16 septembre 2016
Transcription
16 septembre 2016
2016 : Fonds d’aide à l’innovation audiovisuelle – Documentaire de création – Aide à l’écriture Commission du 16 septembre 2016 11 Joconde valent mieux qu’une d’Alessandro Mercuri Contact : [email protected] En 1911, la Joconde est volée au Louvre. On croit l’œuvre à tout jamais disparue. Comme par enchantement, le tableau réapparaît deux ans plus tard en 1913. La Joconde retrouvée fait immédiatement l’objet de suspicion. On soupçonne le tableau d’être un faux. Une légende urbaine est née. En réalité, dès le 16 e siècle, la Joconde n’a cessé d’être copiée. Certaines de ces « copies » ont longtemps été considérées comme des originaux. 11 Joconde valent mieux qu’une conte l’aventure de cette prolifération. Bright star d’Anca Hirte Contact : [email protected] J’ai été braqueuse, voleuse, mafieuse. J’ai explosé mes veines, j’ai picolé et j’ai baisé des meufs. J’ai buté personne pour l’instant. J’ai jamais chouré les pauvres. Je m’appelle Stela, j’ai 40 ans aujourd’hui, dont 10 en taule. Ma vie, c’est du chaos. Des voix dans le coeur d’Henry Colomer Contact : [email protected] Dans le monde qui nous est échu en partage, la poésie semble confinée à quelques chapelles d’initiés. Mais que viennent les temps difficiles, et elle sera, comme elle l’a toujours été, l’ultime refuge. Des hommes et des femmes consacrent leurs vies à traduire et faire circuler ces précieux talismans. Portraits croisés de trois de ces veilleurs, que leur passion de la transmission a poussé à devenir éditeurs. L’empire de la perfection de Julien Faraut Contact : UFO production – Raphaelle Delauche : [email protected] Plongée dans le Roland Garros du début des années 80, en compagnie du numéro un mondial John McEnroe. Les rushes d’un film d’instruction tourné en 16mm révèlent de façon inattendue les malentendus et autres problèmes de cohabitation entre, d’un côté un champion perfectionniste et de l’autre, des arbitres perfectibles, un public avide de spectacle et une équipe de tournage décidée à capter les moindres faits et gestes du génial et tempétueux joueur américain. Histoire de boa d’Aurélie Conquet & Sébastien Plot Contact : Norte productions : [email protected] En Côte d’Ivoire, sur un complexe de canne à sucre, la récolte bat son plein : des incendies dévorent rituellement les parcelles ; l’usine ronronne de jour comme de nuit. Rien que de très ordinaire, jusqu’à ce qu’un soir Jean-Christ tombe de moto. La rumeur démarre au quart de tour : « c’est le boa ». Je sentais que mon visage était en feu de Nicolas Klotz & Elisabeth Perceval Contact : [email protected] Film primitif et épique, Je sentais que mon visage était en feu racontera comment cette ville naissante, en pleine croissance, où vivaient près de 7 800 personnes, sera détruite à 50 % par l’Etat et la préfecture, et comment les 4 000 migrants qui y vivaient tenteront de renaître de leurs cendres dans la zone nord. © DR | 2016 1 La mer verte d’Akihiro Hata & Olivier Demangel Contact : [email protected] La mer verte est le nom donné à la forêt qui s’étend au pied du Mont Fuji. On y recense environ cent morts par an, tous par suicide, ce qui vaut à cette forêt le surnom de « forêt des suicidés ». Ce projet est l’histoire de l’exploration solitaire que j’y ai mené pour comprendre ce qui s’y cache et suivre la trace de ces hommes et ces femmes, sans savoir alors que l’histoire de cette forêt allait résonner avec la mienne, moi qui ait quitté le Japon, mon pays natal, l’année de mes 18 ans. Ultraviolette de Claudie Hunzinger & Robin Hunzinger Contact : [email protected] Une très jeune fille, Marcelle, qui s’adresse à une figure absente. Une Enfant terrible qui invente l’amour et s’éprend de la mort, au nez du monde adulte. La maladie, les fleurs, la montagne, la neige. Une vie qui brûle. Ultraviolette. © DR | 2016 2