorer la vie des élèves tout en animant l ‘année scolaire par diverses manifestations. C’est ainsi qu’elle a organisé le 7 décembre 2008 le traditionnel spectacle de Noël, au lycée Sainte-Geneviève à Rennes, avec la participation active des enfants et de l’équipe enseignante et du personnel de l’école. Le vendredi 12 et le samedi 13 décembre, les membres de l’APEL et des parents d’élèves bénévoles ont animé un marché de Noël sur le thème « déco créative de Noël » devant le Super U. « « les 19, 20 et 21 mars R.D.V. 2009 : bourse printemps été , 25 et 26 septembre 2009, bourse automne hiver les 24 embre. 2009, la bourse aux jouets 20 et 21 nov Pendant les temps de pause, les mamies bénévoles s’instruisent aux nouveaux jeux. École ole c É lémentair e Maternelle & ÉÉlémentaire ater nelle & M publique ublique p » Des dates à retenir sur vos agendas !» Pour l’année 2009, l’APEL participera : • au carnaval de l’Hermitage • animera les portes ouvertes de l’école le vendredi 24 avril • organisera la fête de fin d’année, le samedi 27 juin 2008 La rentrée à l’école Saint Joseph La rentrée à l’école Saint Joseph s’est bien passée. L’école compte 5 classes pour 135 élèves. Structure pédagogique : L’équipe éducative a étérenouvelée après le départ du directeur, M. Lafficher, remplacé par Mme Meier et le départ en retraite de Mme Andrieux, remplacée par Marie Dubois et Sylvie Roncier. Sophie Davitti est en congé parental pour l’année scolaire 2008-2009. 2 classes de maternelle : PS-MS : Janine Bossoutrot agent de service : Marie Dubois PS-GS : Marie Madeleine Robert agent de service : Thérèse Poirier 3 classes de primaire : CP-CE1 : Françoise Maussion, CE1-CE2 : Sandrine Meier et Sylvain Gargadennec le jeudi pour la décharge de direction. L’objectif de l’école cette année est d’ouvrir la sixième classe pour permettre que chaque élève puisse mieux réussir. Le nouveau bureau des parents d’élèves de l’école. Les élèves de GS en musique avec Sébastien Fraboule dans le projet codage et création Madame Meier, directrice de l’école maternelle et primaire Saint Joseph, est à la disposition des familles qui désirent visiter les locaux, se renseigner sur l’école ou inscrire leur(s) enfant(s) pour les différentes rentrées de janvier ou d’avril. Elle vous recevra le mercredi et jeudi toute la journée, le soir après la classe ou le samedi sur rendez-vous. N’hésitez pas à prendre rendez-vous au 02-99-64-17-26. 21, rue de la Poste - 35590 L’HERMITAGE Tél. - Fax : 02 99 64 17 26 E-mail : [email protected] Infos Municipales t n e d i s é r p u d t Le mot du Président o Le m Infos Associatives L’année sportive 2008 s’achève pour deux sections du club, la pétanque et le cyclo. Pour les autres sections la saison 2008/2009 bat son plein. Les effectifs du H.A.C. sont légèrement en baisse mais cette situation ne saurait durer. Quelques évènements ont marqué l’année 2008, :la montée de l’équipe première en football, ce qui n’était pas arrivé depuis 19 ans, et le doublé championnat coupe en volley-ball catégorie « détente » .Ces équipes sont à féliciter. Toutes les sections du H.A.C.ont en commun cette année le souci de la meilleure organisation aussi bien dans la formation que le recrutement des bénévoles sans lesquels les activités sportives de compétition ou de loisir ne seraient pas possible. Deux déménagements sont à prendre en compte, la section musculation qui a pris sa place définitive dans l’ancien dojo, et le siège historique du H.A.C. qui vient d’être transféré de la rue de la poste à la Commanderie. Salutations sportives. Le président du H.A.C. Bernard QUILY H.A.C. V.T.T .A.C.V.T.T. H À partir de 8h00 le dimanche matin, le HAC VTT vous propose : • VTT : 5 circuits : 15 km familial, • 25 km amateur, 35 km confirmé, • 45 km sportif et 55 km super sportif. Tarif : 5 € individuel (4 € pour les clubs) Pour les moins de 15 ans : 1 € Le port du casque n’est pas obligatoire mais il est fortement conseillé. • Pédestre : 2 circuits : 9 km amateur et 12 km confirmé Tarif : 3 € Pour les moins de 15 ans : 1 € Tous les circuits sont balisés et fléchés. Pour les vététistes, les passages ou traversés de routes dangereuses sont surveillés par des commissaires. L’accueil et l’inscription se feront, à partir de 08h00 à la salle « des familles » au VIVIER. Un café ou un chocolat avec une part de gâteau vous seront servis avant le départ. Pour le retour, à l’arrivée pour récompenser les efforts fournis, chaque participant bénéficiera d’une boisson chaude ou froide ainsi qu’un sandwich. Avec la participation exceptionnel de Mr D. ce notable de notre commune qui a perdu quelques kilos depuis son inscription à la section VTT et retrouver la silhouette de ses 20 ans… Malgré de nombreuses demandes il ne veut toujours pas dévoiler son nom et rester anonyme. « Contact : Benoit Le Marre Tél : 02 99 64 04 88 Port : 06 87 48 80 89 Jean Pierre Chantrel Port : 06 24 42 43 25 Alain Gaborel Port : 06 03 10 79 78 Dernière minute : démonstration de marche nordique possibilité de prêt de bâtons. » 17 Infos Associatives 18 l l a b t o H.A.C. Football o F . C . A . H La section football du HAC a repris cette nouvelle saison avec un total de 186 licenciés. 62 jeunes footballeurs composent l’école de foot, dont 4 féminines et 98 représentent les autres catégories de foot à 11. A signaler également que 20 dirigeants s’occupent du bon fonctionnement du club et de l’entrainement des différentes équipes. Comme convenu en fin de saison dernière, le choix a été fait de laisser évoluer les -18 ans en séniors afin d’avoir un potentiel de 3 équipes séniors tout en sachant que l’objectif sera de monter les équipes réserves après celle de l’année dernière en 1ère division pour l’équipe A. EFFECTIFS DÉBUTANTS POUSSINS BENJAMINS - 13 ANS - 15 ANS - 18 ANS SÉNIORS VÉTÉRANS ECOLE DE FOOT FOOT À 11 DIRIGEANTS 22 18 22 18 4 7 51 18 20 Le samedi 22 novembre s’est déroulé le challenge Henri regroupant 5 équipes de benjamins sous forme de tournois. Cette année, les tournois de fin de saison se dérouleront les 5 et 6 juin 2009 et nous espérons que vous serez nombreux à venir y participer ou à y assister. Toute la section foot du HAC vous souhaite une bonne et heureuse année 2009. Entrainement des jeunes le mercredi 13 ans t e k s a B . C . H.A.C. Basket A H. Responsable : Alain BOUGAUD – 02 99 78 64 51 ; Secrétaire : Claudine CHENAIS – 02 99 64 06 61 Adresse site : http://hacbasket.free.fr E-mail : [email protected] Bonne nouvelle. Les effectifs augmentent cette année. Ainsi, une équipe de mini-poussins est née. Si vous êtes tentés par la grosse balle orange, n’hésitez pas à nous rejoindre soit pour jouer, soit pour encadrer une équipe. Bonne ambiance assurée. Catégories Année de naissance Jours et Horaires d’entraînement saison 2008 / 2009 Baby 2002 et plus Mercredi 14h00 - 15h00 Mini poussins (es) 2000 / 2001 Mercredi 13h30 - 15h30 Poussines 1998 / 1999 Mercredi 15h00 - 16h30 Benjamines 1996 / 1997 Mardi 18h30 - 20h00 Minimes filles 1994 / 1995 Cadettes 1991 à 1993 Mardi 20h00 - 21h30 « Dates à retenir Samedi 7 mars 2009 Soirée pizza des amis duvier Basket-Ball Salle du Vi Bonne année 2»009 à tous e m u l F a l b u l C Tennis Club de la Flume : s i n Ten Infos Associatives sportivité et convivialité ! Affilié à la fédération française de tennis (FFT), le tennis Club de la Flume rassemble les joueuses et joueurs des communes de La Chapelle Thouarault, Cintré et l’Hermitage. Ce sont aujourd’hui près de 140 adhérents qui pratiquent leur sport de prédilection en loisir ou en compétition. L’année 2008 a été une grande année, notamment sur le plan sportif : après 10 ans d’existence, le Club accède au championnat régional. En effet, nos équipes premières Hommes et Femmes accèdent pour la première fois au niveau supérieur, en finissant parmi les meilleurs départementaux de leur catégories. L’équipe 1 féminine a gagné son ticket pour jouer en division 1 départementale et l’équipe 1 masculine accède à la division régionale 3. Nous récoltons là les fruits de notre investissement dans une politique de formation de qualité, avec l’emploi d’un enseignant professionnel. Lors de l’assemblée générale, le 22 novembre 2008, nous avons fait le bilan de la saison sportive et de l’activité du club et envisager les projets pour 2009 : au programme la pérennisation du poste d’enseignant, l’organisation de tournoi, les 10 ans du club, des animations….. et pour clôturer le tout une nouvelle équipe de dirigeants : Antoine Letacon (animation), Jean Cyril Fernando (communication), Nicolas Pruszek (responsable sportif), Pascal Chauvin (trésorier adjoint), Emmanuel Chilou (trésorier adjoint), Delphine Bauchet (trésorière), Marie Claude Tanguy (secrétaire), Jérôme Jouanneau (président). J’en profite pour remercier Frédérique Forest pour ses 10 années de bénévolat actif au Tennis Club de la Flume et les différents dirigeants bénévoles qui ont contribués à faire du club ce qu’il est aujourd’hui. Et à ceux qui souhaitent nous rejoindre, nous nous ferons un plaisir de vous compter parmi nous afin de partager nos valeurs communes, car au fond notre objectif est de concilier loisir, compétition, convivialité et implication pour que chacun se sente bien au TC la Flume. TC LA FLUME ou, le tennis façon conviviale ! Pour ses 10 ans d’existence, le TC LA FLUME va franchir un nouveau cap. Né du regroupement des joueuses et joueurs issus des communes de L’Hermitage, Cintré et La Chapelle Thouarault, le club fait désormais partie de ceux qui comptent dans le département. Tout cela n’a été possible que grâce à vous et aux bénévoles qui se sont succédés aux responsabilités pour construire l’association sur de solides bases. J’en profite pour remercier ici tous les bénévoles qui se sont impliqués et ont donné de leur temps pour cela. Le bénévolat est un maillon primordial de la réussite d’une association, le pratiquer n’est pas un sacerdoce, c’est une ouverture aux autres. Au-delà de la vie normale d’un club de tennis, une étape clef fut la réalisation d’un projet club, courant 2005, pour formaliser les aspirations et les souhaits des adhérents. Aujourd’hui, même s’il faut toujours se mettre en mouvement pour imaginer le futur, plusieurs thèmes ont abouti. Mais le principal sujet qui permettrait désormais de prendre une nouvelle dimension, serait la réalisation d’un complexe qui est une étape indispensable pour l’évolution de notre sport et pour la vie du club. Nous comptons sur l’écoute et la compréhension de nos partenaires des communes pour cela. 2008, grande année, notamment sur le plan sportif ! En effet, nos équipes premières accèdent pour la première fois au haut niveau, en finissant parmi les meilleurs départementaux de leurs catégories pour la saison 2008/2009. L’équipe 1 féminine a gagné sont ticket pour jouer en départemental 1, et l’équipe 1 masculine va jouer les troubles fêtes en Régionale 3. Une première pour le club ! Nous faisons partie des plus petits et jouons parmi les grands, ceci sans l’aide de joueurs extérieurs recrutés dans ce Équipe1 homme but, ça aussi c’est une victoire ! 2009 verra la concrétisation de la pérennisation du poste d’enseignant qui permet de fidéliser un professionnel, donc de stabiliser le club. Ce qui augure de perspectives rassurantes pour l’avenir. Ceci se fera avec le concours financier du conseil régional et des communes, que je remercie au passage. Seul bémol, pour durer, l’autofinancement est indispensable. Sans les équipements ad hoc, comment accueillir plus d’adhérents et comment proposer plus de créneaux d’enseignement et de jeu à ceux qui le souhaitent ? Je n’oublie pas non plus toutes les associations communales, qui, pour 2008, avec le problème de disponibilité de la salle de sport 2, ont démontré que « solidarité » n’était pas qu’un mot. Par la recherche de solutions et par leur adaptabilité face à cet imprévu, ils ont permis au club de ne pas souffrir de la situation et lui ont permis de préserver son activité dans les meilleures conditions. Qu’ils en soient également remerciés ici. 2009 s’annonce bien pour le TC LA FLUME, je dirais donc : que la fête commence ! P.A. GASCHARD Président du TC LA FLUME NOM Coordonnées 9, allée du Talweg 35590 La Chapelle Thouarault Jérôme JOUANNEAU 02.99.07.69.11 [email protected] Fonction Président 5, rue du Presbytère 35590 L’Hermitage 02.99.64.42.59 [email protected] Secrétaire Delphine BAUCHET 24 rue de la Vallée des Rochers 35590 La Chapelle Thouarault 02.99.07.67.82 delphine.bauchet@francetelecom. fr Trésorier Pascal CHAUVIN 8 rue du Panay 35590 La Chapelle Thouarault 02.99.07.63.82 [email protected] Trésorier Adjoint Emmanuel CHILLOU 2 rue de la paillette 35000 Rennes 06.86.53.00.56 [email protected] Trésorier Adjoint Nicolas PRUSZEK 4 impasse du grand courtil 35590 La Chapelle Thouarault 02.99.07.68.79 [email protected] Responsable Sportif Jean Cyril FERNANDO Le Pâtis du Chatellier 35590 L’Hermitage 06.76.73.86.78 Chargé de la communication Antoine LETACON 8, rue de l’orgerie 35590 La Chapelle Thouarault 02.99.07.61.59 Chargé de l’animation Marie-Claude TANGUY 19 e u iq t s a n m y G t e e u hysiq Physique ducation P ÉÉducation Gymnastique Volontaire ntaire olo Vet 20 La Gym 3 Pommes pour les enfants Venez découvrir la rando avec bâtons ! de 3 à 5 ans La Gym 3 Pommes, c’est chaque mercredi, une séance de 9H30 à 10H30 au Dojo, sous la conduite de Pascale Honthaas, animatrice diplômée, spécifiquement formée à la pédagogie du jeune enfant. En toute sécurité, Pascale aide et encourage les enfants à vivre des situations ludiques et variées pour leur apprendre à découvrir, seuls ou en groupe, leurs possibilités d’action et d’expression. Des places sont encore disponibles, n’hésitez pas à vous renseigner pour inscrire votre enfant au 2ème trimestre, y compris pour les enfants qui auront 3 ans début 2009. Depuis cette saison, la Gymnastique Volontaire propose deux cours de rando avec bâtons le vendredi matin. Cette nouvelle activité rencontre un certain succès auprès des publics adultes et seniors, hommes et femmes. Alors pourquoi pas vous ? Sous la conduite de Yannick Bitauld, animateur diplômé, venez profiter des bienfaits de la rando avec bâtons, une marche tout terrain, où l’on s’aide de bâtons pour avancer et enjamber les obstacles dans des lieux variés. La séance débute par une mobilisation articulaire et se termine par des situations d’étirement pour mieux récupérer. La Gym 3 Pommes Une gym qui allie détente et bien-être Marie-France Villéger anime un cours de gym douce-détente corporelle, depuis plusieurs années, le mardi de 18H45 à 19H45 à la Commanderie, dans la salle banalisée. La qualité d’animation de Marie-France n’est plus à démontrer, alors laissez-vous tenter pour ceux ou celles qui désirent concilier une activation douce du corps pour améliorer ou entretenir sa forme et une détente physique et mentale pour récupérer du stress quotidien. C’est aussi une possibilité pour renouer tout en douceur avec une activité physique. Venez expérimenter le cours de gym douce-détente corporelle à l’occasion d’une séance découverte gratuite. La Gymnastique Volontaire, c’est aussi un message Toutes les études le prouvent, la pratique d’une activité physique régulière, même à intensité modérée, permet de protéger son capital santé. Il est en effet nécessaire d’entretenir sa condition physique pour préserver ses aptitudes corporelles et conserver sa vitalité. N’hésitez pas à vous renseigner pour vous inscrire, au deuxième trimestre, à l’un des cours de la Gymnastique Volontaire. Infos Associatives La randonnée avec bâtons Cette marche dynamique renforce la tonicité générale en engageant toutes les chaînes musculaires, soulage les articulations en répartissant le poids du corps sur les 4 membres et induit une bonne dépense énergétique. N’oublions pas la convivialité et la bonne humeur qui règnent dans les groupes permettant aux participants de profiter agréablement de leur séance. Deux groupes sont constitués, chaque vendredi, pendant 1H15, de 9H00 à 10H15 et de 10H30 à 11H45. N’hésitez plus, il reste encore des places, alors renseignez-vous sans attendre. Pour tout renseignement, merci de contacter Patrick Beudin au 02 99 64 19 03