Définition et exemple de Charte Graphique

Transcription

Définition et exemple de Charte Graphique
Charte graphique
I- Définition
Ensemble de documents qui pose les règles de mise en page et définit l'aspect graphique des documents
(internes et externes) d'une entreprise, organisation...le but est de conserver une cohérence graphique
dans les réalisations graphiques d'une même entreprise, uniformiser, harmoniser.
La charte graphique est une sorte de cahier des charges à respecter en ce qui concerne la mise en forme
d'un document.
La charte graphique s'applique à définir :
• Le logo : ses couleurs, sa position dans la page sur tous les supports (papier à en-tête, documents
•
•
•
•
officiels, plaquettes, véhicules...), la zone d'exclusion (espace protégé minimum autour du logo),
etc...
Les polices de caractères utilisées : type de police, taille des caractères, mise en forme des
caractères, couleur des caractères, position (titre, sous titre, titre de paragraphe, sous titre de
paragraphe,....).
Les jeux de couleurs.
La mise en forme des pages (taille des marges, en-tête, pied de page, numérotation, etc).
Les principes du choix des images et des illustrations et leur mise en forme (encadré ou pas, zone
d'exclusion, etc).
II- Exemple
Charte Graphique
Rapport de stage
Département Gestion Administrative et Commerciale
Le responsable des stages GACO
Année 2011/2012
I-Présentation
I.1- Règles de présentation typographiques
Les règles de présentation typographiques sont proposées explicitées dans l’ouvrage :
IMPRIMERIE NATIONALE : Les règles de présentation typographiques, Paris : IN, 1997 ;
www.dsi.cnrs.fr/bureau_qualite/edition/typo/typo.pdf.
Les signes de ponctuation
• Signes simples : point, virgule : pas d’espace avant le signe, un espace après ;
• Signes composés : double point, point-virgule, point d’interrogation, point d’exclamation, etc. : un
espace avant le signe, un espace après ;
• Les parenthèses, crochets, etc. sont accolées aux items qu’elles encadrent ; elles ne prennent donc
pas d’espace à l’intérieur mais appellent à l’extérieur.
• Les points de suspension en fin d’énumération sont à proscrire. Ils sont avantageusement remplacés
par etc.
I.2- Les polices de caractère
Le choix des polices de caractère obéit à des règles clairement énoncées qu’il convient de respecter,
surtout depuis que l’informatique met à la porté de tous une banque de fontes de tous les types et de
toutes les graisses.
• Utilisez une police identique pour tout le rapport. Le module WordArt est interdit. Police utilisée :
type Arial.
• Le corps de texte est de taille 12
• Les titres sont ceux définis par le logiciel Word (titre 1, titre 2, titre 3) et feront une taille de 18 au
maximum.
• L’interlignage du corps de texte est simple.
I.3- Le plan
Le plan doit respecter la même structure.
Exemple :
Titre
Sous titre
I- Partie
I.1- Sous Partie
I.1.1- Paragraphe
I.1.1- Paragraphe
a. Sous paragraphe
Texte
I.3- Les tableaux
Les tableaux doivent respecter la même forme. Police : Arial, taille : 10 centré, gras, couleur blanche sur
fond gris (titre de colonne) ou gris sur fond blanc (ligne)
Titre de colonne 1
Titre de colonne 2
Titre de colonne 3
Titre de ligne 1
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Titre de ligne 2
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Titre de ligne 3
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Titre de ligne 4
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II- Les contenus
II.1- Structure du rapport
Le plan du rapport de stage devra comporter au minimum :
•
Une page de couverture (cartonnée ou recouverte d’un plastique transparent) ;
•
Une page de sommaire (3 niveaux de hiérarchie maximum) ;
•
Un résumé du stage ou du projet et 5 descripteurs (mots clés) en langue française;
•
Une introduction ;
•
Des pages intercalaires marquant les titres principaux du développement;
•
Les développements eux-mêmes ;
•
Une conclusion ;
•
Une table des matières (entre 3 et 6 niveaux de hiérarchie) ;
•
Une bibliographie (indispensable en deuxième année) ;
•
Un index des noms et auteurs cités (si nécessaire) ;
•
Un sommaire des annexes (si présence d’annexes dans le rapport) ;
•
Des annexes mises en forme dans le style du rapport ;
II.2- La page de couverture
La page de couverture est la première page du rapport, celle qui identifie le rapport avant même de l’ouvrir.
Elle est cartonnée ou doublé d’une feuille de plastique transparente. Elle propose les informations
suivantes :
•
Le logo ;
•
Titre explicite, choisi pour son lien avec la mission réalisée ;
•
Prénom et nom de l’étudiant, éventuellement groupe ;
•
Les noms des tuteurs IUT et entreprise
•
La date
•
La version du document (numéro)
•
L’emplacement du document sur le réseau
•
Cartouche décrivant l’objet du rapport et l’adresse de l’entreprise;
•
Le mode de diffusion en cas de cause de confidentialité.
II.3- Une page de sommaire (3 niveaux de hiérarchie maximum)
Le sommaire doit être facilement consultable. Il figure en début de document et s’ouvre sur le titre «
sommaire ». Il fait apparaître les deux ou trois premiers niveaux hiérarchiques du rapport ainsi que les
numéros de page correspondants. Pour réaliser automatiquement le sommaire, il convient d’utiliser les
fonctions avancées des logiciels de traitement de texte (outils de type « sommaire & index »).
Nous rappelons que la lecture du sommaire doit donner une vision globale du contenu du rapport.
III.4- Des pages intercalaires marquant les parties du développement
Les étudiants sont invités à insérer des intercalaires soulignant la titrologie des parties principales du
document. Cela favorise la cohérence graphique et la lisibilité de l’ensemble.
III.5- Un sommaire des annexes (si présence d’annexes dans le rapport)
Si des annexes sont proposées dans le rapport, il est indispensable de les présenter dans un sommaire
des annexes. La méthode est identique à celle utilisée par la mise en place du sommaire précédent.