Rémy JEAN

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Rémy JEAN
Rémy JEAN
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CURRICULUM VITAE
Situation actuelle :
63 ans (né le 22 avril 1952)
Docteur en Sociologie.
Professeur associé à l'Université d’Aix Marseille depuis 1995. Directeur de
l’Institut d’Ergologie depuis 2007. Responsable du réseau international
« Ergologie, Travail, Développement ». Responsable des stages professionnels
du Master d’Ergologie. Responsable du programme de formations à la
prévention des risques psycho-sociaux.
Consultant dans un cabinet d’ingénierie économique et sociale intervenant pour
les institutions représentatives du personnel dans le secteur de l'industrie
chimique depuis 1991.
Parcours antérieur :
1997 : Doctorat de Sociologie (Université de Toulouse Le Mirail)
Titre de la thèse : « Le travail et la formation des ingénieurs dans un système
productif en mutation. Le cas des NFI. »
1992 : DEA de Sociologie (Université de Provence)
1991 : DESS Analyse Pluridisciplinaire des Situations de Travail
1989 : Licence de Sociologie
1977 à 1990 : Opérateur de fabrication dans une raffinerie de pétrole
1975 à 1976 : Ouvrier électricien
1975 : CAP d’électricité industrielle
1974 à 1975 : Service National
1973 à 1974 : Infirmier psychiatrique, éducateur de jeunes enfants
1970 à 1972 : DUEL de Sociologie (Université de Provence)
1969 : Baccalauréat (A1)
Principales communications et publications :
« Ingénieur : une professionnalité interpellée » (avec Charriaux J.), dans Schwartz Y. (dir.),
Reconnaissances du travail, PUF, coll. Le travail humain, 1997.
« Les nouveaux métiers d'ingénieurs », dans Kergoat J., Boutet J., Jacot H., Linhart D. (dir.),
Le monde du travail, La Découverte, 1998.
« Logiques de travail et ordre productif
DIEESE/CESIT, São Paulo, Brésil, nov. 1999.
néo-libéral »,
Séminaire
international
« Transformations du travail : un assujettissement croissant aux contraintes marchandes »,
Séminaire international DIEESE/CESIT, Rio de Janeiro, Brésil, août 2001.
« La sécurité au travail écartelée entre hyperprescription procédurale et déréglementation
sociale », communication au 37ème Congrès de la SELF, Aix en Provence, France, sept. 2002.
« Les techniques et l’expérience des hommes » (avec Dollé F., Durrive L. et Nouroudine A.),
dans Schwartz Y. et Durrive L. (dir.), Travail et ergologie, Octares, 2003.
« L’agir ergologique », dans Duraffourg J. et Vuillon B. (org.), Alain Wisner et les tâches du
présent, Octares, 2004.
« La précarisation du travail et des travailleurs : une perspective comparative », IVème
Seminario Internacional Universidade, Trabalho e Trabalhadores, UFMG, Belo Horizonte,
Brésil, nov. 2006.
« Eléments pour une approche ergologique de la relation travail-développement », Ergologia,
n°6, mars 2012.
« Formação de trabalhadores para a prevenção de riscos psicosociais orientada pela
abordagem ergologica », Tempus – Actas de Saude Coletiva, ano VI, n°2, 2012.
« A construção da interdisciplinaridade no trabalho da Equipe de Saude da Familia” (avec
Scherer M. Et Pires D.), Ciência & saúde coletiva, nov. 2013, vol.18, n°.11, p.3203-3212.
ISSN 1413-8123.
“AZF 2001. Quand la sous-traitance mène à la catastrophe », Chroniques du travail, n°3, déc.
2013.
Principales activités de recherche :
« Les relations sociales et les conditions de travail dans la grande distribution en France, au
Brésil et en Argentine », recherche menée en partenariat par le Département d’Ergologie de
l’Université de Provence avec des organismes de recherche brésiliens (DIEESE, Observatorio
Social, CESIT) et argentins (FAECyS), responsable de l’équipe française. Les résultats de
cette recherche ont été publiés dans Trabalho e abordagem pluridisciplinar: estudos Brasil,
França e Argentina, DIEESE/CESIT (Org.), São Paulo/Campinas, 2005.
« Panorama des savoirs militants – Enquête épistémologique auprès des représentants du
personnel », rapport de recherche pour la DARES, France, R. Di Ruzza (dir.), responsable de
la contribution du Département d’Ergologie, décembre 2009.
En cours (2013-2016) – « Problèmes et enjeux actuels du travail des professionnels de santé
dans les hôpitaux universitaires : études Algérie, Brésil et France », recherche menée en
coopération entre l’université d’Aix Marseille, l’université de Tlemcen (Algérie), l’université
de Brasilia et l’université fédérale de Santa Catarina (Brésil).

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