Pierre MOLINIER Dessins et photographies

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Pierre MOLINIER Dessins et photographies
Dossier de presse
Pierre MOLINIER
Dessins et photographies
Exposition au musée de l’Hospice Saint-Roch
à Issoudun
Du 28 septembre au 29 décembre 2013
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Rue de l’Hospice Saint-Roch – B.P. 150 – F. 36105 Issoudun cedex
Tél : 02.54.21.01.76 – Fax : 02.54.21.88.56 – e-mail : [email protected]
Communiqué de presse
Pierre MOLINIER – Dessins et Photographies
Du 28 septembre au 29 décembre 2013
INAUGURATION le vendredi 27 septembre à 18h
En présence de Jean-Luc Mercié, Président du Comité Molinier
Pierre Molinier (1900-1976) est peintre en bâtiment, à la tête d’une petite entreprise artisanale. Mais le dimanche
depuis vingt-cinq ans, il pratique la vraie peinture, avec palette et chevalet sur le motif.
Il est né avec le siècle et en 1955, par souci de reproduire ses tableaux, il s’initie à la photographie. On assiste
alors à une double naissance : celle de l’artiste à l’image argentique, celle du photographe au travestissement. Les
deux tendances se renforcent : la photo encourage le narcissisme et pousse au travestissement. Le
travestissement incite aux progrès photographiques.
L’ambition de cette exposition est de retracer l’itinéraire créatif de Molinier qui va du plus simple au plus
sophistiqué, de l’autoportrait expérimental de 1955 à l’apothéose de Grande Mêlée. Ici, chaque tirage marque un
jalon de cette trajectoire esthétique. Car cet autodidacte qui vécut à Bordeaux dans une pièce unique de 25 m² va
réinventer tous les procédés de la photographie et imposer au monde ses canons personnels.
L’exposition présente un ensemble de 60 tirages photographiques et collages-montages, 23 dessins à la mine de
plomb, ainsi que les livres issus de la bibliothèque du photographe.
Cette exposition a été réalisée à l’occasion de la coproduction par l’EPCC/BIP-TV du documentaire de création
« Les jambes de Saint-Pierre » de Dominique Roland, Marmitafilms 2013.
Pierre MOLINIER / Biographie
Pierre Molinier naît un vendredi 13 avril 1900 à Agen. Il étudie dans une institution religieuse mais, déjà, se
passionne pour le dessin et la peinture. Ses premiers paysages sont ceux des vallées du Lot-et-Garonne.
En 1919, il s’établit à Bordeaux comme artisan peintre, à l’instar de son père. Après son service militaire, il
découvre « les œuvres des maîtres » dans les musées parisiens mais préfère reprendre ses « expériences sur
nature. »
Membre fondateur en 1928 de la Société des Artistes indépendants bordelais, il défend un art « sans contrainte ni
restriction ». Dès lors, il expose à Bordeaux.
En 1936, à la suite de la visite d’émissaires du dalaï-lama, sa peinture s’oriente vers l’ésotérisme, puis vers la
peinture « magique. »
En 1950, il érige sa « tombe prématurée » et se photographie en gisant, manifestant ainsi sa mort
« à toutes les conventions possibles et imaginables. »
Après le scandale, en 1951, à Bordeaux, de la présentation de son premier tableau érotique, Le Grand Combat,
Molinier se lie d’amitié avec André Breton.
En 1956, il expose à Paris, à la galerie l’Étoile scellée, dix-huit peintures dont Comtesse Midralgar. Le catalogue est
préfacé par Breton.
Il participe aux manifestations du groupe surréaliste et, en 1960, fait ses premiers essais photographiques de
photomontages dans lesquels il réunit, à partir de photographies d’éléments travestis et découpés de son propre
corps, les genres masculins et féminins.
En 1962, Raymond Borde lui consacre un film (Molinier, 21 mn).
Molinier réalise en 1965 la peinture blasphématoire Oh !... Marie, Mère de Dieu.
Dans les années 1966-1967, il prépare un ouvrage sur ses peintures (publié chez Pauvert en 1969) et le recueil de
montages photographiques Le Chaman et ses Créatures, dans lequel apparaissent les visages de deux de ses
inspiratrices, Emmanuelle Arsan et Hanel Koeck, « déesse de l’érotisme ». Il Travaille à la série L’Œuvre, le peintre
et son fétiche.
Vers 1968, il crée La Grande Mêlée, apothéose de ses photomontages, destinés au Chaman et ses Créatures dont
la réalisation lui prendra pas moins de cinq ans (l’ouvrage ne sera en fait publié qu’en 1995, à Bordeaux, par
William Blake & Co).
En 1972, Pierre Chaveau réalise un entretien avec Molinier dans la chambre-atelier de la rue des Faussets.
Les dernières rencontres importantes seront, en 1975, celles de Thierry Agullo et Luciano Castelli avec lesquels il
réalise des séries de photographies, puis Peter Gorsen, avec qui il correspond depuis la fin des années 1960,
compagnon de Hanel et auteur d’un texte en 1972 : Pierre Molinier lui-même.
Le 3 mars 1976, Pierre Molinier se donne la mort d’un coup de pistolet.
Liste des œuvres
Toutes les photographies sont des tirages originaux d’époque obtenus par contact du négatif sur le papier sensible.
Molinier n’avait pas d’agrandisseur. Toutes les annotations au dos des épreuves sont de sa main. Toutes les prises de vue
ont été faites par lui à son domicile à Bordeaux entre 1955 et 1976. Le papier qu’il utilise est généralement de l’Agfa
Brovira ou du Kodak Kodura, des papiers mats ivoire doux qui permettent des contrastes violents avec des noirs profonds.
Les titres de Molinier sont en italique, les titres descriptifs en romain.
Photographies, photomontages, collages
1- La Tombe prématurée, 1956, 11 x 8,5.
2- Portrait, tirage négatif, 1930, 13,5 x 9.
3- Photo d’identité, 6,5 x 4,5.
4- Autoportrait travesti, assis, avec loup et voilette, 9,5 x 8,5. Annoté au dos.
5- Autoportrait couché, torse nu, vers 1955, 10 x 7.
6- Autoportrait assis avec éperon d’amour, loup et voilette, années 60, 12,5 x 8,5. Annoté au dos.
7- Autoportrait debout répété quatre fois sur la même épreuve, 13 x 9,5.
8- Autoportrait fétiché debout, une main sur le ventre, l’autre sur la poitrine, 17 x 12. Annoté au dos.
9- Le lit et ses commodités, autoportrait couché face au miroir, tête de poupée et cuisses prenantes, 19 x 14, cachets encrés
au dos.
10- Autoportrait (détail) de la série « Mon cul », 13 x 9. Annoté au dos.
11- Autoportrait (détail) de la série « Mes jambes », 11 x 8,5.
12- Portrait de Monique, vers 1955, 13 x 9.
13- Visage de la poupée, 5,5 x 4. Annoté au dos.
14- Jambes de face, 11,5 x 5,6. Annoté au dos.
15- Jambes de dos, 12 x 4,7. Annoté au dos. (14 et 15 : il s’agit des jambes de la poupée, pas de celles de Molinier…)
16- Jambes sur le lit et main, 12 x 9. Annoté au dos. (Comme dans les photos précédentes, il s’agit de jambes de plâtre et non
de la poupée complète).
17- Poupée avec haut de forme, 24 x 17, cachet encré au dos.
18- A vos outils, 19 x 14,5, cachet encré au dos. Planche 50 du Chaman et ses créatures.
19- Autoportrait photomonté (tête de la poupée posé sur le corps de l’artiste sexagénaire), debout avec éperon d’amour,
16,5 x 9,5. Annoté au dos. Tirage « recto » du négatif.
20- Même autoportrait photomonté en tirage « verso » du négatif, 17,5 x 12,5. Annoté au dos.
21- Vision, photomontage, 12,5 x 9. Annoté au dos. Planche 5 du Chaman et ses créatures. (Le visage de Hanel apparaît entre
les pieds fétichés de l’artiste et son tableau Skin-d’Amourdo, 1965).
22- Pantomime céleste, photomontage, 1967, 17,5 x 12,6. Annoté au dos. Planche 19 du Chaman et ses créatures.
23- Gog et Magog, photomontage composé avec les jambes de Janine, les mains de Jean-Pierre et la tête de la poupée, vers
1965, 17,5 x 12,5. Annoté au dos. Planche 18 du Chaman et ses créatures.
24- Sur le pavois, photomontage composé avec le corps de l’artiste et la tête de la poupée, 17,5 x 13. Annoté au dos. Planche
26 du Chaman et ses créatures.
25- Je suis content, photomontage composé avec un autoportrait de dos de la série « Mon cul », répété inversé avec la tête
de la poupée, 17,5 x 12,5. Annoté au dos. Planche 21 du Chaman et ses créatures. L’épreuve ici ne comporte pas les ajouts à
la plume de l’état définitif.
26- Skindo, photomontage, fin années 60, 23,5 x 17,5, cachets encrés au dos.
27- Hanel nue, photomontage (le visage de l’artiste jeune y remplace celui du modèle), fin années 60, 16 x 9. Annoté au dos.
28- Les Hanels 2, photomontage, fin années 60, 24 x 18, cachets encrés au dos. Planche 34 du Chaman et ses créatures.
29- Féminin pluriel est triste, photomontage (avec les jambes de l’artiste et le visage de Hanel), fin années 60, 19 x 14.
Cachet encré au dos. Planche 32 du Chaman et ses créatures.
30- L’œuvre, le peintre et son fétiche, autoportrait travesti à côté de Oh ! Marie, Mère de Dieu, 18,5 x 14, cachets encrés au
dos.
31- Portrait de Skindo, années 60, 10 x 8. Annoté au dos.
32- Portrait de X (aujourd’hui psychiatre à Bordeaux), années 60, 18 x 12,5, cachets encrés au dos.
33- Portrait d’Emmanuelle Arsan, années 60, 18 x 13. Annoté au dos.
34- Portrait de Luciano Castelli, années 70, 23 x 18,5, cachets encrés au dos. (Il s’agit en fait d’un autoportrait de Castelli
offert à Molinier, puis contretypé et tiré par lui « à sa façon ».
35- Hanel Sechs, collage original, fin années 60.
36- Hanel Sechs, photomontage, 23,5 x 17,5, numéroté sous l’image, cachets encrés au dos. (Il s’agit donc de la
photographie du collage).
37- Introit , collage préparatoire inédit, avant dernier état pour la planche 2 du Chaman et ses créatures, 1967, 17,5 x 12.
38- Introit, photomontage, 1967, 12,5 x 14, cachets encrés au dos. Planche 2 du Chaman et ses créatures.
39- Emmanuelle (Arsan), photomontage, années 60, 8 x 10. Annotation au dos. Planche 49 du Chaman et ses créatures.
40- Hanel, collage préparatoire inédit, fin années 60.
41- Le Chaman, photomontage, 1967, 29,5 x 23,5. Planche 1 du livre éponyme. Seul tirage connu dans ce format qui est celui
du chassis-presse que Molinier a confectionné pour tirer ses contacts.
42 à 45- Michelle Sesquès (surnommée Le Petit Vampire), fin années 60, 17 x 11. Quatre tirages sur deux planches tirées de
l’album personnel de Molinier.
46 et 47- Hanel dans les branches, deux photomontages tirés l’un verso, l’autre recto, et placés en regard dans l’album pour
la symétrie, fin années 60, 12,5 x 8,5.
48 et 49- Emmanuelle allongée, 12,5 x 17 à côté d’un autoportrait de Molinier travesti, 12,5 x 5, sur une p. du même album.
50 et 51- L’œuvre, le peintre et son fétiche, 17 x 13. Même album.
52 à 56- « Mes jambes », 11 x 6 et 11,5 x 8. Les deux photos encadrent une photo de modèle nu. Dans ses albums « secrets »
Molinier mêlent parfois des photos indifférentes de modèles féminins inconnus à ses propres tirages.
57 et 58- Ossipago et Ossipago se cache, photomontages, fin années 60, 21 x 17,5 et 23,5 x 17,5.
On notera que Molinier a retenu pour le Chaman et ses créatures la plus pudique des deux versions, celle avec la main de la
poupée, pour la planche 35 du Chaman et ses créatures.
59- Grande Mêlée, photomontage, années 60, 16,7 x 23, cachet encré au dos.
(Il s’agit du photomontage le plus spectaculaire de Molinier, la planche 54 du Chaman et ses créatures. Ce tirage d’étape est
montré pour la première fois. C’est un état intermédiaire sur fond blanc, avant le travail des caches qui créent des halos de
lumière autour des jambes dans la version finale).
60-Les Jumelles continuent d’être amoureuses, années 60, 24 x 18, photographie du dessin avec au dos cet envoi : « Les
jumelles continuent d’être amoureuses, amitiés de P. Molinier ».
61- La Fleur du Paradis, photographie du tableau de 1955, tirage 24 x 30 des années 60, cachets encrés au dos.
62- La Fleur du Paradis, tirage négatif obtenu grâce au positif précédent (n°61).
Dessins
63- Homme debout, de profil, fusain, années 50, 64 x 43.
64- Suzinella, dessin préparatoire sur papier et calque pour le tableau éponyme de 1960, 70 x 45.
65- L’Angoisse révoltée, dessin, première ébauche sur une page de carnet du tableau de 1962, 12 x 9.
66- Magda, dessin, unique représentation de la « Grande Magda » que Molinier n’a jamais osé photographier. Le Chaman et
ses créatures lui est dédié. 18 x 11.
67- Suzinella, dessin finalisé pour la gravure éponyme, signé par un dessin du cachet de compagnonnage, 24 x 15.
68- Suzinella, eau-forte, 18 x 24, 1972.
69- Joyce Mansour, dessin, première ébauche du portrait de la poétesse. Et le poème manuscrit qui lui est dédié, 12 x 8.
70- Le Grand Combat n°2, unique dessin préparatoire connu du tableau de 1965, signé du cachet dessiné, 26 x 21. Paru dans
Les orphéons magiques en 1979.
71- Nu, dessin, années 50, 33 x 22.
72- Paradis n’est pas perdu, signé du cachet dessiné, 16 x 12. (Ce dessin et les suivants ont été publiés par JLM dans Je suis
né homme-putain, 2005 (encadré)
73- Les seins étoilés n°1, 16 x 11. (Encadré)
74- Les seins étoilés n°2, 16 x 11. (Encadré)
75- Tournesol, 16 x 11 (pour illustrer un poème d’André Breton) (encadré)
76- Couple dansant, 13 x 9. (Encadré)
77- Plume, fleur, suçon, 16 x 10. (Encadré)
78- Figure couchée, 16 x 9. (Encadré)
79- Nu dansant, 16 x 10. (Encadré)
80- Nous sommes le secret, 20 x 13. Paru dans Les orphéons magiques en 1979. (Encadré)
Carnets de notes et de dessins
81 à 88 Huit carnets de divers formats :
Projection vidéo dans la salle
Rushes du documentaire « Les jambes de Saint-Pierre »
Réalisation Dominique Blanc, 2013, Coproduction Marmitafilms et Bip-Tv.
Trois entretiens :
Jean-Philippe Brun et Pierre Chaveau : 15’51’
Jean-Luc Mercié : 18’27’
Pierre MOLINIER – Dessins et Photographies
LE FILM
Les Jambes de saint-Pierre
Un film de Dominique Roland
Couleur, 40’ – 2013
Production : Marmitafilms – Bip TV
www.marmitafilms.fr
www.bip-tv.fr
Synopsis
Pierre Molinier, peintre photographe, est retrouvé mort le 3 mars 1976, à moitié dénudé, tué d’une
balle dans la tête, sur son lit, dans sa chambre, 7 rue des Faussets à Bordeaux.
Le documentaire « Les Jambes de Saint-Pierre » met en lumière la vie de ce personnage énigmatique et
sulfureux, par une série de questionnements sur la dynamique artistiques de Molinier, basée sur des
fétichismes ou Eros est présent et se loge dans l’androgynie, l’indécence et la provocation. Car l’unité de
Molinier résulte d’une étonnante fusion où son œuvre, sa vie, sa mort, se confondent.
Dominique Roland
Diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux, Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, Dominique
Roland est auteur-réalisateur de films documentaires.
Depuis 2002, il dirige le Centre des Arts d’Enghien-les-Bains et a assuré la direction de collection de
trente-cinq ouvrages consacrés à l’Art contemporain, au Cinéma, à la Photographie et à la Création
numérique. Il est aussi fondateur et président du RAN : le réseau des Arts Numériques et directeur
général du Festival international des Arts Numériques « Bains Numériques ».
Projection
 Samedi 19 octobre à 16h au Centre des Congrès – Gratuit
En présence du réalisateur et des producteurs.
Centre des Congrès, av. Max Dormoy, 36100 Issoudun, Renseignements au musée 02 54 21 01 76
Le Musée propose une visite de l’exposition « Pierre Molinier » à 14h30, avant la projection.
PUBLICATION
« Pierre Molinier, Photographies et dessins »,
Edition du Musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun, 2013.
Textes d’André Breton, de Sophie Cazé, Jean-Luc Mercié.
Format 17 x 24 cm. 43 pages, 30 reproductions.
VISITES GUIDEES
 Samedi 28 septembre à 15h, avec Jean-Luc Mercié, Président du Comité Molinier.
 Samedi 19 octobre à 14h30, avec Sophie Cazé, conservateur en chef du musée de l’Hospice Saint-Roch.
Pierre MOLINIER - Dessins et photographies
Du 28 septembre au 29 décembre 2013
Visuels disponibles pour la presse sur demande :
Tambour Major - Emmanuelle Toubiana Tél. : 01 39 53 71 60 - 06 77 12 54 08 [email protected]
Musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun /Anne Grésy-Aveline - Tél. : 02 54 21 25 62 - [email protected]
Mentions obligatoires : Collection privée ©Photographie A.Ricci © Pierre Molinier, ADAGP 2013.
La Tombe prématurée, 1956, 11 x 8,5 cm.
Photo d’identité, 6,5 x 4,5 cm.
Suzinella, dessin au crayon sur papier, 24 x 15 cm.
Hanel dans les branches, 2 photomontages
Tirés l’un verso, l’autre recto, et placés en
regard dans l’album pour la symétrie,
fin années 60, 12,5 x 8,5 cm
Le lit et ses commodités,
Autoportrait couché face au miroir, tête de
poupée et cuisses prenantes,
19 x 14 cm
Grande Mêlée, photomontage, années 60,
16,7 x 23 cm, (il s’agit du photomontage le plus
spectaculaire de Molinier, la planche 54 du Chaman
et ses créatures. Ce tirage d’étape est montré pour
la première fois. C’est un état intermédiaire sur
fond blanc, avant le travail des caches qui créent
des halos de lumière autour des jambe dans la
version finale
L’œuvre, le peintre et son fétiche
Autoportrait travesti à côté de Oh ! Marie, Mère de Dieu,
18,5 x 14 cm.
Informations pratiques
Pierre MOLINIER – Dessins et Photographies
Du 28 septembre au 29 décembre 2013
Exposition au musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun
Rue de l’Hospice Saint-Roch, 36100 Issoudun
Tél. : 02 54 21 01 76
http://musee.issoudun.fr
VISITES GUIDEES & PROJECTION
 Samedi 28 septembre à 15h, avec Jean-Luc Mercié, Président du Comité Molinier.
 Samedi 19 octobre à 14h30, avec Sophie Cazé, conservateur en chef du musée de l’Hospice Saint-Roch.
 Projection au Centre de Congrès à 16h du documentaire : Les jambes de Saint-Pierre. Gratuit.
HORAIRES D’OUVERTURE
Mercredi, jeudi, vendredi de 14h à 18h
Samedi et dimanche: 10h-12h / 14h à 18h
Fermeture : lundi et mardi, 1er et 11 novembre, du 24 au 26 décembre.
Entrée libre et gratuite
Contact presse nationale :
Tambour Major -Emmanuelle Toubiana
Tél. : 01 39 53 71 60
Port. : 06 77 12 54 08
Email : [email protected]
Contact presse régionale et communication :
Musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun :
Anne Grésy-Aveline
Tél. : 02 54 21 25 62
Email : [email protected]
__________________________________________________________________________
Rue de l’Hospice Saint-Roch – B.P. 150 – F. 36105 Issoudun cedex
Tél : 02.54.21.01.76 – Fax : 02.54.21.88.56 – e-mail : [email protected]