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© Benjamin Sommabere
ONETWOTHREEONETWO
ALBERT QUESADA
Jeudi 04 février à 21h
Ceci n’est pas un spectacle de flamenco
Dossier pédagogique
Biographie
Note d’intention
Mentions du spectacle
Pistes pédagogiques
Bibliographie / Sitographie
Renseignements pratiques
Un spectacle proposé dans le cadre du festival
…………………………
Pourquoi un dossier d’accompagnement ?
Le dossier d’accompagnement est un outil que nous mettons à votre disposition pour vous donner des
éléments sur le spectacle et la compagnie qui l’a créé. Nous vous laissons le soin de vous emparer de ces
éléments pour sensibiliser les élèves avant le spectacle ou encore continuer à le faire après la représentation.
Parce que votre parole est essentielle :
Parce que nous souhaitons connaître votre avis sur les spectacles que vous êtes venus voir et parce que
votre ressenti et le regard que vous portez sur les propositions artistiques sont essentiels, l’équipe des
relations avec le public du Manège de Reims vous invite à partager vos réflexions sur les spectacles. Vos
impressions et les productions plastiques des élèves sont les bienvenus !
Éducation Artistique : l’Éducation à l’Art et par l’Art
Dans la plupart des cultures, les arts font partie intégrante de la vie : fonction, création et apprentissage sont
liés. Les arts véhiculent, de façon formelle ou informelle, le savoir mais aussi des méthodes d'éducation dans
diverses disciplines. En ce sens, l'éducation artistique ne limite pas les arts à un outil d'éducation
supplémentaire, et n'a pas pour simple ambition d'intégrer les arts comme sujet principal, au sein des
programmes éducatifs.
L'UNESCO soutient l'éducation artistique à travers deux approches qui peuvent être complémentaires. La
première approche concerne l'éducation à travers les arts/la culture et démontre comment les expressions
artistiques, les ressources et pratiques culturelles, contemporaines et traditionnelles peuvent être utilisées
comme un outil éducatif. Elle a pour but de souligner la richesse de la culture, du savoir et du savoir-faire des
sociétés pour favoriser une approche interdisciplinaire et renforcer la participation dans un vaste nombre de
domaines. La seconde approche se réfère à l'éducation dans les arts/la culture et met l'accent sur les
perspectives culturelles, multi et interculturelles ; sur le respect des cultures à travers les procédés éducatifs.
Ce type d'approche contribue à améliorer la compréhension de l'importance de la diversité culturelle et
encourage le maintien de la cohésion sociale. Introduire les arts et les pratiques culturelles dans des
environnements éducatifs constitue un réel atout, résultat d'un développement intellectuel, émotionnel et
psychologique équilibré des individus et des sociétés. Une telle éducation renforce non seulement le
développement cognitif et l'acquisition de connaissances sur la vie et l'alphabétisation - la pensée innovante et
créative, la réflexion critique, les compétences communicationnelles et interpersonnelles, etc - mais participe
aussi à l'adaptabilité sociale et à la prise de conscience culturelle des individus. Elle leur permet ainsi de
construire une identité personnelle et collective et de comprendre ce que sont la tolérance, l'acceptation et
l'appréciation des autres. Son impact est remarquable sur le développement des sociétés : il concerne
l'amélioration de la cohésion sociale et de la diversité culturelle, mais aussi la prévention de la
standardisation et la promotion du développement durable.
Source : http://www.unesco.org/new/fr/culture/themes/creativity/arts-education/
Albert Quesada
Dans OneTwoThreeOneTwo Albert Quesada décortique le flamenco, examinant chaque aspect de sa
singularité et de sa magie. Danseur d’un grand talent et jeune chorégraphe, il développe de pièce en pièce sa
matière propre et elle-même très singulière qui révèle déjà une intelligence du mouvement indéniable.
Albert Quesada s’est formé à P.A.R.T.S et à la Hogeschool voor de Kunsten à Amsterdam. Il a étudié
auparavant la philosophie et l’ingénierie multimédia à Barcelone. Pendant ses études, il a organisé des jams
hebdomadaires à P.A.R.T.S. et a enseigné en Belgique, Autriche, Inde et États-Unis.
Depuis 2009, Albert est interprète pour la compagnie ZOO – Thomas Hauert (Accords, You’ve Changed, In
Vivo Danse, Mono) et a aussi dansé pour Benjamin Vandewalle. Il crée ses propres pièces chorégraphiques
et réalise également des vidéos de danse. Il crée Solos Bach & Gould (2010), Trilogy (2011), Ensemble
(2012), Slow Sports (2012), Slow Sports Outdoors (2014), Slow Sports Kids (2015) et Wagner & Ligeti (2014),
une exploration de notre compréhension de la musique orchestrale.
Note d’intention
Ceci n’est pas un spectacle de flamenco.
OneTwoThreeOneTwo ce sont deux danseurs qui emploient leurs corps et leurs voix à questionner ce qu’est
le flamenco.
Des racines profondes de la musique Gypsy aux grandes scènes d’aujourd’hui, le flamenco tire sa force des
mêmes séquences rythmiques fondamentales : 1-2-3 1-2-3 1-2 1-2 1-2 (d’où le titre du spectacle).
Comment ce langage non écrit, qui a traversé le temps, peut être communiqué aussi facilement et créer une
sensation si intense et immédiate ?
L’intimité de la relation avec le public du flamenco tablao génère un réseau complexe de sens, d’expressions
et d’histoires – un ensemble unique de rituels et de techniques qui continuent à grandir et à évoluer.
Mentions du spectacle
DISTRIBUTION
Conception : Albert Quesada
Chorégraphie et danse : Albert Quesada & Zoltán Vakulya
Musique : Sabicas, Miguel Poveda, Manolo Caracol, Camarón de la Isla
Création sonore : Albert Quesada
Création lumières : Bert Van Dijck
Costumes : Sofie Durnez
Texte : Js Rafaeli
Avis musical : Juan Carlos Lérida
Assistants chorégraphie : Petra Söör, Leo Castro
PRODUCTION
Production : Albert Quesada / Klein Verzet Vzw
Coproduction : Charleroi Danses, CCNR, Vooruit in the frame of the European Network DNA (Departures and Arrivals)
/ Co-fondé par le Creative Europe Program of the European Union
Avec le soutien de la SACD, la Commission Communautaire Flamande et le Programme Culture de l’Union Européenne
En collaboration avec PACT Zollverein, Kaaitheater, TAKT/Provinciaal Domein Dommelhof, STUK, El Graner, l’Animal
a l’Esquena
L’univers chorégraphique d’Albert Quesada
Il crée ses propres pièces chorégraphiques et réalise également des vidéos de danse. Il crée Solos Bach & Gould
(2010), Trilogy (2011), Ensemble (2012), Slow Sports (2012), Slow Sports Outdoors (2014), Slow Sports Kids (2015) et
Wagner & Ligeti (2014), une exploration de notre compréhension de la musique orchestrale.
Solos Bach & Gould (2010) Albert Quesada dans Solos Bach & Gould
Les " Variations Goldberg " de J. S. Bach, dans l'interprétation de Glenn Gould, inspirent de nombreux artistes. Albert
Quesada, que vous pouvez également admirer dans " Trilogy ", clôture Bouge B par son interprétation de ce grand
classique. En 2006, il a créé " Solo on Bach & Glenn ", une série d'instructions pour un danseur, dont la bande-son est
composée d'une interview de Gould et d'extraits de son interprétation. Cette partition a été réécrite trois ans après ; deux
danseurs se sont approprié les mouvements de Quesada et se sont lancés dans une nouvelle improvisation. " Solos
Bach & Gould " comprend deux variations rafraîchissantes sur la chorégraphie d'origine. Pour l'occasion, Quesada
danse personnellement son duo, en compagnie de la danseuse italo-suédoise Petra Söör.
De Singel, Campus des Arts International
Extrait de Solos Bach & Gould : https://www.youtube.com/watch?v=WAatOhzCnWY
Wagner & Ligeti (2014)
© Gernot Singer
Wagner & Ligeti est une pièce sur la musique et sur sa signification. Elle explore la manière dont les structures, les
répétitions, les interactions de la musique orchestrale en viennent à incarner et communiquer des idées, comment le «
bruit organisé » de la musique évoque des images et transforme ces images en pensées. Et inversement, comment nos
pensées structurent notre perception de la musique, comment notre propre connaissance d’une pièce enrichit notre
expérience de celle-ci. Les danseurs guident le public à travers l’exploration de deux pièces : l’ouverture de Tannhäuser
de Wagner, une des pièces les plus claires de la musique instrumentale « narrative » et Lontano de György Ligeti, qui
vise à annuler la notion-même de hiérarchie musicale avec un arrangement instrumental dodécaphonique.
En confrontant ces deux morceaux qu’a priori tout semble opposer, Albert Quesada nous fait découvrir à quel point ils
se ressemblent. Il expose ainsi le processus chimérique par lequel les phénomènes neutres de « son » et de «
mouvement », imprégnés de sens, deviennent « musique » et « danse ». La Commune, Centre dramatique national,
Aubervilliers
Teaser de Wagner & Ligeti : https://vimeo.com/91960946
Slow sports kids (2015)
Sprinter, crier, voir ton coéquipier donner un centre, voir plonger le gardien de but, faire un coup de tête, marquer, hurler.
Ou bien: mettre la télévision plus fort, boire un coup, jurer, être sur le bout du siège, sursauter, vociférer. Quels sont les
points communs et les différences entre ces deux manières de "vivre le sport"?
Comment un boxeur évite au dernier moment un coup de poing? Comment un nageur glisse sans peine à travers l’eau?
Ou encore, comment une Ola traverse le stade de foot? Slow Sports Kids parle de la beauté des mouvements dans le
monde sportif, mais montre aussi le jeu d’action-réaction entre les athlètes, commentateurs et spectateurs.
Le spectacle invite à regarder différemment le sport mais aussi la danse. Un spectacle pour le (sup)porter en chacun de
nous.
Centre culturel régional de Charleroi
Teaser de Slow sports kids : https://vimeo.com/127914053
Le Flamenco
Corinne Frayssinet-Savy, La danse flamenca, une fabrique d’altérités, Article et vidéos disponibles sur le site de
la Fresque INA Danses sans visa : http://fresques.ina.fr/danses-sans-visa/parcours/0008/la-danse-flamencaune-fabrique-d-alterites.html
L'écrivain et historien José Manuel Gamboa situe les prémices du flamenco au temps de la Révolution française.
L'Europe connaît des bouleversements ; la vie sociale toute entière est en pleine mutation. En Espagne, « les rois
Charles III (1759-1788) et Charles IV (1789-1808) sont devenus conscients de la nécessité de moderniser le pays sur
les plans économique et administratif, mais aussi juridique et culturel » [1]. La Pragmatique publiée en 1783 accorde aux
Gitans le statut de citoyen. En revanche, elle impose des mesures afin d'effacer toute marque de différence.
L'acculturation subie depuis les Rois Catholiques (1499) prend un nouveau visage. Elle contribue notamment à la
disparition de leur langue ; la musique se mue en culture refuge, elle devient un langage selon le guitariste Pedro Peña
Fernández.
« Quel meilleur moyen, pour des musiciens millénaires, que celui de déplacer un sens commun des sentiments vers le
langage de leurs musiques ? Ce langage subliminal s'est constitué, avec le temps, en une espèce de code du lien qui se
manifeste, dans la pratique, lors des rencontres familiales et collectives. C'est ainsi que les Gitans chantent et dansent
pour l'ensemble des Gitans, parce qu'ils sont les mieux disposés à les comprendre. S'il s'agit d'un artiste et qu'il se
produit sur la scène la plus prestigieuse, il cherchera, comme cela est normal, à triompher en plaisant à la majorité. Mais
au fond, il sait et il est nostalgique de l'ambiance propice à chanter et à danser gitan de façon authentique dans l'intimité
des siens. Parce que c'est là que le chant et la danse deviennent une forme de langage de l'âme. Véhicule, de profonds
sentiments partagés, avec lesquels ils arrivent à communiquer, à se comprendre, à ressentir et à réaffirmer leur identité
d'appartenance. Le langage musical des Gitans traduit ces sentiments. »
L'art de l'émotion et du lien
Cette approche particulière du sentiment et de son partage à travers la musique fait du flamenco un art de l'émotion et
du lien dans la pratique privée. À ce sujet, Pedro Peña évoque la relation particulière qui se tisse entre le chant et la
danse dans les fêtes familiales et collectives gitanes de son enfance en Basse Andalousie.
« Le chant s'exprimait avec force et sentiment, de manière qu'il émouvait et incitait quiconque présent à sortir du groupe
pour danser dans le cercle. Lorsque certains se mettaient à dessiner dans l'air, transmettant avec leur corps, le même
message que le chant, il arrivait quelque chose d'inénarrable. (...) S'il se produisait cette conjonction, de façon
spontanée et naturelle, le chant se visualisait à travers les mouvements et les gestes expressifs de la personne qui
dansait. Je (Pedro Peña) compris que dans nos fêtes, il ne s'agit pas seulement de chanter pour la danse, mais de
danser le chant. (…)»
Cette perception du flamenco a été portée à la scène par le cousin de Pedro Peña, guitariste de profession Pedro
Bacán, dans le cadre de ses spectacles à partir de 1989 autour du clan des Pinini.
Vidéo Franck Tenot : Le flamenco
Cette démarche consistait à remettre en question l'image d'Épinal d'un flamenco gitan aux relents exotiques et de
ramener l'enjeu scénique à une dimension musicale visant l'émotion dépouillée de toute théâtralité. Pour ce faire, le jeu
guitaristique réévalué permettait de repenser l'identité expressive de la danse, de recentrer les langages instrumentaux
et chorégraphiques à partir du chant.
La recherche artistique de Pedro Bacán atteste l'impossibilité de définir un flamenco unique. Elle réintroduit dans
le flamenco un espace de liberté musicale : celui de l'improvisation nécessaire dans le passé pour décrocher un cachet,
ou pour être écouté par les siens dans une fête familiale. Elle vient compléter de nouvelles façons de penser le flamenco
apparues au cours des années 1970. (…) Elle devient création dès qu'il y a dialogue entre présent et passé, entre
le matériau musical et ses diverses sources populaires et savantes, autochtones et étrangères. Ce défi sera relevé en
danse au cours des années 1990 par les danseurs Andrés Marín et Israel Galván.
Vidéo Festival de flamenco : Andres Marin
Vidéo MIRA : flamenco avec Israel Galvan
Au croisement des continents
Le flamenco naît d'un métissage improbable entre l'Europe, l'Afrique, l'Orient et le Nouveau Monde selon le
musicologue Faustino Nuñez. Un territoire circonscrit à Cadix et sa baie, Séville et Malaga, situé pour l'essentiel en
Basse Andalousie, est au cœur des premières étapes de l'histoire du flamenco. Les villes portuaires concentrent les
échanges commerciaux entre l'Espagne et les Amériques. Elles attirent une population démunie en quête de travail qui
dépasse les frontières de l'Andalousie. Les répertoires du flamenco témoignent de cette diversité géographique et
culturelle.
L'Ordre Royal du 28 décembre 1799 provoque un changement radical dans l'univers du spectacle d'alors : il interdit à
tous les acteurs, danseurs et chanteurs d'autres nations de se produire. Il permet aux danseuses espagnoles et en
particulier andalouses de s'imposer. Un nouveau répertoire est créé : l'école bolera, stylisation de danses populaires
sous l'influence de la danse classique. (…)
Durant ces années, certaines interprétations sont différenciées en les qualifiant de « à la manière gitane », puis « à la
manière flamenca », ce qui expliquerait la dénomination de danses dites gitanes, puis flamencas. Elles sont à
rapprocher d'une tradition théâtrale naissante au XVIe siècle, mettant en scène des personnages gitans exécutant des
chants et des danses « à la façon des Gitans ». (…)
Séville, place forte dans la danse flamenca
La ville de Séville participe de ce processus de métissage. Lors de son voyage en Andalousie dans les années 1860,
l'écrivain Charles Davillier remarque que chaque ville principale a sa danse, Cadix le olé, Jerez le jaleo, Ronda la
rondeña, Malaga la malagueña . Séville est « la ville où ces danses se modifient, se recomposent et se perfectionnent.
(...) C'est l'atelier où les anciennes danses se transforment en danses modernes ; c'est l'université où s'apprennent la
grâce inimitable, l'attrait irrésistible, les ravissantes attitudes, les tours brillants et les mouvements délicats de la danse
andalouse ». Toute danse nouvelle venue d'Inde ou d'Amérique ne devient à la mode que si elle passe par l'école
sévillane.
Vidéo Flamenco
Vidéo Interview Antonio Gades et extrait danse flamenco
Vidéo Flamenco, la flamme de l’Espagne
Parmi toutes ses étapes, l'histoire écrite du flamenco ramène l'âge d'or au temps des cafés cantantes durant les
dernières décennies du XIXe siècle jusqu'en 1936. Le succès de ses établissements dépasse les frontières de
l'Andalousie. C'est dans ces lieux exportés dans toute l'Espagne que les bases musicales et chorégraphiques sont
définies. Les premières danses flamencas s'y élaborent : les alegrías, les tangos, les soleares et les zapateados . Elles
posent les premiers jalons d'une esthétique féminine et masculine. La création et les audaces sont nécessaires pour
faire face à la concurrence féroce. Le flamenco devient définitivement un art de professionnels. Il se fabrique à la fois à
partir de l'image de l'Autre, le Gitan, d'un sens créatif de l'emprunt et du bricolage afin d'inventer de nouveaux styles de
danses. En 1912, le maître de danse sévillan José Otero dénonce une pratique nouvelle depuis la fin du XIXe siècle qui
consiste à créer de nouveaux répertoires en chorégraphiant de plus en plus de chants flamencos. Selon la définition
de Faustino Nuñez, le flamenco ne serait que la réinterprétation artistique de la tradition. Face à cette histoire
officielle du flamenco, une autre s'écrit dans la pratique de la danse. Elle revendique une filiation à géométrie variable,
propre à la transmission orale. Elle se projette plus facilement dans des modèles connus grâce aux témoignages filmés
tels que Vicente Escudero, Antonio El Bailarín, Carmen Amaya..., que dans les figures des cafés cantantes . Elle se
trouve face à un nouveau défi de la danse flamenca, celui de la création qui ne se suffit plus de la virtuosité.
Vidéo Flamenco, enfant dansant
Bibliographie
Ouvrages de référence sur la danse :
BOISSEAU, Rosita, Panorama de la danse contemporaine, Textuel, 2006
COLLECTIF, Danse et pensée Une autre scène pour la danse, Germs, 1993
FRIMAT, François, Qu’est-ce que la danse contemporaine ? , PUF, 2010
LABAN, Rudolf, La Maitrise du mouvement, Actes sud, 1979
LE MOAL, Philippe (sous la direction de), Dictionnaire de la danse Nouvelle édition, Larousse, 2008
NOISETTE, Philippe, PHILIPPE, Laurent, Danse contemporaine Mode d’emploi, Flammarion, 2010
Ouvrages de référence sur le flamenco :
FRAYSSINET SAVY, Corinne, Israel Galvàn Danser le silence, Actes sud, 2009
MOLINS, Patricia, G. ROMERO, Pedro, The spanish night Flamenco, avant-garde and popular culture 1865-1936,
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, 2010
Dossier pédagogique sur le spectacle LA CURVA d’Israel Galvàn programmé au Manège en 2013 :
http://www.manegedereims.com/media/reims/20-dp__israel_galvan-2.pdf
Références chorégraphiques du XXIe siècle :
GUZZO VACARINO, Elisa, Body & Eros, Marsilio, 2007
LOUPPE, Laurent, DOBBELS, Daniel, VIRILIO Paul, THOM René, LAURENTI, Jean-Noël, PRESTON DUNLOP,
Valérie, Danses tracées, Dis voir, 1994
PERRIN, Julie, Figures de l’attention Cinq essai de spatialité sur la danse, Les presses du réel, 2012
ROUX, Céline, Danse(s) performative(s), L’Harmattan, 2012
Littérature jeunesse :
FOIX, Alain, Je danse donc je suis, Gallimard, 2007
Sitographie
Site internet d’Albert Quesada : https://veraalbert.wordpress.com/
Fresque INA Danses sans visa sélection d’extraits vidéo du fonds d’archives de l’INA sur l’histoire de la danse en
fonction de la circulation des peuples à travers le monde : http://fresques.ina.fr/danses-sans-visa/accueil
Jacob’s Pillow Dance Interactive Collection de vidéos de danse filmées au Jacob’s Pilow de 1930 à nos jours
http://danceinteractive.jacobspillow.org/
Numeridanse , 1ère vidéothèque numérique internationale de danse : http://www.numeridanse.tv/fr/
Voir également le film Flamenco de Carlos Saura. Film complet
en espagnol sur https://www.youtube.com/watch?v=plRZarZj6JE
Le fonds documentaire du Manège de Reims
Le fonds documentaire est composé de plus de 550 livres organisés en catégories (arts de rue, art numérique et visuel,
cirque, catalogues d’exposition, danse, marionnettes, monographies, musique, recherches universitaires et
sociologiques...). Plus de 500 DVDs sont également consultables.
SOYEZ LES BIENVENUS !
La plupart de nos propositions étant accessibles aux collégiens et lycéens, nous aurons plaisir à vous accueillir tout au
long de la saison (pour vous renseigner sur les séances tout public, reportez-vous sur www.manegedereims.com).
Pour les séances scolaires (à 10h), les spectacles sont accessibles au tarif de 4 € par élève.
Les accompagnateurs du groupe bénéficient d'une place gratuite par groupe de 10 élèves maximum.
Pour les adultes accompagnateurs supplémentaires, la place est à 6 €.
Pour les groupes scolaires en soirée ou le mercredi à 15h, les spectacles sont accessibles au tarif de 6 € par élève.
Les lycéens et les apprentis en CFA de Champagne-Ardenne peuvent payer avec leur carte Lycéo !
Les accompagnateurs du groupe bénéficient de places gratuites dans certaines proportions.
Pour les adultes accompagnateurs supplémentaires, la place est à 10 €.
Afin de préparer vos élèves au spectacle, nous élaborons - aussi souvent que possible - des ateliers du regard et des
ateliers pratiques. Pour tout renseignement, le service des relations avec le public se tient à votre disposition.
Vos interlocuteurs au Manège :
Nina Penz 03 26 47 98 72 / [email protected]
Votre interlocutrice pour toutes les réservations scolaires
Céline Gruyer 03 26 47 97 70 / [email protected]
Elise Mérigeau 03 26 46 88 96 / [email protected]
Responsables des relations avec le public
Rémy Viau – [email protected]
Enseignant relais, responsable du service éducatif