programme préLiminaire
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La Fédération des médecins spécialistes du Québec et ses associations affiliées vous invitent à la Vendredi 15 novembre 2013 Palais des congrès de Montréal 201, avenue Viger Ouest 5 étage – Foyer Viger e Métro Place-d’Armes Programme préliminaire us -vo ant z ive en cr int e Inss ma lign i /jf dè en org f q. ms Cette invitation s’adresse à tous les médecins spécialistes. Les activités conjointes des associations sont ouvertes à tous, sans égard à la spécialité médicale des participants. Les sessions sont ouvertes aux résidents de toutes les spécialités médicales. Cette activité de formation est admissible aux allocations de ressourcement prévues à l’annexe 44. SESSION A i JOURNÉE CONJOINTE CHIRURGIENS ET ANESTHÉSIOLOGISTES : PLUS QUE DES PARTENAIRES OBLIGÉS Les chirurgiens et les anesthésiologistes sont en constante interaction au bloc opératoire. Les soins chirurgicaux optimaux exigent une collaboration de tous les instants. La qualité du traitement chirurgical en dépend. Aussi, les données quant à la gestion périopératoire du patient chirurgical sont en constante évolution. Finalement, la gestion médicale et administrative du bloc opératoire est un exercice ardu dont la formule idéale reste à définir et qui peut, à certains égards, avoir des répercussions médico-légales. C’est dans cette optique que nous avons mis sur pied cette journée conjointe de formation interdisciplinaire, qui traitera des volets suivants : les soins périopératoires, la collaboration entre les équipes d’anesthésie et de chirurgie, la gestion et les considérations médicolégales liées au bloc opératoire. SESSION E i DEMI-JOURNÉE CONJOINTE LES COMPLICATIONS OPHTALMOLOGIQUES DE PATHOLOGIES ENDOCRINIENNES Cette activité est principalement destinée aux endocrinologues et aux ophtalmologistes. On y traitera des nouvelles avenues thérapeutiques dans le domaine de la rétinopathie diabétique et de l’orbitopathie de Graves. Une occasion unique pour discuter entre collègues de ces deux spécialités médicales des problématiques qu’engendrent ces pathologies complexes. SESSION F i JOURNÉE CONJOINTE 6 5ee Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ SESSION B i JOURNÉE CONJOINTE 2 ALTÉRATIONS DE LA FLORE INTESTINALE ET DE L’IMMUNITÉ : C. DIFFICILE, MAIS PAS IMPOSSIBLE ! À l’occasion du triste 10e anniversaire de l’éclosion de Clostridium difficile au Québec, nous vous proposons de faire le point sur l’épidémiologie, sur les avancées diagnostiques et thérapeutiques de cette infection ainsi que sur les leçons à tirer de cet événement. Lors de cette journée, issue d’un travail conjoint des associations regroupant les microbiologistes infectiologues et les gastro-entérologues, nous en profiterons pour explorer le rôle de la flore digestive et les impacts des dysbioses sur la santé. Aussi au menu, une analyse des agents immunomodulateurs et de leurs effets sur la susceptibilité aux infections. Enfin, comme dessert, une présentation de quelques cas cliniques concoctés par nos experts. TUMEURS DE LA BASE DU CRÂNE : CONTROVERSES ET NOUVEAUTÉS Cette activité propose aux participants de mieux comprendre les défis autant diagnostiques que thérapeutiques liés aux tumeurs de la base du crâne. La journée sera divisée en deux parties : d’abord, elle portera sur les tumeurs de la fosse antérieure, telles les tumeurs de l’hypophyse et les tumeurs sino-nasales puis, elle sera consacrée aux tumeurs de la fosse postérieure. Par voie de communications libres et de tables rondes, les conférenciers des différents centres hospitaliers universitaires du Québec discuteront des controverses dans les protocoles diagnostiques (cliniques, audiologiques, radiologiques et pathologiques) et thérapeutiques. SESSION G i DEMI-JOURNÉE CONJOINTE SESSION C i JOURNÉE CONJOINTE LES TROUBLES DU SOMMEIL : QUAND MORPHÉE RELÂCHE SON ÉTREINTE Bien que toute jeune, la médecine du sommeil, convergence de plusieurs disciplines médicales, est en pleine effervescence. L’apnée obstructive du sommeil, en raison de sa prévalence, ses implications et conséquences, interpelle de nombreuses spécialités médicales. Par ailleurs, l’insomnie, l’hypersomnie, les parasomnies ainsi que les troubles du mouvement associés au sommeil sont d’intérêts cliniques et méritent une attention particulière. À l’aide de plénières et d’ateliers, nos conférenciers répondront à vos besoins et vous communiqueront les données les plus récentes sur cette discipline en plein essor. COMMENT GÉRER LES COMPLICATIONS CHEZ LES ENFANTS MUNIS DE SONDES ALIMENTAIRES ENTÉRALES, DE TRACHÉOSTOMIES ET DE CATHÉTERS VEINEUX CENTRAUX Devenez un expert avec les équipements technologiques ! Voici une formation concernant les enfants ayant une situation médicale complexe et vivant avec une dépendance à la technologie. Auparavant rare, ce genre de cas augmente avec les avancées de la technologie moderne ; vous devez savoir comment les soigner. Cette formation s’adresse aux médecins, aux chirurgiens, aux pédiatres, aux résidents ainsi qu’aux infirmières. Elle comprend des ateliers sur les soins et les complications des trachéostomies, les sondes d’alimentation entérale et les cathéters veineux centraux. Il y aura aussi des tests pré- et post ateliers ! Ne manquez pas cette occasion unique ! SESSION H i DEMI-JOURNÉE CONJOINTE SESSION D i JOURNÉE CONJOINTE THÉRAPIES ENDOVASCULAIRES Cette journée de formation permettra aux participants de revoir les techniques de thérapies endovasculaires utilisées pour traiter la maladie artérielle occlusive. L’accent sera mis sur les détails et les astuces techniques. La journée sera séparée en trois sessions afin de traiter séparément des maladies touchant le segment aorto-iliaque, fémoral superficiel (poplité et infrapoplité). Les présentateurs experts pourront faire une présentation sur chaque thème. Les sujets précis restent à définir ; elles toucheront aux innovations récentes tant au point de vue technique qu’au niveau du matériel et des technologies. LA MALADIE D’ALZHEIMER : MIEUX LA COMPRENDRE Au Québec, on estime que la maladie d’Alzheimer et les syndromes démentiels apparentés toucheront 120 000 personnes en 2015, et 160 000 en 2030. Plusieurs aspects de la prise en charge de ces patients sont controversés ou sujets à embûches, en particulier la survenue de troubles du comportement ainsi que les conséquences sociales et légales pour le patient et ses proches d’un syndrome démentiel. Les conférences toucheront à ces questions ainsi qu’à la prise en charge pratique des patients ayant une atteinte cognitive. Pour terminer, une revue critique de la littérature récente en « démentologie », qui mettra l’accent sur les sujets chauds dans ce domaine, sera effectuée. Suite des sessions conjointes à la page 7 Suite des sessions conjointes de la page 2 SESSION I i DEMI-JOURNÉE CONJOINTE CESSATION TABAGIQUE Le tabagisme demeure la principale cause évitable de morbidité et de mortalité au Québec. Cette session sur la cessation tabagique a été conçue pour répondre aux besoins de tous les médecins spécialistes. Après une brève révision de l’épidémiologie du tabagisme, nous examinerons les façons d’intégrer la cessation tabagique dans les plans de traitement. Nous aborderons l’intervention brève, étape par étape (5A), avec une emphase sur l’entretien de motivation, les comorbidités et les caractéristiques populationnelles de la clientèle. Différents modèles de pratique exemplaire appliqués par des médecins dans leurs établissements seront présentés. SESSION J i DEMI-JOURNÉE CONJOINTE ANAPHYLAXIS AND DRUG ALLERGIES : DIAGNOSIS, TREATMENT ALGORITHMS, POST-INTERVENTIONS STUDIES AND REFERRAL FOR WORK-UP AFTER SCREENING Présentation en anglais, diapositives bilingues Problem Based Learning Discussion (PBLD) format : Case presentations. • How to treat your mother-in-law with stridor after eating Matane shrimps ? • How to treat your neighbour with a wasp sting to the tongue while drinking his beer in the backyard ? • Diagnosis and treatment of drug and product allergic reactions/anaphylaxis in the peri-operative environment : How does it change ? • Screen/work-up false allergies in the office-based setting ; referrals, access to diagnostic allergy testing. Literature review : • Allergenic or non-allergenic anaphylaxis • Follow-up interventions : tryptase levels, referral to an allergist • Dose of subcutaneously versus intravenously administered epinephrine LES TROIS ACTIVITÉS SUIVANTES SONT D’UNE DURÉE D’UNE JOURNÉE COMPLÈTE LES ACTIVITÉS SUIVANTES SONT D’UNE DURÉE D’UNE DEMI‑JOURNÉE SESSION 1 (VOIR L’HORAIRE DE CHACUNE D’ENTRE ELLES DANS LE FORMULAIRE D’INSCRIPTION) L’EXPERTISE ET LE MÉDECIN SPÉCIALISTE : UNE LONGUE CARRIÈRE FAIT-ELLE DE VOUS UN EXPERT ? Cet atelier est destiné aux médecins spécialistes qui font ou qui veulent faire de l’expertise. L’atelier vise à sensibiliser les médecins aux exigences de cette discipline et aux attentes des différents mandants, surtout lorsqu’ils abordent ce secteur d’activité sans aucune formation préalable (une formation maintenant disponible au Québec). Les devoirs de compétence seront revus. Trois médecins-conseils (CSST, SAAQ, RRQ) résumeront les erreurs les plus fréquentes rencontrées, puis trois juges (CLP, TAQ, Cour supérieure du Québec) formuleront leurs observations critiques sur les expertises et les témoignages en cour de médecins experts autodidactes. Conférenciers : Dre Hélène-Gabrielle Blais, Régie des rentes du Québec. Monsieur le juge Philippe Bouvier, Commission des lésions professionnelles du Québec. Madame la juge Josée Caron, Tribunal administratif du Québec. Dr Réal Lemieux, Commission de la santé et de la sécurité du travail du Québec. Dr Georges L’Espérance, Université de Montréal. Me MarieClaire Perreault, avocate, Lavery de Billy. Dr François Sestier, Société des experts en évaluation médico-légale du Québec. Dre Sylvie Tremblay, Société de l’assurance automobile du Québec. SESSION 2 POUR ÉVITER DE FAIRE LA UNE DU JOURNAL : GESTES DE BASE EN RÉANIMATION Quelques coroners nous l’ont rappelé : tout médecin doit pouvoir réagir à une situation d’urgence, dans sa clinique ou dans sa salle d’attente. Des recommandations claires sont d’ailleurs incluses dans une récente publication du Collège des médecins du Québec portant sur les interventions (médicales ou chirurgicales) en milieu extrahospitalier. Cet atelier pratique sera basé sur les dernières recommandations (2010) concernant la réanimation de base pour les professionnels de la santé et permettra aux intéressés d’obtenir une reconnaissance de formation. Conférencier : Dr Ernest Prégent, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal. SESSION 3 LA POLYMÉDICATION OU L’OPTIMISATION DE LA PHARMACOTHÉRAPIE CHEZ LE PATIENT GÉRIATRIQUE La population gériatrique occupe une place de plus en plus importante dans notre pratique médicale quotidienne et la pharmacothérapie joue un rôle central dans notre approche thérapeutique. La polymédication chez cette population pose des défis particuliers, notamment au niveau du choix des médicaments, des particularités physiologiques du patient âgé et de l’importance du monitorage des effets indésirables. L’objectif général de l’atelier sera de revoir les approches novatrices au sujet de l’usage optimal de la pharmacothérapie chez le patient gériatrique sous l’angle de la multidisciplinarité : que faut-il considérer avant d’ajouter encore un autre médicament à une liste déjà longue ? Conférenciers : Dr Michel Elie, Centre hospitalier St. Mary. Dr Martin Laliberté, CUSM – Hôpital Royal Victoria. Mme Louise Mallet, pharmacienne en gériatrie. SESSION 4 LA LECTURE CRITIQUE D’UNE ÉTUDE RANDOMISÉE CONTROLÉE Avec le foisonnement d’articles scientifiques de la littérature médicale, il est nécessaire de savoir bien évaluer la qualité des études publiées afin de juger de la pertinence ou non de modifier sa pratique à la lumière de ces publications. L’objectif de cet atelier est de revoir les principaux éléments qui permettent de juger de la qualité d’un essai clinique et de ses conclusions. Cet atelier visera un groupe restreint de participants afin d’assurer une véritable interaction et une discussion à l’aide d’exemples concrets. Conférenciers : Dr Pierre Larochelle, Institut de recherches cliniques de Montréal. Dr François Madore, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal. SESSION 5 ENHANCING LEARNING, ADVANCING CARE : THE ROYAL COLLEGE’S MOC PROGRAM AND MAINPORT WEB APPLICATION (English workshop) The Royal College’s revised Maintenance of Certification (MOC) Program promotes the intentional integration of multiple learning strategies to meet perceived and unperceived needs of specialists ; it is streamlined and more flexible. An MOC Program evaluation strategy combined a comprehensive survey of experiences and perspectives of specialists with key findings from the CPD research literature to develop an evidence-informed framework and credit system. MAINPORT, a web application used by MOC Program participants, has also been redesigned to reflect the new framework with the goal of becoming an integrated learning space that supports planning, reflection, documentation, and management of learning for practice. Speaker : To be announced. SESSION 6 MAXIMISER LA SECTION 3 DU PROGRAMME MAINCERT (3 CRÉDITS/HEURE) : COMMENT AUTOGÉRER ET AUTOÉVALUER MON DPC Le programme révisé du Maintien du certificat (MDC) du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada encourage l’intégration de multiples stratégies d’apprentissage. Dans le cadre d’une stratégie d’évaluation du MDC visant à produire un cadre et un système de crédits fondés sur des données probantes, les principaux résultats tirés de la littérature de recherche sur le DPC sont venus appuyer une enquête globale auprès des médecins spécialistes. MAINPORT, l’application Web qu’utilisent les participants au programme de MDC, a également fait l’objet d’un remaniement pour refléter le nouveau cadre en vue d’offrir un espace d’apprentissage intégré qui appuie la planification, la réflexion, la consignation et la gestion de l’apprentissage pour la pratique. Venez apprendre à utiliser la nouvelle structure du MDC et sa nouvelle grille d’attribution d’unités de formation (crédits). – La section 3 est la plus prolifique pour générer mon DPC : 3 crédits par heure. Elle est en lien direct avec ma pratique clinique ; elle touche ma réflexion sur des besoins d’apprentissage que je n’avais pas perçus ; elle touche aussi à l’auto-évaluation de mes connaissances, et même, à l’auto-évaluation de ma performance à travers de multiples avenues et outils de DPC. Toute cette section se fait dans un cadre formatif et permet de bâtir votre « REER » en DPC sur mainport.org. Cet atelier vous explique le pourquoi, le quoi et le comment maximiser votre participation à la section 3 du CRMCC. Conférenciers : Dr Sam J. Daniel, CUSM – L’Hôpital de Montréal pour enfants. Dr Robert L. Thivierge, Université de Montréal. 7 SESSION 7 SESSION 10 SESSION 14 GESTION DU TEMPS Les participants auront, au début de l’atelier, la tâche d’analyser les activités qu’ils ont effectuées au cours de la précédente semaine. Ils pourront, en équipe de deux, discuter des éléments qui leur posent un problème. Par la suite, l’animateur présentera à l’aide de vignettes, des trucs pour la gestion du temps et la gestion des téléphones, des courriels, des réunions, des formulaires et des rendez-vous cliniques. Finalement, en équipe de deux, les participants échangeront entre eux sur les actions qu’ils entreprendront afin d’améliorer leur gestion du temps. LES DIX SITUATIONS MéDICO-LéGALES LES PLUS FRéQUENTES DE LA PRATIQUE DU MéDECIN SPéCIALISTE AU QUéBEC Le risque médico-légal dépend en partie du type de pratique du médecin. De reconnaître les situations les plus à risque est un pas dans la bonne direction. De savoir ce qu’un expert au dossier médico-légal suggère pour diminuer ce risque est encore plus important à analyser. Le but ultime est d’améliorer la qualité de l’acte médical, de diminuer le stress médico-légal et surtout, de développer une culture de soins sécuritaires. L’ACPM explorera les dix situations médico-légales les plus fréquentes de la pratique du médecin spécialiste au Québec et comment les aborder. L’AVC ET LA FIBRILLATION EN 2013 : GESTION PRATIQUE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS, ACCENT SUR LES SITUATIONS URGENTES Connaissez-vous les nouveautés du consensus canadien 2012 sur la fibrillation auriculaire ? Cet atelier permettra de passer en revue les nouveautés principalement sur la stratification du niveau de risque embolique et sur l’utilisation des nouveaux anticoagulants. Il sera aussi question des nouvelles informations quant à la prise concomitante d’antiplaquettaires lors de syndrome coronarien aigu et sur les procédures d’exclusion de l’appendice auriculaire pour les patients avec risque hémorragique élevé. Les participants verront également la prise en charge de l’anticoagulation péri-AVC et pourront discuter du moment de reprise des anticoagulants lors de composante hémorragique. L’atelier permettra également de mettre à jour le management périopératoire pour chacun des nouveaux agents, l’interprétation des tests de coagulation et la conduite vis-à-vis des saignements. Conférencier : Dr François Goulet, Collège des médecins du Québec. 6e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ SESSION 8 8 iPAD, iPHONE ET AUTRES GADGETS AU SERVICE DE NOTRE PRATIQUE QUOTIDIENNE Les technologies de l’information sont omniprésentes et les aides numériques sont partout à portée de main. Que ce soit avec un téléphone intelligent, une tablette ou un ordinateur portable, les applications et logiciels pour faciliter la quête d’information ou la prise de décision se multiplient sans arrêt. Quels sont donc les moyens pour rentabiliser au mieux nos iBidules ? Quels sont les pièges à éviter ? Quelles applications mobiles facilitent vraiment la vie du médecin spécialiste ? Ces applications sont diverses et nombreuses : l’atelier permettra d’échanger sur les expériences de tout un chacun. Depuis les outils qui permettent d’assurer le développement professionnel jusqu’aux pharmacopées électroniques, en passant par les applications cliniques, des plus sérieuses aux plus ludiques, nous discuterons de nos expériences et des pièges à éviter. Conférencier : Dr Marc-Yvon Arsenault, Hôpital de LaSalle. SESSION 9 LA GESTION DU STRESS : POUR LE MÉDECIN, LE STRESS EST À LA FOIS LE MAL ET LA POTION Le ministère, l’agence, les directions et les directives, les cadres et l’encadrement bref, tout ce qui s’interpose entre le soin et le patient, c’est du stress extrinsèque : il faut faire avec et souvent continuer malgré son omniprésence… Le stress extrinsèque est émotionnellement turbulent et épuisant. Le patient, la pratique de son métier, en urgence ou en clinique externe, en salle d’opération ou en cabinet, bref tout ce qui constitue l’essence de notre métier, c’est du stress intrinsèque : il a ses effets dans la satisfaction du travail bien fait, il est positif en soi et est un antidote efficace contre les travers et même les échecs. On peut en devenir dépendant… Le stress intrinsèque recouvre les turbulences émotionnelles d’une couche analgésique. Le stress intrinsèque est un antidote au stress extrinsèque. Comment se prémunir contre les turbulences causées par le stress extrinsèque sans devenir prisonnier d’un investissement intrinsèque exagéré ? Comment récupérer du temps pour soi et pour ses proches ? Comment mettre activement de côté des moments de détente et de sérénité pour consommation quotidienne, hebdomadaire et saisonnière ? Cet atelier vous fera réaliser la maîtrise que vous pouvez récupérer sur votre emploi du temps en sacralisant les activités que vous décidez d’y consacrer. Conférencier : Dr André Arsenault, Hôpital Jean-Talon et Institut de Cardiologie de Montréal. Conférenciers : Me Daniel Boivin et Dre Lorraine LeGrand Westfall, Association canadienne de protection médicale. SESSION 11 LA PLANIFICATION DE LA RETRAITE, À COURT ET À LONG TERME LES ASPECTS FINANCIERS « Le mot retraite n’a jamais fait partie de mon vocabulaire, mais il faudra bien que j’y pense un jour. » Croyez-vous avoir suffisamment d’argent pour la retraite ? Connaissez-vous bien les régimes gouvernementaux (RRQ, RPC) ? Utilisez-vous de bonnes stratégies fiscales pour atteindre vos objectifs de retraite ? Cet atelier interactif répondra à ces questions et abordera aussi d’autres sujets reliés comme les abris fiscaux, les crédits d’impôt et les risques financiers inhérents à la retraite. Traitées avec précision et rigueur et bien vulgarisées par un animateur possédant plusieurs années d’expérience, les explications vous permettront de prendre des décisions éclairées sur votre avenir. Conférencier : M. Mathieu Huot, Financière des professionnels. SESSION 12 LA PLANIFICATION DE LA RETRAITE, À COURT ET À LONG TERME LES ASSURANCES, LES ASPECTS JURIDIQUES ET LES ASPECTS PSYCHOSOCIAUX Le patrimoine familial s’applique-t-il aux conjoints de fait ? Suis-je trop assuré ? Être inapte sans mandat de protection en cas d’inaptitude, quelles en sont les conséquences ? Aije besoin d’une fiducie testamentaire ? Cet atelier interactif répondra à toutes ces questions et abordera aussi d’autres sujets juridiques importants. Les explications d’un notaire vous permettront de prendre des décisions éclairées sur vos besoins en la matière. « J’aimerais réduire mes activités cliniques et prendre une semi-retraite. Mais comment faire ? » Conférenciers : Mme Catherine Felber et Me Andrée-Anne Potvin, Sogemec Assurances. Dr François Goulet, Collège des médecins du Québec. SESSION 13 Conférenciers : Dr Sylvain Lanthier, CHUM – Hôpital Notre-Dame. Dr André Roussin, Clinique médicale 1851. Dr Mario Talajic, Institut de Cardiologie de Montréal. SESSION 15 SUIVRE UN MÉDECIN ET RESTER ZEN… SUIVI DE : UN AVANT-GOûT DU MIEUX-ÊTRE Lors de cet atelier, vous serez sensibilisé à la perspective du médecin traitant sur les enjeux relationnels, les facteurs à considérer pour assurer le suivi et le cadre thérapeutique face à un médecin-patient. Par la suite, vous pourrez interpréter la perspective du médecin-patient sur les comportements typiques des médecins face à leur santé, les obstacles à la consultation et les attentes des médecins lorsqu’ils consultent pour eux-mêmes. Dans la deuxième partie de cet atelier, vous pourrez expérimenter certains aspects de la pratique du « mindfulness » (pleine conscience) selon l’approche de Jon Kabat-Zinn, Ph. D. et comprendre les bénéfices de cette technique dans l’exercice de la médecine. Conférenciers : Patricia Dobkin Ph. D., Université McGill. Dr Claude Rajotte, Programme d’aide aux médecins du Québec. SESSION 16 A)LES HABILETÉS DE GESTION D’UN CHEF DE DÉPARTEMENT Dans les centres hospitaliers du Québec, les membres d’un département ou d’un service sont souvent appelés à tour de rôle à assumer la fonction de chef, et ce, avec des mandats souvent mal définis. Pour certains, devenir chef sera une source de satisfaction ; pour d’autres, l’aventure tournera au cauchemar. Avez-vous les attitudes et habiletés de gestion requises ? Quelles sont vos attentes, celles des collègues et celles de l’administration ? Cette présentation s’adresse à vous si vous voulez connaître le profil d’un bon chef de département et savoir si vous avez le physique de l’emploi. INNOVATIONS EN DPC : INTÉGRATION DE LA SIMULATION DANS LES PROGRAMMES DE DPC Plusieurs centres de simulation médicale ont été implantés au cours de la dernière décennie dans les différentes facultés de médecine canadiennes ainsi que dans leurs réseaux hospitaliers. Cet atelier s’adresse aux organisateurs ainsi qu’aux dispensateurs de DPC (conférenciers, facilitateurs, etc.). De l’apprentissage du simple geste technique jusqu’à l’immersion dans des situations cliniques complexes à l’aide de mannequins de haute-fidélité, chaque participant pourra toucher directement aux potentiels et à la puissance pédagogique des outils utilisés en simulation, et pourra enrichir sa propre expertise en pédagogie du DPC. Conférencier : à confirmer. Conférenciers : Dr Pierre Drolet, Dr Jean-Victor Patenaude, Dr Robert L. Thivierge, Centre de simulation CAAHC, Faculté de médecine, Université de Montréal. SESSION 17 ** A vis important : afin d’offrir cette activité, un minimum de 30 inscriptions est requis avant le 4 septembre 2013. Inscrivez-vous rapidement ! B)LEADERSHIP MÉDICAL : PAR SON IMPLICATION, LE MÉDECIN HOSPITALIER PEUT AMÉLIORER SA SITUATION ET CELLE DE SES PATIENTS Le médecin spécialiste œuvrant en centre hospitalier ressent trop souvent un sentiment d’impuissance face aux décisions et aux événements dans son milieu de travail. Il devrait plutôt réaliser qu’il jouit d’une grande capacité d’influence pour apporter des améliorations ou des modifications aux pratiques cliniques et organisationnelles. Les cabinets d’avocats et de comptables sont gérés par des pairs, alors pourquoi n’y aurait‑il pas une plus grande cogestion dans nos hôpitaux ? Conférencier : à confirmer. LA COLLABORATION SESSION SPÉCIALE À L’INTENTION DES MéDECINS RÉSIDENTS RÉSUMÉ À VENIR