Téléchargez Vie de Gauche numéro 30

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Téléchargez Vie de Gauche numéro 30
vie
de
Gauche
www.lepartidegauche.fr
numéro 30 • 9 octobre 2009
Le Parti de Gauche prendra part à la
mobilisation pour les Droits des
femmes, le 17 octobre, à Paris. Une ini­
tiative du Collectif national droits des
femmes et de Femmes solidaires à la­
quelle se sont joints des dizaines d’as­
sociations, mais aussi les syndicats et
les partis de gauche.
La crise qui sévit depuis trop de
temps n’épargne ni les jeunes, ni les re­
traités, ni certains actifs, encore moins
les chômeurs ou les migrants, mais, il
faut le souligner, parmi eux, les
femmes sont en première ligne. En pre­
mière ligne des mauvais coups : préca­
rité, inégalité salariale, travail à temps
partiel plus subit que choisi, etc.
Les chiffres sont parlants : en France,
le salaire des femmes est inférieur de
21 % à celui des hommes, elles re­
présentent 80 % des travailleurs
pauvres, assurent encore l’essentiel du
travail ménager et de l’éducation des
enfants.
Elles occupent 85 % des emplois à
temps partiel et leurs retraites men­
suelles sont en moyenne de 600 euros
inférieures à celle des hommes. Des re­
traites qui pourraient se détériorer si le
gouvernement réalise son projet d’atta­
quer les « bonifications » accordées
aux mères de famille salariées (huit
trimestres par enfant).
Une femme meurt tous les deux jours
et demi sous les coups de son conjoint
et une autre est violée toutes les 10 mi­
nutes.
Pour les signataires de l’Appel, dont
PG, « la défense des droits des femmes
a tendance a être reléguée au second
plan alors qu’elle serait une réponse à
la crise. Nous avons tous intérêt à
l’égalité.(…) Dans l’unité, nous impose­
rons d’autres choix au gouvernement
et à l’ordre mondial pour faire reculer
la casse de tous les acquis obtenus par
nos luttes au XXe siècle. »
Octave Honorin
Droits des femmes
Élection partielle
Une campagne exemplaire !
La campagne menée par François
Delapierre, pour la législative partielle
de la 12ème circonscription des Yve­
lines, est à plus d’un titre exemplaire.
Le délégué général du Parti de Gauche
qui a pour suppléante Tilia Mézieres
(PCF) a réussi à former un Front de
Gauche élargi puisque le NPA appelle à
voter pour lui. Bien sûr, trois semaines
seulement de campagne, c'est court
pour organiser le rassemblement sur le
terrain, pour que les militants se re­
trouvent et élaborent des codes com­
munes, pour qu'émerge une pratique
partagée. Le temps perdu lors des der­
nières européennes doit être rattrapé.
En revanche on mesure aussi l'acquis
avec les communistes: la nécessité d'un
front de gauche durable est largement
partagée et cela rend possible la mise en
mouvement pour un candidat non
membre du PCF.
Sur le contenu il faut rappeler qu'il
s’agit d’une élection nationale. La cam­
pagne s’articule directement autour des
batailles à mener contre la droite re­
présentée localement, côté UMP, par
David Douillet, dont la stratégies est à
l'inverse d'éviter tout débat sur la poli­
tique de Sarkozy. Ainsi le deuxième tract
de campagne portait sur la privatisation
de la poste et s'inscrivait dans la vota­
tion citoyenne. Le 4 pages central de la
campagne, lui, détaille l’agenda des ré­
formes prévues par la droite dans les
mois à venir contre lesquelles le candi­
dat du Front de Gauche s’engage à ba­
tailler. Évidemment côté média, la
presse se focalise sur Douillet. La pipo­
lisation marche à fond. Et une véritable
chape de plomb médiatique pèse sur
nos épaules.
Sera­t­il possible en trois semaines de
mobiliser l’électorat populaire et lutter
contre l’abstention ? En tout cas nous
ne ménageons pas les efforts militants
pour y parvenir. Une camionnette de
campagne décorée, la « Front de gauche
mobile », sillonne les quartiers de la cir­
conscription. Opérations collages, " boî­
tage ”, distributions sur tous les marc­
hés, prises de parole aux pieds des im­
meubles. Ça discute tous azimuts, la co­
lère contre la politique de droite est
palpable et l’accueil est excellent. Sarko­
zy est profondément rejeté et on entend
aussi beaucoup « je ne voterai plus
PS ».
François Delapierre, Jean­Luc Mélen­
chon et une équipe de militant sont no­
tamment allés à la rencontre des ou­
vriers de Peugeot sortant de leur travail.
Malgré la fatigue des horaires décalés,
5h du matin 13h sans pause déjeuner,
ils leur ont réservé un accueil sympa­
thique.
Oui, la gauche est sur le terrain, au­
près des siens, ceux qui travaillent, ceux
qui luttent, ceux qui ont le plus besoin
d’envoyer « Une bonne gauche face
à la droite ! »
Danielle Simonnet
Souleymane Bâ
vie de Gauche
2 • 9 octobre 2009 • numéro 30
Municipale partielle Corbeil­Essonnes
27 petites voix nous ont manquées
Après un premier tour où l’autre
gauche s’est placée en tête de l’élection
municipale partielle, le second tour a,
comme nous le pensions, été serré :
27 petites voix seulement séparent les
deux candidats. Une rapide analyse des
bureaux de vote de la ville montre que
des bureaux réputés de droite ont mis
Michel Nouaille en tête, alors que les
deux bureaux des Tarterêts, les plus
populaires, ont placé Jean­Pierre Bech­
ter UMP devant.
Vraiment étrange ce résultat. Mon re­
gret dans cette campagne, c’est la haine
et la violence déclenchée par certains.
Une élection doit être l’occasion d’un dé­
bat d’idées, pas de jets de pierres sur un
bureau de vote comme cela fut le cas di­
manche. Ni de tracts haineux ramenant
à des passages peu glorieux de l’histoire
de notre continent. Etrange aussi l’aug­
mentation de la participation dans cer­
tains bureaux sur les deux dernières
heures de la journée.
Pas banale la campagne électorale à
Corbeil­Essonnes. Une campagne où les
perdants du premier tour (PS­Verts)
semblent se rassurer devant la défaite
de 27 voix, face à un système peu recom­
mandable. Sur 43 élus, 10 représente­
Tract des équipes Dassault
ront la liste de gauche, le Parti de
gauche aura un élu dans cette opposi­
tion.
Nous continuerons bien sûr de nous
battre et serons présents auprès des ha­
bitants, car rappelons­le, sur 41 000 ha­
bitants, seuls 5 190 ont décidé de cau­
tionner le système Dassault. Un nou­
veau recours sera déposé vendredi 9 oc­
tobre. Les irrégularités le jour du vote et
pendant la campagne ainsi que l’achat
de voix seront les griefs principaux.
Pascale Prigent
Régionales
Jean­Charles Girault
Jean­Charles Girault
Christiane Chombeau
Mobilisation
Le Parti de Gauche a participé, le 7 octobre, à la journée mondiale « pour le
travail décent » initiée par la Confédération Syndicale Internationale. A Paris, six
organisations syndicales (CGT, UNSA, CFDT, FSU, Solidaires, CFE­CGC) appelaient
à un rassemblement devant le siège du MEDEF. Le PG y tenait une table et a distri­
bué le tract « Un parti de Gauche face à la crise », particulièrement adapté à la si­
tuation de cet automne.
(http://www.lepartidegauche.fr/images/stories/tracts/tract­pg­crise.pdf).
Des militants des trois départe­
ments picards (Aisne, Oise et Somme)
se sont retrouvés samedi 3 octobre à
Clermont (Oise) pour préparer les élec­
tions régionales. Chacun a rendu
compte de l’avancée des discussions
avec les différents partenaires de la
gauche anti­capitaliste, dans son dépar­
tement. Puis le groupe s’est mis d’ac­
cord pour définir des commissions
chargées de proposer des éléments de
programme régional s’inscrivant dans le
cadre du manifeste national pour les ré­
gionales.
vie de Gauche
numéro 30 • 9 octobre 2009 • 3
Carnets de voyage
DR
Manifestation andalouse : nous y étions
Ce 19 septembre vers 9 heures,
marchant dans une rue de Grenade,
nous entendons le haut­parleur d’une
voiture dans la rue bramer un message.
Malgré notre espagnol rudimentaire,
nous comprenons que c’est un appel à
manifestation. Il se trouve que notre iti­
néraire matutinal croise de nouveau,
cinq minutes plus tard, la voiture et ses
deux occupants garés sur la place de la
mairie. L’hispanique pour les nuls et
l’école du mime Marceau nous
permettent d’apprendre qu’il s’agit de
manifester tout à l’heure contre la dévia­
tion d’une rivière, le rio Castril, au profit
d’industries mais aux dépens des agricul­
teurs de la vallée, et, incidemment, de
l’équilibre écologique. Pratique hélas ré­
pandue en Espagne.
Convaincus mais prudents, nous de­
mandons aux deux rabatteurs qui sont
les protagonistes de la protestation :
« Les écolos, les syndicats, et… l’Izquier­
da Unitaria, nous deux, par exemple,
on appartient à l’Izquierda », nous ré­
pondent­ils (1). Du coup, nous sortons
nos badges « Parti de Gauche » et
« Front de Gauche » : épanchements
émus ! Nous serons là à midi tapant, pro­
mis juré, ça c’est l’Europe que nous com­
prenons.
À l’heure dite affluent les groupes et
leurs banderoles, des batteurs de tam­
bours, des jeunes, des familles avec en­
fants, des moins jeunes… Andrès, l’un
de nos deux nouveaux camarades, est
tout content de nous présenter à ses co­
pains : « Ils appartiennent à la
GauTTche, en France ! »
Nous partîmes 500, mais par un
prompt renfort nous nous vîmes 1 500
le long de la Gran via de Colon, la princi­
pale artère nord­sud qui conduit notam­
ment au Gouvernement local d’Andalou­
sie. Comme tout le monde, nous avons
scandé « No, al trasvase ! ». Avec l’ac­
cent régional, s’il vous plaît : « No, a’ tra­
wase ! » Histoire de montrer que « la
Gautttche » française peut aussi parler
l’andalou rudimentaire.
Nous avons eu deux grandes sur­
prises, nous militants hexagonaux (mais
non, c’est une image) : celle de ne voir
que deux policiers sur le parcours, les
motards qui ouvraient la route pour ar­
rêter les automobilistes, et celle de pou­
voir aller jusqu’au portail de la villa gou­
vernementale. On ne nous a pas laissé
envahir la pelouse, mais pas détournés
non plus de notre but.
Nous ne vous relaterons pas la prise
de parole finale, parce que notre anda­
lou rudimentaire nous a lâchés à ce mo­
ment­là. Et que deux jeunes touristes
italiens nous ont demandé ce qui se pas­
sait, mobilisant notre conscience inter­
nationale sur un autre front. Mais vous
trouverez ce qui vous intéresse sur
www.riocastril.com : photos de cette
manif et d’autres, projet officiel, projet
alternatif, forum…
Michel Jerneval
Anne­Emmanuelle Kervella
(1) AYTO , Cortes de baza, Grupo indepen­
diente de Castril, Plataforma en defensa del
rio Castril, Ecologistas en accion, ACPES,
UNIPESCA. Avec l’appui de Izquierda unita­
ria europea, IU los Verdes CA, PSA, los
Verdes de Andalucia, Red Andaluza nueva
cultura del agua, CGT, CCOO Metal, USTEA,
Coordinadora de rio Grande
Aux côtés du peuple palestinien
Cet été j’ai participé à une mission ci­
vile (du CCIPPP) en Cisjordanie, dont le
but est de témoigner de ce que nous
avons pu observer. Une visite en Cisjor­
danie est déjà en soi un acte de solidari­
té envers les Palestiniens car il rompt
l’isolement imposé par le gouvernement
israélien par toute une série de mesures
discriminatoires, en particulier la
construction du mur de « séparation »,
et la colonisation, déclarées illégales par
le droit international.
Grâce à ce voyage j'ai réalisé qu'il
s'agissait vraiment d'une occupation,
comme l'indique le nom de territoires
« occupés », avec ce que cela implique
au jour le jour de soumission à l’arbi­
traire d’une puissance militaire qui peut
débarquer à tout moment, même dans
les zones A, soi­disant « autonomes ».
J’ai aussi découvert la différence de trai­
tement des Palestiniens non seulement
en termes de droits de l’homme mais
aussi livrés aux colons hors­la­loi que la
police laisse faire et même protège.
Le jeudi 8 août, nous sommes allés
soutenir deux familles expulsées par la
police dans un quartier arabe de Jérusa­
lem Est, Sheikh Jarrah. Des colons ont
fourni des documents « prouvant » que
ces maisons leur appartenaient du
temps de l'empire ottoman. Une heure
après l'expulsion à 4 heures du matin,
ces colons juifs emménageaient dans
« leurs » nouvelles maisons, tandis que
les familles s’installaient en face dans
des campements sur le trottoir. Comme
partout où ils « conquièrent » une mai­
son, les colons ont planté le drapeau is­
raélien, et une surveillance militaro­poli­
cière a été mise en place. (…)
Nous avons participé à la manifesta­
tion pacifique hebdomadaire (chaque
vendredi depuis 4 ans) contre la
construction du mur dans le village
Bil’in qui a perdu 60 % de ses terres. Les
habitants ont gagné il y a deux ans un
procès pour le recul du mur mais la déci­
sion de justice n'a toujours pas été ap­
pliquée alors qu'à côté une colonie a dé­
jà été construite. Ce jour­là, il y avait
500 personnes dont 200 Israéliens anti­
colonialistes, et après quelques lancers
habituels de gaz lacrymogènes, tout s’est
bien passé. Cependant, en représailles,
depuis un an, les soldats israéliens font
des descentes la nuit pour arrêter des
habitants du village. Nous avons donc
veillé toute la nuit, au cas où cela se pro­
duirait. (…)
La détermination du peuple palesti­
nien à continuer la lutte pour le respect
de leurs droits élémentaires malgré le
harcèlement, les humiliations et la ré­
pression incessants nous a beaucoup
marqués. Face à tant de violence à son
égard, ce peuple reste droit, et digne : la
résistance se conjugue au quotidien et
au plus profond de leur être.
Elisabeth Renan
vie de Gauche
4 • 9 octobre 2009 • numéro 30
Fête champêtre
« Merci de nous demander notre avis »
Une première réussie
Partout en France, comme dans le
Gard, des Cévennes à la Méditerranée,
les militants du Parti de Gauche étaient
mobilisés pour organiser la votation
contre la privatisation de la poste.
Du collage d’affiches au tractage sur
les marchés et dans les boîtes aux
lettres, en passant par la mise en place
d’un « Café de Gauche » pendant lequel
le film Poste Restante a été projeté,
toutes les initiatives ont été mises en
œuvre pour préparer cette votation.
Les maires de certaines communes
ont été convoqués devant le Tribunal ad­
ministratif, le préfet du Gard, leur repro­
chant d’avoir pris une délibération auto­
risant et organisant cette votation. Mais
les élus ne se sont pas déplacés et ont ré­
pondu dans une lettre collective qu’il ne
s’agissait pas d’une consultation
formelle car les personnes qui n’habi­
taient pas dans la commune pouvaient y
participer, et que les élus n’avaient pas
ouverts les bureaux de vote ni donné les
listes électorales. Tous les moyens sont
bons pour empêcher le peuple de s’ex­
primer.
Nous étions présents dès 8h le matin,
avec la fraîcheur du mistral, sur les dif­
férents lieux de vote (devant les bu­
reaux de poste, les écoles, les mairies
sur les marchés, dans les gares…). Nous
avons même vu un bureau de vote se
déplacer vers les électeurs grâce à un
triporteur. Résultat, dans le Gard :
45 666 votants, 45 013 « non »,
416 « oui ». 159 blancs ou nuls.
En parlant avec les populations de
tous âges et sexes confondus, nous
avons pu constater que les Français
voulaient garder leur poste, mais qu’ils
étaient aussi pour le maintien des ser­
vices publics (électricité, hôpitaux, eau
qui dans certains endroits est une régie
municipale…). La réplique commune
était : « Il faut voir France Télécom… »
Nous avons eu des « merci, de nous
demander notre avis… », « on nous de­
mande jamais ce que l’on veut »… La
vraie gauche, a vraiment une carte à
jouer pour les régionales, et toutes les
autres élections.
Marie Pierre Vaselli (PG30)
Un canton sarthois se mobilise
Le comité du Front de Gauche de
la Suze­sur­Sarthe, situé à 10 km du
Mans, a souhaité tout de suite se mobili­
ser pour organiser la consultation natio­
nale sur la privatisation de La Poste. Les
militants du PG et du PCF ont réactivé
le réseau, jamais vraiment endormi, des
militants du territoire. Encartés ou non,
ils sont toujours disponibles pour les
bonnes causes. Cette habitude est née de
la bataille contre le traité constitution­
nel européen. Depuis, nous savons tra­
vailler rapidement et efficacement en­
semble.
Quelques coups de téléphone, et les
premiers camarades sont là, déjà
une bonne vingtaine pour créer
un comité cantonal de défense
des services publics. Nous déci­
dons alors d’organiser la consul­
tation dans nos 12 communes, de
préparer 7 500 tracts pour les
16 000 habitants. Les affiches na­
tionales, celles du PG et du PCF
sont collées dans toutes les com­
munes. Ensuite, il nous faut
constituer des équipes pour
distribuer tous ces tracts, chacun fait ap­
pel à ses proches, aux copines et copains
syndicalistes. Le jour J tout le monde
est sur le pont et les tracts déposés dans
toutes les boîtes aux lettres, aussi bien
en campagne que dans les bourgs.
Le jeudi 1er octobre, une première
consultation est organisée sur le marché
du chef­lieu, La Suze­sur­Sarthe. Nous
sommes très bien accueillis. Les habi­
tants ont lu nos tracts, ils arrivent avec
le bulletin de vote prêt, plié dans leur
poche. Le samedi c’est 10 bureaux de
vote qui sont ouverts sur l’ensemble du
territoire. Au total, plus de 2 000 habi­
DR
Campagne: la poste est à nous
Dimanche 4 octobre, le comité de la
13e circonscription des Bouches­du­
Rhône organisait sa première Fête
champêtre à Istres. De nombreux
camarades venus de Tarascon, Arles,
Marseille, Aix­en­Provence ou Vi­
trolles y ont participé, ainsi que le dé­
puté PCF, les maires de Miramas(PS)
et Istres (divers gauche), et des re­
présentants du PCF et du NPA, preuve
de l'intérêt grandissant pour le PG
dans cette circonscription. Apéritif, re­
pas, débat ont ponctué ce rendez­vous
convivial récompensé par deux articles
avec de magnifiques photos dans La
Provence et La Marseillaise.
tants vont y participer, le verdict tombe,
1 980 « non », 41 « oui » et 10 bulletins
blancs. Un joli succès !
La semaine prochaine, nous organi­
sons un pot pour la soixantaine de mili­
tants qui se sont investis, et puis nous
distribuerons un tract de bilan, avec les
résultats nationaux, départementaux et
locaux. Bref, il y a encore du boulot !
Eric Jamet
Comité PG Sud­Sarthe
Directeur de la publication :
François Delapierre
Rédactrice en chef :
Christiane Chombeau
Comité de rédaction :
Pascal Boyer
Christiane Chombeau
Octave Honorin
Joseph Larmarange
Stéphane Le Garrec
Alexis
Mail : [email protected]
Vie de Gauche est réalisé avec Scribus