Linux - AMIGALAND V6.05

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Linux - AMIGALAND V6.05
Une distribution Linux complots pour PoworMac st Amiga !
n o v e m b re 1 9 9 8 - n °5 6
Mensuel - 11,25 Scan - 273 FL - 11,10 FS - 260 FB N°ISSN
1259-1165
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Carte accélératrice :
la Centurbo II mise à nu
Culture : comment est
né le phénomène Linux ?
Linux PPC : toutes lis
■
astuces pour bien l'installer mise aupoint :
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379230603900200560
3792306039002
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1
H I
L e s m e n s o n g e s d e l'A m ig a
e n f in d é c r y p t é s
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Démarrez
Linux esl un véritable système d'exploitation Freeware 32 bit multitâche - multi utilisateurs et dépend des termes de la "GNU Public License'
Linux est de type Unix |M (POSIX) avec des extensions System V et Berkeley, et est disponible sous forme de code source et de binaires.
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Complété FreeBSD 2« édition (CD s 2.2.7 + Livre 1725 p.) US
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Linux S.u.S.E. 5.3 08/98 (vers. US)
Linux S.u.S.E. 5.3 vers. Fr (avec support à I nstallation en France)
Linux Snapshot 5.3 (S.u.S.E.) 08/98
Linux Officiel Red Hat 5.2 (Intel) Française (Logiciels du Soleil)
Linux Official Red Hat 5.2 (Intel)
Linux Red Hat PowerTools 5.2 (Intel / Alpha)
Linux Official Red Hat 5.x (Alpha)
Linux Official Red Hat 5.x (Sparc)
Extrême.Linux (Red Hat)
Linux Library vers. 4 (Red Hat) Doc (800 000 p.)
Caldera Open Linux Base 1.3 US (+ StarOffice 4.0+DRDOS 7.02)
Caldera Open Linux Standard 1.2 (vers. US)
Turbo Linux 2.0 (Pacific HiTech)
Linux InfoMagic 06/98
Linux Archives (InfoMagic) 06/98
Tool Box InfoMagic (Linux InfoMagic 06/98 +livre Runnig Linux) "0'Reilly"
Linux Slackware 3.5 (Walnut Creek) 07/98
Turbo Linux for PowerPC support G3 (Pacific HiTech)
MkLinux DR3 + livre (Prime Time Freeware)
Real Time Linux (04/98) MNIS
Accelerated-X
Linux Office suite 99 S.u.S.E.- (Applixware 4.4.1 +Applix Développeur)
StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence non commerciale)
StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence commerciale)
DR-DOS 7.02 (Caldera)
Wabi 2.2 pour Linux (émulateur Win3.1x) -Caldera
Motif 2.1.10 Red Hat (Intel-Alpha Sparc)
Motif 2.1 Métro Link (S.u.S.E.)-lntel
Arkeia Mini Lan Offer (sauvegarde pour Linux) Knox Software
Accelerated AX 4.1 Display Server Linux/BSD (Xi Graphics)
Accelerated LX 4.1 Laptop Server Linux/BSD (Xi Graphics)
OpenGL 4.1 Dispiay Server Linux/BSD (Xi Graphics)
Multi Head pour Linux Vers. 4.1/BSD (Xi Graphics)
CDE (Xi Graphics) : bundle (CDE + Applications Builder
pour Motif + Motif 1.2.5 + Accelerated AX 4.1 (Linux/BSD)
Applications Graphiques pour Linux (MNIS)
Linux Turbo Business Applications (Pacific HiTech)
GIMP1.0 (Wilber Works)
Linux Games 01/98 (Pacific HiTech)
GNU HURD Temps Réel Mach 4.0 (MCD' Diffusion)
)AVA WorkShop 2.0 SunSoft
Unix Feeware 01/98 (Walnut Creek)
C/C++ User Group Library 04/98 (Walnut Creek)
Perl 08/98 (Walnut Creek)
Ada 04/98 (Walnut Creek)
DJGPP Development System 08/98 (Walnut Creek)
QRZ Ham Radio (Walnut Creek) 03/98
CICA 32 W95/ NT 08/98 (Walnut Creek)
Hobbes OS/2 04/98 (Walnut Creek)
Simtel MS DOS 03/98 (Walnut Creek)
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LINUX)
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SLACKW ARE
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REFERENCE
Le Sytème Linux "0'Reilly" 590 pages 2ème Ed. (FR)
Administration Réseau sous Linux "O'Reilly" (368 p.) (FR)
Linux in a Nutshell "O'Reilly" (579 p.) (FR)
Son et Images sous Linux "O'Reilly" (450 p.) (FR)
Introduction à Perl "O'Reilly (334 p.) (FR)
Linux Devices Drivers "O'Reilly" (US)
Tous /es titres de la collections O'Reilly sur commande FR/US
Linux et XFree86 "Eyrolles" (404 pages) FR
Linux Undercover "Red Hat" (2019 p.) US
Linux Complété Command Reference "Red Hat" (1500 p.) US
Maximum RPM Red Hat" (442 p.) US
Doctor Linux 6th Edition (1631 p.) US
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A retourner à M C D 2 Diffusion w f t f U 72, quai des Carrières 94220 Charenton / Tél. 01 56 29 23 00 / Fax. 01 56 29 23 01
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l l l I l l l l l l l l I l I II
expire :
JJ
email : m cd2@ m cd2-diff.fr
Le monde alternatif a une
fois de plus subi des pertes.
Les derniers défenseurs de
l'Atari qu'étaient St
Magazine et Stratos ont
officiellement disparu.
Néanmoins, Dream
continuera de porter le
flambeau, au travers de
quelques pages mensuelles.
Pour sa part, Amiga Inc.
annonce la version 3.5
d'Amiga OS ; voilà une
bonne occasion de faire un
point sur toutes les fausses
informations qui ont fleuri
par le passé autour de cette
machine.
Linux, de son côté, continue
son petit bonhomme de
chemin et gagne de plus en
plus d'adeptes à sa cause,
en offrant des versions
toujours plus puissantes et
plus simples à installer.
La version 4 .0 de BeOs est
en cours de développement.
Peu d'informations
parviennent à filtrer; aussi,
espérons que le matériel
supporté le rende enfin
utilisable par Monsieur
tout-le-monde.
Quelle que soit sa machine
de prédilection, il convient
cependant de retenir que
l'informatique alternative
nécessite avant tout le
respect de tous pour tous
les systèmes, garantissant
ainsi la liberté de choix
nécessaire à l'évolution.
• DÉCOUVERTE
42. Le prochain noyau Linux, le ker6. Courant Alternatif
• EN PRATIQUE
48. In sta lla tio n de la distrib utio n
Linux PPC du CD
52. C o nfig u ratio n du réseau sous
OS/2
54. Configuration de Risc Os
56. Utilisation de NFS
Les salons informatiques deviennent
• APPROFONDIR
alternatifs. Le salon Eurêka, destiné
aux machines Alpha, a accueilli pour
la première fois Linux, et ce, à bras
o u ve rts. Pour sa p a rt, la cité des
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Scien ces de la V ille tte , lors de la
semaine de la Science, a donné l'hos­
p italité à la Linux Party N ationale,
permettant à de nombreux visiteurs
de découvrir le logiciel libre.
• DOSSIER
58. Traitem ent par lots et scripts CGI
2 2 . D e v e n ir fo u rn is s e u r d 'a ccè s
Apprenez à consulter en ligne une
Internet ?
carte routière de grand format, par
Bien que Dream ne p réten d e pas
portions. Cet article de synthèse fera
vous apprendre un m étier, il vous
appel à vos notions de Shell, Perl,
p ro p o se to u te fo is de d é c o u v rir
HTM L et bien sûr à votre connais­
q u e lq u e s c o n tra in te s et d essous
sance des outils d’ImageMagick.
in h éren ts à cette profession, qu'il
s'ag isse des co n sid ératio n s sur le
4 PROGRAMMATION
choix du matériel ou des démarches
66. O bjet : com portem ents dyna
administratives et bancaires.
miques
68. Perl : formatage de texte
70. C : les pointeurs
LABO
72. Java : initiation aux Beans (2)
32. Net Beans
74. Initiation au Blitz Basic
34. Centurbo II
36. ArtPaint
• ZONE LIBRE
37. RayStorm
76. Microstory : Linux
37. Backman
80. Petites Annonces
38. SuSe 5.3
39. Ramplify
39. MkDrawF
Abonnement P.79
L.______________________
40. SoundTracker
Dream's bootik P.82
Linux est à l'honneur ce
mois-ci avec une
distribution complète
pour processeurs Power
PC, donc utilisable sur
un Amiga ou un
PowerMac ; cette
distribution étant très
simple à installer, il n 'y
a aucun souci à se faire.
Vous trouverez
également les
disquettes de
démarrage de la
distribution Stampede
pour PC qui avait été
fournie avec le CD 54,
mais, pour des raisons
techniques
indépendantes de notre
volonté, de manière
incomplète. Ainsi, ce
mois-ci, que vous soyez
i386 ou PPC dans
l'âme, vous pourrez
tous installer Linux sur
votre machine, et
profiter des nombreuses
applications pour ce
système, fournies sur le
CD de Dream.
Linux pour PowerM ac
et Am iga
L
as d'AmigaOS ou de MacOS ? Curieux de découvrir d'un peu
plus près Linux ? Alors, cette distribution complète est faite
pour vous. Elle vous permettra d'installer simplement Linux sur
votre machine, qu'il s'agisse d'un Amiga ou d'un PowerMac. Sur le
CD , plus de 300 Mo de données compressées proposent tous les
éléments indispensables pour bien débuter sous Linux. Vous y retrouverez toutes les appli­
cations de base de la RedHat qui vous don­
□ 1 Linux 1OlDDOOl E ] | t g j
neront la possibilité de configurer complète­
ment votre machine, ainsi que des logiciels
in c o n to u rn a b le s tels que G im p, Im ageMagick, Emacs...
RedHatPPC P IMP I E ) 1^ 1
R assurez-vou s, les pages 48 à 51 de ce
0 | f
magazine vous expliqueront en détails com­
0 1
m ent m ettre en place cette distrib ution,
NT
au ssi b ien su r un A m ig a que su r un
A
PowerMac.
oi OJ
«
J
BootX v1,0b 1
Choose your OS
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MacOS
Linux
Linux kernel argum ents :
ro o t= /d ev /h d a5 video=atyfb :vmode :17,cm ode :16
□
Use R A M Disk
□
No video driver
R é p e rto ire Linux
Profitez ce mois-ci de la dernière mouture du fameux Guide du Rootord, en deux versions :
l'une au format postscript, et l'autre directement utilisable depuis le CD au format HTML.
Vous bénéficierez également de tout ce qu'il vous manquait pour administrer votre machi­
ne, et en français de surcroît. Les dernières man-pages en français sont également présentes.
Les amoureux de l'image découvriront également les dernières versions d 'ImageMagick,
d'Electric-Eyes et de Gimp avec des dizaines de plug-ins.
R ép erto ire A m ig a
Vous disposerez désormais de tout ce qu'il vous faut pour programmer en Basic et en
assembleur ! Compilateurs, assembleurs, désassembleurs, documentations et exemples se
disputent la place sur le CD. Que les allergiques à la programmation se rassurent, de nom­
breux utilitaires et applications sont également fournis.
R é p e rto ire BeOs
Amachi, le célèbre visualiseur 3D en version PPC et i386, doté de tous les plug-ins existant
à ce jour, vous attend. La dernière version du client ftp NetPenguin se trouve également au
menu.
R é p e rto ire O s/2
Gimp, le fam eux logiciel Linux de retouche d'images, a été porté sous OS/2. Faites sa
connaissance ce mois-ci en version 1.0, avec bien sûr beaucoup d'autres applications.
R é p e rto ire Risc Os
Familiarisez-vous avec tout ce qui a rapport de près ou de loin à la connexion à Internet.
_
; C hez
NE
, in fo rm a tiq u e
n o u s
SIGNIFIE
PAS
a l te r n a t iv e
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Carte mère LX - 2Mo chache
64Mo SDRAM ECC
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Disque dur 4,3 Go
CD ROM 36X
Boitier moyen tour ATX
Clavier et souris
Ecran 15" p0.28
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Carte mère BX - 512Ko chache
6 4 M o SDRAM
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Carte son Creative AWE64
Disque dur 4,3 Go
CD ROM 36X
Boitier moyen tour ATX
Clavier et souris
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9
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CSX) |
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CARTE M ÈRE
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D IM M . R É G LA G E D E LA FR ÉQ U E N C E C P U
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DE TEM PÉRA TU RES, D
F O N C T IO N N E M E N T D E S V E N T IL A T E U R S , M IS E S
E N V E IL L E , E T C .. .) . C E R T IF IÉ E
P C 9 8 . C O N N E C T E U R S B -L IN K .
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C o u r a n t
t e r n a t if
Salon
Eurêka !
Le salon Eurêka 1998 s'est déroulé du 12
au 17 septembre 1998 au CN IT de la
Défense. Il a été organisé p ar l'association
des utilisateurs d'ordinateurs Digital, Decus
(Digital Equipement Computers Users
Society), et parrainé par Q, structure résultant
de la fusion de Digital et Compaq, ainsi que
par d'autres partenaires.
usqu'alors, ce salon se destinait essentiellement aux profesB s io n n e ls , en raison du très faible taux de pénétration des
configurations Digital chez les particuliers. Il se concentrait
exclusivem ent sur les systèmes d'exploitation et architectures
propriétaires orientées grands systèm es, com m e A lpha, VM S,
Galaxie, et Digital Unix notamment.
Un nouveau venu
Pour la première fois, ce salon d'ampleur européenne, où se sont
côtoyés plus de deux mille décideurs et ingénieurs venus de toute
Il s'avère regrettable que l’influence forte de ces éléments conser­
vateurs soit parvenue à faire annuler (faute d’auditeurs inscrits...)
des séminaires techniques tenus en français et en anglais par des
spécialistes reconnus, tels que John ’maddog' Hall, directeur de
Lin u x In te rn a tio n al et responsable du m arketing U nix chez
Digital. On se doit toutefois de considérer qu'à l'issue du salon
Eurêka, la présence de Linux dans de futurs événements similaires
est acquise et même encouragée. La position affichée à l’égard de
Linux par les plus hauts dirigeants de Com paq, et la grande fré­
quentation du stand ESC/Linux, n’y sont certainement pas étran­
gers.
Un stand à p art en tière
Philippe Devins, directeur général de la société ESC, VAR Digital et
fournisseur de solutions Linux, a accueilli généreusement le centre de
démonstration Linux sur le stand de sa société. Le centre a fonction­
né à plein régime tout au long de l’exposition, avec des démonstra­
tions de solutions bureautiques, de calcul parallèle, de génération
d’images de synthèse, et de produits Internet.
Grâce aux dons de Red Hat software et de SuSE - représentés par
leur distributeurs nationaux Mandala International et Les Logiciels Du
Soleil - et à Posse Press, de très nombreuses versions de démonstra­
tion de SuSE 5.3 et RedHat 5.1 ont été distribuées, ainsi que des
exemplaires récents de Dream.
Ceux-ci, remis ou remportés à l'occasion d'un tirage au sort journa­
lier parmi les visiteurs du stand Linux, ont obtenu un v'rf succès. Ils
ont d'ores et déjà permis à des responsables de systèmes d'informa­
tion en production de posséder des versions de démonstration d'un
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l'Europe et d’Amérique du Nord, a accueilli un nouveau système
d’exploitation, dans sa dernière version, la 5 ... Non, ce n'est pas celui
auquel les lecteurs de Dream ne pensent pas, vu que nous ne parlons
ici que de systèmes d'exploitation, et dans des versions fonction­
nelles et raisonnablement déboguées.
Il s’agit bien évidemment de Linux, auquel a été initialement réservé
un accueil m itigé par les responsables et autres personnages
influents de l'organisation de cet événement.
système qu'eux-mêmes considèrent comme une alternative sérieuse
aux solutions de principe, existant aujourd’hui sur le marché.
• Des jeu x...
Salon
Linux reconnu
Des conférences techniques de qualité ont été
données par Pierre Ficheux et Cyrille Chaboisseau
et parrainées par joël Bernier (Les Logiciels Du
Soleil), Charles Santamaria et Bruno Bastard. Elles
traitaient d'expériences d'implémentation Linux
réussies dans des environnements professionnels.
Ces conférences ont eu pour thème la mise en
oeuvre de serveurs Web sécurisés et les applica­
tions de gestion de stocks et de production à tra­
vers des architectures réseau utilisant des bases de
données distribuées.
Enfin, lors de la traditionnelle session 'dialogue
avec les utilisateurs', durant laquelle les plus hauts
dirigeants du constructeur prennent la parole afin
de répondre aux questions des clients, John Rose,
vice-président de Compaq, a déclaré : "Linux est
un système performant, représentatif d'une part de
marché croissante, et digne d'intérêt. Compaq s'en­
gage a faire en sorte que Linux soit supporté sur tous
les systèmes de la gamme Compaq, qu'ils s'appuient
sur Alpha ou Intel". "Mon fils lui-même travaille
exclusivement sous Linux, a-t-il ajouté".
A l'issue de cette conférence a eu lieu la tradition­
nelle soirée de gala. Pour l'événement de la fusion
Compaq/Digital, tout le Lido de Paris a été loué
en première partie de soirée. A cette occasion,
après le discours d 'intro d u ctio n de Bernard
Maniglier, DG de Q France et Europe, Tux est
monté sur scène avec la moto 'Decus et Compaq
souhaitent la bienvenue à Tux, la mascotte Linux'.
Un soutien à la h au teu r du systèm e
v 4 r ’
ifc
i
/r
A
1 I
Syndicate+ est sorti, et Descent a
rapidement suivi. Il s'agit d'un
portage de bon niveau , disponible
pour environ 300francs et livré
avec les niveaux d'origine de
Descent 1 et 2, ainsi qu ’avec de
nombreux autres sénarii. RCornp
Interactive continue donc de porter
les grands hits du monde PC vers
les machines Acom.
La qualité est toujours au rendezvous, la plupart desjeux se
montrant plus performants que les
originaux. Voilà encore une réussite
pour Rci, qui semble avoir trouver
sa voie. Le prochain jeu prévu se
présentera comme un portage de
Heroes OfMight And Magic 2.
http ://www.rcomp.co.uk.
I
Linux à l'honneur au Lido.
tion & EM 8 6 (outil perm ettant l'exécution de
binaires Intel sur des systèmes Alpha). Ceux-ci
s'additionnèrent aux projets de création d'un
cross compilateur Alpha-lntel, et de mise à dis­
position de la technologie compilateurs hautes
p erfo rm an ces GEM sur les systèm es Lin u x,
annoncés par John Hall. Tout cela a mis en évi­
dence le niveau d'implication d'un grand éditeur
dans un domaine jusqu'alors réservé, selon tout
un chacun, à l'univers de l'information expéri­
mentale.
Le support apporté par Compaq à Linux s'ob­
tiendra à travers un réseau de partenaires indé­
pendants et libres de choisir l'éditeur de la solu­
tion Linux adaptée aux besoins de leurs clients,
tout en garantissant un support similaire à celui
des produits existant actuellement.
On peut déplorer que la place réservée aux utili­
sateurs Linux au sein du salon Eurêka 1998, ait
été pour le moins restreinte. Cependant, il est
indéniable que la prise de position claire des plus
hautes instances dirigeantes de Com paq en
faveur des solutions Linux permettra de faire une
nouvelle démonstration des capacités de celui-ci
à Madrid, l'année prochaine, dans un cadre à la
mesure des parts de marché que cette solution
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Si ce salon a été celui de l'arrivée de Linux dans le
monde des utilisateurs de grands systèmes en
France et en Europe, il a surtout célébré l'efficacité
de la configuration, qu'il a placée en avant des rai­
sons de son succès, sans que le moindre aspect
passionnel n'entre en ligne de compte.
Autour des annonces de solutions matérielles comme les clusters à canal mémoire (architectures
hybrides entre les clusters à réseau dédié et les
systèmes parallèles à mémoire dédiée) ou comme
les clusters SCSI et la dernière génération de pro­
cesseurs Alpha - et les annonces logicielles —
comme l’évolution des systèmes d ’exploitation
propriétaires traditionnels tels que VMS et Digital
Unix — Linux a indéniablement retenu l'attention
d'un nombre important de visiteurs. Il a en effet
cherché, pour la plupart d'entre eux, à optimiser
la rentabilité de leur parc matériel et à maîtriser
leurs budgets grâce à un environnement homo­
gène, ouvert et riche.
L'intervention de John Hall était consacrée au
futur de Linux et aux nombreux accords signés
par des éditeurs majeurs du marché avec des édi­
teurs Linux (Oracle, Sybase, Ingres), ainsi qu'aux
annonces des nouvelles versions de suites bureau­
tiques complètes (Applix, WordPerfect, StarOffice).
Les efforts furent soutenus, en vue de l'améliora-
représente désormais.
Christophe Le Cannellier - [email protected]
M IG A
ATARI
L IN U X
Adresses à r e t e n i r
http://www .m andalux.com
h ttp://www. kheops.com
h ttp://www.suse. de
http://www .redhat.com
h ttp://www. escdirect. fr
R ISC PC
B E OS
OS/2
D IV E R S
---------------------■fVv.
Rassem blement
_________
Semaine des logiciels libres à la Cité
des Sciences et de l’Industrie
préparation de cette manifestation et s’est largement impliqué en
recevant une formation sur les logiciels libres. ’’Une des missions
de la CSI étant de former le citoyen, il est normal qu'elle mette l'ac­
cent sur la pluralité des logiciels, afin que le grand public puisse choi­
sir en toute connaissance de cause" exp liq u e Jérém ie N estel,
médiateur scientifique de l’animation.
D es lo g ic ie ls p o u r to u s
Pendant la semaine du 5 au 9 octobre, deux stands ont permis
au public et à des groupes scolaires de se fam iliariser avec les
logiciels libres. Le stand "Des logiciels par milliers” a donné la
possibilité aux visiteurs de s'initier à divers logiciels libres (bureau­
tiq u e, graphism es, sciences, je u x, systèm es d 'e xp lo ita tio n ...)
grâce à des d ém onstrations et des conseils d'u tilisatio n . Le
second stand a été un grand succès pédagogique, démontrant la
réalité de l'exploitation de logiciels libres dans le cadre scolaire.
Une classe du Collège Jean Lurçat de Saint-Denis et son profes­
seur (Charlie Nestel), brièvement formés aux logiciels libres, ont
démontré à des groupes scolaires et des institutionnels (Conseil
Général du 93 ) leurs possibilités et leur facilité d ’em ploi. Ces
élèves prouvent ainsi qu’il existe un large éventail de logiciels
accessibles à tous et répondant à la plupart des besoins quoti­
diens.
Des personnalités du monde du logiciel libre ont tenu des confé­
ren ces to u te la se m ain e d ans l’a u d ito riu m de l’e xp o sitio n
"Nouvelle Image Nouveaux Réseaux", abordant tous les aspects
du logiciel libre devant un public très intéressé et vraiment récep­
tif. Parmi les conférenciers, on a pu noter la présence de Jean-Paul
Baquiast, contrôleur d’Etat, président d’Admiroutes (w w w.adm iroutes.asso.fr) et auteur du fam eux rapport Baquiast, expliquant
l’avantage technique et culturel des logiciels libres dans le passage
de l’Administration vers la société de l’Information.
Le week-end du 10 et 11 octobre, la Cité était ouverte gratuite­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
"
,
La Semaine de la Science ? Logiciels mon p a ri".
a Cité des Sciences et de l’Industrie a déroulé le tapis rouge
pour les logiciels libres, à l’occasion de la Semaine de la
qui s'est tenue du 3 au 11 octobre dernier.
Une m a n ife sta tio n c a p ita le
Des séances d’initiation ont été organisées par l’association APRIL
(Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique
Libre) pour le grand public et les groupes scolaires, ainsi que des
conférences et la mise en place de deux stands. Le samedi 10
octobre, une Install Party de logiciels libres a eu lieu, où chacun a
pu apporter son ordinateur et recevoir l’aide d’experts bénévoles
pour l’installation d’un systèm e libre. La m anifestation fut un
grand succès : environ 1 500 visiteurs ont transité par les stands,
l’auditorium de l’exposition "Nouvelle Image Nouveaux Réseaux"
a affiché com plet à chaque conférence, et une cinquantaine
d’installations de systèmes libres a été effectuée.
Pour la première fois, une institution grand public reconnaît ainsi
l’importance et l’irrésistible ascension du logiciel libre en France.
Le service-animation de la Villette a apporté son concours pour la
ment au public. Le stand logiciels libres a été le plus visité, et plus
particulièrem ent le sam edi 10 octobre, jo ur de l’Install Party.
Environ cinquante installations de systèmes libres ont pu s'effec­
tuer sur divers types de matériels (PC, portables, Mac). Le public a
été conquis par la disponibilité et la compétence des bénévoles.
Un p récé d en t
Cette m anifestation constitue une étape-clé dans la reconnais­
sance de l’informatique libre, et annonce d’autres grands événe­
ments : "Les prochaines Fêtes de l'Internet, au printemps 1999, met­
tront en valeur les logiciels libres, au travers d'actions coordonnées
par APRIL" annonce Cédric Benharous, vice-président de l’associa­
tion.
Prochaine Install Party organisée par APRIL : samedi 5 décembre.
Les renseignements seront sur le Web.
APRIL : http://www.april.org
CSI : http://www.cite-sciences.fr
C o m p te - re n d u , ré s u m é , p h o to s de la m a n ife s ta tio n
:
http://www.april.org/VilIette/resume
Fête Internet : http://www.april.org/fete-internet/
Collège Jean Lurçat : http://www.babelweb.org/lurcat/
Frédéric Couchet - [email protected]
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A l'o c c a sio n du M ic ro p ro c e s s e u r
I
Forum, le fondeur AM D a présenté le K
13 octobre dernier les spécifications
définitives de son processeur K7, suc­
Dirk Meyer directeur
cesseur de l'actuelle gamm e K6, tou­
du développement
jours compatible avec le jeu d'instruc­
du K7.
tions x86 et qui viendra s'insérer sur les
mêmes cartes mères que le processeur Alpha 21264. Si les pre­
mières versions afficheront "juste" 500 MHz au compteur, AM D
promet néanmoins que sa puce dépassera la barrière du GHz d'ici à
i'an 20 0 0 . Mais les atouts les plus im pressionnants du K7 sont
ailleurs : présenté dans un boîtier similaire à celui du Pentium-U, le
K7 disposera d'un cache interne (de niveau 2) allant de 512 Ko à ...
8 Mo l Par ailleurs, et tout comme l'Alpha 21264, ce processeur sera
capable de communiquer avec la carte mère dans une fréquence
allant de 200 MHz à 400 MHz. A noter que HP, développeur du
Merced pour Intel, mettra à la fin de l'année sur ie marché le HP/PARisc 8500 à 360 MHz (440 MHz en janvier), à savoir un processeur
détenant 1,5 Mo de cache de premier niveau. Dans ce cas précis, la
Ram n'est pas extérieure au processeur, mais bel et bien incorporée
dans son silicium. Un record.
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Linux pour Alpha installé
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SYSTEM E
A m ig a O S 3 .5 :
fin a le m e n t, c'e st o u i !
Escom l'avait envisagé, Gateway n'y trouvait aucun intérêt,
mais Amiga Inc. l'a finalement décidé : I AmigaOS 3.5 devrait
arriver l'année prochaine !
Une véritable girouette ! Amiga Inc. avait annoncé à qui voulait l'en­
tendre qu'elle ne supporterait plus le développement de la gamme
classique des Amiga. La filiale de Gateway avait en effet un chat plus
important à fouetter : la mise au point d'une nouvelle plate-forme
grand public, axée sur une puce graphique révolutionnaire et le sys­
tème d'exploitation OS5 Prod. Eh bien, c'est raté ! Le constructeur
revient encore sur ses propos et affirme aujourd'hui que la mise à
jour d'AmigaOS, attendue depuis quatre ans, se révèle finalement
prioritaire sur tout le reste. Enfin... prioritaire ou bien pratique, c'est
selon. La fin de l'année approche et le kit de développement "OS5
Dev" qu'Amiga Inc. devait commercialiser en septembre dernier
serait - selon les développeurs concernés - encore loin de pouvoir
fonctionner. Qu'importe, le projet OS5 séduit de toute façon assez
peu les clients actuels de la marque Amiga : au train où vont les
choses, les applications ne se trouveront pas disponibles avant trois
ans et OS5 sera autant com patible avec Am igaOS que ne l'est
Windows, ce qui signifie qu'il faudra passer par un émulateur.
Ind ép end ant du h ard w are
Belle aubaine donc, tant pour l'utilisateur que pour le constructeur,
que de ressortir du placard (où on l'avait un peu trop vite relégué)
ce bon vieux projet d'AmigaOS 3.5. Véritable arlésienne, AmigaOS
3.5 représente la mise à jour du 3.1 de 1994. Cela veut dire qu'il
"officialise" les monceaux de patches et autres outils systèmes que
des auteurs plus ou moins célèbres ont publiés depuis quatre ans.
Le but : disposer sur CD-Rom d'un système d'exploitation complet,
qui se suffit à lui-même pour piloter tous les périphériques actuelle­
ment en vigueur sur le marché Amiga : les cartes d'extension (gra­
phiques, accélératrices, so no res...), les unités de disque (disques
durs de plus de 4 Go, formatages étrangers, supports amovibles),
mais aussi les imprimantes et les scanners. En fait, la réelle nouveau­
té de cet AmigaOS 3.5, par rap­
Ils ne s o n t t o u j o u r s pas s o r t i s !
port à ses prédécesseurs, réside
dans la modularité du hardware :
les jeux pourront s'afficher sur
n'importe quelle carte graphique
et les sons s'é c o u te r sur la
moindre carte sonore. Le prin­
cipe est connu puisque CyberGraphX, Picasso 96 ou encore Ahi
l'o n t dém ocratisé. Il ne serait
d'ailleurs pas étonnant qu'Amiga
Inc. choisisse justem ent d'inté­
grer une adaptation de ces rou­
Depuis le rachat de l'Amiga p a r Escom en 1995, les annonces officielles su r le renouveau de la
machine n'ont cessé de fuser. Pourtant, la plupart n'étaient que du vent. Dream fait le point sur toutes
les déclarations bidons.
Date de l'annonce Annonce bidon
Prévu p o u r...
juin 95
Nouveau boîtier vert pour l'Amiga 4000T
septembre 95
juin 95
Nouveau 1200 à base de 68EC030
septembre 95
octobre 95
Successeur du 1200 avec 68030 et 8 Mo de Chip Ram
mars 96
novembre 95
Les "PowerAmiga", sans 680x0 mais avec un PPC604
janvier 97
novembre 95
Workbench 4.0 (protection mémoire, Internet, RTG, RTA)
septembre 96
novembre 95
Cartes PowerPC pour 1200, 3000 et 4000
septembre 96
décembre 95
Workbench 3.2 (intégrant MU! et MagicWB)
mars 96
décembre 95
Kickstart 4.0 entièrement recompilé en PowerPC par Phase 5
sans date
décembre 95
Successeur du AAA
sans date
janvier 96
Motorola recompile l'AmigaOS en PowerPC
sans date
février 96
Carte fille Pentium pour émulation PC
avril 96
février 96
Clone du CDTV par Viscorp
septembre 96
mars 96
Walker (68EC030 à 40 MHz et Kickstart 3.2)
mai 96
avril 96
Viscorp rachète l'Amiga
avril 96
juin 96
Nouvel AmigaOS
mars 97
juin 96
Nouvel Amiga
juin 97
juin 96
AmigaOS 4.0 recompilé pour Alpha 21164
sans date
n'avons plus le temps de réinven­
ter la roue".
Des problèm es de choix
In té g re r dans le systèm e des
fo n ctio n s au p arava n t o p tio n ­
nelles pose de délicats problèmes
d'arbitrage. Pourquoi choisir une
juillet 96
septembre 96
octobre 96
norme plutôt que l'autre ? Et que
vont dire les développeurs de
logiciels comm erciaux, tels que
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
novembre 96
mars 97
juin 97
juillet 97
octobre 97
octobre 97
novembre 97
janvier 98
février 98
mars 98
mars 98
mai 98
mai 98
Pios One, un clone Amiga à base de PowerPC
Pios/OS, un clone d'AmigaOS pour machines PowerPC
pOS, un clone AmigaOS pour Amiga, PC, PowerMac et Alpha
A \ Box, un micro PowerPC partiellement com patible AmigaOS
Carte graphique Caipirinha pour CyberstormPPC
Carte mère Boxer; compatible Amiga
Amiga Nouvelle Génération (NG) à base de PowerPC
Workbench 3.5 (pour 680x0)
AmigaOS 4.0 (Roms Kickstart Workbench p ou r PowerPC)
A5000 et A6000, clones Amiga
AmigaOS 3.1 recompilé pour Alpha 21164
Carte graphique BVisionPPC
Pre\ Box, un clone Amiga avec quatre PowerPC
A \ Box, un m icro... h eu... nouveau
Amiga Bridge System (PC Intel avec AmigaOS 4.0)
Amiga NG (puce inconnue AmigaOS 5 .0)
+
+
juin 97
sans date
juillet 97
juillet 97
sans date
mars 98
juillet 98
mars 98
mars 98
sans date
février 99
juillet 98
septembre 98
février 2000
octobre 98
juin 2000
tines dans le nouveau système :
elles se montrent stables, stan­
dardisées et, comme le dit Fleecy
M oss, chef du p rojet : "N ous
or
Logiciel
O
Librairie
Matériel
Avant : une librairie
p a r périphérique.
O*
Pilote A
Matériel
A
Pilote B
Matériel
B
Préférences
o
Librairie
AmigaOS 3.5 : la librairie devient indépendante du périphérique.
Envers, ça va, divers, bonjour les Amiga.
Miami ou IBrowse, quand ils vont s'apercevoir que le nouvel
AmigaOS sera livré avec une suite Internet complète ? Sur ce sujet,
Fleecy Moss se veut rassurant : "Nous voulons redonner une dyna­
mique commerciale à l'Amiga et, rassurez-vous, il est primordial pour
nous qu'aucun intervenant ne se sente lésé. De fait; à part pour Ahi et
CGX, où nos solutions sont plus performantes (mais compatibles),
toutes les fonctions applicatives (connexion Internet; gestion de l'im­
pression...) que nous offrirons dans I'AmigaOS 3.5 resteront basiques.
Vous préférerez certainement utiliser les logiciels commerciaux". Voire.
Selon certaines sources, Amiga Inc. lorgnerait du côté du réputé
logiciel Opéra pour la navigation Internet ; ce ténor de la gratuité,
même s'il ne multiplie pas les caractéristiques délirantes, suffit à
remettre en cause l'achat d'un IBrowse.
Le cas Pow erPC
de mettre au point un émulateur qui permettrait de se passer du
coûteux 680x0 sur les cartes accélératrices. Ainsi simplifiées, les
cartes processeurs de demain pourraient être développées par l'an­
glais Mick Tinker (Access Innovations), lequel a déjà manifesté un
certain engouement pour la relance du hardware Amiga (Access,
Boxer, Inside/Out). Mieux, celui-ci pourrait même inclure le proces­
seur sur les nouvelles cartes mères qu'il est en train de développer à
base d'AA+ (voir Dream N° 55). Mais tout cela reste dans le domaine
de l'éventualité, cette botte secrète n'ayant absolument rien de
concret au jour d'aujourd'hui. Par ailleurs, l'élim ination de la
Ppc.library signe la disparition de la plus importante partie de la
logithèque Pow erPC sur Am iga ; adieu FastQuake, Adescent,
IxemuIPPC, Isis... Les responsables d'Amiga Inc. savent-ils réellement
ce qu'ils font ?
O uvert du
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web: www.aps.fr j r t
Lundi au Vendredi.
9H30-12H 14H-18H
Mais il y a plus alarmant : avec son projet du "tout pilote intégré",
Amiga Inc. a mis les pieds dans le plat de la discorde PowerPC. Eh
oui, malgré l'annonce mensongère de prétendus accords entre
Phase 5 et Haage&Partner, lors du dernier World of Amiga, l'Amiga
est une machine qui ne sait toujours pas comment elle doit se servir
de son processeur. A gauche, l'allem and Phase 5 est le seul
constructeur de cartes accélératrices à base de PowerPC. Il a déve­
loppé en ce sens un sous-système qui intègre le fonctionnement du
Pow erPC dans A m igaO S, la P p c.lib ra ry . A d ro ite, l'allem and
Haage&Partner estime que la Ppc.library s'avère vraiment très mal
conçue et propose une solution de rem placem ent totalem ent
incompatible, WarpOS. Les deux intervenants se détestent au point
de verrouiller leur solution pour que celle du concurrent disparaisse
systématiquement de la Ram. Arbitraire, Amiga Inc. a tranché :
W arpOS sera le système officiel, à savoir celui que proposera
AmigaOS 3.5. Inutile de dire que Phase 5 ne décolère pas et menace
même d'abandonner le marché Amiga pour se consacrer exclusive­
ment aux cartes d'extension sur PowerMac ; selon Ralph Schmidt, le
développeur de la Ppc.library : "Nous sommes les seuls à avoir installé
un nouveau processeur dans l'Amiga. Pourtant, Amiga Inc. a préféré
officialiser une puce qui n'existe pas encore (pour OS5). Maintenant, ils
veulent imposer un AmigaOS 3.5 recyclé alors que tout le monde
attend un AmigaOS entièrement recompilé pour PowerPC ! A force de
ne pas nous soutenir, nous les constructeurs, leur marché commercial
risque bien de s'effondrer plus vite que prévu". Mais Fleecy Moss se
veut implacable : "Assurément; Phase 5 n'est pas content; mais il va
coopérer. Ne serait-ce qu'en arrêtant de mettre une protection contre le
lancement de WarpOS dans ses cartes accélératrices (seul WarpOS 3.7
arrive à détourner cette protection). Et puis, même s'ils ne veulent pas
coopérer, il y a de toute façon d'autres constructeurs sur le marché. Je
ne vois pas cela comme un problème". L'audacieux chef de projet fait
en réalité référence à une botte secrète : Haage&Partner est en train
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» ARM CE
Microsoft et ARM travaillent
conjointement depuis 1996 pour le
portage de Windows CE sur
l'architecture ARM. Finalement,
c'estplutôt l'architecture ARM qui
a étéportée sous Windows CE,
puisqu 'une nouvelle fam ille de
processeurs consacrés au nouveau
système a vu lejour. Les pockets
Windows CE vont enfin avoir une
autonomie acceptable (sic).
PO CKET
Un Palm Pilot
qui fait
téléphone !
Dernière trouvaille de la société Qualcomm,
le pdQ Smartphone est un téléphone por­
table qui intègre un PalmPilot ! A peine plus
gros que les derniers téléphones du genre,
le pdQ pèse 230 grammes et dispose d'un
clavier am ovible sous lequel on retrouve
l'écran, la fenêtre de saisie et le stylet du
dernier Palmlll de 3Com. Fonctionnant avec
le système PalmOS 3.0, cet hybride ouvre
de nouveaux horizons. Entre autres, il per­
met d'appeler directement un contact en
c liq u a n t sur son nom ou enco re de se
connecter à Internet depuis la rue (un navi­
gateur Web et un client E-mail sont com­
pris, le modem intégré fonctionne à 14,4
Kpbs). Bonheur suprême, le pdQ intègre un
port infrarouge qui l'autorise à envoyer et recevoir facilement des données avec tout autre appareil équi­
valent. On imagine déjà l'aisance avec laquelle on pourra désormais s'échanger cartes de visites et plan­
nings. Bien entendu, les fonctions principales ne sont pas oubliées, à savoir la prise de notes à main levée
et la synchronisation avec un ordinateur de bureau. Disponible dès l'été prochain en deux versions (800
et 1900), le pdQ exploitera la technologie CDMA, laquelle rend le son de la voix plus clair, annule les
interférences et empêche votre ligne d'être piratée. L'autonomie sera de 40 heures en veille et de 2h30
en communication. http://www.qualcom m .com /pdQ/
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PRO C ESSEU R
Motorola dévoile le G4
Motorola vient de dévoiler quelques informations sur son futur C4, le
nouveau processeur PowerPC qui succédera à l'actuel G3. Constitué
de 10,5 millions de transistors, le C4 sera un processeur Risc 128 bits ;
il tiendra sur une plaque de cuivre de 83 mm2, gravée avec une préci­
sion de 0,2 microns. Par ailleurs, l'engin se présentera dans un boîtier
plastique BGA de 360 broches. Initialement distribué à une fréquence
de 400 MHz, il consommera moins de 8 watts et accédera, d'une part
en 128 bits à un cache de second niveau de 2 Mo, et d'autre part en
64 bits au reste de la carte mère. Complètement compatible avec les
gammes précédentes, il incorporera un module Altivec optimisé.
L'amélioration des performances par rapport à un C3 à la même fré­
quence est annoncée comme suit : 10 % de mieux pour les calculs
entiers, 50 % pour le FPU et 1400 % pour Altivec. Par ailleurs, deux
C4 en parallèle perdent deux fois moins de temps à se synchroniser
source: M otorola
B ranch unit
r
in stru ctio n s
In t e g e r
u n it
F lo a t in g - p o in t
u n it
3 2 - b it
6 4 - b it
.........1 "
V e c t o r u n it
1 2 8 - b it
De toutes les manières, c'est les w atts qu'il préfère.
entre eux que
d e u x G 3. S i­
g n alo ns enfin
que le G4 succ é d e r a au
PowerPC 604e,
le G3 n'ayan t
rem placé
que le PowerPC
603e.
Compaq
persiste
et signe !
Compaq, après avoir annoncé
sont soutien total envers Linux,
en proposant la possibilité d'ins­
taller ce système sur toutes les
machines de la marque, vient
de co n firm e r son p ench an t
pour le système d'exploitation
libre. En effet, Compaq a offert
au projet Debian (qui est un
groupe de développement pro­
posant une des distributions
Lin ux m ajeures) une station
Alpha dernier cri. Ce cadeau a
pour but d'aider le projet de
portage de la Debian sur plate­
form e Alpha, celui-ci nécessi­
tant encore une finalisation. Les
membres du projet Debian, très
touchés de ce geste, vont assurémentredoubler d'efforts.
Concepts
( Fabrication et distribution )
Payement par chèque, mandat ou CB ( 500 Frs).
Port : Logiciel 40 Frs, Matériel 65 Frs, Tower 120 Frs
Le retour ludique de l'Amiga
For a better future...
Les configurations récentes à base de PowerPC et de Permedia 2 ont
redonné espoir aux éditeurs de jeux restés fidèles à l'Amiga. C'est ainsi
que Titan HB, fort du succès de Shadow Of The Third Moon (un simu­
lateur voxel) envisage de sortir pas moins de trois titres Amiga avec
support PPC et Permedia 2. Le premier, Claws Of The Devil, sera à
l'Amiga ce que Tomb Raider est aux autres plates-formes. Vous dirige­
rez Terry Fletcher, une aventurière n'ayant rien à envier à une certaine
Lara, dans treize niveaux tout en 3D, avec plus de vingt-quatre enne­
mis différents. Total Combustion se présentera quant à lui comme une
simulation de Stock Car, qui rappellera le fameux Destruction Derby
sur PC et Playstation. Vous trouverez au programme : course contre la
montre, carnage mécanique et autres cascades, le tout bien entendu
en 3D. Enfin, toujours chez Titan, Lost Days In Paradise vous plongera
au coeur de combats spatiaux dignes de ceux de Wing Commander. A
noter que l'éditeur allemand est en train de passer des accords avec
Blue Byte, en vue de l'adaptation sur Amiga d'un de leurs gros titres,
dont le nom n'a pas été révélé pour l'instant. Chez Digital Images,
l'heure de l'ampleur a également sonné, avec trois titres très atten­
dus. Cette jeune équipe britan­
nique développe à l'heure actuel­
le ses propres routines 3D, axées
sur le Permedia 2, afin d'assurer
un d é velo p p e m e n t rap id e et
adapté aux nouvelles possibilités
de l'Amiga. Ainsi verront le jour
Digital Soccer (simulation de foot­
ball), Digital Fighters (un clone de
Tekken) et surtout JetStream, qui
Vaisseaux sans gains.
De 10h à 19h (samedi sur rendez-vous)
Catalogue complét sur simple demande
Tél : 02.40.85.30.85
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Adresse : Le Plessis, 44220 - Couëron
( à proximité de Nantes )
P ro d u its A t é o
Branchez 4 périphériques IDE
Atéo IDE mux complét A4000 ................................. 199
Carte seule, sans nappes A4000 ................................ 70
(IDE-Mux A4000+nappe 2 5->3 5 = IDE-Mux A1200)
Interface pour Clavier PC
Pour A1200 monte en boîtier tower........................ 349
Pour A2/3/4000 (modèle externe)..............................399
Clavier PC 105 touches.....................................
92
Mise a jour ROM interface clavier PC (Ver 2 .2 ). 100
Boîtiers A téo TOWER * A ccé sso ires
Boîtier Médium T o w e ^ g B F fA im ♦ module LED +
interface davier PC ♦ davier + doc montage) .1090
Boîtier Grand Tower A4000 (alimentation 230W ♦
nappes + doc montage).............................................. 1290
Carte graphique Pnel64 * AtéoBus (4 s lots) 1990
Cartes S C S I IDE pour AtéoBus
................... Bientôt
Cartes A teolO 1 (2 parallèles * 1 s e rie )
390
Carte Ethernet ( 10BaseT) pour A téo B us
N.C.
Carte Audio 'Sound Blaster’ pour AtéoBus
Bientôt Scandoubleur.............................................................
Bientôt Kit d'adaptation : AtéoBus -> Tours Micronik
150 Kit branchement module S C S I dans Towers
290 Adaptateur universel pour les LE D
49 Adaptateur de pénphériques 3.5'
vers 5*1/4
49
Lecteurs de disquettes
DDmt. A500. A6/1200, A2/4000
250,230.210
Picasso .IV (4Mo. Z flill. scandoubleur 100Hz)
- Module audio 1Sbits pour Picasso I V .............
- Module dé sortie PAL (Pablo IV )
.
BVisionPPC 4Mo (pour Bîizzard PPC ) ..........
CyberVisionPPC 8Mo (pour Cyberstorm- ....
Digitaliseur 24brts temps réel - FG24 .
Moniteur SM ILE 14’ (pitch 0 2 8 ) .....................
Moniteur SM ILE 15 (pitch 0.28, 30 - 70KHz}
Moniteur SM ILE 17’ (pitch 0.28 1280 x 1024)
Moniteur SM ILE 17' (avec Haut-Parleurs)....
Genlccks (interne/externe). Caries R V B .........
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
devrait proposer une course d'engins futuristes dans le style de
Wipeout. A ce sujet, Digital Images a pris contact directement avec
Psygnosis pour la conversion de Wipeout 2097 sur Amiga. Nul doute
que l'arrivée de ce logiciel signifierait bien des changements : d'une
part, cela donnerait le moyen à l'équipe de Psygnosis de revenir sur
leur machine fétiche et d'autre part, cette conversion pourrait ouvrir
la voie à des idées du même genre chez d'autres éditeurs. Après avoir
interrogé Digital Images, il apparaît que Psygnosis est "très enthousias­
te quant à l'idée de porter WipeOut 2097 sur Amiga". Néanmoins, tant
que rien n'est signé, Digital Images poursuit son travail sur sa librairie
3D et sur Jetstream, ce qui permettra aux joueurs d'avoir bel et bien
quelque chose à l'arrivée. Pour finir, Insanity est un groupe de déve­
loppeurs tchèques qui prépare le premier jeu de rôle 3D de l'Amiga.
Baptisé Enforce, il offrira le privilège de se balader dans des décors
aussi complexes que ceux d'un Quake, mais avec une partie aventure
en plus et beaucoup de personnages à rencontrer, jusqu’ici, ce pro­
duit était annoncé pour 68k seulement, mais ce léger handicap a dis­
paru depuis que les auteurs ont fait l'acquisition d'une carte PowerPC
! Ce processeur sera donc supporté pour de meilleures performances,
ainsi que le processeur Virge (un autre composant 3D, mais moins
rapide que le Permedia 2), présent sur les cartes CyberVision 64/3D
de Phase 5. On a le droit d'espérer qu’une version Permedia 2, dans
un futur encore indéterminé, vienne à exister. Tout ces titres doivent
apparaître en 1999 et réclament une configuration plutôt musclée.
C'est au prix d'un PowerPC, 16 Mo au minimum et d'une carte gra­
phique 3D que l'on pourra découvrir des jeux d'actualité sur Amiga.
Si les éditeurs ont su évoluer vers ces nouvelles technologies, les utili­
sateurs sauront peut-être à leur tour faire de même.
Périphériques IDE A TAPI
Disque Dur 3.2 Go Uttra-DMA.............................. 1290
CD-ROM 32x interne ♦ prise casque
590
Tiroir axtractible pour disque dur IDE
150
Périphériques SCSI
Disqué'Dur Fast SC SI3 2.4 Go
................... 2390
CD-ROM 36x interne (Pioneer) .......„ ..........
890
Cartouctie pour lecteur ZIP
,/ lL
100
Surf Squirel (S C S I + Série sur port PCMCIA)
790
Graveur 2x6x (E+L) RICOH CD-RW 62C0S . 3390
Soft pour graveur 'Malte CD V3.2 (TA O )*
395
Scanner A4, 600x600, 24 bits ! Soft
1490 / 200
Boîtiers ext avec ventiliateur (1/2 baies)
N.C
Rallonge 3,5 Maie vers 2 x 3 .5 "....................................... 89
Cable 2 5" vers 3.5" (approx. 30 cm) ..................... 69
Cable 2.5" vers 2.5" et 3.5" (approx 30 cm)
89
Doubieurs d'alimentations.................................................25
Nappe IDE 2 / 3 connecteurs.....................
3 0 /5 0
Nappe SC S i 2 / 4 /8 connecteurs ... 5 0 /1 3 0 /1 8 0
Cable S C S I avec centronic 50 p ts ..............................120
Cable centronic 50pts vers SUB-D 25pts
150
Terminaison passive S C S I centronic 50pts
99
Adaptateur clavier DIN 5 vers Mim-DIN 6 ................. 40
Adaptateur SUB-D 9pts M vers SUB-D 25pts F ... 39
Pour Amiga 600
Apollo 630 I 68030 à 33 Mhz + Coprocesseur 795
Apollo 630 / 68030 à 50 M hz...................................1150
Pour Amiga 1200
ApoHo 1240 740 à 25MHz ou 40MHz
1390/19S0
Apollo 1260 f 60 à 50MHZ ou 66MHz 2990 / 35S0
Module SC SI II pour Apoho..........................................590
Blizzard 603e à 160MHz ♦ 68040 à 25M Hz
2590
Blizzard 603e à 240MHz + 68040 à 25MHz . 3790
Blizzard 603e à 160MHz ♦ 68060 à 50MHz .. . 4890
Blizzard 603e a 240MHz + 68060 a 50MHz
5890
Blizzard 603e- à 240MHz ♦ 68060 à 50MHz . 6590
Pour Amiga 2000
Apollo 2030 / 68030 50 MHz + Copro + S C S I.. 1790
GVP 2040/ 68040 à 40 MHz + S C S I.,
N.C.
GVP 2060 / 68060 à 50 MHz ♦ S C S I
N.C
Pour Amiga 3000 et 4000
Apollo 4040 , 68040 à 40 Mhz ♦ SCSI I I
2490
ApoBe 4060 i 68060 a 50 MHz ♦ SCSI I I
3890
Apollo 4060 / 68060 a 66 MHz + SC SI II
4490
Cyberstom 604e/180MHz + 68040/25MHz
5190
Cyberstom 604e/l80MHz + 68060,50MHz
Cyberstom 604e/233MHz + 68040 25MHz
Cyberstom 604e/233MHz ♦ 68060 50MHz
M ais Aussi.,
Carte Ethernet Ahadne (Envoy & Termite).....
Cartes audto Deifina ou Préludé
............
Carte Buddha flash (de l'IDE pour A2/3/400C
CatWeasel MK2 (contrôleur de d7 HD)
CatWeasel Zll/lll (Buddha+CatWeaset )
Souris 600 DPI 3 boutons W1ZIARD
Mémoires EDO 60ns. 4. 8 16 32 <
Animer A Format. AGA E xper e •
Système 3 1 complet p< ••û
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Système 3 1 complét p- 44.i '■
Montage A1200 an boîtier trw e
Logiciels et jeux d'occasions
Pnx modifiables sans préavis
CA PI
lito l H o Si 1 D o n F r c
P f 'R
C l M o 7 n i r u R A iT t
A A •.
i.
Le monde Atari
fait le point...
Cependant, son ambition première se résume ainsi :
passer à des standards plus modernes, avec USB et
système multitâche à la clé. Les premiers proto­
types sont prévus pour la fin du mois, mais l'on a
Les 3 et 4 octobre derniers s'est déroulé le plus
pu dores et déjà constater que les futures cartes
son 20 bits et DSP 56301 du Phénix fonction­
grand rendez-vous annuel du monde Atari, le
salon allemand de Neiiss (à 10 Km de
naient à merveille. Un équaliseur graphique 31
Düsseldorf).
bandes du plus bel effet permettait de se rendre
compte de la puissance du DSP, en égalisant en
es 3 et 4 octobre derniers, la réunion de tous
temps réel une musique provenant d'un lecteur
les plus importants acteurs du marché Atari
de CD-Rom. Mais pour l'heure, c'est la nouvelle
aura permis de faire le point sur la situation
carte accélératrice CenTurbo-ll (en test dans ce
actuelle de la plate-forme : de part et d'autre, numéro)
le
qui aura mis le feu aux foules : le stand a
double mot d'ordre est continuité logicielle au ser­
vice de l'innovation matérielle. La commercialisa­
tion depuis cette date du fameux Milan le prouve.
Ce clone surpuissant de l'Atari ST (à base de
68040 et de cartes d'extensions PCI), dont on
nous présente des prototypes depuis un an, se
L
tro u v e
m arche
Falcon,
comme
e n fin d is p o n ib le en b o u tiq u e ! Et il
: mis à part les titres sp écifiq uem ent
force est de reconnaître qu'il exécute
il se doit la plupart des logiciels Atari. De
surcroît, grâce à ses connecteurs PCI, la bête dis­
pose déjà d'extensions : la carte sonore MilanBlaster 16, ainsi que diverses cartes Ethernet,
grâce au système d'exploitation Mint'98 (descen­
Quand A tari rencontre sa liste.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
dant m ultitâche du Tos). En revanche, le pilote
SCSI ne semble toujours pas finalisé ; il en va de
même pour le pilote du port cartouche, cher aux
aficionados de CuBase. A noter la présence d'un
Milan060 qui, même s'il ne montrait pas encore
une fiabilité et une compatibilité à toute épreuve,
avait le mérite d'être là. Disponibilité prévue pour
début 99.
Du h a rd w a re !
Dans le même ordre d'idée, le français Centek a pu
s'enthousiasmer de la grande curiosité que nos amis
d'outre-Rhin ont manifesté à l'égard de ses pro­
duits. Le Phoenix, cette nouvelle machine à base de
double processeur 68040 (ou 68060, voir le dernier
numéro de Dream), dont il dévoilait pour la premiè­
re fois les spécifications définitives, a remporté le
plus de suffrages. Rap­
p e lo n s-le , le P h o e n ix
n 'est pas à co n sid é re r
comm e un Atari pur et
dur, mais plutôt comme
un de ses libres descen­
dants. Certes, il permet
de fa ire to u rn e r la
majorité des lo­
g ic ie ls "G em Only" et dispose
des mêmes atti­
ran ces p o ur le
m arch é de la
création musica­
le que son aîné.
été littéralement dévalisé et tous les utilisateurs
s'accordent à dire que l'attente valait la peine.
P rocesseur Risc et cartes ATI Rage
Moins connu, le projet F-Max (Falcon Maximised)
propose une solution tout aussi valable pour décu­
pler les performances de son Falcon. Le principe
réside sur deux cartes. La première, Tempest, est
une carte accélératrice sur laquelle le 68030 se voit
remplacé par un ColdFire (sorte de 68040 très peu
onéreux et en technologie Risc) ; on y trouve égale­
ment un support pour barrette SDRam (256 Mo au
maximum) et un connecteur AGP sur lequel pour­
ront venir se brancher les cartes graphiques du
monde PC répondant à ce standard. La seconde
s'appelle "L'Eclipse". Il s'agit d'une carte venant se
brancher sur le connecteur d'extension du Falcon et
qui débouche sur un connecteur PCI dans un boî­
tier externe. Ce connecteur aura la possibilité de
recevoir n'importe quelle extension de ce standard
et une carte Ati Rage est déjà prévue. Disponible en
1999, l'ensemble (Tempest + Eclipse + Ati Rage)
d evrait coûter environ 4 0 00 francs. En ce qui
concerne les logiciels, le salon fourmillait de mises à
jour : NVDI 5.01 gère désormais cinquante nou­
velles imprimantes couleur de plus (jusqu'à 1440
dpi) et MagiC passe en version 6. Etaient également
présentés : Cab 2.7c un bon navigateur Internet,
HP-Pinguin pro 2.5 l'éditeur de pages HTML, Smurf
1.05 un super soft de retouche d'image, Calamus
SL 98 LE soft de PAO, HDDriver 7.6 le driver de
disque dur, Extendos Cold qui permet le gravage de
CD audio et enfin CD-Recorder 2.3, qui gère les gra­
veurs IDE.
PUISSANCE
• Les RKM en ligne !
►
Nouvelle carte m ultiprocesseurs
i
*
Chaltech développe une carte multiprocesseurs à base d'Arm pour bus PCI. L'extension revêt la forme
d'une carte PCI équipée de huit StrongArm avec 32 à 64 Mo de SDRam par processeur. L'ajout d'un
bus PCI sur la carte , d iffé re n t du bus PCI p rin cip a l, p erm et d 'au g m en ter la bande passante
(2.1 Go/seconde sur la carte). On peut insérer autant de cartes que de ports PCI disponibles, voire plus,
à l'aide d'une extension de bus.
Les cartes exécutent une version spéciale de NetBsd (le support de Linux est prévu) ; on possède donc
le moyen de communiquer avec les processeurs en utilisant des outils simples, tels que Telnet ou Rsh.
Le développement de procédés de communication plus rapides reste à l'étude. Les cartes processeurs
’
sont montées sur des slots Sodim m... Il
est déjà annoncé que des extensions,
comme une carte fast-ethernet, auront
le loisir de se brancher sur ces slots.
Les Rom Kernal Library
constituent les quatre ouvrages de
référence ultimes pour les
programmeurs Amiga.
Introuvables depuis de nombreuses
années en version papier, ils
viennent de resurgir sous forme
électronique. Soucieux de toujours
plus supporter les développeurs,
Amiga Inc. les a en effet publiés
dernièrement sur son site Internet
(httpdlwww.amiga.com/dev_refere
ncet).
Le prix annoncé d'une carte équipée de
huit processeurs s'élève aux alentours de
18000 francs. Le support du futur Arm
10 et de son coprocesseur se trouve
prévu. Pour environ 200000 francs, on
peut disposer d'une machine proposant
quatre-vingts processeurs StrongArm, ce
qui représente une puissance de calcul
sur les entiers é q u ivale n te à quatrevingts Pentium II à 233 MHz (plus de
1 8 0 0 0 M ips en puissance c u m u lé e ).
http://www.chaltech.com
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La Cats de chez Chaltech.
TECH N O
Linux à la fête !
>
i
Mandala International commercialise une solution clés en main,
destinée aux professionnels de l'animation de soirées. Le principe
consiste à fournir un ordinateur, comprenant les éléments de base
nécessaires à son fonctionnement, qui sera connecté à la sortie de
la régie-son, et sur lequel fonctionnera un logiciel, Mind Snooper;
en charge de piloter les jeux de lumière. La musique en provenan­
ce de la régie-son est échantillonnée à 44 KHz (qualité C D ) et ana­
lysée ; un spectre de trente bandes de fréquence se voit ainsi créé,
permettant d'activer divers outils graphiques, tels que la solarisa­
tion, la rotation de couleurs, la diffusion d'images, voire des effets
de fumée ou de brouillard. Les images se trouvent élaborées sur
l'écran mis à disposition, mais peuvent également être dirigées vers
un vidéoprojecteur connecté à l'ordinateur.
Outre ses caractéristiques temps-réel intéressantes, ce produit pos­
sède en plus l'avantage de fonctionner sous Linux, et donc d'offrir
toute la panoplie de logiciels libres orientés m ultim édia, dispo­
nibles sur cette plate-forme. Pour ne citer que les plus connus,
disons que Slab, Jazz++, MPEG Studio, The Gim p, Blender ou
ImageMagick sont fournis avec la configuration. Pas de précipita­
tion, cependant, car Mind Snooper reste un outil professionnel,
avec un p rix... professionnel d'environ 50000 francs H.T. Pour les
plus amateurs, ou les plus démunis des spécialistes, Mandala pro­
pose toutefois Linux Média Système, une distribution Linux orientée
multimédia professionnel, incluant tous les outils de haut niveau
de traitem ent d'image et de son, pour un coût inférieur à 500
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64 Mo sDram, 4.5 Go UW,
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complet vous attend le mois
prochain.
PROCESSEUR
Arm : l'année
de l'explosion
L'année 1998 est exceptionnelle pour Arm . Le
développeur anglais qui a fait un chiffre d'affaires
de 266 Millions de Francs en 1997 se paie le luxe
de récolter 186 Millions de Francs pour le seul pre­
mier semestre 1998. Le personnel d'Arm compte
maintenant environ 320 personnes, réparties dans
le monde entier (y compris en France).
Dernièrement, nous avons pu profiter des déclinai­
sons de l'Arm 7 sous forme de microcontrôleurs.
Tout d'abord, ceux d'Atmel puis ceux d'Oki. Le
dernier partenaire en date est Hewlett-Packard.
Voilà encore un associé de choix (plus de 250
Millards de Francs de chiffre d'affaires en 1997),
qui produira des Asics à base d'Arm 7.
Ainsi, on peut retrouver les Arms un peu partout :
téléphones mobiles, outils de vidéoconférence,
mais aussi disques durs, contrôleurs de mémoire,
ordinateurs de poche... La liste des produits qui
utilisent cette technologie est vraiment trop longue
pour que l'on puisse la déployer ici. Et cela n'est
pas fini, car
l'Arm 9 ne se
tro u ve pas
e n co re e x ­
ploité par les
divers parte­
dernière carte
naires d'Arm.
de développement 'bas coût'
De surcroît,
de chez Arm.
A rm a ég a­
lement annoncé en quoi consisterait le futur Arm
10 : fort de 500 Mips, pourvu d'un coprocesseur
arithmétique, il bénéficiera d'une consommation
toujours aussi ridicule (m oins d'un w att). Les
futures m achines de poche seront plus puis­
san te s que les a c tu e ls o rd in a te u rs h au t de
gamme !
Intel s'est récemment penché sur le StrongArm,
dont il possède une licence : la société a ainsi
décidé de développer cette mouture de l'Arm, en
commençant par un StrongArm 120 à 366 MHz,
tout en prédisant que cette technologie pourrait
bientôt devenir incontournable. Arm deviendrat-il le nouveau g é an t du m icro p ro ce sseu r ?
http://www.arm .com
la
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Netscape/2 4.04
NTERNET
enfin disponible
La version 4.0 4 de Netscape pour OS/2
s'est fait beaucoup attendre, mais au finish,
le produit est conforme à sa version Win32
et permet donc aux utilisateurs de Warp de
Netscape 4.04 pour
su rfe r e nfin de faço n "m o d e rn e " sur
OS/2 : une arrivée
Internet. La version française du navigateur
tardive.
n'intègre pas le cryptage conformément à la
législation. On peut télécharger ce butineur sur http://service.boulder.ibm.com/asd-bin/doc/fr_fr/ns40/f-server.htm
LOGICIEL
Lotus Domino Version 5.0 sous OS/2
Lotus N otes,
Lotus
Beta 1
(Build 161.1)
Domino 5 pou r OS/2 :
un serveur sans client.
Lotus Domino, la solution Intranet et Croupware de Lotus, verra pro­
chainement (fin 1998, début 1999) sa version 5.0 sortir sur le marché.
Au menu, vous trouverez un véritable environnement de développe­
ment d'applications Web intégrant tous les standards Web (HTML 4.0,
javascript, Java) et un système de base de données documentaires.
La version O S/2 du serveur Domino 5 .0 fera son app arition en
même temps que les versions Win32 ou Unix. M alheureusement, la
partie cliente de Domino 5 .0 pour OS/2 n'existera finalem ent pas.
La version bêta pour toutes les plates-formes est disponible sur le
site http://w w w .notes.net
Il faut juste faire preuve d'une belle obstination pour télécharger
les 70 Mo de code...
RUM EURS
Un client
pour W arp
5.0 ?
D es ru m e u rs c ir c u le n t au
sujet de la possibilité qu'un
client O S/2 V 5.0 voie le jour
en m êm e tem ps que le ser­
veur.
R a p p e lo n s q u e si IBM a
annoncé la sortie d'une nou­
velle version de son serveur
pour début 1999, il n'était en
revanche pas du to ut ques­
tion d'un client.
D ep uis q u elq u e s sem aines,
des bruits courent au sujet de
p re ssio n s e x e rc é e s p ar les
g ra n d s p o n te s d 'IB M su r
l'éditeur, pour qu'il sorte une
version clien te de son nou­
veau système.
A l'heure actuelle, rien n'est
confirm é, mais on parle d'un
pack "A urora" à installer sur
un O S/2 Warp 4, pour upgrader le c lie n t actuel vers un
client Warp 5.0.
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afin de proposer, pourquoi pas, les services des "grands"
avec un budget "mini".
but de cet article n'est pas tant de vous assé­
ner un cours magistral que de vous communi■ iquer quelques notions issues d'une expérience
pratique.
Le problème posé est le suivant : comment disposer
ou proposer des ser­
Choisir
sa connexion
Plusieurs solutions se présentent, dont les
principales sont : la ligne louée, le "câble",
le call-back RNIS et l'hébergement de machine.
L
a ligne louée équivaut à l'Eldorado pour tous
ceux qui souhaitent s'assurer une présence
durable sur Internet ; toutefois, sous nos lati­
tudes, son accès reste réservé aux plus fortunés.
Contrairem ent aux Etats-Unis, il faut com pter en
m oyenne un coût mensuel de 5 000 francs H.T.
pour une ligne 64 Kbits. Il faudra aussi ajouter un
forfait presque toujours obligatoire pour l'installa­
tion et la configuration d'environ 15 000 francs.
RMIstes, s'abstenir.
Même si ces sommes peuvent encore vous sembler
raisonnables, il faut garder à l'esprit que le débit
est relativem ent faible et que, pour le démarrage
d 'une activité dont on ne peut que difficilem ent
établir les revenus à court term e, un tel privilège
o c c a sio n n e des ch a rg e s fix e s im p o rta n te s. En
outre, il faut ne pas oublier que, si cette pratique
se développe et exige de nouveaux locaux ou tout
sim plem ent un débit plus élevé, on vous deman­
dera à nouveau des frais d'installation et de confi­
guration com parables aux dépenses initiales, car
elle nécessite le rem placem ent des équipem ents
fournis (bien que depuis peu, la tendance est à la
livraison d'équipem ents et de lignes légèrem ent
surévalués par rapport à votre demande, pour jus­
tem ent ne pas vous contraindre à tout changer à
la première demande d'augm entation de débit).
Vient ensuite le câble. Disponible dans quelques
villes de France et annoncé depuis longtem ps à
Paris, c'est l'exem ple le plus flagrant de mauvaise
"bonne affaire". Par expérience, il n'y a moyen de
se prononcer que sur le prestataire qui prétend
offrir un service digne de ce nom dans les villes de
Strasbourg, A nnecy et Le M ans. Non seulement,
les te ch n icie n s ont une co m p éten ce "lim ité e ",
mais en plus, l'offre à 660 francs H .T. par mois
avec le modem perm ettant de jouer le rôle de ser-
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• • •
Face arrière du serveur (le bouton-poussoir rouge
permet de couper l'alarm e sonore déclenchée en cas
de panne d'une des alim entations).
v ic e s In te rn e t aud elà
du
sim p le
h é b e rg e m e n t de
d o c u m e n ts s t a t i­
q ues ? A u tre m e n t
dit, com m ent, avec
un in v e s tis s e m e n t
réduit, fournir toute
la panoplie de ser­
vices q u 'o ffrent les
prestataires Internet,
à savoir la gestion de
serveurs Web "dyna­
m iq u e s " (u tilis a n t
d iv e rs a u to m a te s
n o n -e n v isa g e a b le s
en Java, JavaScript,
ou tout autre langa­
ge d o n t les p ro ­
gram m es sont e xé­
c u té s du cô té du
n avig ateur), la ges­
tion de serveurs Web
s é c u ris é s , n o ta m ­
m ent pour le co m ­
m erce électronique
et la gestion de ser­
v e u rs D N S , FT P ,
SMTP, POP et IMAP,
co n çu s s p é c ifiq u e ­
ment pour le traite­
m e n t du c o u rrie r
électronique ?
sseur
net ?
veur se révèle désastreuse, en raison du nombre
horriblem ent élevé de problèm es techniques de
tous ordres (bug dans le m odem câb le, p ro vo ­
quant une perte régulière de co nn exio n , bande
passante en "so rtie " rid icu le , m anque to tal de
communication et de respect vis-à-vis des clients,
m ensonges et langue de bois pour m asquer les
défaillances sont le lot hebdom adaire, pour ne pas
dire quotidien). Conclusion de ce calvaire de dixhuit mois : si parader deux m inutes en téléchar­
geant un fichier à la vitesse de 250 Ko/s en récep­
tion peut offrir un intérêt, il en va tout autrement
quant il s'agit d'assurer un service fiable pendant
d'action par rapport au
serveur, que ce procédé
o ccasio n n e . Il est pour
beaucoup inconcevable
de ne plus avoir, physi­
q u e m e n t, de m a ch in e
sous la m ain. La peur de
se retrouver avec un ser­
veur planté, que l'on ne
p eut bien é vid em m en t
pas rebooter à distance,
c o n s titu e l'u n e des
----- ------ap p ré h e n sio n s les plus
ré c u rre n te s. T o u te fo is,
,
cette situation n'est pas
dram atique, à condition
d 'u t ilis e r un sy stè m e
fiable, tel qu'Unix.
M a lg ré to u t, p o u r les
p a ra n o ïa q u e s c h r o n i­
q u e s, c e rta in s p re s ta ­
taire s qui d é velo p p e n t
.
leur activité d 'h éb erge­
m ent de m achines pro­
p o s e n t d e p u is peu à
leurs clients un système,
destiné à té léco m m an ­
der via le télép h o ne la
p rise é le c tr iq u e su r
laquelle est branché l'or­
d in a te u r h é b e rg é . Le
On espace les racks si possible pour répartir
p rin c ip e se m o n tre
les sources de chaleur.
simple : vous composez
le numéro de téléphone com m uniqué par le pres­
tataire, suivi d'une combinaison, et l'alimentation
est coupée puis établie.
A rg u m e n ts en fa v e u r de l'h é b e rg e m e n t
de m ach in e
Si on prend le cas d'un hébergeur correctem ent
équipé, il revêtira l'aspect d'une salle informatique
clim atisé e , dotée d 'o nd uleurs (ave c une bande
passante im portante partagée entre plusieurs opé­
rateurs), ainsi que d'une connexion de secours, qui
à elle seule peut être des d izain es de fois plus
im p ortante que la ligne 64 Kbits évoquée plus
haut. En règle générale, vous êtes libre d'exploiter
ce que vous vo u lez sur les m ach in es que vous
hébergez, et de la façon que vous le souhaitez. En
cela, vous avez une marge de manoeuvre, ni plus,
ni m oins im portante qu'avec une ligne louée et
des ordinateurs qui resteraient en vos locaux.
Ce type d 'h éb e rg em e n t existe depuis plusieurs
mois m aintenant chez la plupart des FAI les plus
im portants, surtout chez ceux qui ne cherchent
pas à s'im planter sur le marché le plus pourvu en
abonnés, au forfait le moins cher. On peut citer
sr
*
©
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plus de trois jours consécutifs.
Le call-back RNIS se trouve très rarem ent proposé
par les FAI (Fournisseurs d'Accès Internet), car il
est trop facile m e n t l'o b je t de co n te statio n s au
moment du règlem ent des factures, tant le fossé
entre les estimations du client en coût de com m u­
nication et la réalité peuvent se révéler im p or­
tantes. En effet, dans le p rin cip e, votre serveur
réside dans vos locaux et à chaque fois qu'il se voit
so llicité, c'est le FAI faisan t office de relais qui
reçoit la requête et se connecte sur votre adapta­
teur RNIS (selon les m odalités, il se trouve éven­
tuellement en mesure de raccrocher pour être rap­
pelé aussitôt depuis votre serveur). Enfin, la com ­
munication peut s'effectuer. On comprendra faci­
lement que toute cette dém arche est rapidement
coûteuse et que les temps de connexion, souvent
jugés trop importants par les internautes, s'allon­
gent de m anière réd h ib ito ire . Mais m êm e si le
tem ps de co nnexion avec un bon routeur RNIS
dure 3 ou 4 secondes, plus d'un aura déjà été voir
un autre site. Il s'agit donc d'une solution très spé­
cialisée, que l'on réservera plutôt à des organismes
voulant disposer d'une sorte d'Intranet étendu et
qui peuvent tro uver un in térêt à b é n é ficie r du
m aillage qu 'offrent les FAI, plutôt que d 'étab lir
régulièrement des comm unications longue distan­
ce.
Dernière idée évoquée et qui sera la seule dévelop­
pée ici : l'hébergem ent de machine.
Il correspond à un principe peu répandu, très cer­
tainement en raison d'une dim inution de la liberté
y
«
-,
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Les conséquences de l'abus d'adresses IP virtuelles.
entre au tres Im a g in e t, O lé a n e , In te rn e t Fr ou
M agic OnLine.
Les prix évoluent en moyenne entre 2 000 et 5 000
francs H .T. par mois et par machine hébergée. Le
forfait d'installation équivaut généralement au coût
de location pour un mois, avec souvent des prix
qui varient du simple au double, suivant que votre
machine est prête pour un branchement immédiat
ou qu'elle requiert au contraire une configuration
de la part du FAI.
Les o ffre s d es FAI
q ue l'o n so u h a ite ren d re a c c e ssib le avec son
propre nom de domaine, par le biais d'une adresse
du genre w w w .client-final.com plutôt que sous la
bannière du prestataire comm e dans www .presta­
taire.net/client_final, devra disposer de sa propre
adresse IP, même si à term e cette contrainte se
trouve vouée à disparaître, grâce à l'utilisation sys­
tém atique de serveurs et de clients Web compa­
tib le s avec la n orm e H T T P / 1 .1. D 'ic i là, il est
im portant pour ne pas dire indispensable de pou­
voir disposer d'au tant d'adresses IP que de sites
Web associés à des noms de domaines distincts. Il
ne s'agit ici que des serveurs W eb, car pour les
autres services, cette notion n'a pas forcément de
se n s. S au f e x c e p tio n , la g e stio n de p lu sie u rs
domaines sur un seul serveur n'est pas prévue en
standard dans le protocole FTP, mais des pis-aller
existent. Pour SM TP, la situation diffère, car il se
révèle parfaitem ent capable de s'acquitter de la
gestion de plusieurs domaines sans nécessiter plus
d'une adresse IP (m êm e s'il est tout à fait possible
d'em ployer en dépit du bon sens cette technique).
Pour DNS, on se heurte à une absurdité de taille,
car non seulement, il n'a nul besoin de plusieurs
adresses IP, mais en plus, cette diversité est sus­
c e p tib le d 'o c c a s io n n e r des e n n u is c o lo ssa u x,
comme nous le verrons plus bas.
Autre aspect de cette question : il s'agit bien de
prêt. En effet, il n'est pas inutile de savoir que
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Parmi les points qui différencient les offres de ce
type, on trouve la méthode de calcul du volume
de données échangées sur votre serveur (cum ul
des entrées et sorties). Certains sim ulent sur leur
réseau interne une ligne louée dotée d'un certain
d éb it, dont dépendra votre ab o nnem ent et sur
laquelle est reliée votre ordinateur. D'autres procè­
dent par sondage pour établir une estimation du
volume consommé. En fait, certains reconnaissent
qu'ils ne sont pas en mesure d'établir un compte
exact du volume de données échangées. Voilà pro­
bablement une des raisons qui incite bon nombre
de ces fournisseurs d 'accès à vous proposer des
volumes importants dans le forfait de base en esti­
mant que celui-ci ne sera jamais dépassé. Internet
Fr o ffrait avan t l'été un h éb e rg em e n t à 2 00 0
francs par machine avec un volume disponible de
1 Go par mois, et d'un jour à l'autre, ce volum e
est passé à 10 Go sans augm entation de prix.
Une autre différence très importante réside dans le
co ût, extrêm em en t flu ctu a n t d'u n h éb erg eur à
l'autre, des adresses IP "prêtées". Celles-ci consti­
tuent une denrée indispensable pour qui veut pro­
poser des sites Web personnalisés avec les noms
de domaines de ses clients. En effet, tout site Web
depuis quelques tem ps, l'organism e responsable
de l'attribution des adresses IP à travers le monde,
IANA, ne vend plus d'adresses comme elle a pu le
faire jusqu'à une certaine époque : celle, pas si
lointaine, où l'évocation de pénurie d'adresses prê­
tait encore à sourire. Depuis lors, les plus im por­
ta n ts FAI d e m a n d e n t h u m b le m e n t q u 'o n leur
prête des adresses au fur et à m esure que leurs
besoins, et ce u x de leurs c lie n ts, au g m enten t.
N 'im porte qui peut a priori en solliciter, mais il
fa u t ju s t if ie r d 'u n b e so in m in im a l de 4 0 9 6
adresses. Dans le cas contraire, vous vous adressez
à votre FAI qui sert de relais, éventuellement rem­
placé par son prop re FAI si lui-m êm e est trop
"p etit". L'adresse IP fournie ne vous est donc pas
vendue ; le prix qu'on vous en dem ande corres­
pond à un compromis entre des frais administratifs
et un coût que l'on qualifiera de "dissuasif". Celuici tente de vous faire réfléchir à deux fois avant de
réclam er par avance une quantité astronom ique
d'adresses, ce qui explique que les FAI pratiquent
des tarifs très contrastés.
Quelle plate-forme ?
Comme II a été dit précédemment, le coût
dépend du nombre de machines.
D
ésormais, le but du jeu consiste donc, dans
un prem ier tem ps, à trouver le bon systè­
me pour lim iter au m axim um le nombre
d'ordinateurs à héberger. Dans un second temps,
il faudra ramener ledit nombre à un, puisque dès
la d e u x iè m e m a c h in e , on r e v ie n t d a n s d es
tranches de prix suffisamm ent élevées pour s'inter­
roger sur l'à-propos d'une ligne louée.
Evidem m ent, si vous possédez déjà un serveur qui
correspond parfaitem ent à vos besoins, vous pou­
vez sauter le passage suivant et vous rendre direc­
tem ent à la partie traitant des aspects logiciels.
S ta tio n s d e tra v a il
Si les sta tio n s de tra v a il de m a rq u e S u n , H P,
D igital, IBM ou Silicon offrent des qualités non
négligeables, elles possèdent en revanche deux
défauts dont le plus visible vient du prix d 'achat et
le plus pernicieux est le coût OU les contraintes en
cas de m aintenance. M êm e si ces co nstructeurs
font régulièrement des opérations promotionnelles
destinées à nous faire croire que l'on peut s'offrir
une station à 25 000 francs, la vérité se réduit le
plus so uvent à prop oser des m ach in es, d o n t la
c o n fig u ra tio n de b ase p o u r ce p rix se ré v è le
inadaptée à nos besoins ou incom plète. Machines
diskless (sans disque dur), disque de 500 Mo seu­
lement ou bien encore mémoire tout juste utile au
fonctionnem ent d'un Z X 8 1 , constituent autant de
facteurs handicapants. Et une fois équipé de cette
station avec 500 Mo de disque et 16 Mo de RAM,
aurez-vous encore les moyens d'acheter l'indispen­
sable disque de 1 Go à 10 000 francs ou la barret­
te de 32 Mo à 4 000 francs ? Et ne vous y trompez
pas : si la m ém oire est bel et bien spécifique, le
ces c o n d itio n s , le seul reco u rs p o u r a v o ir des
pièces détachées disponibles rapidem ent consiste
à acheter un double du prem ier ordinateur.
En revanche, il faut rester objectif, ces matériels
sont bien souvent plus simples à mettre en oeuvre
que des PC , le nom bre de co m b inaiso ns m até­
rielles étant infinim ent moins grand ; d'autre part,
ils se m ontrent plus fiables sur le iong term e. De
p lu s, un lo g ic ie l stra té g iq u e co m m e N etscap e
E ntreprise S erver to u rn e e sse n tiellem e n t sur les
U nix des stations de travail et beaucoup plus rare­
m ent sur les Unix existant dans le m onde PC. On
en reparlera plus loin au sujet des serveurs sécuri­
sés et du com m erce électronique.
La so lu tio n du PC
Bien évidem m ent, et heureusement, les PC sont là.
Ici e n c o r e , on tro u v e d e u x é c o le s : les p ro ­
constructeurs et les pro-dégriffés.
Afin de respecter le plus scrupuleusem ent possible
le thèm e de cet article, nous nous focaliserons sur
les PC que l'on monte soi-même sur le rebord de
la table dans la cuisine. Le souci n'est pas exclusi­
vem ent d'ordre pécuniaire, il est aussi de nature
technique, car en assem blant soi-même sa m achi­
ne, on en connaît a priori m ieux les détails de tous
les composants (m odèle, révision, version du BIOS,
fournisseur, e tc.). Si vous cherchez, par exem ple, à
ne pas vous retro uver dans une situatio n désa­
gréable com m e celle évoquée dans le cadre de la
maintenance des stations de travail, prenez garde
à ne pas doter votre serveur d 'u ne carte e xcep ­
tionnelle s'il n'en existe qu'un fournisseur et que
celui-ci est régulièrement en rupture de stock.
En ce qui concerne le logiciel, le com patible PC
offre sans contexte le plus grand choix possible de
systèm es d 'e xp lo itatio n ; de surcro ît, il partage
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disque dur SCSI en revanche offre un modèle stric­
tem ent identique à celui équipant votre com p a­
tible PC, à la différence près qu'il a reçu un auto­
collant m agique aux couleurs du fab riq u an t des
stations de travail. Il existe bien des com posants
com p atibles, mais les fournisseurs so nt relative­
ment peu nom breux et assez discrets, du fait cer­
tainem ent d'un marché plutôt restreint.
Pour enfoncer le clou, il convient de préciser que
les coûts de m aintenance de ces ordinateurs sont
très élevés et que les pièces détachées, réservées à
ceux qui veulent régler leurs problèmes tout seuls,
n 'o n t pas un p rix plus é co n o m iq u e . Il est très
im portant de savoir que si vous optez pour une
m aintenance personnelle, vous aurez peut-être à
fournir une pièce défectueuse, com m e une carte
mère par exem ple, pour pouvoir en acquérir une
nouvelle et devrez attendre ensuite deux à trois
semaines pour la recevoir. Ce qui, vous l'adm et­
trez, peut occasionner quelques gênes dans le cas
d'un serveur censé fonctionner 24 h sur 24 . Dans
souvent avec certaines stations de travail le privilè­
ge d'être l'architecture de référence pour la pri­
meur de logiciels disponibles exclusivem ent sous
form e exécutable. Sauf erreur, il en va ainsi
pour la m ajorité des SG BD R récem m ent
p ro p o s é s s u r L in u x p a r S yb a se
( http://www.redhat.com
/ r e d h a t / s y b a s e - r e g .p h t m l) ,
In f o r m ix , In p ris e p o u r
InterBase ( h ttp ://w w w .
interbase.com/
d o w n lo ad /lin u x/
Deux modèles de boîtiers SCSI-to-SCSI.
:
"••"■Il iMm
B Î o c TT a
B lo c k E
B Î o c IT C B Î o c IT D P a r itv 1
B lo c k G P a r itv 2 B lo c k H |
^^ l o c k J j->isg l o c k J > A g a r i t y J /"4^ o c k J 9 - A ^ l o c k ^ L j
—*'■
— ,
.
.
.
.
.
,
| B lo c f f A B Î o c k B I b Î o c IT C B Î o c k D P a n tv 1
B lo c k E B lo c k F B lo c k G B lo c k H P a r itv 2
[Jsg l o c k J M j B l o c k J > - v|3 1 o c k j ^ y g l o c k
*“" " - ■
■
■
........
RAID niveau 5
RAID niveau 4
\ \
Illustration des différents niveaux de RAID.
linux_info.htm !) ou encore O racle ( http://technet.
o ra c le .c o m /). C 'e st un a rg u m en t à p rend re en
considération pour le choix final.
T o lé ra n c e de p a n n es
même intégré dans son boîtier, ce type de maté­
riel n'est que très rarem ent proposé à la vente en
tant que pièce détachée aux clients finaux.
Rem arque im portante : ce ne sont pas deux ali­
mentations indépendantes qui nécessiteraient des
connecteurs et une électronique supplémentaires
sur la carte mère, ainsi que sur tous les périphé­
riques à alim enter. Il s'agit bien de deux alim enta­
tions qui ne délivrent l'énergie que sur un unique
jeu de fils com m e pour une alim entation sim ple, et
dont la seule vocation est de fournir constam m ent
du courant même si l'une d'elles tombe en panne.
Faites attention à l'existence éventuelle de boîtiers
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Le but ne consiste pas ici à vous apprendre com ­
ment m onter un PC ; par conséquent, nous nous
attacherons uniquem ent aux m oyens d'am éliorer
sa tolérance aux pannes.
Bien qu'aucune pièce ne se trouve à l'abri d'une
panne dans un ordinateur, il en est trois qui se dis­
tin g u e n t p a rtic u liè re m e n t, to u t sim p le m e n t à
cause de leur composante m écanique : les disques
durs, l'alim entation et enfin le ventilateur qui sur­
monte le radiateur, placé sur le processeur.
Pour ce dernier, la m eilleure parade serait juste­
ment de ne pas avoir besoin de ventilateur. Cela
s'avère envisageable en em ployant un radiateur de
taille suffisante ; la disposition des com p osants
variant sensiblem ent d'une configuration à l'autre,
les fabriquants de radiateurs en lim itent l'encom ­
brement aux dimensions du processeur. En outre,
ils le com p lètent par un ven tilateur qui, com m e
exprim é ci-dessus, fait partie des premières pièces
à tom ber en panne, provoquant ainsi le blocage
d u d it p ro ce sse u r. D ans ce cas, la p lu p a rt des
constructeurs ont un avantage en équipant majori­
tairem ent leurs ordinateurs avec des radiateurs surdim ensionnés, évitant ainsi les ventilateurs.
En ce qui concerne l'alim entation, la parade est du
m êm e o rd re et p o rte le nom d '" a lim e n ta t io n
redondante" ("Redundant Power Supply") ; pour
bien faire, il dem eure préférable que l'on puisse
l'extraire à chaud ("h ot-sw ap ").
En raison de problèmes très compréhensibles d'en­
com brem ent, ce genre d'alim entation ne peut être
montée que sur un nombre très restreint de boî­
tiers, bien souvent usinés dans cette optique. Et
n 'accep tant pas le fo rm at A T X , car prévus pour
des cartes mères spécifiques.
En dernier recours, vous pouvez aussi vous procu­
rer une m achine montée dans un te! boîtier chez
quelques intégrateurs, qui présentent ces produits
dans leurs publicités.
Les disques durs
Le cas du disque dur est plus compliqué, car les
solutions sont très nombreuses et la fourchette
de prix est fort large.
C
ela peut aller de 150 francs H .T . du giga
pour un simple disque IDE de 6,4 Go à plus
de 4 000 francs H .T. le giga pour des solu­
tions de haute fiabilité. Le choix dépend donc du
b u d g e t, m ais a v a n t to u te cho se d 'u n e b onne
connaissance des multiples produits existants.
Le sy stè m e RAID
Le RAID ("Redundant Arrays of Inexpensive Disks")
étant la plus répandue des solutions proposées de
nos jours, nous évoquerons trois des principales
façons de ie mettre en œ uvre. Mais avant cela, un
bref rappel des différents niveaux de RAID couram ­
ment employés s'im pose. Le niveau 0, qualifié de
"striping", n'a rien à voir avec la sécurité. Il ne sert
qu'à signaler au systèm e d'exploitation que l'en­
semble de disques durs (des volum es.physiques) se
résume désorm ais à une seule entité (no tion de
volume logique), de sorte que la capacité d'un filesystem peut dépasser celle du disque le plus grand
et se retrouver ainsi à cheval sur deux disques ou
plus. Le niveau 1, qualifié de "m irroring", permet,
com m e son nom le laisse d e vin e r, d 'av o ir pour
ch a q u e d isq u e e m p lo y é un frè re ju m e a u qui
constamment le reflète de m anière fidèle. Le RAID
1 est utilisable à partir de deux disques,
il existe un niveau "com posite", le RAID 0+1, par­
fois appelé RAID 10, qui ne s'envisage qu'à partir
de quatre disques, puisque deux d'entre eux vont
assurer le strip in g et les d e u x au tres, se rvir de
miroirs aux premiers. On saute Ses niveaux 2 et 3
pour a rriv e r d irecte m e n t au x 4 et 5. S im ilaires
dans ieur p rin cip e, ils se d isting uent p rin cip ale­
ment par la façon dont ils répartissent les données
sur les disques et les tâches dans lesquelles il se
révèlent les plus adaptés. Disons pour simplifier les
choses que le RAID 4 se m ontre sans doute plus
approprié pour l'acquisition de grandes quantités
de données comm e c'est ie cas avec la télévision
num érique par exem p le, surto ut qu'il est moins
répandu que le RAID 5, ce qui nous épargne de
r a id / b e t a ) , a in s i q u 'u n e p a n o p lie d 'o u t ils
(ftp ://ftp .k e rn e l.o rg /p u b /lin u x/d a e m o n s/ra id ).
M ais, cette so lu tio n, aussi séduisante et écono­
m ique so it-e lle , pose d eux p ro b lè m es. Le plus
négligeable est l'absence de solution totalem ent
s a t is fa is a n te p o u r a r r ê t e r une c o n fig u ra tio n
em ployant ce patch, donnant ainsi lieu à un fsck à
chaque dém arrage. Plus em barrassant, le disque
p rincip al est parfois victim e d 'une faille, ce qui
empêche le démarrage car, dans ce cas, il ne faut
pas c o m p te r su r les au tres d isq u es, p u isq u 'u n
co ntrô leu r IDE ou SCSI de base n 'est pas prévu
pour surm onter ce problèm e. On abandonne donc
cette idée puisqu'elle ne se trouve guère adaptée
dans le cas d'une m achine hébergée.
S o lu tio n s m â té rie lie s
Les deux autres méthodes sont donc matérielles.
On distingue des contrôleurs SCSI qui autorisent,
en standard ou en option, la gestion de certains
m odes RAID et des b o îtiers sp écialisés installés
entre le contrôleur SCSI "classique" et les disques
durs. Ce dernier procédé est connu sous le nom de
SCSi-to-SCSI.
La carte SCSI avec RAID reste la solution la plus
économ ique m ais req uiert un d river ad apté. Le
SCSl-to-SCSI en revanche, bien que plus cher, est
a priori totalem ent indépendant du système d 'ex­
ploitation. Les deux systèmes se révèlent donc par­
faitem ent appropriés pour nos besoins, d 'autant
que les contrôleurs SCSI-to-SCSl sont le plus sou­
vent disponibles sous form e de boîtiers au form at
5 "1 /4 , dem i ou pleine h au teu r, o ccu p an t donc
l'espace traditionnellem ent réservé à un ou deux
disques dans l'u n ifé ce n trale ; iis co m p renn ent
g é n é ra le m e n t un a ff ic h e u r L C D et q u e lq u e s
to u ch e s su r la fa ç a d e . Pour la carte SC SI avec
RAiD, le choix qui s'im pose comm e une évidence
est le contrôleur DPT modèle PM 2144W ’, pour la
simple raison qu'il bénéficie d'un driver développé
sous l'œil attentif de DPT. De plus, un HOW TO lui
est destiné et se consacre à ses capacités RAID,
parce qu'ii s'agit d'un matériel "relativem ent" peu
onéreux et enfin parce qu'on peut 1e trouver assez
facilem ent. En fait, la carte seule n'assume pas les
fonctions RAID ; pour cela, il faut lui adjoindre un
m odule RC 4040 qui devra o b lig ato irem en t être
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fait un surcroît de réflexion. L'idée de base consis­
te à réserver l'équivalent de la capacité d'un des
disques du groupe pour y entreposer le résultat de
l'opération booléenne XO R (O U exclu sif), ap p li­
quée aux données inscrites sur les autres disques
du groupe. Pour cette raison, un groupe RAID de
niveau 4 ou 5 se définit par un m inim um de trois
disques. L'avantage p ar rapport au niveau 1 est
d'autant plus flagrant que le nom bre de disques
compris dans le groupe s'avère conséquent, car si
en RAID 1, la m oitié des disques se tro uve consa­
crée à la sécurité, en RAID 4 ou 5, il n 'y aura tou­
jours qu'un unique disque dévolu à cette tâche
(nruracJe d e la ta b le de v é rité de l'o p é ra te u r
logique XO R ). Il existe plusieurs autres niveaux de
RAID, mais nous ne nous y intéresserons pas ici. Le
RAID 0, sous diverses ap p ellatio ns, étan t disp o ­
nible en standard ou en option sous form e logicielie pour plusieurs U nix (Logical Volume M anager sur
HP-UX et A IX, Driver M d sur Linux, Driver Ccd sur
F re e B S D , c o m p o sa n t de S o lstic e D isk S u ite sur
Solaris) et ce niveau de RAID n 'in te rven an t pas
dans les co nsid ératio n s de sécu rité, le su je t ne
connaîtra pas plus ample développem ent.
So lu tion io g icie lle
La parenthèse étan t close, nous pouvons parler
m aintenant de nos trois m éthodes pour disposer
d'un système RAID. La première est purem ent logicielle. Linux, en particulier, bénéficie d'un "p atch"
pour ajouter les fonctions RAID niveaux 1, 4 et 5
au noyau (que vous retrouverez si vous le désirez
d ans ftp :// ftp .k e rn e l.o rg /p u b /lin u x / d a e m o n s /
Principe de connexion d'un RAID niveau S .
Connectas for both
8-bit and Wide
SCSI cables
PacKaged as a carortete s&tution:
includes 8-bit and Wide SCS) cables.
Controls uo to
15 Fast wwe
SCSI fletices or
a combmaSon.
of 8-bit and %
Wide devises i
Full 132ÎÜB/S PC
BoslWasIeriftg
Hardware
RAH) & cacbe
convertible
witb ontional
add-on module
[attaches herej
Integrated
32-bit proeessor
,
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Contrôleur SCSI. On remarque le large connecteur situé à droite et destiné à recevoir le module RAID matériel
doté de quatre supports p ou r la mémoire cache.
d o té de m ém o ire c a ch e non fo u rn ie , E C C ou
simple EDO. Com pte tenu des tarifs de la mémoire
ECC, autant se contenter de quatre barrettes EDO
SIMM 72 broches tout à fait standard de 16 Mo
chacune, pour un total de 64 Mo de cache à un
coût ridiculem ent bas, inférieur à 500 francs T .T .C .
chez n'im porte quel discounter.
A noter qu 'un co n d itio n n e m e n t co m p re n an t la
carte PM 2144W ET l'option RC4040 existe sous la
ré fé re n c e P M 2 1 4 4 W R ( h tt p :/ / w w w .d p t .c o m /
pm 214 4w r.htm ). Les modèles 20 44W et 2144UW
fonctionnent tout aussi bien. Et très certainem ent
aussi les autres cartes des familles 2X44 et 3334.
Une seconde m arque, ICP V o rtex ( h ttp ://w w w .
ic p - v o rte x .c o m / p ro d / p ro d _ e .h tm l) c ité e dans
l'HO W TO consacré à la DPT, revendique une com ­
patibilité avec Linux, mais ces cartes, aussi bonnes
soient-elles, ont un prix exorbitant.
Pour le SCSI-to-SCSI, il y a pléthore de produits.
O n t ro u v e n o ta m m e n t les m a té rie ls C M D
(http://w w w .cm d.com /storage/products/info.cfm )
et Info rtren d ( h ttp ://w w w .in fo rtre n d .c o m /p ro ducts.htm ou http://w w w .infortrend.co.uk/) ou la
célèbre m arque M ylex ( h ttp ://w w w .m yle x.c o m /
prod ucts/dac960erc/d ac960sui.htm l). En outre, il
existe sur ce m arché une "excep tio n cultu relle",
Syred ( http://w w w .syred.com /), constructeur fran­
çais qui non seulem ent développe de très bons
produits mais, une fois n'est pas coutum e, les pro­
pose à des tarifs raisonnables, tout en offrant de
surcroît un support digne de ce nom .
Un a v an ta g e in d é n ia b le , au m oins dans l'é ta t
actuel des choses, d'un contrôleur SCSI-to-SCSI (cf
les fam illes Prestige et Regency de chez Syred) est
la présence d'un port série qu'il suffit de relier à
l'un des connecteurs de l'unité centrale, afin de
p o uvo ir c o m m u n iq u e r à to u t m o m ent avec ce
m atériel. Cette m anipulation donne égalem ent le
privilège de scruter en perm anence tout message
d 'e r r e u r p o u r ê tre ra p id e m e n t a v e rt i d e la
défaillance d'un disque, en relayant l'inform ation
via le courrier électronique. Cette fonction devrait
inco m b er au d river dans le cas de la carte DPT
mais m alheureusem ent, celui-ci ne la prend pas en
charge.
Un autre atout offert par certains contrôleurs SCSIto-SCSI com m e sur le modèle DAC960 SXI de chez
M ylex est la possibilité de lui adjoindre une carte
fille qui am éliore les performances en temps nor­
m al, mais surtout assure une redondance en cas
de panne de la carte principale.
Un dernier avantage du SCSI-to-SCSI sur le driver
de la carte DPT consiste à pouvoir à tout moment
se renseigner sur l'état des disques, grâce à la liai­
son série, sans avoir l'obligation de relancer le sys­
tèm e pour em ployer sous DOS le programme de
gestion de la carte. Une telle particularité offre, à
d istan ce, un in té rê t non n ég lig eab le. Avec une
DPT, en cas de problèm e, ce sont les personnes
hébergeant votre m achine qui vont subir l'alarme
sonore sans se trouver en mesure de l'interrom pre
avant votre intervention. Les boîtiers SCSI-to-SCSI
KHEOPS
N U X
EOPS
Distributeur français spécialiste de la vente dans les pays franco­
p hones des distributions LINUX et des applications optimisées pour
ce systèm e d ’exploitation, KHEOPS v o u s propose un ensem ble de
prestations pour migrer v o s applications sou s LINUX.
D isp o sa n t d ’un important réseaux de distributeurs sur les marchés
français, belge, suisse et canadien, KHEOPS distribue les produits
édités en français par les LOGICIELS DU SOLEIL, RED HAT France,
C ALD ERA, APPLIX et d ’autres acteurs du m onde LINUX.
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butions, des ordinateurs, des bons d ’achat...
ont pour leur p art un bouton facile m e n t acces­
sible.
La génération de contrôleurs SCSI-to-SCS! qui arri­
ve en ce m om ent se m et à l'heure Internet, en se
voyant doté d'une Interface Ethernet, ce qui offre
des perspectives très intéressantes.
C o m b ien de d isq u es au m in im u m
e t d a n s q u e lle co n fig u ra tio n ?
Sans co nsid érer l'esp ace jug é nécessaire, optez
pour quatre disques dès le départ, de capacités
identiques et, si possible, du même modèle. Avec
q u a tre d isq u e s, vo u s p o u ve z vo u s o ffrir d e u x
niveaux de sécu rité. L'idée est de gro up er trois
disques en RAID 5 et de d é clarer le d e rn ier en
"h o t-sp a re ". Dans cette situ atio n , le co ntrô leu r
(ca rte SCSI ou b o îtier S C SI-to -SC S!) utilisera le
disque "hot-spare" pour rem placer to ut élém ent
défaillant du groupe RAID, ce qui constitue le pre­
m ier niveau de sécurité. En outre, le RAID 5 luimême vous assure un fonctionnem ent, même en
cas de panne de l'un des disques du groupe, ce
qui représente une deuxièm e sécurité. La capacité
utile dans ce cas de figure est équivalente (si les
d isq ues o nt la m êm e ta ille ) à d e u x d isq u es. Il
convient de noter que l'emploi d'un niveau RAID
de type 0+1, même s? la capacité utile est com pa­
rable, ne vous assure pas un te! degré de sécurité.
se priver. Certains modèles, dont le ZyXEL Prestige
100 ( http ://w w w .zyxel.fr/), sont dotés du protoco­
le NAT, perm ettant à plusieurs m achines (jusqu’à
vingt) de partager un abonnem ent unique souscrit
auprès de votre FAI. Un routeur a de plus l’énorme
avantage de dem eurer to talem ent indépendant
des systèmes d’exploitation ; il se connecte géné­
ralem ent plus vite qu’un simple adaptateur RNIS,
cette opération ne nécessitant que trois à quatre
secondes en moyenne.
Si après cela, il vous reste encore quelques deniers,
vous pourrez envisag er de les investir dans des
racks amovibles pour disques durs, mais pas ceux
en plastique que l’on trouve à moins de 100 francs
chez les discounters. Non ! Il s'agit de boîtiers tout
en métal avec ventilateur, affichage de l’ID en clair
par segments lum ineux, m odification de cet !D par
le biais d ’un com m utateur facilem ent accessible et
surtout, qui autorisent le "hot-swap” (l’échange du
disque sans arrêt du système, grâce au contrôleur
RAID). Vous les découvrirez chez Elan Systems et
Additional D ESIGN . Ils ne sont pas indispensables,
mais vous faciliteront énorm ém ent tout travail de
m aintenance.
Pour conclure sur la configuration m atérielle, un
lecteur de CD-Rom ID E nous sem ble largem ent
su ffisa n t et p e rm e ttra so u ve n t plus fa cile m e n t
qu’avec un contrôleur SCS! de procéder à l'installa­
tion sans recourir à une disquette de démarrage.
Le lo g icie l
A propos de notre solution de serveur "écono­
En ce qui concerne te bureau ou le domicile,
mique", le choix du système d'exploitation se révè­
il vous faudra une configuration, si possible
le assez simple ; nous adopterons donc, ce qui ne
équivalente à celle hébergée, à l'exception
s u rp re n d ra p e rs o n n e , L in u x ou F re e B S D , qui
du nombre de disques, de Valimentation, de la
offrent de nom breux avantages. Le premier offre la
quantité de mémoire ou de la fréquence du
possibilité de co m p ile r. En effet, la p lup art des
processeur, qui peuvent être moindres que sur le
Unix "com m erciaux” ne fournissent de base qu'un
serveur.
c o m p ila te u r ru d im e n ta ire , si bien q u ’il fau t se
contenter des logiciels du dom aine public que des
’idée se résume ainsi : avoir le privilège d'em ­
âmes charitables auront pris soin de compiler et de
p ru n te r à c e tte m a c h in e des p ièce s non
rendre disponibles sur le N et. Cela devient vite
redondantes sur le serveur dans une situation
rébarbatif, lorsque l’exécutable ainsi compilé n'est
d ’u rg e n ce (p ro c e s s e u r, c a rte ré se a u , b a rre ttecompatible qu'avec une version du système légère­
m ém oire, e tc .). Le principal reste que le serveurm ent plus récente que celle que vous possédez
fonctionne, même avec des perform ances dégra­
(typique avec HP-UX, par exem ple). Autrement, il
dées. Vous avez ensuite tout le temps voulu pour
vous faudra encore sortir votre chéquier ; prenez
rem placer la pièce m anquante. Sa fonction ne se
garde, l'acquisition d'un environnem ent de déve­
limite pas à être un stock de pièces de rechange.
loppem ent peut atteindre un prix dém esuré. De
Elle se révèle aussi et surtout essentielle pour la
su rcro ît, alors que SunO S et dans une m oindre
validation de vos expérim entations et de vos déve­
mesure Solaris, jusqu’à une époque pas si lointai­
lo p p em ents, ainsi que p o ur la co m p ilatio n des
ne, faisaient autorité en matière de nouveaux pro­
sources que vous ne manquerez pas de récupérer
gram m es, à l'heure actuelle, il est devenu rare que
Autre m atériel
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L
régulièrement. La coupure franche imposée entre
le serveur hébergé et le poste de développement
fa c ilite une plus g ran d e rig u e u r dans les d eux
étapes "validation" puis "exploitation".
Pour ce qui a trait à la télém aintenance, com pre­
nant entre autres l’envoi sur le serveur des nou­
veaux program m es, on préférera très nettem ent
une connexion RNIS à une connexion RTC et puis­
qu’il existe désormais des routeurs Ethernet/RNIS à
des prix très abordables, il n ’y a pas de raison de
les Unix libres ne profitent pas très rapidement de
la prim eur de nouveaux développements. Tout du
m oins en ce qui co ncerne le dom aine Internet,
seul cas qui nous intéresse ici.
IP v irtu e lle s
Le p o in t su ivan t est cap ital et va co n d itio n n e r
considérablem ent le choix du système. Il s'agit de
la capacité à gérer des adresses IP virtuelles, aussi
appelées "aliases IP". Cette notion s'avère cruciale
si l’on souhaite pouvoir héberger des sites Web
CD JEU X MATERIEL
possédant leur propre nom de domaines. Dans ce
dernier cas, cette propriété est baptisée M ultihoming par certains (Netscape par exem ple), ou
Virtual Host (apache) par d'autres.
Le p rin cip e ayan t co nnu une d ém o cratisatio n
relativem ent tardive, il ne se trouve par consé­
quent disponible que dans les versions suffisam­
ment récentes des divers systèmes. Cela explique
aussi que sa mise en oeuvre et la term inologie
employée diffèrent autant d'un système à l'autre.
Un point particulier à vérifier concerne la capacité
pour ces systèmes à accepter non seulement des
adresses IP virtuelles mais de plus, des adresses
aptes à se trouver dans des classes différentes,
avec ce que cela im plique dans la configuration
des netm asks, du routag e et de d ivers autres
aspects. Cela ne signifie pas pour autant que le
p restataire vous h éb erg eant ch e rch e ra à vous
causer du tracas en vous fournissant des adresses
de classes différentes quand vos besoins augm en­
teront ; simplement, il disposera des adresses que
l'organisme d'attribution voudra bien lui confier.
Le routage justem ent. Il y a peu à dire, si ce n'est
que les démons assurant un routage dynamique,
tels que g ated, routed ou au tres, ne se voient
guère appréciés. Il convient de les désactiver et
de spécifier à la place l'adresse IP de la passerelle
que vous comm uniquera la société assurant votre
hébergement.
on se voit aidé dans cette tâche par un utilitaire
écrit en Perl et inclus en standard (ceci est par
ailleurs expliqué dans le fichier DNS-HOW TO-7).
C o n c e r n a n t la m a in t e n a n c e , le te x te D N SHOW TO-6, tout petit et fort intéressant, livre un
script bien pratique pour l'actualisation du fichier
de cache (celui qui donne les adresses des ser­
veurs DNS de référence) et que l'on invoquera à
l'aide d'une ligne dans le fichier /etc/crontab ou
/etc/crontab.local, suivant le système utilisé. Bien
que tro u v é d ans la d o c u m e n ta tio n L in u x , ce
script profitera à tout le monde, moyennant une
éventuelle et minime adaptation.
S'il vous appartient de choisir la séquence de lan­
cem ent du serveur de noms et du serveur HTTP,
veillez scrupuleusem ent à conserver cet ordre :
named PUIS, n'im porte quand MAIS "plus tard",
httpd. Il est clairem ent indiqué pour apache que
les d irectives ServerN am e, bientôt dissém inées
par vos soins dans chaque description d'hôte vir­
tuel (Virtual Host), requièrent au m oment où elles
sont lues l'accessibilité du nom auquel elles font
référence, sous peine de dysfonctionnem ent.
Prenez garde aussi à ce que l'emploi d'un serveur
de noms n'empêche pas obligatoirem ent celui du
fichier /etc/hosts ou même d'un serveur NIS. Pour
l'essentiel des Unix récents, une notion de priorité
se voit généralement mise en œuvre, par le biais
de fichiers de configuration dont le plus courant
M a t é
r
» e
i
f
E
Tower Infinitiv II.......................... 1250 F O
o
Tower Infinrtiv II, alim 230W..1490 F q>
Adaptateur écran V G A T T 7 . 85 F .$2
Scandoubler interne A1200....659 F
Scandoubler A1200T/A4000...599 F ^
Scandoubler externe.................. 825F Cl
■Lecteur de disj$%HD interne... 5 5 9 V * r
Nappe IDE 2.T> 2x3.5...............125 F |
Quadrupleur IDE.......................... 165 F >
Disque dur IDE 3.5, 2.1 G0....989 F f
Disque dur SCSI 3.5, 2 O fl 17fjfrT ,sL
Lecteurcd-rom ATAPI x 32 420 F CO
Blizzard PPC 603e 160 Mhz,
68040/25 Mhz....................\.........2590 F kT
Cyberstorm PPC 604 180 Mhz,
^
68040/25Mhzst UW S C SI 5190 F en
Carte ethemet Amiganet
1550 F T )
Carte son 16 bits Préludé 1890 F g
16 mo sim m s 32 bits 60ns 190 F . „
iimms 32 bits 60r
Rom 3.1 AT200/A3000/A4000.349 F U-1
Souris et tapis Frog design....145 F '
Joypad Honeybee...........i..... ...175 F §
D ig italiser audio + s o ft .
350 F
Cable pamet ^<orK3ôft..............99
CDR SCSI Teac x4 x12 ......... 2690
A rt stud io pro c d t
260 F O
A sim c d fs 3.9a V F .
355 F "03
Bu rn It 2.12 D A O
690 F ^
D elu xe paint 5 c d
219 T >■
E la s tic drearïW ’Cd
520 F LLj
Fu sio n Mac em ulator............690 F rrs
Ib ro w se 1.2........................
339 F ^
Miami 3 .............................«..........339^F < ;
NetWork PC + cable
F o
O xyro n patcher....................... 139 F O
P fs 2 c d ....,................... i ............345 F ^
S c a la MM400 cd ...................... 565 F CO
Turb o calc 5.1 cd V F .
599 F *
Turboprint B . 2 " T T ...............439 FrJD
U ltim ate blitz b a sic c d ........219 F ^
W ordworth 7cd V F................ 490 F
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DNS
Si vous décidez de gérer vous-même votre ou vos
DNS, il est un autre point particulier à prendre en
considération par rapport à ces fameuses adresses
IP virtu elle s. Il s'ag it d'u ne lim ita tio n , dont le
sym p tô m e tra d u it une e rre u r, c o n c e rn a n t le
nombre de fichiers ouverts par le démon serveur
de nom s ( n a m ed ). Le p ro b lè m e est q u e , par
défaut, named va "écouter" chacune des adresses
IP, réelles ET v irtu e lle s, pour la réce p tio n des
requêtes qui lui seront form ulées. Ce faisant, il
réclame un grand nombre de "handles", ce qui se
révèle inexploitable, dès que le nombre d'adresses
IP virtuelles devient trop im p ortant. La parade
passe so it p ar l'a jo u t d 'u n p a tc h " o ffic ie u x "
( h ttp ://w w w .u ltra .n e t/~ jzp /a n d re w s.p a tc h .txt)
pour les versions de named inférieures à la 5, soit,
et c'est de loin la solution la plus propre, par l'em­
ploi du "nouveau" serveur de nom, BIND version
8 .1 .2 (so urces à l'adresse h ttp ://w w w .is c .o rg /
b ind.htm l). Cette mouture récente offre en stan­
dard une directive (listen-on) perm ettant de spé­
cifier explicitem ent l'adresse ou les adresses que
le démon devra scruter. Le seul point noir actuel
réside dans le manque substantiel de docum enta­
tion (papier en particulier) au sujet de la nouvelle
syntaxe adoptée, mais cet inconvénient se trouve
contrebalancé par le fait que les fichiers de des­
cription des zones écrits à l'intention des versions
4.X de named ne requièrent pas de m odification,
pour être exploités par les versions 8.X . En fait,
seul le f ic h ie r n a m e d .b o o t,
re n o m m é
nam ed.conf, nécessite une conversion ; en outre,
est d é so rm a is / e t c / n s s w it c h .c o n f. D ans une
m o in d re m e s u re , il p e u t e x is t e r un fic h ie r
/e tc/h o st.co n f. Il faut aussi prêter p articu liè re ­
ment attention au contenu de /etc/resolv.conf, en
particulier sur HP-UX, où un paramétrage incor­
rect par rapport à la réalité de votre configuration
est susceptible de rendre très d élicat l'accès à
votre environnem ent de travail sous sa forme gra­
phique. Com m e le mode texte ne pose pas de
problème, une connexion via telnet peut aider à
se tirer de cet éventuel écueil (problèm e évoqué
dans le d o cu m e n t h ttp ://w w w .a m .q u b .a c .u k /
users/j.pelan/ DN SandVUE.htm l.)
En passant, prenez quelques minutes pour éditer
le fichier /etc/inetd.conf et y mettre en com m en­
taire tous les program m es qui n'auront aucune
raison d'être sollicités sur votre serveur.
SM TP
Pour le protocole SMTP, on n'hésitera pas à télé­
c h a rg e r la to u te d e rn iè re v e rsio n su r le site
http://w w w .sendm ail.org/, ne serait-ce que pour
faire bénéficier vos clients de ses options contre le
spam m ing . Mais le point de sendm ail qui nous
intéresse plus particulièrem ent dans le cadre de
cet article (faire beaucoup avec peu) concerne sa
capacité à gérer plusieurs domaines. Cela devient
possible essentiellement grâce à deux "features",
use_cw _file et virtusertable. La première permet
de notifier à sendm ail l'ensem ble des dom aines
qu'il aura en charge. La seconde joue un petit peu
le rôle d'une table d'alias, en indiquant les desti­
nataires finaux associés à chaque adresse de cour­
rier électronique des différents domaines traités.
Flyin g hight c d ................... :...199 F C
Flyin g hight datas d isk 2...85 F c
Foundation c d
............279 F
G en etic sp e c ie s c d ...............279 F ^
Mobile W arfare
.......... 125 F 2**
M y s tc d
..3
375 F
_
On e sca p ee c d
279 F CO
Q uake c d
379 F 1
Sam b a wortd cup c d ..... 2J73JLJ1Î
Ulfirrr&te S sk id m a rk s cd..~159 F 2
Virtual karting 2..................*...179 F QV ulcan cd B o n an za .......1 ...2 3 9 F Æ î
(Final Odyssey, Uropa 2,
L
A m inet 24, 25, 26 ou 27
85 F
— A m inet set 5 ou set 6......... 209
A m im eS babes S E
179 ^ .S2
Format c d .......................4 S P "5
.
G atew ay 3 (2cd )
75 F
G olden d e m o s
95 F
M agic p u b lish e r
179 F
Mods anthology......................206
S ce n e X p lo rër2
145 F
System booster
115 F
W orkbench d esign er 2
120 F
frais d e p o rt V P C :
lo g icie ls 35 F, m atériel 80 F
tour, écra n 100F
2
^
8^
.j»
^
(/)
lire à chaque dém arrage le fich ie r send m ail.cw ,
p o ur y tro u v e r la liste des d o m aines qu'il doit
gérer, les vôtres et ceux de vos clients, à raison
d’un nom de domaine par ligne.
Enfin, la directive virtusertable permet de définir le
routage du courrier pour chaque domaine ou pour
chaque adresse. En voici un extrait :
@domaine-de-client.fr
%[email protected]
nom-
. corn nomcom
Interprétation "libre" de l'idée de réseau.
Plutôt qu'un long discours, voyons sur pièce.
Détail du fichier cf/M ON_DOM AINE.m c :
OSTYPE(linux)dnl
DOMAIN (MONJDCMAINE) dnl
FEATURE (localJLmtp).dnl
FEATURE (smrsh) dnl
@domaine-de-client.com
MAILER(local)dnl
MAILER (smtp )dnl
de-compte-pop-local
@autre-domaine-de-client.com
pas chez nous
nom-
[email protected]
Les features lo c a fjm tp et smrsh sont destinées à
renforcer la sécurité.
Détail du fichier dom ain/M ON_DOM AINE.m 4 :
Ces différents exem ples m ontrent la majorité des
cas pris en com pte par cette fonction de routage.
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def ine('confPRIVACY_FLAGS*, 'goaway,restrictmailq, restrictqrun ’)dnl
define ('confSMTP_LOGIN_MSG ’, '$j Sendmail ;
$b’)<3nl
FEATURE (access_db) dnl
FEATURE (rbl) dnl
define('confAUTO_REBUILD', 'True')dnl
FEATURE (nouucp) dnl
d e f i n e ('c onfDOMAIN_NAME’,
'mondomaine.fr *)dnl
def ine ('SMTP_MAILER_MAX ’, 5000000) dnl
define('confMAX_MESSAGE_SIZE’, 5000000)dnl
FEATURE (use_cw_file) dnl
FEATURE (virtusertable) dnl
La prem ière ligne limite l’accès aux données gérées
par sendmail en interdisant par exem ple l’emploi
des com m andes VRFY et EXPN , pour vérifier les
adresses de courrier électronique m aintenues sur
votre serveur depuis l’extérieur. La seconde change
le message d’accueil de sendmail, afin de faire dis­
paraître les numéros de version ; ces informations
devenir de red outab les arm es dans les
m ains de ce u x qui se tie n n e n t au c o u ra n t des
spécifiques à chaque version de ce program­
me (du m oins, c’est ce que l’on nous e xp liq ue).
Les deux suivantes préviennent en partie l’emploi
de votre serveur com m e relais pour les spammers,
ainsi que la réception de courriers émis par des
spammers recensés à votre intention ou à celle de
vos clients.
Les lignes contenant une valeur num érique lim i­
tent la taille des courriers reçus ou relayés.
La directive use cw file dem ande à sendm ail de
Sur la première ligne, on indique de renvoyer sur ^ js N S S .
le même utilisateur, mais sur le dom aine "domaine-de-client.com ", tous les courriers destinés au
do m aine "d o m ain e -d e -clie n t.fr’’ : idéal pour les
sociétés ayan t enreg istré leur identité sous plu­
sieurs TLD (Top Level Dom ains). Les quatre lignes
suivantes prouvent combien il est facile d ’associer
à une d e stin a tio n p lu sie u rs v a ria n te s ty p o g ra ­
phiques d’une même adresse ou de désigner une
personne com m e responsable d ’un service (marketing@ societe.fr, sav@ societe.fr) . L ’avant-dernière
définition, et sa position dans la liste ne doit pas
précéder une autre ligne contenant dans sa partie
gauche le même nom de dom aine, perm et de diri­
ger sur un unique destinataire tous les courriers
envoyés à des noms non-prévus, en cas d’erreur de
frap p e p ar e xe m p le , ou ad ressés à des term es
g é n é riq u e s (s u p p o rt, ré c la m a tio n , p la in te ne
constituent que quelques exem ples représentatifs
de cette dernière catégorie). Cette définition n’est
pas obligatoire mais tellem ent pratique. Imaginez
i vos clients un travailleu r ind épend ant ; il
suffit de saisir cette seule ligne pour qu’il reçoive
tous les courriers sans excep tion ( info@ client.fr,
nom @ client.fr, w eb m aster@ client.fr, com ptabilite@ client.fr, etc?).
La d istin c tio n nom -d e-cô m p te-p o p -lo cal/n o m client@ son-fai-Iocal.fr m et en évidence les deux
cas de figure envisageables par rapport aux clients.
Dans le prem ier, vous collectez leurs courriers et
faites office de poste. Cela vous donne le moyen
de leur offrir des boîtes personnalisées, alors que
l’abonnem ent qu’ils auront souscrit avec leur FAI
local ne leur permet le plus souvent que de posséder
une seule boîte, et en plus aux couleurs de celui-ci
(pour ce qui est du nom de dom aine). Avantage
supplémentaire : la possibilité de leur proposer un
accès IMAP, alors qu’un nom bre infim e de FA! sup­
porte ce protocole pour l'instant. Le second cas est
typiquem ent celui du travailleur indépendant qui
souhaite recevoir sur la boîte fournie dans l’abon­
nem ent de son FA! l'ensem ble de ses co urriers,
sans avoir l'obligation de configurer deux comptes
POP dans son logiciel ; en outre, ce privilège a fait
son apparition assez tardivem ent.
La directive virtusertable n’a pas pour vocation de
remplacer le traditionnel fichier d ’aliases ; elle pos­
sède ses propres prérogatives et les deux outils se
complètent.
À titre d ’exe m p le , vo ici sim p lem en t cinq lignes
tirées d’un fichier "accèss" :
mort-domaine.fr
RELAY
se présente une idée très simple : vous prenez les
d eux navigateurs les plus répandus et dotés en
s ta n d a rd d ’u n e p a rtie c lie n t e S S L , N e tsc a p e
Communicator et M icrosoft Explorer. Norm alem ent,
on trouve Verisign/RSA et Thaw te. Le prem ier est
de loin le plus connu, certainem ent à cause de son
origine am éricaine et de son travail en étroite col­
laboration avec Netscape et Network Solutions, la
société qui gère le service InterN IC ( http://rs.inter-
11 perm et juste de m ontrer que l’on a le droit de
rejeter non seu lem en t des co u rrie rs p ro ve n a n t
d ’une adresse p articu lière, m ais aussi tous ceux
ém is à partir d ’un site e ntier, que son nom soit
connu ou non.
n ic .n e t / ), le q u e l a ssu re l'e n re g is tre m e n t des
domaines pour les TLD "net", "edu", "org” et bien
entendu "com".
Petite ombre au tableau, Verisign se refusait il y a
encore quelques mois à vendre des certificats pour
une utilisation avec apache. Cela peut sembler sin­
gulier, mais l'obtention d'un certificat dépend en
partie du serveur HTTPS em ployé. Thaw te, pour sa
part, ne fait pas de discrim ination. Cette com pa­
gnie sud-africaine a pour elle deux avantages com ­
plémentaires : ses certificats, nettem ent plus abor­
dables que ceux délivrés par Verisign et surtout, sa
politique de proxim ité, qui repose sur un réseau
de revend eu rs. Son rep résen tan t fran çais est la
société TBS-Internet ( h ttp ://w w w .fr.thaw te.com /).
Un soin tout particulier a été apporté pour expli­
quer de façon claire avec des docum ents en fran­
çais les démarches à m ener, tant du point de vue
technique qu’adm inistratif, pour acquérir puis ins­
taller le certificat.
Bizarrement, les démons POP3 et IMAP ne se trou­
vent pas fournis en standard, avec une quelconque
d istrib u tio n d ’U n ix . Si l’usage e n co re re stre in t
En ce qui concerne l'illégalité, elle touche apache
et constitue l'une de nos fameuses "exceptions cul­
turelles". Vous n’êtes pas sans savoir qu'un débat
d 'IM A P p eut l'e x p liq u e r, c ’est n ettem e n t m oins
co m p réh en sib le p o ur POP3 qui a d ep u is lo n g ­
H TTP e t SSL
En ce qui concerne HTTP, apache s’impose et ne
mérite méfne pas que l’on s’y attard e... Sauf peutêtre, pour ce qui a trait aux transactions sécurisées
( h ttp ://w w w .a p a ch e -ssl.o rg /) . Si to u t le m onde
oppose depuis m ain ten an t quelques années les
défenseurs de l'utilisation libre du codage des don­
nées, essentiellem ent à des fins de com m erce élec­
tronique, au M inistère de l’Intérieur, qui considère
ces procédés comm e de véritables armes de guer­
re. Sans rentrer dans la polém ique, rappelons que
seuls quelques rares pays se m ontrent aussi regar­
dants quant à l'emploi de ces techniques. Malgré
tout, trois ou quatre programmes de type serveur
H TTPS so nt depuis cette époque o fficie lle m e n t
autorisés à exploiter sur le sol français le protocole
SSL, avec toutefois des clefs limitées à 40 bits (on
parle de 56 dans un avenir proche). Il y a en tout pre­
mier le serveur de Netscape, puis celui de Microsoft
et enfin un serveur d’IBM pour OS/2 (sans qu'il existe
de véritable certitude pour ce dernier). Ce qui reste
malheureusement certain, c’est qu’apache ne se trou­
ve pas sur la liste des heureux élus et qu’il y a fort à
parier qu’il n’en fera pas partie de sitôt. Voilà pour­
quoi il pourrait s’avérer utile d’envisager d’autres Unix
que Linux ou FreeBSD pour pouvoir exploiter un ser­
sait que le protocole SSL est le plus utilisé de nos
jours pour sécuriser les sites, et en particulier, ceux
qui font du com m erce électronique, il s'avère en
revanche plus délicat de connaître le moyen d'ob­
tenir le certificat d'authentification, qui rassurera
vos clients potentiels. Ce n’est en réalité pas très
compliqué, mais m alheureusem ent totalem ent illé­
gal. En p rem ier lieu , il co n vien t de recenser les
organismes qui délivrent les certificats. Pour cela,
veur Netscape, même si des rumeurs circulent depuis
fort longtemps quant à la disponibilité future de leurs
serveurs Web sur ces environnements. En attendant,
vous avez le droit de feindre l'innocence et d'em ­
ployer apache-ssî sur votre machine ; mais souvenezvous, nul n’est censé ignorer la loi.
P a ie m e n t é le ctro n iq u e
L’étape suivante consiste à traiter les commandes enre­
gistrées sur votre site et payées par carte bancaire.
un- cl ient -com
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tem ps détrôné l’antique (m ais pourtant très inté­
ressant) UUCP chez les FAI. Pas de souci, vous les
t r o u v e r e z s u r le s s ite s h t t p :/ / w w w .e u d o r a ,
c o m / fr e e w a r e / s e r v e r s .h t m ! (Q P O P P E R ) et
h ttp ://w w w .im ap .o rg /,-qui détaille les ressources
disponibles dans ce dom aine. Pour ce dernier, on
v o u s o rie n t e ra e n tre a u tre s s u r u n e v e rs io n
d é v e lo p p é e à l ’ U n iv e rs it é d e W a s h in g to n
( http://w w w .w ashington.edu/im ap/) et qui devrait
faire votre bonheur. À noter que les archives IMAP
co n tie n n e n t g énéralem en t les d ém ons P 0 P 2 et
P0P3. Il existe aussi un projet un peu plus spéci­
fique, baptisé Cyrus ( http ://and rew 2.and rew .cm u.
edu /cyrus/im apd/index.htm l).
Vous pouvez recourir à la m éthode m anuelle en
achetant ou en louant à votre banque un TPE/VAD
(T e rm in a l de P a ie m e n t E le c tro n iq u e /V e n te A
Distance) et en saisissant chaque règlement avec les
in fo rm a tio n s c o m m u n iq u é e s p ar v o tre c lie n t.
Cependant, un tel matériel coûte cher et vous obli­
ge à tout valider à la main.
Un petit rappel utile en ce qui concerne les commis­
sions prélevées sur chaque règlem ent s'im pose :
celles-ci ne sont pas fixées par un quelconque orga­
nisme central et se trouvent établies arbitrairement
par chaque groupe bancaire. En clair, cela peut aller
de 2,50 % au Crédit Agricole par exemple à 0,35 %
à la Banque Populaire. Il convient de savoir que les
taux sont négociables auprès de certaines banques
et que ça l'est d'autant plus facilem ent que vous
conditionnerez l'ouverture d'un compte par rapport
au contrat que l'on vous proposera. De même, les
perceptions sur les règlements faits avec des cartes
étrangères ne se trouvent pas soumises aux mêmes
taux et cela a aussi des chances de jouer considéra­
blement lors de la discussion. Par exemple, la com­
mission de base de 2,50 % sur les paiements effec­
tués avec des cartes étrangères a pu être ramenée à
se u le m e n t 1 % su r un c o n tra t sig né au C ré d it
Mutuel.
Il faut souligner au sujet de ce dernier organisme qu'il
apparaît probablem ent comm e l'une des banques
françaises les plus impliquées dans le développement
Internet. Elle a été l'une des premières à proposer bon
nombre de services en ligne et s’est lancée depuis peu
dans une offre sérieuse, abordable et bien pensée, afin
de permettre aux sociétés d'aborder sereinement le
commerce électronique (http://www.creditmutuel.fr/
centre_commercial/vendez_sur_internet.html). L'idée
principale consiste à ne vous décharger QUE de la
partie règlement avec un abonnement mensuel rai­
sonnable et sans commission venant s'ajouter à la per­
ception de base, au contraire d'autres offres qui vous
prennent littéralement à la gorge. Une économie sup­
plémentaire favorisée par ce service vient de ce qu'il
vous épargne l'acquisition et la gestion d'un certificat
SSL, puisque la responsabilité de ce type de problème
lui incombe désormais.
Apportons une information supplémentaire pour les
particuliers entreprenants : contrairement à ce qui se
pratique dans certains autres pays, les banques fran­
çaises ne semblent pas accepter l'idée qu'un particu­
lier puisse percevoir des règlements à l'aide de cartes
bancaires.
Pour fin ir
Certes, il existe un nombre croissant de
programmes assurant une interface graphique
pour la configuration de la plupart des fichiers
décrits dans cet article, mais n 'oubliez pas le
postulat de base.
n effet, nous parlons d'un serveur hébergé et sur
lequel il sera très rassurant de pouvoir intervenir
à l'aide de, qui sait, votre Pilot ou votre Psion,
doté de son m odem et de son m ini-program m e
d'émulation de terminal VT-iOO, alors que vous assiste­
rez au mariage de votre soeur, au fin fond du Périgord.
De plus, certains de ces "jolis" programmes ont une
fâcheuse tendance à modifier des fichiers automati­
quement et à notre insu. Même si cela peut s'avérer
judicieux, il demeure toujours désagréable de ne pas
être informé des conséquences liées au simple lance­
ment d'un programme de configuration.
Glissons tout de même un petit mot sur les documen­
tations. A coup sûr, certains ouvrages sur les divers
logiciels évoqués, en particulier sur sendmail, peuvent
s'avérer utiles. Pour apache, il y a trop peu de valeur
E
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Q ue lq u es sites u ti le s
• Pour NEXTSTEP/OPENSTEP :
http://www .peanuts.org/
ftp://ftp.next.peak. org/pub/next/
• Pour Solaris x86 :
http://ynp.dialup.access.net/scripts/ynpPageCen7sol25_attic
h ttp://sunsite. une. edu/pub/packages/solaris/freeware/in tel/2.6/
http://sunsite.unc.edu/solaris/sm c/solaris_2.SJist.htm l
• Pour Irix :
http://reality.sgi.com /billh_ham pton/anonftp/index.html
http://www.daveltd.com/bind-irix-port/
• Pour HP-UX :
http://ga tekeep.es.utah. edu/hppd/hpux/
h ttp://hybrid. irfu.se/HP- UX/
http://hpwww.epfl.ch/HPUX/patch/catalog.htm l
ajoutée par rapport aux documentations électroniques
disponibles sur le site et surtout, les directives évoluent
pour l'instant un peu trop rapidement, pour s'attacher
à une documentation papier. En ce qui concerne les
livres traitant de DNS et BIND, il faut sans aucun doute
en posséder mais avant tout, la journée de formation
qu'offre l'association A FN IC (an cie n n em e n t NIC
France) quand vous signez une convention avec eux
pour pouvoir enregistrer les noms de domaines dans le
TLD "fr", constitue une expérience nettement plus
enrichissante. Bien que l'investissement fasse réfléchir
et que la société vous hébergeant vous propose des
conditions alléchantes pour l'enregistrem ent des
domaines en "fr", il convient cependant de prendre en
considération la réactivité que vous procure une
convention avec l'AFNIC vis-à-vis de vos clients.
Revenons aux documentations, l'une des richesses de
Linux, afin de préciser qu'une quantité impressionnan­
te de textes rédigés et, pour un nombre croissant
d'entre eux, traduits, est accessible dans bien des for­
m ats in fo rm atiq u es ou m êm e sur pap ier (Lin u x
U ndercover, par exem p le). M êm e les plus blasés
d'entre nous peuvent y puiser régulièrement de nou­
velles informations. Leur lecture représente une source
constante d'enrichissement et de découvertes.
Si le survol de certaines des notions évoquées dans cet
article vous semble trop sommaire, n'hésitez pas à
nous en réclamer un développement.
Yannick Cadin [email protected]
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.1 %
199,
489;
TOTAL
—- — _
Netbeans Developer
Depuis qu'on parle des ateliers de
développement Java écrits eux-mêmes
dans ce langage, on aurait aimé en voir
un réellement fonctionnel. C'est désormais
chose faite avec Netbeans Developer !
E
ntre Java Workshop de Sun, qui
réussit l'exploit d'offrir un logiciel
no n -p o rtab le é c rit en ja v a ,
Freebuilder, prom etteur mais encore
loin d'être utilisable, et les autres, qui
tiennent plus du jouet que de l'outil
professionnel, l'environnement en Java
pour java a mis bien du temps à faire
son entrée en scène. Finalem ent, la
jeune start-up Netbeans Inc. se lance
scripts de lancement, si chers à Sun.
su r ce m arch é ave c son N etbeans
Conception hybride
Developer. Pour l'anecdote, il s'agit en
Netbeans Developer se situe à mi-che­
fait d'un second tir, après un premier
min entre les IDE purs et durs comme
produit (Xelfî) qui n'a jamais été com­
VisualJ++, JBuilder ou Visual Café, et les
mercialisé. Netbeans Developer s'utilise
outils du type L4G comme Visual Age
donc sur tout système disposant d'une
For Java. Ses créateurs ont visiblement
implémentation de Java (version 7.7.6
cherché à allier l'universalité des pre­
minimum). Pour notre part, nous avons
miers à la rigueur et l'automatisme des
réalisé ce test sous Debian GNU/Linux
seconds, et il faut reconnaître que le
avec le JD K O pengroup 1 .1 .6 .
résultat est plutôt réussi. Netbeans
L'installation exploite le nouveau stan­
Developer présente donc une interface
dard Installshield For Java : à l'arrivée,
typique des IDE Java classiques, à savoir
on a vite fait d 'o ub lier les abscons
une barre contenant les différents élé­
ments graphiques (Swing et AWT mais
aussi les Beans et les modèles de géo­
que l'on ve u t é d ite r, em p lo yer ou
réemployer... cela ressemble presque à
un atelier de génie logiciel !
Un builder efficace
Le développeur java passe une grande
partie de son temps à construire l'inter­
face utilisateur de son program m e.
Netbeans Developer, comme ses homo­
logues,. est par conséquent avant tout
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
m étrie), et des fenêtres d'édition de
code, de réglage des paramètres, etc.
En revanche, la notion de "projet", cen­
trale dans les environnements tradition­
nels, n'apparaît nulle part ici. A la place,
le développeur dispose d'un ou de plu­
sieurs espaces de stockage, appelés
''Repositories''. Au départ, le Repository
par défaut contient quelques exemples
et des modèles de base ("templates").
Lorsqu'on crée un nouvel objet, il vient
s'ajouter dans un Repository et y reste,
à moins qu'on ne désire explicitement
le détruire. De cette façon, deux projets
différents ne représentent plus deux
mondes distincts, mais au contraire,
tout ce sur quoi le développeur a tra­
vaillé est conservé, répertorié et archi­
vé. Un "explorateur" permet de navi­
guer dans la hiérarchie des Repositories
pour accéder directement à l'élément
un "builder" d'interfaces : un clic pour
choisir un com posant (par exemple
une barre de défilement), un clic dans
la fenêtre de l'application pour l'y pla­
cer et le logiciel s'occupe ensuite de
toute la gestion qui découle de cette
o p é ra tio n . En p ra tiq u e , N etbeans
Developer va plus loin que le simple
dessin d'interface. Les composants et
m odèles disponibles perm ettent en
effet de construire une interface, mais
aussi des classes "non visuelles" et
même la documentation, pour le déve­
loppeur comme pour l'utilisateur. On
élabore donc véritablement la structure
complète de l'application à la souris et
l'on n'utilise l'éditeur source que pour y
écrire le code à exécuter lors de l'appel
d 'u n e m étho d e (eh o ui, N etbeans
Developer ne peut pas deviner ce que
vous voulez que votre program m e
fasse !). De plus, tous les paramètres
concernant un objet créé par le logiciel
o nt le loisir d 'être m odifiés à tout
m o m e n t, sa ch a n t que le m oindre
changement se répercute aussitôt en
tout point de l'application. Il est ainsi
très amusant de créer de nouveaux élé­
ments et d'observer les lignes de code
qui apparaissent simultanément dans
l'éditeur source ! L'intégration des diffé­
rents modules constitue l'un des gros
points forts de Netbeans Developer : si
l'on modifie par exemple le nom d'un
bouton dans la fenêtre des préférences,
les références et les noms de variables
dans le code sont automatiquement et
immédiatement mis à jour, sous nos
yeux. On se trouve en présence d'un
atelier de développement réellement
dynamique, ce qui représente un avan­
tage de taille quand on sait qu'il s'agit
justement du point faible de beaucoup
des IDE p o u rta n t co m m u n é m e n t
employés...
Les beans
Vu son nom, Netbeans Developer laisse
évidemment une place très importante
aux Java-Beans à travers deux "assis­
tants" : le Bean Wizard et le Connection
Wizard. Le premier permet de créer très
simplement un nouveau Bean : on lui
indique les attributs et les prototypes
des méthodes du Bean et il en conçoit
automatiquement la classe, y compris
son Beanlnfo. Encore une fois, il suffit
d'écrire le corps des méthodes. Le nou­
veau Bean est alors co m p ilé et un
simple "copier/coller" permet de le pla­
cer dans la barre des Beans pour l'avoir à
disposition en p e rm a n e n ce . L'as­
semblage de Beans pour construire une
application ne se révèle pas plus compli­
qué : tout se fait à l'aide du Connection
Wizard. Après avoir choisi et disposé ses
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• Chaptor 3) Soao Spactfc T u ti - portOnrnng ton» ipocltc ta U t. tocb ai
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Facile de créer des Beans !
Java... Netbeans Developer symbolise­
rait-il l'atelier de développement par­
fait ? Malheureusement, un immense
p o in t n o ir v ie n t te rn ir le ta b le a u .
L'exploitation très poussée de Java, par­
ticu lièrem en t des nouveaux Swing
Components, ainsi que la taille du logi­
ciel, ont pour conséquence une lenteur
rédhibitoire. N'y allons pas par quatre
chemins : sur un P I33 avec 32 Mo de
mémoire, c'est inutilisable, même avec
un compilateur JIT. De plus, la "portabi­
lité" reste toujours assez théorique, car
en dehors de Windows, OS/2 et la plu­
part des Unices, il n'existe à l'heure
actuelle pratiquement pas de machine
virtuelle capable de l'exécuter. On a
donc finalement le droit de se deman­
der si l'utilisation de Java est justifiée
pour un tel produit ! Néanmoins, gar­
dons notre optimisme : une configura­
tion très puissante se trouve aujourd'hui
à la portée de toutes les bourses et la
liste des systèmes où Java est disponible
s'allonge lentement mais sûrement. La
sortie de Java 1.2 pour RiscOS et l'avan­
cement certain du projet Japhar (Java
sous licence GPL) perm ettront à un
plus grand nombre d'utilisateurs d'ac­
céder à l'univers de Java.
V erdict de l'utilisateur
Netbeans Developer constitue un atelier
de développement remarquable, profi­
tant pleinem ent des possibilités du
langage pour offrir à son utilisateur
une souplesse peu comm une. Il faut
également noter que grâce à l'implémentation en Java, il représente l'un
des rares produits de ce type manipulable sur des systèm es "alternatifs".
Bien que nous n'ayons pu tester que la
v e rsio n B e ta 3 , ce lle -ci é ta it déjà
accom pagnée d'une documentation
très complète au format HTML, com­
prenant un manuel d'utilisation et une
série de quatre tutoriaux, parfaite pour
une prise en main rapide du logiciel.
Netbeans Inc. prépare par ailleurs une
versio n E n tre p rise , in c lu a n t entre
autres la possibilité de travailler en
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Beans, le développeur utilise cet assis­
tant pour "relier" les Beans entre eux, un
peu comme dans la BeanBox de Sun.
Chaque émetteur d'événements peut
s'associer à des méthodes de différents
Beans ; le Connection Wizard s'occupe
d'élaborer le code nécessaire et de le
mettre en place. Bien que ce soit large­
ment plus complet que ce qu'offre la
BeanBox, l'utilisation des Beans se trou­
ve à tel point intégrée dans l'environne­
ment que ce n'est pas plus difficile à
manipuler ; en outre, l'esprit des Beans,
qui consiste à pouvoir créer une applica­
tion à l'aide de quelques "briques", est
pleinement respecté.
Le prix à payer
Novateur, puissant, convivial, écrit en
NetBeans IDE
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Beans Layouts Borders
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A mi b a p a a «.
NetBeans gère les Swing Components.
équipe, en réseau. Mais, nous avons
gardé le meilleur pour la fin : ce pro­
duit, bien que strictement propriétaire,
est et restera gratuit pour un usage
non commercial. Une raison de plus
de se jeter dessus !
jakub Zimmerman
Netbeans Developer
Netbeans Developer Beta 3
Source : http://www.netbeans.com
Tou t systèm e avec ja v a 1 .1 .6 ou
supérieur
En hausse
▲ Intuitif et agréable
A Complet
A Intégration très poussée
baisse
Lent
Des bugs subsistent
Note
▼
▼
En
★★★★
CENTurbo 18
Annoncée, maintes fois repoussée, au point que certains n'hésitèrent pas à
crier haut et fort qu'elle ne sortirait jamais, cette carte accélératrice pour le
Falcon 030 est enfin disponible. Bien que ses caractéristiques aient évolué
par rapport à celles annoncées voici plus de deux ans, que vaut-elle en
pratique, et faut-il en équiper votre machine ?
ur une surface réduite, 15x8 cm,
Sim ple d ’in sta lla tio n , elle req uiert
cette carte accélératrice propose
néanm oins une expérience certaine
_
un 68030-33 boosté à 50 MHz dans le maniement du fer à souder.
(le rad iateu r et le v e n tila te u r sont
Ce qui fait la force de cette carte, hor­
livrés), un coprocesseur arithmétique
mis ces caractéristiques brutes, c'est
optionnel cadencé à 50 MHz, 16 ou
son principe de fonctionnement : elle
32 Mo de fast-ram EDO 60 ns (un sup­
utilise en effet la carte mère du Falcon
port simm), ainsi qu'une flash eprom
comme une carte d'entrées/sorties 16
de 64 Ko qui hébergera prochaine­
bits à laquelle elle accède à 50 MHz !
m en t le systè m e d 'e x p lo ita tio n
Dès le démarrage de la machine, elle
Dolmen et contient à ce jour le pro­
en prend totalement le contrôle. Elle
gramme de boot. Le tout est bien sûr
se permet par exemple de démarrer
S
prise vient du choix entre les systèmes
d'exploitation : DO LM EN, TOS 4 .0 x
ou T.OS 7.0x. Le premier d'entre eux
n'est toujours pas disponible. Le TOS
4 .0 x correspond tout simplem ent à
celui que contient la Rom de votre
Falcon. Et le T.O S 7.0x représente une
version patchée du TOS 4. Le mode
turbo fonctionne bien entendu sous
T O S 4 , m ais la fast-ram n 'e st pas
accessible. Ce mode se montre utile si
vous ne possédez pas NVD1 (mais le
blitter reste tout de même cadencé à
25 M Hz). Cette concession entraîne
une accélération plus faible que sous le
T.OS 7, mais elle demeure néanmoins
supérieure à celle d'une CENTurbo 1.
En cas de reset, c'est la machine entiè­
re qui redémarre.
Sous le T.O S 7, vous bénéficiez bien
entendu de la fast-ram . Par consé­
quent, vous devez valider cette option
p o u r p ro fite r p le in e m e n t des
meilleures performances de la C T 11.
M ais atte n tio n , sous le T .O S 7 .0 x ,
NVD1 est indispensable, car l'utilisation
de la fast-ram nécessite la d éco n ­
nexion du blitter. Toutefois, l'accéléra­
tion graphique n'en souffre pas. Les
fam euses bom bes du T O S sont ici
remplacées par des messages en clair
et vous pouvez soit effectuer un reset,
avec retour instantané à l'écran du
setup, soit mettre fin à l'exécution du
programme fautif en appuyant sur la
barre d'espace.
Les différentes options du setup per­
m ettent de param étrer à votre guise
le c o m p o rte m e n t de v o tre m a ­
chine : scan de la ram , choix de la
partition de boot, vidéo, matériels,
paramétrage de Cécile (le driver de
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
géré en 32 bits. Conformément à sa
petite sœur, elle accélère également
les composants d'origine du Falcon :
Videl et DSP à 50 MHz, sans oublier
blitter à 25 MHz. L'accélération de la
vitesse d’accès au bus perm et d'ac­
croître les débits des disques durs IDE
(ju sq u 'à 8 M o/s su r les d isq u e s
récents) et du lecteur de disquettes. Si
vous abandonnez le blindage d'origi­
ne, la C T II s'insère alors parfaitement
dans le boîtier, évitant ainsi une coû­
teuse mise en tower, et permettant de
ce fait une bien meilleure ventilation.
sans fast-ram, sans le 68030 d'origine
et sans la Rom ! Les quatre GALs d'ori­
gine sont d'ailleurs retirées de la carte
mère et toute cette logique se trouve
intégrée dans un composant sur la CT
II. La CEN Turbo II ne représente ni
plus ni moins qu'un véritable ordina­
teur dans votre ordinateur !
TOS 4 ou T.OS 7 ?
Au d é m arra g e de v o tre m a c h in e ,
l'écran du setup s'affiche, vous don­
nant alors le loisir d'effectuer divers
réglages indispensables au bon fonc­
tionnement général. La première sur­
Le bfock diogram de lo CENTurbo H.
disques durs signé C e n te k )...
Perform ances
Les performances brutes se révèlent
assez intéressantes, grâce à l'accéléra­
tion d'un facteur 3 des calculs du CPU
et du FPU. Mais comment justifier que
Centek annonce fièrement une accélé­
ration proche de 7 ? La réponse se
trouve dans la gestion de la fast-ram,
celle-là même qui a posé tant de pro­
blèmes lors de la conception de la
carte. En effet, c'est lors de l'accès à la
fast-ram (à 50 MHz), à laquelle seul le
68030 accède, que le passage en 32
bits prend tout son intérêt. Les débits
se m o ntrent alors très im p ressio n ­
nants, puisqu'on atteint 32 Mo/s en
mode burst (ch arg e m e n t en rafale
e n tre la fast-ra m et ie c a c h e du
68030). A comparer aux 4.5 Mo/s sur
la st-ram d'un Falcon d'origine i Et
pour calculer, le 68030 fait très sou­
vent appel à cette fast-ram, à cause de
la faibie taille de son cache interne. On
comprend alors que les performances
globales grimpent aussi rapidement.
En pratique, l'accélération oscille entre
les facteurs 4 et 7.
Com patibilité
Le problèm e le plus ép in eux de ce
Sôuoo
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- F V : c o û t . g u ra c iv r.
qgi
iô u r i« DSP &c ia Vâ&aftâ.
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~ F ? : c d jftïi § u r 4 c i or* ûo I * h o r 0 9 0 a x t - e r n e .
- F ? : t a n t i o r a c »or* au b l i cirer ô f d u . « cû$apàr i £>i
9
- F S ; v û û f i ^ u r e r j& épôrôrrtoor
- f $ : ‘ s é iô c .t iô f t iw
«e c e s ? a*ôi?*o»ro e ï
> î Fô po u r io s o s ST£>
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ô î î 'o s s î ç o ô c i û f t
p a r c» iio f tÿ po u r Céc» U .
- r î è : - s é f d ç f iû f t f te r t a p a r ri r i or» d e
pour
-
F1 6 : c û n fiô t.r o r
coro*
t o r d r e de ro c^ o rcfio du d is q u e âûorçâî>»e sp-us X.QS&
te s p a r« a é trè s
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de C é c i l e .
— SR ir Y-**îîîjDÛ; r é i ; . i ï î o i i s e io u s «es p o rô * n é cre s.
1
—
ôï
—
____
Viio o h a c ig e o r o e coottip. y o r <> c n a n ÿ o o r
U
u a«eu r.
i______________________ Ss________ -________ _____
L'écran du setup et les différentes options.
d rive r de disques d u rs, son grand
avantage résultant de la gestion des
grandes capacités (la barrière des 2
G o ne lui fa it pas p e u r). G a rd e z
ce p e n d a n t p récie u se m en t les d is­
q u e tte s de v o tre a n c ie n d riv e r
puisque quelques problèm es appa­
raissent parfois. A i'usage, ce sera à
vous de choisir.
Utiliser ie programme de flashage de
la flash eprom constitue un jeu d'en­
fant, tout comme celui qui sauve cer­
ta in s p a ra m è tre s d a n s la N VRAM
(langue, clavier, format de l'heure et
de la d a te , ré so lu tio n v id é o au
b o o t...). Vous pouvez conserver ces
paramètres sur une disquette qu'il suf­
fira de relire lorsque la NVRAM aura
perdu la m ém oire (certains logiciels
e fface n t en effe t ces p ara m è tre s).
CENTvidel et CENTscreen se chargent
resp e ctive m e n t de la création des
résolutions vidéo et de leur gestion
(écran virtuel, Energy Star, économi­
seur d'écran, souris turbo...).
M ais ie lo g ic ie l q u e c h a c u n v e u t
essayer avec sa C T 11, c'est Dolmen, le
systèm e d 'e xp io itatio n co m p atib le
T O S , 1 0 0 % a s s e m b le u r, et qui
regroupe à lui tout seul un équivalent
de N VD l et de N .A ES , ain si q u 'un
nouveau bureau. Malheureusement, il
ne se trouve pas encore disponible,
mais l'équipe de Centek nous le pro­
met pour bientôt, ce que nous espé­
rons vivement.
Verdict
Seule carte de ce genre pour nos Falcon
avec l'Afterbumer (68040 à 32 MHz),
elle dispose cependant de meilleurs
atouts : 1990 francs, aussi performante
(le 68040 ne fait pas tout), plus com­
pacte, ram EDO et hot-line font pen­
cher la balance en sa faveur surtout
qu'ii devient difficile de se procurer une
Afterbumer. Certains regretteront peutêtre que la fast-ram reste limitée à 32
Mo, ou l'absence d'un connecteur PCI.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
genre de produit concerne la compati­
bilité. Aussi intéressante soit cette carte,
si elle ne vous permet plus d'utiliser la
majeure partie de votre logithèque, son
attrait diminue d'autant. Il y a certes du
déchet, mais cela touche surtout les
vieux logiciels peu respectueux des
règles de programmation d'Atari qui
rencontraient déjà des difficultés pour
fonctionner sur Falcon. Quant aux logi­
ciels les plus récents, ils passent généra­
lement le test sans encombre. Une liste
se voit régulièrement mise à jour sur ie
site Web de Centek. Qu'ils soient écrits
pour le Falcon ou non, quasiment tous
s'accommodent parfaitement des nou­
velles caractéristiques de la machine.
Certains logiciels refusent de se loger en
fast-ram ou y sont totalement hostiles ?
Dans ce cas, le démarrage en TO S 4
permet malgré tout de bénéficier de
l'accélération globale de l'ordinateur.
D'autres supportent mai l'accélération
du DSP ? M odifiez dans ce cas les
réglages dans le m enu M atériel du
setup. Globalement, la compatibilité est
excellente et rares sont les programmes
qui refuseront obstiném ent de fonc­
tionner. Même Cubase Audio accepte
de tourner en fast-ram...
Pack logiciels
Cécile est destiné à rem placer votre
Incontestablement, ce produit est l'un
des meilleurs fabriqués pour le Falcon et
il permet au rapace de se hisser à la
hauteur d'un 68040-32 en termes de
puissance de calcul, tout en profitant
du surcroît de confort apporté par l'ac­
célération du DSP, par les modes vidéo
étendus et par la fast-ram.
Coirier Lilian
Constructeur : Centek
http://ww w .centek.fr
Environ 20 00 francs
En hausse
Performances
conception
▲
A
A com patibilité
V
V
En baisse
Pas de connecteur PCI
Dolmen non disponible
Note
'î»r - k ~i<
A r t P a i n t v l . 1.0
Un des logiciels phares de l'Amiga est le
fameux Deluxe Paint, DPaint pour les
intimes. Pour BeOS, on attend encore la
révolution, car Becasso reste
malheureusement bien sommaire comparé
à un DPaint de première génération.
R3.1 ou R3.2, car le datatype GIF est
"cassé". Seul N etPositive se m ontre
capable d ’afficher ce form at pour le
moment.
La configuration d’ArtPaint offre très peu
d’options. Pour chaque fenêtre flottante,
il est envisageable de forcer son afficha­
ge en premier plan. Il y a ensuite moyen
de définir le niveau "undo" (défaire), qui
peut adopter les valeurs suivantes :
"aucune", un nombre défini par l'utilisa­
teur ou bien "illimité". Il ne faut surtout
pas en abuser, car le programme va
rale n tir très fo rte ­
ment votre système
au fur et à mesure
que la m ém oire
allouée augmente.
Docum entation
La do cum entatio n
en anglais au format
HTML est accessible
par l’option Help du
menu. Elle se révèle
détaillée et claire, et
possède en o utre
quelques cours de
prise en main rapide.
ArtPaint se m ontre
te lle m e n t sim p le
d'utilisation et intui­
tif, que l'on peut se
passer de la docu-
capacités. Une sélection peut se combi­
ner en plusieurs actions qui ajouteront
ou soustrairont au cumul des sélections
p récéd entes la zone ch o isie. Par
exemple, pour repeindre votre voiture,
vous la sélectionnez complètement et
supprimez ensuite les vitres, les roues,
les pare-chocs... avant de lui donner une
nouvelle couche de couleur. L'utilisateur
se trouve en mesure de faire les sélec­
tio n s à la m ain p ar d éfin itio n de
contours, par rectangle ou bien en cli­
quant sur une couleur ; c'est le pro­
gramme qui déterminera les contours !
A cela viennent s'ajouter des modules
(AddOns) de traitement de l’image. Dix
sont livrés en standard : Blur, Color
Balance, Stretch Histogram, Dispersion,
0/7,
Emboss, GrayScale, Négative,
Twirl et
Wave. Si cela ne vous suffit pas, vous
pourrez en télécharger d'autres à partir
du site de l'auteur ou bien créer et ajou­
ter les vôtres.
Lorsque l'effet choisi n'est pas paramé­
trable, il se verra immédiatement appli­
qué sur la zone sélectionnée ou la totali­
té de l'image. En revanche, s'il possède
des paramètres, une fenêtre s’ouvrira et
vous aurez alors le loisir de les modifier
et d'obtenir le résultat en temps réel
avant de confirmer l'action.
Conclusion
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Effet de flou su r une zone et fenêtres flottantes.
E
mentation sans que
cela pose problème.
Caractéristiques essentielles
videmment, il existe BeStudio de
chez BeatWare, mais, malheureu­
La boîte à outils est relativement clas­
sement, celui-ci n'existe que pour
sique. On y retrouve le trait et le point à
PPC. Il y a environ deux mois, ArtPaint,main levée, la ligne, le rectangle et l’el­
un logiciel shareware (US$20) de dessinlipse, la sélection, le remplissage, le pin­
et retouche photo, a fait son apparition
ceau, la gom m e, la bombe spray, le
sur Beware ; il s'agit peut-être de l’Elu
sélecteur de couleurs, le flou à main
levée et l'application d’une couleur
tant attendu.
Installation et configuration
transparente. Ce qui est un peu moins
L’archive au format zip une fois décom­
standard et parfois impressionnant vient
pressée occupera 1,2 Mo sur votre
disque dur. Pour lancer l’application, il
suffit de double-cliquer sur le program­
me ou bien sur l’image elle-même. Si
cette dernière action ne fonctionne pas
et que c ’est un autre p rog ram m e
qu’ArtPaint qui se voit lancé, il faudra
alors que vous changiez les FileTypes
dans les préférences (cf. votre guide uti­
lisateur BeOS), afin de définir ArtPaint
comme programme "favori".
ArtPaint utilise les Datatypes/Translators
pour lire ou écrire les images. Cela lui
permet donc de travailler sur n’importe
quel form at d'image, à condition de
posséder le Datatype correspondant.
Prenez garde si vous vous trouvez en
du niveau de configuration de chaque
outil.
La notion de projet permet de définir
une image dans un format propriétaire
qui contient des calques (layers). Ceuxci donnent le moyen de définir une
image, de même que la superposition
de plusieurs autres illustrations.
Une fois satisfait du résultat, il est alors
possible de sauvegarder l'image dans le
format graphique de votre choix. Elle
contiendra donc la totalité des plans
que vous avez sélectionnés dans votre
projet.
Le système de sélection d’une partie de
l’image est extrêmement puissant dès
lors que l'on prend conscience de ses
Ce logiciel est donc assez complet pour
une version 7.7 ; on regrettera cepen­
dant quelques lacunes, comme la ges­
tion des brosses à la DPaint et l’impossi­
bilité d'utiliser un des effets des AddOns
avec une option de dessin. Malgré tout
au prix de USS20 (110 FF), on ne saurait
hésiter encore à l'acheter.
Fabrice Mansat fmansat@amiganews. com
A r t P a i n t v i . 1.0
Statut : Shareware à US$20 (110
francs)
U RL:
http://www.helsinki.fi/-hsuhonen/art
paint/
En hausse
Intuitif et très convivial
A Pas cher
▲
En baisse
Ne libère pas toute la mémoire
lors de la fermeture d'une image
La puissance de certaines options
en fait des usines à gaz
Note
T
V
★
★
★
★
RaystormPPC 2
Arrivé tout récemment en version PowerPC, Raystorm est un logiciel de
création d'images de synthèse, qui prend désormais toute sa dimension.
P
volumes de base (cubes, sphères, tri­
ar rapport à la galerie d'outils
com m erciaux qui existe dans
angles, cylindres...) sont accessibles à
le d o m a in e du r a y tra c in g ,
la souris et tous les effets de rendu clas­
Raystorm offre pour principal avantage
siques répondent présents (sources de
d'être un shareware (la version enregis­
lumière, reflets, transparences, flous...).
Par ailleurs, le calcul du rendu prend lit­
trée co û te m oins de 1 0 0 fra n c s ).
D 'autre part, il dispose de tous les
téralem ent son envol depuis que le
logiciel a été recompilé pour proces­
atouts des ténors du genre : quatre
vues p erm etten t de m o déliser des
seurs PowerPC : même les images les
objets 3D sous différents angles, les
p lus c o m p le xe s ne p re n n e n t que
quelques secondes à calculer !
P laisir de créer
Mais le réel point fort du logiciel tient
dans son e rg o n o m ie. La version 2
donne désormais le moyen de visuali­
ser le projet sous forme d'arborescen­
ce : une texture appartient à un objet,
qui fait lui-même partie d'un squelet­
te. Les élém ents n'en sont que plus
m an ip ulab les. Autre n ouveauté, la
représentation en temps réel des tex­
tures app orte un véritab le co nfo rt
d 'u tilis a t io n . M ie u x, de la m êm e
manière que POV, Raystorm conçoit
ses scènes sous la form e de scripts.
Aisém ent éditables, ceux-ci sont en
fait écrits avec un jeu d'instructions de
quarante-sept com m andes que l'on
peut intégrer dans du code Arexx. Et
que les soucieux de la standardisation
ne s'inquiètent pas : Raystorm relit les
objets 3D Studio, les textures mathé­
matiques d'Imagine et dispose même
d'une version totalement compatible
sous W indows. Seul regret : il n'y a
pas de module d'animation.
Yann Serra
R a y s t o r m P P C 2.2
Statut : Shareware
Source : http://www.uniulm.de/~s_mhesse/raystorm.html
A
A
A
▼
En hausse
M odeleur et raytracer
Ergonomie
Standardisation
En baisse
Pas de module d'animation
Note
★ ★ ★ ★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Deux secondes de calcul su r un PPC !
capable de compresser et de découper
en morceaux ses sauvegardes. Celles-ci
prennent de ce fait moins de place sur
un disque et peuvent même être stoc­
BackMan est un logiciel de backup
kées sur plusieurs disquettes. Pourvu
pour Amiga qui reconnaît de
d'une interface graphique du plus bel
multiples supports de sauvegarde.
effet, Backman utilise des algorithmes
de compression XPK qui permettent
■ etez toutes vos solutions de sauved'obtenir une archive trois fois plus
■ garde de disques durs qui demanpetite que la taille originale de tous les
B d e n t 800 disquettes ou qui mono­
fichiers à sauvegarder. Autre point posi­
polisent tout un autre disque dur :
tif, le logiciel offre le privilège d'écrire le
BackMan arrive ! Développé par l'italien
backup du disque dur comme un seul
Flavio Stanchina, Backman est un outil
gros fichier (facilement manipulable),
directement sur un enregis­
o ! BackMan
S I E31 S i
treur de bandes (en SCSI) ou
sur des disquettes. Là réside
la principale puissance de
Backman. Les "disquettes"
qu'il
reconnaît correspon­
BackMan i .5 (05.10.3S)
dent
en
fait à n'importe quel
Copyright o 1 394-98 Flavio Stanchina
su p p o rt a m o vib le : d is­
quettes DD et HD, bien sûr,
Restore
Backup
mais aussi cartouches Zip,
Compare
Q jîï
jaz, Syjet, Nomaï ou autre !
Lo rsq ue la carto u ch e est
lape utilities...
Configure...
remplie, le logiciel demande
About...
Quit
simplement l'insertion de la
suivante !
Le menu de démarrage.
BackMan
Sécurisé
Logiciel moderne, Backman reconnaît
en outre le protocole MultiUser, qui
définit la propriété de chaque fichier.
Chaque utilisateur a alors la possibilité
de faire ses propres sauvegardes et de
les sécuriser par un mot de passe. Dans
la pratique, il est également tout à fait
envisageable d'enregistrer un jour une
sauvegarde totale du disque et de n'en­
registrer, le lendemain, que les nou­
veaux fichiers. Ce miracle se produit
grâce au bit d'archivage d'AmigaOS,
dont BackMan peut se servir de façon
automatique.
Yann Serra
B a c k M a n 1.5
Source : Aminet
Statut : Hareware
En hausse
Interface intuitive
Algorithmes XPK
Enregistrement sur cartouche
En baisse
Rien
Note
★ ★ ★ ★ ★
A
A
A
▼
Sus* 5 3
La distribution "sage" de Linux dans sa nouvelle m outure :
évolution ou révolution ?
Fichier Configurations Options Langue
Souris
Clavier
Carte graphique
Moniteur
Ecran
Visualisation du clavier
Modèle
Langue
ffP P ffflffPFP C ”
French
German
Hungarian
Itaiian
Japanese
_i Élimination des touches mortes
Appliquer
Continuer »
fournis sur les trois CD d'installation
(le dernier CD contient un système de
fichier "live"). Enfin, le packaging du
logiciel inspire vraiment confiance et
la documentation papier s'avère effi­
cace.
Des d é fa u ts ?
La version 5.3 ne rajoute pas, et on
ne saurait s'en plaindre, de défaut
m ajeur à la distribution allem ande.
Elle n'en retranche pas pour autant :
le système de fichiers est toujours non
standard, par exem ple. Si Yast per­
m et d'assum er dans des conditions
trè s c o n fo rta b le s l'a d m in istra tio n
basique du système (petit réseau local
ou station autonom e), ses limites se
voient rapidement atteintes en matiè­
re de "passage à l'échelle". Le plus
étonnant reste l'absence de certains
paquetages démocratisés par d'autres
d istrib u tio n s. Le p rin cip al chaînon
m a n q u a n t se n o m m e eg cs (p a r
exemple patché avec pgcc), qui com­
plète parfaitement gcc pour les opti­
misations et le support du C++. Enfin,
le caractère commercial de cette dis­
tribution est une arme à double tran­
chant. Elle s'avère parfaite pour les
entreprises désirant passer à Linux (il
ne s'ag it pas d 'u ne licence C PU ) ;
cependant, les "passionnés" préfére­
ront peut-être une distribution plus
avant-gard iste et to talem ent libre.
Reste à considérer les débutants, qui
choisissent très souvent la Red Hat
m ais p o u rra ie n t au ssi te n te r leu r
chance avec la Suse (l'investissement
est vraiment ridicule pour un système
complet avec des centaines de logi­
ciels optionnels)...
Freci Pesch
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
jirtfvother Server is active runniny sax there.
dayobahi/root *
|ûa9ûCah;/root »
dasot>ah:/roût * xwd -xy -root
ûasoc>ah:/rûot » xwd -xy -root i tee suse.xwd 1 /ciev/null
ibash; /dev/null: Permission denied
Sax : configuration simplissime.
D
ès l'installation et jusqu'à l'ad­
graphique (l'un des points sensibles
ministration, voire l'utilisation,
des distributions) se trouve prise en
le système Linux vu par Suse
charge par l'utilitaire Sax, qui détecte
fo nctio n n e à m erveille. Q uand les
on cartes directement sur le bus PCI.
connaît la difficulté qu'il y a à bâtir
M alheureusem ent, un prem ier essai
une distribution de Lin ux, on peut
sur un portable Texas a tout de suite
s'étonner de la stabilité étonnante de
révélé quelques lim ites aux p réd ic­
la Suse. Ceci ne concerne bien sûr
tions de Sax, notam m ent en ce qui
a u c u n e m e n t le n o yau lu i-m ê m e
co n ce rn e les fam eu ses d o t clo cks
(extrêm em ent stable) mais l'environ­
(remarquez, l'installation de Windows
n e m e n t lo g ic ie l : o u tils de b ase,
9x ne se passe pas bien non plus !).
bibliothèques et paquetages option­
L'initiative est cependant louable et
nels. En quelques mots : tout marche
on attend une version libre de Sax
et ce n'est pas la version 5.3 qui vien­
livrée avec XFree86. Les paquetages
dra ternir le tableau.
Iib c6 fo n ctio n n e n t désorm ais sous
Les ra iso n s du su ccès
Suse, mais tout le système repose sur
Par comparaison avec la Red Hat ou
l'ancienne Iibc5. La raison se montre
la Debian, la Su se fait office de distri­
sim ple : la libc6 (ou g lib c pour les
bution sage, évo lu an t do u cem ent
intimes) se trouve encore en version
mais sûrement. Ainsi, dans la dernière
beta (ce qui n'empêche pas la Debian
version, on notera premièrement une
2.0 d'être parfaitement stable). Bref, il
installation encore plus facile (et que
s'agit d'une simple mise à jour sans
plus personne ne vien n e d ire que
b o u le ve rsem e n t m aje u r, m ais qui
Linux est complexe à installer !) et en
prend toute sa valeur si l'on s'intéres­
français. La configuration de la carte
se aux nombreux paquetages récents
S u s e 5. 3
Statut : Commercial
Site web : http://www.suse.com
En hausse
Installation simplissime
Yast offre simplicité et robustesse
Sax : une aide prometteuse pour
les cartes graphiques
Support partiel de la libcô
En baisse
V Paquetages compilés en libcS
V Pas de paquetage egcs
V M ise à jo u r un peu trop "sage"
Note débutant/Entreprise
A
A
A
A
y c ' k v c i c *
Note expert Linux
R a m p lify
Un nouveau souffle pour les
Archimedes
am plify est un utilitaire dont
B r f ^ n o u s avons déjà parlé lors de
I ^ A sa sortie, mais sans citer ses
possibilités et avantages. Parmi eux,
on retiendra surtout qu'il bloque une
tâche, recopie la mémoire que celle-ci
utilise sur le disque dur et la libère.
Cet utilitaire ne mobilise que 62 Ko
en mémoire et fonctionne sans pro­
blèmes sous Risc Os 3.1. Basculer une
tâche sur le disque dur s'avère relati­
vement rapide, mais tout dépend évi­
d em m en t de la vitesse du disque.
L'a v a n ta g e im m é d ia t est d 'é v ite r
d'avoir à quitter une application pour
libérer temporairement de la mémoi­
re. L'usage de Ramplify devient vite
un a u to m a tis m e su r les v ie ille s
machines, équipées de 2 ou 4 Mo de
Ram.
Ramplify dispose de quelques fo nc­
tions plus sophistiquées : si l'on ouvre
un d o c u m e n t te x te
alors que l'application
!Edit est basculée sur
le disque dur, Ramplify
la rechargera automa­
tiquement en mémoi­
re... Cela évite de lan­
cer d'autres sessions
d'Edit, par erreur. On
peut égalem ent défi­
nir une liste de tâches
ne d e v a n t pas être
traitées via Ramplify,
ou devant s'effectuer
d'une façon différen­
te. Il y a même moyen de créer une
liste d 'ap p licatio n s qui seront blo­
quées sur le disque après un certain
temps d'inactivité.
Ramplify se montre simple, peu gour­
mand en mémoire et vraiment effica­
ce. Il est disponible pour moins de
300 francs chez Werewolf Software,
d o n t le site W eb ré sid e su r
http://w w w .w erew lf.dem on.co.uk. Il
ne se révèle pas indispensable sur les
Risc PC, où la mémoire est aisément
extensible, mais constitue une alter­
n a tiv e sim p le au g e stio n n a ire de
mémoire virtuelle, sur les Archimedes.
David Feugey
Ramplify
Statut : Commercial
En hausse
Le meilleur moyen d'augmenter
la mémoire de son Archimedes
Utilisation simple
A
A
A
▼
Rapide et efficace
En baisse
Quasiment inutile sur Risc PC
Note
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Occupation mémoire après le 'blocage' d'Arcweb.
M K D raw
La 'moulinette' à Drawfiles
[kdrawf se présente comme un
outil permettant la création
Ide Drawfiles. Rappelons que
Draw est l'outil standard de création de
dessins vectoriels sous machines Acorn.
La puissance de Draw donne le privilège
d'effectuer des tâches plus complexes
qu'un simple dessin, comme du dessin
technique ou une petite Pao.
Mkdrawf constitue un langage compilant
un source texte en fichier Draw. L'intérêt
premier est qu'il offre le moyen de multi­
plier les capacités de Draw, car il devient
envisageable de dessiner une courbe
mathématique, une courbe fractale ou
des motifs et dégradés complexes. Il se
montre à la fois plus puissant et plus
concis que le module DrawBasic.
Le deuxième avantage de Mkdrawf vient
de la possibilité d'interfaçage avec un
autre langage de programmation. Dans
un programme, au lieu de dessiner un
Drawfile, il suffit de créer un script le
décrivant et de le compiler en fichier
★
★
★
D raw via M kdraw f.
Voilà un bel exemple
de puissance.
Cependant, Mkdrawf
souffre d'une interface
utilisateur minimaliste , m ais b énéficie
m algré to u t d'une
d o cum entatio n et
d'exemples bien faits.
Le source du logiciel
est fo u rn i, ce qui
constitue encore un
bon point pour l'auteur. Mkdrawf revêt la
Difficile à réaliser à la m ain... Plus aisé avec M KDrawf.
forme de deux modu­
les, Mkdrawf et Decdrawf, et d'une inter­
MkDrawf
face pour le Wimp. Decdrawf permet de
transformer un Drawfile en script... Cela
Statut : Freeware
peut toujours servir pour affiner un
En hausse
IMultiplie les fonctionnalités de
fichier Draw tracé à main levée.
Draw
Mkdrawf est donc un outil indispensable,
aussi bien pour le créateur, le scienti­
Taille du module
Documentation
fique que pour le programmeur. Voilà
En baisse
un vrai bijou, disponible sur le site Web
de l'au teu r, G areth M cC au g h a n , à
Interface 'légère'
Langage encore perfectible
l'adresse :
http://g. pet.cam.ac.uk/~gjml 1/softwa­
Note
re, html
★ ★ ★ ★ ★
David Feugey
A
A
A
▼
▼
SoundTracker 0.0.5
Depuis l'avènement du toolkit GTK, on voit fleurir sous Linux un nombre
impressionnant d'outils plus puissants les uns que les autres. L'un des
plus novateurs et des plus attendus est SoundTracker.
pistes. Ajoutons tout de même que
tous les effets propres aux modules,
fade-in, fade-out, echo, flangers ou
encore phasing, sont d'ores et déjà
im plém entés.
A nous les affres de la créatio n !
Soun dTracker est très prom etteur,
mais encore très instable, ce qui n'a
rien d 'é to n n an t, vu le num éro de
version (0 .0 .5 ). Il arrive en effet fré­
quem m ent que ce tracker bute sur
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
bOOm bOOm bOO m ...
Le strict minimum.
Q
uel ancien habitué du DOS
basses sur la piste (ou track) numéro
et des ses petits outils indis­
un, les instru m en ts sur la d eux et
p e n s a b le s n 'a pas c o n n u
ainsi de suite, créant alors une base
ra sa ra cke r ? Encore aujourd'hui,dece h u it tem p s su r un p a tte rn . En
logiciel d'édition m usicale reste ad
und itio n n a n t de cette m anière les
standard indétrôné. Les utilisateurs
p a t te rn s les u n s a u x a u t r e s , on
de L in u x o n t lo n g te m p s atte n d u
a b o u tit à un m o rc e a u m u s ic a l
qu'un soft de ce typ e v o it le jo u r
répondant parfaitem ent aux règles
so u s le u r s y s tè m e f a v o r i. C 'e s t
rythm iques les plus simples.
aujourd'hui chose faite : le nouveau
venu s'appelle SoundTracker.
SoundTracker a été program m é avec
M ais qu'est-ce d o n c ?
la lib ra irie G tk . Rien d 'é to n n an t à
Le SoundTracker apparaît comm e un
cela quand on sait to ut ce que ce
des élém ents phares pour la créa­
to o lk it a a p p o rté en m a tiè re de
tion d'une démo ; il s'agit aussi d'un
d é velo p p e m e n t à la co m m u nauté
o u t il p r o v id e n t ie l, ré s e rv é a u x
Lin u x. Com m e pour tous les outils
a rt is t e s d é s ire u x de c r é e r une
issus de cette lib rairie, la co m p ila­
m u s iq u e , e t d é p o u rv u s de la
tion se révèle d'une facilité décon­
m oindre co nn aissan ce de solfège.
certante ; un simple "make" suffira a
In u tile de p ré c ise r q u e les style s
fournir l'exécutable en bonne et due
m usicaux de prédilection des utilisa­
form e.
teurs de ce typ e de co m p ositeurs
SoundTracker reprend donc l'interfa­
so n t a v a n t to u t la T e c h n o so u s
ce b ie n c o n n u e d e s fé ru s de
toutes ses fo rm es, ainsi que toute
"m odules" m u sicau x : gestion des
musique arrangée autour d'un ryth­
patterns, fo nctio ns de sauvegard e,
me binaire. Le concept est comm un
chargem ent et m odification, oscillo­
à tous les Soundtrackers : huit pistes
sco p es p ro p res à ch aq u e p iste et
ou p lu s c o n s titu e n t un p a t te rn .
édition desdites pistes. Les habitués
L'addition d'un certain nom bre de
rem arqueront cependant la faiblesse
patterns com pose un m orceau (ou
des p o ssib ilités de tra ite m e n t des
m odule). On posera par exem ple les
échantillons et des opérations sur les
G raphique e t p ra tiq u e
des modules pourtant assez légers.
De plus, on p erço it la fé b rilité de
l'interface : SoundTracker effectue un
rafraîchissement de tout le frontend,
pour mettre à jour les oscilloscopes
ou l'éd ite u r d 'é ch a n tillo n s, ce qui
crée un effet assez psychédélique.
Notons que son créateur a pleine­
m ent conscience des problèmes que
co nn aît son logiciel et que la liste
des changem ents et améliorations à
apporter est colossale.
Emile Heitor - [email protected]
Sou n d T r a c k e r
Sta tu t : CPL
Source : http://w w w .tuh arbu rg.de/-sem k2 704/soundtrac
ker/
En hausse
A
A
A
V
V
Ü existe enfin !
L'interface ravira les habitués
Support des filtres XM
En baisse
Plante encore beaucoup
Rafraîchissement très pénible
Note
★
★
★
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Câble série (1.80m ) pour relier 2 Amigas (pour jeu x, transferts, e tc ...)
95
CARTE SÉRIE HYPER RAPIDE W H IPPET PCM CIA (A 600/1200)
425
INTERFACE MIDI PROMIDI [in - through - out x 2 + câble + softw are + manuel]
215
Câble pour moniteur 1084 S (2 mètres) 100 F - pour 1084 SPI (2 mètres) 115
LECTEUR INTERNE AMIGA 500
285
LECTEUR INTERNE AMIGA 600 / 1200 [PRÉCISEZ SV P]
285
Connecteur pour 2 manettes port joystick
45
KIT [avec software + câble multi-standard 2 mètres] de transfert de fichiers AM IGA < = >
F
Extension mémoire 1 Mo pour Amiga 600
275
F
F
■•-‘SO URIS AMIGA
125 F - 2 pour 220 F - 3 pour 300 F
F
Câble Péritel 2 mètres pour tous Amigas: 95 F - 2 pour 150 F
F
Câble Péritel pour CD32 [modèle avec 3 fiches banane]
95 F
F
QUADRUPLEUR de M AN ETTES:
50 F - 4 pour 150 F
F
Carte AU RA 16bit PCM CIA (A 600/A 1200)
695
F
F
Carte A U RA 8 bit -tous Amigas295
F
F
Câble pour moniteur 1084 D (2 mètres)
125 F
F
Câble pour moniteur Philips CM 8833 Mk2 (2 mètres)
115 F
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Câble double rallonge ports souris et joystick
45 F
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295
395
395
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395
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495 F
175 F
65
40
110
195
F
F
F
F
125
125
. 55
125
125
. 75
. 45
. 95
. 95
145
. 75
55
. 45
. 65
. 95
. 35
F
F
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F
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C R IM E D O E S N O T P A Y (Titus) . . .
C O LO N IZA T IO N ( F ) ...................
D ESER T ST R IK E .......................
DOG FIG H T (Microprose) ...........
DUNE 2 ..................................
Dungeon m a ster 2 (VF) A 1 2 0 0 . .
ELITE 2 (Version Française) ........
E volution H U M A N S 3 (F) A 1 2 0 0 .
145
135
125
. 45
110
110
. 65
. 65
. 65
115
. 45
125
. 95
. 95
115
. 95
125
. 95
F
F
F
F
F
F
F
F
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E X IL E - A 1 2 0 0 ........................... 7 5
EXILE - A 6 0 0 ............................ . 7 5
F-15 II (M ic ro p ro se )..................... 1 2 5
F-19 STEALTH FIGHTER -A 5 0 0 / 20 0 0 . 1 2 5
FIE LD S O F G LO R Y (W B 2 + )
_____ 1 2 5
FIE LD S O F G LO R Y -A 1 2 0 0 ......... 1 2 5
G U N SH IP 2 0 0 0 ........................... 1 2 5
Impossible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 6 0 0 . . 9 5
Impossible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 1 2 0 0 . 9 5
J A M E S P O N D 2 (F) -A 1 2 0 0 ........ . 3 5
M IC R O P R O S E G R A N D PRIX F I . . . 1 1 5
M IN S K IE S the Abduction -A 1 2 0 0 . . 8 5
N IC K FA L D O G O L F ..................... . 3 5
N IG H T H A W K F -1 1 7 A 2.0 -v 3.01 . 9 5
O D Y S S E Y A 6 0 0 / 1 2 0 0 ................. . 7 5
P G A EU RO T O U R G O LF - A G A - ------ . 4 5
P IN B A LL F A N T A S IE S A G A - A 1 2 0 0 . 6 5
P IN B A LL IL L U SIO N S (F) A 1 2 0 0 . . . . 9 5
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P LAY ER M A N A G E R 2 ( A N C O ) ____
P O W ER D RIV E ( F ) .......................
P R IM A L RAG E ...........................
R A IL R O A D T Y C O O N ...................
R O A D R A S H ..............................
S E N SIB L E G OLF .........................
S E N SIB L E S O C C E R EU RO C H A M P .
S E N SIB L E W O R L D OF S O C C E R . . .
S H A Q FU -A 1 2 0 0 - .....................
SIL E N T S E R V IC E 2 .....................
SK E LE T O N K R E W (F) - A 1 2 0 0 -----S P E C IA L F O R C E S (M ic ro p ro se )____
S T A R L O R D (Microprose) ..............
S T R E E T R A C E R [A 1 2 0 0 non-Escom]
S U P E R S K ID M A R K S - A 1 2 0 0 ........
SUP ST. FIGHTER 2 TURBO(F)-A1200
S U P E R T E N N IS C H A M P I O N .........
T E S T A M E N T - A l 2 0 0 / 4 0 0 0- ........
95
35
95
125
95
95
75
95
60
125
75
95
95
125
85
95
75
125
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T H E M E P A R K -A 1 2 0 0 ...............
T H E M E P A R K -A 6 0 0 .................
T U R N IN G P O IN T S -A 5 0 0 - ...........
U.F.O. (A 6 0 0 ) ..........................
U.F.O. (A 120 0 ) ........................
V IR T U A L KA R TIN G -A l 2 0 0 (F) . . .
W H IT E D E A T H (W A R G A M E ) .......
W IN G C O M M A N D E R ..................
W O R M S (VF) ............................
W O R M S Director's Cut -AGA- ____
X T R E M E R A C IN G -A 1 2 0 0 - .........
Xtreme Racing A G A : 2 D A T A D IS K S
ZEE W O LF 1 (NF) ......................
Z EE W O LF 2 Wild J u st ic e .............
Z EE W O LF 1 + ZEEW O LF 2 .........
Z O O L (F) - A 5 0 0 / 6 0 0 ................
C O M P IL A T IO N (2) A 1200:
F E A R S + R O A D K ILL + LEG ENDS (F) .
145 F
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BRU TAL P A W S OF FU R Y (VF) . . . . . 5 0
B U B B A 'N 'S T Y X ( F ) ................. . . . 4 5
C A ST L E S 2 ............................ . . . 4 5
Alfred C H IC K E N ( F ) ................. . . . 3 5
C H U C K RO CK 1 ( F ) ................. . . . 5 0
C H U C K RO CK 2 ( F ) ................. . . . 6 5
C IV IU Z A T IO N A G A [C D R O M ] . . . . 1 2 5
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ELITE 2 ................................
E V O LU T IO N H U M A N S 3 (F) . . .
E X I L E ..................................
G U A R D I A N ...........................
HUM ANS 1 + HUM ANS 2 ...
LE G E N D S ( F ) .........................
LIB E R A T IO N C A P T IV E 2 ........
...
...
...
...
...
...
...
95
95
50
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M A R V IN M A R V E L L O U S .................
M E A N A R E N A S ( F ) .......................
N A U G H T Y O N E S ...........................
P R EM IER E (F) ...............................
S O C C E R K I D ................................
S P E R IS LE G A C Y (Doc F) CD32/CDROM
S T A R C R U S A D E R [ C D R O M ] ...........
45
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45
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ST R E E T R A C E R [C D R O M ] .........
125
SU P E R LEAG UE M A N A G E R ....... . 75
S u p e r S t r e e t F ig h t e r 2 T u r b o (F) . . 9 5
T H E M E PARK [ C D R O M ] .............
125
U L T IM A T E G L O O M [C DR O M ] . . . 1 25
U L T IM A T E S K ID M A R K S [CD ROM] 1 25
W O R M S (VF) C D 3 2 et C D R O M . . 1 25
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Langage
Présentation
de Scheme
De plus en plus indispensable dans le monde de Linux,
Scheme a le vent en poupe. Raison de plus pour découvrir
ce langage hors du commun !
cheme est né en 1975 dans un laboratoire du M IT. G uy Steel jr . et
Gerald L. Sussman cherchaient un
langage parfait pour l’enseignement de la
programmation et rien de ce qui existait à
l'époque ne les satisfaisait. Finalement, les
deux chercheurs décidèrent de créer leur
propre langage destiné aux étudiants.
L'idée consistait à reprendre la philosophie
du lambda-calcul popularisée par Lisp, tout
en dotant leur futur mode d'expression
d'une syntaxe beaucoup plus rigoureuse et
plus simple que celle des autres dialectes
de Lisp. Le nouveau langage devait s'appe­
ler "Schem er", en l'honneur du célèbre
mathématicien, mais le hasard voulut que
FOS utilisé pour son développement n'ac­
ceptait que six caractères pour un nom de
fichier, tronquant ainsi le r final ! Pour cette
unique raison, Scheme s'appelle "Scheme",
et Schemer est aujourd'hui un surnom
'‘S onné à ceux qui programment dans ce
langage.
S
La fo n c tio n n a lité
La programmation fonctionnelle part d'un
constat simple : puisque n'importe quel
code dans n'importe quel langage a pour
but de lire des entrées et/ou de produire
des résultats, autant ancrer cette idée
directement dans le langage. Le leitmotiv
est que le programmeur doit dire ce qu'il
faut calculer, et non la manière dont il doit
le calculer. Pour l'instant, regardons à quoi
ressemble un programme Scheme. Essayez
de lancer un interpréteur Schem e (cf.
encadré) pour saisir les exemples triviaux
suivants. Commençons par entrer :
qu'il n'y a pratiquement rien d'autre à savoir
pour commencer à programmer en Scheme !
Dans ce langage, tout est fonction ; les
"commandes" ou "mot clés" se révèlent
peu nombreux et, avouons-le, s'utili­
sent très rarement (à l'exception de
"lambda" et "define"). Bien sûr, un grand
nombre de fonctions est prédéfini, mais le
principe reste toujours le même. Quant aux
variables, elles peuvent être créées avec la
commande "define" :
(define pi 3.14)
Dès lors, l'expression (* 2 pi) a pour valeur
6 .2 8 . Mais remarquons qu'un langage
comme Scheme ne permet normalement
pas de modifier la valeur d'une variable ; il
n'y a donc pas d'affectation, ni d'incrémen­
tatio n , ni rien de te l. Inacceptable
lim itatio n ? Pas du to u t : en fa it, on
démontre mathématiquement que ce lan­
gage peut calculer tout ce qui est calculable
et s'avère donc absolum ent universel.
Voyons encore la commande "lambda" :
elle donne le moyen de créer une fonction,
(lambda (x) (* x x) )
Le premier argument de "lambda" est la
liste des arguments, le second argument,
la formule à calculer. Cette fonction calcule
donc le produit de x par lui-même, c'est-àdire le carré de x :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
(+ 1 2)
Nous avons une liste de trois éléments : la
fonction + et les nombres 1 et 2. Scheme
évalue une telle liste en appliquant la fonc­
tion qui se trouve en tête aux autres objets
de la liste. Cela consiste ici à appeler la fonc­
tion + avec les arguments 1 et 2 ; le résultat
est donc 3. Le plus surprenant vient de ce
((lambda (x) (* x x) ) 5)
Il vaut donc 25 (on applique la fonction à
l'argument 5). Pour l'utiliser plus simple­
ment, affectons-la à une variable :
(define carre (lambda (x) (* x x) ))
Image: jayne.jpeg-2
Il est désormais possible de calculer (carre
5), (carre 50), (carre 1000000000) etc.
Layers Jchannels
S im p le, m a is p u issa n t !
Mode: Normai
Opacity: I
ra
>
jr n
eackground
Scheme présente des caractéristiques origi­
nales. Par exemple, une fonction est une
"valeur" comme n'importe quoi d'autre
i» a portable library ror cba 'progeamng laaguag» 'Schamev
It provido» a platrora indapanoent frajuvock for ueing "pack*.;»»' of
Scbaae procédure» and ayncax A» <li»wibuced. S.XB contain» uaaful
package» for ail laploaancations Xta eataloç can be tranaparantly
axtandad to accoaodata packages spécifie to a site, lapleaentetion.
user, or directory.
Aubrey Jaîrer <jaffer*Al.»lt edu>
Hyperactive Software - 3be Hamac Insidel
bttp://www-»wi»a al.ait. e4u/-3»rfor/S.IS. btal
GIMP Tip of the day
Most plug-ins worfc on me currem layer of me current image, m
some cases, y ou wiil nave :o marge ail layers (Layers- >Fiatren Image)
if you want me plug-in îo wor* on me wnole image.
r Show tip next urne
(xterm... j 0
Prev.Tip| NexiTip| Ciosej
(fiie/n... | <# (/nome/...
* The Gi... || » jayne.jp...
Reven to Oïd Coior
» Layers ...| » GlMPTi..) » Coior
Dans GIMP, les plug-ins sont écrits en Scheme.
La bibliothèque Stib, véritable mine d'or
p o u r le Schemer !
(ajouter3 5) vaut donc 8.
Elchier
Edition
âffichaga
Signets
£ache
ûptions
ûide
Une autre particularité de
Scheme provient du fait
4a
Û
G
tfc) ©
?
httpVAwAv.schemer8.org
que le langage n'est pas
typé. Une variable peut en
effet rep résenter des
nombres, mais aussi des
I intend thls but for a Schéma of a larger Design.
--W oodw ard, Nat H/st Earth, 1723
chaînes de caractères, des
(caaa (what-vould-yo'.
)
fo nctio n s des sym boles
((learn)
(choose-fro* textbooks
ab straits (p ar exem ple
othcr document ?
tu to n a ls
lic e n c e - w in d o w s - d e éducation))
« p ro 9r « )
guillaume-girard)
ou n'im­
(choose-from ^ffflfB en tatio n a
envie oruaente) )
porte
quoi
d'autre.
Le prin­
((
)
(chooae-from research
cipe consiste à ce que tout
nevs
a c t iv itie s ) ) fonctionne, tant que les
(else
opérations effectuées ont
un sens ; ce n'est que lors­
Richard Kelsey organlzed a Scheme Strawman WorKshop In
conjunctlon wlth the International Conférence on Functional
qu'on évalue quelque
Programmlng in September, 1998 The workshop w as a success, and
we wlll have more Information on Its outcome on thls site.
chose qui ne veut rien dire
fDocument : terminé
(par exemple (/ 1 "hello
L'un des nombreux sites Scheme : http://www.schem ers.org
world")) qu'une erreur se
trouve signalée. La nature
(cela s'appelle la "pleine fonctionnalité").
des données manipulées par un program­
Pour preuve, tapons :
me n'est donc limitée que par la taille de la
(define square carre)
mémoire, ce qui reste valable même pour
(define plus +)
les nombres ! Calculer 10000 puissance
1 0000 ne pose aucun problèm e en
On crée la variable "square" avec la valeur
Scheme, alors qu'un programme en C par
de la variable "carre", qui représente notre
exemple produira une erreur "d'overflow".
fonction. On peut donc taper (square 4) et
Mais Scheme est beaucoup plus qu'une cal­
obtenir 16 ; de même, (plus 50 30) renvoie
culatrice. La structure du langage autorise
80. Mais cela veut dire aussi qu'une fonction
des manipulations incroyablement puis­
a une chance d'être argument d'une autre,
santes que l'on ne saurait détailler ici, mais
ou calculée par une fonction et renvoyée en
il faut avoir à l'esprit que Scheme constitue
résultat. Voici encore un exemple simple :
un langage dit "réflexif". Cela signifie qu'il
(define add (lambda (x) (lambda (y)
ne fait pas de distinction entre le "program­
(+ x y))))
me" et les "données" ; au contraire, tout se
voit traité de la même façon. Un program­
La fonction add prend un argument x et
me en Scheme peut par exemple engen­
renvoie la fonction (lambda (y) (+ x y)),
drer un autre programme pour l'exécuter
c'est-à-dire une fonction qui additionne x à
ensuite, ou même se manipuler lui-même !
son argument. Donc, (add 3) renvoie une
Les a p p lica tio n s de Schem e
Loin de symboliser seulement une bizarrerie
fonction qui additionne 3 et (add -2), une
fonction qui soustrait 2.
du monde académique, Scheme représente
peut-être le seul langage véritablement uni­
(define ajouter3 (add 3))
versel. Bien que toujours très utilisé dans
l'enseignement, sa puissance et sa sim­
plicité font qu'il se trouve largement
employé dans des domaines aussi
variés que le multimédia, la réalité vir­
tuelle, l'imagerie, les bases de don­
nées, le développement de
compilateurs, les réseaux
et, bien sûr, l'intelligence
artificielle. Enfin, la FSF
choisit Scheme pour son
interpréteur universel
Cuile et a déclenché ainsi
une véritable Schememania dans le monde du
Free Software ! On y a
recours aujourd'hui pour
(5 -il |Welcome to schemers.org!
■□ X
^
c
. _________________________________
Dream prof
• Lam b d a calcu le
Théorie mathématique développée dans les
années 30, consistant à tout exprimer sousforme
d'opérations sur desfonctions. Le lambda-calcul
est à la base du langage Scheme.
programmer les plug-ins de C imp et de Gyve,
le shell Gush, le système de bases de don­
nées GnuSQL ou encore l'environnement
GnuStep. Des rumeurs circulent même à
propos d'un nouvel OS distribué, temps
réel... écrit en Scheme.
P o u r a lle r plus loin
A ceux qui veulent se laisser tenter, on ne
peut que conseiller de lire Little Schemer
puis Seasonned Schemer (P. Friedman, M.
Felleisen, The MIT Press). A notre connais­
sance, la dernière édition de ces deux
ouvrages n'a pas (encore) été traduite en
français, mais il s'agit probablement du
meilleur cours didactique disponible. En
complément, le Revised(5) Report On The
Algorithmic Languoge Scheme (R5RS) consti­
tue le document de référence. On peut le
trouver sur http://www.schemers.org, mais
également sous forme de package dans la
d ernière d istrib u tio n D ebian. Enfin,
Internet regorge de sites consacrés à
Scheme, contenant de la documentation
et des bibliothèques.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Jakub Zimmerman
P r o g r a m m e r en S c h e m e
Les implémentations de Scheme abondent,
le plus vaste choix se trouvant sous Unix et
W indo w s. C u ile, le Sch em e de GNU,
désigne un interpréteur conform e à la
dernière norme Scheme (R5RS), doté d'une
q uantité invraisem blable d'extensions,
co nçu p o u r perm ettre une intégration
facile avec du code en C ou en C++ et, bien
sûr, distribué sous licence GPL. Rscheme
représente un autre package séduisant
sous Unix. Sous D O S/W indow s, outre
Guile, il existe des interpréteurs gratuits de
q u a lité (PC -Schem e de l'université de
Genève est fort recommendable pour le
débutant), mais aussi des produits payants
plus ou moins intéressants (EdScheme 5.0
par exemple). Mais quelle que soit la plate­
forme que vous employiez, vous pourrez
trouver au moins une implémentation de
Scheme, http://www.schemers.org étant
un bon point de départ pour chercher. Sur
le CD, vous tro u verez ég alem ent des
im p lém en ta tio n s p o u r les différentes
plates-formes.
Linux 2.2
en avant-première
Plus de deux ans se sont écoulés depuis la dernière mise à jour
majeure du noyau, mais Linux 2 .2 se voit enfin annoncé.
Répondra-t-il à toutes nos espérances ?
du format d'exécutable ELF, remplaçant le
vieillissant a.out, les désormais indispen­
sables modules chargeables, et surtout
l’avènement de distributions suffisamment
abouties pour être accessibles à l'utilisa­
teur moyen. La version 2.0 symbolise une
mini-révolution, introduisant une pléthore
de nouvelles fonctionnalités, dont kerneld
et les threads gérées par le kernel. La der­
nière évolution majeure de Linux consiste
dans le passage de la libcS à la g!ibc2,
mais ceci est une autre histoire...
Q u a tre ty p e s de n o yau x
File
j=d!t
View
gookmarks
Ife (3
£ach e
options
?
Beowulf Project at C E S D IS
TTrfs web se rv e r Is umJer construction and It bas ju s t been transplantée! to Its new home. Please report structural probien
to Phi! Merkey merKg&cesdis.asfc.nasa.çov.
For the Extrême Unux CD, look here.
rhe Beowulf Project was started at CE5D1S in the summer of 1934 with the assembly of a 16 node cluster developed for the
Earth and space sciences project (ESS) at the Goddard Space Fllght Center ( G S F d The Project quickly spread to other NAÎ
sites, other R&D labs and to universities around the world. The projeefs scope and the number of Beowulf installations have
jrown overthe years; in fact, they appearto continue to grow at increasing rate. This Web-site attempts to provide an
ntroduction to the Beowulf project and a distribution mechanism for contributions CESD IS continues to make to the project
On distingue actuellement quatre noyaux
principaux. Le 2 .0 est le premier de la
nouvelle génération, alors que le 2.0 .3 5
(dernière mouture à l’heure où ces lignes
sont écrites) représente la version officielle,
à jour. Le 2 .1 .1 2 5 est le dernier noyau
expérimental, et figure assez bien ce que
sera le noyau 2 .2 . On remarquera que
lorsqu'une branche du noyau 2.7 devient
réellement stable, elle se voit intégrée au
noyau stable. Ce fonctionnement est théo­
riquement contraire au mode de dévelop­
pement habituel, qui veut que les nou­
velles fonctionnalités s'ajoutent au noyau
instable alors que le noyau stable ne se
trouve modifié qu’en vue d’être stabilisé.
Le noyau 2 .2 sera en fait un noyau 2.7,
privé de ses parties litigieuses (transmises
au 2.3). Contrairement à ce que représen­
tait le passage de la version 1.2.x à la 2.0,
le futur noyau 2.2 ne constituera pas une
révolution, mais plutôt une évolution de
celui déjà existant. Le but avoué se résume
à optimiser ce qui est déjà présent, corri­
ger les défauts de la version actuelle et à
intégrer de nouvelles fonctionnalités, pas
forcément très nombreuses mais d’autant
plus impressionnantes.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
fhe site is organisée! as foüows:
Linux en cluster; c'est ExtremeLinux !
es systèmes G N U /Linux sont des
assem blages de p lusieurs pièces
complémentaires et toutes indispen­
sables. Le noyau (appelé "kernel") repré­
sente la base sur laquelle repose tout le
reste. Son rôle consiste à assurer toutes les
fonctions de base du système, et sa qualité
demeure par conséquent essentielle au
bon fonctionnem ent du système. Voilà
pourquoi le développem ent du noyau
revêt une telle importance aux yeux de la
communauté Linux, au point que chaque
utilisateur le suive de très près. A l'heure
où la sortie de la nouvelle génération
approche, faisons un point sur l’état des
lieux de ce qu'on est en droit d’attendre
du nouveau Linux.
L
Un peu d ’h isto ire
Tout d'abord, il convient de rappeler que
les numéros de version de Linux ont une
signification autre que l'avancée du déve­
loppement du noyau. En effet, le numéro
de version est constitué de trois nombres
dont le premier représente la génération,
et le troisième le "patchlevel". Le second a
une g rande im p o rtan ce ég ale m e n t,
puisque sa parité permet de déterminer si
le noyau est stable ou non. Un noyau dont
le second nombre de version est pair se
trouvera considéré comme stable (7 .2 ,
2.0, etc.) par opposition à instable dans le
cas d’un nombre im pair (7 .7 , 7.3, 2 .7 ,
etc.). Notons tout de même qu'"instable"
ne signifie pas ici "inutilisable" mais plutôt
qu'il peut poser quelques problèmes avec
certaines configurations exotiques. Sans
nous lancer dans un historique exhaustif
des versions de Linux, passons tout de
même en revue les différentes phases du
noyau, de ses débuts jusqu'à nos jours. On
peut réellement parler de Linux en tant
que système d’exploitation à partir de la
version 0 .9 9 . D epuis ce m o m en t, le
nombre de développeurs du noyau ne fera
qu'augmenter pour donner naissance suc­
cessivement aux versions 7.2 et 2 .0 , en
passant évidem m ent par des moutures
intermédiaires, que nous nous dispense­
rons de détailler ici. Traditionnellement, la
version 7.2 de Linux représente l’arrivée
A m é lio ra tio n s
Le premier gros chapitre, très attendu,
concerne l’am élioration du support du
SMP. Le support déjà présent dans la ver­
sion 2.0.x était délibérément provisoire et
pas toujours optimal. La principale évolu­
tion consiste donc à diminuer la "granula­
rité” du système, afin de permettre à plu­
sieurs processeurs d ’exécu ter plus de
tâches en parallèle. A l’heure actuelle,
cette nouvelle architecture a été réinté­
grée à la version 2.0 .3 5 et tout le monde
peut donc d'ores et déjà en profiter. La
version 2.2 quant à elle se distinguera par
sa capacité à fonctionner en multiproces­
seurs sur des m achines non-Intel : on
pense évid e m m e n t à l'A lpha et au
PowerPC. Les benchmarks font état d'une
amélioration sensible des performances, si
bien que Linux devient ainsi un excellent
OS multiprocesseurs. Nous vous en repar­
•
-
D é c o u v e r t e
m
lerons prochainement plus en détails. Le
support réseau a fait également l'objet
d'une profonde révision. La version précé­
dente souffrait de quelques défauts regret­
tab les, tels que des p erfo rm an ces
médiocres dans certains cas ; en outre,
comme il s'agissait d’une adaptation du
code BSD, elle avait tendance à "importer"
au passage certains trous de sécurité. En
fait, dans la version 2.7, les couches réseau
ont été en grande partie réécrites, rom­
pant ainsi le cordon ombilical reliant Linux
à BSD. Les différences sont surtout visibles
en ce qui concerne les performances du
NFS, le nombre de paramètres désormais
réglables et, surtout, l’introduction du très
attendu protocole IPv6. A l'heure actuelle,
Linux reste l’un des rares systèmes le sup­
portant : un avantage décisif.
Les p e tits plus
Parmi les am éliorations mineures mais
indispensables dans certains cas, on trou­
vera le support en écriture du système de
fichiers de WindowsNT (NTFS). On consi­
dérera cette amélioration comme mineu­
re, car c'est surtout en réseau qu'il importe
que Linux puisse communiquer avec NT,
(ce que fait d’ailleurs très bien Samba) et il
s'avère souvent anecdotique de pouvoir
écrire sur une partition N T présente sur le
même ordinateur. Les utilisateurs chevron­
nés et avertis de Lin u x ap p ré cie ro n t
d'avoir le loisir de modifier en temps réel
(com prenez ici sans rebooter) certains
paramètres vitaux du noyau. En effet, ceci
se fera désormais par l’intermédiaire du
système de fichiers virtuel /proc déjà fort
utilisé. Un détail qui risque d’avoir de l’im­
portance vient de l’apparition d’un ges­
tio n n a ire des "U ser M iscellaneo us
Binformats", un principe qui peut se rap­
procher des "datatypes" de BeOS ou des
ressources de M acOS. Il s'agit en effet
d'associer, via un registre accessible sous
/proc, une application à un certain type
de fichiers : par exemple, une JVM aux
classes Java ou Gimp aux images JPEG. Il
convient de noter que cela s'effectue du
côté du noyau et non d’un quelconque
gestionnaire de fichiers. En effet, entrer le
nom d’un document sur la ligne de com­
mande ou simplement l’exécuter depuis
n’importe quel endroit, lancera le pro­
gramme associé et passera à celui-ci le
document à ouvrir. Grâce à l’utilisation des
expressions régulières, ce mécanisme est
totalement générique et remplace avanta­
geusem ent la précédente gestion des
binaires Java.
Dream p ro f
• P atch level
Modification mineure apportée à un logiciel,
correspondant le plus souvent à une correction
de bugs.
• S ym m etric M u ltip ro cessin g (SM P)
Architecture permettant d'exploiterplusieurs
processeurs, ayant tous un statut identique.
Elle ne doitpas être confondue avec le mode
maîtrelesclave très en vogue sur les machines
des années 70 et utilisé aujourd'hui sur Amiga.
• L in u x 6 4
Sun vient d'annoncer Solaris64. qui,
couplé à son Sparc64, devrait damer lepion
à WindowsNT sur Merced. N'oublions pas
que Linux, et ce surtout depuis l'avènement
de la glibc2, est un véritable système 64 bits et
exploite doncparfaitement les processeurs
Sparc64. mais aussi l'architecture Alpha.
Un sy stè m e p lu s sim p le
Un véritable effort de simplification a été
fourni pour améliorer l’utilisation du systè­
me. En tout premier lieu, le serveur de
m odules k ern eld a été ab and o n né.
Désormais, la gestion des modules se trou­
ve confiée à un simple thread du noyau,
ce qui a l’avantage d’être bien plus léger
et de ne pas nécessiter l'intervention du
complexe protocole d’IPC, nécessaire au
fo n ctio n n e m e n t de kern eld . C ertain s
objecteront sans doute que kerneld dispo­
sait de possibilités que le nouveau disposi­
tif n’assure pas, mais puisque celles-ci
n’ont jamais été réellement exploitées,
autant tirer un trait dessus. De tout façon,
le choix est fait. Dans la série des serveurs
qu’on incorpore au noyau en tant que
threads, voici NFS. En effet, le serveur
NFSd habituel restant tout à fait supporté,
l’administrateur se voit désormais offrir la
possibilité de charger lui-même le noyau
de ces fonctions. On est donc en droit
d'espérer de meilleurs performances, mais
n’o ub lio n s pas que le plantage d ’un
module du noyau demeure potentielle­
m ent plus d an g ereu x que celui d ’un
simple serveur... Par ailleurs, cette version
simplifiera considérablement le travail des
créateurs de distributions, grâce au nou­
veau ’’ROMfs’’ conçu spécifiquement à leur
intention. Sans rentrer dans les détails,
disons qu'il permet de démarrer un noyau
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
mapped IOhPIC to ffffdOOo <'X<2670"0>
Detected 99,718767 Hz procesjsor.
Console: colour ckmmy device 80x25
Calibrating delay loop.,. 199.07 BogoMIPS
Memory: 224401/24576k available (1052k kernel code, 418k reserved> 612k data. 56k
mit)
Checking 386/387 couplinq... 0K. PPL1using exception 16 çrror reporting.
Checking 'hit’ instruction..'. 01!.
P0SIX conformance tectinq by UNIFIX
CPU0: HMD15 <PR12". PP.133)'stepping 01
SMP motherboard not detected. Using dummy HPIC émulation.
PCI: PCI BIOS révision 2.10 entry at 0xfb300
PCI: Using configuration type 1
PCI: Probing PCI hardware
Swansea University Computer Society NET'.059 for Linu’ 2.1
NETS: Uni• domain socket; 0.16 for Linux NETS.038.
Swansea University Computer Society TCP/IP for NET3.03?
IP Protocol-: ICMP. IJIP, TCP
Starti.ng Kswapd v 1.5
vesafb: framebuffer at 0xe0000000, napped to Oxc2OQ0OOO, îize 20481
verafb: mode r 1230x1024x8, 1in*length=l280, pages**!*
vesafb: protected mode interface info at c000l7d40
vesafb: sorolllngr redraw
Console: svitchinq to colour frame buffer device 160x64
fbO: VESA VGA frame buffer device
loop: regirtered -device at major 7
PI 1X3: I΀ centroi 1er on PCI bus 00 dev 39
PI1X3: not 100/ native mode: wi11 probe îrqs later
ideO: BM-DMHat O'fOOO-OxfOO?. BIOS settings: hda:pio, hdb:pio
idel: BM-DMAat OxfOOS-OxfOOf, BIOS tettinor: hdc;pio, hddrpio
hda: SAMSUNGWU33205H <3.2GB). HTH DISK drive
hdb: PCX8 1F 0100- 99169 .. ATAPI CDROMdr ive
ideO at 0/lfO-Oxlf7,Ox3F6 on irq 14
hda: SAMSUNG. WU33205A (3.2GB), 309CHB w/109k.B Cache. CHS=785/128/63, <U>0HA
hdb: HTHPI 2X CDROMdrive, 12okB Cache
Unifor*» CDROMdriver Révision: 2,14
Floppy drive<cî: fdO i-: 1.44M
FIC 0 i: a post-1991 82077
ahal52x: Processing commaridlirte: ok
ahal52x: BIOS test: pa-rsed, detected 1 controller(s)
ahal52x.O: vital -data: PORTBflSE=0<140, IRQ=12, SCSI 11^7, recortnect=enabled, parit
Un noyau 2.1 .1 2 6 en train de booter.
Linux Kemel Configuration
Code maturfty level options
loadabte module support
General setup
Floppy. IDE. and other block devlces
Networking options
SCSI support
Network device support
ISDN subsystem
CD-ROM drtvers (not for SCSI or IDE/ATAPI drives)
Fflesystems
I
Character devfces
Kemel hacking
Save and Exit
Load Configuration from Rie
Quit Wlthout Saving
Store Configuration to Rie
Le "make xconfig" d'un Linux 2.0 .3 5 ; les options font la différence.
^ v.
u
v t . 1 L V.
k
f
*
S y s t è m e
"minimal" et de n'activer ensuite que les
modules réellement nécessaires en fonc­
tion des besoins, au prix d'une surcharge
très faible (de l'ordre de quelques kilooctets). Lorsque ce mécanisme se verra
e ffectivem en t em ployé par les p ro ­
grammes d'installation des distributions,
les noyaux incluant tous les drivers et sys­
tèmes de fichiers (avec tous les problèmes
que cela peut poser) ne seront plus que de
mauvais souvenirs. Enfin, les réfractaires au
PC trouveront leur bonheur : pour la pre­
mière fois dans l'histoire de Linux, une
fonctionnalité est apparue sur une plate­
forme autre quTntel avant de devenir
standard pour toutes les architectures. Il
s'agit en l'occurrence du Framebuffer. Ce
terme barbare désigne une interface stan­
dard et indépendante du matériel permet­
tant d'accéder aux périphériques d'afficha­
ge. Grâce à elle, Linux dispose désormais
d'un support vidéo unifié et identique sur
toutes les plates-formes, ce qui signifie en
clair que le code des drivers vidéo est à
présent situé dans des modules du noyau,
et non plus dans le serveur X ou une quel­
conque bibliothèque SVG Alib. A cces­
soirement, cela résout avec élégance le
problème de sécurité potentiel lié à la
nécessité d'exécuter le serveur X avec les
droits root, et le risque d'égarer la console
Unix par des manipulations hasardeuses. A
terme, on peut donc s'attendre à ce qu'il
n'existe plus qu'une manière documentée
et standard d'accéder à la carte graphique.
Il n'y aura donc plus une dizaine de ser­
veurs XFree, mais un seul, com m un à
toutes les cartes et surtout à toutes les
implémentations de Linux sur l'ensemble
des plates-formes. Compte tenu de son
état actuel, le Framebuffer ne sera peutêtre pas encore officiellement standardi­
sé dans le noyau 2 .2 , mais sachez que
vous aurez la possibilité de l'exploiter, à
condition de disposer d'un Amiga, d'un
Atari, d'un Mac 68K ou d'un ordinateur
muni d'une carte graphique compatible
VESA 2.0.
Lin u x goes
d istrib u te d
Eile
£dit
View
Bookmarks
£ache
Options
Le noyau 2 . 1.x ne
fait que renforcer
la tendance déjà
am orcée par la
version 2.0. En ef­
fet, depuis le sys­
tèm e "tra d itio n ­
nel" ce n tra lisé ,
jadis constitué par
la version 1 .2 .x ,
Linux a pris la for­
me d'un système
high-tech où les
mots d’ordre sont
répartition et clustering. Dans cette
perspective, le noyau 2.2 représentera un
pas de géant. Outre le NFS revigoré, l’in­
tégration du NFSd au noyau précédem­
ment évoquée et le support d'IPvô, deux
nouveautés de taille sont au menu. En
tout premier lieu, le système de fichiers
transactionnel CodaFS (présenté dans le
précédent numéro de Dream) permettra
à Linux de faire son entrée sur les très
grands réseaux et le rendra particulière­
ment adapté aux grosses applications
réparties. Parallèlem ent, la possibilité
inédite "d'exporter" les "devices" d'une
s ta tio n , est v ra im e n t é to n n an te .
Attention, il s'agit réellement de se servir
"à distance" du matériel d'une machine,
pas uniquement d'un banal partage d'im­
primantes ou de scanners. Les applica­
tions envisageables vont de l'accès aux
fichiers d'une autre station sans passer
par NFS ou autre CodaFS, à l'utilisation
éventuelle de la mémoire vive du voisin !
En fin de compte, le seul élément man­
quant reste la technologie ExtremeLinuxBeowulf, qui donne le moyen à Linux de
faire fonctionner tout un réseau comme
une seule grosse machine. Bien que déjà
disponible, elle ne sera pas présente en
standard dans la version 2.2, mais à plus
long terme, l'intégration se trouve pré­
vue.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
http://itlinux.cs.nmt.edu/~rtlinux/
Real-Time Linux
other RT-Linux loao contributions
RTLinux, le passeport pour le temps réel.
g ] Console (Invers
Console drivers
Le g ran d p u b lic n'est pas o u b lié
En effet, un reproche souvent adressé à
Linux est qu'il faut souvent bidouiller
pendant des heures à grand coup de
patches pour parvenir à faire fonctionner
un périphérique IDE sur le port parallèle.
Cette lacune semble désormais résolue
puisque sont inclus en standard le code
nécessaire, les drivers requis et surtout le
support du Plug'n Play. Attention tout de
même à ne pas le confondre avec le
Plug'n Pray de W in do w s95 /9 8, lequel
concerne tous (enfin théoriquement) les
périphériques. Les périphériques PCI se
voient d'ores et déjà supportés de manière
V G A text console
Video mode sélection support
M D A text console (dual-headed) (E X P E R IM E N T A L )
Support for frame buffer devices (E X P E R IM E N T A L )
Acorn V ID C support
r
C
n
Am iga native chipset support
n || Amiga O C S chipset support
Amiga E C S chipset support
Main Menu
Le Framebuffer sous Linux/i386.
Une carte mère bi-PentiumPro.
1
CPU CPU •
CACHE CACHE
i/ o
CPU
n
y
cache !
I f
trer que laconique. D'après les rumeurs,
le grand jour arrivera bientôt ; on n'atten­
drait plus que la finalisation du NFS. Cela
dit, on a le droit de penser que plus le
noyau met de temps à sortir et plus celuici sera fiable.
CHANNEL
Le 2 .4 ou le 3 .0 d éjà p révu ?
ï
S
M
E
M
O
R
Y
Eh oui, on parle déjà de la prochaine ver­
sion alors que celle-ci n'est même pas
encore officielle. Comme nous l'avons
déjà signalé, l'orientation est en tout cas
très claire. Clustering et temps réel ne
manqueront pas à l'appel. Ces deux fonc­
tionnalités séjournent déjà sous Linux via
l'utilisation de RT Linux pour le temps
réel et d'ExtremeLinux pour le clustering,
et seront donc à l'avenir en standard. Au
final, cette nouvelle mouture de Linux a
de quoi séduire. Les défauts de la version
précédente semblent comblés et les nou­
velles caractéristiq ues sont plus allé­
chantes les unes que les autres. Elle ne
changera donc pas radicalement la vie de
l'utilisateur, mais permet de bien enfon­
cer le clou face aux deux principaux
rivaux que NT et SCO-Unixware se tar­
guent d'être.
?
Le SM P : simple et efficace.
Plug'n Play, ne serait-ce que grâce au
remplaçant du /proc/pci. Les périphé­
riques ISA se montrent quant à eux confi­
gurables par l'intermédiaire du program­
me isapnp. Restent donc les périphériques
sur port parallèle qui, pour leur part,
bénéficieront de l'option du kernel 2.2.
On trouvera également dans ce nouveau
noyau la reconnaissance d'un joystick PC.
Enfin, en ce qui concerne l'aspect multi­
média, 055, le fameux driver pour cartes
son, est maintenant inclus en standard
dans sa version libre : OSSFree. Il permet
de supporter la quasi-totalité des cartes
son PC, y compris les chips présents sur
les portables. Les aficionados de MIDI
apprécieront la table d'onde logicielle,
elle aussi en sta n d a rd . O u tre le
Framebuffer décrit plus haut, la console a
la possibilité de fonctionner en mode
SVGA, ce qui ne manquera pas de séduire
les amoureux du mode texte. Enfin, on
découvrira parmi les nouveaux systèmes
de fichiers celui de RiscOS, du Mac et
bien d'autres encore, ce qui rend ainsi
p ra tiq u e m e n t in e x is ta n t le risq ue
suivant : ne pas être en mesure de mon­
ter un disque dur provenant d'une autre
architecture.
Ça so rt q u an d ?
La question qui brûle les lèvres de tout le
m onde est bien évid em m ent : "Pour
quand est officiellem ent prévu le noyau
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
La réponse ne peut se mon­
Linux 2.2
M o n it e u r s
Guillaume Girard et Jakub Zimmermann
& V id e o
C a rte s
P P C
1ÔOMhz support 040 ou 060...
4 4 9 0 F
IBOMhz avec 040 à 25 MHz...
4 8 9 0 F
C y b e rs to rm
IBOMhz avec 060 à 50
6 9 9 0 F
M o n it e u r 1 5 " 0 .2 8 ............................................................................1 5 0 0
C y b e rs to rm
2 0 0 Mhz support 040 ou 060
5 2 9 0 F
M o n it e u r 17" 0 .2 8 ........................................................................... 2 5 5 0
C y b e rs to rm
200Mhz avec 040 à 25 MHz
5 5 9 0 F
M o n it e u r 1 7 ' 0 . 2 6 ........................................................................... 2 9 5 0
C y b e rs to rm
B V is io n P P C
.................................................... 1 4 5 0
4 M o
C y b e r V is io n P P C
8 M o ..............................................................1 7 9 0
M it s u b is h i 17" 0 . 2 5 P l u s 7 1 ............................................... 3 5 9 0
C y b e rs to rm
M it s u b is h i 1 7 ' 0 . 2 5 P l u s 7 2 ............................................. 3 9 9 0
A m ig a - M a c in t o s h - PC
C y b e rs to rm
M é m o ir e s d e
m a s s e
C y b e rs to rm
L e c t e u r C D P O M ID E 3 2 x ..........................................
G r a v e u r C D S C S I T e a c P 5 5 S x 4 x1 2
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233Mhz avec 040 à 25 MHz ..
233Mhz avec 060 à 50 MHz .
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6 2 0 0 F
7 9 9 0
F
F
F
2 7 9 0 F
C a rte s
P P C
U ltr a - S C S I A 1 2 0 0
D is q u e d u r I D E 2.1 O o .................................................
9 0 0
F
Blizzard 603e+ 160Mhz & 040 à 25 MHz...........
2 9 9 0
D is q u e d u r ID E 3 . 2 O o ...............................................
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Blizzard 6 0 3e+ 200Mhz support 060 à 50
3 4 5 0 F
Blizzard
3 5 5 0 F
D is q u e d u r ID E 4 . 3 G o ...............................................
1 150 F
D D S C S I 4 . 3 G o ..................................................................
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F
L e c t e u r Z I P A T A P I i n t e r n e ......................................
7 0 0
F
M é m o ir e s
&
F
D iv e r s
S IM M 1 6 M o E D O ................................................................................. 2 0 0
F
mhz
6 0 3e+ 200Mhz & 040 à 25 MHz..........
Blizzard 6 0 3e+ 200Mhz & 060 à 5o m h z .......
5 9 9 0
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Blizzard 603e+ 240Mhz support 060 à 50 mhz
3 9 9 0
F
Blizzard 603e+ 240Mhz & 040 à 25 m h z ........
.. 4 1 5 0 F
Blizzard 6 0 3e+ 240Mhz&060 à50M H z..........
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5 IM M 3 2 M o E D O ............................................................................... 3 0 0
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C a rte s
B o î t i e r A t é o 1 2 0 0 + C l a v i e r ............................................... 1 0 9 0
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M odem
F
Blizzard 603e 160Mhz & 040 à 25 mhz
U S R P r o f e s s i o n a l V 9 0 ...............................1 5 0 0
W o r d w o r t h 7 . 0 f r a n ç a i s ........................................................ 4 9 0
F
C D A m i n e t 2 7 ........................................................................................... 8 0
F
P P C
A 1 2 0 0
2 4 5 0
F
2 9 9 0
F
Blizzard 603e 240Mhz & 040 à 25 MHz
3 5 9 0
F
A d a p ta te u r SCSI - 1 connecteur DSub6B F vers 1 connecteur HE10-50F .........................
A d a p ta te u r IDE - 1 connecteur IDE 2 1/2 vers 1 connecteur IDE 3 1/2..................................
Câble SCSI-2 - Mini D50 M vers DB25 M ..............................................................................
Route départem entale 5 2 3 • 3 8 5 70 TENCIN
6 0
- Fax 0 4 7 6 4 5 6 0
.
Blizzard 603e 200Mhz & 040 à 25 mhz
Nappe SCSI UW 8 8 p ts - 4 connecteurs internes M + slot externe F (idéal Cyberstorm)
A d a p ta te u r SCSI - 1 connecteur DSub68 F vers 1 connecteur HE10-50M........................
T é l. : 0 4 7 6 4 5 6 0
F
5 5 • w w w .p r a g m a - i n f o .c o m
4 3 0 F
..1 9 0 F
..1 9 0 F
5 0 F
. ..1 2 0 F
Frais de port :
Moniteurs e t boitier : 150 F
Connecti^ue, RAM & logiciels : 25 F
A utre : 5 0 F
Linux PowerPC
pour PowerMac
et Amiga i
Ce mois-ci[ Dream vous offre sur son CD-Rom une distribution
complète de Linux PowerPC pour PowerMac et Amiga !
Fin du fini, la base de cette distribution n'est autre qu'une
RedHat.
Arc you
tCC£? V&y in y\»iù«w
uic«i£ywor>jt£kc*KttaweMui’
Acrobat Dream 56:LinuxPPC:PowerM ac:
Documentation: linuxppc-guide-980924.
pdf.
Ces deux documentations vous guideront
dans l'installation de Linux Power PC sur
votre machine. L'article que vous êtes en
train de lire ne sert, quant à lui, qu'à vous
in d iq u e r les points essentiels de la
démarche.
Précautions à prendre
sur Amiga
Le début de l'installation est identique à
celui de toute autre distribution Linux sur
Amiga : on crée deux partitions (SWAP et
LIN U X ) sur le disque dur cible avec
HDToolBox (consultez votre manuel AmigaOS ou relisez tous les articles déjà parus
dans Dream sur le sujet), avant de décom­
presser les fichiers de démarrage dans un
répertoire de son choix et l'on crée finale­
ment un petit script de lancem ent sur
lequel il suffira de double-cliquer pour se
retrouver sous Linux.
En l'occurrence, les fichiers de démarrage à
récupérer sont ceux qui se trouvent dans le
rép ertoire D re a m 5 6:Lin u xP P C /A m ig a
/Apus/lnstall ; il faut décompresser (avec
Lha) les fichiers Kernel.Izh et boothack.lha,
et copier tel quel le fichier apus-rh-ramdisk.image981001 .gz.
Le premier script de lancement à créer se
compose de la ligne suivante :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
(1) K.DEvu
àu wbug*u.QT
(2) r'crc-j cncrcùta»e K.C£
ta «r
«QTdonc Ko oocu^tbcKDEgrauf t«ut
tcWv cwrbc«Mâu*aaabclorc
i i j C«M«r«W ùrwpj>*<S«£ itt Cevclapcra traax
COaS. wkvb KC£ u mccgr«<U£
Bateau^a—Mt
Rt. Y; Rwt.Y&y*>u';y«'.i gai :x/
by
IiltYif.Mm'.fcitl.uiK.’-VfaUimUi
P.t, TtU-au
u
TWday Aiiv2$. ©12 *7r*t
oaTWd*y hiy 2b. 01Û46AJ*
.byGr«gW«kbaftTue*dtyItiy2»
ï auàMfeabyK«BnEi*uUti «a
Wy28.0tt.32>M
obI ifcc**tin; u
2È.eû20ÛPW
^
rb.»a byGrcgWekhtaToc«<l«y
R« KgLii.-'cLIvTamiàitirJiKa-ci.tAia bvKoik»BWb
aaTocsday Jaiy2à.
KDE, The Gimp, Netscape Communicator... Ils fonctionnent tous !
inux PowerPC est, on l'aura compris,
la version PowerPC du système d'ex­
ploitation Linux. Autrement dit, la
distribution que nous vous offrons ce moisci sur notre CD-Rom de couverture s'adres­
se exclu sivem en t aux o rd inateurs
PowerMac et Amiga (pour peu que ceux-ci
disposent d'une carte accélératrice à base
de PowerPC). Ce Linux se décompose en
deux parties : une mini-distribution de
départ, conçue expressém ent pour la
m achine hôte (il s'ag it d'"Apus" pour
Amiga et de "LinuxPPC" pour PowerMac),
et une distribution générale contenant
toutes les applications de base et tous les
outils relatifs à l'interface graphique. Cette
deuxième n'est autre qu'une adaptation de
la fameuse RedHat 5.0, laquelle se trouve
L
largement répandue dans les mondes PC
et Alpha.
C o m m en t l'in sta lle r ?
Linux PowerPC se répartit comme suit sur
le CD : la partie Amiga séjourne dans
D re a m 5 6 :Lin u xP P C /A m ig a /, la partie
PowerMac réside dans Dream56:LinuxPPC:
PowerMac: et la partie commune est le
troisième sous-répertoire du répertoire
LinuxPPC, soit RedHat.
La première chose à faire consiste à lire (et
imprimer !) la documentation fournie ;
celle-ci se montre la plus détaillée possible
en ce qui concerne l'installation de Linux
PowerPC sur votre ordinateur. Pour Amiga,
cette documentation est le fichier Html
Dream56:LinuxPPC/Amiga/Apus/Docs/boo
kl .html. Pour PowerMac, il s'agit du fichier
bootstrap — apus -k vmlinux -r
apus-rh-ramdisk.image981001.gz
root=/dev/ram
Comme d'habitude, celui-ci lancera un
m in i-Lin u x dans le Ram D isk, afin de
déclencher la véritable procédure d'instal­
lation (qui, elle, se déroule sous Linux).
Une série de questions va vous être posée ;
il suffit d'y répondre. Une erreur peut sur­
venir lors de l'installation de quelques pac­
kages (archives). Cela signifie tout simple­
ment que l'application en question n'est
Les m a t é r i e l s r é c e n t s
NON-supportés
Sur A m ig a :
- Contrôleurs SCSI des cartes PowerUp
- Cartes graphiques Picasso IV, Cyber visionPPC et Pixel 64
- Multiplicateur de connecteurs IDE
Sur Pow erM ac :
- iM ac
- Toute carte graphique autre que les ATI
ou TwinTurbo
£chet
àfhchags A>er £or.vnuncetor 2
Echmr £<ümn âJi.chsge Ajwt Commumcator 2
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PreceOort Suvanl Recharger Accusé Rechercher Guida
impnmec Sécunté
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The PowerPCLiouxIûsisilsuoB sûdUserOuiûs
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é Signet* Jj. Aoreae jt^Z/iuniiie.auc.dky’pUi/os/WWapuci'docc/teQ.I’iUnl
a
The Linux/APUS Doc’n’FAQ
ï 5 C.'sine th s utxUiüer
Jesper Skov
G eaitic starUfd
B ootins LinuxP P C
«t5 Partixionins your d riw
Prminstalbulon xtepx
•
rSf
Copyright © 1998 by Jesper Skov
Lin u xP P C D ser'x (ru id r
i-5 Lin kx and References
odfveraofi
Announcesnents
Othcr Rtsource»
Weicome to the Installation and User Guide for LtnuacPPC. Ifs sali
new so mfonr.anon for sonie spécifie machines may not oe
available. In pamcular, there seemto be some qusks mthe
installationprocédure for the laies: Apple G3 desktops/minitowers
thar Pm trying to woric oui. If you see somethmgmissmg. find
broken fcnks. or have somethma to add. olease e-mxl me
Ot>*r. Pinr.wer» end
OpenFamwer* l'or
Powa UuuHüth.CS
FAQ
I hope to update the guide to take advantage of Benjamin
Herrenschrûidt'î BootX for Mac OS once beu tesüng ofnis
Document charge
fcgKbaak,03 Stars
~ ew
A
»
Z-
La docum entation p o u r Pow erM ac est sur le CD-Rom.
BootX vl .Obi
C h o c se
y o u r O S
j|
f
Linu x
)
root=/dev/hdbl
video=virge:1024x768-8
M
Evidemment, la RedHat ne dis­
pose ni des pilotes nécessaires
Linux kemel arguments :
( Save to pref* }
^
à l'affich ag e de X-W indow
| root“ /dev/hd*5 vWeo«*tyfb :vmode: 17,omode : 16
dans un mode grap hiq ue
£2 Use RAM Disk
’ Q No video driver
Amiga, ni du pilote de la sou­
ris. Rassurez-vous, nous vous
BootX, l'utilitaire qui perm et simplement de choisir
les offrons. Sous Linux, après
entre M acO S et Linux au démarrage.
avoir monté le lecteur de CDpas présente (Netscape Communicator, que
Rom, tapez :
nous n'avons pas le droit de distribuer ce
cd /usr/XHR6/bin
mois-ci, par exemple). Ne vous en inquié­
cp /cdrom/LinuxPPC/Amiga/
tez pas : choisissez Ok et le processus d'ins­
ServeursX/XF68_FBDev .
tallation continuera normalement.
In -s XF68_FBDev X
Pensez à ajouter au script de lancement
cd /etc/
une icône de type Projet avec "CilconX"
cp
comme outil par défaut, afin de pouvoir
/cdrom/ LinuxPPC/Amiga/ ServeurSX/XF8
double-cliquer dessus.
6Config
A
5
zl
a»
Z*
La docum entation pour Amiga est sur le CD-Rom.
X -W in rîo w su r A m ig a
([ MacOS
*S
Table of Contents
1. Introduction
Linux ports
Document Chances
2. Getûns The Keme!
Tac Kernel DÆs
Recomoihnsr Your Own Kemel (981018}
The Kemel Imasres
Lichided Hardware Dnvers
Inciuded Software Dnvers
3. Installmg
Preoanaa Parutions
Files Reouired For Boocna
Booona Ltnux/APUS
oa'
Document charge
*
une autre partition (environ 1 Go) d'un
disque dur. Par ailleurs, Linux nécessite
également un espace disque pour stocker
temporairement ses données. Il s'agit du
Swap ; celui-ci se constitue d'une autre
partition à lui tout seul (environ 60 Mo). Le
partitionnement du disque dur se fait à l'ai­
de de l'outil système Drive Setup ou du
fameux Silverlining. Ne vous souciez pas de
le formater en autre chose qu'en HFS, la
RedHat se chargera par la suite du formata­
ge correct. Prenez garde, on ne peut pas
partitionner le disque de démarrage de
MacOS ; il faut donc utiliser un second
disque dur.
Autre point im portant, l'installation de
Linux passe par la puce graphique de votre
carte mère. Si vous possédez une carte gra­
phique, pensez donc à rebrancher votre
écran sur la sortie vidéo standard.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Les bons p a ra m è tre s de la n ce m e n t
cd /dev
Une fois la RedHat installée, redémarrez
sous Workbench et remplacez le script de
lancement précédemment créé par la nou­
velle ligne suivante :
mknod fbOcurrent c 29 0
mknod amigamouse c 10 4
in -s amigamouse mouse
boots trap — apus -k vmlinux
root= /dev/hdbl
Attention, la résolution graphique de XW indow, ainsi que les spécifications de
votre écran, sont définies dans le fichier
texte XF86Config. Editez-le et ajustez les
paramètres dans les sections "Monitor" et
"Screen" suivant votre configuration. Vous
pouvez connaître les paramètres actuelle­
ment en vigueur sur votre ordinateur en
tapant sous Linux :
Attention : "hdbl " est un exemple de nom
de partition. Remplacez-le suivant votre
configuration. Si vous souhaitez booter
avec un mode d'écran de la carte gra­
phique Cybervision64 (par exemple en
1024x768), complétez votre script de la
manière suivante :
bootstrap — apus -v -k vmlinux
roo t= /dev/hdbl
video=cyber:1024x7 68-8
Si vous possédez plutôt une Cybervision64/3D, le script doit alors s'écrire ainsi :
bootstrap — apus -v -k vmlinux
fbset -x
B ien la n c e r l'in sta lla tio n
su r P o w erM ac
L'installation de Linux va commencer en
démarrant depuis une disquette de boot.
Formatez-en une et copiez dessus le fichier
G 3 in s ta lle r.c o ff (d ep uis le répertoire
Dream56:LinuxPPC:PowerMac:images: ) si
vous avez un Pow erM ac G3 de bureau.
T o u s l es f i c h i e r s
nécessaires
La base pour Amiga (Apus) :
http://sunsite.auc.dk/ftp/pub/os/linux/ap
us/
Les pilotes pour Amiga :
LinuxPPC :
Précautions à prendre
sur PowerMac
ftp://ftp.linuxppc.org/linuxppc/linuxppcR4/
RedHat PPC :
ftp://ftp.linuxppc.org/linuxppc/linuxppc-
Linux ne peut cohabiter avec des fichiers
MacOS ; il convient donc de l'installer sur
R4/RedHat/
nière com b inaison de touches
remet le PowerMac dans son état
initial, exactement comme s'il était
sorti d'usine (ce qui veut dire qu'il
va démarrer sous MacOS).
Custom Setup
Drive
Volume Name(s) :
LinuxPPC
Partitioning Scheme :
[ 6 Partitions
Total Capacity :
Volum es
opt.
/dev/hda7
home
/dev/hda8 '
swap ■
/dev/hda9
Mac OS Partition
/dev/hda10
J
: V olum e Info
mot .
/dev/hda5
usr.
/dev/hda6
H
2446 MB
Name :
untitled 2
untitled 3
untitled 6
! Type:
! Size :
untitled
M ac OS Standard
13
150 MB
I Select a partitioning scheme, a file system type, and resize the
i volumes.
i
| Hint : use the Tab key to select a small volume.
Cancel J L _ 2 Ü - J ]
Partitionnement du disque sous MacOS.
taire
graphique
Boot
Variables, que nous vous
Un m in i-Lin u x pour in sta lle r
Si votre firmware est correctement
modifié, le Mac bootera sur la dis­
quette que nous avons créée, au
prochain démarrage. Vous vous
retrouverez alors sous un miniLinux en mode texte. Il s'agit de
l'installateur de la RedHat. Une
série de questions vous assaille à
nouveau et il suffit une fois de plus
d'y répondre. Il se peut qu'une
erreur survienne lors de l'installa­
tion de q uelqu es packages
(archives). Vous devez en conclure
que l'application en question n'est
pas présente ( N e tsca p e C o m ­
municator, que nous n'avons pas le
droit de distribuer ce mois-ci, par
exem p le). Ne vous en inquiétez pas :
choisissez Ok et le processus d'installation
continuera normalement.
D ern ière chose à p rend re en co n si­
dération : les PowerMac n'enregistrent
pas leur heure en GMT. Pensez à ce détail
lorsque le logiciel d 'in stallatio n de la
RedHat vous posera la question de
l'horloge.
offrons dans l'archive bootvarsl .3b.sit.hqx (située dans
le répertoire tools). Celui-ci
propose une liste de para­
mètres à changer, les plus
importants étant Boot-device et Boot-files. Reportezvous à la page 1 6 de la
C h o isir e n tre M acOS et Linux
do cum entation Acrobat
A la fin de l'in sta lla tio n , il vous sera
pour con n aître les para­
demandé de choisir votre unité de démar­
mètres correspondants à
rage (écran de sélection Quik). Reportezvotre configuration.
vous au tableau 1 pour connaître la com­
mande qu'il faut entrer, suivant que vous
Pour lancer l'installation, il
L'interface graphique de KDE et son air de Windows
souhaitez voir votre ordinateur démarrer
suffit d'appuyer sur le bou­
sous Linux ou MacOS.
Autrement, prenez installer.coff (pour une
ton "Write", de quitter le logiciel et de
redémarrer l'ordinateur avec la disquette
Quoi que vous choisissiez, il existe plu­
ancienne génération, un PowerBook, etc.).
L'expérience a montré que sur certaines
sieurs moyens de passer ultérieurement de
dans le lecteur.
machines, le programme d'installation de
Si to u t va m a l...
Linux à MacOS et vice-versa. Le principe
Linux ne parvenait pas à trouver la RedHat
Avant d'aller plus loin, imaginons la situa­
est le suivant : au moment du démarrage,
depuis notre CD-Rom. Si vous disposez de
tion catastrophe suivante : l'utilisateur se
l'ordinateur regarde la nature de l'unité
suffisamment de place, copiez d'emblée
trompe complètement en rentrant n'im­
sélectionnée dans la rubrique Boot-device
tout le répertoire RedHat de notre CD-Rom
du firmware et il boote dessus. Les trois
porte q uelle va le u r dans son pauvre
à la racine (très important) de votre disque
PowerMac, qui ne veut plus jamais redé­
types d'unité possibles sont : la Rom, une
de démarrage.
marrer. Pas de panique. Appuyez tran­
disquette ou une unité SCSI/IDE (disque
M o difier le firm w a re
dur et CD-Rom). La Rom va lancer automa­
quillement sur les touches Ctrl-PommeSeconde étape : il faut sp écifier au
Bouton-de-démarrage pour faire un reset
tiquement MacOS. La disquette, pour sa
PowerMac que c'est bien sur la disquette et
de la Ram et du
Le n o m d es u n i t é s s o u s O p e n F i r m w a r e
non sur le disque dur qu'il devra booter au
p ro cesseu r et prochain redémarrage. Cette manoeuvre
Pour l’unité SCSI ou IDE, le nom varie d'une machine à l'autre.
juste après - main­
s'effectue en modifiant les paramètres du
Consultez la page 22 de la documentation Acrobat pour connaître
ten ez enfo ncées
firmware. Oui, peu de gens le savent, mais
les termes qui fonctionneront avec votre configuration.
pendant un petit
les PowerMac disposent désormais aussi
m om ent les to u ­
d'un Bios paramétrable ( Open Firmware,
Type d'unité
Nom à préciser dans open Firmware
ches Alt-PommeRom
/AAPL,ROM
lequel est commun à toutes les machines
P-R (normalement,
Chrp et aux stations Sun). Il y a moyen
Disquette
il faut que l'ordi­
fd:<nom du fichier de boot>
d'accéder à ce Bios de plusieurs manières.
Unité SCSI ou IDE
scsi/sd@X:Y
nateur fasse deux
La plus élégante consiste à passer par l'utili­
resets). Cette der­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ë
La distribution RedHat PPC contient même quelques jeux.
part, active un programme de boot dont le
nom doit être indiqué. Et l’unité SCSI/IDE
boote sur le système d’exploitation conte­
nu dans ses secteurs de boot (Linux ou
autre, mais jamais MacOS).
Prenons com m e exem ple le cas où le
PowerMac dém arre systém atiquem ent
sous Linux. Pour revenir à MacOS, il suffit
de se logger en ”root’’ et de taper :
macos
Enfin un environnement de beaufs !
ter. Le principe se résume à faire apparaître
la console d’Open Firmware et à taper la
commande correspondant au lancement
de MacOS ou Linux. Pour faire apparaître
la console, il faut changer quelques argu­
ments de la manière suivante avec Boot
Variables :
auto-boot? = no
input-device = kbd
output-device = screen
ne verrez rien à l’écran et votre clavier ne
sera même pas actif !
Ou ’p lu g ’n ’P la y ” ?
Dernière solution : nous livrons sur notre
CD -Rom un lo g ic ie l nom m é B ootX
(D ream 56:Linu xP P C :P o w erM ac:install:
BootX_1 .Obi .sit) qui permet de choisir
son système au démarrage par l’intermé­
d ia ire d ’une in te rfa ce g ra p h iq u e . A
essayer. Nous ne le mettons pas spéciale­
ment en avant car, d ’après nos essais,
celui-ci ne semble pas très stable.
m
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
L 'o rd in a te u r re d é m a rre ra alo rs sous
MacOS. La première solution consiste à
configurer l’unité de boot par défaut
(boot-device) dans le firmware, en utili­
sant le lo g iciel Boot V ariables depuis
M acOS, com me précédem m ent. Pour
changer de système, on devra réécrire à
chaque fois les paramètres du firmware.
L'idée est d'enregistrer sur disque dur une
configuration du firmware pour chacune
des possibilités. On pourra ressortir celleci à tout moment, suivant que l'on veut
travailler sous Linux, MacOS ou à partir
d'une disquette (cas relativement rare, vu
que cette dernière ne sert qu’à réinstaller
Linux). Pour connaître le type de para­
mètres qu'il convient d ’entrer dans le
boot-device, on se référera au tableau 1.
A noter qu’il peut s'avérer nécessaire de
spécifier le noyau Linux sur lequel on va
booter. Dans ce cas, il faut com pléter
égalem ent le param ètre Boot-File du
firmware comme suit (X représente l’ID
de l’unité et Y correspond au numéro de
la partition) :
boot-file =
scsi/sd@X:Y/boot/vmlinux
root=/dev/sdXY
Un ch o ix m a n u e l...
Deuxième solution. Imaginons que l’on uti­
lise aussi souvent Linux que MacOS. Il est
alors possible de préciser manuellement - à
chaque démarrage - sur quel système boo-
A chaque démarrage, un écran blanc appa­
raîtra avec une invite "OF>". Il suffira de
taper "bye” si l’on souhaite aller directement
sous MacOS ou "boot scsi/sd@X:Y" pour
booter sur la partition Linux (évidemment
’’scsi/sd@X:Y" est un exemple générique ;
référez-vous à la page 22 de la documenta­
tion Acrobat pour connaître l’argument
approprié à votre configuration).
Yann Serra
m
Ou in tu itif ?
La troisième solution est un mélange des
deux précédentes. On boote systématique­
ment sur le même système (MacOS ou
Linux) et l’on souhaite occasionnellement
passer sur l’autre, sans que celui-ci devienne
pour autant le système de démarrage par
défaut. Dans ce cas, on entre dans le
firm w are tous les param ètres com me
exposés lors des solutions No 1 et No 2,
sauf pour "auto-boot?" ! La réponse à
cette question doit impérativement rester
sur yes. Ainsi, le système choisi se lancera
autom atiquem ent sans que la console
n’apparaisse. Pour la faire apparaître, il
suffira de p resser la com b in aison de
touches Alt-Pomme-O-F. On se retrouve­
ra alors avec l’in v ite ’’OF>", d errière
laquelle on pourra taper la commande
"bye" (pour MacOS) ou une commande
du genre "boot scsi/sd@X:Y" pour Linux.
A ttention , il faut im pérativem ent que
input-device et output-device aient été
au préalable définis, faute de quoi vous
Sur Amiga, Linux est directement
bootable depuis le Workbench.
T o u t e s les
docu mentatiorts
Installation de Linux PowerPC sur Amiga :
ftp://sunsite.auc.dk/pub/os/linux/apus/
docs/faq.html
In s ta lla t io n de L in u x P o w e rP C su r
PowerMac :
h ttp ://w w w .lin u x p p c.o rg /h e lp /in sta ll
_h elp/
Installation de la RedHat :
http://www.redhat.com/support/docs/rhl
/RHL-5. 7-Installation-Guide/manual/
La p lu s im p o rta n te FAQ co n c e rn a n t
LinuxPPC :
http://www.dartm outh.edu/~jonh/lppccache/hhtm l
Le
réseau
MPTS au ras des protocoles
s o u s
O S / 2
Ce second article sur les réseaux sous OS/2 détaille les modules
liés à la gestion des protocoles et des cartes réseau sous Warp.
On verra comment tirer parti de l'utilitaire de configuration
réseau et pour finir, on illustrera les manipulations décrites
par l'installation d'un protocole pouvant se révéler bien utile :
le NetBios Over TCP/IP.
protocole ou
m odifier sa
Sélectez une carte réseau et le protocole correspondant.
carte réseau.
Cartes reseau
Protocoles
Deux listes en
IBM NULL MAC Driver
IBM IEEE 802.2
haut de la boî­
IBM OS/2 NETBIOS
No Network Adapter
te proposent
IBM Netware Requester Supp
3279 Adapter for 3174 Peer Communies
3Com EtherLink 16 (3c597) Family - OS-*IBM OS/2 NETBIOS OVER TCP
de choisir car­
►
tes réseau et
Ajout
Modification
Autres cartes.- I
Ajout
Autres protocoles...
protocoles. Si
la liste ne pro­
Configuration en cours
Selectez OK
pose pas la
Pour modifier les paramètres du pilote, sélectez un
lorsque vous
élément ci-dessous, puis Edition.
avez terminé.
carte, ni le
3Com Fast EtherLink & EtherLink III Bus Master Famil»
protocole sou­
OK
9 - IBM OS/2 NETBIOS
haités, il est
9 - IBM TCP/IP
Annulation
bien entendu
possible d'al­
;
Aide m
Edition
Retrait
Modification du numéro...
ler chercher
un pilote sur
Figure 3 : ajout du protocole NetBios Over TCP/IP.
une disquette
TPS (Multiple Protocol Transport
en cliquant sur les boutons "Autre".
System ), rappelons-le, est le
C a rte s P h ysiq ues et lo g iq u es
module de gestion et de configu­
Comme on vient de le voir, MTPS permet
ration des cartes réseaux et des protocoles
d'installer plusieurs cartes réseau et moult
sous OS/2. Il est automatiquement installé
protocoles sur le même système. Les cartes
durant l'installation de Warp Server ou de
installées se verront chacune attribuer un
Warp 4.0.
numéro permettant au système de générer
Il s'avère parfois utile de lancer l'utilitaire de
les port de communication correspondants.
configuration de MPTS pour mettre à jour
Lorsque l'on fait cohabiter certains proto­
un pilote de carte réseau ou ajouter un pro­
coles "parents" sur une même carte, il peut
tocole. Cet utilitaire se trouve dans le dossier
être nécessaire de créer une carte logique
de configuration de Warp et son icône s'inti­
(sous-carte de la carte physique actuelle)
tule : "Fonctions de protocoles et de Cartes".
pour créer un nouveau port de communica­
Cet utilitaire modifie les fichiers de configu­
tion. Il en va par exemple ainsi, lors de la
ration protocoI.ini et config.sys du système.
cohabitation du protocole NetBios et
C o nfig u ratio n de MPTS
NetBios Over TCP/IP. NetBios n'étant pas
Après le lancement de l'utilitaire, on choisira
routable, il faut que les deux protocoles
l'option de configuration pour aboutir sur la
bénéficient de la gestion de deux ports
fenêtre représentée sur la figure 1. Si l'instal­
réseaux différents d'où la nécessité d'ajouter
lation du système s'est correctement dérou­
une carte logique différente pour l'installa­
lée, il n'y aura pas à configurer les accès
tion du NetBios Over TCP/IP. Nous revien­
transport TCP/IP ou NetBios ; on ira donc
drons sur l'installation de ce protocole dans
directement vers la configuration des cartes
la dernière partie de cet article. La création
et des protocoles.
d'une carte logique se fait simplement par la
sélection d'un protocole et un clic sur le
C'est grâce à la boîte de dialogue, présente
sur la figure 2, que l'on pourra ajouter un
bouton "modifier numéro".
Corrfiouration de fa carte réseau
Quel p ro to co le p o u r q u elle
u tilisa tio n ?
Dans un réseau local OS/2, NetBios consti­
tuera certainement le protocole le plus
employé. Ce protocole non-routable est le
plus simple à mettre en oeuvre et l'un des
moins gourmands en bande passante.
TCP/IP, qu'on ne présente plus, se verra lui
aussi couramment utilisé pour les accès
Internet ou certaines applications client/ser­
veur. Cependant, on aura recours à d'autres
protocoles suivant les besoins. La liste des
protocoles suivante permet de se faire une
petite idée de leur application :
NetWare Requester : Client OS/2 pour
Netware. Outre le support IPX, l'installation
de ce protocole s'accompagne de l'installa­
tion d'une interface de manipulation des res­
sources Netware.
NetBios Over IPX : ce protocole nécessite
l'installation du Netware requester. Il va per­
mettre d'encapsuler le protocole NetBios au
sein d'IPX, protocole routable. On pourra
ainsi transporter des trames NetBios vers un
réseau distant, à travers un routeur par
exemple.
NetBios Over TCP/IP : il s'agit de la même
application que le protocole précédent, mais
avec une encapsulation dans des trames
TCP/IP. Ce protocole correspond au fa­
meux NetBeui de Microsoft qui a rendu
NetBios routable sans qu'il y ait possibilité
de désactiver cette option. Grâce à cela,
une machine Windows est capable d'em­
blée de partager des ressources (parfois à
l'insu de son utilisateur) sur Internet. Avec
OS/2, l'utilisateur bénéficiera d'un privilège
sem blable, mais il faudra activer cette
option.
IBM 802.2 : ce protocole permet de lan-
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Nod* TyKM»
Cnabla SUB/PPPtntprfaca
NetBIOSNaiwS**rv»r addmf
BackupNetBIOSNwrwSarvec addr*«
N«»?8I0SBatapramDNtributor
BackupNetBIOSDa'acramDHtrlbutor addran
NTTfflOStrac» taval
GOTtatactor*
Fuit butta»datagrwm
Ouarytknaou»
«T0IOSrotrlM___
Figure S : les paramètres du protocole.
A .D .r .J , A P P L J C A 'f l Q M
piWV&üî1.’
'TJj
cer REIPL. Ce système donne le moyen d'avoir sur le réseau
des stations sans disque, qui vont bouter à partir du serveur,
grâce à une Rom installée sur leur carte réseau.
C as p ra tiq u e d 'u t ilis a t io n d e M PTS : in s t a lla t io n de
N etB ios O v e r T C P / lP
Il est tem ps à présent d'en ve n ir aux travau x p ratiq u es.
L'installation de l'encapsulation de NetBios dans TCP/IP représen­
te un bon exemple de manipulation sous MPTS.
Nous allons commencer par ajouter le protocole et (si on utilise
déjà NetBios) l'affecter à une carte logique différente de celle du
NetBios (figure 3). Une fois le protocole mis en place, il ne reste
plus qu'à le configurer en cliquant sur le bouton "Edition". On
pourra alors paramétrer le pilote lui-même (en lui indiquant un
serveur de noms par exemple) ou lui fournir une liste d'associa­
tions nom NetBios/nom (ou adresse) IP.
On n'entrera pas ici dans les détails des paramètres du protocole.
Toutefois, pour finaliser cette installation, il sera nécessaire de rensei­
gner "l'Encart
çmmgurim n mus ftintra&m rcaa ivqtoco*»_____
Nom", qui as­
Sélecte? une carte réseau e» le protocole correspondant.
Cartes réseau
IVotocotes
socie nom Net­
No N etw ork A dapter
IBM IEEE 882^
Bios et adresse
3279 A dapter for 3174 P eer C cm n w n ta
IBM OS/2 NETBIOS
3Com E tberL h* 15 (3c597) Fam ily - O S „ IBM N etw are R eq u este r Supp »
IP, et "l'Encart
Ajout M odification M itres cartes._
Ajout A utres p ro to c o le sDiffusion", qui
Configuration en cours
permet
de défi­
S électe? 0*C
Pour modifier les paramètres du pilote, sélecte? un
lorsque vous
élément cl-dessous, pus Edition.
nir des serveurs
av e7 term iné.
gérant le Net­
- IBM OS/2 NETBIOS
- IBM TCP/IP
Bios Over TCP/
IP,
susceptibles
Ç<SOon
Modification du numérode relayer les
paquets N et­
Figure 2 : les cartes et les protocoles sous OS/2.
Bios envoyés
dans les trames IP (figure 5). Notons qu'il y a moyen de modi­
fier ces listes de noms et d'adresses en transformant les fichiers
suivants dans le répertoire \ibmcom : "rfcbcst.lst" pour la dif­
fusion et "rfcnam e.Ist" pour les noms. Un troisième fichier :
rfcaddr.ex, procure le privilège de rafraîchir les tables internes
de résolution d'association. Après ces manipulations, le proto­
cole est ajouté ; il n'y a plus qu'à redémarrer la machine pour
en tirer parti et partager des ressources réseau à travers
Internet.
En conclusion, l’utilisation de MPTS reste assez simple et per­
m et de g ére r les co u ches basses du réseau sous O S / 2 .
Cependant, un protocole échappe pour sa configuration à la
logique MPTS. II s'agit de TCP/IP, qui possède son propre
module de configuration. Ce module sera décrit dans le pro­
chain article consacré à OS/2 et les réseaux.
V EN TE
0 4 ,7 3 ,3 4 ,3 4 .3 4 ,
M agasin
et VPC : 47 avenue de la
~
libération - F63000 Clermont Ferrand
R É P A R A T IO N
C O N S E IL
Port total sans matériel = 50
Attention : n’envoyez
Port total avec un matériel ou plus = 80F.
Assurance = +30 F par tranche de 2500 pet dans la limite de 10 000F.
aucun
matériel sans un
Traitement prioritaire = +20 F.
numéro de colisage.
Étranger en Europe = +15 F.
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490 F Éducatif Décollages.............................................. 290 F
TypeSmith l’éditeur de fonte Version Française... 490 F Thème Espace pour Décollages
.......................140 F
Thème Lettre pour Décollages ............................. 140 F
BD
Draw Studio 2 le dessin vectoriel............................980 F Thème Chiffres pour Décollages............................... 140 F
H iso ft S v stem
Thème La mer pour Décollages................................. 140 F
Devpac 3.50...........................................
790 F
120 F
e La vraie nouvelle version est entièrement en française 1/Clavier accentué Amiga...........................
fonctionne sur tous les processeurs et coprocesseurs Environnement Workbench (images et sons)
120 F
680xx. et comprend cours, macros, aides hypertextes, Magic Synthesis : bientôt la référence en art musical..... 690 F
dictionnaires, etc. (14 disquettes après décompactage). Computer Graphics : bientôt la référence en art graphique 690 F
A320 Airbus.................................240 F G.I.G.N. Opération Jupiter........ 139 F
After Bumer Aeria! Arcade Ace 139 F Genetic Species........................... 310 F
Alcatraz
.......................... 139F Giganoïd
...................... . 139 F
Alien 3.......................................... 139 F Harlequin..................................... 139 F
Anime Babes SE classé X 240 F HistorvLine 1914-1918............ 139 F
Ballistix
.........................
139F Hook le capitaine Crochet .... 139 F
Barbarian.......................................139 F Infestation
...................... . 139 F
Bills Tomato Game — ..........139 F Jet-------------— 320 F
Bob Morane - Océans 1 ........... 139F Knights of the Sky...................... 139 F
Bob's Bad Day.............................139 F Krusty Fun House les Simpsons 139 F
Captain Blood..............................139 F Kyrandia A 500-A 2000................ 149 F
Civilization...............
220 F Lemmings II
......... 139 F
lown-O-Mania...........................139 F Les aventures de Moktar........... 139 F
olonization........................... 220 F Lethal Weapon l'arme fatale ..... 139 r
ompilation Dream Team
139 F Lotus ra „ —................................. 139 F
ompilation Fox Collection 139 F McDonaldland
.................. 139 F
ompilation Metalic Power 139 F Mickey 123.........
............ 139 F
ompilation Monde Merveilles. 139 F Mickey ABC............................... 139 F
ompilation Quattro Adventure. 99 F Mickey Jeux de mémoire ..... 139 F
ompilation Quattro Fighters 99 F Mickey Mots croisés.................. 139 F
ompilation Sport 2 ....................139 F Mickey Puzzles animés ....... 139 F
razy Cars 3....................
139
Motorhead
F
......................... 139 F
ytron............................................139 F Myst CD ou disquette...., ..... 339f
>arkman............................ .... 139 F Navy seals....................... ..... 139 F
îlf...................................... .... 139 F Nigel Mansell World Champion 139 F
îuro League Manager.... .... 180 F No Second Prize........................ 139 F
-19 Stealth Fighter.....................180 F Obliterator................................... 139 F
FA Intemationbal Soccer....... 220 F Othelo Killer
................. 139 F
:ire Force.........................
139 F Piracy on the High seas............. 139 F
îying High ................,........245 F Push-Over............................... 139 F
:ormula One Ferrari ............... 139 F Quake CD.................................... 349 F
.......................... 139 F
:ormula One Grand Prix............220 F Robocop
Foundation CD.............................310 F RVF Honda................................. 139 F
Samba World Cup......................325 F
Silent Service II
........ 139 F
Silk Worm..................................139 F
Sim City
.........................139 F
Simant - les fourmis.............. . 139 F
Six Sens Investigation...............359 F
Sky Blaster
____.______139 p
Star Wars
..........................139 F
Street Fighter 2 ........ ............. 139F
Super Hang On...........................139 F
Super Tetris................................139 F
Suspicious Cargo — ........... 139F
S word of Sodan..........................139F
The Sentinel ..........................139F
Thunder Blade........................... 139 F
Time of Reckoning....................235 F
Ti ny Sweek............................... 139 F
Virtual Karting CD ou disquettel90F
Vroom data disk............... ..........139 F
Wild Wheels Karting
..... 139 F
Wing Commander......................265 F
Wizkid........................................ 139
WWF European Rampage Tour 139 F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Antoine Sabot-Durand
Configuration
Selectez un des élém ents ci-apres, puis setectez Configuration.
Lorsque vous revenez à c e tte fenêtre, vous pouvez sélecter un
nouvel élém ent ou Ferm eture pour sauvegarder la configuration.
C artes e t protocoles
Etat
•j C artes e t protocoles de réseau local
Configuré
j Conversion d'un fichier .CFG de CM 1.3
Accès transport Socket/MPTS
Accès port TCP/IP
J Accès port NetBIOS
Ferm eture Configuration Retrait
Utilisation de la
confîouration de TCPAP
Configuré
Annulation
Aide
Figure 7 : configuration des cartes et des accès.
Nouveautés
Flying High data disk
.....139F
Forest Dump............................... 139F
Kang Fu
....................390f
Gunbee F99................................159F
Mogel .... ................... ............139 F
Time Keepers
................. 189 F
m ülÉc*ur recevoir une fiche produit ^
envoyez 1 franc en timbre par fiche
demandée et une enveloppe timbrée.
!ü -0 g L / v A O K j ' J & g A M K M
3D Images..................................... 155 '
Amiga Éorever ................... 369 F
Amiga Format 32 (et moins) 49 F
Amiga tools 8 (et moins)..........139 F
Aminet 27 (et moins).....................89 F
minet set 6 (et moins)
199 F
APC TCP 6 (et moins)...................89 F
Asim CDFS..................................480 F
Digi Booster Pro
______329 F
Eîastic Dream
.................499 F
Euro Cd 3 (et moins) 1.............129 F
Fusion Mac Emulator..................699 F
Geek Gadget..................................159 F
GPFax............................................495 F
Ibrowse VF...................................380 Scala MM400............................. 499
In to the net - Aller sur Internet.... 155 F Scanquix - Scanérisation.......... 690
Kara collection .......................265 F Siamese Svstem..........................299 F
Lisht ROM 6 (4 CD)..................390 F Siegfried Ànti Virus Pro............285 F
Magic W B............................... 109 F Spèccv Classix"98......................190 F
Make CD complet----------------550 F S tF ax P ro ..................................640F
Meeting Pcarls...............................69 F Studio Professionnal 2.2.........296
Miami î...................................... 279F True 3 D ..................................... 190
Mod’s Anthology........................259 F Turbo Cale V F...........................490F
Netnews offline —Connaître le Net 39 F TurboPrint
........... 449
Organiser VF................................240 F Ultimate Blitz Basic CD------- 320 F
Personal Paint..............................199 F WEB it........................................ 155
PFS2............................................. 390 F WordWorth VF........................ 490F
Print Studio
...................259 F Workbench Designer 2 ..............159 F
M T S K IS L A )
Ariadne Ethernet...................... 1690 Scanner Epson GT 7000------1790
Blizzard 1260............................3690 F Semet...........................
249
Blizzard extension SCSI..........690 s**?’Souris 2 boutons
............ 129 F
Blizzard Ppc .... Toutes les références Souris 3 boutons....................... 209
...... 149F
BVision .......
1580 F Joystick à partir d e
Stylus color 640 ....................... 1490 F Cyberstorm Ppc Toutes les références Topolino pour A2000................320F
4480 F Topolino autre Amiga............... 295
S tvlu ^ o lo r 700 Photo.............. 1790 F Cyberstorm MK3 uw scsi
Digitaliseur audiophonique 390 F Tour Atéo...................................980F
Clavier standard...........................158 F Disque dur IBM 2V6................. 1929 F Tour Micronik..........................1240F
lavier ergonomique..................399 F Doubleur de fréquence...............659 F >■Alimentation interne 200 W. 449 F
arte modem L’SRobotics.... 690 F Lecteur interne DD standard 270 F >■Coque clavier+adapt.+cable.420F
ame Pad ........
169 F “*<Gecteur externe HD Micronik... 629 F >- Carte Zorro II......................1390F
ouris Logitech Pilot Mouse......129 F Modem Hayes + adaptateur.... 1349 F ^ Carte Zorro III.....................3189F
ouris Microsoft Home Mouse. 169 F OS 3.1 VF A500. A600. A2000 .....590 F >• Sortie externe SCSI..............169
ouris 3 boutons...............
85 F OS 3.1 VF A 1200. A3000. A4000.. 690 F >- Adaptateur PCMCIA...........245
380 p
Pamet
..............................165 F >• Lecteur interne DD
m ssm m
miga A 1200 Magic................2590 F Picasso IV avec ScanDoubler. 2990 p >- Lecteur interne HD ........569"
[Amiga A 1200 Magic H D ........ 3290 F >• Module Concierto Picasso.. 1290 p Pour .recevoir le cadeau AmigaN-v '.
3340 F >- Module Palomar Picasso 990 p /—vr>vr?-nnus la cop ie d e cou Ve’*” -**
Amiga A1300......
Écran 15 *' garanti 3 ans......... 1540 '
Lecteur CDx36 IDE
-----590 F
Lecteur CDx32 SCSI
........ 890 F
Lecteur ZIP SCSI........................990 F
Disque dur IBM 3V?............... 1729F
lAmiga A i 400 Zorro tl...............4849 r
>• M odule Pablo Picasso
890
114 el une cnvcloDDe Limbiec.
C onfig urer
sa m a ch in e (i repartîe)
<umitled>
CMOS RAM byte
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
FE
0
0
0
0
0
2
0
76
0
0
0
0
0
0
0
40
0
8
0
EB
0
0
0
0
0
0
0
40
0
0
3
0
0
0
0
F0
0
1B
10
= 4
0
8
0
0
0
0
0
A8
0
6F
0
0
0
0
0
0
0
C3
0
40
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
n
Hexadécimal
Décim al
0
0
0
0
0
62
CF
0
10
0
Eco net station number
0 10 54 20 8 A
0 0 0 0 0 0
0 0 0 0 0 0
0 0 0 0 0 0
0 0 0 0 0 0
13 0 0 4 85 8
0 0 0 0 0 0
0 0 0 0 2E 7C
30 2C 38 0 0 0
0 0 0 0 0 0
2C
0
0
0
0
41
0
7B
0
0
90
0
0
0
0
FF
0
7D
0
0
2
0
0
0
0
1
0
A
0
0
8
0
0
0
0
61
0
1
0
0
0
0
0
0
0
8
0
0
0
0
0
0
0
0
0
19
0
0
0
0
Binary
0
0
0
0
0
0
0
84
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
EA
En général, on fixe la valeur à *Opt 4 2. Pour
visualiser les valeurs d'un disque dur, il suffit
de lancer la commande *Cat, dont la premiè­
re ligne renvoie quelque chose proche de :
Dir. ADFS: :HardDisc4.$ Option 02
(Run)
‘ Configure Filesystem
Risc Os ne dispose pas de système de configuration au
démarrage, tel le Bios livré sur les PC. Malgré tout, la machine
possède une mémoire non volatile, qui sert à fixer les
paramètres utilisés par le système.
IL
2 *Run : lance le fichier Boot
3 *Exec : effectue un Exec sur le
fichier Boot
0
0
0
0
0
0
0
0
0
3C
Cette commande permet de déterminer la
nature du système de fichier utilisé au démar­
rage. Le système se lance par défaut sur des
disques Adfs. La commande ‘ Configure
Filesystem octroie la possibilité de sélection­
ner un autre système de fichiers tel Scsifs,
Idefs ou Atafs ; on peut ainsi démarrer sur
d'autres types de disques et d'interfaces.
La commande ‘ Configure Filesytem est liée à
‘ Configure Drive, qui permet de choisir le
numéro d'unité disque dans un système de
fichiers donné. Le disque 4 sous Adfs est le
premier disque dur interne. A ce propos,
vous pouvez essayer un *Cat ADFS::4.S ;
cette commande liste le contenu du premier
disque dur. Détail amusant, *Cat :e donne le
même résultat. Bref, comme sous DOS, les
disques peuvent se voir appelés par des
lettres, mais contrairement à lui, le format le
plus courant est le chiffre.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Contenu de la CMOS.
a complexité et la finesse de ces para­
mètres ne permettent pas d'utiliser un
simple logiciel pour gérer cet espace.
Ainsi, les options principales peuvent être
fixées par le logiciel !Configure, fourni avec le
système. Cependant, la manière la plus puis­
sante de configurer sa machine reste l'utilisa­
tion de la ligne de commande et de la com­
mande ‘ Configure, qui propose de très nom­
breuses possibilités. La commande *Status
vous donnera le moyen de contrôler la confi­
guration du système.
L
Le démarrage
Avant de parler des commandes de configu­
ration liées au démarrage de le machine, il
convient de faire un tour d'horizon des
options classiques. A l'allumage, de nom­
breuses touches permettent de modifier les
paramètres de l'ordinateur. La touche Shift
offre la possibilité de ne pas démarrer la
configuration du disque. La touche R remet
la partie de la mémoire Cmos utilisée par le
système d'exploitation à zéro, tandis que la
touche Delete réinitialise toute la machine et
la mémoire Cmos. Les touches T et End
(Copy sur les anciens claviers), effectuent res­
pectivement les mêmes actions, mais la syn­
chronisation vidéo est inversée (pratique avec
certains vieux moniteurs).
‘ Configure Boot
Cette option est intéressante pour les per­
sonnes qui emploient souvent des configura­
tions très spécifiques (démarrage avec le
Basic, la ligne de commande, ou utilisation
d'une configuration de base). Elle revêt deux
formes : la commande ‘ Configure NoBoot
permet de ne pas booter sur le disque, et la
commande ‘ Configure Boot active la possibi­
lité de booter sur le disque. En fait, la com­
mande ‘ Configure No­
Boot inverse aussi l'action
de la touche Shift au
moment de la mise en
marche de la machine ; au
lieu d'empêcher le Boot, la
touche Shift le lance.
Il faut également configu­
rer la manière dont le
disque sera activé. Pour
cela, il existe la comman­
de Opt 4 <n> où <n> peut
prendre les valeurs sui­
vantes :
0 Pas d'action
1 *Load : charge le
fichier Boot
‘ Configure Language
Elle détermine le module utilisé au cour du
Boot de la machine. Evidemment, cela ne
fonctionnera pas si on a recours à une archi­
tecture classique de Boot. L'intérêt consiste à
pouvoir choisir un module différent lorsqu'on
’shift-boot'. Par défaut, la valeur de ce para­
mètre vaut 10, ce qui pointe vers le module
Desktop (vérifiez les numéros avec la com­
mande ‘ Rommodules). On peut utiliser les
valeurs 16 pour démarrer avec le Basic, ou 61
pour utiliser la ligne de commande.
‘ Configure D ir <nom de dossier>
Elle autorise le choix d'un dossier par défaut,
différent de la racine. En fait, ce n'est pas très
Vue de la configuration via la commande status.
•
jjj. Sp::ljrgjsc4.t fetiM12 («•»)
p r* T ai, i;
llî' èjjisjfàfti ,2 <i->
‘Scrtu«a»r M 'HindoatO )/
&ï!c
i
!Str*wrtr 1/
p r ' ' i l «al.
t
IScrHwtr
jür®T
•ut
»/
'Hiridant) )'
tion automatique. Les valeurs sont en cen­
tièmes de seconde ; par conséquent, prenez
garde à ne pas inscrire de valeurs trop
réduites, car autrement, vous serez contraint
de réinitialiser la machine (pression sur la
touche Delete à l'allumage).
de commande. On ne peut choisir que parmi
les 'anciens modes', désignés par un numéro.
Les modes abondent ; nous citerons par
exemple le mode 32, qui est du 800 par 600
en 256 couleurs.
Voilà pour cette première partie ; encore un
peu de travail et vous serez bientôt en mesu­
re de configurer vous-même votre machine,
et ceci d'une façon beaucoup plus efficace
qu'avec l'application !Configure seule.
‘ Configure Tru n cate <on/off>
’Hiadwl)
J
Des chiffres et des lettres pour les disques.
utile lorsqu'on manipule le Wimp. ‘ Configure
NoDir revient à l'option par défaut
(défaut=racine).
‘ Configure BootNet <on/off>
Nous voici dans les options réseau. Cette pre­
mière option permet de se déterminer en
faveur de l'un des termes de l'alternative sui­
vante : booter sur le réseau ou pas.
‘ Configure Lib <0/1 > définit la librairie utili­
sée ; 0 est la valeur pour la librairie par
défaut, 1 représente la valeur pour ArthurLib.
‘ Configure Fs et ‘ Configure Ps choisissent le
nom des serveurs de fichiers et d'impression
(respectivement).
Voilà, c'est tout pour le Boot... N'oubliez pas
que vos cartes d'extensions peuvent influer
sur le nombre de commandes disponibles.
Aussi, si vous utilisez une carte Scsi, ne vous
étonnez pas d'avoir des options supplémen­
taires (en cas de doute, employez la com­
mande ‘ Configure ou *Conf.).
Elle définit le type d'action si un fichier de
nom long est copié sur un système de fichiers
qui ne peut les gérer. Truncate on permet de
tronquer les noms de fichiers. Truncate off
annule l'option précédente. Cette option fait
partie des possibilités qu'a
Risc Os d'adm inistrer les
noms de fichiers longs. Le
support effectif des noms de
fichiers longs est laissé au
système de fichiers ; la limite
pour Adfs est de 10 carac­
tères par fichier, celle de
Rafs atteint les 255 carac­
tères, etc.
David Feugey
‘ Configure
D um pForm at <n>
Elle définit le format d'affi­
chage des données pour les
commandes ‘ Dump, ‘ List,
‘ Type et le périphérique de
sortie Vdu. Le paramètre
<n> est partagé en plusieurs
parties. Les deux premiers
bits déterminent la métho­
de d'affichage des caractères
de contrôle.
Aperçu de la commande Dump.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Ligne de commande
Il existe de nombreuses commandes qui don­
nent le moyen de changer les réactions de
l'ordinateur, y compris lorsqu'il est exploité à
partir de la ligne de commande.
0 Format de GSTrans (|A
pour le caractère Ascii 1)
1 Utilisation du Point
2 <d> où d est un
nombre décimal
3 <&h> où h est un
nombre hexadécimal
‘ Configure Caps, NoCaps et ShCaps
Elle offre la possibilité de choisir l'état du cla­
vier, lors du démarrage de la machine. Caps
met le clavier en majuscules ; NoCaps, quant
à elle, le convertit en minuscules. ShCaps est
presque l'équivent de Caps ; il transpose le
clavier en majuscules et redéfinit l'action de la
touche Shift, qui permet alors d'obtenir les
minuscules.
‘ Configure Scroll ou NoScroll
Il s'agit d'une option qui confère le privilège
de déterminer si l'écran doit scroller lorsqu'on
arrive à la fin d'une page. Cette option ne
sert que très peu, puisqu'elle n'influence pas
le fonctionnement, ni l'affichage du bureau
ou de la ligne de commande (cela modifie
seulement l'affichage de certains modes).
‘ Configure Delay <n> et Repeat <n>
Voici deux commandes qui définissent les
paramètres du clavier, à savoir le délai avant
répétition automatique et la vitesse de répéti­
Le troisième bit précise si les
caractères de code Ascii
supérieur à 127 doivent être
traités comme des carac­
tères imprimables (bit à 1)
ou comme des caractères
de contrôle. Si le quatrième
bit se situe à 1, les carac­
tères de code supérieur à
127 sont ramenés à un
équivalent 7 bits (le caractè­
re Ascii 128 devient Ascii 0).
La valeur par défaut vaut 4,
ce qui débouche sur
GSTrans et sur l'affichage
des caractères codés en 8
bits.
Résultat de la commande List.
hd
i
!'
]
"
}
R^r. i *;nc i Mini <cond> H s i <»-•■«*>.<••*>,< .
frHYÏ'i1*1OiondTIcSiêV<•-»«•>.<-.mh >
sssâJjuf&nîti'.f ÙMii»h!îu*r ; m t î : s * î ,
II^OUBlÇCHI^PUMjDCDILOUDIICMJS <p*pr >
ÿ
irsjjrîi j\
isv, : vïpa?sï is?ïn6', h ru ftr
‘ Configure Mode
Elle sélectionne le mode
graphique utilisé par la ligne
Le Basic.
Comprendre
et utiliser le NFS
serveur. Il est nécessaire de définir les
répertoires auxquels nous allons permettre
d'accéder et important de ne pas donner
l'accès à n'im porte qui et à n'importe
quoi ; le protocole NFS a en effet toujours
eu de grandes failles de sécurité. Il demeu­
re donc préférable de n'utiliser ce service
qu'au sein d'un réseau privé. Le partage
des répertoires et les droits d'accès se défi­
nissent dans le fichier /etc/exports. Ce
fichier est formaté de cette façon :
Linux, comme tout bon système Unix, offre depuis ses premières
versions des possibilités de client/serveur NFS.
Cette option est loin d'être occultée, puisque quasiment
toutes les distributions donnent désormais la possibilité
d'installer le système par ce biais. Nous allons voir
comment mettre en place et utiliser cet outil surpuissant
que constitue le montage NFS.
/répertoire/à/partager
machine(droits_d_acces)
Par exem ple, si nous voulons partager
notre lecteur CD-Rom pour la machine
Yoda et en lecture seule depuis la machine
Vader, on écrira :
/mnt /cdrom
ais qu'est-ce donc que le NFS ? Il
désigne l'un des multiples services
disponibles au travers de la
couche TCP/IP. En l'occurrence, il s'agit du
"Network File System" mis au point et main­
tenu par Sun Microsystems. Ce système de
fichiers permet de "mounter" une partition à
travers le réseau. Une telle caractéristique
servira par exemple à faire bénéficier du CDRom d'une machine X, une machine Y
nécessitant ce périphérique, ou d'un point
de vue plus global, à centraliser tous les
répertoires "home" d'un réseau sur une
seule et même machine.
RX packets:1697 errors:0
dropped:0 overruns:0
TX packets:1795 errors:0
dropped:0 overruns:0
Interrupt:9 Base
address :0x6500
On voit que l'interface ethO, correspondant
au réseau ethernet, est bien active. Il
convient également de s'assurer que les
fichiers /etc/HOSTNAME et /etc/hosts se
tro u ven t co rrectem en t docum entés.
Rappelons que le fichier "HOSTNAME"
comporte le nom de la machine sur laquel­
le on est connecté, et "hosts" les noms et
aliases des machines présents sur un réseau
accessible. De plus, il faut bien entendu
que le support NFS client et serveur soit
activé dans le noyau Linux.
yoda (ro )
Toutes les permissions possibles sont dis­
ponibles dans les man-pages d'exports, par
la commande "man exports". Il faut ensuite
taper la commande "exporfs" pour réinitia­
liser le serveur, afin qu'il prenne en compte
les derniers changements.
Maintenant que notre CD-Rom est parta­
gé, plaçons-nous sur la machine Yoda et
montons ce répertoire à distance via la
commande suivante :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Prem iers rég lag es
La première chose à faire consiste à vérifier
le bon fonctionnement de son réseau. Que
l'on soit relié à un réseau local ou à Internet
via une connection ppp, il suffit de taper la
commande "ifconfig" pour s'assurer que
toutes les interfaces souhaitées sont pré­
sentes. Voici l'allure de la réponse de cette
commande dans le cas d'un réseau privé :
lo
Link encap:Local Loopback
inet addr:127.0.0.1
Bcast:127.255.255.255
Mask:255.0.0.0
UP BROADCAST LOOPBACK RUNNING
MTU:3584 Metric:l
RX packets:141170 errors:0
dropped:0 overruns:0
TX packets:141170 errors:0
dropped:0 overruns:0
ethO Link encap :Ethernet HWaddr
00 :40 :05:5D:84:B2
inet addr:192.168.0.1
Bcast:192.168.0.255
Mask:255.255.255.0
UP BROADCAST RUNNING MULTICAST iyrru:1500 Metric:!
In sta lla tio n et d é m a rra g e
Les logiciels clients/serveurs sont mainte­
nant inclus en standard dans toutes les
distributions de Linux ; la seule difficulté
consistera à les retrouver sur son CD. Le
client se nomme nfs-serverclients et le serveur nfs-ser(in ilP v a d e r i n i 11$ c a t
ver.
Leur simple installation suf­
fit d'ores et déjà à les
rendre opérationnels. On
peut en effet, tout de suite
après l'installation, "moun­
ter" une partition NFS en
toute q u iétu d e. Si l'on
désire créer son propre ser­
veur NFS, il convient sim­
plement de démarrer les
services rp c.m o u n td et
rpc.nfsd.
Et en fin : u tilisa tio n !
Voyons en premier lieu le
mount -t nfs vader :/inrit/cdrom
/mnt/cdrom
en considérant que l'on a auparavant
créé le rép ertoire /m nt/cdrom sur la
m achine clien t et que le CD-Rom est
"mounté" de manière habituelle sur la
machine serveur.
Et ça marche ! On accède désormais au
CD-Rom de la machine Vader depuis la
machine Yoda de façon tout à fait trans­
parente, le tout avec une vitesse de trans­
fert tout à fait honorable. Voilà encore un
bon moyen de recycler de vieux 486...
Emile Heitor - [email protected]
/e tc /h o s ts
[12 7 .0 .0 .1
lo c a lh o s t. lo cald o na in locA
lo calhlhost
o st
1 9 2.168.0.1
v a d e r.e n p ire .d a rk
vader loghost
vader
luke
j1 9 2.168.0.2
lu k e .e n p ire .d a rk
192.168.0.254 goda e n p ire dark
yoda
1 94.51.32.61
n a il.c ie .f r
n a il
Cin iIP v ad er i n i 1)$ c a t /etc/HOSTNAflE
u a d e r.e n p ire .d a rk
(in ilO v ad er i n i 11$ c a t /e tc /e x p o r ts
/n n t/e d ro n
y o d a(ro )
/h o n e/n f s
uod a(ru .n o _ ro ot_ squ ash )
(in ilO v ad er i n i 11$ ifc o n fly
lo
Link encap Local Loopback
in e t ad d r: 1 2 7 .0 .0.1 Bcast : 127.255 .255.255 flask 2S5.0 0 .0
UP BROADCAST LOOPBACK RUfiMINC, HTU3584 flé trie 1
RX p a c k e ts: 166990 e r ro r s :0 dro p p ed O o v erru n s:0
TX p a c k e ts^ 166990 e r r o r s :0 d ropped;0 o v erru n s:0
ethO
Link encap E th ern et HUaddr 00 40 0 5 :5 D 84 B2
in e t ad d r: 192.168.0.1 B cast 192.168.0 2S5 flask :2 5 5 .2S 5.255.0
HPBROADCAST RUNNING flULTICAST OTU : 1500 f lé trie
1
RX p ack ets 1705 e r ro r s O dropped O overrt«ns:0
TX p a c k e ts : 1803 e r ro r s :0 dropped'O o v e rriin sO
I n te rru p t:9 Base a d d re ss :0x6500
lin ilO u a d e r i n i 11$ ro u te
K ernel IP ro u tin g ta b le
D e stin a tio n
G ateuay
192 lbO.O.O
•
1 2 7 .0 .0 .0
d e fa u lt
y o d a .e n p ire .d a r
1 ini IPvader in i 11$ J
Geimask
255 .2 5 5 .2 5 5 .0
2 5 5 .0 .0 0
0 0 .0 .0
F lags
IIIl
II
UG
f lé trie
00
0
0
Bef
Ref
00
0
0
Use I
le
7 1
20 e
Une configuration réseau typique.
MYG Ll
Æk
|
1
=
*
A
31 Bd Raimbaldi 06000 NICE
Tel/Fax : 04.93.13.06.35
i
rrxuiviu u u iviuio :
Clavier A1200 10Of
Quaterback 5 10Of
AMIGA 1200
Processeur 68060
Copro 68882/40 Mhz PGA
Apollo 1230/40
Apollo 1240/25
Module SCSI Apollo
PPC603e160+68040/25
PPC603e200+40/25-60/50
3 1 0 0 fPPC603e200+socket 60
PPC603e240+40/25-60/50
3 6 9 0 fPPC603e240+socket 60
PPC avec SCSI II
FlickerFixer externe tout amiga
BVision PPC 4 Mo Dispo
AM IGA 4000
PPC604e200 - 233+40/25+scsi
5 7 9 0 fPPC604e200 - 233+socle 60+scsi
5 3 9 0 fTout cable et terminaison SC SI 1,2,3
FlickerFixer interne A2000/3000/4000
Cybervision PPC 8 Mo Dispo
Nous reprenons vos cartes pour l’achat d’une
Carte son Delphina lite
DelfSer et audiolab V2.0 pour delphina
ARIADNE 2
ROM 3.1 tout AMIGA
PRO M O TIO N S
Carte Zorro II Micronik
990f
Video slot Zll Micronik
399f
Alim 3A A500/A600/A1200
199f
Picture Manager 4 Pro (va)
299f
Art Studio Pro (va)
249f
Bum It TAO (va) Gravage CD
249f
Fifa Soccer Dk
100 f
Blockhead Dk
100 f
Flying High Data
80f
P R IX
N ET S T T C
*
FRAIS DE PORT
CD/jeux/Logiciel : 3 5 f
Carte/HD/Mem : 60f
Tour :
100f
+1 Of par produit en plus
10H 30-12H 30 / 14H-19H
M EM O IRE / C O P R O C E S S E U R
180f
2190f SIMM 32 bits 16 Mo EDO 60ns
299f SIMM 32 bits 32 Mo EDO 60ns
299f
750f Disque Dur 4.3 Go UWSCSI
2290f
449f
1250f CD Rom 32X Plextor SCSI
500f
D IV E R S
2490f le c t e u r 1,76Mo interne(4) / Externe 449f / 540f
5390f S o u r is Wizard
120 f
120 f
2990f Cable Parnet + Programmes
5990f Cable 2.5/3.5/3.5
100f
TEL
3590f Tour INFINITIV II A1200
+500f Alim Micronik Tour A1200
TEL
TEL
1100f Boitier Clavier A1200
1590f Scsi slot pour tour
149f
Tour A4000
TEL
6290f Tablette Wacom Artpad 2
1250f
5890f Pad Compétition Pro
149f
WordWorth 7
449f
TEL
299f
11 OOf Miami V3 (va)
299f
1990f l-Browse (va)
TurboPrint 6 (va)
399f
PPC
399f
1690f Elastic Dreams CD (va)
Deluxe Paint V CD
TEL
199f
Scala MM400 CD (va)
499f
TEL
Siamese System (va)
TEL
299f
Amiga Tools 8 CD
120f
Aminet 16 à 22 CD
65f
Aminet 23 à 27 CD
85f
WVninet set 6 CD
199f
Amiga Forever 2.0
369f
Samba World Cup CD ou Dk
269f
Quake CD
349f
Time Reckoning Quake CD (Add On)
199f
Foudation CD
269f
Genetics species CD
269f
M O D IF IA B L E S S A N S
P R E A V IS - C H E Q U E A
Akira CD32
Workbench Designer 2 CD
Amiga Tools 6 CD
Geek Gadgets ADE 1 ou 2 CD
Quaterback Tools Bundle
Distant Suns 5.01 CD
Distant Suns 4.2
Flight Amazon Queen
Blitz Tennis
Nemac IV CD
Testament
Master Axe
Humans 3 CD/Dk
Cygnus 8
Uropa 2 CD
Shadow of 3Rd moon CD
Myst CD
Brain Damage Pinball
Simon Sorcerer CD
Megablast
Enemy
Railroad Tycoon
«Colonisation
Giga Graphics CD
P-OS Pre release CD
Sword
PPaint 7.1 CD
UFO
Mega Typhoon
Theme Park
Chaos engine 2 AGA
Mods Anthology CD
Trapped 2 CD
Tiny Troops
Light Rom Gold CD
Light Rom 5 CD
Light Rom 6 CD
Diavolo Backup
Magic Publisher CD
Scala Plug In CD
F15 Strike Eagle II
Final Odyssey CD
On Escapee CD
L ’O R D R E
80f
120f
80f
100f
180f
169f
10Of
169f
100f
149f
129f
129f
149f
100f
199f
199f
299f
149f
149f
100f
149f
149f
180f
149f
120f
160f
249f
149f
149f
149f
149f
180f
180f
180f
180f
199f
290f
299f
199f
199f
149f
269f
269f
D E M Y G A LE
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
nn co avec oon C D -R o m
!
Au som m aire
Dossier : Nurbs, metaballs,
patches...
Pratique 3D ; Amapi 3.0, Poser 3,
Inspire 3D, Design Workshop.
Pratique 2D : Photoshop 4 et 5,
lllustrator 7.
Pratique On/off line : Flah 3,
Director 6.
Pratique musique : Rétro AS-1,
MP3.
Pratique vidéo : Première, Media
Studio Pro.
Making of : Lara Croft au pays de
la pub
Sur le CD
La Démo d'Amapi 3D 4.0.
Application du
traitem ent par lots
à un script CGI
Après avoir abordé le mois dernier le traitement automatique
d'images, nous allons aujourd'hui utiliser ces fonctionnalités
pour permettre à un internaute de consulter une carte de grand
format.
Etape 1 : convertir l'image originale
pour obtenir un fichier au form at RGB
En admettant que l'image originale porte le
nom 'carte.tif', la commande idoine sera ;
convert carte.tif rgb:carte.rgb
Cette étape se révèle indispensable, car
convert n'autorise le découpage de portion
d'image que si le fichier source est codé dans
le form at RGB. A noter tout de même
qu'une image RGB non compressée de
65536 pixels de côté occupe 24 Go (et pas
seulement 12, car chaque composante
rouge, verte et bleue de chaque point est
codée sur 2 octets).
deux premières phases peuvent parfaite­
ment être réalisées avec n'importe quel pro­
gramme, interactif ou non, permettant des
manipulations équivalentes.
A l'inverse, on peut vouloir calculer ces
valeurs si l'on souhaite traiter automatique­
ment de la sorte plusieurs cartes de dimen­
sions différentes. Il demeure relativement
facile de le faire à l'aide de langages tels que
Perl ou TCL en filtrant les informations rap­
portées par la commande tiffinfo ; l'opéra­
tion se montre plus délicate à effectuer avec
un shell traditionnel, mais n'a pour autant
rien d'impossible. Voici comment procéder :
Récupération de la largeur et de la hauteur :
[prompt_shell]% largeur='tiffinfo
carte.tif |grep 1Image Width ’ |awk
’{ print $3 }''
[prompt_shell]% hauteur='tiffinfo
carte .tif |grep ’Image Width1 |awk
’{ print $6 } 1'
La présente syntaxe fonctionne en particu­
lier pour le shell Bash ; en ce qui concerne
les autres shells, il faudra éventuellement
adapter.
D'autre part, les références au format TIFF
pour l'image originale étant omniprésentes
dans ce qui précède, il peut s'avérer préfé­
rable de convertir dès le départ son image
dans ce format à l’aide de la commande :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
La vignette de visualisation.
^ tf^ ^ u i dit grand format, dit image de
■ taille volumineuse, impossible à télécharger, même sur un réseau 100
Mbits, a'autant que les navigateurs n'accep­
tent d'afficher que des images dont les
dimensions n'excèdent pas, en règle généra­
le, les 8000 pixels de côté (nous sommes
loin des 16 000 pixels autorisés dans une
image GIF). D'autre part, réduire l'image
dans le but de la transmettre la rendrait illi­
sible, donc inutilisable. Dans cette situation,
ImageMagick va s'avérer d'un grand secours.
Un programme comme co nvert offre
quelques avantages déterminants dans la
réalisation de ce type d'application. Il peut
notamment s'exécuter en tâche de fond sans
requérir aucune interface graphique, ce qui
implique une belle économie de ressources
en terme de charge CPU. En outre, la pré­
sence de traitements directement exploi­
tables dispense d'une quelconque program­
mation et de connaissances intrinsèques des
formats graphiques ou de leur manipulation.
En conséquence, il permet d'effectuer un
prototypage aisé, et pourquoi pas, une
exploitation en conditions réelles si les temps
de réponse s'avèrent satisfaisants.
Etape 2 : faire une vignette (une
représentation réduite) qui servira de
point de départ à l'internaute
Prenez connaissance des dimensions de
votre image d'origine (à l'aide de tiffinfo par
exem ple, si elle se
trouve au format TIFF)
et déterm inez, uni­
quement sur la base
de votre bon sens, les
dimensions que devra
avoir la vig nette.
Lancez ensuite une
commande du genre :
convert
carte.EXTENSION_FORMAT_QUELCONQUE
tiff:carte.tif
Ensuite, on choisit la largeur et la hauteur
que devra avoir chaque vignette. En toute
logique, on choisira une largeur constante,
ce qui semble relativement approprié dans
convert -geometry
30%x30% carte.tif
gif:carte.gif
ou, si vous préférez
spécifier les valeurs
en p ixe ls (n otre
modèle fait 685 par
925 pixels) :
convert -geometry
205x277 carte.tif
gif:carte.gif
Bien
entendu,
les
Notre carte aux dimensions réelles.
le cas d'une exploitation avec une interface
Web. Prenons donc 250 pixels de large. Le
calcul de la hauteur correspondante res­
semblera alors à :
[prompt_she 11]%
hauteur_apres_reduc tion='expr
250000 / $largeur \* $hauteur /
1000'
avec pas moins de quatre remarques cette
fois. S'il peut sembler ridicule d'utiliser la
valeur 250000 pour, au final, diviser le tout
par 1000, il faut bien garder à l'esprit que la
commande expr travaille essentiellement sur
des valeurs entières et que les calculs avec
des nombres arrondis donnent des résultats
par trop approximatifs. De surcroît, il serait
assez hasardeux d'essayer d'introduire des
parenthèses dans une expression soumise à
expr, car si celle-ci ne bronche pas, les résul­
tats se révèlent pour le moins déroutants.
Le second point porte sur la présence d'une
barre de fraction inverse juste devant l'asté­
risque, ceci dans le but d'empêcher le shell
de substituer à cette astérisque la liste des
fichiers contenus dans le répertoire courant.
En troisième lieu, prenez soin d'insérer au
moins un espace après chaque opérande et
opérateur, car la syntaxe d'expr l'exige.
Enfin, les apostrophes sont ici de type 'inver­
se'.
En conclusion, après ces différentes com­
mandes, la création de la vignette ressem­
blera à :
santés pour expérim enter notre petite
application.
Il faut copier le fichier carte.gif dans le
même répertoire que le fichier HTML cidessus, en l'o ccu rre n ce le dossier
/home/httpd/html/carto, créé pour l'occa­
sion.
Ci-après se trouve le contenu du fichier
nommé 'zoom' dans le répertoire des
scripts CGI (tel que défini dans le fichier de
c o n fig u ra tio n de votre serveur W eb,
/hom e/http d /cg i-b in par défaut pour
apache 1.2.6 sur Linux Red Hat 5.1).
Première version :
N etscap e
1 #!/bin/bash
2
3 largeur_vignette='250'
4
5 largeur='/usr/bin/tiffinfo
/home/httpd/html/carto/carte.tif
|grep 1Image Width’ |awk 1{ print
$3 }•'
6 hauteur='/usr/bin/tiffinfo
/home/ht tpd/html/carto/carte.tif
|grep ’Image Width1 |awk '{ print
$6 } • '
7
8 facteur='expr $largeur \* 1000 /
$largeur_vignette'
9
10 x='echo $QUERY_STRING | sed -e
’s/point_selectionne\.x=//;s/&point
_selectionne\.y=[0-9]*//1'
11 y='echo $QUERY_STRING | sed -e
's/point_selectionne\.x=[0-
Premier script de l'étape 3 (la vignette
dans un navigateur SANS menu gamma).
200+$csg_x+$csg_y]
gif :/home/httpd/html/carto/tmp/régi
on_$$.gif
17
18
19 echo Content-type: text/html
20 echo
21
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
convert -geometry
25Ox$hauteur_apres_reduction
carte.tif gif:carte.gif
9]*&point_selectionne\.y=//''
12
13 csg_x='expr $x \* $facteur /
Il est possible que la vignette fasse un pixel
de moins en largeur que la taille deman­
dée, car les résultats fournis par expr se
voient systém atiquem ent arrondis par
défaut et parce que convert conserve les
proportions de l'image.
1000 - 100'
Étap e 3 : réd a ctio n du scrip t
/home/httpd/html/carto/carte.rgb [200x
Le script affichera une portion découpée
depuis l'image originale au format RGB, en
fonction des coordonnées du point sélec­
tionné par l'utilisateur, sur la représentation
réduite (la vignette), comme s'il s'agissait
d'un zoom.
Le fichier HTML qui va présenter la vignet­
te à l'utilisateur devra comporter les élé­
ments suivants :
<FORM ACTION="/cgi-bin/zoom"
METHOD="GET">
<INPUT TYPE="image" SRC="carte.gif"
NAME= "point_selectionne" BORDER="0">
</FORM>
Ces trois directives sont pleinement suffi-
14 csg_y='expr $y \* $facteur /
1000 - 100'
15
16 /usr/XI1R6/bin/convert -size
${largeur}x$hauteur
22 echo "x = $x ; y = $y<P>"
23 echo "csg_x = $csg_x ; csg_y =
$csg_y<P>"
24
25 echo "PID = $$<P>"
26
27 echo "largeur = $largeur ; hauteur =
$hauteur<P>"
28
29 echo "/usr/X11R6/bin/convert -size
${largeur}x$hauteur
/home/httpd/html/carto/carte.rgb [200x
200+$csg_x+$csg_y]
gif :/home/httpd/html/carto/tmp/regi
on_$$.gif<P>"
30
31 echo 1<IMG
HRE31
Eichw £dkioo ^fichage AJtei £ommunicatoi 2
à
Recharge»
f ’ Signet*
Accuei
a
:S
Reche.
Adesse: | -119Scpom»_îetectionne y-161
x = 119 ; y = 161
csg_x = 376 ; csa
y=
544
PID = 7114
largeur = 685 , hauteur = 925
/usr/Xl lR6/bm/convert -size 685x925
/home/http d/html/c arto/c arte.rgb [200x200+376+544]
gif/home/hîtp d/html/c arto/tmp/region_7114.gif
" *
Second script de l'étape 3 (le zoom dans
un navigateur SANS légende et
AVEC 'debug').
moyen de pallier les aléas de la valeur de la
variable d'environnement PATH communi­
quée au script (remarquez au passage le
manque cruel de rigueur, puisque les com­
mandes sed et expr ne bénéficient pas du
même traitement ; quant à echo, il s'agit
d'une commande interne du shell qui ne
peut donc pas se voir attribuée de chemin
d'accès). Petit rappel, la commande 'which'
peut vous permettre de connaître le chemin
d'accès d'un programme, simplement en lui
fournissant comme paramètre le nom de
celui-ci, comme dans 'which convert'.
D'autre part, concentrons-nous sur l'utilisa­
tion de la variable spéciale $$. Il s'agit d'un
vieux truc assez simple et suffisamment effi­
cace lorsque l'on veut créer des fichiers tem­
poraires sur un système multitâche/multi-uti­
lisateurs. De fait, on ne saurait se permettre
de choisir un nom de fichier figé, car plu­
sieurs personnes peuvent exécuter le même
programme (ce script en l'occurrence)
presque simultanément ; il en résulte que le
fichier temporaire est uniquement valide
pour le dernier des utilisateurs à l'avoir sollici­
té. Un identificateur unique est le PID
(Process IDentification), qui se trouve remis à
0 lors uniquement du reboot. L'accès à cette
valeur dans un shell s'opère par le biais de la
variable $$, ce qui explique qu'on l'utilise
dans le cas présent.
Enfin, le troisième point important consiste
dans l'usage des accolades comme délimi­
teurs du nom de variable 'largeur'. Leur pré­
sence s'explique par la lettre x suivant direc­
tement le nom de la variable. Comme la
syntaxe de convert n'autorise pas d'espace,
les accolades permettent de faire com ­
prendre au shell que la variable en question
est bien 'largeur' et non pas ’largeurx'.
Afin de ne pas tout mélanger, les fichiers
temporaires sont entreposés dans un sousrépertoire créé spécialement et baptisé 'tmp'
dans notre dossier 'carto'. Il ne faut pas
oublier de donner le droit d'écriture à tout le
monde pour le répertoire 'tmp' car, par
défaut, l'utilisateur associé à l'exécution d'un
script CGI est le pseudo-utilisateur 'nobody'
et, s'il n'a pas le droit d'écrire dans 'tmp',
aucune image temporaire ne pourra se
créer.
Aux lignes 19 et 20 correspond l'envoi au
navigateur Web de l'en-tête du document
HTML que nous sommes en train de créer
dynamiquement. Le deuxième echo sans
paramètre se révèle extrêmement impor­
tant : il provoque l'envoi d'un second retour
chariot, qui est identifié par le navigateur
Web comme le séparateur entre la zone des
en-têtes arrivée en premier et la zone des
données qui va suivre. Lignes 22 à 29 se
déploie l'affichage de toutes les variables
nécessaires à ce script, utile uniquement
pendant la phase d'élaboration. Sa présen­
ce ici sert à montrer qu'il s'agit encore de la
méthode la plus simple et la plus pratique
de vérifier la cohérence des données tout
au long de la conception. Ainsi, la façon
dont le shell interprète les paramètres com­
muniqués à une commande, pour mettre en
évidence des pièges comme celui qui impo­
se de faire usage d’accolades, va même jus­
qu'à s'afficher. La ligne 31 se consacre à la
directive HTML pour l'affichage de la portion
d'image découpée ; elle nécessite seulement
deux remarques. D'une part, il convient de
bien faire attention aux chemins d'accès mis
en œuvre ; en effet, nous sommes contraints
de mélanger des références propres au systè­
me de fichiers du système d'exploitation et
d'autres spécifiques au classement interne du
serveur Web (de plus, il faut prendre garde à
l'emploi d'un chemin d'accès relatif, le réper­
toire où s'exécute le script n'ayant rien à voir
avec celui où se trouve le fichier HTML qui y
fait référence). D'autre part, focalisons-nous
sur l'emploi qui est fait des apostrophes
comme délimiteurs. La difficulté ici consiste
à éviter l'interprétation des signes supérieur
et inférieur ; il y aurait possibilité d'utiliser des
guillemets ou des apostrophes mais, puisque
l'on veut aussi incorporer des guillemets
dans la directive HTML, on utilise alors les
apostrophes comme délim iteurs. Mais,
comme les apostrophes, à l'inverse des
guillem ets, annulent l'évaluation des
variables introduites par le caractère $, on
place celles-ci en dehors des guillemets. En
résumé, la règle à retenir est que les apos­
trophes évitent l'interprétation de caractères
jugés spéciaux par le shell, sauf pour les
variables avec $ comme préfixe. Les apos­
trophes vont plus loin en inhibant aussi l'in­
terprétation de ce caractère S. Pour les pro­
grammeurs Perl, cela s'avère d’autant plus
facile à retenir que ces règles demeurent
identiques dans ce langage.
Les deux principaux défauts de cette premiè­
re version sont l'absence de traitement
approprié pour les découpages débordant
de l'image originale et l'utilisation de fichiers
temporaires.
En effet, si le morceau à découper déborde
de l'image source, le résultat n'est pas auto­
matiquement tronqué. Un débordement en
largeur crée une bande latérale sur la nouvel­
le image générée. En hauteur, le programme
convert ne rend tout simplement pas la
main.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
SRC="/carto/tnp/region_' $$ '.gif">'
Note : les numéros en regard de chaque
ligne sont uniquement présents pour des rai­
sons de commodité et ne doivent pas appa­
raître dans votre script.
Ligne 3, la largeur de la vignette étant tota­
lement arbitraire, il nous faut bien la définir
explicitement. Ligne 8, le point que va sélec­
tionner l'internaute se verra exprimé par rap­
port aux dimensions de la vignette ; or, il
nous faut des valeurs données par rapport
aux dimensions de l'image originale pour
pouvoir découper une région à l'intérieur. La
variable 'facteur' va nous permettre de les
calculer. Lignes 10 et 11, à l'aide de sed, on
extrait de la variable d'environnem ent
QUERY_STRING, créée par le serveur Web
pour le script CGI, les valeurs x et y du point
sélectionné (en fonction de la directive
INPUT de notre document HTML, la variable
QUERY_STRING correspond à une chaîne,
qui ressemblera à :
point_selectionne.x=l 23&point_selectionne.y=456). Lignes 13 et 14, on calcule les
coordonnées du coin supérieur gauche de la
région que l'on va découper en choisissant
arbitrairement une portion carrée de 200
pixels de côté.
Ligne 16, on procède au découpage à pro­
prement parler. Trois choses sont à noter. En
premier lieu, intéressons-nous à l'utilisation
du chemin d'accès complet pour chercher le
programme convert. Celle-ci donne le
Étape 3b : am élioration du script
Ce nouveau script a pour but de recentrer
l'image découpée en fonction des limites de
l'image originale, de façon à éviter des bor­
dures latérales disgracieuses et des blocages,
informa
Dream vous propose de participer à cette
rubrique Dream Market. Particuliers, clubs,
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Fichier
Edition Affichage Aller Communicator
i
-y
Précédent
$ " Signets
Recharger
/point_selectionne\.x= (\d+) &point_
selectionne\.y=(\d+)/;
20
A
Accueil f l | l
Adresse: |int_selectionne.y=1611▼]
Document HTML généré dynamiquement
faisant référence à une image qui va être à
son tour générée dynamiquement
21 $csg_x = min (max (0, int ($x *
$facteur - 100)), $largeur - 200);
22 $csg_y = min (max (0, int ($y *
$facteur - 100)), $hauteur - 200);;
23
24 systen* ("/usr/XIlR6/bin/convert
-size ${largeur}x$hauteur
/hcme /httpd/html /carto /carte.rgb [200x
200+$csg_x+$csg_y]
gif :/home/httpd/html/carto/tmp/regi
on_$$.gif");
25
26 print <<"FIN_HTML" ;
27 Content-type: text/html
28
29 x = $x ; y = $y<P>
30 csg_x = $csg_x ; csg_y =
SANS laisser de trace sur le disque du
serveur.
Document: chargé
Etape 3e (zoom dans un navigateur
AVEC légende et SANS 'debug').
pour les découpes susceptibles de dépasser
en haut ou en bas. Par conséquent, il est
nécessaire d'introduire des calculs supplé­
mentaires, qui vont nécessiter l'utilisation
d'un langage comme Perl, plus à même d'ef­
fectuer ces calculs que la commande 'expr'.
Vous trouverez ci-dessous la traduction du
script en Perl, avec une légère amélioration
consistant donc à recadrer la portion décou­
pée, lignes 21 et 22, afin qu'elle soit toujours
dans les strictes limites de l'image originale,
et pour s'assurer de ne pas provoquer de
blocage.
$csg_y<P>
31
32 PID = $$<P>
33
34 largeur = $largeur ; hauteur =
$hauteur<P>
35
36 /usr/XllR6/bin/convert -size
${largeur}x$hauteur
exclusivem ent la portion découpée, et
dans ce cas, il s'agit d'un simple script qui
envoie l'en-tête approprié et conclut son
traitem ent par l'exécution de convert,
lequel envoie, son tour, son résultat sur la
sortie standard. Soit l'on désire incorporer
la portion choisie dans un docum ent
HTML et il faut alors scinder la tâche en
deux scripts qui vont travailler en alternan­
ce ; le premier servira élaborer dynami­
quem ent le document HTML avec une
directive d'insertion d'image faisant réfé­
rence au second, celui-ci ayant pour rôle le
découpage de la portion d'image et son
envoi sur la sortie standard avec l'en-tête
adéquat.
Passage la pratique. Premier cas :
à
à
à
1 #!/usr/bin/perl
2
3 $largeur_vignette = 250;
4
5 open (TIFFINFO, '/usr/bin/tiffinfo
/hcme/httpd/html/carto/carte. tif |');
6 while (<TIFFINFO>)
7 {
8
if (/Image Width: (\d+)
Image Length: (\d+)/)
9
{
10
$largeur = $1;
11
$hauteur = $2;
12
last;
13
}
14 }
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
1 #!/usr/bin/perl
2
3 $largeur_vignette = 250;
4
5 cpen (TIFFINFO, 1/usr/bin/tiffinfo
/haæ/httq?d/html/carto/carte.tif |');
6 while (<TIFrFINFO> )
7 {
8
if (/Image Width: (\d+)
Image Length: (\d+)/)
9
10
{
$largeur
= $1;
11
$hauteur = $2;
12
last;
13
}
14 }
15 close (TIFFINFO);
16
17 $facteur = $largeur /
$largeur_vignette;
18
19 ($x, $y) = $ENV{ 1QUERY_STRING '}
/hone/httpd/html/carto/carte.rgb [200x
200+$csg_x+$csg_y]
gif :/home/httpd/html/carto/tmp/regi
on_$$.gif<P>
37
38 <IMG
SRC="/carto/tmp/region_$$.gif">
39 FIN_HTML
40
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
51
52
53
sub min
{
local ($ v l , $v2) = @_;
15 close (TIFFINFO);
16
17 $facteur = $largeur /
$largeur_vignette;
18
19 ($x, $y) = $ENV{ 1QUERY_STRIN3 '} =~
/point_selectionne\ .x= (\d+) &point_s
electionne\.y = (\d+)/;
20
retum ($vl < $v2) ? $vl : $v2;
}
sub max
{
local ($ v l , $v2) = @_;
retum ($vl > $v2) ? $vl : $v2;
}
Etape 3c : élim ination des fichiers
tem poraires
Le but de ce nouveau script est de rempla­
cer les fichiers temporaires par une utilisa­
tion judicieuse de la sortie standard avec
convert, car les fichiers temporaires se mon­
trent particulièrement gênants dans le cas
du Web, vu qu'ils ne peuvent déterminer
avec e xactitu d e la durée de vie q u 'il
convient de leur accorder.
Deux solution existent. Soit l'on affiche
21 $csg_x = min (max (0, int
$facteur - 100)), $largeur 22 $csg_y = min (max (0, int
$facteur - 100)), $hauteur 23
24 $| = 1;
25
26 print "Content-type:
image/gif\n\n";
27
($x *
200);
($y *
200);;
28 system ("/usr/XllR6/bin/convert
-size ${largeur}x$hauteur
/hcsme/httpd/html/carto/carte.rgb [200x
200+$csg_x+$csg_y] gif:-");
29
30 sub min
31 {
32
33
34
local ($vl, $v2) = @_;
retum ($vl < $v2) ? $vl : $v2;
35 }
36
37 sub max
3 $largeur_vignette = 250;
4
5 open (TIFFINFO, 1/usr/bin/tiffin-
38 {
39
40
41
42 }
fo /home/httpd/html/carto/carte.tif
local ($vl, $v2) =
retum ($vl > $v2) ? $vl : $v2;
Vous remarquerez les deux principales inno­
vations de ce script, le type du document
créé, 'image/gif', remplaçant 'text/html', et le
nom du fichier destination dans les para­
mètres de convert qui laisse place au tiret. Ce
caractère symbolise sous UNIX, pour bon
nombre de program m es - et convert
n'échappe pas à cette règle - l'entrée ou la
sortie standard. L'image ainsi créée ne transi­
te plus sur le disque mais est directement
expédiée au navigateur Web de l'internaute.
Petite variante : si votre image d'origine n'est
pas une carte utilisant peu de couleurs mais
une photo, le format GIF ne s'avère pas for­
cément le plus approprié. Au contraire, le
JPEG est recommandé. Cela tombe à pic, car
non seulement vous retrouverez toutes vos
couleurs mais, pompon sur le gâteau, l'ima­
ge élaborée nécessitera un nombre d'octets
bien moins important que son équivalent
GIF - environ trois fois moins - en conservant
une bonne qualité. Enfin, et cela est aussi
intéressant pour une image peu colorée,
dans le contexte présent, convert demandera
environ cinq fois moins de temps pour créer
une représentation au format JPEG que son
équivalent au format GIF. Pour parvenir à ce
résultat, il suffit d'apporter trois modifica­
tions mineures aux lignes 26 et 28 pour
obtenir ce qui suit.
P IR E
Netscape
Fichier
Edition Affichage Aller
i
Précédent
I ');
Communicator 2
Recharger
Signets
Aller à:
sI
à
Accueil J
V/locafhost/carto
3
6 while (<TIFFINFO>)
7 {
8
if (/Image Width: (\d+)
Image Length: (\d+)/)
9
10
11
12
13
14
15
16
17
{
$largeur
$hauteur
last;
= $1;
= $2;
}
}
close (TIFFINFO);
$facteur = $largeur /
Correction gamma
$largeur_vignette;
18
19 ($x, $y) = $ENV{ 1QUERY_STRING1}
/point_selectionne\.x= (\d+ )&point_
sélectionne\.y=(\d+)/;
20
21 $csg_x = min (max (0, int ($x *
$facteur - 100)), $largeur - 200);
22 $csg_y = min (max (0, int ($y *
$facteur - 100)), $hauteur - 200);;
23
24
25 print « " FIN_HTML";
26 Content-type: text/html
27
28 Document HTML g&eacute;n&eacu-
J'
Document: chargé
Premier script de l'étape 3 f (vignette dans
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
= NATIONALE
26 print "Content-type:
image/jpeg\n\n";
27
28 System ("/usr/XllR6/bin/convert
-quality 90 -size ${largeur}x$hauteur
/home/httpd/html/carto/carte.rgb[20
0x200+$csg_x+$csg_y] j p e g : );
Ligne 26, on remplace 'gif' par 'jpeg'. Ligne
28, on fait de même et on ajoute le niveau
de qualité de l'image à produire (75 par
défaut si cette option est absente).
Le second cas consiste à scinder la tâche
en deux : un premier document au format
HTML est retourné au navigateur, qui fait
référence à une image n'existant pas enco­
re ; en effet, on se contente simplement
dans cette référence d'invoquer le script
chargé de l'élaborer. Le premier script est
donc remanié pour donner ce qui suit.
1 #!/usr/bin/perl
2
te;r&eacute; dynamiquement faisant
r&eacute;f&eacute;rence &agrave;
une
29 image qui va &ecirc;tre &agrave;
son tour g&eacute;n&eacute;r&eacu­
te ;e dynamiquement<P>
30
31 <IMG SRC="/cgi-bin/
image_seule.pl?$csg_x.$csg_y.$lar­
geur .$hauteur"><P>
32
33 SANS laisser de trace sur le
disque du serveur.
34
35 FIN_HTML
36
37 sub min
38 {
39 local ($vl, $v2) = @_;
40
41 r e t u m ($vl < $v2) ? $vl : $v2;
42 }
43
44 sub max
45 {
46 local ($vl, $v2) = @_;
47
un navigateur AVEC menu gamma).
=
DEPARTEMENTALE
Fichier qui va servir de légende
pour l'étape 3.
48 r e t u m ($vl > $v2) ? $vl : $v2;
49 }
On y retrouve une structure générale pré­
sentée précédem m ent avec quelques
retouches. L'appel à convert a disparu, et la
directive 'IMG' fait désormais référence à
un second script plutôt qu'a une image
statique.
Ce fam eux script, 'im age_seule.pl', est
explicité ci-dessous.
1 #!/usr/bin/perl
2
3 ($csg_x, $csg_y, $largeur,
$hauteur) = split (/\./,
$ENV{’QUERY_STRING'});
4
5 $| = 1;
6
7 print "Content-type:
image/jpeg\n\n";
8
9 system ("/usr/XHR6/bin/convert
-quality 90 -size ${largeur}x
$hauteur
/home/httpd/html/carto/carte.rgb [20
0x200+$csg_x+$csg_y] jpeg:-");
Point très important à respecter : la présence
de la ligne 'SI = 1;', ici, et dans les scripts pré­
cédents. La variable spéciale SI en Perl gère
le comportement des entrées/sorties quant à
l'utilisation des buffers. Par défaut, les
entrées/sorties sont 'bufferisées' (anglicisme
barbare mais... faute de trouver mieux),
essentiellement pour des questions de per­
formances. Dans le cas présent, l'affichage
de l'en-tête 'Content-type...' ne suffit pas à
remplir à lui seul le buffer ; le contenu de
celui-ci ne se trouve donc pas 'transmis' (de
plus, la fin du script n'étant pas atteinte, ce
buffer n'a pas non plus de raison de se vider
- 'flush' en anglais - ) et l'on passe alors sur la
commande System qui invoque convert.
Celle-ci envoie l'image, le script récupère la
main, se termine et ses buffers se vident ;
l'en-tête est alors, seulement à ce moment,
envoyé... Un peu trop tard !
Étape 3d : utilisation d'une version
compressée de l'image RGB
Si l'image au format RGB est vraiment trop
volumineuse, il reste possible de la compres­
ser, au détriment, on s'en doute, des perfor­
mances. En effet, convert reconnaît et traite
automatiquement les fichiers compressés à
l'aide de compress ou de gzip, grâce à la
présence des suffixes caractéristiques que ces
commandes ajoutent aux noms des fichiers.
Deux minuscules manipulations suffisent. La
première consiste bien sûr à compresser
l'image RGB.
/hcrne/httpd/html/carto/legende.tif ' quality 90 -size ${largeur}x$hauteur
/home/httpd/html/carto/carte.rgb.gz
[200x200+$csg_x+$csg_y] jpeg:-");
Vous remarquerez la présence effective de
l'extension '.gz' derrière le nom de l'image
RGB et la syntaxe permettant d'incruster
notre légende sur la portion de carte présen­
tée à l'internaute, placée dans son coin infé­
rieur droit, à 10 pixels de distance des bords.
Ne subsiste qu'un seul petit regret : à moins
d'avoir omis une possibilité lors des tests, la
gestion de la transparence de l'image collée
(si elle existe) fait défaut.
Étape 3f : gestion libre de la
correction gamma
Poussons nos investigations un petit peu
plus loin pour épater notre internaute en lui
offrant la possibilité de modifier à sa guise la
correction gamma de la portion d'image qui
lui sera présentée. Il faut pour cela modifier
nos trois fichiers. Dans le document HTML
de présentation de la vignette, on ajoute
quelques directives pour arriver au résultat
suivant :
<FORM ACTION= "/cgi-bin/doc_html.pl "
METHOD="GET"><INPUT TYPE="image"
image/ jpeg\n\n" ;
System ("/usr/XHR6/bin/convert
-draw 'image 90,170
/home/httpd/html/carto/legende.tif '
-quality 90 -gamma $gamma -size
${largeur}x$hauteur
/home/httpd/html/carto/carte.rgb.gz
[200x200+$csg_x+$csg_y] jpeg:-");
Ceci clôt ce survol de quelques-unes des
très nombreuses possibilités de convert.
Passons m aintenant aux réflexions de
comptoir. Bien évidemment, il y a moyen
d'améliorer encore les temps de réponse,
en commençant par éviter d'invoquer sys­
tém atiquem ent le program m e tiffinfo
alors que l'on se trouve en mesure de
stocker les informations nécessaires dans
un fic h ie r à p art, po u van t s'ap p eler
carte.rgb.size par exemple. Il est mainte­
nant de votre ressort d'optim iser ces
quelques exemples.
On pourrait aussi, afin d'éviter la multipli­
cation des scripts qui concourent à un
même but, les regrouper en un seul avec
une détermination automatique du traite­
ment à accomplir par une simple analyse
du contenu de la variable d'environne­
ment QUERY_STRING. Un unique script
pourrait alors, tour à tour, engendrer le
document HTML ou envoyer l'image invo­
quée par ce document, suivant la nature
des
p aram ètres
d é tectés
dans
QUERY_STRING.
Yannick Cadin
Yannick@kommando. com
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
gzip -9 carte.rgb
La seconde se résume à remplacer dans le
script CGI le nom 'ca rte .rg b ' par
'carte.rgb.gz'. C'est tout !
Étape 3e : ajout d'une image
superposée
Cette image, qui se superpose à celle
découpée, peut contenir, par exemple,
une légende, une règle des distances pour
avoir une idée de l'échelle, le logo de la
société offrant le service (en guise de copy­
right) ou une sorte d'étiquette arborant en
gros le mot 'évaluation', pour montrer à
l'internaute qu'il n'accède qu'à une version
de démonstration.
Dans cette optique, il est nécessaire de
créer une nouvelle image (avec Gimp par
exemple) de 100 pixels de large sur 20 de
haut pour les besoins de ce petit amuse­
ment. Trois horreurs gribouillées plus tard,
et nous avons un fichier 'legende.tif'. Il ne
reste plus qu'à apporter une ultime modifi­
cation au dernier script pour que l'appel à
convert devienne :
System ("/usr/XHR6 /bin/convert
-draw 'image 90,170
SRC="carte.gi f" NAME="point_
sélectionne" BORDER="0">
<P>Correction gamma <SELECT
NAME=" gamma ">
<OPTION>0.8<OPTION
SELECTED>1.0<OPTION>1.2<OPTION>l.4
<OPTION>l.6<OPTION>l.8<OPTION>2.0<O
PTION>2.2</SELECT>
</FORM>
N etscape
En fait, on se contente de proposer un
menu déroulant avec quelques valeurs pré­
définies dans l'intervalle autorisé par l'op­
tion -gamma de convert.
Dans le script principal, les lignes 19, 20 et
31 sont remplacées par :
19 ($ganiTia, $x, $y) =
$ENV{'QUERY_STRING'} =~
/ganrma= (\d\.\d)&point_selecticnne\.
x= (\d+)&point_selectionne\ .y= (\d+) /;
20 $gamma *= 10;
Fichier
1-
Edition Affichage Aie*
à
Précédent
jÇ
Recharger
Signets
x|
Communicator 2
a
m
Accueil H
Adresse: |int_seiectionne y=161
Document HTML généré dynamiquement
faisant référence à une image qui va être à
son tour générée dynamiquement
31 <IMG SRC="/cgi-bin/
image_seule.pl?$csg_x.$csg_y.$lar­
geur .$hauteur.$gamma"><P>
En fin , le second et d ern ie r scrip t
(image_seule.pl) ressemblera à :
#!/usr/bin/perl
($csg_x, $csq y, $largeur, $hauteur,
$gamra) = split (/\./,
$ENV{ ' QUERY_STRHSG ' } ) ;
$gamma /= 10;
$| = 1;
print "Content-type:
SANS laisser de trace sur le disque du
serveur
d
Document: chargé
Second script de l'étape 3f (le zoom dans
un navigateur AVEC légende et AVEC
correction gamma).
VA?ÛWA>£:
tuvmMi
O % pub 0
10O % critique
50 % humour
La liberté de la
-- - - - p r ix
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Obj et
Comportements
dynamiques
Une notion très importante nous manque pour parfaire notre modélisation de systèmes
informatiques : le temps.
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a définition précise d'un temps n'est
pas chose facile. Les méthodes de
génie logiciel simplifient générale­
ment l'aspect dynamique des systèmes en
introduisant le concept d'événement. UML
L
permet par exemple de préciser les rela­
tions entre objets, en détaillant les diffé­
rents messages que les objets associés
échangent. L'évolution de l'état interne
d'un objet donné est également impor­
tante et prise en com pte.
Cependant, aucune aide
ne se voit proposée,
c o n ce rn a n t
le
p a r a llé lis m e
et/ou
la
concurrence, ainsi que les performances. Il
n'existe donc pas réellement de notion de
temps clairement définie. UML propose
cependant plusieurs solutions pour aborder
l'aspect dynamique des logiciels ; celles-ci
ne trouveront leurs limites que dans le
cadre de projets critiques, dont les perfor­
m ances d o ivent être étudiées dès la
conception (systèmes temps réels, paral­
lèles, etc.).
Evo lu tio n de l'é tat in tern e
Avant de pouvoir étudier le comporte­
ment dynamique d'un système dans son
intégralité, il est important de pouvoir
modéliser l'évolution d'un unique objet.
Les diagrammes d'état-transition d'UML
s'avèrent très voisins des célèbres auto­
mates finis. Chaque état du diagramme
est associé à une "valeur" particulière de
l'état interne de l'objet étudié. Les transi­
tions (arcs orientés) correspondent aux
événements (extérieurs ou engendrés par
l'o b jet lui-m êm e) qui m odifient cette
valeur de l'état interne. Il est bien sûr diffi­
cile, voire irréalisable, de dépeindre préci­
sément l'état interne d'un objet donné ; on
s'intéresse donc plutôt à une description
aussi minutieuse que possible de cet état.
Dans le même ordre d'idée, il y a moyen
de c o n c e vo ir p lu sie u rs d iag ram m es
d'état-transition pour un seul objet : cha­
cun d'entre eux modélise un aspect parti­
culier du comportement de l’objet. Un
diagramme d'état-transition pour l'objet
Critère de minidb est donné en figure 1.
Cet objet se résume à une fiche spéciale
composée de champs et de descriptions
de valeurs pour ces champs (expressions
régulières). Cela permettra d'effectuer
des recherches dans une base minidb. Le
d iag ram m e est assez e x p lic ite m ais
incomplet : il faudrait donner une des­
cription plus précise des états et transi­
tions représentés. Ces diagram m es se
trouvent généralement élaborés en faveur
d'objets relativement complexes ; pour
les autres, on se contentera de donner
une description rapide de leur comporte­
ment interne.
Collaborations et messages
Nous allons maintenant nous intéresser au
com portem ent du système (ou de ses
sous-systèmes), décrit par le (ou les) dia­
gramme^) de classes. Les objets commu­
niquent, selon UML, par l'intermédiaire de
messages. Un message constitue un évé­
nement ponctuel qui relie momentané­
ment deux objets. La sémantique de ces
messages n'est pas clairement définie : il
peut s'agir d'une simple notification ou
d'un véritable transfert d'informations. Le
cas d'utilisation associé à la fonctionnalité
"Recherche dans une base minidb" s'avère
relativem ent sim ple. Dans un prem ier
temps, l'utilisateur saisit un critère de
recherche (notre pseudo-fiche étudiée cidessus). Ensuite, la première fiche est
comparée à ce critère ; si elle n'y corres­
pond pas, on passe alors à la prochaine
fiche, etc. Certes, cet algorithme linéaire
se montre relativem ent coûteux, mais
n'oublions pas que nos bases sont hétéro­
gènes (on ne se voit pas en mesure de
stocker les fiches de manière à accélérer
les recherches, puisque chacune d'entre
elles peut contenir des informations qui
lui sont p ro p re s). V oici ce que nous
déduisons légitimement en terme d'ob­
jets et de messages :
1 : Base demande à l'utilisateur un critère
2: Le critère est vérifié
3: Le critère est comparé avec la fiche cou­
rante
objets. De même, ce diagramme n'expli­
cite pas les méthodes employées pour les
comparaisons et autres fonctionnalités
mises en jeu. Il faudrait construire des
diagrammes associés, sauf dans les cas les
plus triviaux pour lesquels le diagramme
de classe su ffit a m p le m e n t à "co m ­
prendre" les interactions entre objets. La
notion de temps est représentée de façon
optionnelle, par une numérotation des
différents messages décrits sur les dia­
grammes de collaboration.
Privilégier la représentation du
tem ps
Lorsque le tem ps d e vie n t un critè re
important, les diagrammes de séquence
s'avèrent plus précis que les diagrammes
de collaboration. Ils permettent de décri­
re précisém ent le déroulem ent d'une
interaction entre objets. En haut de ces
diagrammes, les objets mis en jeu se ran­
gent en ligne. L'échelle des temps est
croissante du haut vers le bas du dia­
gramme. Chaque message créé à un ins­
tant (relatif) donné est représenté par
une flèche de l'objet source vers l'objet
destination. La durée de traitement avant
ou après réception/envoi de message
peut se voir figurée par des barres verti­
cales. En ce qui concerne la conception, il
s'agit évidemment de "conseils" ou de
"désirs", mais ces informations seront très
utiles pour l'implémentation. La figure 3
présente un diagram m e de séquence
pour le cas d'utilisation : "Comparaison
du critère de recherche avec la fiche cou­
rante". Pour chaque champ de la fiche
"Critère", on vérifie qu'il existe un champ
correspondant dans la fiche courante.
Pour chacun de ces cham ps, on tente
d'associer la valeur de la fiche courante à
la d e scrip tio n du c ritè re . Si tous les
Pl us l o i n a v e c U M L
Notre connaissance de base de certains
p r in c ip e s in t r o d u its p a r U M L nous
p e rm e t d 'o re s et d é jà d 'a b o rd e r le
développement de logiciels d'une manière
plus efficace, plus "propre". Cependant ,
la "véritable" notation UML dem ande
b e a u c o u p p lu s de rig u e u r d a n s la
réalisation des fameux diagrammes de
conception. Pour les lecteurs intéressés
par une étude plus approfondie de cette
norm e, citons deux ouvrages dans la
langue de Molière :
Pour Une Approche Assez "Théorique" Et
Complète.
Modélisation Objet Avec UML par PierreAlain Muller, aux éditions Ey roiles.
Pour a b o rd er l'aspect implém entation
(avec C++) ;
UM L E t C++,
aux é d itio n s P ren tice
Hall/Simon & Shuster MacMillan (55M).
champs se trouvent vérifiés de la sorte,
alors il devient évident que la recherche
est terminée. Le temps mis en jeu ici a
une nature continue, puisque les durées
de traitement s'ajoutent à la notion de
su cce ssio n des m essag es. Ces d ia ­
grammes consacrés aux aspects dyna­
miques de la conception seront les der­
niers que nous aborderons dans cette ini­
tiation (il y en a de nombreux autres,
plus ou moins utiles, dans la "norme"
UML). Nous nous intéresserons pendant
quelques numéros au problème de l'im­
p lém en tatio n ; ce sera l'occasion de
découvrir quelques langages objets plus
ou moins connus : C++, Java, Smalltalk,
Objective C et Eiffel. Vaste programme !
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Le diagramme de collaboration est facile­
ment réalisable à partir de cette descrip­
tion (figure 2). Notez que nous ne modélisons pas l'algorithme dans son intégrali­
té, m ais u n iq u e m e n t les lien s entre
Critère
Fred Pesch
Champs de
Critère
Champs de Fiche
courante
1 : Extraire
2: Comparer
v
3: Si succès
i_________
?
Recommencer
pour le prochain
critère
En cas d'échec,
annuler la
recherche
Une représentation plus fine du temps avec le diagramme de séquence.
Per l
L'instruction "format" se termine par un
point, pour marquer la fin de la définition
du m o dèle d 'a ffic h a g e . Dans cet
exem p le, "FORM AT1" est un nom de
variable qui représentera ensuite notre
m odèle (p ar hab itu d e, on utilise des
noms en m ajuscules, comme pour les
descripteurs de fichiers). Ici, ce modèle
reste entièrement statique, mais on peut
bien sûr y incorporer les contenus prove­
nant de diverses variables,
Faire bonne
impression
Après les CGI le mois dernier, voici un deuxième exemple
concret d'utilisation de Perl, qui pourra vous servir à produire de
belles pages de statistiques et d'époustouflantes factures.
format FORMAT2 =
*** total : @ « < - moyenne : @ « <
X X *
$total, $moyenne
Dans ce d euxièm e exem p le, on peut
noter, sur la première ligne, que deux
cham p s so nt d estin és à a ffic h e r des
valeurs en provenance de deux variables.
On utilise pour cela les définitions de
champs du tableau 1, selon l'alignement
que l'on souhaite produire en sortie. Us
nous permettent, comme en Cobol (pour
ceux qui connaissent), de déterminer le
nombre de caractères à utiliser afin d'affi­
cher chaque valeur, ce qui nous donne
ainsi le moyen de maîtriser l'alignement
des données dans notre page. Chaque
ligne d'un m odèle co n ten an t de tels
champs doit être immédiatement suivie
par la liste des variables à substituer, sur
la ligne suivante. S'il y en a plusieurs,
comme dans notre exemple, alors on les
sépare par une virgule.
$ perl scriptl.pl
j 37
j 02
| 34
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75
62
I 88
| 17
j 90
I 32
Le s m o d è le s
1 40
| 63
184
i| *54* *
total
1030 - moyenne : 54.2 ***
Un formatage de texte simple.
■ l y a de nombreuses applications pos■ sib les pour le sq u elle s vous au rez
■ besoin de produire des pages qui ont
toutes le même aspect, et où plusieurs
parties de chaque page posséderont le
même fo rm at, jusqu'à p résent, nous
n'avions vu que la fonction "print" pour
produire un texte en sortie, à l'écran ou
dans un fichier. Il en existe une autre,
"write", qui, elle, permet de produire un
texte formaté.
ge, grâce à la fonction "format", comme
ceci :
format FORMAT1 =
**■* une ligne de texte ***
Pour exploiter un modèle, il faut d'abord
positionner la variable interne
vers
notre modèle, puis effectuer un appel à la
fonction "w rite". Si cette initialisation
n'est pas faite, l'interpréteur Perl cherche­
ra à utiliser un modèle portant le même
nom que le fichier dans lequel il va écrire
(à condition qu'il y en ait un de défini),
ou STDOUT par défaut. On pourrait donc
éviter cette étape d'initialisation en nom­
m ant tous les m o d èles de la même
m an ière que les fic h ie rs qui les
e m p lo ie n t, m ais cela n 'est pas trop
conseillé, dans un souci de clarté du code
source.
Exemple de programme utilisant FOR-
Internet
Quelques adresses pou r trouver des exemples de programmes en Perl sur le Net :
h ttp://www. developer. com/directories/pages/dir.perl.html
h ttp://www. karland. com/code/perl/
F o rm a ta g e de t e x t e
http://www.metronet.com/1h/perlinfo/other-archives/coombs.html
La première étape consiste à définir ce
que l'on va appeler un modèle d'afficha­
h ttp://freecode. com/
MA T 2 :
Champs utilisés par “ w r i t e "
while ($ligne = <STDIN>) {
chop ($ligne) ;
$nombre++;
$total += $ligne;
Champ
}
$moyenne = $total/$nombre;
$~ = "FORMA.T2" ;
write;
Format en sortie
@ «<
Valeur alignée à gauche
@ »>
Valeur alignée à droite
@1111
Valeur centrée
@##.##
Valeur numérique avec précision fixée
@*
Chaîne de caractères sur plusieurs lignes
Ce qui donnerait en sortie, par exemple :
*x* total : 132
Champs u tilisé s par " p r i n t f "
- moyenne : 14
Il fa u t to u te fo is fa ire a tte n tio n au x
variables utilisées dans le program me
principal, pour qu'il n'y ait pas de conflit
avec celles utilisées dans les formats d'af­
fichage. Un bon remède consiste à ne
faire les appels à "write" que dans des
sous-routines, qui déclarent elles-mêmes,
localement, les variables exploitées dans
le format d'affichage. Attention : dans ce
cas précis d 'utilisatio n de la fonction
"write", vous ne devez avoir recours qu'à
l'instruction "local" pour d éclarer vos
variab les, et non pas à "m y", qui est
pourtant recom m andée la plupart du
temps.
Champ
Format en sortie
%c
Caractère
%s
Chaîne de caractères
%d
Nombre entier en base décimale
%x
Nombre entier en base hexadécimale
%o
Nombre entier en base octale
%u
Nombre entier non signé
%f
Nombre réel en notation "normale"
%e
Nombre réel en notation scientifique
%g
Nombre réel en notation compacte
contient le numéro de la page en cours,
"$=" définit le nombre de lignes de texte
par page (vous pouvez m odifier cette
valeur à votre gré), et "$-" renferme le
nombre de lignes restantes jusqu'au bas
de la page (cette valeur est mise à jour à
chaque appel de "write").
Les positionnements des variables
et
"$A" n'affectent que le fichier courant (le
dernier qui ait été ouvert, ou STDOUT
par défaut). Si vous souhaitez appliquer
les mêmes modèles de sortie à différents
fic h ie rs , vous d evez p o sitio n n e r ces
variables pour chacun d'entre eux. Afin
de sélectionner un autre fichier que le
fic h ie r c o u ra n t, u tilise z la fo n c tio n
"select". Exemple :
$~ = "FORMAT2";
select(FICHIER3);
$~ = "FORMAT1";
P rin tf
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V a ria b le s in te rn e s
Si vous désirez produire un docum ent
volumineux, il pourra s'avérer intéressant
d'imprimer un en-tête pour chacune des
pages. Celui-ci se voit également défini
par un format d'affichage, qui doit être
a ffe cté à la v a ria b le in te rn e " $ A".
Exemple :
format F0RMAT3 =
*** Titre du document - Auteur ’c**
Ce qui nous am ène à p arler de tro is
autres variables internes à Perl : "$%"
select(FICHIER1);
$~ = "FORMAT1";
select(FICHIER2);
Pour des traitements moins lourds, vous
tro u verez aussi en Perl une fonction
"printf", tout comme en C. Elle se compor­
te sensiblement de la même manière : le
premier paramètre correspond à une chaî­
ne de caractères comprenant des champs
particuliers (voir le tableau 2 ), puis les
autres paramètres sont les valeurs qu'il faut
leur substituer. Exemple d'utilisation de
"printf" :
$nom = "Michel" ;
$total = 123;
$moyenne = $total/14;
printf("score de %s : total: %d moyenne: %d.\n", $nom, $total,
$moyenne) ;
t$ péri script2.pl
< valeurs
***** ************************************
j*******
Résultat des calculs
l
*******
X^XXX-ài-Ji-X--Jt
***** total : 1018 - moyenne : bô.9 *****
$
~
Un exemple d'en-tête.
En com plém ent du tableau 2, sachez
aussi que l'on peut préciser le nombre de
caractères minimum que doit occuper
une valeur, comme avec les champs de
"write". Exemples :
"%5d" affichera un nombre entier d'au
moins cinq chiffres ; si le nombre est trop
petit, les premiers caractères se verront
remplacés par des espaces ;
"%-20s" affichera une chaîne de vingt
caractères minimum ; si la chaîne s'avère
trop courte, ies caractères restant les plus
à droite seront des espaces ;
"% 5.3f" affichera un nombre réel avec
cinq chiffres avant la virgule, et trois
après.
Vincent Oneto
Les pointeurs
Le concept de pointeur est tout à la fois l'un des plus utiles, des
plus dangereux et surtout l'un des plus redoutés, notamment
par les débutants en programmation. Voyons donc de quoi il
retourne réellement.
es pointeurs sont très pratiques, voire
indispensables dans de nombreux
cas. Il n 'y a pas en d o uter.
Cependant, s'ils sont mal et/ou trop utili­
sés, ils peuvent rapidement conduire à un
programme non seulement confus mais
surtout défectueux et pénible à déboguer.
L
D'accord, m ais c'est q uoi ?
Un pointeur est une variable qui contient
l'adresse d'une autre variable. Voilà, tout
est dit. Ou plutôt non, rien n'est dit, car il
convient d'expliquer plusieurs choses sur
les pointeurs et de voir comment ils s'utili­
sent. Lorsque l'on déclare une variable,
comme par exemple la variable 'lettre' qui
contiendra un caractère,
par son adresse. Plus tard, lorsque l'on assi­
gnera une valeur à cette variable, celle-ci
sera stockée dans la case mémoire préala­
blement réservée. L'adresse de n'importe
quel emplacement mémoire est également
un nombre. En conséquence, rien n'inter­
dit de stocker ce nombre (dont la taille
maximum dépend des machines) dans une
autre variable. Celle-ci est un pointeur.
pointé par ptr est un caractère, et non que
ptr pointe sur un objet de type caractère.
Cela revient au même, mais cette notation
permet de garder une syntaxe de déclara­
tion homogène pour tous les types de
variables (cela est également vrai pour les
fonctions), jusqu'ici, on a juste réservé un
emplacement mémoire destiné à contenir
une adresse. Le compilateur note égale­
ment que ladite adresse sera celle d'un
char ; inutile donc d'essayer d'y substituer
celle d'un flo a t... M ain tenant que la
variable (ou le pointeur) ptr existe, assignons-lui par exem ple l'adresse de la
variable 'lettre', définie précédemment,
ptr = &lettre;
Une variable de type pointeur contient un
nombre, lequel représente une adresse ; il
convient alors d'indiquer le type de la
variable contenue à l'adresse en question.
Voici donc la déclaration de la variable
’ptr', qui est un pointeur placé sur une
variable de type char,
L'opérateur '&' renvoie l'adresse mémoire
de la variable à laquelle il est appliqué. Ptr
'pointe' donc désormais sur 'lettre', puis­
qu'il en contient l'adresse. En admettant
que nous ayons précédemment assigné la
valeur 'A' à la variable lettre, nous nous
trouvons maintenant dans une configura­
tion représentée par la figure 1. La dernière
ligne de la figure aurait pour effet d'afficher
la valeur de *ptr. Nous savons que ptr
pointe sur lettre ; or *ptr désigne l'objet
pointé, c'est-à-dire lettre. Le résultat de
l'instruction printf est donc 'A'.
char
P lus, p lus
Un exem p le
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char
lettre;
de la mémoire est allouée (réservée) pour
cette variable à un emplacement précis de
la mémoire, désigné de manière unique
*ptr;
L'opérateur
indique que l'on parle de
l'objet pointé. On déclare donc que l'objet
Ouvrons ici une parenthèse. Si on désire
au g m enter de 1 une variab le 'i' qui
contient un entier, on procédera naturelle­
ment comme suit :
i = i +1;
Cependant, le C met à la disposition du
programmeur l'instruction ++ qui se char­
ge du travail. On aura donc :
i++;
Notons d’ailleurs que i++ est différent de
++i, mais cela n'a pas grande importance
pour le moment. Là où cette instruction
devient intéressante, c'est qu'elle ne s'ap­
plique pas seulement aux entiers... En fait,
elle se charge d'augmenter une variable
d'une unité. En conséquence, ptr++ (dans
notre exemple) aurait pour effet de faire
pointer ptr sur la case mémoire, qui se
trouve juste après celle abritant la variable
'lettre'. Evidemment, on ne sait pas du tout
ce que renferme cette case. C'est dans ce
genre de cas précis que les pointeurs se
révèlent dangereux, car il n'y a aucune dif­
ficulté à diriger un pointeur sur une adres­
se dont on ne sait rien. Sous Unix, chaque
processus comporte son espace d'adres­
sage propre et protégé ; donc, si l'on
essaye d'écrire dans une case mémoire qui
n'appartient pas au processus, le program-
#
Dream prof
• E g a lité de p o inteu rs
Si a et b sont deux pointeurs, a =bfait pointer a
sur la même case mémoire que b.
• P ascal et C
Par opposition au Pascal\ un pointeur n \estpas
simplement une référence, mais contient réellement
l'adresse d ’une variable.
me 'plante' en renvoyant le désormais
célèbre message "Segmentation fault". Si la
mémoire n'était pas protégée, le processus
pourrait écrire dans la mémoire d'un autre
et risquerait donc fort de le faire défaillir,
voire d'abîmer le système lui-même.
La fo n ctio n m alloc
Comme son nom l'indique, cette fonction
permet d'allouer dynamiquement des blocs
de mémoire. Elle prend en argument la
quantité de mémoire à allouer et retourne
un pointeur sur le bloc alloué. Attention !
Il est important de bien comprendre cer­
taines notions. Tout d'abord, on ne passe
jamais une valeur numérique à malloc. En
effet, la quantité de mémoire dont on aura
besoin pour stocker une variable dépend
de l'architecture utilisée. En conséquence,
il est nécessaire d'avoir recours à la fonc­
tion 'sizeof', qui prend en paramètre un
type de données et qui renvoie sa taille.
Par ailleurs, malloc renvoie un pointeur sur
void, c'est-à-dire un pointeur générique. Si
le pointeur se trouve correctement aligné
en fonction de l'objet auquel il est attribué,
il convient tout de même de le convertir
dans le type approprié (on dit qu'on le
’cast'). Un appel classique à malloc apparaît
finalement comme suit :
bien cerner le fonctionnement des poin­
teurs. C'est (char *) qui permet de conver­
tir le pointeur fraîchement attribué en un
pointeur sur char, afin d'éviter que le com­
pilateur ne se plaigne. Nous y reviendrons.
Afin d'éviter de nouveaux ennuis, il ne faut
surtout pas oublier de libérer ce que l'on a
alloué. On y parvient simplement en utili­
sant la fonction ’free', qui prend en para­
mètre le pointeur retourné par malloc.
char
*ptr;
ptr = (char *) malloc (10 * sizeof
(char));
for (int i = 0; i < 10
*ptr = 'A
ptr++;
i++) {
}
Notons au passage que lors de la déclara­
tion d'un tableau, l'adresse du premier élé­
ment peut être accessible via le nom du
tableau qui EST un pointeur. En clair, dans
le premier cas ci-dessus, *tablo désigne,
avant la boucle, le premier caractère du
tableau. Forts de cette présentation, nous
verrons la prochaine fois à quoi servent
réellement les pointeurs.
free (ptr2);
Les ta b le a u x
Nous avons étudié le mois dernier les
tableaux, mais la connaissance des poin­
teurs nous permet maintenant d'éclairer
d'un jour nouveau ce que nous avions juste
survolé. " Toute opération que l'on peut effec­
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char
*ptr2;
ptr2 = (char *) malloc (sizeof
(char))?
On déclare ptr2 comme pointeur sur un
objet de type char, puis on le fait pointer
sur une zone de mémoire que l'on vient
d'allouer pour l'occasion et dont la taille
correspond exactement à celle d'un char.
L'instruction suivante place dans la zone de
mémoire pointée par ptr le caractère 'A'.
Cuillaume Cirard
tuer par indexation dans un tableau peut
être réalisée à l'aide de pointeurs.
La version utilisant les pointeurs
HALL0C(3>
sera en général plus rapide mais
Le
un p eu plus difficile à co m ­
prendre, du moins pour les noninitiés." Cette phrase extraite de
l'ouvrage Le Langage C, écrit par
les pères dudit langage, résume
exactem ent l'étroite relation
qu'il existe entre les pointeurs et
les tableaux. Voici deux frag­
ments de program m e effec­
tuant exactement la même opé­
ration (à savo ir, rem p lir un
tableau avec dix 'A'), mais dans
le premier cas de manière "clas­
sique", en ayant recours à des
tableaux, et dans le second cas
à l'aide de pointeurs.
/* Méthode classique */
Linux Programmer's Manuel
calloc,
memory
MALL0C<3>
malloc, free, realloc - Allocate and free dynamlc
SYNOPSIS
•include <stdlib.h>
void
void
void
void
mcalloc(size_t nmcmb. size_t slze);
•m*alloc(size_t slze):
freefvoid «Ptr);
«real loc< void «Ptr. aize_t size):
DESCRIPTION
c a l l o c O allocates memory for an array of nmemb elements
of size bytes each and retu-ns a pointer to the allocated
The memory is set to zéro.
m a l l o c O allocates size bytes and r e t u m s a pointer to the
allocated memory. The memory is not cleared.
f r e e O frees the memory space pointed to by Ptr. whlch
must have been r e t u m e d by a previous
cal 1 to mallocO,
c a l l o c O or reallocO.
Otherwise,or if free<Ptr) has
already been called before, undeflned behaviour occurs.
If e£L 1* NULL, no opération is performed.
r eall o c O changes the slze of the memory block pointed to
by e£r to size bytes. The contents wlll be urchanged to
the minimum of the old and neu sizes;newly allocated mem­
ory wlll be uninitialized. If etc ls NULL, the call ls
équivalent to mallocisize); if slze is equal to zéro, the
call is équivalent to free<Ptr). Unless e£r is NULL, ît
must have been r e t u m e d by an earlier call to mallocO,
c a l l o c O or reallocO.
R E T U * VALUES
For c a l l o c O and mallocO, the value returned is a pointer
to the allocated memory, vhich is sultably allgned for any
kind of variable, or NULL if the request fails.
f r e e O returns no value.
*ptr2 = 'A';
char
for (int
Cela revient à déclarer comme caractère
une variable 'Iettre2', à lui assigner la lettre
'A', puis à déclarer un pointeur et à le diri­
ger sur Iettre2. Le lecteur non endormi
(allô, Bernard ?) remarquera que l'on tour­
ne un peu en rond, mais cela permet de
i++)
tablo[10];
0; i < 10;
tablo[i] =
'A' ;
r e a l l o c O r e t u m s a pointer to the newly allocated memory,
which is suitably allgned for any kind of variable and may
be différent from Ptr, or NULL if the request fails or if
slze was equal to 0.
If real l o c O fails the original
block is left untouched - it is not freed or moved.
CarOR H I N G TO
ANSI-C
SEE flLSO
fark(2)
/* Méthode pointeurs */
Les man pages sont votre meilleur allié.
=i
Java
Initiation aux
lava-Beans (2/s>
getSize ().width, getSize () .height) ;
}
public int getRougeO {
recum rouge; >
public void secKouge(inc
r) { rouge=r; r^ainc (); }
public int getVertO {
recum vert; }
public void setVert(int
v) { vert=v; repeint (); }
Les Java-Beans sont faciles d'utilisation. Mais en quoi consiste
donc leur programmation ? Aujourd'hui, nous allons
commencer à nous intéresser à la question.
public int getBleuO {
retum bleu; }
public void setBleu.(int
b) { bleu=b; repaint (); }
}
ous avons vu le mois dernier un
exem ple d 'u tilisatio n des javaBeans. Comme nous l'avons dit
précédemment, un Bean n'est rien d'autre
qu'une classe. En l'occurence, le Bean que
nous avons réalisé (Com pteur) est une
sous-classe de Label, avec quelques
méthodes supplémentaires. Lorsque nous
le manipulons dans BeanBox, nous décou­
vrons toutes ces méthodes et nous avons
également accès au champ Text (qui pro­
vient de la classe Label), mais nos trois
champs heures, minutes et secondes n'ap­
paraissent nulle part. En fait, même s'ils
étaient publics, nous ne les verrions pas.
Cela vient du fait qu'un Bean a explicite­
ment l'obligation d'"exporter" les champs
auxquels nous devons pouvoir accéder, en
d'autres termes, de donner une description
de lui-même à son environnement. Ceci
peut être fait de plusieurs façons. Nous
allons commencer par la plus simple : les
N
"modèles" (design patterns).
D esig n p a tte rn s
Le principe consiste à écrire des méthodes
selon une forme particulière, qui permettra
de régler tous les paramètres du Bean.
Voyons cela directement en pratique sur
un Bean afficheur de couleurs,
import, java.awt.*;
public class AfficheurCouleurs extends
Canvas {
private int rouge, vert,
bleu;
Une fois cette classe compilée et packagée dans un fichier .jar, nous pouvons la
ch arg e r dans BeanBox. D ésorm ais, la
fenêtre des préférences affiche les trois
champs Red, Green et Blue, grâce aux­
quels nous avons la liberté de choisir les
composantes de la couleur que le Bean
doit afficher. En effet, BeanBox détecte la
présence des méthodes setRed(), getRed(),
s e t C r e e n ( ) , e tc. Par co n v e n tio n , une
méthode dont le nom est setChamp sert à
affecter la valeur d'un champ, tandis que
getChamp permet de la lire. Plus rigoureu­
sement, nous avons le droit d'écrire un
modèle (appelé "design pattern") pour
ces deux m éthodes : pour un cham p
"machin" de type T, nous avons :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
- -ia operUes - Afficheur ■ Q X
foreground
vert ïl 00
public
AfficheurCouleurs () {
rouge=vert=bleu=0;
>
public void
paint (Graphics g) {
g .setColor (new
Color (rouge, vert, bleu) );
g.fillRect(0, 0,
^ BeanBox <2>
File
Help
Exemple de l’afficheur de couleurs
ûacicgrûurtû j_____
font Aocde...
Pieu ;;20û
rouge Ji 50
name ]canvas5
r
r
-
olBo>
□ X
Edrt View infoBus
•
K D ttr .ê r n è i
t
f
HAW K
j| » BeanSox.-.
Un petit Bean pour afficher des couleurs.
□
x
AfficheurCouleurs
OrangeBunon
OurButtûh
BlueBuQon
IË Î ExplicitButron
EveniMomtor
<«>JeilyBean
Juggter
Changefteponer
TickToc*.
Voter
Moiecuie
QuoteMonitor
JDBC SELECT
SorterBean
L-l8nûûeTesîer
K m àZê
(?) ([email protected] @ (fiieytmp/) j <£ (/home/jZ... | Q 1 ( TTie üa... | * ToolBox
public T geecMachin () pour lire sa
valeur et
public void secMachin (T
nouvelle_valeur) pour modifier sa
valeur
» Properties.
11 n'est pas obligatoire d'écrire les deux
méthodes ; nous pouvons par exemple
omettre setMachin pour avoir un champ
en lecture seule, ou getMachin, si nous
voulons un champ en écriture seule. S'il
s'agit d'un champ booléen (boolean), nous
sommes autorisés à écrire isMachin au lieu
de getMachin - c'est en fait recommandé,
car cela "saute aux yeux" quand on lit le
code. Ce design pattern constitue une
manière sim ple, mais néanmoins assez
générale, de communiquer avec l'environ­
nement. Nous retrouvons par ailleurs une
convention utilisée par les classes de l'AWT
(souvenez-vous : les méthodes setText,
getText, setSize, getSize etc.). Cela n'a rien
de surprenant, les composants de l'AWT
sont en effet des Beans ! Voilà pourquoi,
entre autres, la solution la plus simple pour
écrire un Bean consiste à hériter d'un com­
posant AWT... Voyons à présent le design
pattern à utiliser lorsque le champ se pré­
sente sous la forme d'un tableau. II faut en
— -W | Applet Vie w er: Sélecteur Couleurs, cla ss
- □
X
Applet
Applet started.
Une applet faite avec des Beans.
effet pouvoir accéder individuellement à
chaque élément, mais aussi au tableau
dans son intégralité, ce qui nous laisse avec
quatre méthodes :
public T getMachin(int i) pour lire
la valeur de 1'élément i du tableau
public void setMachin(int i, T nouvelle_valeur) pour modifier l'élé­
ment i du
tableau public T[] getMachin() pour
lire tout le tableau
public void setMachin(T[] tableau)
pour affecter tout le tableau
java.awt.*;
import java.awt.event.* ;
import java.applet.* ;
import AfficheurCouleurs;
public class SelecteurCouleurs
extends Applet implements
AdjustmentListener {
Scrollbar rouge, vert,
bleu;
AfficheurCouleurs
afficheur;
public void initO
a fficheur=new
AfficheurCouleurs();
rouge=new
Scrollbar(Scrollbar.HORIZONTAL, 0,
10, 0, 255);
vert=new
Scrollbar(Scrollbar.HORIZONTAL, 0,
10, 0, 255);
bleu=new
Scrollbar(Scrollbar.HORIZONTAL, 0,
10, 0, 255);
setLayout(new
GridLayout(4, 1));
add(afficheur);
add(rouge);
add(vert); add(bleu);
rouge.addAdjustmentListener(this);
vert.addAdjustmentListener(this);
bleu.addAdjustmentListener (this );
}
public void
adjus tmentVa lueChanged (Ad jus tmentEv
ent ae) {
afficheur.setRouge(rouge.getValue()
);
afficheur.setVert (vert.getValue ());
afficheur.setBleu(bleu.getValue());
}
{
}
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Il existe encore un design pat­
tern, mais nous le verrons
dans deux mois, lors­
que nous parlerons
des événements entre
Beans.
R eto u r aux
sources
Bien que les Beans
soient destinés avant
tout à une utilisation
dans BeanBox ou tout
au tre "b u ild e r", nous
pouvons néanmoins en
tirer un grand p ro fit,
même si nous écrivons
du code "à la m ain ".
Grâce aux design pat­
terns, nous savons tout
de su ite à quoi nous
attendre de la part d'une
classe et de q uelle
manière l'utiliser.
A l'aid e du Bean
AfficheurCouleurs et
du Bean Scrollb a r
(b arre de d é file ­
ment), fournis par
l'AWT, nous pou­
vons écrire très
sim p le m e n t un
sélecteur de cou­
leurs,
import
Où réside l'intérêt des Beans ? Dans leur
simplicité. En effet, il nous suffit de savoir
qu 'AfficheurCouleurs possède les champs
rouge, vert et bleu, et que Scrollbar a un
champ Value (indiquant la valeur corres­
pondant à la position de l'ascenceur).
Dans ce cas, le code qu'il nous faut écrire
doit uniquement faire le lien entre les
méthodes "get" d'un Bean et les méthodes
"set" de l'autre, le reste n'étant que de l'ini­
tialisation ! En ce qui concerne le Bean
Scrollbar, son constructeur prend en argu­
ment l'orientation de l'ascenseur (verticale
ou horizontale), la position initiale de celuici, son "épaisseur" et l'échelle de valeurs
qu'il est censé représenter. Chaque fois que
l'utilisateur le bouge, l'ascenseur émet un
événement AdjustmentEvent, auquel nous
réagissons en affectant le champ Value des
trois ascenseurs aux champs rouge, vert et
bleu de l'afficheur de couleurs.
Java, c'est fa c ile !
Nous pouvons donc remarquer comme les
Beans sont inhérents au langage Java et
qu'il s'avère très simple de les utiliser.
Cependant, n'importe quelle classe ne
constitue pas automatiquement un Bean,
même si elle suit à la lettre les design pat­
terns : encore faut-il qu'elle soit "sérialisable". Nous parlerons de la sérialisation le
mois prochain et nous verrons alors qu'il
s'agit d'une chose extrêmement importan­
te lorsque nous travaillons avec les Beans.
Jakub Zimmerman
__
B Iit z Basic
_ ]
Utilisation des Requester
Après avoir appris à afficher une fenêtre, un bouton et un écran
prédéfinis, nous allons ce mois-ci offrir à l'utilisateur la
possibilité de bénéficier d'un minimum de choix.
L ' a s t u c e du m o i s
Comment afficher des caractères que ion
ne peut pas taper ?
Eh oui, le Blitz n'est pas parfait Sa plus
grosse tare vient certainement du fait qu'elle
ne peut pas afficher de caractères accentués
ni spéciaux dans un texte. La faute en
e programme de ce mois-ci est exacte­
ment le même que celui du mois der­
nier, à cette différence près que nous
allons désormais laisser l'utilisateur libre de
choisir lui-même son mode d'écran et le texte
qu'il veut voir afficher dans la fenêtre. Pour ce
faire, nous allons utiliser cet autre concept du
système d'exploitation que sont les requesters.
Il s'agit des fenêtres de sélection d'AmigaOS.
Le scénario de notre programme va donc être
le suivant :
- ouverture d'un écran publique dont le mode
et les couleurs sont choisis dans un requester.
- menu avec les options "Ouvrir" et "Quitter"
(avec raccourcis clavier).
- lorsque l'on choisit "Ouvrir", un requester de
fichier apparaît. On doit y choisir un fichier
ASCII (texte).
- le programme affiche ce texte dans une
fenêtre.
A noter que faire apparaître un requester est
assez simple. Tout le design et toutes les fonc­
tions (boutons, sélections du paramètre, chan­
gements de taille de la fenêtre...) sont en fait
déjà contenus dans AmigaOS. L'utilisateur n'a
L
pas à les recréer, heureusement. Il lui suffit
juste d'appeler la fonction adéquate et de
récupérer les valeurs qui en sortent. Ces
valeurs se trouvent alors exploitées avec les ins­
tructions standards du Blitz Basic. Ainsi, les
fonctions de requester que nous voyons ce
mois-ci sont :
- RTEZScreenModeRequest(<nom utilisateur)
pour l'écran
- ASLFileRequestî
(<nom utilisateur,cheminî,fichierS) pour un
fichier
Le <nom utilisateur est un nom quelconque
que l'utilisateur choisit de donner à la fenêtre
du requester. L'usage veut que ce soit "Choix
d'écran..." ou "Ouverture du fichier...", mais
rien ne vous empêche de l'appeler "Ma tata
s'appelle Odette" ou "J'aime Dream". Les fonc­
tions vues ci-dessus ne correspondent pas, par
définition, à des instructions. Cela signifie que
pour les exécuter, vous procéderez comme
en mathématiques : il faut les écrire sous la
forme y= f(x). Ici, "y" est la variable qui
contient la valeur de retour à récupérer pour
emploi ultérieur. Par exemple :
incombe essentiellement à l'éditeur TED et à
l'interpréteur, lesquels ne cherchent pas à
reconnaître autre chose que les caractères
possibles depuis le clavier anglais Qwerty.
Heureusement, il existe une solution : la
fonction Chr$. Ainsi, l'instruction :
Nprint "Vivement le prochain
num"+Chr$(233)+"ro de Dream :)"
marquera à l'écran :
Vivonoit le prochain numéro de Dream :)
La valeur 233 correspond en réalité au
numéro Ascii de la lettre "é".
screenmode.l=RTEZScreenModeReques
t ("Choix de Mon Ecran")
permet de remplir la variable screemode.l. La
valeur de cette variable peut ainsi être récu­
pérée dans l'instruction suivante :
smod.l=Peek.1 (screenmode)
Le programme du mois a la possibilité d'être
nettement amélioré, par exemple, si on y
ajoute des boutons pour faire défiler le texte
de haut en bas et de gauche à droite.
Benjamin Vernoux.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
WBStartup ;permet de lancer
le programme du warkbench
screenmode.l=KIEZScreenMbdeRequest ("Choix; de M j 1
Ecran") ;ouvre un requester d'écran
smod. l=Peek. 1 (screenmode) ; la commande Feek permet
de prendre une valeur dans la mémoire
; à une adresse donnée.
; Le .1 après Feek permet de prendre un mot long a
l'adresse screenmode
; en fait Peek.l prend les 4 premiers octets dans
l'adresse screenmode
Bitplanes.b=Feek.b (screenmode^9) ;
If screenmode=0 amod=$8000 ; au cas ou on est fait
Cancel
; au requester de mode d'écran
; an met l'écran en haute résolution
If Bitplanescl CR Bitplanes>8 Bitplanes=4
; au cas ou en est fait Cancel
; au requester de mode d'écran on met
; l'écran en 16 couleurs(4 Bitplanes)
Screai 0,0,0,640,256,Bitplanes,smod, "Mon Ecran" ,1,0
;création du menu
GIManuTitle 0,0,"Fichier"
GIManuItem 0,0,0,0, "CXivrir ","0"
GIManuItom 0,0,0,1, "Quitter ","Q" ;^iitte le pro­
gramme (raccourci Amiga Q inclut)
CreateMenuStrip 0 ; Attach en quelque sorte les
menus entre eux
Windcw 1,0,11,640,245,$800,"",1,2 ;bidouille pour
attacher les menus à l'écran
; car an ne peux pas attacher des menus aux écrans
GTSetMsnu 0 ;attach les menus a la fenêtre 1 (donc a
1 'écran car la fenêtre est invisible).
Activate 1
Macro ferme
CloseWindcw 0
ouvert=0
Activate 1
End Macro
Repeat ; répète la boucle
ev. l=WâitEvent ; attend un événement genre appuie
d'un bouton ou autre
If ev=$100 ; menu actionne ?
If M=nuHit=0 ; si le menu 0 est active
Select IterHit ; en regarde quel ID (numéro) a
été activé
Case 0 ;CXivrir
Gosub CXrvre
;Case 1 ;appuis sur enregistrer
;
Gosub Enregistre
Case 1 :quitterai
; quitter si l'ID du menu
est 2
End Select
Endlf
. . . Distribution
ICC S o f t w a r e
Tél : 03.20.02.06.63
Fax : 03.20.82.17.99
Du lundi au vendredi de 9 h à 18 h
email : fds@ fdsoft.com
Logiciels Amiga
Endlf
A M IG A " G O E S P O W E R P C ™
If ev=$200 ;le boutai de fermeture de la
fenêtre 0 est activé ?
CloseWindow 0 ; ferme prcpranent la fenêtre
ouvert=0
Activate 1 ;active la fenêtre 1
Endlf
Until quitterai ; jusqu'à ce que quitter vaille 1
;quit
CloseWindcm 0 ; ferme proprement la fenêtre
Forbid_
; permet de quitter proprement
Fnd
C artes accélératrices P ow erPC A m iga 1 2 0 0 T :
S a n s contrôleur F ast-SC SI-ll (ajout im possible)
Blizzard 603e 160 Mhz + 68040 25 Mhz 2.490 F
Blizzard 603e 200 Mhz + 68040 25 Mhz 2.990 F
Blizzard 603e 240 Mhz + 68040 25 Mhz 3.590 F
Version 68060 50 Mhz au lieu du 040 25 Mhz +2.300 F
A ve c contrôleur F ast-SC SI-ll d ’origine
Blizzard 603e+ ( 160/200/240 +040 / 060) +500 F
Offres de reprise s de cartes Blizzard
Cybetstoim PPC604e 180 Mhz + Ultra Wide SCSI
Cyberstorm PPC604e 200 Mhz + Ultra Wide SCSI
Cyberstorm PPC6me 233 Mhz + Ultra Wide SCSI
Option 68040 25 Mhz monté sur la carte
Option 68060 50 Mhz monté sur la carte
Tél.
4.390 F
5.290 F
5.790 F
+ 525 F
+ 2.500 F
Les 040060 des Bizzard et Cyberstormsort équpés de MMUet FPU.
.(Xrvre
If ouvert=0
ouvert=l
tfexLen fichier$=192
Cartes Graphiques
AtéoBus + Pixel 64 pour Amiga 1200 T
1.990 F
BVision64 4 Mo (Blizzard P P C )
1.590 F
Cybervision P P C 8 Mo (Cyberstorm P P C ) 1.990 F
MaxLen chemin$=192
ok$=ASLFildRequest$ ("Qivrir un
fichier",chenin$,fichier$ )
If ok$o""
Windcw
0,200,40,300,150,$2|$8|$400|$1000,"Affichage de
Fichier ASCII",1,2
GTSetMsnu 0
CheiürL$=^±iemin$+fichier$
If CataTypeCpei (Chenin$)
ncirdudatatYpe$=EataTypGName
DataTypeClose
If nardudatatype$="ascii"
If ReadFile(l,Chemin$)
fin.l=Lof (1)
If fin>l
a .1=-1
Périphériques / Accessoires Divers
Boîtiers Tours.
Tour Atéo pour A1200 + Interface clavier P C +
clavier P C + Alim 200 W+ Em placements pour
l’extension AtéoBus & Pixel 64
1.090 F
D ivers :
Alimentation originale / ou 200 Watts 290 F / 490 F
Joystick Konix pour tous les Amiga
99 F
JoyPad Compétition Pro CD32 & Amiga
189 F
f-Souris 2 boutons pour tous les Amiga
129 F
Adaptateur pour souris P C (2 ou 3 boutons) 249 F
Blizzard SC SI-Kit pour B1230-4/1240/1260 540 F
Squirrel S C S I (Contrôleur S C S I PCM CIA )
550 F
SuftSquirrel S C S I (Idem+rapide + port série) 790 F
Digitaliseur Audio 8 bit Megalosound -VA350 F
Nappes ID E & S C S I (nombreux modèles)
Tél.
Câbles & adaptateurs SCSI (nombreux modèles) Tél.
Adaptateur S C S I Interne B1230/40/60
290 F
Adaptateur M 1 438/1538 pour P C
159 F
Adaptateur VGA pour A1200/4000
149 F
Coude PC M C IA pour Tour
259 F
Scandoubler externe pour tous les Amiga
790 F
ROM 3.1 (seules) A 1200/3/4000 (précisez) 349 F
0 5 3 .1 complet A1200/A4000 (précisez)
649 F
ROM 3.1 (seule) A500/+/600/2000 (précisez) 249 F
0 5 3 .1 complet A500/+/600/2000 (précisez) 549 F
M odem U SR o b Q tiçs :
Sportster 56Ko M essage Modem
1.165 F
Option : Kit Internet Amiga @-Net II CD
+149 F
L e c te u i^ d e disquettes,;
DD 720 / 880 Ko interne A600/1200
230 F
DD 720 / 880 Ko interne pour A2000/4000 210 F
DD 720/880 Ko externe pour tous
480 F
HD Interne 1.4 /1.76 Mo pour A2000/4000 650 F
HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200T (avec façade) 650 F
HD Interne 1.4 / 1 .7 6 Mo A1200 (classique) 650 F
■îtfHD Externe 1.4 / 1 .76 Mo (WB2.04 minimum) 770 F
S IM M E D O 32 M o
Tél.
A s im C D F S v3.9a -Version Française390 F
IBrowse -Vo349 F
M aster IS O 2.1 -Vo-Pour graveurs->PROMO 490 F
Miami 3.x enregistré - Vo279 F
O rganise r 2.0 -Version Française349 F
O rganise r 2.0 -Version Française Mise à jour- 249 F
Nous consulter pour les conditions de mise à jour.
Oxyron Patcher - Vo139 F
Personal Paint 6.4 -Version Française39 F
P F S 2 -Vo349 F
Turbo Cale 5.xx CD (Doc V4 en Français)
490 F
Turbo Cale 5.xx Disk (Doc V4 en
Français)490 F
Turbo Cale 5.xx CD / disk mise à
jour
320 F
Nous consulter pour les conditions de mise à jour.
Turbo Print 6.02 -Vo450 F
Turbo Print 6.02 -Vo- Mise à jour
250 F
Wordworth 7.01 C D - Version Française
490 F
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490 F
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Aminet Set 1 ou 2 ou 3
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Best of Mecomp Vol.2
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Light Rom 6 (4 Cds)
Personal Paint 7.1
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Foundation CD
Genetic Species
Quake CD
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Time of Reckoning
59
59
59
79
89
89
89
150
199
109
89
39
349
240
519
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
310
310
349
339
199
F
F
F
F
F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Filelrput 1
Repeat
a=a+l
c=c+l
b.s=EÜLt$(36)
If c=l:c=0:NPrint b
Else
Print b
Endlf
Until Eof (1) OR a=16 ;a=ncrrfore de
ligne à afficher (-1)
Endlf
CloseFile 1
Endlf
Else
text$="Fichier de type
ok=RTEZRequest ("Erreur
!ferme
Endlf
Else
text$="Vous n'avez pas
ok=KTEZRequest ("Erreur
!ferme
Ebdlf
Else
; l'utilisateur
!ferma
Endlf
Endlf
Retum
N o u s consulte r pour les autres périphériques.
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790 F
1.150 F
2.090 F
Disque Dur 4,3 Go Ultra S C S I Interne
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* Contrôleur SCSI requis.
Commande sur papier libre ou sur le bon de commande ci-dessous. Règlement joint à la commande
par>chèque, mandat ou Carte Bancaire par téléphone, téleœpie ou Internet.
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!!",text$,"CK" )
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le datatype ASCII"
!!",text$,"CK" )
a annulé
Microstory
Linux,
le système
altern atif !
"Linux ne marchera probablement jamais sur autre chose
qu'un PC 386 avec un disque dur IDE, car c'est tout ce dont
je dispose" - Lin us Torvalds
■out commence en 1991 lorsqu'un
étudiant de l'université d'Helsinki
(Finlande) s'intéresse aux possibili­
tés du processeur i386. Cependant, le
système utilisé à l'époque, à savoir MSDOS, n'était capable d'exploiter que le
mode 8086 des processeurs Intel ; aussi,
le jeune informaticien préfère se tourner
vers Minix, petit système "Unix-like" écrit
par A nd rew T a n n e n b a u m . M alh eu ­
reusement (ou heureusem ent pour la
suite !), Minix s'avère très limité et, pour
essayer d'en tirer quelque chose de plus
intéressant, Linus Torvalds commence à
l'étendre et l'optimiser. Petit à petit, une
idée prend forme dans l'esprit de Linus :
créer un nouvel OS pour PC, capable de
tirer parti de toutes les possibilités de la
machine.
1991 : les balbutiem ents
Linus n'avait qu'une certitude quant à ce
qu'il voulait développer : ce devait être un
Unix, d'où le nom du projet : Linux, abré­
viation de Linus'Unix (l'Unix de Linus). Il ne
fallut pas longtemps à Linus pour obtenir
un embryon de noyau et un système de
fichiers rudimentaire qui, pour buggés
qu'ils étaient, fonctionnaient à peu près...
sur son PC à lui. En août 1991, une pre­
mière version baptisée Linux 0.01 a été dif­
fusée sur FTP. Il ne s'agissait en fait que
d'une surcouche à M inix et, hormis la
recompiler chez soi, on ne pouvait pas en
faire grand-chose. Cependant, la possibilité
de participer au développement d'un nou­
vel OS séduit un certain nombre de pro­
gram m eurs, si bien que Linus s'est vu
rejoint par une équipe enthousiaste. La
date du 5 octobre 1991 restera dans les
mémoires, puisqu'il s'agit du lancement de
Linux 0.02, première version officielle du
nouveau système. Encore très embryonnai­
re, elle était néanmoins en mesure de faire
fonctionner quelques programmes Unix
essentiels, dont le shell bosh et le compila­
teur gcc. Dès lors, il y eut moyen d'utiliser
Linux pour son propre développement, et
progressivement, le système est devenu
indépendant de Minix. Linus prit alors une
décision dont les conséquences ne se
mesureront que bien plus tard : le code
source de Linux sera distribué sous licence
GPL. Désormais, chacun était libre de parti­
ciper au développement ; le projet d'un
étudiant se transforma ainsi en un effort
mondial et les versions se succédaient à un
rythme de plus en plus rapide. L'accou­
chement, toutefois, ne se fera pas sans
douleurs. Linus s'était en effet attiré les
foudres de deux grands gourous de l'infor­
m atique : A. Tannenb aum et R. M.
Stallman. Le premier reprochait à Linus
certains choix de conception et en particu­
lier le fait de ne pas avoir bâti Linux autour
d'un micronoyau. Tannenbaum, qui reste
en effet l'un des pionniers dans le domaine
des m icronoyaux, supportait mal l'idée
qu'un gamin finlandais ait l'audace de ne
pas suivre les prescriptions du grand maître
qu'il pensait être. Il publia alors son fameux
article "Linux is obsolète" et adressa à Linus
cette phrase, désormais célèbre : "Soyez
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
heureux de ne pas être un de mes étu ­
diants /". Quant à "rms", sa campagne peut
se résumer en "oui à l'OS de Linus, à condi­
tion qu'il s'appelle GNU/Linux".
Le bazar et la cathédrale
Linux a bénéficié dès le départ de son
modèle de développement original. Alors
que partout ailleurs, l'élaboration d'un logi­
ciel passe par l'établissement d'un cahier de
charges précis et par la formation d'une
équipe aussi soudée que fermée - ce que
d'aucuns appelleront "développement en
cathédrale" - Linus, lui, préfère l'approche
bazar. Chacun vient avec ce qu'il veut et il
n'y a pas d'entrave à l'échange d'idées, voire
de bouts de code... Cette ouverture, l'esprit
de collaboration planétaire, mais aussi la
concurrence qui en résulte, ont donné à
Linux une dynamique de développement
unique. Si, lors des premières versions, l'idée
que Linux puisse un jour fonctionner en
réseau ou faire tourner X-Window tenait
d'une mauvaise plaisanterie, elle est rapide­
ment devenue une réalité grâce à l'apport
de développeurs de plus en plus nombreux.
C'est également grâce à cet aspect de labo­
ratoire d'expérimentation permanent que
Linux put tourner sur autre chose qu'un PC.
A l'origine, Linus ne recherchait que des per­
formances maximales sur i386 et la portabi­
lité représentait la dernière de ses préoccu­
pations. Pourtant, dès les premières années
a été lancé le projet de porter Linux sur
Atari, Amiga et Mac. Ce Linux/M68K jouera
par la suite un rôle essentiel dans le déve­
loppement de Linux : en effet, il s'agissait
pour la première fois de rendre le système
réellement opérationnel sur autre chose
qu'un processeur Intel. Grâce à lui, l'OS
introduits : l'Extended Filesystem et le Xia
Filesystem. Bien que plus satisfaisants que
l'original, ils ne représentaient pas une
solution viable à long terme. Celle-ci est
fin a le m e n t ven ue de Rém y Card de
l'Université Paris VI. S'inspirant du système
de fichiers de BSD, il développe un nou­
veau filesystem, très performant et doté
de fonctionnalités novatrices. Lorsque
celui-ci est intégré à Linux sous le nom de
Second Extended Filesystem (ext2fs), il
s'impose aussitôt comme standard de fait
et les divers autres systèmes expérimen­
tés, dont les deux sus-cités, tombent dans
l'oubli. Cette idée de "sélection naturelle"
a toujours été présente dans le dévelop­
pement de Linux. Divers supports réseau
•D X
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General Info
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In The M edia
O n lin e .
-—
X
F
.
The
r e
e
^
8
_
6
P r o je c t, In c
Le projet Xfree n'est pas étranger
au succès de Linux.
d'Unix, écrasé par NT (affirmations tout à
fait infondées, mais compréhensibles dans
le contexte de l'époque). Linux pour sa
part semble avoir épuisé son potentiel : il
est peu attrayant pour le "grand public",
boudé par les entreprises et ignoré par les
éditeurs de logiciels commerciaux. Les uti­
lisateurs avertis, susceptibles de s'intéres­
ser à Linux, sont déjà conquis, mais les
autres n'ont que faire de cet OS ; de sur­
croît, la communauté Linuxienne ne gran­
dit plus, à tel point que l'on commence à
s'interroger sur l'avenir de Linux. Les plus
pessimistes voient déjà l'aventure se ter­
miner ainsi, mais deux facteurs changent
ra d ica le m e n t la d o nne. Le prem ier
concerne l'explosion d'Internet et par
conséquent la prolifération des fournis­
seurs d'accès. Il s'agit souvent de petites
entreprises (parfois seulement de per­
sonnes p h ysiq u e s) qui n'ont pas les
moyens de s'équiper en Solaris ou en HPUX, mais n'en ont pas moins besoin d'un
système sûr et performant. Linux est au
point, bien supporté, et prêt pour cette
tâche ; en outre, il entame l'ascension qui
en fera plus tard l'OS hébergeant le plus
grand nom bre de sites Web dans le
m onde (d o nt certains ap parten ant à
Microsoft). D'autre part, les acteurs du
monde Linux tels que Caldera, RedHat et
autre InfoMagic ne se contentent plus de
graver des CD miroirs des sites FTP. A la
place, ces éditeurs se donnent les moyens
d'acquérir des droits de distribution de
logiciels phares pour Unix et de les com­
mercialiser : on voit ainsi progressivement
apparaître Motif, Wabi ou CDE pour Linux,
qui entame alors un réel virage commer­
cial. Sans que sa nature Free Software soit
jamais remise en cause, le système de
Linus devient un véritable marché porteur
et peut arborer une nouvelle image : celle
d'une plate-forme de développement très
complète, libre et puissante pour presque
rien. Dès lors, nombre de développeurs
de logiciels (et pas seulement du monde
Unix) l'utilisent en interne.
Finalement, loin d'être à bout de souffle,
Linux a trouvé deux nouvelles voies d'expan­
sion, élargies par l'arrivée de la version 2.0 ; il
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Linus Torvalds with the assistance of developers around the
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Les sites consacrés à Linux ne m anquent pas.
conçu à l'origine de manière informelle et
ad hoc a rapidement acquis une modularité
exemplaire et une large indépendance par
rapport au matériel. En 1994, Linux/M68K
possédait déjà une communauté d'utilisa­
teurs conséquente. En 1995, les visiteurs du
Forum Atari à Paris ont pu assister à la
démonstration d'un Falcon 030 sous Linux.
Malheureusement, la faillite d'Atari et de
Commodore et le virage PowerPC d'Apple
feront de Linux/M68K un éternel outsider,
mais l'importance de ce pionnier du Linux
non-lntel reste aujourd'hui indéniable.
1991 à 1 9 9 4 : l'évo lu tio n
d a rw in ie n n e
Pendant les premières années d'un déve­
loppem ent délibérém ent anarchiq u e,
Linux n'a rien de compétitif face aux sys­
tèmes concurrents. Le système de fichiers
utilisé (celui de Minix) est d'une faiblesse
notoire. Pour tenter d'y remédier, deux
nouveaux systèmes de fichiers ont été
ont ainsi été proposés, le NET-1 puis le
NET-2, avant l'apparition du NET-3, tou­
jours utilisé. Lorsque la très attendue ver­
sion Linux 1.0 a enfin fait son apparition
sur le marché en 1994, il s'agit déjà d'un
système Unix complet, supportant diffé­
rents systèmes de fichiers ainsi que les
principaux protocoles réseau, et capable
de faire fo nctio nner des logiciels tels
qu 'Emacs. Il n'a pas encore le niveau de
développement des Unices industriels,
mais fait preuve d'une robustesse exem­
plaire, tout en offrant des performances
jamais vues sur un PC ; toutes ces qualités
caractériseront Linux tout au long de son
existence.
1 9 9 5 : un long sta tu quo
Si la communauté Unix regarde la sortie
de Windows 95 avec condescendance, le
tapage médiatique de Microsoft autour
du futur N T 4.0 est en revanche pris très
au sérieux. Certains prédisent déjà la mort
Microstory
Quand Linus parle, tout le m onde écoute.
s'agit de l'amélioration de la qualité des
distributions, mais aussi de la compatibili­
té grandissante avec les Unices commer­
ciaux.
1996 et 1997 : Linux, systèm e
alternatif
En 1996, le phénomène Linux devient un
produit à la mode. Les journaux consa­
crés à l'informatique commencent à louer
les mérites du logiciel libre, tandis que les
éditeurs de logiciels prennent petit à
petit conscience de ce que cet élément
inconnu peut représenter. Netscape et
Corel sont parmi les premiers à distribuer
des versions Linux de leurs produits,
d'abord o fficie u se m e n t, puis le plus
ouvertement du monde. D'une certaine
fa ço n , la d é cep tio n p ro vo q uée par
Windows 95, le début de la guerre de
Netscape contre M icrosoft et l'échec
d'IBM avec son OS/2-Warp tom bent à
pic : pour la première fois, l'hégémonie
de Microsoft est ressentie comme un pro­
blème majeur, si bien que Linux apparaît
comme l'alternative idéale. Le rêve d'un
OS totalement libre, auquel ni Microsoft
ni personne d'autre ne pourrait imposer
sa volonté, se révèle bien séduisant. En
1996, Linus Torvalds se voit décerner la
médaille Uniforum, de même que James
Gosling, le créateur de Java. La même
année, Red Hat Linux est élu meilleur OS
pour micro-ordinateurs par Infoworld.
Des administrateurs de systèmes com­
mencent à voir en Linux une solution
possible pour l'informatique d'entreprise
et, à de rares exceptions près, se rendent
compte que l'essayer, c'est l'adopter. Bien
que le caractère noncommercial (désor­
mais, il faut dire plutôt non propriétaire)
de Linux rebute toujours la vaste majorité
d'industriels, sa liberté et surtout sa fiabi­
lité légendaire donnent néanmoins nais­
sance à des réalisations de plus en plus
spectaculaires : ainsi, Linux pilote des
appareils à bord de la navette spatiale,
crée les effets spéciaux du Pic De Dante
puis de Titanic, trie le courrier aux EtatsUnis, adm inistre des téléphones cellu­
laires, contrôle les ascenseurs dans des
gratte-ciel...
1998 : la consécration
Aujourd'hui, Linux abandonne sa niche
de système alternatif. Les plus grands édi­
teurs de logiciels sont enfin conscients de
son potentiel et bien décidés à ne pas
laisser passer l'occasion d'étendre leurs
parts de marché. Définitivement adopté
par Corel et
Nescape, Li­
nux se trou­
ve désormais
plébiscité
par O ra cle ,
Informix,
S u n ... Dans
le d o m aine
des réseaux
et d'Internet,
des entrepri­
ses telles que
CISCO ou en­
core France
Télécom le
ch o isisse n t.
SCO (éditeur
d'U n ixw are,
éternel rival
de Linux) et,
plus récem ­
ment, Microsoft, ont adressé des "lettres
ouvertes" aux utilisateurs de Linux et des
logiciels libres en général, les "mettant en
garde" contre les "risques" de Linux et
son "inadaptation aux besoins des utilisa­
teurs" (auxquels, par le plus grand des
hasards, seuls les produits de SCO ou de
Mircosoft peuvent répondre). En réalité,
Linux apparaît aujourd'hui comme l'un
des principaux concurrents de NT et pro­
bablem ent comme le plus redoutable
pour Microsoft, à cause de son indépen­
dance. En o utre, en ce qui concerne
SCO, UnixWare se voit doté d'un émula­
te u r L i nux . . . se ra it-ce le m onde à
l'envers ?
Et dem ain ?
Bien qu'évaluer la base installée de Linux
demeure un exercice périlleux, on l'esti­
me actuellem ent à 7 millions d'utilisa­
teurs dans le monde. Il est certain, en
revanche, que Linux se développe aujour­
d'hui plus vite que tout autre système, y
compris Windows. Sa croissance dépasse
désorm ais les 100 % par an et, entre
autres grâce à l'intérêt qu'lntel manifeste
à l'égard de Linux, à "l'effet Merced" et
au gigantesque levier que sym bolise
Internet, certains analystes prédisent
qu'en 2002, 20 % des PC seront vendus
avec Lin u x p ré in sta llé . On avance le
chiffre de 20, voire de 40 millions d'utili­
sateurs, ce qui en ferait le second OS du
marché, juste après W indows... Le véri­
table décollage de Linux reste donc à
venir, lorsque les étudiants d'aujourd'hui
d e vie n d ro n t d é c isio n n a ire s dans les
entreprises.
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Jakub Zimmerman
Linus Torvalds.
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• Dream n°1
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Disquette : DSS 1, version complète
• Dream n°2
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Professional 2...
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• Dream n°4
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• Dream n°5
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Angeles
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Labo : Scenery Animator, Vidi 24, le
PAR...
Disquette : Canon Studio, version
complète
• D ream n°8
Dossier : les simulateurs
Labo : Overdrive CD, Caligari,
Directory Opus...
Disquette : Personal Font Maker,
version light
• Dream n°9
Toute l'histoire
de la micro
De l'Eniac à la
BeBox en passant
par le ZX81,
l'Apple II ou
l'Amstrad,
découvrez la
grande aventure de
la micro
informatique. Avec un CD-Rom.
Dossier : l'Amiga en vacances
Labo : Imagine 3.0, Emplant
Disquette : Abank
• Dream n°10
Dossier : les mangas et l'Amiga
Labo : carte M-Tec, Can do...
Disquette : une sélection de DP
• Dream n°11
Dossier : l'avenir de l'Amiga
Labo : Lightwave, Dice, Videostage...
Disquette : Painter 3D, version
complète
• Dream n°12
Le CD PC Team
(n°10 à 24)
Retrouvez sur
chacun de ces
CD-Rom un
répertoire
Amiga
d'environ
10 Mo : jeux,
utilitaires,
astuces, fichiers images, sons...
15F
♦ POM(■
<2?team
Dossier : la création d'un jeu
Labo : DSS 3.0, DirWork, Brilliance 2...
Disquette : Desktop Magic
• D ream n°13
Dossier : l'Amiga à la télé
Labo : PageStream, Panorama
Disquette : Virus Checker 6.41
• Dream n°14
Dossier : l'Amiga et les graphismes
Reportage : le World of Amiga
Disquette : Real Time Sound Processor
Il Lite
• Dream n°15
Dossier : le rachat de l'Amiga
• Dream n°21
Dossier : transformez votre Amiga en
PC, Mac...
Labo : OctaMed 6, AsimCDFS, Fax on ...
Disquette : Flight Of The Amazon
Queen, la démo
• D ream n°22
Dossier : l'avenir ludique de l'Amiga
Labo : CD Write, lecteur Zip...
Disquette : Vroom Multiplayer, version
complète
• D ream n°23
Dossier : optimisez votre Workbench !
Reportage : l'Amiga aux commandes
du virtuel
Disquette : Coala, la démo
• D ream n°35
Jeu : Capital Punishment
Labo : iBrowse, InterOffice, MaxDOS
« D ream n°36
Dossier : pourquoi investir sur Amiga
Labo : 2 modems 33600bps,
X-DVE, SMD-100...
Disquette : une sélection de DP
D ream n°37
Dossier : gagnez de l'argent avec
votre Amiga
Reportage : l'histoire de l'informatique
à Londres
Disquette : Magic Menu 2.15
• D ream n°24
• D ream n°38
Dossier : choisir un lecteur CD-Rom
pour Amiga
Labo : Devpac 3.5, carte Piccolo,
Action replay 1200...
Disquette : Boston Bomb Club, version
complète
Amigazone : Typesmith, Wordworth
Linuxzone : Lincity, Xquad, Lyx
Disquette Amiga (épuisée)
• D ream n°25
Dossier : l'Amiga expo fait un carton
Labo : Directory Opus 5.0
Disquette : Virus Checker 8.03
• D ream n°39
Amigazone : les browsers Web,
Shapeshifter...
Linuxzone : XWindow, The gimp,
Mesa OpenGL, Xclamation...
Disquette Amiga : Gestion 2000
(démo) et FirePower
• D ream n°26
• D ream n°40
Dossier : les ordinateurs exotiques
Labo : ImagineVision, Blitz Basic 2.1,
Arts et frontières...
Disquette : Zeewolf 2, la démo
Amigazone : Blobz, Cybervision 64
3D, Airmail
Linux : les distributions, Maëlstrom,
DDD, CDE...
Disquette Amiga : Amigameboy,
WebDesign, VirusZ-ll...
• D ream n°27
Dossier : le guide du programmeur
Labo : la carte 68060 Blizzard 1260T
Disquette : Gloom Deluxe, la démo
LES ANCIE NS NUMÉROS
A V E C CD A M I G A . A T A R I .
BE, L I N U X , R I S C PC. . .
30F
♦ PORTB
• Dream n°41 (épuisé)
Sur le CD : Kde, version complète
traitements de textes alternatifs
• Dream N°54
• Dream n°42 (épuisé)
d'Octamed, Mint, le Fixpack 5, Linux
absolus...
Dossier : les secrets de l'informatique
• Dream n°43 (épuisé)
pour RiscPC...
• Dream N°51
théorique révélés
• Dream n°44
• Dream N 48
Dossier : comment choisir du matériel
Format MP3 : comment fonctionne-t-il ?
Dossier : Persistence Of Vision
Dossier : à la découverte des
alternatif ?
Comment booster son Amiga ?
Tests : StarOffice 3.1 pour Linux,
ordinateurs de poche
Connexion Internet : pourra-t-on aller
Scandale : la sécurité de Windows
système pOS, Psion séries 5
Labo : la Redhat 5.0 est arrivée, tous
plus vite ?
ébranlée par un grain de sable !
Découverte : Warp 4.0, le processeur
les OS de l'Atari, le Syjet sur Amiga,
Périphériques Scsi : toutes les normes
• Dream N°55
Power
installation d'Os/2...
enfin expliquées !
Dossier : les réseaux de neurones
Sur le CD : Pov pour Amiga, Atari,
Sur le CD : tout Linux pour PowerMac
• Dream N°52
Clones 3D : la visio-conférence enfin en
Linux, Risc PC...
et la version exclusive de Tornado 3D.
Apple, Amiga, Acorn... Toutes les
temps réel !
• Dream n°45
• Dream N°49
machines de la rentrée en avant-
Guide d'achat des stations Alpha
Dossier : Latex pour tous les systèmes
Comment Netscape veut s'emparer
première !
Pratique : installer un lecteur SparQ
Labo : Art effect 2, Applixware 4.3...
d'Internet !
Test : la nouvelle interface de Linux
sous Linux
Plein feu : les processeurs Alpha
Puces en cuivre : Ibm pousse le
s'appelle Gnome !
L'an 2000 sera-t-il Unix ou NT ?
Sur le CD : 50 Mo de bureautique
PowerPC à 1 Ghz
Spécial : Windows
Os/2, 25 Mo d'utilitaires graphiques
Mise au point : que vaudra Windows
Tous en réseau !
pour RiscOs, 50 Mo de jeux pour
Nt 5 ?
Emacs : le compagnon essentiel de
Falcon, 60 Mo de démos pour Amiga.
S.u.s.e. : la distribution Linux ultime ?
Linux enfin décortiqué !
• Dream N°46
Mais aussi : Compaq se paye les
Banc d'essai : que vaut la nouvelle carte
Dossier : remplacez Windows par la
stations les plus puissantes du monde,
graphique Pixel 64 ?
Debian Gnu Linux
Gateway 2000 présente le nouvel
» Dream N°53
Labo : Cyberstorm Ppc, The Gimp,
Amiga, réveillez la puissance
Micros, consoles, stations : toutes les
Window Maker...
d'Altavista...
nouvelles puces 3D au service de
Découverte : que vaut BeOs pr2 ?
• Dream N°50
l'imaginaire !
Sur le CD : distribution Debian Gnu
Linux, Amiga, BeOS : comment
A quoi sert vraiment Java ?
95,
Linux, Amiga...
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Linux (pour PC) et Dream Linux (pour
fonctionne un système d'exploitation ?
Test : éxécuter des applications
Amiga). Logiciels Gnu pour Os/2, 40
Le nouvel Amiga est une bombe !
Windows 95 sous Linux.
Mo de démos Falcon, 100 Mo de
Apprenez à graver un CD-Rom !
Compatible tous systèmes,
démos commerciales pour Risc PC.
Rhapsody, le croisement parfait entre
exclusivement en réseau : Citrix
• Dream N°47
Unix et MacOS !
présente l'ordinateur universel !
Dossier : les secrets des nouveaux
La compilation du noyau enfin
Project-X : Amiga et Motorola sont-ils
processeurs.
expliquée !
vraiment derrière la technologie du
Labo : deux stations Alpha, Kde,
Descent arrive sur Amiga !
futur ?
Cyberstorm Mk3, Coldfire...
Wordperfect 7 et Wordworth 7, les
B
N
Coupon à renvoyer à Posse Press
Dream's bootik - 16, rue de la Fontaine
au Roi, 75011 Paris.
Code client (facultatif) : ...................................
Nom : .........................................................................
Prénom : ..................................................................
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Code postal : ..........................................................
Ville : ...........................................................................
Téléphone : ..............................................................
Machine/Système : .............................................
M
M
N
Articles choisis
Prix
Port A : gratuit (France, étranger et Dom-Tom)
Port B : 16 francs (France), 20 francs (étranger et Dom-Tom)
Port C : 21 francs (France), 35 francs (étranger et Dom-Tom)
+ port
Si plusieurs produits sont commandés avec des ports différents,
ne compter que le port le plus cher.
Total
Je règle par :
□ chèque à l'ordre de Posse Press □ mandat □ carte bancaire n° i i i i i
L_L_L.I J
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1 l 1 1 I
expire le i i i i i
Date et signature obligatoires :
En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander :
• Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 10h30 à 18h00
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• Par email : [email protected]
In fo rm atiques et libertés : en application d e l'a rtid e 127 de la loi du 6 ja n v ier 1978, relative à l'inform atique et aux libertés, vous d isposez d'un droit d'accès et de rectification p o u r toute inform ation vous concernant en vous
adressant à notre siège social. Les inform ations requises son t nécessaires à l'établissem ent d e votre com m ande. Elles po u rron t égalem ent être cédées à des organism es extérieurs, sa u f indication contraire de votre part.
Comment devenir
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