dossier de presse exposition
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dossier de presse exposition
M O N T É L I M A R - A G G L O M É R A T I O N Musée d’Art Contemporain Saint-Martin MONTÉLIMAR Collection de la Fondation Maeght Braque l Chagall l Calder l Miró l Tàpies... DOSSIER DE PRESSE EXPOSITION Les Ateliers de la modernité du 12 juin au 30 novembre 2015 n Musée d’Art Contemporain 1 av Saint Martin - 26200 Montélimar - France 04 75 92 09 98 Service des musées [email protected] Marco Del Re “Grand nu rouge XI” Monotype original sur papier Népal, 2005 © photo Galerie Maeght, Paris Collection Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul de Vence - Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Le MAC Saint-Martin a ouvert ses portes en 2008 en plein coeur de ville, dans une ancienne caserne réhabilitée par l’architecte Jean-Michel Wilmotte. Depuis ce jour, ses murs ont accueilli de nombreuses expositions présentant des artistes internationaux comme Vladimir Velickovic, Antoni Tàpies, Hervé Di Rosa, Gérard Sclosser, … mais aussi de jeunes artistes en pleine ascension à l’instar de Gaël Davrinche ou Françoise Petrovitch. En partenariat avec la Fondation Maeght, le musée choisit de présenter cet été l’estampe contemporaine. A travers les grands maîtres de l’art moderne et les plus grands artistes de l’art contemporain, ce sont près de 200 œuvres que montre cette exposition exceptionnelle. La présentation du travail de gravure par dix sept artistes de renom, est l’occasion pour le grand public de cheminer dans l’histoire de l’art tout en découvrant les différentes techniques et leur interprétation à travers de multiples courants artistiques. Les ateliers de la modernité Le mot « gravure » regroupe une multitude de techniques différentes, eau-forte, lithographie, sérigraphie, burin,…Autant d’outils que d’envies d’expressions. L’artiste choisit la technique la plus adaptée à la réalisation de son idée. Grâce à des marchands de renom, tel Ambroise Vollard ou Aimé Maeght, l’art de l’estampe va se diffuser à une autre échelle. Réservée à la diffusion de masse d’une image, l’estampe va devenir une œuvre à part entière. Rigueur dans la qualité des outils d’impression et dans celle du papier, l’impression d’art est lancée. Les grands noms de l’histoire de l’art sentiront le besoin de quitter le pinceau pour le burin. Retrouver au sein de la gravure le sentiment originel de création. Chagall, Braque, Chillida ou actuellement Del Re continuent de graver dans la pierre l’art de la reproductibilité. Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Les artistes exposés - Œuvres les plus anciennes : la série des huit eaux-fortes de Joan Miró (« série noire et rouge ») datées de 1938 - Œuvres les plus récentes : les 12 lithographies de Marco Del Re (« Revues littéraires… ») datées de 1998 - Valerio Adami : eau-forte (8 œuvres de 1975 à 1976) - Jean Bazaine : lithographie (16 œuvres de 1957 à 1975) - Georges Braque : eau-forte, lithographie (8 œuvres de 1946 à 1961) - Pol Bury : eau forte (7 œuvres de 1977 à 1979) - Alexander Calder : lithographie (8 œuvres de 1969 à 1974) - Marc Chagall : lithographie (13 œuvres de 1954 à 1963) - Eduardo Chillida : eau-forte, pointe sèche (17 œuvres de 1971 à 1977) - Marco Del Re : lithographie (12 œuvres de 1998) - Joan Miró : lithographie, eau-forte (32œuvres de 1938 à 1975) - Jacques Monory : sérigraphie (6 œuvres de 1976 à 1978) - Pablo Palazuelo : eau-forte (11 œuvres de 1977) - Paul Rebeyrolle : lithographie (6 œuvres de 1971 à 1979) - Jean-Paul Riopelle : eau-forte, lithographie (6 œuvres de 1972 à 1973/76) - Pierre Tal Coat : eau-forte (11 œuvres de 1980) - Antoni Tàpies : eau-forte (12 œuvres de 1969 à 1977) - Raoul Ubac : lithographie (15 œuvres de 1955 à 1972) - Bram Van Velde : lithographie (14 œuvres de 1974 à 1980) Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Les artistes Textes de Mme Isabelle Maeght, extrait du catalogue. Joan Miró « Joan Miró a fait quantité d’œuvres gravées et cela lui convenait comme contrepoint à l’argile pour la céramique, au bronze ou à l’huile. La lithographie était l’élément correctif nécessaire et presque une sorte de repos. Miró n’aborde véritablement la lithographie qu’en 1948 lorsque Aimé Maeght devient son marchand. A cette époque, Tsara lui propose l’ouvrage Parler seul. Dès lors il prend goût au procédé et partage son temps entre la pierre et le zinc à Paris et la gravure à Saint-Paul. » Marco Del Re « Entré à la Galerie Maeght en 1989, Marco Del Re marie iconographie de la modernité et mémoire de l’histoire de l’art. Dans son œuvre on retrouve le souvenir de Matisse, Braque, Derain et Picabia mais toujours détourné, transposé et remodelé. Il joue des couleurs qu’il harmonise ou confronte à la teinte naturelle des papiers. Au fil des années, il élabore des séries d’œuvres autour des thématiques iconographiques. ». Valerio Adami « Dans l’œuvre de Valerio Adami peinture et dessin ne cessent d’entretenir des relations amoureuses et tandis que la peinture ouvre souvent des espaces qui pourraient appartenir à des représentations scénographiques empreintes de théâtralité, le dessin distille des formes mutantes, celle d’un cabinet de curiosité où l’objet gagne en utopie où le visage glisse vers le masque et la prothèse. » Jean Bazaine « L’œuvre gravé de Jean Bazaine bénéficie d’un graphisme pur, où le blanc fait surgir le visible. Le vide entame la couleur, la cerne et la concentre. L’extension du blanc, la fluidité de la matière, l’amplitude de la touche et de la dilatation du dessin témoignent de la force et de l’originalité de l’œuvre gravé de Bazaine. » Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Georges Braque « Groupée autour de quelques thèmes majeurs développés avec une grande richesse d’imagination et une égale maîtrise, l’œuvre graphique de Georges Braque nous offre l’accompagnement discret, le contrepoint irremplaçable de son œuvre peint. Elle ne se borne pas à fournir un équivalent multiplié du dessin ou de la toile, elle exige des ressources propres de chaque technique utilisée. » Pol Bury « En 1964 il utilise pour la première fois un procédé qu’il nomme « cinétisation » : il transforme des photographies ou des gravures en les découpant en bandes mises en place avec un léger déplacement créant dès lors une dynamique de l’image. A la même époque Pol Bury va développer ses activités graphiques ». Alexander Calder « Dans son œuvre gravé on retrouve cette innocence de respiration, cette légèreté qui transforme toutes ses formes en signes et espaces immatériels. En représentant des disques, des croissants, des zigzags, des visages, des sphères, des spirales, Alexander Calder structure, épure, simplifie. Calder déshabille le dessin. Chez lui tout est spatial. » Marc Chagall « L’œuvre gravé de Marc Chagall est l’un des plus considérables de l’art contemporain tant par le nombre de planches exécutées que par sa qualité plastique, sa richesse d’imagination et son originalité technique. Les thèmes de ces lithographies sont les amoureux, le soleil, les bouquets … » Eduardo Chillida « C’est bien un dialogue entre les formes qui s’échange dans l’œuvre gravé de Chillida : des formes qui vibrent et s’emboitent. Particulièrement importante est la notion de limite, protagoniste de l’espace et génératrice d’espaces particuliers et isolés… Les eaux-fortes de très grand format que Chillida a gravées en 1975 et 1976 sous le titre générique d’Euzkadi ont un caractère exceptionnel. Dans ses gravures dédiées à sa patrie ensanglantée, l’auteur a déployé une fougue et une violence hors pair. » Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Jacques Monory « Toutes les œuvres de Jacques Monory sont porteuses d’un silence désarmant. La froide beauté du bleu véhicule aussi sa douceur. Dans son œuvre gravé, comme dans son œuvre peint, Jacques Monory retrouve ce bleu si caractéristique qu’il a connu lorsqu’il était maquettiste quand les imprimeurs ne fournissaient que des « bleus » pour les « bons à tirer « …Nourrit d’une grande culture cinématographie, son œuvre reprend les images du roman noir. » Pablo Palazuelo « La série Sigila démontre toutes les gammes de couleurs que Palazuelo travaille comme des gammes musicales. Avec Pablo Palazuelo c’est toute la passion surmontée de l’Espagne qui nous soumet à sa véhémence glacée, à son rêve de rigueur ascétique, à son détachement hautain. Peindre ou graver est pour Pablo Palazuelo une sorte d’exercice spirituel, une quête lucide, sévère de la forme. » Paul Rebeyrolle « Son œuvre gravé, sans en être le reflet, reprend les thèmes de prédilections de sa peinture : la nature, les animaux, les nus et surtout ses engagements politiques avec la série des Guerilleros, des Coexistences, Nature morte et pouvoir… Homme de la campagne, chasseur et pêcheur expérimenté, le paysage, les animaux, la nature occupent une place prépondérante dans son œuvre. » Jean-Paul Riopelle « C’est ainsi qu’à partir de 1967, Riopelle expérimente les techniques de l’estampe avec un certain plaisir et exécute ses premières œuvres gravées. Il réalise ainsi cent quatre-vingt lithographies ou eaux-fortes originales pour Maeght éditeur. Son enthousiasme est tel qu’il réalisera plus de quatre cents estampes, au point d’abandonner quelques temps la peinture (en 1967 il ne peint que vingt tableaux). » Pierre Tal Coat Peintre et graveur breton, Pierre Tal Coat propose une expression non figurative ancrée dans un réel revendiqué tel que la terre, le minéral, l’espace labouré dans une série de onze eaux-fortes monochromes. Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Antoni Tàpies « L’œuvre gravé de Tàpies provoque une intense réaction et sa symbolique complexe suscite de profondes résonnances. Tàpies rompt d’abord la surface plane du papier, grâce à différentes techniques d’impression, puis métamorphose le rectangle en introduisant dans ses compositions des formes irrégulières. Vient ensuite son écriture picturale, notamment composée de lettres, mots, textes, chiffres, marques en formes d’X, matières ». Raoul Ubac « C’est en 1946 qu’il trouve un morceau d’ardoise qu’il grave à l’aide d’un couteau. L’ardoise sera désormais son matériau de prédilection. Raoul Ubac la trouvera essentiellement dans les Ardennes mais aussi près d’Angers. L’ardoise lui offre également la possibilité de graver « l’un des premiers gestes de l’homme » dit-il. » Bram Van Velde « Bram Van Velde considérait son œuvre gravé comme des œuvres totales, absolues, complètement abouties. Jamais il ne réalisa ni regarda une lithographie en pensant qu’il y aurait plusieurs exemplaires. Il aimait laisser naître l’image et, par rajouts successifs et superposés, il arrivait à l’image définitive. » Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Présentation de la Fondation Maeght Photo J. J L’Héritier © Archives Fondation Maeght La Fondation Marguerite et Aimé Maeght est une fondation privée d’art moderne et contemporain, située à proximité du village de Saint-Paul de Vence, à 25 km de Nice. La Fondation Maeght possède une des plus importantes collections en Europe de peintures, sculptures et œuvres graphiques du XXe siècle. Elle organise de grandes expositions thématiques comme des rétrospectives (Giacometti en 2010, Chillida en 2011, Gasiorowski en 2012), ou des expositions plus contemporaines (Erik Dietman en 2011, Fabrice Hyber en 2012, Gloria Friedmann et Djamel Tatah en 2013). Ouverte toute l’année, la Fondation Maeght accueille 200 000 visiteurs par an, dans un ensemble architectural unique, conçu par Josep Luís Sert, pour présenter l’art moderne et contemporain sous toutes ses formes. Peintres et sculpteurs ont collaboré avec l’architecte catalan en créant des œuvres Les jardins de la Fondation Maeght à Saint-Paul de Vence intégrées au bâtiment et à la nature : la cour Giacometti, le labyrinthe Miró peuplé de sculptures et de céramiques, les mosaïques murales de Chagall et de Tal Coat, le bassin et le vitrail de Braque, la fontaine de Bury. L’ensemble mêle espaces intérieurs et extérieurs avec le jardin de sculptures, les cours, terrasses et patios, les salles d’exposition, la chapelle, la bibliothèque et la librairie. Inaugurée le 28 juillet 1964, la Fondation est née de l’amitié d’Aimé Maeght, marchand d’art et galeriste parisien, avec les grands noms de l’art moderne dont Joan Miró, Alexander Calder, Fernand Léger, Georges Braque, Alberto Giacometti, Marc Chagall ou encore Eduardo Chillida. Reconnue d’utilité publique, elle a pour but de recevoir, acquérir, restaurer, conserver et exposer au public des œuvres d’art; elle donne aux artistes la possibilité de se rencontrer et de travailler ensemble. Aujourd’hui la famille Maeght maintient et perpétue cet esprit. Adrien Maeght préside le Conseil d’Administration de la Fondation qui réunit des personnalités, des représentants de l’Etat ainsi que des membres de la famille Maeght. Olivier Kaeppelin en est le directeur. Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Le Musée d’Art Contemporain Le Musée d’art contemporain Saint-Martin a ouvert ses portes en 2008 au sein de la maison des services publics. À son origine se trouve le Musée Ephémère créé en 2003 dans les murs de l’ancienne caserne Saint-Martin aujourd’hui réhabilitée par l’architecte Jean-Michel Wilmotte en un nouveau quartier. L’ouverture du MAC Saint-Martin atteste de l’intérêt porté par la ville de Montélimar à l’art contemporain. Depuis 2003, la ville n’a cessé de soutenir les artistes à travers une programmation d’expositions de qualité doublée d’une politique soutenue d’acquisition d’œuvres. Dans ce cadre, la ville de Montélimar organise des expositions temporaires autour de grands noms de l’art contemporain. La mise en scène de l’art contemporain dans la rue, est aussi l’occasion pour tous de découvrir l’art, grâce à l’installation de sculptures monumentales en écho aux expositions du MAC. En 2015, le musée d’art contemporain passe sous la tutelle de la communauté d’agglomération. Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Les expositions 2005 - Abstractions – Coffignier reçoit Michaux, Destarac, Kimura, Tal-Coat, Matsutani, Tàpies, Pagès,… - Libertés Marie-Christine Remmery, Simon Hantaï, Daniel Pontoreu, Jean de Gaspary, Jean Roulland, Vladimir Vélickovic, Nicolas Sanhes 2006 - Coignard et Hourdé 2007 - Tête à tête César, Clavé 2008 - Tàpies, Matta, Kounellis, Richier, Pons, Rebeyrolle, Féraud, Edouard, Courtens… 2009 - Passion d’art – Collections privées – Appel, Adami, Blais, Sicillia, Klasen, Lindström, Pouget, Tabushi, Feito, Canogar, Resende, Buraglio, Regurea, Doucet, Weil, Palolo, Sarmento, Marfaing, de Carvalho, Allen Kones, Villeglé… 2010 - Vladimir Vélickovic, peinture depuis 1968 2011 - Rétrospective Bernard Cathelin 2012 - Figuration(s) Segui, Klasen, Schlosser, Cassel - Plénitude de Toros 2013 - Rétrospective Pierre Boncompain - Épreuves d’artistes – DiRosa, César, Saint-Phalle, Arman, Adami, Monory, Viallat, Pétrovitch, Ben, Chillida, Bruetshy, Lam, Arroyo, Villeglé, Klein, Kuroda… 2014 - (Extra)ordinaire – Sweetlove, Ming, de la Cadière, Huart, Davrinche, De Pascale Origamis éphémères Parcours de sculptures au cœur de ville Du 12 juin au 15 novembre Montélimar Georges Pellissier et Julien Darnis Passionné depuis toujours par l’Art Contemporain, l’Architecture ou le Design, partageant son temps entre son atelier de Saint-Bonnet le Froid et Valence, Georges Pellissier aime la matière, les volumes, les couleurs franches et la rigueur...Au grès d’une rencontre avec le métallurgiste valentinois Julien Darnis, Georges Pellissier s’éprend d’un goût pour le travail du métal, passion qu’il partage avec son hôte... Ouverts à tout, sous la seule influence de leur imagination et de leur sensibilité, les deux hommes transforment de simples origamis éphémères en immenses sculptures métalliques, solides, imposantes, se dressant contre les lois du temps pour prolonger le plaisir des enfants devenus grands. Des oeuvres à mi-chemin entre jeux d’enfants et design rigoureux, des objets métalliques, en tôle d’acier pliée, déclinées en différentes tailles et coloris, en pièce unique ou en série limitée, pour l’intérieur ou l’extérieur... et chaque oeuvre a son histoire, une histoire qui en fait sa particularité. Les oeuvres de ces artistes, Georges Pellissier et Julien Darnis, prendront place en extérieur, au coeur de la Ville. Saint Martin Place de Provence Hôtel de Ville «La Sardine» sculpture zinguée et de couleur jaune vif de 3m de haut Rond Point Raphaël Marchi Musée d’Art Contemporain Saint-Martin n Musée d’Art Contemporain 1 av Saint Martin - 26200 Montélimar - France 04 75 92 09 98 Service des musées [email protected] Informations pratiques Horaires d’ouverture De 11h à 18h tous les jours Tarifs Plein tarif : 4€ Tarif réduit 2.50€ (demandeurs d’emploi, bénéficiaires du RSA, étudiants, adultes de 60 ans et plus, groupes adultes de 10 personnes et +) Gratuit (-18 ans, cartes presse, accompagnateurs de groupes, centre médico-psychologique et hôpital de jour - EREA (Etablissement Régional d’Enseignement Adapté) - ITEP (lnstitut Educatif, Thérapeutique et Pédagogique - IME (lnstitut Médico-Educatif) - SESSAD (Service d’Education Spéciale et de Soins A Domicile) - Centre de formation (GRETA, AMAE ....) – MJC) PASS CULTURE 5€ (2,50€ demi-tarif) en juillet - août : valable 7 jours à partir de la date d’acquisition, il donne accès aux : + Musée de la Miniature / Musée de la Ville + Musée d’art contemporain Saint-Martin + Espace d’art Chabrillan + Centre d’art contemporain, château des Adhémar Un catalogue de 272 pages est en vente au prix de 20€. Visites guidées Des visites guidées gratuites en français et en anglais ainsi que des ateliers pédagogiques sont à votre disposition. Pour plus d’informations et réservations, merci de contacter notre médiatrice, Nathalie Lyotard : [email protected] Musée d’Art Contemporain Saint-Martin Plan – accès La ville de Montélimar se situe à 150 km au sud de Lyon, 50 km au sud de Valence et 80 km au nord d’Avignon. Le musée d’art contemporain est en centre ville au cœur de l’espace Saint-Martin, rez-de-chaussée de la maison des services publics. En venant du nord (Lyon, Valence) : Autoroute A7 sortie 17 Montélimar Nord puis suivre direction Montélimar centre. En venant du sud (Avignon, Marseille) : Autoroute A7, Sortie 18 Montélimar Sud puis suivre direction Montélimar centre. En train et bus : Gare de Montélimar. Puis possibilité d’accès à pied en 6 minutes ou en taxi. Accès personnes à mobilité réduite Le musée est accessible dans son intégralité aux personnes à mobilité réduite. Parking Stationnement possible au parking souterrain Saint-Martin. 1ère heure gratuite. «Quai aux fleurs» par Chagall Lithographie originale sur velin d’Arches, 1954. © photos Galerie Maeght, Paris Collection Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul de Vence «La meneuse de lune» par Miró Lithographie originale sur velin d’Arches, 1975. © photos Galerie Maeght, Paris Collection Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul de Vence «Turban» par Calder Lithographie originale sur chiffon de Mandeure, 1969. © photos Galerie Maeght, Paris Collection Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul de Vence Marco Del Re “Grand nu rouge XI” Monotype original sur papier Népal, 2005 © photo Galerie Maeght, Paris Collection Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul de Vence