Replonger dans le passé

Transcription

Replonger dans le passé
Re Replonger dans le passé
Auteur : Liz-CSI (ou Samara)
Email : [email protected]
Série : Stargate Sg1
Genre : Romance ( on ne change pas une équipe qui gagne) c’est même du qui fond
bien et qui colle aux doigts (guimauve comme dirait Laure) et c’est du hors
mission, et aussi nostalgie pendant tout le début du texte.
Résumé : Un jour en fouillant Sam découvre dans son grenier une photo du passé
qui l’intrigue, encore une chose pour la pousser à agir….
Spoilers : 1#01 « Enfant des Dieux. » le 1#21, le 3#06 « De l’autre côté du
miroir » (j’aime pas Niark) 4#03, 4#05 « Diviser pour conquérir » 5#20 «
Zénith » 6#04 « Prisonnière des glaces. » 6#16 « Paradis Perdu » 7#15
« Chimères » 8#19 « Theards » 8#21 « Meobius ». Disclamer : Franchement, à
chaque fois faut dire pareil… Et bien malheureusement, je n’ai pas acheté les
studios de la MGM (j’ai pas les moyens comprenez moi…) donc les personnages et
l’histoire ne m’appartiennent pas, et je ne suis pas payée pour écrire cette
histoire
Fanfiction : n°17
Notes de l’auteur : C’est une histoire que j’ai écrite… enfin je l’ai surtout
commencé a 00h46, je n’avais pas forcément les idées très claires.
Il y a, encore, un petit crossover avec Urgences, faut il que je vous réexplique le
Carter Sg1 et le Carter ER ? Je sais que cette idée ç déjà était exploitée mais
je voulais écrire ma version, étant donné que dans ER>, Carter est issue d’une
famille riche, j’en ai conclut que Sam aussi.
Cette histoire je ne sais pas vraiment d’où m’ai venues l’idées peu être quand j’ai
vu les photos d ema mère jeune…. OU and j’ai regardsé l’épisode de la saison 3 de
Charmed « Halloween chez les Halliwell » bah y a pas grand rapport mais il y a
une histoire d’ancêtres.
Elle risque d’être moins longue que Their Life, je ne pense pas, cette fois,
m’attarder sur l’après. Oui d’habitude je trouve toujours le moyen de caser un
bébé quelque part, mais là je vais m’arrêter sur un Happy End et après tout le
monde imaginera ce qu’il souhaite.
Alors pour les citations de « Georgia Nicolson » elles sont pas à la lettre prêt,
c’est comme je m’en souviens, étant donné qu eje ne peux plus lire le livre et que
je suis un peu seule dans ma maison pour que quelqu’un me le lise, j’ai fait avec
mes souvenirs. Je sais que pour l’histoire ça ne sert à rien, mais j’ai pas pu m’en
empêcher, désolée.
Dédicace : Laure (pour ton aide, ton amitié et tout le rester que j’adore chez toi)
à Pakale (pour entre deux feuilles d’impôts, trois dossier de TVA en retard et un
bug informatique de trouver le temps de lire mes fics et de me dire ce qu’elle en
pense) à Laet (d’être ma confidente, ma sœur et une des personne que j’aime le
plus) et à Betty (Pour être ma meilleure amie, pour être ma Copartageuse de Pti
Major et pour nos délires permanents) et aussi à Hito (qui m’a dit franchement
ce qu’elle pensait de mes fics et ça m’a vraiment fait chaud au cœur merci
encore)
Recommandations : Je ne sais pas si je peux le faire où non, mais je vous
reccommande un ou deux auteurs (oui Laure l’a déjà fait, mais en fait c’est pour
que s’ils lisent cette histoire qu’ils sachent que j’aime beaucoup ce qu’ils font)
Hito, CLD, Aurélia, Angel16, Helios, mais il y en a aussi beaucoup d’autres que
j’aime beaucoup !
+++++++++++++++
Le grenier. Elle devait nettoyer ce fichu grenier. Elle était maniaque, mais le grenier l’avait
toujours ennuyer. Mais elle devait le faire coûte que coûte. Ça l’aiderai peut être à oublier ses
soucies, la tuyauterie, le baptème de la fille de Carol au quel elle ne pouvait assister parce
qu’elle avait un briefing à faire sur le X303 et justement la préparation de ce second briefing.
Elle monta alors, en ce jour de 19 Janvier, les marches qui menaient au grenier.
Il faisait sombre. Elle alluma une ampoule unique qui allumait de sa lumière jaunâtre un
grenier poussiéreux.
Le fait de revenir ici lui semblait étrange. Tous ces vieux trucs, les souvenirs de son enfance,
de ses parents… Une douleur aigue vint lui pincer le cœur. Déjà trois mois qu’il était parti…
Dans sa vie ces derniers temps, beaucoup de choses avaient changer. Il y avait eu la
disparition de son père qui l’avait fait beaucoup souffrir, sa rupture avec Pete… Et
bizarrement, tous ces évènements l’avaient rapprochée de lui.
Pourquoi son nom était-il si douloureux à prononcer ? Après tout, ils s’étaient rapprochés
depuis deux ou trois semaines.
Bien sur deux ou trois semaines se n’est pas grand chose, mais après toutes ses années de non
rapprochement, ça lui réchauffait un peu le cœur.
Elle avait fini par se dire que peut être, ils resteraient juste amis. Et puis, il lui avait révélé
qu’il s’était séparé de Kerry. A nouveau, ils étaient seuls tous les deux.
Et il y avait eu récemment cette histoire de réalité parallèle. Encore une fois, dans cette réalité,
leurs doubles étaient ensemble. Elle commençait à se dire que peut être qu’eux aussi,
devraient commencer à se décider.
Car malgré toute la volonté qu’elle mettait pour ne pas y penser, les années passaient. Vite,
trop vite.
Et chaque jour était un jour de moins sans lui.
C’était sa philosophie. Elle savait qu’elle devait profiter du moment présent, mais elle arrivait
à un âge où son horloge biologique la titillait. Et depuis maintenant neuf ans, dans tous ses
rêves, Jack était le père de ses enfants.
Elle décida, sans savoir pourquoi, de refouiller dans ses souvenirs.
Elle se mit à genoux devant le tas de cartons et en pris un et l’ouvrit.
La première chose sur la quelle elle tomba sur son « doudou ». en fait, elle n’avait vraiment
jamais appelé ça un doudou, elle a toujours dit « nini », elle ne sait pas pourquoi. Et ce n’était
pas ces éternels nounours que les enfants traînaient pendant toute leur enfance et qui finissait
borgne et parfois avec un membre en moins. Elle en avait un, mais il était en haut de son
étagère dans sa chambre. Non son « nini » c’était une autre histoire. C’était un carré de tissu
blanc, doux. Elle l’avait traîner partout où elle allait, et quand une fois elle avait perdu son
« nini » il fallait vite en retrouver un autre sinon elle ne dormait plus. Sa mère avait donc fait
un stock de nini.
Ce souvenir la fit sourrire. Ce bout de tissu, bien qu’anodin, lui rappelait tellement de choses,
son enfance… sa mère.
Son cœur se serra un peu. Repenser à cette époque lui faisait toujours un peu mal, mais elle
s’en était remise à présent.
Enfin pas de la mort de son père, il lui faudrait du temps. Et elle prendrait le temps.
Elle posa le morceau de tissu à côté d’elle. Elle trouva une robe verte à fleurs jaunes légère.
Elle avait appartenue à sa mère. Elle sourit, comment pouvait on porter ce genre de choses ?
Puis, elle tomba sur un article de journal. Un que sa grand mère avait conservé, où l’on parlait
de osn grand père qui avait fait la guerre. Elle sourit, décidément sa grand mère gardait de ces
choses !
Elle se rendit alors compte qu’il ne lui restait presque personne. Ses grands parents maternels
étaient décédés alors qu’elle était encore enfant. Son grand père paternel était mort il y avait à
peine trois ans. Ses parents aussi étaient partis. Il ne restait que son frères, et ses neveu. Et sa
grand mère maternelle.
Tout le monde disait qu’elle ressemblait beaucoup à cette dernière, énormément même,
comme si leur physique avait sauter une génération, et que Sam en avait hérité trait pour trait.
Elle sourit. Que le temps passait vite. Les saisons défilaient, les vies se terminaient alors que
d’autres commençaient…. C’était le cycle de la vie, elle l’avait toujours su, mais c’était
comme si elle venait d’en prendre conscience en cet instant.
Elle posa le cadre où le journal était conservé et prit un autre objet. Elle tomba sur une photo.
C’était une vieille photo, jaunies, en noir et blanc dans un cadre en argent noirci par le temps.
Elle reconnut immédiatement sa grand mère, vêtue d’une jupe plissée et d’un chemisier blanc.
Ses cheveux – qui malgré l’absence de couleur – qu’on devinait blonds, ondulaient sur ses
épaules. Elle souriait de toutes ses dents, rayonnait et semblait heureuse.
C’est l’homme à ses côtés qui attira plus l’attention de Sam.
Sur la photo, sa grand mère devait avoir une vingtaine d’années. Elle était au bras d’un
homme brun avec des yeux sombres rieurs et chaleureux, qui lui aussi souriait pleinement et
semblait heureux.
Ils semblaient heureux ensembles, Sam avait tout de suite reconnu l’homme. C’était son
portrait craché, il lui ressemblait traits pour traits, autant que la jeune femme ressemblait à sa
grand mère.
Le portrait craché de Jack.
++++++++++++++++++++++
Elle faisait les cent pas dans le salon, le cadre à la main. Ses projets de nettoyage du grenier
étaient donc contraints à être effectués plus tard après la découverte de ce cadre.
Alors sa grand mère avait connu le – selon toute logique – grand père de Jack ?
Encore une chose qui venait s’ajouter a la liste des « choses qui devait la convaincre une
bonne fois pour toutes de se mettre avec Jack ».
Après la réalité parallèle, voilà que le passé s’y mettait, et après quoi, ça serait leur futur qui
viendrai les voir ?
Elle s’arrêta. Elle voulait en parler, mais à qui ? A Daniel ? Il lui dirait encore que c’était une
raison de plus. A Teal’C ? Non, elle ne se voyait pas de lui parler de ses découvertes dans son
grenier à son ami jaffa.
Une seule personne lui venait à l’esprit : Jack. Mais étant donné que cela le concernait
directement, elle voulait connaître l’histoire d’abord. Elle devait aller voir sa grand-mère à
Chicago. Peut être pourrait elle en profiter pour voir son cousin John qu’elle n’avait pas vu
depuis un moment.
Elle devait appeler sa grand mère.
Elle posa le cadre et prit le téléphone.
? : Elisabeth Carter à l’appareil.
S : Grand mère ? Bonjour, c’est Sam.
E : Oh, bonjour ma chérie, comment vas tu ?
S : Bien merci, et toi ?
E : Oh, tu sais, j’ai encore un peu de mal à digérer la disparition de ton père.
S (tristement) : Oui, moi aussi en fait, je t’appelle parce que j’aimerai te rendre visite dans les
jours qui viennent et je voulais savoir si tu étais là, où si tu étais avec John.
E : Non ma chérie, je serai là, ça me ferai vraiment très plaisir de te voir.
S : Je ne suis pas sûre, mais je vais demander une semaine de vacances, et je te rappellerai
dans l’après midi pour te confirmer d’accord ?
E : Bien Sam, alors a tout à l’heure. »
Puis Sam raccrocha. Elle composa ensuite le numéro de la base et demanda à parler à Jack.
J : O’Neill j’écoute
S : Bonjour mon Général, ici Carter.
J : Carter quelle bonne surprise, comment allez-vous ?
S : Bien merci mon général, et vous ?
J : Si vous saviez ce que je donnerai pour pouvoir balancer cette paperasse à la poubelle, mais
assez parler de moi, que me vaut votre coup de fil.
S : Voilà, je sais que j’ai déjà un week end de permission, mais étant donné que je ne prends
pas souvent de vacances, je voulais avoir s’il était possible que je prenne une semaine de plus,
j’ai besoin d’aller dans ma famille à Chicago.
J : Quelque chose de grave ?
S : Non, je dois allée voir ma grand mère, elle a un peu de mal à digérer… la mort de mon
père.
J : Oh, je vois, et bien oui, vous pouvez, Daniel aussi apparemment avait envie de prolonger
sa permission, et puis comme vous n’avez pas de missions importantes cette semaine, cela ne
pose aucun problème au niveau de la base.
S : Je vous remercie beaucoup mon général.
J : Mais tout le plaisir et pour moi Carter.
+++++++++++++++++
Sam arriva à l’aéroport de Chicago dans la soirée du lendemain : le Lundi 20 Janvier. Son
avion avait eu du retard à cause de la neige.
Sa grand mère avait fait venir une voiture exprés pour elle de l’aéroport.
Sa grand-mère était fortunée, très fortunée. Elle vivait dans une grande propriété un peu en
retrait du centre ville. Sam avait grandit loin de cet univers, ne voyant sa grand mère que très
rarement.
Quelques minutes plus tard, elle arriva ç la propriété de sa grand mère.
Elle sortit et se dirigea vers la porte, le Maître d’hôtel lui ouvrit et la salua.
Puis, sa grand mère vint la rejoindre.
E (souriant) : Samantha ! Je suis contente de te revoir ma chérie.
S (la prenant dans ses bras) Moi aussi grand-mère.
E : aller, viens passons au salon, tu vas me raconter ce qui t’amène vraiment me voir.
S : Mais je…
Sa grand mère ne lui laissa pas le temps de finir.
Elle la suivit dans le salon, sa grand mère s’installa dans le fauteuil qu’elle occupait toujours
et Sam dans le canapé en face d’elle.
E : Alors ma chérie, raconte moi un peu se qui t’amène à Chicago.
S : Et bien outre le fait que j’avais envie de te voir, il y a en effet quelque chose de particulier
qui m’amène ici.
E (souriant) : Je m’en doutais, alors raconte moi.
S : Voilà, hier, j’avais décidé de faire le gros nettoyage du grenier, et je me suis replongée
dans mes vieux souvenirs.
E (nostalgique) : Oui, cela m’arrive aussi, cette maison est remplie de souvenirs, mais
continue.
S (sortant le cadre) : Et dans les cartons, j’ai trouvé ça.
Elle tendit l’objet à sa grand mère qui le prit. Dés qu’elle vit la photo une lueur de nostalgie
brilla dans ses yeux.
E : Pourquoi ce cadre t’a-t-il intrigué ?
S : Raconte moi l’histoire qui va avec et je te raconterai la mienne.
E : Cela remonte à bien longtemps. Il s’appelait Jonathan (Sam souleva les sourcils). J’avais
dix neuf ans. Son nom était O’Neill, oui c’est cela.
Alors c’était sur, c’était un des « ancètres » de Jack.
E (continuant) : Nous nous sommes rencontrés lorsqqe j’avais dix sept ans. Nous étions
obligés de nous cacher, nous ne pouvions pas être ensemble, car mes parents ne voulaient pas
que je fréquente des hommes d’un niveau social… plus bas disons. Je l’ai aimé pendant deux
ans. Mais il est parti avec l’armée, et je ne l’ai jamais revu. Ca a été le seul grand amour de
ma vie avec ton grand père. Je ne peux pas te décrire ce que je ressentais pour lui. C’est
indescriptible.
Cette histoire ressemblait fort à celle de Sam et Jack. Un amour interdit, un amour passionnel,
fort, intense… seulement, eux avaient franchis le pas, contrairement à leurs petits enfants…
Chose que Sam, espérait remédier.
E : aller Sam, raconte-moi ton histoire maintenant.
S : Et bien… il y a un homme.
E (souriant) J’ai l’impression de revenir au temps ou tu étais adolescente et que tu me parlais
de tes amours, mais continues je te prie.
S souriant) : donc il y a un homme, et j’ai toute les raison de penser que le Jonathan de cette
photo, celui que tu as aimé, et le grand père de l’homme en question. Ils se ressemblent autant
que je te ressemble, c’est impressionnant.
E : Et quelles sont tes relations avec cet homme dont tu m’as parlé ?
S (baissant les yeux) Professionnelles, malheureusement. C’est mon supérieur, mais disons
que (elle s’apprêtait à lui révéler ce que jamais elle n’avait révélé de cette façon à qui que ce
soit) Nous nous connaissons depuis neuf ans, et je l’aime depuis.. peut être pas la première
fois, mais pas loin. Je l’aime comme jamais je n’ai aimé personne, mais nous ne pouvons pas
être ensemble à cause du règlement.
E : Sam, tu apprendras que parfois les interdits doivent être brisés pour vivre heureux.
S (souriant) : C’est ce que je me dis, et je croirai entendre Daniel.
E (curieuse) Qui est Daniel ?
S : Mon meilleur ami.
E : Oh, je vois, donc tu es amoureuse de cet homme mais tu ne veux pas lui avouer.
S : Non, ce n’est pas ça, je veux être avec lui, mais… il y a ce fichu règlement.
E : Mais depuis le temps que tu y penses tu as bien du trouver des solutions pour remédier à
cela ?
S : Oui, mais à chaque fois, l’un de nous met en jeu sa carrière.
E : A quoi serais tu prête à renoncer pour être avec lui ?
La question de sa grand mère résona dans sa tête avec sa propre voix, une question que Sam
s’était déjà poser.
Elle aimait Jack, ça, ça faisait longtemps qu’elle ne se posait plus la question de savoir si elle
l’aimait ou non. Cela faisait neuf ans maintenant, que serait elle prête à sacrifier pour avoir
une chance de vire heureuse avec lui ? Tout, c’était évident. Mais une chose l’ennuyait plus
que les autres.
C’était de sacrifier leur amitié. Parce qu’il avait cette amitié unique qui les unissait, et pour
rien au monde – ou presque – elle ne voudrais la perdre.
S : Nous partageons une amitié très forte qui nous unit, et je ne veux pas perdre ça.
E : crois-en mon expérience chérie, quand on ne prend pas de risques, on peut toujours
attendre que ce qu’on désire se passe, mais ça sera en vain.
Sam baissa les yeux. Sa grand-mère avait raison. Elle pouvait attendre que Jack daigne réagir.
Mais c’est ce qu’elle faisait depuis neuf ans alors peut être que…
Il y avait toutes ces choses qui la poussaient vers lui. Tout d’abord, les histoire de réalités
parallèles. Il y avait d’abord eu la réalité où Daniel était allé, il y a huit ans environ. Dans
cette réalité, son double et celui de Jack étaient fiancés et sur le point de se marier jusqu’à la
destruction de la base.
Puis il y a cinq ans et deux mois à peine ça avait été la même chose, ils – enfin leurs doubles –
étaient ensemble.
Et maintenant il y avait cette histoire d’ancêtre. Bien sur, cela ne la concernait pas, c’était
l’histoire de sa grand-mère. Mais quand même, bien qu’elle est du mal à se l’avouer, cette
histoire l’affectait quand même. Devait elle en oarler à Jack ? Pourquoi pas, après tout, ils
avaient beaucoup parlé ensemble ces derniers temps. Et elle devait suivre les conseils de sa
grand mère.
E : tu n’est plus avec ton fiancé ?
S : Pete ? Oh, non cela fait trois mois que nous sommes séparés.
E : et cet homme, il n’a personne dans sa vie.
S : non.
Enfin elle ne pensait pas. Oui, il lui avait dit qu’il n’était plus avec Kerry… et elle ne croyait
pas qu’il est retrouvé quelqu’un d’autre en rois semaines.
E (changeant de sujet) : Et sinon, comment vas tu ?
S : Bien, je traverse des moments difficiles, mais ça va mieux qu’il y a trois mois, mon travail
me plaît toujours autant…
E : Les satellites c’est cela ?
S : En simplifiant oui. Et sinon.. j’ai passé les fêtes avec mes collègues et Cassandra.
E : Tu ne m’as pas vraiment parler d’elle, qui est-ce ?
S : Cassandra est la fille adoptive de ma meilleure amie Janet, qui est décédée il y a un peu
plus d’un an.
E : Pauvre petite. Et tu l’as prise chez toi ?
S : Oui, j’ai toujours été là, avec Janet pour l’élever. Je l’aime comme ma propre fille.
E : c’est merveilleux, je suis heureuse pour toi. Et tes fêtes se sont bien passé ?
S : oui…
+++Fash Back+++
ils étaient tous réunis chez Sam pour le réveillon du 24 Décembre. Il y avait Daniel, Teal’C,
Cassandra et Jack. Au départ elle avait hésité à l’invité, mais en fait, sa compagnie lui faisait
du bien.
Ils avaient commencés à dîner autour de la table du salon.
Sam se dirigea vers la cuisine et ramena la traditionnelle dinde aux marrons (chez moi c’est
plus le rôti mais bon…). Daniel et Jack, pour changer, ce disputaient a propos d’une chose
que Sam ignorait, vu qu’elle était dans la cuisine quand leur dispute avait commencé.
D : Par pitié Jack, je vous dis que j’ai raison, alors arrêter.
J : Mais pourquoi voulez vous avoir raison ?
S (s’asseyant) : De quoi parlez-vous ?
D : de Star Wars.
S (souriant) : Vous vous disputez sur un film? A quel sujet ?
D : C’est a propos de l’épisode III, vous tu l’as vu ?
S : oui trois fois au cinéma.
J : je ne saviez pas que vous aimiez autant Star Wars Carter.
S : en fait au début s’était plus pour Harrison Ford. Mais j’ai finit pas me plonger vraiment
dedans, et… j’y suis tombée.
J : faudrait pas vous noyer quand même.
S : Donc pourquoi vous disputiez vous à propos de l’épisode III (Je suis désolée, mais je suis
une fan de Star Wars, pardonnez le moi.)
D : Jack trouve d’Anakin à basculer trop facilement.
T : Je suis personnellement d’accord avec O’Neill.
S : c’est vrai.
D : Oh non pas toi Sam.
S : mais en même temps, je me demande si on aurait pu faire autrement.
J : Non, je ne pense pas.
D : Donc j’ai raison !
S : Non vous avez tous les deux raison.
J : Merci Carter.
S (lui souriant) : Mais je vous en prie mon général.
Le reste de la soirée se passa dans la bonne humeur et les discussion allaient de bon cœur,
jusque tard dans la nuit.
+++Fin du Flash Back+++
S : … et ensuite nous nous sommes retrouvés le lendemain pour les cadeaux. Il est vrai que je
passe beaucoup de temps avec eux.
E : Et tu ne vois plus tes autres amis du lycée ? Carol Rachel et Nathan ?
S : Nous avons chacun notre vie, et même si c’est regrettable, nous habitons loin les uns et des
autres, et nous n’avons pas beaucoup de temps libre. (changeant de sujet) Tu sais quand John
rentre ?
E : Il est de garde, mais tu peux aller le voir à l’hôpital je pense.
++++++++++++++++++++
les ambulances arrivaient et repartaient du Cook County Hospital. Sam marchait sous le froid
et dans la neige. Elle entra par la porte principale.
Elle alla à l’accueil et c’est là qu’un homme d’environ quarante ans assez corpulent se dirigea
vers elle.
? : Je peux vous aider ?
S : Je cherche le Docteur Carter, il est occupé ?
? : Attendez je vais voir. (demandant à une infirmière) Abby, il est libre Carter ?
A : Oui, Jerry il est avec un patient, mais il devrait avoir fini, pourquoi ?
Je : Cette jeune femme voudrait le voir.
A s’approchant de Sam) : Bonjour, je suis Abby Locklart.
S : Vous êtes l’amie de John ? (oui je sai sils sont plus ensemble mais moi je dis que oui lol) Il
m’a parlé de vous. Je suis Sam Carter sa cousine.
A (Lui souriant) : Enchantée de vous connaître, Carter (se rattrpant) John devrait arriver, je
vais lui dire que vous êtes là.
S : merci.
Elle attendit quelques minutes et son cousin arriva.
Jo (souriant) : Sam comment vas tu ?
S :Bien et toi ?
Jo : Oh, toujours le boulot, je prends ma pause, j’arrive.
Il revint quelques secondes plus tard et ils allèrent s’asseoir sur deux fauteuils.
Jo : Alors, qu’est-ce qui t’amène à Chicago ?
S : Oh, c’est une longue histoire, je suis venue voir grand mère.
Jo : Oh, je vois, alors ça va, tu tiens le coup ?
S : Oh oui ça va, je m’en sors.
Jo : C’est bien pour toi, comment ce sont passé tes fêtes ?
S : Très bien, je les ai passé à Colorado Springs avec mes amis et ma… fille, enfin entre
guillemets.
Jo : Cassandra c’est ça ? Il faudra qu’on te rende visite un de ces jours et que tu nous la
présente. Et sinon aucun homme dans ta vie ?
S : Pas pour le moment.
Jo : Tu trouveras j’en suis sûr. Ca te dis d’aller manger un bout ?
S (souriant) : OK.
Ils sortirent de l’hôpital et se dirigèrent vers le Doc Magoo, qui faisait face à l’hôpital
++++++++++++++++++++++++++++++++
Ils mangeaient en parlant de choses et d’autres, lorsque le portable de Sam sonna
Jo : je croyais que tu étais en vacances
S (voyant le nom de Jack sur l’écran) : Oui, moi aussi
Puis, elle décrocha :
S (sur un ton très officiel) : Carter j’écoute
J : Bonjour Carter, ici O’Neill
S : Bonjour mon Général
J : Voilà, je vous rassure tout de suite, je ne compte pas interrompre vos vacances avec un
problème quelconque à la base
S (souriant) : Ca me rassure un peu mon Général
J : Vos vacances se passent bien ?
S : Oui, je suis arrivée hier à Chicago j’ai revu quelques membres de ma famille, là je suis
avec mon cousin
J : Oh alors je vous dérange, je vous rappellerai si vous voulez
S : Non allez y mon Général, vous ne me dérangez pas du tout
Voilà euh… j’ai aussi de la famille à Chicago, et je compte aller la voir dans la semaine…
croyez-vous que je puisse vous inviter à dîner un soir ?
Sam osurit, c’était une invitation amicale ou un rendez vous galant ? De toutes façons, elle
avait envie de le voir, elle pourrait peut être lui parler de la photo.
S : Avec plaisir mon Général.
J : Jeudi, cela vous conviendrez ?
S : Oui bien sur.
J : Je pourrais venir vous chercher vers 19h30.
S : Avec plaisir, je vais vous donner l’adresse de chez ma grand mère, là où je suis.
J : Euh… oui je prends de quoi noter.
Sam attendit quelques secondes, et lui donna l’adresse de sa grand mère.
J : Bien, alors je vous dis à Jeudi Carter. 19h30.
S : Oui, sans aucun problèmes, bon séjour mon Général, et si vous voyez Daniel avant de
partir saluez-le pour moi.
J : Il est parti en Egympte dimanche soir, alors je ne risque pas de le voir.
S : Et T.. Murray ?
J : Euh.. il est retourné sur Chula’K pour retrouver Rya’C.
S : Ah d’accord, bon et bien à Jeudi mon Général.
J : Bon séjour à vous Carter, au revoir.
S : Au revoir.
Puis, elle raccrocha et remit le téléphone dans sa poche.
Jo (curieux) : Qui était-ce ? Ton supérieur ?
S (plaisantant) Je t’en pose des questions ? Oui, c’était mon supérieur, il passe dans la
semaine en ville pour voir sa famille, on va dîner ensemble Jeudi soir.
Jo : C’est un rendez-vous galant ?
S : Je ne sais pas.
Jo : Tu aimerais ?
S (malicieuse) : Peut être….
John sourit, puis ils continuèrent à manger. John rentra à l’hôpital pour reprendre sa garde, et
Sam rentra chez sa grand mère pour y passer le reste de la soirée à lire divers livres qu’elle
avait dégotté dans la bibliothèque.
+++++++++++++++++++++++++
Elle était justement en train de lire dans son lit, un des nouveaux livres que sa grand mère
venait d’acheter. Jamais elle n’avait que sa grand mère pouvait lire des choses comme celle là.
Elisabeth Carter lui avait en fait la confidence que c’était pour la fille de Marc qui était âgée
de 15ans.
Le titre du livre : « Le journal intime de Georgia Nicolson : Mon nez mon chat l’amour et
moi… »
Les quatre autres tomes étaient posés sur la table de nuit de Sam, avec un réveil, un téléphone,
la lampe de chevet et un cadre avec une photo de Sg1 à l’époque où Jack partait encore avec
eux en mission, ce qui était à présent très rare.
Sam lut un passage du livre qu’elle avait posé sur ses genoux, la couverture sur ses jambes,
vêtue d’un sweet gris et d’un jean délavé.
Dans ma vie il y a trucs graves de chez graves :
1. Ma petite sœur Libby qui a trois ans a peut être fait pipi quelque part dans ma
chambre.
2. Dans 11 jours c’est la fin des grandes vacances et le retour au Starlat 14 pour
retrouver la Mére Fil de Fer et sa bandes de « profs » sadiques.
3. J’ai un bouton style juste sous la peau, qui c’est bien décider à ne pas sortir et qui va
squatter l’emplacement au moins deux ans.
4. Le bouton est sur mon nez.
5. Je suis très laide et je mériterais de vivre dans un hospice pour laids.
6. Je suis allée à une fête déguisée en Olive Fourrée.
Sam sourit, cela lui faisait pensez à sa propre adolescente. Elle avait écrit un peu prés le
smêmes choses dans sons journal intime à l’âge de 15 ans. Elle comprenait pourquoi ces
livres plaisait à Emilie (tu m’étonnes c’est culte).
Elle continua sa lecture, elle arriva vers la fin du livre.
Avec les filles on a fait une échelle sur les choses que l’on fait avec les garçons.
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Main tenue
Prise dans les bras
Baiser en se quittant le soir.
baiser qui dure plus de trois minutes sans retenir sa respiration.
Baiser bouche entrouverte
baiser avec la langue
activités au dessus de la taille en extérieur.
8. activités au dessus de la taille en intérieur (au lit).
9. activités en dessous de la taille
10. la totale.
Alors selon cette échelle, où Sam était allée avec Jack ? Au niveau 2 à peine…
Elle continua sa lecture. Elle arriva à un passage qui la fit mourir de rire, elle le relit encore
une fois.
Je décidai de me faire une mèche blonde à l’eau oxygénée que j’ai trouvé dans la bouteille à
pharmacie de Mutti. J’en mets, ça me pique le crâne, mais ça doit être bon signe.
Oh non ! La mèche est orange ! J’en remets !
Et la elle à virée jaune vif ! Je ressemble à un canari.
J’en ai rmeit, cette fois la mèches a virer blanc….
[…]
C’est alors qu’il a vu ma mèche.
Il avait l’air vachement impressioné.
« Georgia, t’as un truc blanc dans les cheveux. »
« Ca te plaît ? ».
« Ecoute, je crois… que je ferais mieux d’y aller. »
Alors avant qu’il parte, j’ai voulu lui montrer une dernière fois comment j’étais mure pour
une femme d emon âge.
Alors j’ai rejeté la tête en arrière et passé ma main dans les cheveux comme dans les films.
Erreur fatale.
La mêchs s’est détaché de mon crâne ! J’étais là comme une bête avec ce truc dans la main.
Robbie m’a regardé, il a regardé la mèche et à échlater de rire.
Et l’a il m’a embrassé ! Un petit enchaînement de niveau six. J’ai jeter la mèche sur le
canapé, Angus mon chat à sauter dessus croyant que c’était un hamster où un truc de ce
genre.
Sam sourit à la relecture de ce passage. Décidément, quelle idée de se faire une mèche à l’eau
oxygénbée !
C’est alors que osn téléphone posé sur la table sonna. Elle y répondit.
S : Allô ?
? : Bonjour Sam, c’est Daniel.
S : Daniel ! Ca me fait plaisir de t’avoir ! Alors s’est comment l’Egypte ?
D (surpris) : Comment sais-tu que je suis en Egypte ?
S : C’est J… le Général qui me l’a dit.
D : Ah je vois. Alors comment se passe tes vacances ?
S : Bien, je suis à Chicago dans ma famille.
D : C’est chouette, quel temps fait-il ?
S : Froid, il a neigé aujourd’hui.
D : Qu’est-ce que je donnerai pour avoir de la neige ! On meurt de chaud ici !
S : Que fais tu en Egypte ?
D : Oh, rien de passionnant je suis sur un chantier archéologique, un ami m’a appelé, ils
avaient besoin d emes compétences linguistique. Et sinon toi quoi de neuf ? Jack t’a appelé tu
m’as dit ?
S : Euh… oui.
D : Et alors ?
S : Alors quoi ?
D : Qu’a-t-il dit ?
S : Ca ne te regarde pas
D : Sam… bon, je ne vais pas insister. Tu n’as pas l’air décidée à en parler. Tu as des
nouvelles de Teal’C ?
S : Le général m’a dit qu’il était sur Chula’K avec Rya’C.
D : Je m’en serai douter. Bon, il faut que je te laisse, je n’ai presque plus de temps, ça coûte
cher d’appeler les Etats Unis d’ici.
S : Oui, je comprends, bonne vacances alors, ç Lundi prochain.
D : oui, merci, toi aussi à Lundi.
Puis, elle raccrocha. Sam reprit sa lecture, et enchaîna avec le deuxième tome.
+++++++++++++++++++++++++++++
Le calendrier de la cuisine de la maison de sa grand mère indiquait la date : le Jeudi 23
Janvier. Et l’horloge indiquait 14h00. Ces trois derniers jours, Sam n’avait pas fait grand
chose, elle avait passé son temps à lire, à avancer son travail un peu, à sortir dans Chicago
pour faire les boutique, et a penser à Jack et à leur dîner. Elle avait pensé toutes ses journées à
la manière dont elle allait lui parler de la photo. Car elle voulait lui en parler. Cela le ferait
peut être réagir. Quoi qu’il l’avait invité à dîner, c’était peut être à lle de prendre des risque
cette fois.
Elle buvait un café à cet instant, à la table de la grande cuisine. Elle portait un gros pull noir et
un jean bleu avec des grosses pantoufles aux pieds.
Elle lisait « Les liaisons dangereuses » qu’elle avait déjà lues et relues elle ne savait combien
de fois.
Elle avait surtout l’esprit ailleurs. Elle pensait encore une fois à Jack. Pour changer. Elle
devait agir ce soir, elle le voulait, et allait le faire, quitte à se prendre… et bien quitte à ce
qu’il lui réponde non, au moins elle l’aura fait.
Elle allait suivre le conseils de Daniel et de sa mère. Elle sait qu’elle n’aurait rien sans rien. Il
fallait qu’elle se sacrifie, au moins une fois dans sa vie qu’elle fasse passer ses sentiments
avant tout le reste, avant sa carrière, avant leur amitié, qui lui était pourtant chère. Que
pouvait elle perdre ? Plein de choses, mais elle pouvait en gagner des plus belles encore. Tout
ce dont elle avait toujours rêvé.
Elle avait 36 ans, bientôt 37, elle ne se voyait pas faire des enfants à 40 ans avec un père qui
n’était pas l’homme qu’elle aimait depuis neuf ans maintenant.
Elle réfléchis à leur relation depuis le début.
Leur première rencontre avait été explosive, avec des joutes verbales charmantes, Sam sourit
en repensant à cela.
La deuxième année, elle s’était rendu compte qu’elle éprouvait une attirance en vers lui, mais
se résignait à vouloir y croire.
Puis, il y avait eu cette histoire de double, avec le miroir quantique. Quand elle avait vu Jack
embrasser son double, cela lui avait fait mal, mais elle refusait encore de se l’avouer.
La quatrième année, il y a eu le passage avec les bracelets Tok’Ras. Elle se souvint alors
quand il était derrière le bouclier. Elle lui avait supplié de partir. Mais il avait refusé et là tout
avait été clair, elle l’aimait.
Puis, il y a eu le test Zatar’c, et là, elle s’était avoué ses sentiments pour lui. Et elle avait
appris qu’il ressentait la même chose.
Puis, il y a eu ensuite, mais plus tard, la mort de Daniel, une épreuve qu’ils avaient surmontés
ensemble.
Et cette histoire de virus avec Ayiana, et l’implantation qu’il avait voulu refuser mais elle
avait supplié d’accepter pour vivre, elle ne se voyait pas continuer à vivre sans lui à ce
moment. Et même encore aujourd’hui.
Puis, il y a eu sa disparition avec Maybourne, pendant un mois, elle avait tout essayer, et avait
même perdu espoir, elle avait tellement souffert ce mois là…
Puis ensuite, elle avait rencontré Pete, mais étrangement, alors qu’elle tombait amoureuse du
policier, ses sentiments envers Jack n’avait pas changer. Elle qui croyait qu’il était impossible
d’aimer deux personnes à la fois, elle avait l’expérience du contraire.
Et elle avait appris qu’il avait Kerry dans sa vie, alors qu’elle s’apprêtait à lui révéler ses
sentiments, cela lui avait fait mal, même si elle ne se l’était pas avouer.
Puis la mort de son père, un pincement se fit sentir dans sa poitrine à cette pensée. Elle avait
rompu avec Pete, et Jack lui avait révélé qu’il n’était plus avec Kerry.
Et voilà, il y a cinq jours, elle avait découvert cette photo, et il y avait eu l’épisode des réalité
parallèles où pour changer, leurs doubles étaient ensemble.
Alors voilà, ce soir elle allait tout lui dire, c’était décidé, sa décision, ferme et définitive, et
elle ne reculerait pas au dernier moment comme il y a quatre mois lorsqu’elle avait trouvé
Kerry chez Jack.
Ce soir tout allait changer pour eux, et elle espérait que cela serait dans le bon sens.
++++++++++++++++++++++++++++++++++
On sonna à la porte. Sam demanda au Maître d’hôtel de lui laisser ouvrir la porte, il avait
acquiescé d’un hochement de tête.
Sam ouvrit alors la porte
++++++++++++++++++++++++++
Jack arrêta sa voiture devant l’adresse que lui avait indiqué Sam, c’était une grande maison un
peu en retrait du centre ville. La neige avait recouvert le jaridn de son manteau blanc, mais il
faisait nuit, et le jardin était éclairé par des lampadaires qui diffusaient une lumière blanche
diffuse.
Jack ferma sa voiture et monta les marches qui menaient à la porte. Il arrivant devant cette
dernière. Elle était grande, très haute, noire, et semblait lourde. Il appuya sur la sonnette, et
inspira un coup. La porte s’ouvrit alors, et il la vit.
Elle ne portait pas une robe de soirée, et il s’y attendait vu les basses températures qu’il faisait
en ce soir de Janvier.
Elle portait un pantalon noir assez élégant et un chemisier rouge. Elle s’était légèrenemnt
maquillé et portait des boucles d’oreilles pendantes assorties à son chemisier. Ses cheveux
blonds frisant légèrement, ils avaient un peu poussé depuis le temps.
S (souriant) : Bonsoir mon Général.
J : Carter… vous êtes ravissante.
S : Merci mon général.
J : Ce soir on est entre nous Carter, alors arrêtez les « mon Général. »
S (souriant) : Si vous arrêtez les « Carter. »
J (idem) : Marché conclu Sam.
S : Je prends mon manteau et j’arrive.
J : Bien, je vous attends.
++++++++++++++++++++++++++++++
Quelques minutes plus tard, ils arrivent au restaurant. C’était un endroit tranquille. Ils
entrèrent alors.
J : Nous avons une réservation au nom de O’Neill.
?: Oui, je vous emmène à votre table, suivez-moi.
Ils suivirent le serveur. Ils entrèrent dans une grande salle, éclairée simplement de bougies et
de faibles lumière. Jack et Sam s’installèrent à une table de deux, face à face. Au milieu un
bouquet de fleurs blanches entre deux grandes bougies rouges.
S (une fois le serveur parti) : Cet endroit est magnifique. Vous avez très bien choisi.
J : Merci.
Ils commandèrent leur repas, et attendirent alors.
J : Alors, comment allez-vous ?
S : Bien, je traverse encore quelques périodes difficiles, mais tout va bien.
J : Je sais ce que c’est. Et votre famille va bien ?
S : Oui, elle aussi. Et la votre ?
J : Bien, oui très bien aussi, alors que faîtes vous de vos journée ?
S : Je me ballade dans Chicago, mais je lis beaucoup aussi, ma grand mère a une très grand
bibliothèque.
J (souriant) : Vu la taille de sa maison cela ne m’étonne pas.
S : C’est vrai.
Elle voulait lui parler de la photo, mais ne savez pas trop comment aborder le sujet, elle
l’avait dans son sac, elle ne sait pourquoi elle l’avait toujours avec elle, comme s’ils avaient
pu s’agir d’une photo de Jack et elle. Ce qui aurait pu être le cas, vu la ressemblance.
S : Avant de partir, j’ai fait le nettoyage chez moi, je me suis replongé dans des vieux
souvenirs quand je me suis attaqué au grenier, ça fait toujours étrange de retrouver des choses
de son enfance.
J : Moi, la maison de mes parents et remplis de souvenirs, ils gardent tout, c’est affolent.
S : Vous avez encore vos grands parents ?
J : Seulement mon grand père paternel. Il porte le même nom que moi, comme quoi…
Il s’agissait donc du Jonathan de la photo, dont sa grand mère était tombé amoureuse.
S : Moi il ne me reste que ma graand mère maternelle. Voilà, écoutez je sais que ce dont je
vais vous parler ne nous concerne pas directement, mais ces derniers temps, des tas de choses
vont dans ce sens, et je crois que je vais les suivre.
J : De quoi s’agit-il ?
S : Voilà, l’autre jour en fouillant dans le grenier j’ai trouvé ceci.
Elle sortit la photo de son sac et la tendit à Jack qui la prit. Il la regarda et releva des yeux
étonné vers Sam.
S : J’ai demandé à ma grand mère, car je savais que c’était elle sur la photo, elle m’a dit que
c’était un homme dont elle était tombée amoureuse dans sa jeunesse, il s’appelait Jonathan
O’Neill.
J : C’est mon grand père.
S : C’est ce que j’en ai conclut.
J : Et bah… encore un truc qui vient s’ajoute,r après les réalités parallèles…
Alors il pensait comme elle. Il pensait aussi que cela faisait beaucoup de choses qui les
poussaient à être ensemble.
Il lui redonna la photo qu’elle remit dans son sac, puis, il inspira profondément et lui dit :
J : J’ai bien réfléchit, a tout cela, et à ce que m’a dit Kerry, sur le fait qu’il fallait que je
sacrifie certaines choses dans ma vie pour un peu être heureux.
S : Daniel m’a dit exactement la même chose, et j’ai bien réfléchis, je suis prête à faire des
sacrifice.
J : Il y a un moyen, c’est que je prenne le commandement de la base en temps que civil.
S : Croyez vous que le Président vous l’accordera ?
J : Je ne sais pas.
S : Sinon, je peux prendre ma retraite militaire et devenir juste le Docteur Carter.
J : Je pense que mon sacrifice serait moins problématique, je pourrais toujours diriger la base,
et vous vous pourrez continuer à diriger Sg1, car si vous prenez votre retraite, vous ne pourrez
plus le faire.
S : Je n’avais pas penser à cela.
J : Je ne veux pas que l’on demande de dérogation, c’est beaucoup trop long, et nous ne
sommes pas sûrs que cela nous soit acceptée.
S : Nous sommes d’accord sur ce point alors.
J : Je téléphonerai au Président dés demain matin, pour lui demander si je peux diriger la base
en temps que civil. Mais je veux profiter de la soirée avec… toi.
Elle lui sourit. Il posa sa mail sur la sienne. Puis, ils continuèrent le repas en parlant de choses
et d’autres.
Ils étaient passé en une soirée du stade : « Mon général/Carter » au « Vous » et au
« Tu/Sam/Jack ».
Et sans grandes effusions, les mots « je t’aime » n’avaient pas été prononcés, mais leur temps
viendrait…
++++++++++++++++++++++++++++++++
Ils étaient devant la chambre d’hôtel de Jack. La soirée c’était très bien passé.
Ils étaient là, main dans la main.
J : Tu veux entrer boire un dernier verre ?
S : Tu ne penses pas que ça va trop vite ?
J : Si tu le penses, alors je respecte ton choix.
S : Je… j’en ai envie mais…
J : Ce n’est pas grave Sam.
Elle releva la tête, et elle s’approcha de Jack. Leur visage se rapprochèrent et ils échangèrent
un long baiser.
Puis, Sam lui dit bonne nuit. Ils s’embrassèrent une dernière fois, et la jeune femme regagna
la maison de sa grand mère, le cœur léger.
++++++++++++++++++++++++++++++++
jack fut réveillé le lendemain matin par une personne qui frappait à sa porte. Il était dans son
lit, en caleçon et T-Shirt.
Il avait passé une très bonne nuit, était heureux que Sam et lui furent enfin ensemble.
Il se leva et se dirigea vers la porte pour l’ouvrir. Il trouva Sam vêtue d’un jean noir et d’un
pull blanc, abec un manteau beige et à la main, une poche provenant d’une boulangerie.
S (souriant) : Bonjour.
J : Bonjour, désolé, je ne suis pas très bien réveillé.
S : Ce n’est pas grave.
J : Vas y entre.
Sam pénétra dans la chambre de Jack et il referma la porte derrière elle.
S : J’ai apporté les croissants.
J (s’approchant d’elle) : J’ai vu ça.
Il lui prit la poche, la posa sur la table prés d’eux. Puis, il se retourna vers elle et la prit par la
taille pour l’attirer contre lui. Ils échangèrent un long baiser, avant de ce séparer.
S : Tu as bien dormi ?
J : A merveille et toi ?
S : Oui, moi aussi.
J : Je vais commandé le reste du petit déjeuner, ça te dis de le prendre ici ?
S (souriant) : Avec plaisir.
Jack commanda au room service le petit déjeuner, qu’on leurs apporta. Le coupe s’installa à la
table de la chambre de Jack.
Sam regardait Jack manger. Elle avait déjà déjeuner, ne prenant donc qu’un café et l’un des
croissants qu’elle avait amené.
S : Tu vas appeler le Président aujourd’hui ? (Bah oui, bien sur, tout le monde demande ça à
son mec au p’ti dej).
J : Oui, dés que j’aurai fini de déjeuner, je le ferai.
Sam sourit. Sous la table, elle sentit le pied de Jack entrer en contact avec sa jambe.
Elle sourit. Lui aussi.
++++++++++++++++++++++++
Le petit déjuener fini, Jack avait alors appelé le Président.
J : Bonjour Mr le Président, ici le Général O’Neill.
H : Bonjour Général, mais vous n’êtes pas en vacances ?
J : Si Mr le Président, mais je vous appelle pour vous demander quelque chose.
H : Je vous écoute.
J : Alors voilà…
Sam écoutait son compagnon parler au téléphone, assise sur le lit. Le coup de fil dura environ
dix minutes, Jack lui expliqua la situation, il répondit aux question du président Hayes… Puis,
il raccrocha et posa son portable sur la table.
S : Alors ?
Jack vint s’asseoir prés d’elle sur le lit.
J : C’est d’accord, il a accepté.
Sam lui sourit et l’attira contre elle, et leurs lèvres se rencontrèrent.
Ils allaient pouvoir être enfin heureux…
Et Sam qui la veille voulait attendre, fut la première a enlever le premier vêtements, qui fut
vite suivit par les autres.
+++++++++++++++++++++++++++++
Une heure et demie plus tard, le réveil indiquait treize heure. Jack dormait encore, Sam elle
venait de se réveiller.
C’est à cet instant que l’on frappa à la porte. Mais Jack ne se réveilla pas. Sam hésita, puis,
elle revêtit son jean noir et son débardeur rouge et alla ouvrir la porte.
Elle trouva sur le seuil deux hommes et une femme ayant un léger air de famille avec Jack. Ils
regardèrent tous Sam avec de grands yeux. Puis, le premier demanda alors :
? : Euh… c’est bien la chambre de Jack O’Neill ?
S : Oui, mais il dort encore.
?: Oh, et vous êtes ?
S : Sam, je suis l’amie de Jack.
La femme (à l’in des deux hommes) : Jack ne nous avez pas dit qu’il avait quelqu’un.
1er : Je suis Nathan O’Neill, et voici Robeen et Tom O’Neill. Nous sommes les frères et sœurs
de Jack.
C’est à cet instant que ce dernier arriva derrière Sam vêtu d’un T-Shirt et d’un jean.
J : Salut vous tous.
R : Salut Jack, comment ça va ?
J : Bien merci.
N : On peut entrer ?
J : Euh… oui, bien sur.
Ils pénétrèrent tous les trois dans la chambre de Jack.
R : Tu ne nous avez pas dis que tu avais quelqu’un Jack.
J : Sam et moi ne sommes ensemble que depuis hier soir, disons que c’est une longue histoire.
T : Mai son a toute l’après midi pour toi.
J : Euh… Sam tu veux qu’ils sachent ?
S : Ce sont tes frères et sœurs, ils peuvent, et puis notre histoire n’est pas une honte.
J : Non au contraire, bon asseyez vous, on va vous raconter…
++++++++++++++++++++++++++++++
Quelques minutes plus tard, ils sont tous autour d’un café.
R : Alors vous vous connaissez depuis neuf ans.
J : Oui.
T : Mais vous êtes ensemble que depuis hier soir.
J : C’est ça. Disons que Sam est aussi militaire et que le règlement nous a empêché d’être
ensemble toutes ces années.
N : Et qu’est-ce qui vous a poussé à être ensemble ?
J : L’accumulations de choses, et le temps je crois.
N (a Sam) : Vous l’aimez vraiment ?
S : Plus que tout au monde.
Jack sourit et lui prit la main.
R : C’est beau un amour comme ça, c’est si rare… mais Sam.. je peux vous appelez Sam ?
S : Oui, bien, sûr.
R : OK, et bien, votre visage me dit quelque chose… j’ai l’impression de vous avoir vu sur les
vieille photo de notre grand père, vous ressemblait à son premier grand amour.
S (souriant) : C’était ma grand mère, à qui je ressemble beaucoup.
R : Quelle coïncidences.
S : Oui, c’est vrai.
N : Et pour le règlement comment avez vous fait ?
J : J’ai donné ma démission, je dirigerai la base où nous travaillons en temps que civil, Sam
voulait prendre sa retraite militair,e mais nous avons tous les deux conclut, que la première
solution était la moins problématique.
T : C’est chouette que tu es quelqu’un, ça faisait longtemps.
J : Tu oublie Kerry.
R : Oui enfin Kerry…
J : Quoi Kerry ?
R (innocemment) : Non rien…
Le reste de la journée, ils le passèrent à discuter gaiement, et Sam en appris plus sur Jack.
+++++++++++++++++++++++++++++
c’était le lendemain soir, le samedi. Et Sam voulait présenter Jack à sa gran dmère. Ils étaient
devant la maison de cette dernière. Jack angoissait un peu.
S : Ne t’inquiète pas, elle n’est pas maniérée, un peu, mais tu n’as pas besoin de sortir le
grand jeu.
J : Ouais, bon, allons y qu’on en finisse.
Sam lui sourit et ils sortirent de la voiture et montèrent les marches qui menaient à la porte.
Sam la poussa et il furent accueillis par John.
Jo : Sam ! Salut, comment tu vas ?
S : Bien John merci, je te présente Jack O’Neill, Jack voici mon cousin, John Carter.
J (lui serrant la main que John lui tendait) : Ravi de vous connaître.
John (souriant) : Moi d emême. Non, il faut que j’y aille, j’ai une garde à prendre, on se
reverra avant que tu partes ?
S : Notre avion est à 14h00 demain.
Jo : Ah, alors je te dis au revoir, et reviens vite nous voir.
S : Abby et toi pouvez venir aussi.
Jo : Oui, on t’appelleras, aurevoir.
Puis, il prit son manteau et sortit. Cette à cet instant qu’Elisaebth Carter arriva. Elle vit sa
petite fille, main dans la main avec un homme. Il ressemblait traits pour traits à Jonathan, avec
bien entendu quelques années de plus.
E (s’avançant) : Bonsoir.
S : Grand mère, bonsoir.
Elle tira Jack par la main, et ils rejoignirent Elisabeth Carter.
S : Grand mère, je te présente Jack O’Neill mon ami, Jack, voici ma grand mère, Elisabeth
Carter.
J : Je suis ravie de faire votre connaissance Madame Carter.
E : Moi de même Monsieur O’Neill, vous ressemblez beaucoup à votre grand père.
Jack regarda Sam mais ne dit rien.
E : Bien, allons dans le salon, nous y serons mieux pour discuter.
Ils se dirigèrent vers le salon, Sam et Jack prirent place tous les deux, prés l’un de l’autre,
dans le canapé, et Mme Carter dans l’un des fauteuils en face d’eux.
E : Alors Mr O’Neill, parlez moi de vous.
J : Euh… et bien.. je vais commencer par le commencement, je suis le Général Jonathan
O’Neill, je dirige la base où Sam travalle également. J’ai déjà été marié, mais ma femme et
moi avons divorcé après la port d emon fils Charly.
E : Je suis désolée.
J : Il ne faut pas…
E : Et combien d’années avez vous d’écart avec Samantha ?
S : Grand mère !
E : Vous avez une différence d’âge, je veux savoir la quelle.
J : neuf ans.
E : Je ne vous critique pas, c’est a peut prés ce que j’avais avec votre rand père. A ce propos,
comment va-t-il ?
J : Il va très bien, il vit à Chicago également.
E : Cela me ferais vraiment plaisir de le revoir.
J : Je lui en parlerai volontiers.
E : Bien, je vais vous laisser seuls un instant.
Elle partit. Sam se blottit dans les bras de Jack qui la serra contre lui.
Tant de choses les avaient rapprochés toutess ces années, et enfin ils étaient heureux
ensemble. La vie s’offrait à eux, et ils allaient la passer ensemble, ils ne savaient pas ce
qu’elle leur réserverait, mais ils verraient bien…
The End.
Voilà, je sais, c’est assez court, et je ne me suis pas attardé sur l’après, c’est un joli Happy
End non ?
Il est vrai que j’écris moins de fils maintenant sur Sam et Jack et sur Sg1, car je me concentre
plus sur mes fictions sur Atlantis et sur mes Crossovers. Mais je ne suis pas prête de
m’arrêter. J’en ai deux en trian d’écriture « Love or not Love » et « Confidence In Spite
Them », alors vous voyez ce n’est pas fini.
J’attends vox commentaires sur cette fiction, [email protected] et je cherche des gens
pour correspondre, alors vous pouvez m’écrire plutôt a cette adresse qui est mon mail
personnel : [email protected]
Voilà, merci à Gabi, Sganzy et Laure.
A bientôt
Biz
Samara.
Achevée le 17 Juillet 2005 Marans «’17)