les conseils ville musee hotel - Connaissance de l`Art Contemporain

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les conseils ville musee hotel - Connaissance de l`Art Contemporain
26 - 28 JUIN 2015 > WE ART Bordeaux
Grand Week-End art en liberté
LA VILLE
> BORDEAUX
Longtemps surnommée « La belle endormie », Bordeaux
est une ville en mouvement qui allie patrimoine classique et
vie artistique contemporaine, héritage et innovation. Lovée
dans le coude de la Garonne, le port de la Lune a conservé
son décor de théâtre tout en abandonnant sa fierté
hautaine, souvent frondeuse vis-à-vis de la capitale.
L’histoire de Bordeaux débute au Ve siècle avant J.C. Elle
était l’une des villes les plus opulentes de la Gaule romaine,
grâce notamment au commerce de suif, de cire, de poix
et de papyrus. Mais c’est surtout au cours de l’époque
médiévale que Bordeaux, ville majeur du Duché d’Aquitaine
indépendant, va gagner en splendeur suite aux mariages
successifs d’Aliénor d’Aquitaine avec le roi de France Louis
VII, puis Henri II Plantagenêt, futur roi d’Angleterre, en
1154. La ville est alors rattachée à la couronne anglaise
et va le demeurer pendant trois siècles : l’Aquitaine
prononcée à l’anglaise devient « la Guyenne ». La ville
s’étend progressivement depuis le lit du fleuve, au-delà
de l’enceinte fortifiée. Au delà, se développe le bourg de
Saint-Seurin et le couvent des Chartrons, au nord. C’est au
cours du XIIIe siècle que Bordeaux devient prospère grâce
au commerce du vin. La ville redevient une possession
française à la fin de la guerre de Cent Ans. Craignant son
attitude rebelle, les rois de France sont obligés d’y édifier
plusieurs forteresses pour dissuader les bordelais de se
révolter contre la monarchie : le fort Louis, le fort du Hâ et
le château Trompette.
Bordeaux connaît son second apogée du milieu du XVIIe
siècle jusqu’à la Révolution française. Cette prospérité
provient à nouveau du commerce et de son activité
portuaire, qui deviendra l’un des premiers du royaume. La
ville commerce le vin, mais aussi le sucre colonial et les
esclaves. Elle devient un centre négrier majeur et permet
à certaines grandes familles de négociants de s’enrichir
grâce au commerce triangulaire. En 1571, le Parlement de
Bordeaux s’était pourtant prononcé contre l’esclavage.
Il existait une forte tradition humaniste bordelaise dont le
plus célèbre représentant fut Montaigne. En 1548, Étienne
de La Boétie, membre du Parlement de Bordeaux, avait
rédigé un des premiers textes anti-esclavagistes européens
: « Le discours de la servitude volontaire ». Au cours de
cette période, archevêques, intendants et gouverneurs
installés par le roi, dont Tourny et Boucher, embellissent
la ville, assèchent les faubourgs marécageux et insalubres
et aménagent les anciens remparts. L’architecte André
Portier construit, à la place des portes fortifiées de la vieille
ville, de majestueux arcs de triomphe comme la Porte
d’Aquitaine (place de la Victoire), la porte Dijeaux, la porte
de la Monnaie, ou encore, la porte de Bourgogne. La ville
se dote également d’un opéra construit par Victor Louis en
1780, aujourd’hui, le Grand Théatre. L’architecte de Louis
XV, Ange-Jacques Gabriel crée le Jardin Public, un haut
lieu de promenade qui rencontre très vite la faveur des
Bordelais. Il imagine également la vitrine de la ville :
la place de la Bourse, magnifique ensemble XVIIIe siècle de
type versaillais, qui donne sur les quais.
Au XVIIIe, la ville devient une des capitales européennes des
Lumières dont Montesquieu est le précurseur. Bordeaux
et ses députés seront des acteurs décisifs de la Révolution.
Mais, au lendemain de l’exécution des Girondins, la
ville se soulèvera contre la Commune de Paris. Ruinée
par les guerres napoléoniennes, la cité se réveille à la
Restauration avec la démolition du château Trompette, en
1816, remplacé par l’immense place des Quinconces, et
la construction du premier pont sur la Garonne, le Pont
de Pierre. Le faubourg rive droite de la Bastide connaît
en conséquence ses premiers développements. La ville
s’étend alors vers l’ouest avec la construction d’échoppes,
maisons basses caractéristiques du paysage urbain
bordelais.
La Seconde Guerre mondiale marque une nouvelle période
de troubles pour Bordeaux et devient pour la troisième fois
le centre de gouvernement d’une France en danger, ce qui
lui vaut le surnom de « capitale tragique » : la ville accueille
le gouvernement alors présidé par Paul Reynaud. La ville
sera ensuite occupée par les Allemands. Le port jouera
pendant cette période, un rôle majeur dans l’économie du
Troisième Reich, en témoigne la construction d’une base
sous-marine bétonnée. Ce lieu accueille aujourd’hui, des
expositions temporaires.
LES VISITES CONNAISSANCE
DE L’ART
> FRAC AQUITAINE
Fondé en 1982 dans le cadre des lois de décentralisation
et pour servir une volonté politique de soutenir la création
contemporaine et de démocratisation de la culture, le Fonds
régional d’art contemporain de la région Aquitaine conserve
plus d’un millier d’œuvres, patrimoine vivant et représentatif
des formes et expressions contemporaines, qu’il diffuse en
priorité en région, mais aussi en France et à l’étranger.
Le Frac assure, outre la présentation d’expositions, un grand
travail d’éducation et de médiation de l’art contemporain.
propose des accompagnements et des appuis individuels
et collectifs, à tout opérateur culturel, artiste et auteur,
dans un esprit de professionnalisation, de coopération et de
mutualisation.
+ http://www.pola.fr
> CAPC
Installé depuis 2005 au Hangar G2, situé au bassin à
flot, une zone portuaire dans le quartier de Bacalan, à
Bordeaux, le Frac Aquitaine a pour projet de déménager
prochainement dans la méca, un bâtiment conçu par
l’agence BIG, pour accueillir plusieurs structures artistiques
au rayonnement régional. La méca sera implantée sur le
site emblématique des anciens abattoirs, au cœur du futur
quartier de la création de Bordeaux Euratlantique.
Le CAPC (Centre d’arts plastiques contemporains), créé
en 1973 par Jean-Louis Froment, s’installe dès 1974 dans
l’Entrepôt Lainé, ancien entrepôt de denrées coloniales.
Depuis sa première exposition d’art contemporain, intitulée
« Regarder ailleurs », le CAPC a connu une évolution
importante. Sa mission : faire connaître l’art d’aujourd’hui et
+ http://www.frac-aquitaine.net/
> LA FABRIQUE POLA
Située dans l’agglomération bordelaise (Bègles), la Fabrique
Pola est un lieu dédié à la création contemporaine, à la
production et à la diffusion artistique. Elle est habitée par
19 structures en lien avec les arts visuels, dont 9 artistes
résidents, une équipe mutualisée de 5 salariés ainsi que
3 ateliers de production gérés par les structures. Depuis
peu, elle met à disposition son Polarium, un espace de
rayonnement artistique dédié à toutes les disciplines. Dans
ce lieu de ressources, les fonctions vitales d’un projet
artistique et culturel sont activées quotidiennement. Le
réseau de coopération qui l’habite et les expériences de
terrain qui l’animent font de la Fabrique Pola une véritable
boîte à outils multi-usages. Outre ses principes actifs
d’accueil de structures, d’ateliers d’artistes et d’accessibilité
à des espaces de production, et de diffusion, la Fabrique
Pola, à partir de ses expertises,
familiariserle public avec l’actualité artistique.
Sa collection d’oeuvres élaborée depuis plus 20 ans, est
particulièrement riche en art conceptuel, Land art,
Supports/Surfaces et Arte Povera. On peut noter également
un ensemble important d’œuvres de Jean-Charles Blais, Tony
Oursler, Wolfgang Tillmans et d’artistes espagnols figuratifs
comprenant notamment des œuvres de Miquel Barceló. La
collection, constituée d’un millier d’œuvres, est d’une qualité
remarquable.
LES VISITES LIBRES
> MUSEE D’AQUITAINE
Le musée d’Aquitaine présente l’histoire de Bordeaux et de
sa région, depuis la préhistoire jusqu’à nos jours, à travers
ses collections d’archéologie, d’histoire et d’ethnographie
régionale et extra-européenne. « Musée de civilisation »,
il présente chaque année des expositions temporaires
explorant des thèmes sur l’histoire et les cultures du monde.
Il propose au public une programmation culturelle : cycles de
conférences, projections, tables-rondes, visites commentées,
concerts, rencontres avec les communautés étrangères,
ateliers pédagogiques.
Le musée d’Aquitaine est le fruit en 1963 du regroupement
des collections des Musée lapidaire (créé en 1783 par
l’Académie de Bordeaux) et Musée préhistorique et
ethnographique, Musée d’armes et objets anciens. Il réside
dans les locaux de l’ancienne faculté des lettres et des
sciences, bâtiment construit dans les années 1880 par
l’architecte municipal Charles Durand et implanté à la place
des anciens couvents des Feuillants et de la Visitation, date
de 1987.
+ http://www.musee-aquitaine-bordeaux.fr/
> INSTITUT CULTUREL BERNARD
MAGREZ
L’Institut Culturel Bernard Magrez - fondé en 2011 par
Bernard Magrez lui même - pour créer une passerelle
entre tradition et innovation, et une plateforme d’échanges
interculturels. Espace privé de diffusion culturelle et de
rencontre, participe d’une volonté de rendre l’art actuel plus
accessible pour mieux le comprendre et mieux le ressentir
dans un écrin d’un patrimoine, le Château Labottière.
Il accueille des expositionstemporaires d’art moderne et
contemporain, des artistes en résidence de création ainsi
que la ainsi que les oeuvres de la collection personnelle de
Bernard Magrez.
Le Château Labottière tient son nom de ses commanditaires
Antoine et Jacques Labottière, qui appartiennent à une
famille d’imprimeurs-libraires installée à Bordeaux et à Lyon.
Dans les années 1770, les deux frères se font construire
cette magnifique maison de campagne. C’est l’architecte
Etienne Laclotte qui dessine la demeure d’inspiration grécoromaine et le parc qui l’entoure.
+ http://www.institut-bernard-magrez.com
TOP 5 INCONTOURNABLES
Patrimoine
en plus des propositions faites dans le programme, on vous propose
d’aller voir...
1. La Place de la Bourse
Réalisée sous l’intendance de Claude Boucher par
l’architecte de Louis XV - Ange-Jacques Gabriel - entre
1730 et 1775, la place de la Bourse était destinée à servir
d’écrin à la statue équestre du roi, détruite à la Révolution.
Inaugurée en 1749, elle est le symbole de la prospérité de la
ville. Elle ne prend le nom de Place de le Bourse qu’en 1848
à la chute de Louis-Philippe Ier : elle avait successivement
été appelée place Royale et place de la Liberté pendant la
Révolution, puis place impériale sous Napoléon Ier, et place
Royale à la Restauration.
Oeuvres remarquable de l’art architectural classique
français du XVIIIe siècle. Elle est encadrée par deux corps
de bâtiments : le Palais de la Bourse et l’Hôtel des Fermes.
Ce dernier est orné de sculptures représentant Minerve
protégeant les arts et Mercure favorisant le commerce de
la ville.
2. Grand Théâtre
Le Grand Théâtre, commandé par le maréchal de Richelieu,
gouverneur de Guyenne, édifié par l’architecte Victor Louis,
a été inauguré le 7 avril 1780 avec la représentation de
l’Athalie de Jean Racine. Classé monument historique
en 1899, réminiscence de l’Antiquité par son péristyle,
l’ouvrage de 88 mètres sur 47 de style néo-classique,
s’inscrit dans l’opulent urbanisme bordelais hérité du siècle
des Lumières.
La façade extérieure est précédée de douze colonnes
corinthiennes surmontées de statues de pierre représentant
les neuf muses et trois déesses : Junon, Vénus, Minerve.
Il abrite une salle de spectacle d’un millier de places, exemple
parfait de théâtre à l’italienne. Après plus de deux cent
ans d’usages divers ou de transformations successives de
ses salles comme de son environnement, il a retrouvé sa
décoration intérieure bleue, or et marbre blanc d’origine
à l’occasion de sa dernière restauration en 1991. Le
Grand Théâtre est aujourd’hui le siège de l’Opéra national
de Bordeaux qui y programme sa saison lyrique et les
représentations du Ballet de l’Opéra.
4. Saint-Michel
La basilique Saint-Michel, bâtie du XIVe au XVIe siècle,
caractéristique du style gothique flamboyant, est l’un des
principaux lieux de culte catholique de la ville de Bordeaux,
et l’un des point phare de la route de Saint-Jacques-deCompostelle. Elle partage avec la cathédrale Saint-André
la particularité d’être dotée d’un clocher indépendant du
sanctuaire. La flèche Saint-Michel s’élève à 114 mètres de
hauteur, et est considérée comme la deuxième plus haute de
France. A sa base, se trouve une crypte qui servit longtemps
d’ossuaire, puis de lieu d’exposition pour des « momies »
exhumées au XIXe siècle lors de l’aménagement de la place
Meynard, ancien cimetière paroissial.
Saint-Michel c’est le quartier mixte et populaire de Bordeaux,
celui où il est bon de flâner, de prendre un thé à la menthe
en terrasse, de chiner et dde descendre dans des caves
pour écouter de la musique.
5. Tram + Art Contemporain
Depuis 2003, ont été installées sur le territoire bordelais
des œuvres d’art contemporain réalisées dans le cadre de la
commande publique du tramway portée par la Communauté
urbaine de Bordeaux.
Le programme initial achevé en 2009 a permi de produire
des oeuvres d’Elisabeth Ballet, Claude Closky, Michel
François, Ilya et Emilia Kabakov, Thierry Lahontâa, Valérie
Mréjen, Melik Ohanian, Xavier Veilhan et les collectifs Buysellf, 4 Taxis, Stalker. Deux nouvelles œuvres d’Antoine
Dorotte et du duo d’artistes Daniel Dewar et Grégory Gicquel
ont été récément à ce parcours d’art contemporain, en
plein air, et une œuvre de Pascal Convert est en cours de
réalisation.
http://www.bordeaux-metropole.fr/nature-cadre-de-vie/
commande-artistique-tramway
Senna, Jaume Plensa © Florian David - Mairie de Bordeaux
3. Place des Quinconces
Créée au début du XIXe siècle sur l’emplacement du
château Trompette, elle est alors plantée pour moitié
d’arbres, dont la disposition en quinconces lui donne son
nom. Composée d’une esplanade descendant en pente
douce vers la Garonne, elle s’ouvre sur les quais par deux
colonnes rostrales de 21 mètres de haut. Chaque colonne
est ornée au tiers inférieur de quatre proues de galères
prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois
glaives, symbole depuis l’Antiquité de la maîtrise triomphale
des mers. Deux sculptures couronnent le chapiteau : l’une
représente le Commerce et l’autre la Navigation. A l’autre
extrémité de la place des Quinconces, s’élève depuis 1894
le monument aux Girondins à la mémoire des députés
Girondins victimes de la Terreur et célébrant la République.
Composé de deux bassins, ornés de sculptures de chevaux
et de groupes en bronze, la fontaine est surmontée d’une
colonne de 43 mètres de haut où culmine la statue de la
Liberté brisant ses fers. Autre symbole bordelais présent sur
la place des Quinconces, deux des trois « M » : des statues
monumentales de Montaigne et de Montesquieu en marbre
blanc (il ne manque que Mauriac).
Sa superficie de 12 hectare en fait la plus grande place
de France et d’Europe, lui permettant ainsi d’accueillir des
manifestations telles que des concerts et des foires, comme
la foire aux plaisirs (une fête foraine), la foire d’Automne
(brocante) ou encore le Cirque Arlette Gruss.
TOP 7 INCONTOURNABLES
Gastronomie / Shopping /
Curiosité
1. Darwin - Le magasin général Dans un lieu remplit du charme de la récup., retrouvez une
épicerie et un restaurant. L’épicerie bio propose une large
gamme de produits responsables, savoureux et bons. Juste
derrière, le bistrot-réfectoire vous concocte ses fameux
petits plats midi et soir qui feront le bonheur de vos papilles.
Et tout ça, à des prix abordables. Un lieu ouvert 7 jours sur 7
de 8h30 à 18h du lundi au mercredi, de 10 h à minuit
les jeudis, vendredi et samedi. Enfin le dimanche, venez «
bruncher », manger ou boire un verre à partir de 10 h et
jusqu’à 18 h. Réservations au 05 56 77 88 35.
4. La rue Sainte Catherine
La rue Sainte-Catherine, rue piétonne de 1 250 mètres
de long, est la principale rue commerçante de Bordeaux.
Cette rue est l’un des deux grands axes qui traversent la
partie historique de la ville. Elle coupe le centre suivant
un axe Nord-Sud en reliant la place de la Comédie où se
situe le Grand Théâtre à la place de la Victoire. La rue
Sainte-Catherine et les quartiers situés à l’Ouest de celleci sont très commerçants (plus de 250 boutiques dont
les Galeries Lafayette, la Fnac, l’Apple Store, etc.). Elle est
devenue piétonne sur la plus grande partie de sa longueur
entre 1976 et 1977 puis intégralement en 1984. Elle est
souvent présentée comme la plus longue rue commerçante
d’Europe. Elle a été entièrement réaménagée entre 2000 et
2003 suivant le projet de Jean-Michel Wilmotte.
5. Les Grands Hommes
Le marché des Grands Hommes s’impose au coeur du
«Triangle», entre les allées de Tourny, le cours Clémenceau
et le cours de l’Intendance. La galerie tout en verre et en
piliers métalliques avec, au sommet, une magnifique coupole
a été inaugurée en 1991. Lieu remarquable par son
architecture, il propose une offre commerciale de grande
qualité. Au sous-sol de la galerie des Grands Homms, les
clients trouveront des commerces alimentaires (primeur,
traiteur, boucher, fromager, poissonnier et boulanger) ainsi
que deux brasseries très conviviales.
6. Le Garage Moderne
Hangar chargé d’histoire et de bibelots, à la croisée des
chemins entre un musée d’art moderne et l’entrepôt d’un
collectionneur fantasque, le Garage moderne accueille des
concerts, expositions ou activités théâtrales.
2. Bar à vin du CIVB
Le Bar à Vin se situe au rez-de-chaussée de la Maison du Vin
de Bordeaux, siège du Conseil Interprofessionnel des Vins de
Bordeaux. Cet immeuble du XVIIIème siècle, connu sous le
nom d’Hôtel Gobineau, rappelle l’activité portuaire de la ville
par ses lignes en forme de proue de navire.
Entièrement conçu et rénové par l’architecte Françoise
Bousquet, le Bar à Vin, inauguré en juin 2006, associe
architecture néo-classique à colonnade et mobilier
contemporain. Les matériaux nobles et les formes épurées
évoquent le monde viticole. Les œuvres d’art des années
50, qui le décorent, magnifient le travail de la vigne : une
tapisserie d’Aubusson, commandée à Marc Saint-Saëns,
sur le thème de la vigne, et deux vitraux de René Buthaud,
représentant Apollon triomphant au milieu des vendangeurs
de Bordeaux et une allégorie du fleuve Garonne.
3. Restaurant La Grande Maison
Non loin de l’institut Bernard Magrez,Joël Robuchon et
Magrez lui même ont souhaité ouvrir fin décembre 2014 «la
Grande Maison». Le restaurant disposera de la seule carte
au monde à proposer 160 crus classés de Bordeaux (Saint
Emilion, Sauternes, Médoc, Graves), et des vins assimilés
classés comme le Pomerol, amenant à 259 le nombre de
références figurant sur la carte. Des vins de Bourgogne, de
la Loire mais aussi étrangers seront proposés, étoffant le
choix d’une centaine de crus environ.Vous pourrez déguster
une cuisine Néo-Classique pensée par Joël Robuchon.
7. Promenade/Dégustation sur la Garonne
Embarquez pour une promenade d’une heure trente en
bateau et visitez Bordeaux autrement. Accompagné d’un
viticulteur des vignobles bordelais, dégustez des vins
authentiques issus de propriétés familiales. Le vigneron vous
fait partager sa passion de la vigne et de son terroir tandis
que le guide vous conte l’histoire des rives de Bordeaux.
Proposé par > Bordeaux River Cruise à 21 €
LES hôtels que nous vous conseillons
> Hôtel de l’Opéra**
L’hôtel de l’Opéra est situé dans le centre de Bordeaux, en face
du Grand Théâtre de Bordeaux et à 350 mètres de la Place des
Quinconces (arrêt de tram qui permet de rejoindre directement la
gare Saint-Jean)
à partir de 74 euros pour 2 nuits en chambre double ou jumeau - 10% de TVA
comprise – Petit déjeuner et taxe de séjour (1,10 € par nuit) non comprise
http://opera.hotel-bordeaux-centre.com/fre/reservations/
novaresa
+avis www.tripadvisor.fr
> HOTEL La PORTE DIJEAUX**
Cet hôtel est situé en plein cœur du quartier commerçant de Bordeaux,
près de la place Gambetta. L’église Notre-Dame et le Grand Théâtre se
trouvent tous deux à 5 minutes à pied de l’hôtel. L’arrêt de tramway Hôtel
de Ville est à seulement 900 mètres.
à partir de 75 euros pour 2 nuits en chambre comfort double ou jumeau - 10% de TVA
comprise – Petit déjeuner et taxe de séjour (0,85 € par nuit) non comprise
http://www.hotel-porte-dijeaux.com/
+avis www.tripadvisor.fr
> Mercure Cité Mondiale Centre Ville
****
Le Mercure Cité Mondiale Centre Ville vous accueille dans le charmant
quartier des Chartrons à Bordeaux. Il dispose d’une terrasse
panoramique avec vue sur la Garonne, le pont de Pierre et la zone
portuaire. L’hôtel se trouve à 2 minutes à pied du CAPC (musée d’art
contemporain).
à partir de 89 euros pour 2 nuits en chambre double standard - 10% de TVA compris
Petit déjeuner et taxe de séjour (1,45 € par nuit) non compris.
http://www.mercure.com/fr/booking/rates.
shtml?packId=53365974155
http://www.booking.com/hotel/fr/hotelclaretlibertel.fr.html
+avis www.tripadvisor.fr
> CITY APPART ADAGIO BORDEAUX GAMBETTA****
Situé au cœur de Bordeaux, l’Adagio Bordeaux Gambetta propose des
hébergements indépendants installés à 200 mètres de l’arrêt de tramway
Gambetta. La célèbre rue commerçante Sainte-Catherine se trouve à 10
minutes de marche. En outre, le musée des beaux-arts est accessible à 280
mètres.
à partir de 114 euros pour 2 nuits dans un studio - 10% de TVA compris Petit déjeuner et
taxe de séjour (1,45 € par nuit) non compris.
http://www.adagio-city.com/fr/hotel-6643-aparthotel-adagio-bordeauxgambetta/index.shtml

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