Lycée Joliot-Curie à Nanterre.
Transcription
Lycée Joliot-Curie à Nanterre.
Lycée Joliot-Curie à Nanterre. Sommaire: Corneille France 2 Printemps 2012 Cuisine Voyages Paris Manga Cinéma Journal n°2 - Mars 2012 The Daily Curie fait aussi son ménage de printemps pour vous surprendre davantage ! Un nouveau numéro avec de belles rencontres mais aussi de nombreuses découvertes qu’il partage avec vous dans la joie et la bonne humeur ! Des élèves du lycée sont partis visiter les locaux de France 2, à cette occasion David Pujadas a répondu aux questions d’une de nos journalistes en herbe. Si le monde du journalisme et de la communication vous intéresse vous n’allez pas être déçus ! Nous avons aussi eu la chance d’interviewer Corneille et n’avons donc pas oubliés les fans inconditionnels de musique (surtout pour les fans de R’n’b). Au détour de ces articles, si vous avez un petit creux n’hésitez pas à tester la recette du chocolat chaud ou des sablés (un délice pour nos papilles !). Envie de voyager ? De vous évader ? En attendant les vacances, vous pouvez aussi rêver d’un ailleurs en lisant notre petit dossier sur les études à l’étranger avec un superbe témoignage. Paris a aussi offert du dépaysement avec le rendez-vous annuel du salon Paris Manga. De plus, les couleurs s’invitent également chez vous (dans votre garde-robe plus exactement) avec les tendances mode de ce printemps 2012 ! Ou encore dans votre bibliothèque avec la critique littéraire/ cinématographique avec La couleur des sentiments. Profitez de ce plein de vitamines pour recharger vos batteries après la grisaille de cet hiver ! Le prochain numéro vous promet aussi de nombreuses surprises… Amina Kalache. Articles, illustrations, photos : Amina Kalache, Camille Landrain, Janna Villin, Joana Pires, Jonnas Troussard et La Fille au Chapeau. Mise en page : Amina Kalache. Remerciements à Madame Christine et à Tony Assogba pour leur contribution à ce merveilleux journal. Illustration de la couverture faite par Amina Kalache. Mercredi 14 décembre 2011, les élèves de l’Atelier Sciences Po et les membres du Daily Curie ont été invités à visiter les locaux de France 2 et à rencontrer David Pujadas, le présentateur du 20heures de France 2 et le parrain de l’Atelier Sciences Po du lycée. Départ du lycée à 9h45, après avoir attendu les paniers-repas, direction NanterrePréfecture. Une heure de RER plus tard, et quelques problèmes de tickets, nous arrivons aux locaux de France Télévisons. Nous sommes accueillis par Mme Martine Michon, responsable de l’accueil des invités sur France 2. Nous commençons par quelques plateaux en cours d’installation puis nous assistons au tournage de la météo avec Philippe VERDIER qui a relevé le défi de parler de Nanterre dans le bulletin météo de 12h50 ! Ensuite, nous assistons au tournage du JT de 13 heures en direct, présenté par Elise Lucet, depuis la régie. Nous avons pu voir que tout va très vite, un flash info peut arriver à tout moment et une erreur peut être fatale pour le timing, tout est chronométré à la milliseconde près. Et contrairement à ce qu’on peut penser en regardant le journal tranquillement devant sa télé, beaucoup de gens se cachent de l’autre côté de la caméra et sont essentiels au bon déroulement du JT. Après ça, nous rencontrons David Pujadas dans la salle de conférence habituellement réservée au débriefing du JT. Il accepte gentiment de répondre à nos questions sur le travail de journaliste et sur le parrainage avec l’Atelier Sciences Po. Une heure plus tard, nous allons déjeuner puis nous quittons les locaux. Arrivés à la station de RER, après quelques problèmes de tickets, nous attendons notre train plusieurs minutes jusqu’à une remarque très pertinente du photographe du The Daily Curie nous signalant que nous nous sommes trompés de quai. Mais où serions-nous allés sans lui ?! Et c’est après ces mésaventures que nous nous quittons à la gare de Nanterrepréfecture. Camille Landrain et Joana Pires. Photos prises par ShangNong Hu. Photos de ShangNong Hu. David Pujadas, présentateur du 20h de France 2. Mme Baraud et M. Bailleux ont remarqué un décalage de 5 à 6 secondes du son entre sa sortie de la régie et sa retransmission sur écran de contrôle. Etait-ce technique ou volontaire ? David Pujadas : C’est sûrement une histoire de satellite, certains canaux étant branchés directement et d’autres devant passer par tout le circuit pour être diffusés. C’est une question technique. De l’extérieur on imagine que tout est parfaitement huilé. En réalité, c’est un petit miracle permanent, comme un avion qui décolle. D’’ailleurs vous voyez de temps en temps des problèmes techniques, des sujets qui ne partent pas. Ce sont des métiers humains même si toutes les procédures se sont beaucoup professionnalisées, modifiées,… Les journalistes sont considérés comme des cadres donc on ne compte ni jours fériés ni vacances, un 1er mai ou un 25 décembre est pour nous comme un jour ordinaire. Un journal, contrairement aux magazines, n’est jamais enregistré, il est toujours en direct puisqu’il peut se passer des choses à tout moment. L’émission que je présente « Des paroles et des actes » est en direct car en direct, une émission est porteuse de plus de tensions. Comment faîtes-vous pour que le journal soit diffusé les jours de fête ? Est-il préparé à l’avance ? D.P : Ici, on ne connait pas les jours fériés. Vous n’étiez pas sûr de faire ce métier, alors comment en êtes-vous arrivé là ? D.P. : Quand j’étais enfant, j’en rêvais un peu mais je me disais que ce n’était pas pour moi. Puis je suis allé à Sciences Po : on vous demande d’avoir un projet. Le mien était de faire l’ENA et de faire de la diplomatie : courir le monde, gérer les conflits. Il faut faire un stage. On m’a engagé 4 mois. On dit souvent que c’est la base du journalisme. Puis, j’ai changé de section avec l’idée de faire une école de journalisme. J’ai eu la chance : un stage de 6 mois à TF1 en CDD. J’ai fait mes preuves et ils m’ont gardé. J’y ai fait 6 ans comme reporter, c’était une période très riche en évènements, la chute du mur, du bloc soviétique. Puis je suis allé à LCI qui démarrait, d’abord comme simple présentateur puis j’ai eu une tranche d’une heure et c’est à ce moment-là que France 2 est venue me chercher. Vous présentez le journal depuis 10 ans : vous ne vous en lassez jamais ? D.P. : On pourrait se lasser de n’importe quel métier et le journal pourrait devenir lassant : je fais tous les jours les mêmes gestes. Mais ce métier, c’est le « balcon du monde », il se base sur la curiosité donc on ne s’en lasse jamais. Avoir une curiosité sur le monde est l’essence même du journalisme. On vit des aventures formidables. C’est un métier exaltant. Quel est votre temps de travail par jour ? D.P. La journée commence à 9h. Une première réunion à 10h décide des sujets abordés le soir : une grande conférence de rédaction, qui dure de 45 mn à 1 h, où chacun va proposer ce à quoi il a pensé, pour décider du menu du 20h. Ensuite de 12h à 13h, on va visionner les reportages qui ont déjà été faits, demander des modifications. Puis il y a une conférence de validation vers 15h30. Puis on se retrouve en comité réduit pour régler les derniers détails. Puis je me consacre à l’écriture des titres, des lancements, de 18h à 19h. Pendant ce temps, les reporters qui sont allés tourner avec des équipes (un caméraman, un preneur de son) vont mettre les images dans l’ordre en salle de montage pour que ça fasse un récit à peu près cohérent. Et les rédacteurs en chef passent de salle en salle pour valider ces reportages, qui sont ensuite mis dans un système informatique, prêts à être diffusés. Pourquoi avez-vous choisi la télévision ? D.P : J’ai toujours aimé l’image, je faisais des petits films. A partir du moment où j’ai choisi le journalisme, j’ai tout de suite eu envie de faire de la télévision. J’ai hésité entre la formation de caméraman (JRI: Journaliste Reporter d’Image qui peuvent tourner seul ou à plusieurs) et celle de rédacteur (celui qui prend des notes, interview et qui ensuite plaque sa voix sur l’image et qui peut par la suite devenir présentateur.) C’est par amour de l’image que j’ai choisi la télévision. Pourquoi l’émission d’investigation Les infiltrés a-t-elle disparu ? D.P. : Elle va revenir, mais je ne peux plus tout faire, surtout en période électorale. Je présente Des paroles et des actes et je ne pouvais pas en plus présenter Les infiltrés. C’est Marie Drucker qui la présentera en 2012. Le concept de cette émission, c’est un concept britannique très particulier (Undercover).L’infiltration c’est vivre la situation comme les acteurs la vivent. Cela sert à voir comment se passent les rapports entre les gens et aussi à entrer dans des milieux très fermés. Par exemple, on était allé dans une école privée religieuse intégriste où les enseignants n’enseignaient pas par exemple la Seconde Guerre Mondiale comme on a l’habitude de vous l’enseigner. C’était un peu du bourrage de crâne des étudiants. Pour entrer dans ce type d’école on ne peut pas juste toquer à la porte et dire « Bonjour je voudrais filmer. » .Même si il faut faire attention à ne pas tomber dans le sensationnalisme, le concept des infiltrés est très intéressant. Pourquoi avez-vous accepté d’être le parrain de l’atelier Sciences Po du lycée ? D.P. D’abord parce que Frédéric Bailleux me l’a gentiment demandé. Mais à part ça je trouve que c’est une formidable voie d’accession parallèle. J’ai moi-même un engagement depuis une douzaine d’année pour la diversification du recrutement dans les chaînes de télévision, avec le club Averroès. Il vise à faire pression sur les chaînes pour l’embauche de gens issus des quartiers défavorisés. Il y a un problème d’injustice mais surtout il ne faut pas qu’on se prive des jeunes talents qui peuvent être laissés de côté. Il y a toute une tranche de la population qui pense que ces métiers ne sont pas pour elle. Et tout ce qui concourt à donner un coup de pouce à la diversité, est une bonne chose… Camille Landrain. Durant toute la dernière semaine du mois de janvier, le chanteur Corneille était en résidence à la maison Daniel Féry pour préparer sa tournée qui a débuté par un concert à Nanterre le samedi 4 février. Pour lancer le début des festivités, Forbon alias Princeps accompagné du groupe Burnin’ States introduisent la première partie du concert avec leur « RéLOVution » aux tonalités hip-hop. Une découverte musicale qui promet. C’est ensuite que Corneille fait apparition sur scène pour le bonheur de tous. C’est avec beaucoup de plaisir et souriant qu’il nous présente son dernier album intitulé « Les Inséparables » qu’il a écrit avec son épouse, Sofia de Mereidos. Le public est ravi et reprend en cœur le refrain des « Simples choses ». Corneille décide alors de faire participer un groupe de filles : « Vu que vous avez l’air de bien connaître l’album, vous serez le chœur du public. » Les filles, dans une hystérie joviale, se prêtent au jeu tout au long du concert. Corneille fait parti de ces véritables artistes qui ne font plus qu’un avec leur public. Chanteur au grand cœur, il animera Nanterre jusqu’au bout de la nuit. Si vous avez raté Corneille à Nanterre, vous pouvez vous rattraper sur certaines de ses dates qui ne sont pas encore complètes ! En plus de son concert, j’ai eu l’honneur d’assister aux répétitions mais aussi de l’interviewer ! Comment s’est passé la co-création de cet album avec ta femme ? « On a une méthode où il m’arrive des fois de manquer d’inspiration pour des thèmes ou de ne pas savoir comment les aborder et c’est à ce moment-là que sa force est de trouver les thèmes et de savoir comment les aborder. Elle écrit, elle met ses idées sur papier. Je prends ensuite la guitare et les mélodies me viennent spontanément… » Donc vous vous complétez musicalement ? (Rires) « Oui, tout à fait ! » Comment expliques-tu les nombreuses collaborations avec des rappeurs français ? « En fait, j’ai appris à aimer la musique avec le hip-hop et le r&b américain, cela fait des codes de cette musique justement. Quand j’ai commencé mon premier album, ce n’était pas encore deux styles musicaux qui se mariaient. Mais avec mon 5ème album j’ai eu envie de le faire de la même manière que les artistes que j’écoutais quand j’étais jeune. Je suis un grand fan de hip-hop, je connais le hip-hop, ça fait partie de ma culture donc je me suis donné le droit de le faire sur cet album. » Et tu as eu un coup de cœur justement avec une de tes collaborations ? « Oui, avec tous les artistes. Que ce soit TLF, Soprano ou récemment Youssoufa. Au départ, c’est parti sur des coups de cœur. J’ai entendu un truc qui m’a donné envie soit de me coller à ce qu’il faisait ou bien de les inviter sur mes projets à moi. » Pourquoi « Les Inséparables » alors que tu figures seul sur la pochette de ton album ? (Rires) « Au départ, c’est le titre d’une chanson dans l’album qui parle d’identité, de la volonté de ma génération, des jeunes, de rester unis, c’est aussi l’expression du refus d’être divisé sous prétexte que l’on ne vient pas du même endroit. A l’écoute de l’album, j’ai vu que c’était un thème plus ou moins récurrent : l’unité et le refus de la division. C’était un titre qui s’apprêtait bien et qui collait bien à l’album en général. » Justement, tu parles beaucoup d’identité nationale… Est-ce que tu t’inspires de ce qui se passe actuellement en France ? « Oui, le débat de l’identité en France m’a un peu inspiré pour écrire certains titres sur l’album mais ce n’est pas vraiment le sujet de l’identité nationale car j’ai du mal à comprendre cette notion… Parce que dans mes chansons, je viens contre justement cette idée de se définir par son identité à une nation ou à une géographie. Je parle d’identité de façon plus large. » On se souvient d’un Corneille à la pointe du style, avec le port de la cravate, la chemise et le veston… Aujourd’hui, tu restes toujours aussi classe mais un peu plus casual par exemple. A quoi doit-on ce changement ? « Je ne sais pas. (Rires). Peut-être une envie d’être plus confortable, la cravate ça serre le cou. Et à un moment donné on a fait le tour. Je m’habille en fonction des occasions, il y a une époque où j’avais en concert une dynamique plus statique au niveau des mouvements et du groove des chansons. Tandis que là, on a des trucs qui bougent un peu plus donc j’ai envie d’être plus à l’aise. J’ai envie d’être en basket sur scène plutôt que d’être en cuir serré. Une envie d’être confortable, je ne sais pas (rires). Peut-être parce que je suis papa aussi. Justement, qu’est-ce que la paternité t’as apporté? « Beaucoup d’humilité. » Il y a quelques années, nous avons interviewé Gage qui a fait un concert icimême et nous lui avons demandé quel était le meilleur souvenir te concernant. Il nous a parlé de vos débuts lorsque vous chantiez à trois sur le même micro et que vos fans vous attendaient à l’aéroport le lendemain. Quel est ton meilleur souvenir ? « Effectivement, les galères d’un micro alors que nous étions trois chanteurs. Les fois où l’on chantait partout, mais vraiment partout ! Ca en devenait soulant je pense pour ceux qui étaient autour de nous (rires). Les petits live que l’on faisait dans les petits bars pourri à Montréal, on avait du vrai plaisir et on n’avait pas conscience des conditions dans lesquelles on chantait. On chantait pour le plaisir. Ca, c’est des bons souvenirs… » Amina Kalache. Faire le tour du monde, voyager, découvrir de nouvelles cultures, de nouveaux modes de vie, une ou plusieurs nouvelles langues, rencontrer des gens tout autour de la planète, avoir des amis aux quatre coins de la planète... Un rêve pour beaucoup d'entre nous et très souvent, très dur à réaliser ou même irréalisable si on ne sait pas comment s'y prendre. Et pourtant, c'est possible !!! Et pas seulement à 70 ans quand on dira « Je veux profiter de ma retraite et faire le tour du monde ! » Nous, lycéens, on peut décider s'il est temps pour nous de partir à la découverte du monde. A la condition de savoir ce qu'on veut vraiment et surtout, être sûr qu'on sera capable de le faire ! Une solution s'offre à nous: une année sabbatique. Mais pour faire quoi exactement ?! A chaque âge, sa solution ! Une des plus évidentes pour les lycéens, directement après la troisième ou juste après le bac: passer une année scolaire dans un lycée à l'étranger ! A l'étranger ? Oui, mais où ? La destination la plus en vogue: les États-Unis. Qui n'a pas rêvé des casiers dans les couloirs du lycée, des matchs de football avec les pompom girls, du bal de promo et de la fameuse graduation avec les capes et les chapeaux lancés en l'air comme dans les films ? Mais aussi, l'Angleterre, l'Écosse, l'Irlande, l'Australie, la Nouvelle-Zélande... Sans oublié le Japon, la Corée, l'Allemagne, l'Argentine, le Brésil, le Canada, le Chili, la Chine, le Costa Rica, l'Équateur, l'Espagne, l'Italie ou les Pays-Bas ! A chaque goût sa destination ! Mais attention, partir comme ça, pendant un an, à l'autre bout de la planète ne s'improvise pas, au contraire ! Il existe de nombreux organismes qui organisent ce genre de séjours à l'étranger comme le WEP (www.wep.fr), le Rotary Youth Exchange (www.rotary.org), STS (www.sts.fr), AFS (www.afs-fr.org), PIE (www.piefrance.com), YFU (www.yfu-france.org), Calvin Thomas (www.calvin-thomas.com) ou encore ISPA (http://www.ispa.fr). La Grande Muraille de Chine. Graduation, lycée Américain. Alors, prêt à passer une année scolaire dans un lycée à l'étranger et dans une famille d'accueil ? Une fois l'organisme choisi, il faut prendre rendez-vous avec eux pour commencer les démarches ! Une préinscription est d'abord nécessaire. Ensuite, vous recevrez une convocation pour un entretien dans les bureaux de votre organismes. Généralement, dans cet entretien, on va tester vos motivations ainsi que votre niveau en langue. Mais pas de panique, même si vous n'êtes pas super fort en langue, il n'y a aucune raison de s'inquiéter: la motivation est ce qui compte le plus et un des buts de ce séjour à l'étranger est d'améliorer votre connaissance de la langue ! Après ça, il vous faudra constituer un dossier parlant de vous, vous motivations, votre famille etc... Ce dossier sera envoyé dans votre pays d'accueil qui sélectionnera des potentielles familles d'accueil qui vous accueilleront chez elle lors de votre séjour, il est donc important de préparer ce dossier très soigneusement. Une fois qu'une famille aura eu le coup de cœur pour vous et vous aura sélectionné, vous recevrez un courrier de votre organisme et ce sera à vous de prendre contact avec eux ! Enfin, plus qu'à attendre patiemment le jour du départ ! Bon voyage à tous ! Et maintenant, voici le témoignage d'Ellen, une ancienne ES qui a gentiment accepté de répondre à nos questions (attention, ici, ES ça veut dire Exchange Student). Elle a choisi de partir dans deux pays: l'Equateur et les USA. En Equateur, elle a fait près de quatre mois de volontariat dans une école et aux USA, elle était dans une High School pendant cinq mois. Elle est partie en 2007-2008 avec WEP Belgique. Pourquoi as-tu voulu partir en année d'échange ? Je ne sais plus... Je pense que depuis que j'étais toute petite ma maman me disait de le faire du coup pour moi c'était juste normal de partir ... je ne sais plus qui a ramené le sujet sur le tapis lorsque j'ai eu l'âge de m'inscrire. Comment as-tu appréhendé le départ ? Aucune appréhension, je suis du style à commencer à stresser seulement à l'aéroport... Comment se sont passées les premières semaines dans ton nouvel environnement ? En Équateur, je pense que j'ai mangé une bonne salade de fruit et qu'après on m'a dit de rester dans ma chambre pour me reposer et je m'ennuyais parce que j'étais pas fatiguée. Je me suis réveillée plein de fois la nuit mais c'était pas grave, un des murs de ma chambre était remplit d'énormes fenêtres mises côte à côte (comme une grande baie vitrée) et j'avais la plus belle vue de la terre. Sinon je comprenais rien à rien. Aux USA, je suis arrivée à 22 ou 23h si je me souviens bien, ma famille avait acheté un meuble Ikea à mettre au dessus des toilettes et je l'ai monté parce qu'ils n'arrivaient pas à le faire... J'avais beaucoup de mots espagnols qui sortaient de ma bouche au lieu de l'anglais aussi. La première fois que je suis allée à l'école c'était juste pour accompagner ma sœur d'accueil, j'ai suivi un cours de cuisine. Quelles ont été tes relations avec ta famille d'accueil ? En Équateur j'avais pas de famille d'accueil mais je restais avec une ancienne nonne, elle était sympa mais avait 74 ans donc c'était pas toujours ultra fun non plus mais en règle générale c'était chouette. Elle m'a emmenée en weekend à Otavalo et puis à Ambato et c’est à peu près tout. On allait parfois manger ensemble aussi. Mais bon elle avait une école à gérer. Je l'ai revue quand j'y suis retournée mais sinon j'ai pas de moyen de la contacter. Aux USA, je ne m'entendais pas avec ma famille d'accueil. On a été une fois au resto et après, on a plus rien fait ensemble. C'est vrai que sur ce coup là, j'ai pas eu de chance, mais c'est pas le cas de tout le monde: d'autres exchange students avaient des familles géniales et moi non, mais c'est pas ça qui ruine réellement l'expérience, faut savoir faire la part des choses et profiter des bons moments. As-tu réussi à t'intégrer dans ton nouveau lycée ? En Équateur je faisais du volontariat mais dans l'école où je bossais pas mal de profs s'en fichaient un peu de moi, y en a qu'une qui venait m'aider pour donner l'étude avec qui je m'entendais très bien ... et les dames de la cuisine (ouais j ' a i m e l e s c u i s i n e s ) . Aux USA comme je suis arrivée en janvier le groupe était déjà créé, donc j'ai tout de suite été happée par eux. Dans la "galère" on se lie toujours d'amitié avec les gens qui ont les mêmes problèmes, c'est un peu la même chose ... mais c'est pas des amitiés qui tiennent très fort pour après sauf avec certaines personnes. Mais c'était génial en même temps vu que quand on est étranger on prend tout avec plus de légèreté et on ose plein de choses: la plus part des gens on ne les reverra plus jamais donc on s'en fout de se mettre à danser ou chanter dans un magasin par exemple. Par contre, les américains... soit je leur faisais peur, soit ils me snobaient... Mais j'ai quand même fait connaissance ave des filles qui ont su voir au delà des apparences. Comment as-tu appréhendé ton retour ? Larissa (italo-brésilienne vivant en Italie) est partie une semaine avant moi, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps ... et après ça j'étais prête à partir. Oh et pour l'info, mon père d’accueil a été me conduire à l'aéroport tôt le matin, et personne d'autre de cette famille ne s'est levé pour me dire au revoir, ça prouve la super relation qu'on avait. Comment s'est passé ton retour dans ta famille, ton groupe d'amis et dans ta scolarité ? J'ai pas eu trop de mal, c'est que quelques mois après quand il a fallut de nouveau étudier pour les examens que j'ai eu du mal. Mais l'ambiance dans ma nouvelle école est assez exceptionnelle aussi donc je suppose que ça aide. As-tu créé un blog où tu parlais de ton année ? Oui deux! h t t p : / / o o e l l e n o o - e n ecuador.skyrock.com/ et http://ooellenoo -aux-usa.skyrock.com/ Peux-tu nous raconter un moment de ton année qui t'a particulièrement marqué ? C'est dur de répondre ... mais pour moi c'est plus un tout qu'une suite d'évènement maintenant. Celaa remonte à y a 4 ans quand même, je deviens vieille, j'ai la mémoire défaillante, tout ça tout ça... Mais je dirai que le plus dingue c'est ce qu'entre exchange students on est capable de tout faire pour s'entraider: y a une solidarité très forte entre nous parce que les autres exchange students sont les seuls qui peuvent vraiment nous comprendre parce qu'ils vivent la même expérience que nous. Avec le recul, peux-tu nous dire ce que t'a apporté ton année d'échange ? C'est vraiment dur à dire parce que c'est vraiment trop vaste comme question... En tous cas, c'est sur que ça m'a permis de gagner en maturité et de me forger le caractère. Quels sont les conseils que tu donnerais aux futurs ES ? Vous partez pas aux pays des poneys magiques mais ce sera génial de toute façon ! Pour prolonger l'expérience, Ellen a créé un forum pour les exchange students. C'est là où ceux qui sont revenus, sont partis et vont partir communiquent et partagent leur expérience. Les réponses aux questions que vous vous posez trouveront peut-être une réponse ici: http:// language.forumhope.com/ Propos recueillis par Joana Pires. Le jury du concours logo s'est réuni vendredi 9 mars et a présélectionné 6 logos. Voici les finalistes: Hu Shang Nong (1e ES/S): 2 logos presque identiques. Antinéa Kara (HP) Vadim Ursan (TS1): 2 logos Rottner Géraldine (BTS ESF1) Les logos sont affichés au CDI et visibles sur le site internet du lycée. Bravo à eux ! La couleur des sentiments est un film qui a été réalisé d’après le roman de Kathryn Stockett. Ce film a eu trois nominations aux Oscars, également trois autres pour les Golden Globe et quatre pour The British Academy Film Award. Le film relate l’histoire de trois femmes que tout sépare. Skeeter est différente des autres jeunes femmes de Jackson (ville de l’état du Mississippi), elle est ambitieuse, a beaucoup de courage, n’a pas comme unique but de trouver un mari et n’est pas raciste contrairement au reste de la population… Elle veut devenir journaliste à tout prix, on lui propose de tenir des chroniques en tant que conseillère ménagère (alors que celle-ci n’a jamais touché un seul balai). Elle demande de l’aide à Aibileen qui accepte mais Skeeter a d’autres idées en tête. Elle décide d’écrire un livre sur le point de vue des bonnes, un aspect des choses qui n’avait jamais été présenté jusqu’à maintenant. Cependant, les bonnes refusent car elles ont peur des représailles. Petit à petit, Aibileen est convaincue et finit par accepter. Minny, une autre bonne, se laisse aussi convaincre à son tour jusqu’à ce que Skeeter regroupe une vingtaine de témoignages pour décrocher un post dans le Harper and Row. C’est donc le début d’une nouvelle vie pour la ville de Jackson qui est loin d’être toujours facile pour ses citoyens… Nous sommes dans une Amérique au cœur des années 60 où la ségrégation raciale est omniprésente. Les femmes blanches ont des domestiques noires qui s’occupent d’élever leurs enfants, de faire la cuisine, le ménage, etc. Mais cellesci n’ont pas le droit d’utiliser les toilettes de la maison par exemple à cause du projet sanitaire pour les domestiques à l’appui du conseil pour les citoyens blancs. Le film est vraiment réaliste. Il nous plonge parfaitement dans le contexte grâce au travail des costumes et des décors qui sont surprenants. A travers La couleur des sentiments, se dressent plusieurs portraits, plusieurs relations et différents thèmes. Tate Taylor, le réalisateur, a su mélanger les genres : il y a beaucoup d’humour, d’amour, de tristesse, de scènes bouleversantes ou encore des moments de cruauté sans pareil. La situation des domestiques noirs étaient difficiles, les meurtres de cette minorité étaient nombreux et dans le Mississippi la haine raciale était la plus importante. « On vit un enfer. On est pris au piège. » C’est aussi la naissance des manifestations pour les droits civiques des noirs et le début de la révolte contres les ségrégations raciales. Au cœur de cette société, les relations mères/filles sont complexes et difficiles. La petite fille dont s’occupe Aibileen considère celle-ci comme sa « vraie maman » car sa véritable mère ne l’aime pas. Elle la juge trop grosse, pas assez jolie et n’a pas été là lorsque celle-ci a commencé à faire ses premiers pas dans la vie. « La vie est dure quand une maman trouve que sa fille n’est pas jolie… » Quant à Skeeter, sa mère veut absolument lui trouver un époux tandis que celle-ci ne souhaite pour le moment que se consacrer à sa carrière. La fille de Minny a dû arrêter l’école pour pouvoir aider à la maison car il faut savoir que les bonnes n’avaient pas de sécurité sociale et qu’elles étaient payées moins que le salaire minimum (soit 182 dollars/mois). On se rend compte aussi du courage que s’apportent mutuellement les personnages. Minny apprend à Célia à cuisinier (la fameuse tarte au chocolat et le poulet grillé) mais aussi à combattre sa bipolarité. Celleci lui apprend à s’accepter et elle décide ainsi de quitter l’homme qui la bat. Grâce aux femmes qu’elles interviewent, Skeeter relate aussi son histoire avec Constantine qui était plus qu’une domestique pour elle, presque une mère. En publiant son ouvrage, Skeeter finira par perdre son fiancé (qu’elle avait rencontré au cours d’un dîner arrangé par Miss Walter) mais deviendra la journaliste qu’elle a toujours voulu être et ce avec le soutien et la fierté de sa mère. Aibileen s’est mise à écrire et a fait « un premier pas en disant la vérité. » C’est un film qui a connu un grand succès (très mérité). La distribution des rôles est parfaite, chaque rôle atteint son sommet, et c’est avant tout un hommage à ces femmes pleines de courage et de bonté qui j’espère ne vous laissera pas de marbre. Amina Kalache. Les 4 et 5 février 2012 ont eu lieu la 13e édition du salon Paris Manga & Sci-Fi Show à Paris Portes de Versailles. C'est un salon dédié particulièrement à la culture japonaise et notamment au manga. Cependant, on y trouve de plus en plus de choses qui ont ou n'ont pas de rapport avec le Japon. Chaque année une ambiance unique où des personnages atypiques (cosplayeurs)ansi que tout une bande de passionnés et de «geek» se réunissent pour une de leur passion ; le Japon ou encore les jeux vidéos (car oui, c'est Paris Manga, mais aussi Sci-Fi Show...). En effet si vous vous rendez à ce superbe salon vous pourriez dès le trajet croiser quelques cosplayeurs sur le chemin. Une fois arrivé là-bas, on se retrouve dans une atmosphère totalement différente. Nous avons interrogé Théo, un cosplayeur d'une vingtaine d'année incarnant Joker (l'ennemi principal de Batman). INTERVIEW Journal : L'avez vous créé vous même et combien de temps cela vous a-t-il pris ? Théo : Oui je l’ai crée moi-même et cela ma pris 1 an pour le terminer. J: Pour vous, Quels sont les intérêts du cosplay ? T : Je pense qu’il n’y a pas vraiment d’intérêt, c’est pour le fun. J: Combien de cosplay avez-vous déjà crée et quelles étaient vos inspirations ? T: J’en ai crée 3, un de zombie, le deuxième de Batman et le 3eme, donc celui-ci de joker. Kenza dit : «C’est assez amusant vous passez du gentil au méchant ^_^» Théo : «Tout à fait ! ^_^ » Journal : Venez-vous directement cosplayé ? T : Oui et je viens de Montreuil. J: Que préférez-vous à Paris Mangas ? T : Tout est bien mais je trouve que ça le devient malheureusement de moins en moins. Vous savez ça fait 10 ans que je viens ici. Par cette ambiance festive; concours, free-hugs (câlins gratuits), shows sur scène, combats de catchs, arts martiaux, karaoké... Nous trouvons aussi beaucoup de commerçants qui nous proposent des objets du plus ludique au plus dangereux comme par exemple du simple porte clé jusqu'à des armes blanches, même si les plus intéressants restent les fameux «katanas»... Nous avons eu l'occasion d'interroger une commerçante qui vendait des posters de manga, des goodies etc. Journal : Est-ce une société ayant des locaux ? Commerçante : Oui elle en a, mais basés en Allemagne J : Est-ce la première fois que vous vendez pour d’autres entreprises ? C : Non, je l’ai déjà fait auparavant. Elle rajoute aussi que eux, les commerçants, doivent arriver sur les lieux à 9h45. J : Donc à quelle heure devez vous vous lever ? C : J’habite à Argenteuil donc je me lève à 7h30. Effectivement, le salon ouvre ses portes à 9h30 (comptez aussi l'immense queue à faire...), mais l'heure d'arrivée des personnes dépend totalement de leurs envies. Pour tout les passionnés d'Asie (oui, car par exemple la Corée du Sud prend de plus en plus d'ampleur au salon, notamment avec le phénomène grandissant, la «KPop».) etc. Ou encore les fans de jeux vidéos, venez assister à ce passionnant salon qui n'a lieu que deux fois par an (en février et en septembre/ octobre). De plus, de nombreux invités sont présents à chaque édition ! Vous ne le regretterez certainement pas ! Mebitil Nassima et Mosbahi Kenza. Voici la liste des mangas qui faut absolument avoir dans sa bibliothèque: - One piece - Black Butler - Fairy Tail - Blue Exorcist - Switch Girl - Sawako - Death Note - Judge - Naruto - Fruits Basket - Dragon Ball - GTO - Hunter X Hunter - Détective Conan - Fullmetal Alchemist - Beck Une liste faite par Jonnas Troussard et Janna Villin. Le printemps arrive et vous ne savez toujours pas quoi mettre? Votre garde-robe a besoin d’un petit vent de fraicheur? Alors vous allez être ravies mesdames ! Ce printemps s’annonce CO-LO-RE ! Des couleurs qui se déclinent sous tous les tons, toutes les nuances et ce pour le plaisir de nos yeux et surtout de notre moral. Car si comme moi, vous ne supportez plus cette grisaille permanente, les nouvelles collections sont à tomber ! Le beige, le nude est toujours présent mais il s’associe avec des touches de couleurs par -ci, par-là. Associez une blouse avec une longue jupe corail. Par ailleurs, ce printemps ainsi que cet été, vous ne pourrez pas marcher dans les rues sans apercevoir ces longues jupes qui peuvent rappeler l’empire romain. Misez dessus que vous soyez grandes, petites, rondes ou fines car elles affinent les jambes, et donnent l’impression que vous êtes plus grandes ! Portez-les avec les fameuses compensées, LES chaussures de cette saison. Le printemps ce n’est pas seulement le retour du soleil, la hausse soudaine des températures… C’est aussi cette légère brise printanière ! Alors pour ne pas attraper froid, sortez couvertes. De plus, ce printemps les vestes ne manquent pas d’originalité, de peps et se déclinent sous toutes les formes: la fameuse veste en cuir que l’on choisira coloré ou encore la veste en tweed version « First Lady » ! Bref, il y en a pour tous les goûts ! Pour finir, le printemps annonce le retour des robes ! L’originalité de 2012 est que le robe de ce printemps se décline selon nos envies. Vous aurez le choix entre la robe à motifs ethniques, la robe-pull que vous porterez avec une fine ceinture en cuir pour le chic. Mais encore la robe verte, es robes couleurs pastels… A vous de trouvez celle qui vous mettra en valeur ! Voici une sélection d’accessoires incontournables pour ce printemps ! Le fameux foulard, le carré de soie ou encore le chèche: le tout est de l’accorder comme il se doit avec votre tenue et vos sacs. C’est le retour du sac à dos, le retour donc de nombreux souvenirs d’enfance… Mais aussi du cartable que vous porterez désormais en sacoche ! Vous retrouverez ces articles sur le site Polyvore.com. ENJOY ! Amina Kalache. Rien de mieux que de grignoter un délice sucré ou bien une boisson chaude lorsque l'on est chez soi à l'abri d'un dimanche glacial hivernal. Pour l'entrée en matière, je vous propose un "Chocolat chaud à l'ancienne". Une recette longtemps oubliée qui mérite qu'on y prête de l'attention. La recette pour 4 personnes: - 125g de chocolat noir - 50cl d'eau - 50g de sucre en poudre - 25g de cacao en poudre Tout d'abord, il faut casser le chocolat en petits morceaux et le mettre dans un saladier. Ensuite dans une casserole, porte l'eau à ébullition avec le sucre. Ajoute le cacao et fouette le mélange de façon énergique. Fais encore bouillir, puis retirer du feu. Verser le mélange en trois fois sur le chocolat en morceaux. Mélanger doucement avec une cuillère en bois en faisant des cercles de plus en plus grands. Mixer le tout pendant 5 minutes. Il ne reste plus qu'à répartir le tout dans des tasses ! C'est très rapide à réaliser mais surtout très bon et très fort en chocolat. Mais il manque tout de même un accompagnement… Rien de mieux qu'un sablé pour pouvoir le tremper dans notre chocolat bien chaud ! Mais pas n'importe quel sablé, le sablé de Sablé-sur-Sarthe. Il vient donc de la ville de Sablé-sur-Sarthe dans les Pays de la Loire. Il aurait été créé au 17e siècle. C'était Madelaine de Souvré, marquise de Sablé, qui en offrait à ses visiteurs. Elle le fera même goûter au roi de France qui n'était autre que Louis XIV ! Le roi soleil, à partir de ce jour en demanda tous les matins à son petit déjeuner. Ce petit gâteau fera danser les papilles dans les lieux les plus prestigieux de la capitale, dans les salons du Faubourg Saint-honoré et sur la Place-Royale. La recette pour 50 sablés: - 200g de beurre - 100g de sucre en poudre - 4 jaunes d'oeufs - 1 pincée de sel fin - 320g de farine - 1/2 tasse de lait Dans un saladier, travailler le beurre en pommade (le beurre doit être mou) avec le sucre, 3 jaunes d'œufs et la pincée de sel fin. Ajouter la farine peu à peu avec un peu de lait, jusqu'à obtenir une pâte souple mais sans être molle. Rouler-la en boule et laisser reposer au frais 30 minutes. Préchauffer votre four à 220°C (thermostat 7-8). Et beurrer la plaque du four (si vous ne souhaitez pas utiliser du beurre utilisez du papier sulfurisé). Etaler la pâte sur à peu près un demi centimètre puis avec un emporte-pièce (ou tout simplement au couteau) puis découper les sablés et déposer-les sur la plaque. Dorer les sablés au pinceau avec le dernier jaune d'œuf battu dans 3 cuillères à soupe de lait. Mettez au four et faire cuire pendant 10 à 12 minutes, les sablés doivent être bien dorés. Retirer les sablés du four et laisser refroidir avant de les déguster. Vous pouvez les conserver facilement dans une boîte hermétique. Et voilà ! De quoi être rassasié un dimanche après-midi. Si tu n'es pas très chocolat tu peux très bien accompagné tes sablés par un thé. Les recettes sont tirées du Petit Larousse Pâtissier, ouvrage que je conseille même si son prix est tout de même élevé (environ 20 euros). Par La Fille Au Chapeau. C’est dommage, un vers de terre ça ne peut pas se suicider. Ca a fait le bus (au lieu de buzz). Vous avez la connexion internet chez vous ? On dort les yeux ouverts en prépa ! « Le consommateur du livre… » « Pardon ? La littérature n’est pas un supermarché ! » Il m’embrouille les pinailles cet élève. Villon (poète) fait une On les tue vivants. dédicace à Dieu ! J’ai l’impression de ne plus exister quand je vous vois. vie parce que je suis con. J’ai horreur du cynisme même si je le suis. Je vous raconte ma Mon livre est poilu. Un chien regarde bien une saucisse alors j’ai le droit de regarder une andouille. Propos recueillis par des élèves. La Semaine de Ouf c’est du 11 au 18 avril cette année. Une semaine pendant laquelle la jeunesse nanterrienne est à l’honneur. Les actions proposées sont toutes libres d’accès et gratuites. Mercredi 11 avril à 14h Ouf Village Maison Daniel-Féry. Le lancement de la fusée "Semaine de OUF" se fera à la maison Daniel-Féry le mercredi 11 avril à 14h. Pour l'occasion le lieu sera complètement métamorphosé et deviendra le Ouf Village. Au rendez-vous pas de motard en cuir, ni de cow-boy mais un dance-floor chaud bouillant animé par la très talentueuse DJ Nefer. Le Ouf Village dure tout l'après-midi et investi tout l'extérieur de Daniel-Féry avec les activités suivantes: tournoi de tennis ballon, taureau mécanique, stand de tirs au but, atelier customisation, et un coin détente parce que ne rien faire c'est déjà une activité! Cerise sur le gâteau, enfin plutôt merguez sur le grill avec le barbecue organisé afin de restaurer les participants du Ouf Village. Un après-midi de rêve qui se terminera par la présence du phénomène musicale du moment : Moussier Tombola et son tube logobitombo qui fera bouger vos corps et chauffer les cordes à sauter. Attention, le règlement est stricte : seuls les ouf seront acceptés au OUF Village. Samedi 14 avril à 13h Gymnase Evariste Galois Tournoi de street Basket. Inscription : Tarif : 5 euros par équipe Une équipe est composée de 4 joueurs maximum.. Pour les retardataires le jour J entre 11h et 13h, s’il reste de la place. Samedi 14 avril à 20h Tournoi de 3 contre 3, ouvert à tous ! En 3 contre 3 à l’extérieur, ce tournoi est ouvert aux jeunes files et garçons de 13 à 25 ans. Les matchs se repartiront en 3 catégories : Minos (garçons 13-16 ans), Costos (garçons 17-25 ans), Minettes (filles 13-20 ans).Des animations vous attendent également : concours de shoot 3 pts, concours de smash, démos de danse hip-hop, Double Dutch, DJ. Samedi 14 avril à 20h30 Maison de la musique Soirée Stand up. Dimanche 15 avril à 15h30 Esplanade Charles De Gaulle Un show de Ouf ! Le stand-up est une forme particulière de one-man-show venue des Etats-Unis. Après le succès du «Stand-up contrefaçon» en décembre 2011, les 2 jeunes comiques nanterriens Mourad et Ouali récidivent cette fois sur la scène de la Maison de la musique, avec des invités de marque : Issa, Alban, Rachid Debbouze, Melha et Hammi, sans oublier les jeunes talents nanterriens. Plusieurs jeunes talents nanterriens dont le gagnant (ou la gagnante) de la soirée Nanterre Star auront le grand honneur de partager l’affiche avec Youssoupha et Colonel Reyel. Un plateau exceptionnel ! Lundi 16 avril à 20h L’Agora Le graff, un art citoyen ?(débat) Deux jeunes graffeurs de la ville sont porteurs d’un projet : la création d’un nouveau « graff parc » à Nanterre. Ces deux artistes souhaitent rencontrer les acteurs de la vie politique et culturelle de la ville afin de débattre autour de l’opportunité d’un tel projet pour une ville, ses habitants et ses artistes urbains locaux. Ils souhaitent engager un échange sur leur pratique et la perception de leur art qui est encore mineur voire clandestin. Quelles conséquences éducatives pour ces jeunes à travers la réalisation d’un tel projet ? Quels enjeux pour une commune de favoriser et soutenir un tel engagement ? Ce projet porté par des jeunes favorise l’échange, le débat entre les générations, les habitants et les représentants locaux. Il est un outil d’expérimentation de la citoyenneté pour ces jeunes ! Alors venez en débattre avec eux. Ce débat est initié par le Conseil Nanterrien de la Jeunesse (CNJ), l’instance de participation citoyenne des jeunes de la ville et le CLAP. Mardi 17 avril à 19h Maison Daniel-Féry Le Blog 109.2 nanterre présente : nanterre Swag Party Cette soirée sera l’occasion de dévoiler le nom du vainqueur du concours de stylisme «Nanterre Jeunes Talents ». Le vainqueur du concours travaillera par la suite avec l’équipe de stylisme du Racing pour concevoir et commercialiser son modèle qui fera partie de la collection printemps/ été 2013 du Racing Metro 92. La deuxième partie de la soirée sera consacrée au concours de mannequinat. Tous les modèles seront habillés par les polos du Racing Metro et seront coiffés et habillés par les étudiantes de l’IFPM de la section Coiffure et d’esthétique cosmétique. Le public de la maison Daniel Féry où se déroulera la soirée ainsi qu’un jury composé de jeunes Nanterriens, d’un élu de la municipalité, d’un joueur professionnel du Racing Metro désigneront les vainqueurs. Les 2 lauréats gagneront l’opportunité d’être mannequins pour le Racing Metro. La soirée se clôturera par une performance live d’un guest. *Swag : expression venant de l’argot américain signifiant à la fois le style, l’apparence, l’allure. Mercredi 18 avril Gymnase Evariste Galois Urban night - 18h Pour la 3ème année de suite, cet événement qui met à l’honneur les pratiques urbaines, est devenu un incontournable de la semaine de OUF. Cette année, Graff, body painting, light painting, démonstrations de basket-ball, et bien d’autres animations seront de la partie pour une nuit de folie ! Battle - 21h Seven to smoke, 1 contre 1 en break, et battle 3 contre 3 en tous styles ; 2 battles clôtureront la semaine de OUF Plus d’infos sur le Blog 109.2 et sur le facebook « semaine de ouf 5 »