François David a écrit un petit recueil de poésie drôle, léger et subtil
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François David a écrit un petit recueil de poésie drôle, léger et subtil
François David a écrit un petit recueil de poésie drôle, léger et subtil, consacré aux oiseaux. Chaque texte délicieux est agrémenté des illustrations-croquis noir et blanc « façon Shadoks » de Consuelo de Mont-Marin qui en décuplent l’humour et l’inventivité. On peut même glisser ce livre dans sa poche pour en picorer les miettes, partout, en attendant le printemps. Avec cette publication, François David donne la main à Paul Vincensini, autre grand poète d’hier devenu classique. © François-Xavier FARINE (Poésie jeunesse) Quel magnifique recueil, simple comme une poésie de Prévert. Les poèmes sont cocasses, rigolos, profonds. François David revient souvent à la forme de l’aphorisme (« on empaille les oiseaux / Un jour on empaillera / le ciel ») et nombre de poèmes courts flirtent avec le haïku (« Les oiseaux de nuit hululent / parce qu’ils hurlent / à la lune »). Les illustrations, des dessins accompagnent le texte avec humour et simplicité. L’ensemble se révèle très directement accessible aux enfants comme aux adolescents et adultes. © Philippe Geneste Dans ce petit recueil (proche du format A6), des mots, des traits légers… comme un vol d’oiseau. Ce qui tombe plutôt bien, me direz-vous, vu le titre ! Et comme j’aime bien filer les métaphores, j’ai bien envie d’ajouter, comme une cerise sur le gâteau de ce Dessert de Lune, que, sûr, un esprit d’enfance y plane en ailes majuscules. © Morgan Riet. François David (dont je vous ai déjà parlé au sujet des Bêtes Curieuses aux éditions Motus) nous livre ici, aux éditions Les Carnets du Dessert de Lune, un recueil de pensées poétiques à propos des oiseaux, animaux fascinants de tous temps. A chaque double-page, un court poème (je pense parfois aux Haïkus, ces courts poèmes japonais) et une illustration de Consuelo de Mont-Marin, au style vif et au crayon aiguisé. Ces dessins rappellent le poème, mais en noir et blanc et plein de sobriété, ils laissent place à l’imagination. Les textes de François David riment parfois et chantent souvent ! Êtes-vous prêts pour l’envol ? Vos grands enfants un peu rêveurs certainement ! Public: Lecteurs débutants/ Et surtout Lecteurs confirmés. © Marianne