Epinal - altir

Transcription

Epinal - altir
Epinal
Santé
a
Sur votre agend
Aujourd’hui
Expositions. ­ « Le Chemin des Images 2014 ». Un parcours
d’art dans la ville d’Epinal né de la rencontre entre 15 artistes et
15 images. Centre­ville. Gratuit.
De 10 h à 19 h. Peintures de Dom Garcia (à l’huile, sur bois,
ou sur toile de lin, parfois avec des collages). Galerie du Bailli,
9, rue du Général­Leclerc. Entrée libre.
Habitat. ­ Journée « Bien vivre ensemble », à partir de
13 h 30 à l’espace Cours, organisée par Adali Habitat.
Spectacle. ­ Proposé par Scènes Vosges « Boxe boxe », un
spectacle de danse réunissant une compagnie de danse hip­
hop et un quatuor à cordes classique, à 20 h 30, à la Rotonde
de Thaon­les­Vosges. Tarifs : de 7 à 15 € selon abonnement,
pass lycéen ou moins de 15 ans.
Bérénice Haye est l’infirmière responsable de ce centre
d’autodialyse.
Demain
La bibliothèque de Philippe Séguin. ­ Exposition du legs de
la bibliothèque personnelle de Philippe Séguin à la BMI de
10 h à 18 h 30. Gratuit. BMI 48, rue Saint­Michel,
tél. 03 29 39 98 20.
Fête de la Saint­Maurice. ­ Nombreuses attractions, restau­
ration rapide midi et soir. Petit­Champ­de­Mars.
Service jeux vidéo. ­ Le service jeux vidéos de la BMI
propose des jeux sur PS3®, PS Vita®, Xbox360®, Nintendo
DSI®, Nintendo 3DS® et Nintendo WII®.
Action de sensibilisation. ­ Dans les rues et les bus de la Ville
organisée par la Ligue contre le cancer, jusqu’au 31 octobre.
Exposition. ­ A 10 h, de photos d’animaux domestiques
spinaliens de Noëlle Laurent dans le cadre du CIQ ouest
(comité d’intérêt de quartier), à la Maison Courcy.
Assemblée générale. ­ A 18 h, le club de patinage sur glace
tiendra ses assises annuelles à la patinoire, salle de conviviali­
té.
La journée
Nous contacter
 La Clé (aide aux personnes
 Rédaction locale d’Epinal
40, quai des Bons­Enfants, 88026
Epinal Cedex.
Tél. 03 29 82 98 00.
Fax. 03 29 82 99 29.
Courriel :
[email protected]
 Abonnements
Pour vos suspensions, changements
d’adresse ou autres, envoyez un
message à l’adresse :
[email protected] ou
au 03 83 59 08 08.
 Fête à souhaiter
Saint Jérôme.
Urgences
 Pharmacie : à partir de 20 h, se
présenter au commissariat de police
qui communiquera le nom de la
pharmacie de garde.
 Samu : tél. 15.
 Médecin généraliste de garde :
tél. 0 820 33 20 20.
 Centre hospitalier Emile­
Durkheim : tél. 03 29 68 70 00.
 Centre hospitalier
intercommunal de Golbey :
tél. 03 29 68 15 15 ; consultations de
rééducation, tél. 03 29 68 15 20.
 Clinique chirurgicale « La
Ligne Bleue » : tél. 03 29 68 60 60.
 Maternité « Arc­en­Ciel » :
tél. 03 29 68 63 63.
 Cliniques vétérinaires :
­ 38°5 : 48, rue André­Vitu ;
tél. 03 29 34 01 01.
­ De l’Arche : 15, rue François­de­
Neufchâteau : tél. 03 29 82 44 48.
 Dépannage eau :
tél. 0 810 89 48 94.
 G e n d a r m e r i e :
tél. 03 29 33 17 17.
A noter
 C e n t r e d e s o i n s
d’accompagnement et de
prévention en addictologie
(toxicomanie), CSAPA :
Centre d’accueil : impasse du
Belvédère, de 10 h à 18 h ;
tél. 03 29 33 25 38.
Centre de soins : 33, rue Thiers, de
10 h à 18 h ; tél. 03 29 35 62 02.
CSAPA ­ FMS (alcool­jeux) : 5,
impasse du Belvédère, de 8 h 30 à
17 h ; tél. 03 29 29 12 50.
 Allô travaux : tél. 0 800 80 06 01.
 Inéo (éclairage public, feux
tricolores) : tél. 0 800 00 19 47.
 Allô handicap 88 :
tél. 0 810 88 00 88.
 Adavie : 20, rue des Etats­Unis, de
8 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h ;
tél. 03 29 35 23 06.
 ADMR : 18, rue Vautrin, de 9 h à
12 h et de 14 h à 17 h ;
tél. 03 29 64 23 66.
 Unafam (maladies
psychiques) : tél. 03 29 64 05 73.
 Vosges infos seniors :
tél. 0 810 88 60 00.
dépendantes alcool­drogue) : 12,
quartier de la Magdeleine ;
tél. 03 29 66 90 09 ou
06 78 55 95 33.
 Point Écoute Jeunes : 2, quai
Colonel­Sérot ; tél. 03 29 68 28 09.
 Alzheimer 88 : 15 ter, rue
Maréchal­Lyautey, de 14 h à 16 h ;
tél. 03 29 35 36 19.
 Centre médico­psychologique
pour personnes âgées : Maison de
santé Saint­Jean, 31, rue Thiers ;
tél. 03 57 99 01 00.
 Association Accueil Ecoute :
10, rue François­de­Neufchâteau,
accueil de jour ; tél. 03 29 31 20 02.
 Alma 88 : lutte contre la
maltraitance des personnes âgées et
handicapées ; tél. 03 29 31 17 01.
 Permanence préfecture :
mission de lutte contre les
discriminations de 14 h à 17 h par
Alain Grisward, tél. 03 29 69 87 19.
Pratique
 Déchèterie : Malgré­moi, RD 11,
de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h ;
tél. 03 29 31 36 24.
 Office du tourisme : 6, place
Saint­Goëry, de 9 h à 12 h 30 et de
13 h 30 à 18 h ; tél. 03 29 82 53 32.
 Piscine olympique : de 12 h à
14 h et de 18 h à 20 h ;
tél. 03 29 31 46 65.
 Piscine Iris : fermée.
 Patinoire : fermée.
 Spinaparc : de 9 h à 18 h (sur
réservation).
 Imagerie d’Épinal : de 9 h à 12 h
et de 14 h à 18 h 30 ; visites guidées
de l’atelier artisanal à 10 h 30, 15 h et
16 h 30.
 Musée départemental d’art
ancien et contemporain : fermé.
 Musée de l’Image : de 9 h 30 à
12 h et de 14 h à 18 h.
 Bibliothèque de prêt : fermée.
 Bibliothèque multimédia
intercommunale (BMI) : de 13 h à
18 h 30.
 Ludothèque : 19, rue d’Ambrail :
de 10 h à 12 h et de 16 h à 18 h 30.
 Cinéma : retrouvez tous les films à
l’affiche en page 2.
Les centres d’animation
 MJC Savouret : 30, rue des
Soupirs ; tél. 03 29 82 12 59.
 Centre social du plateau de la
Justice : 2, avenue Henri­Sellier ;
tél. 03 29 34 12 12.
 Centre Léo­Lagrange : 6, avenue
Salvador­Allende ;
tél. 03 29 31 38 97.
 MJC Saint­Laurent : rue de la
7e­Armée ; tél. 03 29 82 57 64.
 Centre social du plateau de la
Vierge : place Luc­Escande ;
tél. 03 29 64 03 03.
 Centre social de Bitola­Champ­
du­Pin : 24, rue Jacquard ;
tél. 03 29 35 14 38.
 MJC Belle­Etoile : rue Dom­
Pothier ; tél. 03 29 35 08 02.
En bref
Au registre de l’état civil
Naissances. ­ Mayeul Briet, Aydoilles ; Timeo Hess, Epinal ; Anto­
nin Picard, Chamagne ; Bilal Sackan, Rambervillers.
Décès. ­ Jean Balland, Sercœur ; Maurice Claudel, Charmes ; Yvon­
ne Munier née Creusat, Hadol ; René Lauvergnat, Châtel­sur­Moselle.
Stage de sensibilisation à la sécurité routière
L’Automobile Club organise régulièrement des stages de sensibili­
sation à la sécurité routière permettant à des conducteurs de récupé­
rer une partie des points perdus à la suite d’infractions au code de la
route. Un stage de 2 jours permet de retrouver 4 points. Date du
prochain stage à Epinal : les 16 et 17 octobre.
Pour tous renseignements et inscriptions, tél. 03 89 41 31 56.
Sortie à Kirrwiller avec les anciens marins
L’amicale des anciens marins d’Epinal organise le samedi 25 octo­
bre une sortie à Kirrwiller. Il reste quelques places et les personnes
intéressées peuvent contacter Mme Couvreux, tél. 09 62 00 21 85 ou
M. Colinmaire, tél. 03 29 38 30 40. Inscriptions avant le 1er octobre.
mardi 30 septembre 2014
Il s’agissait de créer un centre coloré et agréable qui soit aussi très fonctionnel.
Le centre d’autodialyse déménage à la Voivre
Jusqu’alors basé dans les locaux de l’école d’infirmières, le centre d’autodialyse a pris ses quartiers
à la Voivre. Offrir aux patients un cadre qui sorte de l’hôpital était devenu indispensable.
P
ropre, spacieux, lumi­
neux, agréable. Les qua­
lificatifs ne manquent
pas lorsqu’il s’agit d’évoquer
le nouveau centre d’autodialy­
se de l’association lorraine
pour le traitement de l’insuffi­
sance rénale (Altir).
Jusqu’alors situé dans les
locaux de l’école d’infirmiè­
res, devenus exigus et vieillis­
sants, le centre a pris ses quar­
tiers le 2 juillet dernier à la
Voivre dans un bâtiment
appartenant au Crédit Agrico­
le. Les locaux ont été transfor­
més et adaptés pour recevoir
dans les meilleures conditions
les patients hémodialysés,
autonomes dans leur traite­
ment.
« Venir ici, confie à l’heure
de l’inauguration, le président
de l’Altir Raymond Chabrol,
Zoom
Nom : Altir (association
lorraine pour le traitement
de l’insuffisance rénale)
Création : 1972
Objectifs : développer les
moyens de traitement des
malades atteints d’insuffi­
sance rénale, informer et
sensibiliser l’opinion quant
aux possibilités de mise en
place des moyens techni­
ques et plus généralement
mettre en œuvre tous
moyens à favoriser la
recherche, l’étude et le trai­
tement de l’insuffisance
rénale.
Salariés : l’Altir compte
140 salariés répartis dans
ses 12 antennes régionales.
Le centre d’autodialyse
d’Epinal compte quatre
infirmières, une future
cadre de santé et deux infir­
mières libérales qui font des
vacations.
assez loin de l’hôpital, dans un
environnement très arboré,
dans des locaux lumineux, a
été pour l’Altir un choix volon­
taire […]. Offrir aux patients
un cadre qui n’ait que peu les
apparences d’un cadre hospi­
talier est indispensable. Cela
ne fait en rien oublier la mala­
die, mais cela humanise les
conditions dans lesquelles
elle est vécue. »
L’objectif de délocaliser le
centre d’autodialyse était
clair : il fallait sortir les
patients du centre de l’hôpital
et trouver un bon compromis
pour allier à la fois le côté pra­
tique et sécurisé des soins, en
y mettant une touche esthéti­
que. Les acteurs de ce projet,
qu’ils soient représentants de
l’Altir, de la Ville, du Crédit
Agricole ou de l’ARS (agence
régionale de santé), et les
patients ne peuvent être que
satisfaits du résultat : une sur­
face de plus de 500 m² fonc­
tionnelle, du mobilier moder­
ne, des couleurs agréables…
Cet investissement au service
des malades, l’Altir y tenait
afin d’offrir aux patients des
soins au plus près de leur
Une longue
histoire
Tous les acteurs, ayant mené à bien le projet de délocalisation
de l’autodialyse, étaient réunis pour son inauguration.
domicile.
Cette unité d’autodialyse
accueille actuellement douze
patients d’Epinal et des envi­
rons. « Les patients font com­
me ils le souhaitent, confie
Bérénice Haye, l’infirmière
responsable du centre. Nous
proposons une séance de dia­
lyse le matin et une le soir. Ils
sont autonomes comme s’ils
étaient à domicile. » Ce sont
eux qui préparent leur généra­
teur, ils installent les tuyaux,
se pèsent, prennent leur ten­
sion et parfois même se
piquent. « Nous, on teste la
qualité de l’eau, souligne la
future cadre de santé. On va
contrôler l’absence de chlore,
de désinfectant et vérifier que
la concentration en sel est cor­
recte. Ensuite, on s’occupe
des patients. On est surtout là
pour sécuriser la séance. » Ce
nouveau centre de proximité
offre en tout cas une alternati­
ve à l’hôpital, pour ces
patients chroniques.
Nathalie BONTEMS
L’objectif de ce nouveau centre est de permettre aux patients du centre d’autodialyse de sortir de
l’enceinte de l’hôpital.
(Photos Eric THIÉBAUT et Philippe BRIQUELEUR)
L’unité d’autodialyse
inaugurée vendredi soir a
déjà une longue histoire.
L’autodialyse d’Epinal est la
première à avoir été ouverte
en Lorraine. C’était en 1983.
Le président de l’Altir
(association lorraine pour le
traitement de l’insuffisance
rénale), Raymond Chabrol,
en profite pour revenir sur
31 ans de coopération entre
l’Altir et la Ville d’Epinal. A
l’époque, l’association loue
un logement social dans
une HLM de la ville, 12, rue
Robert­Schuman, sur le pla­
teau de la Justice. « Cet
immeuble se situait face à
l’hôpital de l’époque », rap­
pelle Raymond Chabrol.
Des travaux sur le château
d’eau qui desservait les
immeubles ont alors con­
duit l’Altir à être hébergée
durant quelque temps au
sein du centre hospitalier.
Puis l’unité d’autodialyse a
déménagé en juin 1992 à la
Voivre, rue de la Belle­au­
Bois­Dormant, dans les
locaux abritant toujours des
logements sociaux mais
aussi au sein desquels se
trouvait également le foyer
des jeunes travailleurs.
« Ces locaux furent inaugu­
rés le 17 avril 1993 par Phi­
lippe Séguin, député­mai­
re », se souvient le
président. L’autodialyse
s’est ensuite rapprochée
des infrastructures de
l’hôpital et a emménagé
dans les locaux de l’école
d’infirmières, où se situe
encore aujourd’hui l’unité
de dialyse médicalisée.
Avant de finalement démé­
nager à la Voivre le 2 juillet
dernier dans des locaux du
Crédit Agricole.
Quatre heures de dialyse trois fois par semaine
Jérôme Thomas est insuffisant rénal depuis deux
ans et demi, depuis que les médecins lui ont dia­
gnostiqué la maladie de Berger, une maladie auto­
immune atteignant les reins.
« Pendant deux ou trois ans, j’étais surveillé,
raconte cet homme âgé de 40 ans. J’allais une fois
par mois à Nancy. Et je n’avais pas besoin d’avoir
recours à la dialyse. » Jusqu’à ce qu’une prise de
sang mette en avant un taux trop élevé de créatinine.
« C’était le signe d’un fort dysfonctionnement de
mes reins », confie­t­il.
Ses reins ne fonctionnant plus correctement, une
machine doit alors remplacer l’activité de ceux­ci. La
dialyse est au départ programmée de nuit afin qu’il
puisse travailler le jour. « Au niveau professionnel,
j’étais en pleine formation », se souvient­il. Employé
du bâtiment, Jérôme Thomas tentait alors de se
reconvertir dans le métier de cordonnier. « J’étais
donc sous dialyse la nuit afin de pouvoir suivre ma
formation. Mais en journée, ma tension artérielle
montait trop, j’avais des mots de tête terribles. J’ai
donc dû arrêter. »
Aujourd’hui, Jérôme Thomas ne travaille plus.
Entre les dialyses trois fois par semaine et les séan­
ces de kiné les deux autres jours de la semaine pour
des problèmes d’arthrose, difficile en effet de trou­
ver le temps pour un emploi. D’autant que les séan­
ces de dialyse ne sont pas toujours de tout repos.
Trois fois par semaine, le quadragénaire est donc
amené à franchir les portes du centre d’autodialyse
de la Voivre pour y faire filtrer son sang pendant
quatre heures de temps. « Au début j’étais médicali­
sé, confie cet habitant d’Hadol. Et puis au vu de mon
état de santé, on m’a proposé une formation de
plusieurs mois avant de passer en autodialyse. »
Aux dires du patient, il n’y a rien de compliqué à
s’autodialyser : « C’est tout simple. C’est un écran
tactile, il suffit de suivre les instructions », montre­t­
il.
C’est simple certes, mais ô combien contraignant.
Jérôme Thomas n’a aujourd’hui qu’un seul souhait,
celui d’être greffé. Car la dialyse ne s’arrêtera qu’en
cas de greffe. Le quadragénaire est aujourd’hui ins­
crit sur la liste des personnes en attente d’une trans­
plantation d’organe. Il ne quitte plus son téléphone
portable et a même déjà préparé son sac. « Je suis
prêt, conclut­il, mais ça risque d’être long car j’ai un
groupe sanguin assez rare, AB +.» Cette greffe ne
pourrait que lui changer la vie.
Jérôme Thomas est contraint à des dialyses depuis
deux ans et demi en attendant une greffe de rein.
N.B.
Tir
Concours automnal pour les officiers de réserve
Organisé en collabaroation
avec la société de tir d’Epinal,
le traditionnel concours de tir
d’automne de l’association
des officiers et cadres de
réserve des Vosges (AOCRV)
s’est déroulé le 25 septembre.
Ce concours ouvert aux
membres de l’association, à
leur famille et amis, a vu cette
année une baisse de fréquen­
tation due à la cérémonie au
monument des Harkis.
Quelques absents étaient à
noter, mais une jeune recrue
de 9 ans, qui suivra certaine­
ment les pas de son papa, le
lieutenant de réserve Foret, a
été accueillie avec plaisir pour
participer à ce concours. Mais
qui dit concours, dit résultats :
­ Tir pistolet : 10 m et 25 m et
rapidité : 1. Capitaine Bou­
gho ; 2. Commandant
Mathiot ; 3. Commandant
Guerin du Marthorey.
­ Tir carabine : 10 m et 50 m :
1. Capitaine Bougho ; 2. Lieu­
tenant Foret ; 3. Commandant
Jeandemange.
­ Combiné : 1. Capitaine
Bougho ; 2. Lieutenant­colo­
nel Deblaize ; 3. Commandant
Guerin du Marthorey.
­ Combiné dames : 1. Mme
Bougho ; 2. Mme Mansuy.
Après la remise des coupes
et médailles et les remercie­
ments à la société de tir pour
son accueil et sa participation,
les officiers de réserve ont par­
tagé le pot de l’amitié en se
donnant rendez­vous pour la
séance de tir qui aura lieu au
printemps prochain.
Malgré quelques défections, le concours automnal s’est déroulé dans une bonne ambiance sur le
pas de tir de la rue Séré­de­Rivières.
La Liberté de l’Est ­ L’Est Républicain