Animals, animaux - Opéra

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Animals, animaux - Opéra
Animals,
animaux
The Lark Ascending / Le Carnaval des animaux
Ralph Vaughan Williams | Camille Saint-Saëns
Mar. 17 novembre 2015 - 10 h (séance scolaire)
Mar. 17 novembre 2015 - 20 h 30 (tous publics)
Pour la première fois lors de ce spectacle, l’Opéra de Limoges propose aux personnes
malentendantes un système d’aide à l’écoute.
Des boucles magnétiques sont mises à disposition des personnes porteuses d’un appareil
auditif adéquat (possédant la position T ou MT).
Les prochaines dates :
La Princesse de Trébizonde, dimanche 3 janvier 2016, 15h
Cendrillon, dimanche 17 janvier 2016, 15h
L’Arbre des songes, mardi 26 avril 2016, 20h
Audika et la MGEN soutiennent les actions de l’Opéra en direction des personnes en situation de handicap auditif.
Informations et réservations auprès d’Anne Thorez
Actions éducatives et culturelles / Accessibilité - 05.55.45.95.11
[email protected]
Orchestre de Limoges et du Limousin
Animals,
animaux
The Lark Ascending / Le Carnaval des animaux
Ralph Vaughan Williams | Camille Saint-Saëns
Mar. 17 novembre 2015 - 10 h (séance scolaire)
Mar. 17 novembre 2015 - 20 h 30 (tous publics)
David Molard, direction
Paul Golub, mise en espace
Joël Viala, costumes
Ludovic Pannetier, lumières
Ralph Vaughan Williams
The Lark Ascending (1914) pour violon et orchestre d’après un poème de George Meredith
Albi Binjaku, violon solo
Camille Saint-Saëns
Le Carnaval des animaux (1886)
Livret d’Eric-Emmanuel Schmitt
Deux comédiens récitants
Jacqueline et William Bensimhon, pianos
1 - Introduction et Marche royale du lion
2 - Poules et Coqs
3 - Hémiones
4 - Tortues
5 - L’Eléphant
6 - Kangourous
7 - Aquarium
8 - Personnages à longues oreilles
9 - Le Coucou au fond des bois
10 - Volière
11 - Pianistes
12 - Fossiles
13 - Le Cygne
14 - Finale
Durée : environ 1 h
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Repères
De Vaughan Williams à Saint-Saëns, petits et grands sont plongés dans un songe où les
histoires se superposent, où les animaux paradent, nagent et volent dans une totale féerie –
l’humour du Français trouve son écho dans la poésie du Britannique.
The Lark Ascending (L’Envol de l’alouette)
britannique son identité universelle, survolant les
conflits et les révolutions.
Si Ralph Vaughan Williams demeure inconnu et fort
peu joué en France, c’est un véritable héros national
outre-Manche. Neuf symphonies, des pièces
symphoniques (comme la célèbre Fantaisie sur un
thème de Thomas Tallis que l’on entend dans le
film Master and Commander), des opéras et ballets,
mais également plusieurs concertos dont les pages
magistrales de The Lark Ascending : « RVW » a
illuminé la première moitié du XXe siècle britannique
d’une musique intemporelle, suspendue entre la
Renaissance (Thomas Tallis), le folklore (Fantaisie
sur des Christmas Carols) et l’impressionnisme.
On connaît trop peu son concerto pour tuba, qui
semble faire un lien naturel entre Barry Lyndon et
Le Seigneur des Anneaux, sa fantastique Sinfonia
Antartica ou sa magistrale Sea Symphony.
De la même manière, le violon solo figure le
mouvement gracieux et aérien de l’oiseau et nous
emporte au-delà des lacs et des plaines, au-dessus
du tapis brumeux et paisible de l’orchestre, loin des
affres de la symphonie postromantique. Dans cette
atmosphère poétique, caractéristique de Vaughan
Williams, le temps est suspendu.
Le Carnaval des animaux
En 1886, Saint-Saëns est à l’orée d’une renommée
mondiale. On a applaudi son Samson et Dalila, ses
deux premières symphonies, et il se livre justement
à la composition de sa plus fameuse, de sa plus
grande – la symphonie « avec orgue ». Membre de
l’Académie des Beaux-Arts, il est très apprécié à
Saint-Pétersbourg et le sera bientôt aux Etats-Unis,
et y défend avec sérieux les valeurs de la musique
française. Saint-Saëns, encore aujourd’hui, est le
symbole de l’académisme français dans toute sa
splendeur – grand pourfendeur des évolutions de la
musique allemande jusqu’à la fin de sa vie, il défend
le romantisme des grandes phrases confiées aux
cordes et des thèmes mélancoliques confiés aux
bois. Admiré par Berlioz, il en est aussi le digne
successeur.
Les Anglais, eux, les connaissent. Par cœur, même.
The Lark Ascending, « romance pastorale pour
orchestre » selon les termes du compositeur, est
composé d’abord pour violon et piano pendant l’été
de la mobilisation générale, en 1914. En s’inspirant
du poème de George Meredith dont il met le premier
et dernier vers en exergue, Vaughan Williams se place
loin des ruptures du continent (le dodécaphonisme
de Schönberg, le néo-classicisme déjà un peu dada
de Poulenc). Un critique du Times dira à sa création
que l’œuvre montre une « indifférence sereine
à l’égard des modes d’aujourd’hui et d’hier » : le
compositeur utilise une écriture modale (dont la
gamme pentatonique) qui l’inscrit au-dessus des
courants et des écoles. Il redonne à la musique
On est bien loin, donc, de la petite plaisanterie
musicale qui nous intéresse. Au départ, ce n’est qu’un
simple divertissement que Saint-Saëns composa
pour des concerts de Mardi-Gras organisés par un
de ses amis violoncelliste. Le plaisir musical étant
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Extrait
tout autant interdit que les plaisirs de la chère en
période de carême, il fallait bien s’en donner à cœur
joie : le compositeur cite ses contemporains et ses
prédécesseurs – la Damnation de Faust de Berlioz,
le Barbier de Séville de Rossini, Orphée aux enfers
d’Offenbach –, se moque de ses propres succès
(sa célèbre Danse macabre) et éparpille quelques
airs populaires (J’ai du bon tabac et Au clair de
la lune) au milieu des animaux en tout genre (de
l’éléphant… aux pianistes, en passant par les
fossiles), qu’il traite avec plus (Aquarium) ou moins
(Kangourous) de romantisme et de grâce.
Le poème de
George Meredith (1881)
He rises and begins to round,
He drops the silver chain of sound,
Of many links without a break,
In chirrup, whistle, slur and shake.
For singing till his heaven fills,
‘Tis love of earth that he instils,
And ever winging up and up,
Our valley is his golden cup
And he the wine which overflows
to lift us with him as he goes.
Mais l’austère organiste barbu qu’est Saint-Saëns
redoute la réaction du siècle. Lors du concert privé,
on reproche la puérilité de la démarche. Saint-Saëns
interdit le Carnaval des animaux d’exécution jusqu’à
sa mort. Seul le Cygne échappe à l’index et devient
(jusqu’à aujourd’hui !) le tube des violoncellistes.
Pourtant, l’œuvre de Saint-Saëns est bien une
prouesse musicale : Liszt, lors de sa création privée,
admire l’orchestration raffinée du compositeur –
mais que dire d’autre, face aux braiements de l’âne,
aux bruits d’ailes, aux bois du fond desquels chante
le coucou ? Loin des accusations d’enfantillage et
du discrédit que des yeux académiques auraient
pu porter sur la grande fantaisie zoologique, nous
en apprécions aujourd’hui simplement l’originalité,
l’inventivité et la poésie.
Till lost on his aerial rings
In light, and then the fancy sings.
Elle s’élève et se met à tourner,
Déroule des sons la chaîne argentée
En nombreux anneaux sans les détacher :
Claquements, sifflets, liaisons et tremblés.
C’est pour distiller l’amour de la terre
Qu’elle chante au point de remplir les airs.
À chaque coup d’aile elle monte encor,
Et de la vallée fait sa coupe d’or ;
Elle en est le vin qui déborde au sol
Pour nous emporter avec son envol.
par Constance Clara Guibert , dramaturge musicale
Quand elle se perd en notes légères,
La fantaisie chante en pleine lumière.
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Carnaval des animaux
Introduction
Les trilles du piano imitent le roulement du tambour
comme dans une marche militaire ou la cymbale au
cirque. Les montées des violons et des violoncelles
annoncent la suite des festivités.
Personnages à longues oreilles
Le braiement de l’âne est reproduit par les violons.
Le coucou au fond des bois
Mouvement satirique dans lequel la clarinette répète
vingt et une fois le même motif sur les deux mêmes
notes.
Marche royale du lion
Marche majestueuse sur un rythme très strict, aux
sonorités vaguement orientales. Le piano et les
cordes imitent le rugissement du lion que viennent
entrecouper des sonneries de fanfare.
Volière
Mouvement très gracieux. Le thème à la flûte et aux
cordes crée un tapis sonore imitant le battement
d’ailes des oiseaux.
Poules et coqs
Musique purement imitative, ce qui est rare au
XIXe siècle. Les cordes aiguës font entendre le
caquètement des poules, le piano et la clarinette, le
cocorico des coqs.
Pianistes
Caricature des bêtes de concours que sont les
pianistes. Ils sont représentés par leurs exercices
quotidiens (gammes...)
Hémiones (petits ânes sauvages du désert)
Ce mouvement fait appel à un motif de quatre notes
(les quatre pattes de l’animal) dans un tempo très
rapide pour reproduire la vélocité de l’animal.
Fossiles
Évocation des animaux disparus mais également
de vieux airs de l’époque (Danse macabre de SaintSaëns lui-même, J’ai du bon tabac, Ah vous dirais-je
maman, Au clair de la lune). La clarinette reprend
Le Barbier de Séville de Rossini dans le but de
caricaturer l’opéra italien.
Tortues
Thème très lent aux violoncelles et altos qui jouent
à l’unisson. Pastiche du thème du « French cancan »
(Orphée aux Enfers d’Offenbach).
Le Cygne
Magnifique solo de violoncelle, très poétique.
L’unique pièce du Carnaval qui ne fut pas interdite
d’exécution par Saint-Saëns durant son vivant.
L’Éléphant
Mouvement comique, avec un thème très lent tenu
par la contrebasse. C’est une valse à trois temps.
Finale
Clôture sous forme de défilé. Les animaux
réapparaissent plus ou moins brièvement : les
hémiones, les fossiles, les poules et coqs, les
kangourous, les ânes et les lions (par la tonalité
utilisée).
Kangourous
L’alternance lent / vif ainsi que les appoggiatures
(notes ajoutées permettant de mettre en relief la note
à laquelle elles sont liées) imitent les mouvements
des kangourous.
Aquarium
Thème tournoyant, monde de l’imaginaire notamment
avec les notes jouées au xylophone.
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La version d’Éric-Emmanuel Schmitt
Le récit que je vous propose raconte une histoire,
certes, mais une histoire qui, au lieu de cheminer
Il existe différents textes pour accompagner Le
Carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns, dont
le plus célèbre est très certainement celui de Francis
Blanche (plusieurs petits textes truffés de jeux de
mots).
à côté des notes, ouvre nos oreilles pour mieux les
entendre. La musique ne décrit pas le monde comme
la peinture, la photographie, le cinéma ; elle a sa vie
propre, son charme singulier ; pourtant elle peut se
plaire à reproduire des événements de la nature - le
Dans la production de l’Opéra de Limoges, le choix
s’est porté sur le texte d’Eric-Emmanuel Schmitt qui
permet un voyage au cœur même de la création
musicale. L’écrivain montre comment le compositeur
arrive à créer des animaux à partir d’instruments,
comment il compose un air avec le braiement de
l’âne, le silence du cygne.
braiement de l’âne, le chant du coq ou du coucou -, à
suggérer des formes, des mouvements, des couleurs
et à se moquer des airs passés en les transformant
en tortues, en éléphants et en dinosaures.
Eric-Emmanuel Schmitt
Pour cela, quatre personnages interviennent :
• Camille Saint-Saëns lui-même, qui déplore son
célibat
• Trois très belles femmes : Pia Nissimo1, Irène
de Saint-Cope2, Alma Zurka3 qui poussent le
compositeur à avoir toujours plus d’imagination
afin de leur faire éprouver différents animaux.
Irène de Saint-Cope : en musique, une syncope est un
procédé rythmique qui consiste à démarrer un son sur un
temps faible et à le poursuivre sur le temps fort suivant.
1
Alma Zurka : la mazurka est une danse de salon d’origine
polonaise, à trois temps et très rythmée. Les accents se
déplacent sur les temps faibles.
2
Pia Nissimo : pianissimo, nuance musicale très faible et
douce.
3
7
Éléments biographiques
• Éric Emmanuel Schimtt
Livret
En deux décennies, Eric-Emmanuel
Schmitt est devenu l’un des auteurs
francophones les plus lus et les
plus représentés dans le monde.
Plébiscitées tant par le public que par la critique, ses pièces
ont été récompensées par plusieurs Molière et le Grand Prix
du théâtre de l’Académie française.
Normalien et agrégé de philosophie, il s’est fait connaître
au théâtre avec Variations énigmatiques avec Alain Delon
et Francis Huster, Frédérick ou Le Boulevard du Crime
avec Jean-Paul Belmondo, Petits crimes conjugaux avec
Charlotte Rampling et Bernard Giraudeau, La Tectonique
des sentiments avec Tchéky Kario. Il acquiert le Théâtre Rive
Gauche à Paris, en devient le directeur artistique et l’ouvre
avec Le Journal d’Anne Frank. En 2015, il monte sur ses
planches pour interpréter L’Élixir d’amour, adapté de son
roman épistolaire, accompagné de Marie-Claude Pietragalla.
Sa carrière de romancier connaît son apogée avec L’Evangile
selon Pilate puis Concerto à la mémoire d’un ange se voit
décerner le prix Goncourt de la nouvelle. Encouragé par le
succès remporté par son premier film Odette Toulemonde
avec Catherine Frot et Albert Dupontel, il adapte et
réalise Oscar et la dame rose avec Michèle Laroque, Amir et
Max von Sydow (2009).
Amoureux de musique, Eric-Emmanuel Schmitt a également
signé la traduction française des Noces de Figaro et de
Don Giovanni. Il écrit bientôt Ma Vie avec Mozart, Quand
je pense que Beethoven est mort alors que tant de crétins
vivent, et enfin Le Carnaval des animaux. Il fait ses débuts à
l’Opéra National de Paris dans Le Mystère Bizet en octobre
2012. En 2014, deux opéras sont créés à partir de ses textes,
Oscar und die Dame in rosa par Francis Bollon à Freiburg,
Cosi Fanciulli par Nicolas Bacri à St-Quentin-en-Yvelines puis
au Théâtre des Champs-Élysées.
Réalisant un rêve d’enfant, il publie en septembre 2013
chez Dupuis sa première bande dessinée, Les Aventures de
Poussin 1er, croquées par Janry.
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• David Molard
Direction
Diplômé de l’École normale de musique de Paris
Alfred Cortot dans la classe de Dominique Rouits,
David Molard se perfectionne notamment auprès
de Colin Metters et de Jorma Panula et participe
par ailleurs (à plusieurs reprises) à la Järvi Summer Academy où il travaille
avec Leonid Grin, Paavo Järvi et Neeme Järvi et reçoit les conseils de
Guennadi Rojdestvenski.
Chef assistant associé de l’Orchestre de Paris depuis 2014, il a
récemment fait ses débuts à l’Orchestre de Chambre du Luxembourg
et a eu l’opportunité de diriger entre autres l’Orchestre de l’Opéra de
Massy, le Lithuanian State Symphony Orchestra, le Järvi Festival Chamber
Orchestra, le VU-Orkest Amsterdam, l’Estonian National Youth Symphony
Orchestra, le Janacek Philharmonic, le Pärnu City Orchestra, l’orchestre
parisien UtCinquième ainsi que l’Opéra national de Burgas (Bulgarie) dans
Madame Butterfly.
La saison 2015/16 le verra notamment diriger Carmen à Avallon et
les Dialogues des Carmélites en région parisienne.
• Albi Binjaku
Violon
Né en Albanie, Albi Binjaku entre au conservatoire
supérieur de Tirana, et y obtient en 2009 le
« Diplôme de violoniste de l’Académie des Arts »
avec mention très bien. Durant ses études, il est
choisi comme soliste pour interpréter les Quatre saisons de Vivaldi
avec « L’orchestre Européen des Jeunes », un programme qui le mènera
jusqu’à Vienne en Autriche. Il participe également à divers concours
internationaux de violon, où il obtient plusieurs prix : 2e prix au concours
international « Chansons de la Terre » de Tirana, 1er prix au concours de
Shkoder, en Albanie, finaliste du concours international « Islam Petrela ».
Jusqu’à aujourd’hui, il s’est produit en Italie, Hongrie, Espagne, Portugal,
Grèce, Kosovo, Macédoine… avec des formations orchestrales ainsi
qu’en tant que chambriste. En 2012, il intègre l’Orchestre de Limoges
et du Limousin ; il y est, depuis octobre 2014, violon solo co-soliste.
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Éléments biographiques
• Paul Golub
Mise en espace
Après avoir joué trois ans sous la
direction d’Ariane Mnouchkine au
Théâtre du Soleil, il crée en 1990, en
Limousin, le Théâtre du Volcan Bleu.
II y crée des oeuvres de Caryl Churchill, Marc Dugowson,
Koulsy Lamko, Mohamed Kacimi, Friedrich Durrenmatt,
ainsi que Shakespeare et Corneille ; mais aussi des
pièces d’après Vercors, Molière, Shakespeare, Poe, et une
adaptation contemporaine des contes de Grimm.
Il prépare actuellement la création française de Neva de
Calderon ainsi qu’un spectacle pluridisciplinaire, mêlant
musique, projections vidéos et théâtre, autour de la vie
et l’œuvre de Edgar Allan Poe avec les Tiger Lilies, trio
musical londonien légendaire.
Paul Golub a beaucoup enseigné, intervenant auprès de
professionnels, d’amateurs et de jeunes comédiens. Il a été
notamment enseignant à l’Ecole du Passage à Paris et est
intervenu au Centre National des Arts du Cirque.
Intervenant régulièrement à l’Académie Théâtrale de l’Union,
dont il est actuellement le responsable pédagogique, il y a
monté quatre spectacles.
Il a été directeur du Festival de la Luzège en Corrèze et, de
2012 à 2015, artiste associé au Théâtre de l’Union – Centre
Dramatique National du Limousin.
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Les musiciens
Flûtes
Chloé Noblecourt, flûte solo
Jean-Yves Guy-Duché
Chef d’orchestre
David MOLARD
Soliste sur The Lark Ascending (violon solo)
Albi BINJAKU
Le carnaval des animaux (pianos)
Jacqueline et William BENSIMHON
Hautbois
Jacques Zannettacci, hautbois solo
Clarinettes
Sergio CastellÓ Lopez, clarinette solo
Gérard TRICONE
LES MUSICIENS DE L’ORCHESTRE
DE LIMOGES ET DU LIMOUSIN
Violon solo supersoliste
Elina Kuperman
Bassons
Franck Vassallucci, basson solo
Cors
Pierre-Antoine DELBECQUE, cor solo
Olivier Barry
Premiers violons
Albi BINJAKU, violon solo, co-soliste
Ève-Laure BENOIT
Valérie BRUSSELLE
Alexander CARDENAS
Hélèna LYDA-MONDÉSIR
Nina Skopek
Christiane SOUSSI
Percussions
Mathieu DRAUX, 1er percussionniste
Régie principale d’orchestre
David DE CUENCA
Seconds violons
Louis DA SILVA ROSA, chef d’attaque
Michel FOUGEROL
Sylvie MÉRIOT
Marijana SIPKA
Yves TISON
Junko SENZAKI
Bibliothèque musicale
Géraldine COLLADANT
Altos
Jean-François Salies, alto solo
Brigitte Bordedebat
Francis Chapeau
Fatiha Zelmat
Violoncelles
Julien Lazignac, violoncelle solo
Philippe Deville
Éric Lyda
Antoine Payen
Contrebasses
Barbara Degrima, contrebasse solo
Thierry Barone
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bientôt...
Traversées
Festival Jazz Éclats d’Émail 2015 / Orchestre de Limoges et du Limousin
Cholet | Mompou | de Chassy
ven. 20/11/2015 - 20 h 30
Bizet | Lopez | Messager | Mozart...
Concert gratuit par les artistes du Chœur de l’Opéra de Limoges en solistes.
sam. 28/11/2015 - 17 h
Bal viennois
Orchestre de Limoges et du Limousin
Offenbach | Strauss | Lehár...
mar. 01/12/2015 - 20 h 30
Offenbach, perles rares
Récital
ven. 18/12/2015 - 20 h 30
www.operalimoges.fr
www.orchestrelimogeslimousin.fr
Kiosque Billetterie
Ouvert du mardi au samedi de 12 h à 19 h sans interruption
05 55 45 95 95
• Textes et recherche documentaire : C. C. Guibert / A. Thorez | Conception : A. Jouffriault - Opéra de Limoges | Photos : couv.erture : © fotolia / fox17 & L. Lagarde - Ville de Limoges
L’Opéra au Chœur

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