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Environnement
Prévue dans le Grenelle de
l’environnement pour 2014, la
redevance incitative entrera
en vigueur pour toutes les
communes de la zone du
SICTOM de Dole en 2014.
P.2
Réouverture
du Tribunal
En attente
de la décision - p. 5
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/ Pays Dolois n°146 - Février 2013
badge avec un nombre d’accès
limité à la déchetterie. A long
terme, il pourrait aussi rentrer
dans la facturation”.
Dole - Environnement
Déchets : la redevance
Pas de puce, pas de levée !
incitative va se mettre en place
Prévue dans le Grenelle de l’environnement pour 2014, la redevance incitative entrera en vigueur pour toutes les communes de la zone du SICTOM de Dole en 2014, avec une phase test, avant de voir les premières factures établies en
2015. L’équation est enfantine : moins nous jetterons, moins nous paierons !
Le portefeuille des foyers de la
zone du SICTOM de Dole (inter­
communalités du Grand Dole,
de la Plaine Jurassienne, du Val
d’Amour, de Jura Nord, et Nord­
Ouest Jura) sera donc allégé
d’une nouvelle taxe : la rede­
vance incitative. “Ce n’est pas
une taxe, mais un service !” rec­
tifie le président du SICTOM
Christian Barbier. D’ici 2015, s’il
n’y a pas de ratage, les quelque
86 000 habitants des communes
concernées devront payer leurs
ordures ménagères à la levée et
au volume. Une redevance qui
devrait convertir d’office les der­
niers récalcitrants au tri sélectif !
Lancée il y a deux ans, l’étude,
d’abord, orientée vers une fac­
turation au poids, n’avait alors
pas trouvé consensus. Le SIC­
TOM a depuis repris le dossier,
et les réunions se sont enchaî­
nées depuis un an avec les élus
des intercommunalités. “Nous
avons proposé une facturation
au volume du bac et à la levée”
explique Christian Barbier.
Concrètement, la redevance
incitative sera calculée en fonc­
tion du nombre de levées, mul­
tiplié par le volume du bac. Elle
sera composée d’une part fixe
– une moyenne plutôt basse, à
priori une levée par mois – et
d’une part mobile, calculée sur
le dépassement de cette
moyenne. Précurseur dans le
Jura, le SICTOM de Dole instal­
lera des puces électroniques sur
les bacs gris et bleus, et les
12 bennes à ordures seront
équipées afin d’enregistrer les
numéros de puces. “Les bacs
bleus ne rentreront pas dans le
comptage, il s’agit juste de les
identifier” précise le président
du SICTOM. “Chaque ménage se
verra également remettre un
Ce dispositif nécessitera un tra­
vail de longue haleine en
amont : celui de répertorier
dans des fichiers informatiques
les foyers de la zone. “Nous
devons nous mettre en route en
2013. En décembre 2013, l’ob­
jectif est d’avoir terminé la par­
tie informatique, et d’avoir
équipé les bacs et les camions.
Début 2014, nous commence­
rons la collecte par une phase
test sur toute l’année. Les pre­
mières factures réelles devraient
arriver en 2015”. Christian Bar­
bier insiste sur le fait que les
usagers devront trouver répon­
ses à toutes leurs interrogations
lors du passage des équipes du
SICTOM dans les foyers. En
effet, si les puces ne sont pas
installées, les bacs ne seront pas
vidés ! Les tarifs n’ont pour
l’heure pas encore été établis.
L’objectif du SICTOM est d’at­
teindre un poids de 120­130 kg
d’ordures ménagères par habi­
tant par an, alors que la
moyenne est aujourd’hui à
180 kg (contre une moyenne
nationale de 250 kg par habitant
par an).
Céline Garrigues
Dole - Sous-préfecture
Le nouveau sous-préfet est en poste
A 41 ans, Cédric Debons accède à son premier poste de sous-préfet et succède à Philippe Fournier-Montgieux. Tout juste arrivé de Mayotte où il était
directeur de cabinet, il a pris ses fonctions de sous-préfet de Dole le 2 janvier. Il s’est présenté comme un homme de terrain et de contacts.
Quel est votre cursus ?
Je suis originaire de Bordeaux,
j’ai 41 ans. J’ai commencé ma
carrière après des études à l’IRA
à Nantes en 1997 en tant qu’attaché et attaché principal dans
différents bureaux. J’ai commencé comme chef de bureaux
des étrangers à la préfecture
du Mans. En 2008, j’ai pris mon
premier poste de directeur des
services du cabinet à Alençon,
jusqu’à fin 2010, puis j’ai rejoint
toujours comme directeur de
cabinet Mayotte de 2010 à
décembre 2012.
C’est une première
nomination en tant que
sous-préfet. Comment
appréhendez-vous ce
nouveau poste ?
Je souhaite d’abord découvrir
les enjeux de ce territoire. Mon
rôle sera de mettre en œuvre les
politiques gouvernementales
sous l’autorité du préfet, en travaillant avec les différents
acteurs de l’arrondissement, les
élus, les administrations…
mer sont particulières, mais le
Jura a autant besoin d’investissement pour faire avancer les
dossiers.
Connaissiez-vous déjà
ce territoire ?
Quelles sont les grandes
thématiques que vous avez
gérées lors de vos
précédents postes ?
Non pas du tout. Le cadre de la
ville de Dole est très agréable,
c’est pour moi une joie de
découvrir une région que je ne
connais pas. C’est un territoire
dynamique bien que touché
par la crise, comme partout, et
qui possède des enjeux de
sécurité.
Vous venez d’un territoire,
Mayotte, avec de lourds
enjeux, traversé par des
conflits sociaux. Est-ce que
Dole est une bonne pioche
pour un premier poste ?
Je ne dirais pas bonne pioche
car chaque territoire a ses problématiques. Celles de l’outre
Elles étaient surtout axées sur
la sécurité publique et civile.
J’étais présent lors de la mise en
place de la vaccination contre
la grippe H1N1. J’ai eu aussi à
gérer quelques quartiers difficiles à Alençon, avec des incendies de véhicules. A Mayotte,
j’étais surtout mobilisé pour la
lutte contre l’immigration clandestine et les mouvements
sociaux.
Grand Dole - Transport
Et de un million
pour le TGD !
Le 7 janvier dernier, l'agglomération du Grand Dole
remettait à Apolline Brouchot le prix du millionième
voyageur du réseau TGD (Transport du Grand Dole). Derrière ce geste symbolique, l'agglomération ne ratait pas
l'occasion de se féliciter des excellents résultats affichés
en 2012.
Apolline Brouchot, millionième voyageur de l’année 2012, utilise
essentiellement le service de bus à la demande.
En 2012, la barre des un million
de voyageurs était donc fran­
chie, (hors 400 000 déplace­
ments scolaires), pour la pre­
mière fois depuis la création du
réseau. Une des meilleures fré­
quentations de France sur un
réseau de taille similaire. Primé
lors de sa création en tant que
territoire innovant pour la mise
en place de son réseau, le défi
est relevé pour le Grand Dole.
Depuis quatre ans, la fréquenta­
tion serait en constante aug­
mentation d’après les chiffres
de l’agglomération. 1 010 934
passagers et 3 650 abonnés
étaient recensés en 2012,
contre 989 122 passagers et
3 400 abonnés en 2011. Ce sont
les lignes 4 et 5 qui ont connu la
plus forte progression. La ligne 2
est quant à elle en légère baisse.
Les récentes améliorations
apportées (flexi­village, service à
la demande pour les zones
rurales, et flexi­job, service pour
les salariés aux horaires décalés)
ont permis de multiplier la fré­
quentation. “Trois types de
public ont besoin du TGD” expli­
quait Claude Chalon, président
du Grand Dole. “Les jeunes, les
personnes âgées, et les per­
sonnes n’ayant pas les moyens
de payer une voiture et l’es­
sence. Nous avons souhaité
faire un réseau à bas coût, c’est
pour cela que c’est un succès”.
Rappelons que l’abonnement
annuel adulte coûte 30 €.“On
s’adapte de manière régulière
aux besoins et attentes de la
population” ajoutait Lionel Gati­
nault, vice­président en charge
des transports. “Nous avons
associé dans chaque commune
un référent transport. Quand il y
a un problème, nous sommes
tout de suite informés”. Pour
2013, deux nouveautés sont au
programme. L’ensemble des bus
est désormais en correspon­
dance avec les TER de la région.
De plus, le service flexi­village
offre des horaires supplémen­
taires.
C.G.
L’ÉCO-TAXE POIDS LOURD EN ROUTE
Votre prédécesseur vous
a-t-il sensibilisé sur certains
dossiers ?
Nous n’avons pas eu de
contacts directs.
Quelles ont été les directives
du Préfet du Jura ?
Quelles seront
vos priorités ?
Elles concernent notamment la
sécurité routière.
Je suis dans une phase d’écoute
et de découverte. Il ne serait pas
opportun d’annoncer des décisions à ce stade !
Derrière le costume de
sous-préfet, qui êtes-vous ?
Je suis célibataire, sans enfant.
J’ai une passion pour la lecture,
et j’aime beaucoup la découverte et le contact avec les gens.
Propos recueillis par Céline Garrigues
Mesure du Grenelle de l’Environnement, l’éco-taxe poids
lourd sera mise en application en juillet 2013. Elle concerne
tous les véhicules de marchandise de plus de 3,5 tonnes,
français ou étrangers. Tous les poids lourds roulant sur le
réseau taxé devront être équipés d’un boîtier permettant
le calcule de la taxe. Dans le Jura, quatre tronçons seront
taxés : la RN83 entre Besançon et Lons-le-Saunier, et entre
Lons et Bourg-en-Bresse. Et la RN73, entre Besançon et
Dole, et entre Dole et Chalon-sur-Saône.
Pays Dolois n°146 - Février 2013 /
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Dole - Généalogie
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La télévision russe aide un Dolois
Les plans anti-crise du Pass’Malin
à retracer l’histoire de sa famille
Président de l’association “Rendez-vous des saveurs bio et des savoir-faire”, le Dolois Steeve Cretiaux est parti sur les
traces de son arrière-grand-père maternel, un Russe recruté par l’armée française pendant la Première Guerre mondiale. Une belle aventure qui a attiré l’attention d’une célèbre émission de la première chaîne russe.
Alexandre Abramovsky et ses sept enfants, tous encore en vie
aujourd’hui.
Durant toute son enfance, Steeve
Cretiaux a été bercé par les souve­
nirs d’un arrière­grand­père omni­
présent, Alexandre Abramovsky,
qu’il a pourtant très peu connu.
“Dans ma famille, on m’a toujours
parlé de mon arrière­grand­père”
raconte le Dolois qui organise les
marchés bio du cours Saint­Mau­
rice. Figure du héros de guerre
blessé au front, cet ancêtre aux ori­
gines sibériennes, amoureux des
grandes étendues sauvages, a
éveillé chez le jeune homme l’envie
de retracer l’histoire de ses aïeux.
Une belle aventure qui l’a conduit à
être contacté par la petite lucarne
russe et une de ses émissions
phares, “Jdi Menia”, équivalent de
notre “Perdu de vue”. Né en 1896 à
Boulatov, en Sibérie, le futur Dolois
est recruté à 20 ans par les officiers
français. “Sans doute la Légion
étrangère” précise Steeve Cretiaux.
Durant la Première Guerre mon­
diale, il est appelé à Verdun où il
sera blessé, puis rapatrié au Val­de­
Grâce pour y être hospitalisé. Il est
alors envoyé à Dole en convales­
cence, où il restera jusqu’à la fin de
sa vie, en 1981. “Ses sept enfants
sont encore en vie aujourd’hui, et
c’est grâce à eux qu’on a pu recons­
tituer son histoire” reprend le jeune
homme. L’épisode russe débutait
grâce à une rencontre de ses
parents avec l’écrivain jurassien
d’origine sibérienne Robert Viel
(voir ci­contre). Ce dernier orientait
les recherches de la famille vers un
programme de la première chaîne
russe, “Jdi Menia”, littéralement
“Attend­moi”. “Robert Viel a envoyé
notre histoire et nous avons été
contactés. J’ai alors réalisé une vidéo
à Dole, devant la rue Pasteur, où je
raconte l’histoire de mon arrière­
grand­père. Nous souhaiterions
retrouver les descendants de son
frère afin d’en savoir plus sur les ori­
gines de mon aïeul”. De nombreux
courriers ont été envoyés suite à la
diffusion de l’émission, et les journa­
listes russes sont pour l’heure en
train de vérifier ces pistes. Si des
descendants se manifestent, Steeve
Cretiaux pourrait être amené à s’en­
voler pour Moscou – non pas pour
demander un passeport russe –
mais pour participer au programme
et rencontrer en direct les membres
de sa famille retrouvés.
Robert Viel marche sur
les terres de son père
Ecrivain jurassien aux origines
sibériennes, Robet Viel vient de
publier son second ouvrage, “J’irai
marcher sur ses terres”. Dans son
premier livre, “Christophor Glotoff,
l’homme du Baïkal”, il retrace la
vie de son père, né dans un village
proche du lac Baïkal en Sibérie, et
qui aurait eu 100 ans cette année.
Dans ce nouvel opus, il fait
découvrir la Russie, et notamment
la Sibérie, sous un jour nouveau,
grâce aux huit voyages qu’il a
entrepris dans une contrée où la
nature est encore intacte.
“Beaucoup d'amis et de futurs
lecteurs vont apprécier de
découvrir ce pays dans un vent de
fraîcheur, sous l'angle de l'humilité,
de sa richesse humaine. C'est la
Russie, la Sibérie profonde que
je mets sur le devant de la scène :
la mienne tout simplement”.
Dédicace à la librairie
“La Passerelle” le 16 mars.
“J’irai marcher sur ses Terres”,
éd. du Murmure.
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Céline Garrigues
Sortir sans se ruiner, tel est le leitmotiv du Pass’Malin. Plus de 110 bons plans sont réunis
dans la nouvelle édition 2013.
Si la crise a fatalement allégé le
portefeuille des Jurassiens et des
touristes, il existe des solutions
pour éviter de trop amputer le
budget loisir. Le Pass’Mallin version
2013 propose au fil de ses 147
pages plus de 110 bons plans, pour
profiter de son temps libre sereine­
ment. Ce petit livret ergonomique
et pratique tenant dans une poche
est un guide qui permet aux Juras­
siens ou touristes de passage de
bénéficier de 42 menus gratuits
(au sein des plus grandes tables
jurassiennes, tel que Jean­Paul Jeu­
net à Arbois, entre autres), et de 70
activités de loisirs ou culturelles
offertes. “Dans ces périodes diffi­
ciles, le guide redonne l’envie et le
plaisir de sortir, de découvrir des
bonnes tables grâce à des avan­
tages financiers incitatifs” explique
Jean Christophe Le Gall, créateur et
éditeur du Pass’Malin. “Il permet
également de soutenir certaines
filières économiques du départe­
ment, et de promouvoir la destina­
tion Jura auprès des touristes”.
Cette bible du bon plan 100 %
jurassienne cumule plus de 1500 €
d’avantages variés, et est valable
un an, quelle que soit sa date
d’achat. Dès la première utilisation,
il est donc amorti. Ce guide est éga­
lement destiné aux professionnels
de l’hébergement ­ gîtes, cham­
bres d’hôtes, campings ­ avec des
tarifs préférentiels, afin de les inci­
ter à proposer le Pass’Malin dans
Arbois - Rallye automobile
4L Trophy 2013 : un équipage jurassien au grand cœur
Président de l’association “Les quatrelleurs de l’humanité”, l’Arboissien Sébastien Duboz embarquera avec son copilote le 13 février pour le rallye
humanitaire du Maroc, le 4L Trophy. Le prétexte pour les deux Jurassiens d’apporter du matériel aux Marocains les plus démunis. Le jeune homme
organise un grand événement le 9 février prochain à Arbois pour présenter le projet.
Le 4L Trophy est un rallye à part : la vitesse
n’est pas au cœur des préoccupations des
équipages, mais bien la solidarité, les ren­
contres et les échanges. En mai dernier,
Sébastien Duboz, cet Arboissien de 29 ans,
et son copilote Gaëtan Riau créaient l’asso­
ciation “Les quatrelleurs de l’humanité”
dans le but de participer à la 16e édition du
rallye marocain. Ils partiront le coffre rempli
de fournitures scolaires, vêtements et maté­
riel paramédical destiné aux Marocains les
plus démunis. Sur place, une association
locale prendra le relais pour la distribution
du matériel, mais les deux Jurassiens en dis­
tribueront également le long de la route au
gré des rencontres. 1 250 voitures, soit
2 300 participants, prendront ainsi le départ
le 13 février de Saint­Jean­de­Luz, avant de
parcourir 6 000 kilomètres de route et de
piste à travers la France, l’Espagne et le
Maroc, avec en ligne de mire l’arrivée à Mar­
rakech après 10 jours de raid. Avant le grand
départ, les deux jeunes hommes ont sou­
haité organiser une grande manifestation à
Arbois, avec les 8 équipages franc­comtois
(quatre ont à ce jour déjà confirmé leur pré­
sence), pour faire partager cette expérience
unique. Un film présentant le rallye sera pro­
jeté sur grand écran (Place de la Liberté), et
les “4L Trophistes” exhiberont leurs véhi­
cules transformés et customisés pour l’occa­
sion (réglages du moteur, renforcement du
châssis, éclairage…). Un groupe de musique
sera également présent, le tout avec la
contribution de la commune d’Arbois.
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Jean Christophe Le Gall, un des créateurs du portail Juracom,
créait il y a trois ans le Pass’Malin.
sa version 15 jours à tous leurs
hôtes. La centrale de réservation
du Comité départemental du tou­
risme, qui gère presque 5 000
contrats par an, proposera égale­
ment à tous ses clients le guide
Pass’Malin 15 jours.
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avantages : 39 € pour un an de
validité, et 15 € pour les touristes
pour 15 jours de validité.
Disponible sur le site
www.passmalin-jura.fr (livraison
gratuite), dans les OT et dans
quelques librairies (liste des
distributeurs sur le site).
LE CONSEIL GÉNÉRAL LANCE UNE
NOUVELLE LIAISON DOLE-PARIS
Le 25 janvier dernier, le Conseil général du Jura votait en cession
publique la subvention pour la nouvelle liaison Dole-Paris au départ
de l’aéroport de Dole-Jura. Un vote à l’unanimité, malgré
l’intervention de Jean-Marie Sermier en défaveur de cette mesure.
Après une suspension de séance, l’opposition départementale se
rangeait finalement aux arguments de Christophe Perny, président
du Conseil général. La rotation aérienne s’effectuera donc cinq
jours par semaine, à raison de deux allers-retours du lundi au jeudi,
et un aller-retour le vendredi, à destination de l’aéroport d’Orly,
avec la compagnie allemande Bin Air. Le tarif de l’aller simple est
estimé à 80 € environ. Cette phase test s’étendra de fin mars à fin
octobre grâce à une subvention de 370 000 €. Suite aux tensions
avec la présidente de la Région Marie-Guite Dufay fin 2012,
Christophe Perny affirme qu’il n’y a aucune volonté de concurrence
avec le ferroviaire. Pourtant, la FNAUT (Fédération Nationale des
Associations d'Usagers des Transports) de Franche-Comté a rédigé
un communiqué où elle fait part de sa stupeur et de son
indignation : ”A qui fera-t-on croire que la SNCF va maintenir des
dessertes TGV vers la Suisse par Dole dès lors que le Conseil
général subventionne lourdement un concurrent aérien ? Nous
n’aurons aucun mal à démontrer que ces vols ne font pas gagner
une seule minute à leurs passagers, que la clientèle ciblée est très
ciblée! Le Conseil général du Jura s’est bien tiré hier une balle
dans le pied !”
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Pays Dolois n°146 - Février 2013 /
Dole - Justice
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Réouverture du tribunal :
les conclusions attendues mi-février
Le 8 janvier dernier, une délégation du ministère de la Justice était en visite dans le Jura afin d’étudier la possible
réouverture du tribunal de grande instance (TGI) de Dole.
Suite à la refonte de la carte judi­
ciaire, le TGI de Dole fermait ses
portes en janvier 2011. Le bar­
reau des avocats de Dole fusion­
nait avec celui de Lons­le­Saunier
pour créer le barreau du Jura. Sur
fond de RGPP (Révision générales
des politiques publiques), le tribu­
nal dolois pliait bagage et quittait
la plus grosse ville du départe­
ment. Depuis, les affaires sont
pour l’essentiel plaidées à Lons­
le­Saunier, y compris pour les jus­
ticiables dolois. “J’avais déposé,
en 2009 un recours devant le
Conseil d’Etat conjointement avec
l’ordre des avocats contre la fer­
meture du TGI de Dole. Il a été
rejeté.” rappelle Jean­Claude
Wambst, le maire de Dole.
Depuis 2011, seules quelques
audiences “foraines” (système
permettant à un magistrat de
rendre la justice hors de sa juri­
diction d’attache) ont été plai­
dées, mais moins que prévu. En
novembre dernier, la garde des
Sceaux Christiane Taubira annon­
çait la création d’une mission afin
d’étudier la situation de huit com­
munes, dont Dole. La délégation
ministérielle était dans le Jura le
8 janvier denier afin d’audition­
ner tous les acteurs de la justice
jurassienne, ainsi que les élus et
parlementaires. “Dans mon argu­
mentaire, j’ai insisté sur le fait que
les mesures compensatrices ont
du mal à se mettre en place”
explique Jean­Claude Wambst.
“Dole est au centre d’un bassin de
vie de 80 000 personnes, ce qui
représente la moitié des affaires
de justice. Dole a besoin d’une
justice proche des populations et
accessible par tous les citoyens,
proximité géographique et proxi­
mité juridique”.
L’activité foraine pourrait être
renforcée
Bâtonnier du Jura, Me Patrick
Uzan est sceptique. “J’ai l’im­
pression que c’est une promesse
de François Hollande qui ne sera
pas tenue. Aujourd’hui, je préfé­
rerais être le bâtonnier de Tulle
plutôt que celui du Jura” ironise
l’avocat dont le cabinet est situé
à Dole. “On nous dit qu’il ne faut
pas s’attendre à une réouverture
pleine, mais à la création d’une
chambre détachée, ce qui
n’existe pas dans le code de
l’organisation judiciaire !”. En
clair, les Dolois peuvent espérer
voir les activités foraines renfor­
cées. Les conclusions de la mis­
sion ministérielle sont attendues
pour le 15 février.
C.G.
167pa6r €
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personne
Circuit
Norvège des Fjords
jours / 7 nuits
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En hôtels 3 étoiles ­ Pens
pré­acheminement
Au départ de TAVAUX en
vers l’aéroport de LYON
Du 4 au 11 juin 2013 ­ 8
Arbois - Tourisme
L’avenir du camping s’éclaircit
Malgré un emplacement idéal, le camping municipal d’Arbois voit sa fréquentation chuter. Face à ces résultats insuffisants, l’association gérante Odésia
s’est désengagée de sa délégation de service public (DSP). La mairie affirme avoir aujourd’hui plusieurs pistes sérieuses quant à l’avenir de la structure.
stade…). Géré à ses débuts par
la commune, malgré un bon
remplissage (plus de 75 %) sa
fréquentation était davantage
orientée vers les courts séjours,
en faisant un camping de pas­
sage. Des touristes pour l’essen­
tiel étrangers, en balade dans le
secteur, ou en transit via l’axe
nord­sud le long de la RN83
14 000 nuitées en 2011), mais il
est toujours resté un camping
de passage. “C’est le marketing
et la communication externe qui
ont été défaillants” analyse le
maire.
Une nouvelle gestion en DSP
Face à ces résultats insuffisants,
Odésia a souhaité se désengager
de sa DSP, et les négociations
entre les différents protago­
nistes ont eu lieu fin 2012.
“Nous sommes aujourd’hui en
recherche d’un délégataire.
Nous sommes sur la bonne voie,
des pistes très sérieuses ont été
étudiées” continue Bernard
Amiens. En effet, alors que la
commune de Pasteur a su déve­
lopper une offre touristique de
qualité, notamment autour des
métiers de bouche, il serait
dommageable de ne pas propo­
ser aux touristes le plus large
panel d’hébergements possible.
Si Arbois se positionne correcte­
ment en matière d’hôtellerie de
haute et moyenne gamme, il ne
faut pas oublier les plus petits
budgets. “Nous devons adapter
notre offre notamment de
mobil­homes et d’accueil de
camping­cars” conçoit Bernard
Amiens. Dans les mois qui vien­
nent, la question devrait être
réglée, assure l’édile.
Céline Garrigues
En chiffres
Reclassé en 2 *
111 emplacements
4,5 ha
Fréquentation 2011 (pas
connue à ce jour pour
2012) : 14 000 nuitées
Circuit au
1379 €
Cœur de Madère
par
personne*
Du
2 au 9 mai 2013 ­ 8 jours
/ 7 nuits
En hôtels 4 étoiles ­ Pens
ion complète
Au départ de TAVAUX en
pré­acheminement
vers l’aéroport de DIJON
Licence n° 039120006 ­ * Prix hors assurance
Ce n’est plus le “camping para­
dis” mais la mairie arboisienne
espère bien redonner une nou­
velle impulsion à son camping
municipal. Implanté sur la com­
mune depuis plus de 50 ans, il a
toujours joui d’une bonne
attractivité de par son emplace­
ment, idéal, à proximité des
équipements de loisirs (piscine,
(Belges, Anglais…). Souhaitant
impulser une nouvelle dyna­
mique et transformer ces habi­
tudes de séjours, la précédente
municipalité fit le choix de délé­
guer la gestion à des profession­
nels du tourisme, l’association
Odésia, qui gère notamment le
camping de Clairvaux­les­Lacs.
“Un nouveau programme d’in­
vestissement est alors lancé,
avec un investissement de
800 000 € de la commune, en
2007 / 2008” explique Bernard
Amiens, le maire d’Arbois. “De
nouveaux emplacements ont été
créés, un bâtiment pour l’accueil
construit et des animations
mises en place. L’objectif était
d’engager une dynamique pour
des plus longs séjours”. Ce qui
demeura un vœu pieux puisqu’à
ce jour, non seulement le cam­
ping voit sa fréquentation dimi­
nuée (remplissage à 50 %, avec
6
/ Pays Dolois n°146 - Février 2013
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Mandants : CFCAL, 1 rue du Dôme 67000 STRASBOURG – SYGMA, 66 rue des archives 75003 PARIS. Sous le contrôle de l’ACP (Autorité de Contrôle Prudentiel) – 61, rue Taitbout 75009 PARIS – Assurance de Responsabilité Civile Professionnelle conforme à la législation des IOBSP.
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NANCY 449 909 563). La finalité de ce traitement est d’apprécier la situation des clients en termes de solvabilité. Ainsi, les données recueillies sont destinées à IDESIA CONSEILS pour transmission, en cas d’acceptation du dossier de demande de financement, aux partenaires bancaires du
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et d’opposition sur les données personnelles le concernant. Il lui suffit pour l’exercer d’écrire à l’adresse suivante : IDESIA CONSEILS – 9, square de Liège 54500 VANDOEUVRE­LES­NANCY ».
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Dole - Transport
Grand Dole - Fiscalité
CFE : remboursement pour le premier trimestre
Lors du conseil communautaire extraordinaire du 16 janvier dernier, les élus du Grand Dole se sont prononcés en faveur de la prise en charge de
la hausse 2012 de la cotisation foncière des entreprises. Le remboursement aux 654 entreprises concernées interviendra au cours du premier
trimestre 2013. Claude Chalon, président du Grand Dole, garde un goût amer des attaques dont les élus de l’agglomération ont été l’objet.
Suite à la levée de boucliers des
commerçants et petites entre­
prises, relayée par la presse
locale, concernant à la hausse de
la cotisation foncière des entre­
prises, le Grand Dole a revu sa
copie et organisait une confé­
rence de presse le 25 janvier,
pour remettre les choses à plat.
“J’ai été insulté, et derrière moi
l’agglomération. Il est temps de
restituer leur dignité aux élus”
lançait en guise d’introduction
Claude Chalon, président du
Grand Dole, qui n’a manifeste­
ment pas digéré les accusations
dont il a été victime. Jacques
Lombard, membre du bureau en
charge des finances, présent éga­
lement, s’est montré particulière­
ment affecté par la virulence des
attaques. Rappelons les faits :
suite à la réforme de la taxe pro­
fessionnelle, les avis d’imposition
pour la cotisation foncière des
entreprises – la CFE, l’une des
deux taxes constitutives de la
contribution économique territo­
riale, qui a remplacé la TP –
affichaient une hausse vertigi­
neuse, allant jusqu’à 300 %. En
novembre dernier, en recevant la
douloureuse, les commerçants
voyaient rouge, et manifestaient
pour certains de façon vive leur
colère, notamment à coup d’af­
fiches cinglantes placardées sur
leur vitrine. “On a fait une
erreur”, reconnaît Claude Chalon.
“On a fait ça sans visibilité, on
s’est aperçu des conséquences le
jour où les contribuables ont reçu
leur feuille d’imposition”. Comme
partout en France d’ailleurs. Et
pour cause, le dispositif, mis en
place par la loi de finances 2011,
repose sur le chiffre d’affaires des
entreprises, et non sur leur valeur
ajoutée. Le chiffre d’affaires se
rapportant au montant des
affaires réalisées, il n’est pas
représentatif de sa valeur d’im­
position. Une erreur que le gou­
vernement a vite rectifiée en
votant un amendement permet­
tant d’effacer cette hausse en
2012, que le Grand Dole relayait
au niveau local. L’agglomération
s’engage à rembourser les sur­
coûts engendrés avant le premier
trimestre 2013, sans pénalité de
retard. Un dégrèvement qui s’élè­
vera à 852 €. Un courrier expli­
quant ces mesures sera envoyé à
tous les contribuables concernés.
“Nous considérons que nous
avons réparé notre erreur et que
nous avons tenu nos engage­
ments” annonçait Claude Chalon,
qui affirme ne pas être dans la
revanche. Pourtant le dossier
semble être encore coincé en tra­
vers de sa gorge. S’il affirme que
les rapports se sont apaisés avec
les commerçants, il pointe du
doigt “certains administrateurs”
de l’Union des commerçants Uni­
Dole (dont il exclut la présidente
“formidable”) avec qui il ne colla­
Céline Garrigues
borera plus.
P O R T R A I T A S S O C I AT I F D U M O I S - L A B R AVA N D R I L L E
La belle époque de la Renaissance
Musiques anciennes, danses et costumes et de l’époque Renaissance, le groupe “la Bavandrille” est un véritable
ambassadeur de Dole, ville d’art et d’histoire, et sa région. “Pays Dolois” a rencontré son président Claude Bouchard.
Et les costumes ?
Les costumes sont confectionnés par nos soins. Ils demandent également une recherche
approfondie pour coller à la
réalité historique de cette
époque tant au niveau des
formes des robes ou coiffes ou
des vêtements masculins, que
des qualités des tissus, des
bijoux et des accessoires. Une
commission gère tout ce qui
concerne le domaine des costumes.
Le groupe la “Bravandrille” porte un soin tout particulier à
l’exactitude historique des costumes.
Claude Bouchard, vous êtes
président de l’association «
La Bravandrille », pouvezvous dire en quelques mots,
comment est née votre
association ?
Notre association est née du
pari osé d’un groupe d’amis de
participer aux festivités du
500ème anniversaire de la Collégiale de Dole. Il fut question
de se transporter au XVIe siècle
pour évoquer les fastes de la
Renaissance au travers des festivités. Après la découverte des
danses et des prestigieux cos-
tumes revêtus par les nobles,
nous avons répété six mois
durant sous la direction de
notre maitre de danse. Ce travail nous permettra de produire
nos premières prestations avec
un certain stress. Puis, pris au
jeu et encouragés par de multiples regards illuminés, l’essai
s’est transformé dans la volonté
de continuer. Et voilà ! 3 ans se
sont écoulés avec une répétition par semaine, 26 personnes,
une grande variété de chorégraphies et un enthousiasme à
la hauteur de nos ambitions.
Quels genres de danses
pratiquez-vous et sur
quelles musiques ?
Des danses de fin de Moyen
Age et de la Renaissance française, italienne et anglaise c’està-dire des pavanes, des branles,
des rondes, courantes, marazula entre autres avec des chorégraphies propres à notre
groupe. Les musiques et les
danses sont sélectionnées par
notre Maître de Danse, Reynart
Van Meteren, qui est passionné
par cette époque et qui ne
ménage ni son temps ni son
énergie pour les étudier afin de
ne pas trahir l’époque.
Qui dit danse, dit
répétitions et
représentations…
Qui dit danse dit répétitions
mais aussi apprentissage.
Chaque jeudi soir, durant 2
heures, les 13 couples qui composent l’association travaillent,
sous la houlette de nos maîtres
de danse, l’apprentissage des
danses Renaissance et bientôt
des danses d’autres époques.
Pour cultiver la convivialité,
nous terminons notre répétition par une collation qui permet de nourrir notre bonne
entente et créer des liens d’amitié. Bien sûr, c’est une activité de
plaisir qui se conjugue avec
sérieux et travail quand les
échéances de prestations et de
sorties approchent.
A deux reprises, nous nous
sommes rendus à Tabor puis à
Lahr, villes jumelées avec Dole.
Nous avons participé à la
grande fête du “Roi de l’oiseau”
au Puy en Velay avec un groupe
ami de Salon de Provence. Plus
près d’ici, nous sommes allés à
la « Percée du vin jaune » à Ruffey-sur-Seille, aux « folies
furieuses » à Salins. Nous avons
dansé également pour le téléthon, au Centre de moyen et
long séjour de Dole, et à
diverses fêtes locales ou privées.
Enfin, nous participons au
forum des associations à La
Commanderie en septembre.
Des projets ?
Se produire régulièrement dans
de beaux sites, de préférence.
Développer notre connaissance
des danses de plusieurs
époques. Si possible favoriser
l’accès à chacun à plusieurs costumes (souvent onéreux). Et
puis bien sûr s’amuser
ensemble en dansant.
Des souhaits et des rêves ?
Participer à nouveau aux fêtes
de Tabor. Découvrir l’Italie ou
l’Irlande dans le cadre des
jumelages dolois. Danser dans
d’autres pays et découvrir
J.T.
d’autres cultures.
www.bravandrille.fr
Les Négociales, les futurs
commerciaux dans le bain
Les Négociales, challenge de négociation commerciale
ouverte aux étudiants, se réuniront pour la 24e année le
13 février prochain au lycée Pasteur Mont-Roland. Coorganisées par l’établissement et l’EMC, elles seront le
terrain des joutes commerciales des vendeurs de demain.
Dix minutes pour convaincre et
vendre son produit à un profes­
sionnel, tel sera le défi des étu­
diants en filière de commerce,
dans des conditions 100 % réa­
listes. Le challenge des Négo­
ciales, lancé il y a 24 ans en
France, est depuis relayé et
organisé localement par l’EMC,
l’Ecole de management com­
merciale du Jura. Cette année
pour la première fois, elle s’as­
socie au lycée Pasteur Mont­
Roland, établissement propo­
sant une des deux formations
commerciales les plus impor­
tantes du Jura, avec celle de
l’EMC. “Cet événement aura un
impact important pour les
jeunes, c’est la mise en valeur
d’un métier” indique Maryline
Cheviet, responsable de l’ensei­
gnement supérieur du lycée.
Chaque année, les profils d’étu­
diants sont divers et variés. Ils
auront dix minutes pour décro­
cher le marché dans le cadre
d’une simulation plus que réelle
face à un professionnel, sous
l’œil impitoyable du jury. En
amont, on leur fournira les clés
du produit (quelle entreprise,
quel prix, quelle marge de
manœuvre…). “Le professionnel
attend que le jeune pose les
bonnes questions, c’est la force
de conviction qui va tout faire.
C’est un plus sur le CV, c’est très
porteur” explique Virginie
Schmitt, directrice adjointe de
l’EMC. En effet, chaque année,
au terme de cette journée, les
étudiants repartent avec des
contacts et des cartes de visite.
Une passerelle intéressante
pour de futurs stages, et même
pourquoi pas une première
C.G.
embauche !
PORTRAIT DU CLUB ASTUS CIBLE - ERRATUM
Plusieurs erreurs se sont glissées dans notre article sur le
club de tir “Astus Cible”, dans le précédent numéro du Pays
Dolois. D’une part, le principal sponsor du club n’est pas le
CE Solvay, mais bien la commune de Tavaux, où l’association
est installée (et non à Foucherans-Damparis comme nous
l’indiquions). La petite subvention du CE Solvay serait
appelée à disparaître dans un avenir très proche. Nos très
sincères excuses également au président Patrice Audugé
pour avoir écorché son nom.
LA LIGNE DES HIRONDELLES VERSION HIVER !
L’office du tourisme du Pays de Dole vient de dévoiler son
excursion ferroviaire, jalonnée de superbes paysages de
Dole à Morez, version hiver 2013. Pour les amateurs de
grands espaces, deux formules sont proposées pour goûter
aux plaisirs de l’hiver.
Six dates possibles : les 6, 13, 20 et 27 février, et les 6 et 13 mars.
Rens. à l’Office de tourisme du Pays de Dole, 03 84 72 11 22
Pays Dolois n°146 - Février 2013 /
Le samedi 2 et dimanche 3 mars 2013
Ecodéclic
le salon de la consommation durable
I Publirédactionnel
DOLE, LA COMMANDERIE
Textes sous la responsabilité de l’annonceur - Reproduction interdite - © Pays Dolois n° 146
Depuis quatre ans, le salon Ecodéclic est devenu un rendez-vous incontournable
de la vie doloise, pour ceux qui souhaitent modifier leurs habitudes de consom- Pour les enfants
mation. Consommer mieux, de façon durable et responsable, mais comment ? L’association “Bois et Carton
se rencontrent” revient cette
Rendez-vous les 2 et 3 mars prochains pour vous aider à y voir plus clair.
La consommation durable n’est plus aujourd’hui un vain
mot. Elle fait désormais partie de notre quotidien et les
mentalités ne cessent d’évoluer. Nous avons tout une
pléiade d’outils à notre disposition pour revoir nos habi­
tudes, et être plus respectueux de l’environnement.
L’offre grandit, mais il n’est pas toujours évident de faire
un choix éclairé parmi toutes les alternatives proposées.
Véritable vitrine des différentes initiatives écologiques, le
salon Ecodéclic aide le consommateur à y voir plus clair,
tout en présentant ces nouveaux modes de consomma­
tion. Organisé depuis quatre ans par la société
Equip’evenement, ce rendez­vous séduit chaque année
de plus en plus de Jurassiens, et ils étaient plus de 5 000 à
franchir les portes du salon en 2012. Rencontre,
échanges, jeux… les solutions proposées touchent divers
domaines de la vie quotidienne. Chaque année, de nou­
veaux exposants sont invités, garantissant une véritable
pluralité d’alternatives. Quelque 80 exposants seront réu­
nis autour des thèmes suivants : alimentation biologique,
eco­habitat et jardinage (rénover, isoler, nouvelles
normes environnementales, jardinage écologique…),
santé et bien­être (techniques et produits naturels,
année avec de nouvelles anima­
cosmétique bio, médecines douces…) environnement tions pour sensibilise
r les plus
et association, et artisans. Des conférences viendront jeunes au réemploi et dével
opper
compléter ces informations (voir programme ci­contre). leur créativité.
Fabien Moine, spécialiste de l’alimentation végétale et vivante
Héliobil propose un atelier
de construction d’insectes solaires
La grande nouveauté cette année est la mise en place pour sensibiliser les enfants
d’ateliers culinaires. Proposés par Fabien Moine, naturo­ à l'énergie solaire avec une
pathe et magnétiseur, ils auront pour objectif de approche ludique et pédagogique.
proposer une alimentation 100 % biologique, végétale
et sans gluten, adaptée à chacun quel que soit son
régime alimentaire, ses allergies, ses intolérances…
Egalement cuisinier et conférencier dans toute la
Franche­Comté, Fabien Moine s’est lancé dans l’étude
de la diététique par passion pour l’Alimentation. Décou­
vrant vite les interactions avec le magnétisme, il se forme
en naturopathie et apprend la cuisine ayurvédique en
Inde, qu’il adaptera en France dans ses ateliers de
cuisine. Spécialisé dans l’alimentation végétale et
vivante, il n’en fait pas un dogme, mais une base d’infor­
mations pour ouvrir chaque individu à prendre en
charge son bien­être.
La Commanderie, 2 rue d'Azans, DOLE - De 10 h à 19 h
Liste des exposants et plus d’infos sur www.salonecodeclic.com
Contacts : Claire LAVRUT / Lucie RECORDON 03 84 81 92 18
ENTRÉE GRATUITE
Programme des conférences et ateliers
Samedi 2 mars
Dimanche 3 mars
Les graines germées et leurs
bienfaits, Fabien Moine
12 h - Atelier : Apprendre à préparer vos
graines germées de A à Z, Fabien Moine
13 h : Démonstration de coussins chauf­
fants fabriqué avec des céréales biolo­
giques, Renée Vonau
14 h : Les atouts d'une alimentation
végétale et vivante, Fabien Moine
15 h : Mode d’emploi d’un habitat
économe en énergie, L’Ajena
15 h 30 - Atelier : Réaliser un pâté végétal
100% cru, Fabien Moine
16 h : Votre santé et votre bien­être
dépendent­ils de votre alimentation ?
Christian Walther
17 h : Comment se maintenir en bonne
santé, retrouver le bien être, mincir et
le rester grâce à nos produits alimentaires
inégalés sur le marché, Laurent Boussard
11 h :
11 h :
Cures, diètes & détox : bienfaits et
dangers de pratiques naturelles à maîtri­
ser, Fabien Moine
12 h - Atelier : Réaliser un tartare d'algues
frais, Fabien Moine
13 h : L’acidose ou comment votre alimen­
tation peut remédier à l’acidification
de l’organisme, Christian Walther
14 h : L'approche naturopathique :
Alimentation Mon & hygiène au
quotidien, Fabien Moine
15 h : Comment la géobiologie solaire
installe la paix sur votre lieu privé et pro­
fessionnel ? Frederic Millot
15 h 30 - Atelier : Préparer des cookies
100% végétal et sans gluten, Fabien Moine
16 h : Quel chauffage pour votre logement ?
L’Ajena
17 h : Comment se maintenir en bonne
santé, retrouver le bien être, mincir et le
rester grâce à nos produits alimentaires
inégalés sur le marché, Laurent Boussard
Inscriptions Ateliers : M.Moine au 06 73 94 57 16 ou [email protected]
MENUS BIO
Samedi
7
Au choix 14 €
Terrine de Volaille et Potiron aux Trompettes
Salade de saison ou Tarte comtoise aux Trois Fromages
Salade de Saison
­­­­­­­­­­­­
Sauté de Porc à la Vigneronne, Pâtes Complètes
ou Potée de Haricots Cocos au Tofumé, et Légumes d’Hiver
Duo de Fromages Comtois
ou Ganache chocolat Noir et Orange
ou Tarte pomme à la Canelle
Dimanche
Au choix 14 €
Galette de Quinoa Mixte aux Epices Colombo
Salade de Saison
ou Clafoutis de Truite du Jura et Vin Jaune
Salade de Saison
­­­­­­­­­­­­
Volaille Farcie, Coulis de Fines Herbes
Rizotto Crémeux au Safran de Goux
ou Lasagne Végétarienne
~
Duo de Fromages Comtois
ou Carpaccio Kiwi Amandes
ou Moelleux aux Agrumes et Caramel
Et pour les petites soifs, un bar bio sera à disposition des visiteurs : bières bio de La Ferté, café et thé…
8
/ Pays Dolois n°146 - Février 2013
D E S V I L L A G E S E N PAY S D O L O I S - N ° 9 2
PERSONNALITÉS LIÉES À LA COMMUNE • RICHARDOT DE CHOISEY (1717 – 1786) : Né à Dole, il fut président
honoraire de la chambre des comptes. Le château de la Barre était sa résidence. • ENFANTS DU PAYS MORTS POUR LA
FRANCE : 7 en 1914/1918 et 1 en Indochine
A La Barre,
il n’y a que des vivants !
Avec un nom pareil, il faudrait s’arrêter à La Barre où, d’après une légende, il est dit qu’une épidémie de peste aurait
été “barrée”. Une étymologie douteuse, même si la notion de barrière ne doit pas être écartée. Même le train s’y est
arrêté jusqu’en 2005 ! Aujourd’hui, les La Barrois regardent passer…, comme tout le monde. Le “Pays Dolois” s’y est
néanmoins arrêté…
Au temps des Reculot,
Matherot et autres
Richardot
La Barre n’a jamais été un village
très peuplé, même si son terri­
toire était traversé par la voie
romaine reliant Dole à Besançon
devenue RN 73. Sa population
fluctue entre 140 et 240 habi­
tants depuis la Révolution. Sous
l’ancien Régime, il appartenait à
la prévôté de Rochefort, mais
dépendait de la seigneurie de
Rans. Au Moyen Age, Tristan de
Chalon donna la terre de La
Barre à Hugues de Salins, alors
sire de Rans, en échange de cer­
taines tâches à effectuer,
notamment à son château de
Rochefort. D’autres familles
devinrent propriétaires au cours
des siècles, soit par héritage,
soit par acquisition. En 1584, le
village vit l’arrivée de Pierre de
Reculot. En 1604, son fils Claude
de Reculot vendit sa part à
Humbert Matherot, avocat
général. La révolution venue,
Richardot de Choisey sera le
dernier seigneur du village.
Autrefois, ces seigneurs habi­
taient une maison forte qui était
située près de la chapelle cas­
trale, au sommet de la colline.
Au cours du temps, elle fut rem­
placée par une belle demeure
ressemblant à un château,
laquelle fut d’ailleurs la rési­
dence de Richardot de Choisey.
En 1870, ce château fut réquisi­
tionné par les envahisseurs
prussiens qui en firent leur quar­
tier général. En 1940, leurs des­
cendants allemands s’y installè­
rent également, démontrant
ainsi que l’histoire était un éter­
nel recommencement. Le pro­
blème est qu’ils s’incrustèrent
durant quatre années ! La Barre
a la chance d’avoir, parmi ses
administrés, une historienne
locale avec Michelle Siclet. Pour
elle, l’histoire de ce village n’a
plus de secret, même si elle sou­
haite éclaircir encore quelques
périodes antiques. Alors, elle
cherche…, pour son plaisir.
Un village sans église,
ni cimetière
Dans la plupart des villages, le
clocher est un point de repère
bien utile, marquant souvent le
Centre de l’agglomération. La
Barre n’ayant pas d’église n’a
donc pas de clocher non plus !
Déjà aux temps les plus reculés,
il fallait se rendre à Orchamps
pour assister à la messe, soit
une distance de deux kilo­
mètres. Déplorant cette aber­
rance, le seigneur fit construire
une chapelle proche de son châ­
teau en 1625. A la Révolution,
elle fut complètement abandon­
née, jusqu’au moment où il fut
décidé de reconstruire une
église en lieu et place. Des tra­
vaux furent alors engagés en
1837 avant d’être arrêtés, vrai­
semblablement par manque de
finances, ou peut­être tout sim­
plement par changement de
municipalité. Les La Barrois
continuèrent donc à se déplacer
à Orchamps pour prier. Aujour­
d’hui, les moyens de locomotion
ayant évolué, ce déplacement
ne semble plus être une
contrainte. Néanmoins, avec
Saint Etienne, le village possède
son saint patron.
Le cimetière se trouvant tou­
jours autour de l’église autre­
fois, il n’y en a donc pas à La
Barre. Même avec l’évolution
des mœurs et les déplacements
des cimetières à l’extérieur des
villes et villages, les municipali­
tés successives n’ont jamais res­
senti le besoin de créer ce genre
d’infrastructure. Il n’y a donc
que des êtres vivants à la Barre.
Ceux qui s’endorment pour
l’éternité reposent à Orchamps.
Daniel Bourgeois, le dernier
instituteur devenu
animateur et organisateur
Lorsque l’école devint néces­
saire, notamment pour les gar­
çons, la commune n’avait déjà
pas d’argent pour continuer
l’église. Elle ne risquait donc pas
de construire une école ! Et
pourtant, nombreux sont les vil­
lages qui ont commencé par
louer une maison avant de
construire… Il se trouve qu’en
1833, le conseil municipal
trouva que la commune était
trop petite pour avoir une école.
Elle avait quand même 220
habitants ! Les garçons allèrent
donc à Orchamps, à pied et en
sabot, où l’instituteur fournissait
le local en échange d’un loyer
dont un quart était payé par La
Barre. En 1842, à leur tour, les
filles du village furent envoyées
chez les religieuses à Orchamps.
En 1850, le conseil municipal
décida la gratuité de l’enseigne­
ment, soit 31 ans avant la loi de
1881. Le changement des per­
sonnes au sein d’un conseil
municipal est parfois un bienfait
puisqu’en 1862, trouvant que
les conditions de scolarisation
des enfants n’étaient pas satis­
faisantes, les élus décidèrent la
construction d’une école au vil­
lage. En 1864 ouvrait ainsi
l’école de garçons avec M. Blon­
deau et, en 1869, c’était au tour
des filles d’être accueillies par
une religieuse. L’école devint
mixte en 1870 et continua à
accueillir les enfants du village
jusqu’en 2008. "Il n’y avait plus
que treize élèves" souligne
Daniel Bourgeois qui enseignait
à La Barre depuis 1975. En plus
il faut dire qu’il avait atteint
l’âge de la retraite. Afin que
COLIN
Ci-dessus. Le vieux chêne de la Liberté
Ci-contre. Daniel Bourgeois devant son ancienne école
l’ACCA respectivement présidés
par Christian Fumez et Chris­
tophe Paillard sont les seules
associations du village.
cette école ne soit pas ignorée
des générations futures, Jean­
Pierre Ramel, fondeur à Ser­
mange réalisa une œuvre d’art
sympathique, reproduisant dans
le métal une main de chaque
élève et de l’instituteur. Fixées
sur le mur arrière du bâtiment
transformé en appartements,
ces pièces moulées témoignent
de l’existence de cette école de
1864 à 2008. "C’est surtout pour
les générations futures" sou­
ligne Daniel Bourgeois qui aura
eu l’honneur d’avoir été le 9ème
instituteur au village, mais aussi
le dernier et surtout, le dernier à
avoir eu une classe unique dans
tout le Pays dolois. Cependant, il
ne demeura pas inactif. En effet,
secrétaire du Foyer Rural depuis
1979, il s’investit beaucoup dans
l’organisation de manifestations,
notamment la diffusion de spec­
tacles (chansons, théâtre,
musique, spectacles de rues,
cirques…). Le Foyer Rural et
André Siclet, l’homme
qui fait danser
Si la musique adoucit vraiment
les mœurs, on peut dire que
l’accordéon d’André Siclet a déjà
fait beaucoup de bien ! Qui ne
connaît pas ce coiffeur retraité
qui n’arrête pas ? Même l’adjec­
tif " dynamique" est inapproprié
! On le voit partout ! Si chaque
jour, il sillonne les rues de La
barre et des villages voisins à la
recherche de scoops et d’événe­
ments à relater dans les jour­
naux dont il est correspondant,
le week­end, il part avec son
accordéon en bandoulière, ani­
mer des matinées ou soirées, çà
et là, afin d’inciter les anciens à
se dégourdir les jambes et sur­
tout de leur permettre d’écou­
ter des mélodies de leur jeu­
nesse. Il n’y a pas une
grand­mère qui ne connaisse
pas André. "Ah oui, l’accordéo­
niste… Qu’est­ce qu’il joue bien
!" Et voilà comment on devient
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une vedette du music­hall…,
enfin presque ! Un "sacré" bon­
homme cet André Siclet !
Dominique Sire : la peinture
comme passion
Retraité d’une activité commer­
ciale, Dominique Sire est origi­
naire du Doubs. Il s’est installé à
La Barre en 1990. En 2006, alors
qu’il était immobilisé avec un
pied dans le plâtre, il essaya de
s’occuper en s’adonnant à la
peinture. Pas facile pour quel­
qu’un qui n’a jamais titillé le pin­
André Siclet et
son accordéon
Pays Dolois n°146 - Février 2013 /
Vous voulez communiquer
dans Pays Dolois ?
Philippe Gimbert : “un père au foyer… et à la mairie”
ments dans l’ancienne école et
installé une chaufferie à granulés de bois qui chauffe l’ensemble, avec la mairie et le
foyer rural” précise le maire
qui informe de quelques projets : “La commune a acheté
un terrain de deux hectares
face au château et l’idée est de
créer un verger et un potager
pédagogiques avec installation de quelques ruches”. Il
faut dire que La Barre est le
village où des arbres remarquables continuent leur vie.
C’est le cas du chêne de la
Liberté dominant la place du
même nom qui remonte à la
Révolution. Et ce tilleul taillé
en forme de parapluie le long
de la RD 673 au lieu-dit “Moulin des malades” ? Il a même
été classé parmi les arbres
remarquables de FrancheComté. Dès cette année 2013,
la traversée du village sera
Installé à La Barre en 1988,
Philippe Gimbert fut élu au
conseil municipal dès l’année
suivante et, en 2001, il s’installait dans le fauteuil de
maire. Père au foyer, son
épouse étant infirmière libérale, il consacre ainsi une
grande partie de son temps
aux affaires communales. Il
faut dire que la nouvelle mairie construite en 2002 est particulièrement accueillante,
comme aussi la salle du foyer
rural qui la prolonge, laquelle
a la particularité d’avoir été
construite par une maind’œuvre bénévole. Félicitations à ces bâtisseurs. Ce
quartier est d’ailleurs devenu
le centre du village, d’autant
qu’une jolie place a été créée.
Le monument aux Morts a
même été déplacé sur cette
place accueillante. “Nous
avons créé deux apparte-
est spécialisée dans le recyclage de palettes. Jean-Marie
Guyon emploie 6 à 12 personnes selon la masse de travail. DMG (Découpage mécanique générale) dirigée par
Philippe Bolle et UCN (Usinage à commande numérique) emploient 5 personnes.
Récemment, une nouvelle
entreprise a succédé à DMG
et UCN. Il s’agit d’un atelier de
mécanique de précision dirigé
par Christophe Roy. Cédric
Boura dirige une entreprise de
conception et automatismes.
Ainsi, La Barre qui fut un carrefour ferroviaire, avec le croisement des lignes Dole-Besançon et Ougney-Fraisans a
réussi à conserver quelques
activités industrielles.
Deux agriculteurs demeurent
au village où le remembrement a été réalisé en 1961. Sylvain Lhomme fait de l’élevage
moins de six spectacles sont
proposés. Membre de la com­
munauté de communes du Jura­
Nord, La Barre apprécie cette
appartenance. "Cela permet de
bénéficier d’équipements que
nous n’avons pas dans notre
commune" souligne Philippe
Gimbert qui en est d’ailleurs le
vice­président chargé de l’éco­
nomie. Il pense notamment à la
crèche de Fraisans, la média­
thèque à Gendrey ou encore
l’école de musique et de danse à
Orchamps. Un petit clin d’œil à
Marcel Bourgeois et son épouse
Eliane qui, respectivement âgés
de 96 ans et 91 ans, sont les
doyens de ce sympathique vil­
lage dont le Pays Dolois est heu­
reux de mettre à l’honneur.
JT
La Barre (39700)
Altitude : De 209 m à 262 m
Superficie : 331 ha dont 138 ha
de bois
Population : 240 habitants (les La
Barrois)
Canton de Dampierre
Communauté de communes :
Jura-Nord
Conseil municipal
Philippe Gimbert : maire
Christian Fumez : 1er adjoint
Christiane Bonfils
Contactez notre régie commerciale :
06 13 04 60 19
et de la polyculture. Pascal et
Nadine Jaupoix font la même
chose, mais leur production
de viande est vendue directement aux consommateurs.
Daniel Bourgeois
Michel Bricler
Yves Clerc
Daniel Lhomme
Emmanuelle Mathey
Bernard Moureaux
Michel Vertel
Sébastien Millet (décédé)
Les derniers maires
1941 – 1945 : Augustin Brunet
1945 – 1945 : René Poussière /
Léon Brenier
1945 – 1959 : Claude Bidault
1959 – 1989 : Guillaume Ménégon
1989 – 1995 : Daniel Bourgeois
1995 – 2001 : Louis Fumez
2001 – : Philippe Gimbert
A l’école en 1976. 1er rang: Fabien Boissenot - Nathalie Moureaux - Sylvain Boissenot - Sandrine
Bullet - Sandrine Bricler. 2e rang : Daniel Bourgeois (instituteur) - Véronique Cornu - Manou Fumez René Cornu - Jean Profetta - Françoise Cornu. 3e rang : Francis Clerc - Hervé Bricler - Denis Clerc Corine Rayot - Isabelle Cornu.
Dominique Sire
dans son atelier
ceau ! Et pourtant, ses proches
découvrirent rapidement qu’il
avait un talent caché et c’est
ainsi que Dominique est devenu
un véritable artiste­peintre. De
la toile à l’aquarelle et au fusain,
il reproduit des paysages certes,
mais aussi des animaux, des
fleurs et autres sujets. "Je fais un
peu de cubisme aussi" précise­t­
il. Artiste passionné, il participe
à de nombreuses expositions où
il aime rencontrer les gens et
discuter devant ses toiles. Tra­
vaillant aussi sur commande, il
est disponible pour exposer ses
œuvres partout où on le
demande. Que les organisateurs
d’expos n’hésitent pas à le
contacter à son domicile au
sécurisée. Parmi les autres
projets en attente dans les
cartons, la restauration de
l’ancien lavoir et abreuvoir qui
a ses particularités, la
construction d’une rhizosphère pour l’assainissement
et la création d’un éco-quartier… “dans quelques années,
au moins quatre à cinq ans”
précise Philippe Gimbert qui
avoue être sensibilisé par tout
ce qui concerne l’écologie.
Il n’y a plus de commerces au
village, mais plusieurs petites
usines fournissent des
emplois, ce qui est une particularité pour un petit village.
L’entreprise Tente-Polymères
dirigée par Patrick Dayet
emploie quelque 50 personnes. Elle conçoit et
fabrique des roulettes en
matériaux synthétiques. L’entreprise Récupal qui occupe
les locaux de l’ancienne gare
Dans cette région du Nord­Jura,
La Barre est vraiment considé­
rée comme une commune
dynamique. Ce village possède
une âme car les habitants
aiment se retrouver lors des
manifestations festives. Les
fêtes et spectacles organisés par
le Foyer Rural les attirent,
comme aussi beaucoup de
monde des alentours. Plus de
mille personnes en 2012 et le
programme de 2013 qui est déjà
établi pourrait bien battre ce
record. Chaque année, pas
Taille des arbres
et arbustes, nettoyage
du jardin, déneigement
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/ Pays Dolois n°146 - Février 2013
Les Petites plumes
C’est parti : casques et micros !
Cet automne, les élèves du cycle 3 d’Etrepigney ont vécu leur première expérience radiophonique sur
les ondes de Radio Campus Besançon 102.4 fm. Ils ont fait une émission en direct pour présenter leur
école et son environnement.
Le trac était là ce vendredi 23 novembre 2012 en arrivant
devant les locaux de Radio Campus, la radio étudiante de
Besançon ! Le directeur, ainsi qu’un journaliste et une anima­
trice, nous ont chaleureusement accueillis avec un petit goûter
et des boissons pour nous mettre à l’aise. Nous voilà partis pour
faire découvrir notre école aux auditeurs.
Pas facile la préparation…
La maîtresse nous a proposé de faire cette émission de
radio pour relier deux projets : cette année nous travaillons
sur les médias ainsi que sur la forêt de Chaux qui nous
entoure.
Nous avons d’abord fait un travail de recherche par
groupes sur nos villages (Etrepigney et Plumont) et sur la
forêt dans laquelle nous allons régulièrement. Ensuite, nous
avons organisé ces informations en questions et réponses
pour en faire une interview. Puis, on s’est réparti en anima­
teurs, journalistes et invités pour s’entraîner à articuler et à
parler correctement avec de faux micros !
Découverte de la radio
Le jour J, nous avons visité les différentes salles : les
bureaux ; le studio, où se trouvent les casques et les
micros ; la régie, dans laquelle se trouvent l’ordinateur, la
table de contrôle des micros et de la musique, des platines ;
et la discothèque, où sont rangés tous les cd et vinyles.
L’équipe nous a expliqué qu’ils pouvaient déplacer le maté­
riel pour enregistrer des émissions à l’extérieur. Pendant
une émission, les journalistes et les invités sont dans le stu­
dio et il doit y avoir un animateur en régie pour couper les
micros et lancer la musique quand il faut.
En direct !
Le stress montait mais nous étions tous impatients de pas­
ser à l’antenne. Chacun des deux groupes s’est entraîné
avec le journaliste, puis l’heure est arrivée, en régie ils nous
ont fait signe que c’était à nous ! Finalement, nous étions
plutôt à l’aise devant le micro et nous faisions signe au
groupe en régie qui prenait le relais pour les pauses musi­
cales. C’est nous qui avions apporté nos cd ! Nous sommes
repartis fiers et ravis avec chacun un t­shirt et un badge :
encore merci à l’équipe du 102.4 fm pour cette expérience
unique ! C’était vraiment super et on espère avoir fait
découvrir notre environnement à beaucoup d’auditeurs !
Les CE2­CM1 et CM2 d’Etrepigney
LES TRAINS S’EXPOSENT EN
MINIATURE À SAINT-AUBIN
“La chair des objets”,
nouveau livre de Colette Foisy
Organisée par l’association Arts à venir, cette exposition
mettra à l’honneur les trains de tout horizon, du TGV au
train vapeur, les 2 et 3 mars prochains au gîte Les Poulots
à Saint-Aubin.
Objets utiles ou futiles, outils agricoles obsolètes conservés en pensant
qu’un jour ils pourraient servir encore : tous font actuellement le
bonheur des écomusées. Colette Foisy a souhaité les mettre en lumière
dans son dernier ouvrage “La chair des objets”. Ici un coupe-racines
rouillé, là un van en osier ; au fond de l’étable - où depuis belle lurette
aucun animal n’a mis les sabots - une sarcleuse et un entonnoir à
vendange. Dehors une râteleuse à foin avec ses longues dents
recourbées… Lecteurs, vous changerez de siècle… Dans de vieux
placards un tonnelet-gourde, des sabots, une balance et un peson, un
porte-graisse, un ensemble de
toilette, des cardes, un
dévidoir à laine, un fer à
repasser en fonte, etc. Toutes
ces choses possèdent une
histoire particulière et souvent
émouvante. Nostalgiques du
passé, ce livre vous
JT
ressemble.
Le rendez-vous est donné à tous les passionnés, mais
également aux profanes curieux de découvrir ce décor
réaliste minutieusement reproduit. Les trains circuleront sur
un circuit de plus de 6 m. Quelques vidéos retraceront la vie
du rail, et les amateurs pourront repartir avec des pièces et
des idées. La section modélisme de L’UAICF (union artistique
et intellectuelle des cheminots français), créatrice de la
maquette, fêtera ses 50 ans en 2013. Leur seul but est le
modélisme ferroviaire concrétisé par la réalisation d’une
maquette de type HO, réseau d’inspiration libre, joliment
décoré, sur lequel peuvent circuler dans les deux sens tout
type de train, de la vapeur, au TGV sans oublier le matériel
plus rare.
E TAT C I V I L
NAISSANCES
Malo de Julien BORDY et de Vanessa FALCOZ,
Amange
Augustin de Jonathan COQUELIN et de Justine
BOUCHET­MARQUIS, Authume
Yzao de Pedro QUINTELA et Charlène PERROT,
Auxonne
Zoé de Jérémy MAIGROT et de Audrey LOICHET,
Belmont
Lyséa de Cédric SANTINA et de Céline
BESANÇON, Brevans
Héléna de Wilfried GUILLEMENET et de Séverine
JOUDET, Chamblay
Ashley de Jean­Lou PELLETIER et de Anita
DUMETZ, Champagney
Paul de David PASTEUR et de Angéline
CANTAUX, Chatenois
Maëlane de Julien VAISSON et de Andrée
DOPPLER, Dammartin­Marpain
Antonin de Sébastien BENEY et de Cécile BRUN,
Dammartin­Marpain
Martin de Sébastien BENEY et de Cécile BRUN,
Dammartin­Marpain
Clara de Rudy HENAULT et de Vanessa GILLOT,
Dammartin­Marpain
Anaé de Christophe COLLET et de Camille
LOISEL, Damparis
Héléna de Jonathan JACOB et de Delphine
PETITJEAN, Damparis
Lou de Ludovic BILLEY et de Sandy BROTTES, Dole
Alirida de Ahmed FILALI et de Rachida
ERRAHHAB, Dole
Chloé de Xavier BÔLE et de Béatrice VANACKER,
Dole
Flavie de Cyril DORNIER et de Amélie VERNOUX,
Dole
Zinedine de Fared ZALIMI et de Imane
LAKHOUIDSI, Dole
Mathys de Cyrille MARTINEK et de Ludivine
ROLLAND, Dole
Kayna de Stève GRAVE et de Amandine
REVEILLON, Dole
Nour de Abdelali TIHAOUI et de Saïda OUARIBA,
Dole
Mathéo de Mickaêl BOUCHARD et de Aurélie
MAITRE, Dole
Naïm de Athmane MERGHAD et de Sonia
MERGHAD, Dole
Eléna de Stéphane ROUGES et de Marie­Jésus
LEON­MARTINEZ, Écleux
Luca de Vincent ANNICHINI et de Aurélie
EPLENIER, Écleux
Louis de Maxence KIEFFER et de Aurélie ROUX,
Foucherans
Eden de Jonathan MERMOZ et de Maya HADJI,
Foucherans
Kenzo de Gaylord BOLZONELLA et de Jennifer
KHALED, Gevry
Ludivine de Stéphane RAMBOZ et de Corinne
GEORGEON, La ferté
Senior - La Commanderie - 6 mars
Un Paris… pour deux…
La Ville de Dole invite depuis 2009 les seniors à un spectacle suivi d’un
goûter. Cette année, le cabaret “Un Paris… pour deux…” se tiendra le
6 mars à 15 heures, à La Commanderie. Pour les personnes ne pouvant
se déplacer seules, la Ville de Dole met en place un système original de
covoiturage. Les personnes qui ne disposent pas de véhicule peuvent ainsi
se faire emmener… par des personnes volontaires qui souhaitent emmener !
C’est simple… dans les deux cas, il suffit d’appeler le CCAS de Dole
au 03 84 72 96 96 qui se chargera de mettre les personnes en relation.
Sous certaines conditions, la personne “emmenante” pourra rester
assister au spectacle.
Mélyna de Cédric CHAPPE et de Sabrina PILLOT,
La Loye
Léonie de Olivier RAMBOZ et de Rachel DONZÉ,
Le Deschaux
Tina de Jean­Marie MERLO et de Sabrina
GERRIET, Le Deschaux
Lucie de Damien GRAPIN­COUCHOT et de Fanny
CLABAULT, Les Maillys
Ilana de Sébastien MILLIÈRE et de Karen
CHAILLOT, Molay
Jules de Damien JOLY et de Karine TOUPANCE,
Molay
Théo de François MULLER et de Sonia PRIN,
Mont sous Vaudrey
Elise de Alain BONNIN et de Laetitia JACOT,
Neublans­Abergement
Nolan de Cédric PANIGEON et de Déborah
CATY, Orchamps
Inès de Dylan DE CAMPOS et de Laurie PINGON,
Orchamps
Matyas de Stéphane PAYOT et de Céline ADAM,
Parcey
Tristan de Philippe LEHOUCK et de Audrey
VUILLEMIN, Parcey
Angélina de Gaëtan BONTEMPS et de Sonia
PARATORE, Pleure
Sorel de Alexandre DONNET et de Céline HUOT,
Rainans
Sarah de Cédric PUGLIESE et de Elodie
BARTHOULOT, Saint­Aubin
Dimitri Bougenot.
Marguerite LE GUICHER veuve CROUZET, Dole,
Emma de Thierry CATALANO et de Claire
105 ans
POINTELIN, Saint­Aubin
Léo de Denis DRÉANO et de Emilie BERNIGAUD, Jean­Luc PEQUILLAT, Dole , 61 ans
Abdellah BAKIR, Dole , 82 ans
Saint­Loup
Denise BOULEAU épouse REVERCHON, Dole , 85 ans
Rose de Guillaume POUPEAU et de Gaëlle
Denise DELAVENNE épouse LAGORSE, Dole, 64 ans
ROYER, Sampans
Simonne BAILLY veuve JEANDOT, Dole, 99 ans
Yllan de Jérémy VIARD et de Elodie SIMONIN,
Georges PERROT, Dole, 87 ans
Sermange
Timéo de Alexy NEGRO et de Charlotte LORMET, Alexis JACQUIER, Dole, 83 ans
Léon MAURIN, Dole, 77 ans
Serre les Moulières
Jean CREUZE, Dole , 85 ans
Enguerrand de Thibault CHRETIEN et de Carole
Simone THOMAS veuve BARBE, Écleux, 90 ans
ARISTORENA CAREAGA, Tavaux
Marie JAILLET, Falletans, 93 ans
Louane de Ludovic GINET et de Jessica
Gaston GROS, Falletans, 89 ans
MORENO­LOPEZ, Tavaux
Fernand HENRY, Gredisans , 74 ans
Lola de Jean­Baptiste AUBRY et de Laura
Paul DEPIERRE, la Ferté, 70 ans
SOARES, Tavaux
Charlotte THOUVENIN épouse CHEVANNE, La
DÉCÈS
Loye, 84 ans
Micheline ALIX veuve AUGÉ, Abergement la
Daniel LENET, Les Essards­Taignevaux, 65 ans
Ronce, 79 ans
Jacqueline BRETAIRE veuve MULNET, Molay , 73 ans
Jean VÉRON, Annoire, 69 ans
René CATELIN, Monnières, 90 ans
Micheline POMMIER épouse BAILLY, Asnans­
Marguerite LARIOS veuve BOURDONNAY, Mont
Beauvoisin, 84 ans
sous Vaudrey, 90 ans
Jean ROSE, Belmont, 73 ans
Henri OUDOT, Mont sous Vaudrey, 65 ans
André BELIN, Dole , 77 ans
Suzanne BESANÇON veuve BAILLY, Mouchard, 83 ans
Mohammed TAHRI, Dole, 60 ans
Marcel MARTIN, Parcey , 80 ans
Andrée MOUREY veuve JACQUEMARD, Dole, 77 ans RIGAUD André, Perrigny, 74 ans
Paulette PIERRE veuve MULOT, Dole, 96 ans
Robert MILLET, Saint­Aubin, 76 ans
Pierre JOFFROY, Dole, 89 ans
Camille CRETIN veuve LAMM, Tavaux, 91 ans
Jeannine LAGNIEN veuve CHARVAIS, Dole, 84 ans
Henri THEURET, Tavaux, 90 ans
Monique MARTIN épouse DECOSNE, Tavaux , 75 ans
Bernard CHARCUSET, Dole , 74 ans
“La chair des objets” de
Colette Foisy, éditions du
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Il est encore temps de penser à l'entretien
de vos arbres, élagage, abattage,
taille des fruitiers ainsi qu'à vos plantations…
C'est aussi le moment de prévoir :
la taille de vos haies, la création de votre pelouse,
la création d’un bassin ou d'une baignade naturelle,
la récupération des eaux de pluie, la création de terrasse
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Pays Dolois n°146 - Février 2013 /
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Pages “Spécial Habitat” 2/3
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Revêtement de sol (hors carrelage)
Préparation des maisons neuves (ponçage des bandes de placoplatre, etc.)
Lavage à haute pression de façades, terrasses, murettes (avec ou sans traitement)
Petits travaux divers : entretien de jardin, plantations, tonte…
SOMMAIRE
(Février)
EN TROIS PARTIES
Habiter, louer, économiser
JANVIER
Acquisition du terrain.
La conjoncture vue par les notaires.
Le point de vue des banquiers et des courtiers
n Les agences immobilières et la crise. Tendance : home
staging, investissement malin ou fausse bonne idée ?
n
n
E MOIS-CI
C’est un rêve qui s’obtient au terme d’un long parcours, quelquefois semé d’embûches. Parce qu’il C
Page 13. Rénover son logement
s’agit généralement du bien le plus cher que l’on acquiert de toute sa vie, les interrogations et les Page 14. Maîtriser sa consommation d’eau et d’énergie
précautions des acheteurs se révèlent nombreuses. “Pays Dolois” dresse, au cours de ses parutions Page 17. Le projet d’architecte. Aménager votre extérieur.
MARS
de janvier, février et mars, un panorama de la sphère immobilière dans le Jura.
n
Rénover son logement
avec Jura Habitat
Jura habitat - Propriétaires bailleurs
n
n
Nouvelles mesures et nouveaux dispositifs. Le label BBC.
Les conseils de l’Adil
Les taux en vigueur. Les tendances déco.
Réhabiliter pour mieux louer son bien
Les propriétaires bailleurs ont-ils droit à des aides financières ? A
quelles conditions ? Quel est l’impact de ces investissements sur les
impôts ? Quel niveau de loyer après les travaux ? Autant de questions qui se posent lorsque l’on souhaite louer son bien. Jura Habitat accompagne les propriétaires bailleurs désireux de réaliser des
travaux en vue de la location.
A gauche, Claude Pecclet, directeur de Jura Habitat et Bernard Cantenot,
chargé d’études
Depuis plus de 50 ans, Jura Habitat accompagne dans tout le département par­
ticuliers et collectivités dans leur projet habitat et cadre de vie. Ses missions sont
multiples : accompagner les Jurassiens dans leur parcours résidentiel, valoriser
l’identité des territoires, appuyer les collectivités dans leur développement,
contribuer à la qualité environnementale des projets et favoriser le développe­
ment économique et social. Chaque année, l’association participe à la rénova­
tion ou la réhabilitation de 650 logements et réalise 800 visites conseils sur les
lieux du projet. Pour les particuliers, Jura Habitat est le partenaire indispensable
pour réaliser son projet : maîtrise de l’énergie, adaptation des logements au
vieillissement, au handicap, amélioration de l’habitat et investissement locatif.
Nous vous proposons un tour d’horizon des aides apportées par l’organisme,
pour d’une part les propriétaires bailleurs, puis pour les propriétaires occupants.
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Investir pour louer, oui, mais à condi­
tion d’offrir un logement décent à ses
locataires. De nombreux logements
demeurent vacants dans le départe­
ment pour cause d’insalubrité, où sont
occupés mais en mauvais état. A Dole
comme dans les gros bourgs voisins,
beaucoup sont vieillissants. Ils ne sont
plus aux normes d’habitabilité :
absence d’équipement de confort,
passoire énergétique, problèmes de
sécurité et d’insalubrité… “Il faut
compter entre 800 et 1 000 € d’inves­
tissement au m2” explique Claude Pec­
clet, directeur de Jura Habitat. A la
demande des propriétaires, l’associa­
tion se rend sur place pour effectuer
une analyse des lieux et réalise une
grille de dégradation. “On définit
ensuite un programme de travaux, et
on établit la meilleure performance
énergétique”. Après estimation du
coût des travaux, Jura Habitat élabore
un plan de financement et calcule les
aides financières, le montant du prêt à
effectuer, le niveau de loyer. Tout cela
gratuitement. Les seules conditions
pour les propriétaires bailleurs sont de
s’engager à louer neuf ans leur bien à
des personnes ne dépassant pas un
certain seuil de ressources, et de faire
appel à des entreprises pour effectuer
les travaux. Entre les différentes sub­
ventions de l’ANAH (Agence Nationale
de l’Habitat) et du Grand Dole via son
OPAH (Opération programmée d’amé­
lioration de l’habitat), Jura Habitat pro­
cède à un calcul savant permettant de
définir précisément le montant des
aides. Celles­ci peuvent atteindre jus­
A Dole, de nombreux logements vacants sont à réhabiliter au centre-ville.
qu’à 30 % de la facture globale ! Sans
oublier les avantages fiscaux : la réno­
vation est une des dernières niches fis­
cales. Pour l’agglomération doloise,
l’objectif de Jura Habitat est de réhabi­
liter 80 logements locatifs dans les
trois ans, avec une enveloppe de
1,4 M€ d’aides.
14
/ Pays Dolois n°146 - Février 2013
Jura Habitat - Propriétaires occupants
“Habiter mieux”, pour les économies d’énergie
Pages “Spécial
Habitat”
Pour réaliser des travaux d’économie d’énergie dans son logement, Jura habitat peut vous faire bénéficier d’un nouveau programme initié en 2011,
“Habiter mieux”. Ces aides sont attribuées lorsque les travaux mis en œuvre permettent d’atteindre un gain d’énergie d’au moins 25 %.
Alors que les prix de l’énergie
sont en constante augmenta­
tion, de nombreux propriétaires
sont convaincus de l’utilité d’en­
gager des travaux d’économie
d’énergie. Décliné sur tout le ter­
ritoire, le programme “Habiter
mieux” aide les propriétaires
occupants à réduire leur facture
énergétique. Les demandeurs
doivent répondre à certaines
conditions d’éligibilité, notam­
ment de ressources, et les reve­
nus doivent être inférieurs à un
seuil fixé par l’Etat. Cependant,
Jura Habitat est dans l’attente
d’un probable élargissement des
plafonds de ressources, et il
serait donc utile de se renseigner
dans les mois à venir ! Après
avoir rencontré les propriétaires,
Jura Habitat s’occupe de tout !
Un spécialiste se rend sur place
et établit un bilan thermique.
“On étudie les sources d’énergie,
le niveau d’isolation, les sys­
tèmes de ventilation…” explique
Claude Pecclet, le directeur de
l’organisme. “On définit ensuite
un programme de travaux dans
le but d’obtenir un gain d’énergie
d’au moins 25 %”. Le dossier de
financement est monté de A à Z,
et le bon déroulement des tra­
vaux est également suivi par Jura
Habitat.
Plusieurs aides financières
cumulables
Depuis que le programme a été
lancé en 2011, 240 dossiers ont
été instruits dans le départe­
ment. Le montant moyen des
travaux oscille entre 10 000 et
12 000 €. Le programme per­
met de cumuler des subventions
de l’ANAH (Agence Nationale de
l’Habitat) et de l’Etat (dans le
cadre du grand emprunt). Une
aide complémentaire est accor­
dée par le Conseil général, ainsi
que par la Communauté d’ag­
glomérations selon sa politique
(OPAH : Opération programmée
d’amélioration de l’habitat).
Maîtriser sa consommation d’eau et d’énergie
Petits aménagements
pour grosses économies
Comment réduire ses factures d’eau et d’énergie sans investir dans de lourds travaux coûteux ? Grâce à quelques astuces, il est possible
de payer moins cher. L’heure est à la chasse au
gaspillage !
Réduire sa consommation d’eau et d’énergie de moitié,
sans travaux ? C’est possible grâce à quelques gestes
simples, accessibles au portefeuille de tous. Armé d’une
formation de technicien conseil en rénovation ther­
mique des bâtiments, le Jurassien Steeve Cretiaux est en
train de créer sa société afin de donner un coup de
pouce aux foyers prêts à revoir leur comportement. Son
idée est de proposer un mini­audit chez les particuliers
pour faire le point sur leur consommation. D’après lui, il
est possible de réduire ses factures de 20 à 50 % grâce
à de petits aménagements. “Je l’ai testé chez moi, ça
marche !”affirme­t­il. “Mais cela dépend aussi beaucoup
du comportement des gens”. En effet, si la maîtrise de
l’énergie est une démarche collective, elle dépend aussi
des efforts individuels. “Pour une meilleure efficacité, il
faut faire un suivi de sa consommation, un tableau de
bord” explique le jeune homme. Pour ce faire, il existe
un outil simple et gratuit à votre disposition : le site
www.ecolometre.com. Chaque mois, il vous suffit de
relever vos compteurs et de les transmettre au site par
mail. Grâce à des graphiques et des indicateurs, vous
Un exemple de rénovation réalisée à Perrigny : avant à gauche, après à droite.
Les conditions
Un exemple concret
- Etre éligible aux aides de l’Anah (13 000 ménages éligibles dans
le Jura, possible élargissement des plafonds à venir)
- Etre propriétaire occupant d’un logement de plus de 15 ans
- Améliorer la performance énergétique d’au moins 25 %
Pour un projet de travaux de 12 000 € HT :
- 2 400 € : aide aux travaux Anah
- 2 100 € : aide Habiter Mieux
- 500 € : complément Conseil général
- 500 € : aide agglomération
Soit 5 500 € d’aides à déduire.
pouvez évaluer de façon simple et didactique mensuelle­
ment vos progrès. “Cela permet de se rendre compte immé­
diatement d’un éventuel problème, comme une fuite d’eau
par exemple, qui ne se voit pas forcément”.
Quelques conseils
Il est donc important de surveiller sa chasse d’eau, qui, elle
aussi, peut fuir sans que cela soit perceptible. D’autre part,
un limitateur de pression sur les robinets et le pommeau de
douche distribue moins d’eau, avec le même confort (envi­
ron 40 €).
Pour ce qui est de l’électricité, une des règles d’or est
d’éteindre ses appareils en veille. Ils consomment de l’élec­
tricité, même si cela peut paraître faible à l’échelle d’in
foyer. Une télévision en veille durant 20 heures consomme
Quelle ampoule choisir ?
Les ampoules à filament se sont définitivement
éteintes le 31 décembre dernier suite à une interdiction progressive de l’Union Européenne. Comment s’y retrouver parmi les différentes
ampoules basse consommation proposées sur le
marché ?
La lampe à incandescence traditionnelle, appelée aussi
lampe à filament, ne grésillera plus dans vos salons. Inventée
en 1879 par Joseph Swan et améliorée par les travaux de
Thomas Edison, cette ampoule avait le défaut de ne
transformer que 5 % de l’énergie en éclairage, perdant le
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plus d’énergie qu’en marche pendant 4 heures ! Pour
l’éclairage, depuis l’interdiction de la bonne vieille ampoule
à filament énergivore, la technologie LED semble la plus
prometteuse (voir ci­dessous).
Question chauffage, c’est le bon sens qui s’impose : ne
négligez pas l’entretien annuel de la chaudière. Une chau­
dière encrassée peut entraîner une surconsommation de
20 % ! Pensez également à équiper vos radiateurs de
vannes thermostatiques (entre 12 et 40 €) : celles­ci per­
mettent de contrôler la température souhaitée dans une
pièce. Enfin, un thermostat d’ambiance (environ 100 €)
permet de réguler les températures, sans altérer le confort.
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reste en chaleur. Fluo-compactes, halogènes ou LEDS, les
ampoules de nouvelle génération sont moins énergivores.
Comment s’y retrouver ?
Les fluo-compactes conviennent davantage aux pièces
allumées longtemps. Elles sont peu gourmandes, mais quatre
fois plus chères que les ampoules à incandescence.
Inconvénients : elles contiennent du mercure et émettent des
champs électromagnétiques.
Les ampoules halogènes basse tension sont moins chères
que les fluos-compactes ou les LEDS, mais consomment plus,
et ont une durée de vie plus courte que ces dernières.
Enfin, les LEDS ont la meilleure durée de vie et la meilleure
performance énergétique. Elle reste cependant assez onéreuse,
et il en faut plusieurs pour illuminer une grande pièce.
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réalisation de VRD. Service de qualité et disponibilité sont les maîtres mots de l’entreprise.
Afin d’éviter la bousculade printanière, il est possible de demander dès aujourd’hui un devis.
Parce que les travaux de terrassement sont une
étape cruciale dans l’élaboration de votre projet, l’en­
treprise Galliache, forte de nombreuses années d’ex­
périence, sait répondre à toutes les exigences des
particuliers comme des professionnels, en apportant
tous les conseils techniques relatifs au projet. Que ce
Cour en enrobé
soit pour un projet de maison ou d’autres installa­
tions, de nombreux interlocuteurs ont déjà fait
confiance au savoir­faire de Laurent Galliache. Equi­
pée de matériel de chantier adapté à tous vos
besoins, l’entreprise est également spécialisée dans la
création ou la rénovation de carrière équestre pour
les clubs ou particuliers désireux de faire un espace
de travail pour leurs équidés chez eux. Quel que soit
votre projet, Laurent Galliache assure un accompa­
gnement global de vos travaux de terrassement, de
la première fondation à l’aménagement de votre
cour, en passant par les travaux de raccordement
réseaux (électricité, téléphone…). Il est en mesure de
vous proposer la création d’une cour en enrobé
rouge ou noir, ou d’une terrasse en désactivé ou en
dalle. Pour l’aménagement extérieur, il prend en
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lisation de travaux relatifs à l’assainissement non collectif
(fosse septique). Elle saura mettre en conformité votre dis­
positif d’assainissement afin qu’il réponde aux nouvelles
normes.
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Soucieux de proposer un service de précision, Laurent
Galliache se déplace systématiquement sur le chantier
avant d’élaborer un devis. L’entreprise met un point
d’honneur à fournir à ses clients un devis net et précis.
L’assurance qu’aucune mauvaise surprise n’apparaîtra
sur la facture finale. Chaque devis est expliqué dans les
détails au client, afin que ce dernier reparte avec
toutes les explications nécessaires à une bonne
compréhension de ses travaux et du coût final.
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Pages “Spécial Habitat”
CAUE (Conseil d’architecture,
d’urbanisme et de l’environnement du Jura)
“Le contemporain n’est
pas forcément plus coûteux”
Faire appel à un architecte pour construire sa maison est un gage de qualité. Professionnel reconnu
par la loi, il saura vous accompagner dans toutes les étapes de votre projet. Si le contemporain a du
mal à se développer dans le Jura, une maison d’architecte ne coûte pas forcément plus chère, assure
le CAUE. Le point avec Florence Juillard, directrice de l’organisme.
Association de service publique, le CAUE (Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’en­
vironnement du Jura) a pour missions d’informer et de sensibiliser le public dans le
domaine de l’architecture, de l’urbanisme et de l’environnement. Il contribue à la forma­
tion des maîtres d’ouvrage et des professionnels. Ses informations et ses conseils s’adres­
sent aux collectivités locales mais aussi aux particuliers désireux de construire ou réno­
ver. Composée de six salariés, dont trois architectes conseil, la structure jurassienne
fournit des conseils gratuits, uniquement architecturaux. “On ne fait pas de plans, nous
n’avons pas le droit de faire de la maîtrise d’œuvre” explique la directrice Florence
Juillard. “L’idéal est d’avoir déjà un plan”. Le CAUE informe ainsi les particuliers sur les
formes architecturales, les normes à respecter, mais aussi sur l’aménagement intérieur,
les couleurs des façades, la construction d’une extension… Il faut savoir que le recours à
un architecte est obligatoire pour toute
construction supérieure à 170 m2.
souvent de grandes ouvertures,
ne sont pas forcément plus coû­
teux, dixit Florence Juillard.
“L’architecte s’adapte au budget
de ses clients, il le respecte”
affirme­t­elle. C’est pour cette
raison qu’il est conseillé de faire appel à un architecte pour ce type de projet : mal des­
siné ou optimisé, le budget s’en trouvera gonflé. De façon générale, pour tout type de
construction, ce professionnel conçoit les plans d’exécution, et peut instruire les appels
C.G.
d’offres auprès des entreprises, et suivre le chantier de A à Z.
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“L’architecte s’adapte au budget
de ses clients”
Bien souvent le travail d’un architecte,
la maison contemporaine répond à
des critères architecturaux et esthé­
tiques bien précis, qui peuvent être
non conformes si mal réalisés “Il est
beaucoup plus difficile de construire
une maison contemporaine, car elle
peut s’opposer aux documents d’urba­
nisme. Ceux qui instruisent les permis
de construire n’ont pas forcément les
clés, nous les aidons à mieux les com­
prendre”. Ces volumes épurés, munis
Comment aménager son jardin ?
Le jardin est une affaire de goût personnel, chacun le conçoit en fonction de références particulières. Il doit pourtant respecter l’équilibre du paysage.
La création d’un jardin doit s’inscrire dans une démarche globale de conception,
mêlant l’observation du terrain dans son site, le jardin idéalisé et les moyens à
mettre en œuvre. D’une part, les caractéristiques du terrain (pente du terrain,
ruissellement des eaux, ensoleillement, vents…) induisent une série d’options
dont il faudra tenir compte pour la conception du jardin. Les différents types
d’aménagement détermineront les espaces : végétal ou minéral, sophistiqué ou
champêtre, esthétique, fleuri et planté d’arbustes, thématique… Les espèces sont
plantées en fonction de leur rôle dans le jardin. Les arbres à feuillage caduc por­
tent de l’ombre en été, une haie discontinue protège mieux du vent, les arbustes
en bosquets, en quinconces, ou en haies, protègent des vues, les plantes grim­
pantes ou arbustes peuvent dissimuler un élément disgracieux…
La clôture, limite de la parcelle, établit un dialogue avec l’environnement : les
vues sur la campagne ou la ville, le voisinage et le passant. Dans le Jura, les formes
traditionnelles sont variées : murets de pierres ou pierres levées dans le Vignoble
ou sur le Premier Plateau, haies discontinues dans le reste du département,
grillage ou clôture de parc. Ces formes anciennes sont à conserver et entretenir.
Toute plantation de plus de deux mètres de haut doit être distante de deux
mètres des limites de propriété. Si la hauteur des plantations est inférieure à deux
mètres, la distance est réduite à cinquante centimètres. Sources : CAUE
L’extension : des règles à respecter
Que ce soit un garage, un bûcher, une pièce supplémentaire,
une véranda… votre mairie doit être informée de votre projet
d’extension. Si celui-ci dépasse 40 m2, une demande de permis
de construire doit obligatoirement être déposée pour les
communes à PLU, et au-delà de 20 m2 pour les autres communes.
En dessous de ces seuils, une déclaration de travaux doit être
déposée. “Pour n’importe quelle extension, nous conseillons de se
rapprocher du CAUE, qui apportera des conseils sur la forme. Il n’y
a pas de petits projets, et il faut réfléchir sur le global, sur ce qu’il y
a autour” insiste Florence Juillard.
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qui sont entourés par des professionnels à leur service.
Les chevaux sont sortis tous les jours et reçoivent les
soins quotidiennement. Logés sur place, les maîtres des
lieux, Sylvie et Michel Bailly assurent une surveillance
permanente des occupants à quatre pattes, sept jours
sur sept et toute l’année. À deux pas du manège, les
deux carrières proposent un terrain de qualité pour le
plus grand bonheur des cavaliers et de leur monture
ainsi qu’un solarium pour les chevaux. Un gage de qua­
lité pour les cavaliers de haut niveau qui reviennent
régulièrement participer à différents concours !
Une association pour promouvoir le cheval
à travers l’animation
Depuis deux ans, l’association “Petite fée” regroupe les
bénévoles de l’écurie afin de promouvoir les activités
équestres et l’événementiel de la structure. Au pro­
gramme, ce sont différentes manifestations qui vien­
nent renforcer la complicité des cavaliers tout au long
de l’année : fête du cheval, manifestations locales à
l’instar du défilé de Tavaux­Damparis, animations
d’été, le Téléthon, spectacles nocturnes… Tout une
philosophie pour Sylvie Bailly qui y voit un excellent
prétexte pour créer une osmose entre cavaliers : “Cela
permet d’ajouter un côté ludique à l’enseignement, un
esprit d’entraide et de partage s’installent, tout le
monde s’investit. Le cavalier est content de progresser
et de montrer ce qu’il a appris”.
Le prochain rendez­vous sera la soirée costumée de
carnaval, le 16 février prochain. Les cavaliers, leur
famille et leurs amis sont invités à se retrouver dans
une ambiance conviviale autour des cotillons et autres
confettis, à la salle des fêtes de Souvans.
À noter dans vos agendas également la brocante
équestre du 7 avril, qui elle sera ouverte à tout public.
Une initiative originale qui permettra aux cavaliers de
faire du vide dans leur grenier en vendant tout type de
matériel équestre : tapis, cravaches, bombes, chaps…
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Pour l’annivers
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Textes sous la responsabilité de l’annonceur - Reproduction interdite - © Pays Dolois n° 146
I Publirédactionnel
18
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L’Écurie de la Petite Fée, 9 rue de Salins - 39380 Souvans - Tél. 03 84 80 00 40 ou 06 80 30 69 38
SPORTS
LE CHIFFRE
Rugby Fédérale 3
270 c’est le nombre de judokas qui ont participé les 12 et
Tavaux domine, Dole piétine
13 janvier au 4e tournoi annuel du JCVA
Même s’ils y ont laissé des plumes dimanche dernier à Meyzieu (défaite le 27 janvier 13-6), les Tavellois continuent à
dominer la poule 5 du championnat de Fédérale 3. Quant aux Dolois qui avaient réussi deux belles performances face à
Bièvre et Givors, ils n’ont pu prendre les points de la victoire face à Vizille, équipe concernée par la relégation.
Open de Tennis
Du 8 février au 3 mars
Le Tennis club de Dole organise sur les terrains couverts
de Crissey son traditionnel tournoi Open. Les inscriptions
pour les 3e et 2e séries peuvent encore s’effectuer au
06 86 82 46 29, sur le site du club, ou celui de la Fédéra­
tion Française de Tennis. Le premier week­end de février
accueillera les 4e série, les week­ends des 15, 16,
17 février et 22, 23, 24 février seront réservés aux 3e et
2e séries. Le tournoi final se déroulera le week­end du
1er, 2, et 3 mars. La grille de prix est de 400 € pour le
vainqueur Homme et 250 € pour le vainqueur dame.
Suivez vos équipes !
Rugby
Les deux équipes du Nord Jura vont jouer le match retour le 17 février prochain à la Pépinière. Au match aller c’est Tavaux qui s’était imposé
au stade Robert Bobin sur le score étriqué de 19­17. Après trois semaines d’inactivité pour Tavaux et deux semaines pour Dole (match à Besan­
çon dimanche 3 février) les deux formations ne prendront pas cette rencontre à la légère : Tavaux veut rester en tête de sa poule, et Dole se
sauver de la relégation.
“De par notre manque d’effectif d’une semaine à l’autre on peut être très bon, comme face Bièvre ou Givors, et mauvais comme dimanche der­
nier (27 janvier face à Vizille) où l’on n’a pas appliqué les consignes et donc perdu ce match. Le manque d’investissement de certains joueurs se
fait sentir. Dimanche dernier nous avons mangé le joker face à Vizille, maintenant il faudra essayer d’aller le récupérer sur un autre terrain.”
explique le co­entraîneur de Dole Lionel Humblot.
“Après la longue trêve due aux fêtes de fin d’année, on s’était fixé comme objectif à la reprise deux victoires (Ampuis et Nuits) et une défaite
(Meyzieu) sur les trois rencontres que nous devions jouer. L’objectif a été atteint. Nous sommes satisfaits des trois prestations, même de celle de
Meyzieu, malgré la défaite, car nous ramenons quand même un point de bonus défensif. Maintenant nous reprenons dans trois semaines pour
une série de trois matchs. Ils seront compliqués car on arrive vers la fin de championnat et les équipes auront quelque chose à jouer, la qualifi­
cation ou le maintien.” explique le co­entraîneur tavellois Didier Dejean.
Prochains matchs de Dole et Tavaux : 17 février 2012 USTDA-Dole ; 24 février Bièvre-USTDA, Dole-Ampuis ; 03 mars USTDA-Givors, Nuits/Georges-Dole
Fédérale 3 - Poule 5
06/01/13 Bièvres st Geoirs-Dole 16-19
13/01/13 Ampuis-Tavaux 21-22, DoleGivors 23-17
20/01/13 Tavaux-Nuits 12-6,
Besançon-Dole (remis)
27/01/13 Meyzieu-Tavaux 13-6, DoleVizille 18-19
Classement au 27/01/13
1.USTDA, 2. Givors, 3. Meyzieu, 4.
Ampuis, 5. Nuit st Georges, 6 . Vizille,
7. Besançon, 8. Dole, 9. Bièvres st
Geoirs, 10. Dijon.
Basket
Nationale 3 - Poule L
05/01/13 Vichy-Jura Dolois76-63
12/01/13 Jura Dolois-CLAR Lyon 86-79
26/01/13 Lons-Jura Dolois 91-94
Classement au 26/01/13
1.Coulommiers - 2. Marne La Vallée 3. Décimes - 4. Dijon - 5. Autun 6. Jura Dolois - 7. Vichy - 8. Melun 9. Auxerre - 10. Lons - 11. Tour AC 12 CLAR Lyon
Handball
Nationale 3M - Poule 6
12/01/13 Dole-Vesoul 21-26
19/01/13 Molsheim-Dole (remis)
27/01/13 Marmoutier-Dole 38-28
Classement au 27/01/13
1.Plobsheim, 2. Mulhouse, 3.
Dieulouard, 4. Lure, 5. Vesoul, 6.
Molsheim, 7.Strasbourg, 8. Lons,
9. Besançon, 10. Rombas, 11.
Marmoutier, 12 . Dole, 13. Colmar,
14. Haguenau,
Nationale 3 F - Poule 4
12/01/13 Yutz-Dole 35-23
19/01/13 Dole-Maiche 30-21
26/01/13 DoleAchenheim/Truchtersheim 15-36
Classement au 27/01/13
1.Reims, 2. Altkirch, 3. Yutz,
4. Achenheim/Truchtersheim, 5.
Hochfelden/Dettwiller, 6. Amnéville,
7. Strasbourg/Robertsaut, 8. Dole, 9.
Rosières, 10. Maiche, 11. Montigny,
12. Bogny
Pays Dolois n°146 - Février 2013 /
19
Le renouveau du JDB
L’équipe du mois - WATER-POLO
Après une défaite riche en enseignement à Thionville le
12 janvier dernier, les poloïstes dolois ont réussi une
belle opération en s’imposant à Nancy 10­6 et face à la
réserve de l’équipe Pro de Strasbourg 10­4. Actuelle­
ment 3e au classement général, l’équipe doloise entraî­
née par Marc Simon réussit une belle saison en N3 pour
son retour en Nationale. Prochain match à Dole le
9 février contre Colmar.
Futsal - Jura Dolois en finale régionale Escrime - 80 escrimeurs aux Templiers
Pour rester en condition avant la reprise sur les terrains en
herbe, les footballeurs participent aux phases départe­
mentales et régionales de la coupe nationale de Futsal.
Plusieurs équipes du Nord Jura, PS Dole Crissey, Jura
Dolois, Jura Nord ont participé à cette compétition. Seul
Jura Dolois s’est retrouvé en finales régionales à la MJC de
Dole le 13 janvier dernier. Pas de chance pour les proté­
gés de Franck Hotellier qui terminaient l’épreuve à la
7e place.
La 3e étape de la coupe de Franche­Comté a été pertur­
bée par la météo. Mais ce sont tout de même près de 80
escrimeurs, spécialistes du fleuret et du sabre qui se sont
rencontrés aux Templiers le dimanche 20 janvier. Le
Dolois Simon Gainet s’est distingué en montant sur la
3e marche du podium franc­comtois au fleuret.
Jura Dolois Basket a bien entamé les matchs retour du
championnat 2012-2013, puisque trois victoires sont
acquises sur les quatre matchs disputés. Depuis l’arrivée de son nouveau coach Jonathan Ruiz, Jura Dolois
a de nouvelles ambitions dans ce championnat.
Jonhatan Ruiz
Président, le bilan depuis
l’arrivée de Jonathan Ruiz
est il satisfaisant ?
Rugby - Tavaux-Dole le 17 février
C’est le 17 février prochain que les rugbymen de Tavaux
vont recevoir les rugbymen dolois pour le compte de la
14e journée de championnat de Fédérale 3. Rappelons
qu’au match aller Tavaux s’était imposé au stade Robert
Bobin 19­17.
Gymnastique
- Championnat
départemental à Dole. Les Feux follets trustent
les titres
Les championnats départementaux en individuels et par
équipes de gymnastique FFG ont eu lieux les deux der­
niers week­ends de janvier à la salle spécialisée des Mes­
nils­Pasteur. De nombreux gymnastes des Feux follets se
sont qualifiés pour les championnats départementaux
individuels à Vesoul les 9 et 10 février prochains.
Natation
200 nageurs au meeting de natation du CNDR
Les 19 et 20 janvier, le CNDR a organisé son meeting
annuel. Malgré le changement de date, moins de nageurs
se sont déplacés, mais on a vu quand même le club Suisse
de Morges et une bonne partie des clubs de Franche­
Comté et de Bourgogne. Deux nageurs dolois, Tanguy
Lacroix et Carla Alberti, se sont distingués en remportant
le challenge du meilleur nageur du meeting.
Un bilan plus que satisfaisant
puisque nous avons une défaite
à Vichy depuis que Jonathan est
là. Les joueurs sont également
très satisfaits de leur nouvel
entraîneur : l’ambiance est très
bonne. En plus du travail physique, il y a aussi beaucoup de
travail technique à l’entraînement. Chaque semaine il diffère
selon l’équipe que nous allons
recevoir le samedi. Tout cela
plaît bien aux joueurs.
Vous êtes passés de la
11e place à la 8e journée à
la 6e à la 15e journée, que
visez-vous maintenant ?
On vise ce que nous avons
annoncé depuis un moment, le
maintien. Cela n’est pas encore
acquis car il y a beaucoup
d’équipes à la porte… C’est acté
pour les deux dernières places.
Je pense qu’il faudra neuf victoires pour être sûr de ne pas
descendre.
L’Hivernale
Tournoi de Judo du JCVA Billard - Portes ouvertes
25 pilotes participent à l’Hivernale
4e tournoi annuel pour le JCVA
Une vingtaine de membres du Old Cars club ont parti­
cipé au rallye l’Hivernale le week­end du 16 au 16 janvier
dernier. Cette sortie annuelle permettait aux pilotes de
découvrir les routes enneigées du Haut­Jura. Le 3 mars
prochain le Old Cars club sera de nouveau aux manettes
avec le rallye “Nuit”.
Pour la 4e année consécutive, le Judo Club du Val
d’Amour a organisé au gymnase Mont Roland son tour­
noi annuel réservé aux judokas, garçons et filles benja­
mins, minimes. Près de 270 judokas se sont donné la
réplique sur le tatami dolois. Au final c’est le Dojo Côte
d’Orien qui s’est imposé pour la 3e fois. Le trophée mis
en jeu est donc conservé par le club bourguignon.
Le billard club de Dole ouvre ses portes le dimanche
après­midi 10 février. Tous les amateurs de billards sont
attendus par toute l’équipe d’Alain Piedevache pour
une séance d’initiation au billard français. Lors de précé­
dentes portes ouvertes, une dizaine de personnes
s’était déjà déplacée pour découvrir cette activité spor­
tive à la Visitation.
Pensez-vous que le podium
est encore accessible, une
des ambitions de la saison
2012-2013 ?
Le podium pour nous sera très
compliqué, voire inaccessible. Il
faudra réaliser la meilleure
place possible pour aller voir
nos partenaires dans de bonnes
conditions cet été pour la saison
2013-2014.
L’équipe B est
définitivement mise hors
course, regrettez-vous cette
situation ?
C’est l’équipe 3 qui a pris la
place de l’équipe 2. Elle se promène dans son championnat.
Je pense que cette équipe est en
phase de monter en Excellence.
Je regrette cette situation, j’aurai le temps d’en reparler en
temps et en heure à la fin de la
saison, aussi bien avec les
membres de Jura Dolois, qu’à la
Ligue de Franche-Comté.
Les seniors féminines se
comportent bien, quelles
sont les ambitions de cette
équipe ?
L’équipe féminine va bien également. Elles font un bon petit
parcours. Si un jour on parle de
monter avec elles, il faudra en
parler très tôt car cela se prépare dès le début de la saison.
Prochain match : Melun-Jura
Dolois le 9 février, Marne La
Vallée-Jura Dolois le 23 février
Jura Dolois-Tour AC le 2 mars
2013 à Damparis.
20
/ Pays Dolois n°146 - Février 2013
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Pour nous contacter
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Depuis la reprise du championnat 2012­2013, Jura Dolois Foot­
ball a trouvé de nouvelles ressources en renouant avec le Club
Affaires... Après les secousses avec les descentes successives de
CFA2 en Ligue Régionale 2, Jura Dolois Football était au plus bas. Une
nouvelle équipe s’est mise en place, et après le changement de bureau en juin 2012, un
nouveau Club Affaires a été créé. Ses objectifs : aider le club à se refaire une santé finan­
cière, financer à court terme la formation et l’encadrement d’éducateurs diplômés et la
possibilité également de louer des minibus pour les déplacements importants de toutes
ses équipes qui évoluent dans les différents championnats de ligue ou de district. Ce nou­
veau Club Affaires va mettre en place différentes manifestations pour que les parte­
naires, les joueurs et parents de joueurs puissent se rencontrer, échanger sur les projets,
et passer un bon moment. Pour cela, il a mis en place une offre de partenariat avec des
petits et grands panneaux au stade, des publicités dans des vitrines de magasins à Tavaux
et Dole et un nouveau calendrier 16 pages 2013. Un nouveau survêtement a été acheté
permettant d’offrir une nouvelle identité au club. Actuellement, une cinquantaine de
partenaires ont rejoint Jura Dolois Football. Ils contribuent déjà au développement du
club du Nord Jura.
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39100 Dole (face à Pétrol 39)
Tél. 03 84 82 50 35
Entreprises Partenaire du JDF
De gauche à droite. Jean-Michel Bonnefoy (commercial), Gilles
Stepczak (Président), Christophe Thevenot (secrétaire), Claude Catelin
(Référencement sponsors), Ange Di Caro, Fabrice Romaire, Yvon Girod
(membres actifs)
Pays Dolois n°146 - Février 2013 /
21
Haut-Jura
Bellefontaine
Au cœur du Parc naturel régional du Haut-Jura, la
vallée de Bellefontaine est tout ce qu’il y a de plus
représentatif de l’esprit de cette montagne jurassienne… Combes sauvages et forêt mystérieuse
en parcourant le massif forestier du Risoux ou
féerie de la végétation boréo-arctique de ses lacs
et tourbières, richesse des savoir-faire à la rencontre d’hommes perpétuant une activité
artisanale riche et variée et découverte d’un terroir en dégustant les produits de nos producteurs
locaux et la gastronomie franc-comtoise. Calme,
ressourcement et bien-être sont au programme
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Bienvenue à Bellefontaine !
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Bellefontaine est dédié à l'initiation et à la
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1 verte (Baby), 1 bleue, 1 rouge. Border Cross
Naturel. Fil Neige et jardin d’enfants de l’ESF.
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du sportif au contemplatif, sur le parcours de la
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pour tous niveaux (2 pistes vertes, 4 pistes bleues,
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jeunes pratiquants de ski de fond, initiés ou non,
évoluent sur des parcours aménagés de 3 ou
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/ Pays Dolois n°146 - Février 2013
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des Villages
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Loto
Dimanche 10 Février
A la salle des fêtes. Ouverture
des portes à 13h30. Début des
jeux à 14h. Nombreux lots à
gagner dont tablette numérique, bons d’achats, menus...
C’est une aventure au pays des
jouets où il est question d’amour,
de jalousie, de bataille… Poupées,
soldats et polichinelles prennent
vie grâce à la musique que
Claude Debussy imagina pour sa
fille Chouchou dans ce ballet
pour enfants. Réservation indispensable (billets gratuits) au
C.R.D et sur place le jour même.
Loto des Paroisses de Dole
Chatenois
Concours de tarot
Samedi 9 Février
Organisé par le foyer rural, un lot à
tous les participants, une assiette
anglaise sera servie en fin de
concours, début des jeux 20h45
Dimanche 17 Février
Début des jeux 14h. Ouverture
des portes 12h. Animé par Brigitte. Bons d’achat de 20 à
500 €. Dotation de 3600 €. Au
Self Lycée Mont-Roland.
Bourse aux vélos
er
Chaussin
Loto
Samedi 23 Février
Ouverture des portes 18h - Loto
animé par Brigitte
Damparis
Salon multi-collection
Dimanche 17 Février
A la Salle des fêtes. Environ
25 exposants De 9h à 12h et 14h
à 17h30. Monnaies, Timbres,
Cartes Postales, Capsules, Jouets,
Livres, etc
Loto du foot
Vendredi 8 Février
A la Salle des fêtes à partir de
20h. Rens. G. Guenon 03.84.71.49.49
Expo vente numismatique
Le 16 et le 17 Février
A la Salle des fêtes de 14h-17h
Rens. F. Humbert, 03 84 72 45 42
Loto Rugby
Samedi 23 Février
A la Salle des fêtes. Rens. Serge
Poinsard 06.98.11.75.16
Dole
Du 1 au 3 Mars
Organisé par le Vélo Club Dolois
au gymnase Ledoux. La mise en
dépôt des vélos aura lieu le
1er mars à partir de 17 h, et le
2 mars de 9 h à 12 h. La vente se
déroulera sans interruption le
2 et le 3 mars de 9 h à 12 h.
Salon Ecodéclic
Le 2 et le 3 Mars
A La Commanderie de 10h à 19h.
Organisé dans un esprit de rencontre et d’échange, le salon
abordera divers thèmes de la vie
quotidienne et sera axé autour
de quatre grands pôles : alimentation biologique, éco habitat,
santé et bien-être au naturel,
artisanat, loisirs verts.
Vide-greniers
Dimanche 10 Février
Au Gymnase Mont-Roland. De 7h
à 17h. Entrée gratuite
Loto du Choeur des Roches
Mercredi 13 Février
Manège de Brack. Vente des cartons à 12h. Début des jeux 14h.
Bons d’achat de 20 à 500 €.
Animé par Brigitte
Concert-spectacle
“La boîte à joujoux”
Foucherans
Le 8 et le 9 Février
Vendredi 8 à 20h et samedi 9 à
18h à La Fabrique. Le Conservatoire propose deux concertsspectacles par les élèves des
classes de piano de E. Francony
et J. Jeahanno. La mise en espace
est assurée par Myriam Lacroix.
Samedi 2 Mars
Organisé par le Jura club dolois
Fondue savoyarde
La Loye
Bal folk
Samedi 16 Février
Les Alwati organisent un stage
et bal folk à 21 h.
La Vieille-Loye
Café-philo
Vendredi 8 Février
Prochain café-philo sur le thème
“Les autres” à 20h30 avec Stéphane Haslé à l’hôtel de la
Vieille-Loye. Entrée libre
Losne
Sortie neige aux Rousses
Dimanche 24 Février
Organisée par le Comité des fêtes.
Inscriptions aux 03.80.77.92.43 ou
06.66.61.36.74.
Randonnée à Saint-Aubin
Dimanche 17 Février
Départ 9h à la mairie de Losne.
10 km environ. Renseignements
et inscriptions aux 03.80.77.92.43
ou 06.66.61.36.74.
Molay
Repas dansant
de la Saint-Valentin
Samedi 16 Février
Menu adulte 23 € : apéro /
salade jurassienne / Cuisse de
grenouille à volonté ou filet
mignon sauce au vin du Jura /
pomme vapeur / dessert / café
Menu enfant (-10ans) 7 €: apéro
bambino/ filet mignon pomme
de terre / fromage / dessert. Le
tout organisé par les minettes
du 39. Renseignements et réservations au 03.63.43.93.78
Mont-Sous-Vaudrey
Super Loto au profit
des Restos du Cœur
Mercredi 20 Février
De nombreux lots dont 1 voyage
pour 2 personnes, produits régionaux, vélos, paniers garnis, bons
d’achat, etc. Super partie avec un
bon d’achat de 400 euros. Animé
bénévolement par Brigitte. Vente
des cartons à partir de 13h.
Début des jeux : 14h
Petit-Noir
Loto des diablesses
Vendredi 1er Mars
Loto des Diablesses de la Plaine
Jurassienne, animé par Dominique à la salle des fêtes. Ouverture des portes à 18h30.
“Ce soir ou jamais”
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Vendredi 8 Février
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public - durée : 1h. Un sacré défi
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d’Improvisation ! A chaque spectacle, les comédiens doivent
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sort, déposés préalablement
dans une urne par le public. Un
spectacle d’improvisation original, riche en créativité, coups de
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le savoir-faire des improvisateurs
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jamais !
Loto du football club
Dimanche 10 Février
Salle des fêtes. Ouverture des
portes dès 12h. Début des jeux
14h. Animé par Dominique
18 parties + Bingo 1 Séjour pour
2 personnes, Bon d’achats de
400 €, 200 €, 100 €… Caddy et
Paniers garnis, Lot apéritif,
Champagne, Jambon, Rosette…
Saint-Aubin
Loto gourmand
Vendredi 22 Février
Organisé par les Majorettes de
St Aubin. Animé par Régine
Nombreux bons d’achat, vins,
paniers gourmands,...
Tavaux
Loto de la section VTT
de l’ACDTR
Dimanche 24 Février
Salle Gérard Philipe. Loto animé
par Régine. Début des Jeux 14h
Vente des cartes à partir de 12h
18 parties complètes + Bingo +
Carte de fidélité. Bons d’achats
de 20 € à 500 €. Bingo : Cochon
et Bons d’Achats de 20 € à 80 €
Réservation : 03 84 82 64 71
Loto du club
des supporters du JDF
Mercredi 6 Février
Loto animé par Brigitte, organisé
par le club des supporters du JDF.
Salle Gérard Philipe à Tavaux,
début des jeux à 14h
Bourse aux vêtements
Dimanche 3 Mars
Environ 45 exposants 9h à 16h
Ouverture des portes pour les
visiteurs à 9h jusqu’à 16h. Entrée
gratuite. Ouverture pour les
exposants à partir de 7h45. Location de tables : 3 € la table.
Bourse aux vêtements et accessoires hommes, femmes et
enfants.
Villette-Les-Dole
Salon de l’agriculture à Paris
Mercredi 27 Février
Voyage en bus organisé par les
Loisirs Villettois. Comprend le
transport + prix de l’entrée au
salon. Adultes : 42 €, adhérents :
39 €, enfants de 6 à 12 ans : 35 €,
moins de 6 ans : 29 €. Départ de
Villette-Les-Dole à 4 h. Inscriptions avant le 25 janvier auprès
de Mme Grille au 03 84 72 32 25
ou Mme Isarte au 03 84 82 68 40.
Moulin de Brainans
“Les Doigts de l’Homme” et “Affaire jazzée”
Samedi 23 février
Fidèles au jazz manouche, les DOIGTS de l’HOMME ne se laissent pas
enfermer dans un genre. Au sein de ce quintet, l’esprit gypsy, synonyme de générosité et d’aventure est bien là.
Leurs multiples influences musicales nous emmènent pour un
périple planétaire, idéal en cette année de commémoration des
soixante ans de la disparition de Django Reinhardt. La sortie de leur
5e album en 2013 coïncide avec cet événement, nul doute qu’ils vont
sublimer ce style inébranlable. www.myspace.fr/lesdoigtsdelhomme
Annoncez GRATUITEMENT vos manifestations sur
www.paysdolois.fr
Cette page Agenda nous est communiquée par les organisateurs.
Nous ne pouvons être tenus responsables en cas d’inexactitude.
CONCERT “AUTANT JOUER LE
JEU”. A Dole, le 12 février à
18 h 15, à l’Auditorium Karl Riepp,
dans le cadre des “concerts des
auditeurs du soir” du Conser vatoire, Stanislas Bujok et Franck
Bonfigliolo proposent une ballade
musicale pleine de surprises et de
rencontres où le piano et de
multiples percussions seront mis à
l’honneur.
Tarif : 4 € Retrait des billets au C.R.D
à partir du 5 février et sur place le
jour même.
La Commanderie
section Foucherans à partir de
19h30. Inscription auprès de
Patrick Bon au 06 63 16 68 44.
19 € / adulte et 10 € / enfant.
Mc2 + Janski Beeeats + The Name
L’écho du commerce
NOUVEL ENVOL POUR L’APAR’THÉ
L’Apar’Thé réouvrira ses portes le samedi 2 février avec de
nouveaux propriétaires, Véronique et Emmanuel Gay, qui
vous accueilleront comme nous l’avons fait pendant près de
6 années. Nous tenons à remercier vivement toute notre
clientèle pour la confiance et la fidélité témoignée au cours
de ces années. Merci d’avoir permis à L’Apar’Thé de devenir
ce lieu convivial et atypique. Nous vous souhaitons à tous
ainsi qu’aux nouveaux repreneurs, une bonne continuation.
Vendredi 15 février
Glitch hop, dubstep, lazer bass, future funk... on a beau chercher et
inventer, on ne sait pas trop où classer MC2... et c’est tant mieux ! Parfait dosage d’efficacité et de subtilité, leur hip hop électronique plein
d’énergie fait des ravages. Sur scène, le duo marseillais pratique le live
intégral, armé de multiples contrôleurs et de joysticks.
www.mc2-music.com
22
La direction de l’Apar’Thé, brasserie – salon de thé, place Nationale à Dole
Abba Mania
Anne Rou(ge)manoff
Kaas chante Piaf
Vendredi 8 Février
A La Commanderie à 20h30. ABBA MANIA, c’est le
concert hommage le plus fidèle et authentique
jamais rendu à ABBA. Bien que dissout il y a plus de
25 ans, ABBA continue de vendre deux à trois millions d’albums par an. Depuis 1974, le groupe a
vendu 360 millions d’albums dans le monde. Seuls
Elvis Presley et les Beatles ont fait mieux. ABBA,
formé par Björn Ulvaeus, Benny Andersson, Agnetha Fältskog et Anni-Frid Lyngstad, avait connu un
succès mondial avec les tubes Money, Money,
Money, Waterloo, Summer Night City ou encore
Dancing Queen... ABBA MANIA c’est un concept
unique et original créé par de prodigieux musiciens, tous fans d’ABBA. ABBA MANIA a ensuite
conquis le reste de l’Europe et se produit aujourd’hui presque partout dans le monde. La magie
d’ABBA MANIA, c’est de recréer le dernier concert
du mythique groupe suédois, de 1982, en restant
fidèle aux moindres détails : paroles, son, éclairages, chorégraphie, chaussures à semelles compensées, piano électrique, globe disco... jusqu’à l’accent suédois ! Ambiance garantie. Tarifs: 33 € à 42 €
Jeudi 14 Février
A La Commanderie à 20h30. La maturité va bien à Anne Roumanoff. Dans ce
nouveau spectacle, la pétillante “Dame en Rouge” revient plus mordante que
jamais pour croquer a
pleines dents dans l’actualité. Rien n’échappe a
son regard acéré : les
obsédés du bio, Facebook, la crise de la dette,
les diktats alimentaires...
Elle sait raconter mieux
que personne l’égoïsme,
la suffisance et la superficialité de notre époque.
Pourtant, on ressort de
son spectacle le coeur
léger, car elle parvient,
avec finesse et humanité, à nous faire sourire
de tout ce qui nous
angoisse. Tarifs: 33 € à
43 €
Samedi 23 Février
A La Commanderie à
20h30. Quand une
grande voix en rencontre
une autre ! En reprenant
21 titres mythiques
d’Edith Piaf, Patricia Kaas
s’est lancée dans un spectacle qui célèbre les 50
ans de la disparition de la
Môme Moineau, et qui
sera joué sur les plus
grandes scènes du
monde entier : à Londres,
New York, Moscou, Paris,
ou à Dole ! Les chansons,
superbement arrangées
et mises en scène, créent
un show unique contemporain et urbain. Des
images inédites de Piaf, jamais montrées, seront le clou de cet événement extraordinaire. “Kaas Chante Piaf ” s’annonce comme événement musical majeur de la saison 2012-2013. Tarifs: 43 € à 55 €
Pays Dolois n°146 - Février 2013 /
23
24
/ Pays Dolois n°146 - Février 2013
Une nouvelle fenêtre révolutionnaire
qui s’ouvre et se ferme
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Avec ce système révolutionnaire, Grosfillex démontre une
nouvelle fois sa capacité à innover pour vous proposer
une fenêtre au système d’ouverture-fermeture inspiré par
l’univers de l’automobile.
Utilisation
intuitive et facile
Pour ouvrir GxLOCK,
il suffit de tirer
sur la poignée
d’un simple geste.
2 points de vente
pour mieux vous servir !
Jura Fenêtres
Pour la fermer, vous avez le choix :
4 rue du Petit Mont,
39100 Dole-Monnières,
vous pouvez la pousser…
ou la claquer !
03 84 82 03 98
CODM
6, rue de la Plucharde,
21110 Dijon-Bretenière,
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poignée intégrée
Par son design épuré en forme de vague
et son intégration dans le meneau central,
elle apporte une touche contemporaine à
votre intérieur.
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Innovation Grosfillex
Renseignez-vous !
La tendance est aujourd’hui aux dessins épurés et la poignée disparaît dans de nombreuses applications.
C’est le cas dans l’automobile, mais aussi dans le mobilier où les meubles sans poignées apparentes sont nombreuses.
Nos designers ont donc pris le parti d’associer l’innovation technologique à un design contemporain, en intégrant
la poignée dans le meneau central. Seule la forme de vague vient souligner son emplacement.
La collecte, le réemploi et le recyclage
des Textiles, Linges et Chaussures
Avec la signature le 02 août 2011 d’une convention
avec l’éco­organisme Eco TLC, le SICTOM de la zone
de Dole et COOP’AGIR se sont engagé à développer
la collecte, le recyclage et le réemploi des Textiles,
Linge et Chaussures : les TLC.
Créé en 2008, Eco TLC est l’éco­organisme des textiles
d’habillement, du linge de maison et des chaussures.
Son rôle : favoriser la récupération et valorisation des textiles
usagés, pour répondre aux enjeux environnementaux de préven­
tion des déchets et de préservation des ressources naturelles
pour l'intérêt général.
En facilitant le déploiement de la collecte sélective des TLC, le SICTOM
et COOP’AGIR répondent avec Eco TLC aux enjeux du Grenelle de l’environ­
nement, visant à prévenir l’augmentation continue des volumes de déchets
ménagers, et à préserver les ressources naturelles.
Le SICTOM a signé une convention avec COOP’AGIR Interfringue, association d’accom­
pagnement local vers l’emploi située 9, avenue de Landon à DOLE.
Cette activité alimente l’atelier tri des textiles et chaussures et permet aussi d’élargir
l’offre locale d’insertion.
Les vêtements réutilisables sont vendus à la boutique 9 avenue de Landon et le reste
part à l’effilochage pour réutiliser les fibres.
En 2011, 44 conteneurs étaient installés, et à ce jour le territoire du SICTOM compte
75 conteneurs grâce à la collecte, au tri et à la valorisation des textiles et des chaus­
sures réalisées par COOP’AGIR.
En 2011, 164 tonnes de textiles ont été collectés, et en 2012, 225 tonnes soit une
augmentation de 37 %.
Soit une collecte de 2,6 kg/an/habitant sur un gisement national de vêtements et de
textile de 11 kg/an/habitant. EcoTlc fixe comme objectif de collecter de 4 à
6 kg/an/habitant. Ces textiles, habits… collectés avec COOP’AGIR sont
les déchets qui ne vont plus en décharge, centre d’enfouissement de
déchets non dangereux à Courlaoux.
Merci de votre geste de Tri.
EST AUTORISÉ :
vêtements, chaussures,
maroquinerie, bagagerie,
linge maison
ATTENTION,
EST REFUSÉ,
tout texle souillé
ou mouillé
1 chaussure seule
est aussi acceptée
Les Points
d’Apports Volontaires
Textile, Linge
et Chaussures
sont à :
CA du Grand Doce,le
Abergement la ron
m­
Amange, Brevans co
e,
eri
ett
ch
dé
et
mune
ans,
Champdivers, Champv y,
sse
Cri
ey,
ois
Ch
is,
no
Chate
nteneurs),
Damparis, Dole (22 co , Lavans les Dole,
he
Foucherans, Gevry, Jou Parcey, Peseux,
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Le Deschaux, Monnièr
s,
Saint Aubin, Sampan
Rochefort sur Nenon,
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conteneurs)
Tavaux commune (2
Villette­lès­Dole.
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Chevigny, Moissey,
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Chaîne de pliage et bouque COOP’AGIR,
9, avenue de Landon à Dole
SICTOM de la zone de Dole - 22, allée du Bois - 39100 BREVANS - Tél. 03 84 82 56 19
E-Mail : [email protected] - Site internet : www.sictomdole.fr
champs, Ranchot,
Fraisans, Gendrey, Or enne.
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Oussières.