Les équipes mobiles en Bourgogne

Transcription

B
Les équipes mobiles en Bourgogne
à destination des personnes en situation de précarité
Mars 2015
Eléments de définitions et annuaire
CCRPA Bourgogne
Introduction
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Eléments de contexte
Contexte
La FNARS Bourgogne organise tous les trimestres une commission thématique qui réunit les
acteurs de la veille sociale de Bourgogne. Cette instance a pour objectif de faciliter les
échanges de pratiques professionnelles, la réflexion et la co-construction de propositions
politiques. Elle permet également de travailler sur la définition du rôle et des missions, des
différents dispositifs qui composent la veille sociale.
Après avoir étudié les accueils de jour, la commission a fait le choix de travailler avec les
équipes mobiles afin de donner une visibilité à ce qu’elles font, car souvent peu connues du
grand public, elles sont pourtant indispensables, notamment avec leur mission d’aller vers
les personnes en précarité isolées et/ou à la rue.
On entend parfois parler d’équipe mobile, de maraude, de dispositifs d’allers vers, d’équipe
mobile de rue, de psychiatrie… Ces nombreux termes et la disparité de fonctionnement,
amènent un certain flou quant à la définition de ce qu’est une équipe mobile. Cela conduit à
des confusions sur leurs missions. Cette opacité rend peu lisible et visible ces structures. De
plus, le manque d’information et de communication envers les partenaires peut entraîner un
manque de reconnaissance.
Par conséquent, la commission a travaillé à l’élaboration de ce document afin de faire
connaître les équipes mobiles et de valoriser leur travail.
La définition présentée ici ne se veut pas normative, chaque équipe mobile en Bourgogne a
ses spécificités. Nos recommandations sont issues d’un consensus, trouvé entre tous les
participants de la commission, et ne prétendent nullement s’imposer. Nous serions heureux
au contraire que la réflexion se poursuive et, que vos suggestions viennent l’enrichir. C’est
pourquoi, tous les dispositifs en Bourgogne ne remplissent pas forcément tous les éléments
de définitions cités.
Ce document est basé sur deux écrits de référence: le référentiel national AHI de 2005 et le
référentiel national des prestations de 2010.
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Les différentes formes d’équipes mobiles
L’essence même d’une équipe mobile est d’aller vers les personnes les plus désocialisées,
qui n’ont plus le désir et/ou la capacité de demander de l’aide, quel que soit le lieu où elles
sont. Les équipes mobiles se distinguent des autres dispositifs de veille sociale dans le sens
où elles interviennent là où les personnes vivent.
Le terme équipe mobile regroupe de nombreux dispositifs. Il était donc nécessaire de
distinguer différentes catégories afin de pouvoir les étudier.
Les équipes mobiles de protection et de première nécessité
Elles ont vocation à fournir des prestations de première nécessité afin de répondre à
l’urgence sociale ou sanitaire. Elles effectuent principalement des actions de repérages et
informent les personnes sur les dispositifs existants d’accueil et d’accompagnement.
Les équipes mobiles d’intervention sociale
Elles s’inscrivent dans la durée et ont pour objet d’établir un lien social avec les personnes
rencontrées et de leur proposer des solutions adaptées d’hébergement et/ou
d’accompagnement social. En plus de repérages, elles assurent leur prise en charge.
Les équipes mobiles pour un public avec des problématiques spécifiques
(par exemple : psychiatrique, pour femmes victimes de violence)
Ces équipes interviennent sur des problématiques spécifiques en complément des équipes
mobiles d’intervention sociale.
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Les différentes équipes mobiles
Les équipes mobiles de protection et de première nécessité
Les publics visés
Les publics visés à travers ces équipes mobiles sont : les personnes en situation d’urgence
sociale et, tous ceux qui ne fréquentent que rarement (ou pas) les structures existantes
(hébergement d’urgence, accueil de jour). Plus globalement, ce sont ceux pour qui il est
donc nécessaire d’aller au-devant. Ce sont souvent des personnes qui vivent à la rue, en
squat, ou des personnes isolées en milieu rural. Cela peut être aussi des personnes en
situation de précarité et isolées, qui occupent l’espace public en recherche de lien social.
Les missions et prestations
Les prestations proposées sont nombreuses mais toujours précédées, dans une première
approche, d’une rapide évaluation, soit à l’écoute d’une demande précise, soit en la suscitant
:
mise à l’abri, soins primaires ;
aide ponctuelle (à la demande ou, quand nécessitée par l’urgence, distribution
alimentaire, couverture, produits d’hygiène, accompagnement sur les dispositifs du
type hôpital…) ;
premier contact à finalité de « repérage » ou d’orientation ;
information, conseil ;
écoute et soutien psychologique ;
tisser des liens sociaux, « re-connecter » les personnes très désocialisées, ou
maintenir le contact ;
créer un lien de confiance ;
Les moyens
Des équipes de bénévoles ou de professionnels.
Le fonctionnement de ces équipes quelle que soit leur finalité s’inscrit dans un réseau
institutionnel et associatif.
Elles peuvent être motorisées, à vélo ou pédestres.
Les modalités d’intervention
Les interventions sont ponctuelles et ont surtout vocation à répondre à l’urgence.
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Réalisées au cours de tournées (rue, squat, habitat précaire) ou suite à un signalement. Ces
interventions apportent une aide à un moment donné (mise à l’abri), ou répondent à une
situation particulière, à une demande précise ou en situation d’urgence.
Elles apparaissent répondre davantage aux besoins des zones urbaines. Cependant, elles
peuvent également être entreprises dans des zones semi-urbaines ou rurales, à la suite d’un
signalement ou d’un appel, cela dépend des conventions qui définissent les périmètres
d’intervention.
Les préconisations
Les équipes mobiles s’appuient sur leurs partenaires sanitaires et sociaux, notamment ceux
en charge de l’hébergement et des soins.
En ce qui concerne la Coordination, elles doivent être intégrées au SIAO afin de renforcer
l’interactivité des intervenants.
Elles peuvent être articulées avec les pompiers, la police, le 15 et le 115 ainsi que les autres
professionnels de l’urgence hospitalière et des PASS.
Par ailleurs, compte tenu de la diversité possible des équipes allant vers des publics à la rue,
la dimension de coordination s’avère prépondérante. Il apparait ainsi un besoin de formation,
notamment pour le personnel bénévole, sur les politiques de lutte contre les exclusions.
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Les équipes mobiles d’intervention sociale
Les publics visés
Les publics visés à travers ces équipes mobiles sont les personnes en situation d’urgence
sociale et, tous ceux qui ne fréquentent que rarement ou pas les structures existantes
(hébergement d’urgence, accueil de jour). Plus globalement, ce sont ceux pour qui il est
donc nécessaire d’aller au-devant. Ce sont souvent des personnes qui vivent à la rue, en
squat, ou des personnes isolées en milieu rural. Cela peut être aussi des personnes en
situation de précarité et isolées, qui occupent l’espace public en recherche de lien social.
Mise à l’abri, soins primaires ;
Aide ponctuelle (à la demande ou, quand nécessitée par l’urgence, distribution
alimentaire, couverture, produits d’hygiène, accompagnement sur les dispositifs du
type hôpital…) ;
Premier contact à finalité de « repérage » ou d’orientation ;
Information, conseil ;
Ecoute et soutien psychologique ;
Tisser des liens sociaux, « re-connecter » les personnes très désocialisées, ou
maintenir le contact ;
Créer un lien de confiance ;
Evaluation sociale et administrative ;
Restauration/ouverture des droits ;
Engager un premier accompagnement social adapté et transitoire pour les personnes
refusant les propositions d’orientation sur les dispositifs d’urgence ;
Rôle d’interface avec les riverains et les dispositifs sociaux ;
Observatoire des publics en errance et des publics dits « invisibles ».
Les moyens
Des équipes composées principalement de professionnels.
Le fonctionnement de ces équipes, quelle que soit leur finalité s’inscrit dans un réseau
institutionnel et associatif. (Possibilité pour certaines équipes mobiles de disposer de lieux
d’hébergement).
Elles peuvent être motorisées, à vélo ou pédestres.
La finalité de ces interventions est de recréer et de maintenir du lien social, d’accompagner
des personnes en situation d’exclusion ou de précarité, que celles-ci soient à la rue ou
disposent d’un hébergement.
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Hors urgence, ce type d’intervention nécessite des professionnels qualifiés capables de
s’adapter à la personne, créant avec elle un rapport de confiance.
L’intervention d’une équipe pédestre peut être mobilisée aussi bien le soir que pendant la
journée.
Dans le cadre des tournées de jour, qui favorisent la rencontre avec des personnes vivant
dans des lieux cachés, des squats, des caravanes ou des cabanes, l’intervention de l’équipe
doit privilégier une approche relationnelle visant peu à peu à recréer du lien social, surtout
pour des personnes très désocialisées.
Ces interventions au long cours nécessitent une forte coordination entre intervenants du
terrain et, les institutions sanitaires ou sociales.
Elles interviennent essentiellement en zone urbaine.
Dans tous les cas, les équipes mobiles invitent les personnes rencontrées à exprimer une
demande et à entreprendre une démarche.
Elles peuvent également les accompagner dans une démarche d’insertion.
Les préconisations
Un accompagnement spécifique visant une mise en confiance et qui appelle un savoir-faire
spécifique et spécialisé du travail social.
Cette relation ne doit pas être contrainte dans un espace singulier qui est l’espace public.
Ces équipes étant isolées dans leur travail au quotidien, un soutien psychologique et
institutionnel demeure nécessaire.
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Les équipes mobiles pour un public avec des problématiques
spécifiques
Les équipes mobiles spécialisées en psychiatrie
Le texte ci-dessous est extrait de la Circulaire DHOS/O2/DGS/6C/DGAS/1A/1B no 2005-521
du 23 novembre 2005 relative à la prise en charge des besoins en santé mentale des
personnes en situation de précarité et d’exclusion et, à la mise en œuvre d’équipes mobiles
spécialisées en psychiatrie
Les publics visés
« Le champ d’intervention des équipes mobiles spécialisées de psychiatrie destinées à
favoriser l’accès aux soins et, la prise en charge des personnes en situation de précarité et
d’exclusion comporte :
- les personnes en situation de précarité et d’exclusion elles-mêmes, qu’elles souffrent d’une
pathologie psychiatrique avérée ou d’une souffrance psychique générée par la situation de
précarité et d’exclusion ;
- les acteurs de première ligne exprimant des difficultés face à des manifestations de
souffrance ou de troubles psychiques des usagers suivis et nécessitant un étayage, un
soutien et une formation pour le repérage des problématiques, le décodage et l’analyse des
demandes, la mise en oeuvre des premiers stades de l’écoute et du soutien.
Les missions et les principes d’action
Ces équipes n’ont pas vocation à se substituer aux missions de droit commun des équipes
de psychiatrie publique dans le champ de la prévention, du diagnostic, du soin, de la
réinsertion et de la réadaptation sociale.
Compte tenu des difficultés spécifiques d’accès aux soins des personnes en situation de
précarité et d’exclusion, elles sont chargées :
- d’aller au-devant de ces publics, quel que soit le lieu où leurs besoins s’expriment ou sont
repérés (populations précarisées dans un quartier, accueillies en institutions sociales, grands
désocialisés, publics jeunes ou adultes, pathologie mentale avérée ou non, à la rue...), afin
de faciliter la prévention, le repérage précoce et l’identification des besoins, l’orientation et
l’accès au dispositif de soins lorsqu’il est nécessaire ;
- d’assurer une fonction d’interface entre les secteurs de psychiatrie et les équipes
sanitaires et sociales œuvrant dans le domaine de la lutte contre la précarité et l’exclusion,
afin de faciliter l’élaboration de prises en charge coordonnées autour d’un projet sanitaire et
social pour les personnes en situation de précarité.
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A cet effet, il importe de veiller à l’intégration de leur action dans un partenariat dense et
formalisé, associant les secteurs de l’établissement de rattachement, les établissements de
santé généraux, les praticiens libéraux et les intervenants sociaux et médico-sociaux du
territoire couvert par l’équipe mobile spécialisée.
Outre un rôle essentiel auprès des institutions pour le repérage des besoins et
l’aménagement de réponses institutionnelles, les actions développées doivent prendre en
compte les deux publics identifiés, sur la base d’actions prenant les formes suivantes :
En direction des personnes en situation de précarité et d’exclusion
Permanences dans des lieux sociaux repérés et fréquentés par les personnes en difficulté
(CHRS, hébergement d’urgence, lieux de vie, accueils de jour...), voire participation à des
interventions mobiles ou dans la rue (type maraude du SAMU social).
Entretiens individuels contribuant notamment à l’évaluation des besoins, y compris en
urgence.
Accueil, orientation et accompagnement vers des prises en charge de « droit commun »
(dont préparation à l’hospitalisation et aux sorties d’hospitalisation).
Prises en charge dans le cadre de groupes d’échanges ou de parole d’ateliers
thérapeutiques.
En direction des acteurs de première ligne
Actions de formation (notamment formations croisées de professionnels de santé et de
travailleurs sociaux) sur les problématiques liées à la précarité.
Actions de reconnaissance, d’échanges, de pratiques et de savoirs.
Développement du travail en réseau à partir de l’examen de situations cliniques.
Soutien des équipes de première ligne (information, conseil, supervision).
Les Moyens
Une équipe pluridisciplinaire coordonnée par un psychiatre
Compte tenu de l’ampleur de leur champ d’intervention, ces équipes doivent disposer de
compétences diversifiées. Elles comportent au minimum : un temps médical et un temps de
cadre infirmier, des infirmiers, des psychologues, un secrétariat. Autant que possible, les
personnels doivent être expérimentés dans les pratiques de liaison au sein du secteur social
et devront, a minima, être formés et connaître les modes d’intervention dans ce secteur.
La présence d’un temps médical est indispensable afin d’assurer une coordination, garante
de la cohérence du projet de l’équipe au sein du projet médical de l’établissement de
rattachement et, d’organiser le relais médical vers le dispositif de droit commun.
Certaines équipes existantes ont, en outre, privilégié un mode d’organisation permettant la
double appartenance des soignants à l’équipe spécialisée et à une équipe « de droit
commun », sur la base de temps de travail partagés. Cette organisation permet, d’une part,
de faciliter une continuité d’action entre ces deux niveaux d’intervention et, d’autre part, de
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prévenir des formes d’épuisement professionnel liées aux spécificités du public visé et aux
modes d’exercice au sein de l’équipe mobile.
Les préconisations
Une fonction d’interface au sein d’un réseau formalisé de partenaires
L’enjeu est de ne pas exclure ou isoler les professionnels chargés de prendre en charge des
publics eux-mêmes exclus ou précarisés, dont la prise en charge doit au contraire être
globale et continue, tant sur le plan sanitaire que social.
Au sein même de l’établissement de santé de rattachement de l’équipe mobile, les relations
avec les autres secteurs de l’établissement doivent être clairement formalisées, sur la base
d’un accord préalable de l’ensemble des acteurs sur les modalités d’intervention de l’équipe
mobile.
Les relations avec les partenaires de première ligne et les établissements de santé généraux
(notamment les services d’urgences et les PASS) doivent également faire l’objet d’une
formalisation définissant les modalités de recours, de relais et d’intervention réciproques,
dans le cadre de conventions. »
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Les équipes mobiles
en Bourgogne
Annuaire
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en Côte d’Or
ACOR Centre ville
Il s’agit d’une équipe mobile :
de protection et de première nécessité
X d’intervention sociale
pour un public avec des problématiques spécifiques
Le porteur
SDAT, Société Dijonnaise de l’Assistance par le Travail
5 bis Rue de la Manutention
21000 Dijon
Adresse/personne de contact/mail /téléphone
Service Acor Centre Ville
10 bis Rue du Dr Edouard Laguesse
21000 Dijon
[email protected]
06.70.04.65.75
Périmètre d’intervention de l’équipe mobile
Principalement au centre-ville, néanmoins l’équipe peut se rendre dans des quartiers plus
excentrés sur signalement.
Plage horaire et ouverture sur l’année
Horaires théoriques : du lundi au vendredi de 9h à 17h toute l’année.
Le public cible
Personnes sans domicile fixe, en errance, vivant en squat ou dans des abris de fortune.
Intervention principalement dans la rue et sur les lieux de vie des personnes.
Des rendez-vous et des entretiens peuvent être faits au bureau du service, à l’Accueil de
Jour et lors des permanences sur le Centre d’Hébergement d’Urgence Sadi Carnot.
Nous rencontrons également les personnes lors de visites à domicile lorsqu’elles sont
suivies par notre service dans des logements de transition (dispositif ALT) dans l’attente
d’une orientation.
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Nous avons une mission d’évaluation, de diagnostic et d’orientation, ainsi qu’un rôle
d’observatoire et d’interface dans la veille sociale.
Notre travail consiste à aller au-devant des personnes dans la rue, à les accompagner dans
l’accès aux droits (volet administratif, santé, logement), en lien avec les partenaires de droit
commun et les services spécialisés sur le territoire.
Les moyens
-Un poste et demi de technicien socio-éducatif
-Un bureau situé dans les locaux de l’Antenne d’Accueil Médical
-Un véhicule de service
-La mobilisation des services intégrés de la SDAT
• l’Accueil de Jour
• l’Antenne d’Accueil Médical
• le Service Logement
• le Service d’Insertion Professionnelle
- le travail en lien étroit avec les partenaires extérieurs
- la mobilisation de logements de transition de type ALT et hébergements de stabilisation.
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ELIPSES
d’intervention sociale
x pour un public avec des problématiques spécifiques : Equipe mobile de
psychiatrie
Le porteur
Centre hospitalier La Chartreuse
ELIPSES
CH La Chartreuse
1 Bd Chanoine Kir
BP 23 314
21033 DIJON Cedex
Fax : 03 80 42 48 39
Mail : [email protected]
Agglomération dijonnaise
Permanence Tél. : 06 71 99 71 00 Lundi au Vendredi de 9h00 à 16h30
Le public cible
Personnes sans domicile propre ou en risque d’expulsion, présentant principalement:
- des troubles psychiatriques, non repérés, non pris en charge ou en rupture de soins avec
notamment,
• des troubles schizophréniques non diagnostiqués,
•
•
des troubles post-traumatiques sévères consécutifs à des violences politiques ou
tortures (migrants),
des problématiques d’addictions sévères.
Spécificité
Depuis janvier 2014, la PASS psy (permanence d’accès aux soins de santé psychiatrique)
est adossée à l’EMPP (équipe mobile psychiatrie-précarité).
Les signalements des situations sont adressés par les partenaires médicaux, médicosociaux, sociaux ou associatifs.
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Une première évaluation clinique est réalisée au terme de laquelle une orientation ou un
accompagnement pour soins sont décidés lors de la synthèse d’équipe du mercredi matin.
-
-
-
-
-
Assurer une permanence téléphonique pour les demandes et signalements de
situations.
Réaliser des évaluations afin de proposer des orientations.
Se déplacer pour rencontrer le patient sur ses lieux de vie et réaliser les entretiens et
consultations.
Restaurer l’accès aux droits sociaux.
Accompagner la personne dans le cadre d’une prise en charge globale des soins
(somatiques, dentaires..) et des besoins fondamentaux (en particulier, logement) en
lien avec les partenaires de signalement.
Soutenir le projet de soin, l’accompagner, le mettre en œuvre, l’évaluer
régulièrement.
Rencontrer les partenaires demandeurs (Centres d’accueil et d’hébergement
d’urgence, Accueil de Jour, CHRS, Antenne d’accueil médicale, PASS CHU, CCAS,
associations humanitaires, CH intra, Centre médico-psychologique, etc.) pour
développer le réseau partenarial et le formaliser.
Recueillir et diffuser l’information entre les intervenants sociaux et médico-sociaux et
les secteurs en respectant les règles de secret, de confidentialité et de confiance
liées à l’histoire du patient et à la relation interpersonnelle.
Contribuer au soutien des équipes des Centres d’Hébergement et de Réinsertion
Sociale (CHRS) et des lieux d’accueil en ce qui concerne les spécificités
relationnelles déclenchées par les troubles psychiatriques des patients exclus.
Participer à des activités de réflexion interdisciplinaire et de recherche.
Intervenir dans des conférences, journées d'échanges.
Proposer des formations professionnelles.
Les moyens
• Equipe pluridisciplinaire :
Dr VINCENT Marie-Claude, coordinateur
Gaby JACQUEMIN, cadre de santé, 0.4 ETP
Marie-Claude FRENISY, psychologue, 0.5 ETP
Emile NOTTE, psychologue, 0.5 ETP
Sylvie TUPINIER, infirmier du secteur psychiatrique, 1 ETP
Audrey GANDRE, infirmier diplômé d’Etat, 1ETP
Noémie JANES, secrétaire, 0.5 ETP
• Moyens matériels :
Locaux logistiques au CH,
Un véhicule attitré et possibilité d’autres véhicules sur réservation anticipée,
Deux bicyclettes.
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L’équipe mobile de la Croix rouge
X de protection et de première nécessité
Le porteur
CROIX ROUGE FRANCAISE – Unité locale de DIJON
8 rue des Ribottées 21000 DIJON - email : [email protected]
Responsable du Samu Social : Paule DENIS
Tél. personnel : 06 15 33 46 81
Tél. CRF : 03 80 73 35 48
DIJON et proche agglomération
Plage horaire et ouverture sur l’année :
- du 15/11 N au 31/03 N+1 : 7 jours sur 7, de 18h45 à minuit minimum
- et du 01/04 au 14/11 : à minima chaque mercredi de 19h à minuit minimum, avec
interventions complémentaires sur d’autres jours selon les situations particulières (froid
durable ou hiver précoce, canicule, prises en charge particulières…)
Le public cible
Personnes sans domiciles fixes et sans abris
- équipes mobiles + 2 points fixes au cours de chaque soirée
- lien permanent avec le 115
- Mission : assurer la veille et des maraudes pour repérage des personnes sans abris, prise
de contact avec elles, évaluation de leur situation, proposition d’hébergement d’urgence ou
de mise à l’abri, les y conduire après accord du 115
- Prestations : collations (nourriture, boissons chaudes, eau), produits d’hygiène, et selon les
saisons vêtements chauds ou légers, écharpes, gants, bonnets, transport vers les différents
lieux d’hébergement, orientation sur milieu hospitalier si nécessitée, informations diverses
(où manger en journée, où se faire soigner, où solliciter une domiciliation, où laver son linge,
où rencontrer un travailleur social…)
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Les moyens
Administratifs et locaux :
- ¼ temps de secrétaire
- local secrétariat (commun avec secrétariat de l’unité locale de la Croix-Rouge)
- local Samu Social
- 1 local pour le stockage des réserves de produits
- 1 chambre d’hébergement d’urgence Croix rouge d’une capacité de 2 places
Matériels :
- 2 véhicules Croix Rouge dont :
•
•
1 trafic aménagé en salon d’accueil avec table et banquettes (celui-ci ne sert pas
pour le transport des SDF mais pour leur accueil aux points fixes et est utilisé, hors le
temps des points fixes, pour les maraudes)
1 véhicule léger de 7 places permettant le transport simultané de 5 SDF. Les
maraudes sont également assurées avec ce véhicule
•
Un 3ème véhicule Croix Rouge disponible en cas de besoin (ex. : maraudes
supplémentaires en grand froid, nombre des équipiers renforcé, situations
particulières…)
- 1 réfrigérateur et matériels + ustensiles pour cuisson des collations et leur transport
- 1 défibrillateur
- 2 téléphones portables pour lien avec le 115 et pour lien entre les groupes d’équipiers
- sacs de couchages, couvertures, vêtements, produits d’hygiène
Humains :
- 80 bénévoles : par soir, équipes de 5 à 6 bénévoles dont 1 référent
- 1 responsable bénévole du Samu Social
Les partenaires
- lien avec le 115
- échanges avec les partenaires : la responsable du SAMU social participe aux réunions bimensuelles (mensuelles l’été) ; des partenaires (Centres d’hébergements d’urgence ou de
mise à l’abri, éducateurs de rue Acor centre-ville, antenne mobile de psychiatrie, CCAS,
police municipale, SOS Voyageurs, Accueil de Jour, assistante sociale de la police nationale.
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dans la Nièvre
Le PRADO
X d’intervention sociale
Le porteur
PAGODE – Site du PRADO
Association PAGODE
Le PRADO
8 rue Jean Sounié – 58160 IMPHY
1 rue de la Passière – 58000 NEVERS
03.86.90.95.20
03.86.93.01.30
Activité plus prononcée à Nevers et ses alentours mais nous intervenons sur tout le
département.
Le service de veille sociale fonctionne 365 jours par an, 24h/24. Ils peuvent être amenés à
se déplacer à n’importe quel moment de l’année, du jour ou de la nuit. Les maraudes sont
tout de même principalement actives entre 8h et minuit, et leur fréquence est doublée
pendant la période hivernale.
Le public cible
Toute personne sans abri, faisant l’objet d’un signalement ou que le service a lui-même
repéré, mais aussi un public logé de manière précaire ou encore plus largement toute
personne victime d’exclusion sociale. Outre la veille sociale, la maraude est aussi un mode
de lutte contre l’isolement des plus démunis, y compris ceux qui bénéficient d’un
hébergement.
L’équipe mobile va directement à la rencontre des gens dans la rue, soit de la propre
initiative de l’équipe (des maraudes sont programmées plusieurs fois par jour), soit suite à un
signalement, ou à la demande d’une « instance » qui est préoccupée par la situation de
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quelqu’un (mairies, citoyens…). L’équipe mobile se déplace à pied ou en véhicule (pour
étendre le champ d’intervention).
Leur mission première est la veille sociale, c’est-à-dire repérer et aller à la rencontre des
personnes sans abri pour faire une évaluation sommaire de leur situation et les orienter vers
un service de première nécessité (hébergement d’urgence, aide alimentaire, renseignements
administratifs, droit commun, associations pouvant répondre à leurs besoins, hygiène…).
Dans un second temps, il s’agit de pouvoir créer et maintenir un lien social avec la personne
pour être à l’écoute, que la personne se sente considérée et, pour l’aiguiller au mieux dans
sa situation. C’est cette relation qui permettra entre autres de faire émerger de l’envie chez
la personne, qu’elle puisse entrevoir un autre possible, l’équipe mobile pourra alors continuer
son travail de manière plus intensive par le biais des autres services de l’association. En
effet, le site du Prado regroupe à lui seul la veille sociale (115, maraudes), l’accueil de jour et
l’hébergement d’urgence, et plus largement l’association PAGODE dispose d’un SIAO et de
divers services d’hébergement (CHRS insertion, ALT, auberge sociale, SARA, Maisons
Relais…).
Les moyens
L’équipe mobile dispose de deux véhicules (ils sont mutualisés avec les autres services).
Ils interviennent seuls ou accompagnés par des associations humanitaires partenaires (la
Croix Rouge et la Protection Civile) qui distribuent des boissons chaudes ou fraiches selon la
saison et donnent des conseils au niveau sanitaire. Distribution éventuelle de couvertures.
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L’équipe mobile du centre hospitalier secteur Nevers
Il s’agit d’une équipe mobile
X pour un public avec des problématiques spécifiques
Le porteur
Centre hospitalier Pierre Loo 58 400 La Charité Sur Loire
Cadre de santé franç[email protected]
Infirmière référente [email protected]
Secteur Nevers (Nevers et agglomération), selon le découpage sectoriel de psychiatrie.
Tous les jours sauf Dimanche et jours fériés.
Du lundi au vendredi de 9h à 19h, le samedi de 9h à 17h.
Le public cible
Les personnes en situation de précarité et d’exclusion avec souffrance psychique et/ou
troubles psychiatriques et, soutien et aide aux équipes éducatives.
Sur appel au CMP ; accueil ou visite à domicile ou en institution ou sur la voie publique.
Des permanences sont effectuées et des réunions hebdomadaires avec les équipes
éducatives.
Intervention dans le cadre du travail en réseau avec le secteur social, interventions en cas
de crise relevant de la psychiatrie.
Soutien des équipes éducatives et analyse des situations.
Les moyens
2 véhicules
5 infirmiers
1 cadre de santé
Mise en lien fonctionnelle avec un médecin psychiatre du centre médico-psychologique de
Nevers.
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en Saône et Loire
L’équipe mobile de l’association le Pont à Mâcon
Le porteur
Association « Le Pont »
80, rue de Lyon – 71000 Mâcon - Arnaud Audet – Chef de Service – 03 85 21 94 57 –
[email protected]
Mâcon et communes environnantes
Ouverture du 1er novembre au 31 mars ; maraudes de 17h30 à 20h30 tous les jours de la
semaine ; extension des maraudes le week-end sur les mêmes horaires en niveau d’alerte
météorologique.
Le public cible
Le Samu Social va au-devant des personnes en grande précarité et en grande détresse
physique et/ou sociale, quelles qu’elles soient. Il agit dans l’urgence.
Il cherche à favoriser la mise en place de solutions d’hébergement pour la nuit, à évaluer la
nécessité de soins pour les personnes sans-abri, à recréer un lien social, à établir une
relation de confiance avec les personnes rencontrées.
La maraude consiste à aller à la rencontre de ceux qui ne demandent plus rien et qui
peuvent être en extrême détresse médicale ou sociale. Cette activité mobile est fondatrice
de toute action du Samu Social : en allant vers les personnes les plus en difficultés, le Samu
Social vise à engager une prise en charge médico-sociale de ces personnes souvent très
éloignées des institutions locales. Cette rencontre n'est donc pas tout à fait une rencontre de
hasard, c'est une mission de recherche et d'accueil qui demande une bonne connaissance
de la rue, non seulement d’un point de vue géographique, mais surtout des comportements
qu'elle induit.
Au cours des rencontres effectuées, le Samu Social fait connaissance avec les personnes et
les renseigne, voire les accompagne vers les structures et démarches sociales qui
pourraient les aider à faire face à leurs difficultés.
Le service du Samu Social travaille en étroite collaboration avec le réseau 115 du
département et le SIAO. Les signalements sont transmis la plupart du temps par le 115. Il
s’agit de messages ou d’une alerte des associations, des institutions (commissariats,
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pompiers, hôpitaux) ou des particuliers qui appellent le numéro d’urgence pour signaler une
personne sans abri ou en difficulté, pour signaler également une personne qui ne parvient
pas à se rendre à l’accueil de nuit. Le lien téléphonique avec le 115 permet de diriger avec
précision le service du Samu Social vers les personnes signalées.
L’aide matérielle proposée ne représente bien souvent qu'un prétexte pour établir un contact
et pouvoir dialoguer avec les personnes vivant dans la rue. Petit à petit, à force de
rencontres et d'échanges, des contacts durables peuvent s'établir, favorisant ainsi la création
ou le maintien d’un lien fragile avec la société.
Grâce aux informations recueillies auprès des autres services d’urgence et d’action sociale,
le Samu Social peut travailler plus précisément sur le projet individuel des personnes
rencontrées. Cela peut s’apparenter à un prolongement de suivi dans le cadre de la rue. Les
objectifs sont alors très variés (orienter vers un service spécialisé, intégrer un hébergement,
une structure de réinsertion, aller vers l’emploi, renouer des liens familiaux, etc.).
Les moyens
Un poste de travailleur social à mi-temps. En fonction des alertes météorologiques, un
renfort peut être mis en place pour garantir une maraude quotidienne.
Le Samu Social démarre son activité depuis le CHRS de Mâcon et bénéficie de son
infrastructure (cuisine, stockage de matériel, parking, bureau de permanence, saisie
informatiques des données dans une base spécifique).
Le Samu Social dispose d’un véhicule équipé (mutualisé avec l’Accueil de Jour de Mâcon)
qui lui permet de couvrir l'agglomération mâconnaise et distribue des couvertures, des
vêtements chauds ainsi que de la soupe chaude.
Un téléphone portable permet de rester en contact avec le 115, avec les partenaires ou de
communiquer en urgence sur des situations qui demandent des interventions particulières
(santé, sécurité des personnes etc.)
23
L’équipe mobile de la Croix rouge
Le porteur
Croix rouge
Croix rouge
Impasse de la tranchée Chalon sur Saône:
Tél : 03.85.48.01.21
fax : 03.85.93.29.65
courriel : [email protected]
site : http://chalonsursaone.croix-rouge.fr
Chalon ville et périphérie
Novembre à Mars
Lundi, mercredi, vendredi de 18h45 à 22H environ
Tous les soirs en plan grand froid
Le public cible
Les personnes en grande précarité
Les personnes les plus exclues
Des équipes de quatre à cinq personnes coordonnées par un responsable
Des maraudes en véhicule ou pédestres
Deux points d'accueil en ville identifiés
- mises à l'abri /hébergement sur appel du 115
- partage de boissons chaudes/produits alimentaires à emporter
- bon vêtement/couverture/kit hygiène
- orientations si nécessaire ou alerte
- maintien du lien social
Les moyens
- un véhicule équipé
- une équipe d'une trentaine de bénévoles
- un partenariat actif avec associations ou institutionnels
- une formation « solidar » pour les bénévoles
24
L’équipe mobile du CHS de Sevrey
Le porteur
CHS 55 Rue Auguste Champion Sevrey 71331 Chalon/Saône
Nathalie ARBINOT 06.34.61.64.46 [email protected]
Pascal MERINIS 06.28.42.52.59 [email protected]
Marc REPESSE 06.25.96.31.73 [email protected]
Bassin Chalon sur Saône
Bassin Autun
Bassin Le Creusot/Montceau les mines/Montchanin
Du lundi au vendredi 8h30/17h00
Le public cible
Public en situation de précarité et d’exclusion
Intervention en amont afin de limiter le recours aux services d’urgence des hôpitaux
généraux du territoire nord de Saône et Loire et éviter les hospitalisations sous contrainte
Aller au-devant des publics en situation de précarité et d’exclusion
Faciliter la prévention, le repérage précoce, l’orientation et l’accès aux dispositifs de soin
Etablir un partenariat formalisé avec les équipes sanitaires et sociales œuvrant dans le
domaine de la lutte contre l’exclusion et la précarité (soutien, échange de pratiques,
informations, conseils)
Interface entre les secteurs de psychiatrie et les équipes sanitaires et sociales
Les moyens
Equipe de soins :
- Médecin référent : Dr Th PRUDHOMME DE LA BOUSSINIERE
- Cadre De Santé : Irène MAUCHAMP
- Infirmiers : Nathalie ARBINOT, Bassin CHALON-SUR-SAONE
Pascal MERINIS, Bassin AUTUN
Marc REPESSE, Bassin LE CREUSOT/MONTCEAU-LES-MINES/MONTCHANIN
25
dans l’Yonne
L’équipe mobile du CHS de l’Yonne
Le porteur
Centre Hospitalier Spécialisé de l’Yonne
21 avenue Denfert Rochereau 89000 Auxerre
Tél : 03.86.72.12.46
Mail : [email protected]
Personnes de contact :
Martine TIXIER, cadre de santé
France CHALLAIN, référent secteur Auxerre
François CANILLAC, référent sud Yonne
Sophie RAMILLON, secrétaire
Auxerre, Tonnerrois, Avallonais
Du lundi au vendredi 9h-17h
Le public cible
Personnes en situation de précarité nécessitant des soins psychiatriques et/ou en rupture de
soins.
Sur simple demande des services partenaires et hospitaliers, s’appuyant sur des réseaux
formalisés, et sur les moyens de la sectorisation psychiatrique.
Aller vers. Créer le lien. Contribuer à réguler les situations. Assurer une veille quant à la
continuité des soins.
Evaluer les besoins spécifiques concernant la santé mentale des patients en grande
précarité.
Favoriser l’accès aux soins psychiatriques de ces personnes, ainsi qu’aux réseaux
institutionnels ou associatifs de soins et d’accompagnement socio-éducatif extrahospitalier.
Développer des réseaux opérationnels entre les dispositifs existants, les personnels
sociaux et les services psychiatriques.
Accompagner les personnes en difficulté dans les démarches nécessaires à la
reconnaissance de leurs droits sociaux.
Les moyens
1 référent par secteur couvert, déploie les missions en lien étroit avec un secrétariat, sous
l’autorité d’un cadre de santé et d’un médecin coordinateur.
26
La FNARS BOURGOGNE
Fédération nationale des associations d’accueil
et de réinsertion sociale
80, rue de Lyon
71000 MÂCON
Tél - 03 86 21 94 67
[email protected]
Merci à la commission veille sociale de la FNARS Bourgogne et à
l’ensemble des acteurs qui nous ont aidé à construire ce document.
Pour plus de renseignements contacter : [email protected]
Mars 2015
27
28

Les équipes mobiles en Bourgogne

Transcription

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