Dossier de presse Tésors des musées

DOSSIER DE PRESSE
Exposition
Trésors des Musées en Normandie, Acquisitions 1993-2008
du 6 février au 22 mars 2009
Musée des Beaux-arts et de la Dentelle
Cour Carrée de la Dentelle – 61000 Alençon
Tel. : 02 33 32 40 07 – e-mail : [email protected]
APRES UNE PREMIERE PRESENTATION
AU MUSEE DE NORMANDIE A CAEN,
L’EXPOSITION EST ACCUEILLIE
AU MUSEE DES BEAUX-ARTS ET DE LA DENTELLE D’ALENÇON
DU 6 FEVRIER AU 22 MARS 2009
POUR ETRE ENSUITE REÇUE AU MUSEE DES BEAUX-ARTS
DE SAINT-LO DU 3 AVRIL AU 31 MAI 2009.
Exposition
Trésors des Musées en Normandie, Acquisitions 1993-2008
du 6 février au 22 mars 2009
Musée des Beaux-arts et de la Dentelle – Cour Carrée de la Dentelle – 61000 Alençon
Tel. : 02 33 32 40 07 – e-mail : [email protected]
Que sont ces Trésors des musées
en Normandie ?
Accueillie successivement par le Musée de Normandie à Caen, le Musée des Beauxarts et de la Dentelle à Alençon et le Musée des Beaux-arts à Saint-Lô, l’exposition
itinérante Trésors des Musées en Normandie, acquisitions 1993-2008 présente une
exceptionnelle sélection d’œuvres acquises par achat au cours de ces quinze
dernières années par les musées de la région Basse-Normandie.
Le visiteur est invité à explorer la diversité du paysage muséographique régional à
travers des œuvres d’artistes tels que Balthus, Barbey d’Aurevilly, Cals, Dior,
Dubourg, Fouace, Mare, Millet, Monanteuil, Savignac, Schnetz… Côtoyant également
des objets témoignant de la richesse de l’histoire sociale, culturelle, maritime,
industrielle et rurale de la région : coiffes, céramiques, sabre, soufflet de forge...
Une scénographie originale imaginée par Com & Graph rassemble cette sélection de
Trésors divers et variés.
Vingt-quatre musées de France de Basse-Normandie s’associent afin de proposer
cette exposition rétrospective de leurs acquisitions de 1993 à nos jours en mettant en
valeur l’action du Fonds Régional d’Acquisition des Musées (FRAM) de BasseNormandie, exemple réussi de coopération entre les collectivités, l’Etat et la Région.
L’exposition Trésors des Musées en Normandie, acquisitions 1993-2008 doit inciter
le visiteur à poursuivre son exploration en allant découvrir les autres œuvres et
objets acquis avec le soutien du FRAM sur les lieux mêmes de leur conservation. Un
logo spécifiquement créé pour la durée de l’exposition est apposé près des œuvres et
objets acquis avec le soutien du FRAM afin de permettre au visiteur de mieux les
identifier.
L’enrichissement d’un musée
Institution vivante, le musée met en place une politique active et raisonnée d’acquisitions,
permettant de compléter des ensembles existants de manière cohérente et de préserver la
mémoire collective.
Les collections des musées de Basse-Normandie se sont constituées puis enrichies par des
dons, des legs, des collectes sur le terrain, des dépôts et des achats.
L’histoire du musée d’Alençon commence dès le début du XIXe siècle notamment par la
constitution de la collection de peintures qui n’a cessé de s’accroître depuis.
Au-delà de l’enrichissement de ses collections, chaque musée contribue ainsi par sa politique
d’acquisition à l’accroissement du patrimoine public. Inaliénables et imprescriptibles, les
œuvres d’hier correspondent aujourd’hui encore à notre patrimoine collectif.
L’enrichissement des musées grâce
au Fonds régional d’acquisition des musées,
FRAM de Basse-Normandie
Le Fonds Régional d’Acquisition des Musées (FRAM) est un dispositif mis en
place en France en 1982 à l’initiative de l’État, dans le cadre de la politique globale
de décentralisation. Financé et piloté conjointement par le ministère chargé de la
Culture (Direction Régionale des Affaires Culturelles) et la Région, il a été créé afin
de favoriser l’enrichissement des collections publiques en région. Une attention toute
particulière est accordée à des acquisitions d’œuvres ou d’objets d’importance et
donc représentant un coût auquel les collectivités n’auraient pas eu seules les
moyens de faire face.
Les objectifs du FRAM sont de :
- combler les lacunes importantes de collections existantes,
- compléter des collections du point de vue de leur spécificité régionale
(archéologie, histoire, ethnographie…),
- accroître les collections d´art moderne des musées ayant déjà un fonds
de cette nature.
Ainsi, chaque année, la Région Basse-Normandie et l'État mettent en commun
une dotation pour subventionner les acquisitions par achat d’œuvres, objets ou
ensembles d’objets pour les collections des musées de la région, ayant le label
musées de France. Les projets d'acquisitions, susceptibles d'attribution de
subventions, sont soumis à l'examen préalable de la commission scientifique
interrégionale des musées (Basse-Normandie et Haute-Normandie) placée auprès de
l'État déconcentré, en vertu de la loi du 4 janvier 2002 relative aux musées de
France. Après approbation du projet d’acquisition par la commission, le FRAM de
Basse-Normandie est sollicité pour soutenir financièrement la collectivité désirant se
porter acquéreur pour son musée. Il prend en charge un taux variable du montant de
l’acquisition, au titre d’une subvention attribuée à la collectivité territoriale ou à
l’association propriétaire des collections d’un musée de France.
Entre 1993 et 2008, le FRAM de Basse-Normandie a traité 635 acquisitions ou
ensembles d’acquisitions, représentant 26 musées de France bénéficiaires (24
seulement participent à l’exposition).
Pour un montant total de subventions de 3 573 282 euros.
Une dynamique muséale régionale
L’exposition Trésors des Musées en Normandie, acquisitions 1993-2008 met
l’accent sur l’exceptionnel enrichissement, tant qualitatif que quantitatif, dont ont
bénéficié les musées de France durant cette période, grâce au soutien du FRAM.
La diversité des musées bas-normands est l’une des richesses culturelles de la
région. Les collections des musées de France de Basse-Normandie relèvent de
domaines tels que les beaux-arts, les arts décoratifs, la bibliophilie, l’archéologie,
l’ethnologie, l’histoire contemporaine marquée par la seconde guerre mondiale,
l’histoire culturelle et sociale, l’histoire industrielle, l’histoire maritime et côtière,
l’architecture et l’habitat, les textiles et costumes, l’agriculture et la ruralité, etc.
Souvent ces domaines se côtoient au sein d’un même musée.
Institué par la loi du 4 janvier 2002, le label musée de France concerne
cinquante musées en Basse Normandie. Ce label, gage de qualité en matière de
conservation des collections et d’actions menées vers les publics, a été attribué de
droit aux musées nationaux ainsi qu’aux musées anciennement « classés » ou
« contrôlés ». C’est le cas du musée des Beaux-arts et de la Dentelle d'Alençon mais
aussi de tous les musées suivants, à l’initiative de cette exposition :
Les vingt-quatre musées de France à l’initiative de cette exposition sont :
-
Manche : Musée d’art et d’histoire (Avranches), Musée Maritime de l’Ile
Tatihou (Saint-Vaast-la-Hougue), Musée Christian Dior (Granville), Musée
d’art moderne Richard Anacréon (Granville), Musée du Vieux Granville
(Granville), Musée de la Libération (Cherbourg-Octeville), Musée des
beaux-arts Thomas-Henry (Cherbourg-Octeville), Musée du Bocage
normand - ferme de Boisjugan (Saint-Lô), Musée des beaux-arts (SaintLô), Musée Barbey d’Aurevilly (Saint-Sauveur-le-Vicomte) ;
-
Calvados : Musée Baron Gérard (Bayeux), Musée de Normandie (Caen),
Musée des beaux-arts (Caen), Mémorial - Cité de l’Histoire pour la Paix
(Caen), Musée Eugène Boudin (Honfleur), Musées du Vieux Honfleur
(Honfleur), Musée de la Mine (Le Molay-Littry), Château de SaintGermain-de-Livet (Lisieux), Musée d’art et d’histoire (Lisieux), Musée
Villa Montebello (Trouville-sur-Mer), Musée des arts et traditions
populaires de Vire (Vire);
-
Orne : Musée des Beaux-arts et de la Dentelle (Alençon), Musée du
château (Flers), Écomusée du Perche (Saint-Cyr-la-Rosière).
Et le musée des Beaux-arts
et de la Dentelle d’Alençon ?
Comme les vingt-quatre musées de France de la Région, le musée d’Alençon
poursuit une politique d’acquisitions d’œuvres en respectant les objectifs du FRAM et
en suivant des critères précis.
Si l’on considère le domaine des Beaux-arts, les acquisitions sont orientées
vers les artistes ornais d’adoption ou d’origine pour compléter une collection
picturale dont le souci régionaliste était restreint au profit d’une collection
encyclopédique.
Ce « fonds ornais » permet d’admirer aujourd’hui des tableaux et dessins de
Monanteuil (Mortagne au Perche 1785 - 1860), de Lacombe (1868 - St Nicolas des Bois
1916), de Latouche (1854 - 1913), de Mary Renard (Colonard-Corubert 1849 – Alençon
1925)…
A ce complément régionaliste, s’adjoint la création d’un fonds moderne avec
une ouverture sur le XXe siècle et sur l’Orne, en particulier autour de « l’école du
Bignon » à Réveillon. Dans ce petit village, près de Mortagne au Perche, plusieurs
artistes réunis autour de Manessier (1911 - 1993) entre 1942 et 1946, échangèrent
concepts et idées et développèrent la non-figuration : Le Bignon le soir de Manessier
(FRAM 2002), Hommage à Fantin Latour de Bertholle (1909 - 1996) (FRAM 2005),
Cheminée de Le Moal (1909 - 2007) (FRAM 2008).
D’autres personnalités comme André Mare (Argentan 1885 - 1932), René Brô
(1930 - 1986) ou Fernand Dubuis (1908 - Sérigny (Orne) 1991) sont évoqués par la
représentation de paysages ornais : Le Haras du Pin (FRAM 2007), Paysage de
Courgeron (FRAM 2004) ou La forêt de Bellême (FRAM 2000).
Mais la notoriété du musée d’Alençon réside essentiellement dans sa collection
de dentelles. Celle-ci est importante mais des lacunes nécessitent des acquisitions
pour illustrer des centres dentelliers peu représentés comme Venise : parure – col et
poignets - (FRAM 1999) ou Les Flandres : engageante du XVIIIe siècle (FRAM 2001).
Néanmoins, la dentelle à l’aiguille est largement privilégiée par l’acquisition
de pièces de prestige voire de pièces d’exception en Point d’Alençon ou d’Argentan :
voile de mariée (FRAM 1999), bas d’aube (FRAM 2005), volant « aux cueilleurs de
pommes » (FRAM 1995), grand volant, H. 74 cm L. 365 cm (FRAM 2006)…
Des représentations picturales sont aussi envisagées pour compléter la
collection de dentelles : son usage et son port sont ainsi révélés grâce à des portraits
tels que le Portrait de dame tenant un livre, 1739 de Louis de Fontaine (FRAM 2000),
Portrait de femme à la robe de dentelle noire et à la mantille, 1841 d’Eugénie
Tripier-Lefranc (FRAM 2003)…
Cet enrichissement lié au patrimoine dentellier s’inscrit dans la spécificité
d’une collection d’exception liée au savoir-faire séculaire du Point d’Alençon dans
notre cité.
Richesse et diversité
du paysage muséographique régional
Trésors
L’exposition Trésors des Musées en Normandie, acquisitions 1993-2008 présente au
visiteur une sélection d’une centaine de « trésors ». Trésors du quotidien, trésors
artistiques,… Rare, beau, précieux et prestigieux, le trésor semble s’imposer comme une
évidence tandis que les trésors du quotidien ne sont pas forcément extraordinaires. S’ils
deviennent inestimables, c’est que nous les rendons tels. Témoins uniques de savoirs, de
savoir-faire, trésors au-delà de toute valeur marchande ou considération esthétique. Ils
révèlent l’humain tant dans sa solitude et son individualité que dans son partage et sa
communion avec la collectivité.
« Trésors nationaux », tel est le statut des collections des musées de France au regard
de la loi et donc de toutes les œuvres, objets et ensemble d’objets présentés ici. Ils
appartiennent sans limite de temps aux musées qui les détiennent.
Identité
Mais quels sont les liens qui unissent un bas d’aube en Point d’Alençon conservé au
musée des Beaux-arts et de la Dentelle d'Alençon, un soufflet de forge conservé au Musée du
Bocage normand de Saint-Lô, une affiche de Savignac conservée au à la Villa Montebello de
Trouville et la Langouste de Balthus conservée au Musée des beaux-arts de Caen ?
Tous ces éléments constituent un patrimoine commun à une nation, une région, une
culture. Parce qu’ils ont été acquis en fonction du projet scientifique d’un musée, ils
témoignent aussi de l’identité et de la vocation de cet établissement. Mais ces œuvres et
objets sont surtout des supports à des réflexions d’ordre universel parce que leur caractère
unique appelle justement à leur donner un sens plus général. Ils nous permettent de
construire notre identité particulière, car ils sont conservés dans un musée local, régional ou
national. Venant souvent d’ailleurs, ils nous invitent aussi à nous mettre en relation avec
d’autres cultures et d’autres temps, à la recherche de valeurs communes à l’humanité.
Confrontation et dialogue
Le visiteur assiste à un dialogue, parfois une première rencontre entre tous ces
trésors. L’exposition ambitionne de susciter un autre regard sur ces collections, réunies sous
des thèmes fédérateurs, qui favorisent une confrontation des matières, des techniques, des
sujets. Du cabinet d’arts graphiques à la galerie de portraits, en passant par les espaces
dédiés à l’histoire industrielle récente ou plus lointaine, à la ruralité, au patrimoine
maritime ou balnéaire, la vitrine costumes et textiles… Ce sont autant de peintures,
sculptures, objets ethnologiques, œuvres imprimées, qui appellent à un autre regard.
Toutes les acquisitions réalisées ces quinze dernières années ont été marquantes.
Parmi celles exposées, n’en citons qu’une par musée : l’éventail en Point d’Alençon, le
réchaud à décor de fleurs, la collection d'objets et de publicités du cidre et de l'eau-de-vie,
le tableau La Langouste de Balthus, la bague avec réserve à poison, le médaillon Jean-Victor
Schnetz d’Henri Chapu, la robe du soir Salade d’Yves Saint-Laurent, l’édition originale Les
Chevaliers de la Table Ronde de Jean Cocteau, la sculpture Pléville Le Pelley de Jean
Magrou, le quintant, le tableau Un dimanche à Saint-Siméon de Adolphe-Félix Cals, le
Mémoire sur la houillère de Littry de Louis-Étienne François Héricart de Thury, les colonnes
cannelées du Château de Fervaques, la marotte anthropomorphe, le Deuxième mémorandum
manuscrit autographe de Jules Barbey d'Aurevilly, l’affiche de concours hippique, le grand
soufflet de la forge du Mesnillard, la tapisserie Histoires naturelles de Robert Wogensky, la
marine Le phare de Gatteville de Ferdinand Perrot, la photographie Le quai aux feuilles
d’Olivier Mériel, Le gué et la chaumière de Paul Huet.
Autour de l’exposition
Un logo pour poursuivre la visite dans les musées
L’exposition est présentée dans les trois départements de la Région BasseNormandie, après Caen, la voici à Alençon avant de se poursuivre à Saint-Lô. Elle est
avant tout une incitation à se rendre dans les musées pour y admirer certaines des
œuvres désormais conservées dans les collections régionales. D’autant que pour des
raisons de conservation, de disponibilité et d’espace toutes les œuvres acquises
avec l’aide du FRAM n’ont pu, cela va de soi, être exposées simultanément.
Un logo créé pour l’occasion est mis en place dans les salles du musée à
proximité des œuvres acquises avec l’aide du FRAM afin de permettre de les
identifier.
Le catalogue
Un catalogue Trésors des Musées en Normandie, acquisitions 1993-2008 est
édité à l’occasion de cette exposition. Conçu comme un outil de valorisation des
collections et du travail des musées de France en Basse-Normandie, cet ouvrage
propose une sélection d’œuvres acquises avec l’aide du FRAM plus large que dans
l’exposition. Près de 130 acquisitions y bénéficient de notices. Elles sont
accompagnées d’encarts explicatifs permettant de comprendre l’exceptionnel travail
d’enrichissement, de conservation et de valorisation des collections réalisé au
quotidien par les équipes travaillant au sein des musées.
Conçu et réalisé avec le concours des équipes de conservation des 24 musées
participants, cet ouvrage, édité par le CRéCET, s’adresse au public le plus large, du
curieux à l’amateur éclairé. Il est proposé au prix de 12 €.
Le journal d’exposition
L’acquisition est une activité pivot du musée. Quand une nouvelle acquisition
entre dans les collections du musée, les conséquences sont nombreuses et pour la vie
du musée et pour les équipes qui y travaillent.
L’exposition Trésors des musées en Normandie, acquisitions 1993-2008, est
l’occasion de pénétrer l’envers du décor du musée. Un monde vivant, éclectique et
passionnant, tout entier tourné vers la vie des œuvres et des objets et leur
présentation au public.
Ce journal d’exposition propose de dévoiler au grand public ce que sont les
activités quotidiennes d’un musée. Il est proposé gratuitement au public.
Organisation générale de l’exposition
CRéCET Centre régional de culture ethnologique et technique
Pierre SCHMIT, directeur
Mathilde LEROUX, chargée de mission
Avec la collaboration de
François ARNAUD (DRAC de Basse-Normandie), Anne-Marie BERGERET (musées de Honfleur), Anne
ESNAULT (musée du château de Flers), Jean-Marie LÉVESQUE (musée de Normandie de Caen), Sandrine
NICOLLET (Région Basse-Normandie), Brigitte RICHART (musée d’art moderne Richard Anacréon de
Granville)
Pour la présentation à Alençon
Pierre SCHMIT,
directeur du CRéCET
Aude PESSEY-LUX
conservateur du musée
des Beaux-arts et de la Dentelle
Scénographie et graphisme
Com & Graph :
Michel COUSIN et Frédérick TURGIS
Réalisation technique
Guy TABURET avec l’aide de Frédéric MOREL
Espace bois : Yves MAQUAIRE et Michel MURIEL
Gestion administrative
Françoise PONCHEL
Musées participants
AVRANCHES : Musée d’art et d’histoire. BAYEUX : Musée Baron Gérard. CAEN : Musée des beaux-arts Musée de Normandie - Mémorial de Caen, cité de l’Histoire pour la Paix. CHERBOURG-OCTEVILLE :
Musée de la Libération - Musée des beaux-arts Thomas-Henry. FLERS : Musée du château. GRANVILLE :
Musée d’art moderne Richard Anacréon - Musée du Vieux Granville - Musée Christian Dior. HONFLEUR :
Musées du vieux Honfleur - Musée Eugène Boudin. LE MOLAY-LITTRY : Musée de la mine. LISIEUX :
Musées d’art et d’histoire - Château de Saint-Germain de Livet. SAINT-CYR-LA-ROSIERE : Ecomusée du
Perche. SAINT-LÔ : Musée des beaux-arts - Musée du bocage normand, ferme du Boisjugan. SAINTSAUVEUR-LE-VICOMTE : Musée Barbey d’Aurevilly. SAINT-VAAST-LA-HOUGUE : Musée maritime de
Tatihou. TROUVILLE-SUR-MER : Musée villa Montebello. VIRE : Musée des arts et traditions populaires.
Grâce au soutien de
la Région Basse-Normandie
DRAC de Basse-Normandie
(Ministère de la Culture et de la
Communication)
et au concours des villes de
Alençon, Caen et Saint-Lô
Informations pratiques
Lieu
Musée des Beaux-arts et de la Dentelle
Cour Carrée de la Dentelle - 61000 Alençon
Tél. : 02 33 32 40 07 – Fax : 02 33 26 51 66
E-mail : [email protected]
Contacts
Aude Pessey-Lux, conservateur
ou Françoise Ponchel
Tél. : 02 33 33 40 07 ou 02 33 82 46 08
E-mail : [email protected]
Ouverture
Du mardi au dimanche inclus.
De 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures.
Fermeture les lundis
Tarifs
Entrée : 3,60 €
Tarif réduit : 3,05 €
Gratuité jusqu’à 18 ans et le premier dimanche du mois.
Accès
Dans Alençon, suivre fléchage « Cour Carrée de la Dentelle ».
Parkings gratuits à proximité
Place Foch, parc de la Dentelle et cour Bouilhac.