Le lave-llnge - SEM Boutique
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o U', d d Les fondamentaux Le lave-llnge $ 0 tu % Energie n} Peu économe -)nc'cft& E ^:d!alna l.vrg. G:ph.ilr. FAGOR TBRANDT A FACOR GROUP COilPANY LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique 3 - L'|NSTALLATION ET LA M|SE EN 3.2.- - 3.3. 3.4. 4 - SERV|CE...... ..............9 transport. ................. lavelinge.......... .............10 ...........11 ..........12 Enlèvement des cales et brides de Mise sur roulettes et mise à niveau Raccordement électrique d'un FONCT1ONNEilENT..................... PRfNC|PE DE 5.1. 5.2. - 5.5. - Répartition de la dureté d'eau en Mesure de la durcté de I'eau fTH)-........... Les effets néfastes d'une eau Les effets néfastes d'une eau Le 6.2. - Mode d'adhérence des salissures 7.2. 7.3. - Les diférentes actions de la lessive Composition du prduit de lavage 5.3.5.4.- France ...... dure............-..... douce............... - 1213 - ...................1g ..........18 ...........1g ...........19 ............21 ................ ................. ...........22 .............29 Poids du linge et charge conseillée I'avant par{essus. 10 - LES COMPOSAITTTS MECAN1QUES.................. 11 - LES COMPOSANTS ELECTRTQUES. 9.1. 9.2. .............17 .................. ............... 8.6. - Précautions pour éviter de détériorer le 1inge.................... 8.7. - Les attentes du @nsommateur ........................ 8.4.- SOMMAIRE Le favejinge FRONT à chargement par Le lave.linge TOP à chargement .............26 .....................26 ..........26 .....................................27 ............2g ...............29 ..............................32 LES LES CARTES ELECTRON|QUES......................... 13.1. 13.2. - L'alimenta L'alimenta 13.4. - Les contÉles de base à efe ............38 LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE SOMMAIRE Formation technique moteur........ applications........... 14.4. - Le moteur asynchrone monophasé ..... 14.5.- Le moteur universel (à collecteur et stator bobinés)............ 14.6. - Alimentation du moteur universel en altematif 14.7. - Alimentation du moteur universel en continu.. 14.8. - La commutation statorique du moteur universe1................ 14.1 . 14.2. 14.9. - 15 - - Princioe de fonctionnement d'un Les différents types de moteurs et leurs PROGRAMiIE... possibles........ 16 - LES DTFFERENTES PROGRAilllATlONS................... - .'.."..... .. ..... .'42 '...'............M ...'........45 ....'.....'.45 ........'...'....'...46 Le moteur LE DEROULEMENT D',UN 15.2. ... ... .. 4'l ..................41 Les options et les programmes ....................48 ...........49 ...............................50 16.1. 16.2. 16.3. - - Principe de fonctionnent de la programmation ELECTROMËCANlQUE.......................................................50 ...-......50 Principe de fonctionnent de la programmation ......................................51 Principe de fonctionnent de la programmation 17.2. - Le remplissage et I'enlèvement des HYBRIDE............ ELECTRONIQUE produits.. 17.4.- La reconnaissance de charge (pesée automatique) ................... 17.5. - Autre dispositif de mesure du chargement de lave-1in9e............. 17.8.- Le chauffage et la gestion de la température. 18 ...........58 ...........61 ............65 ........................72 FONCT|ONNEMENT............... ..........72 18.1. - Programmation mécanique avec moteur 4synchrone.................. 18.2. - Programmation mécanique avec moteur universel et inversions par le programmateur..................... ..........74 ..........76 18.3. - Programmation mécanique avec moteur universel et inversions par la carte.......... - ETUDE DE 18.5. 19 ............53 - Programm SECHANT............. 19. f . - Le lavelinge séchant TOP à chargement par dessus.................. - DECOWERTE 19.3. 19.4. - LAVE-L|NGE .............82 ..........82 Exemple d'application : le fonctionnement du laveJinge séchant top L10.....................................................84 Exemple d'application : le fonctionnement du laveJinge séchant front INNOVATION ..................................87 LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique 1. INTRODUCTION INTRODUCTION Les laveJinge étaient jusqu'à present < automatiques > gÉce à l'utilisation de très nombreux et nouveaux composants, ils sont devenus < intelligents >. Un appareil intelligent est un appareil qui est capable d'adapter seul son mode de fonctionnement en prenant en compte de très nombreux paramètres extemes. ll adapte ses consommations d'eau, de produits lessiviels, d'énergie et garantit à I'utilisateur un excellent résultat. L'objectif est simple, il s'agit de rendre propre le linge sale. La quantité, la nature, le degré de salissure du linge, la lessive utilisée ou le choix du consommateur peuvent contrarier le résultat aftendu. Pour afteindre cet objectif et répondre aux attentes bien légitimes des consommateurs il faut mettre en æuvre les actions suivantes : L'action mécanique L'action thermique t ) à L'action chimique Jusqu'à présent ces trois paramètres étaient laissés à l'appréciation du consommateur qui assumait seul la responsabilité d'un mauvais lavage. Les lave-linge actuels prennent en compte tous ces facteurs et l'électronique remplace peu à peu l'intervention humaine. L'utilisateur 'se laisse faire" mais attend un résultat irréprochable. Le nombre de pannes des laveJinge diminue et pourtant le nombre de sollicitations concemant cet appareil ne baisse pas de la même façon- Le remplacement d'un composant défectueux constituait, jusqu'à présent, I'essentiel de la maintenance d'un laveJinge. ll s'agit aujourd'hui de conseiller, rassurer et aider le consommateur à tirer le meilleur parti de son appareil. L'objectif est de satisfaire pleinement le consommateur en réparant son appareil de manière efficace dés le premier passage. Le technicien doit donc pouvoir identifier la ou les causes à I'origine de la plainte du consommateur. ll doit pour cela réaliser un diagnostic précis afin d'adopter la solution appropriée au problème rencontré. Nous identifierons donc les pré-requis indispensables et étudierons ensemble les différentes fonctions et les composants utilisés, à savoir : Le remplissage La gestion des niveaux La rotation du moteur Le chauffage La vidange I I I I à t... Savoir interpréter les symptômes devient ainsi beaucoup plus facile et permet au technicien d'être plus confiant sur la validité du diagnostic. Assurer avec efficacité la maintenance de tous les lave.linge, c'est : Augmenter le nombre d'interventions reussies dès le premier passage chez le consommateur. Diminuer le nombre de composanb remplaés à tort. Réduire les coûts d'intervention. Garantir un très bon niveau de satisfaction du consommateur. I I ) I Une intervention Éussie dés le premier passage chez le consommateur encourage à coup sûr la fidélité de I'utilisateur vis-à-vis du point de vente, de I'enseigne et de la marque concemés. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE L'ETIQUETTE ENERGETIQUE Formation technique 2. En Energle L'ETIQUETTE ENERGETIQUE 2.1. - MARQUE Fabricant Modèle Ge qu'il faut savoir La consommation d'électricité d'un ménage français hors chauffage et eau chaude est d'environ2700 kwh I an. Les appareils électroménagers sont de plus en plus performants. Pour 80 % des français, leur consommation d'énergie est le second critère de choix d'achat, après leur prix. L'étiquette énergie, apparue en 1994 à I'initiative de la Commission européenne, renseigne sur les consommations des différents modèles. Elle est devenue un outil indispensable pour bien choisir éq u ipement un électroménager. t "!', ffi ffi Peu économe Consommdion trénergie kWhrcycle (&rb ôsse dr rÉdad Elle est obligatoire pour les réfrigérateurs, congélateurs, combinés, lave-linge, sèche-linge, lave-linge séchant et lave-vaisselle mais aussi pour les lampes, les fours électriques et les climatiseurs. La classification de A (le plus économe) à G (le plus gourmand) permet au consommateur de situer en un coup d'æil les différents modèles présentés. L'étiquette énergie sur la plupart des équipements audiovisuels n'existe pas encore. Les téléviseurs devraient en disposer courant o,Éûu Nr lo cl* tr æT dr.|s ée ddtm dbssdrn'r#es, L.æGilihil.f d&rÉ EficaciÉ de larage 1 ,19 eÉrtr Aecoerc Etrcacité dessonge Æfaû5 efb.flÈL Yb.d.Gor{: (lrhr) Aecoere A:rf|.abJ. 1400 Capacité (coton) kg 7 50 Consonmtftnd'eau Bruit plYl (dB{A}repl rc lr{3 Erûong. xx xx Urlcbdfuoî ffitndrËbÈ@dnn ki 2011. Exemple d'étiquette obligatoire sur les modèles exposés Certains appareils électroménagers restent en veille et consomment de l'électricité, alors qu'ils ne sont pas en fonction. Une directive européenne applicable depuis janvier 20'10 limite la consommation en veille à lW. D Niveau de consommation des principaux appareils Le prix du kWh : La consommation qu'elle soit en gaz ou en électricité est mesuée en kilowatVheure (kwh). Le prix du kWh d'électricité peut varier suivant les abonnements et les heures de la joumée, mais en moyenne, il est en heure pleine à 0,10€ contre 0,05€ le kwh de gaz. Un mètre cube (m3) de Gaz Naturel est égal à environ 1 1kWh. Sèche-linge à évacuation lrso cyctes) Plaque de cuisson fonte Lave-vaisselle (220 cyctes) Congélateur coffre Four électrique Lave-linge (2oo cyctes) E Réfrigérateur une porte Téléviseur 70cm Four à micro-ondes B00W Fer à repasser Aspirateur K :n : I I * Source E.D.F. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE L'ETIQUETTE ENERGETIQUE - 2.2. Formation technique L'étiquette Energétique Energie Energie Les appareils de lavage sont susceptibles facture d'électricité si I'on choisit des modèles mal classés sur le plan énergétique. de peser notablement sur la Depuis quelques années, les fabricants ont porté leurs efforts sur la consommation d'eau, ce qui a une incidence directe sur la consommation électrique nécessaire au moment du chauffage. lnitié par la communauté européenne, cet étiquetage est désormais obligatoire en France pour la plupart des appareils Efficacité de ,l9ttéhd lavaç G:ptrâtao Aecoerc r300 électroménagers. Capacité (coton) kg sn læagp LAVE-LINGE SEGHANT LAVE.LINGE La consommation électrique en kWh par cycle apparaft également en clair, ainsi que la vitesse d'essorage maximale, la capacité du tambour en Kg de linge sec, la consommation d'eau et le niveau sonore. Ces valeurs sont mesurées sur des essais normalisés : programme Coton sans option à 60'C avec 6 kg ou I Kg de linge sec et à essorage maxi. Pour les lave-linge, une indication supplémentaire concemant I'efficacité de lavage et d'essorage complète I'information concernant l'énergie consommée. Dans le cas particulier d'un lave-linge séchant, deux consommations sont indiquées : Pour un lavage de 6 Kg de Coton à 60"C plus deux séchages forts (capacité en séchage : 4 Kg) Pour un lavage de 6 Kg de Coton à 60'C uniquement o . La lettre d'information essoEge n'est pas obligatoire. Les niveaux de consommation d'eau et d'énergie sont définis pour un cycle avec deux séchages forb. 2.3. - Evolution étiquette Selon une enquête menée en 2006 par la TNS Sofres à la demande du GIFAM, I Français sur 10 connaissent cette étiquette mais 23% ne savent pas à quoi elle correspond exactement. Pour être plus lisible, les nouvelles étiquettes énergie qui entreront en vigueur en 2011 remplaceront les 3 niveaux de performance A par des mentions explicites. Soit: A40o/o (qui A++) A-60% et A-80%, le pourcentage correspond à classe correspondant à I'actuel par rapport à la classe A. l'économie d'énergie effectuée supérieurs à la classe Les programmes << basse température > ou "Eco" ainsi que I'utilisation du départ différé et des tarifs heures creuses permettent aussi de faire des économies. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE INSTALLATION ET MISE EN SERVICE Formation technique 3 . L'INSTALLATION ET LA MISE EN SERVICE 3.1. - ldentification L'identification d'un lave-linge est la première étape d'une intervention réussie. La référence commerciale ne permet pas de connaitre les spécificités techniques d'un lave-linge. Seule la plaque signalétique obligatoire comporte I'ensemble des éléments qui permettent d'identifier précisément le type de lave-linge à réparer. 3.1,1. - Exemple d'application : ldentification de la référence et du linge top Ll0 r La plaque signalétique est située en bas à I'arrière du châssis plastique. Type :LlS€ sû 09 11 12345 llffiilIrFrË[tHËËff$ffi## -6UlLBTFFA 091112345- CODE CHASSIS - Exemple d'application : ldentification de la référence et du numéro de série lavelinge top MALICE 3.1.2. La plaque signalétique est très souvent collée à I'arrière du châssis pour les lave-linge top. Marque Vpe I wfc1os1Fp/p I 2 Année (2 ou nurnero 41 00035 r+\Seniaine O2l -N" d'ordre INSTALLATION ET MISE EN SERVICE 3.2. - LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique Enlèvement des cales et brides de transport Avant la première utilisation, les éléments de bridage (traverses, vis, cales ...) qui immobilisent le bloc laveur pendant le transport doivent être impérativement enlevés. Un départ en lavage ou en essorage sans enlever ces éléments endommagerait fortement le laveJinge eUou son environnement. Les éléments de bridage doivent être conservés par I'utilisateur. lls seront nécessaires et indispensables à tout transport du lave-linge. 3.2.1. - Exemple d'application : Enlèvement des cales et brides de transport du lavelinge MAXITOP - Retirez le lave-linge du socle. - Vérifiez I'absence de la cale (A) de maintien du moteur. - Enlevez les 4 vis (B) de la traverse avec un torx de 20. - Déposez aa traverse (C), la bride (D) en ôtant les 3 vis (E) avec une clé de 10 ou 13 selon le modèle (vérifier que les 2 entretoises plastiques sont bien retirées en même temps que la traverse). - Remettre les 4 vis (B) en place. ATTENTION : Obstruez les 3 trous avec les caches (F et G) fournis pour éviter les bruits. Ces pièces immobilisent la cuve lors du transport. Si elles ne sont pas déposées, cela peut causer des bruits importants et des dommages. Par contre il est important de conserver la bride et la traverse dans le cas d'un éventuel transport. - Retirez les cales (H et l) du dessus et du tambour. - Enlevez les 3 colliers support tuyaux (J) et obstruez les trous avec les caches (K) fournis pour éviter les bruits. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique INSTALLATION ET MISE EN SERVICE - Mise sur roulettes et mise à niveau Le lave-linge peut être équipé de roulettes escamotables. ll ne doit pas reposer sur 3.3. celles-ci lors du fonctionnement. La machine est posée sur 4 pieds réglables. Le sol doit être horizontal avec un écart maximum d'1 cm sur la largeur de la machine et d'1,5 cm sur sa profondeur. Un mauvais réglage provoque des bruits et d'importantes vibrations (basculer la machine légèrement sur I'arrière pour visser ou dévisser les pieds la remettez machine sur ceux-ci pour vérifier sa stabilité). Les machines sont posées sur des pieds réglables. Un mauvais réglage provoque des bruits et d'i mportantes vibrations. Le sol doit être horizontal avec un écart maximum d'1 cm sur la largeur de la machine et d'1,5 cm sur sa profondeur. Si le un sol est couvert de moquette veillez à ce que I'air circule librement sous la machine. Si la machine est à côté d'un autre appareil ou d'un meuble, laisser un espace entre eux pour faciliter la circulation de I'air. l.Lave linge pas à niveau. 2.Lave linge mis à niveau mais débloqué. 3.Lave linge mis à niveau. Fonctionnement correct- LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE RACCORDEMENT ELECTRIQUE 3,4. - Formation technique Raccordement électrique d'un laveJinge 3.4.1. - La distribution d'électricité La disfibution est assurée gÉce au Éseau public basse tension. En triphasé : 230 / tOO Volts . . En monophasé : 230 Volts La situation du neutre par rapport à la terre permet de définir le régime de neutre, appelé encore schéma de liaison dans la norme UTE NF C15-100. Lorcque le neutre est distribué, il permet de disposer de tension simple (tension entre phase et neutre), en plus des tensions composées (tension entre phases). Tension simple Tension composée 400 V enhe phase 230 Phase V enhe phase et neuhe I Phase 2 Phase 3 Neutre 3.4.2. - Les différents régimes de neutre Les trois régimes de neutre appelé encore sdréma de liaison à la tene ésultent de textes églementaires et normatifs. Chaque schéma est reçÉé par deux letbes. La première lettre symbolise la situation du neutre par rapport à la terre. . . La deuxième symbolise la situation des masses de I'installation. Dans la grande majorité des cas, EDF livre le courant altematif aux particuliers grâce à deux fils Un fil de phase : c'est celui qui amène le courant. Un fil de neutre : c'est qui permet le retour du courant au transformateur. . . ; Les particuliers sont donc reliés selon un régime de neutre TT. 3.4.3. - L'installation domestique Les installations domestiques doivent être conformes à la norme NF C 15-100.Cette norme édicte des règles pour la réalisation des installations électriques dans les bâtiments neufs et pour la réalisation d'installation neuve dans des bâtiments anciens. Le diamètre des conducteurs est fonction de la puissance nécessaire au fonctionnement de I'appareil. Pour une alimentation à partir d'une tension de 230 V-, la section des conducteurs est précisée dans le tableau ci-contre. 2,2kW 1,5 mm2 en cuivre 3,5 kW 2,5 mm2 en cuivre 4,4 kW 4,0 mm2 en cuivre 7,0 kw 6,0 mm2 en cuivre LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE RACCORDEMENT ELECTRIQUE Formation technique En outre dans le cadre de la sécurité des utilisateurs d'appareils électriques, il est obligatoire que la masse soit reliée à une prise de terre. Les lave{inge sont généralement livrés avec un cordon d'alimentation à 3 conducteurs (dont 1 verUjaune pour la tene). Ces conducteurc doivent être branchés sur le réseau par I'intermédiaire d'une prise de courant ou d'une prise spécifique protégée par un fusible 16 ou 32A selon I'appareil. Les fils doivent être branchés sur I'installation en respectant les couleurs des fils (voir schéma cicontre) et en sachant que communément les prises murales sont raccordées de la façon suivante : Terre Phase (L) Neutre (N) Aucune prise de courant ne doit se situer au-dessus d'un évier ou au-dessus d'une table de cuisson. La prise doit êfe facilement aæssible et hors de portee des enfanb. ll ne doit pas être fait usage de rallonge, de prise multiple ou de programmateur électrique difiéé. ll est fortement déconseillé d'installer la machine dans une pièce humide, mal aérée, là où elle pourrait être soumise à des projections d'eau (salle de bains). La machine doit être à plus de 60 cm des points d'eau et son installation doit être conforme à la norme PROMOTELEC. En cas d'utilisation d'un appareil qui ne serait pas relié à la terre ou comportant une prise de terre défectueuse, la responsabilité du constructeur ne saurait être engagée en cas d'incidents et de leurs conséquences éventuelles. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE RACCORDEMENT ELECTRIQUE Formation technique - La prise de terre La terre est un élément important de 3,4.4. l' installation électrique. Par les fils verts et jaunes, elle assure liaison entre la masse du sol naturel et la la ffie+ *-.\A?r. carcasse métallique de l'appareil. Elle permet ainsi d'écouler les courants de ffiNr fuites directement à la terre. Un courant de fuite est provoqué par la mise à la masse d'un composant électrique ou d'un conducteur sous tension présentant un défaut d'isolation. Une bonne prise de terre doit avoir une valeur \w I ftrc -. xf<ri,fl Sans prise de terre ohmique déterminée en fonction de la sensibilité du dispositif différentiel de I'installation de la maison. Avec un disjoncteur différentiel EDF de 500mA, la résistance maximale de la prise de terre doit être de 100 ohms. Cette résistance déPend des dimensions de la prise de terre (piquet), de sa forme et de la résistivité du terrain, sachant que cette résistivité varie suivant la profondeur, le taux d'humidité et la température. 3.4.5. - Le disjoncteur différentiel Ce dispositif n'est pas destiné à assurer la protection des installations et des matériels mais bien à assurer la protection des RESEAU Ph Bouton rÉarmement personnes. La norme NF C 15-100 rend obligatoire l'utilisation d'une protection différentielle haute sensibilité (< 30 mA) sur tous les circuits depuis juin 2003. En cas de défaut (mise à la masse d'un élément sous tension), c'est lui qui déclenche en premier. Le dispositif différentiel comporte un circuit magnétique en forme de tore sur lequel est bobiné le circuit de phase et celui du neutre. Pôles Le courant résiduel déséquilibre les flux dans les bobines de phase et de neutre. Un flux magnétique apparaît dans le tore et la bobine de détection génère une force électromotrice qui alimente un petit électro-aimant provoquant le déverrouillage du disjoncteur et l'ouverture du circuit La sensibilité de la protection différentielle doit être adaptée à la résistance de Ia prise de terre. ptixipatx Dédencfpment magnétothemQue électeaimant de déte<iion Toæ magnélique Bobine de Phase Les flux produits par les bobines s'annulent et il ne se passe rien. * Bobine de Neute LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique 3.4.6. - Gontrôle de sécurité électrique d'un lave-linge Utiliser un ohmmètre et placer une pointe de la carrosserie de l'appareil et l'autre pointe de touche sur la borne de terre du cordon secteur. La masse de la machine doit être reliée à la terre. touche sur L'OHMMETRE DOIT INDIQUER O O. masse Placer une pointe de touche de I'ohmmètre sur une des fiches et l'autre pointe de touche sur la borne de terre du cordon secteur. Répéter cette mesure sur I'autre fiche du cordon secteur. La phase et le neutre doivent complètement isolés de la terre. L'OHMMETRE DOIT INDIQUER UNE VALEUR INFINIE. être RACCORDEMENT ELECTRIQUE RACCORDEMENT HYDRAULIQUE LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique 3.5. - Raccordement hydraulique 3.5.1. - Arrivée d'eau Débit du robinet : 6 litres / minute minimum branchement sur robinet auto-perceur possible si ATTENTION : le diamètre d'ouverture est de 6 mm minimum et le débit suffisant. fileté :20127 raccord du Diamètre Pression : de 0,5 à 10 bars Raccordement eau chaude : Possible selon modèle (41lmn) Tuyau simple : 3.5.2. - Évacuation des eaux usées Le tuyau de vidange doit être attaché afin d'éviter que la crosse ne se dégage en cours de vidange. Si l'installation n'est pas équipée d'un siphon ventilé, le raccordement ne doit pas être étanche. ll faut laisser libre le passage de I'air entre le tuyau de vidange et le conduit d'évacuation. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique 4. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT Les salissures adhèrent aux fibres textiles avec une certaine énergie qu'il faut vaincre pour les en débanasser. ll faut donc mettre en æuvre les paramètres suivants 4.1. - L'action mécanique L'action mécanique a pour rôle de faire circuler I'eau chargée de produit lessiviel entre les fibres du linge afin de permettre le décrochage et I'entraînement des salissures. Elle dépend de la durée de I'agitation, de la cadence et la vitesse de rotation (de 35 à 50 tours/min) et du niveau d'eau dans la cuve. 4.2. - L'action thermique Certaines fibres doivent être lavées à des températures maximates qu'il ne faut pas dépasser si I'on désire obtenir des bons résultats. De plus I'action des différents composants des produits détergents varie en fonction de la température. Pour cela le bain de lavage sera chauffé progressivement afin que chacun de ces composants soit plus efficace. 4.3. - L'action chimique A l'énergie mécanique et thermique de la machine s'ajoutent les actions physico-chimiques et biologiques du détergent. La nature des salissures est tres variée. Chacune de ces salissures s'élimine d'une façon qui lui est propre. C'est pourquoi les lessives contiennent de 8 à 15 composants différents ll convient donc d'agir sur les conditions de lavage afin de faciliter I'enlèvement rapide des diverses matières. 4.4. - La durée. Tout n'est pas si simple. Si nous détaillons I'opération nous remarquons qu'il manque un élément essentiel : l'eau. En effet sans eau pas de lavage. L'eau est essentielle, elle va, avec le soutien des principes actifs de la lessive, pénétrer au cæur du linge pour détruire, extirper, dissoudre, émulsionner les salissures présentes sur et au sein de celui-ci. Elle le fera d'autant mieux que la machine brassera le linge et chauffera I'eau. Le résultat de lavage dépend donc simultanément de 4 facteurs : o . . . La lessive L'eau La température La mécanique Ces facteurs sont liés. Si I'on diminue la dose de lessive, il faudra augmenter soit le brassage (action mécanique), soit la température, soit le volume d'eau. Un bon résultat de lavage ne peut donc être obtenu que si toutes ces conditions soient respectées. Le tambour a pour rôle de faire circuler (action mécanique) I'eau chargée de produit lessiviel (action chimique) et chauffée progressivement (action thermique) entre les fibres du linge afin de permettre le décrochage et l'entraînement des salissures. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique < à 15"F 5. de 15"F à 25"F > à 25'F L'EAU - 5.1. Répartition de la dureté d'eau en France La dureté de I'eau s'exprime en degré hydrotimétrique (TH). 1 degré F (TH) français correspond à 1Omg de Co3Ca (carbonate de calcium) par litre d'eau La moyenne française est de 31"TH. On estime que 12% de la population française est alimentée en eau douce (inférieur à 15'TH). - 5.2. Mesure de la dureté de I'eau ("TH) Des coffrets de mesure permettent de prés la dureté de I'eau déterminer au degré (dureté carbonatée qui provoque le tartre). GOFFRET 31X4037 lls sont utiles pour une analyse précise de I'eau. Pour doser correctement la quantité de lessive, il est important de connaître la dureté du réseau. Pour cela les bandelettes de mesure suffisent largement car elles donnent une fourchette de dureté. Cette valeur s'exprime en 'TH ou oF, en "DH ou encore en oe. 1'DH (allemand) = 1,78 "TH (français) 1'e (anglais) = 1,43 "TH (français) 5.3. - iii:,,iii t;,îTi.,ii,T!!!i t"îiffi :!ffi 'ffiÉ, | 0 à B"rH 9 à 17"TH 18 à 26'TH 27 à 35"TH I ffi ffi Ë il ilffi'ffi lliit:#'ij:lil 136à44"rH l>à4s'rH 1 OO BANDELETTES 43X9782 3 BANDELETTES 43X9783 Les effets néfastes d'une eau dure L'eau contient des traces de minéraux (calcaire principalement, magnésium, fer...) provenant du sol. Plus leur teneur est élevée, plus elle est dure. L'élévation de la température dans la cuve précipite les sels de calcium et de magnésium sous forme de calcaire (tartre). Le savon lui, se combine avec ces minéraux (surtout avec le calcaire) pour former des substances qui ne se dissoudront plus et qui peuvent se déposer sur le linge et partout dans la cuve. Ces dépôts calcaires renforcent I'accrochage des saletés aux fibres du tissu, diminuent l'efficacité du produit de lavage et sont difficiles à enlever lors des rinçages. De plus ils rendent le linge rêche, font grisailler le blanc, ternissent les couleurs et accélèrent I'usure du linge. C'est pour cela que la lessive contient beaucoup d'agents anticalcaires (phosphate ou zéolite) et qu'il faut correctement la doser. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE L'EAU Formation technique 5.4. - Les effets néfastes d'une eau douce Une eau trop douce réduit également l'efficacité de lavage surtout s'il y a un surdosage en lessive (réduction de I'action mécanique) qui risque de provoquer des débordements de mousse, des fuites et d'accélérer le vieillissement de I'appareil. 5.5. - Le pH (potentiel d'hydrogène) Vous avez peut-être déjà remarqué sur les étiquettes de produits d'entretien ou de boissons l'indication pH suivie d'un nombre. Vous savez peut-être que le pH est lié à I'acidité d'une solution, vérifiable parfois, par son goût. Si vous goûtez successivement du jus de citron, du café et de l'eau vous pourez sans aucun mal classer ces trois liquides par importiance d'acidité. V*rt o> +4. (.ro=.o q =. -ct c o rg g E ôdI gs $* ilE 88 ÉF 5 Le papier pH permet une détermination approchée, simple et rapide, du pH d'une solution. Ce papier qui ne permet pas une détermination exacte d'une valeur de pH, donne plutôt une idée du domaine de pH de la solution, à savoir : o . . acide pour un pH inférieur à 7 neutre pour un pH égal à 7 basique ou alcalin pour un pH supérieur à 7 L'eau minéralisée ou pas a un pH très proche de 7. 5.5.1. - Quelques acides o vinaigre (acide acétique) . aspirine (acide acétylsalicylique) o jus de citron (acide citrique) o . café vitamine C (acide ascorbique) 5.5.2. . . . . . - Quelques bases nettoyants ménagers (ammoniaques) savon (hydroxyde de potassium) eau de javel concentrée débouche évier (hydroxyde de sodium) produit de lavage ROULEAU PAPIER pH 31X9379 5.5.3. - Mesure du pH L'origine d'une tache sur une pièce de linge pourra facilement être identifiée en appliquant un moroeau de papier pH sur la trace préalablement humidifiée. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE LES SALISSURES 6. 6.1. Formation technique LES SALISSURES - Laver, c'est éliminer ! Les salissures proviennent du corps, de I'atmosphère, de la nourriture et du métier. Elles peuvent être classées en quatre grandes familles : La salissure est sous la forme de particules, en général petites, voir microscopiques et insolubles. Ces particules vont se déposer sur le linge, ce qui n'est pas trop gênant, et dans le linge, c'est à dire entre les fibres textiles, d'où il sera plus difficile de les extirper. ) Salissures r blanchissables r ll s'agit de taches colorées d'origine végétale et principalement alimentaire. Les colorants naturels contenus dans les aliments sont sensibles à l'orydation et seront donc détruits par I'apport d'une quantité nécessaire et suffisante d'orygène actif au cours du lavage. Ces colorants solubles peuvent cependant pénétrer profondément dans les fibres (coton, lin). ll ne faut donc pas attendre trop longtemps avant de laver sinon le détachage ne sera pas complet. D Salissures grasses Les huiles et graisses peuvent se glisser au cæur des fibres naturelles et synthétiques. Elles seront facilement extincer des fibres naturelles (laine, coton, lin, soie) mais beaucoup plus difficilement des synthétiques (polyester, acrylique). ll faut donc éviter de laisser vieillir les taches, favorisant ainsi la pénétration de la salissure gmsse au sein de la fibre. F Salissuresprotéiniques Les protéines ont tendance à polymériser sur les fibres, c'est à dire à se fixer, à former une colle lorsqu'on les chauffe. tÈ .$ i$*.ur .t-= protéiniques Cellules de la peau, Poussière, Suie, Terre, Sable, Détritus végétaux, Pollen ... Café, Thé, Vin, Bière, Fruits, Légumes, Herbe Sang, CEufs, Viandes, Poissons Huiles alimentaires ou industrielles, Beurre, Margarine, Saindoux, Mayonnaise, Graisses animales ou humaines Ces groupes de salissures peuvent évidemment se retrouver en même temps sur les textiles ; un bleu de travail ou une chemise peuvent être salis conjointement par du cambouis, de la sueur, de la tene ou de la boue, des taches de sang et de café, ce qui met en évidence toute la complexité du lavage. Les taches ou salissures sont toujours plus faciles à éliminer fraîches que lorsqu'elles sont séchées et incrustées dans le textile. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique 6.2. - LES SALISSURES Mode d'adhérence des salissures CHARGES NEGATIVES Effet de colle : les salissures se collent au support par I'intermédiaire de corps gras. Liaison électrostatique : toutes les surfaces et les salissures présentent une charge électrique trop faible pour que l'être humain ne la ressente, mais cependant, suffisante pour entretenir l'adhérence. Liaison dite de Vau de Waals : ce type de liaison se forme toujours lorsque deux corps différents ou de même nature sont à quelques angstrôms l'un de I'autre (quelques dix millièmes de micron). Liaison par agent intermédiaire ou cationique : les salissures et les supports absorbent des ions provenant soit de I'eau soit de I'air. En général, la surface des salissures et du linge se charge négativement et la liaison se fait par les ions calcium ou magnésium. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE LES LESSIVES 7 - Formation technique LES LESSIVES Contrairement à bien des idées reçues, les lessives ne sont pas toutes identiques. Elles contiennent des ingrédients spécifiques. Ainsi chaque type de lessive possède ses propres caractéristiques et sera particulièrement adaptée à tel ou tel type de lavage ou de textile. 7.1. - Comment choisir la lessive ? jr,i'ffiËûÈ'ffi;,1 -iiË$fË*Ë= êHft ,.. .;i.!';i.;;..;i.;;.i;1f1nu 90"c-60"c 40"c Poudre concentrée ou micro 60"c 40"c Pastille 60"c 40"c Poudre classique Liquide 40"c - 30"c 30"c Lessives spécialisées 7.2. ffi1i.sàlê',i.;;iii1i Les différentes actions de la lessive Les lessives modernes mettent en æuvre un certain nombre de mécanismes très complexes. Le nettoyage du linge dépend directement des pouvoirs suivants D : Pouvoir mouillant L'eau a une grande difficulté à entrer en contact avec les surfaces solides, surtout si elles sont gmsses. L'eau mouille difficilement. Le contact intime de l'eau avec le linge à nettoyer est nécessaire pour aniver à séparer la salissure de la fibre textile. La lessive doit avoir un pouvoir mouillant élevé. F Pouvoir émulsionnant Les salissures grasses retenues par les fibres, une fois détachées, seront émulsionnées et divisées en éléments microscopiques par des agents tensio-actifs. Le pouvoir émulsionnant du produit lessiviel complète I'action mécanique du lave-linge. > Pouvoiranti-redéposition Les salissures détachées des fibres doivent être maintenues en suspension dans le bain de lavage sans se redéposer sur le linge F Pouvoir détachant . &Lq$Atlon : Beaucoup de taches sont colorées, la lessive pour les faire disparaître doit les décolorer . b_hydlsly9g-: De nombreuses taches alimentaires ou corporelles sont composées de protéines. L'eau ne peut les décomposer seule. Mais en pésence de catalyseurs, I'eau devient capable de décomposer les molécules protéiniques. D Le pouvoir anticalcaire L'eau parfaitement pure n'existe pas à l'état naturel. En passant dans I'atmosphère et en s'infiltrant dans les sols, I'eau de pluie se chaçe de minéraux. Plus I'eau contient de sels de calcium (calcaire) plus elle est dure. Le calcaire diminue I'efficacité de la lessive en neutralisant les pouvoirs décrits ci-dessus. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LES LESSIVES Formation technique 7.3. - Gomposition du produit de lavage INGREDIEITITS LES AGENTS TENSIO.ACTIFS LES AGENTS ANTICALCAIRE LES AGENTS ANTI.REDEPOSITION LES AGENTS ANTI.MOUSSE FONCTtOtllS lls facilitent I'imprégnation de I'eau dans les textiles. lls décollent les taches et la saleté. lls agissent contre les effets néfastes de la dureté de I'eau lls empêchent la redéposition de la saleté en suspension sur le linge. lls contrôlent le niveau de mousse pour éviter les débordements LES AGENTS ALCALINS lls améliorent la performance de lavage du produit LES AGENTS DE BLANCHIMENT lls éliminent les taches colorées par oxydation LES AGENTS BIOLOGIQUES Chaque type d'enzyme est spécialisé sur une catégorie de tache. lls enlèvent les taches d'origine animale, (lipase, protéase, amylase) végétale. LES AGENTS FLUORESCENTS (AZURANTS oPTTQUES) lls agissent contre le jaunissement et ravivent l'éclat du blanc. lls rendent le blanc plus lumineux. LES AGENTS PROTECTEURS DE COULEURS Présents surtout dans les lessives spécialisées, ils limitent les risques de palissement et transfert de couleurs LE PARFUM 7.4. - ll donne au linge une odeur de propre et de frais Les additifs 7,4.1. - .L'assouplissant C'est un produit prêt à I'emplci ou concenté qui peut êûe utilisé prre ou dilué. Cet additif de confort (pas d'influence sur I'effcacité de hvage) est distibué lors demier rinçage. ll permet dbbtenir un linge doux, sot.rple et empêcfie la production d'électicihé statique. ll "lubrifie" les fibres et leur permet de glisser les unes sur les autres sans s acqocfpr. De dus, à I'essot"age, I'eau glisse plus facilement et plus rapidement sur le linge ce qui réduit le bmps de sâ:hage. Les fibres sont également moins cassantes et le repassage est facilié, 7.4.2. - .Le chlore s Cl r (eau de javel) C'est un açnt blancfiissant et désinfuctant qui doit ête utilisé awc précautims, ser.rl, dilué. et uniquement avec le coton blanc ou la couleur grand bint ll es{ distribue lors du premier rinçage pour êûre parhibment éliminé au cours des rinçages suivant. 7.4.3. - .Les produits anti+alcaire ll est important de séquesûer le calcairc pour améliorer le resultat de lavage et oonserver le larrelinge en bon éht de marrche. Ces produib (poudres ou pastilles), utilises à ctnque lavage et en complément de la lessive, aident à mainbnir la souplesse du linge, l'édd du blanc et des couleurs. lls emÉchent aussi au lave.lirge de s entarber. 7.4.4. - .Les produits détachants lls sont composes dagenb de Hanchiment oxygénés et d'enrymes. lls sont commercialisés sous plusieurs fonnes, pas{ille, ç1, spray et même lingetb. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LE LINGE 8. Formation technique LE LINGE - 8.1. Les différentes fibres Le linge est aujourd'hui constitué d'une très grande variété de fibres textiles dont chacune exige un lavage approprié réagissant différemment à I'eau, à la température mais aussi à I'action mécanique. FTERES NAT.T,REI-LEE Animales Laine et Soie Viscose Polyamide Nylon et Perlon Végétales Goton, Lin et Jute Acétate de cellulose Polyester Tergal, Dacron Minérales Amiante Triacétate de cellulose Polyacrylique Gourtelle, Dralon Ghlorofibre Rholyl Elastomère Lycra Polypropylène Méraklon 8.2. - La sensibilité des fibres La fragilité est plus liée à l'ennoblissement qu'à la matière. Teinture lmpression Finissage Fibres naturelles absorbantes pouvant retenir les colorants naturels (café, vin, thé, fruits,...) persistance des taches si lavées trop froid. Se froisse et jaunit à la lumière Fibres naturelles fragiles, difficiles à teindre, sensibles aux orydants, aux alcalins et au froftement (feutrage, rétrécissement pour la laine) VISCOSE; RAYOITINE, AGETATE . . .,.,. ...,.... . ' , ,:,, p$È#Ës*Ë#rHôËffiËË . ......;.,..:..... ,. .:.. Fibres artificielles cellulosiques plus fragiles que le coton avec les mêmes défauts Fibres synthétiques résistantes mais sensibles aux taches grasses ]:::;:i:::iij::::.:].:.:::::i:i:::]::i:i:::i::l Fibres synthétiques très sensibles à la chaleur. Ne pas dépasser 40oG LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE LE LINGE Formation technique 8.3. - Symboles de lavage ll est nécessaire de trier le linge et de respecter la charge pour obtenir les meilleurs résultats et le laver en toute sécurité. ll faut pour cela lire les étiqueftes qui donnent toutes les informations nécessaires à l'entretien des textiles. LE COFREET* LAVAGE A TËMPERATURE MAXIMALE DE LAVÂ#f; 95"C A TRAITEMENT À L,EAU DE JAVEL #HL*ffiÂffiH P1ï {-s g.tq N TAM**UA MH$A#Tfi 200"c ffiËpÀ$sÂsr ,n fpl [rl \*"*/ ruETT*YASH  ss* ô o ^ v\1 -tt ffi TffiAIT*MËT{T rNTgftsrT o TOUS SOLVANTS USUELS tttl .FIF PAS DE I-AVAGE * Marque déposée PAS DE CHLORAGE - a FoRr REGLAGE FORT 30"c CHLORAGË DILUÉ FT A FROID sÉcHAGË k--l E $ilf;i-{e#m æ 40.c 40"c 60"C Lavage à la main seulement température 40'C maxi. : SECHAGE DOUX _l (v 150"C REGLAGE MOYEN â PERCHLONÉTHYGTVE ESSENCE MINÉRALË r-----zl r--_r.\. ttal 7T o 110.c REGLAGE DOUX ESSENCE MINÉRALE ET SOLVANT FLUORÉ Fl13 x)< )<J tvl 1 PAS DE RFPASSAGE (PAS DE VAPEUR) PAS DE NETTOYAGE A SEC NI DË DÉTACHAGE AU SOLVANT tl ^l I}rx F-r+ PAS DE SÉCHAGE EN TAMBOUR LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique - 8.4. Poids du linge et charge conseillée ll faut éviter . o : De laver en même temps les textiles légers et ceux qui sont en coton épais, car le poids de ces derniers froisse et abîme les textiles plus légers. De surcharger le tambour, ce qui augmente le risque de mauvais lavage. Poids moyen de quelques pièces de linge sec ( peu épais Poids moyen de quelques Pièces de linge sec ( épais >> >> Blue-jean adulte Grande serviette éponge. Housse de couette... Pantalon jogging adulte. Peignoir de bain. Petite serviette éponge. Pyjama éponge enfant.. Sweat-shirt.. - 8.5. ....8009/1kg ......7009 ....15009 . . .....3509 .12009 ..3009 .1009 ......2509 L'usure du linge .2Og Chaussette... .. ...1 509 Chemise de nuit légère. ........2009 Chemise homme. ......40015009 Drap 1 place. ......8009 Drap 2 places ....50g Lingerie délicate. ..50g Lainage synthétique enfant...... ..1 009 Nappe... ........5009 Pantalon toile adulte. ...1209 Pantalon toile enfant. .1 509 Pyjama adulte.. ....2009 Taie d'oreiller ...1 309 Torchon vaisselle ..1509 T-shirt coton grande taille.. L'usure d'un vêtement vient à 7o%du fait de le porter, 2oo/o sont dus au lavage et 10% au séchage en machine. 8.6. - Précautions pour éviter de détériorer le linge c) \)w o@ textiles à décoration rapportée 8.7. - . o . . . Les attentes du consommateur Un résultat de lavage irréprochable. Un blanc éclatant. Le respect des textiles. Des temps de programme réduits. Un fonctionnement silencieux. à,. M ÆfXJ Wffi% LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique 9. DECOUVERTE DECOUVERTELAVE.LINGE C'est la place disponible et les habitudes qui conditionnent le choix entre un lave-linge à chargement par le dessus ou "top" et un laveJinge à hublot ou ',front". 9.1. - Le laveJinge FRONT à chargement par I'avant DECOUVERTE Le lave-linge TOP à chargement par-dessus LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE COMPOSANTS MECANIQUES Formation technique 10 . LES COMPOSANTS MECANIQUES La cuve est généralement démontable et contient le tambour. A sa partie supérieure, se trouvent les points d'ancrage des ressorts de suspension et à sa partie inférieure, les points de fixation de la motorisation et d'appui des amortisseurs. Sur la cuve sont fixées des masses d'équilibrage qui contribuent à stabiliser le bloc laveur, notamment pendant . . . . Tôle émaillée Polypropylène structuré (fibre de verre) Polyténax (résine de synthèse). Acier inoxydable I'essorage. Le bloc laveur doit supporter toutes les contraintes mécaniques générées lors d'un cycle de lavage. TAMBOUR Le tambour, de forme cylindrique, est composé; trous pour permeftre la circulation de Le tambour d'un lave-linge à chargement par le dessus a une porte de chargement, une trappe de visite et deux axes latéraux I'eau. ENSEMBLE PALIERS Le tambour d'un lave-linge frontal n'a qu'un axe de forte section et n'a pas de omégas) fixées sur la virole sont chargées de brasser le linge pour mener trappe de visite. à bien I'action mécanique. Elles sont formées dans le tambour ou rapportées. . Acier inoxydable 18/8 (18% de Afin de corriger le déséquilibre généré par chrome et 8% de nickel) magnétique le poids de I'ensemble portillons du (composition ferrite) ou amagnétique tambour d'un lave-linge à chargement par (austénitique) dessus les aubes sont lestées. . Volume : de 40 à 80 litres selon la capacité du lave-linge (5 à 8 kg). modèles de tambours ont également les flancs perforés. Les paliers (souvent appelés roulements), sont des pièces mécaniques. ll s'agit Sur les lave-linge à chargement par le simplement de billes enfermées dans dessus, les paliers peuvent être deux cages cylindriques. Ce montage permet au tambour de tourner sur son (ou emboutis dans des traverses rapportées ou moulés dans la cuve en ses) axe (s). Les paliers comportent un polypropylène. ou deux roulements à bille protégés par Le diamètre des roulements dépend de la des joints qui assurent l'étanchéité de vitesse d'essorage. En général ; I'ensemble. . Pour 1200 tours/min Roulements No Sur les laveJinge à chargement par 6205 I 6206 I'avant, I'unique palier est placé sur un o Pour1400 tours/min Roulements No croisillon, dont l'étanchéité est assurée 6305 / 6306 par un joint à double lèvres. Un croisillon en alliage d'aluminium est fixé sur le bord du tamborrr AMORTISSEUR Le bloc laveur n'est pas directement solidaire de la carrosserie, mais suspendu par des ressorts et porté par des amortisseurs afin de réduire les vibrations transmises à la carrosserie en petite vitesse et de neutraliser les débattements générés par I'essorage. Le système de suspension est adapté à la forme et au poids du bloc laveur, à la vitesse d'essorage et au mode de chargement. Les ressorts de suspension sont accrochés à la partie supérieure de la carrosserie. Les pieds amortisseurs absorbent le déplacement du bloc laveur. L'équilibrage du bloc laveur est assuré grâce à la présence de plusieurs lests. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE COMPOSANTS MECANIQUES Formation technique 12-LES COMPOSANTS MECANIQUES (SUITE) POULIE COURROIE o . La longueur d'une courroie dépend de : Les principaux paramètres sont reportés sur la courroie. CHAMBRE DE COMPRESSION Marque de la courroie Type caractérisé par une ou deux lettres, H, J, K, PH, PJ, etc. Ces lettres déterminent certaines caractéristiques techniques de la courroie . Nombre de dents (4,5,6 ou 8) . Longueur en millimètres, elle correspond à la longueur totale de la courroie dépliée. . o . Caoutchouc (couleur noire) Plastique (couleur blanche ou jaune) Degré d'élasticité . . Caoutchouc Traitement fongicide La chambre de compression est constituée d'une < boite > qui emprisonne une bulle d'air. Cette < boite > peut faire partie du couvercle ou de la cuve ellemême. Elle peut aussi être rapportée sur la cuve. w$ Lorsque I'eau monte dans la cuve, elle monte également dans la chambre de compression en comprimant I'air qui s'y trouve. Cet air, qui monte par une fine durite vers le pressostat, pousse une membrane caoutchouc qui actionne des contacts électriques. La manchette ) Assure l'étanchéité entre le bloc laveur et I'habillage (carrosserie). F Permet I'introduction du linge dans le tambour transfert des vibrations du bloc laveur à I'habillage. Assurer la jonction et l'étanchéité entre les différents composants du lave-linge (cuve, pompe, boite à produit, etc.). Réalisé en caoutchouc très souple, elles peuvent prendre différentes formes en fonction du fabricant. Elles sont souvent dotées d'un soufflet en accordéon qui permet de désolidariser le bloc laveur, l'habillage et les autres composants. Certaines durites de vidange possèdent un clapet ou une < boule > qui permet de limiter les pertes lessivielles à moins de 1%. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique 12-LES COMPOSANTS MECANTQUES (SUtrE) COMPOSANTS MECANIQUES LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE COMPOSANTS ELECTRIQUES 11 . Formation technique LES COMPOSANTS ELECTRIQUES VERROU A DEVERROUILLAGE INSTANTANE Empêche la mise en marche du lave-linge porte ouverte et interdit I'ouverture lors de son fonctionnement. La porte est verrouillée après 30" de commande du verrou et pendant toute la durée du cycle, sauf pendant la période d'attente d'un départ différé ou lors d'une mise en << Pause >>. Le verrouillage de la porte est assuré par un système thermique. Le déverrouillage de la porte n'est possible que 2 minutes après la coupure de I'alimentation. o o . . Empêche la mise en marche du lave-linge hublot ouvert. Possibilité d'ouverture instantanée. Le verrouillage de la porte est assuré manuellement à I'aide d'un système c . . o 2201240V1KCl à 2O"C CTP ou PTC Déverrouillageaprèsrefroidissement | llpTCl ôôô .#a 220 - 240 VBobine (solénoide) : environ 100 o CTP ou PTC : environ 60 O à20"C Entre 3 et4:environ 160Oà 20"C mécanique. Ouverture instantanée par I'alimentation d'une bobine qui va libérer le mécanisme. Pour ouvrir le hublot en cours de cycle, il faut mettre I'appareil sur << Pause >. L'ouverture du hublot n'est possible que s'il n'y a plus d'information du tachymètre (rotation tambour). C'est un robinet électromagnétique qui commandé par le programmateur autorise I'arrivée d'eau. Le pressostat, lorsque le niveau requis est atteint coupe son alimentation électrique. Permet le remplissage du lave-linge et I'enlèvement des produits. ll existe : ) Electrovanne 1 voie (sortie) } Electrovanne 2,3 ou 4 voies (sorties) pour un lave-linge séchant par exemple. ) Electrovanne eau chaude ll est actionné par de l'air sous pression. L'eau, en remplissant la cuve, comprime I'air. A un certain niveau de compression, le pressostat coupe I'alimentation électrique l'électrovanne. Le pressostat . 4KO . Moins de 6 litres / minute pour eau chaude. est vide d'eau (niveau 0). I'alimentation électrique de l'électrovanne et alimente la pompe de vidange 1,2,3ou4voies. De 0,3 litre / minute (Lave-linge séchant) à 10 litres / minute (prélavage ou lavage). Nombre de niveaux selon le composant . 1i"'niveau - Niveau bas:11112 - Niveau haut : 11113 ou 11114 . est pleine (niveau 1). 2201240V- o o . 2no niveau - Niveau bas:21122 - Niveau haut : 21123 ou 21124 . Niveau de sécurité (OVERFLOW) - 1'1114 ou 11116 : LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE COMPOSANTS ELECTRIQUES Formation technique 13- LES COMPOSANTS ELECTRTQUES(SU|TE) iiiilt rli PRESSOSTAT ANALOGIQUE THERMOPLONGEUR THERMOPLONGEUR + GTN CTN SONDE DE TEMPERATURE CTN ll est utilisé dans les lave-linge où I'on cherche à atteindre des consommations d'eau optimales. ll est malheureusement impossible de le tester sans un outillage spécifique. ll est toujours couplé à l'électronique qui affichera un code erreur en cas de panne. Le principe repose sur la mobilité d'un aimant (en contact avec la membrane). Celui-ci vient perturber un courant électrique passant dans une bobine. Attention car contrairement au pressostat classique il ne faut pas < souffler >> dedans, sous peine de I'endommager. C'est une résistance blindée qui assure le chauffage du bain lessiviel pendant les séquences de lavage et de prélavage. Le thermoplongeur est constitué d'un élément tubulaire en acier inox à I'intérieur duquel se trouve une résistance enroulée en spirale imbibée d'un matériau isolant. ll est maintenu en fond de cuve par une 220t240Vbride ou un support en acier inoxydable 25e) de façon à rester toujours immergé, De 1800 à 2500W L'étanchéité entre le trou de la cuve est Fusible thermique 150"C assurée grâce à un joint qui s'élargit lors Sonde de température CTN du serrage de l'écrou de la bride de fixation. cas de remplacement, il est impératif Pour se prémunir contre la < chauffe à d'utiliser un élément chauffant avec sec )), on utilise deux systèmes de les mêmes caractéristiques. coupure différents : Lorsque le thermoplongeur est monté sur la cuve, et s'il n'est pas horizontal, le I'intérieur de l'élément chauffant le met, en cas de surchauffe, définitivement hors fusible se trouve généralement sur la partie la plus surélevée (celle qui risque service. de ne pas rester immergée). La position du thermo fusible est repérée avec une perle de couleur eUou le symbole suivant : -FF .Certains éléments chauffants peuvent comporter deux fusibles thermiques. électriquement en série avec la résistance empêche la surchauffe. Ce microcontact fixé sur un axe est activé Cette sonde est utilisée sur les lave-linge à programmation < hybrides > ou < tout électronique >. La valeur ohmique de cet élément diminue lorsque la température augmente. La diminution de la valeur ohmique est détectée par la carte électronique qui, une fois la température atteinte, interrompt I'alimentation électrique de l'élément chauffant. La CTN : informe le microprocesseur de la carte électronique. . o . Quelques kÇ) à 2O"C Livrée montée sur le thermoplongeur Intégré avec le thermostat de sécurité dans le même boitier. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE COMPOSANTS ELECTRIQUES Formation technique I 3- LES COMPOSANTS ELECTRIQUES(SUIrE) THERMOSTAT BI METALLIQUE ll existe plusieurs types de thermostats avec un ou deux contacts normalement fermés ou ouverts. Le thermostat assure : . . . . En contact avec la cuve Coupure ou ouverture si température de consigne atteinte Ré-enclenchement automatique Ré-enclenchement manuel. Après s'être déclenché suite à cause d'une surchauffe, il faut agir manuellement sur le bouton rouge. . . Réglable de froid à 90"C Thermostat à bulbe en contact avec température de I'eau de lavage température de I'air de séchage anormale en lavage ou en séchage THERMOSTAT REGLABLE Ce thermostat a pour fonction de régler et contrôler la température de I'eau de lavage. ll fonctionne selon le principe de dilatation du liquide Quand le bulbe est chauffé, le liquide se dilate dans le tube capillaire, déforme une membrane qui actionne I'ouverture ou la fermeture de contacts. POMPE DE VIDANGE ENSEMBLE POMPE VIDANGE ET POMPE DE REGIRCULATION Evacuer les eaux usées. La pompe synchrone peuttoumerdans le sens horaire ou antihoraire. La vitesse de rotiation n (en tours/s) de ce type de moteur est égale à la fâluence de la tension d'alimentation F (en Hertz) dMsé par le nombre de paire de poles de I'aimant (p).Un moteur synchrone ne démane pas tout seul. ll lui faut donc un artifice de démanage. Une pompe de vidange synchrone démane par oscillation grâce au jeu de la turbine sur I'axe. Elle démane toujours dans le sens qui oppose le moins de résistance à la rotation. La vitesse de synchronisme est atteinte très facilement en charge (avec de I'eau), le démanage à vide est luitrès irÉgulier (le sens de rotation peut s'inverser plusieurs la cuve o o . . . o 2201240V200C) 24W 16litres/minute Synchrone Protecteur thermique La recirculation, présente sur certains lave-linge, permet: ) F ) F d'améliorer le mouillage du linge d'améliorer I'action mécanique d'améliorer la qualité des rinçages de diminuer les pertes de produit lessiviel Elle contribue à faire baisser la consommation d'eau et donc de faire des économies d'énergie. L'eau est aspirée sous la cuve par le filtre de vidange puis renvoyée, à travers la cuve ou la manchette, au cæur du linge. . . o . . o 22O1240V200C) 30W 20litres/minute Synchrone Protecteur thermique Un ensemble peut être livré complet avec les 2 pompes et le corps de filtre. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE COMPOSANTS ELECTRIQUES Formation technique 1 3- LES COMPOSANTS ELECTRTQUES(SUITE) ffiil,j!ïlr1tii iiiiirilii.t:!;!)!1 t::tii.tii::,1.i:t:1ti!. PROGRAMMATEUR ELEGTROMECANIQUE Un micromoteur de type synchrone entraîne des cames qui ouvrent et ferment des contacts électriques pour alimenter différents éléments (moteur, électrovanne, élément chauffant, pompe de vidange, ...) ll possède deux jeux de cames : 220t240V- Tl(r) Moteur synchrone temporisation) VARIATEUR DE VITESSE ll gère I'alimentation, les sécurités, les cadences et inversions moteur grâce aux codes fournis par programmateur pendant le déroulement du cycle. PROGRAMMATEUR HYBRIDE ,*''*Æ. PROGRAM MATEU R ELECTRONIQUE Le programmateur hybride est composé d'une carte électronique et d'un programmateur électromécanique. Les différents programmes sont placés dans la mémoire de la carte électronique. Le programmateur par I'intermédiaire de contacts signale à la carte électronique son positionnement. A chaque position (pas) du programmateur correspond un code qui signale à la carte électronique la fonction à exécuter. Toutes les fonctions remplissage, chauffage, vidange, verrouillage de porte, etc. sont commandées par le programmateur. L'électronique gère la durée et commande I'alimentation du programmateur. Les rotations du moteur sont gérées par l'électronique. ll gère : cadences de rotation du moteur. puissance Les cartes sont équipées de plusieurs composants. Des relais pour commander les éléments de puissance et des triacs pour commander les autres éléments. . . 2201240V50Hz . . . 2201240V50Hz Moteur synchrone Un programmateur électronique est constitué de 2 parties . Une interface utilisateur ou électronique de commande . Une électronique de puissance . . 2201240V50Hz LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE GOMPOSANTS ELECTRIQUES Formation technique I 3- LES COMPOSANTS ELECTRIQUES(SUIrE) MOTEUR UNIVERSEL ll entraîne le tambour en lavage et en essorage par I'intermédiaire d'une poulie et d'une courroie Poly V. . . Rotor (M) : 1,7c) à 2,3ç> Tachymètre (G): 90O 1,2V-11000 tours Moteur < à 1000 tours/min. Stator unique '. 1,7çr, à 2,8O Moteur > à 1000 tours/min. Stator 1 (S1) :environ 1C) Stator 2 (52): environ 1C) Vitesses : . 35 ou 50 tours/min. en lavage . jusqu'à 1300 tours/min. en essorage Le diamètre de la poulie moteur définit le rapport de transmission du lave-linge. . . . Uniquement sur la programmation mécanique, il entraîne le tambour à 50 tours/min. pour le lavage et à 500 tours/min. pour I'essorage par I'intermédiaire d'une poulie et d'une counoie Poly V. . r . . MOTEUR ASYNCHRONE MONOPHASE MOTEUR ASYNCHRONE TRIPHASE 2201240V50Hz 2112,2/14 ou 2/16 pôles Démarrage par condensateur d'environ 10 à 15pF. Le moteur asynchrone triphasé est constitué d'un Les trois enroulements du stiator sont couplés en triangle, et sont de même valeur ohmique. > ROTOR : la partie tournante du moteur. ll est du type à cage d'écureuil. Les différentes vitesses sont obtenues par la variation de la fréquence de 5 à 350H2. La vitesse du moteur est contrôlée à I'aide du signal généré par le tachymètre. PLATINE DE COMMANDE MOTEUR Pour faire varier la vitesse d'un moteur triphasé, il faut faire varier la fréquence et la tension d'alimentation. Une platine alimentée par une tension monophasée de 230V 50hz génère une tension triphasée nécessaire à I'alimentation du moteur (environ 310V) ll s'agit d'un convertisseur de fréquence (INVERTER). La platine redresse tout d'abord le courant puis un onduleur fabrique, à partir de l'étage continu, trois phases décalées de 120 ". Ce convertisseur détermine la tension et la fréquence de pilotage du moteur grâce à la combinaison de fermetures et d'ouvertures d'interrupteurs IGBT (pilotés par le microprocesseur). LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE GOMPOSANTS ELECTRIQUES Formation technique 12. LES PRINCIPAUX CAPTEURS ri+i+# SONDE DE CONDUCTIVITE Elle permet de déterminer : ll en résultera une modification de la consommation d'eau en rinçage. CAPTEUR DE PRESSION Le capteur de pression qui est placé en dérivation sur le tuyau de pressostat. Lorsque le niveau d'eau monte dans la cuve, la pression agit sur la membrane du capteur et fait monter I'aimant sur son axe vertical. L'aimant (champ magnétique) se déplace à travers un enroulement de fil de cuivre (bobine) et génère tension (différence de potentiel) aux bornes de cette bobine (lnduction TENSION AUX BORNES DU CAPTEUR Entre GND et 5V (1 et 3) à 5 Volts Entre GND et OUT (1 et2) ) de 0,5 à 3,5 Volts - en fonction du niveau d'eau dans la cuve, Cette tension est proportionnelle à la pression exercée par la membrane du capteur, elle est mesurable aux bornes de ce circuit. . o électromagnétique). LE DEBITMETRE Une hélice équipée de deux aimants est placée dans le conduit de l'électrovanne. Cette hélice tourne lors de chaque prise d'eau. L'interrupteur à lame souple (lLS) fixé sur l'électrovanne se ferme à chaque passage des aimants. Ces impulsions sont envoyées à la carte électronique qui peut mesurer très précisément la quantité d'eau entrée dans la cuve. AIMANTS LE TACHYMETRE ( DEUX FILS D LE TACHYMETRE A EFFET HALL ( TROIS FILS E. Le moteur entraine un tachymètre qui est en fait une génératrice synchrone. Elle est constituée d'un aimant collé sur I'axe qui, lorsqu'il est entraîné en rotation par le moteur, induit une f.e.m. dans un . Enroulement: environ 100 Oenroulement fixe. o Tension délivrée : 1,2V- pour 1000 Elle délivre à la carte une faible tension tours/min du moteur. alternative dont la fréquence et Le tachymètre peut être détaillé ou non I'amplitude augmentent avec la vitesse. et faire partie du moteur. Cette tension est analysée par le microprocesseur qui décale les impulsions de gâchette pour modifier la tension d'alimentation du moteur et corriger ainsi sa vitesse. Contrairement aux tachymètres à deux fils qui fonctionnent comme une dynamo, et qui génèrent une tension proportionnelle à la vitesse de rotation, les tachymètres a effet hall (trois fils) fournissent en sortie une tension fixe (+5V) dont les impulsions sont par contre proportionnelles à la vitesse. On en déduit que la relation impulsions par rapport à la vitesse se modifie, ce qui revient à dire que si durant une seconde les impulsions ont augmenté, la fréquence du signal a augmenté. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LES CARTES ELECTRONIQUES 13. Formation technique LES CARTES ELECTRONIQUES Une carte électronique a besoin pour son fonctionnement d'une source de tension continue, filtrée ou stabilisée selon les besoins, mais surtout antiparasité. Une alimentation (de Basse Tension Continue) se oompose d'une tension réseau abaissée à une tension alternative de 8 ou 15V. Cette tension est ensuite redressée généralement par un pont de diodes suivi d'un condensateur chimique de filtrage. Les principaux éléments qui fonctionnent en basse tension sont: CTN, CTP, capteurs à effet Hall, signalisations LED ou Display, bobines relais, débitmètre, capteur de pesée, de pression, de position, pressostat analogique, etc. Certains composants électroniques et en particulier les microprocesseuns sont très sensibles aux décharges électrostatiques. lls n'apprécient pas plus les parasites. Le branchement des apparcils électroménagerc doit être conforme à la norme NF G l5-100 en ce qui concerne le diamètre des conducteurs, la longueur du câble et le branchement sur une prise électrique avec terre. Le bon fonctionnement de la carte électronique d'un appareil électroménager dépend du respect du branchement de la phase (L) et du neutre (N) et de la qualité de la liaison à la tene. Nous pouvons rencontrer trois types d'alimentations différents. 13.1. - L'alimentation sans transformateur. Les cartes électroniques sans transformateur, sont directement reliées au secteur via un condensateur et une résistance série. Elles sont également très exposées aux surtensions car généralement dépourvues de fusible sur I'alimentation (carte) elle même. Leur utilisation est idéale pour des consommations faibles ou peu exigeantes en intensité, ce qui limite leur usage. En effet elles ne permettent pas de disposer de couranb permettant d'alimenter un grand nombre de relais ou même un afficheur. Ce type d'alimentation est tnàs souvent présent sur les cartes de réfrigérateur, et plus rarement sur les cartes de laveJinge, sècheJinge ou lave-vaisselle. Ce type d'alimentation est satisfaisant s'il ne s'agit que de commander un ou plusieurs Triacs. 13.1.1. - Exemple d'application : I'alimentation de la carte électronique MR116 du laveJinge top MALIGE PH. A partir du secteur, on effectue un redressement mono-alternance par I'intermédiaire de D1, limitation de courant par la résistance R1 et filtrage par le condensateur C1. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique 13.2. LES CARTES ELECTRONIQUES - L'alimentation avec transformateur. Le transformateur peut être moulé et directement soudé sur le circuit imprimé. ll peut également être placé à proximité du circuit imprimé si le poids ou encombrement I'impose. La taille, dépend de la puissance utilisée. ll est fréquent de voir un fusible sous verre protéger le primaire du transformateur. Nous retrouvons à proximité un pont de diodes et des condensateurs. 13.3. - L'alimentation à découpage De plus en plus les modules éleclroniques sont dotés d'alimentiations à découpage (basse tension). Leur faible consommation en fait des concepts électroniques les plus économiques. Leur lôle est de protéger le module contre les surconsommatons intemes de tous les éléments travaillant en basse tension. Les microprocesseurs travaillent quasi exclusivement en 5V continu mais pour les autres composants comme les relais, les tensions sont un peu plus élevées. La carte électonique privée partiellement voire totalement de la tension continue indispensable à son fonctionnement se protège contre toute surconsommation inteme qui pounait la détériorcr. Dans ce cas, généralement aucun voyant LED ou DISPLAY ne s'allume, ou tnès faiblement ou encore qu'une fraction de seconde, malgré la pÉsence du secteur 230V sur I'entée de la carte électronique. C'est la mise en autoprotection qui se traduit par le blocage des fonc{ions mais dans oe cas sans aucune détérioration du module. Une fois le défaut disparu, l'éleclronique fonctionne à nouveau. 13.4. - F F Les contrôles de base à effectuer Le bon fonctionnement de la carte électronique d'un appareil électroménager dépend du respect du branchement de la phase (L) et du neutre (N) et de la qualité de la liaison à la tene. La mise à la terre est à contrôler en priorité, si elle est inexistante ou mauvaise il faut le signaler à l'utilisateur et le préciser par écrit sur le rapport d'intervention, c'est une obligation. Attention : Le technicien engage sa responsabilité, c'est lui le professionnel... Vérifier la présence du secteur 230V sur l'entrée de la carte électronique. A la mise sous tension I'afficheur eUou une LED doivent être allumés. Si ce n'est pas le cas, il y a anomalie. Néanmoins, la carte électronique n'est pas forcément en cause. ll s'agit vraisemblablement d'une mise en autoprotection. ll faut observer avec attention le circuit imprimé, et chercher d'éventuelles traces visibles de détérioration ou de court circuit qui pounait justifier le problème. Dans ce cas on peut considérer la carte électronique comme bonne, du moins pour I'instant. S'il s'agit d'une mise en autoprotection. La mise en autoprotection est probablement causée par un court circuit ou une mise à la masse d'un élément fonctionnant en basse tension. La méthode par élimination est la plus simple et la plus rapide et il suffit de déconnecter les éléments un à un jusqu'au déblocage de la carte électronique. Les principaux éléments qui fonctionnent en basse tension sont : CTN, CTP, capteurs à effet Hall, signalisations LED ou Display, bobines relais, débitmètre, capteur de pesée, de pression, de position, pressostat analogique, etc. Le fait de déconnecter le circuit en cause (élément et câblage) permet de rétablir immédiatement la basse tension et la signalisation. Vérifier les éléments de puissance fonctionnant en 230V qui eux peuvent, contrairement aux éléments basse tension, en cas de court-circuit causer la détérioration de carte électronique. ll ne faut jamais remplacer une carte électronique sans avoir identifié au préalable I'origine de sa destruction. La remplacer simplement sans avoir recherché la cause est inutile et pas très sérieux. LES CARTES ELECTRONIQUES LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique Si carte électronique est détruite il faut impérativement localiser le circuit et l'élément en cause avant tout échange. ll faut localiser I'endroit où le composant est détérioé (ou pistes brûlées) et suiwe le câblage jusqu'à l'élément incriminé. Le câblage (usure de fil) ou un court circuit indirect causé par une fuite d'eau peut être à I'origine du défaut. En cas d'impossibilité de suiwe le câblage, il faut consulter la documentation technique afin de vérifier I'affec'tation des triac ou relais avec les éléments de puissance. Attention un triac fendu ou fissuré ne sera visible à I'oeil nu mais avec une loupe. En cas de surbnsion, les degâb se limibnt en géneral aux composanb de I'alimentation de la carte élecfonQue. Ceux+i sont æsez facilement reconnaissables. ll y a bujours une VDR en enflee du sec-teur sur la carte. Son rôle es{ d'absorber les surtensions de courtes durées (Quelques miqo, voire millisecondes). Lorigine est donc obligatoiæment o<térieure à l'appareil. Cela peut êbe dû à un problème EDF, à I'ins'tallation ell+même, ou encore à un orage. L appareil n'y est pour rien. En règle générale, une carte électronique sans défaut visuel apparent n'a aucune raison d'être remplacée. Le programme d'aide au diagnostic doit permettre au technicien de contrôler les différents rs et I'ensemble des fonctions de I'appareil. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LES MOTEURS Formation technique 14. LESMOTEURS 14.1. - Principe de fonctionnement d'un moteur Les moteurs répondent de manière simple à une loi élémentaire concernant le magnétisme (la loi de Laplace). celle-ci s'appelle la loi des << 3 G r : Ghemin, champ, Gourant qui veut que lorsqu'on applique un champ magnétique à un conducteur, un courant s'y trouve induit et une force perpendiculaire s'applique sur celui-ci. 14.2. - Les différents types de moteurs et leurs applications .1"##ffi L11tri1lt...''.,..1,.1ir.rr'1;.1|.t.i iïi,,rir;1.1,:;; 1.l M icromoteu r programmateu r Pompe de vidange, de recirculation, etc. Pompe de vidange, Moto ventilateur Moteur entraînement tambour Moteu r entraînement tambou r Moteu r entraînement tambou r 14.3. - :',-i"titiir|'.'l ..F,,ff Aucun couple de démarrage Al imentation alternative Couple de démarrage très faible i mentation alternative Al Couple de démarrage très fort Alimentation alternative ou continue Couple bien plus important qu'un moteur asynchrone monophasé Al imentation alternative Le moteur synchrone Ce moteur à courant alternatif est constitué d'un stator bobiné. Au centre de ce bobinage on trouve le rotor qui est en fait une association d'aimants permanents. Une fois le rotor alimenté, un champ magnétique toumant attire et repousse l'aimant du rotor qui a du mal à s'y accrocher. Ce type de moteur n'a donc pas de sens de rotation préférentiel et doit également être soumis à une force pour démarrer. En cas de blocage, son sens de rotation s'inverse pour rester accroché au champ tournant. La vitesse de rotation n (en tours/s) de ce type de moteur est égale à la fréquence de la [tension d'alimentation F(en Hertz) divisé parle nombre de paire de pôles de i'aimant (p). I n = F, I _-ll-,l-lp Un moteur synchrone ne démarre pas tout seul. ll lui faut donc un artifice de démarrage. Le plus couramment utilisé en électroménager étant le démarrage oscillant. Une pompe de vidange synchrone démarre par oscillation grâce au jeu de la turbine sur I'axe. Elle démarre toujours dans le sens qui oppose le moins de résistance à la rotation. IîDANËI "* ,i.',.,--.,::.ii; i...,..', : 1;l':i':t.-. i !'t::,'...,..i n ;i'r ;.. "!nt .r1.: \ t !'r r' aii tr-- i:i. l t: 1...-i a j:i :l T i .. I .ij.i i; ffi En électroménager, on utilise ces moteurs à vitesse constante et économiques (peu de cuivre et consommation faible) lorsqu'il n'est pas nécessaire d'avoir un sens de rotation déterminé ni un couple à programmateur (mécaniquement bloqué dans un sens) et les pompes de vidange sont des moteurs synchrones très répandus en électroménager. fournir important. Le micromoteur d'un LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE LES MOTEURS 14.4. - Formation technique Le moteur asynchrone monophasé Le moteur asynchrone est moteur à courant alternatif sans connexion entre le stator et le rotor. Le terme asynchrone vient du fait que sa vitesse n'est pas forcément proportionnelle à la fréquence des courants qui I'alimentent. Lorsqu'il est alimenté en 230V 50H2, il est difficile de faire varier sa vitesse. Au démarrage, le couple est faible et le courant appelé est très élevé. Grâce à l'électronique de puissance, I'alimentation par un onduleur à fréquence variable, permet de le démarrer facilement et de faire varier sa vitesse. Le moteur ASYNCHRONE monophasé est constitué d'un - Un enroulement à 2 pôles assure la vitesse d'essorage, ou grande vitesse. Un enroulement à plusieurs pôles 12:/16 ou 18 assure la vitesse de lavage, ou petite vitesse. F ROTOR généralement en court+ircuit appelé * cage d'écureuil induction. r. ll reçoit un courant par Le champ magnétique crée dans le stator induit un courant dans le rotor qui provoque à son tour un champ magnétique. Ces champs magnétiques s'interférent et il en résulte une force qui fuit toumer le rotor. Par contre il tourne moins vite que le champ du stator. ll y a ce que l'on appelle un glissement (g). Les moteurs asynchrones équipant les lave-linge sont des moteurs à deux vitesses; ils ont deux stators bobinés I'un sur I'autre. ll y a des enroulements petite vitesse pour le lavage dont deux enroulements qui définissent le sens de rotation. Un autre jeu d'enroulements est utilisé pour la grande vitesse d'essorage. Le moteur asynchrone monophasé n'a aucun couple de démanage. ll nécessite un artifice de démanage- Lorsqu'il est "lancé" dans un sens le moteur "monophasé accroche" un des champs, mais l'autre champ tourne a une vitesse double vis à vis du rotor occasionnant des couples résistants et des pertes fer très importantes. 14,4.1. - Vitesse de rotation La vitesse de rotation de ces moteurs s'exprime par la formule avec un glissement de 5%. On admet que la vitesse du rotor est inférieure de 5% à celle du champ tournant. Cette réduction de vitesse est déterminée par le glissement (G). lrl=(Fx60/P)x0.95 N = vitesse en tours/min F = fréquence du courant P = nombre de paire de pôles La vitesse de rotation dépend très peu de la charge mécanique sur I'arbre. En effet si l'on augmente le couple résistant, le glissement a tendance à augmenter, ce qui élève I'intensité des courantrs induits dans le rotor, donc le couple du moteur. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique LES MOTEURS 14.4.2. - Démarrage inductif Les moteurs à bagues ou spire de Frager, sont réservés à des faibles puissances jusqu'à 100W environ : pompes de vidange, moto ventilateur de refroidissement, etc. Le stator est constitué par un noyau magnétique feuilleté portant un bobinage. Le noyau magnétique est fendu à chaque extrémité pour loger des bagues en cuivre nommées bagues de déphasage (ou spires de le démarrage du moteur et déterminent par leur position géographique le sens de rotation du moteur. Elles produisent le même effet qu'un circuit déphaseur. Frager). Ces bagues permettent Le rotor est un rotor à cage d'écureuil en court-circuit. Le sens de rotation est déterminé par constitution et toujours dirigé de la partie non baguée vers la partie baguée du pôle. 14.4,3. - Démarrage capacitif Un moteur asynchrone alimenté en courant alternatif monophasé ne peut démarrer seul. Pour le faire tourner, il faut soit le lancer à la main ou utiliser un circuit déphaseur. Le stator comporte en plus de I'enroulement principal un enroulement secondaire qui est chargé de créer un champ magnétique déphasé par rapport au premier. Un couple de démarrage est engendré. Le déphasage est obtenu grâce à la présence d'un condensateur en série avec I'enroulement auxiliaire. Le champ toumant obtenu es{ suffisant pour faire toumer nombre moteurs asynchrones brancftés en monophasé : Moteur entraînement tambour LL et SL, pompe de circulation LV, etc. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE LES MOTEURS Formation technique 14.5. - Le moteur universel (à collecteur et stator bobinés) Le moteur universel est à la base un moteur à courant continu qui suit la loi des ( 3 C > (Chemin, Champ, Qourant). Facile à réguler en vitesse, doté d'un couple de démarrage important, peu volumineux, ayant un bon rendement, les moteurs à courant continu impliquent la mise en æuvre d'un collecteur et de balais en graphite dont l'usure est relativement importante. Cet ensemble collecteur / balais permet d'inverser le sens du courant dans le bobinage induit lors de chaque demi rotation. Sur l'illustration cicontre le courant du rotor s'éloigne sur la moitié gauche et approche sur la moitié droite. F Le moteur r série r Un moteur est constitué d'un stator inducteur (bobinage créant le champ magnétique) et d'un rotor induit (conducteur recevant le champ magnétique). Les deux bobinages étant montés en série, le courant est le même. Si on alimente un moteur série en courant continu : Le rapport chemin - champ - courant est stable. ll est possible d'inverser le sens de rotation en inversant le sens du courant dans I'un des deux conducteurs. Si on alimente un moteur en altematif basse fÉquence : On inverse plusieurs fois par seconde le courant gbnq lgglCur bqbinsggs. Le rapport chemin - champ - courant reste inchangé. On voit cependant apparaître une impédance (celle de l'inducteur) qui n'existait pas en courant continu et des pertes dans le circuit magnétique du stiator. ll s'appelle ( UNIVERSEL > car il peut aussi bien fonctionner en courant continu qu'en altematif, la ftéquence devant toutefois rester faible (60H2 maximum en général). F Le moteur univesel Le moteur universel est un moteur à courant continu dont on â amélioré le rendement o Le stator est feuilleté : Comme sur les transformateurs, ce qui permet de limiter les pertes magnétiques par courant de Foucault. . Le bobinage stator est réduit : Afin de limiter la valeur de I'impédance. o Le bobinage rotor est augmenté : Ceci permet de compenser la réduction de flux au niveau du stator. : : ll est facile à commander depuis une source secteur à I'aide d'un triac. Ses inconvénients : Lors du fonctionnement en alternatif, le bruit de commutation au niveau des balais est plus important et un ronronnement se fait entendre au niveau du circuit magnétique (lié à la fréquence du secteur). Ses avantages LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique LES MOTEURS Un moteur universel (ou à courant continu) fonctionne en respectant un certain nombre de règles physiques et mathématiques. ll existe ainsi une équation de fonctionnement reliant vitesse, tension et flux magnétique. E est la tension (aussi appelée fém), O le flux magnétique et O la vitesse moteur. k est une valeur constante spécifique à chaque moteur. On constate que : . Plus la tension est élevée, plus la vitesse est grande. . A tension constante, plus le flux est faible, plus la vitesse augmente. 14.6. f; = k.{p"f,} - Alimentation du moteur universel en alternatif Dans I'exemple ci-contre et la courbe ci-dessous, le secteur 230V (en pointillé) est découpé par un triac. La gâchette "G" du triac est pilotée par le microprocesseur d'une carte électronique (le vula signal envoyé par le microprocesseur est d'abord amplifié 'havant d'arriver à la gâchette). u max = 230V2 lTli'::X: Tension Selon le décalage dans le temps des impulsions de gâchefte, qui rend le triac passant, le moteur reçoit une partie plus ou moins importante du secteur (trait plein). La valeur effcace de la tension appliquée aux bornes du moteur universel série varie ce qui fait donc varier sa vitesse. C'est pour supprimer les bruits de commutation et de ronronnement que le moteur est alimenté en courant redressé. 14,7. - Alimentation du moteur univetsel en continu Pour supprimer les bruits de commutation du courant entle les balais (charbons) et le collecteur du rotor, et pour limiter les vibrations liées au 50Hz de la tension d'alimentation, le moteur peut être alimenté en courant "continu". Le secteur altematif, découpé par un triac, est redressé par un pont de diodes. CARTE DE PUISSANCE LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE LES MOTEURS Formation technique 14,8. - La commutation statorique du moteur univercel L'essorage permet d'évacuer au maximum I'eau du linge. Pour cela il faut faire toumer le tambour à grande vitesse (centrifugation). C'est la phase qui sollicite le plus les pièces mécaniques du laveJinge. Les contraintes sont très importantes du fait de la masse du linge en mouvement (énergie cinétique). Pour démaner correctement, un moteur série doit générer un flux magnétique important pour avoir un couple optimum. En fuisant varier la tension avec un triac il est possible d'atteindre des vitesses élevées mais n'atteignant jamais plus de 1200 tours/min au niveau du tambour. Pour obtenir des vitesses d'essorage importantes, il faut tenir compte de la relation cidessous : E: la tension (fém ou force électro motrice), Ë O : le flux magnétique, sffi O : la vitesse du moteur, k"# k : la constante propre à chaque moteur. La tension étant maximum, il faudra réduire le flux en réduisant le nombre de spires de I'inducteur. C'est ce qu'on appelle la commutation statorique qui est largement utilisée sur les laveJinge actuels. - blgq$.,,:,.'.,,.,, ,.,,,,..,,.,,,,,, oFf&,,:r€${{ltgêdèl Rp$- !--+ ! ffis lrr',ç.**'d L-J Le moteur doit donc avoir un double stator. Ses deux enroulements sont mis en série en lavage et au début de I'essorage. Un relais supplémentaire permet de supprimer une partie du stator lorsque le moteur a atteint une vitesse suffisante et n'a olus besoin d'un couple élevé. En général, au-dessus de 1000 tours/min le moteur a deux stators avec un point commun (bome 7), Au cours du cycle ou au début du démarrage de I'essorage les deux stators sont en série (5 et 6) pour avoir un couple important. A 1000 tours/min. environ, un relais coupe le stator entre 5 et 7 pour diminuer le couple et augmenter la vitesse jusqu'à 1600 tours/min. C'est ce qu'on appelle la commutation largement utilisée sur les lave-linge actuels. statorique LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LES MOTEURS Formation technique {4.9. - Le moteur asynchrone Triphasé Le moteur asynchrone triphasé est constitué d'un STATOR : la partie fixe du moteur. : > Les trois enroulemenb du stator sont couplés en triangle, et sont de même valeur. d'un I'arbre, constitué À l'intérieur du stator, on trouve un rotor (partie tournante du moteur) solidaire de il est car empilement de tôles magnétiques qui comprend un circuit dénommé à cage d'écureuil, constitué d'une série de banes disposées de façon à former un cylindre entre deux anneaux. > ROTOR : la partie tournante du moteur. ll est du type à cage d'écureuil Le moteur asynchrone sans balai a donc une durée de vie plus longue et génère lors de son fonctionnement beaucoup moins de bruit. Cette technologie consiste à faire varier la vitesse de rotation d'un moteur asynchrone afin d'obtenir des vitesses d'essorage plus élevées. LE TRIPHASE est le meilleur compromis au sens électrique pur dans le rapport entre une puissance maximale, couple maximal, et encombrement qui va de paire avec poids, de plus le courant est inférieur par rapport à une version monophasé. Les couples des moteurs sont donc plus importants pour un poids inférieur. EN MONO P=U x EN TRIPHASE P=U x I Secteur 230V Programmation et sélection des fonc'tions de I'appareil lx{3 ({S=t ,7321 Une platine de commande moteur alimentée par une tension monophasée de 230V 50hz génère électroniquement la troisième phase. Le découpage angulaire entre phases est assuré par la même électronique, qui pour le reste assure les mêmes fonctions Entrée Mono 230V 50Hz Electronique moteur universel qui pouvait posséder un cinquième en cas de double stator (Au-delà toteur: de 12O0tours/min) Sortie triphasée Gestion de la ûtesse par la fréquenct - ii r, iiT4 3 phases II 1 II'- sr* I tachy. ,irl, I ÈT ll+--., 1---{>*J de régulation de vitesse grâce au signal généré par le tachymètre. Nous avons plus que 3 fils au lieu de 4 sur un La tension triphasée nécessaire /::x'\ ' generareur tachymétrique \ta 1 t".*."...*--*---...--.-.......,---.....-.......-,"@fu--.,,,^."*-**-***---- à l'alimentation du moteur (environ 310V) est produite par un convertisseur qui, au moyen de la combinaison des fermetures' et ouvertures des interrupteurs IGBT (pilotés par le microprocesseur) déterminent la tension et la fréquence de pilotage du moteur. Les diflérentes vitesses sont obtenues par la variation de la fréquence de 5 à 350H2. La vitesse du moteur est contrôlée à I'aide du signal généré par le tachymètre. LE DEROULEMENT D'UN PROGRAMME 15 - 15.1. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique LE DEROULEMENT D'UN PROGRAMME - Déroulement d'un cycle de base +st.t ---*Ê Prélavage NlYeau d'eau : Fïï,L--ill T "ff : *s#6s* \"+":g*gg* ; ****-*-* tlll tI 9 r$J **.Ç rnaxi &****** f t\ I * 6 I i.tf * tr+i-! i * i r.o: tI i f final+ ft iT --|{----- .ff***g É6* fh f-* S***r:aç*: i x Rinçages -----><- Essorage Lavage $î\ Refraidissement {*ir" < 6c"c} I + I T Froid NO 6 Autant de fois qu'ily a de rinçages o a a a a a a a a Prélavage Remplissage et distribution de la lessive du bac I Brassage à cadence lente Chauffage à 40'C maxi ou à froid selon le type de linge choisi et la température sélectionnée Vidange et Essorage intermédiaire Lavage Remplissage et distribution de la lessive du bac ll Brassage à cadence lente puis normale Chauffage selon le type de linge choisi et la température sélectionnée Refroidissement (prise d'eau) selon le type de linge choisi et la température sélectionnée Vidange et Essorage intermédiaire Premier rinçage a a a Remplissage et distribution du produit chloré (si présent) Brassage à cadence normale Vidange et Essorage intermédiaire Autres rinçages a a a Remplissage Brassage à cadence normale Vidange et Essorage intermédiaire Délicat FrrÊlavage I *lntenslf Rinçage + (si sélectionné ou déclenché) Dernier rinçage a a o a o Remplissage et distribution du produit assouplissant Brassage à cadence normale Vidange et Essorage intermédiaire Essorage final et Défoulage Vidange avec montée en vitesse selon le type de linge choisi et la vitesse sélectionnée Brassage à cadence lente pour "décoller" le linge du tambour. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE LE DEROULEMENT D'UN PROGRAMME Formation technique 15.2. . - Les options et les programmes possibles Prélavage Avec de la lessive dans le bac l, cette fonction est utile pour du linge très sale. Elle ne peut être utilisée qu'avec les programmes "Coton" ou "Synthétique" et n'a aucun effet sur "Délicats" et "Laine". . Intensif Permet d'allonger le temps de lavage (action mécanique) lntensif Rinçage + en réduisant parfois la température (action thermique). . Demi-Gharge Réduit la consommation d'eau en supprimant un rinçage ou en effectuant les rinçages en niveau bas (moins de linge nécessite moins de lessive et moins d'eau pour rincer). . Frèlav*ge Lavage "Express", "Gourt" ou "Rapide" Plus adaptées aux faibles quantités de linge peu sale ou peu porté, ces fonctions réduisent sensiblement la durée du temps de lavage. Frryramrne Çourt Repassrye facile ffi ffi (ffi ffi Trempage Anêt çuve pleine (@:} #' . Rinçage Plus Rajout d'un rinçage supplémentaire. C'est une solution idéale pour les peaux sensibles aux lessives. ll peut être déclenché automatiquement lors d'une déteciion de mousse par le pressostat (trop de lessive). ArÉt cuve pleine (A.C.P) Utile pour des textiles que l'on ne souhaite pas essorer ou si I'on prevoit une absence prolongée à la fin du lavage (pas de possibilité de retirer le linge dés la fin du programme). Le cycle est interrompu avant I'essorage final, ce qui permet au linge de flotter dans l'eau (et I'assouplissant) et ainsi d'éviter le froissage. Vidange seule ou égouttage Le linge sera simplement égoutte (vidange sans rotation du tambour ou à 1'10 tours/min environ). o . . Essorage seul Accompagné d'une vidange, il peut se faire à la vitesse maximum. F . Options et programmes spécifiques Trempage Permet d'optimiser I'efficacité de la lessive avant de commencer le lavage pour venir plus facilement à bout des taches les plus difficiles. . Antifroissage ou repassage facile Limite les mouvemenb du tambour, augmente le niveau d'eau et diminue I'essorage pour ne pas froisser. . optiA Cycles optimisés en temps avec une température limitée pour une laver une faible charge coton ou de linge mixte. Chemise Programme idéal pour traiter rapidement quelques chemises tout en limitant le froissage r . Dessus / Dessous Cycle doux et à froid pour laver une faible charge de linge particulièrement délicat (soie, élasthanne, dentelle, lingerie, ...). o Polaire Pour laver ce type de vêtement à basse température. . Textiles techniques Réservé aux vêtements composés de textiles déperlants, imperméables, imper-respirant, utilisés pour des activités de loisir et d'extérieur. . Stretch Cycle de lavage conçu pour les textiles comprenant de l'élasthanne. Ghaussures de sport Cycle réservé aux chaussures avec I'utilisation de brosses de lavage. LES DIFFERENTES PROGRAMMATIONS 16 - LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique LES DIFFERENTES PROGRAMMATIONS 16.1. - Principe de fonctionnent de la programmation ELEGTROMECANIQUE Le déroulement d'un cycle de lavage est géré par un programmateur mécanique. Le programmateur est en fait une "horloge" entrainée par un micromoteur qui est alimenté par le secteur 230V-. L'utilisateur doit tourner le programmateur dans le sens horaire pour le positionner sur le départ du programme choisi. Le micromoteur de type synchrone est bloqué par un cliquet interne qui empêche le programmateur de tourner dans le mauvais sens. Le micromoteur entraine plusieurs disques (cames) par I'intermédiaire d'un système démultiplié composé de roues dentées. Des crans situés sur la périphérie des cames modifient la position de lamelles de cuivre et actionnent les différents contacts. < L'horloge > est composée de 60 pas qui ont des durées très variables (quelque secondes à quelques minutes). A chaque passage de pas les cames ( lentes > du programmateur actionnent des contacts électriques de puissance. Ces contacts permeftent d'alimenter les différents éléments du lave-linge: électrovanne, pompe de vidange, thermoplongeur .. . D'aufes cames ( rapides > qui toument plus vite que les cames lenbs permetent d'inverser le sens de rotation du moteur en lavage. Le programmateur avanæ ainsi jusqu'à un cran stop qui marque la fin du cycle. SECURITE DE PORTE 230V- PROGRAMMATEUR POMPE DE VIDANGE - Principe de fonctionnent de la programmation HYBRIDE Ce type de programmation utilise un programmateur pour le déroulement du cycle et l'alimentation des différents éléments sauf le moteur. En effet, une carte électronique reçoit des codes via des contacts actionnés par les cames rapides du programmateur. En fonction de I'avancement du programmateur dans le cycle, les codes changent. La carte alimente alors le moteur pour avoir une certaine vitesse de rotation. Selon les machines, la carte peut gérer les inversions de sens de rotation ou non. Si c'est le cas il y a 2 relais sur celle-ci. Pour d'aubes produits, la carte peut aussi contôler le déroulement du cycle en 16.2. alimentant le programmateur. Et dans certains cas elle peut aussi rccevoir une information d'une sonde de température (CTN) et faire passer le pas de chauffage du programmateur. Cette gestion de la tempérafure plus pÉcise qu'avec un thermostat permet d'obtenir une classification énergétique plus économe. M/A zgOV- */ LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique LES DIFFERENTES PROGRAMMATIONS de fonctionnent de la programmation ELEGTRONIQUE Le réseau électrique délivre une alimentation de puissance à l'électronique et elle crée une tension continue pour ses composants. Avec l'information des capteurs (CTN, pressostat, tachymètre, contact de sécurité de porte ...), elle gère le déroulement des cycles selon les choix de I'utilisateur puis I'informe sur les étapes du cycle, signale la présence des défauts et gère les sécurités. Elle gère aussi I'alimentation du moteur en pilotant un triac pour réguler la vitesse du tambour (en lavage et en essorage) avec l'information du tachymètre. Les inversions du sens de rotation sont réalisées avec deux relais. Electrovannes, moteur, verrou, pompes, sont alimentés par des triacs (triac mobur plus gros et monté sur un rdiabur). Le trermoplorgeur est alimenb par un relais et la bmÉrafure contôlée par b C.T.N. Quelle que soit les machines, mécaniques ou électroniques, à chargement par le dessus ou par l'avant, de telle ou telle marque, il y a toujourc un tronc commun. En effet, lorsqu'on lance un programme, plusieurs étapes vont être effectuées : le prélâvage, le lavage, les rinçages et un essôrage final. Lors de ces étapes, plusieurs fonctions seront mises en ceuvre et celle-ci utiliseront plusieurs composants souvent identiques. La partie commande peut être séparée ou non de la carte de puissance et les programmes mémorisés dans l'une ou I'autre. 16.3. - Principe LES DIFFERENTES FONCTIONS 17 - LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique DIFFERENTES FONCTIONS 17.1. - Le verrouillage Avant de démaner un programme, la porte doit être impérativement venouillée pour garantir la sécurité du consommateur. La première fonction mise en æuvre est donc le verrouillage qui est réalisé grâce à une sécurité de porte. Levier ouverture t I Levier de manuelle r vêrrouillage O 17.1.1, - Exemple d'application : la I sécurité de porte ( ouverture instantanée n du lave-linge front CRONOS Cette fonction permet d'ouvrir le hublot moment. L'ensemble est constitué d'un levier, Verrou O Boitier de verrouillage O du lave-linge à tout d'un verrou @, et d'un boitier g où SE trouve le mécanisme de verrouillage et de déverrou i lage électriq ue. I Fonctionnement : Lorsque la porte est fermée, le doigt de verrouillage entre dans le logement du verrou. Le verrou @ fait basculer le levier de verrouillage O qui bloque mécaniquement I'ensemble et ferme un contact situé dans le boitier de venouillage g. La porte est alors verrouillée. Porte verrouillée : La porte est fermée, le levier de verrouillage O est bloqué par une came @.Cette came est elle même bloquée par un crochet @. Déverrouillage instantané : Un appui sur la touche < Ouverture instantanée ,, @ génère I'alimentation de la bobine G) et de la CTP O placées en série. La CTP est chargée de limiter le courant dans la bobine si le triac était en court circuit. Le noyau de la bobine, attiré par le champ électromagnétique de la bobine, se déplace de bas en haut et pousse le levier 6. Le levier 6 fait tourner la came () et libère le levier de verrouillage O qui libère alors le verrou @ et autorise l'ouverture du hublot. Le levier de verrouillage O actionne également le levier < info contact >> @ qui ouvre le contact 9. Pour réaliser cette opération il faut que I'appareil soit sur ( pause >, sans aucune rotation de tambour (pas d'information envoyée par le tachymètre). LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LES DIFFERENTES FONCTIONS Formation technique 17,2. - Le remplissage et I'enlèyement des produits Cefte fonction permet le remplissage en eau du tambour par l'intermédiaire d'un tuyau d'alimentation. Une ou plusieurs électrovannes permettent le remplissage de la cuve. L'enlèvement des produits est réalisé, pour certains lave-linge, grâce à un distributeur. 17.2.1. - Exemple d'application : le remplissage du lave-linge front GRAND SOIN Une buse rotative (actionnée par une came entraînée par le programmateur, un levier, et une tringle) envoie I'eau dans la boite à produit. Le réglage du distributeur d'eau rotatif est possible. Une rotation sur la gauche de I'index B fait pivoter le levier A à droite. Inversement, une rotation sur la droite de I'index B fait pivoter le levier A à gauche. Cela permet d'orienter le distributeur face à I'entrée de la boite prélavage. 17.2,2. - Exemple d'application : le remplissage du lave-linge top MALICE La distribution de I'eau est assurée par une buse rotative actionnée par une came et un câble ou une tringle plastique. La came peut être entraînée par o Un programmateur o Un micromoteur (RS30) pour prog rammations <tout électroniq les ue>>. Le distributeur entraîné par un programmateur impose un réglage de la tension du câble lors d'un démontage. Ce réglage n'existe pas sur les commandes du distributeur par le RS30 et la tringle plastique. COMMANDE PAR CABLE Une came utilisée avec le RS30 a un profil particulier (différent de celle de distribution. Elle permet d'ouvrir et de fermer un contact de positionnement. Les temps d'ouverture et de fermeture de ce contact permettent à la carte électronique de connaître la position exacte de la came de distribution. Elle peut donc couper I'alimentation du micromoteur lorsque le distributeur est face au bon bac. DISTRIBUTEUR ET RS30 LES DIFFERENTES FONCTIONS LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique 17.2.3. - Exemple d'application : le remplissage du lave-linge front CRONOS Le lave-linge est équipé d'une arrivée d'eau froide et d'une arrivée d'eau chaude. Le débit de l'électrovanne eau froide est de 6,7 litres/minute et le débit de l'électrovanne d'eau chaude est de 4 litres/minute. Le lavelinge fonctionne avec I'arrivée d'eau chaude t-E"t'é' I l-E"t'é. I eau chaude eau froide I uniquement lorsque la température du programme sélectionné est supérieure à 40"C. Les autres programmes fonctionnent avec I'arrivée d'eau froide. Les deux électrovannes sont alimentées (EV3 + EV2 ou EV1) jusqu'à obtention de la température sélectionnée. Si la température n'est pas atteinte (info CTN), la résistance est alimentée. | | YxÆ TW YW I lr I I eectrovanne simpre ll ll ffiX I l-l | I | Er""tr""""* | E\''zX K*u A s S L o A V â E ['rj U P iffi S s A N T P R E i u.l V A G E I oouore I LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique LES DIFFERENTES FONCTIONS 17.2.4. - Exemple d'application : la distribution automatique de lessive liquide du lave -linge MAXITOP Le réservoir, monté à l'arrière du panneau avant de la machine, a une capacité de 4.5 litres de lessive liquide (concentrée ou non). Elle assure une autonomie de 40 à 50 cycles environ. Une trappe permet de remplir le réservoir de lessive par l'avant de la machine. La trappe est liée au réservoir par une durite. Une pompe hydraulique (actionnée par une électrovanne) aspire la lessive du réservoir et I'injecte dans la cuve. Le dosage de la quantité de lessive sera réalisé par multiple de 1Sml en fonction de la dureté de I'eau, du programme sélectionné, de la charge, du degré de salissure du linge et du niveau de concentration de la lessive. En début de cycle, la détection de la présence de lessive (selon modèle) est réalisée grâce au capteur de conductivité. Le dosage est réalisé par une pompe qui aspire la lessive d'un réservoir et l'injecte dans la cuve. DISTRIBUTEUR ELECTROVANNÉ CAPTEUR DE CONDUCTIVITE LES DIFFERENTES FONCTIONS 17.3. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique - La gestion des niveaux La détection du niveau d'eau se fait grâce à un pressostat et une chambre de compression. 17.3.1. - Le pressostat << classique > ll s'agit d'un contact électrique qui change d'état sous la pression. Le contrôle de niveau d'eau par pressostat est assuré grâce à une chambre de compression Le tout est relié au bloc laveur. Ces deux composants sont reliés ensemble par une durite de faible diamètre appelée tuyau de pressostat. Ce dispositif pour être opérationnel doit être, parfaitement étanche et capable d'emprisonner I'air nécessaire au bon fonctionnement du pressostat. Le lave-linge ne fonctionne pas, la cuve est vide. Dès la mise sous tension, électrique I'alimentation de l'électrovanne est réalisée grâce aux contacts 1 1 et 12 du pressostat. Le niveau d'eau monte dans la cuve, la pression de l'air dans la chambre de compression augmente. Cet air emprisonné exerce une pression sur la membrane flexible du pressostat. Le niveau d'eau monte dans la cuve, la pression de l'air dans la chambre de compression augmente. La membrane qui est soumise à une pression suffisante peut maintenant appuyer sur le pointeau et faire basculer le contact en 11- 12 en 11-13. Le basculement du contact génère un léger déclic. L'alimentation électrique de Le remplissage s'arrête. L'information de niveau haut est donnée à la programmation (mécanique, hybride ou électronique) par le contact 13. La cuve est pleine, le chauffage est maintenant autorisé. l'électrovanne est alors interrompue. MEMBRANE LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LES DIFFERENTES FONCTIONS Formation technique 17.3.2. - Le pressostat analogique Bien que fonctionnant avec la pression de I'air, le pressostat analogique permet une plus grande précision dans la mesure du niveau d'eau. Alors qu'un pressostat classique ne peut détecter qu'une information concernant l'atteinte ou non d'un niveau, le pressostat analogique permet d'apprécier très finement des niveaux intermédiaires. Lorsque le niveau d'eau monte dans la cuve, la pression de I'air dans la chambre de compression augmente. Cet air emprisonné exerce une pression sur la membrane flexible du pressostat qui déplace un aimant. Celui-ci vient perturber un courant électrique passant dans la bobine de fil de cuivre. 26,00 25,æ 25,00 24,ffi e4,00 23,n 23,00 ?2,fi n,0t 21.fi 17.3.3. - Le débitmètre ll permet une très grande précision qui est garantie dans le temps car il est monté juste derrière l'électrovanne d'eau. En cas de baisse de pression du réseau, l'électronique sera à même d'adapter la durée du remplissage. L'eau fait tourner une turbine qui entraine un aimant. Un lnterrupteur à Lame Souple change d'état à la même fréquence que les pôles de I'aimant. ll génère suivant le débit d'eau, un train d'impulsions lues par la carte électronique. MEMBRANE LES DIFFERENTES FONCTIONS - 17.4. ) LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique La reconnaissance de charge (pesée automatique) Pour les cycles 'COTON' généralement Gette reconnaissance est réalisée avant le chauffage par la mesure des temps de remplissage et du nombre de rappels d'eau pour maintenir le niveau haut du pressostat. La durée du remplissage dépend du type (plus ou moins absorbant) et de la quantité de linge. Les résultats obtenus comparés avec les données intégrées dans la programmation électronique permeftent de déterminer plusieurs niveaux de charges différents et de lancer la recefte de lavage la plus adaptée. cvl PETITE CHARGE cvz cv3 CV4 DEMI.CHARGE CHARGE USUELLE PLEINE CHARGE l Okg 1.5k9 l i:il?.:.j:.i ii,fr, rritiH 2kg 2.5k9 3kg 3.5k9 4kg 4.5k9 En fonction de la charge les points suivants pourront être modifiés . Durée de brassage après avoir atteint la température choisie . Quantité d'eau prise lors des rinçages . Nombre de rinçages . Vitesse et durée de I'essorage final . Autorisation de séchage enchainé pour un lave-linge séchant Skg : 17.4.1. - Exemple d'application : le déroulement de la pesée lave-linge top MALICE Temps Phase I Phase 2 Phase 3 Phase 4 Remplissage statique et chronométrique pendant 7 1 secondes Mouillage dynamique et chronométrique pendant 30 secondes Brassage avec complément d'eau jusqu'au niveau haut (N1) et mesure de Q2 (la durée de cette phase détermine la quantité d'eau absorbée par le linge et donc s'il s'agit d'une charge peu ou très absorbante). Après un brassage et un complément d'eau pour maintenir le niveau haut, l'électronique calcule la quantité totale d'eau prise pendant cette pesée (Ot). Cette mesure très précise des temps de remplissage nécessite I'utilisation d'une électrovanne avec des tolérances de débit très serrées et un pressostat très précis (+/- 3 mm au lieu de +/- 7 mm). LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE LES DIFFERENTES FONCTIONS Formation technique 17.4.2. - Exemple d'application : la reconnaissance de charge du lave'linge top L10 programmation E4+ Pour les cvcles coton uniquement. Les asservissements au cours du cycle s'effectuent sur les phases suivantes F r . o o : Durée de brassage après température Quantité d'eau en rinçage Nombre de rinçages Séchage enchainé autorisé ou non La reconnaissance est éalisée avant le chauffage grâce à la durée du remplissage et du nombre de rappels d'eau pour maintenir le niveau haut du pressostat. Elle dépend donc du type et de la quântité de linge. ) Les différentes phases de la pesée sont les suivantes 1. Remplissage chronométrique de 45 secondes. 2. Brassage du linge pendant 2 minutes, sans reprise d'eau (mouillage). 3. Complément d'eau jusqu'au niveau haut (mesure du temps nécessaire). 4. Brassage pendant 12 minutes avec rappels d'eau possibles (mesure du nombre de prises). Phase I u* Phase u* 2 Phase træ 3 Phase 4 12 minutes "4**.*.....W.Æ ?: 'E Niveau d'eau Niveau d'eau 1 j Niveau d'eau f Niveau d'eau f F Quatre différents niveaux de charge La comparaison des mesures avec les essais usine, permet à la carte de déterminer quatre niveaux de charges différents pour le lavelinge (CV1 - CV2 - CV3 - CV4) et trois pour le lave-linge séchant (CV1 - cv2 - cv3). 'ii;ili:i: okg 1.5k9 4kg 2kg 3kg 3,5k9 2kg 3kg 3,5k9 4kg Lave - Linge ,'ii.:ilii ,ilti.li littl 4,5k9 5kg 6kg cvl Lave - Linge séchant Okg 1.5k9 6kg Dans le cas d'une détection de charge de type CV3, le séchage enchainé ne sera pas possible. La machine fera son cycle de lavage puis elle s'arrêtera à la fin de l'essorage avec le chiffre 4 clignotant dans l'afficheur de vitesse d'essorage. tî, f*f L'utilisateur devra alors enlever une partie de la charge et programmer un séchage seul avec un temps de séchage adapté. LES DIFFERENTES FONCTIONS LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique 17.4.9. - Exemple d'application : la détection de charge automatique du laveJinge cRoNos front Ce laveJinge est conçu pour fonctionner en mode Manuel, mais aussi en mode Automatique ICS (lntelligent Gontrol System). Mode manuel : Le consommateur sélectionne un progEmme. Dans ce cas le lave-linge fonctionne comme un laveJinge classique. l5l Mode Automatique : Le consommateur sélectionne te type de linge, Blanc ou couleur et le niveau de salissure du linge, peu sale, sale ou très sale. Le lave-linge exéiutera automatiquement le programme optimal en exploitant les informations foumies par un débitmètre et un capteur de pression. Principe de fonctionnement . o Un débitmètre mesure précisément la quantité d'eau introduite dans le laveJinge. Un capteur de pression placé en dérivation sur tuyau de pressostat mesure le niveau d'eau dans la cuve. Ces informations sont transmises à la carte électronique qui peut, après analyse, identifier la nature et la quantité de linge plaé dans la machine et déterminer : a a a a a Le type et la durée du meilleur programme Le déroulement du programme La quantité d'eau Le nombre de rinçages et la vitesse de I'essorage Etc. P=0à30mbar LES DIFFERENTES FONCTIONS LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique 17.5. - Autre dispositif de mesure du chargement de lave-linge Le capteur de déplacement mesure l'abaissement du tambour pendant le chargement du lave-linge, et sa déviation axiale pendant l'essorage. Grâce au principe inductif de mesure, le capteur fournit une valeur de position absolue aussi bien statique que dynamique. Le principe du capteur permet l'intégration du capteur dans un amortisseur à friction compact. ll en résulte les avantages supplémentaires suivants: La mesure du poids de chargement permet d'optimiser I'utilisation et le résultat du lavage. Le capteur de déplacement fournit un signal de sortie proportionnel au poids de linge. Le signal du capteur est converti par l'électronique, qui affiche un diagramme à barres visible pour I'utilisateur. L'état de chargement actuel est donc visualisé en continu et permet ainsi un chargement optimal et maximal du tambour de lessive. Parallèlement, le système calcule et affiche la quantité de produit de lessive requise en fonction du chargement. La mesure du balourd permet d'adapter la vitesse de rotation pendant I'essorage. ll améliore ainsi le fonctionnement de la machine et I'efficacité de I'essorage, et augmente la durée de vie du lavelinge. Le capteur forme un composant à paramètres électromagnétiques répartis (R, L, C). ll est composé d'une bobine de mesure à2 raccords, d'une couche intermédiaire et d'une électrode. La cible (anneau de mesure) encapsule la bobine et se déplace sans contact le long de celle-ci. Le signal de mesure est prélevé par l'électrode et exploité à I'aide d'un amplificateur d'opération, le signal de sortie étant proportionnel à la position X de la cible. Ceci permet d'obtenir un rapport optimisé entre la longueur du capteur et la plage de mesure, et le capteur peut être intégré dans le système ressort-amortisseur à friction. Prineipe amûfirsssur..... à frictisn I ç ,q Ë F c g *hmsftl du câDteur Hohlne d rnesgrs U f;ecur rflaËr?Êtlquc sur LES DIFFERENTES FONCTIONS 17,6. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique - Le brassage CHUTE DE LINGE L'action mécanique dans un lave-linge est assurée grâce à la rotation du tambour et au niveau d'eau dans la cuve. En tournant, le tambour force le linge à frapper la surface de I'eau chargée de lessive pour la faire circuler à travers les fibres. Cela permet de décrocher les salissures pour faciliter leur élimination, L'invesion du sens de rotafron du tambour permet d'éviter que le linge se mette en boule. Les laveJirge proposent différentes cadences de brassage. Le c*rcrix de l'une ou de I'aute de ces cadences dépendra du type et du niveau de salissure du linge. ll faut que la cadence seledionnée soit assez énergique porr êhe efféèe mais également res@uzuse du linge à larær. :r lt*# i;iiiiiiil |i++i+=## à 1 seconde de marche à9 .1.=tri+ti=j t3 secondes d'anêt secondes de marcfre secondes d'anêt Défoulage secondes de rnarcfre secondes d'anêt Laine / Synhétique )57 )5 à13 ;iit;t:il:it:itt:itlliiltill !i;i!:i!l rli:ili' ji!i!;ili:i!: t.:t :a:tt i it aili |t 1!t t l ':i:ial:ii:iilll:!i!! liillii i::;iiit iiii'ilirr:ri::;r llilri ) 10 secondes de marche à8 secondæ d'anêt )14 seændes de marche t4 seændes d'anêt t55 ir;:i1'+rr+1 F )5 Laine secondes de marcfre secondes d'anêt Coton Coton Résistant Séchage La vitesse de rotation Lâ vibsse de rotatbn du tambour dâermine la haubur de cfrub du linge pour un meilleur respect du linge et un ésultat de lavage optimal. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LES DIFFERENTES FONCTIONS Formation technique 17.6,1. - Exemple d'application : les cadences de tambourdu lave-lingefront Gronos tours/min 3 Cadence Très délicate : 55 35 61 6 Cadence Délicate 0 Cadence Normale Cadence Extra : : Cadence Super : 55 Cadence Semi délicate : 5 Cadence d'A.C.P. 7 : : 20 + - Pic de vitesse sur coton uniquement - Pas de détection du niveau de débordement LES DIFFERENTES FONCTIONS 17.7. - La recirculation de I'eau L'utilisation d'une pompe de recirculation sur certains lave-linge permet d'améliorer le mouillage du linge et de diminuer, voire éliminer, les pertes de produits lessiviels. Ceci contribue à augmenter les performances de lavage. L'eau est pompée, filtrée (le filtre de pompe est utilisé à la fois pour la vidange et la recirculation) et projetée sur le linge au travers de la cuve et du tambour. La recirculation est utilisée au début du cycle (pendant le brassage à froid) pour faciliter la pénétration de l'eau chargée de produit lessiviel au cæur du linge, après le chauffage pour améliorer les performances de lavage et enfin lors des rinçages. Ce dispositif permet au linge de bénéficier du passage d'environ 700 litres d'eau alors que la consommation totale du lave-linge ne dépasse pas les 50 litres d'eau. o . o . . Homogénéité de la température Augmentation de l'action mécanique. Amélioration I'efficacité des rinçages. Débit de la pompe d'environ 20 litres/min. Jet d'environ 10 litres/min. qui arrose la charge D'autres dispositifs permettent d'améliorer l'efficacité du lavage tout en réduisant les consommations d'eau et d'énergie. Les aubes remontent le bain lessiviel et le laisse retomber sur le linge. Cela permet d'augmenter I'action mécanique. Clapet dans la durite de vidange qui permet de limiter les pertes lessivielles (< 1To). LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique 17.8. - LES DIFFERENTES FONCTIONS Le chauffage et la gestion de la température Dés que le niveau haut à été détecté le contact du pressostat bascule et autorise le chaufiage. L'action thermique à pour but d'élever progressivement la température du bain lessiviel afin de faire réagir les agents chimiques contenus dans la lessive. L'eau est chauffée grâce une résistance aussi appelée thermoplongeur. La gestion de la température des laveJinge programmation électronique ou hybride est réalisée par I'intèrmédiaire d'une sonde de type C.T.N. Les laveJinge à programmation mécanique utilisent un thermostat. F Le chauffage chronométrique La durée d'alimentation électrique du thennoplongeur est fixée pour chaque programme. Le lave-linge ne propose qu'une seule température par programme. La température atteinte peut être différente de celle sélectionnée, en effet la température de I'eau qui arrive dans la machine varie suivant les saisons. La durée d'alimentation électrique du thermoptongeur dépendra de la température sélectionnée et d'entrée d'eau dans la machine. Plusieurs températures sont proposées pour chaque programme. On peut ainsi choisir un programme long associé à une basse température. LES DIFFERENTES FONCTIONS 17.9. - LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE Formation technique La vidange ll est nécessaire d'évacuer I'eau usée et de la renouveler entre les difiérentes étapes du ryde de lavage. Cette fonction est assurée par une pompe et contrôlée par le pressostat. La pompe pèut être alimentée directement par un contact progrâmmateur ou un triac ou encore par I'intermédiaire du pressostat en cas de détection d'un niveau de débordement (OVERFLOW). F Gas particulier de la pompe de vidange en série avec l'électrovanne : Phmse ${**lr* U, VOYANT POSITION NEMENT TAMBOUR PROGRAMMATEUR 2A . .J - CONTACT VERROU .I U^ = 9-5 Contact I d'alimentation L directe l\ de la nomne | 5- POMPE I = 0.063,o | = 0.063 20(x)w ê ÏHERfiffiTAT THERMOPLONGEUR + Thermofr.rsible s, = 220,5 REGI.ABLE fr: f,- ffi #"T-ffi #b.e Ë\$ V- N àï Lors d'une phase de remplissage, le circuit d'alimentation de l'électrovanne passe par le niveau bas du pressostat et par la pompe de vidange. Dans ce cas seule l'électrovanne fonctionne. En effet, si on applique la loi d'ohm : U = R x I avec U en volts (V), R en ohms (O) et I en ampères (A) et que I'on a : - une étectrovanne de résistance R* = 3500 O, - une pompe de résistance R, = 150 O, alors la résistance totale Rt = 3650 O. Avec une tension secteur Ur = 230 V-, on peut calculer I'intensité qui traverse la pompe et l'électrovanne : I = Ut / Rr = 230 t 3650 = 0,063 A (63 mA). Avec cette intensité et la résistance de chacun des éléments en série, on peut calculer la chute de tension aux bornes de ces éléments, et on trouve : U" = R" x | = 150 x 0,063 = 9,5 Volts Tension insuffisante pour faire tourner la pompe. U* = R* x | = 3500 x 0,063 = 220,5 Volts Tension suffisante pour l'électrovanne. Ur = U" * U." = 9,5+220,5=23OYCe mode de câblage permet de ne pas remplir la cuve si la pompe de vidange est coupée. Donc dans le cas du symptôme suivant: <<... ne prend pas d'eau ...>, il faut penser à vérifier si la pompe de vidange fonctionne. LES DIFFERENTES FONCTIONS LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique 17.10. - L'essorage 17.10.1. - L'efficacité L'efficacité de I'essorage ne dépend pas uniquement de la vitesse de rotation du tambour. Le diamètre du tambour joue un rôle important dans I'accétération donnée au linge. ll faut huit fois moins d'énergie pour retirer de I'eau par centrifugation que par séchage dans un tambour. La vitesse d'essorage est donc un élément essentiel au séchage. Le coefficient d'essorage est égal au rapport de la masse de linge essoré sur la tâtt" de'linge sec. 1600 1400 ",oo 10oo Boo 600 I \ \\ \ \ \ \ \ 400 200 I 0 -l coEFFtclENr MASSE DE LINGE ESSORE COEFFICIENT D'ESSORAGE = MASSE DE LINGE SEG 17.10.2. - La détection du balourd Le lave-linge est soumis, lors de l'essorage, à d'énormes contraintes mécaniques dues principalement à la masse mis en mouvement. L'éneçie cinétique développée par une charge de Skg de linge à 1000 tours/min. exeroe une pression d'environ 500 kg dans le tambour. Lorsque la charge de linge n'est pas conectement répartie sur la périphérie du tambour, il y a déséquilibre (balourd). ll est donc indispensable de répartir le plus correctement possible la charge de linge dans le tambour. Dans le cas contraire, ce phénomène peut alors engendrer des vibrations importantes qui pounont même, en plus du bruit généré, entrainer le déplacement du laveJinge. La cuve du laveJinge doit être vide, le départ en essorage est donc conditionné au passage au niveau bas de pressostat, Un laveJinge à programmation électromécanique et un moteur asynchrone monophasé n'a que cette unique information pour autoriser l'essorage. Heureusement la vitesse d'essorage de ce type de lave-linge est limitée à 500 tours par minute. Seule une carte électronique qui gère I'alimentation du moteur d'entrainement du tambour peut détecter la présence d'un balourd. La présence d'un balourd est détectée grâce aux variations du signal généré par le tachymètre. LES DIFFERENTES FONCTIONS F LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique Le tachymètre e deux fils r (génératrice) Le moteur entraine un tachymètre qui est en fait une génératrice synchrone. Elle est constituée d'un aimant collé sur l'axe qui, lorsqu'il est entraîné en rotation par le moteur, induit une f.e.m. dans un enroulement fixe. Elle délivre à la carte électronique une faible tension alternative dont la fréquence et I'amplitude augmentent avec la vitesse. Cefte tension est analysée par le microprocesseur qui peut alors modifier la tension d'alimentation du moteur et coniger ainsi sa vitesse, F Le tachymètre a effet hall e trois fils r. Contrairement aux tachymètres à deux fils qui fonctionnent comme une dynamo, et qui génèrent une tension proportionnelle à la vitesse de rotation, les tachymètres a effet hall (trois llls) fournissent en sortie une tension fixe (+5V) dont les impulsions sont par contre proportionnelles à la vitesse. On en déduit que la relation impulsions par rapport à la vitesse se modifie, ce qui revient à dire que si durant une seconde les impulsions ont augmenté, la fréquence du signal a augmenté. T*lrrsâq:r't SIGNAL d'un tachynrÈtre HALL &**,&â,*rætemm Wmt" *t"s* rx *ffi resl #v at ffi +S Vdc O Volt T*mrg:s r** nr:tætf;t:n Inrpulsitrns ërT tensi*n Tæn"ep*s Au départ de l'essorage la carte analyse I'information du tachymètre et cherche le balourd minimum (vitesse la plus stable) sur un premier palier à 80 tours/min. Si elle I'obtient, une recherche plus fine est réalisée sur le palier à 1 10 tours/min avant de poursuivre I'essorage. Un temps suffisant (variable selon le profil d'essorage) permet de faire plusieurs tentatives avant de trouver le balourd minimum qui permet de monter en vitesse. Si un balourd important ne peut être éliminé, un essorage limité en vitesse (différent selon le programme choisi et le balourd mesuré), est néanmoins effectué (450 tours/min. dans le pire des cas). 'Tærcnçss wffiLâ%æ dæ r*tmLawn trtnpulsinns err tensinn 800 700 600 500 300 200 100 0 -100 ll anive quelques fois que l'essorage final ne se fasse pas ou mal. Ceci est lié à une détection anti baloud. Ce système contrôle la bonne répartition du linge à l'essorage, si celui+i est mal réparti, le système ralentit l'essorage, rectifie l'équilibrage de la charge. Le linge ainsi bien réparti peut alors être conectement essoré. Par conte, si le balourd est trop important, I'essorage sera limité voir annulé. LES DIFFERENTES FONCTIONS LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique 17.10.3. - Exemple d'application : les profils d'essorage du lave-linge top L10 Profil SP1 700 14æ 600 12û Profil SPiBis I 500 1000 400 800 300 600 200 400 100 200 0 0 I z7o ....] -100 FIN FIN FIN FIN DE DE DE DE PRELAVAGE RINÇAGE+ LAVAGE ( SYNTHETIQUE D ET ( FLASH3O RINçAGE1 ET 2 ( SYNTHETIQUE D f I F T"J hr' f i i I , l-'g FIN DE LAVAGE 240 ( COTON 280 320 360 )> D ProfilSP3 Profil SP2 1400 -200 r 1600 1400 1200 12W 1000 1frn 800 800 600 600 400 400 200 N 0 0 -200 -200 FtN DE R|NçAGE1 ET 2'GOTON' .ANTIFROISSAGE' ESSORAGE FINAL .COTON' + ( ESSORAGE FINAL COTON E Profil SP4 1200 700 6m 1000 500 800 400 600 300 400 2to 200 100 0 300 100 0 z!00 -1 00 -2ffi ESSORAGE FINAL ESSORAGE FINAL ( SYNTHETIQUE D ( FLASH3O > Profil SP6 ESSORAGE FINAL ( LAVAGE MAIN ESSORAGES INTERMEDIAIRES ( LAINE D TOUS LES ESSORAGES ( DELICAT D Profil SP7 900 1600 800 1400 700 1200 600 1000 500 D 800 æ0 ô00 300 200 100 400 200 0 0 -100 -200 ESSORAGE FINAL'LAINE' ESSORAGE FINAL ,SYNTHE' + .ANTIFROISSAGE' ' '.l''r 100 PROGRAMME PROGRAMME 200 300 ( ESSORAGE )) ( RINçAGE - ESSORAGE D LES DIFFERENTES FONCTIONS 17 .11. 17 LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique - Les Autres fonctions .11.1. - Détection de mousse La détection de mousse est validée si un niveau haut du pressostat est lu pendant les montées en vitesse et les pics des essorages intermédiaires. ll n'y a pas de détection lors de I'essorage final. Dès qu'il y a une détection de mousse, le moteur n'est plus alimenté et I'essorage est annulé. La phase destinée à I'essorage se termine en cadence 5" de marche / 10" d'anêt à s0 tours/mrn. Le < Rinçage + > s'effectue alors systématiquement après le deuxième rinçage et les profils d'essorage qui suivent sont modifiés. 17 .11.2. - La mesure de la conductivité du bain Sur certaines programmations électroniques, un capteur constitué de 2 lamelles métalliques traverse le thermoplongeur pour être en contact avec le bain de lavage. La carte délivre un courani altematif qui circule entre les lamelles permettant ainsi à l'électronique de connaître la concentration en ions (conductivité) du bain. Comme la concenhation en ions du bain de lavage dépend de la quantité et du type de lessive utilisée, ce système permet de reconnaftre les trois familles de détergent (liquide - poudre - pastille) et éventuellement un surdosage en poudre. Cette mesure est effectuée sur les trois premières minutes du cycle coton et lors des rinçages. Associée à la reconnaissance de charge elle permettra d'adapter la durée et la consommation-dÈau des rinçages. 17 F .'11.3. - La fonction vapeur Le lavage Le larcJinç à vapeur est un modèle de laraeJirçe assez récent qui est equipe d'une to.rb nouvelle bcfnologie la vapeur utilisée pour laver le lirge. À l'interieur de la machine, un générabur de vapeur fansficrme l'eau èn vapeur. Celle-ci est mélangée à I'eau de lavage des les premiàes minutes du cyde et permet de la faire chaufier beaucoup plus raçlidement qu'un sysême dassique. l-es principaux avantages du læe.{inge à vapeur L.e laveJinge à vapeur est un laveJinç â:onomique et écologique : il utilise moins d'eau et moins d'élecûicité (20% d'electicib en moins par rapport à un lave.linge dassique de dæse A). En fai! grâce à la création de vapeur, la temFÉ€furc de I'eau monb desinfecbr le linge. Une classe de lavage gagnée o . o r e o o o tes vite. Le lavage à la vapeur élimine les acariens et pemet de I Amélioration performance de lavage Diminution du temps de lavage pour une même performance Diminution de la température pour une même performance Antibactérien Vapeur associée à intensif : taches tenaces Ac{ion de la vapeur sur taches spécifiques et réputées difficiles : maquillage/herbe/Fruits rouges/ Rouille Action de la vapeur sur la performance de rinçage Anti-odeur : tabac / cuisine (odeur venant de I'extérieur) LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique D LES DIFFERENTES FONCTIONS Le défroissage Yapeur Ces hvelinge possèdent aussi une bndion < défrcrissage vapeur > : il s'agit d'un cyde de 20 minubs qui se déroule apres le hvage, qui détend le linge et facilite airsi le repassage. Pour certains types de \êtemenb), le repassage ne sera plus nécessaire. Certains lave.linge écfunt sont â1uipés d'une nowelle fondion < Vapeur > qui ofre de noweaux programmes et options comme le défroissage vapeur. Ce programme permet de défroisser le linge (lavé et séctÉ) avant de le ranger ou de le repasser. L'action de la vapeur assouplit les fibres, doucit le linge et fæiliûe son repassage. Pour béneficier pleinement de I'efiet vapeur, il est preferaUe d'efiecfirer ce prcgmmme juste avant le pliage ou le rcpassage du linge. Atbntion à la temFÉraturc du linge à la fin d'un déftoissage vapeur. F Exemple d'application ; principe de tonctionnemênt de la fonction défroissage du lave-linge séchant L10 L'électrovanne EVs (0,5 litre/minute) est commandée par la carte. L'eau du robinet est envoyée dans un pot à résine afin d'être adoucie. Le volume du pot permet d'adoucir l'eau pendant 10 ans à raison de deux cycles de défroissage par semaine (pour une dureté supérieure à 35"TH). L'eau adoucie ressort du pot pour aller dans une boite 'amortisseuf qui sert également de mise à I'air libre. L'eau anive ensuite dans le générateur de vapeur (2x 500W) protégé par deux thermostats de sécurité (TS1 à 180"C et TS2 à 298"C) avant d'être injectée sous forme de vapeur au cæur du linge. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE ETUDE DE FONCTIONNEMENT 18 . 18.1. Formation technique ETUDE DE FONGTIONNEMENT - Programmation électromécanique avec moteur asynchrone PH1 PH2 CONTACT VERROU THERMOPLONGEUR 2OOOW + SECURITE .-.FROID - :---=---J Ô THERMOSTAT REGLABLE PRESSOSTAT PROGRAMMATEUR X ELECTROVANNE 112 CHARGE POMPE EGOUTTAGE 6 I 6pF LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique : :+ ETUDE DE FONCTIONNEMENT Sans cadence Cad.lente Cad. normale Esso inter 3" lul H:iF""% z o F o UJ J d) l o o CAMES LENTES CAMES MPIDES 6" 1Tl90sec Ootion % charqe : La pompe de vidange est alimentée par le contact programmateur 44A dés la fin du deuxième rinçage (pas n' 26). Si la touche </" charge > est enfoncée, le circuit d'alimentation de la pompe est coupé. Par conséquent le niveau resté haut ne permet pas un nouveau remplissage pour le rinçage n"3. Celui-ci se fait alors avec le bain orécédent. Cette option supprime donc un rinçage (le n"3). En effet le choix de cette option est motivé par une charge moins importante et peu sale à laver avec une quantité de lessive adaptée et par conséquent un besoin en eau lors du rinçage moins important. An€t cuve oleine : Sur les pas n'35 et 55 des programmes coton / synthétique et délicat, le contact d'alimentation géné'all 2-2A est ouvert- L'alimentation du programmateur est encore possible par le biais du contact 23-23A (contact de la came rapide du programmateur fermé 14,6 secondes sur 1 tour) à condition que la touche d'option ne soit pas enfoncée. ETUDE DE FONCTIONNEMENT LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique 18.2. - Programmation électromécanique avec moteur universel et inversions par le programmateur SECTEUR 23OV THERMOPLONGEUR PRESSOSTAT + SEGURITE N1 1-B ELECTROVANNE T +---- I I o- C11 îq, sPc B12 lA1z #ôç -if T ? + I ôt r-Y-{ 4' 6 . I T o- I I r ?I A5 --: T o-I - Or- 2l o- 2BISB I LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique ETUDE DE FONCTIONNEMENT r DOUBLE BEC / CAMES 1-5 AVEC VERROU CAME DISTRIBUTION lr It t(o lo I T ETUDE DE FONCTIONNEMENT 18.3. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique - Programmation électromécanique avec moteur universel et invercions par la carte SECTEUR 23OV VOYANT POSITIONNEMENT TAMBOUR PROGRAMMATEUR POSITIONNEMENT TAMBOUR On peut voir sur ce schéma que la carte gère I'alimentation du moteur ainsi que les inversions de son sens de rotation. Elle sera donc équipée de 2 relais contrairement à la carte du scfiéma pécâient qui n'en n'a pas. On constate aussi que la pompe de vidange est l'électrovanne sont câblées en série. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique ETUDE DE FONCTIONNEMENT :++lt ll li I gFBAEE isçS -92*=---=+*à **â=Eê83g* nf tl s-S .= (tr=- - z1 z_ (: <'s (Dr P-OoI â,É Nl à LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE DIAGNOSTIC Formation technique Exemple de logique de fonctionnement et de commande de ce type de module électronique : Dans ce cas spécifique, le programmateur transmet un "code" au module en positionnant deux contacts qui alimentent les deux entrées A et B. Ces codes permeftent au module de gérer plusieurs cadences et vitesses de rotation du moteur. La commutation des deux relais d'inversion se fait quand le moteur est à l'arrâ (triac non commandé, I noe,, = 0 A et tension tachy nulle). Gadence Lente (3" Marche / 12" Anêt à 35 et 50 trs/min) I lorsque le contact programmateur est sur la position CL et I'option laine n'est pas sélectionnée. Gadence Pendulaire (1" Marche / 9" Arrêt pendant 1/3 de tour) : lorsque le contact programmateur est sur la position CL et I'option laine est sélectionnée. Cadence Normale (12" Marche / 3" Arrêt à 35 et 50 trs/min) : lorsque le contact programmateur est sur la position CN. . . o . Arrêt lloteur : lorsque le contact programmateur est sur la position intermédiaire. Position CL ou GP Touche laine L'essorage final et certains intermédiaires sont commandés par le code donné avec les contacts 4-44 et 6-6A fermés. Le temps d'essorage et donc la vitesse atteinte dépendent de la durée des pas du programmateur (3, 6, 12 minutes). La durée étant figée, l'essorage est parficis écourtée en cas de balourd ou si le temps de décélération du tambour est trop élevé (surcharge de linge). 1220 820 Anét moteur 11n 80 50 et posistop 0 Essorage Intermédiaire = 3 min ETUDE DE FONCTIONNEMENT LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE Formation technique 18.4. - Programmation hybride F Le programmateur est utilisé pour alimenter ou non les différents éléments du lave-linge hormis le moteur.- A l'aide de contacts de codage, il informe aussi une carte sur sa position dans le programme en oour:i. La carte déclenche son avance dés que l'opération en cours doit être terminée selon le programme mémorisé. Le programmateur : La carte qère : - Alimente les éléments de puissance. - Le déroulement des programmes. - Informe la carte sur sa position dans le cycle. - L'avance du programmateur. - Le contrôle de la température. - L'information de niveau d'eau - L'inversion, la vitesse et les cadences de rotation du moteur.. i z. '.'i , 'l- Les sécurité ' \, .. i ,t : _l_ Ël gl ',Q IF IE z. -il- 'Tt -u= >'{ æxi zm lE lç a= i i o., ; m J" SEGURITE DE PORTE (.tia+-- --- Y \<_ I ^-.: 't'o -= :i )' \ o\ '6) m Nli i : l 3^o tffij Se Ni>' i æ r-1 U P THERMOPLONGEUR r' .':-' i: ' / .t-2,-4 .â9.ut o$c c) ô-iar r:! 'ê' .o ------o '';,,-O i>l E i:! i:: 1 /â\ (-{} \,7 t,/ ty'\'' /! t' I a )r it Orangq . t- Rose .>\ '-O È --------o â i-) ___-oe glitg:Fouse Breu iin: :8^ 'oÈ'rr i ' I I I i ôfle Sélecteur i i, ,' Vitesse Sélecteur Température ds" \ ' '- - @ | n* i--' ETUDE DE FONCTIONNEMENT LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE Formation technique TABLE DES CODES DISPONIBLES DIAGRAI'ME DES CONTACTS PROGRAMMATEUR 0 : Pas de signal I : Signal X: A. lndifiérsrt B : Pæiûon des contads F z. P: Attente Niveau 1 ou 2 du plessostat t : Temps d'attente détermine par la carte en U' 2 J fundkm des conbds 5 et 6 du programmateur : Atente jusquâ ce que la températræ de I'eau [Ia) $it égab à la températue selec{ionnée VC : 3 minute d'attente après que le pessosbt quitte le niveau 1 0.1 - 2.5 - 5 : Temps de passagp de pas de programmateur en minutes T o- fis) f o U' at Ts : Température sélec'tionnée Ta : Tempénfure de I'eau o tb l@ l-J ll^ lt6 tg '8 rfË ô qu) llet, lE .o tgô rËs tÊa I l'- IEË =o ,'hP lr€Ë I l.eg E.EI , Ë 6l ,-Ë Ël Èi Ër 15 E lË 5l l= lo 1G 5l ol 6l lt: tc lo I I I I I I I I I I I I I À E l6 lc lËul lB.Ël è gtl gl lË Ël rE 8l g'g gl lËel ,-!9 _9 P 'e'el 'Pyl I c o d i€ _ ,o 10 | -s2 ËrË 9l ël F z. lltl Ill || lill Itl ltil llll |llt i|ll IE eg 5'E EI 9 E EI ,€ Ê FIg EI lP a Elssl I o F lp It t9 t6 lf lr o F6 ,n |-o tG ll- :0 l'ô 'oO Êb llP + t=o lo o o rc lli gn 'o-. tEg- = I I lF lx6 rF Ë. lÀE rËg I ld : 'lOo I lr{l Ill t6. l6 lËi IF E ;gY o I I lc) to lo rd tr rt lo lo 'ts lFc l-J loL Sr l! to t lo lil o F it lo IF 'tl 6 1F l@ It to l6 io ,il lo IE to tb l@ râ3 I iF ra.E t9 rÀ lli., ' l(J r | rI lf lo t@ E ,E IT rE IE lc to o 1E to I .E rl: Ir6 I o lc lo ,'s) lo i I 1'ô to Ir 'l I at) U' J o- o at, U' -l-lËlEl i l=o ErËrgrgr= =l -g ol El= Ëi€ âl E-E ErE Ël clc oto t6 IE -tE Ël* ËlË FrFr Ët$rË Rrg- Ë tetÊ. ? 6 |.!2 .!rl '€lË Ël .El6 AIE ËrËrErerË ol= ElË ol E P PI Itl tz, z. E'9 ËIE ËI e'P 6.9 olr È E rl x ErE -9 lE E,t El.9 O,E !toloI.g !tol ot o ElË Él È13 s'l€ É.1 El É.'É. -et6 El"à ËiFiËiËiË ur'É. É. .D' É. É,1 U' U' olo slE o-ta, x zoz. z. o z. ËlË olE lË F ttoto s Fo +r !l llt o *t6 L dl lO Ol I O G EI _91 I I I I ôl xB 6ae Ë.9 (Lc = o 5 o z. o z. 5 o = (U I z. z o o z. z. ËËË ÈËg = o z. z. o z. ^= >o z. o z. êe 5 5 z. o o o z e çle I z. z. 5 o o z. o z. o || I éa - z. z z. 5 5 z. z. z. z z. z. o o o o z. o o o o z. z. 2 o o z o z. z. z. z. x o @ x çlçlçlel7 o o @ ËËË "9. çle çl 6 o aû o @ ao æ ao (D o ao 6 o @ o e to o )< x x x x x o x x x o ë f, UJ o?$rJ $€ Ë8 assail F È È x x x x neeÀN a x rnopa$ c x x o x x x x o xl x x x x x x o x x x x x x o )< -o )< F D -lx a dt É. F x C'> ô f F-o oo@@@@ o z. o lU) o o- LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE SECHAGE Formation technique 18.5. - Programmation tout électronique F Des triacs alimentent les différents éléments de puissance (le triac moteur, plus important, est monté sur un radiateur). Le thermoplongeur, consommateur de courant, est alimenté grâce à un relais. Dans I'exemple ci{essous le moteur universel est alimenté en courant redressé à travers un pont de diodes et le pressostat est de type analogique. tI| *9 t ft . # Ël ,El . Ë (t Flotteur anti-fuite Pompe de recirculation Prélavage Lavage I P.o.mpe de uoange Thermoplongeur r----- I LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE LE LAVE-LINGE SECHANT 19 . 19.1. Formation technique DECOUVERTE LAVE-LINGE SECHANT - Le lave-linge séchant TOP à chargement par dessus LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LE LAVE.LINGE SECHANT Formation technique 19.2. - Les composants spécifiques trj1 m,,, i1i.|ffi.fr, rt+!;i:t::i!ti:iti+X?!ni+iijiitii:t ELECTROVANNE 4 VOIES Permet le remplissage de la machine et la prise des produits. o . o . 220 - 24OV- 3,7 kÇ) 4 voies pour le lave-linge séchant (3 voies pour le lave-linge) EV1 (marron) : Prélavage - 7 litres/min. EV2 (vert) : Lavage - 7 litres/min. EV3 (bleu) : Assouplissant - 7 litres/min. o EV4 (gris) : Séchage - 0,35 litre/min. o Pression d'anivée d'eau : 1 à 10 bars . . RESISTANCE DE SECHAGE o . . Cette résistance, située dans un tunnel chauffant fixé sur la cuve, est dédiée entièrement au séchage. 2201240V- 36O Puissance totale: 1500W L'élément chauffant est composé de deux résistances montées en parallèle. Ne pas démonter le cache inox vissé et collé (pour l'étanchéité) sur le tunnel de chauffe. THERMOSTATS DE SECURITE SECHAGE Deux thermostats permettent de réguler l'élément chauffant en cas de surchauffe. C'est-à-dire en cas d'arrêt de la ventilation ou de filtre bouché par exemple. o . . . /2 pouce En contact avec le boîtier de chauffe Un thermostat à réarmement automatique : coupure à 115"C Un thermostat à réarmement manuel coupure à 140'C THERMISTANCE GTN SEGHAGE Informe le microprocesseur de la carte électronique sur la température de I'air chauffé. Sa valeur ohmique diminue lorsque la température augmente. . o 100 KQ à 2O"C Montée sur le boîtier de chauffe VENTILATEUR DE SECHAGE ll assure F I'aspiration de I'air à travers ou non d'un filtre de séchage F le refoulement de I'air vers le tunnel chauffant. ll fonctionne pendant toute la durée du séchage. . . . . o . . . 2201240VMoteur Asynchrone 2 pôles Enroulement principal :495 O Enroulement auxiliaire : 455 O 45W 6o mt / heure Condensateur : 1pF Protecteur thermique : LE LAVE-LINGE SECHANT 19.3. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE Formation technique - Exemple d'application : le fonctionnement du laveJinge séchant top L10 Le séchage ventilé assure un excellent résultat de séchage. L'air chauffé dans un boîtier de chauffe situé sur le coté droit de la machine est renvoyé dans le tambour au milieu du linge. L'air chargé d'humidité est aspiré par une turbine située à l'arrière de la cuve. ll est condensé sur la tôle de cuve refroidie par un filet d'eau froide et repart dans le boîtier de chauffe. Th réarmable 140"C Double résistance 1500w (2x750W) 19.3.1. - Gestion du séchage Deux consignes de séchage sont proposées : Séchage fort ou Séchage doux. La mesure de la température de séchage est assurée gÉce à une thermistance en contact avec I'air circulant dans le boftier de chauffe. Sur le boitier de chauffe il y a 2 thermostats de sécurité. Un thermostat auto-réarmable qui coupe à 115"C et un thermostat à réarmement manuel qui coupe à 140'C en cas de surchauffe importante. Deux ouvertures sur le haut du filtre assurent un minimum de circulation d'air dans le cas ou celui-ci serait complètement saturé. Cela évite de passer en sécurité de manière trop fréquente. Dans le cas d'un séchage seul, il faut sélectionner un temps de séchage. Le départ différé n'est pas possible avec ce type de séchage. Dans le cas d'un séchage enchainé (à la suite du lavage), la détection de fin de séchage est automatique. Pour cela il faut dans un premier temps que la détection de charge (pesée) autorise le séchage(charge<4Kg). Avant de choisir un progmmme avec séchage enchainé ou non, il faut s'assurer que le linge sera suffisamment essoré (1000 tours/minute minimum) et que le robinet sera bien ouvert en séchage (fonctionnement du condenseur). Après un cycle de séchage, il est impératif de neftoyer le filtre. LES FONDAMENTAUX : LE LAVE-LINGE LE LAVE.LINGE SECHANT Formation technique 19.3.2. - Le cycle de séchage Préchauffage : La vanne de séchage et la pompe de vidange ne sont pas alimentées. L'élément chauffant et le ventilateur fonctionnent en permanence. Rotation moteur : 30 secondes de marche à 65 tours/min et 3 secondes d'arrêt. Régulation : La vanne de séchage et la pompe de vidange ont une alimentation fractionnée. L'élément chauffant est régulé par séquences de 41 secondes. La ventilation est permanente. Rotation moteur : 30 secondes de marche à 65 tours/min et 3 secondes d'arrêt. . Refroidissement : La vanne de séchâge et la pompe de vidange ont une alimentation fractionnée. La ventilation est toujours permanente. Rotation moteur : 30 secondes de marche à 65 tours/min et 3 secondes d'arrêt. . Défoulage : Phase automatiquement exécutée si l'option antifoissage est sélectionnée. Durée maximum de 2 heures. Rotation moteur : 3 secondes de marche à 35 tours/min et 15 secondes d'anêt. Gonsigne Transition préchauffage - régulation T" nnesurée > Consigne de T"-'15"C ûu Durée préchauffag€ )s tSmin EV4 Pompe ion Elément chauffant 41" 41" Alimentation de l'élément chauffant en rapport cyclique variable sur période de 41 sec LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE LE LAVE-LINGE SECHANT Formation technique 19.3.3. - Schéma de principe du lave-linge séchant top L10 E4+ e SECTEUR o't t cl (23{,v-soH4 Êg =F "-5 W:jJ-.,,, El À: Piéce de la macfiine : Composant de la carte Ë :s I =i LES FONDAMENTAUX : LE LAVE.LINGE LE LAVE.LINGE SECHANT Formation technique 19.4. - Exemple d'application : le fonctionnement du lave-linge séchant front INNOVATION Résistance de séchage RESI + REs2 (Éa90W) Thermostat simple 85"C Motoventilateur Thermostat double 17O"C sécurité 95"C régulation Air chaud Cuve Tam bou r Arrivée d'eau froide,/t Zone de condensation --.- Pompe de vidange 19.4.1. - Gestion du séchage La quantité maximale normalisée de linge à sécher équivaut à 3 kg de linge sec (lavé et essoré) dans le cas de textile résistant et 1,5 kg pour du linge fragile. Cela implique que lors d'une programmation d'un séchage enchaîné après un lavage résistant, il faut réduire la charge à laver à 3 kg maximum. De la même façon, après le lavage d'une charge complète (6 kg), il faudra faire 2 séchages. Le temps nécessaire au séchage (réglable de 20 à 180 minutes) dépend du textile, de ses dimensions, de la charge et de la vitesse d'essorageSur le sélecteur de programme, il existe deux niveaux de séchage possibles . . séchage délicat : une seule ésistance est alimentée (RESI - 700 W) séchage normal : les deux résistances de séchage sont alimentées (1tO0 VU Le séchage (enchaîné ou non) est réglable de 20 à 180 minutes et il est suivi d'un défoulage d'une heure (cadence : 6" de marche - 11" d'arrêt - vitesse tambour : 35 tours/min.). Un refroidissement de 10' est intégré à la durée totale programmée. LES FONDAMENTAUX: LE LAVE-LINGE LE LAVE-LINGE SECHANT Formation technique 19.4.2. - Le cycle de séchage T" Régulation 1 F^ Phase 2 Phase 3 Phase 4 Ëà r=o ô9, H€ *b =o g Temps (20 à 180'l EV4 Pompe Le séchage se décompose en 5 phases: . o . . o PHASE 1 : Remplissaqe durite - Alimentation EV1 (électrovanne de prélavage) pendant 3" (Remplissage de la durite boite/cuve afin d'éviter la sortie de vapeur) PHASE 2: Préchaufiaqe - Alimentation de la ou des résistances de séchage RES1 et RES2 pendant 20 minutes - Alimentation du ventilateur - Alimentation du moteur (cadence : 57" de marche - 3" d'anêt avec inversions) PHASE 3:Séchaqe - Alimentation de la ou des résistances de séchage et régulation de la température - Alimentation du ventilateur - Alimentation de la vanne de séchage EV4 (0,35 litre/min.) - Alimentation de la pompe de vidange (fractionnement : 5" de marche - 55" d'arrêt) - Alimentation du moteur (cadence : 1' de marche - 5" d'anêt avec inversions) PHASE4:@! - Anêt de la chauffe (refroidissement intégré 10 minute avant la fin du séchage) - Alimentation du ventilateur - Alimentation de la vanne de séchage EV4 (0,35 litre/min.) - Alimentation de la pompe de vidange (fractionnement : 5" de marche - 55" d'anêt) - Alimentation du moteur PHASE 5: Défoulaqe - Alimentation du moteur oendant t heure (cadence : 6" de marche - 11" d'arrêt - vitesse tambour : 35 tourc/min.) LES FONDAMENTAUX: LE LAVE.LINGE LE LAVE-LINGE SECHANT Formation technique 19.4.3. - Schéma de principe du lave-linge séchant front INNOVATION Résistance Chauffage normale EVS Séchage EV3 Assouplissant CTN Ventilateur Moteur Vérrouillage de porte Filtre antiparasites N 230V L Thermoplongeur -