Linux - AMIGALAND V6.05
Transcription
Linux - AMIGALAND V6.05
Une distribution Linux complots pour PoworMac st Amiga ! n o v e m b re 1 9 9 8 - n °5 6 Mensuel - 11,25 Scan - 273 FL - 11,10 FS - 260 FB N°ISSN 1259-1165 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Carte accélératrice : la Centurbo II mise à nu Culture : comment est né le phénomène Linux ? Linux PPC : toutes lis ■ astuces pour bien l'installer mise aupoint : _ i _ ^ 379230603900200560 3792306039002 _ 1 H I L e s m e n s o n g e s d e l'A m ig a e n f in d é c r y p t é s | ' Démarrez Linux esl un véritable système d'exploitation Freeware 32 bit multitâche - multi utilisateurs et dépend des termes de la "GNU Public License' Linux est de type Unix |M (POSIX) avec des extensions System V et Berkeley, et est disponible sous forme de code source et de binaires. en t o u t e t r a n q u i l l i t é Votre P C d evien t Sto tio n -X ! Tous nos tarifs sont en FTTC i et port compris Livraison sous | 48/72 h. v y r ** FreeBSD 2.2.7 (Walnut Creek) 08/98 Complété FreeBSD 2« édition (CD s 2.2.7 + Livre 1725 p.) US unux OpcoLinux a B ase Unux MNIS 09/98 (base sur Debian 2.0, noyau 2.0.35, 3 CD s) Linux S.u.S.E. 5.3 08/98 (vers. US) Linux S.u.S.E. 5.3 vers. Fr (avec support à I nstallation en France) Linux Snapshot 5.3 (S.u.S.E.) 08/98 Linux Officiel Red Hat 5.2 (Intel) Française (Logiciels du Soleil) Linux Official Red Hat 5.2 (Intel) Linux Red Hat PowerTools 5.2 (Intel / Alpha) Linux Official Red Hat 5.x (Alpha) Linux Official Red Hat 5.x (Sparc) Extrême.Linux (Red Hat) Linux Library vers. 4 (Red Hat) Doc (800 000 p.) Caldera Open Linux Base 1.3 US (+ StarOffice 4.0+DRDOS 7.02) Caldera Open Linux Standard 1.2 (vers. US) Turbo Linux 2.0 (Pacific HiTech) Linux InfoMagic 06/98 Linux Archives (InfoMagic) 06/98 Tool Box InfoMagic (Linux InfoMagic 06/98 +livre Runnig Linux) "0'Reilly" Linux Slackware 3.5 (Walnut Creek) 07/98 Turbo Linux for PowerPC support G3 (Pacific HiTech) MkLinux DR3 + livre (Prime Time Freeware) Real Time Linux (04/98) MNIS Accelerated-X Linux Office suite 99 S.u.S.E.- (Applixware 4.4.1 +Applix Développeur) StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence non commerciale) StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence commerciale) DR-DOS 7.02 (Caldera) Wabi 2.2 pour Linux (émulateur Win3.1x) -Caldera Motif 2.1.10 Red Hat (Intel-Alpha Sparc) Motif 2.1 Métro Link (S.u.S.E.)-lntel Arkeia Mini Lan Offer (sauvegarde pour Linux) Knox Software Accelerated AX 4.1 Display Server Linux/BSD (Xi Graphics) Accelerated LX 4.1 Laptop Server Linux/BSD (Xi Graphics) OpenGL 4.1 Dispiay Server Linux/BSD (Xi Graphics) Multi Head pour Linux Vers. 4.1/BSD (Xi Graphics) CDE (Xi Graphics) : bundle (CDE + Applications Builder pour Motif + Motif 1.2.5 + Accelerated AX 4.1 (Linux/BSD) Applications Graphiques pour Linux (MNIS) Linux Turbo Business Applications (Pacific HiTech) GIMP1.0 (Wilber Works) Linux Games 01/98 (Pacific HiTech) GNU HURD Temps Réel Mach 4.0 (MCD' Diffusion) )AVA WorkShop 2.0 SunSoft Unix Feeware 01/98 (Walnut Creek) C/C++ User Group Library 04/98 (Walnut Creek) Perl 08/98 (Walnut Creek) Ada 04/98 (Walnut Creek) DJGPP Development System 08/98 (Walnut Creek) QRZ Ham Radio (Walnut Creek) 03/98 CICA 32 W95/ NT 08/98 (Walnut Creek) Hobbes OS/2 04/98 (Walnut Creek) Simtel MS DOS 03/98 (Walnut Creek) WinFiles.com 06/98 (InfoMagic) Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM LINUX) 3.5 S- SLACKW ARE L in u x C O M PLETE COM M ANO REFERENCE Le Sytème Linux "0'Reilly" 590 pages 2ème Ed. (FR) Administration Réseau sous Linux "O'Reilly" (368 p.) (FR) Linux in a Nutshell "O'Reilly" (579 p.) (FR) Son et Images sous Linux "O'Reilly" (450 p.) (FR) Introduction à Perl "O'Reilly (334 p.) (FR) Linux Devices Drivers "O'Reilly" (US) Tous /es titres de la collections O'Reilly sur commande FR/US Linux et XFree86 "Eyrolles" (404 pages) FR Linux Undercover "Red Hat" (2019 p.) US Linux Complété Command Reference "Red Hat" (1500 p.) US Maximum RPM Red Hat" (442 p.) US Doctor Linux 6th Edition (1631 p.) US Samba Integrating Unix/Windows (300 p. + CD) SSC UNDtRCC et bien d'autres titres... TJ IT Jv' o-| : 1=1® | Doctor LINUX ! BON DE COMMANDE A retourner à M C D 2 Diffusion w f t f U 72, quai des Carrières 94220 Charenton / Tél. 01 56 29 23 00 / Fax. 01 56 29 23 01 □ )e suis intéressé(e) par □ Je désire commander _ et désire recevoir une documentation. a u p r i x d e ______________Ft t c a u p r i x d e _____________ F ttc a u prix d e Ft t c -Si I ------------------- r lotal Nom _ Société Prénom Adresse FTTC l sont en fttc et port compns Livraison sous 48/72 h. [ZI je règle par chèque à l'ordre de MCD2 Diffusion I I je règle par Carte Bancaire en reportant son n° ci-dessous C.P Ville h t t p :/ / w w w .m c d 2 - d if f.fr Tél. l l l I l l l l l l l l I l I II expire : JJ email : m cd2@ m cd2-diff.fr Le monde alternatif a une fois de plus subi des pertes. Les derniers défenseurs de l'Atari qu'étaient St Magazine et Stratos ont officiellement disparu. Néanmoins, Dream continuera de porter le flambeau, au travers de quelques pages mensuelles. Pour sa part, Amiga Inc. annonce la version 3.5 d'Amiga OS ; voilà une bonne occasion de faire un point sur toutes les fausses informations qui ont fleuri par le passé autour de cette machine. Linux, de son côté, continue son petit bonhomme de chemin et gagne de plus en plus d'adeptes à sa cause, en offrant des versions toujours plus puissantes et plus simples à installer. La version 4 .0 de BeOs est en cours de développement. Peu d'informations parviennent à filtrer; aussi, espérons que le matériel supporté le rende enfin utilisable par Monsieur tout-le-monde. Quelle que soit sa machine de prédilection, il convient cependant de retenir que l'informatique alternative nécessite avant tout le respect de tous pour tous les systèmes, garantissant ainsi la liberté de choix nécessaire à l'évolution. • DÉCOUVERTE 42. Le prochain noyau Linux, le ker6. Courant Alternatif • EN PRATIQUE 48. In sta lla tio n de la distrib utio n Linux PPC du CD 52. C o nfig u ratio n du réseau sous OS/2 54. Configuration de Risc Os 56. Utilisation de NFS Les salons informatiques deviennent • APPROFONDIR alternatifs. Le salon Eurêka, destiné aux machines Alpha, a accueilli pour la première fois Linux, et ce, à bras o u ve rts. Pour sa p a rt, la cité des Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Scien ces de la V ille tte , lors de la semaine de la Science, a donné l'hos p italité à la Linux Party N ationale, permettant à de nombreux visiteurs de découvrir le logiciel libre. • DOSSIER 58. Traitem ent par lots et scripts CGI 2 2 . D e v e n ir fo u rn is s e u r d 'a ccè s Apprenez à consulter en ligne une Internet ? carte routière de grand format, par Bien que Dream ne p réten d e pas portions. Cet article de synthèse fera vous apprendre un m étier, il vous appel à vos notions de Shell, Perl, p ro p o se to u te fo is de d é c o u v rir HTM L et bien sûr à votre connais q u e lq u e s c o n tra in te s et d essous sance des outils d’ImageMagick. in h éren ts à cette profession, qu'il s'ag isse des co n sid ératio n s sur le 4 PROGRAMMATION choix du matériel ou des démarches 66. O bjet : com portem ents dyna administratives et bancaires. miques 68. Perl : formatage de texte 70. C : les pointeurs LABO 72. Java : initiation aux Beans (2) 32. Net Beans 74. Initiation au Blitz Basic 34. Centurbo II 36. ArtPaint • ZONE LIBRE 37. RayStorm 76. Microstory : Linux 37. Backman 80. Petites Annonces 38. SuSe 5.3 39. Ramplify 39. MkDrawF Abonnement P.79 L.______________________ 40. SoundTracker Dream's bootik P.82 Linux est à l'honneur ce mois-ci avec une distribution complète pour processeurs Power PC, donc utilisable sur un Amiga ou un PowerMac ; cette distribution étant très simple à installer, il n 'y a aucun souci à se faire. Vous trouverez également les disquettes de démarrage de la distribution Stampede pour PC qui avait été fournie avec le CD 54, mais, pour des raisons techniques indépendantes de notre volonté, de manière incomplète. Ainsi, ce mois-ci, que vous soyez i386 ou PPC dans l'âme, vous pourrez tous installer Linux sur votre machine, et profiter des nombreuses applications pour ce système, fournies sur le CD de Dream. Linux pour PowerM ac et Am iga L as d'AmigaOS ou de MacOS ? Curieux de découvrir d'un peu plus près Linux ? Alors, cette distribution complète est faite pour vous. Elle vous permettra d'installer simplement Linux sur votre machine, qu'il s'agisse d'un Amiga ou d'un PowerMac. Sur le CD , plus de 300 Mo de données compressées proposent tous les éléments indispensables pour bien débuter sous Linux. Vous y retrouverez toutes les appli cations de base de la RedHat qui vous don □ 1 Linux 1OlDDOOl E ] | t g j neront la possibilité de configurer complète ment votre machine, ainsi que des logiciels in c o n to u rn a b le s tels que G im p, Im ageMagick, Emacs... RedHatPPC P IMP I E ) 1^ 1 R assurez-vou s, les pages 48 à 51 de ce 0 | f magazine vous expliqueront en détails com 0 1 m ent m ettre en place cette distrib ution, NT au ssi b ien su r un A m ig a que su r un A PowerMac. oi OJ « J BootX v1,0b 1 Choose your OS j Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM MacOS Linux Linux kernel argum ents : ro o t= /d ev /h d a5 video=atyfb :vmode :17,cm ode :16 □ Use R A M Disk □ No video driver R é p e rto ire Linux Profitez ce mois-ci de la dernière mouture du fameux Guide du Rootord, en deux versions : l'une au format postscript, et l'autre directement utilisable depuis le CD au format HTML. Vous bénéficierez également de tout ce qu'il vous manquait pour administrer votre machi ne, et en français de surcroît. Les dernières man-pages en français sont également présentes. Les amoureux de l'image découvriront également les dernières versions d 'ImageMagick, d'Electric-Eyes et de Gimp avec des dizaines de plug-ins. R ép erto ire A m ig a Vous disposerez désormais de tout ce qu'il vous faut pour programmer en Basic et en assembleur ! Compilateurs, assembleurs, désassembleurs, documentations et exemples se disputent la place sur le CD. Que les allergiques à la programmation se rassurent, de nom breux utilitaires et applications sont également fournis. R é p e rto ire BeOs Amachi, le célèbre visualiseur 3D en version PPC et i386, doté de tous les plug-ins existant à ce jour, vous attend. La dernière version du client ftp NetPenguin se trouve également au menu. R é p e rto ire O s/2 Gimp, le fam eux logiciel Linux de retouche d'images, a été porté sous OS/2. Faites sa connaissance ce mois-ci en version 1.0, avec bien sûr beaucoup d'autres applications. R é p e rto ire Risc Os Familiarisez-vous avec tout ce qui a rapport de près ou de loin à la connexion à Internet. _ ; C hez NE , in fo rm a tiq u e n o u s SIGNIFIE PAS a l te r n a t iv e ORDINATEURS CHERS ! STATION A LP H A STATION PEN TIU M II Processeur Alpha 533Mhz Carte mère LX - 2Mo chache 64Mo SDRAM ECC Carte graphique ATI Rage Pro 8Mo Disque dur 4,3 Go CD ROM 36X Boitier moyen tour ATX Clavier et souris Ecran 15" p0.28 Processeur PII 350Mhz Carte mère BX - 512Ko chache 6 4 M o SDRAM Carte graphique ATI Rage Pro 8Mo Carte son Creative AWE64 Disque dur 4,3 Go CD ROM 36X Boitier moyen tour ATX Clavier et souris Ecran 15" p0.28 1 1 9 9 0 -Trend CSX) | d e l 'u n e s M E IL L E U R E CARTE M ÈRE B X D U ' Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM MA R C H É : M A I S E v o l u t i v e j u s q u ’à 7 S O M h z c e t t e !P O S S È D E 5 P C I. 2 IS A ET 1 A G P , A D IM M . R É G LA G E D E LA FR ÉQ U E N C E C P U | l e B i o s , f o n c t io n s d e g e s t io n l (C O N T R Ô L E DE TEM PÉRA TU RES, D F O N C T IO N N E M E N T D E S V E N T IL A T E U R S , M IS E S E N V E IL L E , E T C .. .) . C E R T IF IÉ E P C 9 8 . C O N N E C T E U R S B -L IN K . j la F ilm D V D Mi J e u I n c d m i n P h o t o s u i t D E S M E IL L E U R E S S O L U T IO N S D E S A U V E G A R D E E T D E T R A N S F E R T D E F IC H I E R S . C O M P A T IB L E A V E C L E S D IS Q U E T T E S 1 , 4 4 M O II. P E U T A U S S I STOCKER 1 2 0 M O D E D O N N ÉES SU R D ES D IS Q U E T T E S À S O N P R O P R E F O R M A T . DV D Z. d is q u e dur 9 . 1 Ô© W in T V d u f a b r i q u a n t a m é r i c a i n h a u p p a u g e e s t u n e c a r t e TUNER TV SUR B U S P C I AUX FO RM A TS P A L / S E C A M / N T S C . N iC A M S T É R É O . C E T T E C A R T E P E R M E T L A C A P T U R E D 'iM A G E S O U D E S É Q U E N C E S . C o m p a t i b l e t e l e t e x t e e l l e r e ç o i t j u s q u ’à I 1 2 5 c h a în e s . C e t t e c a r t e u t il is e l e UW -SCSI Voici l’un des meilleurs disques durs du marché : Marque IBM, 512Ko de cache, vitesse de 7200 tr/mn. Temps d'accès de 8m s. Interface Ultra Wide S C S I. A C H I IL'uN D E S A W E 6 A- P C PITCH M EIL LE U R S HO R IZO NTA L J U S Q U 'E N d e PASSANTE SU RFACE 267x276m m , 2 Q □ M HZ , GARANTI 3 A N S 1 £ Tj □ . 2 1 , R ÉSO LU TIO N 1600X1 200, d 'a f f i c h a g e CREATIVE C M *7 5 1 9 " DU M A R C H É : SUR b a n d e T C 0 9 5 . S I T E (ÉC H A N G E C H E Z VO U S)________________________________________ A C H E T E Z A U J O U R D 'H U I L 'D R D IN A T E U R D £ D E M A IN 7 5 7 5 TEL R □ 2 U E D E B U □ : □ 1 .4-3. 5 6 . 5 3 . □ □ / FAX Z E N V A L P A R I S : D1 .4 -3 .5 5 .5 3 .0 3 -Pour en savoir plus : Jittp://www. 1byte.com/ A utres m odèles et options P iè ce s d étachées et Promotions Prix et caractéristiques modifiables sans préavis - sauf erreurs ou omissions. Photos non contractuelles. Prix T T C hors frais de transport. Toutes marques déposées. Dans la limite des stocks. C o u r a n t t e r n a t if Salon Eurêka ! Le salon Eurêka 1998 s'est déroulé du 12 au 17 septembre 1998 au CN IT de la Défense. Il a été organisé p ar l'association des utilisateurs d'ordinateurs Digital, Decus (Digital Equipement Computers Users Society), et parrainé par Q, structure résultant de la fusion de Digital et Compaq, ainsi que par d'autres partenaires. usqu'alors, ce salon se destinait essentiellement aux profesB s io n n e ls , en raison du très faible taux de pénétration des configurations Digital chez les particuliers. Il se concentrait exclusivem ent sur les systèmes d'exploitation et architectures propriétaires orientées grands systèm es, com m e A lpha, VM S, Galaxie, et Digital Unix notamment. Un nouveau venu Pour la première fois, ce salon d'ampleur européenne, où se sont côtoyés plus de deux mille décideurs et ingénieurs venus de toute Il s'avère regrettable que l’influence forte de ces éléments conser vateurs soit parvenue à faire annuler (faute d’auditeurs inscrits...) des séminaires techniques tenus en français et en anglais par des spécialistes reconnus, tels que John ’maddog' Hall, directeur de Lin u x In te rn a tio n al et responsable du m arketing U nix chez Digital. On se doit toutefois de considérer qu'à l'issue du salon Eurêka, la présence de Linux dans de futurs événements similaires est acquise et même encouragée. La position affichée à l’égard de Linux par les plus hauts dirigeants de Com paq, et la grande fré quentation du stand ESC/Linux, n’y sont certainement pas étran gers. Un stand à p art en tière Philippe Devins, directeur général de la société ESC, VAR Digital et fournisseur de solutions Linux, a accueilli généreusement le centre de démonstration Linux sur le stand de sa société. Le centre a fonction né à plein régime tout au long de l’exposition, avec des démonstra tions de solutions bureautiques, de calcul parallèle, de génération d’images de synthèse, et de produits Internet. Grâce aux dons de Red Hat software et de SuSE - représentés par leur distributeurs nationaux Mandala International et Les Logiciels Du Soleil - et à Posse Press, de très nombreuses versions de démonstra tion de SuSE 5.3 et RedHat 5.1 ont été distribuées, ainsi que des exemplaires récents de Dream. Ceux-ci, remis ou remportés à l'occasion d'un tirage au sort journa lier parmi les visiteurs du stand Linux, ont obtenu un v'rf succès. Ils ont d'ores et déjà permis à des responsables de systèmes d'informa tion en production de posséder des versions de démonstration d'un Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM l'Europe et d’Amérique du Nord, a accueilli un nouveau système d’exploitation, dans sa dernière version, la 5 ... Non, ce n'est pas celui auquel les lecteurs de Dream ne pensent pas, vu que nous ne parlons ici que de systèmes d'exploitation, et dans des versions fonction nelles et raisonnablement déboguées. Il s’agit bien évidemment de Linux, auquel a été initialement réservé un accueil m itigé par les responsables et autres personnages influents de l'organisation de cet événement. système qu'eux-mêmes considèrent comme une alternative sérieuse aux solutions de principe, existant aujourd’hui sur le marché. • Des jeu x... Salon Linux reconnu Des conférences techniques de qualité ont été données par Pierre Ficheux et Cyrille Chaboisseau et parrainées par joël Bernier (Les Logiciels Du Soleil), Charles Santamaria et Bruno Bastard. Elles traitaient d'expériences d'implémentation Linux réussies dans des environnements professionnels. Ces conférences ont eu pour thème la mise en oeuvre de serveurs Web sécurisés et les applica tions de gestion de stocks et de production à tra vers des architectures réseau utilisant des bases de données distribuées. Enfin, lors de la traditionnelle session 'dialogue avec les utilisateurs', durant laquelle les plus hauts dirigeants du constructeur prennent la parole afin de répondre aux questions des clients, John Rose, vice-président de Compaq, a déclaré : "Linux est un système performant, représentatif d'une part de marché croissante, et digne d'intérêt. Compaq s'en gage a faire en sorte que Linux soit supporté sur tous les systèmes de la gamme Compaq, qu'ils s'appuient sur Alpha ou Intel". "Mon fils lui-même travaille exclusivement sous Linux, a-t-il ajouté". A l'issue de cette conférence a eu lieu la tradition nelle soirée de gala. Pour l'événement de la fusion Compaq/Digital, tout le Lido de Paris a été loué en première partie de soirée. A cette occasion, après le discours d 'intro d u ctio n de Bernard Maniglier, DG de Q France et Europe, Tux est monté sur scène avec la moto 'Decus et Compaq souhaitent la bienvenue à Tux, la mascotte Linux'. Un soutien à la h au teu r du systèm e v 4 r ’ ifc i /r A 1 I Syndicate+ est sorti, et Descent a rapidement suivi. Il s'agit d'un portage de bon niveau , disponible pour environ 300francs et livré avec les niveaux d'origine de Descent 1 et 2, ainsi qu ’avec de nombreux autres sénarii. RCornp Interactive continue donc de porter les grands hits du monde PC vers les machines Acom. La qualité est toujours au rendezvous, la plupart desjeux se montrant plus performants que les originaux. Voilà encore une réussite pour Rci, qui semble avoir trouver sa voie. Le prochain jeu prévu se présentera comme un portage de Heroes OfMight And Magic 2. http ://www.rcomp.co.uk. I Linux à l'honneur au Lido. tion & EM 8 6 (outil perm ettant l'exécution de binaires Intel sur des systèmes Alpha). Ceux-ci s'additionnèrent aux projets de création d'un cross compilateur Alpha-lntel, et de mise à dis position de la technologie compilateurs hautes p erfo rm an ces GEM sur les systèm es Lin u x, annoncés par John Hall. Tout cela a mis en évi dence le niveau d'implication d'un grand éditeur dans un domaine jusqu'alors réservé, selon tout un chacun, à l'univers de l'information expéri mentale. Le support apporté par Compaq à Linux s'ob tiendra à travers un réseau de partenaires indé pendants et libres de choisir l'éditeur de la solu tion Linux adaptée aux besoins de leurs clients, tout en garantissant un support similaire à celui des produits existant actuellement. On peut déplorer que la place réservée aux utili sateurs Linux au sein du salon Eurêka 1998, ait été pour le moins restreinte. Cependant, il est indéniable que la prise de position claire des plus hautes instances dirigeantes de Com paq en faveur des solutions Linux permettra de faire une nouvelle démonstration des capacités de celui-ci à Madrid, l'année prochaine, dans un cadre à la mesure des parts de marché que cette solution Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Si ce salon a été celui de l'arrivée de Linux dans le monde des utilisateurs de grands systèmes en France et en Europe, il a surtout célébré l'efficacité de la configuration, qu'il a placée en avant des rai sons de son succès, sans que le moindre aspect passionnel n'entre en ligne de compte. Autour des annonces de solutions matérielles comme les clusters à canal mémoire (architectures hybrides entre les clusters à réseau dédié et les systèmes parallèles à mémoire dédiée) ou comme les clusters SCSI et la dernière génération de pro cesseurs Alpha - et les annonces logicielles — comme l’évolution des systèmes d ’exploitation propriétaires traditionnels tels que VMS et Digital Unix — Linux a indéniablement retenu l'attention d'un nombre important de visiteurs. Il a en effet cherché, pour la plupart d'entre eux, à optimiser la rentabilité de leur parc matériel et à maîtriser leurs budgets grâce à un environnement homo gène, ouvert et riche. L'intervention de John Hall était consacrée au futur de Linux et aux nombreux accords signés par des éditeurs majeurs du marché avec des édi teurs Linux (Oracle, Sybase, Ingres), ainsi qu'aux annonces des nouvelles versions de suites bureau tiques complètes (Applix, WordPerfect, StarOffice). Les efforts furent soutenus, en vue de l'améliora- représente désormais. Christophe Le Cannellier - [email protected] M IG A ATARI L IN U X Adresses à r e t e n i r http://www .m andalux.com h ttp://www. kheops.com h ttp://www.suse. de http://www .redhat.com h ttp://www. escdirect. fr R ISC PC B E OS OS/2 D IV E R S ---------------------■fVv. Rassem blement _________ Semaine des logiciels libres à la Cité des Sciences et de l’Industrie préparation de cette manifestation et s’est largement impliqué en recevant une formation sur les logiciels libres. ’’Une des missions de la CSI étant de former le citoyen, il est normal qu'elle mette l'ac cent sur la pluralité des logiciels, afin que le grand public puisse choi sir en toute connaissance de cause" exp liq u e Jérém ie N estel, médiateur scientifique de l’animation. D es lo g ic ie ls p o u r to u s Pendant la semaine du 5 au 9 octobre, deux stands ont permis au public et à des groupes scolaires de se fam iliariser avec les logiciels libres. Le stand "Des logiciels par milliers” a donné la possibilité aux visiteurs de s'initier à divers logiciels libres (bureau tiq u e, graphism es, sciences, je u x, systèm es d 'e xp lo ita tio n ...) grâce à des d ém onstrations et des conseils d'u tilisatio n . Le second stand a été un grand succès pédagogique, démontrant la réalité de l'exploitation de logiciels libres dans le cadre scolaire. Une classe du Collège Jean Lurçat de Saint-Denis et son profes seur (Charlie Nestel), brièvement formés aux logiciels libres, ont démontré à des groupes scolaires et des institutionnels (Conseil Général du 93 ) leurs possibilités et leur facilité d ’em ploi. Ces élèves prouvent ainsi qu’il existe un large éventail de logiciels accessibles à tous et répondant à la plupart des besoins quoti diens. Des personnalités du monde du logiciel libre ont tenu des confé ren ces to u te la se m ain e d ans l’a u d ito riu m de l’e xp o sitio n "Nouvelle Image Nouveaux Réseaux", abordant tous les aspects du logiciel libre devant un public très intéressé et vraiment récep tif. Parmi les conférenciers, on a pu noter la présence de Jean-Paul Baquiast, contrôleur d’Etat, président d’Admiroutes (w w w.adm iroutes.asso.fr) et auteur du fam eux rapport Baquiast, expliquant l’avantage technique et culturel des logiciels libres dans le passage de l’Administration vers la société de l’Information. Le week-end du 10 et 11 octobre, la Cité était ouverte gratuite Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM " , La Semaine de la Science ? Logiciels mon p a ri". a Cité des Sciences et de l’Industrie a déroulé le tapis rouge pour les logiciels libres, à l’occasion de la Semaine de la qui s'est tenue du 3 au 11 octobre dernier. Une m a n ife sta tio n c a p ita le Des séances d’initiation ont été organisées par l’association APRIL (Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre) pour le grand public et les groupes scolaires, ainsi que des conférences et la mise en place de deux stands. Le samedi 10 octobre, une Install Party de logiciels libres a eu lieu, où chacun a pu apporter son ordinateur et recevoir l’aide d’experts bénévoles pour l’installation d’un systèm e libre. La m anifestation fut un grand succès : environ 1 500 visiteurs ont transité par les stands, l’auditorium de l’exposition "Nouvelle Image Nouveaux Réseaux" a affiché com plet à chaque conférence, et une cinquantaine d’installations de systèmes libres a été effectuée. Pour la première fois, une institution grand public reconnaît ainsi l’importance et l’irrésistible ascension du logiciel libre en France. Le service-animation de la Villette a apporté son concours pour la ment au public. Le stand logiciels libres a été le plus visité, et plus particulièrem ent le sam edi 10 octobre, jo ur de l’Install Party. Environ cinquante installations de systèmes libres ont pu s'effec tuer sur divers types de matériels (PC, portables, Mac). Le public a été conquis par la disponibilité et la compétence des bénévoles. Un p récé d en t Cette m anifestation constitue une étape-clé dans la reconnais sance de l’informatique libre, et annonce d’autres grands événe ments : "Les prochaines Fêtes de l'Internet, au printemps 1999, met tront en valeur les logiciels libres, au travers d'actions coordonnées par APRIL" annonce Cédric Benharous, vice-président de l’associa tion. Prochaine Install Party organisée par APRIL : samedi 5 décembre. Les renseignements seront sur le Web. APRIL : http://www.april.org CSI : http://www.cite-sciences.fr C o m p te - re n d u , ré s u m é , p h o to s de la m a n ife s ta tio n : http://www.april.org/VilIette/resume Fête Internet : http://www.april.org/fete-internet/ Collège Jean Lurçat : http://www.babelweb.org/lurcat/ Frédéric Couchet - [email protected] Alpha à PARIS!!! Démonstration permanente! Boitier Middle Tour ATX Carte mère Samsung Alpha 164LX 64Mo SDRam Processeur Alpha 21164 533MHz 11.990F TTC!!! Aipha I64UX2 A l'o c c a sio n du M ic ro p ro c e s s e u r I Forum, le fondeur AM D a présenté le K 13 octobre dernier les spécifications définitives de son processeur K7, suc Dirk Meyer directeur cesseur de l'actuelle gamm e K6, tou du développement jours compatible avec le jeu d'instruc du K7. tions x86 et qui viendra s'insérer sur les mêmes cartes mères que le processeur Alpha 21264. Si les pre mières versions afficheront "juste" 500 MHz au compteur, AM D promet néanmoins que sa puce dépassera la barrière du GHz d'ici à i'an 20 0 0 . Mais les atouts les plus im pressionnants du K7 sont ailleurs : présenté dans un boîtier similaire à celui du Pentium-U, le K7 disposera d'un cache interne (de niveau 2) allant de 512 Ko à ... 8 Mo l Par ailleurs, et tout comme l'Alpha 21264, ce processeur sera capable de communiquer avec la carte mère dans une fréquence allant de 200 MHz à 400 MHz. A noter que HP, développeur du Merced pour Intel, mettra à la fin de l'année sur ie marché le HP/PARisc 8500 à 360 MHz (440 MHz en janvier), à savoir un processeur détenant 1,5 Mo de cache de premier niveau. Dans ce cas précis, la Ram n'est pas extérieure au processeur, mais bel et bien incorporée dans son silicium. Un record. , Boitier Middle Tour ATX Moniteur 17” Monyka Clavier 105 Touches PS/2 Lecteur 3”1/2 Sony Souris Logitech Pilot Plus Carte mère Samsung Alpha 164UX2 Processeur Alpha 21164 533MHz 128Mo de SDRam Carte vidéo AcceiStar il 8Mo Contrôleur UW SC SI Disque dur Quantum Viking II 4,5Go UW CD-Rom Pioneer 36X Atapi Contrôleur Fast-Ethernet DEC Linux pour Alpha installé Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Boitier Middle Tour ATX Moniteur 15” Monyka Clavier 105 Touches PS/2 Lecteur 3” 1/2 Sony Souris Logitech Pilot Plus Carte mère Samsung Alpha 164LX2 Processeur Alpha 21164 533MHz 64Mo de SDRam Carte vidéo S3 Virge 4Mo Disque dur Quantum Firebali E L 5,1 Go CD-Rom Pioneer 36X Atapi Linux pour Alpha installé ^ ... v T T Integer Pipeline uRom Re name Floating Point Pipeline Reg Rename name Scheü Autres configurations (Windows NT, PC standard à base d’Intel, (Jltra2 SC S I, Contrôleurs RAID Mylex avec cache, Cartes OpenGL Accei, Eisa ou Leadtek, écrans liyama, e tc.): nous consulter! Tarifs TTC!!! — , _ _— — . . ---------------------- DIGITALE BLEUE Un p e tit tour en salle des processeurs. DREAM - N°S6 - NOVEMBRE 1998 ilebleue.fr SYSTEM E A m ig a O S 3 .5 : fin a le m e n t, c'e st o u i ! Escom l'avait envisagé, Gateway n'y trouvait aucun intérêt, mais Amiga Inc. l'a finalement décidé : I AmigaOS 3.5 devrait arriver l'année prochaine ! Une véritable girouette ! Amiga Inc. avait annoncé à qui voulait l'en tendre qu'elle ne supporterait plus le développement de la gamme classique des Amiga. La filiale de Gateway avait en effet un chat plus important à fouetter : la mise au point d'une nouvelle plate-forme grand public, axée sur une puce graphique révolutionnaire et le sys tème d'exploitation OS5 Prod. Eh bien, c'est raté ! Le constructeur revient encore sur ses propos et affirme aujourd'hui que la mise à jour d'AmigaOS, attendue depuis quatre ans, se révèle finalement prioritaire sur tout le reste. Enfin... prioritaire ou bien pratique, c'est selon. La fin de l'année approche et le kit de développement "OS5 Dev" qu'Amiga Inc. devait commercialiser en septembre dernier serait - selon les développeurs concernés - encore loin de pouvoir fonctionner. Qu'importe, le projet OS5 séduit de toute façon assez peu les clients actuels de la marque Amiga : au train où vont les choses, les applications ne se trouveront pas disponibles avant trois ans et OS5 sera autant com patible avec Am igaOS que ne l'est Windows, ce qui signifie qu'il faudra passer par un émulateur. Ind ép end ant du h ard w are Belle aubaine donc, tant pour l'utilisateur que pour le constructeur, que de ressortir du placard (où on l'avait un peu trop vite relégué) ce bon vieux projet d'AmigaOS 3.5. Véritable arlésienne, AmigaOS 3.5 représente la mise à jour du 3.1 de 1994. Cela veut dire qu'il "officialise" les monceaux de patches et autres outils systèmes que des auteurs plus ou moins célèbres ont publiés depuis quatre ans. Le but : disposer sur CD-Rom d'un système d'exploitation complet, qui se suffit à lui-même pour piloter tous les périphériques actuelle ment en vigueur sur le marché Amiga : les cartes d'extension (gra phiques, accélératrices, so no res...), les unités de disque (disques durs de plus de 4 Go, formatages étrangers, supports amovibles), mais aussi les imprimantes et les scanners. En fait, la réelle nouveau té de cet AmigaOS 3.5, par rap Ils ne s o n t t o u j o u r s pas s o r t i s ! port à ses prédécesseurs, réside dans la modularité du hardware : les jeux pourront s'afficher sur n'importe quelle carte graphique et les sons s'é c o u te r sur la moindre carte sonore. Le prin cipe est connu puisque CyberGraphX, Picasso 96 ou encore Ahi l'o n t dém ocratisé. Il ne serait d'ailleurs pas étonnant qu'Amiga Inc. choisisse justem ent d'inté grer une adaptation de ces rou Depuis le rachat de l'Amiga p a r Escom en 1995, les annonces officielles su r le renouveau de la machine n'ont cessé de fuser. Pourtant, la plupart n'étaient que du vent. Dream fait le point sur toutes les déclarations bidons. Date de l'annonce Annonce bidon Prévu p o u r... juin 95 Nouveau boîtier vert pour l'Amiga 4000T septembre 95 juin 95 Nouveau 1200 à base de 68EC030 septembre 95 octobre 95 Successeur du 1200 avec 68030 et 8 Mo de Chip Ram mars 96 novembre 95 Les "PowerAmiga", sans 680x0 mais avec un PPC604 janvier 97 novembre 95 Workbench 4.0 (protection mémoire, Internet, RTG, RTA) septembre 96 novembre 95 Cartes PowerPC pour 1200, 3000 et 4000 septembre 96 décembre 95 Workbench 3.2 (intégrant MU! et MagicWB) mars 96 décembre 95 Kickstart 4.0 entièrement recompilé en PowerPC par Phase 5 sans date décembre 95 Successeur du AAA sans date janvier 96 Motorola recompile l'AmigaOS en PowerPC sans date février 96 Carte fille Pentium pour émulation PC avril 96 février 96 Clone du CDTV par Viscorp septembre 96 mars 96 Walker (68EC030 à 40 MHz et Kickstart 3.2) mai 96 avril 96 Viscorp rachète l'Amiga avril 96 juin 96 Nouvel AmigaOS mars 97 juin 96 Nouvel Amiga juin 97 juin 96 AmigaOS 4.0 recompilé pour Alpha 21164 sans date n'avons plus le temps de réinven ter la roue". Des problèm es de choix In té g re r dans le systèm e des fo n ctio n s au p arava n t o p tio n nelles pose de délicats problèmes d'arbitrage. Pourquoi choisir une juillet 96 septembre 96 octobre 96 norme plutôt que l'autre ? Et que vont dire les développeurs de logiciels comm erciaux, tels que Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM novembre 96 mars 97 juin 97 juillet 97 octobre 97 octobre 97 novembre 97 janvier 98 février 98 mars 98 mars 98 mai 98 mai 98 Pios One, un clone Amiga à base de PowerPC Pios/OS, un clone d'AmigaOS pour machines PowerPC pOS, un clone AmigaOS pour Amiga, PC, PowerMac et Alpha A \ Box, un micro PowerPC partiellement com patible AmigaOS Carte graphique Caipirinha pour CyberstormPPC Carte mère Boxer; compatible Amiga Amiga Nouvelle Génération (NG) à base de PowerPC Workbench 3.5 (pour 680x0) AmigaOS 4.0 (Roms Kickstart Workbench p ou r PowerPC) A5000 et A6000, clones Amiga AmigaOS 3.1 recompilé pour Alpha 21164 Carte graphique BVisionPPC Pre\ Box, un clone Amiga avec quatre PowerPC A \ Box, un m icro... h eu... nouveau Amiga Bridge System (PC Intel avec AmigaOS 4.0) Amiga NG (puce inconnue AmigaOS 5 .0) + + juin 97 sans date juillet 97 juillet 97 sans date mars 98 juillet 98 mars 98 mars 98 sans date février 99 juillet 98 septembre 98 février 2000 octobre 98 juin 2000 tines dans le nouveau système : elles se montrent stables, stan dardisées et, comme le dit Fleecy M oss, chef du p rojet : "N ous or Logiciel O Librairie Matériel Avant : une librairie p a r périphérique. O* Pilote A Matériel A Pilote B Matériel B Préférences o Librairie AmigaOS 3.5 : la librairie devient indépendante du périphérique. Envers, ça va, divers, bonjour les Amiga. Miami ou IBrowse, quand ils vont s'apercevoir que le nouvel AmigaOS sera livré avec une suite Internet complète ? Sur ce sujet, Fleecy Moss se veut rassurant : "Nous voulons redonner une dyna mique commerciale à l'Amiga et, rassurez-vous, il est primordial pour nous qu'aucun intervenant ne se sente lésé. De fait; à part pour Ahi et CGX, où nos solutions sont plus performantes (mais compatibles), toutes les fonctions applicatives (connexion Internet; gestion de l'im pression...) que nous offrirons dans I'AmigaOS 3.5 resteront basiques. Vous préférerez certainement utiliser les logiciels commerciaux". Voire. Selon certaines sources, Amiga Inc. lorgnerait du côté du réputé logiciel Opéra pour la navigation Internet ; ce ténor de la gratuité, même s'il ne multiplie pas les caractéristiques délirantes, suffit à remettre en cause l'achat d'un IBrowse. Le cas Pow erPC de mettre au point un émulateur qui permettrait de se passer du coûteux 680x0 sur les cartes accélératrices. Ainsi simplifiées, les cartes processeurs de demain pourraient être développées par l'an glais Mick Tinker (Access Innovations), lequel a déjà manifesté un certain engouement pour la relance du hardware Amiga (Access, Boxer, Inside/Out). Mieux, celui-ci pourrait même inclure le proces seur sur les nouvelles cartes mères qu'il est en train de développer à base d'AA+ (voir Dream N° 55). Mais tout cela reste dans le domaine de l'éventualité, cette botte secrète n'ayant absolument rien de concret au jour d'aujourd'hui. Par ailleurs, l'élim ination de la Ppc.library signe la disparition de la plus importante partie de la logithèque Pow erPC sur Am iga ; adieu FastQuake, Adescent, IxemuIPPC, Isis... Les responsables d'Amiga Inc. savent-ils réellement ce qu'ils font ? O uvert du Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM web: www.aps.fr j r t Lundi au Vendredi. 9H30-12H 14H-18H Mais il y a plus alarmant : avec son projet du "tout pilote intégré", Amiga Inc. a mis les pieds dans le plat de la discorde PowerPC. Eh oui, malgré l'annonce mensongère de prétendus accords entre Phase 5 et Haage&Partner, lors du dernier World of Amiga, l'Amiga est une machine qui ne sait toujours pas comment elle doit se servir de son processeur. A gauche, l'allem and Phase 5 est le seul constructeur de cartes accélératrices à base de PowerPC. Il a déve loppé en ce sens un sous-système qui intègre le fonctionnement du Pow erPC dans A m igaO S, la P p c.lib ra ry . A d ro ite, l'allem and Haage&Partner estime que la Ppc.library s'avère vraiment très mal conçue et propose une solution de rem placem ent totalem ent incompatible, WarpOS. Les deux intervenants se détestent au point de verrouiller leur solution pour que celle du concurrent disparaisse systématiquement de la Ram. Arbitraire, Amiga Inc. a tranché : W arpOS sera le système officiel, à savoir celui que proposera AmigaOS 3.5. Inutile de dire que Phase 5 ne décolère pas et menace même d'abandonner le marché Amiga pour se consacrer exclusive ment aux cartes d'extension sur PowerMac ; selon Ralph Schmidt, le développeur de la Ppc.library : "Nous sommes les seuls à avoir installé un nouveau processeur dans l'Amiga. Pourtant, Amiga Inc. a préféré officialiser une puce qui n'existe pas encore (pour OS5). Maintenant, ils veulent imposer un AmigaOS 3.5 recyclé alors que tout le monde attend un AmigaOS entièrement recompilé pour PowerPC ! A force de ne pas nous soutenir, nous les constructeurs, leur marché commercial risque bien de s'effondrer plus vite que prévu". Mais Fleecy Moss se veut implacable : "Assurément; Phase 5 n'est pas content; mais il va coopérer. Ne serait-ce qu'en arrêtant de mettre une protection contre le lancement de WarpOS dans ses cartes accélératrices (seul WarpOS 3.7 arrive à détourner cette protection). Et puis, même s'ils ne veulent pas coopérer, il y a de toute façon d'autres constructeurs sur le marché. Je ne vois pas cela comme un problème". L'audacieux chef de projet fait en réalité référence à une botte secrète : Haage&Partner est en train email: a p s @ a p s . f r W .1^# Vente par correspondance CH EZA.PS, UNIQUEMENT LES PRODUITS HAUT D E GAMME M oniteurs Professionnels M ultiscan: IIY A M A 1 930 F - M F-8515G 15” 3 990 F -A 7 0 1 G T 17” 5 310F - S901G T 19” 8 550 F - A 101G T 2 1 ” - T X A 3601G T 14” LCD 6 870 F SO N Y 2 320 F - 100ES 15” 3 740 F - 200E ST 17” 7 240 F -4 0 0 P S T 19” 9 990 F - 20SeII 2 1 ” -W 9 0 0 24 ” 16/10ème 19 090 F Logiciels A M IG A : - Tornado 3D 2.X (versions 68k et PPC) 3 100 F - Im age F X 3.X (promo jusqu'au 31/11/98)1340 F - A rt E ffect 2.6 (manuel anglais) 950 F - A rt E ffect Pow erPC Plug-in 240 F - W ildFire PPC (version anglaise) 1490 F - G estaC om pte (version française) N.C Affaires: - Genlock GVP pour A4000 (occasion) 2 400 F 350 F - Graffiti pour A500/600/1200 N.C - Kit SCSI pour cartes GVP A 1200 PFS2 (version française) 340F la nouvelle version professionnelle de Périphériques SC SI: system indispensable pouij - Graveur Yamaha 4260T Int. 4 x 2 x 6 x , cache 2M o : 3090 F AFS, le filevos disques dur. - Graveur P le x to r PX-R412 Int. 4 x 12x, cache 2M o : 2990 F Mise a jour AFS vers PFS: 200F - CDRom P le x to r PX-32TS Int. 3 2 x , cache 512Ko: 990 F - Câbles pour CyberPPC avec: 1 nappe UltraWide, M akeC D 3.x P A O 390F 2 terminaisons actives, 1 adaptateur vers SCSI2: 590 F Au prix de la version TAQ Le plus com plet des logiciels Périphériques AM IGA. 2490 F (en stock) Processeur 68060RC 50Mhz de gravage est sur A M IG A . Téléchargez la version démo Cartes PowerPC 603e, extensible à 64Mo: sur notre site web - BlizzardPPC 160Mhz avec 040RC 25Mhz 2600 F - BlizzardPPC 240Mhz avec 040RC 25Mhz 3815 F Pour l'achat d'un graveur - BlizzardPPC 240Mhz avec 060RC 50Mhz 6160 F + MakeCD + 500 F - BlizzardPPC+ avec Fast SCSI 2 100 F de réduction a Carte Graphique pour carte Blizzard (en stock, on espère!) Vous cherchez du matériel d’occasion : Regardez les petites annonces de nos - Blizzard Vision 4Mo (pour 1200T) 1600F clients sur notre site web Cartes PowerPC 604e, extensible à 128Mo de ram 64bit Une HotLine est assurée par contrôleur UltraWide SC SI intégré: téléphone, fax et email pour tout nos - CyberStormPPC 233Mhz sans 68k 5590 F produits. Ce service est GRATUIT - CyberStormPPC 233Mhz avec 060 7890 F vous ne payerez que le prix de la Carte Graphique pour carte CyberStorm (en stock): communication, seul le numéro de la - CyberVisionPPC 8Mo 1990 F facture du produit vous sera demandé. Carte Réseau Zorroll, connecteurs BNC et RJ45: - Ariadne II N.C. (bientôt en stock) ROMs Kickstart 3.1 A4000 ou A 1200 360 F Paiement par chèque ou contreremboursement. Livraison par UPS sauf logiciels. Frais de port: logiciels 50F, cartes 130 F, moniteurs N.C. CR + 80F A.P.S. - 15, rue Louis Maurel -13006 Marseille Tel: 04.91.00.30.44. - Fax: 04.91.00.30.43. Prix » ARM CE Microsoft et ARM travaillent conjointement depuis 1996 pour le portage de Windows CE sur l'architecture ARM. Finalement, c'estplutôt l'architecture ARM qui a étéportée sous Windows CE, puisqu 'une nouvelle fam ille de processeurs consacrés au nouveau système a vu lejour. Les pockets Windows CE vont enfin avoir une autonomie acceptable (sic). PO CKET Un Palm Pilot qui fait téléphone ! Dernière trouvaille de la société Qualcomm, le pdQ Smartphone est un téléphone por table qui intègre un PalmPilot ! A peine plus gros que les derniers téléphones du genre, le pdQ pèse 230 grammes et dispose d'un clavier am ovible sous lequel on retrouve l'écran, la fenêtre de saisie et le stylet du dernier Palmlll de 3Com. Fonctionnant avec le système PalmOS 3.0, cet hybride ouvre de nouveaux horizons. Entre autres, il per met d'appeler directement un contact en c liq u a n t sur son nom ou enco re de se connecter à Internet depuis la rue (un navi gateur Web et un client E-mail sont com pris, le modem intégré fonctionne à 14,4 Kpbs). Bonheur suprême, le pdQ intègre un port infrarouge qui l'autorise à envoyer et recevoir facilement des données avec tout autre appareil équi valent. On imagine déjà l'aisance avec laquelle on pourra désormais s'échanger cartes de visites et plan nings. Bien entendu, les fonctions principales ne sont pas oubliées, à savoir la prise de notes à main levée et la synchronisation avec un ordinateur de bureau. Disponible dès l'été prochain en deux versions (800 et 1900), le pdQ exploitera la technologie CDMA, laquelle rend le son de la voix plus clair, annule les interférences et empêche votre ligne d'être piratée. L'autonomie sera de 40 heures en veille et de 2h30 en communication. http://www.qualcom m .com /pdQ/ Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM PRO C ESSEU R Motorola dévoile le G4 Motorola vient de dévoiler quelques informations sur son futur C4, le nouveau processeur PowerPC qui succédera à l'actuel G3. Constitué de 10,5 millions de transistors, le C4 sera un processeur Risc 128 bits ; il tiendra sur une plaque de cuivre de 83 mm2, gravée avec une préci sion de 0,2 microns. Par ailleurs, l'engin se présentera dans un boîtier plastique BGA de 360 broches. Initialement distribué à une fréquence de 400 MHz, il consommera moins de 8 watts et accédera, d'une part en 128 bits à un cache de second niveau de 2 Mo, et d'autre part en 64 bits au reste de la carte mère. Complètement compatible avec les gammes précédentes, il incorporera un module Altivec optimisé. L'amélioration des performances par rapport à un C3 à la même fré quence est annoncée comme suit : 10 % de mieux pour les calculs entiers, 50 % pour le FPU et 1400 % pour Altivec. Par ailleurs, deux C4 en parallèle perdent deux fois moins de temps à se synchroniser source: M otorola B ranch unit r in stru ctio n s In t e g e r u n it F lo a t in g - p o in t u n it 3 2 - b it 6 4 - b it .........1 " V e c t o r u n it 1 2 8 - b it De toutes les manières, c'est les w atts qu'il préfère. entre eux que d e u x G 3. S i g n alo ns enfin que le G4 succ é d e r a au PowerPC 604e, le G3 n'ayan t rem placé que le PowerPC 603e. Compaq persiste et signe ! Compaq, après avoir annoncé sont soutien total envers Linux, en proposant la possibilité d'ins taller ce système sur toutes les machines de la marque, vient de co n firm e r son p ench an t pour le système d'exploitation libre. En effet, Compaq a offert au projet Debian (qui est un groupe de développement pro posant une des distributions Lin ux m ajeures) une station Alpha dernier cri. Ce cadeau a pour but d'aider le projet de portage de la Debian sur plate form e Alpha, celui-ci nécessi tant encore une finalisation. Les membres du projet Debian, très touchés de ce geste, vont assurémentredoubler d'efforts. Concepts ( Fabrication et distribution ) Payement par chèque, mandat ou CB ( 500 Frs). Port : Logiciel 40 Frs, Matériel 65 Frs, Tower 120 Frs Le retour ludique de l'Amiga For a better future... Les configurations récentes à base de PowerPC et de Permedia 2 ont redonné espoir aux éditeurs de jeux restés fidèles à l'Amiga. C'est ainsi que Titan HB, fort du succès de Shadow Of The Third Moon (un simu lateur voxel) envisage de sortir pas moins de trois titres Amiga avec support PPC et Permedia 2. Le premier, Claws Of The Devil, sera à l'Amiga ce que Tomb Raider est aux autres plates-formes. Vous dirige rez Terry Fletcher, une aventurière n'ayant rien à envier à une certaine Lara, dans treize niveaux tout en 3D, avec plus de vingt-quatre enne mis différents. Total Combustion se présentera quant à lui comme une simulation de Stock Car, qui rappellera le fameux Destruction Derby sur PC et Playstation. Vous trouverez au programme : course contre la montre, carnage mécanique et autres cascades, le tout bien entendu en 3D. Enfin, toujours chez Titan, Lost Days In Paradise vous plongera au coeur de combats spatiaux dignes de ceux de Wing Commander. A noter que l'éditeur allemand est en train de passer des accords avec Blue Byte, en vue de l'adaptation sur Amiga d'un de leurs gros titres, dont le nom n'a pas été révélé pour l'instant. Chez Digital Images, l'heure de l'ampleur a également sonné, avec trois titres très atten dus. Cette jeune équipe britan nique développe à l'heure actuel le ses propres routines 3D, axées sur le Permedia 2, afin d'assurer un d é velo p p e m e n t rap id e et adapté aux nouvelles possibilités de l'Amiga. Ainsi verront le jour Digital Soccer (simulation de foot ball), Digital Fighters (un clone de Tekken) et surtout JetStream, qui Vaisseaux sans gains. De 10h à 19h (samedi sur rendez-vous) Catalogue complét sur simple demande Tél : 02.40.85.30.85 Fax : 02.40.38.33.21 E-Mail : [email protected] Web : http://www.ateo-concepts.com Adresse : Le Plessis, 44220 - Couëron ( à proximité de Nantes ) P ro d u its A t é o Branchez 4 périphériques IDE Atéo IDE mux complét A4000 ................................. 199 Carte seule, sans nappes A4000 ................................ 70 (IDE-Mux A4000+nappe 2 5->3 5 = IDE-Mux A1200) Interface pour Clavier PC Pour A1200 monte en boîtier tower........................ 349 Pour A2/3/4000 (modèle externe)..............................399 Clavier PC 105 touches..................................... 92 Mise a jour ROM interface clavier PC (Ver 2 .2 ). 100 Boîtiers A téo TOWER * A ccé sso ires Boîtier Médium T o w e ^ g B F fA im ♦ module LED + interface davier PC ♦ davier + doc montage) .1090 Boîtier Grand Tower A4000 (alimentation 230W ♦ nappes + doc montage).............................................. 1290 Carte graphique Pnel64 * AtéoBus (4 s lots) 1990 Cartes S C S I IDE pour AtéoBus ................... Bientôt Cartes A teolO 1 (2 parallèles * 1 s e rie ) 390 Carte Ethernet ( 10BaseT) pour A téo B us N.C. Carte Audio 'Sound Blaster’ pour AtéoBus Bientôt Scandoubleur............................................................. Bientôt Kit d'adaptation : AtéoBus -> Tours Micronik 150 Kit branchement module S C S I dans Towers 290 Adaptateur universel pour les LE D 49 Adaptateur de pénphériques 3.5' vers 5*1/4 49 Lecteurs de disquettes DDmt. A500. A6/1200, A2/4000 250,230.210 Picasso .IV (4Mo. Z flill. scandoubleur 100Hz) - Module audio 1Sbits pour Picasso I V ............. - Module dé sortie PAL (Pablo IV ) . BVisionPPC 4Mo (pour Bîizzard PPC ) .......... CyberVisionPPC 8Mo (pour Cyberstorm- .... Digitaliseur 24brts temps réel - FG24 . Moniteur SM ILE 14’ (pitch 0 2 8 ) ..................... Moniteur SM ILE 15 (pitch 0.28, 30 - 70KHz} Moniteur SM ILE 17’ (pitch 0.28 1280 x 1024) Moniteur SM ILE 17' (avec Haut-Parleurs).... Genlccks (interne/externe). Caries R V B ......... Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM devrait proposer une course d'engins futuristes dans le style de Wipeout. A ce sujet, Digital Images a pris contact directement avec Psygnosis pour la conversion de Wipeout 2097 sur Amiga. Nul doute que l'arrivée de ce logiciel signifierait bien des changements : d'une part, cela donnerait le moyen à l'équipe de Psygnosis de revenir sur leur machine fétiche et d'autre part, cette conversion pourrait ouvrir la voie à des idées du même genre chez d'autres éditeurs. Après avoir interrogé Digital Images, il apparaît que Psygnosis est "très enthousias te quant à l'idée de porter WipeOut 2097 sur Amiga". Néanmoins, tant que rien n'est signé, Digital Images poursuit son travail sur sa librairie 3D et sur Jetstream, ce qui permettra aux joueurs d'avoir bel et bien quelque chose à l'arrivée. Pour finir, Insanity est un groupe de déve loppeurs tchèques qui prépare le premier jeu de rôle 3D de l'Amiga. Baptisé Enforce, il offrira le privilège de se balader dans des décors aussi complexes que ceux d'un Quake, mais avec une partie aventure en plus et beaucoup de personnages à rencontrer, jusqu’ici, ce pro duit était annoncé pour 68k seulement, mais ce léger handicap a dis paru depuis que les auteurs ont fait l'acquisition d'une carte PowerPC ! Ce processeur sera donc supporté pour de meilleures performances, ainsi que le processeur Virge (un autre composant 3D, mais moins rapide que le Permedia 2), présent sur les cartes CyberVision 64/3D de Phase 5. On a le droit d'espérer qu’une version Permedia 2, dans un futur encore indéterminé, vienne à exister. Tout ces titres doivent apparaître en 1999 et réclament une configuration plutôt musclée. C'est au prix d'un PowerPC, 16 Mo au minimum et d'une carte gra phique 3D que l'on pourra découvrir des jeux d'actualité sur Amiga. Si les éditeurs ont su évoluer vers ces nouvelles technologies, les utili sateurs sauront peut-être à leur tour faire de même. Périphériques IDE A TAPI Disque Dur 3.2 Go Uttra-DMA.............................. 1290 CD-ROM 32x interne ♦ prise casque 590 Tiroir axtractible pour disque dur IDE 150 Périphériques SCSI Disqué'Dur Fast SC SI3 2.4 Go ................... 2390 CD-ROM 36x interne (Pioneer) .......„ .......... 890 Cartouctie pour lecteur ZIP ,/ lL 100 Surf Squirel (S C S I + Série sur port PCMCIA) 790 Graveur 2x6x (E+L) RICOH CD-RW 62C0S . 3390 Soft pour graveur 'Malte CD V3.2 (TA O )* 395 Scanner A4, 600x600, 24 bits ! Soft 1490 / 200 Boîtiers ext avec ventiliateur (1/2 baies) N.C Rallonge 3,5 Maie vers 2 x 3 .5 "....................................... 89 Cable 2 5" vers 3.5" (approx. 30 cm) ..................... 69 Cable 2.5" vers 2.5" et 3.5" (approx 30 cm) 89 Doubieurs d'alimentations.................................................25 Nappe IDE 2 / 3 connecteurs..................... 3 0 /5 0 Nappe SC S i 2 / 4 /8 connecteurs ... 5 0 /1 3 0 /1 8 0 Cable S C S I avec centronic 50 p ts ..............................120 Cable centronic 50pts vers SUB-D 25pts 150 Terminaison passive S C S I centronic 50pts 99 Adaptateur clavier DIN 5 vers Mim-DIN 6 ................. 40 Adaptateur SUB-D 9pts M vers SUB-D 25pts F ... 39 Pour Amiga 600 Apollo 630 I 68030 à 33 Mhz + Coprocesseur 795 Apollo 630 / 68030 à 50 M hz...................................1150 Pour Amiga 1200 ApoHo 1240 740 à 25MHz ou 40MHz 1390/19S0 Apollo 1260 f 60 à 50MHZ ou 66MHz 2990 / 35S0 Module SC SI II pour Apoho..........................................590 Blizzard 603e à 160MHz ♦ 68040 à 25M Hz 2590 Blizzard 603e à 240MHz + 68040 à 25MHz . 3790 Blizzard 603e à 160MHz ♦ 68060 à 50MHz .. . 4890 Blizzard 603e a 240MHz + 68060 a 50MHz 5890 Blizzard 603e- à 240MHz ♦ 68060 à 50MHz . 6590 Pour Amiga 2000 Apollo 2030 / 68030 50 MHz + Copro + S C S I.. 1790 GVP 2040/ 68040 à 40 MHz + S C S I., N.C. GVP 2060 / 68060 à 50 MHz ♦ S C S I N.C Pour Amiga 3000 et 4000 Apollo 4040 , 68040 à 40 Mhz ♦ SCSI I I 2490 ApoBe 4060 i 68060 a 50 MHz ♦ SCSI I I 3890 Apollo 4060 / 68060 a 66 MHz + SC SI II 4490 Cyberstom 604e/180MHz + 68040/25MHz 5190 Cyberstom 604e/l80MHz + 68060,50MHz Cyberstom 604e/233MHz + 68040 25MHz Cyberstom 604e/233MHz ♦ 68060 50MHz M ais Aussi., Carte Ethernet Ahadne (Envoy & Termite)..... Cartes audto Deifina ou Préludé ............ Carte Buddha flash (de l'IDE pour A2/3/400C CatWeasel MK2 (contrôleur de d7 HD) CatWeasel Zll/lll (Buddha+CatWeaset ) Souris 600 DPI 3 boutons W1ZIARD Mémoires EDO 60ns. 4. 8 16 32 < Animer A Format. AGA E xper e • Système 3 1 complet p< ••û <t’C. Système 3 1 complét n . a i .m i Système 3 1 complét p- 44.i '■ Montage A1200 an boîtier trw e Logiciels et jeux d'occasions Pnx modifiables sans préavis CA PI lito l H o Si 1 D o n F r c P f 'R C l M o 7 n i r u R A iT t A A •. i. Le monde Atari fait le point... Cependant, son ambition première se résume ainsi : passer à des standards plus modernes, avec USB et système multitâche à la clé. Les premiers proto types sont prévus pour la fin du mois, mais l'on a Les 3 et 4 octobre derniers s'est déroulé le plus pu dores et déjà constater que les futures cartes son 20 bits et DSP 56301 du Phénix fonction grand rendez-vous annuel du monde Atari, le salon allemand de Neiiss (à 10 Km de naient à merveille. Un équaliseur graphique 31 Düsseldorf). bandes du plus bel effet permettait de se rendre compte de la puissance du DSP, en égalisant en es 3 et 4 octobre derniers, la réunion de tous temps réel une musique provenant d'un lecteur les plus importants acteurs du marché Atari de CD-Rom. Mais pour l'heure, c'est la nouvelle aura permis de faire le point sur la situation carte accélératrice CenTurbo-ll (en test dans ce actuelle de la plate-forme : de part et d'autre, numéro) le qui aura mis le feu aux foules : le stand a double mot d'ordre est continuité logicielle au ser vice de l'innovation matérielle. La commercialisa tion depuis cette date du fameux Milan le prouve. Ce clone surpuissant de l'Atari ST (à base de 68040 et de cartes d'extensions PCI), dont on nous présente des prototypes depuis un an, se L tro u v e m arche Falcon, comme e n fin d is p o n ib le en b o u tiq u e ! Et il : mis à part les titres sp écifiq uem ent force est de reconnaître qu'il exécute il se doit la plupart des logiciels Atari. De surcroît, grâce à ses connecteurs PCI, la bête dis pose déjà d'extensions : la carte sonore MilanBlaster 16, ainsi que diverses cartes Ethernet, grâce au système d'exploitation Mint'98 (descen Quand A tari rencontre sa liste. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM dant m ultitâche du Tos). En revanche, le pilote SCSI ne semble toujours pas finalisé ; il en va de même pour le pilote du port cartouche, cher aux aficionados de CuBase. A noter la présence d'un Milan060 qui, même s'il ne montrait pas encore une fiabilité et une compatibilité à toute épreuve, avait le mérite d'être là. Disponibilité prévue pour début 99. Du h a rd w a re ! Dans le même ordre d'idée, le français Centek a pu s'enthousiasmer de la grande curiosité que nos amis d'outre-Rhin ont manifesté à l'égard de ses pro duits. Le Phoenix, cette nouvelle machine à base de double processeur 68040 (ou 68060, voir le dernier numéro de Dream), dont il dévoilait pour la premiè re fois les spécifications définitives, a remporté le plus de suffrages. Rap p e lo n s-le , le P h o e n ix n 'est pas à co n sid é re r comm e un Atari pur et dur, mais plutôt comme un de ses libres descen dants. Certes, il permet de fa ire to u rn e r la majorité des lo g ic ie ls "G em Only" et dispose des mêmes atti ran ces p o ur le m arch é de la création musica le que son aîné. été littéralement dévalisé et tous les utilisateurs s'accordent à dire que l'attente valait la peine. P rocesseur Risc et cartes ATI Rage Moins connu, le projet F-Max (Falcon Maximised) propose une solution tout aussi valable pour décu pler les performances de son Falcon. Le principe réside sur deux cartes. La première, Tempest, est une carte accélératrice sur laquelle le 68030 se voit remplacé par un ColdFire (sorte de 68040 très peu onéreux et en technologie Risc) ; on y trouve égale ment un support pour barrette SDRam (256 Mo au maximum) et un connecteur AGP sur lequel pour ront venir se brancher les cartes graphiques du monde PC répondant à ce standard. La seconde s'appelle "L'Eclipse". Il s'agit d'une carte venant se brancher sur le connecteur d'extension du Falcon et qui débouche sur un connecteur PCI dans un boî tier externe. Ce connecteur aura la possibilité de recevoir n'importe quelle extension de ce standard et une carte Ati Rage est déjà prévue. Disponible en 1999, l'ensemble (Tempest + Eclipse + Ati Rage) d evrait coûter environ 4 0 00 francs. En ce qui concerne les logiciels, le salon fourmillait de mises à jour : NVDI 5.01 gère désormais cinquante nou velles imprimantes couleur de plus (jusqu'à 1440 dpi) et MagiC passe en version 6. Etaient également présentés : Cab 2.7c un bon navigateur Internet, HP-Pinguin pro 2.5 l'éditeur de pages HTML, Smurf 1.05 un super soft de retouche d'image, Calamus SL 98 LE soft de PAO, HDDriver 7.6 le driver de disque dur, Extendos Cold qui permet le gravage de CD audio et enfin CD-Recorder 2.3, qui gère les gra veurs IDE. PUISSANCE • Les RKM en ligne ! ► Nouvelle carte m ultiprocesseurs i * Chaltech développe une carte multiprocesseurs à base d'Arm pour bus PCI. L'extension revêt la forme d'une carte PCI équipée de huit StrongArm avec 32 à 64 Mo de SDRam par processeur. L'ajout d'un bus PCI sur la carte , d iffé re n t du bus PCI p rin cip a l, p erm et d 'au g m en ter la bande passante (2.1 Go/seconde sur la carte). On peut insérer autant de cartes que de ports PCI disponibles, voire plus, à l'aide d'une extension de bus. Les cartes exécutent une version spéciale de NetBsd (le support de Linux est prévu) ; on possède donc le moyen de communiquer avec les processeurs en utilisant des outils simples, tels que Telnet ou Rsh. Le développement de procédés de communication plus rapides reste à l'étude. Les cartes processeurs ’ sont montées sur des slots Sodim m... Il est déjà annoncé que des extensions, comme une carte fast-ethernet, auront le loisir de se brancher sur ces slots. Les Rom Kernal Library constituent les quatre ouvrages de référence ultimes pour les programmeurs Amiga. Introuvables depuis de nombreuses années en version papier, ils viennent de resurgir sous forme électronique. Soucieux de toujours plus supporter les développeurs, Amiga Inc. les a en effet publiés dernièrement sur son site Internet (httpdlwww.amiga.com/dev_refere ncet). Le prix annoncé d'une carte équipée de huit processeurs s'élève aux alentours de 18000 francs. Le support du futur Arm 10 et de son coprocesseur se trouve prévu. Pour environ 200000 francs, on peut disposer d'une machine proposant quatre-vingts processeurs StrongArm, ce qui représente une puissance de calcul sur les entiers é q u ivale n te à quatrevingts Pentium II à 233 MHz (plus de 1 8 0 0 0 M ips en puissance c u m u lé e ). http://www.chaltech.com Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM La Cats de chez Chaltech. TECH N O Linux à la fête ! > i Mandala International commercialise une solution clés en main, destinée aux professionnels de l'animation de soirées. Le principe consiste à fournir un ordinateur, comprenant les éléments de base nécessaires à son fonctionnement, qui sera connecté à la sortie de la régie-son, et sur lequel fonctionnera un logiciel, Mind Snooper; en charge de piloter les jeux de lumière. La musique en provenan ce de la régie-son est échantillonnée à 44 KHz (qualité C D ) et ana lysée ; un spectre de trente bandes de fréquence se voit ainsi créé, permettant d'activer divers outils graphiques, tels que la solarisa tion, la rotation de couleurs, la diffusion d'images, voire des effets de fumée ou de brouillard. Les images se trouvent élaborées sur l'écran mis à disposition, mais peuvent également être dirigées vers un vidéoprojecteur connecté à l'ordinateur. Outre ses caractéristiques temps-réel intéressantes, ce produit pos sède en plus l'avantage de fonctionner sous Linux, et donc d'offrir toute la panoplie de logiciels libres orientés m ultim édia, dispo nibles sur cette plate-forme. Pour ne citer que les plus connus, disons que Slab, Jazz++, MPEG Studio, The Gim p, Blender ou ImageMagick sont fournis avec la configuration. Pas de précipita tion, cependant, car Mind Snooper reste un outil professionnel, avec un p rix... professionnel d'environ 50000 francs H.T. Pour les plus amateurs, ou les plus démunis des spécialistes, Mandala pro pose toutefois Linux Média Système, une distribution Linux orientée multimédia professionnel, incluant tous les outils de haut niveau de traitem ent d'image et de son, pour un coût inférieur à 500 francs. ALPHA I.TNUX &NT Cartes mères SX-PC 4.990 TTC LX2 7.890 TTC UX2 8.290 TTC UX4 11.890 TTC Processeurs 533-PC 1.990 TTC 533 2.290 TTC 633 11.990 TTC L2-5i LX2, 533 Mhz, Boîtier Médium Tour, 64 Mo sDram, 6.4 Go Udma, FD 3"_, MiUénium II 8 Mo, CD-ROM 32x, Clavier PS2, Souris PS2, sans écran ni OS 13.990 FTTC I.TNUX DORSAÏ &NT INTERROGEZ-NOUS, EQUIPEZ-VOUS, U 2—5s UX2, 533 Mhz, Boîtier Médium Tour, 64 Mo sDram, 4.5 Go UW, FD 3"_, MiUénium II 8 Mo, CD-ROM xSCSI, Clavier PS2, Souris PS2, sans écran ni OS 36 16.990 FTTC UP-GRADEZ-VOUS Pour passer commande Tél. Messagerie 01 46 65 70 20 Fax 01 46 65 13 20 F-MATT * Lin u x O ffice Suite 99 SuSe distribue désormais une suite bureautique complète, intégrant la dernière version de son système Linux , la Suse 5.3 , comprenant toutes les applications classiques, sans oublier la version 4.4.1 de la suite bureautique Applixzsare. L ’utilisateur disposera ainsi de tout ce qui est nécessaire afin de bien débuter sous Linux , pour moins de 500francs ! Le test complet vous attend le mois prochain. PROCESSEUR Arm : l'année de l'explosion L'année 1998 est exceptionnelle pour Arm . Le développeur anglais qui a fait un chiffre d'affaires de 266 Millions de Francs en 1997 se paie le luxe de récolter 186 Millions de Francs pour le seul pre mier semestre 1998. Le personnel d'Arm compte maintenant environ 320 personnes, réparties dans le monde entier (y compris en France). Dernièrement, nous avons pu profiter des déclinai sons de l'Arm 7 sous forme de microcontrôleurs. Tout d'abord, ceux d'Atmel puis ceux d'Oki. Le dernier partenaire en date est Hewlett-Packard. Voilà encore un associé de choix (plus de 250 Millards de Francs de chiffre d'affaires en 1997), qui produira des Asics à base d'Arm 7. Ainsi, on peut retrouver les Arms un peu partout : téléphones mobiles, outils de vidéoconférence, mais aussi disques durs, contrôleurs de mémoire, ordinateurs de poche... La liste des produits qui utilisent cette technologie est vraiment trop longue pour que l'on puisse la déployer ici. Et cela n'est pas fini, car l'Arm 9 ne se tro u ve pas e n co re e x ploité par les divers parte dernière carte naires d'Arm. de développement 'bas coût' De surcroît, de chez Arm. A rm a ég a lement annoncé en quoi consisterait le futur Arm 10 : fort de 500 Mips, pourvu d'un coprocesseur arithmétique, il bénéficiera d'une consommation toujours aussi ridicule (m oins d'un w att). Les futures m achines de poche seront plus puis san te s que les a c tu e ls o rd in a te u rs h au t de gamme ! Intel s'est récemment penché sur le StrongArm, dont il possède une licence : la société a ainsi décidé de développer cette mouture de l'Arm, en commençant par un StrongArm 120 à 366 MHz, tout en prédisant que cette technologie pourrait bientôt devenir incontournable. Arm deviendrat-il le nouveau g é an t du m icro p ro ce sseu r ? http://www.arm .com la Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Netscape/2 4.04 NTERNET enfin disponible La version 4.0 4 de Netscape pour OS/2 s'est fait beaucoup attendre, mais au finish, le produit est conforme à sa version Win32 et permet donc aux utilisateurs de Warp de Netscape 4.04 pour su rfe r e nfin de faço n "m o d e rn e " sur OS/2 : une arrivée Internet. La version française du navigateur tardive. n'intègre pas le cryptage conformément à la législation. On peut télécharger ce butineur sur http://service.boulder.ibm.com/asd-bin/doc/fr_fr/ns40/f-server.htm LOGICIEL Lotus Domino Version 5.0 sous OS/2 Lotus N otes, Lotus Beta 1 (Build 161.1) Domino 5 pou r OS/2 : un serveur sans client. Lotus Domino, la solution Intranet et Croupware de Lotus, verra pro chainement (fin 1998, début 1999) sa version 5.0 sortir sur le marché. Au menu, vous trouverez un véritable environnement de développe ment d'applications Web intégrant tous les standards Web (HTML 4.0, javascript, Java) et un système de base de données documentaires. La version O S/2 du serveur Domino 5 .0 fera son app arition en même temps que les versions Win32 ou Unix. M alheureusement, la partie cliente de Domino 5 .0 pour OS/2 n'existera finalem ent pas. La version bêta pour toutes les plates-formes est disponible sur le site http://w w w .notes.net Il faut juste faire preuve d'une belle obstination pour télécharger les 70 Mo de code... RUM EURS Un client pour W arp 5.0 ? D es ru m e u rs c ir c u le n t au sujet de la possibilité qu'un client O S/2 V 5.0 voie le jour en m êm e tem ps que le ser veur. R a p p e lo n s q u e si IBM a annoncé la sortie d'une nou velle version de son serveur pour début 1999, il n'était en revanche pas du to ut ques tion d'un client. D ep uis q u elq u e s sem aines, des bruits courent au sujet de p re ssio n s e x e rc é e s p ar les g ra n d s p o n te s d 'IB M su r l'éditeur, pour qu'il sorte une version clien te de son nou veau système. A l'heure actuelle, rien n'est confirm é, mais on parle d'un pack "A urora" à installer sur un O S/2 Warp 4, pour upgrader le c lie n t actuel vers un client Warp 5.0. Les informations de votre PC sont aussi mobiles que vous HEWLETT® PA C K A R D PC de poche 620 LX Sous Windows CE 2.0 en Français Autonomie de 6/12 heures Garantie 1 an Ecran tactile rétroéclairé 1/2 VGA (640 x 240) 256 couleurs Clavier AZERTY - haut-parleur et micro Processeur Hitachi RISC 32 bits, 75 Mhz Mémoire : 10 Mo de ROM (pouvant être mise à jour) Mémoire : 16 Mo de RAM, extensible avec des cartes Mémoire Carte PC Flash ou Compact Flash 1 port série RS 232 1 port infrarouse IrDA 115 Kbps 1 port carte PC et 1 port Compact Flash Alimentation : batterie Lithium-ion recharseable + 1 pile bouton de sauvegarde CR 2032, charseur/adaptateur secteur Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Mobile Partner™ Carte PC 56K V90 Data/Fax Modem + GSM* Modem certifié et autorisé de «ansp°rt Envoyez et recevez télécopies et messages électroniques et surfez sur le Net ! *Câble GSM en option Pour commander, contactez Philippe POCHON Tél. : 01 64 86 42 10 - Fax : 01 64 86 42 19 Z.A. de Courtabœuf - N°2 9, avenue du Canada - Le Méridien 91966 Les Lllis cedex ÎHI IN F O C O N S E IL Le gro ssiste HP pour les P C de poche dans la limite des stocks disponibles 6 380 F T T C Devenir fourni d'accès à In te r Découvrez le matériel et les logiciels nécessaires afin de proposer, pourquoi pas, les services des "grands" avec un budget "mini". but de cet article n'est pas tant de vous assé ner un cours magistral que de vous communi■ iquer quelques notions issues d'une expérience pratique. Le problème posé est le suivant : comment disposer ou proposer des ser Choisir sa connexion Plusieurs solutions se présentent, dont les principales sont : la ligne louée, le "câble", le call-back RNIS et l'hébergement de machine. L a ligne louée équivaut à l'Eldorado pour tous ceux qui souhaitent s'assurer une présence durable sur Internet ; toutefois, sous nos lati tudes, son accès reste réservé aux plus fortunés. Contrairem ent aux Etats-Unis, il faut com pter en m oyenne un coût mensuel de 5 000 francs H.T. pour une ligne 64 Kbits. Il faudra aussi ajouter un forfait presque toujours obligatoire pour l'installa tion et la configuration d'environ 15 000 francs. RMIstes, s'abstenir. Même si ces sommes peuvent encore vous sembler raisonnables, il faut garder à l'esprit que le débit est relativem ent faible et que, pour le démarrage d 'une activité dont on ne peut que difficilem ent établir les revenus à court term e, un tel privilège o c c a sio n n e des ch a rg e s fix e s im p o rta n te s. En outre, il faut ne pas oublier que, si cette pratique se développe et exige de nouveaux locaux ou tout sim plem ent un débit plus élevé, on vous deman dera à nouveau des frais d'installation et de confi guration com parables aux dépenses initiales, car elle nécessite le rem placem ent des équipem ents fournis (bien que depuis peu, la tendance est à la livraison d'équipem ents et de lignes légèrem ent surévalués par rapport à votre demande, pour jus tem ent ne pas vous contraindre à tout changer à la première demande d'augm entation de débit). Vient ensuite le câble. Disponible dans quelques villes de France et annoncé depuis longtem ps à Paris, c'est l'exem ple le plus flagrant de mauvaise "bonne affaire". Par expérience, il n'y a moyen de se prononcer que sur le prestataire qui prétend offrir un service digne de ce nom dans les villes de Strasbourg, A nnecy et Le M ans. Non seulement, les te ch n icie n s ont une co m p éten ce "lim ité e ", mais en plus, l'offre à 660 francs H .T. par mois avec le modem perm ettant de jouer le rôle de ser- Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM • • • • • • • • • • • Face arrière du serveur (le bouton-poussoir rouge permet de couper l'alarm e sonore déclenchée en cas de panne d'une des alim entations). v ic e s In te rn e t aud elà du sim p le h é b e rg e m e n t de d o c u m e n ts s t a t i q ues ? A u tre m e n t dit, com m ent, avec un in v e s tis s e m e n t réduit, fournir toute la panoplie de ser vices q u 'o ffrent les prestataires Internet, à savoir la gestion de serveurs Web "dyna m iq u e s " (u tilis a n t d iv e rs a u to m a te s n o n -e n v isa g e a b le s en Java, JavaScript, ou tout autre langa ge d o n t les p ro gram m es sont e xé c u té s du cô té du n avig ateur), la ges tion de serveurs Web s é c u ris é s , n o ta m m ent pour le co m m erce électronique et la gestion de ser v e u rs D N S , FT P , SMTP, POP et IMAP, co n çu s s p é c ifiq u e ment pour le traite m e n t du c o u rrie r électronique ? sseur net ? veur se révèle désastreuse, en raison du nombre horriblem ent élevé de problèm es techniques de tous ordres (bug dans le m odem câb le, p ro vo quant une perte régulière de co nn exio n , bande passante en "so rtie " rid icu le , m anque to tal de communication et de respect vis-à-vis des clients, m ensonges et langue de bois pour m asquer les défaillances sont le lot hebdom adaire, pour ne pas dire quotidien). Conclusion de ce calvaire de dixhuit mois : si parader deux m inutes en téléchar geant un fichier à la vitesse de 250 Ko/s en récep tion peut offrir un intérêt, il en va tout autrement quant il s'agit d'assurer un service fiable pendant d'action par rapport au serveur, que ce procédé o ccasio n n e . Il est pour beaucoup inconcevable de ne plus avoir, physi q u e m e n t, de m a ch in e sous la m ain. La peur de se retrouver avec un ser veur planté, que l'on ne p eut bien é vid em m en t pas rebooter à distance, c o n s titu e l'u n e des ----- ------ap p ré h e n sio n s les plus ré c u rre n te s. T o u te fo is, , cette situation n'est pas dram atique, à condition d 'u t ilis e r un sy stè m e fiable, tel qu'Unix. M a lg ré to u t, p o u r les p a ra n o ïa q u e s c h r o n i q u e s, c e rta in s p re s ta taire s qui d é velo p p e n t . leur activité d 'h éb erge m ent de m achines pro p o s e n t d e p u is peu à leurs clients un système, destiné à té léco m m an der via le télép h o ne la p rise é le c tr iq u e su r laquelle est branché l'or d in a te u r h é b e rg é . Le On espace les racks si possible pour répartir p rin c ip e se m o n tre les sources de chaleur. simple : vous composez le numéro de téléphone com m uniqué par le pres tataire, suivi d'une combinaison, et l'alimentation est coupée puis établie. A rg u m e n ts en fa v e u r de l'h é b e rg e m e n t de m ach in e Si on prend le cas d'un hébergeur correctem ent équipé, il revêtira l'aspect d'une salle informatique clim atisé e , dotée d 'o nd uleurs (ave c une bande passante im portante partagée entre plusieurs opé rateurs), ainsi que d'une connexion de secours, qui à elle seule peut être des d izain es de fois plus im p ortante que la ligne 64 Kbits évoquée plus haut. En règle générale, vous êtes libre d'exploiter ce que vous vo u lez sur les m ach in es que vous hébergez, et de la façon que vous le souhaitez. En cela, vous avez une marge de manoeuvre, ni plus, ni m oins im portante qu'avec une ligne louée et des ordinateurs qui resteraient en vos locaux. Ce type d 'h éb e rg em e n t existe depuis plusieurs mois m aintenant chez la plupart des FAI les plus im portants, surtout chez ceux qui ne cherchent pas à s'im planter sur le marché le plus pourvu en abonnés, au forfait le moins cher. On peut citer sr * © Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM plus de trois jours consécutifs. Le call-back RNIS se trouve très rarem ent proposé par les FAI (Fournisseurs d'Accès Internet), car il est trop facile m e n t l'o b je t de co n te statio n s au moment du règlem ent des factures, tant le fossé entre les estimations du client en coût de com m u nication et la réalité peuvent se révéler im p or tantes. En effet, dans le p rin cip e, votre serveur réside dans vos locaux et à chaque fois qu'il se voit so llicité, c'est le FAI faisan t office de relais qui reçoit la requête et se connecte sur votre adapta teur RNIS (selon les m odalités, il se trouve éven tuellement en mesure de raccrocher pour être rap pelé aussitôt depuis votre serveur). Enfin, la com munication peut s'effectuer. On comprendra faci lement que toute cette dém arche est rapidement coûteuse et que les temps de connexion, souvent jugés trop importants par les internautes, s'allon gent de m anière réd h ib ito ire . Mais m êm e si le tem ps de co nnexion avec un bon routeur RNIS dure 3 ou 4 secondes, plus d'un aura déjà été voir un autre site. Il s'agit donc d'une solution très spé cialisée, que l'on réservera plutôt à des organismes voulant disposer d'une sorte d'Intranet étendu et qui peuvent tro uver un in térêt à b é n é ficie r du m aillage qu 'offrent les FAI, plutôt que d 'étab lir régulièrement des comm unications longue distan ce. Dernière idée évoquée et qui sera la seule dévelop pée ici : l'hébergem ent de machine. Il correspond à un principe peu répandu, très cer tainement en raison d'une dim inution de la liberté y « -, J E D FA *$ U "£ C F/à e. r é t Ù£>C 7-ET(//^ _ S u is - j e : iid f iç 3 } z OV 62. g !C 3 ? . 3 i+ ? Les conséquences de l'abus d'adresses IP virtuelles. entre au tres Im a g in e t, O lé a n e , In te rn e t Fr ou M agic OnLine. Les prix évoluent en moyenne entre 2 000 et 5 000 francs H .T. par mois et par machine hébergée. Le forfait d'installation équivaut généralement au coût de location pour un mois, avec souvent des prix qui varient du simple au double, suivant que votre machine est prête pour un branchement immédiat ou qu'elle requiert au contraire une configuration de la part du FAI. Les o ffre s d es FAI q ue l'o n so u h a ite ren d re a c c e ssib le avec son propre nom de domaine, par le biais d'une adresse du genre w w w .client-final.com plutôt que sous la bannière du prestataire comm e dans www .presta taire.net/client_final, devra disposer de sa propre adresse IP, même si à term e cette contrainte se trouve vouée à disparaître, grâce à l'utilisation sys tém atique de serveurs et de clients Web compa tib le s avec la n orm e H T T P / 1 .1. D 'ic i là, il est im portant pour ne pas dire indispensable de pou voir disposer d'au tant d'adresses IP que de sites Web associés à des noms de domaines distincts. Il ne s'agit ici que des serveurs W eb, car pour les autres services, cette notion n'a pas forcément de se n s. S au f e x c e p tio n , la g e stio n de p lu sie u rs domaines sur un seul serveur n'est pas prévue en standard dans le protocole FTP, mais des pis-aller existent. Pour SM TP, la situation diffère, car il se révèle parfaitem ent capable de s'acquitter de la gestion de plusieurs domaines sans nécessiter plus d'une adresse IP (m êm e s'il est tout à fait possible d'em ployer en dépit du bon sens cette technique). Pour DNS, on se heurte à une absurdité de taille, car non seulement, il n'a nul besoin de plusieurs adresses IP, mais en plus, cette diversité est sus c e p tib le d 'o c c a s io n n e r des e n n u is c o lo ssa u x, comme nous le verrons plus bas. Autre aspect de cette question : il s'agit bien de prêt. En effet, il n'est pas inutile de savoir que Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Parmi les points qui différencient les offres de ce type, on trouve la méthode de calcul du volume de données échangées sur votre serveur (cum ul des entrées et sorties). Certains sim ulent sur leur réseau interne une ligne louée dotée d'un certain d éb it, dont dépendra votre ab o nnem ent et sur laquelle est reliée votre ordinateur. D'autres procè dent par sondage pour établir une estimation du volume consommé. En fait, certains reconnaissent qu'ils ne sont pas en mesure d'établir un compte exact du volume de données échangées. Voilà pro bablement une des raisons qui incite bon nombre de ces fournisseurs d 'accès à vous proposer des volumes importants dans le forfait de base en esti mant que celui-ci ne sera jamais dépassé. Internet Fr o ffrait avan t l'été un h éb e rg em e n t à 2 00 0 francs par machine avec un volume disponible de 1 Go par mois, et d'un jour à l'autre, ce volum e est passé à 10 Go sans augm entation de prix. Une autre différence très importante réside dans le co ût, extrêm em en t flu ctu a n t d'u n h éb erg eur à l'autre, des adresses IP "prêtées". Celles-ci consti tuent une denrée indispensable pour qui veut pro poser des sites Web personnalisés avec les noms de domaines de ses clients. En effet, tout site Web depuis quelques tem ps, l'organism e responsable de l'attribution des adresses IP à travers le monde, IANA, ne vend plus d'adresses comme elle a pu le faire jusqu'à une certaine époque : celle, pas si lointaine, où l'évocation de pénurie d'adresses prê tait encore à sourire. Depuis lors, les plus im por ta n ts FAI d e m a n d e n t h u m b le m e n t q u 'o n leur prête des adresses au fur et à m esure que leurs besoins, et ce u x de leurs c lie n ts, au g m enten t. N 'im porte qui peut a priori en solliciter, mais il fa u t ju s t if ie r d 'u n b e so in m in im a l de 4 0 9 6 adresses. Dans le cas contraire, vous vous adressez à votre FAI qui sert de relais, éventuellement rem placé par son prop re FAI si lui-m êm e est trop "p etit". L'adresse IP fournie ne vous est donc pas vendue ; le prix qu'on vous en dem ande corres pond à un compromis entre des frais administratifs et un coût que l'on qualifiera de "dissuasif". Celuici tente de vous faire réfléchir à deux fois avant de réclam er par avance une quantité astronom ique d'adresses, ce qui explique que les FAI pratiquent des tarifs très contrastés. Quelle plate-forme ? Comme II a été dit précédemment, le coût dépend du nombre de machines. D ésormais, le but du jeu consiste donc, dans un prem ier tem ps, à trouver le bon systè me pour lim iter au m axim um le nombre d'ordinateurs à héberger. Dans un second temps, il faudra ramener ledit nombre à un, puisque dès la d e u x iè m e m a c h in e , on r e v ie n t d a n s d es tranches de prix suffisamm ent élevées pour s'inter roger sur l'à-propos d'une ligne louée. Evidem m ent, si vous possédez déjà un serveur qui correspond parfaitem ent à vos besoins, vous pou vez sauter le passage suivant et vous rendre direc tem ent à la partie traitant des aspects logiciels. S ta tio n s d e tra v a il Si les sta tio n s de tra v a il de m a rq u e S u n , H P, D igital, IBM ou Silicon offrent des qualités non négligeables, elles possèdent en revanche deux défauts dont le plus visible vient du prix d 'achat et le plus pernicieux est le coût OU les contraintes en cas de m aintenance. M êm e si ces co nstructeurs font régulièrement des opérations promotionnelles destinées à nous faire croire que l'on peut s'offrir une station à 25 000 francs, la vérité se réduit le plus so uvent à prop oser des m ach in es, d o n t la c o n fig u ra tio n de b ase p o u r ce p rix se ré v è le inadaptée à nos besoins ou incom plète. Machines diskless (sans disque dur), disque de 500 Mo seu lement ou bien encore mémoire tout juste utile au fonctionnem ent d'un Z X 8 1 , constituent autant de facteurs handicapants. Et une fois équipé de cette station avec 500 Mo de disque et 16 Mo de RAM, aurez-vous encore les moyens d'acheter l'indispen sable disque de 1 Go à 10 000 francs ou la barret te de 32 Mo à 4 000 francs ? Et ne vous y trompez pas : si la m ém oire est bel et bien spécifique, le ces c o n d itio n s , le seul reco u rs p o u r a v o ir des pièces détachées disponibles rapidem ent consiste à acheter un double du prem ier ordinateur. En revanche, il faut rester objectif, ces matériels sont bien souvent plus simples à mettre en oeuvre que des PC , le nom bre de co m b inaiso ns m até rielles étant infinim ent moins grand ; d'autre part, ils se m ontrent plus fiables sur le iong term e. De p lu s, un lo g ic ie l stra té g iq u e co m m e N etscap e E ntreprise S erver to u rn e e sse n tiellem e n t sur les U nix des stations de travail et beaucoup plus rare m ent sur les Unix existant dans le m onde PC. On en reparlera plus loin au sujet des serveurs sécuri sés et du com m erce électronique. La so lu tio n du PC Bien évidem m ent, et heureusement, les PC sont là. Ici e n c o r e , on tro u v e d e u x é c o le s : les p ro constructeurs et les pro-dégriffés. Afin de respecter le plus scrupuleusem ent possible le thèm e de cet article, nous nous focaliserons sur les PC que l'on monte soi-même sur le rebord de la table dans la cuisine. Le souci n'est pas exclusi vem ent d'ordre pécuniaire, il est aussi de nature technique, car en assem blant soi-même sa m achi ne, on en connaît a priori m ieux les détails de tous les composants (m odèle, révision, version du BIOS, fournisseur, e tc.). Si vous cherchez, par exem ple, à ne pas vous retro uver dans une situatio n désa gréable com m e celle évoquée dans le cadre de la maintenance des stations de travail, prenez garde à ne pas doter votre serveur d 'u ne carte e xcep tionnelle s'il n'en existe qu'un fournisseur et que celui-ci est régulièrement en rupture de stock. En ce qui concerne le logiciel, le com patible PC offre sans contexte le plus grand choix possible de systèm es d 'e xp lo itatio n ; de surcro ît, il partage Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM disque dur SCSI en revanche offre un modèle stric tem ent identique à celui équipant votre com p a tible PC, à la différence près qu'il a reçu un auto collant m agique aux couleurs du fab riq u an t des stations de travail. Il existe bien des com posants com p atibles, mais les fournisseurs so nt relative ment peu nom breux et assez discrets, du fait cer tainem ent d'un marché plutôt restreint. Pour enfoncer le clou, il convient de préciser que les coûts de m aintenance de ces ordinateurs sont très élevés et que les pièces détachées, réservées à ceux qui veulent régler leurs problèmes tout seuls, n 'o n t pas un p rix plus é co n o m iq u e . Il est très im portant de savoir que si vous optez pour une m aintenance personnelle, vous aurez peut-être à fournir une pièce défectueuse, com m e une carte mère par exem ple, pour pouvoir en acquérir une nouvelle et devrez attendre ensuite deux à trois semaines pour la recevoir. Ce qui, vous l'adm et trez, peut occasionner quelques gênes dans le cas d'un serveur censé fonctionner 24 h sur 24 . Dans souvent avec certaines stations de travail le privilè ge d'être l'architecture de référence pour la pri meur de logiciels disponibles exclusivem ent sous form e exécutable. Sauf erreur, il en va ainsi pour la m ajorité des SG BD R récem m ent p ro p o s é s s u r L in u x p a r S yb a se ( http://www.redhat.com / r e d h a t / s y b a s e - r e g .p h t m l) , In f o r m ix , In p ris e p o u r InterBase ( h ttp ://w w w . interbase.com/ d o w n lo ad /lin u x/ Deux modèles de boîtiers SCSI-to-SCSI. : "••"■Il iMm B Î o c TT a B lo c k E B Î o c IT C B Î o c IT D P a r itv 1 B lo c k G P a r itv 2 B lo c k H | ^^ l o c k J j->isg l o c k J > A g a r i t y J /"4^ o c k J 9 - A ^ l o c k ^ L j —*'■ — , . . . . . , | B lo c f f A B Î o c k B I b Î o c IT C B Î o c k D P a n tv 1 B lo c k E B lo c k F B lo c k G B lo c k H P a r itv 2 [Jsg l o c k J M j B l o c k J > - v|3 1 o c k j ^ y g l o c k *“" " - ■ ■ ■ ........ RAID niveau 5 RAID niveau 4 \ \ Illustration des différents niveaux de RAID. linux_info.htm !) ou encore O racle ( http://technet. o ra c le .c o m /). C 'e st un a rg u m en t à p rend re en considération pour le choix final. T o lé ra n c e de p a n n es même intégré dans son boîtier, ce type de maté riel n'est que très rarem ent proposé à la vente en tant que pièce détachée aux clients finaux. Rem arque im portante : ce ne sont pas deux ali mentations indépendantes qui nécessiteraient des connecteurs et une électronique supplémentaires sur la carte mère, ainsi que sur tous les périphé riques à alim enter. Il s'agit bien de deux alim enta tions qui ne délivrent l'énergie que sur un unique jeu de fils com m e pour une alim entation sim ple, et dont la seule vocation est de fournir constam m ent du courant même si l'une d'elles tombe en panne. Faites attention à l'existence éventuelle de boîtiers Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Le but ne consiste pas ici à vous apprendre com ment m onter un PC ; par conséquent, nous nous attacherons uniquem ent aux m oyens d'am éliorer sa tolérance aux pannes. Bien qu'aucune pièce ne se trouve à l'abri d'une panne dans un ordinateur, il en est trois qui se dis tin g u e n t p a rtic u liè re m e n t, to u t sim p le m e n t à cause de leur composante m écanique : les disques durs, l'alim entation et enfin le ventilateur qui sur monte le radiateur, placé sur le processeur. Pour ce dernier, la m eilleure parade serait juste ment de ne pas avoir besoin de ventilateur. Cela s'avère envisageable en em ployant un radiateur de taille suffisante ; la disposition des com p osants variant sensiblem ent d'une configuration à l'autre, les fabriquants de radiateurs en lim itent l'encom brement aux dimensions du processeur. En outre, ils le com p lètent par un ven tilateur qui, com m e exprim é ci-dessus, fait partie des premières pièces à tom ber en panne, provoquant ainsi le blocage d u d it p ro ce sse u r. D ans ce cas, la p lu p a rt des constructeurs ont un avantage en équipant majori tairem ent leurs ordinateurs avec des radiateurs surdim ensionnés, évitant ainsi les ventilateurs. En ce qui concerne l'alim entation, la parade est du m êm e o rd re et p o rte le nom d '" a lim e n ta t io n redondante" ("Redundant Power Supply") ; pour bien faire, il dem eure préférable que l'on puisse l'extraire à chaud ("h ot-sw ap "). En raison de problèmes très compréhensibles d'en com brem ent, ce genre d'alim entation ne peut être montée que sur un nombre très restreint de boî tiers, bien souvent usinés dans cette optique. Et n 'accep tant pas le fo rm at A T X , car prévus pour des cartes mères spécifiques. En dernier recours, vous pouvez aussi vous procu rer une m achine montée dans un te! boîtier chez quelques intégrateurs, qui présentent ces produits dans leurs publicités. Les disques durs Le cas du disque dur est plus compliqué, car les solutions sont très nombreuses et la fourchette de prix est fort large. C ela peut aller de 150 francs H .T . du giga pour un simple disque IDE de 6,4 Go à plus de 4 000 francs H .T. le giga pour des solu tions de haute fiabilité. Le choix dépend donc du b u d g e t, m ais a v a n t to u te cho se d 'u n e b onne connaissance des multiples produits existants. Le sy stè m e RAID Le RAID ("Redundant Arrays of Inexpensive Disks") étant la plus répandue des solutions proposées de nos jours, nous évoquerons trois des principales façons de ie mettre en œ uvre. Mais avant cela, un bref rappel des différents niveaux de RAID couram ment employés s'im pose. Le niveau 0, qualifié de "striping", n'a rien à voir avec la sécurité. Il ne sert qu'à signaler au systèm e d'exploitation que l'en semble de disques durs (des volum es.physiques) se résume désorm ais à une seule entité (no tion de volume logique), de sorte que la capacité d'un filesystem peut dépasser celle du disque le plus grand et se retrouver ainsi à cheval sur deux disques ou plus. Le niveau 1, qualifié de "m irroring", permet, com m e son nom le laisse d e vin e r, d 'av o ir pour ch a q u e d isq u e e m p lo y é un frè re ju m e a u qui constamment le reflète de m anière fidèle. Le RAID 1 est utilisable à partir de deux disques, il existe un niveau "com posite", le RAID 0+1, par fois appelé RAID 10, qui ne s'envisage qu'à partir de quatre disques, puisque deux d'entre eux vont assurer le strip in g et les d e u x au tres, se rvir de miroirs aux premiers. On saute Ses niveaux 2 et 3 pour a rriv e r d irecte m e n t au x 4 et 5. S im ilaires dans ieur p rin cip e, ils se d isting uent p rin cip ale ment par la façon dont ils répartissent les données sur les disques et les tâches dans lesquelles il se révèlent les plus adaptés. Disons pour simplifier les choses que le RAID 4 se m ontre sans doute plus approprié pour l'acquisition de grandes quantités de données comm e c'est ie cas avec la télévision num érique par exem p le, surto ut qu'il est moins répandu que le RAID 5, ce qui nous épargne de r a id / b e t a ) , a in s i q u 'u n e p a n o p lie d 'o u t ils (ftp ://ftp .k e rn e l.o rg /p u b /lin u x/d a e m o n s/ra id ). M ais, cette so lu tio n, aussi séduisante et écono m ique so it-e lle , pose d eux p ro b lè m es. Le plus négligeable est l'absence de solution totalem ent s a t is fa is a n te p o u r a r r ê t e r une c o n fig u ra tio n em ployant ce patch, donnant ainsi lieu à un fsck à chaque dém arrage. Plus em barrassant, le disque p rincip al est parfois victim e d 'une faille, ce qui empêche le démarrage car, dans ce cas, il ne faut pas c o m p te r su r les au tres d isq u es, p u isq u 'u n co ntrô leu r IDE ou SCSI de base n 'est pas prévu pour surm onter ce problèm e. On abandonne donc cette idée puisqu'elle ne se trouve guère adaptée dans le cas d'une m achine hébergée. S o lu tio n s m â té rie lie s Les deux autres méthodes sont donc matérielles. On distingue des contrôleurs SCSI qui autorisent, en standard ou en option, la gestion de certains m odes RAID et des b o îtiers sp écialisés installés entre le contrôleur SCSI "classique" et les disques durs. Ce dernier procédé est connu sous le nom de SCSi-to-SCSI. La carte SCSI avec RAID reste la solution la plus économ ique m ais req uiert un d river ad apté. Le SCSl-to-SCSI en revanche, bien que plus cher, est a priori totalem ent indépendant du système d 'ex ploitation. Les deux systèmes se révèlent donc par faitem ent appropriés pour nos besoins, d 'autant que les contrôleurs SCSI-to-SCSl sont le plus sou vent disponibles sous form e de boîtiers au form at 5 "1 /4 , dem i ou pleine h au teu r, o ccu p an t donc l'espace traditionnellem ent réservé à un ou deux disques dans l'u n ifé ce n trale ; iis co m p renn ent g é n é ra le m e n t un a ff ic h e u r L C D et q u e lq u e s to u ch e s su r la fa ç a d e . Pour la carte SC SI avec RAiD, le choix qui s'im pose comm e une évidence est le contrôleur DPT modèle PM 2144W ’, pour la simple raison qu'il bénéficie d'un driver développé sous l'œil attentif de DPT. De plus, un HOW TO lui est destiné et se consacre à ses capacités RAID, parce qu'ii s'agit d'un matériel "relativem ent" peu onéreux et enfin parce qu'on peut 1e trouver assez facilem ent. En fait, la carte seule n'assume pas les fonctions RAID ; pour cela, il faut lui adjoindre un m odule RC 4040 qui devra o b lig ato irem en t être Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM fait un surcroît de réflexion. L'idée de base consis te à réserver l'équivalent de la capacité d'un des disques du groupe pour y entreposer le résultat de l'opération booléenne XO R (O U exclu sif), ap p li quée aux données inscrites sur les autres disques du groupe. Pour cette raison, un groupe RAID de niveau 4 ou 5 se définit par un m inim um de trois disques. L'avantage p ar rapport au niveau 1 est d'autant plus flagrant que le nom bre de disques compris dans le groupe s'avère conséquent, car si en RAID 1, la m oitié des disques se tro uve consa crée à la sécurité, en RAID 4 ou 5, il n 'y aura tou jours qu'un unique disque dévolu à cette tâche (nruracJe d e la ta b le de v é rité de l'o p é ra te u r logique XO R ). Il existe plusieurs autres niveaux de RAID, mais nous ne nous y intéresserons pas ici. Le RAID 0, sous diverses ap p ellatio ns, étan t disp o nible en standard ou en option sous form e logicielie pour plusieurs U nix (Logical Volume M anager sur HP-UX et A IX, Driver M d sur Linux, Driver Ccd sur F re e B S D , c o m p o sa n t de S o lstic e D isk S u ite sur Solaris) et ce niveau de RAID n 'in te rven an t pas dans les co nsid ératio n s de sécu rité, le su je t ne connaîtra pas plus ample développem ent. So lu tion io g icie lle La parenthèse étan t close, nous pouvons parler m aintenant de nos trois m éthodes pour disposer d'un système RAID. La première est purem ent logicielle. Linux, en particulier, bénéficie d'un "p atch" pour ajouter les fonctions RAID niveaux 1, 4 et 5 au noyau (que vous retrouverez si vous le désirez d ans ftp :// ftp .k e rn e l.o rg /p u b /lin u x / d a e m o n s / Principe de connexion d'un RAID niveau S . Connectas for both 8-bit and Wide SCSI cables PacKaged as a carortete s&tution: includes 8-bit and Wide SCS) cables. Controls uo to 15 Fast wwe SCSI fletices or a combmaSon. of 8-bit and % Wide devises i Full 132ÎÜB/S PC BoslWasIeriftg Hardware RAH) & cacbe convertible witb ontional add-on module [attaches herej Integrated 32-bit proeessor , Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Contrôleur SCSI. On remarque le large connecteur situé à droite et destiné à recevoir le module RAID matériel doté de quatre supports p ou r la mémoire cache. d o té de m ém o ire c a ch e non fo u rn ie , E C C ou simple EDO. Com pte tenu des tarifs de la mémoire ECC, autant se contenter de quatre barrettes EDO SIMM 72 broches tout à fait standard de 16 Mo chacune, pour un total de 64 Mo de cache à un coût ridiculem ent bas, inférieur à 500 francs T .T .C . chez n'im porte quel discounter. A noter qu 'un co n d itio n n e m e n t co m p re n an t la carte PM 2144W ET l'option RC4040 existe sous la ré fé re n c e P M 2 1 4 4 W R ( h tt p :/ / w w w .d p t .c o m / pm 214 4w r.htm ). Les modèles 20 44W et 2144UW fonctionnent tout aussi bien. Et très certainem ent aussi les autres cartes des familles 2X44 et 3334. Une seconde m arque, ICP V o rtex ( h ttp ://w w w . ic p - v o rte x .c o m / p ro d / p ro d _ e .h tm l) c ité e dans l'HO W TO consacré à la DPT, revendique une com patibilité avec Linux, mais ces cartes, aussi bonnes soient-elles, ont un prix exorbitant. Pour le SCSI-to-SCSI, il y a pléthore de produits. O n t ro u v e n o ta m m e n t les m a té rie ls C M D (http://w w w .cm d.com /storage/products/info.cfm ) et Info rtren d ( h ttp ://w w w .in fo rtre n d .c o m /p ro ducts.htm ou http://w w w .infortrend.co.uk/) ou la célèbre m arque M ylex ( h ttp ://w w w .m yle x.c o m / prod ucts/dac960erc/d ac960sui.htm l). En outre, il existe sur ce m arché une "excep tio n cultu relle", Syred ( http://w w w .syred.com /), constructeur fran çais qui non seulem ent développe de très bons produits mais, une fois n'est pas coutum e, les pro pose à des tarifs raisonnables, tout en offrant de surcroît un support digne de ce nom . Un a v an ta g e in d é n ia b le , au m oins dans l'é ta t actuel des choses, d'un contrôleur SCSI-to-SCSI (cf les fam illes Prestige et Regency de chez Syred) est la présence d'un port série qu'il suffit de relier à l'un des connecteurs de l'unité centrale, afin de p o uvo ir c o m m u n iq u e r à to u t m o m ent avec ce m atériel. Cette m anipulation donne égalem ent le privilège de scruter en perm anence tout message d 'e r r e u r p o u r ê tre ra p id e m e n t a v e rt i d e la défaillance d'un disque, en relayant l'inform ation via le courrier électronique. Cette fonction devrait inco m b er au d river dans le cas de la carte DPT mais m alheureusem ent, celui-ci ne la prend pas en charge. Un autre atout offert par certains contrôleurs SCSIto-SCSI com m e sur le modèle DAC960 SXI de chez M ylex est la possibilité de lui adjoindre une carte fille qui am éliore les performances en temps nor m al, mais surtout assure une redondance en cas de panne de la carte principale. Un dernier avantage du SCSI-to-SCSI sur le driver de la carte DPT consiste à pouvoir à tout moment se renseigner sur l'état des disques, grâce à la liai son série, sans avoir l'obligation de relancer le sys tèm e pour em ployer sous DOS le programme de gestion de la carte. Une telle particularité offre, à d istan ce, un in té rê t non n ég lig eab le. Avec une DPT, en cas de problèm e, ce sont les personnes hébergeant votre m achine qui vont subir l'alarme sonore sans se trouver en mesure de l'interrom pre avant votre intervention. Les boîtiers SCSI-to-SCSI KHEOPS N U X EOPS Distributeur français spécialiste de la vente dans les pays franco p hones des distributions LINUX et des applications optimisées pour ce systèm e d ’exploitation, KHEOPS v o u s propose un ensem ble de prestations pour migrer v o s applications sou s LINUX. D isp o sa n t d ’un important réseaux de distributeurs sur les marchés français, belge, suisse et canadien, KHEOPS distribue les produits édités en français par les LOGICIELS DU SOLEIL, RED HAT France, C ALD ERA, APPLIX et d ’autres acteurs du m onde LINUX. Retrouvez-nous dès à présent su r INTERNET à l’a d re sse su ivan te : h t t p ://WWW.KHEOPSFRANCE.COM Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Tél. : 01 4 0 56 91 1 1 - Fax : 01 4 0 56 35 34 Siège à Sophia Antipolis Tél. : 0 4 92 1 3 29 56 - Fax : 04 93 73 34 99 Venez consulter notre site et retrouvez chaque semaine des nou veautés : jeux concours pour ga gn e r des livres O ’REILLY, des distri butions, des ordinateurs, des bons d ’achat... ont pour leur p art un bouton facile m e n t acces sible. La génération de contrôleurs SCSI-to-SCS! qui arri ve en ce m om ent se m et à l'heure Internet, en se voyant doté d'une Interface Ethernet, ce qui offre des perspectives très intéressantes. C o m b ien de d isq u es au m in im u m e t d a n s q u e lle co n fig u ra tio n ? Sans co nsid érer l'esp ace jug é nécessaire, optez pour quatre disques dès le départ, de capacités identiques et, si possible, du même modèle. Avec q u a tre d isq u e s, vo u s p o u ve z vo u s o ffrir d e u x niveaux de sécu rité. L'idée est de gro up er trois disques en RAID 5 et de d é clarer le d e rn ier en "h o t-sp a re ". Dans cette situ atio n , le co ntrô leu r (ca rte SCSI ou b o îtier S C SI-to -SC S!) utilisera le disque "hot-spare" pour rem placer to ut élém ent défaillant du groupe RAID, ce qui constitue le pre m ier niveau de sécurité. En outre, le RAID 5 luimême vous assure un fonctionnem ent, même en cas de panne de l'un des disques du groupe, ce qui représente une deuxièm e sécurité. La capacité utile dans ce cas de figure est équivalente (si les d isq ues o nt la m êm e ta ille ) à d e u x d isq u es. Il convient de noter que l'emploi d'un niveau RAID de type 0+1, même s? la capacité utile est com pa rable, ne vous assure pas un te! degré de sécurité. se priver. Certains modèles, dont le ZyXEL Prestige 100 ( http ://w w w .zyxel.fr/), sont dotés du protoco le NAT, perm ettant à plusieurs m achines (jusqu’à vingt) de partager un abonnem ent unique souscrit auprès de votre FAI. Un routeur a de plus l’énorme avantage de dem eurer to talem ent indépendant des systèmes d’exploitation ; il se connecte géné ralem ent plus vite qu’un simple adaptateur RNIS, cette opération ne nécessitant que trois à quatre secondes en moyenne. Si après cela, il vous reste encore quelques deniers, vous pourrez envisag er de les investir dans des racks amovibles pour disques durs, mais pas ceux en plastique que l’on trouve à moins de 100 francs chez les discounters. Non ! Il s'agit de boîtiers tout en métal avec ventilateur, affichage de l’ID en clair par segments lum ineux, m odification de cet !D par le biais d ’un com m utateur facilem ent accessible et surtout, qui autorisent le "hot-swap” (l’échange du disque sans arrêt du système, grâce au contrôleur RAID). Vous les découvrirez chez Elan Systems et Additional D ESIGN . Ils ne sont pas indispensables, mais vous faciliteront énorm ém ent tout travail de m aintenance. Pour conclure sur la configuration m atérielle, un lecteur de CD-Rom ID E nous sem ble largem ent su ffisa n t et p e rm e ttra so u ve n t plus fa cile m e n t qu’avec un contrôleur SCS! de procéder à l'installa tion sans recourir à une disquette de démarrage. Le lo g icie l A propos de notre solution de serveur "écono En ce qui concerne te bureau ou le domicile, mique", le choix du système d'exploitation se révè il vous faudra une configuration, si possible le assez simple ; nous adopterons donc, ce qui ne équivalente à celle hébergée, à l'exception s u rp re n d ra p e rs o n n e , L in u x ou F re e B S D , qui du nombre de disques, de Valimentation, de la offrent de nom breux avantages. Le premier offre la quantité de mémoire ou de la fréquence du possibilité de co m p ile r. En effet, la p lup art des processeur, qui peuvent être moindres que sur le Unix "com m erciaux” ne fournissent de base qu'un serveur. c o m p ila te u r ru d im e n ta ire , si bien q u ’il fau t se contenter des logiciels du dom aine public que des ’idée se résume ainsi : avoir le privilège d'em âmes charitables auront pris soin de compiler et de p ru n te r à c e tte m a c h in e des p ièce s non rendre disponibles sur le N et. Cela devient vite redondantes sur le serveur dans une situation rébarbatif, lorsque l’exécutable ainsi compilé n'est d ’u rg e n ce (p ro c e s s e u r, c a rte ré se a u , b a rre ttecompatible qu'avec une version du système légère m ém oire, e tc .). Le principal reste que le serveurm ent plus récente que celle que vous possédez fonctionne, même avec des perform ances dégra (typique avec HP-UX, par exem ple). Autrement, il dées. Vous avez ensuite tout le temps voulu pour vous faudra encore sortir votre chéquier ; prenez rem placer la pièce m anquante. Sa fonction ne se garde, l'acquisition d'un environnem ent de déve limite pas à être un stock de pièces de rechange. loppem ent peut atteindre un prix dém esuré. De Elle se révèle aussi et surtout essentielle pour la su rcro ît, alors que SunO S et dans une m oindre validation de vos expérim entations et de vos déve mesure Solaris, jusqu’à une époque pas si lointai lo p p em ents, ainsi que p o ur la co m p ilatio n des ne, faisaient autorité en matière de nouveaux pro sources que vous ne manquerez pas de récupérer gram m es, à l'heure actuelle, il est devenu rare que Autre m atériel Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM L régulièrement. La coupure franche imposée entre le serveur hébergé et le poste de développement fa c ilite une plus g ran d e rig u e u r dans les d eux étapes "validation" puis "exploitation". Pour ce qui a trait à la télém aintenance, com pre nant entre autres l’envoi sur le serveur des nou veaux program m es, on préférera très nettem ent une connexion RNIS à une connexion RTC et puis qu’il existe désormais des routeurs Ethernet/RNIS à des prix très abordables, il n ’y a pas de raison de les Unix libres ne profitent pas très rapidement de la prim eur de nouveaux développements. Tout du m oins en ce qui co ncerne le dom aine Internet, seul cas qui nous intéresse ici. IP v irtu e lle s Le p o in t su ivan t est cap ital et va co n d itio n n e r considérablem ent le choix du système. Il s'agit de la capacité à gérer des adresses IP virtuelles, aussi appelées "aliases IP". Cette notion s'avère cruciale si l’on souhaite pouvoir héberger des sites Web CD JEU X MATERIEL possédant leur propre nom de domaines. Dans ce dernier cas, cette propriété est baptisée M ultihoming par certains (Netscape par exem ple), ou Virtual Host (apache) par d'autres. Le p rin cip e ayan t co nnu une d ém o cratisatio n relativem ent tardive, il ne se trouve par consé quent disponible que dans les versions suffisam ment récentes des divers systèmes. Cela explique aussi que sa mise en oeuvre et la term inologie employée diffèrent autant d'un système à l'autre. Un point particulier à vérifier concerne la capacité pour ces systèmes à accepter non seulement des adresses IP virtuelles mais de plus, des adresses aptes à se trouver dans des classes différentes, avec ce que cela im plique dans la configuration des netm asks, du routag e et de d ivers autres aspects. Cela ne signifie pas pour autant que le p restataire vous h éb erg eant ch e rch e ra à vous causer du tracas en vous fournissant des adresses de classes différentes quand vos besoins augm en teront ; simplement, il disposera des adresses que l'organisme d'attribution voudra bien lui confier. Le routage justem ent. Il y a peu à dire, si ce n'est que les démons assurant un routage dynamique, tels que g ated, routed ou au tres, ne se voient guère appréciés. Il convient de les désactiver et de spécifier à la place l'adresse IP de la passerelle que vous comm uniquera la société assurant votre hébergement. on se voit aidé dans cette tâche par un utilitaire écrit en Perl et inclus en standard (ceci est par ailleurs expliqué dans le fichier DNS-HOW TO-7). C o n c e r n a n t la m a in t e n a n c e , le te x te D N SHOW TO-6, tout petit et fort intéressant, livre un script bien pratique pour l'actualisation du fichier de cache (celui qui donne les adresses des ser veurs DNS de référence) et que l'on invoquera à l'aide d'une ligne dans le fichier /etc/crontab ou /etc/crontab.local, suivant le système utilisé. Bien que tro u v é d ans la d o c u m e n ta tio n L in u x , ce script profitera à tout le monde, moyennant une éventuelle et minime adaptation. S'il vous appartient de choisir la séquence de lan cem ent du serveur de noms et du serveur HTTP, veillez scrupuleusem ent à conserver cet ordre : named PUIS, n'im porte quand MAIS "plus tard", httpd. Il est clairem ent indiqué pour apache que les d irectives ServerN am e, bientôt dissém inées par vos soins dans chaque description d'hôte vir tuel (Virtual Host), requièrent au m oment où elles sont lues l'accessibilité du nom auquel elles font référence, sous peine de dysfonctionnem ent. Prenez garde aussi à ce que l'emploi d'un serveur de noms n'empêche pas obligatoirem ent celui du fichier /etc/hosts ou même d'un serveur NIS. Pour l'essentiel des Unix récents, une notion de priorité se voit généralement mise en œuvre, par le biais de fichiers de configuration dont le plus courant M a t é r » e i f E Tower Infinitiv II.......................... 1250 F O o Tower Infinrtiv II, alim 230W..1490 F q> Adaptateur écran V G A T T 7 . 85 F .$2 Scandoubler interne A1200....659 F Scandoubler A1200T/A4000...599 F ^ Scandoubler externe.................. 825F Cl ■Lecteur de disj$%HD interne... 5 5 9 V * r Nappe IDE 2.T> 2x3.5...............125 F | Quadrupleur IDE.......................... 165 F > Disque dur IDE 3.5, 2.1 G0....989 F f Disque dur SCSI 3.5, 2 O fl 17fjfrT ,sL Lecteurcd-rom ATAPI x 32 420 F CO Blizzard PPC 603e 160 Mhz, 68040/25 Mhz....................\.........2590 F kT Cyberstorm PPC 604 180 Mhz, ^ 68040/25Mhzst UW S C SI 5190 F en Carte ethemet Amiganet 1550 F T ) Carte son 16 bits Préludé 1890 F g 16 mo sim m s 32 bits 60ns 190 F . „ iimms 32 bits 60r Rom 3.1 AT200/A3000/A4000.349 F U-1 Souris et tapis Frog design....145 F ' Joypad Honeybee...........i..... ...175 F § D ig italiser audio + s o ft . 350 F Cable pamet ^<orK3ôft..............99 CDR SCSI Teac x4 x12 ......... 2690 A rt stud io pro c d t 260 F O A sim c d fs 3.9a V F . 355 F "03 Bu rn It 2.12 D A O 690 F ^ D elu xe paint 5 c d 219 T >■ E la s tic drearïW ’Cd 520 F LLj Fu sio n Mac em ulator............690 F rrs Ib ro w se 1.2........................ 339 F ^ Miami 3 .............................«..........339^F < ; NetWork PC + cable F o O xyro n patcher....................... 139 F O P fs 2 c d ....,................... i ............345 F ^ S c a la MM400 cd ...................... 565 F CO Turb o calc 5.1 cd V F . 599 F * Turboprint B . 2 " T T ...............439 FrJD U ltim ate blitz b a sic c d ........219 F ^ W ordworth 7cd V F................ 490 F Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM DNS Si vous décidez de gérer vous-même votre ou vos DNS, il est un autre point particulier à prendre en considération par rapport à ces fameuses adresses IP virtu elle s. Il s'ag it d'u ne lim ita tio n , dont le sym p tô m e tra d u it une e rre u r, c o n c e rn a n t le nombre de fichiers ouverts par le démon serveur de nom s ( n a m ed ). Le p ro b lè m e est q u e , par défaut, named va "écouter" chacune des adresses IP, réelles ET v irtu e lle s, pour la réce p tio n des requêtes qui lui seront form ulées. Ce faisant, il réclame un grand nombre de "handles", ce qui se révèle inexploitable, dès que le nombre d'adresses IP virtuelles devient trop im p ortant. La parade passe so it p ar l'a jo u t d 'u n p a tc h " o ffic ie u x " ( h ttp ://w w w .u ltra .n e t/~ jzp /a n d re w s.p a tc h .txt) pour les versions de named inférieures à la 5, soit, et c'est de loin la solution la plus propre, par l'em ploi du "nouveau" serveur de nom, BIND version 8 .1 .2 (so urces à l'adresse h ttp ://w w w .is c .o rg / b ind.htm l). Cette mouture récente offre en stan dard une directive (listen-on) perm ettant de spé cifier explicitem ent l'adresse ou les adresses que le démon devra scruter. Le seul point noir actuel réside dans le manque substantiel de docum enta tion (papier en particulier) au sujet de la nouvelle syntaxe adoptée, mais cet inconvénient se trouve contrebalancé par le fait que les fichiers de des cription des zones écrits à l'intention des versions 4.X de named ne requièrent pas de m odification, pour être exploités par les versions 8.X . En fait, seul le f ic h ie r n a m e d .b o o t, re n o m m é nam ed.conf, nécessite une conversion ; en outre, est d é so rm a is / e t c / n s s w it c h .c o n f. D ans une m o in d re m e s u re , il p e u t e x is t e r un fic h ie r /e tc/h o st.co n f. Il faut aussi prêter p articu liè re ment attention au contenu de /etc/resolv.conf, en particulier sur HP-UX, où un paramétrage incor rect par rapport à la réalité de votre configuration est susceptible de rendre très d élicat l'accès à votre environnem ent de travail sous sa forme gra phique. Com m e le mode texte ne pose pas de problème, une connexion via telnet peut aider à se tirer de cet éventuel écueil (problèm e évoqué dans le d o cu m e n t h ttp ://w w w .a m .q u b .a c .u k / users/j.pelan/ DN SandVUE.htm l.) En passant, prenez quelques minutes pour éditer le fichier /etc/inetd.conf et y mettre en com m en taire tous les program m es qui n'auront aucune raison d'être sollicités sur votre serveur. SM TP Pour le protocole SMTP, on n'hésitera pas à télé c h a rg e r la to u te d e rn iè re v e rsio n su r le site http://w w w .sendm ail.org/, ne serait-ce que pour faire bénéficier vos clients de ses options contre le spam m ing . Mais le point de sendm ail qui nous intéresse plus particulièrem ent dans le cadre de cet article (faire beaucoup avec peu) concerne sa capacité à gérer plusieurs domaines. Cela devient possible essentiellement grâce à deux "features", use_cw _file et virtusertable. La première permet de notifier à sendm ail l'ensem ble des dom aines qu'il aura en charge. La seconde joue un petit peu le rôle d'une table d'alias, en indiquant les desti nataires finaux associés à chaque adresse de cour rier électronique des différents domaines traités. Flyin g hight c d ................... :...199 F C Flyin g hight datas d isk 2...85 F c Foundation c d ............279 F G en etic sp e c ie s c d ...............279 F ^ Mobile W arfare .......... 125 F 2** M y s tc d ..3 375 F _ On e sca p ee c d 279 F CO Q uake c d 379 F 1 Sam b a wortd cup c d ..... 2J73JLJ1Î Ulfirrr&te S sk id m a rk s cd..~159 F 2 Virtual karting 2..................*...179 F QV ulcan cd B o n an za .......1 ...2 3 9 F Æ î (Final Odyssey, Uropa 2, L A m inet 24, 25, 26 ou 27 85 F — A m inet set 5 ou set 6......... 209 A m im eS babes S E 179 ^ .S2 Format c d .......................4 S P "5 . G atew ay 3 (2cd ) 75 F G olden d e m o s 95 F M agic p u b lish e r 179 F Mods anthology......................206 S ce n e X p lo rër2 145 F System booster 115 F W orkbench d esign er 2 120 F frais d e p o rt V P C : lo g icie ls 35 F, m atériel 80 F tour, écra n 100F 2 ^ 8^ .j» ^ (/) lire à chaque dém arrage le fich ie r send m ail.cw , p o ur y tro u v e r la liste des d o m aines qu'il doit gérer, les vôtres et ceux de vos clients, à raison d’un nom de domaine par ligne. Enfin, la directive virtusertable permet de définir le routage du courrier pour chaque domaine ou pour chaque adresse. En voici un extrait : @domaine-de-client.fr %[email protected] nom- . corn nomcom Interprétation "libre" de l'idée de réseau. Plutôt qu'un long discours, voyons sur pièce. Détail du fichier cf/M ON_DOM AINE.m c : OSTYPE(linux)dnl DOMAIN (MONJDCMAINE) dnl FEATURE (localJLmtp).dnl FEATURE (smrsh) dnl @domaine-de-client.com MAILER(local)dnl MAILER (smtp )dnl de-compte-pop-local @autre-domaine-de-client.com pas chez nous nom- [email protected] Les features lo c a fjm tp et smrsh sont destinées à renforcer la sécurité. Détail du fichier dom ain/M ON_DOM AINE.m 4 : Ces différents exem ples m ontrent la majorité des cas pris en com pte par cette fonction de routage. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM def ine('confPRIVACY_FLAGS*, 'goaway,restrictmailq, restrictqrun ’)dnl define ('confSMTP_LOGIN_MSG ’, '$j Sendmail ; $b’)<3nl FEATURE (access_db) dnl FEATURE (rbl) dnl define('confAUTO_REBUILD', 'True')dnl FEATURE (nouucp) dnl d e f i n e ('c onfDOMAIN_NAME’, 'mondomaine.fr *)dnl def ine ('SMTP_MAILER_MAX ’, 5000000) dnl define('confMAX_MESSAGE_SIZE’, 5000000)dnl FEATURE (use_cw_file) dnl FEATURE (virtusertable) dnl La prem ière ligne limite l’accès aux données gérées par sendmail en interdisant par exem ple l’emploi des com m andes VRFY et EXPN , pour vérifier les adresses de courrier électronique m aintenues sur votre serveur depuis l’extérieur. La seconde change le message d’accueil de sendmail, afin de faire dis paraître les numéros de version ; ces informations devenir de red outab les arm es dans les m ains de ce u x qui se tie n n e n t au c o u ra n t des spécifiques à chaque version de ce program me (du m oins, c’est ce que l’on nous e xp liq ue). Les deux suivantes préviennent en partie l’emploi de votre serveur com m e relais pour les spammers, ainsi que la réception de courriers émis par des spammers recensés à votre intention ou à celle de vos clients. Les lignes contenant une valeur num érique lim i tent la taille des courriers reçus ou relayés. La directive use cw file dem ande à sendm ail de Sur la première ligne, on indique de renvoyer sur ^ js N S S . le même utilisateur, mais sur le dom aine "domaine-de-client.com ", tous les courriers destinés au do m aine "d o m ain e -d e -clie n t.fr’’ : idéal pour les sociétés ayan t enreg istré leur identité sous plu sieurs TLD (Top Level Dom ains). Les quatre lignes suivantes prouvent combien il est facile d ’associer à une d e stin a tio n p lu sie u rs v a ria n te s ty p o g ra phiques d’une même adresse ou de désigner une personne com m e responsable d ’un service (marketing@ societe.fr, sav@ societe.fr) . L ’avant-dernière définition, et sa position dans la liste ne doit pas précéder une autre ligne contenant dans sa partie gauche le même nom de dom aine, perm et de diri ger sur un unique destinataire tous les courriers envoyés à des noms non-prévus, en cas d’erreur de frap p e p ar e xe m p le , ou ad ressés à des term es g é n é riq u e s (s u p p o rt, ré c la m a tio n , p la in te ne constituent que quelques exem ples représentatifs de cette dernière catégorie). Cette définition n’est pas obligatoire mais tellem ent pratique. Imaginez i vos clients un travailleu r ind épend ant ; il suffit de saisir cette seule ligne pour qu’il reçoive tous les courriers sans excep tion ( info@ client.fr, nom @ client.fr, w eb m aster@ client.fr, com ptabilite@ client.fr, etc?). La d istin c tio n nom -d e-cô m p te-p o p -lo cal/n o m client@ son-fai-Iocal.fr m et en évidence les deux cas de figure envisageables par rapport aux clients. Dans le prem ier, vous collectez leurs courriers et faites office de poste. Cela vous donne le moyen de leur offrir des boîtes personnalisées, alors que l’abonnem ent qu’ils auront souscrit avec leur FAI local ne leur permet le plus souvent que de posséder une seule boîte, et en plus aux couleurs de celui-ci (pour ce qui est du nom de dom aine). Avantage supplémentaire : la possibilité de leur proposer un accès IMAP, alors qu’un nom bre infim e de FA! sup porte ce protocole pour l'instant. Le second cas est typiquem ent celui du travailleur indépendant qui souhaite recevoir sur la boîte fournie dans l’abon nem ent de son FA! l'ensem ble de ses co urriers, sans avoir l'obligation de configurer deux comptes POP dans son logiciel ; en outre, ce privilège a fait son apparition assez tardivem ent. La directive virtusertable n’a pas pour vocation de remplacer le traditionnel fichier d ’aliases ; elle pos sède ses propres prérogatives et les deux outils se complètent. À titre d ’exe m p le , vo ici sim p lem en t cinq lignes tirées d’un fichier "accèss" : mort-domaine.fr RELAY se présente une idée très simple : vous prenez les d eux navigateurs les plus répandus et dotés en s ta n d a rd d ’u n e p a rtie c lie n t e S S L , N e tsc a p e Communicator et M icrosoft Explorer. Norm alem ent, on trouve Verisign/RSA et Thaw te. Le prem ier est de loin le plus connu, certainem ent à cause de son origine am éricaine et de son travail en étroite col laboration avec Netscape et Network Solutions, la société qui gère le service InterN IC ( http://rs.inter- 11 perm et juste de m ontrer que l’on a le droit de rejeter non seu lem en t des co u rrie rs p ro ve n a n t d ’une adresse p articu lière, m ais aussi tous ceux ém is à partir d ’un site e ntier, que son nom soit connu ou non. n ic .n e t / ), le q u e l a ssu re l'e n re g is tre m e n t des domaines pour les TLD "net", "edu", "org” et bien entendu "com". Petite ombre au tableau, Verisign se refusait il y a encore quelques mois à vendre des certificats pour une utilisation avec apache. Cela peut sembler sin gulier, mais l'obtention d'un certificat dépend en partie du serveur HTTPS em ployé. Thaw te, pour sa part, ne fait pas de discrim ination. Cette com pa gnie sud-africaine a pour elle deux avantages com plémentaires : ses certificats, nettem ent plus abor dables que ceux délivrés par Verisign et surtout, sa politique de proxim ité, qui repose sur un réseau de revend eu rs. Son rep résen tan t fran çais est la société TBS-Internet ( h ttp ://w w w .fr.thaw te.com /). Un soin tout particulier a été apporté pour expli quer de façon claire avec des docum ents en fran çais les démarches à m ener, tant du point de vue technique qu’adm inistratif, pour acquérir puis ins taller le certificat. Bizarrement, les démons POP3 et IMAP ne se trou vent pas fournis en standard, avec une quelconque d istrib u tio n d ’U n ix . Si l’usage e n co re re stre in t En ce qui concerne l'illégalité, elle touche apache et constitue l'une de nos fameuses "exceptions cul turelles". Vous n’êtes pas sans savoir qu'un débat d 'IM A P p eut l'e x p liq u e r, c ’est n ettem e n t m oins co m p réh en sib le p o ur POP3 qui a d ep u is lo n g H TTP e t SSL En ce qui concerne HTTP, apache s’impose et ne mérite méfne pas que l’on s’y attard e... Sauf peutêtre, pour ce qui a trait aux transactions sécurisées ( h ttp ://w w w .a p a ch e -ssl.o rg /) . Si to u t le m onde oppose depuis m ain ten an t quelques années les défenseurs de l'utilisation libre du codage des don nées, essentiellem ent à des fins de com m erce élec tronique, au M inistère de l’Intérieur, qui considère ces procédés comm e de véritables armes de guer re. Sans rentrer dans la polém ique, rappelons que seuls quelques rares pays se m ontrent aussi regar dants quant à l'emploi de ces techniques. Malgré tout, trois ou quatre programmes de type serveur H TTPS so nt depuis cette époque o fficie lle m e n t autorisés à exploiter sur le sol français le protocole SSL, avec toutefois des clefs limitées à 40 bits (on parle de 56 dans un avenir proche). Il y a en tout pre mier le serveur de Netscape, puis celui de Microsoft et enfin un serveur d’IBM pour OS/2 (sans qu'il existe de véritable certitude pour ce dernier). Ce qui reste malheureusement certain, c’est qu’apache ne se trou ve pas sur la liste des heureux élus et qu’il y a fort à parier qu’il n’en fera pas partie de sitôt. Voilà pour quoi il pourrait s’avérer utile d’envisager d’autres Unix que Linux ou FreeBSD pour pouvoir exploiter un ser sait que le protocole SSL est le plus utilisé de nos jours pour sécuriser les sites, et en particulier, ceux qui font du com m erce électronique, il s'avère en revanche plus délicat de connaître le moyen d'ob tenir le certificat d'authentification, qui rassurera vos clients potentiels. Ce n’est en réalité pas très compliqué, mais m alheureusem ent totalem ent illé gal. En p rem ier lieu , il co n vien t de recenser les organismes qui délivrent les certificats. Pour cela, veur Netscape, même si des rumeurs circulent depuis fort longtemps quant à la disponibilité future de leurs serveurs Web sur ces environnements. En attendant, vous avez le droit de feindre l'innocence et d'em ployer apache-ssî sur votre machine ; mais souvenezvous, nul n’est censé ignorer la loi. P a ie m e n t é le ctro n iq u e L’étape suivante consiste à traiter les commandes enre gistrées sur votre site et payées par carte bancaire. un- cl ient -com RELAY moneyhelp^mymai 1. com REJECT mysexshow.com REJECT S ^ 0 6 v l 5 6 .198.173 REJECT Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM tem ps détrôné l’antique (m ais pourtant très inté ressant) UUCP chez les FAI. Pas de souci, vous les t r o u v e r e z s u r le s s ite s h t t p :/ / w w w .e u d o r a , c o m / fr e e w a r e / s e r v e r s .h t m ! (Q P O P P E R ) et h ttp ://w w w .im ap .o rg /,-qui détaille les ressources disponibles dans ce dom aine. Pour ce dernier, on v o u s o rie n t e ra e n tre a u tre s s u r u n e v e rs io n d é v e lo p p é e à l ’ U n iv e rs it é d e W a s h in g to n ( http://w w w .w ashington.edu/im ap/) et qui devrait faire votre bonheur. À noter que les archives IMAP co n tie n n e n t g énéralem en t les d ém ons P 0 P 2 et P0P3. Il existe aussi un projet un peu plus spéci fique, baptisé Cyrus ( http ://and rew 2.and rew .cm u. edu /cyrus/im apd/index.htm l). Vous pouvez recourir à la m éthode m anuelle en achetant ou en louant à votre banque un TPE/VAD (T e rm in a l de P a ie m e n t E le c tro n iq u e /V e n te A Distance) et en saisissant chaque règlement avec les in fo rm a tio n s c o m m u n iq u é e s p ar v o tre c lie n t. Cependant, un tel matériel coûte cher et vous obli ge à tout valider à la main. Un petit rappel utile en ce qui concerne les commis sions prélevées sur chaque règlem ent s'im pose : celles-ci ne sont pas fixées par un quelconque orga nisme central et se trouvent établies arbitrairement par chaque groupe bancaire. En clair, cela peut aller de 2,50 % au Crédit Agricole par exemple à 0,35 % à la Banque Populaire. Il convient de savoir que les taux sont négociables auprès de certaines banques et que ça l'est d'autant plus facilem ent que vous conditionnerez l'ouverture d'un compte par rapport au contrat que l'on vous proposera. De même, les perceptions sur les règlements faits avec des cartes étrangères ne se trouvent pas soumises aux mêmes taux et cela a aussi des chances de jouer considéra blement lors de la discussion. Par exemple, la com mission de base de 2,50 % sur les paiements effec tués avec des cartes étrangères a pu être ramenée à se u le m e n t 1 % su r un c o n tra t sig né au C ré d it Mutuel. Il faut souligner au sujet de ce dernier organisme qu'il apparaît probablem ent comm e l'une des banques françaises les plus impliquées dans le développement Internet. Elle a été l'une des premières à proposer bon nombre de services en ligne et s’est lancée depuis peu dans une offre sérieuse, abordable et bien pensée, afin de permettre aux sociétés d'aborder sereinement le commerce électronique (http://www.creditmutuel.fr/ centre_commercial/vendez_sur_internet.html). L'idée principale consiste à ne vous décharger QUE de la partie règlement avec un abonnement mensuel rai sonnable et sans commission venant s'ajouter à la per ception de base, au contraire d'autres offres qui vous prennent littéralement à la gorge. Une économie sup plémentaire favorisée par ce service vient de ce qu'il vous épargne l'acquisition et la gestion d'un certificat SSL, puisque la responsabilité de ce type de problème lui incombe désormais. Apportons une information supplémentaire pour les particuliers entreprenants : contrairement à ce qui se pratique dans certains autres pays, les banques fran çaises ne semblent pas accepter l'idée qu'un particu lier puisse percevoir des règlements à l'aide de cartes bancaires. Pour fin ir Certes, il existe un nombre croissant de programmes assurant une interface graphique pour la configuration de la plupart des fichiers décrits dans cet article, mais n 'oubliez pas le postulat de base. n effet, nous parlons d'un serveur hébergé et sur lequel il sera très rassurant de pouvoir intervenir à l'aide de, qui sait, votre Pilot ou votre Psion, doté de son m odem et de son m ini-program m e d'émulation de terminal VT-iOO, alors que vous assiste rez au mariage de votre soeur, au fin fond du Périgord. De plus, certains de ces "jolis" programmes ont une fâcheuse tendance à modifier des fichiers automati quement et à notre insu. Même si cela peut s'avérer judicieux, il demeure toujours désagréable de ne pas être informé des conséquences liées au simple lance ment d'un programme de configuration. Glissons tout de même un petit mot sur les documen tations. A coup sûr, certains ouvrages sur les divers logiciels évoqués, en particulier sur sendmail, peuvent s'avérer utiles. Pour apache, il y a trop peu de valeur E Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Q ue lq u es sites u ti le s • Pour NEXTSTEP/OPENSTEP : http://www .peanuts.org/ ftp://ftp.next.peak. org/pub/next/ • Pour Solaris x86 : http://ynp.dialup.access.net/scripts/ynpPageCen7sol25_attic h ttp://sunsite. une. edu/pub/packages/solaris/freeware/in tel/2.6/ http://sunsite.unc.edu/solaris/sm c/solaris_2.SJist.htm l • Pour Irix : http://reality.sgi.com /billh_ham pton/anonftp/index.html http://www.daveltd.com/bind-irix-port/ • Pour HP-UX : http://ga tekeep.es.utah. edu/hppd/hpux/ h ttp://hybrid. irfu.se/HP- UX/ http://hpwww.epfl.ch/HPUX/patch/catalog.htm l ajoutée par rapport aux documentations électroniques disponibles sur le site et surtout, les directives évoluent pour l'instant un peu trop rapidement, pour s'attacher à une documentation papier. En ce qui concerne les livres traitant de DNS et BIND, il faut sans aucun doute en posséder mais avant tout, la journée de formation qu'offre l'association A FN IC (an cie n n em e n t NIC France) quand vous signez une convention avec eux pour pouvoir enregistrer les noms de domaines dans le TLD "fr", constitue une expérience nettement plus enrichissante. Bien que l'investissement fasse réfléchir et que la société vous hébergeant vous propose des conditions alléchantes pour l'enregistrem ent des domaines en "fr", il convient cependant de prendre en considération la réactivité que vous procure une convention avec l'AFNIC vis-à-vis de vos clients. Revenons aux documentations, l'une des richesses de Linux, afin de préciser qu'une quantité impressionnan te de textes rédigés et, pour un nombre croissant d'entre eux, traduits, est accessible dans bien des for m ats in fo rm atiq u es ou m êm e sur pap ier (Lin u x U ndercover, par exem p le). M êm e les plus blasés d'entre nous peuvent y puiser régulièrement de nou velles informations. Leur lecture représente une source constante d'enrichissement et de découvertes. Si le survol de certaines des notions évoquées dans cet article vous semble trop sommaire, n'hésitez pas à nous en réclamer un développement. Yannick Cadin [email protected] ? S.L Diffusion Inform ai ENVOI en 2 4 /4 8 H VISA Demandez notre catalogue Votre Spécialiste Amiga à Strasbourg 03 88 62 20 94 Disques Durs IDE 3,5' Interne Scanners S c a n n e rJljD Q a iô lO S Artec AT3 + Scanquix 4 VF 1 889,pilote Amigt 1 0 8 9 ,- Artec AT6 + Scanquix 4VF 2 4 8 9 ,1 219,- Umax 61 OS + Photoscope 1 3 4 9 ,1 489,- Scanquix 4 F 649,- ~^-1 369, 2 179,- FaxQuix 219,349,Photoscope pour Umax VF Disques Durs IDE 2,5' Interne Olympus 8201 Appareils Photo Numériques Disque D. IDE 260 Mo +nappe 599,Disque D. IDE 1,6 Go+nappe 1879,- Olympus 820 L+ Camcontrol VI F 4 779,Disque D. IDE 3 Go+nappe 2 259,- Olympus 840 L+ Camcontrol VI F 5 879, Disque D. IDE 4 Go+nappe 3 919,- Kodak DC20 + Camcontrol V IF Camcontrol Seul H Disques Durs SCSI interne Consommables DD. 1 GolBM ÏH69,- Disquettes 100 Mo pour Zip _ 90/ DD. 2 Go IBM 1 5 5 9 ,- Disquettes HDx 10 35/ DD. 9 Go IBM 4 9 8 9 ,- CD Rom Vierges Verbatim Silver 15/ Pour A l 200 Lecteurs CD Rom SCSI Accessoires Extensions Micronik 1200+Horloge Ex! de 0 à 8 Mo 329," CD Rom 36X Slot in Pîonneer 769,- Lecteur de Disquette mt A 1200 239/ Nouveau pour 1200 : Tour Micronik (sons davier} : 1 089/ « T a p is de souris Boing P a d » Lecteurs CD Rom IDE Carte accélératrice 1 499/ CD Rom 24X IDE/ATAPl 379,- Tour Micronik+Alim+P-Bride 39,Falcon 1230/40 + SCSI+8 Mo ext à 64 Mo CD Rom 32X IDE/ATAPl 439,- A1300(1200+Tour+alim+Clavîer) 3 349/ 4849/ CD Rom 32X Slot in Pionneer 599,- A1400(A1300+Zorro II) 1 189,5 949/ IftEFIX 97 (contrôleur Atapi) 249,- Al 500( A1300+Zorro II!) / Carte Zorro 3 2 999/ Cortes SCSI, RESEAUX, IDE 379/ Carte ArregaNetBNC PCMCIA 1200 1479,- Coque Clavier Mikronik Alim 200 WaîtTntemeMikronîk 379/ Carte AnsgoNe? BNC+ Iwsted Pair 1 589,289/ CarteBUDHA IDEX4 Zorro II 489,- Top Case 5,25" Supplémentaire 79/ SQU1RRELSG!A600/+200 589,- Rack 3,25 Supplémentaire Power Bride 59/ Modules Mémoire SIMM Horloge Interne Al 200 159/ Ram SIMM 8 MO 70ns Standard pour ROM AMIGA 569/ Vous permet de faire une copie 159,-’ Lect Disquette HD int 1200 439,- Mîec,Micronik, etc... Kick Rom 3,1 (A3000) Lect Disquette HD Externe 599/ de vos cassettes vidéo Kick Rom 3,1 (A500-A600-A2000) 239, 259, Kick Rom 3,1 Al 200 Scanner Couleur SCSI De nouveau disponible. Adaptateur SCS! interne Blizzard 259, Coprocesseur 68882 FGA 50Nfa 479,Câble 25/50 SCSI ou 50/50 149, Squîrrel SCSI PCMCIA pourA600/l 200 589,30 Bit Color Câble 50/50 SCSI 2m 189, Coude PCMCIA 159,Rallonge SQUIRREL 2 Mètres 179, Artec AT6 Nappe SCSI x 7 Cable pour Moniteur 1084 129,129, 1 3 9 ,Nappe 2,5-3,5" + Scan Q u ix 4VF Terminaison SCSI interne50 89, Nappe 2,5-3,5"-3,5" 169,Terminaison SGI Externe (50) 129, Carte Graphique PICASSO IV ZI! ! 669,1 889,- F TermUftra Wide SGI inî 68 Acî. 199, ScanDouhler et FlickerHxer U-Wide SGI 68 mâle->50 Fem. 189, ScanMagic Scandoubler interne 689,Artec ATI 2 SOI 50Inteme-> 25 EXT/S10T 89, M l! Port offert pour toute !|FT FlickerMagic 1200/4000 + Scan Q u ix 4VF Nappe Ultra Wide SGI 68x4 369, J com m ande d 'u n scanner J Scandoubler interne avec Flicker Fixer 799,’ Adaptateur AM1GA-VGA 149, Amiscan Scandoubler ext 689,149; , avant ... le_1_5 /_1 1_/ 9_8 _ _ — _,l1Tr 2 4 8 9 , - F Adaptateur VGA-AM1GA Cable Pamet 5m 4- Logiciel 189, Cartes Son ‘ Form'at A 4 - 3 0 Bits/1 Passe - 6 0 0 x 3 0 0 ' DPI ou 6 0 0 x 1 2 0 0 DPI (ATI 2) Adaptateur mini Din /Oîn 6 A l Delfina Lite (Zorro II) 2 299,■ ou 2 0 OOO DPI/interoolation - Calibratix - Scan fo disk - O S 3,0 Minimum + 6 M o Ram Teletext sur AMIGA 239, Prélude (Zorro II) Fonction Photocopie couleur avec S c a n Q u ix / A M IG A (néccessite turbo-print) ROM Swîîcher A500-2000 149, Viper A500 520-33 » » » » 989,AT/CD + 8M0-“-Rom 3,0 E-MATRIX T530-40 + IDE 1 179,E-MATRIX T530-50 + IDE 1 479,E-MATRIX T530-33 + IDE +SCSI 1 2 7 9 ,E-MATRIX1530-40 + IDE+SCSI 1 3 7 9 ,E-MATRIX T530-50 + IDE+SCSI 1 6 7 9 ,Megi CHIP A500/2000 749,Ext 512Ko inî +Horloge Amiga 500 149,Pour A2000 Carte A 2000/030/50M hz Appolol 389,Pour A60Q M-Tec 68030/40Mhz+4Mo 899,M-Tec 6803Q/40Mhz+8Mo 1 T 2 9 ,- Disque D. IDE 2,1 Go Disque D. IDE 2,5 Go Disque D. IDE 4,3 Go Disque D. IDE 6,4 Go Disque D. IDE 8 Go IBM — 989,- Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ^ CD-ROOSŸ140 'livré en o 'u s ovec corte scsi pour P C et logiciels P C et M o c ainsi que cable scsi 2 5 / 5 0 ) Ram SIMM 16 MO 60ns Ram SIMM 32 MO 60ns Mémoire ZIP 51440 2Mo 129,Nouveaux Horaires Lundi à Vendredi 9H-12H et 14h-19h Samedi 9h 1 3 h 169,319,549,- 1 189,- Découvrez nos promotions sur Internet SL-Diffusion Nom..................................... Prénom Adresse : .......................................... CP.................... V ille........................ Tour W inner E/B o x /1 2 0 0 + Alim SL-Diffusion.com sld iff@ e v c.n e t Qté Désignation Connecteur 10E 2,5" Interface Topolîno/Joy PC Catweasel MK1! 1200 Clavier Al 200 Alim Amiga 500-600-1200 Interface MIDI !n/0ut+4Tbru -Souris AMIGA (noire ou blanche) Prix Unit. Total Signature Chèque à la commande N° / / V otre C om m ande p ar co u rrier avec v o tre règ lem en t p ar c h èq u e,m an d at cash ou c arte b an caire. R.C.S Strasbourg SIRET *09 161 817 00013 APE 526? - (* contactez nous) PORT i 249, 219, 189, 129, IIN D ^ Tél.:. □ □Port: Tour-M on?teur-Sconner,U C , 120 F, CD 25 F, Logiciel 35 F, Souris,C able 30 F, a u tre 70 F . .1 % 199, 489; TOTAL —- — _ Netbeans Developer Depuis qu'on parle des ateliers de développement Java écrits eux-mêmes dans ce langage, on aurait aimé en voir un réellement fonctionnel. C'est désormais chose faite avec Netbeans Developer ! E ntre Java Workshop de Sun, qui réussit l'exploit d'offrir un logiciel no n -p o rtab le é c rit en ja v a , Freebuilder, prom etteur mais encore loin d'être utilisable, et les autres, qui tiennent plus du jouet que de l'outil professionnel, l'environnement en Java pour java a mis bien du temps à faire son entrée en scène. Finalem ent, la jeune start-up Netbeans Inc. se lance scripts de lancement, si chers à Sun. su r ce m arch é ave c son N etbeans Conception hybride Developer. Pour l'anecdote, il s'agit en Netbeans Developer se situe à mi-che fait d'un second tir, après un premier min entre les IDE purs et durs comme produit (Xelfî) qui n'a jamais été com VisualJ++, JBuilder ou Visual Café, et les mercialisé. Netbeans Developer s'utilise outils du type L4G comme Visual Age donc sur tout système disposant d'une For Java. Ses créateurs ont visiblement implémentation de Java (version 7.7.6 cherché à allier l'universalité des pre minimum). Pour notre part, nous avons miers à la rigueur et l'automatisme des réalisé ce test sous Debian GNU/Linux seconds, et il faut reconnaître que le avec le JD K O pengroup 1 .1 .6 . résultat est plutôt réussi. Netbeans L'installation exploite le nouveau stan Developer présente donc une interface dard Installshield For Java : à l'arrivée, typique des IDE Java classiques, à savoir on a vite fait d 'o ub lier les abscons une barre contenant les différents élé ments graphiques (Swing et AWT mais aussi les Beans et les modèles de géo que l'on ve u t é d ite r, em p lo yer ou réemployer... cela ressemble presque à un atelier de génie logiciel ! Un builder efficace Le développeur java passe une grande partie de son temps à construire l'inter face utilisateur de son program m e. Netbeans Developer, comme ses homo logues,. est par conséquent avant tout Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM m étrie), et des fenêtres d'édition de code, de réglage des paramètres, etc. En revanche, la notion de "projet", cen trale dans les environnements tradition nels, n'apparaît nulle part ici. A la place, le développeur dispose d'un ou de plu sieurs espaces de stockage, appelés ''Repositories''. Au départ, le Repository par défaut contient quelques exemples et des modèles de base ("templates"). Lorsqu'on crée un nouvel objet, il vient s'ajouter dans un Repository et y reste, à moins qu'on ne désire explicitement le détruire. De cette façon, deux projets différents ne représentent plus deux mondes distincts, mais au contraire, tout ce sur quoi le développeur a tra vaillé est conservé, répertorié et archi vé. Un "explorateur" permet de navi guer dans la hiérarchie des Repositories pour accéder directement à l'élément un "builder" d'interfaces : un clic pour choisir un com posant (par exemple une barre de défilement), un clic dans la fenêtre de l'application pour l'y pla cer et le logiciel s'occupe ensuite de toute la gestion qui découle de cette o p é ra tio n . En p ra tiq u e , N etbeans Developer va plus loin que le simple dessin d'interface. Les composants et m odèles disponibles perm ettent en effet de construire une interface, mais aussi des classes "non visuelles" et même la documentation, pour le déve loppeur comme pour l'utilisateur. On élabore donc véritablement la structure complète de l'application à la souris et l'on n'utilise l'éditeur source que pour y écrire le code à exécuter lors de l'appel d 'u n e m étho d e (eh o ui, N etbeans Developer ne peut pas deviner ce que vous voulez que votre program m e fasse !). De plus, tous les paramètres concernant un objet créé par le logiciel o nt le loisir d 'être m odifiés à tout m o m e n t, sa ch a n t que le m oindre changement se répercute aussitôt en tout point de l'application. Il est ainsi très amusant de créer de nouveaux élé ments et d'observer les lignes de code qui apparaissent simultanément dans l'éditeur source ! L'intégration des diffé rents modules constitue l'un des gros points forts de Netbeans Developer : si l'on modifie par exemple le nom d'un bouton dans la fenêtre des préférences, les références et les noms de variables dans le code sont automatiquement et immédiatement mis à jour, sous nos yeux. On se trouve en présence d'un atelier de développement réellement dynamique, ce qui représente un avan tage de taille quand on sait qu'il s'agit justement du point faible de beaucoup des IDE p o u rta n t co m m u n é m e n t employés... Les beans Vu son nom, Netbeans Developer laisse évidemment une place très importante aux Java-Beans à travers deux "assis tants" : le Bean Wizard et le Connection Wizard. Le premier permet de créer très simplement un nouveau Bean : on lui indique les attributs et les prototypes des méthodes du Bean et il en conçoit automatiquement la classe, y compris son Beanlnfo. Encore une fois, il suffit d'écrire le corps des méthodes. Le nou veau Bean est alors co m p ilé et un simple "copier/coller" permet de le pla cer dans la barre des Beans pour l'avoir à disposition en p e rm a n e n ce . L'as semblage de Beans pour construire une application ne se révèle pas plus compli qué : tout se fait à l'aide du Connection Wizard. Après avoir choisi et disposé ses Rte M l Vtow ^ C 0 <fo* PI B 63 0 « 1 Q «yctoarotour o r A - ja n r p a a iB n n u i co à x fM ttw ftn *(Jf*$ w q NeiB il £om*rnp p Mr • O JÜ< Th« No£»wt 2 0 D«v»lcp«» 3ocu*»nU»on : ho txW*e»t o* mtroouctw | Itl I l H • Jfc, o o 1m >i | Opi o Sm dotoilod. ttop-by-tlep Mont ; dobug hoi» appbcAon wihtn ho DE Tho ' f^nporboi Uyout Evonls No®»«ni Oovolopor Z 0. and fomUiant» yot LfiMo ; fur«r doUMd rohtonco. breton Mo chiptofi • KJCem pem O M MWT O i Oiapt»r 1) DE Ooicnplon - on ouhno oI ho monut, toohon and ico.ii i • Chaptor Z) u«mg ho DE - a guwlo lo uung tomo of ho (taiuroi dotcnbo* • Chaptor 3) Soao Spactfc T u ti - portOnrnng ton» ipocltc ta U t. tocb ai prefoct» and mtiaumg curtooi JavaBoani Oiâ Ojé l OMntnr41 AdvMVMl Faaairtn - a nnulAtn tn«» n C*»m*«loti ! « No®oan»P^ « (EdHr|Cot. j » Comportant l j U * A Exptoror P » |Co«o | * Æt 9m t* O sà 9mn5 • Tho i S Facile de créer des Beans ! Java... Netbeans Developer symbolise rait-il l'atelier de développement par fait ? Malheureusement, un immense p o in t n o ir v ie n t te rn ir le ta b le a u . L'exploitation très poussée de Java, par ticu lièrem en t des nouveaux Swing Components, ainsi que la taille du logi ciel, ont pour conséquence une lenteur rédhibitoire. N'y allons pas par quatre chemins : sur un P I33 avec 32 Mo de mémoire, c'est inutilisable, même avec un compilateur JIT. De plus, la "portabi lité" reste toujours assez théorique, car en dehors de Windows, OS/2 et la plu part des Unices, il n'existe à l'heure actuelle pratiquement pas de machine virtuelle capable de l'exécuter. On a donc finalement le droit de se deman der si l'utilisation de Java est justifiée pour un tel produit ! Néanmoins, gar dons notre optimisme : une configura tion très puissante se trouve aujourd'hui à la portée de toutes les bourses et la liste des systèmes où Java est disponible s'allonge lentement mais sûrement. La sortie de Java 1.2 pour RiscOS et l'avan cement certain du projet Japhar (Java sous licence GPL) perm ettront à un plus grand nombre d'utilisateurs d'ac céder à l'univers de Java. V erdict de l'utilisateur Netbeans Developer constitue un atelier de développement remarquable, profi tant pleinem ent des possibilités du langage pour offrir à son utilisateur une souplesse peu comm une. Il faut également noter que grâce à l'implémentation en Java, il représente l'un des rares produits de ce type manipulable sur des systèm es "alternatifs". Bien que nous n'ayons pu tester que la v e rsio n B e ta 3 , ce lle -ci é ta it déjà accom pagnée d'une documentation très complète au format HTML, com prenant un manuel d'utilisation et une série de quatre tutoriaux, parfaite pour une prise en main rapide du logiciel. Netbeans Inc. prépare par ailleurs une versio n E n tre p rise , in c lu a n t entre autres la possibilité de travailler en Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Beans, le développeur utilise cet assis tant pour "relier" les Beans entre eux, un peu comme dans la BeanBox de Sun. Chaque émetteur d'événements peut s'associer à des méthodes de différents Beans ; le Connection Wizard s'occupe d'élaborer le code nécessaire et de le mettre en place. Bien que ce soit large ment plus complet que ce qu'offre la BeanBox, l'utilisation des Beans se trou ve à tel point intégrée dans l'environne ment que ce n'est pas plus difficile à manipuler ; en outre, l'esprit des Beans, qui consiste à pouvoir créer une applica tion à l'aide de quelques "briques", est pleinement respecté. Le prix à payer Novateur, puissant, convivial, écrit en NetBeans IDE H ée à f d lt W ew te U a # !ij A '* X B uêU D eô u g i % « > >* * Editing | Runnmq | D ebuqqinq || »>■ * T o o is W lrtdow M# % te H ep J8 £3 Ç) « [fj |U Beans Layouts Borders AWT Swing Swmg2 S A mi b a p a a «. NetBeans gère les Swing Components. équipe, en réseau. Mais, nous avons gardé le meilleur pour la fin : ce pro duit, bien que strictement propriétaire, est et restera gratuit pour un usage non commercial. Une raison de plus de se jeter dessus ! jakub Zimmerman Netbeans Developer Netbeans Developer Beta 3 Source : http://www.netbeans.com Tou t systèm e avec ja v a 1 .1 .6 ou supérieur En hausse ▲ Intuitif et agréable A Complet A Intégration très poussée baisse Lent Des bugs subsistent Note ▼ ▼ En ★★★★ CENTurbo 18 Annoncée, maintes fois repoussée, au point que certains n'hésitèrent pas à crier haut et fort qu'elle ne sortirait jamais, cette carte accélératrice pour le Falcon 030 est enfin disponible. Bien que ses caractéristiques aient évolué par rapport à celles annoncées voici plus de deux ans, que vaut-elle en pratique, et faut-il en équiper votre machine ? ur une surface réduite, 15x8 cm, Sim ple d ’in sta lla tio n , elle req uiert cette carte accélératrice propose néanm oins une expérience certaine _ un 68030-33 boosté à 50 MHz dans le maniement du fer à souder. (le rad iateu r et le v e n tila te u r sont Ce qui fait la force de cette carte, hor livrés), un coprocesseur arithmétique mis ces caractéristiques brutes, c'est optionnel cadencé à 50 MHz, 16 ou son principe de fonctionnement : elle 32 Mo de fast-ram EDO 60 ns (un sup utilise en effet la carte mère du Falcon port simm), ainsi qu'une flash eprom comme une carte d'entrées/sorties 16 de 64 Ko qui hébergera prochaine bits à laquelle elle accède à 50 MHz ! m en t le systè m e d 'e x p lo ita tio n Dès le démarrage de la machine, elle Dolmen et contient à ce jour le pro en prend totalement le contrôle. Elle gramme de boot. Le tout est bien sûr se permet par exemple de démarrer S prise vient du choix entre les systèmes d'exploitation : DO LM EN, TOS 4 .0 x ou T.OS 7.0x. Le premier d'entre eux n'est toujours pas disponible. Le TOS 4 .0 x correspond tout simplem ent à celui que contient la Rom de votre Falcon. Et le T.O S 7.0x représente une version patchée du TOS 4. Le mode turbo fonctionne bien entendu sous T O S 4 , m ais la fast-ram n 'e st pas accessible. Ce mode se montre utile si vous ne possédez pas NVD1 (mais le blitter reste tout de même cadencé à 25 M Hz). Cette concession entraîne une accélération plus faible que sous le T.OS 7, mais elle demeure néanmoins supérieure à celle d'une CENTurbo 1. En cas de reset, c'est la machine entiè re qui redémarre. Sous le T.O S 7, vous bénéficiez bien entendu de la fast-ram . Par consé quent, vous devez valider cette option p o u r p ro fite r p le in e m e n t des meilleures performances de la C T 11. M ais atte n tio n , sous le T .O S 7 .0 x , NVD1 est indispensable, car l'utilisation de la fast-ram nécessite la d éco n nexion du blitter. Toutefois, l'accéléra tion graphique n'en souffre pas. Les fam euses bom bes du T O S sont ici remplacées par des messages en clair et vous pouvez soit effectuer un reset, avec retour instantané à l'écran du setup, soit mettre fin à l'exécution du programme fautif en appuyant sur la barre d'espace. Les différentes options du setup per m ettent de param étrer à votre guise le c o m p o rte m e n t de v o tre m a chine : scan de la ram , choix de la partition de boot, vidéo, matériels, paramétrage de Cécile (le driver de Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM géré en 32 bits. Conformément à sa petite sœur, elle accélère également les composants d'origine du Falcon : Videl et DSP à 50 MHz, sans oublier blitter à 25 MHz. L'accélération de la vitesse d’accès au bus perm et d'ac croître les débits des disques durs IDE (ju sq u 'à 8 M o/s su r les d isq u e s récents) et du lecteur de disquettes. Si vous abandonnez le blindage d'origi ne, la C T II s'insère alors parfaitement dans le boîtier, évitant ainsi une coû teuse mise en tower, et permettant de ce fait une bien meilleure ventilation. sans fast-ram, sans le 68030 d'origine et sans la Rom ! Les quatre GALs d'ori gine sont d'ailleurs retirées de la carte mère et toute cette logique se trouve intégrée dans un composant sur la CT II. La CEN Turbo II ne représente ni plus ni moins qu'un véritable ordina teur dans votre ordinateur ! TOS 4 ou T.OS 7 ? Au d é m arra g e de v o tre m a c h in e , l'écran du setup s'affiche, vous don nant alors le loisir d'effectuer divers réglages indispensables au bon fonc tionnement général. La première sur Le bfock diogram de lo CENTurbo H. disques durs signé C e n te k )... Perform ances Les performances brutes se révèlent assez intéressantes, grâce à l'accéléra tion d'un facteur 3 des calculs du CPU et du FPU. Mais comment justifier que Centek annonce fièrement une accélé ration proche de 7 ? La réponse se trouve dans la gestion de la fast-ram, celle-là même qui a posé tant de pro blèmes lors de la conception de la carte. En effet, c'est lors de l'accès à la fast-ram (à 50 MHz), à laquelle seul le 68030 accède, que le passage en 32 bits prend tout son intérêt. Les débits se m o ntrent alors très im p ressio n nants, puisqu'on atteint 32 Mo/s en mode burst (ch arg e m e n t en rafale e n tre la fast-ra m et ie c a c h e du 68030). A comparer aux 4.5 Mo/s sur la st-ram d'un Falcon d'origine i Et pour calculer, le 68030 fait très sou vent appel à cette fast-ram, à cause de la faibie taille de son cache interne. On comprend alors que les performances globales grimpent aussi rapidement. En pratique, l'accélération oscille entre les facteurs 4 et 7. Com patibilité Le problèm e le plus ép in eux de ce Sôuoo C ù iïZ H *; ’ ; .-vÿ L;. \ DÛ Lit EH £ T .Û S ? .0 K T .Û S 4 . 6 x FI » F2 « F3 • Fô UiDEû : F4 tfF 5 ESC O ENTRER SRUUER QUITTER .• • ' ' - ' ’ ' . - ;.v. » ‘ F? ARTERIEL m ism v m rn m ssÊ sæ iS È i TESTS - / "V ItENU F9 DEflRRRRGE Flfe CECïl E ; ;’r . y-y» ‘ HELP/fclùE P ü ü iü i i i s û u t »ô nontti ûd c o n f i g u r a t i o n : - fo: sé le c tio n a n l à ré so U c io n i ‘R ü ïo frftftRGER. - F V : c o û t . g u ra c iv r. qgi iô u r i« DSP &c ia Vâ&aftâ. i ~ F ? : c d jftïi § u r 4 c i or* ûo I * h o r 0 9 0 a x t - e r n e . - F ? : t a n t i o r a c »or* au b l i cirer ô f d u . « cû$apàr i £>i 9 - F S ; v û û f i ^ u r e r j& épôrôrrtoor - f $ : ‘ s é iô c .t iô f t iw «e c e s ? a*ôi?*o»ro e ï > î Fô po u r io s o s ST£> *ô ôo ô î î 'o s s î ç o ô c i û f t p a r c» iio f tÿ po u r Céc» U . - r î è : - s é f d ç f iû f t f te r t a p a r ri r i or» d e pour - F1 6 : c û n fiô t.r o r coro* t o r d r e de ro c^ o rcfio du d is q u e âûorçâî>»e sp-us X.QS& te s p a r« a é trè s . de C é c i l e . — SR ir Y-**îîîjDÛ; r é i ; . i ï î o i i s e io u s «es p o rô * n é cre s. 1 — ôï — ____ Viio o h a c ig e o r o e coottip. y o r <> c n a n ÿ o o r U u a«eu r. i______________________ Ss________ -________ _____ L'écran du setup et les différentes options. d rive r de disques d u rs, son grand avantage résultant de la gestion des grandes capacités (la barrière des 2 G o ne lui fa it pas p e u r). G a rd e z ce p e n d a n t p récie u se m en t les d is q u e tte s de v o tre a n c ie n d riv e r puisque quelques problèm es appa raissent parfois. A i'usage, ce sera à vous de choisir. Utiliser ie programme de flashage de la flash eprom constitue un jeu d'en fant, tout comme celui qui sauve cer ta in s p a ra m è tre s d a n s la N VRAM (langue, clavier, format de l'heure et de la d a te , ré so lu tio n v id é o au b o o t...). Vous pouvez conserver ces paramètres sur une disquette qu'il suf fira de relire lorsque la NVRAM aura perdu la m ém oire (certains logiciels e fface n t en effe t ces p ara m è tre s). CENTvidel et CENTscreen se chargent resp e ctive m e n t de la création des résolutions vidéo et de leur gestion (écran virtuel, Energy Star, économi seur d'écran, souris turbo...). M ais ie lo g ic ie l q u e c h a c u n v e u t essayer avec sa C T 11, c'est Dolmen, le systèm e d 'e xp io itatio n co m p atib le T O S , 1 0 0 % a s s e m b le u r, et qui regroupe à lui tout seul un équivalent de N VD l et de N .A ES , ain si q u 'un nouveau bureau. Malheureusement, il ne se trouve pas encore disponible, mais l'équipe de Centek nous le pro met pour bientôt, ce que nous espé rons vivement. Verdict Seule carte de ce genre pour nos Falcon avec l'Afterbumer (68040 à 32 MHz), elle dispose cependant de meilleurs atouts : 1990 francs, aussi performante (le 68040 ne fait pas tout), plus com pacte, ram EDO et hot-line font pen cher la balance en sa faveur surtout qu'ii devient difficile de se procurer une Afterbumer. Certains regretteront peutêtre que la fast-ram reste limitée à 32 Mo, ou l'absence d'un connecteur PCI. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM genre de produit concerne la compati bilité. Aussi intéressante soit cette carte, si elle ne vous permet plus d'utiliser la majeure partie de votre logithèque, son attrait diminue d'autant. Il y a certes du déchet, mais cela touche surtout les vieux logiciels peu respectueux des règles de programmation d'Atari qui rencontraient déjà des difficultés pour fonctionner sur Falcon. Quant aux logi ciels les plus récents, ils passent généra lement le test sans encombre. Une liste se voit régulièrement mise à jour sur ie site Web de Centek. Qu'ils soient écrits pour le Falcon ou non, quasiment tous s'accommodent parfaitement des nou velles caractéristiques de la machine. Certains logiciels refusent de se loger en fast-ram ou y sont totalement hostiles ? Dans ce cas, le démarrage en TO S 4 permet malgré tout de bénéficier de l'accélération globale de l'ordinateur. D'autres supportent mai l'accélération du DSP ? M odifiez dans ce cas les réglages dans le m enu M atériel du setup. Globalement, la compatibilité est excellente et rares sont les programmes qui refuseront obstiném ent de fonc tionner. Même Cubase Audio accepte de tourner en fast-ram... Pack logiciels Cécile est destiné à rem placer votre Incontestablement, ce produit est l'un des meilleurs fabriqués pour le Falcon et il permet au rapace de se hisser à la hauteur d'un 68040-32 en termes de puissance de calcul, tout en profitant du surcroît de confort apporté par l'ac célération du DSP, par les modes vidéo étendus et par la fast-ram. Coirier Lilian Constructeur : Centek http://ww w .centek.fr Environ 20 00 francs En hausse Performances conception ▲ A A com patibilité V V En baisse Pas de connecteur PCI Dolmen non disponible Note 'î»r - k ~i< A r t P a i n t v l . 1.0 Un des logiciels phares de l'Amiga est le fameux Deluxe Paint, DPaint pour les intimes. Pour BeOS, on attend encore la révolution, car Becasso reste malheureusement bien sommaire comparé à un DPaint de première génération. R3.1 ou R3.2, car le datatype GIF est "cassé". Seul N etPositive se m ontre capable d ’afficher ce form at pour le moment. La configuration d’ArtPaint offre très peu d’options. Pour chaque fenêtre flottante, il est envisageable de forcer son afficha ge en premier plan. Il y a ensuite moyen de définir le niveau "undo" (défaire), qui peut adopter les valeurs suivantes : "aucune", un nombre défini par l'utilisa teur ou bien "illimité". Il ne faut surtout pas en abuser, car le programme va rale n tir très fo rte ment votre système au fur et à mesure que la m ém oire allouée augmente. Docum entation La do cum entatio n en anglais au format HTML est accessible par l’option Help du menu. Elle se révèle détaillée et claire, et possède en o utre quelques cours de prise en main rapide. ArtPaint se m ontre te lle m e n t sim p le d'utilisation et intui tif, que l'on peut se passer de la docu- capacités. Une sélection peut se combi ner en plusieurs actions qui ajouteront ou soustrairont au cumul des sélections p récéd entes la zone ch o isie. Par exemple, pour repeindre votre voiture, vous la sélectionnez complètement et supprimez ensuite les vitres, les roues, les pare-chocs... avant de lui donner une nouvelle couche de couleur. L'utilisateur se trouve en mesure de faire les sélec tio n s à la m ain p ar d éfin itio n de contours, par rectangle ou bien en cli quant sur une couleur ; c'est le pro gramme qui déterminera les contours ! A cela viennent s'ajouter des modules (AddOns) de traitement de l’image. Dix sont livrés en standard : Blur, Color Balance, Stretch Histogram, Dispersion, 0/7, Emboss, GrayScale, Négative, Twirl et Wave. Si cela ne vous suffit pas, vous pourrez en télécharger d'autres à partir du site de l'auteur ou bien créer et ajou ter les vôtres. Lorsque l'effet choisi n'est pas paramé trable, il se verra immédiatement appli qué sur la zone sélectionnée ou la totali té de l'image. En revanche, s'il possède des paramètres, une fenêtre s’ouvrira et vous aurez alors le loisir de les modifier et d'obtenir le résultat en temps réel avant de confirmer l'action. Conclusion Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Effet de flou su r une zone et fenêtres flottantes. E mentation sans que cela pose problème. Caractéristiques essentielles videmment, il existe BeStudio de chez BeatWare, mais, malheureu La boîte à outils est relativement clas sement, celui-ci n'existe que pour sique. On y retrouve le trait et le point à PPC. Il y a environ deux mois, ArtPaint,main levée, la ligne, le rectangle et l’el un logiciel shareware (US$20) de dessinlipse, la sélection, le remplissage, le pin et retouche photo, a fait son apparition ceau, la gom m e, la bombe spray, le sur Beware ; il s'agit peut-être de l’Elu sélecteur de couleurs, le flou à main levée et l'application d’une couleur tant attendu. Installation et configuration transparente. Ce qui est un peu moins L’archive au format zip une fois décom standard et parfois impressionnant vient pressée occupera 1,2 Mo sur votre disque dur. Pour lancer l’application, il suffit de double-cliquer sur le program me ou bien sur l’image elle-même. Si cette dernière action ne fonctionne pas et que c ’est un autre p rog ram m e qu’ArtPaint qui se voit lancé, il faudra alors que vous changiez les FileTypes dans les préférences (cf. votre guide uti lisateur BeOS), afin de définir ArtPaint comme programme "favori". ArtPaint utilise les Datatypes/Translators pour lire ou écrire les images. Cela lui permet donc de travailler sur n’importe quel form at d'image, à condition de posséder le Datatype correspondant. Prenez garde si vous vous trouvez en du niveau de configuration de chaque outil. La notion de projet permet de définir une image dans un format propriétaire qui contient des calques (layers). Ceuxci donnent le moyen de définir une image, de même que la superposition de plusieurs autres illustrations. Une fois satisfait du résultat, il est alors possible de sauvegarder l'image dans le format graphique de votre choix. Elle contiendra donc la totalité des plans que vous avez sélectionnés dans votre projet. Le système de sélection d’une partie de l’image est extrêmement puissant dès lors que l'on prend conscience de ses Ce logiciel est donc assez complet pour une version 7.7 ; on regrettera cepen dant quelques lacunes, comme la ges tion des brosses à la DPaint et l’impossi bilité d'utiliser un des effets des AddOns avec une option de dessin. Malgré tout au prix de USS20 (110 FF), on ne saurait hésiter encore à l'acheter. Fabrice Mansat fmansat@amiganews. com A r t P a i n t v i . 1.0 Statut : Shareware à US$20 (110 francs) U RL: http://www.helsinki.fi/-hsuhonen/art paint/ En hausse Intuitif et très convivial A Pas cher ▲ En baisse Ne libère pas toute la mémoire lors de la fermeture d'une image La puissance de certaines options en fait des usines à gaz Note T V ★ ★ ★ ★ RaystormPPC 2 Arrivé tout récemment en version PowerPC, Raystorm est un logiciel de création d'images de synthèse, qui prend désormais toute sa dimension. P volumes de base (cubes, sphères, tri ar rapport à la galerie d'outils com m erciaux qui existe dans angles, cylindres...) sont accessibles à le d o m a in e du r a y tra c in g , la souris et tous les effets de rendu clas Raystorm offre pour principal avantage siques répondent présents (sources de d'être un shareware (la version enregis lumière, reflets, transparences, flous...). Par ailleurs, le calcul du rendu prend lit trée co û te m oins de 1 0 0 fra n c s ). D 'autre part, il dispose de tous les téralem ent son envol depuis que le logiciel a été recompilé pour proces atouts des ténors du genre : quatre vues p erm etten t de m o déliser des seurs PowerPC : même les images les objets 3D sous différents angles, les p lus c o m p le xe s ne p re n n e n t que quelques secondes à calculer ! P laisir de créer Mais le réel point fort du logiciel tient dans son e rg o n o m ie. La version 2 donne désormais le moyen de visuali ser le projet sous forme d'arborescen ce : une texture appartient à un objet, qui fait lui-même partie d'un squelet te. Les élém ents n'en sont que plus m an ip ulab les. Autre n ouveauté, la représentation en temps réel des tex tures app orte un véritab le co nfo rt d 'u tilis a t io n . M ie u x, de la m êm e manière que POV, Raystorm conçoit ses scènes sous la form e de scripts. Aisém ent éditables, ceux-ci sont en fait écrits avec un jeu d'instructions de quarante-sept com m andes que l'on peut intégrer dans du code Arexx. Et que les soucieux de la standardisation ne s'inquiètent pas : Raystorm relit les objets 3D Studio, les textures mathé matiques d'Imagine et dispose même d'une version totalement compatible sous W indows. Seul regret : il n'y a pas de module d'animation. Yann Serra R a y s t o r m P P C 2.2 Statut : Shareware Source : http://www.uniulm.de/~s_mhesse/raystorm.html A A A ▼ En hausse M odeleur et raytracer Ergonomie Standardisation En baisse Pas de module d'animation Note ★ ★ ★ ★ Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Deux secondes de calcul su r un PPC ! capable de compresser et de découper en morceaux ses sauvegardes. Celles-ci prennent de ce fait moins de place sur un disque et peuvent même être stoc BackMan est un logiciel de backup kées sur plusieurs disquettes. Pourvu pour Amiga qui reconnaît de d'une interface graphique du plus bel multiples supports de sauvegarde. effet, Backman utilise des algorithmes de compression XPK qui permettent ■ etez toutes vos solutions de sauved'obtenir une archive trois fois plus ■ garde de disques durs qui demanpetite que la taille originale de tous les B d e n t 800 disquettes ou qui mono fichiers à sauvegarder. Autre point posi polisent tout un autre disque dur : tif, le logiciel offre le privilège d'écrire le BackMan arrive ! Développé par l'italien backup du disque dur comme un seul Flavio Stanchina, Backman est un outil gros fichier (facilement manipulable), directement sur un enregis o ! BackMan S I E31 S i treur de bandes (en SCSI) ou sur des disquettes. Là réside la principale puissance de Backman. Les "disquettes" qu'il reconnaît correspon BackMan i .5 (05.10.3S) dent en fait à n'importe quel Copyright o 1 394-98 Flavio Stanchina su p p o rt a m o vib le : d is quettes DD et HD, bien sûr, Restore Backup mais aussi cartouches Zip, Compare Q jîï jaz, Syjet, Nomaï ou autre ! Lo rsq ue la carto u ch e est lape utilities... Configure... remplie, le logiciel demande About... Quit simplement l'insertion de la suivante ! Le menu de démarrage. BackMan Sécurisé Logiciel moderne, Backman reconnaît en outre le protocole MultiUser, qui définit la propriété de chaque fichier. Chaque utilisateur a alors la possibilité de faire ses propres sauvegardes et de les sécuriser par un mot de passe. Dans la pratique, il est également tout à fait envisageable d'enregistrer un jour une sauvegarde totale du disque et de n'en registrer, le lendemain, que les nou veaux fichiers. Ce miracle se produit grâce au bit d'archivage d'AmigaOS, dont BackMan peut se servir de façon automatique. Yann Serra B a c k M a n 1.5 Source : Aminet Statut : Hareware En hausse Interface intuitive Algorithmes XPK Enregistrement sur cartouche En baisse Rien Note ★ ★ ★ ★ ★ A A A ▼ Sus* 5 3 La distribution "sage" de Linux dans sa nouvelle m outure : évolution ou révolution ? Fichier Configurations Options Langue Souris Clavier Carte graphique Moniteur Ecran Visualisation du clavier Modèle Langue ffP P ffflffPFP C ” French German Hungarian Itaiian Japanese _i Élimination des touches mortes Appliquer Continuer » fournis sur les trois CD d'installation (le dernier CD contient un système de fichier "live"). Enfin, le packaging du logiciel inspire vraiment confiance et la documentation papier s'avère effi cace. Des d é fa u ts ? La version 5.3 ne rajoute pas, et on ne saurait s'en plaindre, de défaut m ajeur à la distribution allem ande. Elle n'en retranche pas pour autant : le système de fichiers est toujours non standard, par exem ple. Si Yast per m et d'assum er dans des conditions trè s c o n fo rta b le s l'a d m in istra tio n basique du système (petit réseau local ou station autonom e), ses limites se voient rapidement atteintes en matiè re de "passage à l'échelle". Le plus étonnant reste l'absence de certains paquetages démocratisés par d'autres d istrib u tio n s. Le p rin cip al chaînon m a n q u a n t se n o m m e eg cs (p a r exemple patché avec pgcc), qui com plète parfaitement gcc pour les opti misations et le support du C++. Enfin, le caractère commercial de cette dis tribution est une arme à double tran chant. Elle s'avère parfaite pour les entreprises désirant passer à Linux (il ne s'ag it pas d 'u ne licence C PU ) ; cependant, les "passionnés" préfére ront peut-être une distribution plus avant-gard iste et to talem ent libre. Reste à considérer les débutants, qui choisissent très souvent la Red Hat m ais p o u rra ie n t au ssi te n te r leu r chance avec la Suse (l'investissement est vraiment ridicule pour un système complet avec des centaines de logi ciels optionnels)... Freci Pesch Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM jirtfvother Server is active runniny sax there. dayobahi/root * |ûa9ûCah;/root » dasot>ah:/roût * xwd -xy -root ûasoc>ah:/rûot » xwd -xy -root i tee suse.xwd 1 /ciev/null ibash; /dev/null: Permission denied Sax : configuration simplissime. D ès l'installation et jusqu'à l'ad graphique (l'un des points sensibles ministration, voire l'utilisation, des distributions) se trouve prise en le système Linux vu par Suse charge par l'utilitaire Sax, qui détecte fo nctio n n e à m erveille. Q uand les on cartes directement sur le bus PCI. connaît la difficulté qu'il y a à bâtir M alheureusem ent, un prem ier essai une distribution de Lin ux, on peut sur un portable Texas a tout de suite s'étonner de la stabilité étonnante de révélé quelques lim ites aux p réd ic la Suse. Ceci ne concerne bien sûr tions de Sax, notam m ent en ce qui a u c u n e m e n t le n o yau lu i-m ê m e co n ce rn e les fam eu ses d o t clo cks (extrêm em ent stable) mais l'environ (remarquez, l'installation de Windows n e m e n t lo g ic ie l : o u tils de b ase, 9x ne se passe pas bien non plus !). bibliothèques et paquetages option L'initiative est cependant louable et nels. En quelques mots : tout marche on attend une version libre de Sax et ce n'est pas la version 5.3 qui vien livrée avec XFree86. Les paquetages dra ternir le tableau. Iib c6 fo n ctio n n e n t désorm ais sous Les ra iso n s du su ccès Suse, mais tout le système repose sur Par comparaison avec la Red Hat ou l'ancienne Iibc5. La raison se montre la Debian, la Su se fait office de distri sim ple : la libc6 (ou g lib c pour les bution sage, évo lu an t do u cem ent intimes) se trouve encore en version mais sûrement. Ainsi, dans la dernière beta (ce qui n'empêche pas la Debian version, on notera premièrement une 2.0 d'être parfaitement stable). Bref, il installation encore plus facile (et que s'agit d'une simple mise à jour sans plus personne ne vien n e d ire que b o u le ve rsem e n t m aje u r, m ais qui Linux est complexe à installer !) et en prend toute sa valeur si l'on s'intéres français. La configuration de la carte se aux nombreux paquetages récents S u s e 5. 3 Statut : Commercial Site web : http://www.suse.com En hausse Installation simplissime Yast offre simplicité et robustesse Sax : une aide prometteuse pour les cartes graphiques Support partiel de la libcô En baisse V Paquetages compilés en libcS V Pas de paquetage egcs V M ise à jo u r un peu trop "sage" Note débutant/Entreprise A A A A y c ' k v c i c * Note expert Linux R a m p lify Un nouveau souffle pour les Archimedes am plify est un utilitaire dont B r f ^ n o u s avons déjà parlé lors de I ^ A sa sortie, mais sans citer ses possibilités et avantages. Parmi eux, on retiendra surtout qu'il bloque une tâche, recopie la mémoire que celle-ci utilise sur le disque dur et la libère. Cet utilitaire ne mobilise que 62 Ko en mémoire et fonctionne sans pro blèmes sous Risc Os 3.1. Basculer une tâche sur le disque dur s'avère relati vement rapide, mais tout dépend évi d em m en t de la vitesse du disque. L'a v a n ta g e im m é d ia t est d 'é v ite r d'avoir à quitter une application pour libérer temporairement de la mémoi re. L'usage de Ramplify devient vite un a u to m a tis m e su r les v ie ille s machines, équipées de 2 ou 4 Mo de Ram. Ramplify dispose de quelques fo nc tions plus sophistiquées : si l'on ouvre un d o c u m e n t te x te alors que l'application !Edit est basculée sur le disque dur, Ramplify la rechargera automa tiquement en mémoi re... Cela évite de lan cer d'autres sessions d'Edit, par erreur. On peut égalem ent défi nir une liste de tâches ne d e v a n t pas être traitées via Ramplify, ou devant s'effectuer d'une façon différen te. Il y a même moyen de créer une liste d 'ap p licatio n s qui seront blo quées sur le disque après un certain temps d'inactivité. Ramplify se montre simple, peu gour mand en mémoire et vraiment effica ce. Il est disponible pour moins de 300 francs chez Werewolf Software, d o n t le site W eb ré sid e su r http://w w w .w erew lf.dem on.co.uk. Il ne se révèle pas indispensable sur les Risc PC, où la mémoire est aisément extensible, mais constitue une alter n a tiv e sim p le au g e stio n n a ire de mémoire virtuelle, sur les Archimedes. David Feugey Ramplify Statut : Commercial En hausse Le meilleur moyen d'augmenter la mémoire de son Archimedes Utilisation simple A A A ▼ Rapide et efficace En baisse Quasiment inutile sur Risc PC Note Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Occupation mémoire après le 'blocage' d'Arcweb. M K D raw La 'moulinette' à Drawfiles [kdrawf se présente comme un outil permettant la création Ide Drawfiles. Rappelons que Draw est l'outil standard de création de dessins vectoriels sous machines Acorn. La puissance de Draw donne le privilège d'effectuer des tâches plus complexes qu'un simple dessin, comme du dessin technique ou une petite Pao. Mkdrawf constitue un langage compilant un source texte en fichier Draw. L'intérêt premier est qu'il offre le moyen de multi plier les capacités de Draw, car il devient envisageable de dessiner une courbe mathématique, une courbe fractale ou des motifs et dégradés complexes. Il se montre à la fois plus puissant et plus concis que le module DrawBasic. Le deuxième avantage de Mkdrawf vient de la possibilité d'interfaçage avec un autre langage de programmation. Dans un programme, au lieu de dessiner un Drawfile, il suffit de créer un script le décrivant et de le compiler en fichier ★ ★ ★ D raw via M kdraw f. Voilà un bel exemple de puissance. Cependant, Mkdrawf souffre d'une interface utilisateur minimaliste , m ais b énéficie m algré to u t d'une d o cum entatio n et d'exemples bien faits. Le source du logiciel est fo u rn i, ce qui constitue encore un bon point pour l'auteur. Mkdrawf revêt la Difficile à réaliser à la m ain... Plus aisé avec M KDrawf. forme de deux modu les, Mkdrawf et Decdrawf, et d'une inter MkDrawf face pour le Wimp. Decdrawf permet de transformer un Drawfile en script... Cela Statut : Freeware peut toujours servir pour affiner un En hausse IMultiplie les fonctionnalités de fichier Draw tracé à main levée. Draw Mkdrawf est donc un outil indispensable, aussi bien pour le créateur, le scienti Taille du module Documentation fique que pour le programmeur. Voilà En baisse un vrai bijou, disponible sur le site Web de l'au teu r, G areth M cC au g h a n , à Interface 'légère' Langage encore perfectible l'adresse : http://g. pet.cam.ac.uk/~gjml 1/softwa Note re, html ★ ★ ★ ★ ★ David Feugey A A A ▼ ▼ SoundTracker 0.0.5 Depuis l'avènement du toolkit GTK, on voit fleurir sous Linux un nombre impressionnant d'outils plus puissants les uns que les autres. L'un des plus novateurs et des plus attendus est SoundTracker. pistes. Ajoutons tout de même que tous les effets propres aux modules, fade-in, fade-out, echo, flangers ou encore phasing, sont d'ores et déjà im plém entés. A nous les affres de la créatio n ! Soun dTracker est très prom etteur, mais encore très instable, ce qui n'a rien d 'é to n n an t, vu le num éro de version (0 .0 .5 ). Il arrive en effet fré quem m ent que ce tracker bute sur Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM bOOm bOOm bOO m ... Le strict minimum. Q uel ancien habitué du DOS basses sur la piste (ou track) numéro et des ses petits outils indis un, les instru m en ts sur la d eux et p e n s a b le s n 'a pas c o n n u ainsi de suite, créant alors une base ra sa ra cke r ? Encore aujourd'hui,dece h u it tem p s su r un p a tte rn . En logiciel d'édition m usicale reste ad und itio n n a n t de cette m anière les standard indétrôné. Les utilisateurs p a t te rn s les u n s a u x a u t r e s , on de L in u x o n t lo n g te m p s atte n d u a b o u tit à un m o rc e a u m u s ic a l qu'un soft de ce typ e v o it le jo u r répondant parfaitem ent aux règles so u s le u r s y s tè m e f a v o r i. C 'e s t rythm iques les plus simples. aujourd'hui chose faite : le nouveau venu s'appelle SoundTracker. SoundTracker a été program m é avec M ais qu'est-ce d o n c ? la lib ra irie G tk . Rien d 'é to n n an t à Le SoundTracker apparaît comm e un cela quand on sait to ut ce que ce des élém ents phares pour la créa to o lk it a a p p o rté en m a tiè re de tion d'une démo ; il s'agit aussi d'un d é velo p p e m e n t à la co m m u nauté o u t il p r o v id e n t ie l, ré s e rv é a u x Lin u x. Com m e pour tous les outils a rt is t e s d é s ire u x de c r é e r une issus de cette lib rairie, la co m p ila m u s iq u e , e t d é p o u rv u s de la tion se révèle d'une facilité décon m oindre co nn aissan ce de solfège. certante ; un simple "make" suffira a In u tile de p ré c ise r q u e les style s fournir l'exécutable en bonne et due m usicaux de prédilection des utilisa form e. teurs de ce typ e de co m p ositeurs SoundTracker reprend donc l'interfa so n t a v a n t to u t la T e c h n o so u s ce b ie n c o n n u e d e s fé ru s de toutes ses fo rm es, ainsi que toute "m odules" m u sicau x : gestion des musique arrangée autour d'un ryth patterns, fo nctio ns de sauvegard e, me binaire. Le concept est comm un chargem ent et m odification, oscillo à tous les Soundtrackers : huit pistes sco p es p ro p res à ch aq u e p iste et ou p lu s c o n s titu e n t un p a t te rn . édition desdites pistes. Les habitués L'addition d'un certain nom bre de rem arqueront cependant la faiblesse patterns com pose un m orceau (ou des p o ssib ilités de tra ite m e n t des m odule). On posera par exem ple les échantillons et des opérations sur les G raphique e t p ra tiq u e des modules pourtant assez légers. De plus, on p erço it la fé b rilité de l'interface : SoundTracker effectue un rafraîchissement de tout le frontend, pour mettre à jour les oscilloscopes ou l'éd ite u r d 'é ch a n tillo n s, ce qui crée un effet assez psychédélique. Notons que son créateur a pleine m ent conscience des problèmes que co nn aît son logiciel et que la liste des changem ents et améliorations à apporter est colossale. Emile Heitor - [email protected] Sou n d T r a c k e r Sta tu t : CPL Source : http://w w w .tuh arbu rg.de/-sem k2 704/soundtrac ker/ En hausse A A A V V Ü existe enfin ! L'interface ravira les habitués Support des filtres XM En baisse Plante encore beaucoup Rafraîchissement très pénible Note ★ ★ ★ DUCHET COMPUTERS 5t Saint-George Road - CHEPSTOW - NP6 5LA - Angleterre T é l:0 0 44 1291 625 780 <8 h à 19 h lundi - samedi) Fax: 00 44 1291 627 046 ( 2 4 h / 2 4 ) Ligne téléphonique directe en français MINITEL 361 6 AZERTY rubrique DUC LA S E U L E A D R E S S E P O U R V O U S FO U R N IR D IR E C T E M E N T EN A N G L E T E R R E ! NOUS NE PRO POSO NS JA M A IS D ES A R T IC L E S QUI N 'E X IS T E N T P A S OU QUE NOUS N 'A VO N S P A S EN INVENTAIRE DU MATERIEL AM IGA DISPONIBLE (Prix en Francs Français, T .T.C . port compris) Interface PCMCIA SC SI2 Hisoft SU RF SQ UIRREL (A 1 2 0 0) 745 TECHNO SOUND TURBO 2 stéréo (F) Compatible AMIPHONE TCP 285 Adaptateur pour brancher les manettes analogues PC sur AMIGA: 4 5 F - les 2: 80 HOUSSE AMIGA 500/600/1200 (PRECISEZ SV P) 25 F - 3 pour 50 Câble série (1.80m ) pour relier 2 Amigas (pour jeu x, transferts, e tc ...) 95 CARTE SÉRIE HYPER RAPIDE W H IPPET PCM CIA (A 600/1200) 425 INTERFACE MIDI PROMIDI [in - through - out x 2 + câble + softw are + manuel] 215 Câble pour moniteur 1084 S (2 mètres) 100 F - pour 1084 SPI (2 mètres) 115 LECTEUR INTERNE AMIGA 500 285 LECTEUR INTERNE AMIGA 600 / 1200 [PRÉCISEZ SV P] 285 Connecteur pour 2 manettes port joystick 45 KIT [avec software + câble multi-standard 2 mètres] de transfert de fichiers AM IGA < = > F Extension mémoire 1 Mo pour Amiga 600 275 F F ■•-‘SO URIS AMIGA 125 F - 2 pour 220 F - 3 pour 300 F F Câble Péritel 2 mètres pour tous Amigas: 95 F - 2 pour 150 F F Câble Péritel pour CD32 [modèle avec 3 fiches banane] 95 F F QUADRUPLEUR de M AN ETTES: 50 F - 4 pour 150 F F Carte AU RA 16bit PCM CIA (A 600/A 1200) 695 F F Carte A U RA 8 bit -tous Amigas295 F F Câble pour moniteur 1084 D (2 mètres) 125 F F Câble pour moniteur Philips CM 8833 Mk2 (2 mètres) 115 F F Câble double rallonge ports souris et joystick 45 F F ALIMENTATION 220/240V POUR CD 32 225 F PC (doc. F): 120 F - Kit avec câble 5m : 145 F - avec câble 10m: 165 F COPIEUR "HARD": XCOPY PRO + Interface CYCLONE (doc en français) 250 F DATA SWFTCH pour A M IG A 5 0 0 , 6 0 0 , 1 2 0 0 , 2 0 0 0 , 3 0 0 0 , 4 0 0 0 , e t c ... avec Perm et d e r e l ie r p l u s ie u r s p é r ip h é r iq u e s a u m êm e p o r t d e v o t r e c â b le GRATUIT de r a c c o r d sp é c ia l pour AM IGA A m ig a - p o u r p o r t sé rie o u p o r t im p rim an te — p r é c is e z , s v p - DATA SWITCH POUR CONNECTER 2 PÉRIPHÉRIQUES: 145 FF DATA SWITCH POUR 3 p é rip h é riq u e s: 175 FF DATA SWITCH POUR 4 PÉRIPHÉRIQUES: 185 FF LES DATA SWITCH SONT ENVOYÉS PAR PAQUET SÉPARÉ JOYPADS / JO YSTICKS / M AN ETTES DE JEU SPÉCIALS A M IG A ACTION PAD (JOYPAD) - Amiga seulement 125 F - 2 pour 220 F EXECUTIVE MINI JOYSTICK (LORICIEL) 59 F ERGO STICK (SUNCOM) - TYPE "SPEEDKING", SE TIENT DANS LA MAIN . . 119 F Q STICK (SUNCOM) JOYSTICK DE PRÉCISION 79 F J T 153 A TTA C K - JOYSTICK DE TYPE "Manche à balai" avec 2 boutons FEU + switch TIR AUTOMATIQUE RAPIDE + très long câble.................... 99 F PROGICIELS AM IGA DISPONIBLES (Prix en Francs Français, T .T .C . port compris) MAKE CD : DISPONIBLE ! CHEZ NOUS, AUCUN PROBLÈME DE STOCK ! MAKE CD PAO version 3.2a ou mieux Une garantie : nous expédions toujours la toute dernière version Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Progiciel pour graver les CD ROMS. Permet -entre autres- les copies directes de CD à CD en 1 seule opération Version complète enregistrée, localisée français, manuel imprimé: 3 9 5 F T T C port compris CINEMA 4D v4 [CD ROM] pack complet contenant également CINEMA WORLD et CINEMA FONT PHOTON PAINT 2.01 GP FAX v 2.350 TERMITE TCP GAMESMITH HISPEED PASCAL (dernière version) DELUXE PAINT 5 [CD ROM] 65 375 295 395 395 195 F F F F F F G .F .A . BASIC 3.51 (avec manuel technique de 420 pages) 95 D EVPAC 3 .1 8 68000/ 020 / 040 / COPRO 395 HISOFT BASIC 2 (dernière version officielle de Hisoft) 395 NET & W EB (Contient IBROWSE 1.22+ complet + MUI) 295 IBROWSE -version 1.22+ complète- contient MUI 3 .8 + 245 ULTIM ATE BLITZ BASIC 2.1 [CD ROM] 195 F F F F F F 825 F DIRECT. OPUS 5.661 MAGELLAN BLITZ BASIC 2.1 B.u.m. 9 a /9b 10 a /10b (4 disks) B.U .M . 5 16 17 18 (4 disks) B L IT Z S U PPO R T SU ITE (3 D IS K S) DELUXE PAINT 5 [DISKS] 495 F 175 F 65 40 110 195 F F F F 125 125 . 55 125 125 . 75 . 45 . 95 . 95 145 . 75 55 . 45 . 65 . 95 . 35 F F F F F F F F F F F F F F F F SO U N D PRO BE 16-bit (Hisoft) Progiciel de digitalisation sonore et m usicale. Seulem ent . .. . 195 F TOUS LES JEUX CI-DESSOUS SONT EN STO CK ! (Prix T.T.C. port compris): A LIEN BREED 3 D 2 Killing Grounds A -3 2 0 A IR B U S I I ....................... B-17 FLYING F O R T R E S S -500/600BLITZKREIG (W A R G A M E ) ......... BLO O D N ET (F) - A 1 2 0 0 ............. BLO O D N ET (F) - A 5 0 0 + /A 600 . . BUBBLE & S Q U E A K -A 1 2 0 0 ... BUBBLE & S Q U E A K -A 6 0 0 ........ C H A O S ENGINE A G A -A 1 2 0 0 . . . C IV IU Z A T IO N ........................... C R IM E D O E S N O T P A Y (Titus) . . . C O LO N IZA T IO N ( F ) ................... D ESER T ST R IK E ....................... DOG FIG H T (Microprose) ........... DUNE 2 .................................. Dungeon m a ster 2 (VF) A 1 2 0 0 . . ELITE 2 (Version Française) ........ E volution H U M A N S 3 (F) A 1 2 0 0 . 145 135 125 . 45 110 110 . 65 . 65 . 65 115 . 45 125 . 95 . 95 115 . 95 125 . 95 F F F F F F F F F F F F F F F F F F E X IL E - A 1 2 0 0 ........................... 7 5 EXILE - A 6 0 0 ............................ . 7 5 F-15 II (M ic ro p ro se )..................... 1 2 5 F-19 STEALTH FIGHTER -A 5 0 0 / 20 0 0 . 1 2 5 FIE LD S O F G LO R Y (W B 2 + ) _____ 1 2 5 FIE LD S O F G LO R Y -A 1 2 0 0 ......... 1 2 5 G U N SH IP 2 0 0 0 ........................... 1 2 5 Impossible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 6 0 0 . . 9 5 Impossible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 1 2 0 0 . 9 5 J A M E S P O N D 2 (F) -A 1 2 0 0 ........ . 3 5 M IC R O P R O S E G R A N D PRIX F I . . . 1 1 5 M IN S K IE S the Abduction -A 1 2 0 0 . . 8 5 N IC K FA L D O G O L F ..................... . 3 5 N IG H T H A W K F -1 1 7 A 2.0 -v 3.01 . 9 5 O D Y S S E Y A 6 0 0 / 1 2 0 0 ................. . 7 5 P G A EU RO T O U R G O LF - A G A - ------ . 4 5 P IN B A LL F A N T A S IE S A G A - A 1 2 0 0 . 6 5 P IN B A LL IL L U SIO N S (F) A 1 2 0 0 . . . . 9 5 F F F F F F F F F F F F F F F F F F P LAY ER M A N A G E R 2 ( A N C O ) ____ P O W ER D RIV E ( F ) ....................... P R IM A L RAG E ........................... R A IL R O A D T Y C O O N ................... R O A D R A S H .............................. S E N SIB L E G OLF ......................... S E N SIB L E S O C C E R EU RO C H A M P . S E N SIB L E W O R L D OF S O C C E R . . . S H A Q FU -A 1 2 0 0 - ..................... SIL E N T S E R V IC E 2 ..................... SK E LE T O N K R E W (F) - A 1 2 0 0 -----S P E C IA L F O R C E S (M ic ro p ro se )____ S T A R L O R D (Microprose) .............. S T R E E T R A C E R [A 1 2 0 0 non-Escom] S U P E R S K ID M A R K S - A 1 2 0 0 ........ SUP ST. FIGHTER 2 TURBO(F)-A1200 S U P E R T E N N IS C H A M P I O N ......... T E S T A M E N T - A l 2 0 0 / 4 0 0 0- ........ 95 35 95 125 95 95 75 95 60 125 75 95 95 125 85 95 75 125 F F F F F F F F F F F F F F F F F F T H E M E P A R K -A 1 2 0 0 ............... T H E M E P A R K -A 6 0 0 ................. T U R N IN G P O IN T S -A 5 0 0 - ........... U.F.O. (A 6 0 0 ) .......................... U.F.O. (A 120 0 ) ........................ V IR T U A L KA R TIN G -A l 2 0 0 (F) . . . W H IT E D E A T H (W A R G A M E ) ....... W IN G C O M M A N D E R .................. W O R M S (VF) ............................ W O R M S Director's Cut -AGA- ____ X T R E M E R A C IN G -A 1 2 0 0 - ......... Xtreme Racing A G A : 2 D A T A D IS K S ZEE W O LF 1 (NF) ...................... Z EE W O LF 2 Wild J u st ic e ............. Z EE W O LF 1 + ZEEW O LF 2 ......... Z O O L (F) - A 5 0 0 / 6 0 0 ................ C O M P IL A T IO N (2) A 1200: F E A R S + R O A D K ILL + LEG ENDS (F) . 145 F SELECTION JEUX AM IGA CD ROM et CD 32 (Prix T .T.C . port compris) - Les "CD ROM" sont pour Amiga 1200/4000 + lecteur CD BRU TAL P A W S OF FU R Y (VF) . . . . . 5 0 B U B B A 'N 'S T Y X ( F ) ................. . . . 4 5 C A ST L E S 2 ............................ . . . 4 5 Alfred C H IC K E N ( F ) ................. . . . 3 5 C H U C K RO CK 1 ( F ) ................. . . . 5 0 C H U C K RO CK 2 ( F ) ................. . . . 6 5 C IV IU Z A T IO N A G A [C D R O M ] . . . . 1 2 5 F F F F F F F ELITE 2 ................................ E V O LU T IO N H U M A N S 3 (F) . . . E X I L E .................................. G U A R D I A N ........................... HUM ANS 1 + HUM ANS 2 ... LE G E N D S ( F ) ......................... LIB E R A T IO N C A P T IV E 2 ........ ... ... ... ... ... ... ... 95 95 50 75 45 95 70 F F F F F F F M A R V IN M A R V E L L O U S ................. M E A N A R E N A S ( F ) ....................... N A U G H T Y O N E S ........................... P R EM IER E (F) ............................... S O C C E R K I D ................................ S P E R IS LE G A C Y (Doc F) CD32/CDROM S T A R C R U S A D E R [ C D R O M ] ........... 45 45 60 45 50 95 95 F F F F F F F ST R E E T R A C E R [C D R O M ] ......... 125 SU P E R LEAG UE M A N A G E R ....... . 75 S u p e r S t r e e t F ig h t e r 2 T u r b o (F) . . 9 5 T H E M E PARK [ C D R O M ] ............. 125 U L T IM A T E G L O O M [C DR O M ] . . . 1 25 U L T IM A T E S K ID M A R K S [CD ROM] 1 25 W O R M S (VF) C D 3 2 et C D R O M . . 1 25 F F F F F F F Pour un envoi immédiat d'articles ci-dessus (règlement par carte internationale V IS A J EURO C ARD ): téléphonez-nous (pas de panique, notre personnel est FR A N Ç A IS), ou faxez votre commande signée avec détails de votre carte bancaire. Par Minitel: 3 6 1 6 A Z E R T Y puis DU C . Ou rédigez (EN F R A N Ç A IS SV P) sur papier libre et joignez votre règlement. Nous acceptons les chèques ordinaires français, les chèques La Poste Français, les cartes internationales V IS A et EU RO C A RD , mandats internationaux (ou Eurochèque en sterling si vous n'avez pas de chéquier Français). Notre catalogue complet vous est envoyé -gratuitement- avec votre première commande. Si vous désirez recevoir un catalogue CO M PLET afin de faire votre cho ix, écrivez-vous en FRA N Ç A IS S V P et joignez 6 timbres à 3 FF ou 4 C .R .I.; précisez votre configuration exacte, ou nous ne pourrons pas donner suite à votre demande. TO U S NOS PRIX SO N T T .T .C et PO RT CO M PRIS TRA N SA C TIO N MINIMUM 100 FF N O VEM BRE 1 9 9 8 - Stock et prix valables pour la durée de publication du magazine - Toute commande est considérée comme ferme. Nouveau! Passez votre commande par email -> ventes@ duchet.globalnet.co.uk Langage Présentation de Scheme De plus en plus indispensable dans le monde de Linux, Scheme a le vent en poupe. Raison de plus pour découvrir ce langage hors du commun ! cheme est né en 1975 dans un laboratoire du M IT. G uy Steel jr . et Gerald L. Sussman cherchaient un langage parfait pour l’enseignement de la programmation et rien de ce qui existait à l'époque ne les satisfaisait. Finalement, les deux chercheurs décidèrent de créer leur propre langage destiné aux étudiants. L'idée consistait à reprendre la philosophie du lambda-calcul popularisée par Lisp, tout en dotant leur futur mode d'expression d'une syntaxe beaucoup plus rigoureuse et plus simple que celle des autres dialectes de Lisp. Le nouveau langage devait s'appe ler "Schem er", en l'honneur du célèbre mathématicien, mais le hasard voulut que FOS utilisé pour son développement n'ac ceptait que six caractères pour un nom de fichier, tronquant ainsi le r final ! Pour cette unique raison, Scheme s'appelle "Scheme", et Schemer est aujourd'hui un surnom '‘S onné à ceux qui programment dans ce langage. S La fo n c tio n n a lité La programmation fonctionnelle part d'un constat simple : puisque n'importe quel code dans n'importe quel langage a pour but de lire des entrées et/ou de produire des résultats, autant ancrer cette idée directement dans le langage. Le leitmotiv est que le programmeur doit dire ce qu'il faut calculer, et non la manière dont il doit le calculer. Pour l'instant, regardons à quoi ressemble un programme Scheme. Essayez de lancer un interpréteur Schem e (cf. encadré) pour saisir les exemples triviaux suivants. Commençons par entrer : qu'il n'y a pratiquement rien d'autre à savoir pour commencer à programmer en Scheme ! Dans ce langage, tout est fonction ; les "commandes" ou "mot clés" se révèlent peu nombreux et, avouons-le, s'utili sent très rarement (à l'exception de "lambda" et "define"). Bien sûr, un grand nombre de fonctions est prédéfini, mais le principe reste toujours le même. Quant aux variables, elles peuvent être créées avec la commande "define" : (define pi 3.14) Dès lors, l'expression (* 2 pi) a pour valeur 6 .2 8 . Mais remarquons qu'un langage comme Scheme ne permet normalement pas de modifier la valeur d'une variable ; il n'y a donc pas d'affectation, ni d'incrémen tatio n , ni rien de te l. Inacceptable lim itatio n ? Pas du to u t : en fa it, on démontre mathématiquement que ce lan gage peut calculer tout ce qui est calculable et s'avère donc absolum ent universel. Voyons encore la commande "lambda" : elle donne le moyen de créer une fonction, (lambda (x) (* x x) ) Le premier argument de "lambda" est la liste des arguments, le second argument, la formule à calculer. Cette fonction calcule donc le produit de x par lui-même, c'est-àdire le carré de x : Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM (+ 1 2) Nous avons une liste de trois éléments : la fonction + et les nombres 1 et 2. Scheme évalue une telle liste en appliquant la fonc tion qui se trouve en tête aux autres objets de la liste. Cela consiste ici à appeler la fonc tion + avec les arguments 1 et 2 ; le résultat est donc 3. Le plus surprenant vient de ce ((lambda (x) (* x x) ) 5) Il vaut donc 25 (on applique la fonction à l'argument 5). Pour l'utiliser plus simple ment, affectons-la à une variable : (define carre (lambda (x) (* x x) )) Image: jayne.jpeg-2 Il est désormais possible de calculer (carre 5), (carre 50), (carre 1000000000) etc. Layers Jchannels S im p le, m a is p u issa n t ! Mode: Normai Opacity: I ra > jr n eackground Scheme présente des caractéristiques origi nales. Par exemple, une fonction est une "valeur" comme n'importe quoi d'autre i» a portable library ror cba 'progeamng laaguag» 'Schamev It provido» a platrora indapanoent frajuvock for ueing "pack*.;»»' of Scbaae procédure» and ayncax A» <li»wibuced. S.XB contain» uaaful package» for ail laploaancations Xta eataloç can be tranaparantly axtandad to accoaodata packages spécifie to a site, lapleaentetion. user, or directory. Aubrey Jaîrer <jaffer*Al.»lt edu> Hyperactive Software - 3be Hamac Insidel bttp://www-»wi»a al.ait. e4u/-3»rfor/S.IS. btal GIMP Tip of the day Most plug-ins worfc on me currem layer of me current image, m some cases, y ou wiil nave :o marge ail layers (Layers- >Fiatren Image) if you want me plug-in îo wor* on me wnole image. r Show tip next urne (xterm... j 0 Prev.Tip| NexiTip| Ciosej (fiie/n... | <# (/nome/... * The Gi... || » jayne.jp... Reven to Oïd Coior » Layers ...| » GlMPTi..) » Coior Dans GIMP, les plug-ins sont écrits en Scheme. La bibliothèque Stib, véritable mine d'or p o u r le Schemer ! (ajouter3 5) vaut donc 8. Elchier Edition âffichaga Signets £ache ûptions ûide Une autre particularité de Scheme provient du fait 4a Û G tfc) © ? httpVAwAv.schemer8.org que le langage n'est pas typé. Une variable peut en effet rep résenter des nombres, mais aussi des I intend thls but for a Schéma of a larger Design. --W oodw ard, Nat H/st Earth, 1723 chaînes de caractères, des (caaa (what-vould-yo'. ) fo nctio n s des sym boles ((learn) (choose-fro* textbooks ab straits (p ar exem ple othcr document ? tu to n a ls lic e n c e - w in d o w s - d e éducation)) « p ro 9r « ) guillaume-girard) ou n'im (choose-from ^ffflfB en tatio n a envie oruaente) ) porte quoi d'autre. Le prin (( ) (chooae-from research cipe consiste à ce que tout nevs a c t iv itie s ) ) fonctionne, tant que les (else opérations effectuées ont un sens ; ce n'est que lors Richard Kelsey organlzed a Scheme Strawman WorKshop In conjunctlon wlth the International Conférence on Functional qu'on évalue quelque Programmlng in September, 1998 The workshop w as a success, and we wlll have more Information on Its outcome on thls site. chose qui ne veut rien dire fDocument : terminé (par exemple (/ 1 "hello L'un des nombreux sites Scheme : http://www.schem ers.org world")) qu'une erreur se trouve signalée. La nature (cela s'appelle la "pleine fonctionnalité"). des données manipulées par un program Pour preuve, tapons : me n'est donc limitée que par la taille de la (define square carre) mémoire, ce qui reste valable même pour (define plus +) les nombres ! Calculer 10000 puissance 1 0000 ne pose aucun problèm e en On crée la variable "square" avec la valeur Scheme, alors qu'un programme en C par de la variable "carre", qui représente notre exemple produira une erreur "d'overflow". fonction. On peut donc taper (square 4) et Mais Scheme est beaucoup plus qu'une cal obtenir 16 ; de même, (plus 50 30) renvoie culatrice. La structure du langage autorise 80. Mais cela veut dire aussi qu'une fonction des manipulations incroyablement puis a une chance d'être argument d'une autre, santes que l'on ne saurait détailler ici, mais ou calculée par une fonction et renvoyée en il faut avoir à l'esprit que Scheme constitue résultat. Voici encore un exemple simple : un langage dit "réflexif". Cela signifie qu'il (define add (lambda (x) (lambda (y) ne fait pas de distinction entre le "program (+ x y)))) me" et les "données" ; au contraire, tout se voit traité de la même façon. Un program La fonction add prend un argument x et me en Scheme peut par exemple engen renvoie la fonction (lambda (y) (+ x y)), drer un autre programme pour l'exécuter c'est-à-dire une fonction qui additionne x à ensuite, ou même se manipuler lui-même ! son argument. Donc, (add 3) renvoie une Les a p p lica tio n s de Schem e Loin de symboliser seulement une bizarrerie fonction qui additionne 3 et (add -2), une fonction qui soustrait 2. du monde académique, Scheme représente peut-être le seul langage véritablement uni (define ajouter3 (add 3)) versel. Bien que toujours très utilisé dans l'enseignement, sa puissance et sa sim plicité font qu'il se trouve largement employé dans des domaines aussi variés que le multimédia, la réalité vir tuelle, l'imagerie, les bases de don nées, le développement de compilateurs, les réseaux et, bien sûr, l'intelligence artificielle. Enfin, la FSF choisit Scheme pour son interpréteur universel Cuile et a déclenché ainsi une véritable Schememania dans le monde du Free Software ! On y a recours aujourd'hui pour (5 -il |Welcome to schemers.org! ■□ X ^ c . _________________________________ Dream prof • Lam b d a calcu le Théorie mathématique développée dans les années 30, consistant à tout exprimer sousforme d'opérations sur desfonctions. Le lambda-calcul est à la base du langage Scheme. programmer les plug-ins de C imp et de Gyve, le shell Gush, le système de bases de don nées GnuSQL ou encore l'environnement GnuStep. Des rumeurs circulent même à propos d'un nouvel OS distribué, temps réel... écrit en Scheme. P o u r a lle r plus loin A ceux qui veulent se laisser tenter, on ne peut que conseiller de lire Little Schemer puis Seasonned Schemer (P. Friedman, M. Felleisen, The MIT Press). A notre connais sance, la dernière édition de ces deux ouvrages n'a pas (encore) été traduite en français, mais il s'agit probablement du meilleur cours didactique disponible. En complément, le Revised(5) Report On The Algorithmic Languoge Scheme (R5RS) consti tue le document de référence. On peut le trouver sur http://www.schemers.org, mais également sous forme de package dans la d ernière d istrib u tio n D ebian. Enfin, Internet regorge de sites consacrés à Scheme, contenant de la documentation et des bibliothèques. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Jakub Zimmerman P r o g r a m m e r en S c h e m e Les implémentations de Scheme abondent, le plus vaste choix se trouvant sous Unix et W indo w s. C u ile, le Sch em e de GNU, désigne un interpréteur conform e à la dernière norme Scheme (R5RS), doté d'une q uantité invraisem blable d'extensions, co nçu p o u r perm ettre une intégration facile avec du code en C ou en C++ et, bien sûr, distribué sous licence GPL. Rscheme représente un autre package séduisant sous Unix. Sous D O S/W indow s, outre Guile, il existe des interpréteurs gratuits de q u a lité (PC -Schem e de l'université de Genève est fort recommendable pour le débutant), mais aussi des produits payants plus ou moins intéressants (EdScheme 5.0 par exemple). Mais quelle que soit la plate forme que vous employiez, vous pourrez trouver au moins une implémentation de Scheme, http://www.schemers.org étant un bon point de départ pour chercher. Sur le CD, vous tro u verez ég alem ent des im p lém en ta tio n s p o u r les différentes plates-formes. Linux 2.2 en avant-première Plus de deux ans se sont écoulés depuis la dernière mise à jour majeure du noyau, mais Linux 2 .2 se voit enfin annoncé. Répondra-t-il à toutes nos espérances ? du format d'exécutable ELF, remplaçant le vieillissant a.out, les désormais indispen sables modules chargeables, et surtout l’avènement de distributions suffisamment abouties pour être accessibles à l'utilisa teur moyen. La version 2.0 symbolise une mini-révolution, introduisant une pléthore de nouvelles fonctionnalités, dont kerneld et les threads gérées par le kernel. La der nière évolution majeure de Linux consiste dans le passage de la libcS à la g!ibc2, mais ceci est une autre histoire... Q u a tre ty p e s de n o yau x File j=d!t View gookmarks Ife (3 £ach e options ? Beowulf Project at C E S D IS TTrfs web se rv e r Is umJer construction and It bas ju s t been transplantée! to Its new home. Please report structural probien to Phi! Merkey merKg&cesdis.asfc.nasa.çov. For the Extrême Unux CD, look here. rhe Beowulf Project was started at CE5D1S in the summer of 1934 with the assembly of a 16 node cluster developed for the Earth and space sciences project (ESS) at the Goddard Space Fllght Center ( G S F d The Project quickly spread to other NAÎ sites, other R&D labs and to universities around the world. The projeefs scope and the number of Beowulf installations have jrown overthe years; in fact, they appearto continue to grow at increasing rate. This Web-site attempts to provide an ntroduction to the Beowulf project and a distribution mechanism for contributions CESD IS continues to make to the project On distingue actuellement quatre noyaux principaux. Le 2 .0 est le premier de la nouvelle génération, alors que le 2.0 .3 5 (dernière mouture à l’heure où ces lignes sont écrites) représente la version officielle, à jour. Le 2 .1 .1 2 5 est le dernier noyau expérimental, et figure assez bien ce que sera le noyau 2 .2 . On remarquera que lorsqu'une branche du noyau 2.7 devient réellement stable, elle se voit intégrée au noyau stable. Ce fonctionnement est théo riquement contraire au mode de dévelop pement habituel, qui veut que les nou velles fonctionnalités s'ajoutent au noyau instable alors que le noyau stable ne se trouve modifié qu’en vue d’être stabilisé. Le noyau 2 .2 sera en fait un noyau 2.7, privé de ses parties litigieuses (transmises au 2.3). Contrairement à ce que représen tait le passage de la version 1.2.x à la 2.0, le futur noyau 2.2 ne constituera pas une révolution, mais plutôt une évolution de celui déjà existant. Le but avoué se résume à optimiser ce qui est déjà présent, corri ger les défauts de la version actuelle et à intégrer de nouvelles fonctionnalités, pas forcément très nombreuses mais d’autant plus impressionnantes. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM fhe site is organisée! as foüows: Linux en cluster; c'est ExtremeLinux ! es systèmes G N U /Linux sont des assem blages de p lusieurs pièces complémentaires et toutes indispen sables. Le noyau (appelé "kernel") repré sente la base sur laquelle repose tout le reste. Son rôle consiste à assurer toutes les fonctions de base du système, et sa qualité demeure par conséquent essentielle au bon fonctionnem ent du système. Voilà pourquoi le développem ent du noyau revêt une telle importance aux yeux de la communauté Linux, au point que chaque utilisateur le suive de très près. A l'heure où la sortie de la nouvelle génération approche, faisons un point sur l’état des lieux de ce qu'on est en droit d’attendre du nouveau Linux. L Un peu d ’h isto ire Tout d'abord, il convient de rappeler que les numéros de version de Linux ont une signification autre que l'avancée du déve loppement du noyau. En effet, le numéro de version est constitué de trois nombres dont le premier représente la génération, et le troisième le "patchlevel". Le second a une g rande im p o rtan ce ég ale m e n t, puisque sa parité permet de déterminer si le noyau est stable ou non. Un noyau dont le second nombre de version est pair se trouvera considéré comme stable (7 .2 , 2.0, etc.) par opposition à instable dans le cas d’un nombre im pair (7 .7 , 7.3, 2 .7 , etc.). Notons tout de même qu'"instable" ne signifie pas ici "inutilisable" mais plutôt qu'il peut poser quelques problèmes avec certaines configurations exotiques. Sans nous lancer dans un historique exhaustif des versions de Linux, passons tout de même en revue les différentes phases du noyau, de ses débuts jusqu'à nos jours. On peut réellement parler de Linux en tant que système d’exploitation à partir de la version 0 .9 9 . D epuis ce m o m en t, le nombre de développeurs du noyau ne fera qu'augmenter pour donner naissance suc cessivement aux versions 7.2 et 2 .0 , en passant évidem m ent par des moutures intermédiaires, que nous nous dispense rons de détailler ici. Traditionnellement, la version 7.2 de Linux représente l’arrivée A m é lio ra tio n s Le premier gros chapitre, très attendu, concerne l’am élioration du support du SMP. Le support déjà présent dans la ver sion 2.0.x était délibérément provisoire et pas toujours optimal. La principale évolu tion consiste donc à diminuer la "granula rité” du système, afin de permettre à plu sieurs processeurs d ’exécu ter plus de tâches en parallèle. A l’heure actuelle, cette nouvelle architecture a été réinté grée à la version 2.0 .3 5 et tout le monde peut donc d'ores et déjà en profiter. La version 2.2 quant à elle se distinguera par sa capacité à fonctionner en multiproces seurs sur des m achines non-Intel : on pense évid e m m e n t à l'A lpha et au PowerPC. Les benchmarks font état d'une amélioration sensible des performances, si bien que Linux devient ainsi un excellent OS multiprocesseurs. Nous vous en repar • - D é c o u v e r t e m lerons prochainement plus en détails. Le support réseau a fait également l'objet d'une profonde révision. La version précé dente souffrait de quelques défauts regret tab les, tels que des p erfo rm an ces médiocres dans certains cas ; en outre, comme il s'agissait d’une adaptation du code BSD, elle avait tendance à "importer" au passage certains trous de sécurité. En fait, dans la version 2.7, les couches réseau ont été en grande partie réécrites, rom pant ainsi le cordon ombilical reliant Linux à BSD. Les différences sont surtout visibles en ce qui concerne les performances du NFS, le nombre de paramètres désormais réglables et, surtout, l’introduction du très attendu protocole IPv6. A l'heure actuelle, Linux reste l’un des rares systèmes le sup portant : un avantage décisif. Les p e tits plus Parmi les am éliorations mineures mais indispensables dans certains cas, on trou vera le support en écriture du système de fichiers de WindowsNT (NTFS). On consi dérera cette amélioration comme mineu re, car c'est surtout en réseau qu'il importe que Linux puisse communiquer avec NT, (ce que fait d’ailleurs très bien Samba) et il s'avère souvent anecdotique de pouvoir écrire sur une partition N T présente sur le même ordinateur. Les utilisateurs chevron nés et avertis de Lin u x ap p ré cie ro n t d'avoir le loisir de modifier en temps réel (com prenez ici sans rebooter) certains paramètres vitaux du noyau. En effet, ceci se fera désormais par l’intermédiaire du système de fichiers virtuel /proc déjà fort utilisé. Un détail qui risque d’avoir de l’im portance vient de l’apparition d’un ges tio n n a ire des "U ser M iscellaneo us Binformats", un principe qui peut se rap procher des "datatypes" de BeOS ou des ressources de M acOS. Il s'agit en effet d'associer, via un registre accessible sous /proc, une application à un certain type de fichiers : par exemple, une JVM aux classes Java ou Gimp aux images JPEG. Il convient de noter que cela s'effectue du côté du noyau et non d’un quelconque gestionnaire de fichiers. En effet, entrer le nom d’un document sur la ligne de com mande ou simplement l’exécuter depuis n’importe quel endroit, lancera le pro gramme associé et passera à celui-ci le document à ouvrir. Grâce à l’utilisation des expressions régulières, ce mécanisme est totalement générique et remplace avanta geusem ent la précédente gestion des binaires Java. Dream p ro f • P atch level Modification mineure apportée à un logiciel, correspondant le plus souvent à une correction de bugs. • S ym m etric M u ltip ro cessin g (SM P) Architecture permettant d'exploiterplusieurs processeurs, ayant tous un statut identique. Elle ne doitpas être confondue avec le mode maîtrelesclave très en vogue sur les machines des années 70 et utilisé aujourd'hui sur Amiga. • L in u x 6 4 Sun vient d'annoncer Solaris64. qui, couplé à son Sparc64, devrait damer lepion à WindowsNT sur Merced. N'oublions pas que Linux, et ce surtout depuis l'avènement de la glibc2, est un véritable système 64 bits et exploite doncparfaitement les processeurs Sparc64. mais aussi l'architecture Alpha. Un sy stè m e p lu s sim p le Un véritable effort de simplification a été fourni pour améliorer l’utilisation du systè me. En tout premier lieu, le serveur de m odules k ern eld a été ab and o n né. Désormais, la gestion des modules se trou ve confiée à un simple thread du noyau, ce qui a l’avantage d’être bien plus léger et de ne pas nécessiter l'intervention du complexe protocole d’IPC, nécessaire au fo n ctio n n e m e n t de kern eld . C ertain s objecteront sans doute que kerneld dispo sait de possibilités que le nouveau disposi tif n’assure pas, mais puisque celles-ci n’ont jamais été réellement exploitées, autant tirer un trait dessus. De tout façon, le choix est fait. Dans la série des serveurs qu’on incorpore au noyau en tant que threads, voici NFS. En effet, le serveur NFSd habituel restant tout à fait supporté, l’administrateur se voit désormais offrir la possibilité de charger lui-même le noyau de ces fonctions. On est donc en droit d'espérer de meilleurs performances, mais n’o ub lio n s pas que le plantage d ’un module du noyau demeure potentielle m ent plus d an g ereu x que celui d ’un simple serveur... Par ailleurs, cette version simplifiera considérablement le travail des créateurs de distributions, grâce au nou veau ’’ROMfs’’ conçu spécifiquement à leur intention. Sans rentrer dans les détails, disons qu'il permet de démarrer un noyau Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM mapped IOhPIC to ffffdOOo <'X<2670"0> Detected 99,718767 Hz procesjsor. Console: colour ckmmy device 80x25 Calibrating delay loop.,. 199.07 BogoMIPS Memory: 224401/24576k available (1052k kernel code, 418k reserved> 612k data. 56k mit) Checking 386/387 couplinq... 0K. PPL1using exception 16 çrror reporting. Checking 'hit’ instruction..'. 01!. P0SIX conformance tectinq by UNIFIX CPU0: HMD15 <PR12". PP.133)'stepping 01 SMP motherboard not detected. Using dummy HPIC émulation. PCI: PCI BIOS révision 2.10 entry at 0xfb300 PCI: Using configuration type 1 PCI: Probing PCI hardware Swansea University Computer Society NET'.059 for Linu’ 2.1 NETS: Uni• domain socket; 0.16 for Linux NETS.038. Swansea University Computer Society TCP/IP for NET3.03? IP Protocol-: ICMP. IJIP, TCP Starti.ng Kswapd v 1.5 vesafb: framebuffer at 0xe0000000, napped to Oxc2OQ0OOO, îize 20481 verafb: mode r 1230x1024x8, 1in*length=l280, pages**!* vesafb: protected mode interface info at c000l7d40 vesafb: sorolllngr redraw Console: svitchinq to colour frame buffer device 160x64 fbO: VESA VGA frame buffer device loop: regirtered -device at major 7 PI 1X3: I΀ centroi 1er on PCI bus 00 dev 39 PI1X3: not 100/ native mode: wi11 probe îrqs later ideO: BM-DMHat O'fOOO-OxfOO?. BIOS settings: hda:pio, hdb:pio idel: BM-DMAat OxfOOS-OxfOOf, BIOS tettinor: hdc;pio, hddrpio hda: SAMSUNGWU33205H <3.2GB). HTH DISK drive hdb: PCX8 1F 0100- 99169 .. ATAPI CDROMdr ive ideO at 0/lfO-Oxlf7,Ox3F6 on irq 14 hda: SAMSUNG. WU33205A (3.2GB), 309CHB w/109k.B Cache. CHS=785/128/63, <U>0HA hdb: HTHPI 2X CDROMdrive, 12okB Cache Unifor*» CDROMdriver Révision: 2,14 Floppy drive<cî: fdO i-: 1.44M FIC 0 i: a post-1991 82077 ahal52x: Processing commaridlirte: ok ahal52x: BIOS test: pa-rsed, detected 1 controller(s) ahal52x.O: vital -data: PORTBflSE=0<140, IRQ=12, SCSI 11^7, recortnect=enabled, parit Un noyau 2.1 .1 2 6 en train de booter. Linux Kemel Configuration Code maturfty level options loadabte module support General setup Floppy. IDE. and other block devlces Networking options SCSI support Network device support ISDN subsystem CD-ROM drtvers (not for SCSI or IDE/ATAPI drives) Fflesystems I Character devfces Kemel hacking Save and Exit Load Configuration from Rie Quit Wlthout Saving Store Configuration to Rie Le "make xconfig" d'un Linux 2.0 .3 5 ; les options font la différence. ^ v. u v t . 1 L V. k f * S y s t è m e "minimal" et de n'activer ensuite que les modules réellement nécessaires en fonc tion des besoins, au prix d'une surcharge très faible (de l'ordre de quelques kilooctets). Lorsque ce mécanisme se verra e ffectivem en t em ployé par les p ro grammes d'installation des distributions, les noyaux incluant tous les drivers et sys tèmes de fichiers (avec tous les problèmes que cela peut poser) ne seront plus que de mauvais souvenirs. Enfin, les réfractaires au PC trouveront leur bonheur : pour la pre mière fois dans l'histoire de Linux, une fonctionnalité est apparue sur une plate forme autre quTntel avant de devenir standard pour toutes les architectures. Il s'agit en l'occurrence du Framebuffer. Ce terme barbare désigne une interface stan dard et indépendante du matériel permet tant d'accéder aux périphériques d'afficha ge. Grâce à elle, Linux dispose désormais d'un support vidéo unifié et identique sur toutes les plates-formes, ce qui signifie en clair que le code des drivers vidéo est à présent situé dans des modules du noyau, et non plus dans le serveur X ou une quel conque bibliothèque SVG Alib. A cces soirement, cela résout avec élégance le problème de sécurité potentiel lié à la nécessité d'exécuter le serveur X avec les droits root, et le risque d'égarer la console Unix par des manipulations hasardeuses. A terme, on peut donc s'attendre à ce qu'il n'existe plus qu'une manière documentée et standard d'accéder à la carte graphique. Il n'y aura donc plus une dizaine de ser veurs XFree, mais un seul, com m un à toutes les cartes et surtout à toutes les implémentations de Linux sur l'ensemble des plates-formes. Compte tenu de son état actuel, le Framebuffer ne sera peutêtre pas encore officiellement standardi sé dans le noyau 2 .2 , mais sachez que vous aurez la possibilité de l'exploiter, à condition de disposer d'un Amiga, d'un Atari, d'un Mac 68K ou d'un ordinateur muni d'une carte graphique compatible VESA 2.0. Lin u x goes d istrib u te d Eile £dit View Bookmarks £ache Options Le noyau 2 . 1.x ne fait que renforcer la tendance déjà am orcée par la version 2.0. En ef fet, depuis le sys tèm e "tra d itio n nel" ce n tra lisé , jadis constitué par la version 1 .2 .x , Linux a pris la for me d'un système high-tech où les mots d’ordre sont répartition et clustering. Dans cette perspective, le noyau 2.2 représentera un pas de géant. Outre le NFS revigoré, l’in tégration du NFSd au noyau précédem ment évoquée et le support d'IPvô, deux nouveautés de taille sont au menu. En tout premier lieu, le système de fichiers transactionnel CodaFS (présenté dans le précédent numéro de Dream) permettra à Linux de faire son entrée sur les très grands réseaux et le rendra particulière ment adapté aux grosses applications réparties. Parallèlem ent, la possibilité inédite "d'exporter" les "devices" d'une s ta tio n , est v ra im e n t é to n n an te . Attention, il s'agit réellement de se servir "à distance" du matériel d'une machine, pas uniquement d'un banal partage d'im primantes ou de scanners. Les applica tions envisageables vont de l'accès aux fichiers d'une autre station sans passer par NFS ou autre CodaFS, à l'utilisation éventuelle de la mémoire vive du voisin ! En fin de compte, le seul élément man quant reste la technologie ExtremeLinuxBeowulf, qui donne le moyen à Linux de faire fonctionner tout un réseau comme une seule grosse machine. Bien que déjà disponible, elle ne sera pas présente en standard dans la version 2.2, mais à plus long terme, l'intégration se trouve pré vue. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM http://itlinux.cs.nmt.edu/~rtlinux/ Real-Time Linux other RT-Linux loao contributions RTLinux, le passeport pour le temps réel. g ] Console (Invers Console drivers Le g ran d p u b lic n'est pas o u b lié En effet, un reproche souvent adressé à Linux est qu'il faut souvent bidouiller pendant des heures à grand coup de patches pour parvenir à faire fonctionner un périphérique IDE sur le port parallèle. Cette lacune semble désormais résolue puisque sont inclus en standard le code nécessaire, les drivers requis et surtout le support du Plug'n Play. Attention tout de même à ne pas le confondre avec le Plug'n Pray de W in do w s95 /9 8, lequel concerne tous (enfin théoriquement) les périphériques. Les périphériques PCI se voient d'ores et déjà supportés de manière V G A text console Video mode sélection support M D A text console (dual-headed) (E X P E R IM E N T A L ) Support for frame buffer devices (E X P E R IM E N T A L ) Acorn V ID C support r C n Am iga native chipset support n || Amiga O C S chipset support Amiga E C S chipset support Main Menu Le Framebuffer sous Linux/i386. Une carte mère bi-PentiumPro. 1 CPU CPU • CACHE CACHE i/ o CPU n y cache ! I f trer que laconique. D'après les rumeurs, le grand jour arrivera bientôt ; on n'atten drait plus que la finalisation du NFS. Cela dit, on a le droit de penser que plus le noyau met de temps à sortir et plus celuici sera fiable. CHANNEL Le 2 .4 ou le 3 .0 d éjà p révu ? ï S M E M O R Y Eh oui, on parle déjà de la prochaine ver sion alors que celle-ci n'est même pas encore officielle. Comme nous l'avons déjà signalé, l'orientation est en tout cas très claire. Clustering et temps réel ne manqueront pas à l'appel. Ces deux fonc tionnalités séjournent déjà sous Linux via l'utilisation de RT Linux pour le temps réel et d'ExtremeLinux pour le clustering, et seront donc à l'avenir en standard. Au final, cette nouvelle mouture de Linux a de quoi séduire. Les défauts de la version précédente semblent comblés et les nou velles caractéristiq ues sont plus allé chantes les unes que les autres. Elle ne changera donc pas radicalement la vie de l'utilisateur, mais permet de bien enfon cer le clou face aux deux principaux rivaux que NT et SCO-Unixware se tar guent d'être. ? Le SM P : simple et efficace. Plug'n Play, ne serait-ce que grâce au remplaçant du /proc/pci. Les périphé riques ISA se montrent quant à eux confi gurables par l'intermédiaire du program me isapnp. Restent donc les périphériques sur port parallèle qui, pour leur part, bénéficieront de l'option du kernel 2.2. On trouvera également dans ce nouveau noyau la reconnaissance d'un joystick PC. Enfin, en ce qui concerne l'aspect multi média, 055, le fameux driver pour cartes son, est maintenant inclus en standard dans sa version libre : OSSFree. Il permet de supporter la quasi-totalité des cartes son PC, y compris les chips présents sur les portables. Les aficionados de MIDI apprécieront la table d'onde logicielle, elle aussi en sta n d a rd . O u tre le Framebuffer décrit plus haut, la console a la possibilité de fonctionner en mode SVGA, ce qui ne manquera pas de séduire les amoureux du mode texte. Enfin, on découvrira parmi les nouveaux systèmes de fichiers celui de RiscOS, du Mac et bien d'autres encore, ce qui rend ainsi p ra tiq u e m e n t in e x is ta n t le risq ue suivant : ne pas être en mesure de mon ter un disque dur provenant d'une autre architecture. Ça so rt q u an d ? La question qui brûle les lèvres de tout le m onde est bien évid em m ent : "Pour quand est officiellem ent prévu le noyau Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM La réponse ne peut se mon Linux 2.2 M o n it e u r s Guillaume Girard et Jakub Zimmermann & V id e o C a rte s P P C 1ÔOMhz support 040 ou 060... 4 4 9 0 F IBOMhz avec 040 à 25 MHz... 4 8 9 0 F C y b e rs to rm IBOMhz avec 060 à 50 6 9 9 0 F M o n it e u r 1 5 " 0 .2 8 ............................................................................1 5 0 0 C y b e rs to rm 2 0 0 Mhz support 040 ou 060 5 2 9 0 F M o n it e u r 17" 0 .2 8 ........................................................................... 2 5 5 0 C y b e rs to rm 200Mhz avec 040 à 25 MHz 5 5 9 0 F M o n it e u r 1 7 ' 0 . 2 6 ........................................................................... 2 9 5 0 C y b e rs to rm B V is io n P P C .................................................... 1 4 5 0 4 M o C y b e r V is io n P P C 8 M o ..............................................................1 7 9 0 M it s u b is h i 17" 0 . 2 5 P l u s 7 1 ............................................... 3 5 9 0 C y b e rs to rm M it s u b is h i 1 7 ' 0 . 2 5 P l u s 7 2 ............................................. 3 9 9 0 A m ig a - M a c in t o s h - PC C y b e rs to rm M é m o ir e s d e m a s s e C y b e rs to rm L e c t e u r C D P O M ID E 3 2 x .......................................... G r a v e u r C D S C S I T e a c P 5 5 S x 4 x1 2 Pour l’achat d’une carte PPC, noue voue offrons : • 16M o (Blizzard) • 3 2 M o (CyberStorm ) • Port gratu it Les DvieionPPC 4Mo (A1200) restent prévues pour la fin d’année. Pensez à surveiller www.vgr.com pour profiter de vos CyberVisionPPC. A ttention à la hausse des barettes de mémoires SIMM ! A 4 0 0 0 C y b e rs to rm A t é o B u s + P i x e l 6 4 ......................................................................1 9 9 0 Incroyable !!! U lt r a - W id e C y b e rs to rm A v e r fV O e n ie ProTV (Vidéo PAL su r écran VG A) .................. 8 5 0 3 9 0 MHz... .. 200Mhz avec 060 à 50 MHz . 233Mhz support 040 ou 060 233Mhz avec 040 à 25 MHz .. 233Mhz avec 060 à 50 MHz . 7 8 9 0 F . 5 750 F 6 2 0 0 F 7 9 9 0 F F F 2 7 9 0 F C a rte s P P C U ltr a - S C S I A 1 2 0 0 D is q u e d u r I D E 2.1 O o ................................................. 9 0 0 F Blizzard 603e+ 160Mhz & 040 à 25 MHz........... 2 9 9 0 D is q u e d u r ID E 3 . 2 O o ............................................... 9 9 0 F Blizzard 6 0 3e+ 200Mhz support 060 à 50 3 4 5 0 F Blizzard 3 5 5 0 F D is q u e d u r ID E 4 . 3 G o ............................................... 1 150 F D D S C S I 4 . 3 G o .................................................................. 2 0 9 0 D D S C S I U W 4 . 3 G o ...................................................... 2 5 9 0 F L e c t e u r Z I P A T A P I i n t e r n e ...................................... 7 0 0 F M é m o ir e s & F D iv e r s S IM M 1 6 M o E D O ................................................................................. 2 0 0 F mhz 6 0 3e+ 200Mhz & 040 à 25 MHz.......... Blizzard 6 0 3e+ 200Mhz & 060 à 5o m h z ....... 5 9 9 0 F Blizzard 603e+ 240Mhz support 060 à 50 mhz 3 9 9 0 F Blizzard 603e+ 240Mhz & 040 à 25 m h z ........ .. 4 1 5 0 F Blizzard 6 0 3e+ 240Mhz&060 à50M H z.......... 6 5 9 0 5 IM M 3 2 M o E D O ............................................................................... 3 0 0 F C a rte s B o î t i e r A t é o 1 2 0 0 + C l a v i e r ............................................... 1 0 9 0 F M odem F Blizzard 603e 160Mhz & 040 à 25 mhz U S R P r o f e s s i o n a l V 9 0 ...............................1 5 0 0 W o r d w o r t h 7 . 0 f r a n ç a i s ........................................................ 4 9 0 F C D A m i n e t 2 7 ........................................................................................... 8 0 F P P C A 1 2 0 0 2 4 5 0 F 2 9 9 0 F Blizzard 603e 240Mhz & 040 à 25 MHz 3 5 9 0 F A d a p ta te u r SCSI - 1 connecteur DSub6B F vers 1 connecteur HE10-50F ......................... A d a p ta te u r IDE - 1 connecteur IDE 2 1/2 vers 1 connecteur IDE 3 1/2.................................. Câble SCSI-2 - Mini D50 M vers DB25 M .............................................................................. Route départem entale 5 2 3 • 3 8 5 70 TENCIN 6 0 - Fax 0 4 7 6 4 5 6 0 . Blizzard 603e 200Mhz & 040 à 25 mhz Nappe SCSI UW 8 8 p ts - 4 connecteurs internes M + slot externe F (idéal Cyberstorm) A d a p ta te u r SCSI - 1 connecteur DSub68 F vers 1 connecteur HE10-50M........................ T é l. : 0 4 7 6 4 5 6 0 F 5 5 • w w w .p r a g m a - i n f o .c o m 4 3 0 F ..1 9 0 F ..1 9 0 F 5 0 F . ..1 2 0 F Frais de port : Moniteurs e t boitier : 150 F Connecti^ue, RAM & logiciels : 25 F A utre : 5 0 F Linux PowerPC pour PowerMac et Amiga i Ce mois-ci[ Dream vous offre sur son CD-Rom une distribution complète de Linux PowerPC pour PowerMac et Amiga ! Fin du fini, la base de cette distribution n'est autre qu'une RedHat. Arc you tCC£? V&y in y\»iù«w uic«i£ywor>jt£kc*KttaweMui’ Acrobat Dream 56:LinuxPPC:PowerM ac: Documentation: linuxppc-guide-980924. pdf. Ces deux documentations vous guideront dans l'installation de Linux Power PC sur votre machine. L'article que vous êtes en train de lire ne sert, quant à lui, qu'à vous in d iq u e r les points essentiels de la démarche. Précautions à prendre sur Amiga Le début de l'installation est identique à celui de toute autre distribution Linux sur Amiga : on crée deux partitions (SWAP et LIN U X ) sur le disque dur cible avec HDToolBox (consultez votre manuel AmigaOS ou relisez tous les articles déjà parus dans Dream sur le sujet), avant de décom presser les fichiers de démarrage dans un répertoire de son choix et l'on crée finale ment un petit script de lancem ent sur lequel il suffira de double-cliquer pour se retrouver sous Linux. En l'occurrence, les fichiers de démarrage à récupérer sont ceux qui se trouvent dans le rép ertoire D re a m 5 6:Lin u xP P C /A m ig a /Apus/lnstall ; il faut décompresser (avec Lha) les fichiers Kernel.Izh et boothack.lha, et copier tel quel le fichier apus-rh-ramdisk.image981001 .gz. Le premier script de lancement à créer se compose de la ligne suivante : Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM (1) K.DEvu àu wbug*u.QT (2) r'crc-j cncrcùta»e K.C£ ta «r «QTdonc Ko oocu^tbcKDEgrauf t«ut tcWv cwrbc«Mâu*aaabclorc i i j C«M«r«W ùrwpj>*<S«£ itt Cevclapcra traax COaS. wkvb KC£ u mccgr«<U£ Bateau^a—Mt Rt. Y; Rwt.Y&y*>u';y«'.i gai :x/ by IiltYif.Mm'.fcitl.uiK.’-VfaUimUi P.t, TtU-au u TWday Aiiv2$. ©12 *7r*t oaTWd*y hiy 2b. 01Û46AJ* .byGr«gW«kbaftTue*dtyItiy2» ï auàMfeabyK«BnEi*uUti «a Wy28.0tt.32>M obI ifcc**tin; u 2È.eû20ÛPW ^ rb.»a byGrcgWekhtaToc«<l«y R« KgLii.-'cLIvTamiàitirJiKa-ci.tAia bvKoik»BWb aaTocsday Jaiy2à. KDE, The Gimp, Netscape Communicator... Ils fonctionnent tous ! inux PowerPC est, on l'aura compris, la version PowerPC du système d'ex ploitation Linux. Autrement dit, la distribution que nous vous offrons ce moisci sur notre CD-Rom de couverture s'adres se exclu sivem en t aux o rd inateurs PowerMac et Amiga (pour peu que ceux-ci disposent d'une carte accélératrice à base de PowerPC). Ce Linux se décompose en deux parties : une mini-distribution de départ, conçue expressém ent pour la m achine hôte (il s'ag it d'"Apus" pour Amiga et de "LinuxPPC" pour PowerMac), et une distribution générale contenant toutes les applications de base et tous les outils relatifs à l'interface graphique. Cette deuxième n'est autre qu'une adaptation de la fameuse RedHat 5.0, laquelle se trouve L largement répandue dans les mondes PC et Alpha. C o m m en t l'in sta lle r ? Linux PowerPC se répartit comme suit sur le CD : la partie Amiga séjourne dans D re a m 5 6 :Lin u xP P C /A m ig a /, la partie PowerMac réside dans Dream56:LinuxPPC: PowerMac: et la partie commune est le troisième sous-répertoire du répertoire LinuxPPC, soit RedHat. La première chose à faire consiste à lire (et imprimer !) la documentation fournie ; celle-ci se montre la plus détaillée possible en ce qui concerne l'installation de Linux PowerPC sur votre ordinateur. Pour Amiga, cette documentation est le fichier Html Dream56:LinuxPPC/Amiga/Apus/Docs/boo kl .html. Pour PowerMac, il s'agit du fichier bootstrap — apus -k vmlinux -r apus-rh-ramdisk.image981001.gz root=/dev/ram Comme d'habitude, celui-ci lancera un m in i-Lin u x dans le Ram D isk, afin de déclencher la véritable procédure d'instal lation (qui, elle, se déroule sous Linux). Une série de questions va vous être posée ; il suffit d'y répondre. Une erreur peut sur venir lors de l'installation de quelques pac kages (archives). Cela signifie tout simple ment que l'application en question n'est Les m a t é r i e l s r é c e n t s NON-supportés Sur A m ig a : - Contrôleurs SCSI des cartes PowerUp - Cartes graphiques Picasso IV, Cyber visionPPC et Pixel 64 - Multiplicateur de connecteurs IDE Sur Pow erM ac : - iM ac - Toute carte graphique autre que les ATI ou TwinTurbo £chet àfhchags A>er £or.vnuncetor 2 Echmr £<ümn âJi.chsge Ajwt Commumcator 2 S ** à C5r ^4ajk PreceOort Suvanl Recharger Accusé Rechercher Guida impnmec Sécunté i Signée y. Adrets»|hnp.7/wwwfcmxppcorgAjeetged»/ The PowerPCLiouxIûsisilsuoB sûdUserOuiûs Aboui LinuxP P C C v SU z\ A i Recharger d ï Aocueé Rechercher Grade > hafiurm £ Secunt* ü sa é Signet* Jj. Aoreae jt^Z/iuniiie.auc.dky’pUi/os/WWapuci'docc/teQ.I’iUnl a The Linux/APUS Doc’n’FAQ ï 5 C.'sine th s utxUiüer Jesper Skov G eaitic starUfd B ootins LinuxP P C «t5 Partixionins your d riw Prminstalbulon xtepx • rSf Copyright © 1998 by Jesper Skov Lin u xP P C D ser'x (ru id r i-5 Lin kx and References odfveraofi Announcesnents Othcr Rtsource» Weicome to the Installation and User Guide for LtnuacPPC. Ifs sali new so mfonr.anon for sonie spécifie machines may not oe available. In pamcular, there seemto be some qusks mthe installationprocédure for the laies: Apple G3 desktops/minitowers thar Pm trying to woric oui. If you see somethmgmissmg. find broken fcnks. or have somethma to add. olease e-mxl me Ot>*r. Pinr.wer» end OpenFamwer* l'or Powa UuuHüth.CS FAQ I hope to update the guide to take advantage of Benjamin Herrenschrûidt'î BootX for Mac OS once beu tesüng ofnis Document charge fcgKbaak,03 Stars ~ ew A » Z- La docum entation p o u r Pow erM ac est sur le CD-Rom. BootX vl .Obi C h o c se y o u r O S j| f Linu x ) root=/dev/hdbl video=virge:1024x768-8 M Evidemment, la RedHat ne dis pose ni des pilotes nécessaires Linux kemel arguments : ( Save to pref* } ^ à l'affich ag e de X-W indow | root“ /dev/hd*5 vWeo«*tyfb :vmode: 17,omode : 16 dans un mode grap hiq ue £2 Use RAM Disk ’ Q No video driver Amiga, ni du pilote de la sou ris. Rassurez-vous, nous vous BootX, l'utilitaire qui perm et simplement de choisir les offrons. Sous Linux, après entre M acO S et Linux au démarrage. avoir monté le lecteur de CDpas présente (Netscape Communicator, que Rom, tapez : nous n'avons pas le droit de distribuer ce cd /usr/XHR6/bin mois-ci, par exemple). Ne vous en inquié cp /cdrom/LinuxPPC/Amiga/ tez pas : choisissez Ok et le processus d'ins ServeursX/XF68_FBDev . tallation continuera normalement. In -s XF68_FBDev X Pensez à ajouter au script de lancement cd /etc/ une icône de type Projet avec "CilconX" cp comme outil par défaut, afin de pouvoir /cdrom/ LinuxPPC/Amiga/ ServeurSX/XF8 double-cliquer dessus. 6Config A 5 zl a» Z* La docum entation pour Amiga est sur le CD-Rom. X -W in rîo w su r A m ig a ([ MacOS *S Table of Contents 1. Introduction Linux ports Document Chances 2. Getûns The Keme! Tac Kernel DÆs Recomoihnsr Your Own Kemel (981018} The Kemel Imasres Lichided Hardware Dnvers Inciuded Software Dnvers 3. Installmg Preoanaa Parutions Files Reouired For Boocna Booona Ltnux/APUS oa' Document charge * une autre partition (environ 1 Go) d'un disque dur. Par ailleurs, Linux nécessite également un espace disque pour stocker temporairement ses données. Il s'agit du Swap ; celui-ci se constitue d'une autre partition à lui tout seul (environ 60 Mo). Le partitionnement du disque dur se fait à l'ai de de l'outil système Drive Setup ou du fameux Silverlining. Ne vous souciez pas de le formater en autre chose qu'en HFS, la RedHat se chargera par la suite du formata ge correct. Prenez garde, on ne peut pas partitionner le disque de démarrage de MacOS ; il faut donc utiliser un second disque dur. Autre point im portant, l'installation de Linux passe par la puce graphique de votre carte mère. Si vous possédez une carte gra phique, pensez donc à rebrancher votre écran sur la sortie vidéo standard. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Les bons p a ra m è tre s de la n ce m e n t cd /dev Une fois la RedHat installée, redémarrez sous Workbench et remplacez le script de lancement précédemment créé par la nou velle ligne suivante : mknod fbOcurrent c 29 0 mknod amigamouse c 10 4 in -s amigamouse mouse boots trap — apus -k vmlinux root= /dev/hdbl Attention, la résolution graphique de XW indow, ainsi que les spécifications de votre écran, sont définies dans le fichier texte XF86Config. Editez-le et ajustez les paramètres dans les sections "Monitor" et "Screen" suivant votre configuration. Vous pouvez connaître les paramètres actuelle ment en vigueur sur votre ordinateur en tapant sous Linux : Attention : "hdbl " est un exemple de nom de partition. Remplacez-le suivant votre configuration. Si vous souhaitez booter avec un mode d'écran de la carte gra phique Cybervision64 (par exemple en 1024x768), complétez votre script de la manière suivante : bootstrap — apus -v -k vmlinux roo t= /dev/hdbl video=cyber:1024x7 68-8 Si vous possédez plutôt une Cybervision64/3D, le script doit alors s'écrire ainsi : bootstrap — apus -v -k vmlinux fbset -x B ien la n c e r l'in sta lla tio n su r P o w erM ac L'installation de Linux va commencer en démarrant depuis une disquette de boot. Formatez-en une et copiez dessus le fichier G 3 in s ta lle r.c o ff (d ep uis le répertoire Dream56:LinuxPPC:PowerMac:images: ) si vous avez un Pow erM ac G3 de bureau. T o u s l es f i c h i e r s nécessaires La base pour Amiga (Apus) : http://sunsite.auc.dk/ftp/pub/os/linux/ap us/ Les pilotes pour Amiga : LinuxPPC : Précautions à prendre sur PowerMac ftp://ftp.linuxppc.org/linuxppc/linuxppcR4/ RedHat PPC : ftp://ftp.linuxppc.org/linuxppc/linuxppc- Linux ne peut cohabiter avec des fichiers MacOS ; il convient donc de l'installer sur R4/RedHat/ nière com b inaison de touches remet le PowerMac dans son état initial, exactement comme s'il était sorti d'usine (ce qui veut dire qu'il va démarrer sous MacOS). Custom Setup Drive Volume Name(s) : LinuxPPC Partitioning Scheme : [ 6 Partitions Total Capacity : Volum es opt. /dev/hda7 home /dev/hda8 ' swap ■ /dev/hda9 Mac OS Partition /dev/hda10 J : V olum e Info mot . /dev/hda5 usr. /dev/hda6 H 2446 MB Name : untitled 2 untitled 3 untitled 6 ! Type: ! Size : untitled M ac OS Standard 13 150 MB I Select a partitioning scheme, a file system type, and resize the i volumes. i | Hint : use the Tab key to select a small volume. Cancel J L _ 2 Ü - J ] Partitionnement du disque sous MacOS. taire graphique Boot Variables, que nous vous Un m in i-Lin u x pour in sta lle r Si votre firmware est correctement modifié, le Mac bootera sur la dis quette que nous avons créée, au prochain démarrage. Vous vous retrouverez alors sous un miniLinux en mode texte. Il s'agit de l'installateur de la RedHat. Une série de questions vous assaille à nouveau et il suffit une fois de plus d'y répondre. Il se peut qu'une erreur survienne lors de l'installa tion de q uelqu es packages (archives). Vous devez en conclure que l'application en question n'est pas présente ( N e tsca p e C o m municator, que nous n'avons pas le droit de distribuer ce mois-ci, par exem p le). Ne vous en inquiétez pas : choisissez Ok et le processus d'installation continuera normalement. D ern ière chose à p rend re en co n si dération : les PowerMac n'enregistrent pas leur heure en GMT. Pensez à ce détail lorsque le logiciel d 'in stallatio n de la RedHat vous posera la question de l'horloge. offrons dans l'archive bootvarsl .3b.sit.hqx (située dans le répertoire tools). Celui-ci propose une liste de para mètres à changer, les plus importants étant Boot-device et Boot-files. Reportezvous à la page 1 6 de la C h o isir e n tre M acOS et Linux do cum entation Acrobat A la fin de l'in sta lla tio n , il vous sera pour con n aître les para demandé de choisir votre unité de démar mètres correspondants à rage (écran de sélection Quik). Reportezvotre configuration. vous au tableau 1 pour connaître la com mande qu'il faut entrer, suivant que vous Pour lancer l'installation, il L'interface graphique de KDE et son air de Windows souhaitez voir votre ordinateur démarrer suffit d'appuyer sur le bou sous Linux ou MacOS. Autrement, prenez installer.coff (pour une ton "Write", de quitter le logiciel et de redémarrer l'ordinateur avec la disquette Quoi que vous choisissiez, il existe plu ancienne génération, un PowerBook, etc.). L'expérience a montré que sur certaines sieurs moyens de passer ultérieurement de dans le lecteur. machines, le programme d'installation de Si to u t va m a l... Linux à MacOS et vice-versa. Le principe Linux ne parvenait pas à trouver la RedHat Avant d'aller plus loin, imaginons la situa est le suivant : au moment du démarrage, depuis notre CD-Rom. Si vous disposez de tion catastrophe suivante : l'utilisateur se l'ordinateur regarde la nature de l'unité suffisamment de place, copiez d'emblée trompe complètement en rentrant n'im sélectionnée dans la rubrique Boot-device tout le répertoire RedHat de notre CD-Rom du firmware et il boote dessus. Les trois porte q uelle va le u r dans son pauvre à la racine (très important) de votre disque PowerMac, qui ne veut plus jamais redé types d'unité possibles sont : la Rom, une de démarrage. marrer. Pas de panique. Appuyez tran disquette ou une unité SCSI/IDE (disque M o difier le firm w a re dur et CD-Rom). La Rom va lancer automa quillement sur les touches Ctrl-PommeSeconde étape : il faut sp écifier au Bouton-de-démarrage pour faire un reset tiquement MacOS. La disquette, pour sa PowerMac que c'est bien sur la disquette et de la Ram et du Le n o m d es u n i t é s s o u s O p e n F i r m w a r e non sur le disque dur qu'il devra booter au p ro cesseu r et prochain redémarrage. Cette manoeuvre Pour l’unité SCSI ou IDE, le nom varie d'une machine à l'autre. juste après - main s'effectue en modifiant les paramètres du Consultez la page 22 de la documentation Acrobat pour connaître ten ez enfo ncées firmware. Oui, peu de gens le savent, mais les termes qui fonctionneront avec votre configuration. pendant un petit les PowerMac disposent désormais aussi m om ent les to u d'un Bios paramétrable ( Open Firmware, Type d'unité Nom à préciser dans open Firmware ches Alt-PommeRom /AAPL,ROM lequel est commun à toutes les machines P-R (normalement, Chrp et aux stations Sun). Il y a moyen Disquette il faut que l'ordi fd:<nom du fichier de boot> d'accéder à ce Bios de plusieurs manières. Unité SCSI ou IDE scsi/sd@X:Y nateur fasse deux La plus élégante consiste à passer par l'utili resets). Cette der Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ë La distribution RedHat PPC contient même quelques jeux. part, active un programme de boot dont le nom doit être indiqué. Et l’unité SCSI/IDE boote sur le système d’exploitation conte nu dans ses secteurs de boot (Linux ou autre, mais jamais MacOS). Prenons com m e exem ple le cas où le PowerMac dém arre systém atiquem ent sous Linux. Pour revenir à MacOS, il suffit de se logger en ”root’’ et de taper : macos Enfin un environnement de beaufs ! ter. Le principe se résume à faire apparaître la console d’Open Firmware et à taper la commande correspondant au lancement de MacOS ou Linux. Pour faire apparaître la console, il faut changer quelques argu ments de la manière suivante avec Boot Variables : auto-boot? = no input-device = kbd output-device = screen ne verrez rien à l’écran et votre clavier ne sera même pas actif ! Ou ’p lu g ’n ’P la y ” ? Dernière solution : nous livrons sur notre CD -Rom un lo g ic ie l nom m é B ootX (D ream 56:Linu xP P C :P o w erM ac:install: BootX_1 .Obi .sit) qui permet de choisir son système au démarrage par l’intermé d ia ire d ’une in te rfa ce g ra p h iq u e . A essayer. Nous ne le mettons pas spéciale ment en avant car, d ’après nos essais, celui-ci ne semble pas très stable. m Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM L 'o rd in a te u r re d é m a rre ra alo rs sous MacOS. La première solution consiste à configurer l’unité de boot par défaut (boot-device) dans le firmware, en utili sant le lo g iciel Boot V ariables depuis M acOS, com me précédem m ent. Pour changer de système, on devra réécrire à chaque fois les paramètres du firmware. L'idée est d'enregistrer sur disque dur une configuration du firmware pour chacune des possibilités. On pourra ressortir celleci à tout moment, suivant que l'on veut travailler sous Linux, MacOS ou à partir d'une disquette (cas relativement rare, vu que cette dernière ne sert qu’à réinstaller Linux). Pour connaître le type de para mètres qu'il convient d ’entrer dans le boot-device, on se référera au tableau 1. A noter qu’il peut s'avérer nécessaire de spécifier le noyau Linux sur lequel on va booter. Dans ce cas, il faut com pléter égalem ent le param ètre Boot-File du firmware comme suit (X représente l’ID de l’unité et Y correspond au numéro de la partition) : boot-file = scsi/sd@X:Y/boot/vmlinux root=/dev/sdXY Un ch o ix m a n u e l... Deuxième solution. Imaginons que l’on uti lise aussi souvent Linux que MacOS. Il est alors possible de préciser manuellement - à chaque démarrage - sur quel système boo- A chaque démarrage, un écran blanc appa raîtra avec une invite "OF>". Il suffira de taper "bye” si l’on souhaite aller directement sous MacOS ou "boot scsi/sd@X:Y" pour booter sur la partition Linux (évidemment ’’scsi/sd@X:Y" est un exemple générique ; référez-vous à la page 22 de la documenta tion Acrobat pour connaître l’argument approprié à votre configuration). Yann Serra m Ou in tu itif ? La troisième solution est un mélange des deux précédentes. On boote systématique ment sur le même système (MacOS ou Linux) et l’on souhaite occasionnellement passer sur l’autre, sans que celui-ci devienne pour autant le système de démarrage par défaut. Dans ce cas, on entre dans le firm w are tous les param ètres com me exposés lors des solutions No 1 et No 2, sauf pour "auto-boot?" ! La réponse à cette question doit impérativement rester sur yes. Ainsi, le système choisi se lancera autom atiquem ent sans que la console n’apparaisse. Pour la faire apparaître, il suffira de p resser la com b in aison de touches Alt-Pomme-O-F. On se retrouve ra alors avec l’in v ite ’’OF>", d errière laquelle on pourra taper la commande "bye" (pour MacOS) ou une commande du genre "boot scsi/sd@X:Y" pour Linux. A ttention , il faut im pérativem ent que input-device et output-device aient été au préalable définis, faute de quoi vous Sur Amiga, Linux est directement bootable depuis le Workbench. T o u t e s les docu mentatiorts Installation de Linux PowerPC sur Amiga : ftp://sunsite.auc.dk/pub/os/linux/apus/ docs/faq.html In s ta lla t io n de L in u x P o w e rP C su r PowerMac : h ttp ://w w w .lin u x p p c.o rg /h e lp /in sta ll _h elp/ Installation de la RedHat : http://www.redhat.com/support/docs/rhl /RHL-5. 7-Installation-Guide/manual/ La p lu s im p o rta n te FAQ co n c e rn a n t LinuxPPC : http://www.dartm outh.edu/~jonh/lppccache/hhtm l Le réseau MPTS au ras des protocoles s o u s O S / 2 Ce second article sur les réseaux sous OS/2 détaille les modules liés à la gestion des protocoles et des cartes réseau sous Warp. On verra comment tirer parti de l'utilitaire de configuration réseau et pour finir, on illustrera les manipulations décrites par l'installation d'un protocole pouvant se révéler bien utile : le NetBios Over TCP/IP. protocole ou m odifier sa Sélectez une carte réseau et le protocole correspondant. carte réseau. Cartes reseau Protocoles Deux listes en IBM NULL MAC Driver IBM IEEE 802.2 haut de la boî IBM OS/2 NETBIOS No Network Adapter te proposent IBM Netware Requester Supp 3279 Adapter for 3174 Peer Communies 3Com EtherLink 16 (3c597) Family - OS-*IBM OS/2 NETBIOS OVER TCP de choisir car ► tes réseau et Ajout Modification Autres cartes.- I Ajout Autres protocoles... protocoles. Si la liste ne pro Configuration en cours Selectez OK pose pas la Pour modifier les paramètres du pilote, sélectez un lorsque vous élément ci-dessous, puis Edition. avez terminé. carte, ni le 3Com Fast EtherLink & EtherLink III Bus Master Famil» protocole sou OK 9 - IBM OS/2 NETBIOS haités, il est 9 - IBM TCP/IP Annulation bien entendu possible d'al ; Aide m Edition Retrait Modification du numéro... ler chercher un pilote sur Figure 3 : ajout du protocole NetBios Over TCP/IP. une disquette TPS (Multiple Protocol Transport en cliquant sur les boutons "Autre". System ), rappelons-le, est le C a rte s P h ysiq ues et lo g iq u es module de gestion et de configu Comme on vient de le voir, MTPS permet ration des cartes réseaux et des protocoles d'installer plusieurs cartes réseau et moult sous OS/2. Il est automatiquement installé protocoles sur le même système. Les cartes durant l'installation de Warp Server ou de installées se verront chacune attribuer un Warp 4.0. numéro permettant au système de générer Il s'avère parfois utile de lancer l'utilitaire de les port de communication correspondants. configuration de MPTS pour mettre à jour Lorsque l'on fait cohabiter certains proto un pilote de carte réseau ou ajouter un pro coles "parents" sur une même carte, il peut tocole. Cet utilitaire se trouve dans le dossier être nécessaire de créer une carte logique de configuration de Warp et son icône s'inti (sous-carte de la carte physique actuelle) tule : "Fonctions de protocoles et de Cartes". pour créer un nouveau port de communica Cet utilitaire modifie les fichiers de configu tion. Il en va par exemple ainsi, lors de la ration protocoI.ini et config.sys du système. cohabitation du protocole NetBios et C o nfig u ratio n de MPTS NetBios Over TCP/IP. NetBios n'étant pas Après le lancement de l'utilitaire, on choisira routable, il faut que les deux protocoles l'option de configuration pour aboutir sur la bénéficient de la gestion de deux ports fenêtre représentée sur la figure 1. Si l'instal réseaux différents d'où la nécessité d'ajouter lation du système s'est correctement dérou une carte logique différente pour l'installa lée, il n'y aura pas à configurer les accès tion du NetBios Over TCP/IP. Nous revien transport TCP/IP ou NetBios ; on ira donc drons sur l'installation de ce protocole dans directement vers la configuration des cartes la dernière partie de cet article. La création et des protocoles. d'une carte logique se fait simplement par la sélection d'un protocole et un clic sur le C'est grâce à la boîte de dialogue, présente sur la figure 2, que l'on pourra ajouter un bouton "modifier numéro". Corrfiouration de fa carte réseau Quel p ro to co le p o u r q u elle u tilisa tio n ? Dans un réseau local OS/2, NetBios consti tuera certainement le protocole le plus employé. Ce protocole non-routable est le plus simple à mettre en oeuvre et l'un des moins gourmands en bande passante. TCP/IP, qu'on ne présente plus, se verra lui aussi couramment utilisé pour les accès Internet ou certaines applications client/ser veur. Cependant, on aura recours à d'autres protocoles suivant les besoins. La liste des protocoles suivante permet de se faire une petite idée de leur application : NetWare Requester : Client OS/2 pour Netware. Outre le support IPX, l'installation de ce protocole s'accompagne de l'installa tion d'une interface de manipulation des res sources Netware. NetBios Over IPX : ce protocole nécessite l'installation du Netware requester. Il va per mettre d'encapsuler le protocole NetBios au sein d'IPX, protocole routable. On pourra ainsi transporter des trames NetBios vers un réseau distant, à travers un routeur par exemple. NetBios Over TCP/IP : il s'agit de la même application que le protocole précédent, mais avec une encapsulation dans des trames TCP/IP. Ce protocole correspond au fa meux NetBeui de Microsoft qui a rendu NetBios routable sans qu'il y ait possibilité de désactiver cette option. Grâce à cela, une machine Windows est capable d'em blée de partager des ressources (parfois à l'insu de son utilisateur) sur Internet. Avec OS/2, l'utilisateur bénéficiera d'un privilège sem blable, mais il faudra activer cette option. IBM 802.2 : ce protocole permet de lan- Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Nod* TyKM» Cnabla SUB/PPPtntprfaca NetBIOSNaiwS**rv»r addmf BackupNetBIOSNwrwSarvec addr*« N«»?8I0SBatapramDNtributor BackupNetBIOSDa'acramDHtrlbutor addran NTTfflOStrac» taval GOTtatactor* Fuit butta»datagrwm Ouarytknaou» «T0IOSrotrlM___ Figure S : les paramètres du protocole. A .D .r .J , A P P L J C A 'f l Q M piWV&üî1.’ 'TJj cer REIPL. Ce système donne le moyen d'avoir sur le réseau des stations sans disque, qui vont bouter à partir du serveur, grâce à une Rom installée sur leur carte réseau. C as p ra tiq u e d 'u t ilis a t io n d e M PTS : in s t a lla t io n de N etB ios O v e r T C P / lP Il est tem ps à présent d'en ve n ir aux travau x p ratiq u es. L'installation de l'encapsulation de NetBios dans TCP/IP représen te un bon exemple de manipulation sous MPTS. Nous allons commencer par ajouter le protocole et (si on utilise déjà NetBios) l'affecter à une carte logique différente de celle du NetBios (figure 3). Une fois le protocole mis en place, il ne reste plus qu'à le configurer en cliquant sur le bouton "Edition". On pourra alors paramétrer le pilote lui-même (en lui indiquant un serveur de noms par exemple) ou lui fournir une liste d'associa tions nom NetBios/nom (ou adresse) IP. On n'entrera pas ici dans les détails des paramètres du protocole. Toutefois, pour finaliser cette installation, il sera nécessaire de rensei gner "l'Encart çmmgurim n mus ftintra&m rcaa ivqtoco*»_____ Nom", qui as Sélecte? une carte réseau e» le protocole correspondant. Cartes réseau IVotocotes socie nom Net No N etw ork A dapter IBM IEEE 882^ Bios et adresse 3279 A dapter for 3174 P eer C cm n w n ta IBM OS/2 NETBIOS 3Com E tberL h* 15 (3c597) Fam ily - O S „ IBM N etw are R eq u este r Supp » IP, et "l'Encart Ajout M odification M itres cartes._ Ajout A utres p ro to c o le sDiffusion", qui Configuration en cours permet de défi S électe? 0*C Pour modifier les paramètres du pilote, sélecte? un lorsque vous élément cl-dessous, pus Edition. nir des serveurs av e7 term iné. gérant le Net - IBM OS/2 NETBIOS - IBM TCP/IP Bios Over TCP/ IP, susceptibles Ç<SOon Modification du numérode relayer les paquets N et Figure 2 : les cartes et les protocoles sous OS/2. Bios envoyés dans les trames IP (figure 5). Notons qu'il y a moyen de modi fier ces listes de noms et d'adresses en transformant les fichiers suivants dans le répertoire \ibmcom : "rfcbcst.lst" pour la dif fusion et "rfcnam e.Ist" pour les noms. Un troisième fichier : rfcaddr.ex, procure le privilège de rafraîchir les tables internes de résolution d'association. Après ces manipulations, le proto cole est ajouté ; il n'y a plus qu'à redémarrer la machine pour en tirer parti et partager des ressources réseau à travers Internet. En conclusion, l’utilisation de MPTS reste assez simple et per m et de g ére r les co u ches basses du réseau sous O S / 2 . Cependant, un protocole échappe pour sa configuration à la logique MPTS. II s'agit de TCP/IP, qui possède son propre module de configuration. Ce module sera décrit dans le pro chain article consacré à OS/2 et les réseaux. V EN TE 0 4 ,7 3 ,3 4 ,3 4 .3 4 , M agasin et VPC : 47 avenue de la ~ libération - F63000 Clermont Ferrand R É P A R A T IO N C O N S E IL Port total sans matériel = 50 Attention : n’envoyez Port total avec un matériel ou plus = 80F. Assurance = +30 F par tranche de 2500 pet dans la limite de 10 000F. aucun matériel sans un Traitement prioritaire = +20 F. numéro de colisage. Étranger en Europe = +15 F. Recommandé = +70 F. , Toutes les commandes sont fermes et définitives. Cette publicité a été mise en page avec PageStream. f NOUVELLES VERSIONS ET h jl W.(, P^geStiram PageStream 1690 ENTIEREMENT EN ERÀNOÀiS (LOgiëîEL ET MANUEL) DrawStudio 980 | Æ L 1J "3! 7 iTE A, D, F. i. Haase & Pari StormC VF avec manuel et cours..........................1340 Réparateur A.B.E.............. 470 F 120 F Manuel français seul du Storm C ............................290 F Spouleur d’impression...................... Cours seul C ANSI/C ++ Rsthelle.......................... 240 F Pilotes d’impression Stylus et Canon.........................190 F Art Effect 2.6 NouveHe version. ......................... 980 F Encyclopédie sur l’Araiga : tout savoir sur l’Amiga Tome 1 : Tout sur Exec. le noyau du système 320 F PageStream Mac ou Amiga Version Française... 1690 F Tome 2 : Tout sur le matériel......................................320 F r Tous les filtres et Extensions sont bien sûr disponibles. Bien débuter sur Amiga (préciser l’ordinateur) 190 F PageStream mise à jour.................... 490 F Éducatif Décollages.............................................. 290 F TypeSmith l’éditeur de fonte Version Française... 490 F Thème Espace pour Décollages .......................140 F Thème Lettre pour Décollages ............................. 140 F BD Draw Studio 2 le dessin vectoriel............................980 F Thème Chiffres pour Décollages............................... 140 F H iso ft S v stem Thème La mer pour Décollages................................. 140 F Devpac 3.50........................................... 790 F 120 F e La vraie nouvelle version est entièrement en française 1/Clavier accentué Amiga........................... fonctionne sur tous les processeurs et coprocesseurs Environnement Workbench (images et sons) 120 F 680xx. et comprend cours, macros, aides hypertextes, Magic Synthesis : bientôt la référence en art musical..... 690 F dictionnaires, etc. (14 disquettes après décompactage). Computer Graphics : bientôt la référence en art graphique 690 F A320 Airbus.................................240 F G.I.G.N. Opération Jupiter........ 139 F After Bumer Aeria! Arcade Ace 139 F Genetic Species........................... 310 F Alcatraz .......................... 139F Giganoïd ...................... . 139 F Alien 3.......................................... 139 F Harlequin..................................... 139 F Anime Babes SE classé X 240 F HistorvLine 1914-1918............ 139 F Ballistix ......................... 139F Hook le capitaine Crochet .... 139 F Barbarian.......................................139 F Infestation ...................... . 139 F Bills Tomato Game — ..........139 F Jet-------------— 320 F Bob Morane - Océans 1 ........... 139F Knights of the Sky...................... 139 F Bob's Bad Day.............................139 F Krusty Fun House les Simpsons 139 F Captain Blood..............................139 F Kyrandia A 500-A 2000................ 149 F Civilization............... 220 F Lemmings II ......... 139 F lown-O-Mania...........................139 F Les aventures de Moktar........... 139 F olonization........................... 220 F Lethal Weapon l'arme fatale ..... 139 r ompilation Dream Team 139 F Lotus ra „ —................................. 139 F ompilation Fox Collection 139 F McDonaldland .................. 139 F ompilation Metalic Power 139 F Mickey 123......... ............ 139 F ompilation Monde Merveilles. 139 F Mickey ABC............................... 139 F ompilation Quattro Adventure. 99 F Mickey Jeux de mémoire ..... 139 F ompilation Quattro Fighters 99 F Mickey Mots croisés.................. 139 F ompilation Sport 2 ....................139 F Mickey Puzzles animés ....... 139 F razy Cars 3.................... 139 Motorhead F ......................... 139 F ytron............................................139 F Myst CD ou disquette...., ..... 339f >arkman............................ .... 139 F Navy seals....................... ..... 139 F îlf...................................... .... 139 F Nigel Mansell World Champion 139 F îuro League Manager.... .... 180 F No Second Prize........................ 139 F -19 Stealth Fighter.....................180 F Obliterator................................... 139 F FA Intemationbal Soccer....... 220 F Othelo Killer ................. 139 F :ire Force......................... 139 F Piracy on the High seas............. 139 F îying High ................,........245 F Push-Over............................... 139 F :ormula One Ferrari ............... 139 F Quake CD.................................... 349 F .......................... 139 F :ormula One Grand Prix............220 F Robocop Foundation CD.............................310 F RVF Honda................................. 139 F Samba World Cup......................325 F Silent Service II ........ 139 F Silk Worm..................................139 F Sim City .........................139 F Simant - les fourmis.............. . 139 F Six Sens Investigation...............359 F Sky Blaster ____.______139 p Star Wars ..........................139 F Street Fighter 2 ........ ............. 139F Super Hang On...........................139 F Super Tetris................................139 F Suspicious Cargo — ........... 139F S word of Sodan..........................139F The Sentinel ..........................139F Thunder Blade........................... 139 F Time of Reckoning....................235 F Ti ny Sweek............................... 139 F Virtual Karting CD ou disquettel90F Vroom data disk............... ..........139 F Wild Wheels Karting ..... 139 F Wing Commander......................265 F Wizkid........................................ 139 WWF European Rampage Tour 139 F Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Antoine Sabot-Durand Configuration Selectez un des élém ents ci-apres, puis setectez Configuration. Lorsque vous revenez à c e tte fenêtre, vous pouvez sélecter un nouvel élém ent ou Ferm eture pour sauvegarder la configuration. C artes e t protocoles Etat •j C artes e t protocoles de réseau local Configuré j Conversion d'un fichier .CFG de CM 1.3 Accès transport Socket/MPTS Accès port TCP/IP J Accès port NetBIOS Ferm eture Configuration Retrait Utilisation de la confîouration de TCPAP Configuré Annulation Aide Figure 7 : configuration des cartes et des accès. Nouveautés Flying High data disk .....139F Forest Dump............................... 139F Kang Fu ....................390f Gunbee F99................................159F Mogel .... ................... ............139 F Time Keepers ................. 189 F m ülÉc*ur recevoir une fiche produit ^ envoyez 1 franc en timbre par fiche demandée et une enveloppe timbrée. !ü -0 g L / v A O K j ' J & g A M K M 3D Images..................................... 155 ' Amiga Éorever ................... 369 F Amiga Format 32 (et moins) 49 F Amiga tools 8 (et moins)..........139 F Aminet 27 (et moins).....................89 F minet set 6 (et moins) 199 F APC TCP 6 (et moins)...................89 F Asim CDFS..................................480 F Digi Booster Pro ______329 F Eîastic Dream .................499 F Euro Cd 3 (et moins) 1.............129 F Fusion Mac Emulator..................699 F Geek Gadget..................................159 F GPFax............................................495 F Ibrowse VF...................................380 Scala MM400............................. 499 In to the net - Aller sur Internet.... 155 F Scanquix - Scanérisation.......... 690 Kara collection .......................265 F Siamese Svstem..........................299 F Lisht ROM 6 (4 CD)..................390 F Siegfried Ànti Virus Pro............285 F Magic W B............................... 109 F Spèccv Classix"98......................190 F Make CD complet----------------550 F S tF ax P ro ..................................640F Meeting Pcarls...............................69 F Studio Professionnal 2.2.........296 Miami î...................................... 279F True 3 D ..................................... 190 Mod’s Anthology........................259 F Turbo Cale V F...........................490F Netnews offline —Connaître le Net 39 F TurboPrint ........... 449 Organiser VF................................240 F Ultimate Blitz Basic CD------- 320 F Personal Paint..............................199 F WEB it........................................ 155 PFS2............................................. 390 F WordWorth VF........................ 490F Print Studio ...................259 F Workbench Designer 2 ..............159 F M T S K IS L A ) Ariadne Ethernet...................... 1690 Scanner Epson GT 7000------1790 Blizzard 1260............................3690 F Semet........................... 249 Blizzard extension SCSI..........690 s**?’Souris 2 boutons ............ 129 F Blizzard Ppc .... Toutes les références Souris 3 boutons....................... 209 ...... 149F BVision ....... 1580 F Joystick à partir d e Stylus color 640 ....................... 1490 F Cyberstorm Ppc Toutes les références Topolino pour A2000................320F 4480 F Topolino autre Amiga............... 295 S tvlu ^ o lo r 700 Photo.............. 1790 F Cyberstorm MK3 uw scsi Digitaliseur audiophonique 390 F Tour Atéo...................................980F Clavier standard...........................158 F Disque dur IBM 2V6................. 1929 F Tour Micronik..........................1240F lavier ergonomique..................399 F Doubleur de fréquence...............659 F >■Alimentation interne 200 W. 449 F arte modem L’SRobotics.... 690 F Lecteur interne DD standard 270 F >■Coque clavier+adapt.+cable.420F ame Pad ........ 169 F “*<Gecteur externe HD Micronik... 629 F >- Carte Zorro II......................1390F ouris Logitech Pilot Mouse......129 F Modem Hayes + adaptateur.... 1349 F ^ Carte Zorro III.....................3189F ouris Microsoft Home Mouse. 169 F OS 3.1 VF A500. A600. A2000 .....590 F >• Sortie externe SCSI..............169 ouris 3 boutons............... 85 F OS 3.1 VF A 1200. A3000. A4000.. 690 F >- Adaptateur PCMCIA...........245 380 p Pamet ..............................165 F >• Lecteur interne DD m ssm m miga A 1200 Magic................2590 F Picasso IV avec ScanDoubler. 2990 p >- Lecteur interne HD ........569" [Amiga A 1200 Magic H D ........ 3290 F >• Module Concierto Picasso.. 1290 p Pour .recevoir le cadeau AmigaN-v '. 3340 F >- Module Palomar Picasso 990 p /—vr>vr?-nnus la cop ie d e cou Ve’*” -** Amiga A1300...... Écran 15 *' garanti 3 ans......... 1540 ' Lecteur CDx36 IDE -----590 F Lecteur CDx32 SCSI ........ 890 F Lecteur ZIP SCSI........................990 F Disque dur IBM 3V?............... 1729F lAmiga A i 400 Zorro tl...............4849 r >• M odule Pablo Picasso 890 114 el une cnvcloDDe Limbiec. C onfig urer sa m a ch in e (i repartîe) <umitled> CMOS RAM byte 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 FE 0 0 0 0 0 2 0 76 0 0 0 0 0 0 0 40 0 8 0 EB 0 0 0 0 0 0 0 40 0 0 3 0 0 0 0 F0 0 1B 10 = 4 0 8 0 0 0 0 0 A8 0 6F 0 0 0 0 0 0 0 C3 0 40 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 n Hexadécimal Décim al 0 0 0 0 0 62 CF 0 10 0 Eco net station number 0 10 54 20 8 A 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 13 0 0 4 85 8 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 2E 7C 30 2C 38 0 0 0 0 0 0 0 0 0 2C 0 0 0 0 41 0 7B 0 0 90 0 0 0 0 FF 0 7D 0 0 2 0 0 0 0 1 0 A 0 0 8 0 0 0 0 61 0 1 0 0 0 0 0 0 0 8 0 0 0 0 0 0 0 0 0 19 0 0 0 0 Binary 0 0 0 0 0 0 0 84 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 EA En général, on fixe la valeur à *Opt 4 2. Pour visualiser les valeurs d'un disque dur, il suffit de lancer la commande *Cat, dont la premiè re ligne renvoie quelque chose proche de : Dir. ADFS: :HardDisc4.$ Option 02 (Run) ‘ Configure Filesystem Risc Os ne dispose pas de système de configuration au démarrage, tel le Bios livré sur les PC. Malgré tout, la machine possède une mémoire non volatile, qui sert à fixer les paramètres utilisés par le système. IL 2 *Run : lance le fichier Boot 3 *Exec : effectue un Exec sur le fichier Boot 0 0 0 0 0 0 0 0 0 3C Cette commande permet de déterminer la nature du système de fichier utilisé au démar rage. Le système se lance par défaut sur des disques Adfs. La commande ‘ Configure Filesystem octroie la possibilité de sélection ner un autre système de fichiers tel Scsifs, Idefs ou Atafs ; on peut ainsi démarrer sur d'autres types de disques et d'interfaces. La commande ‘ Configure Filesytem est liée à ‘ Configure Drive, qui permet de choisir le numéro d'unité disque dans un système de fichiers donné. Le disque 4 sous Adfs est le premier disque dur interne. A ce propos, vous pouvez essayer un *Cat ADFS::4.S ; cette commande liste le contenu du premier disque dur. Détail amusant, *Cat :e donne le même résultat. Bref, comme sous DOS, les disques peuvent se voir appelés par des lettres, mais contrairement à lui, le format le plus courant est le chiffre. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Contenu de la CMOS. a complexité et la finesse de ces para mètres ne permettent pas d'utiliser un simple logiciel pour gérer cet espace. Ainsi, les options principales peuvent être fixées par le logiciel !Configure, fourni avec le système. Cependant, la manière la plus puis sante de configurer sa machine reste l'utilisa tion de la ligne de commande et de la com mande ‘ Configure, qui propose de très nom breuses possibilités. La commande *Status vous donnera le moyen de contrôler la confi guration du système. L Le démarrage Avant de parler des commandes de configu ration liées au démarrage de le machine, il convient de faire un tour d'horizon des options classiques. A l'allumage, de nom breuses touches permettent de modifier les paramètres de l'ordinateur. La touche Shift offre la possibilité de ne pas démarrer la configuration du disque. La touche R remet la partie de la mémoire Cmos utilisée par le système d'exploitation à zéro, tandis que la touche Delete réinitialise toute la machine et la mémoire Cmos. Les touches T et End (Copy sur les anciens claviers), effectuent res pectivement les mêmes actions, mais la syn chronisation vidéo est inversée (pratique avec certains vieux moniteurs). ‘ Configure Boot Cette option est intéressante pour les per sonnes qui emploient souvent des configura tions très spécifiques (démarrage avec le Basic, la ligne de commande, ou utilisation d'une configuration de base). Elle revêt deux formes : la commande ‘ Configure NoBoot permet de ne pas booter sur le disque, et la commande ‘ Configure Boot active la possibi lité de booter sur le disque. En fait, la com mande ‘ Configure No Boot inverse aussi l'action de la touche Shift au moment de la mise en marche de la machine ; au lieu d'empêcher le Boot, la touche Shift le lance. Il faut également configu rer la manière dont le disque sera activé. Pour cela, il existe la comman de Opt 4 <n> où <n> peut prendre les valeurs sui vantes : 0 Pas d'action 1 *Load : charge le fichier Boot ‘ Configure Language Elle détermine le module utilisé au cour du Boot de la machine. Evidemment, cela ne fonctionnera pas si on a recours à une archi tecture classique de Boot. L'intérêt consiste à pouvoir choisir un module différent lorsqu'on ’shift-boot'. Par défaut, la valeur de ce para mètre vaut 10, ce qui pointe vers le module Desktop (vérifiez les numéros avec la com mande ‘ Rommodules). On peut utiliser les valeurs 16 pour démarrer avec le Basic, ou 61 pour utiliser la ligne de commande. ‘ Configure D ir <nom de dossier> Elle autorise le choix d'un dossier par défaut, différent de la racine. En fait, ce n'est pas très Vue de la configuration via la commande status. • jjj. Sp::ljrgjsc4.t fetiM12 («•») p r* T ai, i; llî' èjjisjfàfti ,2 <i-> ‘Scrtu«a»r M 'HindoatO )/ &ï!c i !Str*wrtr 1/ p r ' ' i l «al. t IScrHwtr jür®T •ut »/ 'Hiridant) )' tion automatique. Les valeurs sont en cen tièmes de seconde ; par conséquent, prenez garde à ne pas inscrire de valeurs trop réduites, car autrement, vous serez contraint de réinitialiser la machine (pression sur la touche Delete à l'allumage). de commande. On ne peut choisir que parmi les 'anciens modes', désignés par un numéro. Les modes abondent ; nous citerons par exemple le mode 32, qui est du 800 par 600 en 256 couleurs. Voilà pour cette première partie ; encore un peu de travail et vous serez bientôt en mesu re de configurer vous-même votre machine, et ceci d'une façon beaucoup plus efficace qu'avec l'application !Configure seule. ‘ Configure Tru n cate <on/off> ’Hiadwl) J Des chiffres et des lettres pour les disques. utile lorsqu'on manipule le Wimp. ‘ Configure NoDir revient à l'option par défaut (défaut=racine). ‘ Configure BootNet <on/off> Nous voici dans les options réseau. Cette pre mière option permet de se déterminer en faveur de l'un des termes de l'alternative sui vante : booter sur le réseau ou pas. ‘ Configure Lib <0/1 > définit la librairie utili sée ; 0 est la valeur pour la librairie par défaut, 1 représente la valeur pour ArthurLib. ‘ Configure Fs et ‘ Configure Ps choisissent le nom des serveurs de fichiers et d'impression (respectivement). Voilà, c'est tout pour le Boot... N'oubliez pas que vos cartes d'extensions peuvent influer sur le nombre de commandes disponibles. Aussi, si vous utilisez une carte Scsi, ne vous étonnez pas d'avoir des options supplémen taires (en cas de doute, employez la com mande ‘ Configure ou *Conf.). Elle définit le type d'action si un fichier de nom long est copié sur un système de fichiers qui ne peut les gérer. Truncate on permet de tronquer les noms de fichiers. Truncate off annule l'option précédente. Cette option fait partie des possibilités qu'a Risc Os d'adm inistrer les noms de fichiers longs. Le support effectif des noms de fichiers longs est laissé au système de fichiers ; la limite pour Adfs est de 10 carac tères par fichier, celle de Rafs atteint les 255 carac tères, etc. David Feugey ‘ Configure D um pForm at <n> Elle définit le format d'affi chage des données pour les commandes ‘ Dump, ‘ List, ‘ Type et le périphérique de sortie Vdu. Le paramètre <n> est partagé en plusieurs parties. Les deux premiers bits déterminent la métho de d'affichage des caractères de contrôle. Aperçu de la commande Dump. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Ligne de commande Il existe de nombreuses commandes qui don nent le moyen de changer les réactions de l'ordinateur, y compris lorsqu'il est exploité à partir de la ligne de commande. 0 Format de GSTrans (|A pour le caractère Ascii 1) 1 Utilisation du Point 2 <d> où d est un nombre décimal 3 <&h> où h est un nombre hexadécimal ‘ Configure Caps, NoCaps et ShCaps Elle offre la possibilité de choisir l'état du cla vier, lors du démarrage de la machine. Caps met le clavier en majuscules ; NoCaps, quant à elle, le convertit en minuscules. ShCaps est presque l'équivent de Caps ; il transpose le clavier en majuscules et redéfinit l'action de la touche Shift, qui permet alors d'obtenir les minuscules. ‘ Configure Scroll ou NoScroll Il s'agit d'une option qui confère le privilège de déterminer si l'écran doit scroller lorsqu'on arrive à la fin d'une page. Cette option ne sert que très peu, puisqu'elle n'influence pas le fonctionnement, ni l'affichage du bureau ou de la ligne de commande (cela modifie seulement l'affichage de certains modes). ‘ Configure Delay <n> et Repeat <n> Voici deux commandes qui définissent les paramètres du clavier, à savoir le délai avant répétition automatique et la vitesse de répéti Le troisième bit précise si les caractères de code Ascii supérieur à 127 doivent être traités comme des carac tères imprimables (bit à 1) ou comme des caractères de contrôle. Si le quatrième bit se situe à 1, les carac tères de code supérieur à 127 sont ramenés à un équivalent 7 bits (le caractè re Ascii 128 devient Ascii 0). La valeur par défaut vaut 4, ce qui débouche sur GSTrans et sur l'affichage des caractères codés en 8 bits. Résultat de la commande List. hd i !' ] " } R^r. i *;nc i Mini <cond> H s i <»-•■«*>.<••*>,< . frHYÏ'i1*1OiondTIcSiêV<•-»«•>.<-.mh > sssâJjuf&nîti'.f ÙMii»h!îu*r ; m t î : s * î , II^OUBlÇCHI^PUMjDCDILOUDIICMJS <p*pr > ÿ irsjjrîi j\ isv, : vïpa?sï is?ïn6', h ru ftr ‘ Configure Mode Elle sélectionne le mode graphique utilisé par la ligne Le Basic. Comprendre et utiliser le NFS serveur. Il est nécessaire de définir les répertoires auxquels nous allons permettre d'accéder et important de ne pas donner l'accès à n'im porte qui et à n'importe quoi ; le protocole NFS a en effet toujours eu de grandes failles de sécurité. Il demeu re donc préférable de n'utiliser ce service qu'au sein d'un réseau privé. Le partage des répertoires et les droits d'accès se défi nissent dans le fichier /etc/exports. Ce fichier est formaté de cette façon : Linux, comme tout bon système Unix, offre depuis ses premières versions des possibilités de client/serveur NFS. Cette option est loin d'être occultée, puisque quasiment toutes les distributions donnent désormais la possibilité d'installer le système par ce biais. Nous allons voir comment mettre en place et utiliser cet outil surpuissant que constitue le montage NFS. /répertoire/à/partager machine(droits_d_acces) Par exem ple, si nous voulons partager notre lecteur CD-Rom pour la machine Yoda et en lecture seule depuis la machine Vader, on écrira : /mnt /cdrom ais qu'est-ce donc que le NFS ? Il désigne l'un des multiples services disponibles au travers de la couche TCP/IP. En l'occurrence, il s'agit du "Network File System" mis au point et main tenu par Sun Microsystems. Ce système de fichiers permet de "mounter" une partition à travers le réseau. Une telle caractéristique servira par exemple à faire bénéficier du CDRom d'une machine X, une machine Y nécessitant ce périphérique, ou d'un point de vue plus global, à centraliser tous les répertoires "home" d'un réseau sur une seule et même machine. RX packets:1697 errors:0 dropped:0 overruns:0 TX packets:1795 errors:0 dropped:0 overruns:0 Interrupt:9 Base address :0x6500 On voit que l'interface ethO, correspondant au réseau ethernet, est bien active. Il convient également de s'assurer que les fichiers /etc/HOSTNAME et /etc/hosts se tro u ven t co rrectem en t docum entés. Rappelons que le fichier "HOSTNAME" comporte le nom de la machine sur laquel le on est connecté, et "hosts" les noms et aliases des machines présents sur un réseau accessible. De plus, il faut bien entendu que le support NFS client et serveur soit activé dans le noyau Linux. yoda (ro ) Toutes les permissions possibles sont dis ponibles dans les man-pages d'exports, par la commande "man exports". Il faut ensuite taper la commande "exporfs" pour réinitia liser le serveur, afin qu'il prenne en compte les derniers changements. Maintenant que notre CD-Rom est parta gé, plaçons-nous sur la machine Yoda et montons ce répertoire à distance via la commande suivante : Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Prem iers rég lag es La première chose à faire consiste à vérifier le bon fonctionnement de son réseau. Que l'on soit relié à un réseau local ou à Internet via une connection ppp, il suffit de taper la commande "ifconfig" pour s'assurer que toutes les interfaces souhaitées sont pré sentes. Voici l'allure de la réponse de cette commande dans le cas d'un réseau privé : lo Link encap:Local Loopback inet addr:127.0.0.1 Bcast:127.255.255.255 Mask:255.0.0.0 UP BROADCAST LOOPBACK RUNNING MTU:3584 Metric:l RX packets:141170 errors:0 dropped:0 overruns:0 TX packets:141170 errors:0 dropped:0 overruns:0 ethO Link encap :Ethernet HWaddr 00 :40 :05:5D:84:B2 inet addr:192.168.0.1 Bcast:192.168.0.255 Mask:255.255.255.0 UP BROADCAST RUNNING MULTICAST iyrru:1500 Metric:! In sta lla tio n et d é m a rra g e Les logiciels clients/serveurs sont mainte nant inclus en standard dans toutes les distributions de Linux ; la seule difficulté consistera à les retrouver sur son CD. Le client se nomme nfs-serverclients et le serveur nfs-ser(in ilP v a d e r i n i 11$ c a t ver. Leur simple installation suf fit d'ores et déjà à les rendre opérationnels. On peut en effet, tout de suite après l'installation, "moun ter" une partition NFS en toute q u iétu d e. Si l'on désire créer son propre ser veur NFS, il convient sim plement de démarrer les services rp c.m o u n td et rpc.nfsd. Et en fin : u tilisa tio n ! Voyons en premier lieu le mount -t nfs vader :/inrit/cdrom /mnt/cdrom en considérant que l'on a auparavant créé le rép ertoire /m nt/cdrom sur la m achine clien t et que le CD-Rom est "mounté" de manière habituelle sur la machine serveur. Et ça marche ! On accède désormais au CD-Rom de la machine Vader depuis la machine Yoda de façon tout à fait trans parente, le tout avec une vitesse de trans fert tout à fait honorable. Voilà encore un bon moyen de recycler de vieux 486... Emile Heitor - [email protected] /e tc /h o s ts [12 7 .0 .0 .1 lo c a lh o s t. lo cald o na in locA lo calhlhost o st 1 9 2.168.0.1 v a d e r.e n p ire .d a rk vader loghost vader luke j1 9 2.168.0.2 lu k e .e n p ire .d a rk 192.168.0.254 goda e n p ire dark yoda 1 94.51.32.61 n a il.c ie .f r n a il Cin iIP v ad er i n i 1)$ c a t /etc/HOSTNAflE u a d e r.e n p ire .d a rk (in ilO v ad er i n i 11$ c a t /e tc /e x p o r ts /n n t/e d ro n y o d a(ro ) /h o n e/n f s uod a(ru .n o _ ro ot_ squ ash ) (in ilO v ad er i n i 11$ ifc o n fly lo Link encap Local Loopback in e t ad d r: 1 2 7 .0 .0.1 Bcast : 127.255 .255.255 flask 2S5.0 0 .0 UP BROADCAST LOOPBACK RUfiMINC, HTU3584 flé trie 1 RX p a c k e ts: 166990 e r ro r s :0 dro p p ed O o v erru n s:0 TX p a c k e ts^ 166990 e r r o r s :0 d ropped;0 o v erru n s:0 ethO Link encap E th ern et HUaddr 00 40 0 5 :5 D 84 B2 in e t ad d r: 192.168.0.1 B cast 192.168.0 2S5 flask :2 5 5 .2S 5.255.0 HPBROADCAST RUNNING flULTICAST OTU : 1500 f lé trie 1 RX p ack ets 1705 e r ro r s O dropped O overrt«ns:0 TX p a c k e ts : 1803 e r ro r s :0 dropped'O o v e rriin sO I n te rru p t:9 Base a d d re ss :0x6500 lin ilO u a d e r i n i 11$ ro u te K ernel IP ro u tin g ta b le D e stin a tio n G ateuay 192 lbO.O.O • 1 2 7 .0 .0 .0 d e fa u lt y o d a .e n p ire .d a r 1 ini IPvader in i 11$ J Geimask 255 .2 5 5 .2 5 5 .0 2 5 5 .0 .0 0 0 0 .0 .0 F lags IIIl II UG f lé trie 00 0 0 Bef Ref 00 0 0 Use I le 7 1 20 e Une configuration réseau typique. MYG Ll Æk | 1 = * A 31 Bd Raimbaldi 06000 NICE Tel/Fax : 04.93.13.06.35 i rrxuiviu u u iviuio : Clavier A1200 10Of Quaterback 5 10Of AMIGA 1200 Processeur 68060 Copro 68882/40 Mhz PGA Apollo 1230/40 Apollo 1240/25 Module SCSI Apollo PPC603e160+68040/25 PPC603e200+40/25-60/50 3 1 0 0 fPPC603e200+socket 60 PPC603e240+40/25-60/50 3 6 9 0 fPPC603e240+socket 60 PPC avec SCSI II FlickerFixer externe tout amiga BVision PPC 4 Mo Dispo AM IGA 4000 PPC604e200 - 233+40/25+scsi 5 7 9 0 fPPC604e200 - 233+socle 60+scsi 5 3 9 0 fTout cable et terminaison SC SI 1,2,3 FlickerFixer interne A2000/3000/4000 Cybervision PPC 8 Mo Dispo Nous reprenons vos cartes pour l’achat d’une Carte son Delphina lite DelfSer et audiolab V2.0 pour delphina ARIADNE 2 ROM 3.1 tout AMIGA PRO M O TIO N S Carte Zorro II Micronik 990f Video slot Zll Micronik 399f Alim 3A A500/A600/A1200 199f Picture Manager 4 Pro (va) 299f Art Studio Pro (va) 249f Bum It TAO (va) Gravage CD 249f Fifa Soccer Dk 100 f Blockhead Dk 100 f Flying High Data 80f P R IX N ET S T T C * FRAIS DE PORT CD/jeux/Logiciel : 3 5 f Carte/HD/Mem : 60f Tour : 100f +1 Of par produit en plus 10H 30-12H 30 / 14H-19H M EM O IRE / C O P R O C E S S E U R 180f 2190f SIMM 32 bits 16 Mo EDO 60ns 299f SIMM 32 bits 32 Mo EDO 60ns 299f 750f Disque Dur 4.3 Go UWSCSI 2290f 449f 1250f CD Rom 32X Plextor SCSI 500f D IV E R S 2490f le c t e u r 1,76Mo interne(4) / Externe 449f / 540f 5390f S o u r is Wizard 120 f 120 f 2990f Cable Parnet + Programmes 5990f Cable 2.5/3.5/3.5 100f TEL 3590f Tour INFINITIV II A1200 +500f Alim Micronik Tour A1200 TEL TEL 1100f Boitier Clavier A1200 1590f Scsi slot pour tour 149f Tour A4000 TEL 6290f Tablette Wacom Artpad 2 1250f 5890f Pad Compétition Pro 149f WordWorth 7 449f TEL 299f 11 OOf Miami V3 (va) 299f 1990f l-Browse (va) TurboPrint 6 (va) 399f PPC 399f 1690f Elastic Dreams CD (va) Deluxe Paint V CD TEL 199f Scala MM400 CD (va) 499f TEL Siamese System (va) TEL 299f Amiga Tools 8 CD 120f Aminet 16 à 22 CD 65f Aminet 23 à 27 CD 85f WVninet set 6 CD 199f Amiga Forever 2.0 369f Samba World Cup CD ou Dk 269f Quake CD 349f Time Reckoning Quake CD (Add On) 199f Foudation CD 269f Genetics species CD 269f M O D IF IA B L E S S A N S P R E A V IS - C H E Q U E A Akira CD32 Workbench Designer 2 CD Amiga Tools 6 CD Geek Gadgets ADE 1 ou 2 CD Quaterback Tools Bundle Distant Suns 5.01 CD Distant Suns 4.2 Flight Amazon Queen Blitz Tennis Nemac IV CD Testament Master Axe Humans 3 CD/Dk Cygnus 8 Uropa 2 CD Shadow of 3Rd moon CD Myst CD Brain Damage Pinball Simon Sorcerer CD Megablast Enemy Railroad Tycoon «Colonisation Giga Graphics CD P-OS Pre release CD Sword PPaint 7.1 CD UFO Mega Typhoon Theme Park Chaos engine 2 AGA Mods Anthology CD Trapped 2 CD Tiny Troops Light Rom Gold CD Light Rom 5 CD Light Rom 6 CD Diavolo Backup Magic Publisher CD Scala Plug In CD F15 Strike Eagle II Final Odyssey CD On Escapee CD L ’O R D R E 80f 120f 80f 100f 180f 169f 10Of 169f 100f 149f 129f 129f 149f 100f 199f 199f 299f 149f 149f 100f 149f 149f 180f 149f 120f 160f 249f 149f 149f 149f 149f 180f 180f 180f 180f 199f 290f 299f 199f 199f 149f 269f 269f D E M Y G A LE Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM nn co avec oon C D -R o m ! Au som m aire Dossier : Nurbs, metaballs, patches... Pratique 3D ; Amapi 3.0, Poser 3, Inspire 3D, Design Workshop. Pratique 2D : Photoshop 4 et 5, lllustrator 7. Pratique On/off line : Flah 3, Director 6. Pratique musique : Rétro AS-1, MP3. Pratique vidéo : Première, Media Studio Pro. Making of : Lara Croft au pays de la pub Sur le CD La Démo d'Amapi 3D 4.0. Application du traitem ent par lots à un script CGI Après avoir abordé le mois dernier le traitement automatique d'images, nous allons aujourd'hui utiliser ces fonctionnalités pour permettre à un internaute de consulter une carte de grand format. Etape 1 : convertir l'image originale pour obtenir un fichier au form at RGB En admettant que l'image originale porte le nom 'carte.tif', la commande idoine sera ; convert carte.tif rgb:carte.rgb Cette étape se révèle indispensable, car convert n'autorise le découpage de portion d'image que si le fichier source est codé dans le form at RGB. A noter tout de même qu'une image RGB non compressée de 65536 pixels de côté occupe 24 Go (et pas seulement 12, car chaque composante rouge, verte et bleue de chaque point est codée sur 2 octets). deux premières phases peuvent parfaite ment être réalisées avec n'importe quel pro gramme, interactif ou non, permettant des manipulations équivalentes. A l'inverse, on peut vouloir calculer ces valeurs si l'on souhaite traiter automatique ment de la sorte plusieurs cartes de dimen sions différentes. Il demeure relativement facile de le faire à l'aide de langages tels que Perl ou TCL en filtrant les informations rap portées par la commande tiffinfo ; l'opéra tion se montre plus délicate à effectuer avec un shell traditionnel, mais n'a pour autant rien d'impossible. Voici comment procéder : Récupération de la largeur et de la hauteur : [prompt_shell]% largeur='tiffinfo carte.tif |grep 1Image Width ’ |awk ’{ print $3 }'' [prompt_shell]% hauteur='tiffinfo carte .tif |grep ’Image Width1 |awk ’{ print $6 } 1' La présente syntaxe fonctionne en particu lier pour le shell Bash ; en ce qui concerne les autres shells, il faudra éventuellement adapter. D'autre part, les références au format TIFF pour l'image originale étant omniprésentes dans ce qui précède, il peut s'avérer préfé rable de convertir dès le départ son image dans ce format à l’aide de la commande : Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM La vignette de visualisation. ^ tf^ ^ u i dit grand format, dit image de ■ taille volumineuse, impossible à télécharger, même sur un réseau 100 Mbits, a'autant que les navigateurs n'accep tent d'afficher que des images dont les dimensions n'excèdent pas, en règle généra le, les 8000 pixels de côté (nous sommes loin des 16 000 pixels autorisés dans une image GIF). D'autre part, réduire l'image dans le but de la transmettre la rendrait illi sible, donc inutilisable. Dans cette situation, ImageMagick va s'avérer d'un grand secours. Un programme comme co nvert offre quelques avantages déterminants dans la réalisation de ce type d'application. Il peut notamment s'exécuter en tâche de fond sans requérir aucune interface graphique, ce qui implique une belle économie de ressources en terme de charge CPU. En outre, la pré sence de traitements directement exploi tables dispense d'une quelconque program mation et de connaissances intrinsèques des formats graphiques ou de leur manipulation. En conséquence, il permet d'effectuer un prototypage aisé, et pourquoi pas, une exploitation en conditions réelles si les temps de réponse s'avèrent satisfaisants. Etape 2 : faire une vignette (une représentation réduite) qui servira de point de départ à l'internaute Prenez connaissance des dimensions de votre image d'origine (à l'aide de tiffinfo par exem ple, si elle se trouve au format TIFF) et déterm inez, uni quement sur la base de votre bon sens, les dimensions que devra avoir la vig nette. Lancez ensuite une commande du genre : convert carte.EXTENSION_FORMAT_QUELCONQUE tiff:carte.tif Ensuite, on choisit la largeur et la hauteur que devra avoir chaque vignette. En toute logique, on choisira une largeur constante, ce qui semble relativement approprié dans convert -geometry 30%x30% carte.tif gif:carte.gif ou, si vous préférez spécifier les valeurs en p ixe ls (n otre modèle fait 685 par 925 pixels) : convert -geometry 205x277 carte.tif gif:carte.gif Bien entendu, les Notre carte aux dimensions réelles. le cas d'une exploitation avec une interface Web. Prenons donc 250 pixels de large. Le calcul de la hauteur correspondante res semblera alors à : [prompt_she 11]% hauteur_apres_reduc tion='expr 250000 / $largeur \* $hauteur / 1000' avec pas moins de quatre remarques cette fois. S'il peut sembler ridicule d'utiliser la valeur 250000 pour, au final, diviser le tout par 1000, il faut bien garder à l'esprit que la commande expr travaille essentiellement sur des valeurs entières et que les calculs avec des nombres arrondis donnent des résultats par trop approximatifs. De surcroît, il serait assez hasardeux d'essayer d'introduire des parenthèses dans une expression soumise à expr, car si celle-ci ne bronche pas, les résul tats se révèlent pour le moins déroutants. Le second point porte sur la présence d'une barre de fraction inverse juste devant l'asté risque, ceci dans le but d'empêcher le shell de substituer à cette astérisque la liste des fichiers contenus dans le répertoire courant. En troisième lieu, prenez soin d'insérer au moins un espace après chaque opérande et opérateur, car la syntaxe d'expr l'exige. Enfin, les apostrophes sont ici de type 'inver se'. En conclusion, après ces différentes com mandes, la création de la vignette ressem blera à : santés pour expérim enter notre petite application. Il faut copier le fichier carte.gif dans le même répertoire que le fichier HTML cidessus, en l'o ccu rre n ce le dossier /home/httpd/html/carto, créé pour l'occa sion. Ci-après se trouve le contenu du fichier nommé 'zoom' dans le répertoire des scripts CGI (tel que défini dans le fichier de c o n fig u ra tio n de votre serveur W eb, /hom e/http d /cg i-b in par défaut pour apache 1.2.6 sur Linux Red Hat 5.1). Première version : N etscap e 1 #!/bin/bash 2 3 largeur_vignette='250' 4 5 largeur='/usr/bin/tiffinfo /home/httpd/html/carto/carte.tif |grep 1Image Width’ |awk 1{ print $3 }•' 6 hauteur='/usr/bin/tiffinfo /home/ht tpd/html/carto/carte.tif |grep ’Image Width1 |awk '{ print $6 } • ' 7 8 facteur='expr $largeur \* 1000 / $largeur_vignette' 9 10 x='echo $QUERY_STRING | sed -e ’s/point_selectionne\.x=//;s/&point _selectionne\.y=[0-9]*//1' 11 y='echo $QUERY_STRING | sed -e 's/point_selectionne\.x=[0- Premier script de l'étape 3 (la vignette dans un navigateur SANS menu gamma). 200+$csg_x+$csg_y] gif :/home/httpd/html/carto/tmp/régi on_$$.gif 17 18 19 echo Content-type: text/html 20 echo 21 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM convert -geometry 25Ox$hauteur_apres_reduction carte.tif gif:carte.gif 9]*&point_selectionne\.y=//'' 12 13 csg_x='expr $x \* $facteur / Il est possible que la vignette fasse un pixel de moins en largeur que la taille deman dée, car les résultats fournis par expr se voient systém atiquem ent arrondis par défaut et parce que convert conserve les proportions de l'image. 1000 - 100' Étap e 3 : réd a ctio n du scrip t /home/httpd/html/carto/carte.rgb [200x Le script affichera une portion découpée depuis l'image originale au format RGB, en fonction des coordonnées du point sélec tionné par l'utilisateur, sur la représentation réduite (la vignette), comme s'il s'agissait d'un zoom. Le fichier HTML qui va présenter la vignet te à l'utilisateur devra comporter les élé ments suivants : <FORM ACTION="/cgi-bin/zoom" METHOD="GET"> <INPUT TYPE="image" SRC="carte.gif" NAME= "point_selectionne" BORDER="0"> </FORM> Ces trois directives sont pleinement suffi- 14 csg_y='expr $y \* $facteur / 1000 - 100' 15 16 /usr/XI1R6/bin/convert -size ${largeur}x$hauteur 22 echo "x = $x ; y = $y<P>" 23 echo "csg_x = $csg_x ; csg_y = $csg_y<P>" 24 25 echo "PID = $$<P>" 26 27 echo "largeur = $largeur ; hauteur = $hauteur<P>" 28 29 echo "/usr/X11R6/bin/convert -size ${largeur}x$hauteur /home/httpd/html/carto/carte.rgb [200x 200+$csg_x+$csg_y] gif :/home/httpd/html/carto/tmp/regi on_$$.gif<P>" 30 31 echo 1<IMG HRE31 Eichw £dkioo ^fichage AJtei £ommunicatoi 2 à Recharge» f ’ Signet* Accuei a :S Reche. Adesse: | -119Scpom»_îetectionne y-161 x = 119 ; y = 161 csg_x = 376 ; csa y= 544 PID = 7114 largeur = 685 , hauteur = 925 /usr/Xl lR6/bm/convert -size 685x925 /home/http d/html/c arto/c arte.rgb [200x200+376+544] gif/home/hîtp d/html/c arto/tmp/region_7114.gif " * Second script de l'étape 3 (le zoom dans un navigateur SANS légende et AVEC 'debug'). moyen de pallier les aléas de la valeur de la variable d'environnement PATH communi quée au script (remarquez au passage le manque cruel de rigueur, puisque les com mandes sed et expr ne bénéficient pas du même traitement ; quant à echo, il s'agit d'une commande interne du shell qui ne peut donc pas se voir attribuée de chemin d'accès). Petit rappel, la commande 'which' peut vous permettre de connaître le chemin d'accès d'un programme, simplement en lui fournissant comme paramètre le nom de celui-ci, comme dans 'which convert'. D'autre part, concentrons-nous sur l'utilisa tion de la variable spéciale $$. Il s'agit d'un vieux truc assez simple et suffisamment effi cace lorsque l'on veut créer des fichiers tem poraires sur un système multitâche/multi-uti lisateurs. De fait, on ne saurait se permettre de choisir un nom de fichier figé, car plu sieurs personnes peuvent exécuter le même programme (ce script en l'occurrence) presque simultanément ; il en résulte que le fichier temporaire est uniquement valide pour le dernier des utilisateurs à l'avoir sollici té. Un identificateur unique est le PID (Process IDentification), qui se trouve remis à 0 lors uniquement du reboot. L'accès à cette valeur dans un shell s'opère par le biais de la variable $$, ce qui explique qu'on l'utilise dans le cas présent. Enfin, le troisième point important consiste dans l'usage des accolades comme délimi teurs du nom de variable 'largeur'. Leur pré sence s'explique par la lettre x suivant direc tement le nom de la variable. Comme la syntaxe de convert n'autorise pas d'espace, les accolades permettent de faire com prendre au shell que la variable en question est bien 'largeur' et non pas ’largeurx'. Afin de ne pas tout mélanger, les fichiers temporaires sont entreposés dans un sousrépertoire créé spécialement et baptisé 'tmp' dans notre dossier 'carto'. Il ne faut pas oublier de donner le droit d'écriture à tout le monde pour le répertoire 'tmp' car, par défaut, l'utilisateur associé à l'exécution d'un script CGI est le pseudo-utilisateur 'nobody' et, s'il n'a pas le droit d'écrire dans 'tmp', aucune image temporaire ne pourra se créer. Aux lignes 19 et 20 correspond l'envoi au navigateur Web de l'en-tête du document HTML que nous sommes en train de créer dynamiquement. Le deuxième echo sans paramètre se révèle extrêmement impor tant : il provoque l'envoi d'un second retour chariot, qui est identifié par le navigateur Web comme le séparateur entre la zone des en-têtes arrivée en premier et la zone des données qui va suivre. Lignes 22 à 29 se déploie l'affichage de toutes les variables nécessaires à ce script, utile uniquement pendant la phase d'élaboration. Sa présen ce ici sert à montrer qu'il s'agit encore de la méthode la plus simple et la plus pratique de vérifier la cohérence des données tout au long de la conception. Ainsi, la façon dont le shell interprète les paramètres com muniqués à une commande, pour mettre en évidence des pièges comme celui qui impo se de faire usage d’accolades, va même jus qu'à s'afficher. La ligne 31 se consacre à la directive HTML pour l'affichage de la portion d'image découpée ; elle nécessite seulement deux remarques. D'une part, il convient de bien faire attention aux chemins d'accès mis en œuvre ; en effet, nous sommes contraints de mélanger des références propres au systè me de fichiers du système d'exploitation et d'autres spécifiques au classement interne du serveur Web (de plus, il faut prendre garde à l'emploi d'un chemin d'accès relatif, le réper toire où s'exécute le script n'ayant rien à voir avec celui où se trouve le fichier HTML qui y fait référence). D'autre part, focalisons-nous sur l'emploi qui est fait des apostrophes comme délimiteurs. La difficulté ici consiste à éviter l'interprétation des signes supérieur et inférieur ; il y aurait possibilité d'utiliser des guillemets ou des apostrophes mais, puisque l'on veut aussi incorporer des guillemets dans la directive HTML, on utilise alors les apostrophes comme délim iteurs. Mais, comme les apostrophes, à l'inverse des guillem ets, annulent l'évaluation des variables introduites par le caractère $, on place celles-ci en dehors des guillemets. En résumé, la règle à retenir est que les apos trophes évitent l'interprétation de caractères jugés spéciaux par le shell, sauf pour les variables avec $ comme préfixe. Les apos trophes vont plus loin en inhibant aussi l'in terprétation de ce caractère S. Pour les pro grammeurs Perl, cela s'avère d’autant plus facile à retenir que ces règles demeurent identiques dans ce langage. Les deux principaux défauts de cette premiè re version sont l'absence de traitement approprié pour les découpages débordant de l'image originale et l'utilisation de fichiers temporaires. En effet, si le morceau à découper déborde de l'image source, le résultat n'est pas auto matiquement tronqué. Un débordement en largeur crée une bande latérale sur la nouvel le image générée. En hauteur, le programme convert ne rend tout simplement pas la main. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM SRC="/carto/tnp/region_' $$ '.gif">' Note : les numéros en regard de chaque ligne sont uniquement présents pour des rai sons de commodité et ne doivent pas appa raître dans votre script. Ligne 3, la largeur de la vignette étant tota lement arbitraire, il nous faut bien la définir explicitement. Ligne 8, le point que va sélec tionner l'internaute se verra exprimé par rap port aux dimensions de la vignette ; or, il nous faut des valeurs données par rapport aux dimensions de l'image originale pour pouvoir découper une région à l'intérieur. La variable 'facteur' va nous permettre de les calculer. Lignes 10 et 11, à l'aide de sed, on extrait de la variable d'environnem ent QUERY_STRING, créée par le serveur Web pour le script CGI, les valeurs x et y du point sélectionné (en fonction de la directive INPUT de notre document HTML, la variable QUERY_STRING correspond à une chaîne, qui ressemblera à : point_selectionne.x=l 23&point_selectionne.y=456). Lignes 13 et 14, on calcule les coordonnées du coin supérieur gauche de la région que l'on va découper en choisissant arbitrairement une portion carrée de 200 pixels de côté. Ligne 16, on procède au découpage à pro prement parler. Trois choses sont à noter. En premier lieu, intéressons-nous à l'utilisation du chemin d'accès complet pour chercher le programme convert. Celle-ci donne le Étape 3b : am élioration du script Ce nouveau script a pour but de recentrer l'image découpée en fonction des limites de l'image originale, de façon à éviter des bor dures latérales disgracieuses et des blocages, informa Dream vous propose de participer à cette rubrique Dream Market. Particuliers, clubs, associations, boutiques, PME... Cette rubrique est pour vous. 390 F. H.T. le pavé en couleur ! Renseignements : 01.53.36.84.21 POSSE PRESS recrute pour l'en sem ble d e ses m agazines R éd a c teu r te c h n iq u e s y s tè m e s - ret DR Maîtrise parfaite du système Unix/Linux. Excellentes connaissances techniques (programmation C et Java, réseaux...). La connaissance des systèmes OS/2, BeOs, RiscOS ou AmigaOs serait un plus. Bon contact, maîtrise de l'anglais et bonne plume nécessaires. 29 ter rue Lakanaf - 34 090 Montpellier Tél. 04.99.5834.00- Fax. 04.99.58.34.01 a lté r a . Matériel informatique neuf et d’occasion Carte L X 2 M o * A LP H A 533 Mhz 54. Mo S D R A M EC O 11500 TTC Go „ D isq u e 5.4 UJDMA 1.190 F 54 M o S D R A M 100 590 F 2.1 G o UJDMA ... 790 F CD 32 X ID E - .3 9 0 F N a o u e ttis te PA O - ret Conf igurations SC SI LINUX *=* 0 4 - . ^ S ~ T C > 4 ~ . S MÇ 3615 FRANCE MICRO Bonne connaissance des logiciels Xpress, Photoshop et Illustrator. Fibre créative souhaitée. S ta g ia ir e s - MAC - PC - AMIGA - ATARI Premier serveur minitel spécialisé dans le matériel informatique jusqu'à -70% moins cher ret st PC IBM 386 couleurs : 450F - PC 286:260P Rédaction, création multimédia ou commercial PC 486: 990F - Portable : 1400F - Pentium 1:1990F Pentium ! multimédia : 2900F A dresser CV et prétentions à Pentium II 300MHZ : 4090F - Imprimante : 250F Ecran : 450F - Mémoire et processeur en baisse P o m ç P reM / R e c r u te m e n t 16 , r u e d e la F o n ta in e a u R oi 7 S 0 11 PariA Tous les périphériques à prix imbattables ! Vçrçi dr onxwçr h 'é'r-mcr du poste w ï'rnvrîoppe Achat - Vente - Echange - Location C Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Chaque mois, le magazine + C D -R o m = 4 2 f Ludi CD : CD Pro : Need For Speed 3 : la référence en matière de jeux de courses de voitures est de retour ! PageGenie *98 : Convertissez vos documents sous forme d'images vers du texte grâce à la démo de ce logiciel ! + Distribution Linux Mandrake Netscape Fichier Edition Affichage Aller Communicator i -y Précédent $ " Signets Recharger /point_selectionne\.x= (\d+) &point_ selectionne\.y=(\d+)/; 20 A Accueil f l | l Adresse: |int_selectionne.y=1611▼] Document HTML généré dynamiquement faisant référence à une image qui va être à son tour générée dynamiquement 21 $csg_x = min (max (0, int ($x * $facteur - 100)), $largeur - 200); 22 $csg_y = min (max (0, int ($y * $facteur - 100)), $hauteur - 200);; 23 24 systen* ("/usr/XIlR6/bin/convert -size ${largeur}x$hauteur /hcme /httpd/html /carto /carte.rgb [200x 200+$csg_x+$csg_y] gif :/home/httpd/html/carto/tmp/regi on_$$.gif"); 25 26 print <<"FIN_HTML" ; 27 Content-type: text/html 28 29 x = $x ; y = $y<P> 30 csg_x = $csg_x ; csg_y = SANS laisser de trace sur le disque du serveur. Document: chargé Etape 3e (zoom dans un navigateur AVEC légende et SANS 'debug'). pour les découpes susceptibles de dépasser en haut ou en bas. Par conséquent, il est nécessaire d'introduire des calculs supplé mentaires, qui vont nécessiter l'utilisation d'un langage comme Perl, plus à même d'ef fectuer ces calculs que la commande 'expr'. Vous trouverez ci-dessous la traduction du script en Perl, avec une légère amélioration consistant donc à recadrer la portion décou pée, lignes 21 et 22, afin qu'elle soit toujours dans les strictes limites de l'image originale, et pour s'assurer de ne pas provoquer de blocage. $csg_y<P> 31 32 PID = $$<P> 33 34 largeur = $largeur ; hauteur = $hauteur<P> 35 36 /usr/XllR6/bin/convert -size ${largeur}x$hauteur exclusivem ent la portion découpée, et dans ce cas, il s'agit d'un simple script qui envoie l'en-tête approprié et conclut son traitem ent par l'exécution de convert, lequel envoie, son tour, son résultat sur la sortie standard. Soit l'on désire incorporer la portion choisie dans un docum ent HTML et il faut alors scinder la tâche en deux scripts qui vont travailler en alternan ce ; le premier servira élaborer dynami quem ent le document HTML avec une directive d'insertion d'image faisant réfé rence au second, celui-ci ayant pour rôle le découpage de la portion d'image et son envoi sur la sortie standard avec l'en-tête adéquat. Passage la pratique. Premier cas : à à à 1 #!/usr/bin/perl 2 3 $largeur_vignette = 250; 4 5 open (TIFFINFO, '/usr/bin/tiffinfo /hcme/httpd/html/carto/carte. tif |'); 6 while (<TIFFINFO>) 7 { 8 if (/Image Width: (\d+) Image Length: (\d+)/) 9 { 10 $largeur = $1; 11 $hauteur = $2; 12 last; 13 } 14 } Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM 1 #!/usr/bin/perl 2 3 $largeur_vignette = 250; 4 5 cpen (TIFFINFO, 1/usr/bin/tiffinfo /haæ/httq?d/html/carto/carte.tif |'); 6 while (<TIFrFINFO> ) 7 { 8 if (/Image Width: (\d+) Image Length: (\d+)/) 9 10 { $largeur = $1; 11 $hauteur = $2; 12 last; 13 } 14 } 15 close (TIFFINFO); 16 17 $facteur = $largeur / $largeur_vignette; 18 19 ($x, $y) = $ENV{ 1QUERY_STRING '} /hone/httpd/html/carto/carte.rgb [200x 200+$csg_x+$csg_y] gif :/home/httpd/html/carto/tmp/regi on_$$.gif<P> 37 38 <IMG SRC="/carto/tmp/region_$$.gif"> 39 FIN_HTML 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 sub min { local ($ v l , $v2) = @_; 15 close (TIFFINFO); 16 17 $facteur = $largeur / $largeur_vignette; 18 19 ($x, $y) = $ENV{ 1QUERY_STRIN3 '} =~ /point_selectionne\ .x= (\d+) &point_s electionne\.y = (\d+)/; 20 retum ($vl < $v2) ? $vl : $v2; } sub max { local ($ v l , $v2) = @_; retum ($vl > $v2) ? $vl : $v2; } Etape 3c : élim ination des fichiers tem poraires Le but de ce nouveau script est de rempla cer les fichiers temporaires par une utilisa tion judicieuse de la sortie standard avec convert, car les fichiers temporaires se mon trent particulièrement gênants dans le cas du Web, vu qu'ils ne peuvent déterminer avec e xactitu d e la durée de vie q u 'il convient de leur accorder. Deux solution existent. Soit l'on affiche 21 $csg_x = min (max (0, int $facteur - 100)), $largeur 22 $csg_y = min (max (0, int $facteur - 100)), $hauteur 23 24 $| = 1; 25 26 print "Content-type: image/gif\n\n"; 27 ($x * 200); ($y * 200);; 28 system ("/usr/XllR6/bin/convert -size ${largeur}x$hauteur /hcsme/httpd/html/carto/carte.rgb [200x 200+$csg_x+$csg_y] gif:-"); 29 30 sub min 31 { 32 33 34 local ($vl, $v2) = @_; retum ($vl < $v2) ? $vl : $v2; 35 } 36 37 sub max 3 $largeur_vignette = 250; 4 5 open (TIFFINFO, 1/usr/bin/tiffin- 38 { 39 40 41 42 } fo /home/httpd/html/carto/carte.tif local ($vl, $v2) = retum ($vl > $v2) ? $vl : $v2; Vous remarquerez les deux principales inno vations de ce script, le type du document créé, 'image/gif', remplaçant 'text/html', et le nom du fichier destination dans les para mètres de convert qui laisse place au tiret. Ce caractère symbolise sous UNIX, pour bon nombre de program m es - et convert n'échappe pas à cette règle - l'entrée ou la sortie standard. L'image ainsi créée ne transi te plus sur le disque mais est directement expédiée au navigateur Web de l'internaute. Petite variante : si votre image d'origine n'est pas une carte utilisant peu de couleurs mais une photo, le format GIF ne s'avère pas for cément le plus approprié. Au contraire, le JPEG est recommandé. Cela tombe à pic, car non seulement vous retrouverez toutes vos couleurs mais, pompon sur le gâteau, l'ima ge élaborée nécessitera un nombre d'octets bien moins important que son équivalent GIF - environ trois fois moins - en conservant une bonne qualité. Enfin, et cela est aussi intéressant pour une image peu colorée, dans le contexte présent, convert demandera environ cinq fois moins de temps pour créer une représentation au format JPEG que son équivalent au format GIF. Pour parvenir à ce résultat, il suffit d'apporter trois modifica tions mineures aux lignes 26 et 28 pour obtenir ce qui suit. P IR E Netscape Fichier Edition Affichage Aller i Précédent I '); Communicator 2 Recharger Signets Aller à: sI à Accueil J V/locafhost/carto 3 6 while (<TIFFINFO>) 7 { 8 if (/Image Width: (\d+) Image Length: (\d+)/) 9 10 11 12 13 14 15 16 17 { $largeur $hauteur last; = $1; = $2; } } close (TIFFINFO); $facteur = $largeur / Correction gamma $largeur_vignette; 18 19 ($x, $y) = $ENV{ 1QUERY_STRING1} /point_selectionne\.x= (\d+ )&point_ sélectionne\.y=(\d+)/; 20 21 $csg_x = min (max (0, int ($x * $facteur - 100)), $largeur - 200); 22 $csg_y = min (max (0, int ($y * $facteur - 100)), $hauteur - 200);; 23 24 25 print « " FIN_HTML"; 26 Content-type: text/html 27 28 Document HTML gén&eacu- J' Document: chargé Premier script de l'étape 3 f (vignette dans Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM = NATIONALE 26 print "Content-type: image/jpeg\n\n"; 27 28 System ("/usr/XllR6/bin/convert -quality 90 -size ${largeur}x$hauteur /home/httpd/html/carto/carte.rgb[20 0x200+$csg_x+$csg_y] j p e g : ); Ligne 26, on remplace 'gif' par 'jpeg'. Ligne 28, on fait de même et on ajoute le niveau de qualité de l'image à produire (75 par défaut si cette option est absente). Le second cas consiste à scinder la tâche en deux : un premier document au format HTML est retourné au navigateur, qui fait référence à une image n'existant pas enco re ; en effet, on se contente simplement dans cette référence d'invoquer le script chargé de l'élaborer. Le premier script est donc remanié pour donner ce qui suit. 1 #!/usr/bin/perl 2 te;ré dynamiquement faisant référence à une 29 image qui va être à son tour génér&eacu te ;e dynamiquement<P> 30 31 <IMG SRC="/cgi-bin/ image_seule.pl?$csg_x.$csg_y.$lar geur .$hauteur"><P> 32 33 SANS laisser de trace sur le disque du serveur. 34 35 FIN_HTML 36 37 sub min 38 { 39 local ($vl, $v2) = @_; 40 41 r e t u m ($vl < $v2) ? $vl : $v2; 42 } 43 44 sub max 45 { 46 local ($vl, $v2) = @_; 47 un navigateur AVEC menu gamma). = DEPARTEMENTALE Fichier qui va servir de légende pour l'étape 3. 48 r e t u m ($vl > $v2) ? $vl : $v2; 49 } On y retrouve une structure générale pré sentée précédem m ent avec quelques retouches. L'appel à convert a disparu, et la directive 'IMG' fait désormais référence à un second script plutôt qu'a une image statique. Ce fam eux script, 'im age_seule.pl', est explicité ci-dessous. 1 #!/usr/bin/perl 2 3 ($csg_x, $csg_y, $largeur, $hauteur) = split (/\./, $ENV{’QUERY_STRING'}); 4 5 $| = 1; 6 7 print "Content-type: image/jpeg\n\n"; 8 9 system ("/usr/XHR6/bin/convert -quality 90 -size ${largeur}x $hauteur /home/httpd/html/carto/carte.rgb [20 0x200+$csg_x+$csg_y] jpeg:-"); Point très important à respecter : la présence de la ligne 'SI = 1;', ici, et dans les scripts pré cédents. La variable spéciale SI en Perl gère le comportement des entrées/sorties quant à l'utilisation des buffers. Par défaut, les entrées/sorties sont 'bufferisées' (anglicisme barbare mais... faute de trouver mieux), essentiellement pour des questions de per formances. Dans le cas présent, l'affichage de l'en-tête 'Content-type...' ne suffit pas à remplir à lui seul le buffer ; le contenu de celui-ci ne se trouve donc pas 'transmis' (de plus, la fin du script n'étant pas atteinte, ce buffer n'a pas non plus de raison de se vider - 'flush' en anglais - ) et l'on passe alors sur la commande System qui invoque convert. Celle-ci envoie l'image, le script récupère la main, se termine et ses buffers se vident ; l'en-tête est alors, seulement à ce moment, envoyé... Un peu trop tard ! Étape 3d : utilisation d'une version compressée de l'image RGB Si l'image au format RGB est vraiment trop volumineuse, il reste possible de la compres ser, au détriment, on s'en doute, des perfor mances. En effet, convert reconnaît et traite automatiquement les fichiers compressés à l'aide de compress ou de gzip, grâce à la présence des suffixes caractéristiques que ces commandes ajoutent aux noms des fichiers. Deux minuscules manipulations suffisent. La première consiste bien sûr à compresser l'image RGB. /hcrne/httpd/html/carto/legende.tif ' quality 90 -size ${largeur}x$hauteur /home/httpd/html/carto/carte.rgb.gz [200x200+$csg_x+$csg_y] jpeg:-"); Vous remarquerez la présence effective de l'extension '.gz' derrière le nom de l'image RGB et la syntaxe permettant d'incruster notre légende sur la portion de carte présen tée à l'internaute, placée dans son coin infé rieur droit, à 10 pixels de distance des bords. Ne subsiste qu'un seul petit regret : à moins d'avoir omis une possibilité lors des tests, la gestion de la transparence de l'image collée (si elle existe) fait défaut. Étape 3f : gestion libre de la correction gamma Poussons nos investigations un petit peu plus loin pour épater notre internaute en lui offrant la possibilité de modifier à sa guise la correction gamma de la portion d'image qui lui sera présentée. Il faut pour cela modifier nos trois fichiers. Dans le document HTML de présentation de la vignette, on ajoute quelques directives pour arriver au résultat suivant : <FORM ACTION= "/cgi-bin/doc_html.pl " METHOD="GET"><INPUT TYPE="image" image/ jpeg\n\n" ; System ("/usr/XHR6/bin/convert -draw 'image 90,170 /home/httpd/html/carto/legende.tif ' -quality 90 -gamma $gamma -size ${largeur}x$hauteur /home/httpd/html/carto/carte.rgb.gz [200x200+$csg_x+$csg_y] jpeg:-"); Ceci clôt ce survol de quelques-unes des très nombreuses possibilités de convert. Passons m aintenant aux réflexions de comptoir. Bien évidemment, il y a moyen d'améliorer encore les temps de réponse, en commençant par éviter d'invoquer sys tém atiquem ent le program m e tiffinfo alors que l'on se trouve en mesure de stocker les informations nécessaires dans un fic h ie r à p art, po u van t s'ap p eler carte.rgb.size par exemple. Il est mainte nant de votre ressort d'optim iser ces quelques exemples. On pourrait aussi, afin d'éviter la multipli cation des scripts qui concourent à un même but, les regrouper en un seul avec une détermination automatique du traite ment à accomplir par une simple analyse du contenu de la variable d'environne ment QUERY_STRING. Un unique script pourrait alors, tour à tour, engendrer le document HTML ou envoyer l'image invo quée par ce document, suivant la nature des p aram ètres d é tectés dans QUERY_STRING. Yannick Cadin Yannick@kommando. com Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM gzip -9 carte.rgb La seconde se résume à remplacer dans le script CGI le nom 'ca rte .rg b ' par 'carte.rgb.gz'. C'est tout ! Étape 3e : ajout d'une image superposée Cette image, qui se superpose à celle découpée, peut contenir, par exemple, une légende, une règle des distances pour avoir une idée de l'échelle, le logo de la société offrant le service (en guise de copy right) ou une sorte d'étiquette arborant en gros le mot 'évaluation', pour montrer à l'internaute qu'il n'accède qu'à une version de démonstration. Dans cette optique, il est nécessaire de créer une nouvelle image (avec Gimp par exemple) de 100 pixels de large sur 20 de haut pour les besoins de ce petit amuse ment. Trois horreurs gribouillées plus tard, et nous avons un fichier 'legende.tif'. Il ne reste plus qu'à apporter une ultime modifi cation au dernier script pour que l'appel à convert devienne : System ("/usr/XHR6 /bin/convert -draw 'image 90,170 SRC="carte.gi f" NAME="point_ sélectionne" BORDER="0"> <P>Correction gamma <SELECT NAME=" gamma "> <OPTION>0.8<OPTION SELECTED>1.0<OPTION>1.2<OPTION>l.4 <OPTION>l.6<OPTION>l.8<OPTION>2.0<O PTION>2.2</SELECT> </FORM> N etscape En fait, on se contente de proposer un menu déroulant avec quelques valeurs pré définies dans l'intervalle autorisé par l'op tion -gamma de convert. Dans le script principal, les lignes 19, 20 et 31 sont remplacées par : 19 ($ganiTia, $x, $y) = $ENV{'QUERY_STRING'} =~ /ganrma= (\d\.\d)&point_selecticnne\. x= (\d+)&point_selectionne\ .y= (\d+) /; 20 $gamma *= 10; Fichier 1- Edition Affichage Aie* à Précédent jÇ Recharger Signets x| Communicator 2 a m Accueil H Adresse: |int_seiectionne y=161 Document HTML généré dynamiquement faisant référence à une image qui va être à son tour générée dynamiquement 31 <IMG SRC="/cgi-bin/ image_seule.pl?$csg_x.$csg_y.$lar geur .$hauteur.$gamma"><P> En fin , le second et d ern ie r scrip t (image_seule.pl) ressemblera à : #!/usr/bin/perl ($csg_x, $csq y, $largeur, $hauteur, $gamra) = split (/\./, $ENV{ ' QUERY_STRHSG ' } ) ; $gamma /= 10; $| = 1; print "Content-type: SANS laisser de trace sur le disque du serveur d Document: chargé Second script de l'étape 3f (le zoom dans un navigateur AVEC légende et AVEC correction gamma). VA?ÛWA>£: tuvmMi O % pub 0 10O % critique 50 % humour La liberté de la -- - - - p r ix Le m ag azin e d e l'in te rd it Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Dopez votre PC pour 0 F ï votre p etite a n n o n ce Département Signature obligatoire (aes parents pour ies mjneursj R ubriques : A remplir trè s lisiblem ent S V P Nom____ Prénom Adresse. Ville Téléphone Cooe postal E-mail Les Puces Informatiques 14-30 rue de M antes 92700 Colom bes. □ Mac □ Portable □ PC □ Ccran □ Cpu-CM □ Mémoire □StodageG extension □ C Son G C . Vidéo □ Modem □ Scanner □ A réviser □ Imprimante □ Logiciel □ Station □ Sas/épuG Amiga □ Atari ST □ Console □ Pocket □ Contact □ livre □ Divers. Un Dos meilleur queMS Un Windows meilleur que IM Avez-vous la licence de votre système d’ex ploitation ? Si la réponse est “non”, nous avons une solution éco nomique à vous propo ser pour rentrer dans le droit chemin. Cette solu tion, c’est IBM OS/2 Warp 3, un vrai système d’exploitation multi tâche, fenêtré et (assez) stable. Cerise (pourrie) sur le gâteau, il offre une compatibilité intégrée Dos 6 et Windows 3. Et en plus, ce pack complet est bien moins cher qu’un Dos seul vendu par l’autre MS. OS/ 2 avec DOS/Windows 250F □ Sur CD En cadeau, un Bonus Pack (Works, un logiciel intégré multifonction et un logiciel de communication). Je paye par chèque, eurochèque en FF ou mandat à Tordre de : ACBM V P C 14-30 rue de M antes 92 700 Colombes. Obj et Comportements dynamiques Une notion très importante nous manque pour parfaire notre modélisation de systèmes informatiques : le temps. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM a définition précise d'un temps n'est pas chose facile. Les méthodes de génie logiciel simplifient générale ment l'aspect dynamique des systèmes en introduisant le concept d'événement. UML L permet par exemple de préciser les rela tions entre objets, en détaillant les diffé rents messages que les objets associés échangent. L'évolution de l'état interne d'un objet donné est également impor tante et prise en com pte. Cependant, aucune aide ne se voit proposée, c o n ce rn a n t le p a r a llé lis m e et/ou la concurrence, ainsi que les performances. Il n'existe donc pas réellement de notion de temps clairement définie. UML propose cependant plusieurs solutions pour aborder l'aspect dynamique des logiciels ; celles-ci ne trouveront leurs limites que dans le cadre de projets critiques, dont les perfor m ances d o ivent être étudiées dès la conception (systèmes temps réels, paral lèles, etc.). Evo lu tio n de l'é tat in tern e Avant de pouvoir étudier le comporte ment dynamique d'un système dans son intégralité, il est important de pouvoir modéliser l'évolution d'un unique objet. Les diagrammes d'état-transition d'UML s'avèrent très voisins des célèbres auto mates finis. Chaque état du diagramme est associé à une "valeur" particulière de l'état interne de l'objet étudié. Les transi tions (arcs orientés) correspondent aux événements (extérieurs ou engendrés par l'o b jet lui-m êm e) qui m odifient cette valeur de l'état interne. Il est bien sûr diffi cile, voire irréalisable, de dépeindre préci sément l'état interne d'un objet donné ; on s'intéresse donc plutôt à une description aussi minutieuse que possible de cet état. Dans le même ordre d'idée, il y a moyen de c o n c e vo ir p lu sie u rs d iag ram m es d'état-transition pour un seul objet : cha cun d'entre eux modélise un aspect parti culier du comportement de l’objet. Un diagramme d'état-transition pour l'objet Critère de minidb est donné en figure 1. Cet objet se résume à une fiche spéciale composée de champs et de descriptions de valeurs pour ces champs (expressions régulières). Cela permettra d'effectuer des recherches dans une base minidb. Le d iag ram m e est assez e x p lic ite m ais incomplet : il faudrait donner une des cription plus précise des états et transi tions représentés. Ces diagram m es se trouvent généralement élaborés en faveur d'objets relativement complexes ; pour les autres, on se contentera de donner une description rapide de leur comporte ment interne. Collaborations et messages Nous allons maintenant nous intéresser au com portem ent du système (ou de ses sous-systèmes), décrit par le (ou les) dia gramme^) de classes. Les objets commu niquent, selon UML, par l'intermédiaire de messages. Un message constitue un évé nement ponctuel qui relie momentané ment deux objets. La sémantique de ces messages n'est pas clairement définie : il peut s'agir d'une simple notification ou d'un véritable transfert d'informations. Le cas d'utilisation associé à la fonctionnalité "Recherche dans une base minidb" s'avère relativem ent sim ple. Dans un prem ier temps, l'utilisateur saisit un critère de recherche (notre pseudo-fiche étudiée cidessus). Ensuite, la première fiche est comparée à ce critère ; si elle n'y corres pond pas, on passe alors à la prochaine fiche, etc. Certes, cet algorithme linéaire se montre relativem ent coûteux, mais n'oublions pas que nos bases sont hétéro gènes (on ne se voit pas en mesure de stocker les fiches de manière à accélérer les recherches, puisque chacune d'entre elles peut contenir des informations qui lui sont p ro p re s). V oici ce que nous déduisons légitimement en terme d'ob jets et de messages : 1 : Base demande à l'utilisateur un critère 2: Le critère est vérifié 3: Le critère est comparé avec la fiche cou rante objets. De même, ce diagramme n'expli cite pas les méthodes employées pour les comparaisons et autres fonctionnalités mises en jeu. Il faudrait construire des diagrammes associés, sauf dans les cas les plus triviaux pour lesquels le diagramme de classe su ffit a m p le m e n t à "co m prendre" les interactions entre objets. La notion de temps est représentée de façon optionnelle, par une numérotation des différents messages décrits sur les dia grammes de collaboration. Privilégier la représentation du tem ps Lorsque le tem ps d e vie n t un critè re important, les diagrammes de séquence s'avèrent plus précis que les diagrammes de collaboration. Ils permettent de décri re précisém ent le déroulem ent d'une interaction entre objets. En haut de ces diagrammes, les objets mis en jeu se ran gent en ligne. L'échelle des temps est croissante du haut vers le bas du dia gramme. Chaque message créé à un ins tant (relatif) donné est représenté par une flèche de l'objet source vers l'objet destination. La durée de traitement avant ou après réception/envoi de message peut se voir figurée par des barres verti cales. En ce qui concerne la conception, il s'agit évidemment de "conseils" ou de "désirs", mais ces informations seront très utiles pour l'implémentation. La figure 3 présente un diagram m e de séquence pour le cas d'utilisation : "Comparaison du critère de recherche avec la fiche cou rante". Pour chaque champ de la fiche "Critère", on vérifie qu'il existe un champ correspondant dans la fiche courante. Pour chacun de ces cham ps, on tente d'associer la valeur de la fiche courante à la d e scrip tio n du c ritè re . Si tous les Pl us l o i n a v e c U M L Notre connaissance de base de certains p r in c ip e s in t r o d u its p a r U M L nous p e rm e t d 'o re s et d é jà d 'a b o rd e r le développement de logiciels d'une manière plus efficace, plus "propre". Cependant , la "véritable" notation UML dem ande b e a u c o u p p lu s de rig u e u r d a n s la réalisation des fameux diagrammes de conception. Pour les lecteurs intéressés par une étude plus approfondie de cette norm e, citons deux ouvrages dans la langue de Molière : Pour Une Approche Assez "Théorique" Et Complète. Modélisation Objet Avec UML par PierreAlain Muller, aux éditions Ey roiles. Pour a b o rd er l'aspect implém entation (avec C++) ; UM L E t C++, aux é d itio n s P ren tice Hall/Simon & Shuster MacMillan (55M). champs se trouvent vérifiés de la sorte, alors il devient évident que la recherche est terminée. Le temps mis en jeu ici a une nature continue, puisque les durées de traitement s'ajoutent à la notion de su cce ssio n des m essag es. Ces d ia grammes consacrés aux aspects dyna miques de la conception seront les der niers que nous aborderons dans cette ini tiation (il y en a de nombreux autres, plus ou moins utiles, dans la "norme" UML). Nous nous intéresserons pendant quelques numéros au problème de l'im p lém en tatio n ; ce sera l'occasion de découvrir quelques langages objets plus ou moins connus : C++, Java, Smalltalk, Objective C et Eiffel. Vaste programme ! Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Le diagramme de collaboration est facile ment réalisable à partir de cette descrip tion (figure 2). Notez que nous ne modélisons pas l'algorithme dans son intégrali té, m ais u n iq u e m e n t les lien s entre Critère Fred Pesch Champs de Critère Champs de Fiche courante 1 : Extraire 2: Comparer v 3: Si succès i_________ ? Recommencer pour le prochain critère En cas d'échec, annuler la recherche Une représentation plus fine du temps avec le diagramme de séquence. Per l L'instruction "format" se termine par un point, pour marquer la fin de la définition du m o dèle d 'a ffic h a g e . Dans cet exem p le, "FORM AT1" est un nom de variable qui représentera ensuite notre m odèle (p ar hab itu d e, on utilise des noms en m ajuscules, comme pour les descripteurs de fichiers). Ici, ce modèle reste entièrement statique, mais on peut bien sûr y incorporer les contenus prove nant de diverses variables, Faire bonne impression Après les CGI le mois dernier, voici un deuxième exemple concret d'utilisation de Perl, qui pourra vous servir à produire de belles pages de statistiques et d'époustouflantes factures. format FORMAT2 = *** total : @ « < - moyenne : @ « < X X * $total, $moyenne Dans ce d euxièm e exem p le, on peut noter, sur la première ligne, que deux cham p s so nt d estin és à a ffic h e r des valeurs en provenance de deux variables. On utilise pour cela les définitions de champs du tableau 1, selon l'alignement que l'on souhaite produire en sortie. Us nous permettent, comme en Cobol (pour ceux qui connaissent), de déterminer le nombre de caractères à utiliser afin d'affi cher chaque valeur, ce qui nous donne ainsi le moyen de maîtriser l'alignement des données dans notre page. Chaque ligne d'un m odèle co n ten an t de tels champs doit être immédiatement suivie par la liste des variables à substituer, sur la ligne suivante. S'il y en a plusieurs, comme dans notre exemple, alors on les sépare par une virgule. $ perl scriptl.pl j 37 j 02 | 34 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM 75 62 I 88 | 17 j 90 I 32 Le s m o d è le s 1 40 | 63 184 i| *54* * total 1030 - moyenne : 54.2 *** Un formatage de texte simple. ■ l y a de nombreuses applications pos■ sib les pour le sq u elle s vous au rez ■ besoin de produire des pages qui ont toutes le même aspect, et où plusieurs parties de chaque page posséderont le même fo rm at, jusqu'à p résent, nous n'avions vu que la fonction "print" pour produire un texte en sortie, à l'écran ou dans un fichier. Il en existe une autre, "write", qui, elle, permet de produire un texte formaté. ge, grâce à la fonction "format", comme ceci : format FORMAT1 = **■* une ligne de texte *** Pour exploiter un modèle, il faut d'abord positionner la variable interne vers notre modèle, puis effectuer un appel à la fonction "w rite". Si cette initialisation n'est pas faite, l'interpréteur Perl cherche ra à utiliser un modèle portant le même nom que le fichier dans lequel il va écrire (à condition qu'il y en ait un de défini), ou STDOUT par défaut. On pourrait donc éviter cette étape d'initialisation en nom m ant tous les m o d èles de la même m an ière que les fic h ie rs qui les e m p lo ie n t, m ais cela n 'est pas trop conseillé, dans un souci de clarté du code source. Exemple de programme utilisant FOR- Internet Quelques adresses pou r trouver des exemples de programmes en Perl sur le Net : h ttp://www. developer. com/directories/pages/dir.perl.html h ttp://www. karland. com/code/perl/ F o rm a ta g e de t e x t e http://www.metronet.com/1h/perlinfo/other-archives/coombs.html La première étape consiste à définir ce que l'on va appeler un modèle d'afficha h ttp://freecode. com/ MA T 2 : Champs utilisés par “ w r i t e " while ($ligne = <STDIN>) { chop ($ligne) ; $nombre++; $total += $ligne; Champ } $moyenne = $total/$nombre; $~ = "FORMA.T2" ; write; Format en sortie @ «< Valeur alignée à gauche @ »> Valeur alignée à droite @1111 Valeur centrée @##.## Valeur numérique avec précision fixée @* Chaîne de caractères sur plusieurs lignes Ce qui donnerait en sortie, par exemple : *x* total : 132 Champs u tilisé s par " p r i n t f " - moyenne : 14 Il fa u t to u te fo is fa ire a tte n tio n au x variables utilisées dans le program me principal, pour qu'il n'y ait pas de conflit avec celles utilisées dans les formats d'af fichage. Un bon remède consiste à ne faire les appels à "write" que dans des sous-routines, qui déclarent elles-mêmes, localement, les variables exploitées dans le format d'affichage. Attention : dans ce cas précis d 'utilisatio n de la fonction "write", vous ne devez avoir recours qu'à l'instruction "local" pour d éclarer vos variab les, et non pas à "m y", qui est pourtant recom m andée la plupart du temps. Champ Format en sortie %c Caractère %s Chaîne de caractères %d Nombre entier en base décimale %x Nombre entier en base hexadécimale %o Nombre entier en base octale %u Nombre entier non signé %f Nombre réel en notation "normale" %e Nombre réel en notation scientifique %g Nombre réel en notation compacte contient le numéro de la page en cours, "$=" définit le nombre de lignes de texte par page (vous pouvez m odifier cette valeur à votre gré), et "$-" renferme le nombre de lignes restantes jusqu'au bas de la page (cette valeur est mise à jour à chaque appel de "write"). Les positionnements des variables et "$A" n'affectent que le fichier courant (le dernier qui ait été ouvert, ou STDOUT par défaut). Si vous souhaitez appliquer les mêmes modèles de sortie à différents fic h ie rs , vous d evez p o sitio n n e r ces variables pour chacun d'entre eux. Afin de sélectionner un autre fichier que le fic h ie r c o u ra n t, u tilise z la fo n c tio n "select". Exemple : $~ = "FORMAT2"; select(FICHIER3); $~ = "FORMAT1"; P rin tf Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM V a ria b le s in te rn e s Si vous désirez produire un docum ent volumineux, il pourra s'avérer intéressant d'imprimer un en-tête pour chacune des pages. Celui-ci se voit également défini par un format d'affichage, qui doit être a ffe cté à la v a ria b le in te rn e " $ A". Exemple : format F0RMAT3 = *** Titre du document - Auteur ’c** Ce qui nous am ène à p arler de tro is autres variables internes à Perl : "$%" select(FICHIER1); $~ = "FORMAT1"; select(FICHIER2); Pour des traitements moins lourds, vous tro u verez aussi en Perl une fonction "printf", tout comme en C. Elle se compor te sensiblement de la même manière : le premier paramètre correspond à une chaî ne de caractères comprenant des champs particuliers (voir le tableau 2 ), puis les autres paramètres sont les valeurs qu'il faut leur substituer. Exemple d'utilisation de "printf" : $nom = "Michel" ; $total = 123; $moyenne = $total/14; printf("score de %s : total: %d moyenne: %d.\n", $nom, $total, $moyenne) ; t$ péri script2.pl < valeurs ***** ************************************ j******* Résultat des calculs l ******* X^XXX-ài-Ji-X--Jt ***** total : 1018 - moyenne : bô.9 ***** $ ~ Un exemple d'en-tête. En com plém ent du tableau 2, sachez aussi que l'on peut préciser le nombre de caractères minimum que doit occuper une valeur, comme avec les champs de "write". Exemples : "%5d" affichera un nombre entier d'au moins cinq chiffres ; si le nombre est trop petit, les premiers caractères se verront remplacés par des espaces ; "%-20s" affichera une chaîne de vingt caractères minimum ; si la chaîne s'avère trop courte, ies caractères restant les plus à droite seront des espaces ; "% 5.3f" affichera un nombre réel avec cinq chiffres avant la virgule, et trois après. Vincent Oneto Les pointeurs Le concept de pointeur est tout à la fois l'un des plus utiles, des plus dangereux et surtout l'un des plus redoutés, notamment par les débutants en programmation. Voyons donc de quoi il retourne réellement. es pointeurs sont très pratiques, voire indispensables dans de nombreux cas. Il n 'y a pas en d o uter. Cependant, s'ils sont mal et/ou trop utili sés, ils peuvent rapidement conduire à un programme non seulement confus mais surtout défectueux et pénible à déboguer. L D'accord, m ais c'est q uoi ? Un pointeur est une variable qui contient l'adresse d'une autre variable. Voilà, tout est dit. Ou plutôt non, rien n'est dit, car il convient d'expliquer plusieurs choses sur les pointeurs et de voir comment ils s'utili sent. Lorsque l'on déclare une variable, comme par exemple la variable 'lettre' qui contiendra un caractère, par son adresse. Plus tard, lorsque l'on assi gnera une valeur à cette variable, celle-ci sera stockée dans la case mémoire préala blement réservée. L'adresse de n'importe quel emplacement mémoire est également un nombre. En conséquence, rien n'inter dit de stocker ce nombre (dont la taille maximum dépend des machines) dans une autre variable. Celle-ci est un pointeur. pointé par ptr est un caractère, et non que ptr pointe sur un objet de type caractère. Cela revient au même, mais cette notation permet de garder une syntaxe de déclara tion homogène pour tous les types de variables (cela est également vrai pour les fonctions), jusqu'ici, on a juste réservé un emplacement mémoire destiné à contenir une adresse. Le compilateur note égale ment que ladite adresse sera celle d'un char ; inutile donc d'essayer d'y substituer celle d'un flo a t... M ain tenant que la variable (ou le pointeur) ptr existe, assignons-lui par exem ple l'adresse de la variable 'lettre', définie précédemment, ptr = &lettre; Une variable de type pointeur contient un nombre, lequel représente une adresse ; il convient alors d'indiquer le type de la variable contenue à l'adresse en question. Voici donc la déclaration de la variable ’ptr', qui est un pointeur placé sur une variable de type char, L'opérateur '&' renvoie l'adresse mémoire de la variable à laquelle il est appliqué. Ptr 'pointe' donc désormais sur 'lettre', puis qu'il en contient l'adresse. En admettant que nous ayons précédemment assigné la valeur 'A' à la variable lettre, nous nous trouvons maintenant dans une configura tion représentée par la figure 1. La dernière ligne de la figure aurait pour effet d'afficher la valeur de *ptr. Nous savons que ptr pointe sur lettre ; or *ptr désigne l'objet pointé, c'est-à-dire lettre. Le résultat de l'instruction printf est donc 'A'. char P lus, p lus Un exem p le Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM char lettre; de la mémoire est allouée (réservée) pour cette variable à un emplacement précis de la mémoire, désigné de manière unique *ptr; L'opérateur indique que l'on parle de l'objet pointé. On déclare donc que l'objet Ouvrons ici une parenthèse. Si on désire au g m enter de 1 une variab le 'i' qui contient un entier, on procédera naturelle ment comme suit : i = i +1; Cependant, le C met à la disposition du programmeur l'instruction ++ qui se char ge du travail. On aura donc : i++; Notons d’ailleurs que i++ est différent de ++i, mais cela n'a pas grande importance pour le moment. Là où cette instruction devient intéressante, c'est qu'elle ne s'ap plique pas seulement aux entiers... En fait, elle se charge d'augmenter une variable d'une unité. En conséquence, ptr++ (dans notre exemple) aurait pour effet de faire pointer ptr sur la case mémoire, qui se trouve juste après celle abritant la variable 'lettre'. Evidemment, on ne sait pas du tout ce que renferme cette case. C'est dans ce genre de cas précis que les pointeurs se révèlent dangereux, car il n'y a aucune dif ficulté à diriger un pointeur sur une adres se dont on ne sait rien. Sous Unix, chaque processus comporte son espace d'adres sage propre et protégé ; donc, si l'on essaye d'écrire dans une case mémoire qui n'appartient pas au processus, le program- # Dream prof • E g a lité de p o inteu rs Si a et b sont deux pointeurs, a =bfait pointer a sur la même case mémoire que b. • P ascal et C Par opposition au Pascal\ un pointeur n \estpas simplement une référence, mais contient réellement l'adresse d ’une variable. me 'plante' en renvoyant le désormais célèbre message "Segmentation fault". Si la mémoire n'était pas protégée, le processus pourrait écrire dans la mémoire d'un autre et risquerait donc fort de le faire défaillir, voire d'abîmer le système lui-même. La fo n ctio n m alloc Comme son nom l'indique, cette fonction permet d'allouer dynamiquement des blocs de mémoire. Elle prend en argument la quantité de mémoire à allouer et retourne un pointeur sur le bloc alloué. Attention ! Il est important de bien comprendre cer taines notions. Tout d'abord, on ne passe jamais une valeur numérique à malloc. En effet, la quantité de mémoire dont on aura besoin pour stocker une variable dépend de l'architecture utilisée. En conséquence, il est nécessaire d'avoir recours à la fonc tion 'sizeof', qui prend en paramètre un type de données et qui renvoie sa taille. Par ailleurs, malloc renvoie un pointeur sur void, c'est-à-dire un pointeur générique. Si le pointeur se trouve correctement aligné en fonction de l'objet auquel il est attribué, il convient tout de même de le convertir dans le type approprié (on dit qu'on le ’cast'). Un appel classique à malloc apparaît finalement comme suit : bien cerner le fonctionnement des poin teurs. C'est (char *) qui permet de conver tir le pointeur fraîchement attribué en un pointeur sur char, afin d'éviter que le com pilateur ne se plaigne. Nous y reviendrons. Afin d'éviter de nouveaux ennuis, il ne faut surtout pas oublier de libérer ce que l'on a alloué. On y parvient simplement en utili sant la fonction ’free', qui prend en para mètre le pointeur retourné par malloc. char *ptr; ptr = (char *) malloc (10 * sizeof (char)); for (int i = 0; i < 10 *ptr = 'A ptr++; i++) { } Notons au passage que lors de la déclara tion d'un tableau, l'adresse du premier élé ment peut être accessible via le nom du tableau qui EST un pointeur. En clair, dans le premier cas ci-dessus, *tablo désigne, avant la boucle, le premier caractère du tableau. Forts de cette présentation, nous verrons la prochaine fois à quoi servent réellement les pointeurs. free (ptr2); Les ta b le a u x Nous avons étudié le mois dernier les tableaux, mais la connaissance des poin teurs nous permet maintenant d'éclairer d'un jour nouveau ce que nous avions juste survolé. " Toute opération que l'on peut effec Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM char *ptr2; ptr2 = (char *) malloc (sizeof (char))? On déclare ptr2 comme pointeur sur un objet de type char, puis on le fait pointer sur une zone de mémoire que l'on vient d'allouer pour l'occasion et dont la taille correspond exactement à celle d'un char. L'instruction suivante place dans la zone de mémoire pointée par ptr le caractère 'A'. Cuillaume Cirard tuer par indexation dans un tableau peut être réalisée à l'aide de pointeurs. La version utilisant les pointeurs HALL0C(3> sera en général plus rapide mais Le un p eu plus difficile à co m prendre, du moins pour les noninitiés." Cette phrase extraite de l'ouvrage Le Langage C, écrit par les pères dudit langage, résume exactem ent l'étroite relation qu'il existe entre les pointeurs et les tableaux. Voici deux frag ments de program m e effec tuant exactement la même opé ration (à savo ir, rem p lir un tableau avec dix 'A'), mais dans le premier cas de manière "clas sique", en ayant recours à des tableaux, et dans le second cas à l'aide de pointeurs. /* Méthode classique */ Linux Programmer's Manuel calloc, memory MALL0C<3> malloc, free, realloc - Allocate and free dynamlc SYNOPSIS •include <stdlib.h> void void void void mcalloc(size_t nmcmb. size_t slze); •m*alloc(size_t slze): freefvoid «Ptr); «real loc< void «Ptr. aize_t size): DESCRIPTION c a l l o c O allocates memory for an array of nmemb elements of size bytes each and retu-ns a pointer to the allocated The memory is set to zéro. m a l l o c O allocates size bytes and r e t u m s a pointer to the allocated memory. The memory is not cleared. f r e e O frees the memory space pointed to by Ptr. whlch must have been r e t u m e d by a previous cal 1 to mallocO, c a l l o c O or reallocO. Otherwise,or if free<Ptr) has already been called before, undeflned behaviour occurs. If e£L 1* NULL, no opération is performed. r eall o c O changes the slze of the memory block pointed to by e£r to size bytes. The contents wlll be urchanged to the minimum of the old and neu sizes;newly allocated mem ory wlll be uninitialized. If etc ls NULL, the call ls équivalent to mallocisize); if slze is equal to zéro, the call is équivalent to free<Ptr). Unless e£r is NULL, ît must have been r e t u m e d by an earlier call to mallocO, c a l l o c O or reallocO. R E T U * VALUES For c a l l o c O and mallocO, the value returned is a pointer to the allocated memory, vhich is sultably allgned for any kind of variable, or NULL if the request fails. f r e e O returns no value. *ptr2 = 'A'; char for (int Cela revient à déclarer comme caractère une variable 'Iettre2', à lui assigner la lettre 'A', puis à déclarer un pointeur et à le diri ger sur Iettre2. Le lecteur non endormi (allô, Bernard ?) remarquera que l'on tour ne un peu en rond, mais cela permet de i++) tablo[10]; 0; i < 10; tablo[i] = 'A' ; r e a l l o c O r e t u m s a pointer to the newly allocated memory, which is suitably allgned for any kind of variable and may be différent from Ptr, or NULL if the request fails or if slze was equal to 0. If real l o c O fails the original block is left untouched - it is not freed or moved. CarOR H I N G TO ANSI-C SEE flLSO fark(2) /* Méthode pointeurs */ Les man pages sont votre meilleur allié. =i Java Initiation aux lava-Beans (2/s> getSize ().width, getSize () .height) ; } public int getRougeO { recum rouge; > public void secKouge(inc r) { rouge=r; r^ainc (); } public int getVertO { recum vert; } public void setVert(int v) { vert=v; repeint (); } Les Java-Beans sont faciles d'utilisation. Mais en quoi consiste donc leur programmation ? Aujourd'hui, nous allons commencer à nous intéresser à la question. public int getBleuO { retum bleu; } public void setBleu.(int b) { bleu=b; repaint (); } } ous avons vu le mois dernier un exem ple d 'u tilisatio n des javaBeans. Comme nous l'avons dit précédemment, un Bean n'est rien d'autre qu'une classe. En l'occurence, le Bean que nous avons réalisé (Com pteur) est une sous-classe de Label, avec quelques méthodes supplémentaires. Lorsque nous le manipulons dans BeanBox, nous décou vrons toutes ces méthodes et nous avons également accès au champ Text (qui pro vient de la classe Label), mais nos trois champs heures, minutes et secondes n'ap paraissent nulle part. En fait, même s'ils étaient publics, nous ne les verrions pas. Cela vient du fait qu'un Bean a explicite ment l'obligation d'"exporter" les champs auxquels nous devons pouvoir accéder, en d'autres termes, de donner une description de lui-même à son environnement. Ceci peut être fait de plusieurs façons. Nous allons commencer par la plus simple : les N "modèles" (design patterns). D esig n p a tte rn s Le principe consiste à écrire des méthodes selon une forme particulière, qui permettra de régler tous les paramètres du Bean. Voyons cela directement en pratique sur un Bean afficheur de couleurs, import, java.awt.*; public class AfficheurCouleurs extends Canvas { private int rouge, vert, bleu; Une fois cette classe compilée et packagée dans un fichier .jar, nous pouvons la ch arg e r dans BeanBox. D ésorm ais, la fenêtre des préférences affiche les trois champs Red, Green et Blue, grâce aux quels nous avons la liberté de choisir les composantes de la couleur que le Bean doit afficher. En effet, BeanBox détecte la présence des méthodes setRed(), getRed(), s e t C r e e n ( ) , e tc. Par co n v e n tio n , une méthode dont le nom est setChamp sert à affecter la valeur d'un champ, tandis que getChamp permet de la lire. Plus rigoureu sement, nous avons le droit d'écrire un modèle (appelé "design pattern") pour ces deux m éthodes : pour un cham p "machin" de type T, nous avons : Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM - -ia operUes - Afficheur ■ Q X foreground vert ïl 00 public AfficheurCouleurs () { rouge=vert=bleu=0; > public void paint (Graphics g) { g .setColor (new Color (rouge, vert, bleu) ); g.fillRect(0, 0, ^ BeanBox <2> File Help Exemple de l’afficheur de couleurs ûacicgrûurtû j_____ font Aocde... Pieu ;;20û rouge Ji 50 name ]canvas5 r r - olBo> □ X Edrt View infoBus • K D ttr .ê r n è i t f HAW K j| » BeanSox.-. Un petit Bean pour afficher des couleurs. □ x AfficheurCouleurs OrangeBunon OurButtûh BlueBuQon IË Î ExplicitButron EveniMomtor <«>JeilyBean Juggter Changefteponer TickToc*. Voter Moiecuie QuoteMonitor JDBC SELECT SorterBean L-l8nûûeTesîer K m àZê (?) ([email protected] @ (fiieytmp/) j <£ (/home/jZ... | Q 1 ( TTie üa... | * ToolBox public T geecMachin () pour lire sa valeur et public void secMachin (T nouvelle_valeur) pour modifier sa valeur » Properties. 11 n'est pas obligatoire d'écrire les deux méthodes ; nous pouvons par exemple omettre setMachin pour avoir un champ en lecture seule, ou getMachin, si nous voulons un champ en écriture seule. S'il s'agit d'un champ booléen (boolean), nous sommes autorisés à écrire isMachin au lieu de getMachin - c'est en fait recommandé, car cela "saute aux yeux" quand on lit le code. Ce design pattern constitue une manière sim ple, mais néanmoins assez générale, de communiquer avec l'environ nement. Nous retrouvons par ailleurs une convention utilisée par les classes de l'AWT (souvenez-vous : les méthodes setText, getText, setSize, getSize etc.). Cela n'a rien de surprenant, les composants de l'AWT sont en effet des Beans ! Voilà pourquoi, entre autres, la solution la plus simple pour écrire un Bean consiste à hériter d'un com posant AWT... Voyons à présent le design pattern à utiliser lorsque le champ se pré sente sous la forme d'un tableau. II faut en — -W | Applet Vie w er: Sélecteur Couleurs, cla ss - □ X Applet Applet started. Une applet faite avec des Beans. effet pouvoir accéder individuellement à chaque élément, mais aussi au tableau dans son intégralité, ce qui nous laisse avec quatre méthodes : public T getMachin(int i) pour lire la valeur de 1'élément i du tableau public void setMachin(int i, T nouvelle_valeur) pour modifier l'élé ment i du tableau public T[] getMachin() pour lire tout le tableau public void setMachin(T[] tableau) pour affecter tout le tableau java.awt.*; import java.awt.event.* ; import java.applet.* ; import AfficheurCouleurs; public class SelecteurCouleurs extends Applet implements AdjustmentListener { Scrollbar rouge, vert, bleu; AfficheurCouleurs afficheur; public void initO a fficheur=new AfficheurCouleurs(); rouge=new Scrollbar(Scrollbar.HORIZONTAL, 0, 10, 0, 255); vert=new Scrollbar(Scrollbar.HORIZONTAL, 0, 10, 0, 255); bleu=new Scrollbar(Scrollbar.HORIZONTAL, 0, 10, 0, 255); setLayout(new GridLayout(4, 1)); add(afficheur); add(rouge); add(vert); add(bleu); rouge.addAdjustmentListener(this); vert.addAdjustmentListener(this); bleu.addAdjustmentListener (this ); } public void adjus tmentVa lueChanged (Ad jus tmentEv ent ae) { afficheur.setRouge(rouge.getValue() ); afficheur.setVert (vert.getValue ()); afficheur.setBleu(bleu.getValue()); } { } Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Il existe encore un design pat tern, mais nous le verrons dans deux mois, lors que nous parlerons des événements entre Beans. R eto u r aux sources Bien que les Beans soient destinés avant tout à une utilisation dans BeanBox ou tout au tre "b u ild e r", nous pouvons néanmoins en tirer un grand p ro fit, même si nous écrivons du code "à la m ain ". Grâce aux design pat terns, nous savons tout de su ite à quoi nous attendre de la part d'une classe et de q uelle manière l'utiliser. A l'aid e du Bean AfficheurCouleurs et du Bean Scrollb a r (b arre de d é file ment), fournis par l'AWT, nous pou vons écrire très sim p le m e n t un sélecteur de cou leurs, import Où réside l'intérêt des Beans ? Dans leur simplicité. En effet, il nous suffit de savoir qu 'AfficheurCouleurs possède les champs rouge, vert et bleu, et que Scrollbar a un champ Value (indiquant la valeur corres pondant à la position de l'ascenceur). Dans ce cas, le code qu'il nous faut écrire doit uniquement faire le lien entre les méthodes "get" d'un Bean et les méthodes "set" de l'autre, le reste n'étant que de l'ini tialisation ! En ce qui concerne le Bean Scrollbar, son constructeur prend en argu ment l'orientation de l'ascenseur (verticale ou horizontale), la position initiale de celuici, son "épaisseur" et l'échelle de valeurs qu'il est censé représenter. Chaque fois que l'utilisateur le bouge, l'ascenseur émet un événement AdjustmentEvent, auquel nous réagissons en affectant le champ Value des trois ascenseurs aux champs rouge, vert et bleu de l'afficheur de couleurs. Java, c'est fa c ile ! Nous pouvons donc remarquer comme les Beans sont inhérents au langage Java et qu'il s'avère très simple de les utiliser. Cependant, n'importe quelle classe ne constitue pas automatiquement un Bean, même si elle suit à la lettre les design pat terns : encore faut-il qu'elle soit "sérialisable". Nous parlerons de la sérialisation le mois prochain et nous verrons alors qu'il s'agit d'une chose extrêmement importan te lorsque nous travaillons avec les Beans. Jakub Zimmerman __ B Iit z Basic _ ] Utilisation des Requester Après avoir appris à afficher une fenêtre, un bouton et un écran prédéfinis, nous allons ce mois-ci offrir à l'utilisateur la possibilité de bénéficier d'un minimum de choix. L ' a s t u c e du m o i s Comment afficher des caractères que ion ne peut pas taper ? Eh oui, le Blitz n'est pas parfait Sa plus grosse tare vient certainement du fait qu'elle ne peut pas afficher de caractères accentués ni spéciaux dans un texte. La faute en e programme de ce mois-ci est exacte ment le même que celui du mois der nier, à cette différence près que nous allons désormais laisser l'utilisateur libre de choisir lui-même son mode d'écran et le texte qu'il veut voir afficher dans la fenêtre. Pour ce faire, nous allons utiliser cet autre concept du système d'exploitation que sont les requesters. Il s'agit des fenêtres de sélection d'AmigaOS. Le scénario de notre programme va donc être le suivant : - ouverture d'un écran publique dont le mode et les couleurs sont choisis dans un requester. - menu avec les options "Ouvrir" et "Quitter" (avec raccourcis clavier). - lorsque l'on choisit "Ouvrir", un requester de fichier apparaît. On doit y choisir un fichier ASCII (texte). - le programme affiche ce texte dans une fenêtre. A noter que faire apparaître un requester est assez simple. Tout le design et toutes les fonc tions (boutons, sélections du paramètre, chan gements de taille de la fenêtre...) sont en fait déjà contenus dans AmigaOS. L'utilisateur n'a L pas à les recréer, heureusement. Il lui suffit juste d'appeler la fonction adéquate et de récupérer les valeurs qui en sortent. Ces valeurs se trouvent alors exploitées avec les ins tructions standards du Blitz Basic. Ainsi, les fonctions de requester que nous voyons ce mois-ci sont : - RTEZScreenModeRequest(<nom utilisateur) pour l'écran - ASLFileRequestî (<nom utilisateur,cheminî,fichierS) pour un fichier Le <nom utilisateur est un nom quelconque que l'utilisateur choisit de donner à la fenêtre du requester. L'usage veut que ce soit "Choix d'écran..." ou "Ouverture du fichier...", mais rien ne vous empêche de l'appeler "Ma tata s'appelle Odette" ou "J'aime Dream". Les fonc tions vues ci-dessus ne correspondent pas, par définition, à des instructions. Cela signifie que pour les exécuter, vous procéderez comme en mathématiques : il faut les écrire sous la forme y= f(x). Ici, "y" est la variable qui contient la valeur de retour à récupérer pour emploi ultérieur. Par exemple : incombe essentiellement à l'éditeur TED et à l'interpréteur, lesquels ne cherchent pas à reconnaître autre chose que les caractères possibles depuis le clavier anglais Qwerty. Heureusement, il existe une solution : la fonction Chr$. Ainsi, l'instruction : Nprint "Vivement le prochain num"+Chr$(233)+"ro de Dream :)" marquera à l'écran : Vivonoit le prochain numéro de Dream :) La valeur 233 correspond en réalité au numéro Ascii de la lettre "é". screenmode.l=RTEZScreenModeReques t ("Choix de Mon Ecran") permet de remplir la variable screemode.l. La valeur de cette variable peut ainsi être récu pérée dans l'instruction suivante : smod.l=Peek.1 (screenmode) Le programme du mois a la possibilité d'être nettement amélioré, par exemple, si on y ajoute des boutons pour faire défiler le texte de haut en bas et de gauche à droite. Benjamin Vernoux. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM WBStartup ;permet de lancer le programme du warkbench screenmode.l=KIEZScreenMbdeRequest ("Choix; de M j 1 Ecran") ;ouvre un requester d'écran smod. l=Peek. 1 (screenmode) ; la commande Feek permet de prendre une valeur dans la mémoire ; à une adresse donnée. ; Le .1 après Feek permet de prendre un mot long a l'adresse screenmode ; en fait Peek.l prend les 4 premiers octets dans l'adresse screenmode Bitplanes.b=Feek.b (screenmode^9) ; If screenmode=0 amod=$8000 ; au cas ou on est fait Cancel ; au requester de mode d'écran ; an met l'écran en haute résolution If Bitplanescl CR Bitplanes>8 Bitplanes=4 ; au cas ou en est fait Cancel ; au requester de mode d'écran on met ; l'écran en 16 couleurs(4 Bitplanes) Screai 0,0,0,640,256,Bitplanes,smod, "Mon Ecran" ,1,0 ;création du menu GIManuTitle 0,0,"Fichier" GIManuItem 0,0,0,0, "CXivrir ","0" GIManuItom 0,0,0,1, "Quitter ","Q" ;^iitte le pro gramme (raccourci Amiga Q inclut) CreateMenuStrip 0 ; Attach en quelque sorte les menus entre eux Windcw 1,0,11,640,245,$800,"",1,2 ;bidouille pour attacher les menus à l'écran ; car an ne peux pas attacher des menus aux écrans GTSetMsnu 0 ;attach les menus a la fenêtre 1 (donc a 1 'écran car la fenêtre est invisible). Activate 1 Macro ferme CloseWindcw 0 ouvert=0 Activate 1 End Macro Repeat ; répète la boucle ev. l=WâitEvent ; attend un événement genre appuie d'un bouton ou autre If ev=$100 ; menu actionne ? If M=nuHit=0 ; si le menu 0 est active Select IterHit ; en regarde quel ID (numéro) a été activé Case 0 ;CXivrir Gosub CXrvre ;Case 1 ;appuis sur enregistrer ; Gosub Enregistre Case 1 :quitterai ; quitter si l'ID du menu est 2 End Select Endlf . . . Distribution ICC S o f t w a r e Tél : 03.20.02.06.63 Fax : 03.20.82.17.99 Du lundi au vendredi de 9 h à 18 h email : fds@ fdsoft.com Logiciels Amiga Endlf A M IG A " G O E S P O W E R P C ™ If ev=$200 ;le boutai de fermeture de la fenêtre 0 est activé ? CloseWindow 0 ; ferme prcpranent la fenêtre ouvert=0 Activate 1 ;active la fenêtre 1 Endlf Until quitterai ; jusqu'à ce que quitter vaille 1 ;quit CloseWindcm 0 ; ferme proprement la fenêtre Forbid_ ; permet de quitter proprement Fnd C artes accélératrices P ow erPC A m iga 1 2 0 0 T : S a n s contrôleur F ast-SC SI-ll (ajout im possible) Blizzard 603e 160 Mhz + 68040 25 Mhz 2.490 F Blizzard 603e 200 Mhz + 68040 25 Mhz 2.990 F Blizzard 603e 240 Mhz + 68040 25 Mhz 3.590 F Version 68060 50 Mhz au lieu du 040 25 Mhz +2.300 F A ve c contrôleur F ast-SC SI-ll d ’origine Blizzard 603e+ ( 160/200/240 +040 / 060) +500 F Offres de reprise s de cartes Blizzard Cybetstoim PPC604e 180 Mhz + Ultra Wide SCSI Cyberstorm PPC604e 200 Mhz + Ultra Wide SCSI Cyberstorm PPC6me 233 Mhz + Ultra Wide SCSI Option 68040 25 Mhz monté sur la carte Option 68060 50 Mhz monté sur la carte Tél. 4.390 F 5.290 F 5.790 F + 525 F + 2.500 F Les 040060 des Bizzard et Cyberstormsort équpés de MMUet FPU. .(Xrvre If ouvert=0 ouvert=l tfexLen fichier$=192 Cartes Graphiques AtéoBus + Pixel 64 pour Amiga 1200 T 1.990 F BVision64 4 Mo (Blizzard P P C ) 1.590 F Cybervision P P C 8 Mo (Cyberstorm P P C ) 1.990 F MaxLen chemin$=192 ok$=ASLFildRequest$ ("Qivrir un fichier",chenin$,fichier$ ) If ok$o"" Windcw 0,200,40,300,150,$2|$8|$400|$1000,"Affichage de Fichier ASCII",1,2 GTSetMsnu 0 CheiürL$=^±iemin$+fichier$ If CataTypeCpei (Chenin$) ncirdudatatYpe$=EataTypGName DataTypeClose If nardudatatype$="ascii" If ReadFile(l,Chemin$) fin.l=Lof (1) If fin>l a .1=-1 Périphériques / Accessoires Divers Boîtiers Tours. Tour Atéo pour A1200 + Interface clavier P C + clavier P C + Alim 200 W+ Em placements pour l’extension AtéoBus & Pixel 64 1.090 F D ivers : Alimentation originale / ou 200 Watts 290 F / 490 F Joystick Konix pour tous les Amiga 99 F JoyPad Compétition Pro CD32 & Amiga 189 F f-Souris 2 boutons pour tous les Amiga 129 F Adaptateur pour souris P C (2 ou 3 boutons) 249 F Blizzard SC SI-Kit pour B1230-4/1240/1260 540 F Squirrel S C S I (Contrôleur S C S I PCM CIA ) 550 F SuftSquirrel S C S I (Idem+rapide + port série) 790 F Digitaliseur Audio 8 bit Megalosound -VA350 F Nappes ID E & S C S I (nombreux modèles) Tél. Câbles & adaptateurs SCSI (nombreux modèles) Tél. Adaptateur S C S I Interne B1230/40/60 290 F Adaptateur M 1 438/1538 pour P C 159 F Adaptateur VGA pour A1200/4000 149 F Coude PC M C IA pour Tour 259 F Scandoubler externe pour tous les Amiga 790 F ROM 3.1 (seules) A 1200/3/4000 (précisez) 349 F 0 5 3 .1 complet A1200/A4000 (précisez) 649 F ROM 3.1 (seule) A500/+/600/2000 (précisez) 249 F 0 5 3 .1 complet A500/+/600/2000 (précisez) 549 F M odem U SR o b Q tiçs : Sportster 56Ko M essage Modem 1.165 F Option : Kit Internet Amiga @-Net II CD +149 F L e c te u i^ d e disquettes,; DD 720 / 880 Ko interne A600/1200 230 F DD 720 / 880 Ko interne pour A2000/4000 210 F DD 720/880 Ko externe pour tous 480 F HD Interne 1.4 /1.76 Mo pour A2000/4000 650 F HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200T (avec façade) 650 F HD Interne 1.4 / 1 .7 6 Mo A1200 (classique) 650 F ■îtfHD Externe 1.4 / 1 .76 Mo (WB2.04 minimum) 770 F S IM M E D O 32 M o Tél. A s im C D F S v3.9a -Version Française390 F IBrowse -Vo349 F M aster IS O 2.1 -Vo-Pour graveurs->PROMO 490 F Miami 3.x enregistré - Vo279 F O rganise r 2.0 -Version Française349 F O rganise r 2.0 -Version Française Mise à jour- 249 F Nous consulter pour les conditions de mise à jour. Oxyron Patcher - Vo139 F Personal Paint 6.4 -Version Française39 F P F S 2 -Vo349 F Turbo Cale 5.xx CD (Doc V4 en Français) 490 F Turbo Cale 5.xx Disk (Doc V4 en Français)490 F Turbo Cale 5.xx CD / disk mise à jour 320 F Nous consulter pour les conditions de mise à jour. Turbo Print 6.02 -Vo450 F Turbo Print 6.02 -Vo- Mise à jour 250 F Wordworth 7.01 C D - Version Française 490 F Wordworth 7.01 D isk - Version Française 490 F La version Françaises officielle de Wordworth est livrée avec un manuel imprimé en Français et avec une carte d'enregistrement à l’adresse de Free Distribution Software. W ordworth 7.01 C D ou D isk (mise à jour) 290 F La mise à jour de Wordworth 7 est disponible exclusivement chez Free Distribution Software. Nous consulter. Z ip To o ls-V o 210 F CD-ROM Amiga Amiga Format 30 A m iga Format 31 A m iga Format 32 Aminet 24 (Avril 98) - Promotion Aminet 25 (Juin 98) Aminet 26 (Août 98) Am inet 27 (Octobre 98) - Dispo vers le 15 Aminet Set 1 ou 2 ou 3 Aminet Set 4 ou 5 ou 6 Best of Mecomp Vol.2 Euro CD Volume 3 French Storm (Libre essai en Français) Light Rom 6 (4 Cds) Personal Paint 7.1 S cala MM400 JEU X Foundation CD Genetic Species Quake CD Myst CD Time of Reckoning 59 59 59 79 89 89 89 150 199 109 89 39 349 240 519 F F F F F F F F F F F F F F F 310 310 349 339 199 F F F F F Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Filelrput 1 Repeat a=a+l c=c+l b.s=EÜLt$(36) If c=l:c=0:NPrint b Else Print b Endlf Until Eof (1) OR a=16 ;a=ncrrfore de ligne à afficher (-1) Endlf CloseFile 1 Endlf Else text$="Fichier de type ok=RTEZRequest ("Erreur !ferme Endlf Else text$="Vous n'avez pas ok=KTEZRequest ("Erreur !ferme Ebdlf Else ; l'utilisateur !ferma Endlf Endlf Retum N o u s consulte r pour les autres périphériques. C D -A U D IO (R éalisés su r Amiga) Amiga Theme CD - Back for the Future Neuland - das schwarze System 59 F 59 F Plus de 200 CD-ROMs Amiga sont disponibles !! Demandez notre catalogue gratuit ou consultez sur internet : http://www.fdsoft.com A m iga Forever 2.0 C D Emulateur Amiga pour PC/Pentium Amiga Forever 1.0 -> 2.0 CD update 399 F 160 F Périphériques Lecteur C D 32 X Atapi Interne Disque Dur 3.5" - 3.2 Go IDE Interne Norme S C S I* : Lecteur CD Pioneer 32 X SC SI-II Interne Lecteur CD Pioneer 32 X SC SI-II Externe 390 F 910 F 790 F 1.150 F 2.090 F Disque Dur 4,3 Go Ultra S C S I Interne +540 F Boîtier Externe alimenté en option * Contrôleur SCSI requis. Commande sur papier libre ou sur le bon de commande ci-dessous. Règlement joint à la commande par>chèque, mandat ou Carte Bancaire par téléphone, téleœpie ou Internet. non ASCII" !!",text$,"CK" ) |ue de 35 F par commande, Pour l§ France expédition en uolissimo meme et Tours, le forfait est de 100 F Recommande CATALOGUE CO M PLET GRATUIT - VEN TE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT Venez visiter notre site web ; http://www.fdsoft.com vous pourrez vous abonner à notre mailing-list pour recevoir par email nos listes de _________________________________ promotions et de nouveautés. __________________________ le datatype ASCII" !!",text$,"CK" ) a annulé Microstory Linux, le système altern atif ! "Linux ne marchera probablement jamais sur autre chose qu'un PC 386 avec un disque dur IDE, car c'est tout ce dont je dispose" - Lin us Torvalds ■out commence en 1991 lorsqu'un étudiant de l'université d'Helsinki (Finlande) s'intéresse aux possibili tés du processeur i386. Cependant, le système utilisé à l'époque, à savoir MSDOS, n'était capable d'exploiter que le mode 8086 des processeurs Intel ; aussi, le jeune informaticien préfère se tourner vers Minix, petit système "Unix-like" écrit par A nd rew T a n n e n b a u m . M alh eu reusement (ou heureusem ent pour la suite !), Minix s'avère très limité et, pour essayer d'en tirer quelque chose de plus intéressant, Linus Torvalds commence à l'étendre et l'optimiser. Petit à petit, une idée prend forme dans l'esprit de Linus : créer un nouvel OS pour PC, capable de tirer parti de toutes les possibilités de la machine. 1991 : les balbutiem ents Linus n'avait qu'une certitude quant à ce qu'il voulait développer : ce devait être un Unix, d'où le nom du projet : Linux, abré viation de Linus'Unix (l'Unix de Linus). Il ne fallut pas longtemps à Linus pour obtenir un embryon de noyau et un système de fichiers rudimentaire qui, pour buggés qu'ils étaient, fonctionnaient à peu près... sur son PC à lui. En août 1991, une pre mière version baptisée Linux 0.01 a été dif fusée sur FTP. Il ne s'agissait en fait que d'une surcouche à M inix et, hormis la recompiler chez soi, on ne pouvait pas en faire grand-chose. Cependant, la possibilité de participer au développement d'un nou vel OS séduit un certain nombre de pro gram m eurs, si bien que Linus s'est vu rejoint par une équipe enthousiaste. La date du 5 octobre 1991 restera dans les mémoires, puisqu'il s'agit du lancement de Linux 0.02, première version officielle du nouveau système. Encore très embryonnai re, elle était néanmoins en mesure de faire fonctionner quelques programmes Unix essentiels, dont le shell bosh et le compila teur gcc. Dès lors, il y eut moyen d'utiliser Linux pour son propre développement, et progressivement, le système est devenu indépendant de Minix. Linus prit alors une décision dont les conséquences ne se mesureront que bien plus tard : le code source de Linux sera distribué sous licence GPL. Désormais, chacun était libre de parti ciper au développement ; le projet d'un étudiant se transforma ainsi en un effort mondial et les versions se succédaient à un rythme de plus en plus rapide. L'accou chement, toutefois, ne se fera pas sans douleurs. Linus s'était en effet attiré les foudres de deux grands gourous de l'infor m atique : A. Tannenb aum et R. M. Stallman. Le premier reprochait à Linus certains choix de conception et en particu lier le fait de ne pas avoir bâti Linux autour d'un micronoyau. Tannenbaum, qui reste en effet l'un des pionniers dans le domaine des m icronoyaux, supportait mal l'idée qu'un gamin finlandais ait l'audace de ne pas suivre les prescriptions du grand maître qu'il pensait être. Il publia alors son fameux article "Linux is obsolète" et adressa à Linus cette phrase, désormais célèbre : "Soyez Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM heureux de ne pas être un de mes étu diants /". Quant à "rms", sa campagne peut se résumer en "oui à l'OS de Linus, à condi tion qu'il s'appelle GNU/Linux". Le bazar et la cathédrale Linux a bénéficié dès le départ de son modèle de développement original. Alors que partout ailleurs, l'élaboration d'un logi ciel passe par l'établissement d'un cahier de charges précis et par la formation d'une équipe aussi soudée que fermée - ce que d'aucuns appelleront "développement en cathédrale" - Linus, lui, préfère l'approche bazar. Chacun vient avec ce qu'il veut et il n'y a pas d'entrave à l'échange d'idées, voire de bouts de code... Cette ouverture, l'esprit de collaboration planétaire, mais aussi la concurrence qui en résulte, ont donné à Linux une dynamique de développement unique. Si, lors des premières versions, l'idée que Linux puisse un jour fonctionner en réseau ou faire tourner X-Window tenait d'une mauvaise plaisanterie, elle est rapide ment devenue une réalité grâce à l'apport de développeurs de plus en plus nombreux. C'est également grâce à cet aspect de labo ratoire d'expérimentation permanent que Linux put tourner sur autre chose qu'un PC. A l'origine, Linus ne recherchait que des per formances maximales sur i386 et la portabi lité représentait la dernière de ses préoccu pations. Pourtant, dès les premières années a été lancé le projet de porter Linux sur Atari, Amiga et Mac. Ce Linux/M68K jouera par la suite un rôle essentiel dans le déve loppement de Linux : en effet, il s'agissait pour la première fois de rendre le système réellement opérationnel sur autre chose qu'un processeur Intel. Grâce à lui, l'OS introduits : l'Extended Filesystem et le Xia Filesystem. Bien que plus satisfaisants que l'original, ils ne représentaient pas une solution viable à long terme. Celle-ci est fin a le m e n t ven ue de Rém y Card de l'Université Paris VI. S'inspirant du système de fichiers de BSD, il développe un nou veau filesystem, très performant et doté de fonctionnalités novatrices. Lorsque celui-ci est intégré à Linux sous le nom de Second Extended Filesystem (ext2fs), il s'impose aussitôt comme standard de fait et les divers autres systèmes expérimen tés, dont les deux sus-cités, tombent dans l'oubli. Cette idée de "sélection naturelle" a toujours été présente dans le dévelop pement de Linux. Divers supports réseau •D X © ^ [The ùnux Home Page at Linux OnHne 1 Eichier Edition o» û Affichage o Signets Efe ta ? Sache Options l ..................................... | |httpy/VAi/w.linux.orçi General Info Distributions Applications Hardware Support In The M edia O n lin e . -— X F . The r e e ^ 8 _ 6 P r o je c t, In c Le projet Xfree n'est pas étranger au succès de Linux. d'Unix, écrasé par NT (affirmations tout à fait infondées, mais compréhensibles dans le contexte de l'époque). Linux pour sa part semble avoir épuisé son potentiel : il est peu attrayant pour le "grand public", boudé par les entreprises et ignoré par les éditeurs de logiciels commerciaux. Les uti lisateurs avertis, susceptibles de s'intéres ser à Linux, sont déjà conquis, mais les autres n'ont que faire de cet OS ; de sur croît, la communauté Linuxienne ne gran dit plus, à tel point que l'on commence à s'interroger sur l'avenir de Linux. Les plus pessimistes voient déjà l'aventure se ter miner ainsi, mais deux facteurs changent ra d ica le m e n t la d o nne. Le prem ier concerne l'explosion d'Internet et par conséquent la prolifération des fournis seurs d'accès. Il s'agit souvent de petites entreprises (parfois seulement de per sonnes p h ysiq u e s) qui n'ont pas les moyens de s'équiper en Solaris ou en HPUX, mais n'en ont pas moins besoin d'un système sûr et performant. Linux est au point, bien supporté, et prêt pour cette tâche ; en outre, il entame l'ascension qui en fera plus tard l'OS hébergeant le plus grand nom bre de sites Web dans le m onde (d o nt certains ap parten ant à Microsoft). D'autre part, les acteurs du monde Linux tels que Caldera, RedHat et autre InfoMagic ne se contentent plus de graver des CD miroirs des sites FTP. A la place, ces éditeurs se donnent les moyens d'acquérir des droits de distribution de logiciels phares pour Unix et de les com mercialiser : on voit ainsi progressivement apparaître Motif, Wabi ou CDE pour Linux, qui entame alors un réel virage commer cial. Sans que sa nature Free Software soit jamais remise en cause, le système de Linus devient un véritable marché porteur et peut arborer une nouvelle image : celle d'une plate-forme de développement très complète, libre et puissante pour presque rien. Dès lors, nombre de développeurs de logiciels (et pas seulement du monde Unix) l'utilisent en interne. Finalement, loin d'être à bout de souffle, Linux a trouvé deux nouvelles voies d'expan sion, élargies par l'arrivée de la version 2.0 ; il Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Projects U se r G ro u p s T H IS S P /4 C E VOUR m e ss^ G E * ________________ a o jin n in G c o m B in A T ia n n *11 our sponsors m ttw «1 directory! B oo k Store V e ndors E vents Search Hom e Page Linux is a free Unix-type operatmg system originally created by Linus Torvalds with the assistance of developers around the wortd Linux is an independent POSIX implémentation and includes true multttasklng, Virtual memory, shared libraries, demand loading, proper memory management, TCP/IP networking, and other features consistent with Untx-type Systems Developed under the GNU General Public License. the source code for Linux Linux Unleashed CD ROM Edition Just released! Linux Unleashed, Third Edition, is for the user who has spim aresrience_____________ Les sites consacrés à Linux ne m anquent pas. conçu à l'origine de manière informelle et ad hoc a rapidement acquis une modularité exemplaire et une large indépendance par rapport au matériel. En 1994, Linux/M68K possédait déjà une communauté d'utilisa teurs conséquente. En 1995, les visiteurs du Forum Atari à Paris ont pu assister à la démonstration d'un Falcon 030 sous Linux. Malheureusement, la faillite d'Atari et de Commodore et le virage PowerPC d'Apple feront de Linux/M68K un éternel outsider, mais l'importance de ce pionnier du Linux non-lntel reste aujourd'hui indéniable. 1991 à 1 9 9 4 : l'évo lu tio n d a rw in ie n n e Pendant les premières années d'un déve loppem ent délibérém ent anarchiq u e, Linux n'a rien de compétitif face aux sys tèmes concurrents. Le système de fichiers utilisé (celui de Minix) est d'une faiblesse notoire. Pour tenter d'y remédier, deux nouveaux systèmes de fichiers ont été ont ainsi été proposés, le NET-1 puis le NET-2, avant l'apparition du NET-3, tou jours utilisé. Lorsque la très attendue ver sion Linux 1.0 a enfin fait son apparition sur le marché en 1994, il s'agit déjà d'un système Unix complet, supportant diffé rents systèmes de fichiers ainsi que les principaux protocoles réseau, et capable de faire fo nctio nner des logiciels tels qu 'Emacs. Il n'a pas encore le niveau de développement des Unices industriels, mais fait preuve d'une robustesse exem plaire, tout en offrant des performances jamais vues sur un PC ; toutes ces qualités caractériseront Linux tout au long de son existence. 1 9 9 5 : un long sta tu quo Si la communauté Unix regarde la sortie de Windows 95 avec condescendance, le tapage médiatique de Microsoft autour du futur N T 4.0 est en revanche pris très au sérieux. Certains prédisent déjà la mort Microstory Quand Linus parle, tout le m onde écoute. s'agit de l'amélioration de la qualité des distributions, mais aussi de la compatibili té grandissante avec les Unices commer ciaux. 1996 et 1997 : Linux, systèm e alternatif En 1996, le phénomène Linux devient un produit à la mode. Les journaux consa crés à l'informatique commencent à louer les mérites du logiciel libre, tandis que les éditeurs de logiciels prennent petit à petit conscience de ce que cet élément inconnu peut représenter. Netscape et Corel sont parmi les premiers à distribuer des versions Linux de leurs produits, d'abord o fficie u se m e n t, puis le plus ouvertement du monde. D'une certaine fa ço n , la d é cep tio n p ro vo q uée par Windows 95, le début de la guerre de Netscape contre M icrosoft et l'échec d'IBM avec son OS/2-Warp tom bent à pic : pour la première fois, l'hégémonie de Microsoft est ressentie comme un pro blème majeur, si bien que Linux apparaît comme l'alternative idéale. Le rêve d'un OS totalement libre, auquel ni Microsoft ni personne d'autre ne pourrait imposer sa volonté, se révèle bien séduisant. En 1996, Linus Torvalds se voit décerner la médaille Uniforum, de même que James Gosling, le créateur de Java. La même année, Red Hat Linux est élu meilleur OS pour micro-ordinateurs par Infoworld. Des administrateurs de systèmes com mencent à voir en Linux une solution possible pour l'informatique d'entreprise et, à de rares exceptions près, se rendent compte que l'essayer, c'est l'adopter. Bien que le caractère noncommercial (désor mais, il faut dire plutôt non propriétaire) de Linux rebute toujours la vaste majorité d'industriels, sa liberté et surtout sa fiabi lité légendaire donnent néanmoins nais sance à des réalisations de plus en plus spectaculaires : ainsi, Linux pilote des appareils à bord de la navette spatiale, crée les effets spéciaux du Pic De Dante puis de Titanic, trie le courrier aux EtatsUnis, adm inistre des téléphones cellu laires, contrôle les ascenseurs dans des gratte-ciel... 1998 : la consécration Aujourd'hui, Linux abandonne sa niche de système alternatif. Les plus grands édi teurs de logiciels sont enfin conscients de son potentiel et bien décidés à ne pas laisser passer l'occasion d'étendre leurs parts de marché. Définitivement adopté par Corel et Nescape, Li nux se trou ve désormais plébiscité par O ra cle , Informix, S u n ... Dans le d o m aine des réseaux et d'Internet, des entrepri ses telles que CISCO ou en core France Télécom le ch o isisse n t. SCO (éditeur d'U n ixw are, éternel rival de Linux) et, plus récem ment, Microsoft, ont adressé des "lettres ouvertes" aux utilisateurs de Linux et des logiciels libres en général, les "mettant en garde" contre les "risques" de Linux et son "inadaptation aux besoins des utilisa teurs" (auxquels, par le plus grand des hasards, seuls les produits de SCO ou de Mircosoft peuvent répondre). En réalité, Linux apparaît aujourd'hui comme l'un des principaux concurrents de NT et pro bablem ent comme le plus redoutable pour Microsoft, à cause de son indépen dance. En o utre, en ce qui concerne SCO, UnixWare se voit doté d'un émula te u r L i nux . . . se ra it-ce le m onde à l'envers ? Et dem ain ? Bien qu'évaluer la base installée de Linux demeure un exercice périlleux, on l'esti me actuellem ent à 7 millions d'utilisa teurs dans le monde. Il est certain, en revanche, que Linux se développe aujour d'hui plus vite que tout autre système, y compris Windows. Sa croissance dépasse désorm ais les 100 % par an et, entre autres grâce à l'intérêt qu'lntel manifeste à l'égard de Linux, à "l'effet Merced" et au gigantesque levier que sym bolise Internet, certains analystes prédisent qu'en 2002, 20 % des PC seront vendus avec Lin u x p ré in sta llé . On avance le chiffre de 20, voire de 40 millions d'utili sateurs, ce qui en ferait le second OS du marché, juste après W indows... Le véri table décollage de Linux reste donc à venir, lorsque les étudiants d'aujourd'hui d e vie n d ro n t d é c isio n n a ire s dans les entreprises. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Jakub Zimmerman Linus Torvalds. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Oui, je souhaite m 'ab o nn er à Dream pour un an. □ Formule 1 : abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom + Website, Editions O'Reilly, 449 francs à l'ordre de Posse Press. Le livre et le logiciel me parviendront séparément, en recommandé. □ Formule 2 : abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom 329 francs. Nom : ...................................................Prénom : ..................................................... Adresse : ........................................................................................................................... ................................................................. Code postal : ...............................................Ville.: .................................................................................................................................. Machine/système (facultatif) : □ Amiga/AmigaDos □ Amiga/Linux □ Pc/Linux □ Pc/Divers □ Be/BeOs □ Autre machine/autre système : Ci-joint un règlement d e □ carte bancaire : n° CB francs, par □ chèque bancaire, □ mandat postal à l'ordre de Posse Press. L J U L J -J i i i i i i i i i i i i i i i expire le i i i i i En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander : Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 9h30 à 18h00 Par fax : 01 43 55 66 68, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 Offre à renvoyer à Dream/Abonnements, 16, rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris. Tarif pour la France métropolitaine uniquement. DOM/TOM et étranger, ajouter 100 francs au prix de l'abonnement, paiement par mandat uniquement. Offre valable jusqu'au 10 décembre 1998 (cachet de la poste faisant foi). Informatiques et libertés : en application de l'article L27 de la loi du 6 janvier 1978, relative à l'informatique et aux libertés, vous disposez d'un droit d ’a ccès et de rectification pour toute information vous concernant en vous adressant à notre siège social. Les informations requises sont nécessaires à l'établissement de votre commande. Elles pourront également être cédées à des organismes extérieurs, sauf indication contraire de votre part. F o r u m 900 francs + squirel 300 francs + 1084S 400 francs. Tél. : 03 80 67 55 79 ou 06 85 44 92 33. Vds lecteur LSI 20 ID E+5 disq 120 Mo, fonctionnant sous Linux : 900 francs. Tél. : 04 76 66 10 46 après 18h. VENTES Amiga 1200 complet CD x l 6,10835 DD 120 Mo, 500 Disks, carte 68020 28 MHz Blizzard 4 Mo, revues : 1500 francs. Tél. : 03 85 34 71 14 MAÇON. Vds jeux originaux Amiga 20 F pièce. Vds A500 sans unit, contrôle 50 F. Vds doc A500 :1 0 F. Alim. A500 : 100 F; câble imprimante 50 F. Vds jx PC Lords Of The Realm II . 100 F. Demandez j-Claude au 01 69 48 41 85. Vds Blizzard 1230 IV + 8 Mo Edo : 600 F. Achète carte accélératrice Blizzard 1240 ou 1260. Demandez Marc au 03 89 06 23 30. Vds Cyberstorm 040 +SCSI + 48 Mo et Cybervision 64/3D + ScanDoubler, le tout 3500 francs. Ou séparément. Tél. : 03 24 35 01 98 CF johnny. URGENT : Vds Blizzard IV 68030 50 MHz + 4 Mo TBE : 700 francs. Tél. : 01 64 94 31 60. David après 19h30. Tél. : 05 61 58 70 91 (hb) 05 61 3 9 26 6 3. D em ander Franck. A vendre Amiga 2000 B avec 2 lec teurs + 3 Mo + Carte accélératrice 68020 avec Rom switch automa tique 13/31 WB 3,1, Wordworth deluxz paint 4.5 et divers jeux et logiciels avec imprimante noir et blanc au prix de 2000 F. A débattre. 01 43 97 19 20 à partir de 19 heures (dep 94). Vds Amiga 1200 + carte 4 Mgh + moniteur 1942 + CD-Rom x4 sci carte Squirel + divers, le tout 2500 francs. Tèi : 06 85 81 58 06. ACHATS Vds DD 3.5" ide 250 Mo : 250 Frs Vds CD 19 Amiga magazine conte nant tfx et scala mm 300 : 70 francs - Vincent au 05 55 52 01 92 après 19h. Recherche Bliz 68030 avec ou sans copro et mémoire 1- vends lecteur ext DD 200 francs + port. Dany Blondel au 03 28 21 82 41. URGENT vos k6 266 MHz + 16 Mo. Contacter EDO André-Sébastien, 30 rue de Metz, rés. Pythagore B 319 54000, NANCY. Vds Al 200 + MTEC 030 + 8 M0 + DD 540 Mo + Dataflyer 420 Mo -r 2 Joy + CD 4x •+■20 CDs + Disks + Mag = 3900 . Scanner mustek 12000 SP GAR. 6 mois PC/Mac = 1000. Tél. : 03 88 85 27 52. Cherche Bliz IV 030/50 et CD-Rom x l 0 ou plus. Eric au 03 80 33 62 10 - Dijon + 7h D re a m est édité par Posse Press SARL au capital de 250 000 rrancs Associes principaux : Romain Canonge. Christine Robert Représentant legai : Romain Canonge 16, rue de la romaine au Roi 75011 Pans T el.. 01 53 36 84 10 Fax : 01 43 55 66 68 Web : www.posse-press.com/dream Emaii : [email protected] R édaction Directrice des Rédactions Ch/istme Robert (84 24) crooertû>posse-press.com Directeur adjoint des rédactions Yann Serra (84 15) yserraCPposse-press.com Rédacteur en chef Frédéric Dubuy (84 13) «dubuyCPposse-press.com Secrétaire de rédaction Bemara Medioni (84 14) C o lla b o ra te u rs p e rm a n e n ts d e la ré d a c tio n Cnnsiophe Kirsch, Bruno Mathieu, Christophe Noël. Pascal Pambrun. O nt également collabore : Yannick Cadm, Liban Corner, Frédéric Couchet, David Feugey, Guillaume Girard, Emile Heuor, Christophe Le Canneüer. Fabien Mansart, Vincent Oneto, Frédéric Peschanski, Antoine SabotD urand, Yann Serra, Benjam in V crnoux. Jakub Zimmermann. illustrateur : Cnnsiopne Bardon Conception CD-Rom Directeur des projets multimédia Frédéric Botton (84 12) iDonon<ia>posse-press.com Vends barrettes 4 Mo et 16 Mo : 70 F/l 30 F ou 180 F les 2. Vds nbrx jeux tout Amiga. Tél. : 03 23 22 28 18. C réation CONTACTS Cherche contact tout Amiga (disk + CD) et vds disk DD + MTEC 030-28 MHz -i- Copro 8 Mo à négocier. Contactez Benoît au 03 26 86 17 87. Directeur artistique Pierre-Yves Roudy (84 28) pyroudy9piosse-press.com Premier rédacteur graphiste Severme Bnaud (84 27) crea4Pposse-press.com Rédacteur graphiste iuLe Cnarvet (84 27) crea9posse-press.com Publicité e t prom otion Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Vds carte Blizzard 1240 à 40 MHz : 1400 francs - kit SCS12 Blizzard : 400 francs - Carte 3640 (68040 pour A4000, A3000 et 1500T) : 900 francs - Alim 200 W : 200 francs BIENTÔT AMICANEWS INTERNET SUR CD-R (Prix du CD vierge + Port). DEMANDER "SERGENT" AU 06 60 74 66 66. *Vds A l 200 Biz IV Turbo 32 Mo copro so h d l 160 cd r 4 X minito u r é cra n 1 083s je u x p rog + cadeau 3800 francs. A ppeler le 03 29 08 50 09 aux heures de repas. Vds Mtech 030/28 MHz + 8 M0 + corpo = 750 Frs et lecteur CD-Rom Sony = 100 francs. Contactez Eric au 03 80 33 62 1 0 - Dijon+ 7h *Vds Lightw ave 5.0 p our PC et L ig h t w a v e 4 .0 p o u r A m ig a . Logiciel Image de Synthèse Truespace 1,2 et 3 disquettes et CD + Bible 2000 F. Tél. : 01 43 67 54 79. Répondeur si absent. Merci. C om ptabilité e t adm inistration Directrice com ptable et administrative Angclina Parmentier (84 23) Assistante com ptable et administrative Valene Ambrosio (84 22) A bonnem ents e t vente d'anciens num éros Plus de 100 000 lecteurs peuvent lire votre annonce Responsable abonnem ents et VPC Anna Vincent (84 10) aomm9posse-press.com Assistante A bonnem ents et VPC Michèle Fomoura (84 10) T arif des petites annonces □ Je suis abonné à D re a m ............................................................... Fabrication 0F Photogravure : Station Graphique (Ivry) Impression : Leonce Deprer (BarUn) Duplication CD-Rom : CD Maker (EmeramviUe) Distribution - ventes Diffusion : MLP Reglages et modifications : Denis Rozes / Distnmedias (05 61 43 49 69) Depot légal : a parution Commission paritaire : 75364 ISSN : 1259-1165 Directeur de Publication Romain Canonge (84 25) rcanonge9posse-press.com Copyright 1998 - Posse press □ Je ne suis pas abonné à D rea m ................................................+ 20 F □ Je choisis i'option de parution dans tous les magazines Posse (PC Team , Studio M ultim édia) +20 F □ Je choisis l'option caractères g r a s .......................................... +20 F Cochez vos choix Soit un total d e ................ Rubriques : □ achats □ ventes □ contacts - Département — 1 ■■ ■ ■— 1 % * 1 Vds A2000 + dvp hdc +- 4 Mo Ramddsomo-1084s star le 2410 - Prix 3000 francs de préférence sur 35 Tél. : 02 23 30 18 47 après 18h. *Vds PC k6 -2 300, su ré q u ip é , é cra n 17" : 6 9 0 0 fra n c s - V d s n b rx je u x o rg n x A 5 0 0 / 1 2 0 0 / c d 3 2 : 30 à 6 0 f r a n c s d a n s boîte avec notice : 06 12 36 43 57. Vds Al 200 1200 francs + A500 1Mo 500 francs -t- DD 340 Mo 3.5" 400 francs + Biz IV 68030/copro/8 Mo -------- 1 Directrice prom otion e t publicité Helene Blondel (84 20) hbiondel®posse-press.com Chef d e publicité Mane-Heténe Dussotier (84 21) jxib9posse-jsrcss.com i —— ii i Règlement p a r chèque ou m andat à l'ordre de Posse Press/PA, j 76, rue de la Fontaine au Roi, 7S O I 1 Paris. Parution de l'annonce i Ce numéro de Dream est accompagne d'un CD-Rom gratuit pose en une ce couverture. Toute représenta tion ou toute reproduction intégrale ou partielle au magazine, toute utilisation du logo de Dream ne pieuvent se taire sans l'accord de l'editeur. L'envoi de textes, photos, logiciels à l'éditeur impkique l'acceptation p>ar l'auteur d e leur libre publication. Saut accord spécial, les documents ne sont jamais résolues. L'editeur décime toute respxsnsabitite quant aux opinions formulées dans les articles, celles-ci n'engageant que les auteurs. Les marques citées appartiennent a leur propriétaires resjsectifs. Leur citation est faite sans aucun but publicitai re et ne signifie en aucun cas que les procèdes soient tombes oans le domaine public. Le Croupie Posse édite également PC Team, PC Team Hors-Séne, et Le Studio Multimedia. sous un ou deux mois en fonction des dates de bouclages du j magazine. La vente et l'échange de logiciels concerne uniquement : les originaux. Posse Press se réserve le d ro it de refuser toute i annonce portant à confusion. posse. E S S Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM • D ream n°28 Le PC sans se planter Tout pour comprendre et acheter un ordinateur multimédia : l'unité centrale, le stockage magnétique, l'affichage, le multimédia, les communications, les imprimantes, les souris, les joysticks... Avec CD-Rom Le PC sans fausses notes Tout sur la musique assistée par ordinateur : le Midi, le hardware, le software, Internet, rubriques pratiques... Avec un CD comprenant 34 démonstrations commerciales, 50 Mo de modules, 13 trackers, 100 fichiers Wav... Le PC dans la poche Tous les ordinateurs de poche : Psion sériés 3 et 5, Palmpilot, Hp48, Ti92, Newton, Windows Ce... Avec tous les logiciels de connexion pour Amiga, Atari, Linux, etc. 20F PÜRl • Dream n°1 Dossier : la CD-32 Reportage : l'ECTS de Londres Disquette : DSS 1, version complète • Dream n°2 Dossier : les jeux de Noël Reportage : comparatif numériseurs Disquette : Amos Turbo Labo : Photogenics... Disquette : Skidmarks II, la démo • Dream n°16 Dossier : les clones Amiga arrivent Reportage : l'Amiga s'impose à Imagina Disquette : Photogenics, la démo • Dream n°17 Dossier : les imprimantes Reportage : le Supergames show Disquette : Cinemorph, version complète Dossier : la Doom-mania arrive sur Amiga Labo : GoldEd 2.1.1, Easy Cale, Studio Professional 2... Disquette : DSS 3, version complète • Dream n°4 • D ream n°18 Dossier : les virus Reportage : le Winter Ces de Las Vegas Disquette : Quickwrite, version complète Dossier : l'ECTS de Londres Labo : DPaint V, Scala mm400, Sherlock, Diavolo, Power CD... Disquette : Brutal, la démo • Dream n°5 • D ream n°19 Dossier : sex'n'Amiga Labo : Blitz Basic 2, Mediapoint... Disquette : Skidmarks démo Dossier : les dessous du rachat par Escom Reportage : l'Amiga à L'E3 de Los Angeles Disquette : OctaMed pro 5.04, version complète • Dream n°3 • Dream n°6 Dossier : le salon Imagina 94 Labo : ADPro 2.5, Quarterback... Disquette : Personal Paint 4, version complète • Dream n°7 • D ream n°20 Dossier : l'Amiga et Internet Labo : Photogenics 1.2, Kit Tower 1200, Digita Organiser... Disquette : Obsession Flipper, la démo Dossier : les extension du PC au service de l'Amiga Labo : Tower TBD, SX32, TurboCalc 3.5, @-Net... Disquette : TurboPrint Professional 4.1, version light • D ream n°29 Dossier : Viscorp rachète l'Amiga Labo : DeltaTower, DiskSalv4... Disquette : MandelTour AGA, version complète » D ream n°30 Dossier : toutes les clés pour éviter la galère Labo : Wordworth 5, World Atlas, encyclopédie Adfi... Disquette : Blitzbank 2.1 • D ream n°31 Dossier : le quizz de l'été Labo : Image FX 2.a, Artpad 2, Vid 24, Kit Internet... Disquette : une sélection de DP • D ream n°32 Dossier : quel fournisseur Internet choisir ? Labo : Turbo print v 4.1... Disquette : Poweroïds • D ream n°33 Dossier : le multimédia et l'Amiga Labo : la carte Cyberstorm 060 Disquette : une sélection de DP • D ream n°34 Dossier : la communauté Amiga à la rescousse Labo : OctaMED, Soundstudio, Imagine 5.0... Disquette : Alien Breed 3D 2, la démo Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Dossier : le piratage Labo : Scenery Animator, Vidi 24, le PAR... Disquette : Canon Studio, version complète • D ream n°8 Dossier : les simulateurs Labo : Overdrive CD, Caligari, Directory Opus... Disquette : Personal Font Maker, version light • Dream n°9 Toute l'histoire de la micro De l'Eniac à la BeBox en passant par le ZX81, l'Apple II ou l'Amstrad, découvrez la grande aventure de la micro informatique. Avec un CD-Rom. Dossier : l'Amiga en vacances Labo : Imagine 3.0, Emplant Disquette : Abank • Dream n°10 Dossier : les mangas et l'Amiga Labo : carte M-Tec, Can do... Disquette : une sélection de DP • Dream n°11 Dossier : l'avenir de l'Amiga Labo : Lightwave, Dice, Videostage... Disquette : Painter 3D, version complète • Dream n°12 Le CD PC Team (n°10 à 24) Retrouvez sur chacun de ces CD-Rom un répertoire Amiga d'environ 10 Mo : jeux, utilitaires, astuces, fichiers images, sons... 15F ♦ POM(■ <2?team Dossier : la création d'un jeu Labo : DSS 3.0, DirWork, Brilliance 2... Disquette : Desktop Magic • D ream n°13 Dossier : l'Amiga à la télé Labo : PageStream, Panorama Disquette : Virus Checker 6.41 • Dream n°14 Dossier : l'Amiga et les graphismes Reportage : le World of Amiga Disquette : Real Time Sound Processor Il Lite • Dream n°15 Dossier : le rachat de l'Amiga • Dream n°21 Dossier : transformez votre Amiga en PC, Mac... Labo : OctaMed 6, AsimCDFS, Fax on ... Disquette : Flight Of The Amazon Queen, la démo • D ream n°22 Dossier : l'avenir ludique de l'Amiga Labo : CD Write, lecteur Zip... Disquette : Vroom Multiplayer, version complète • D ream n°23 Dossier : optimisez votre Workbench ! Reportage : l'Amiga aux commandes du virtuel Disquette : Coala, la démo • D ream n°35 Jeu : Capital Punishment Labo : iBrowse, InterOffice, MaxDOS « D ream n°36 Dossier : pourquoi investir sur Amiga Labo : 2 modems 33600bps, X-DVE, SMD-100... Disquette : une sélection de DP D ream n°37 Dossier : gagnez de l'argent avec votre Amiga Reportage : l'histoire de l'informatique à Londres Disquette : Magic Menu 2.15 • D ream n°24 • D ream n°38 Dossier : choisir un lecteur CD-Rom pour Amiga Labo : Devpac 3.5, carte Piccolo, Action replay 1200... Disquette : Boston Bomb Club, version complète Amigazone : Typesmith, Wordworth Linuxzone : Lincity, Xquad, Lyx Disquette Amiga (épuisée) • D ream n°25 Dossier : l'Amiga expo fait un carton Labo : Directory Opus 5.0 Disquette : Virus Checker 8.03 • D ream n°39 Amigazone : les browsers Web, Shapeshifter... Linuxzone : XWindow, The gimp, Mesa OpenGL, Xclamation... Disquette Amiga : Gestion 2000 (démo) et FirePower • D ream n°26 • D ream n°40 Dossier : les ordinateurs exotiques Labo : ImagineVision, Blitz Basic 2.1, Arts et frontières... Disquette : Zeewolf 2, la démo Amigazone : Blobz, Cybervision 64 3D, Airmail Linux : les distributions, Maëlstrom, DDD, CDE... Disquette Amiga : Amigameboy, WebDesign, VirusZ-ll... • D ream n°27 Dossier : le guide du programmeur Labo : la carte 68060 Blizzard 1260T Disquette : Gloom Deluxe, la démo LES ANCIE NS NUMÉROS A V E C CD A M I G A . A T A R I . BE, L I N U X , R I S C PC. . . 30F ♦ PORTB • Dream n°41 (épuisé) Sur le CD : Kde, version complète traitements de textes alternatifs • Dream N°54 • Dream n°42 (épuisé) d'Octamed, Mint, le Fixpack 5, Linux absolus... Dossier : les secrets de l'informatique • Dream n°43 (épuisé) pour RiscPC... • Dream N°51 théorique révélés • Dream n°44 • Dream N 48 Dossier : comment choisir du matériel Format MP3 : comment fonctionne-t-il ? Dossier : Persistence Of Vision Dossier : à la découverte des alternatif ? Comment booster son Amiga ? Tests : StarOffice 3.1 pour Linux, ordinateurs de poche Connexion Internet : pourra-t-on aller Scandale : la sécurité de Windows système pOS, Psion séries 5 Labo : la Redhat 5.0 est arrivée, tous plus vite ? ébranlée par un grain de sable ! Découverte : Warp 4.0, le processeur les OS de l'Atari, le Syjet sur Amiga, Périphériques Scsi : toutes les normes • Dream N°55 Power installation d'Os/2... enfin expliquées ! Dossier : les réseaux de neurones Sur le CD : Pov pour Amiga, Atari, Sur le CD : tout Linux pour PowerMac • Dream N°52 Clones 3D : la visio-conférence enfin en Linux, Risc PC... et la version exclusive de Tornado 3D. Apple, Amiga, Acorn... Toutes les temps réel ! • Dream n°45 • Dream N°49 machines de la rentrée en avant- Guide d'achat des stations Alpha Dossier : Latex pour tous les systèmes Comment Netscape veut s'emparer première ! Pratique : installer un lecteur SparQ Labo : Art effect 2, Applixware 4.3... d'Internet ! Test : la nouvelle interface de Linux sous Linux Plein feu : les processeurs Alpha Puces en cuivre : Ibm pousse le s'appelle Gnome ! L'an 2000 sera-t-il Unix ou NT ? Sur le CD : 50 Mo de bureautique PowerPC à 1 Ghz Spécial : Windows Os/2, 25 Mo d'utilitaires graphiques Mise au point : que vaudra Windows Tous en réseau ! pour RiscOs, 50 Mo de jeux pour Nt 5 ? Emacs : le compagnon essentiel de Falcon, 60 Mo de démos pour Amiga. S.u.s.e. : la distribution Linux ultime ? Linux enfin décortiqué ! • Dream N°46 Mais aussi : Compaq se paye les Banc d'essai : que vaut la nouvelle carte Dossier : remplacez Windows par la stations les plus puissantes du monde, graphique Pixel 64 ? Debian Gnu Linux Gateway 2000 présente le nouvel » Dream N°53 Labo : Cyberstorm Ppc, The Gimp, Amiga, réveillez la puissance Micros, consoles, stations : toutes les Window Maker... d'Altavista... nouvelles puces 3D au service de Découverte : que vaut BeOs pr2 ? • Dream N°50 l'imaginaire ! Sur le CD : distribution Debian Gnu Linux, Amiga, BeOS : comment A quoi sert vraiment Java ? 95, Linux, Amiga... Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Linux (pour PC) et Dream Linux (pour fonctionne un système d'exploitation ? Test : éxécuter des applications Amiga). Logiciels Gnu pour Os/2, 40 Le nouvel Amiga est une bombe ! Windows 95 sous Linux. Mo de démos Falcon, 100 Mo de Apprenez à graver un CD-Rom ! Compatible tous systèmes, démos commerciales pour Risc PC. Rhapsody, le croisement parfait entre exclusivement en réseau : Citrix • Dream N°47 Unix et MacOS ! présente l'ordinateur universel ! Dossier : les secrets des nouveaux La compilation du noyau enfin Project-X : Amiga et Motorola sont-ils processeurs. expliquée ! vraiment derrière la technologie du Labo : deux stations Alpha, Kde, Descent arrive sur Amiga ! futur ? Cyberstorm Mk3, Coldfire... Wordperfect 7 et Wordworth 7, les B N Coupon à renvoyer à Posse Press Dream's bootik - 16, rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris. Code client (facultatif) : ................................... Nom : ......................................................................... Prénom : .................................................................. Adresse : .................................................................... Code postal : .......................................................... Ville : ........................................................................... Téléphone : .............................................................. Machine/Système : ............................................. M M N Articles choisis Prix Port A : gratuit (France, étranger et Dom-Tom) Port B : 16 francs (France), 20 francs (étranger et Dom-Tom) Port C : 21 francs (France), 35 francs (étranger et Dom-Tom) + port Si plusieurs produits sont commandés avec des ports différents, ne compter que le port le plus cher. Total Je règle par : □ chèque à l'ordre de Posse Press □ mandat □ carte bancaire n° i i i i i L_L_L.I J 1 1 l l l 1 l 1 1 I expire le i i i i i Date et signature obligatoires : En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander : • Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 10h30 à 18h00 • Par fax : 01 43 55 66 68, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 • Par email : [email protected] In fo rm atiques et libertés : en application d e l'a rtid e 127 de la loi du 6 ja n v ier 1978, relative à l'inform atique et aux libertés, vous d isposez d'un droit d'accès et de rectification p o u r toute inform ation vous concernant en vous adressant à notre siège social. Les inform ations requises son t nécessaires à l'établissem ent d e votre com m ande. Elles po u rron t égalem ent être cédées à des organism es extérieurs, sa u f indication contraire de votre part. Comment devenir Maître du web ? Webmaster in a Nutshell Stephen Spainhour Valérie Quercia onaur Apache i i i m o t «•»/ n i n r r Programmation CGI N ’allez Septembre 1997 405 pages 2-84177-032-X 230 F pas plus loin, Apache, installation et mise en œuvre ÉDITIONS Ben Laurie Peter Laurie Novembre 1997 310 pages + CD -RO M 2-84177-036-2 220 F Shishir Gundavaram Novembre 96 450 pages 2-84177-011-7 220 F avec les O’REILLY vous trouverez tout i» ,- , Programmation CGI cmaxY Programmation de clients Web avec Perl Clinton Wong Décembre 1997 240 pages 2-84177-050-8 220 F Deuxième édition IRC, installation et Introduction à Perl ce dont configuration Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Alain Pariés linitilUith-ii n OmftHunuum Juillet 1997 160 pages 2-84177-030-3 100 F vous avez besoin. Randal L. Schwartz Tom Christiansen Février 98 300 pages 2-84177-041-9 220 F OHHXY J D B ^ ,J A V A i. nitir tlu fyrngrnrttnir ur JDBC et Java : Guide du programmeur George Reese t Février 1998 230 pages 2-84177-042-7 220 F Tous ces livres et bien d’autres sont en vente chez votre libraire O ’REILLY' http://www.editions-oreilly.fr/