CreatiF 1/11 ACTIF - böhler

Transcription

CreatiF 1/11 ACTIF - böhler
www.edelstahl-schweiz.ch
aCtiF
CreatiF1/11
Le magazine d’information pour les partenaires,
les clients et les intéressés.
Nom: d’Aujourd’hui
Passion: la tôle d’hier
Peter d’Aujourd’hui (c’est son vrai nom) a une passion qui remonte à son enfance: à l’âge de 9 ans, il a reçu
pour son anniversaire non pas le ballon de football souhaité, mais un livre: «L’auto rouge». Sa couverture mon­
trait une MG TC rouge de 1947, descendant un col à toute allure dans un nuage de poussière. L’histoire parlait
d’aventures, de voyages, de courses et de belles femmes. C’est le premier livre qu’il a lu de son plein gré.
Et depuis lors, le rêve de la voiture rouge ne l’a plus quitté. Suite en page 2
2
Pas de plastique, que de la tôle et du métal – c’était la belle époque!
La tôle d’hier Suite de la première page
Puis – de nombreuses années plus tard –
le rêve est devenu réalité. En rouge bien
sûr. Une anglaise évidemment. Un cabrio­
let avec des roues à rayons forcément. Une
voiture ancienne bien sûr, mais pas
n’importe laquelle! Ce rêve devenu réalité
se traduit par des mains sales, une mine
radieuse et parfois des relents de gaz
d’échappement. C’est l’une des facettes de
la passion pour les voitures anciennes.
L’autre est souvent une question de pa­
tience, une recherche inlassable de pièces
de rechange rares et parfois introuvables,
mais aussi un moyen de se créer de nou­
velles amitiés.
Un ami exceptionnel: Beat Schenk, gourou des
voitures anciennes et des compresseurs
La tôle d’hier, source de nouveaux amis
Peter d’Aujourd’hui a donc beaucoup
d’amis. Tout d’abord, un ami qui s’est non
seulement voué à la tôle d’hier, mais qui
vit aussi sa passion chaque jour sur le plan
professionnel, qui sait comment redresser
des bielles, roder les soupapes récalcitran­
tes, rendre leur éclat à d’anciennes carros­
series. Qui a lui aussi des amis
capables de reproduire sur un tour
des pièces disparues, avec de
l’acier inoxydable d’aujourd’hui.
De tels amis, il en faut lorsqu’on
désire collectionner de vieilles
voitures et les conduire. Sans
compter les nombreux amis
que l’on rencontre sur la rou­
te. Car il existe beaucoup
d’amateurs d’anciennes voitu­
3
Un vieux rêve de l’humanité
Voitures anciennes sous leurs plus beaux atours à l’«Auto-Moto-Klassik» de Bâle
res, et leur nombre croît sans cesse. On les
rencontre dans les salons d’oldtimers, les
rallyes, les auberges de campagne ou lors
de rassemblements. Par exemple à
l’occasion du «Raid Suisse-Paris», organi­
sé l’an dernier pour la 20 e fois, avec la par­
ticipation de 195 voitures des années 1925
à 1975, dont 27 modèles d’avant-guerre,
45 construits entre 1945 et 1959 – ainsi
que 16 équipages entièrement féminins
qui ont parcouru le long trajet de 920 km
de Bâle à Paris.
Le salon des «oldies»
En outre, on retrouve de nombreux amis
dans les lieux où l’on peut parler de la pas­
sion pour les voitures anciennes, rencon­
trer des gens partageant les mêmes intérêts
et trouver des réponses aux questions que
l’on se posait depuis longtemps. A l’«AutoMoto-Klassik» de Bâle, par exemple, qui a
pu fêter le 10 e anniversaire de son salon
des oldtimers les 7 et 8 mai de cette année
dans la halle ronde de «Messe Schweiz»
(www.automotoklassik.ch).
Les véhicules exposés sont des témoins de
l’histoire de l'automobile. Cabriolets,
roadsters, voitures de course, voitures de
tourisme, machines agricoles, motos,
grand tourismes, biplaces et monoplaces
de course de différentes années d’avant et
d’après-guerre. Des marques évocatrices
telles qu’Alfa Romeo, Aston Martin, Aus­
tin Healey, Bugatti, BMW, Brabham,
Daimler, MG, Monteverdi, Sauber et bien
d’autres encore. Tous ces engins auraient
bien des choses à raconter sur leur passé.
Quelques visiteurs du salon auront peutêtre aussi attrapé le virus des voitures an­
ciennes et acquis une classique en rouge,
car une grande partie des voitures expo­
sées pouvaient être achetées avec un bud­
get relativement modeste.
Qui peut bien organiser cet événement
chaque année? Évidemment, qui d’autre!
On comprend facilement pourquoi la tôle
d’hier peut devenir une passion, même si
l’on s’appelle d’Aujourd’hui. Ou même
autrement.
…à bientôt!
Le désir de se déplacer de manière
autonome avec son propre engin n’est
pas nouveau. En l’an 308 avant J.-C.,
Démétrios de Phalère se déplaçait déjà
dans un chariot mû par une «force invisible» lors de cérémonies religieuses.
D’accord, c’étaient des esclaves qui assuraient la force motrice à l’intérieur du
véhicule...
Une méthode similaire a également été
appliquée dans la Rome impériale au 2e
siècle après J.-C. Mais pour des raisons
aisément compréhensibles, les «autos»
propulsées par des esclaves n’avaient pas
de véritable avenir. Il a alors fallu attendre
relativement longtemps avant que l’idée
de l’auto-propulsion ne se réalise.
En 1862, Nikolaus August Otto créa le
premier croquis d’une machine à quatre
cylindres à poussée par compression, et
en collaboration avec l’ingénieur Eugen
Langen, il parvint à présenter une machine
à peu près opérationnelle à point nommé
pour l’exposition mondiale de Paris
(1867).
En fait, c’est Carl Benz qui, en 1885, fut
le premier à présenter publiquement un
véhicule à propulsion par essence, dont
le moteur comportait des pistons en
mouvement alternatif. C’est l’une des
découvertes majeures de notre civilisation, et il n’est pas étonnant que le
principe du moteur à pistons n’ait guère
changé jusqu’à nos jours, résistant à toute
innovation. On est tenté de soupçonner
que dans la recherche automobile, de
puissants freineurs aient pris place tout
près du réservoir de carburant!
Mais une chose est certaine: l’automobile
n’en finit pas de fasciner, qu’il s’agisse de
nouveaux véhicules prestigieux ou de
modèles classiques empreints de
nostalgie.
4
Histoire de l’acier
13 e et dernier épisode: rétrospective chronologique de l’histoire de la fabrication du fer,
par Urs Hotz
Cet aperçu clôt un chapitre qui avait sa place depuis longtemps dans notre revue «actifcreatif». Nous sommes maintenant arrivés
à l’ère moderne, et nous espérons vous avoir procuré ainsi une intéressante vue d’ensemble de l’histoire passionnante de l’acier.
- 2500: Il y a 4500 ans, du fer a été produit
pour la première fois par l’homme, pro­
bablement dans la région du ProcheOrient. Avant cette période, on ne con­
naissait que le métal d’origine céleste, très
rare et par conséquent extrêmement pré­
cieux, dit fer météoritique, contenant
6– 8 % de nickel.
- 1400: Il fallut encore plus de 1000 ans
pour que les Hittites d’Anatolie constatent
que le chauffage à plusieurs reprises du fer
malléable dans un four à charbon de bois
à 1200 °C entraînait un durcissement de
ses arêtes, avantage considérable pour la
fabrication d’armes.
Age
- 1200: L’âge du fer a véritablement com­
mencé il y a un peu plus de 3000 ans, lors­
que le bronze utilisé jusqu’ici a été
progressivement remplacé par le fer pour
la fabrication d’ustensiles courants. Au dé­
but, le fer forgé était fabriqué dans de petits
fours à poche ou à godet, à partir de mor­
ceaux de minerai de fer de 2 –3 cm.
Préhistoire et Antiquité
Période culturelle
Age de la pierre
Age du bronze
Combustible
Énergie
Fusion du minerai
–
Mode de production du fer malléable
–
- 4000
- 3000
- 2000
- 500: Les bas foyers voient le jour. En fin
de processus, vers 1200 °C, on obtenait des
morceaux de fer de 5–20 kg, avec des rési­
dus de scories (appelés loupes). Par marte­
lage, ces morceaux étaient péniblement
débarrassés de leurs scories et transformés
en Europe en un semi-produit commercia­
lisable dit «Spitzbarre».
1000: Les bas fourneaux remplacent tou­
jours plus les bas foyers pour la fabrication
de fer. Ces fourneaux sont toujours plus
volumineux et au 15 e siècle, ils permettent
de traiter environ 1,2 tonne de minerai de
fer par jour. On obtenait des loupes de près
de 400 kg et un peu de fer liquide dont on
ne savait pas encore que faire. La taille des
fours croissant, le besoin de tirage augmen­
tait, de sorte que l’énergie hydraulique fut
toujours davantage mise à contribution
(pour remplacer la force musculaire).
1500: Apparition du haut fourneau. Il sem­
ble que le passage des bas fourneaux aux
hauts fourneaux se soit produit progressi­
vement, car avec l’augmentation de la puis­
sance des premiers, la quantité de fonte
liquide a augmenté parallèlement aux lou­
pes de fer malléable.
La fonte brute ne pouvait pas encore être
affinée directement, mais sous forme de
plaques d’environ 7 mm d’épaisseur por­
tées au rouge incandescent sous atmos­
phère riche en oxygène, pour obtenir du
fer-blanc forgeable ou laminable.­
- 2500: Météorites Fe-Ni
- 500: Fours directs
1700: Sous la pression de la raréfaction du
charbon de bois (surexploitation des
forêts!), de nouveaux agents énergétiques
ont été cherchés pour la transformation
des minerais. Une substance appropriée a
pu être trouvée par cokéfaction du char­
bon en coke, un procédé connu depuis
longtemps par les forgerons. Parallèlement
à la conversion du charbon de bois en
coke, la machine à vapeur a été dévelop­
pée, permettant de faire fonctionner des
souffleries plus performantes, amorçant
ainsi l’augmentation considérable de la
puissance des hauts fourneaux. La fonte
brute produite dorénavant en grandes
quantités était affinée laborieusement en
morceaux de fer forgeable de 300 kg dans
des fours à puddler.
1850: Avec le développement du procédé
d’affinage Bessemer (à l’air), permettant la
fabrication d’acier liquide en 15 minutes à
partir de la fonte brute en quantité pra­
tiquement illimitée, les conditions pour la
production de masse étaient réalisées. Son
perfectionnement en procédé Thomas per­
mettait d’étendre l’affinage en convertis­
seur pour traiter de la fonte brute riche en
phosphore. A la même époque apparaît le
procédé Siemens-Martin d’affinage de la
fonte dans un four à sole. Tant le procédé
Thomas que le procédé SM ont dominé le
processus d’affinage (conversion de la fon­
te en acier) jusqu’au 20e siècle, dans les
années 1960.
1900: Développement du four à arc
électrique, permettant de produire de l’acier
à partir de ferraille, c’est-à-dire sans fonte.
Dès 1950: Développement du procédé
d’injection d’oxygène pur (procédé LD sans
azote dans le gaz d’affinage). En raison de
ses avantages techniques (pas d’apport
d’azote, performances et sécurité élevées),
ce procédé a supplanté tous les autres pro­
cédés d’affinage connus à ce jour. A partir
de 1950, des procédés métallurgiques se­
condaires ont également été créés, notam­
ment pour le dégazage de la fusion.
On s’étonne toujours du peu de temps qu’il a fallu pour atteindre notre prospérité actuelle.
Le premier homme moderne serait apparu il y a 160 000 ans environ, et depuis l’Afrique
du Sud, il a gagné peu à peu toutes les régions de la terre. En revanche, le progrès technologique rapide n’est en cours que depuis 150–300 ans, une période ne correspondant
qu’à 0,1– 0,2 % de l’histoire récente de l’humanité (rapporté à une journée de 24 heures,
cela représente les 80 –160 dernières secondes avant minuit)!
1000: Bas fourneaux
1500: Hauts fourneaux
Antiquité
1700: Machine à vapeur
Moyen-Âge
1850: Convertisseur
Histoire
récente
Ère
moderne
L’âge du fer
Bois (charbon de bois)
Houille
Force hydraulique
Force musculaire
Feu ouvert et bas fourneau
Haut fourneau
indirectement de la fonte/affinage
directement à partir du minerai
- 1000
Force
thermique
0
1000
2000
5
6
Extension de nos
prestations d’usinage
Équipe d’usinage de Böhler Stahl Wallisellen:
de g. à dr.: T. Milosevic, D. Zuber, M. Bitgen, Z. Radomir, M. Iacicco,
Tran Van Nang (manquent en photo: G. Tadic, G. Ranaldo)
Toute entreprise de transformation con­
naît des limites de capacité du fait de ses
possibilités techniques. Pour cette raison,
nous collaborons depuis longtemps avec le
négociant allemand en aciers fins Esch­
mann Stahl. Depuis l’intégration de Bude­
rus Aciers au groupe Böhler Uddeholm en
2006, nous avons en outre la possibilité de
collaborer avec l’entreprise française De­
ville Rectification de Pont Salomon. Ces
deux entreprises offrent à nos clients un
vaste assortiment de possibilités d’usinage,
comme l’illustre le graphique ci-dessous.
En rectification comme en fraisage,
d’anciennes machines ont été soumises
à
4000 kg
une révision générale ou ont été rempla­
1050
cées par des neuves. En février, nous avons
achevé la révision d’une fraiseuse CNC. La
planeuse à portique PROTH PSGP-1215
AHR mise en service en septembre 2010
nous permet désormais de
proposer des
2500
travaux de rectification jusqu’à une lar­
3000
geur de 1200 mm. Nous disposons actuel­
lement de deux planeuses performantes.
Fraisage
8000
plaques jusqu’à 1200 mm
Équipe compétente dirigée par un chef
expérimenté
Notre équipe
8000 kgd’usinage très motivée se
trouve depuis début mars 2010 sous la di­
rection compétente de Monsieur Michele
Iaccico. Il a travaillé
près de 40 ans
30000 pendant
kg
chez Georg Fischer où il a occupé diverses
fonctions dans l’usinage, comme program­
meur CNC, contrôleur de qualité et finale­
ment chef de département. Quelques
années avant son arrivée chez nous, il
occupait un poste de cadre chez Rieter.
8 000 kg
2 500
30000 kg
Largeur [mm]
2600 kg
1 050
1200
5000 kg
1540
8000 kg
2500
en bleu foncé: Böhler Acier Suisse; en gris: Deville Rectification; en bleu ciel: Eschmann Stahl; poids: poids maximums
4200
Longueur [mm]
3200
1500
8500
8000
1500
Largeur [mm]
La nouvelle planeuse à portique pour largeurs de
Rectification
Longueur [mm]
4000 kg
3 000
Longueur [mm]
1500
Fraisage
Modernisation du parc de machines
à Wallisellen
Largeur [mm]
Un partenaire d’usinage performant
à vos côtés
8500
Les entreprises orientées vers l’avenir investissent aussi bien dans la modernisation
de leur parc de machines que dans l’extension de leur gamme de produits.
Ce processus a cours chez Böhler depuis plusieurs années, et ce à votre avantage.
7
Possibilités de livraison plus étendues
grâce au HUB Düsseldorf
Böhler Allemagne
Böhler Suisse
Quels sont les matériaux livrables en sus à partir du HUB de Düsseldorf?
Aciers résistant à la corrosion, aux acides et réfractaires
Production
Marque
Bulletin Livraison
Client
A fin 2008, nous avions fait état dans la
revue «actifcreatif» de nos possibilités de
livraison accrues dans le domaine des
aciers résistant à la corrosion, aux acides et
réfractaires, ainsi que dans les aciers de
construction. Cette extension a pu être
réalisée grâce à l’accès direct par nos ser­
vices de vente aux entrepôts de Böhler Al­
lemagne à Düsseldorf, soit au HUB. Depuis
le début 2009, nos clients de toute la Suisse
peuvent être approvisionnés en aciers di­
rectement à partir de Düsseldorf pour les
types non tenus en stock à Wallisellen, et
ceci aux mêmes conditions que depuis le
stock de Wallisellen.
Désignation
symbolique
Géométrie
Rond
Brut ou écroûté
1.4571
X6CrNiMoTi17-12-2
20 – 450 mm
De surcroît, il est possible d’obtenir diffé­
rents matériaux à partir de l’entrepôt de
fret aérien à Düsseldorf.
Les matériaux disponibles depuis le HUB
de Düsseldorf sont également mentionnés
dans notre nouveau programme de vente!
10 – 50 mm
Aciers ferritiques/austénitiques (Duplex)
A903
1.4462
X2CrNiMoN22-5-3
20 – 375 mm
Aciers ferritiques martensitiques, améliorés
N320
1.4021
X20Cr13
36 – 380 mm
20 – 40 mm
N335
1.4122
X35CrMo17
20 – 500 mm
10 – 50 mm
Aciers ferritiques martensitiques, trempables
N690
1.4528
X105CrCoMo18-2
18 – 200 mm
X15CrNiSi20-12
12 – 150 mm
Aciers réfractaires
H550
*
1.4828
) Les barres rondes A200, 1.4404, X2CrNiMo17-12-2 sont livrables immédiatement du stock
à Wallisellen!
Aciers de construction
Les livraisons au départ des entrepôts de
Düsseldorf ont lieu deux fois par semaine,
de sorte que les articles devraient arriver
chez vous dans les 4 –5 jours ouvrables ap­
rès réception de vos commandes.
Blanc h9
Aciers austénitiques *
A300
Livraison
Matière
n°
Aciers cémentables
V820
1.8550
34CrAlNi7
20 – 250 mm
Distinction pour
Böhler Acier
Un moyen particulièrement efficace de moti­
ver les fournisseurs à offrir des prestations
de pointe est par exemple d’organiser un
concours parmi les fournisseurs.
Notre client, la société Spühl AG, leader
mondial en machines de ressorts internes,
constructeur de machines individuelles et
spécialiste d’installations de ponçage pour
l’entretien des skis et snowboards, a imaginé
un système original.
environ 220 collaborateurs. Accordant une
grande importance à la formation de la relè­
ve, l’entreprise forme actuellement une cin­
quantaine d’apprentis polymécaniciens et
constructeurs. Par ailleurs, elle possède une
filiale en Italie qui fabrique des machines à fil
avec sa vingtaine d’employés.
Présentation de l’installation de ponçage de skis
ultramoderne chez Spühl AG
Impressum Aktiv | Kreativ
Éditeurs:
Gebr. Böhler & Co. AG
Hertistrasse 15, Postfach
8304 Wallisellen
Tel.+41 (0)44 832 88 11
Fax+41 (0)44 832 88 00
[email protected]
Depuis plusieurs années, les fournisseurs
de Spühl AG obtiennent les meilleures
notes pour les prestations fournies en
termes de qualité, de respect des délais et
de satisfaction.
Nous nous sommes toujours efforcés de
nous distinguer dans ce concours, et
sommes parvenus à prendre le second rang
pour la période d’août 2009 à juillet 2010,
ce dont nous sommes particulièrement
fiers.
Cette prestation repose notamment sur
notre efficace système de gestion
d’entreprise selon ISO 9001:2008, dont la
recertification pour les trois prochaines
années a été obtenue en 2010.
Böhler Frères & Cie SA
48, route de Chancy
1213 Petit-Lancy
Tél.+41 (0)22 879 57 80
Fax+41 (0)22 879 57 99
[email protected]
Rédaction et textes:
Toni Schindler, communicateur
Conception et graphisme:
Digicom Digitale Medien AG
www.digicom-medien.ch
Équipe rédactionnelle Böhler:
Urs Hotz, J.-C. Ernst, Vincenzo
Paparo, Edgar Sepp
Photos:
Page de titre: Toni Schindler,
Böhler Frères & Cie SA
istockphoto (S. 4)
05.2011
Fondée en 1877, Spühl AG fait aujourd’hui
partie du groupe américain Leggett & Platt
Incorporated. Spühl AG est un constructeur
de machines actif dans le monde entier. Avec
son savoir-faire technique et son esprit
d’innovation, cette société occupe un rang de
leader sur les marchés respectifs. Grâce à la
qualité et à la précision suisses, la société dé­
veloppe, fabrique et vend dans le monde en­
tier ses machines de fabrication de ressorts
internes pour l’industrie du mobilier rem­
bourré et de matelas. Par ailleurs, Spühl AG
constitue un partenaire d’externalisation
idéal pour de nombreuses PME actives dans
la construction de machines spéciales. A cet
effet, la société développe, fabrique et monte
des machines et des composants de toutes
sortes sur des installations de production ex­
trêmement efficaces en sous-traitance. En
son siège de Wittenbach, Spühl AG emploie

Documents pareils