PV juin 2011 - Ville de Gonfreville l`Orcher
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PV juin 2011 - Ville de Gonfreville l`Orcher
C O N S E I L M U N I C I PA L D U 2 7 J U I N 2 0 11 ORDRE DU JOUR • Appel nominatif • Désignation du secrétaire de séance • Adoption du procès verbal de la séance des conseils municipaux des 4 avril et 16 mai 2011 • Décision ou délibération - Attribution fourniture et pose de matériel de cuisine - 3 lots • Décision - Attribution Local Jeunes - Quartier de TELTOW - 9 lots • Décision - Attribution Ecole primaire Turgauville - Travaux d'aménagement - 3 lots • Décision - Attribution travaux de couverture et de bardage - 1 lot • Décision - Attribution contrat de maintenance chauffage ventilation sanitaire - Colonie de MAGLAND – BODET • Attribution – Réhabilitation logement 4 rue de la Verrerie – 9 lots • Attribution – Aménagement du secteur du Triangle – ZAC du Chemin Vert - 5 lots • Avis de la Ville de Gonfreville l'Orcher sur le schéma départemental de coopération intercommunale. • Décision modificative • Cession de véhicules • Service Communication/Impression - Cession de la flasheuse • Maintenance du logiciel PLANITECH - Transfert de l'activité BODET à LOGITUD SOLUTIONS • Maintenance du logiciel Civitas - Renouvellement - Service financier/service des ressources humaines • Contrat d'assistance téléphonique à l'utilisation du logiciel Civitas - Renouvellement - Service financier/services des ressources humaines • Avenant n°1 - convention de subvention du Conseil Régional relative à la mission d'assistance à maîtrise d'ouvrage H.Q.E. TELTOW • Avenant n°7 - Très Haut Débit - Convention de maîtrise d'ouvrage partagée - CODAH/VGO • Bus Océane - Tarifs Rentrée 2011 • Subvention de fonctionnement - Association Stop Galère 1 • Subvention exceptionnelle à l'association CORAIL 76 • Renouvellement des contrats pause méridienne • Renouvellement des contrats de l’école de danses, école de musiques et piscine Gd'O • Indemnités des élus suite à l'élection du tableau des adjoints au maire • Modification du tableau des effectifs suite à la réforme concernant la catégorie B • Enquête publique du 10 juin au 11 juillet 2011 - SA TOTAL Raffinage Marketing - Projet RN2012 • Abonnement au portail "Ma ville au quotidien" de la Société ENTR'OUVERT • Acquisition de cartes postales anciennes pour les archives municipales • Subvention exceptionnelle à la SPMGO (Société des Pêcheurs en Mer deGonfreville l'Orcher) • Dénomination espace public – Esplanade de la Pointe de Caux • 24 rue raoul deschamps – Acquisition - Autorisation • Ouvrages de lutte contre les inondations sur le sous bassin versant du Saint Laurent – Cession de terrains – CODAH • Foncier - Clos Molinons - Propriété SAILLARD - Acquisition - Autorisation • Foncier - Harfleur - Plateau du Cantipou - ZAC du Chemin Vert - Acquisition - Autorisation • Urbanisme - Révision du plan d'occupation des sols en plan local d'urbanisme - Bilan de concertation - Arrêt du projet de plan local d'urbanisme • Urbanisme - Plan Local d'urbanisme - Elaboration - Sursis à statuer - Institution • Participation aux frais de scolarité - Elèves du 1er degré - Etablissements scolaires publics ou privés hors commune • Tarification des activités périscolaires • Projet Éducatif Local / Jeunes / PELJ • Fond Départemental d'Aide aux Jeunes (FDAJ) • Contrat Enfance Jeunesse 2ème génération - Partenariat Ville - CAF • Convention annuelle Ville - Mission Locale • Convention de partenariat avec l'association CARDERE 2 • A l'appui du diagnostic établi par CARDERE (Centre d'Action Régionale de Développement de l'Education à l'Environnement), les élus de la municipalité souhaitent mettre en œuvre un plan municipal d'éducation à l'environnement et au développement durable en lien avec les Pôle Urbain et Education -animation. FORMATION ET ASSISTANCE • Sensibilisation et formation des acteurs • Interventions auprès des acteurs éducatifs • Aides méthodologiques et éducatives • Organisation de modules d'animation 6 jours à 430€ soit 2 580€ ACCOMPAGNEMENT DANS LA MISE EN ŒUVRE DU PLAN MUNICIPAL D'EDUCATION A L'ENVIRONNEMENT 4 demi-journées à 385€ soit 1 540€ PARTICPATION AUX FRAIS D'ORGANISATION Frais de déplacement 80€ Frais d'adhésion 125€ TOTAL 4 200€ au titre des prestations 125€ au titre de l'adhésion • Tarification de la restauration scolaire 2011/2012 • Convention avec l'association Fédération Régionale d'Improvisation Théâtrale (FRIT) pour l'organisation des matches d'improvisation de la saison culturelle 2011/2012 • Conventions dans le cadre de l’enseignement pédagogique à l’école municipale de danses – saison 2011/2012 • Convention avec l’association « meeting with the cool » - saison 2011/2012 • Convention avec Vincent QUINTARD de NO XICE @ - Atelier Manga – 6 et 7 juillet 2011 • Conventions dans le cadre de l’enseignement pédagogique au Pôle des Musiques Actuelles • Convention avec l’Académie Internationale de Comédie Musicale (AICOM) – Tarifs 3 • Convention avec l’Association du Grain à Demoudre – Programmation ordinaire et singulière de la salle de cinéma municipale « la Pointe de Caux » - saison 2011/2012 • Conventions d’occupation du local de musiques Arthur Fleury et du studio d’enregistrement Guy Moquet par différentes associations • Programmation culturelle – saison 2011/2012 – Présentation – Tarifs – Abonnements • Avenant de prolongation de délais – GAGNERAUD – Complexe nautique – Construction d’un snack • Concours de maîtrise d’œuvre – Construction d’une école de musiques – Choix des candidats • Avenant n° 2 – CRESSENT - quartier TELTOW / infrastructures – lot 3 – serrurerie / métallerie • Avenant n° 1 – BERI – maîtrise d’œuvre – quartier TELTOW – Construction d’un local jeunes • Avenant n° 1 – BERI – maîtrise d’œuvre – quartier TELTOW – Construction d’un local tertiaire • Avenant n° 1 – QUALICONSULT – Mission de contrôle technique – Rénovation de l’ECPC • Avenant n° 3 – CRAM - Exploitation des chaufferies, des productions d'eau chaudes sanitaire et des ventilations 4 PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI 27 JUIN 2011 L’an Deux Mil Onze le vingt sept juin à dix neuf heures, le Conseil Municipal légalement convoqué le dix sept juin Deux Mil Onze, s’est réuni en session ordinaire à la mairie sous la présidence de Monsieur Marc GUERIN, 1er adjoint. Étaient présents : - Monsieur Marc GUERIN - Madame Annick PIQUENOT - Monsieur Alban BRUNEAU - Madame Sandra HAUCHECORNE - Madame Marie-Claire DOUMBIA - Monsieur Daniel VATTIER Adjoints - Madame Yvette LEROYER - Madame Colette MALANDAIN Madame Chantal JOLY - Monsieur Gérard LEGOUT - Madame Marie-Aline BEKHEDDA Monsieur Pierre LEBAS - Madame Andrée FOISSEAU - Monsieur Marc COLLET - Madame Béatrice FOURNIL - Monsieur Fabrice PIMOR - Monsieur Bruno CHAPELLE - Monsieur Ahcène IMZI - Monsieur Pierre BONALAIR - Monsieur Cédric PELLETIER - Mademoiselle Julia RUSSO – Monsieur Daniel PALFRAY - Madame Catherine NORDET – Absents ayant donné pouvoir : Monsieur Jean Paul LECOQ pouvoir à Monsieur Marc GUERIN – Monsieur Michel GARCIA pouvoir à Monsieur Ahcène IMZI – Madame Nathalie REMOND pouvoir à Monsieur Daniel VATTIER – - Madame Fabienne DUBOSQ pouvoir à Monsieur Alban BRUNEAU - Monsieur Thierry ROLLAND pouvoir à Madame Marie-Claire DOUMBIA Absente : Madame Carole CADEC Secrétaire de séance : Madame Sandra HAUCHECORNE Marc GUERIN : conformément à l’article L 2121-15 du Code général des collectivités territoriales, je vous propose de nommer Sandra HAUCHECORNE pour remplir les fonctions de secrétaire y a-t-il des avis contraires ? Non. Je vous invite à passer à l’approbation du procès-verbal de la séance des conseils municipaux des 4 avril et 16 mai 2011. Y a-t-il des observations particulières sur ces deux procès-verbaux ? Pas d’observation. Je vous propose de voter ces procès-verbaux. Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? C’est un vote unanime. 5 Le point suivant : il s’agit de décisions prises par Monsieur le Maire depuis le dernier conseil municipal. ATTRIBUTION – FOURNITURE ET POSE DE MATERIEL DE CUISINE – 3 LOTS VU - Le Code des Marchés Publics, - La délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2009, approuvant le règlement local « 2009 », relatif au code des marchés publics, s’appliquant aux services municipaux, CONSIDERANT : - que la ville de Gonfreville l’Orcher a décidé l’acquisition de matériels de cuisine, - qu’un dossier de consultation des entreprises, en procédure adaptée, en 3 lots a été rédigé par le par le service Hygiène des Locaux et le service Finances / Marchés Publics : Lot 1 : Fourniture et pose de chambres froides Lot 2 : Fourniture et pose de matériel de laverie de cuisine Lot 3: Fourniture et pose de petit matériel de cuisine VU - l’avis de la commission des marchés en date du 8 juin 2011 proposant : Lot 1 : société HEUZE pour un montant de 22.880,00 € HT Lot 2 : société GIFEC pour un montant de 8.987,63 € HT Lot 3 : société HEUZE pour un montant de 16.366,00 € HT LE MAIRE DECIDE D’attribuer lesdits marchés de fournitures aux entreprises proposées par la commission des marchés DIT Que le montant de la dépense sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 Nature 2188 Fonction selon le site 6 ATTRIBUTION – CONSTRUCTION D’UN LOCAL JEUNES – QUARTIER TELTOW – 9 LOTS VU - Le Code des Marchés Publics, - La délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2009, approuvant le règlement local « 2009 », relatif au code des marchés publics, s’appliquant aux services municipaux, - La délibération du Conseil Municipal du 4 avril 2011 autorisant le Maire, Monsieur Jean-Paul LECOQ, à signer une décision attribuant les marchés de travaux aux entreprises retenues et à signer lesdits marchés, CONSIDERANT : - que la ville de Gonfreville l’Orcher a décidé, dans le cadre du renouvellement urbain du quartier Teltow, 1er Mai, Elsa Triolet, la construction d’un local jeunes. - que le conseil municipal du 19 novembre 2007 a approuvé la proposition de contrat de maîtrise d’œuvre de BERI pour la réalisation d’un local tertiaire calculé selon un montant estimatif de travaux de 256.550,00 € HT € HT (valeur octobre 2005). - que le conseil municipal du 16 mai 2011 a approuvé l’Avant Projet Définitif – en 9 lots concernant la construction d’un local jeunes dans le quartier Teltow pour un montant de 425.000,00 € HT (valeur février 2011) : Lot 1 : gros -oeuvre Lot 2 : charpente – ossature bois - bardages Lot 3 : étanchéité membrane monocouche Lot 4 : menuiseries extérieures bois Lot 5 : cloisons – doublages – menuiseries intérieures bois Lot 6 : plomberie – chauffage - ventilation Lot 7 : électricité Lot 8 : carrelage – revêtement de sol Lot 9 : peinture VU - l’avis des commissions des marchés en date des 25 mai et 15 juin 2011 proposant : Lot 1 : société DAMAEL pour un montant de 85.585,09 € HT 7 Lot 2 : société ROUEN ETANCHE pour un montant de Lot 3 : société DESCHAMPS pour un montant de Lot 4 : société G.N.C. pour un montant de 24.554,92 € HT 147.087,74 € HT 37.686,74 € HT Lot 5 : société LA FRATERNELLE pour un montant de 75.341,06 € HT Lot 6 : société EIFFAGE THERMIE pour un montant de 45.922,39 € HT Lot 7 : société DOMUS pour un montant de 17.675,00 € HT Lot 8 : société P.N.S.A. pour un montant de 12.280,62 € HT Lot 9 : société P.N.S.A. pour un montant de 8.996,26 € HT Soit un total de 455.129,82 € HT LE MAIRE DECIDE D’attribuer lesdits marchés de travaux aux entreprises proposées par la commission des marchés DIT Que le montant de la dépense sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 Nature 2313 Fonction 824 Programme 9047 8 ECOLE PRIMAIRE TURGAUVILLE – TRAVAUX D’AMENAGEMENT – 3 LOTS VU - Le Code des Marchés Publics, - La délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2009, approuvant le règlement local « 2009 », relatif au code des marchés publics, s’appliquant aux services municipaux, - La délibération du Conseil Municipal du 4 avril 2011 autorisant le Maire, Monsieur Jean-Paul LECOQ, à signer une décision attribuant les marchés de travaux aux entreprises retenues et à signer lesdits marchés CONSIDERANT : - que la ville de Gonfreville l’Orcher a décidé la réalisation de travaux d’aménagement à l’école primaire Turgauville, - qu’un dossier de consultation des entreprises, en procédure adaptée, en 3 lots a été rédigé par le bureau d’études GM13 : Lot 1 : Déménagement / nettoyage Lot 2 : Plafonds suspendus Lot 3 : Electricité VU - l’avis de la commission des marchés en date du 29 avril 2011 retenant : Lot 1 : société A.N.P.S. pour un montant de 12.600,00 € HT Lot 2 : société ALGEMA pour un montant de 39.110,00 € HT Lot 3 : société DOMUS pour un montant de 87.680,00 € HT LE MAIRE DECIDE D’attribuer lesdits marchés de travaux aux entreprises retenues par la commission des marchés DIT Que le montant de la dépense sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 Nature 2313 Fonction 20 9 ATTRIBUTION – TRAVAUX DE COUVERTURE ET DE BARDAGE – 1 LOT VU - Le Code des Marchés Publics, - La délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2009, approuvant le règlement local « 2009 », relatif au code des marchés publics, s’appliquant aux services municipaux, - La délibération du Conseil Municipal du 4 avril 2011 autorisant le Maire, Monsieur Jean-Paul LECOQ, à signer une décision attribuant le marché de travaux à l’entreprise retenue et à signer ledit marché CONSIDERANT : - que la ville de Gonfreville l’Orcher a décidé la réalisation de travaux de couverture et de bardage sur différents bâtiments de la commune, - qu’un dossier de consultation des entreprises, en procédure adaptée, en 1 lot a été rédigé par le bureau d’études GM13 : Tavaux de couverture et de bardage, VU - l’avis de la commission des marchés en date du 13 avril 2011 retenant : Groupement BIENFAIT couverture / LECOQ MAILLARD. pour un montant de 392.072,47 € HT LE MAIRE DECIDE D’attribuer ledit marché de travaux au groupement retenu par la commission des marchés DIT Que le montant de la dépense sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 Nature 2313 Fonction selon le site Marc GUERIN : nous accueillons Pierre BONALAIR pour les présents de cette réunion. Monsieur Pierre BONALAIR présent. 10 ATTRIBUTION – CONTRAT DE MAINTENANCE – CHAUFFAGE VENTILATION SANITAIRE - SOCIETE BENOIT GUYOT – SERVICE REGIE TECHNIQUE VU - Le Code des Marchés Publics, - La délibération du Conseil Municipal du 16 mars 2008, autorisant Le Maire Monsieur Jean-Paul LECOQ à prendre toute décision concernant la préparation, la passation, l’exécution et le règlement des marchés et des accords-cadres d’un montant inférieur à un seuil défini par décret ainsi que toute décision concernant leurs avenants qui n’entraînent pas une augmentation du montant du contrat initial supérieure à 5 % lorsque les crédits sont inscrits au budget, CONSIDERANT - que la ville de Gonfreville l’Orcher doit faire effectuer des prestations d’entretien et de maintenance des installations de chauffage, ventilation, et de sanitaire de la colonie « Les Ailes Blanches » située à Magland, - le contrat de prestations de service proposé par la société BENOIT GUYOT, pour l’année 2011, reconductible pour les années 2012 à 2014 pour un coût annuel de 9 888,35 € HT, LE MAIRE APPROUVE Le contrat de prestations de service proposé par la société BENOIT GUYOT, pour l’année 2011, reconductible pour les années 2012 à 2014 pour un coût annuel de 9 888,35 € HT, DIT Que le montant de la dépense sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 : Nature 6156 Fonction 423 11 ATTRIBUTION – REHABILITATION D’UN LOGEMENT – 4 RUE DE LA VERRERIE – 9 LOTS VU - Le Code des Marchés Publics, - La délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2009, approuvant le règlement local « 2009 », relatif au code des marchés publics, s’appliquant aux services municipaux, CONSIDERANT : - que la ville de Gonfreville l’Orcher a décidé la réhabilitation d’un logement situé 4 rue de la Verrerie dans la cité de Mayville, - qu’un dossier de consultation des entreprises, en procédure adaptée, en 9 lots a été rédigé par l’équipe de maîtrise d’œuvre de Madame Florence VASSELIN : Lot 1 : Gros-œuvre / carrelage Lot 2 : Charpente bois Lot 3 : Couverture Lot 4 : Menuiseries extérieures Lot 5 : Menuiseries intérieures / cloisons / plafonds Lot 6 : Plomberie / chauffage / ventilation Lot 7 : Electricité Lot 8 : Peinture / sol souple Lot 9 : Espaces verts / clôtures VU - l’avis de la commission des marchés en date du 8 juin 2011 retenant : Lot 1 : société MALANDAIN. pour un montant de 75.609,61 € TTC Lot 2 : société LETHUILLIER pour un montant de 9.352,46 € TTC Lot 3 : société CEGIB pour un montant de 10.715,98 € TTC Lot 4 : société G.N.C. pour un montant de 12.491,05 € TTC Lot 5 : société G.N.C. pour un montant de 18.393,19 € TTC Lot 6 : société CEGIB pour un montant de 18.943,18 € TTC 12 Lot 7 : société DOMUS pour un montant de 11.072,00 € TTC Lot 8 : société TRAPIB pour un montant de 9.766,63 € TTC Lot 9 : société MARTIN pour un montant de 3.542,56 € TTC LE MAIRE DECIDE D’attribuer lesdits marchés de travaux aux entreprises retenues par la commission des marchés DIT Que le montant de la dépense sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 Nature 2313 Fonction 71 Programme 9066 Daniel PALFRAY : Apparemment nous n’avons aucune note sur ce que vous venez de dire ? Marc GUERIN : ce sont les décisions du maire. C’est normal, c’est une information. Ce sont les décisions que le maire a prises et qu’il prend régulièrement entre deux conseils municipaux. Il en informe les membres du conseil municipal. Il est toujours possible d’aller chercher les dossiers techniques dans les services. Daniel PALFRAY : d’accord Marc GUERIN : enfin pour la dernière décision : 13 ATTRIBUTION – AMENAGEMENT DU SECTEUR DU TRIANGLE – ZAC DU CHEMIN VERT - 5 LOTS VU - Le Code des Marchés Publics, - La délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2009, approuvant le règlement local « 2009 », relatif au code des marchés publics, s’appliquant aux services municipaux, - La délibération du Conseil Municipal du 4 avril 2011 autorisant le Maire, Monsieur Jean-Paul LECOQ, à signer une décision attribuant les marchés de travaux aux entreprises retenues et à signer lesdits marchés, CONSIDERANT : - que la ville de Gonfreville l’Orcher a décidé l’aménagement du secteur du Triangle dans la ZAC du Chemin Vert. - que le conseil municipal du 15 décembre 2000 a retenu l’équipe de Madame F. SYLVOS pour la Maîtrise d’œuvre de l’aménagement du secteur d’urbanisation « Le Chemin Vert », - que le conseil municipal du 4 avril 2011 a approuvé l’Avant Projet Définitif – en 4 lots – concernant l’aménagement du secteur du Triangle dans la ZAC du Chemin Vert pour un montant de travaux de 3.550.000,00 € HT (valeur février 2011), Lot 1 : Aménagement de voirie Lot 2 : Eclairage public et électricité Lot 3 : Ouvrages hydrauliques et promenade Lot 4 : Plantations Lot 5 : Entretien des plantations VU - l’avis de la commission d’appel d’offres en date du 8 juin 2011 retenant : Lot 1 : société VALERIAN pour un montant de 945.527,13 € HT Lot 2 : société E.T.D.E. pour un montant de 117.121,20 € HT Lot 3 : société GAGNERAUD pour un montant de 527.798,54 € HT Lot 4 : société VALLOIS. pour un montant de 1.000.586,78 € HT Lot 5 : société VALLOIS pour un montant de 187.208,95 € HT 14 Soit un total de 2.778.242,60 € HT LE MAIRE DECIDE D’attribuer lesdits marchés de travaux aux entreprises proposées par la commission des marchés DIT Que le montant de la dépense sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 Nature 2315 Fonction 824 Programme 9061 Avant d’aborder l’ordre du jour vous avez reçu par courrier ce week-end d’un additif des questions à rajouter à l’ordre du jour : Il s’agira des questions 52, 53, 54, 55 et 56 si vous en êtes d’accord. Je dois également vous poser la question pour mettre à l’ordre du jour deux questions avec une inscription d’urgence. Il s’agit de la question 57 au sujet du service enfance jeunesse enseignement, une convention de partenariat entre la ville et le centre social AGIES relative à l’organisation d’accueil périscolaire des enfants d’âge maternel et élémentaire, et la question 58 le service des finances, marchés publics service patrimoine de l’avenant n° 2, l’entreprise VALLOIS pour le Chemin Vert les Villas, le lot 3, plantations. Si vous en êtes d’accord, il y a des observations particulières ? Je vous en remercie. Je vous propose de dérouler notre ordre du jour. D'excuser bien sûr Monsieur le Maire. Il s’agit d’une séance un peu particulière. Comme vous avez pu le voir sur France 3 Normandie, Monsieur le Maire a été interviewé par un journaliste pour parler de sa mission en Palestine avec la Flottille de la Paix, à la fois dans une mission de paix humanitaire et pour confirmer un soutien à la lutte du peuple palestinien. Je ne peux pas vous en dire plus au moment où l’on se parle, je n’ai pas d’information. Simplement comme il le disait, le premier adjoint, c’est aussi celui qui est maire en l’absence du maire. Je vais faire de mon mieux ce soir pour pallier à l’absence momentanée de notre maire. Nous lui souhaitons plein succès dans sa mission avec toutes les difficultés que cela peut comporter. En effet, nous aurons l’occasion d’échanger quand il sera revenu bien entendu, avec toutes les péripéties, en espérant que ce soit couronné de succès. Le premier point de l’ordre du jour, n’hésitez pas à m’interrompre, c’est une instance délibérante, nous avons pris l’habitude de nous dire plein de choses. Le point 1 de notre ordre du jour, voilà. J’ai oublié de vous demander de l’indulgence, nos techniciens sont là, ça devrait aller, c’est une première et ce n’est pas évident! Une loi récente qui remonte au 16 décembre 2010 porte réforme des collectivités territoriales et qui vise à un triple objectif : achever la carte intercommunale par le rattachement des dernières communes isolées à des établissements publics de coopération intercommunale et fiscalité propre, rationaliser le périmètre des E.P.C.I. à fiscalité propre existant et simplifier la carte des syndicats. L’article 35 de la loi précitée a confié au préfet le soin d’élaborer un 15 document de référence. Ce dernier a engagé une consultation des élus qui s’est poursuivi devant la commission départementale de la coopération intercommunale réunie les 15, 29 avril et 16 mai derniers. Le préfet a arrêté le projet de Schéma Départemental de Coopération Intercommunale le 16 mai dernier, et l’a adressé pour avis à la CODAH et aux communes membres. Ce soir, nous sommes amenés à émettre un avis sur ce document. Nous avons eu l’occasion d’évoquer à plusieurs titres et au cours de plusieurs réunions, les projets qui sont issus de ces réflexions. Au dernier conseil municipal, le maire avait déjà développé tout un argumentaire là-dessus, puisqu’il s’agit à travers ce schéma d’intégrer les communautés de communes de Saint-Romain et également de Criquetot l’Esneval. Nous avions commencé à élaborer une certaine réflexion, chose qui a eu lieu également en bureau de CODAH et voici la position que je souhaite mettre en débat ce soir au conseil municipal. Décembre 1789 a vu la naissance des communes et des départements pour casser les provinces et donner le pouvoir aux citoyennes et aux citoyens. Aujourd’hui c’est la mort programmée des départements et des communes pour retirer le pouvoir au peuple et réinventer les provinces sous administration préfectorale. C’est un abandon des valeurs de liberté, d’égalité, de laïcité et de solidarité qui ont façonné notre pays depuis la révolution. Forts de lois votées de justesse par le Parlement en fin 2010, les préfets mettent la pression sur les élus locaux afin de boucler le dossier de l’intercommunalité d’ici fin 2011, sans aucun débat démocratique, pour une mise en œuvre début 2013. Aujourd’hui, notre conseil municipal doit se prononcer puisque le délai est début août sur le nouveau schéma présenté par le préfet de Seine-Maritime. Cet impératif de l’Etat est d’autant plus scandaleux que c’est en pleine saison estivale que les conseils municipaux doivent rendre leur avis. C’est une attitude irrespectueuse envers les élus du peuple sur une telle question qui, nous le savons, va bouleverser profondément nos territoires et la vie des populations. C’est encore plus grave quand on sait que ces lois de la réforme territoriale n’ont pour seul objectif que de répondre au pacte euro, à l’Europe de la concurrence et aux exigences des marchés financiers. Après la suppression de la taxe professionnelle et son remplacement aléatoire par des dotations d’Etat gelées et des taxes non pérennes, les collectivités territoriales sont privées depuis deux ans de toute marge de manœuvre financière, elles sont étranglées et mises sous tutelle. Après la mise en place des commissions départementales de coopération intercommunale, la plupart des préfets présentent leurs visions étatiques du territoire et veulent imposer sans délai une nouvelle organisation territoriale, sans étude financière, sans débat sur le devenir des compétences, en fonction des différentes hypothèses de périmètre, et sans réel avis préalable des conseils municipaux, généraux et régionaux ainsi que de la population. Les préfets ont ordre d’imposer des adhésions de communes, fusions, extensions de communautés en supprimant au passage de très nombreux syndicats intercommunaux. Ils ont d’autant plus les coudées franches qu’ils ne sont ni contraints à entendre les critiques, ni à suivre les avis des conseils municipaux, ni même les choix qui seront portés par les CDCI. Cela préfigure de la 16 disparition des départements, voire des communes et l’affaiblissement de la démocratie de proximité. Ainsi, les 745 communes du département seraient regroupées en 26 établissements publics de coopération intercommunale au lieu des 36 actuellement. De 36 nous passerions à 26 articulées en 3 communautés d’agglomération : Rouen avec la CREA, Le Havre et Dieppe. Il ne resterait que 23 communautés de communes au lieu de 33. Il existe un fait curieux, c’est Fécamp! La ville est forte de ses 20 000 habitants et elle n’aurait pas de statut d’agglomération. Elle serait la seule en Seine-Maritime dans cette situation pour le cas où Fécamp ne pourrait pas créer avec ses voisins une communauté viable, il apparaît qu’elle souhaite intégrer la CODAH. Pourquoi n’est-elle pas entendue? Pourquoi l’isoler? Pourquoi ne pas l’accueillir? Est-ce parce que la présidence de l’agglomération de Fécamp n’est pas UMP et que l’intégrer risquerait de compromettre les espoirs électoralistes du président havrais ? Ainsi, selon le projet de l’UMP de la droite havraise proposé par le préfet, la CODAH passerait de 17 communes pour 246 084 habitants à 54 communes avec le rattachement de la communauté de Saint-Romain de Colbosc. Donc Saint-Romain, c’est 16 communes avec 17 396 habitants et celle de Criquetot l’Esneval qui comporte 21 communes pour 16 035 habitants soit au total une population de 279 515 habitants. Notre maire Jean-Paul LECOQ l’a toujours exprimé auprès d’Antoine RUFFENACH et d’Edouard PHILIPPE, nous sommes favorables à l’intégration de la communauté de communes de Saint-Romain de Colbosc du point de vue géographique et économique puisqu’il s’agit de la continuité de l’agglomération havraise située sur l’axe de la Seine et dotée d’un patrimoine industriel significatif : la zone industrielle, les axes routiers et ferroviaires, mais rien ne justifie le rattachement de celle de Criquetot l’Esneval, sauf à considérer qu’elle n’est utile que politiquement à la majorité de droite avec seulement 33 431 habitants supplémentaires que la CODAH actuelle. Pour 37 communes de plus, la droite havraise veut s’assurer de conserver la présidence de l’intercommunalité future, d’où la sourde oreille quant à la sollicitation de Fécamp. En effet, en rattachant les 21 communes de Criquetot l’Esneval, elles pourraient être utiles à l’actuelle majorité de la CODAH, afin de poursuivre sa politique de droite même au cas où elle perdrait la mairie du Havre en 2014, puisque dorénavant les élus communautaires seront élus par les électeurs en même temps que les maires élus par fléchage mais dont les candidats seront les têtes de listes des municipales. Ainsi, même dans l’opposition municipale au Havre, la droite pourrait s’assurer la présidence de la CODAH au regard du nombre de communes et notamment celles incluses dans la communauté de communes de Criquetot l’Esneval. C’est cette idée d’intercommunalité qui a motivé le Président de la République et au Havre, la façon dont la droite met en œuvre cette réforme. C’est avec une vision politicienne pour conserver le pouvoir plutôt que défendre un projet communautaire, c’est aussi une des raisons pour laquelle le Président de la CODAH n’exige pas de débat public sur un projet communautaire d’une telle envergure débouchant sur un territoire pertinent, cohérent, ce qui pose un vrai problème sur le sens d'une intercommunalité partagée. 17 Notre conception de l’intercommunalité, ce n’est pas une question de tel ou tel territoire. Ce n’est pas d’exclure ce qui peut gêner, car nous sommes prêts à accueillir qui veut être à nos côtés, à condition de défendre un projet politique partagé pour une ambition commune : l’intérêt de nos populations, comme l’a rappelé Jean-Paul LECOQ au dernier bureau communautaire, nous voulons bien faire une équipe mais connaître le nombre de participants et pour quel sport ! C’est une image sportive mais qui caractérise bien l’esprit de notre ville de surcroît, en incluant la communauté de communes de Criquetot l’Esneval dans le périmètre de la CODAH, c’est aussi répondre aux attentes du Grand Port Maritime du Havre avec Antifer dans le giron havrais. Cet argument majeur du préfet pour justifier la fusion avec la communauté de communes de Criquetot n’est pas suffisant. Rien à ce jour n’empêche le fonctionnement du port, ou alors ce serait pour mieux écraser la résistance de la municipalité et des habitants de Saint-Jouin de Bruneval concernant les projets à Antifer. Cette décision du gouvernement n’a rien à voir avec l’intérêt général. Seul l’intérêt politicien domine. C’est d’ailleurs le fil conducteur à tous les niveaux de sa réforme des collectivités territoriales. L’objectif est de regrouper autoritairement l’ensemble des communes au sein d’intercommunalités élargies puis de les transformer en métropoles dans lesquelles les coopérations existantes, les projets et les visions d’avenir partagés sont disloqués où les communes n’auront plus de pouvoir décisionnel, un moyen pour en finir avec tout contre pouvoir. Dans un contexte économique et social difficile pour nombre de nos, cette volonté gouvernementale va accentuer nos inégalités, fragiliser certain territoire et appauvrir davantage certaines communes, car ne nous y trompons pas, la mutualisation des moyens, le prétendu partage des richesses ne sont que des leurres. Pour la droite, peut importe pour elle les dégâts, pourvu qu’elle renforce le pouvoir de gouvernance de ces structures devenant inhumaines en poursuivant sa course à la destruction des services publics de proximité. Le Groupe des Elus Communistes, Républicains, Citoyens et le Groupe Socialiste de Gonfreville l’Orcher refusent ces lois centralisatrices, ce démantèlement de la démocratie qui favorisent de grandes collectivités, éloignées du citoyen et contre cette soumission de nos territoires aux lois du profit et aux grands groupes privés. Nous nous opposons à ces choix et proposons la solidarité des territoires des services publics de qualité, partout, en milieu rural ou urbain et exigeons un état garant de l’égalité des citoyens. Nous demandons plus que jamais le respect de la libre administration communale et des ses choix de coopération intercommunale. Comme partout en France les élus municipaux sont confrontés à la volonté du pouvoir de redessiner la carte de l’intercommunalité à marche forcée, puisque les préfets ont ordre de rendre leur copie d’ici au 30 décembre 2011. Ainsi le Président de la République leur a confié un pouvoir accru pour contraindre les communes à mettre en œuvre leurs préconisations qui remettent en cause leur autonomie. L’intercommunalité doit être un outil de coopération et non de coercition. Elle ne doit être que le produit de la concertation entre collectivités à égalité de droit et de devoir. Ces collectivités en particulier les communes et les communautés doivent s’accorder et notamment sur le 18 caractère mutuellement avantageux de la coopération et doivent pouvoir répondre aux besoins locaux des populations. Nous exigeons de revoir la mission confiée au préfet, notamment en revenant sur les délais imposés pour permettre une réelle concertation au sein des élus et des citoyens. Les élus locaux ont été placés arbitrairement dans les situations réduisant leur pouvoir d’intervention ce qui pose un problème législatif. Ceci d’autant plus que les élus n’ont pas été informés ni des conséquences financières ni fiscales. Quelles seront-elles? C’est le grand silence, alors que les communes ont besoin de connaître quelles seront demain leurs finances pour impulser de nouveaux projets ou simplement mener à terme ceux en cours. Quand le Président de la République de budget en budget installe la France dans la rigueur asphyxiant les collectivités locales, y compris les intercommunalités, cela ne laisse pas présager de réelles possibilités de projets communautaires ambitieux. Après avoir supprimé la taxe professionnelle un impôt important pour accepter sur les territoires, les industries contraignantes, le gouvernement utilise la méthode violente en gelant pour quatre ans les dotations de l’Etat envers les collectivités territoriales. Cette suppression de la taxe professionnelle a amplifié la fragilité budgétaire déjà existante de la CODAH, fidèle relais des mesures gouvernementales pour plusieurs raisons : • la première, la nouvelle structuration de ses recettes ne correspond pas aux ressources de substitution de l’ex taxe professionnelle. • la seconde c’est que les emprunts qu’elle a contractés pour financer l’important programme d’investissement vont peser sur sa capacité de désendettement qui va grimper fortement dès 2012, pour atteindre le seuil des 15 ans. D’ici 2014/2015, c’est un seuil qui est considéré par les professionnels de la finance comme la limite à ne pas dépasser. Sa situation financière est donc déjà en alerte en niveau avec un impact direct sur sa dynamique ses marges de manœuvre et ses facultés d’intervention qui pourront s’en trouver limitées voire menacées. • Il existe un autre revers de l’intercommunalité : les transferts de compétences effectués au gré des regroupements des collectivités seront une occasion à peine dissimulée par le gouvernement, de procéder à un dégraissage du nombre d’agents de la fonction publique territoriale, après ceux de la Fonction Publique d’Etat au nom de la fameuse dépense publique. En se dessaisissant de pans entiers de politique publique sans en compenser le coût pour les collectivités, c’est la démocratie locale qui est en danger. Nous réaffirmons que l’intercommunalité doit être librement consentie par l’ensemble des élus locaux. Elle doit reposer sur la volonté et le libre choix des communes de s’associer avec les autres pour porter dans l’intérêt des citoyens et conformément aux engagements pris devant eux par les élus des projets communs. C’est pourquoi, les conseils municipaux doivent demeurés souverains et de ce fait décider des modalités de leur coopération. Cette intercommunalité volontaire suppose de ne pas remettre en cause la reconnaissance des communes comme échelon de proximité par excellence pour apporter des réponses aux besoins 19 des habitants et donc pour prendre des décisions, à contrario de ce qui se destine aujourd’hui avec cette réforme. Il ne s’agit pas de rester figé, arque bouté car l’intercommunalité doit évoluer mais la faire évoluer, ce n’est pas lui conférer les pouvoirs qui ne sont pas les siens. Elle peut être un atout, à condition, qu’aucune ne soit démesurée, reste à l’échelle humaine et qu’aucune commune ne puisse, en droit ou en fait, pouvoir exercer une tutelle sur une autre. Ce n’est en aucun cas vouloir contraindre les communes à y adhérer sans qu’elles aient leur mot à dire, comme il n’est pas juste de repousser celles qui veulent entrer dans une nouvelle communauté à l’image de Fécamp. Ces établissements publics ne peuvent se substituer aux communes et doivent restés des outils de mutualisation où la cohérence doit être de mise et notre agglomération havraise peut porter des coopérations dans de nombreux domaines comme les risques industriels et le PPRT, le port, le bassin d’emplois, les transports collectifs, la fibre optique et le volet touristique. Autant de sujets parmi d’autres qui peuvent être inscrits dans le cadre de la nouvelle disposition de syndicats intercommunautaires. Notre maire a beaucoup insisté sur ce point lors du séminaire de la CODAH et lors du dernier bureau communautaire, « il faut une CODAH dynamique peu imposante pour mieux coopérer avec les communautés voisines à de grands projets de territoire à l’échelle de l’estuaire ». Je le cite. En effet, cette disposition prévoit des coopérations entre communautés d’agglomération et communautés de communes, interdites jusqu’à présent. C’est sans doute le seul point positif de cette réforme C’est d’un nouveau type de coopération dont nous avons besoin, fait d’échanges, de partages, de solidarité, à l’échelle du pays. Le plus sûr moyen d’être efficace, pertinent, constructif pour le bien des populations, la seule alternative pour que l’intercommunalité soit un moyen répondant aux attentes et aux besoins de l’ensemble de nos communes et aux populations. Dès lors qu’il y a contrainte, il y aura rupture à un moment donné. La contrainte n’était pas synonyme de sérénité. Elle engendre plutôt la discorde, entravant tout espoir d’avancer ensemble vers des objectifs communs. Voilà ce que rappelait Jean-Paul LECOQ. La municipalité de Gonfreville l’Orcher considère qu’aujourd’hui, l’intercommunalité ne peut plus se contenter que de structurer nos territoires par de grands équipements, elle doit axer sa politique en mettant l’humain au centre de ses préoccupations, de ses actions pour être efficace utile à toutes et à tous. Pour les raisons que je viens d’invoquer le Groupe des Elus Communistes, Républicains, Citoyens et le Groupe Socialiste voteront contre le Schéma Départemental de Coopération Intercommunale tel qu’il est proposé par le préfet. Voila. Monsieur Daniel PALFRAY souhaite réagir à cette déclaration. Daniel PALFRAY : premièrement, le sujet est tombé il y a deux ou trois mois, alors nous n'en parlions peu ou pas du tout. Je ne partage pas tout ce qui vient d’être mis dans cette missive. 20 Je pense que ce n’est pas mûr. Il manque beaucoup de chiffres, de budget. Cela a été dit. Par contre, nous sommes dans une période où nous ne pouvons pas toujours rester comme on était trente ans, quarante ans, cinquante ans, en 1789! Nous avons plein de choses qui sont, je pense dues au duo urbain/ruraux. Nous avons vécu des siècles où entre gens du Havre et gens de la campagne, il n’y avait pas de relation ou très peu, alors qu’aujourd’hui on voit que ça vient un peu dans les schémas qui ont été faits, dans le SCOT. Le SCOT, qu’on a travaillé avec les gens de Saint-Romain. D’un autre côté, Criquetot, on ne peut pas le laisser tout seul! Il y a une notion de partage et c’est là que je suis. On manque énormément de chiffres et de choses concrètes pour l’avenir. Ma position est que le fil de cela n’est pas mûr. On ne fait pas un mariage forcé, on fait un mariage quand on a envie de le faire, quand on sent que les choses sont prêtes et ça se mature : je pense aux problèmes des transports, des déchets, tourisme, haut débit, ce n’est plus le problème de Gonfreville l’Orcher. Après, il faut dépasser au-delà du Havre, c’est ma position donc je voterai contre ce qui vient d’être présenté. Marc GUERIN : est que d’autres collègues souhaitent intervenir ? Pierre LEBAS a demandé la parole. Pierre LEBAS : Forcément que je partage l’avis qui vient d’être donné par Monsieur le Maire. La façon dont c’est présenté, c’est un projet à marche forcée présenté par ça me gêne un peu de dire que le préfet est le représentant de l’Etat, pour moi il est représentant du gouvernement et de cette façon là c’est la même logique : Monsieur le Président de la République a décidé donc j’applique! Ce n’est pas le rôle d’un préfet! Le préfet est là pour garantir les droits des citoyens et des instances républicaines. Ce n’est pas ce qu’il fait là! Notre avis? Majoritairement nous allons voter contre le projet du préfet, mais de toute façon, il n’en a rien à faire! C’est inadmissible, c’est de la démocratie à l’envers! Il faut voter contre! Marc GUERIN : Monsieur IMZI. Hacène IMZI: on en a assez discuté de ce projet-là, mais c’est quand même une reprise. C’est une obstruction à la décentralisation. Cela remet en cause les pouvoirs locaux et ça remet en cause beaucoup de choses: il y a eu la loi VOYNET qui a mis en place les pays et les périmètres qui sont décidés aujourd’hui, ne correspondent pas aux pays. Dans les questions de pays, on parle de traditions, d’un vécu ensemble, il y a eu des intercommunalités qui ont été faites. Pourquoi les périmètres ne s’adaptent pas à ce qui existait déjà? On veut toujours créer des nouveau périmètres, on veut changer, on veut remettre des nouvelles frontières etc… soit on ouvre tout, soit on ferme tout. On ne peut pas laisser les choses comme ça, ce n’est pas possible. Marc GUERIN: y a t’il d’autres interventions ? Je vous propose suite à cette déclaration pour reprendre le cours normal de cette délibération, puisqu’il faut que nous délibérions, voilà notre avis sur la proposition de Schéma Départemental de Coopération Intercommunale. Tout d’abord, dans le respect de la démocratie et avant d’imposer ce schéma, je reste persuadé qu’il aurait fallu commencé par consulter l’équipe des élus. Les interventions ont été dans ce sens, afin que nous-mêmes, nous ayons pu consulter nos administrés et leur demander leurs avis. 21 Quand nous parlons de démocratie participative et en particulier ici à Gonfreville l’Orcher, nous savons que c’est souvent un exercice compliqué, mais il en ressort des grandes décisions et beaucoup d’énergie. Nous sommes face à une proposition qui ne semble pas répondre aux enjeux de développement économique de transport, d’habitat, d’environnement auxquels notre territoire de la Pointe de Caux doit répondre pour les prochaines années. De nombreuses interrogations existent encore dans les différents territoires concernés et rien n’a été mis en œuvre pour permettre aux élus que nous sommes, aux populations de réfléchir de manière constructive. Quant au devenir du périmètre de cette intercommunalité, notamment en partant des besoins réels de coopération, mais aussi en termes de fiscalité, comme il a été dit, ce scénario qu’on nous impose n’a pas anticipé les conséquences économiques et sociales qu’il pourrait révéler. La méthode employée révélatrice, bien entendu d’une conception de l’intercommunalité éloignée des préoccupations des gens, car elle privilégie la forme avant le fond. Aussi pour l’ensemble de ces raisons, il ne nous paraît pas possible que notre conseil municipal se prononce favorablement sur le projet de Schéma Départemental de Coopération Intercommunal tel qu’il nous est présenté aujourd’hui par le Préfet. En conséquence après en avoir délibéré et vu le Code général des collectivités territoriales et la loi du 16 décembre 2010 qui porte réforme des collectivités territoriales en son article 35 : 1 – AVIS DE LA VILLE DE GONFREVILLE L’ORCHER SUR LE SCHEMA DEPARTEMENTAL DE COOPERATION INTERCOMMUNALE La loi du 16 décembre 2010 de «réforme des collectivités territoriales», dans son article 35, introduit dans le code général des collectivités territoriales, un article L. 5210-1-1 ainsi rédigé : «Dans chaque département, il est établi, au vu d’une évaluation de la cohérence des périmètres et de l’exercice des compétences des groupements existants, un schéma départemental de coopération intercommunale prévoyant une couverture intégrale du territoire par des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre et la suppression des enclaves et discontinuités territoriales.», «... », «Il peut proposer la création, la transformation ou la fusion d’établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre, ainsi que la modification de leurs périmètres. Il peut également proposer la suppression, la transformation, ainsi que la fusion de syndicats de communes ou de syndicats mixtes. » Le Schéma Départemental de Coopération Intercommunale doit prendre en compte notamment les orientations suivantes : • • • • La constitution d’établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre regroupant au moins 5 000 habitants, Une amélioration de la cohérence spatiale des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre au regard notamment du périmètre des unités urbaines au sens de l’I.N.S.E.E., des bassins de vie et des schémas de cohérence territoriale, L’accroissement de la solidarité financière La réduction du nombre de syndicats de communes et de syndicats mixtes 22 Le schéma départemental de la coopération intercommunale doit donc être établi «au vu d’une évaluation de la cohérence des périmètres et de l’exercice des compétences des groupements existants». Il est destiné à servir de cadre de référence à l'évolution de la carte intercommunale dans chaque département. Le schéma, proposé par le Préfet, après présentation à la Commission de Coopération Intercommunale (C.D.C.I.), est ensuite soumis à l'avis des communes concernées qui ont trois mois pour se prononcer. A l'issue de cette consultation, la Commission de Coopération Intercommunale se prononce dans le délai de quatre mois et le Préfet doit l'arrêter avant le 31 décembre 2011. Il est ensuite révisé tous les six ans. Pour la Seine Maritime, la Commission de Coopération Intercommunale a été réunie deux fois par le Préfet (15 et 29 avril 2011) et ce dernier a arrêté lors de la troisième réunion du 16 mai un projet de Schéma Départemental de Coopération Intercommunale (S.D.C.I.) qui nous a été transmis le 20 mai et sur lequel nous devons nous prononcer dans le délai de trois mois. Les avis des Communes et des Établissements de Coopération Intercommunale seront transmis pour la fin août à la C.D.C.I. qui aura quatre mois pour se prononcer. Les propositions de modification du projet de Schéma adoptées par la Commission à la majorité des deux tiers de ses membres sont intégrées dans le projet de Schéma. Le préfet de Seine Maritime arrêtera définitivement le S.D.C.I. avant le 31 décembre 2011. Le Schéma pour la Seine Maritime prévoit sur la base d'’études de l’INSEE , des entretiens entre le Préfet, les Sous-Préfets, les élus et des trois réunions de la C.D.C.I., cinq fusions d’E.P.C.I. à fiscalité propre. Pour notre territoire, le Schéma présenté par le Préfet prévoit la fusion des E.P.C.I. suivants : • • • Communauté de l'Agglomération Havraise ( CODAH) Communauté de Communes de Saint-Romain de Colbosc Communauté de Communes de Criquetot l'Esneval L'argumentaire justifiant cette proposition est le suivant : «Cette fusion répond à une réalité, celle d'un bassin de vie dynamique, autour de l'agglomération havraise. Elle permettra de conforter un pôle solide, aux compétences claires et au rayonnement incontestable. La cohérence spatiale se trouvera ainsi renforcée, le nouveau périmètre prenant en compte l'aire urbaine et le bassin de vie du Havre dont les interactions avec les communautés de communes de Saint-Romain de Colbosc et du canton de Criquetot l'Esneval, s'agissant de l'emploi, des équipements de la vie courante, des loisirs et des déplacements domicile/travail, sont aujourd'hui étroites et grandissantes. C'est bien d'un véritable bassin de vie qu'il s’agit, permettant, à l'Est, de gérer en cohérence les enjeux considérables du développement de la zone industrialo-portuaire, et au Nord/Ouest, avec la Communauté de Communes du canton de Criquetot l'Esneval, de conforter une logique de développement durable, articulée en particulier autour du tourisme. C’est aussi l'occasion de relier en toute logique à l'agglomération havraise Antifer, équipement du Grand Port Maritime du Havre. Au moment où la réflexion stratégique et opérationnelle sur l'Axe Seine s'intensifie, le territoire havrais sera ainsi renforcé, et constituera un atout supplémentaire dans l'affirmation de ses potentialités comme porte d'entrée maritime du Grand Paris et comme moyen privilégié de la relance de la politique maritime de la France. Cette fusion accroîtra la solidarité financière sur l’ensemble du nouveau territoire, notamment au profit du périmètre de la communauté de communes de Criquetot l’Esneval». 23 Concernant les compétences, le S.D.C.I. indique que : «Toutes les compétences transférées par les communes aux établissements existants avant la fusion sont exercées par le nouvel EPCI sur l’ensemble de son territoire.» Le profil du nouvel E.P.C.I. serait le suivant : E.P.C.I. Population Nombre de communes CA Agglomération Havraise (CODAH) 246 084 17 CC de Saint-Romain-de-Colbosc 17 396 16 CC du canton de Criquetot-l’Esneval 16 035 21 Total du nouvel EPCI 279 515 habitants 54 communes Il convient aujourd'hui que nous nous prononcions sur cette proposition. Plusieurs éléments doivent être pris en compte. La méthode : bien que l'Etat et le Préfet mettent en avant la large concertation des élus, force est de constater l'absence complète des citoyens dans les consultations en cours sur l'avenir de leur territoire : absence de consultation des associations et organismes représentatifs et absence même de présentation des enjeux et conséquences aux citoyens eux mêmes. De même, le calendrier très « resserré » de la démarche montre que l'Etat souhaite aboutir sur cette énième réforme avant les prochaines grandes échéances électorales nationales, afin de « boucler » le débat national sur les institutions, les modes d'organisation des collectivités territoriales et les moyens qui leur sont accordés. Cette précipitation et absence de concertation réelle ne laisse aucune possibilité aux élus de consulter les habitants, de se rencontrer pour élaborer d'éventuelles propositions alternatives. La proposition de schéma Plusieurs réflexions préalables sont à prendre en compte : Tout d'abord, il est nécessaire de rappeler que notre Collectivité s'est toujours montrée favorable à une véritable coopération intercommunale, basée sur la réalité de vie des habitants du territoire, sans exclusive politique, une coopération mettant en œuvre une solidarité renforcée aussi bien au niveau financier qu'au titre du développement, une coopération soucieuse de la démocratie locale, sur la base une « gouvernance » partagée et respectueuse des avis exprimés. 24 Sur nombre de ces points, la CODAH n’a pas répondu à nos attentes et à nos besoins, notamment sur l’aspect financier au regard de la sociologie de la ville et sur le manque de concertation sur les grands choix stratégiques et à la réflexion sur les projets menés. Il convient de rappeler également que dés les premières discussions menées en 2000 préalablement à la création de la CODAH, nous nous étions prononcés pour un périmètre élargi à trente trois communes intégrant le territoire actuel de la CODAH et celui de la Communauté de Communes de Saint-Romain de Colbosc. La CODAH avec 33 communes resterait à une échelle humaine, respecterait la cohérence des territoires afin de conserver le dynamisme indispensable pour faire face aux enjeux et aux défis de demain. Depuis la création de la CODAH un travail de coopération poussé a d'ailleurs été mené avec la Communauté de Communes de Saint-Romain de Colbosc : création d'un « Pays », élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) Le Havre – Pointe de Caux -Estuaire, coopération touristique (antenne de l'Office de tourisme à Saint - Romain), études spécifiques (schéma de très haut débit par exemple)... D'autre part, des réflexions ont été menées, à l'échelle de l'Estuaire, notamment dans le cadre du Comité des Élus de l'Estuaire, regroupant les cinq Pays de l'Estuaire. Au travers de ces réflexions, rencontres, débats, nous avons pu mesurer que ce périmètre représente une véritable force pour le développement de notre territoire. Nous pourrions d’ailleurs renforcer ces coopérations avec d’autres communautés d’agglomération ou de communes, puisque la nouvelle réforme l’autorise dorénavant. Nous n’aurions plus besoin de créer des « mille feuilles » d’associations pour travailler ensemble. Il s’agit d’intégrer cette disposition de la nouvelle loi dans nos réflexions et perspectives. Nos estimons également que le Schéma Départemental de Coopération Intercommunal se doit d'être équilibré au niveau départemental et qu'il doit ainsi permettre de créer des ensembles cohérents, basés sur l'intérêt des populations concernées, sans rupture territoriale ni isoler un quelconque territoire. Quant à l'intégration de la Communauté de Communes du canton de Criquetot l'Esneval dans le périmètre de la CODAH préconisé par le Préfet, elle ne nous semble pas fondée. L’argument d’Antifer et son lien avec le Grand Port Maritime du Havre ne justifie pas cette décision. Elle ne vise qu’à marquer un positionnement politique gouvernemental contre l’avis des élus de la communauté de communes de Fécamp. Notre avis sur la proposition de Schéma Départemental de Coopération Intercommunale Tout d’abord, dans le respect de la démocratie, avant d’imposer ce schéma, il aurait fallu commencer par consulter le collectif des élus afin qu’eux-mêmes consultent leurs administrés et recueillir leur avis. Nous sommes donc face à une proposition qui ne nous semble pas répondre aux enjeux de développement économique, de transport, d'habitat, d'environnement auxquels notre territoire de la Pointe de Caux doit répondre pour les prochaines années. De nombreuses interrogations existent encore dans les différents territoires concernés et rien n'a été mis en œuvre pour permettre aux élus locaux et aux populations de réfléchir de manière constructive 25 au devenir du périmètre de l'intercommunalité notamment en partant des besoins réels de coopération, mais aussi en termes de fiscalité. Ce scénario qu’on nous impose n’a pas anticipé les conséquences économiques et sociales qu’il pourrait révéler. La méthode employée est révélatrice d'une conception de l'intercommunalité éloignée des préoccupations des habitants, privilégiant la forme avant le fond. Aussi pour l'ensemble de ces raisons, il ne nous paraît pas possible que notre Conseil Municipal se prononce favorablement sur le projet de Schéma Départemental de Coopération Intercommunale tel que présenté aujourd'hui par le Préfet. En conséquence, et après en avoir délibéré, LE CONSEIL MUNICIPAL Vu le Code Général des Collectivités territoriales, Vu la Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 portant réforme des collectivités territoriales et son article 35 notamment, CONSIDERANT • • • le projet de Schéma Départemental de Coopération Intercommunale de la Seine Maritime arrêté le 16 mai 2011 par le Préfet de la Seine Maritime, le courrier du Préfet en date du 20 mai 2011 sollicitant l'avis des communes concernées la proposition contenue dans le Schéma Départemental sus visé, d'un nouveau périmètre intercommunal regroupant les territoires de la CODAH, de la Communauté de Communes de Saint-Romain de Colbosc et la Communauté de Communes de Criquetot l'Esneval CONSIDERANT • • • • • l'absence de consultation des habitants sur le projet et l'insuffisance des moyens prévus par la loi pour permettre aux élus locaux d'échanger sur ce projet, que le choix des communes doit être respecté en tant qu’expression démocratique du territoire, l'insuffisance des éléments précisant le contenu des nouveaux ensembles intercommunaux envisagés, notamment les conséquences financières et fiscales, le risque contenu par l'actuelle mouture du Schéma Départemental de Coopération Intercommunale d'isolement de certains territoires, l'absence de projection du territoire de la Pointe de Caux au niveau de l'Estuaire, DECIDE • d’émettre un avis défavorable sur le projet de Schéma Départemental de Coopération Intercommunale arrêté le 16 mai 2011 par le Préfet de Seine Maritime, PRECONISE 26 • un élargissement du périmètre actuel de la CODAH à la communauté de communes de Saint Romain de Colbosc, • que la communauté de communes de Criquetot l’Esneval vienne compléter le périmètre de la communauté de communes de Fécamp, • une fois le paysage intercommunal harmonisé dans ce sens, une coopération accrue entre les différents EPCI en vue d’œuvrer à une étape ultérieure s’inscrivant dans le développement de l’estuaire de la Seine, La délibération est adoptée par : POUR : 26 voix CONTRE : 1 voix ABSTENTION : 1 voix La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Nous allons procéder au vote qui est pour cette délibération ? qui est contre ? qui s’abstient ? 1 contre – 1 abstention Merci chers collègues. Je propose de poursuivre l’ordre du jour et d’aborder le chapitre des finances. 27 2 – DECISION MODIFICATIVE VU : • le Code Général des Collectivités Territoriales ADOPTE La décision modificative au BP 2011 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : il s’agit là de procéder à quelques ajustements de crédits budgétaires, subventions nouvelles ou complémentaires, des achats, des travaux, des réparations non prévisibles ou des recettes non prévues ou complémentaires, entre certaines imputations dans le respect du vote du budget et de l’instruction M 14. Il s’agit de modifications pour un montant dépenses de 49 118 euros pour des recettes équivalentes. Dedans il est question notamment de dépenses imprévues, de cessions d’immobilisations, d’amortissements de subventions de l’Etat, d’autres collections. Nous prendrons tout à l’heure une délibération, d’autres immobilisations corporelles, le réseau tres haut débit Ville et CODAH, CODAH à la fois en recettes et en dépenses, à hauteur de 45 000 euros, les subventions aux associations 1 892 euros et la quote part de la subvention d’investissement. Avez-vous des questions particulières? Les techniciens sont là pour répondre aux questions posées. Je soumets au vote : y a t’il des avis contraires ? Des abstentions ? Je considère que c’est un vote unanime, je vous en remercie. 28 3 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS –– SERVICE REGIE TECHNIQUE CESSIONS DE VEHICULES VU le Code Général des Collectivités Territoriales CONSIDERANT le vieillissement d’une partie du parc automobile dont la commune souhaite se séparer en réalisant une vente en lot de sept véhicules, CONSIDERANT : Les propositions des trois garages suivants : Sarl Garage FLEURY Société Autosatisfaction Relais de la Porte Océane : 2 990 euros : 3 150 euros : 3 420 euros LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE De céder les 7 véhicules suivants : 672 TK 76, 671 TK 76, 674 TK 76, 552 VH 76, 8120 TN 76, 5361 TL 76, 3538 XC 76, pour un lot global d’une valeur de 3 420 euros (soit une valeur de sortie d’inventaire de 488 euros pour les 6 premiers véhicules et 492 euros pour le septième) au Relais de la Porte Océane DIT Que la recette sera imputée au compte 775/020 du budget de la ville La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : les trois propositions des garages locaux : le garage FLEURY que vous connaissez bien, la société Auto Satisfaction et le Relais de la Porte Océane qui était le mieux disant. Y a t’il des avis contraires ? c’est un vote unanime, je vous en remercie. 29 4 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS –– SERVICE COMMUNICATION CESSION DE MATERIEL FLASHEUSE VU : • • Le Code Général des Collectivités Territoriales La décision du 2 février 2011 autorisant Monsieur le Maire à attribuer un marché pour l’acquisition d’une machine « Computer To Print » à la Société SIPROUDHIS CONSIDERANT : La proposition de rachat par la société SIPROUDHIS d’une flasheuse de marque SCANNIEW Année 1998 pour la somme de 598 euros LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE De céder ce matériel pour la somme de 598 euros. DIT Que la recette sera imputée au compte 775/020 du budget de la ville La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : y a t-il des avis contraires ? des abstentions ? je vous en remercie Si je peux me permettre un petit commentaire, on parle aisément de cessions de matériel. Donc la flasheuse va largement nous permettre, nous l'avions vue en commission, d’améliorer les conditions de travail des agents travaillant à l’imprimerie, en particulier pour supprimer les produits qu’ils utilisaient, les révélateurs. Pour correspondre un peu plus aux normes, c’est une machine sans produit et très performante. On joint l’utile à l’agréable. Je donne la parole à Monsieur Fabrice PIMOR. 30 Affaire présentée par Monsieur Fabrice PIMOR, conseiller municipal délégué 5 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS –– MAINTENANCE DU LOGICIEL PLANITECH-TRANSFERT DE L’ACTIVITE BODET A LOGITUD SOLUTIONS VU : • Le courrier en date du 25 mai 2011 nous informant du transfert d’activité « planification et gestion d’équipements sportifs de la société BODET vers la Société LOGITUD SOLUTIONS à compter du 1er juin 2011, CONSIDERANT : Qu’il est nécessaire de prendre acte par avenant de cette modification LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, PREND ACTE Du transfert d’activité de la société BODET vers LOGITUD SOLUTIONS concernant le marché n° 103.2010 relative à la maintenance du logiciel Planitech APPROUVE L’avenant. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : des avis contraires sur cette délibération ? pas d’abstention ? merci. Affaires présentées par M 31 onsieur Marc GUERIN, Adjoint au Maire 6 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS - MAINTENANCE DU LOGICIEL CIVITAS - RENOUVELLEMENT SERVICE FINANCES ET SERVICE RESSOURCES HUMAINES VU : • • • • Le Code des marchés publics La délibération du 18 décembre 2006 portant reconduction du contrat d’utilisation de progiciels avec la Société CIVITAS La délibération du 14 mai 2007 portant avenant no 1 pour la maintenance du progiciel LEA La délibération du 21 décembre 2009 portant avenant no 2 pour le progiciel « attestations chômage » CONSIDERANT : Que ce contrat est arrivé à échéance Qu’il est nécessaire de renouveler ce contrat au 1 er janvier 2011 LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, ACCEPTE De reconduire le contrat de maintenance du logiciel service finance et ressources humaines pour un montant annuel de 17 177.66 HT pour une durée d’un an renouvelable par période annuelle sans que sa durée totale ne puisse excéder trois ans. Ce contrat sera révisable selon l’indexe SYNTEC. AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. DIT Que la dépense sera imputée au compte 6156.0208 du budget de la ville La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération 32 Marc GUERIN : le maire nous autoriserait moi-même 1er adjoint et Michel GARCIA à signer toutes pièces nécessaires. Avez –vous des questions ? des avis contraires ? des abstentions ? je vous remercie. 33 7 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS –– MAINTENANCE DU LOGICIEL CIVITAS - RENOUVELLEMENT DU CONTRAT D’ASSISTANCE TELEPHONIQUE A L’UTILISATION DES PROGICIELS CIVITAS VU : - Le Code des marchés publics La délibération du 18 décembre 2006 portant reconduction du contrat d’assistance téléphonique à l’utilisation des progiciels avec la société CIVITAS CONSIDERANT : Que ce contrat est arrivé à échéance Qu’il est nécessaire de renouveler ce contrat au 1 er janvier 2011 LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, ACCEPTE De reconduire le contrat d’assistance téléphonique à l’utilisation de progiciels avec la société CIVITAS pour un montant annuel de 1 720.95 euros HT pour une durée d’un an renouvelable par période annuelle sans que sa durée totale ne puisse excéder trois ans. Ce contrat sera révisable selon l’indexe SYNTEC. AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. DIT Que la dépense sera imputée au compte 6156.0208 du budget de la ville La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des observations ? des avis contraires ? des abstentions ? merci 34 8 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS - AVENANT N° 1 – CONVENTION DE SUBVENTION DU CONSEIL RÉGIONAL RELATIVE À LA MISSION D’ASSISTANCE À MAITRISE D’OUVRAGE H.Q.E. TELTOW VU : • le Code Général des Collectivités Territoriales La ville de Gonfreville l’Orcher a décidée de réhabiliter le quartier de Teltow dans une démarche Haute Qualité Environnementale, et a pour cela engager une mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage. Par convention en date du 06 mai 2006, la Région de Haute Normandie a attribuée une subvention à hauteur de 17 016,78 € dans le cadre de cette opération. CONSIDERANT • • Le retard de l’opération dû au dépôt tardif de la candidature d’un promoteur concernant le pôle commercial et l’espace santé ; Que la durée de la convention arrive à échéance alors que la mission Haute Qualité Environnementale n’est pas terminée ; LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE L’avenant n°1 à la convention de subvention pour la réalisation de cette mission Haute Qualité Environnementale qui a pour objet de fixer la fin prévisionnelle de réalisation au 1 er avril 2013. DIT Que le montant de la recette sera rattaché à l’opération budgétaire 2011 et suivante Nature : 1322 : Fonction : 824 Opération : 9051 AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération 35 Marc GUERIN : avez-vous des questions ? Des avis contraires ? Des abstentions ? Merci. Je donne la parole à Fabrice PIMOR. 36 Affaire présentée par Monsieur Fabrice PIMOR, conseiller municipal délégué 9 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS - SERVICES TECHNIQUES /NOUVELLES TECHNOLOGIES - AVENANT N° 7 – TRES HAUT DEBIT – CONVENTION DE MAITRISE D’OUVRAGE PARTAGEE CODAH/VGO VU : • le Code Général des Collectivités Territoriales • le Code des Marché Publics, • le Budget primitif 2011 La ville de Gonfreville l’Orcher s’est engagée depuis plusieurs années dans la construction d’un réseau numérique à Très Haut Débit. L’exploitation du réseau devant se faire par délégation de service public (DSP), un contrat de DSP a été signé le 9 décembre 2005 entre la ville de Gonfreville l’Orcher et AXIONE mandataire du groupement de sociétés AXIONE et SOGETREL. Le contrat de DSP indique que la ville de Gonfreville l’Orcher doit mettre à disposition du délégataire le local technique (tête de réseau) et le réseau de fibres optiques, à l’exception des derniers mètres (raccordement de l’abonné à la chambre technique la plus proche) La ville de Gonfreville l’Orcher a donc programmé des travaux de construction du réseau et du local technique (tête de réseau) L’opération de construction se décompose de la façon suivante : • • • • • maîtrise d’œuvre travaux de génie civil Travaux de fibre optique Construction du local tête de réseau Coordination SPS Profitant des travaux de génie civil, la ville de Gonfreville l’Orcher a décidé d’y adjoindre des travaux d’effacement de réseaux aériens existants (lignes téléphoniques, réseaux électriques). La ville de Gonfreville l’Orcher avait lancé l’opération de construction du réseau de fibres optiques, la compétence était transférée à la CODAH qui devenait ainsi maître d’ouvrage dans l’opération de construction du réseau de fibres optiques et la ville de Gonfreville l’Orcher maître d’ouvrage pour les travaux d’effacement de réseaux aériens. Afin de limiter les intervenants, le conseil communautaire de la CODAH du 4 juillet 2006 et le conseil municipal de la ville de Gonfreville l’Orcher du 6 juillet 2006 ont autorisé la signature d’une convention de maîtrise d’ouvrage partagée relative à la réalisation d’infrastructures de réseaux dans le cadre de l‘opération Très Haut Débit désignant la ville de Gonfreville l’Orcher comme maître d’ouvrage de l’opération. 37 Le conseil municipal du 11 septembre 2006 a approuvé un avenant n° 1 à la convention de maîtrise d’ouvrage partagée afin de permettre la prise en compte dans ses annexes financières du coût des travaux de génie civil d’une partie du quartier de Mayville (ceux-ci constituant la 4 ème et dernière tranche de la rénovation du quartier de Mayville). Le conseil municipal du 18 décembre 2006 a approuvé un avenant n° 2 à la convention de maîtrise d’ouvrage partagée pour tenir compte de la nouvelle estimation de l’opération pour y inclure des postes de maîtrise d’œuvre et des travaux de fibres optiques. Le conseil municipal du 15 octobre 2007 a approuvé un avenant n° 3 à la convention de maîtrise d’ouvrage partagée pour tenir compte de travaux supplémentaires. Le conseil municipal du 17 novembre 2008 a approuvé un avenant n° 4 à la convention de maîtrise d’ouvrage partagée pour tenir compte du renforcement et de l’allongement des missions du maître d’œuvre Le conseil municipal du 19 octobre 2009 a approuvé un avenant n° 5 à la convention de maîtrise d’ouvrage partagée pour tenir compte travaux de fibres optiques supplémentaires pour raccorder les dernières livraisons de logements neufs et procéder à des ajustements du réseau afin de permettre le raccordement de certains résidents pour un montant de 686.962,00 € HT. Le conseil municipal du 13 septembre 2010 a approuvé un avenant n°6 à la convention de maîtrise d’ouvrage partagée pour tenir compte des travaux de fibres optiques supplémentaires pour raccorder des logements supplémentaires non prévus initialement. CONSIDERANT - la nécessité de mettre à jour le budget de l'opération compte tenu des travaux supplémentaires liés à l'installation d'un garde-corps sur le local technique et l'atelier des services techniques, ainsi que le raccordement au réseau en fibre optique des nouveaux logements du quartier de Teltow et du chemin vert "les villas" réparti ainsi : - Travaux de local technique : - Travaux de raccordement : Part CODAH : 5 928 € H.T. Part Ville de Gonfreville l'orcher : 2 853 € H.T. Part CODAH : 31 000 € H.T. Part Ville de Gonfreville l'orcher: 0 € H.T. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE L’avenant n° 7 à la convention de maîtrise d’ouvrage partagée concernant l’opération Très Haut Débit, relatif à des travaux supplémentaires pour un montant de 39 781,00 € HT répartis de la façon suivante : 38 - Travaux de local technique : - Travaux de raccordement : Part CODAH : 5 928 € H.T. Part Ville de Gonfreville l'Orcher : 2 853 € H.T. Part CODAH : 31 000 € H.T. Part Ville de Gonfreville l'Orcher: 0 € H.T. DIT Que le montant de l’opération se trouve porté à la somme de 6 718 202,00 € HT répartie de la façon suivante : CODAH 5 139 566,00 € HT Ville de Gonfreville l’Orcher 1 579 636,00 € HT DIT Que le montant de la dépense sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 CODAH : Nature 45818 Fonction 821 Ville : Nature 2315 Fonction 821 Fonction 9053 AUTORISE Monsieur le Maire, à signer toutes les pièces nécessaires. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : Daniel PALFRAY a demandé la parole. Daniel PALFRAY : puisqu’on parle du très haut débit, est-ce que Fabrice PIMOR pourrait nous dire où nous en sommes? Ce qui marche, ce qui ne marche pas, ce qui est branché, pas branché ? Fabrice PIMOR : nous avons bien avancé. Nous mettons aujourd’hui ce qui est en aérien. Sous la route, quand nous allons entreprendre la Côte d’Orcher, la RD 6015, les réseaux vont être enfouis. Pour les nouvelles constructions, il y a un appel d’offres qui va être lancé pour pouvoir terminer. Cela représente 200 logements non fibrés. Après nous aurons quasiment terminé tous les logements. Ce n’est pas pour autant que nous sommes tous éligibles. Nous attendons la dernière part qui a été envoyée à 9 TELECOM. A priori, vu les réponses que j’ai aujourd’hui, les derniers fibrés pourraient avoir 9 à partir de septembre. 39 Après nous avons la distribution de l’alerte box qui avance normalement, c’est plus Alban BRUNEAU qui pourrait en parler. C’est un chantier qui est long. Le problème de la fibre, c’est qu'elle n’existait nulle part ailleurs. Evidement nous avons essuyé les plâtres des problèmes que nous avons aujourd’hui. Quand la ville gère toute seule, nous travaillons, nous passons au conseil d’adjoints, au conseil municipal et ça avance! Aujourd’hui c’est la CODAH! il faut d’abord que l’on en parle avec un représentant de la CODAH, que ça passe au bureau de la CODAH, il y a la partie Ville, il faut que ça passe au conseil municipal et une fois que c’est passé au bureau de la CODAH, il faut que ça soit voté à la CODAH, Les délais sont plus longs que prévus! Ensuite, il y a SFR qui accepte de prendre pour abonnés uniquement s'il y a mille prises de mise en route. Aujourd’hui ils évoluent. Nous arrivons sur la fin. Il reste que deux ou trois cents à rendre. Les trois cents derniers vont être obligés d’évoluer à priori en septembre la quasi-totalité de Gonfreville l’Orcher sera éligible à SFR. Marc GUERIN : merci Fabrice pour cette intervention. Je vous propose de voter. Y a-t-il des avis contraires ? des abstentions ? je considère que c’est un vote unanime je vous en remercie. 40 Affaires présentées par Monsieur Marc GUERIN, Adjoint au Maire 10 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS –– BUDGET DES TRANSPORTS RAMASSAGE SCOLAIRE L’ECOLE JACQUES EBERHARD - SEPTEMBRE 2011 A JUILLET 2012 VU : • • • Le Code Général des Collectivités Territoriales Le code des marchés publics, Le budget primitif 2011 du budget des transports, CONSIDERANT • • La ville de Gonfreville l’Orcher fait assurer le transport les lundis, mardis, jeudis et vendredis (matin et soir) des élèves fréquentant l’école Jacques EBERHARD par BUS OCEANE Qu’il est nécessaire de conclure un nouveau contrat avec BUS OCEANE pour la réalisation de cette prestation pour l’année scolaire 2011/2012 dont le tarif journalier est de 100.93 TTC ( 95.93 euros TTC / jour pour 2010/2011), LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE Le nouveau contrat avec BUS OCEANE pour l’année scolaire 2011/2012 avec un tarif journalier de 100.93 euros TTC, DIT Que la dépense est inscrite au compte 624 du budget des transports La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? c’est un vote unanime. Je vous en remercie. 41 Affaires présentées par Monsieur Cédric PELLETIER, conseiller municipal délégué 11 – SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS –– FONCTIONNEMENT 2011 A L’ASSOCIATION « STOP GALERE » SUBVENTION DE VU : • • • • Le Code Général des Collectivités Territoriales La délibération du 5 juillet 2010 La demande présentée par l’Association « STOP GALERE » en date du 10 mars 2011 sollicitant un soutien financier pour leur activité 2011 L’avis favorable du Conseil des Adjoints en date du 17 juin 2011 CONSIDERANT : Que la Ville tient à renouveler son soutien envers l’association « STOP GALERE » qui a pour but de s’occuper des personnes en souffrance psychique confrontées à l’isolement et l’inactivité en leur apportant un soutien social et relationnel LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE D’attribuer une subvention de fonctionnement de 150 euros à l’association STOP GALERE DIT Que la dépense sera imputée au compte 6574.025 du budget de la ville La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Cédric PELLETIER : l’association Stop Galère participe depuis quatre ans à la semaine du handicap à Gonfreville l’Orcher. Marc GUERIN : avez-vous des questions relatives à cette délibération, y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? c’est un vote unanime. Je vous remercie 42 12 - CULTURE – SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A L’ASSOCIATION « CORAIL 76 » VU : La demande l’association Corail 76 en date du 21 février 2011 sollicitant, de la Ville de Gonfreville l’Orcher, une subvention pour l’organisation de son exposition de modélisme les 24 et 25 septembre 2011 VU L’avis favorable du Conseil d’Adjoints du 17 juin 2011 CONSIDERANT Que l’association Corail 76 organise la deuxième édition de son exposition de modélisme qui regroupera des clubs et associations venus de la région Haute-Normandie. Ils viendront présenter au public toutes les formes de modélisme : aérien, naval, ferroviaire… LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE D’attribuer une subvention exceptionnelle d’un montant de 1300 € DIT Que la dépense correspondante sera inscrite au budget Ville compte 6574/025 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : des questions ? je propose de passer au vote y a t’il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. Merci Cédric. Je donne la parole maintenant à Sandra HAUCHECORNE. 43 Affaire présentée par Madame Sandra HAUCHECORNE, Adjointe au Maire 13 - D.R.H – RENOUVELLEMENT RECRUTEMENT D’AGENTS NON TITULAIRES POUR L’ENCADREMENT DES ACTIVITES PERI- SCOLAIRES VU : La loi 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires ; La loi 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale et notamment son article 3 alinéa 1, Le décret n° 88-145 du 15 février 1988 modifié pris pour l’application de l’article 136 de la loi du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale et relatif aux agents non titulaires de la Fonction Publique Territoriale, Considérant : - la nécessité d’encadrer les élèves des structures préélémentaires et élémentaires pendant le temps du midi ainsi que pour le transport scolaire, que l’activité n’est pas pérenne et que le personnel affecté à ces missions dépend des effectifs scolaires en début d’année ainsi que des professeurs des écoles souhaitant encadrer ce moment, et qu’ il n’est par conséquent pas possible d’affecter du personnel permanent. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE de modifier le tableau des effectifs en créant les postes suivants : - 16 postes d’adjoint d’animation 2ème classe se décomposant comme suit : • 12 postes à temps non complet annualisés sur l’année scolaire (du 1 er septembre au début juillet) à raison de 8 heures par semaine durant la période scolaire et correspondant à l’encadrement du midi - 21,54% sur la période scolaire. • 2 postes à temps non complet annualisés sur l’année scolaire (du 1 er septembre au début juillet) à raison de 12 heures par semaine durant la période scolaire et correspondant à l’encadrement du midi et du transport (½ heure matin et ½ heure soir) - 32,32% sur la période scolaire. • 2 postes à temps non complet annualisés sur l’année scolaire (du 1 er septembre au début juillet) à raison de 16 heures par semaine durant la période scolaire et correspondant à l’encadrement du midi et du transport (1 heure matin et 1 heure soir)43,09% sur la période scolaire. AUTORISE 44 Le Maire à recruter, en tant que de besoin, des agents non titulaires pour les missions exposées cidessus. DIT Que la rémunération des ces agents non titulaires s’effectuera sur la base du 1 er échelon du 1er grade du cadre d’emplois des Adjoints d’animation, Que la dépense sera imputée au budget chapitre 012 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : voilà avez-vous des questions, y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. Merci Sandra j’ajouterai en complément de cette intervention que le jury se réunira le 6 juillet prochain à 13 h.30 Nous avons eu beaucoup de demandes et donc nous aurons à recevoir tout le monde. Nous aurons l’occasion d’en reparler en commission du personnel. Merci. 45 Affaires présentées par Monsieur Marc GUERIN, Adjoint au Maire 14 - D.R.H – RENOUVELLEMENT RECRUTEMENT DE 14 ASSISTANTS A L’ECOLE MUNICIPALE DE MUSIQUE, DE 5 ASSISTANTS A L’ECOLE MUNICIPALE DE DANSE ET DE 14 MAITRES NAGEURS POUR LA PISCINE G D’O LE CONSEIL MUNICIPAL Vu la loi n° 82-213 du 2 mars 1982, relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, modifiée, Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale et notamment l’article 34 et l’article 3 alinéa 1b, portant sur le recrutement d’agents contractuels dans les mêmes cas et selon les mêmes conditions que ceux applicables par l’Etat, Vu le décret n° 88-145 du 15 février 1988 modifié, pris pour l’application de l’article 136 de la loi du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale et relatif aux agents non titulaires de la Fonction Publique Territoriale. Vu le budget primitif 2011, Vu la déclaration de vacance d’emploi auprès du centre de gestion, Vu le tableau des effectifs, CONSIDERANT la nécessité de recruter du personnel à l’école municipale de musique pour la saison 2011/2012 (postes actuellement pourvus par des contractuels pour un an) afin de diriger l’école ainsi que d’encadrer les différents cours (Piano, flûte à bec, saxophone, accordéon, guitare, guitare basse, guitare électrique, clarinette, synthétiseur, chant, violon) Discipline Nombre d’heures/ Temps non complet Jours et horaires d’intervention semaine Basé sur saison 2009/2010 – avenant effectué si changement pour 2010/2011 Flûte à bec 0.5 2,5% Mardi de 17h à 17h30 Guitare 2 10% Mercredi 9h00 à 11h00 Basse 2,5 12,5% Mardi de 17h à 19h30 Chant 3 15% Vendredi 17h à 20h00 46 Clarinette 4 20% Vendredi de 16h15 à 20h15 Synthétiseur 4 20% Lundi de 16h30 à 20h30 Accordéon 1 5% Mardi 13h00 à 14h00 Violon 3 15% Mercredi de 14h30 à 17h30 Piano 7 35% Mercredi 9h30 à 11h30 et Vendredi 15h30 à 20h30 Guitare 9 45% Mercredi 13h30 à 20h30 + 2h écoles Piano 9 45% Mercredi 9h30 à 12h30 et 14h30 à 20h30 . Guitare électrique 11 55% Lundi 15h à 21h et jeudi 15h30 à 20h30 Saxophone 12 60% Lundi 16h00 à 20h30 mercredi 12h30 à 20h00 Piano 8 40% Directeur 20 100% Lundi au vendredi 13h30 17h30 CONSIDERANT le besoin de l’école de danse de recruter 5 assistants spécialisés d’enseignement artistique pour la prochaine saison 2010/2011 (ouverture en septembre) et pour les cours suivants : - Danse africaine, 1 heure 30 minutes par semaine (7,5%) le jeudi 20h00 à 21h30 Percussionniste danse africaine, 1 heure 30 minutes par semaine (7,5%) le jeudi 20h00 à 21h30 HIP HOP, 2 heures 30 minutes par semaine (12,5%), le mercredi 13h30 à 15h00 HIP HOP, 2 heures 30 minutes par semaine (12,5%), le mercredi 15h00 à 16h30 Danse classique 5 heures par semaine (25,00%), le samedi 9h30 à 12h00 et 13h00 à 15h00. CONSIDERANT le besoin de recruter des maîtres nageurs sauveteurs pour la piscine G D’O et que la spécificité de l’emploi demande des diplômes obligatoires : - le BNSSA : brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique Ou - le BEESAN : brevet d’Etat d’éducateur sportif 1 er degré option activités de la Natation CONSIDERANT 47 que les agents, affectés à l’école municipale de musique, sous la responsabilité du directeur du service, ou à l’école de danse sous la responsabilité de la directrice de l’école de danse, seront chargés des missions suivantes : • Animer et encadrer les cours de musique des élèves inscrits, • S’investir dans les projets de la structure (Galas, spectacles, conférences, actions pédagogiques,…). Et que les agents affectés à la piscine, sous la responsabilité du directeur de la piscine, seront chargés de surveiller et d’encadrer des activités aquatiques, et d’assurer le respect par les usagers des règlements intérieurs du bassin de natation. CONSIDERANT que la spécificité de l’emploi ne permet pas de recruter ces personnes dans l’effectif actuel de la collectivité. CONSIDERANT l’importance de l’expérience technique et de la pratique des candidats LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DECIDE De procéder au recrutement de : - 14 agents pour l’école de musique, sur un grade de catégorie B de la filière culturelle, pour la durée des missions sus-exposées, - 5 agents, sur un grade de catégorie B de la filière culturelle, pour la durée des missions susexposées, - 14 maîtres nageurs (11 postes d’éducateurs des APS et 3 postes d’Opérateur des APS). DIT Qu’en cas de recherche infructueuse au niveau statutaire, les candidats seront recrutés sur la base d’un contrat article 3 alinéa 1B (contrat d’une durée maximale d’un an pour faire face temporairement à la vacance du poste) - Les agents de l’école de musique du fait de leur ancienneté seront rémunérés sur le grade d’assistant spécialisé d ‘enseignement artistique au 9ème échelon, indice brut 555 indice majoré 471 , le directeur de l’école de musique sera rémunéré sur le grade d’assistant spécialisé d’enseignement artistique au 11ème échelon, indice brut 638 et les nouveaux recrutés sur le 5 ème échelon du grade, indice brut 435. 48 - Les agents de l’école de danse seront rémunérés sur le grade d’assistant spécialisé d’enseignement artistique au 5ème échelon, indice brut 435. - Les maîtres nageurs seront rémunérés selon leur diplôme : si titulaire du BEESAN, sur le grade d’éducateur territorial des activités physiques sportives, si titulaire du BNSSA, sur le grade d’opérateur des activités physiques sportives. Concernant les opérateurs des APS, les nouveaux agents seront rémunérés sur le 1 er échelon, les autres seront rémunérés sur le 4ème échelon. Concernant les éducateurs des APS, les nouveaux agents seront rémunérés sur le 1 er échelon, pour ceux ayant un an de contrat antérieur dans ce grade, sur le 2ème échelon et les autres sur le 3ème échelon. L’adjoint au chef de bassin sera rémunéré sur le 4 ème échelon. Ils percevront donc tous le traitement correspondant à leur grade, l’indemnité de résidence et le supplément familial ainsi que les primes et indemnités instituées par l’assemblée délibérante AUTORISE Monsieur le Maire à signer les contrats y afférents DIT Que la dépense sera rattachée aux opérations budgétaires chapitre 012. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : y a-t-il des questions ? Des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 49 15 - DRH – INDEMNITES DE FONCTION DU MAIRE ET DES ADJOINTS VU le Code Général des Collectivités Territoriales Vu la délibération du 5 mai 2008, et celle du 10 janvier 2011 réactualisant les indemnités de fonction du maire et des adjoints, LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DIT Que l’ensemble des indemnités allouées, comme figurant au Tableau ci-dessous, sont fixées dans la limite du montant total des indemnités maximales susceptibles d’être allouées au Maire et aux adjoints, Indemnités de Fonctions des Elus COMMUNE DE GONFREVILLE L’ORCHER Tableau récapitulatif des indemnités (Article 78 de la loi 2002-276 du 27 février 2002 > Article L 2123-20-1 du CGCT) POPULATION au dernier recensement : < 10000 (art.L 2123 23 DU CGCT des communes et art L 5211 12 & 14 du CGCT) Collectivité bénéficiant de la majoration DSU (indemnité sur strate supérieure soit +10000) ainsi que de la majoration Chef Lieu de CANTON (15% sur indemnité avant majorations) Montant de l’enveloppe globale (maximum autorisé) : 319,65 % de l’indice brut 1015 indice majoré 821 (73,25% de l’indice brut 1015 indice majoré 821 pour le Maire et 8 fois 30,80% de l’indice brut 1015 indice majoré 821 pour les adjoints) INDEMNITES MENSUELLES ALLOUEES Bénéficiaires Ind. en % de l’indice brut 1015 (DSU) Majorations éventuelles sur ind. de fonction (Chef lieu de Canton) Constitution Enveloppe Constitution: Montant de l’indemnité Brute Répartition Enveloppe Répartition: Montant de l’indemnité Brute Maire 65% 15% (sur 55%) 73,25% 2784,57 0% 0 TOTAL Maire 73,25% 2784,57 0% 0 Adjoints au Maire BERTRAND Sandra 27,5% 15% (sur 22%) 30,80% 1170,85 30,80% 1170,85 BRUNEAU Alban 27,5% 15% (sur 22%) 30,80% 1170,85 30,80% 1170,85 Marie 27,5% 15% (sur 22%) 30,80% 1170,85 30,80% 1170,85 DOUMBIA 50 Claire GARCIA Michel GUERIN Adjoint) Marc 27,5% 15% (sur 22%) 30,80% 1170,85 30,80% 1170,85 (1er 27,5% 15% (sur 22%) 30,80% 1170,85 73,25% 2784,57 PIQUENOT Annick 27,5% 15% (sur 22%) 30,80% 1170,85 30,80% 1170,85 REMOND Nathalie 27,5% 15% (sur 22%) 30,80% 1170,85 30,80% 1170,85 VATTIER Daniel 27,5% 15% (sur 22%) 30,80% 1170,85 61,60% 2341,70 TOTAL ADJOINTS 246,40% 9366.80 319,65% 12151.37 Conseillers municipaux délégués FOISSEAU Andrée 6% 0% 0% 0 0% 0 LEGOUT Gérard 6% 0% 0% 0 0% 0 MALANDAIN Colette 6% 0% 0% 0 0% 0 PELLETIER Cédric 6% 0% 0% 0 0% 0 PIMOR Fabrice 6% 0% 0% 0 0% 0 TOTAL CONSEILLERS 0% 0 0% 0 TOTAL GLOBAL 319,65% 12151.37 319,65% 12151.37 Que la dépense est inscrite au budget 2011 compte 6531 chapitre 12 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : c’est inchangé, c’est l’ordre du tableau qui a été modifié et nous devions délibérer pour régulariser cette situation, avez-vous des questions particulières ? y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? c’est un vote unanime. Je vous remercie. 51 16 - D. R. H – MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS SUITE A LA REFORME CONCERNANT LA CATÉGORIES B ET RECRUTEMENT VU: - Le décret 2010-329 et 330 du 22 mars 2010 portant dispositions statutaires communes à divers cadres d’emplois de fonctionnaires de la catégorie B de la Fonction Publique Territoriale, VU : - - l’avis des commissions du personnel en date du 1er juin 2011, les conclusions futures de la Commission Administratives Paritaire de Catégories B prévue le 21 juin 2011 par le Centre de Gestion de la Seine Maritime. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE de modifier le tableau des effectifs en créant les postes suivants : - 1 assistant spécialisé de l’enseignement artistique à temps non complet 8 heures par semaine (40%) 1 Rédacteur Principal 3 Animateurs principaux 1ère classe 1 Animateur Principal 2ème classe 1 Adjoint technique principal 1 ère classe DIT Que la dépense sera imputée au budget chapitre 012 La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération. Marc GUERIN : ce ne sont pas des embauches, ce sont des créations de postes. Si vous souhaitez de plus amples informations, nous nous tenons au niveau de la commission et du service Ressources Humaines à votre disposition. Il en va également comme des propositions préfectorales et gouvernementales, comme des décrets que nous observons au fur et à mesure de nos commissions de personnel et qui nous mettent en situation de traiter le cas d’agents qui dans l’année, ouvrent droit au passage de grades et des délais qui se raccourcissent, donc nous avons des opportunités d’opérer des ajustements par rapport à ces agents qui ont eu un concours ou un examen. Avec la commission du personnel, nous souhaitons gratifier par ces passages tout le travail qui est accompli par l’agent pour se former. C’est une philosophie qui fait l’unanimité de cette commission du personnel. Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanimité. Je passe la parole à Alban BRUNEAU. 52 Affaires présentées par Monsieur Alban BRUNEAU, Adjoint au Maire 17 - ENQUETE PUBLIQUE : TOTAL RAFFINERIE DE NORMANDIE : Projet RN 2012 VU : - le Code général des collectivités territoriales le Code de l’Environnement le dossier d’enquête publique CONSIDERANT L’enquête publique relative au projet de dégoulottage des unités DHC, SMR et D11 ainsi qu’à la cessation d’activité de l’unité CR4 et ses annexes. Que le dossier d’enquête publique est réalisé dans les règles de l’art et présente toutes les données techniques nécessaires à l’évaluation du dossier. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré émet un avis favorable au projet RN 2012. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Alban BRUNEAU : au dernier conseil municipal, Monsieur ROUSSEL s’était présenté devant le conseil afin de nous présenter le projet. En préambule du dernier conseil municipal suite à cela, nous avons pu réaliser à l’invitation de la municipalité une réunion publique avec les habitants de Gonfreville l’Orcher, afin qu’ils prennent connaissance et puissent mesurer l’ampleur de ce projet. Il s’agit ce soir pour nous d’émettre un avis dans le cadre de cette enquête. J’ai des éléments. Nous avons analysé le dossier. Je peux vous en faire part sans souci, mais je pense que chacun d’entre nous a pris connaissance de ce projet et de mesurer un peu l’impact pour notre territoire. Il s’agit de moderniser les installations de raffinage implantées sur le site de la raffinerie de Normandie. Ce projet consiste à augmenter la capacité de production de certaines unités, TOTAL cherche à optimiser son outil de travail pour s’adapter aux nouvelles conditions du marché des hydrocarbures notamment par rapport à la demande de gazole. La justification de TOTAL est d’ordre économique. Donc je vous refais une présentation du contexte actuel de la raffinerie. Elle fabrique de nombreux produits finis à partir du pétrole brut. Le site est composé de plusieurs unités de production dédiées à plusieurs types de fabrication certaines unités sont orientées vers la production d’essence du 98 ou 95 sans plomb, 53 d’autres au diesel notamment l’unité DHC et certaines unités produisant des essences sont assez vieillissantes. Dans le cadre de ce projet, elles feront l’objet d’un arrêt définitif, donc les anciennes unités seront remplacées par des nouvelles unités de désulfurisation du gazole dans le cadre d’une deuxième phase de travaux qui aura lieu en 2014. Il y a un intérêt économique nécessairement. Le projet de la raffinerie 2012 a pour but de cadrer les productions de la raffinerie de Normandie avec les marchés des carburants. A l’heure actuelle comme nous l’a précisé Monsieur ROUSSEL la dernière fois, il y a une baisse de la demande en essence et une augmentation de celle des gazoles, donc TOTAL doit adapter son outil et d’autre part la modernisation des unités permettra à TOTAL d’augmenter son efficacité énergétique et de diminuer les rejets des polluants. Le principe du projet est donc de produire plus de gazole mieux en adéquation avec la demande de carburant. Il va y avoir des impacts sur les différentes unités du site dont l’unité de distillation atmosphérique D 11. Il y aura un dégoulottage, ce qui permet d’augmenter les capacités de traitement qui permettra d’augmenter la production de l’unité afin de passer de 31 000 tonnes par jour à 39 000 tonnes. La modernisation de ces appareillages composant l’unité permettra une réduction des émissions d’oxydes d’azote. L’unité traite le pétrole brut pour en faire un distillat exploitable pour les autres unités. Autre unité, la DHC : l’hydro craqueur de distillats. Donc, il y a aura un dégoulottage où l’unité DHC permettra d’augmenter la production de l’unité faisant passer de 8 640 tonnes par jour à 10 000 tonnes. Cette unité est dédiée à la fabrication des gazoles à base de teneur en soufre de kérosène et des bases de haute qualité pour la fabrication de lubrifiants autre. La SMR, dégoulottage de cette unité pour produire de l’hydrogène nécessaire au fonctionnement de la DHC, reformage du gaz naturel à la vapeur. La production d’hydrogène pur passera de 225 tonnes à 255 tonnes par jour, donc l’unité se verra adjointe un réacteur supplémentaire pour atteindre les objectifs de production. Il y aura une cessation d’activité pour plusieurs unités, liée à la modernisation de cette unité vont être arrêtées les unités de craquage catalytique l’unité polyC3, polyC4, Merox, l’unité Prime G et Scanfining, l’unité d’isomérisation des essences et la distillation atmosphérique D9. Quels impacts pour l’environnement? – Un impact sur l’air. La modernisation des unités de production permet d’envisager des rejets de type oxyde de soufre et oxyde d’azote. Monsieur ROUSSEL a bien insisté la dernière fois, les nouveaux fours qui seront installés permettent une meilleure combustion des bases brutes. En ce qui concerne les émissions de CO2, les rejets diminueront de 17 % une fois la modernisation réalisée. Mais cette diminution de CO2 est également liée à l’arrêt des unités. • Un impact sur l’eau. Cela fera baisser de 33 % les pompages issus de La Lézarde, 11 % de ceux de l’Oudalle. Il y a moins de consommation d’eau. En ce qui concerne les rejets des eaux de traitement, ils seront réduits de 35 % donc une consommation moins gourmande. En ce qui concerne les eaux souterraines, les zones de rétention sont aménagées dans la raffinerie. Un réseau de piézomètres permet une surveillance de la 54 nappe superficielle, afin de détecter une éventuelle pollution. Les unités sont équipées d’un dallage qui empêche les infiltrations dans le sol des eaux pluviales. • Un impact sur le bruit. Les émissions de la raffinerie, vous le savez, génèrent des nuisances sonores. Les équipements incriminés sont les tours aéroréfrigérantes, les compresseurs, les ventilateurs, les fours et chaudières. Donc la ville de Gonfreville l’Orcher est la principale zone à émergence réglementée. L’adjonction des équipements de contrôle des émissions sonores permettra de maintenir le niveau des émissions sonores au niveau actuel, voire à le diminuer. Pas de conséquence sur ces questions. • Un impact sur le trafic. L’approvisionnement sera par voie maritime essentiellement. Beaucoup de transports gérés par pipe, donc on peut penser qu’il y aura un impact positif sur la diminution des trafics de camions, sur les impacts paysagés, milieu naturel. Les unités de production d’essence ne seront pas démantelées dans le cadre du projet RN 2012. Les nouveaux équipements ajoutés seront intégrés dans le cadre actuel de la raffinerie avec des hauteurs identiques ou inférieures aux installations déjà présentes, il n’y aura pas d’impact important. • NATURA 2000 n’est pas impacté. Aucune incidence au niveau de l’étude de danger, risques naturels. Ils ne sont pas exposés à des aléas naturels forts. Les installations sont protégées contre la foudre et le site n’est pas exposé à un aléa sismique. En ce qui concerne les inondations, le site se situe à une altitude supérieure à la dernière crue millénaire de la Seine. • Au niveau de l’environnement humain, le risque lié à une collision avec un avion a été pris en compte. Il est rappelé qu’il existe une interdiction de survol de l’installation. • Les risques à la circulation ferroviaire et fluviale apparaissent comme négligeables. Dans l’étude de danger, les voies de circulation externes Route Industrielle, Route du Pont VIII et l’A 29 sont suffisamment éloignées des unités. La réglementation de la circulation à l’intérieur de la raffinerie permet une bonne maîtrise du risque lié à l’accident. • Les dangers liés aux produits et aux procédés, il n’y a pas d’incompatibilité des produits en fonction de la réglementation des produits dangereux. Les principaux produits sont classés en trois catégories : les hydrocarbures, les catalyseurs, les produits chimiques. Les dangers lies au procédé de fabrication sont les pertes de confinement et de rejet en atmosphère de matière inflammable et toxique l’incendie, l’inflammation de vapeur type flasflayer ou les zones de choc, réduction des potentiels de dangers, évaluation et quantification. Donc tout ça a été pris en compte. Il y a des probabilités qui vont entre 10 000 ans à 100 000 ans! Vous voyez les risques sont très minimes! En conclusion, on peut dire que TOTAL dans son projet, a pour objectif d’adapter son outil de production au marché d’hydrocarbures. Pour cela, la société engage ce programme pour augmenter sa production de gazole et diminuer ses productions d’essence. Donc, la modernisation des unités permet de pérenniser les activités du site de Gonfreville l’Orcher. 55 C’est plutôt une bonne nouvelle! La raffinerie est intégrée dans le complexe pétrochimique havrais, il existe une inter connexité importante entre les sites de production pétrochimique et de la raffinerie. En étant des éléments centraux, c’est bon pour l’ensemble de la zone industrielle. En effet, il y a de multiples échanges de produits entre les différentes usines. La pérennisation du site permet aussi de conforter la position des autres installations. Le projet RN 2012 est techniquement conforme à la législation. Il aura un impact positif sur les rejets de la raffinerie grâce à la modernisation des unités et par l’adjonction d’équipements, d’autre part la modernisation des mêmes équipements permet d’améliorer la gestion des risques. Je vous propose d’émettre un avis favorable tout en espérant que ces investissements puissent apporter un nouveau souffle pour l’emploi local et on espère bien que malgré la charte qu’ils nous ont proposée, “TOTAL emploi local” si je me souviens bien, on espère bien que cette charte qui ne reste malheureusement qu’une charte, nous sommes contraints à l’Europe, à la concurrence, on espère bien que tous ces investissements vont pouvoir profiter aux demandeurs d’emploi de l’agglomération havraise. Je vous propose d’émettre un avis favorable. Avez-vous des remarques ou des questions ? Marc GUERIN : Pierre LEBAS Pierre LEBAS : si on peut se satisfaire sur la modernisation de la raffinerie et sur sa pérennité, sur l’impact positif au niveau écologique, nous ne pouvons pas nous satisfaire sur l’emploi, notamment sur les suppressions d’emploi qui ont lieu dans la raffinerie, par des fermetures d’unités et surtout les emplois qui vont être utilisés pour les travaux. Nous avons souvent l’expérience malheureuse des emplois de salariés qui vont travailler à la raffinerie, qui n’auront pas un statut de salarié type raffinerie. Il y aura des salariés qui peuvent venir en trois, quatre, cinq niveaux de sous-traitance. C’est quand même une grosse inquiétude sur ce point-là. Marc GUERIN : Alban BRUNEAU a demandé la parole Alban BRUNEAU : je rappelle qu’il s’agit de mettre un avis dans le cadre de l’enquête publique sur les investissements liés. Après il y a très peu d’information sur l’emploi. Nous pouvons le rajouter. Je partage ce que vient de dire Pierre LEBAS, mais il s’agit avant tout d’émettre un avis sur le dossier technique. Il est bon de rappeler que ces investissements devraient profiter à l’emploi de l’agglomération, mais c’est un autre débat. Marc GUERIN : sur cet aspect technique sans ignorer l’intervention de Pierre LEBAS très juste, y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? il s’agit et je vous en remercie d’un vote unanime pour cette délibération. Pour avoir participé avec quelques uns d’entre vous je pense à Marc COLLET que j’ai vu, peut être d’autres que je n’ai pas vus à la réunion publique avec le directeur de la raffinerie, il y avait présents des militants syndicalistes de la raffinerie qui ont aussi saisi l’opportunité d’évoquer cette question notamment liée à l’emploi. Il y a eu débat contradictoire avec le directeur de la raffinerie, qui plutôt brillant sur des aspects techniques a su bien expliquer. Dès lors où la question sur l’emploi est arrivée, ça a cristallisé le débat et a suscité plus de réaction 56 de cynisme de la part du directeur de raffinerie que d’un débat constructif au moment où j’ai dû quitter l’assemblée, ce qui fait que ça reste très très sensible, mais pour nous, pour ce soir, nous avions à émettre un avis un vote sur les améliorations techniques de ces installations. 57 Affaire présentée par Monsieur Marc GUERIN, Adjoint au Maire 18 - ABONNEMENT AU PORTAIL DE TELESERVICES « MA VILLE AU QUOTIDIEN » DE LA SOCIETE ENTR’OUVERT VU : • le Code Général des Collectivités Territoriales CONSIDERANT • la volonté de la ville de développer son site internet en tenant compte de l’installation de la fibre optique dans tous les foyers gonfrevillais et des nouvelles tendances du web 2.0. et particulièrement l’e-administration. • que la ville a adhéré en octobre 2009 à l’offre Service public local proposée par la Caisse des Dépôts et Consignations comprenant une plate-forme de ressources administratives locales et un bouquet de 15 télé formulaires. • que la Caisse des Dépôts et Consignations a décidé d’arrêter l’exploitation de l’offre de Service public local au mois de juillet 2011. • la nécessité de répondre à la demande des habitants qui souhaitent pouvoir accéder, via le site internet de la ville, aux formulaires administratifs. • la volonté de la ville d’assurer la continuité de ce service. VU L’offre de la société Entr’ouvert qui propose : • • un guichet virtuel permanent avec un ensemble de télé services un système d’administration de l’outil assurant la gestion et la traçabilité du traitement de la demande. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE De souscrire à l’offre d’abonnement au portail de la société Entr’ouvert pour l’année 2011 pour un montant de 1 435,20€ TTC, qui pourra faire l’objet d’un renouvellement par reconduction expresse dans la limite de 4 ans maximum. AUTORISE Monsieur le Maire à engager la dépense. 58 DIT Que la dépense sera imputée au budget ville compte 611 0232. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-des questions particulières ? Y a-t-il des avis contraires ? des abstentions ? Vote unanime. 59 Affaire présentée par Monsieur Cédric PELLETIER, conseiller municipal délégué 19 - ACQUISITION DE CARTES POSTALES ANCIENNES POUR LES ARCHIVES MUNICIPALES VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - que Monsieur Jean-Roger Dupuis a proposé de vendre à la Ville , 102 cartes postales anciennes de Gonfreville L’Orcher, - que les cartes postales de Monsieur Jean-Roger Dupuis sont d’une grande richesse du point de vue patrimonial et culturel et qu’elles viendraient compléter les fonds des archives, - que la ville pourra ensuite permettre la consultation de ce fonds à la disposition des habitants. CONSIDERANT - que la ville de Gonfreville l’Orcher a la volonté de développer son fonds iconographique lié à l’histoire locale, - que le service des Archives municipales possède très peu de cartes postales, relativement récentes, LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE D’acquérir les 102 cartes postales de Monsieur Jean-Roger Dupuis pour un montant de 500€. AUTORISE Monsieur le Maire à engager la dépense. DIT Que la dépense sera imputée au budget ville compte 2168/0208. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. 60 Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? Oui Daniel PALFRAY Daniel PALFRAY : Elles seront acquises par le service culturel? On pourra les voir ? Cédric PELLETIER : oui, aux archives ou au service culturel. Nous ferons peut être une expo! Marc GUERIN : on prend d’action Cédric avec le service culturel. Merci. Avez-vous des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. Je pense que c’est une bonne opération. 61 Affaire présentée par Monsieur Fabrice PIMOR, Conseiller Municipal Délégué 20 - SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A LA SPMGO (Société des Pêcheurs en Mer de Gonfreville l’Orcher) CONSIDERANT - La demande de subvention présentée par la SPMGO le 9 Mai 2011 pour la participation de M. Patrick COUSIN aux Pré-Sélections du Championnat du Monde 2012 de Pêche en Mer à NARBONNE, du 5 au 10 Juin 2011 (hébergement et déplacement) - L’avis positif du Conseil des Adjoints du 23 Mai 2011 LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DECIDE D’attribuer une subvention exceptionnelle à la SPMGO MONTANT : 592 € La dépense sera imputée au budget Ville compte 6574 - 40 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 62 Affaires présentées à Monsieur Alban BRUNEAU, Adjoint au Maire 21 - URBANISME – DENOMINATION ESPACE PUBLIC – ESPLANADE DE LA POINTE DE CAUX A l'occasion de l'inauguration de l'Espace Culturel de la Pointe de Caux rénové, il a été proposé de dénommer l'espace public permettant l'accès à cet équipement ainsi qu'à la médiathèque, au CLEC et à la maison des associations "Esplanade de la Pointe de Caux". Il convient d'officialiser cette dénomination par un vote du conseil municipal. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE De dénommer l'espace public, issu de la parcelle cadastrée section BE n°239, permettant l'accès aux équipements municipaux suivants : l’Espace Culturel de la Pointe de Caux, ainsi qu'à la médiathèque, au CLEC et à la maison des associations, "Esplanade de la Pointe de Caux". La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : ce qu’on appelait communément Esplanade de la Pointe de Caux. Merci. Y at-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 63 22 - FONCIER 24 RUE RAOUL DESCHAMPS – ACQUISITION – AUTORISATION A l'occasion d'une demande d'informations d'urbanisme déposée concernant le bien situé 24 rue Raoul Deschamps à Gournay-En-Caux, les services municipaux se sont mis en relation avec les propriétaires dudit bien afin de connaitre leur position quant à une éventuelle cession à la Commune, acquisition opportune pour la collectivité dans le cadre des futurs aménagements de Gournay lié au projet de déviation de la rivière Saint Laurent. Considérant l’intérêt pour la collectivité de disposer de la maitrise foncière des abords de la future rivière à Gournay En Caux ; Vu le budget de l’exercice 2011 ; Vu les dispositions du Code Général des Collectivités Territoriales, Vu le Code Général de la Propriété des Personnes Publiques, Vu l’avis rendu par France Domaine le 8 mars 2011 ; Vu l’accord transmis par les propriétaires du bien situé 24 rue Raoul Deschamps à Gonfreville l’Orcher, en date du 23 juin 2011 ; LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DECIDE - De procéder à l’acquisition du bien situé 24 rue Raoul Deschamps, cadastré A n° 0063 et AT n° 0069, parcelle située sur le territoire de la Commune de Montivilliers, appartenant aux consorts PELTIER, pour un coût de 100 000 euros ; - D’autoriser Monsieur le Maire à déposer toutes demandes d’autorisation d’urbanisme concernant ce bien ; - D’autoriser Monsieur le Maire ou toute personne habilitée par lui à effectuer tous les sondages, diagnostics ou travaux sur le bien concerné ; - D’habiliter Monsieur le Maire ou son représentant à signer tous documents devant permettre de concrétiser ce dossier. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : c’est estimé par “les domaines”? Alban BRUNEAU : oui avis du mois de Mars. Marc GUERIN : avez-vous des questions? 64 Alban BRUNEAU : PELTIER? Annick PIQUENOT : Monsieur et Madame EUDIER Marc GUERIN : ça ne s’écrit pas pareil! Non c’est EUDIER donc Monsieur et Madame EUDIER! Alban BRUNEAU : il y a une erreur sur la délibération! Marc GUERIN : Christian CHICOT la maison appartient à qui EUDIER ou PELTIER ? Ce sont les enfants! Ça répond aux différentes questions? Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime merci. 65 23 - FONCIER – OUVRAGES DE LUTTE CONTRE LES INONDATIONS SUR LE SOUS BASSIN VERSANT DU SAINT LAURENT – CESSION DE TERRAINS – COMMUNAUTE DE L’AGGLOMERATION HAVRAISE Confrontée depuis plusieurs années à de graves problèmes d’inondation, la CODAH a lancé un vaste programme de réalisation d’ouvrages hydrauliques sur le bassin versant de la lézarde. Dans ce cadre, la réalisation de 23 aménagements est prévue sur le sous bassin du Saint-Laurent. A ce titre, la Commune de Gonfreville l’Orcher est concernée par la création de 3 ouvrages (G-OR, G-PI et H-PI), situés à proximité du bois de Bainvilliers. Cela représente une emprise foncière approximative de 8 500 m², comprenant les cessions de terrains nécessaires à la réalisation desdits bassins ainsi que la servitude d'accès à ces bassins, le tout indemnisé à hauteur de 0.80 € le m². Il est proposé au conseil municipal de valider le principe de cette cession, et d’autoriser Monsieur le Maire à signer la promesse de vente correspondante, ainsi que la réitération par acte authentique et tout document annexe. La CODAH prend à sa charge les divers frais, droits et honoraires relevant de ces actes. Vu les dispositions du Code Général des Collectivités Territoriales, Vu le Code Général de la Propriété des Personnes Publiques, Vu l’avis rendu par France Domaine le 2 novembre 2006 ; Vu l’accord transmis par la SAFER le 17 novembre 2009 concernant la cession partielle des parcelles cadastrées section A n° 578 et A n°303, représentant une surface approximative de 3 991 m², ainsi que l’institution de servitudes conventionnelles de passage représentant une surface approximative de 5 511 m², le tout au profit de la Communauté de l’Agglomération Havraise aux fins de réalisation d’ouvrage de lutte contre les inondations. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DECIDE - De procéder à la cession des biens suivants : - Afin de permettre la réalisation de l’ouvrage G-OR, les assiettes foncières à provenir de la division des parcelles cadastrées section A n°968 pour 2 m² environ, A n°969 pour 582 m² environ , et A n°970 pour 60 m² environ ; - Afin de permettre la réalisation de l’ouvrage G-PI, les assiettes foncières à provenir de la division des parcelles cadastrées section A n°303 pour 379 m² environ, et A n°578 pour 3 612 m² environ ; Soit une assiette foncière globale à céder d’environ 4 635 m², - Autorise l’institution de servitudes conventionnelles de passage sur les terrains suivants : • parcelle cadastrée section A n°578 pour 417 m² environ, • parcelle cadastrée section A n°593 et portion du chemin rural n°8 pour 3 332 m² environ, • parcelle cadastrée section A n° 299 pour 610 m² environ, • parcelle cadastrée section A n° 301 pour 890 m² environ, 66 - Soit une assiette foncière globale d’environ 5 249 m², D’habiliter Monsieur le Maire ou son représentant à signer tous documents devant permettre de concrétiser ce dossier. DIT Que le prix de cession concernant l’assiette foncière à acquérir par la Communauté de l’Agglomération Havraise est fixé à 0.80 €/m², soit en l’occurrence un montant 3 708 € environ. Que le montant de l’indemnisation concernant l’institution de servitudes conventionnelles de passage au profit de la Communauté de l’Agglomération Havraise est fixé à 0.40 €/m², soit en l’occurrence un montant de 2 099.60 € environ. Que la recette sera imputée 775/824 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? Daniel PALFRAY Daniel PALFRAY : je voudrais juste faire remarquer quand vous voulez acheter un terrain pour faire une maison et que vous en trouvez à ce prix-là au m², je vous souhaite bonne chance ce sont les tarifs de l’Etat! Marc GUERIN : tout à fait! Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 67 24 - FONCIER – CLOS MOLINONS – PROPRIETE SAILLARD – ACQUISITION – AUTORISATION VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales CONSIDERANT Qu’au début des années 2000, la ville de Gonfreville l’Orcher était alertée par un particulier des Clos Molinons qui, dans son jardin, constatait l’enfoncement d’un arbuste dans le sol. La ville de Gonfreville l’Orcher s’est engagée à assister le propriétaire jusqu’au règlement de la situation. La cavité a été comblée en 2004. Cette opération d’un coût de 400 000 euros TTC a été menée, avec des financements de l’État. Comme l’y invitait la loi relative à la démocratie de proximité du 22 février 2002 en son article 159, la ville de Gonfreville l’Orcher a entrepris les démarches visant à œuvrer à l’élaboration des cartes délimitant les sites concernés, avérés ou présumés existants, afin de porter cela à la connaissance du public dans le cadre des sollicitations d’urbanisme (DIA, PC, CU…). Que ce recensement laissait apparaître dans le lotissement contigu réalisé au début des années 1980, 2 indices avérés qui s’appuyaient sur des documents d’archives de la fin du 19 ème siècle. Les informations étaient portées à la connaissance des propriétaires, et il était convenu, comme pour le cas précédent que la ville s’engage à traiter le problème. Qu’en 2003 était donc attribué un marché pour opérer les recherches de cette ou ces cavités. L’ordre de service ne sera donné qu’en 2006, date à laquelle l’État a octroyé une subvention à cet effet. Les travaux auront duré une année, consistant en plus de 300 carottages à 40 mètres de profondeur. Ces travaux ont coûté 820 000 euros TTC. Les résultats ont été particulièrement décevants, et ce malgré un resserrement des carottages : aucun puits de descente n’a été trouvé, seuls quelques secteurs quasi effondrés ont été identifiés, mais si petits qu’il n’y avait aucun intérêt à chercher à y descendre, ponctuellement quelques effondrements faisaient remonter un fontis…Ces travaux n’ont concerné directement que 3 maisons. Dès lors, se posait la question des sommes engagées et de la valeur du patrimoine concerné. Que la question se posait également de quelle manière poursuivre des investigations qui s’avéraient être très contraignantes par le nombre de carottages nécessaires. La ville de Gonfreville l’Orcher a alors exploré d’autres moyens de recherche s’appuyant sur des techniques acoustiques ou électriques. Des essais, pour un coût de 24 000 euros TTC, ont été opérés au dessus de la zone préalablement étudiée par le recours à la méthode dite de « sismique réflexion très haute résolution ». Cette technique paraissait fiable, moins destructive, avec toutefois une limite d’interprétation s’arrêtant entre vingt et trente mètres de profondeur. Que le déploiement de cette méthode, sur un secteur évalué à 2,5 / 3 ha (par comparaisons aux 4 000 m2 ayant fait l’objet de carottages) était estimé à 700 000 euros TTC, hors maîtrise d’œuvre. 68 Que, par ailleurs, la réduction ou l’élimination du risque sous les 4000 m2 déjà sondés est évalué à 1 600 000 euros TTC dans une version béton injecté sous pression (plus sécurisante) ou la moitié (800 000 euros TTC) dans une version béton injecté par simple gravité. Qu’une analyse économique rapide conduit donc à considérer un montant allant de 1,6 à 2,4 M€ (les recherches et le comblement ) pour la protection de 3 maisons qui en valent ensemble, en toute première approche et sous réserve de l’estimation du service des Domaines, de 0,7 à 0,8 M€. Au vu de la zone qui reste à investiguer, soit 2,5 à 3 ha, la ville de Gonfreville l’Orcher s’est interrogée légitimement sur l’utilité de continuer à mobiliser d’importantes ressources financières pour des résultats très incertains. Que, par voie de conséquence, Monsieur le Maire a souhaité réunir le 27 février 2010 les habitants des Clos Molinons pour leur exposer la situation. Tout en précisant que nous n’étions pas dans une situation de danger avéré et de péril qui nécessiteraient le départ des riverains concernés, Monsieur le Maire a exposé que la collectivité ne pouvait continuer à mobiliser les moyens financiers pour des opérations de recherche à l’issue incertaine et qu’il préférait utiliser les fonds publics à aider les propriétaires qui viendraient à connaître des difficultés dans la cession de leurs biens. Cette aide consisterait à proposer le rachat par la ville, de maisons, sur demande de leurs propriétaires. Compte tenu du risque potentiel à terme que des désordres apparaissent, la ville s’engage à ne pas revendre les biens qu’elle aura acquis. Elle se réservera toutefois la possibilité de louer le patrimoine ainsi acquis, tant que la situation le permettra. Que cette démarche envers certains de ses concitoyens traduit la constance de l’expression de la solidarité communale locale, dès lors que la commune est frappée par des évènements exceptionnels mettant en difficulté des familles contraintes de ne plus pouvoir résider dans leurs maisons. Pour mémoire, la ville de Gonfreville l’Orcher tient à rappeler ses engagements sur les dix dernières années, où elle a procédé à des rachats de maisons suite aux éboulements de falaise avenue Marcel Le Mignot, ainsi qu’à la Pissotière à Madame où des remontées de nappe phréatique avaient contraint quelques riverains à se séparer de leurs biens, Que ces opérations de rachat ne pourront prendre en compte des biens qui auraient été rendus impropres à des fonctions d’habitat en raison de défaillances manifestes dans la mise en œuvre des règles de l’art, Que ces opérations de rachat de patrimoine tiendront compte de l’évolution des ressources financières de la commune et donc de sa capacité contributive à cette œuvre de solidarité envers certains de ses concitoyens. Que cette action de solidarité financière engage l’équipe municipale actuelle, jusqu’au terme de la présente mandature, Qu’en ce qui concerne le périmètre concerné, une définition d’un zonage d’influence potentiel des cavités souterraines minimum ne peut reposer que sur des données fragmentaires, incomplètes, ouvrant sur une part d’extrapolation et de prudence dans sa définition. Les orientations pour cette définition sont exposées dans l’annexe jointe à la présente délibération, données émanant du cabinet GEOLITHE, missionné par la ville de Gonfreville l’Orcher. Cette annexe comporte également une 69 cartographie précisant les biens potentiellement concernés par une cession de patrimoine au profit de la ville. Que les consorts SAILLARD, demeurant au 28 rue des Clos Molinons ont sollicité la Ville de Gonfreville l’Orcher par courrier en date du 31 août 2010 pour le rachat de leur patrimoine cadastré BB 0055 Vu, Le Code Général des Collectivités territoriales et notamment ses articles relatifs à la police du Maire, La loi du 22 février 2002 relative à la démocratie de proximité, La loi Barnier du 2 février 1995, Le document technique du cabinet GEOLITHE et le plan associé, L’estimation du service des Domaines en date du 21 octobre 2010 CONSIDÉRANT La proposition d’achat de la Ville en date du 19 janvier 2011, et l’accord écrit des consorts SAILLARD à cette proposition en date du 1er juin 2011 ; LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DECIDE - De procéder à l’acquisition du bien situé 28 rue des Clos Molinons, cadastré BB 0055 appartenant à Monsieur et Madame SAILLARD, pour un coût de 201 600 euros ; - D’autoriser Monsieur le Maire à déposer toutes demandes d’autorisation d’urbanisme concernant ce bien ; - D’autoriser Monsieur le Maire ou toute personne habilitée par lui à effectuer tous les sondages, diagnostics ou travaux sur le bien concerné ; - D’habiliter Monsieur le Maire ou son représentant à signer tous documents devant permettre de concrétiser ce dossier. DIT Que la dépense sera imputée au compte 2138.824 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. 70 Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : ce sont les montants des domaines avez-vous des questions ? des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 71 25 - FONCIER – HARFLEUR – PLATEAU DU CANTIPOU – ZAC DU CHEMIN VERT – ACQUISITION – AUTORISATION Vu : - les dispositions du Code Général des Collectivités Territoriales, - le Code Général de la Propriété des Personnes Publiques, - l’avis rendu par France Domaine le 7 janvier 2009, La Ville d'Harfleur est propriétaire de la parcelle cadastrée section AD n° 599 située sur le Plateau du Cantipou. Considérant la proximité immédiate de ce terrain avec l’opération d'habitat du "Chemin Vert", plus précisément le lotissement dit du Triangle, et afin d’éviter l'installation de tout projet pouvant engendrer des nuisances pour les habitations, la Commune de Gonfreville l'Orcher, riveraine de ce terrain, a pris contact avec la Ville d'Harfleur afin de pouvoir acquérir cette parcelle. Considérant l'avis des services fiscaux, fixant un prix de cession sur la base de 55 € par m² (valeur vénale conforme au marché immobilier local), et considérant les négociations antérieures non abouties pour la vente de ce terrain, la Ville d'Harfleur a proposé à la Ville de Gonfreville l'Orcher d'acquérir la parcelle cadastrée section AD n° 599, d’une superficie d’environ 6 670 m², au prix convenu et négocié de 333 500 €, soit un prix de 50 €/m². LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DECIDE - De procéder à l’acquisition du bien situé sur le plateau du Cantipou, cadastré section AD n°599, d’une superficie globale de 6 670 m², pour un montant de 333 500 € ; - D’autoriser Monsieur le Maire à déposer toutes demandes d’autorisation d’urbanisme concernant ce bien ; - D’autoriser Monsieur le Maire ou toute personne habilitée par lui à effectuer tous les sondages, diagnostics ou travaux sur le bien concerné ; - D’habiliter Monsieur le Maire ou son représentant à signer tous documents devant permettre de concrétiser ce dossier. DIT Que la dépense sera imputée au compte 2111.824. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération 72 Daniel PALFRAY : inaudible Marc GUERIN : avez-vous des questions ? je vous propose de délibérer. Y a-t-il des avis contraires ? Alban BRUNEAU : Monsieur PALFRAY, je partage votre pensée. Pour la CODAH il s’agit quand même de récupérer un ouvrage d’intérêt collectif. Daniel PALFRAY : les bassins d’orage sont aussi d’intérêt collectif. C’est pris souvent sur des terrains agricoles d’autorité. Alors que là c’est une transaction faite avec la Ville d’Harfleur, je suppose qui a négocié. Sur quelle référence, vous avez débattu le prix, mais là ... Marc GUERIN : là on parle de valeur vénale, immobilier local Alban BRUNEAU : le prix du marché Marc GUERIN : c’est clair, on se comprend? je propose de faire voter cette délibération. Y a-til des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 73 26 - URBANISME –REVISION DU PLAN D’OCCUPATION DES SOLS EN PLAN LOCAL D’URBANISME – BILAN DE CONCERTATION - ARRÊT DU PROJET DE PLAN LOCAL D’URBANISME VU • le Code Général des Collectivités Territoriales Monsieur le Maire rappelle au conseil municipal les conditions dans lesquelles le projet de Plan Local d’Urbanisme (PLU) a été élaboré, à quelle étape de la procédure il se situe et présente ledit projet. Il explique qu’en application de l’article L.300-2 du code de l’urbanisme doit être tiré le bilan de la concertation dont a fait l’objet l’élaboration du PLU et, qu’en application de l’article L.123-9 dudit code, ledit document doit être arrêté par délibération du conseil municipal et communiqué pour avis aux personnes mentionnées aux articles L.123-6 et L.121-4 du code de l’urbanisme. VU : - le Code de l’Urbanisme, et notamment ses articles L.123-9, R.123-18 et L.300-2, - la délibération du Conseil Municipal en date du 11 septembre 2006 prescrivant la révision du P.L.U., par laquelle il a notamment été décidé de procéder à une concertation avec les habitants, les associations locales et les autres personnes concernées, sur l’élaboration du projet de P.L.U. jusqu'à son arrêt, selon les modalités suivantes : • assurer une information permanente par le biais du journal municipal et du site Internet, • conduite de réunions publiques par les élus aux étapes clefs de la procédure (diagnostic, P.A.D.D., règlement,…), • exposition évolutive mettant en exergue de manière synthétique le contenu des principales réflexions menées pour l’élaboration du dossier de P.L.U. - le projet de révision du Plan Local d’Urbanisme, CONSIDERANT : - les débats au sein du Conseil Municipal sur les orientations générales du Projet d’Aménagement et de Développement Durable ; - la participation du public, notamment dans le cadre d’un questionnaire distribué à l’ensemble de la population en février – mars 2007 ; - les réunions publiques qui se sont déroulées le 19 mai 2009 (diagnostics et prospectives) et le 30 mai 2011 (zonage et règlement d’urbanisme) ; Entendu l’exposé de Monsieur le Maire ; LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE : 1. d’accepter le bilan de la concertation tel qu’il a été exposé par le Maire et de permettre ainsi l’arrêt définitif du projet de révision du P.L.U 74 2. d’arrêter le projet de révision du Plan Local d’Urbanisme de la Commune de Gonfreville l’Orcher tel qu’il est annexé à la présente délibération, PRÉCISE Que ce projet sera communiqué pour avis : • à l’ensemble des personnes publiques associées à la révision du Plan Local d'Urbanisme, mentionnées aux paragraphes 3 et 4 de la délibération du Conseil Municipal du 11 septembre 2006, • aux communes voisines et aux établissements publics de coopération intercommunale mentionnés au paragraphe 5 de la délibération du Conseil Municipal du 11 septembre 2006, Conformément à l’article R.123-18 du Code de l’Urbanisme, la présente délibération fera l’objet, pendant un mois, d’un affichage en mairie. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Alban BRUNEAU : je remercie tous ceux qui ont contribué à l’élaboration de ce projet : que ce soit les conseillers municipaux qui ont participé à de longues réunions, de nombreuses depuis plusieurs années. Je voudrais remercier les techniciens qui ont beaucoup travaillé là-dessus, remercier Monsieur DUPRA qui est dans la salle, qui a travaillé avec nous, l’AURH. Ce projet on a pu vous le présenter à l’occasion d’une réunion publique il y a plusieurs semaines. Le projet, le bébé il est là! Il s’agit d’arrêter le projet ensuite il sera transmis dans les quinze jours qui suivent aux personnes publiques associées à savoir le Grand Port Maritime, la CODAH, tous les services de l’Etat qui ont travaillé dessus, tous les services. Ces personnes publiques associées auront jusqu’au mois d’octobre pour émettre un avis. Courant Novembre, l'enquête publique durera un mois. Toujours en novembre, le commissaire enquêteur aura un mois pour rendre sa copie. Suite aux avis de l’enquête publique en janvier, nous pourrons éventuellement réajuster en fonction des avis des uns et des autres, pour approuver, je l’espère courant premier trimestre 2012 ce projet, afin qu’il soit applicable. Je vous demande de bien vouloir voter cet arrêt du projet. Marc GUERIN : est-ce qu’il y a des questions ? C’est une délibération importante. Je vous propose donc de procéder au vote. Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime Je remercie aussi tous ceux qui ont travaillé pour faire en sorte de présenter ce dossier bouclé et concerté pour aboutir au résultat unanime autour de ce PLU. Merci. 75 Alban BRUNEAU : avant d’évoquer le point 27 juste une petite précision. Naturellement ce projet sera consultable au secrétariat général pour ceux qui le souhaitent. C’est le fruit du travail réalisé. 76 27 - URBANISME – PLAN LOCAL D’URBANISME – ELABORATION – SURSIS À STATUER - INSTITUTION Vu les dispositions du Code Général des Collectivités Territoriales, Considérant la procédure d’élaboration du Plan Local d’Urbanisme en cours, et l’état d’avancement de ces travaux d’élaboration (délibération d’arrêt du PLU, débat sur les grandes orientations du Projet d’Aménagement et de Développement Durable), il apparait opportun d’instituer un sursis à statuer concernant les demandes d’autorisation d’urbanisme qui « seraient de nature à compromettre ou à rendre plus onéreuse l’exécution du futur plan »., notamment dans le quartier de Mayville, selon les modalités prévues par les articles L111-8 et L123-6 du code de l’urbanisme. Cet outil permettra de surseoir à statuer concernant des projets d’urbanisme qui pourraient remettre en cause les orientations du PLU qui trouveront à s’appliquer d’ici quelques mois. Il est par conséquent proposé au conseil municipal de décider la mise en place de ce sursis à statuer. Vu les dispositions du Code Général des Collectivités Territoriales, Vu les dispositions du Code de l’urbanisme, notamment ses articles L 111-7, L111-8 et L 123-6 ; Vu la délibération en date du 11 septembre 2006, prescrivant la révision du Plan d’Occupation des Sols en Plan Local d’Urbanisme ; LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DECIDE - Un sursis à statuer, dans les conditions fixées à l’article L 111-8 du code de l’urbanisme, pour toutes les demandes d’autorisation d’occupation du sol ou la réalisation de projets d’aménagement et autres demandes d’autorisation d’urbanisme ne correspondant pas aux objectifs globaux du futur Plan Local d’Urbanisme, ou de nature à compromettre ou à rendre plus onéreuse son exécution ; CHARGE - Monsieur le Maire de motiver et signer les arrêtés qui instaureront les sursis à statuer sur les demandes désignées ci-dessus. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. 77 Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Alban BRUNEAU : vous avez compris l’esprit de cette délibération. Nous allons entrer dans une période pendant six mois au niveau de l’instruction des actes d’urbanisme. Il ne faudrait pas qu’il y ait des choses qui soient déposées en complète opposition avec les dispositions de notre projet. Donc, cette délibération prévoit que la proposition n’est pas recevable pour l’instant. Marc GUERIN : Avez-vous des questions ? Non. Je propose de passer au vote. Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote à l’unanimité je vous en remercie. Je donne la parole maintenant à Sandra HAUCHECORNE. 78 Affaires présentées par Madame Sandra HAUCHECORNE, Adjointe au Maire 28 - SERVICE ENFANCE JEUNESSE ENSEIGNEMENT - ELEVES DU 1ER DEGRE FREQUENTANT UN ETABLISSEMENT PUBLIC OU PRIVE HORS COMMUNE – PARTICIPATION VU: - la loi du 22 juillet 1983 modifiée par les lois du 9 janvier 1986 et du 19 août 1986 relatives à la mise en œuvre du transfert de compétences en matière d’enseignement dans les écoles publiques la loi du 13 août 2004 modifiée par la loi du 23 avril 2005 d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école. la circulaire d’application du 27 août 2007 l’avis de la commission Enfance Jeunesse Enseignement en date du 31 mai 2011, la délibération du conseil municipal de la ville d’HARFLEUR du 26 avril 2011 qui fixe le montant de la participation annuelle par élève à 643,15 euros pour l’année scolaire. CONSIDERANT : Que la ville de Gonfreville l’Orcher participe aux dépenses de fonctionnement des communes dont les écoles publiques accueillent des enfants domiciliés à Gonfreville l’Orcher. Que cette mesure revêt un caractère de réciprocité, la Ville de Gonfreville l’Orcher demande aux communes dont les enfants sont accueillis dans les écoles maternelles et primaires gonfrevillaises de participer également à ses dépenses de fonctionnement. Que la loi du 23 avril 2005 d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école, a pour effet d’étendre aux classes des écoles privées sous contrat d’association l’obligation pour les communes de résidence de contribuer aux frais de scolarisation des enfants scolarisés dans d’autres communes. Que la contribution communale est obligatoire si cette scolarisation extérieure est liée aux obligations professionnelles des parents, à l’inscription d’un frère ou d’une sœur dans un établissement scolaire de la même commune ou à des raisons médicales. Il n’y a pas d’obligation dans les autres cas. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DECIDE Que le montant retenu par réciprocité sera identique à celui appliqué par la commune concernée En l’absence de délibération d’une commune le montant pris en compte sera de 643,15 euros. 79 DIT Que la recette et la dépense correspondantes seront imputées aux comptes 7474/20 – 62878/20 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : des questions ? y a-t-il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. 80 29 - SERVICE ENFANCE-JEUNESSE-ENSEIGNEMENT – TARIFS DES ACTIVITES PERISCOLAIRES VU: - le Code Général des Collectivités Territoriales l’avis des élus de la commission enfance jeunesse enseignement du 31 mai 2011 CONSIDERANT - l’augmentation du coût de la vie. - la nouvelle mise en place d’accueil périscolaire (Avant et après la classe dans les écoles de la ville ou en centre de loisirs.) - l’organisation d’un accueil éducatif chaque mercredi en période scolaire au Centre de Loisirs René CANCE LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE Les tarifs suivants sont applicables à compter du 1 er septembre 2011 Tarifs rééls ACTIVITES Tarif 2010/ 2011 Tarifs demandés après aide de la ville aux bénéficiaires gonfrevillais Tarif 2010/2011 Tarifs rééls Tarifs demandés après aide de la ville aux bénéficiaires gonfrevillais Tarif 2011/2012 Tarif 2011/2012 3,36 € 0,40 € 6,72 € 0,80 € Accueils périscolaires Du matin (Base 1H) Accueils périscolaires Nouveaux sur le centre Du soir (Base 2H) SOIREES (Gournay et Mayville) 6,58 € 0,76 € 6,72 € 0,80 € Journée Centre de loisirs (Mercredis) 29 € 5,40 € 29,60 € 5,52 € Demi-journée centre de loisirs (Mercredis) 9,82€ 1,12 € 10,04€ 1,16 € 81 DIT que les recettes seront imputées au budget sous la nature 70632 et fonction 421-1 : La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? Non y a t’il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 82 30 - SERVICE ENFANCE-JEUNESSE-ENSEIGNEMENT - PROJET EDUCATIF LOCAL – « JEUNE » - CONVENTION FINANCIERE VU: - le Code Général des Collectivités Territoriales - les instructions ministérielles du 9 juillet 1998 et du 25 octobre 2000 - l’instruction ministérielle du 24 décembre 2009 relative à l’action de l’Etat sur les territoires en faveur du développement de l’autonomie des jeunes et du soutien aux associations locales de jeunesse et d’éducation populaire - l’appel à projet de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale, pôle jeunesse, vie associative et réglementation du sport en date du 28 mars 2011 - l’avis de la commission Enfance Jeunesse Enseignement du 31 mai 2011 CONSIDERANT : - que la ville a précisé ces objectifs prioritaires dans son Projet d’Education Global (PEG) - que dans le cadre de sa politique éducative territoriale, la municipalité entend mettre en œuvre des actions innovantes et épanouissantes en faveur des 13 - 20 ans de la commune - que le Projet Educatif Local Jeunes (P E L - J) est un dispositif contractuel passé entre l’état et les communes qui le souhaitent LE CONSEIL MUNICIPAL, AUTORISE Le Maire à signer la convention financière relative à ce Projet Educatif Local – Jeune pour l’année 2011/2012 pour un montant de 4.800 euros, avec Direction Départementale de la Cohésion Sociale. DIT - que la subvention allouée est destinée à soutenir la mise en œuvre d’actions éducatives : - aux images et au cinéma (en lien avec le Grain à Démoudre) - aux arts urbains - à l’environnement et au développement durable (en partenariat avec CARDERE) - aux pratiques sportives en faveur de jeunes filles (ateliers de remise en forme) - le montant est crédité au compte 74718 – 0208 - qu’une évaluation des actions sera communiquée après réalisation. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. 83 Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Sandra HAUCHECORNE : il s’agit d’une subvention que nous demandons. Je tiens à préciser les choses. Marc GUERIN : y a-t-il des questions ? Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 84 31 - SERVICE ENFANCE-JEUNESSE-ENSEIGNEMENT - FOND D’AIDE AUX JEUNES 2011 – PARTICIPATION VU: - la loi n° 88 1088 du 1er décembre 1988 modifiée par la loi n° 92 722 du 29 juillet 1992 relative au revenu minimum d’insertion et à la lutte contre l’exclusion sociale et professionnelle, notamment ses articles 43.2, 43.3, 43.4 - Le décret n° 93671 du 27 mars 1993 relatif au fonds d’aide aux jeunes en difficulté. - l’appel de cotisation lancé par le département de Seine Maritime. - l’avis de la commission Enfance-Jeunesse-Enseignement en date du 31 mai 2011, CONSIDERANT - que le F.A.J concerne les jeunes de 18 à 25 ans qui sont en difficulté d’insertion sociale et professionnelle. - que l’aide financière allouée est établie selon la nature du projet, ses délais de réalisation et/ou son caractère vital pour le jeune sollicitant une aide financière. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE De renouveler pour 2011 sa participation au Fond d’Aide aux Jeunes en difficultés. Le coût de participation de la ville pour ce fond est de 0,23 € x 9179 habitants soit 2.111,17 € pour l’année. DIT Que la dépense sera inscrite au budget compte 65738 - 422 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : des questions ? Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 85 32 - SERVICE ENFANCE JEUNESSE ENSEIGNEMENT - CONVENTION PARTENARIALE COMMUNE / CAISSE D’ALLOCATIONS FAMILIALES - CONTRAT ENFANCE JEUNESSE 2ème GENERATION (C E J) VU: - la lettre circulaire CNAF 2006-076 du 22/06/06 sur les modalités de mise en œuvre du CEJ - l’avis de la commission Enfance Jeunesse Enseignement en date du 31 mai 2011 CONSIDERANT : - que la caisse d’Allocations Familiales et la Ville de Gonfreville l’Orcher s’engagent à mettre en œuvre une politique d’action sociale globale et concertée en faveur des enfants et des adolescents de 3 à 17 ans révolus. - que les actions mises en œuvre visent à soutenir l’accueil des enfants et des adolescents dans les structures municipales et associatives, afin d’offrir au plus grand nombre d’enfants et de jeunes une qualité d’accueil et d’en faciliter l’accès aux familles les moins favorisées. - que le Contrat Enfance et Jeunesse permet de soutenir les initiatives locales - que la ville à ce titre souhaite maintenir des actions initiées dans le précédent contrat - que la ville envisage de créer des activités nouvelles accueils avant et après la classe et accueils jeunes - que la caisse d’allocations familiales rembourse les dépenses nettes de la ville et inscrites dans le contrat enfance et jeunesse selon si celles-ci sont considérées comme éligibles ou non éligibles en fonction de taux qui seront dégressifs pouvant atteindre pour certaines un total maximum de 55 % de remboursement et pour d’autres une extinction complète à raison de 3% de réduction par an. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE, Monsieur Le Maire à signer la convention 2011 / 2014 relative au Contrat Enfance Jeunesse, 2ème génération DIT Que la recette correspondante sera imputée aux comptes 7478 – 0208 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. 86 Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : vous avez eu largement l’occasion d’en parler d’échanger en commission Sandra HAUCHECORNE : ce sont des subventions il n’y a pas de coût pour nous. Marc GUERIN : y a t’il des avis contraires ? Alban BRUNEAU a demandé la parole Alban BRUNEAU : la CAF, on sait un peu? Sandra HAUCHECORNE : non pour l’instant c’est à l’étude. C'est simplement une autorisation à signer la convention. Les montants n’ont pas encore été définis. Alban BRUNEAU : en plus, en moins? Sandra HAUCHECORNE : on aura la tendance demain. Marc GUERIN : merci Sandra. Je vous propose de passer au vote. Y a t’il des avis? Pierre LEBAS a demandé la parole. Pierre LEBAS : c’est à partir de quand ? Sandra HAUCHECORNE : 2011/2014 Pierre LEBAS : non, la convention c’est 2011/2014! Sandra HAUCHECORNE : nous sommes toujours sur des diminutions Pierre LEBAS : avec la suppression de la Caisse d’Allocations Familiales du Havre, avec une caisse départementale en octobre 2011. Marc GUERIN : je peux procéder au vote. Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 87 33 - SERVICE ENFANCE-JEUNESSE-ENSEIGNEMENT - CONVENTION - MISSION LOCALE 2011 - SIGNATURE VU: - le Code Général des Collectivités Territoriales - l’avis de la commission Enfance-Jeunesse-Enseignement en date du 31 mai 2011 CONSIDERANT : - que pour répondre aux besoins de la population jeune (16/25 ans) de la commune et dans le cadre d’une politique globale en direction des jeunes, la commune accueille la Mission Locale dans les locaux municipaux au 2, rue Maurice THOREZ. - que la Mission Locale a pour vocation d’accueillir tous les jeunes de son secteur d’intervention, d’appréhender et de définir une action d’insertion professionnelle et sociale, d’apporter des réponses aux problèmes de vie quotidienne des jeunes. - que la ville de Gonfreville l’Orcher et la Mission Locale établissent un partenariat afin que la population considérée puisse bénéficier des services et actions menés par cette dernière. - les difficultés d’équilibres budgétaires pour la Mission Locale de l’agglomération Havraise LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, AUTORISE Le Maire à poursuivre le travail engagé entre la collectivité et la Mission Locale de l’agglomération Havraise et à signer la convention établie entre les deux partenaires. Cette convention fixera les modalités d’organisation des accueils sur la commune et le montant de la subvention accordée par la ville. Pour 2011, le montant de la subvention demandée par la Mission Locale s’élève à 19 889 €. DIT - que la dépense sera inscrite au budget compte 6574 - 422. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Sandra HAUCHECORNE : c’est une augmentation notable par rapport à l’année précédente. Marc GUERIN : y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. Merci Sandra. 88 Affaire présentée par Monsieur Alban BRUNEAU, Adjoint au Maire 34 - SERVICE ENFANCE JEUNESSE ENSEIGNEMENT CONVENTION DE PARTENARIAT AVEC L’ASSOCIATION « CARDERE » (Centre d’Action Régional de Développement de l’Education à l’Environnement) VU: - les objectifs éducatifs contenus dans le Projet d’Education Global de la Ville - le diagnostic local élaboré par CARDERE en matière d’éducation à l’environnement - la volonté municipale de s’engager sur un plan pluriannuel d’éducation à l’environnement et au développement durable - l’avis de la commission Enfance Jeunesse Enseignement en date du 31 mai 2011, CONSIDERANT : - que la ville souhaite développer auprès des jeunes générations des actions éducatives de sensibilisation autour des questions environnementales. - que l’éducation à l’environnement et au développement durable sont l’une des priorités d’interventions municipales pour ces prochaines années. - que l’association CARDERE peut accompagner les différents acteurs éducatifs et les agents des pôles Education – Animation et Urbains dans leur démarche d’investigation des milieux naturels environnants et de leur exploitation à des fins éducatives - que les pôles urbains, éducation et social font leur l’éducation à l’environnement et au développement durable DECIDE - de passer une convention de partenariat avec CARDERE autour des modules suivants : Module formation et assistance • • formation et mission d’assistance auprès d’agents de la ville et de différents acteurs locaux (Concept d’éducation à l’environnement, enjeux, finalités, textes de références, mises en pratique à partir de situation concrète) • méthodologie de projet, montage et évaluation des actions • mise en œuvre du plan communal d’éducation à l’environnement • exploration des milieux naturels environnant Coût module formation : 6 jours d’animation à 430 euros = 2.580 euros Module accompagnement 89 - accompagnement des premiers contacts avec les acteurs (Sensibilisation, approchés expérimentales, actions de mobilisations) Coût module accompagnement 4 ½ journées d’animation à 385 euros = 1.540 euros Frais d’organisation Coordination générale: 1.540 euros Frais divers (transfert intervenant) : 80 euros Frais d’Adhésion : 125 euros TOTAL PRESTATION : 5.865 euros LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE Monsieur Le Maire à signer la convention de partenariat avec l’association CARDERE DIT Que les dépenses correspondantes seront imputées aux comptes 6228 - 421 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Alban BRUNEAU : il s’agit de poursuivre les actions que nous avons commencées à mener pour la réalisation d’un plan pluriannuel communal d’éducation à l’environnement. Il s'agit de poursuivre des actions et de préparer ce plan communal, de former notamment les agents, d'établir une méthodologie et de mettre en œuvre ce plan, d’explorer les milieux naturels de notre commune avec plusieurs interventions. Marc GUERIN : avez-vous des questions ? y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? il s’agit d’un vote unanime. 90 Affaire présentée par Madame Sandra HAUCHECORNE, Adjointe au Maire 35 - RESTAURATION SCOLAIRE – TARIFS 2011/2012 VU : - le Code général des collectivités territoriales CONSIDERANT Jusqu’en 2005, le prix moyen des repas servis au sein des services de restauration aux élèves, des écoles, collèges et lycées variait chaque année dans la limite d’un taux fixé par arrêté ministériel. Le décret du 29 juin 2006 a mis fin à l’encadrement de ces tarifs. Dorénavant, il revient à la collectivité locale en charge de l’établissement, de fixer ces tarifs. Il est proposé au conseil municipal d’approuver une augmentation des tarifs de 2 % pour l’année scolaire 2011/2012 LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré VOTE Les tarifs 2011/2012 de restauration scolaire suivants : 2010/2011 2011/2012 Plein tarif : 2,40 euros 2,45 euros Tarif réduit : 1,20 euros 1,22 euros Enseignants 4,94 euros 5,04 euros Personnes extérieures 6,72 euros 6,85 euros Élèves La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime merci. Je donne la parole à Cédric PELLETIER pour une série de délibérations. 91 Affaires présentées à Monsieur Cédric PELLETIER, conseiller municipal délégué 36 - CULTURE – CONVENTION AVEC L’ASSOCIATION FEDERATION REGIONALE D’IMPROVISATION THEATRALE : ORGANISATION DES MATCHES D’IMPROVISATION DE LA SAISON CULTURELLE 2011/2012 VU L’avis favorable de la commission culturelle en date du 24 mai 2011 CONSIDERANT - La demande de la Fédération Régionale d’Improvisation théâtrale (FRIT) sollicitant de la Ville l’accueil de rencontres d’improvisation à la salle de spectacles de l’Espace Culturel de la Pointe de Caux - La nécessité de fixer les obligations respectives des deux parties dans l’accueil et l’organisation des rencontres d’improvisation théâtrale programmées dans le cadre de la saison culturelle municipale 2011/2012 LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE - De mettre à disposition de la FRIT, à titre gracieux, la salle de spectacle de l’Espace Culturel de la Pointe de Caux, deux de ses techniciens et agents de sécurité aux dates de matches, de 14h à 24 h. - De prendre en charge les frais de communication, presse à hauteur de 1500 euros. - De prendre en charge, via son atelier d’impression, l’impression de 2500 cartons de votes bicolores pour les matches (coût : 170 euros), 2000 affiches (coût : 300 €) et 4000 flyers (coût : 250 euros). - D’attribuer une subvention événementielle, à hauteur de 2000 euros maximum, pour l’hébergement en gîte rural des participants au tournoi international des 25-26-27 mai 2012 AUTORISE Monsieur Le Maire à signer la convention avec l’association Fédération Régionale d’improvisation Théâtrale pour l’organisation des matches d’improvisation de la saison culturelle 2011/2012. DIT Que les dépenses seront imputées au budget compte 6232/6231 332 et 6574/025 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. 92 Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Cédric PELLETIER : pourquoi ils sont en gite rural? Parce que ça correspondant tout le temps au tournoi de football, le centre d’hébergement est occupé. Marc GUERIN : merci pour l’explication. Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 93 37 - CULTURE – CONVENTIONS DANS LE CADRE DE L’ENSEIGNEMENT PEDAGOGIQUE A L’ECOLE MUNICIPALE DE DANSE – SAISON 2011/2012 VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - l’avis favorable de la commission culturelle du 24 mai 2011 CONSIDERANT Que pour faire face aux attentes de la population gonfrevillaise dans le cadre du développement de la danse contemporaine et de la danse de Société, la ville souhaite faire appel à des professionnels pour initier sous forme de cours et de stages les élèves de l’école municipale de danses. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE De conventionner avec : - le Centre de danse Anne Chétoui pour l’enseignement de la danse de société - Le Havre et Nouveaux Mondes/Compagnie Philippe Tréhet pour l’enseignement de la danse contemporaine, AUTORISE Monsieur le Maire à signer les conventions avec le Centre de Danse Anne Chétoui et le havre et nouveaux mondes/Compagnie Philippe Tréhet. DIT - que le montant s’élève à 10764 euros TTC pour le havre et nouveaux mondes/Compagnie Philippe Tréhet dont 3946.80 euros seront versés sur l’exercice 2011 et 6817.20 euros sur l’exercice 2012. - que le montant s’élève à 2398 euros TTC pour le Centre de Danse Anne Chétoui dont 959.20 euros seront versés sur l’exercice 2011 et 1438.80 euros sur l’exercice 2012. - que les dépenses correspondantes seront inscrites au budget Ville compte 6228/3111. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération 94 Marc GUERIN : y a-t-il des avis contraires ? des abstentions ? si je peux juste me permettre une observation. Après avoir assisté aux spectacles des enfants et des adultes, d’avoir eu l’occasion de voir un spectacle de qualité, donc de transmettre à Carole COUSTHAM, les félicitations de la municipalité par rapport à cette prestation. Cédric PELLETIER : je voudrais juste rajouter une information importante effectivement le gala cette année est un peu différent, dans le sens où une des profs est tombée en congé maternité et malgré tout, Carole qui s’était fait opérée des ligaments croisés au mois d’octobre/novembre est revenue beaucoup plus tôt de son opération pour assurer les galas des enfants et des adultes. Elle a dû prendre un mois ou deux de congé maladie au lieu de quatre ou six mois. 95 38 - CULTURE – CONVENTION AVEC L’ASSOCIATION « MEETING WITH THE COOL » - SAISON 2011/2012 VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - l’avis favorable de la commission culturelle en date du 24 mai 2011 CONSIDERANT - les interventions de Monsieur Mourad Benhammou, à l’Ecole Municipale de Musiques, durant la saison 2011/2012 à compter du 1er octobre 2011 et jusqu’au 30 juin 2012 - son statut d’intermittent, impliquant la nécessité de passer une convention avec une association qui gère cette catégorie de professionnels. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, AUTORISE Monsieur le Maire à signer la présente convention avec l’association « Meeting with the cool » pour la saison 2011/2012 DIT Que la dépense correspondant à un montant de 8416.00 euros TTC (payable mensuellement d’octobre 2011 à mai 2012 soit 1052 euros/mois) sera imputée sur le compte 6228/3112 3156 euros seront payés sur l’exercice 2011 et 5260 euros seront payés sur l’exercice 2012 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. 96 39 - CULTURE – CONVENTION AVEC VINCENT QUINTARD DE NO XICE@ -ATELIERS MANGA VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - l’avis favorable de la commission culturelle en date du 22 avril 2010, CONSIDERANT - l’engagement de la Ville de Gonfreville l’Orcher à développer des actions culturelles en direction de tous les publics (jeunes, adolescents et adultes) - que les ateliers Manga favorisent la rencontre à l’œuvre et à l’artiste, font découvrir la médiathèque et ses ressources, incitent à la découverte de l’Art sous toutes ses formes LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, AUTORISE Monsieur le Maire à signer la convention avec Vincent Quintard de No Xice@ DIT Que la dépense de 1455 euros (mille quatre cent cinquante cinq euros) correspondant à la prestation de Vincent Quintard sera inscrite et imputée au budget Ville compte 6228/3212. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : des observations ? y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? merci vote unanime. 97 40 - CULTURE – CONVENTION AVEC OK CHORALE DANS LE CADRE DE L’ENSEIGNEMENT PEDAGOGIQUE AU POLE DES MUSIQUES ACTUELLES VU : • le Code Général des Collectivités Territoriales • l’avis favorable de la commission culturelle en date du 24 mai 2011 CONSIDERANT • • • • que la Ville de Gonfreville l’Orcher via le Pôle des musiques Actuelles organise des activités musicales afin de répondre à une demande des Gonfrevillais que la Ville souhaite conventionner avec l’association culturelle OK CHORALE afin d’assurer l'encadrement pédagogique et technique des séances organisées au Pôle des Musiques Actuelles. que les séances d'encadrement pédagogique se dérouleront du 19 septembre 2011 au 17 décembre 2011 à raison de 5 heures par semaine (hors vacances scolaires) que la Ville mettra à disposition de l’association les locaux du centre de loisirs René Cance. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré AUTORISE Monsieur le Maire à signer la convention avec l’Association OK CHORALE DIT Que les dépenses s’élèvent à 2784 euros T.T.C pour l’Association OK CHORALE Inscription au budget Ville Compte Pratiques Musicales 6228/3113. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Cédric PELLETIER : juste une information. Vous devez avoir dans votre catalogue OK CHORALE et ARTEMPO Production. Il n’y a qu’OK CHORALE puisque un des membres d’ARTEMPO a trouvé du travail. L’année prochaine, nous conventionnerons uniquement avec OK CHORALE. 98 Marc GUERIN : c’est clair pour tout le monde je propose de passer au vote. Y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. 99 41 - CULTURE - CONVENTION AVEC L’ACADEMIE INTERNATIONALE DE COMEDIE MUSICALE - TARIFS VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - l’avis favorable de la commission culturelle en date du 7 avril 2011 CONSIDERANT : - que dans le cadre du développement de la danse et des ouvertures culturelles, la Ville de Gonfreville l’Orcher souhaite engager l’Académie Internationale De Comédie Musicale afin d’animer un stage de jazz comédie musicale les 26 et 27 novembre 2011. - que ce stage de danse est destiné au public gonfrevillais et extérieur, enfants, adolescents et adultes et sera dispensé par deux professeurs LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE Que le stage est considéré comme un stage « découverte » et applique un tarif G soit : - 5€ pour les jeunes colombes ou élèves de l’école de danses de moins de 25 ans - 10€ pour les colombes ou élèves de l’école de danses de plus de 25 ans - 10 € pour les extérieurs de moins de 12 ans - 20 € plein tarif (extérieurs de plus de 25 ans) - 15 € pour les groupes ou les écoles (+ 10 personnes) AUTORISE Monsieur Le Maire à signer la convention avec l’académie internationale de comédie musicale/Chantons à Paris pour le stage des 26 et 27 novembre 2011 DIT Que le montant de la prestation s’élève à 2310 € HT auxquels s’ajoutent les défraiements hébergement, restauration et transport : - le transport (billets de train A/R (Paris/le Havre et le Havre/Paris) pour 2 personnes sur la base du tarif 2ème classe sur présentation des justificatifs - l’hébergement : 2 chambres d’hôtel à l’hôtel Campanile à Gonfreville l’Orcher - la restauration du samedi soir et du dimanche midi pour 2 personnes au Campanile à Gonfreville l’Orcher (sur la base du tarif SYNDEAC) 100 DIT Que la dépense sera imputée au compte 6228/3111 Que la recette sera créditée au budget compte 7062/3111 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : y a t’il des questions ? des avis contraires ? des abstentions ? Vote unanime. 101 42 - CULTURE - CONVENTION AVEC L’ASSOCIATION DU « GRAIN A DEMOUDRE » PROGRAMMATION ORDINAIRE ET SINGULIERE DE LA SALLE DE CINEMA MUNICIPALE « LA POINTE DE CAUX »POUR LA SAISON 2011/2012 VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - l’avis favorable de la commission culturelle du 24 mai 2011 CONSIDERANT - les statuts de l’association « Du Grain à Démoudre » - l’action de programmation déjà menée par cette association sur les saisons précédentes - le mode d’alternance spectacle vivant/ cinéma dans la salle de la Pointe de Caux et la recherche d’une meilleure régularité dans l’activité cinématographique - l’inscription de la salle de la Pointe de Caux dans le dispositif « Ecole et cinéma » et « Collège et cinéma » LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré AUTORISE Monsieur le Maire à signer la convention avec l’association « du Grain à Démoudre » relative à la programmation ordinaire et singulière de la salle de cinéma pour la saison 2011/2012 DIT Que les dépenses s’élèvent à 17500 euros dont 7500 euros seront versés sur l’exercice 2011 et 10 000 euros sur l’exercice 2012. Ces dépenses seront imputées au compte 6228/314 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Daniel PALFRAY : je ne comprends pas tout ici! Est-ce qu'on tient compte des recettes cinéma en déduction de la dépense de 17 000 euros? Cédric PELLETIER : non. Tous les ans la même subvention pour le cinéma. Daniel PALFRAY : les recettes vont où ? Cédric PELLETIER : à l’association je pense? non pardon! Elles vont à la ville 102 Daniel PALFRAY : je ne sais pas comment se louent les films. Je trouve que c’est cher pour des choix de films. Je sais, je suis vieux, ce ne sont pas les miens! Avec l’association Du Grain à Démoudre, ce serait bien que, dans les gens qui choisissent les films, d’adjoindre des gens de la société civile, qui seraient plus âgés que les gens du Grain à Démoudre, pour trouver des films plus de nos âges. Marc GUERIN : la demande est claire comment ça se discute en commission? Cédric PELLETIER : l’association Du Grain à Démoudre n’a pas ses portes fermées. A chaque vacances, ils ont les festivals, forcément les élus sont invités à y participer. Après dans les choix des films, je pense qu’il faut faire partie de l’association, il y a un comité directeur, un groupe de pilotage qui choisit les films. Je pouvais y aller, on ne voit pas beaucoup d’élus à l’association. Daniel PALFRAY : je ne sais pas si d’autres partagent? S’il y a que moi qui pense ça “je m’écrase” ! Marc GUERIN : il ne s’agit pas autour de cette table de ne pas dire ce qu’on a à dire. Je crois que le débat et ouvert et l’invitation de Cédric PELLETIER est à la hauteur de la demande me semble t’il et la mise en partage avec la commission culturelle régulièrement permet aussi à un moment donné de remonter ces questions-là. Merci de l’avoir pose Daniel. Alban BRUNEAU : je crois savoir que sur les locations de films on loue les bandes. C’est dans un marché. Pour faire venir un vieux film, Monsieur PALFRAY ça coûterait encore plus cher. Trouver la bobine, la faire venir à Gonfreville l’Orcher, récupérer les bandes, ça passe d’abord un mois au Gaumont et donc c’est ce qui permet d’avoir une programmation qui colle avec l’actualité. Après ce serait le débat, qu’est-ce qu’on veut faire de notre cinéma? Est-ce qu’on veut faire un cinéma d’art et d’essai ou mais je pense que si on voulait avoir une programmation très éclectique le coût serait d’autant plus important. Daniel PALFRAY : je ne veux pas qu’il soit plus important, c’est déjà pas mal! Marc GUERIN : Cédric, on transmet à la commission. Les explications sont claires. Y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. Cédric PELLETIER : tous les ans, ils ont leur festival international au mois de novembre. Vous avez l’occasion de croiser le président, William. Vous pouvez lui poser la question, il sera très content de vous répondre sans aucun problème. 103 43 - CULTURE – CONVENTIONS D’OCCUPATION DU LOCAL DE MUSIQUES « ARTHUR FLEURY » ET DU STUDIO D’ENREGISTREMENT « GUY MOQUET » PAR DIFFERENTES ASSOCIATIONS VU - le Code Général des Collectivités Territoriales - l’avis favorable de la commission culturelle en date du 24 mai 2011 et de la commission Enfance Jeunesse et Enseignement du 31 mai 2011. CONSIDERANT Que dans le cadre de mission de service public en matière de développement des pratiques autour des musiques actuelles, la Ville de Gonfreville l’Orcher a développé depuis plusieurs années une dynamique en direction de la population gonfrevillaise. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, DECIDE - De conventionner avec les associations Hall Music, Original’all record et Artmature afin de développer, favoriser et promouvoir le développement des pratiques autour des musiques actuelles en générant des actions, projets… dans un champ d’intervention artistique (notamment de création), culturel, éducatif et social. - De mettre à disposition des associations Original’all records et Artmature le studio d’enregistrement Guy Moquet, à titre gracieux - De mettre à disposition de l’association Hall Music le local de musiques Arthur Fleury, à titre gracieux AUTORISE Monsieur Le Maire à signer les conventions avec les associations Hall Music, Artmature et Original’all record. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Cédric PELLETIER : il n’y avait une association qui devait aller à Gaston Lachèvre ? Non il me semblait qu’il y avait que Hall Music qui devait aller à Arthur Fleury 104 Marc GUERIN : Sandra HAUCHECORNE Sandra HAUCHECORNE : Arthur Fleury et là il est indiqué quoi ? Cédric PELLETIER : des associations …. Marc GUERIN : il faudra rectifier. Sandra HAUCHECORNE : Artmature et Original’all Record, c’est Guy Moquet et Hall Music Arthur Fleury Marc GUERIN : est-ce que ça correspond à la question ? Cédric PELLETIER : c’est bon Marc GUERIN : c’est bon. Je propose de passer au vote y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. 105 44 - CULTURE – PROGRAMMATION CULTURELLE - SAISON PRESENTATION – TARIFS – ABONNEMENT 2011/2012 – VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le projet de la programmation culturelle présenté et validé lors des commissions culturelles des 7 et 21 avril 2011 et joint en annexe CONSIDERANT - que la Ville de Gonfreville l’Orcher élabore et propose une programmation culturelle municipale saisonnière se déroulant de septembre 2011 à juin 2012. - la nécessité de déterminer les tarifs des spectacles et du cinéma de l’Espace Culturel de la pointe de Caux pour la saison 2011/2012 - qu’un dispositif de fidélisation du public (abonnement de saison) peut aider à installer une relation inscrite dans la durée et la confiance avec le spectateur. - qu’un dispositif de fidélisation offre une garantie de fréquentation, si l’on associe dans la même proposition des artistes confirmés (repérés y compris par le grand public) à des spectacles à découvrir. - qu’un abonnement offre la possibilité d’évaluer plus en amont la fréquentation de la salle ou la réaction du public à telle ou telle programmation, ce qui peut permettre d’affiner sa politique de communication et d’action culturelle. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré APPROUVE La programmation culturelle 2011/2012, ses tarifs et sa formule « Abonnements » DECIDE De conserver la même grille tarifaire : Pour les spectacles vivants 106 Catégories Tarif de plein : spectacle extérieur de + de 12 ans Tarif plein : Extérieur de – de 12 ans Colombe : Jeune colombe : Gonfrevillais de + de 25 Gonfrevillais ans de – de 25 ans Comités d’entreprises et groupes (10 pers min dans les deux cas) A 4€ 2€ 2€ 1€ 2€ B 6€ 3€ 3€ 1.5 € 3€ C 9€ 4.5 € 4.5 € 2.25 € 5€ D 12 € 6€ 6€ 3€ 9€ E 16 € 8€ 8€ 4€ 11 € F 18 € 9€ 9€ 4.5 € 13 € G 20 € 10 € 10 € 5€ 15 € H 22 € 11 € 11 € 5.5 € 17 € Pour le cinéma Tarifs cinéma Tarif plein (extérieurs de + de 12 ans) Tarif réduit : Gonfrevillais de + de 25 ans et extérieurs de - de 12 ans Tarif spécial : Gonfrevillais de – de 25 ans 5.50 € 3.80 € 2.30 € DECIDE De prendre en charge l’ensemble des dépenses occasionnées par cette programmation : cachets, contrats de cession, conventions, SACEM/SACD, CNV, embauches de personnels, sécurité, gardiennage, location de matériel, communication et publicité, restauration et catering, hébergement, transport, charges sociales, frais divers… DIT Que la formule d’abonnement, pour la saison 2011/2012, se fera selon les principes suivants : Sur la programmation de la saison (soit de septembre de l’année N à mai de l’année N+1) : - vingt-trois spectacles sont sélectionnés et ouverts à l’abonnement. 107 - parmi ces vingt-trois spectacles, le spectateur pourra en choisir au minimum 4 pour bénéficier d’un tarif « Abonnements » - le spectateur pourra prendre l’ensemble des vingt-trois spectacles dans son abonnement Ces vingt-trois spectacles sont proposés aux tarifs suivants : 10 spectacles : - en tarif normal : catégorie D (colombe : 6 euros / jeune colombe : 3 euros / plein tarif : 12 euros) - en tarif abonnement : catégorie B (colombe : 3 euros / Jeune colombe : 1.5 euros / plein tarif : 6 euros) 6 spectacles : - en tarif normal : catégorie C (colombe : 4.5 euros / jeune colombe : 2.25 euros /plein tarif : 9 euros) - en tarif abonnement : catégorie A (colombe : 2 euros / jeune colombe : 1 euro /plein tarif : 4 euros) 5 spectacles : - en tarif normal : catégorie E (colombe : 8 euros / jeune colombe : 4 euros / plein tarif : 16 euros) - en tarif abonnement : catégorie C (colombe : 4.5 euros / Jeune colombe : 2.25 euros / plein tarif : 9 euros) 2 spectacles - en tarif normal : catégorie F (colombe : 9 euros / jeune colombe : 4.5 euros / plein tarif : 8 euros) - en tarif abonnement : catégorie D (colombe : 6 euros / Jeune colombe : 3 euros / plein tarif : 12 euros) Qu’il sera possible de prendre un abonnement du 7 septembre au 3 décembre 2011 DIT Que deux spectacles, en adéquation avec le cursus pédagogique, seront offerts gracieusement aux élèves des écoles municipales de Danses et Musiques au cours de la saison culturelle AUTORISE Monsieur Le Maire, ainsi que le Conseiller Municipal Délégué à la Culture, Culture de Paix, au Handicap et à l’Accessibilité dans la Ville à signer les documents relatifs à cette programmation (cachet, contrat de cession…) SE RESERVE 108 La possibilité d’augmenter ses tarifs en cas d’inflation importante en cours d’année DIT Que les recettes relatives aux entrées « cinéma » et « spectacle vivant » seront inscrites au budget compte 7062/314 et 7062/332 DIT Que les dépenses seront rattachées aux opérations budgétaires 2011/2012 sur les comptes : 6232-6228-6231–6238-6358-6135-6458-64131-611-6188-6062–6157–6451–6068-61558 332 fonction Ainsi que sur les comptes 6135-6238-6241-6358 fonction 314 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Cédric PELLETIER : vous avez le détail de la programmation de l’année prochaine. Il y a des dates importantes à retenir, notamment le 21 septembre dans le cadre de la journée de la Paix le spectacle avec Hiroshima Marine…. c’est un groupe de japonaises qui étaient déjà venues sur Gonfreville l’Orcher qui reviennent. Vous n’êtes pas sensés ne pas savoir ce qui c’est passé au Japon. Effectivement un accueil assez important leur ferait le plus grand plaisir. Autre date importante puisque c’est un ancien animateur de Gonfreville l’Orcher qui sera présent dans le cadre d’un spectacle le samedi 1er octobre. Je fais de la pub, mais c’est normal c’est Ismaël Abia! Marc GUERIN : merci c’est enregistré Cédric. Est-ce qu’il y a des questions par rapport à cette programmation culturelle qui je suppose a du faire l’objet d’une étude approfondie en commission. Je propose de passer au vote y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? il s’agit là d’un vote unanime. Cédric PELLETIER : j’ai juste oublié une date importante : le 10 mars nous avons la fille d’une collègue, d’une conseillère municipale qui fera un spectacle “moi et mon cheveu” par la Compagnie “La part du pauvre”. Je fais un peu de pub! 109 Affaires présentées par Monsieur Marc GUERIN, Adjoint au Maire 45 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS – SERVICE PATRIMOINE AVENANT N° 2 DE PROLONGATION DE DELAIS – GAGNERAUD – COMPLEXE NAUTIQUE – CONSTRUCTION D’UN SNACK VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le Code des Marché Publics, - le Budget Primitif 2011 La ville de Gonfreville l’Orcher a décidé la construction d’un local snack dans l’emprise du Complexe Nautique G d’O. Un dossier de consultation des entreprises, en un lot divisé en 5 postes, a été rédigé par la maîtrise d’œuvre T.N.A., selon la procédure adaptée, pour la construction de ce bâtiment : - poste 1 : V.R.D. (poste déjà attribué) - poste 2 : Gros œuvre et lots architecturaux - poste 3 : Charpente métallique – couverture – serrurerie - poste 4 : Electricité courants faibles - poste 5 : Plomberie sanitaires – traitement d’air Par décision en date du 7 décembre 2009, le Maire a attribué le marché à la société GAGNERAUD CONSTRUCTION pour un montant de 259.686,49 € HT. Le Conseil Municipal du 5 juillet 2010 a approuvé un avenant n° 1 de travaux supplémentaires d’un montant de 55.205,93 € HT portant le montant du marché à la somme de 367.877,59 € HT et de prolongation de délais de 4 semaines. CONSIDERANT : - que la durée de la prolongation de délais ayant été sous évaluée par rapport aux travaux demandés, - qu’il est nécessaire de prolonger le délai de réalisation des travaux pour permettre une réception au 29 juillet 2010. LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE 110 Un avenant n° 2 de prolongation de délais pour permettre une réception au 29 juillet 2010. AUTORISE Monsieur le Maire, à signer toutes les pièces nécessaires. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération. Marc GUERIN : pourquoi c’est cette date 29 juillet 2010 ? c’est une régularisation merci Christian. Avez-vous des questions particulières ? je propose de passer au vote y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 111 46 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS – SERVICE PATRIMOINE - CONCOURS DE MAITRISE D’ŒUVRE – CONSTRUCTION D’UNE ECOLE DE MUSIQUE – CHOIX DES 4 EQUIPES ADMISES A CONCOURIR VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le Code des Marché Publics, - le Budget Primitif 2011 La ville de Gonfreville l’Orcher a décidé la construction d’une école de musique. Le montant de la rémunération de l’équipe de maîtrise d’œuvre étant évalué à un montant supérieur au seuil de 193.000 € HT, une procédure de concours a été lancée. CONSIDERANT : - le compte-rendu du jury réuni le 17 juin 2011 aux termes duquel ce dernier propose au Conseil Municipal de retenir les quatre candidats suivants - Equipe 1 : Architecte : KArchitecture Economiste de la construction : IOSIS Acousticien : ALTIA Spécialiste Haute Qualité Environnementale : TRANS-FAIRE - Equipe 2 : Architecte : MAAJ Economiste de la construction : BETIOR Acousticien : AVA Spécialiste Haute Qualité Environnementale : BETIOR - Equipe 3 : Architecte : Agence COSTE-ORBACH Economiste de la construction : BCCB/MDETC Acousticien : ACOUSTIQUE SERIAL Spécialiste Haute Qualité Environnementale : BCCB 112 - Equipe 4 : Architecte : Nicolas LAISNE Economiste de la construction : OTE Acousticien : OTE Spécialiste Haute Qualité Environnementale : OTELIO LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, RETIENT Pour participer à la 2ème phase du concours les quatre équipes susnommées DIT Que les quatre équipes seront invitées à remettre leur projet pour le 7 septembre 2011 à 16 heures, DIT Que les quatre concurrents, retenus pour concourir, seront indemnisés chacun à hauteur de 12.000 € HT maximum, cette indemnité constituant pour le lauréat une avance sur honoraires, DIT Que le montant de la dépense à engager sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 : Nature 2313 Fonction 824 Programme 9048 AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : c’est une délibération pour autoriser la signature y a t’il des questions particulières ? je propose de passer au vote y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? Il s’agit là d’un vote unanime. 113 114 47 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS – SERVICE PATRIMOINE AVENANT N° 2 – CRESSENT – QUARTIER TELTOW / INFRASTRUCTURES – LOT 3 – SERRURERIE / METALLERIE VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le Code des Marché Publics, - le Budget Primitif 2011 La Ville de Gonfreville l’Orcher a décidé que le réaménagement du quartier Teltow/1 er Mai/Elsa Triolet était un objectif prioritaire de la Municipalité. Un groupement de commande entre la ville de Gonfreville l’Orcher et HABITAT 76 a été validé, par délibération du conseil municipal en date du 27 février 2006, pour la conduite des marchés de travaux en vue de la réalisation des infrastructures. Le Conseil Municipal du 15 octobre 2007 a approuvé le contrat de maîtrise d’œuvre de l’équipe ARCHETUDE pour la réalisation de la phase 1 / infrastructures. Un dossier de consultation, en 6 lots, a été rédigé par ARCHETUDE selon la procédure adaptée pour un montant de travaux estimé à 3.631.785,00 € HT (pour la base) et 1.013.078,00 € HT (pour les options) : Lot 1 : V.R.D. Lot 2 : Eau potable – incendie – électricité - éclairage Lot 3 : Serrurerie - métallerie Lot 4 : Maçonnerie Lot 5 : Plantations Lot 6 : Déchets ménagers – colonnes enterrées Le conseil municipal du 24 août 2009 a attribué le lot 3 : Serrurerie - métallerie à l’entreprise CRESSENT pour un montant de 347.995,00 € HT Le conseil municipal du 29 novembre 2010 a approuvé un avenant n° 1 de travaux supplémentaires d’un montant de 10.488,00 € HT (dont 4.826,00 € HT seront à la charge d’HABITAT 76) portant le montant du marché de travaux à la somme de 358.483,00 € HT. CONSIDERANT : 115 - l’avis de la commission des marchés en date du 15 juin 2011 approuvant un avenant n° 2 de travaux supplémentaires pour un montant de 7.655,00 € HT (dont 3.827,50 € HT seront à la charge d’HABITAT 76) : - fourniture et pose de deux portillons sous bâtiments n° 4 et 11 rue Elsa Triolet LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE Un avenant n° 2 de travaux supplémentaires d’un montant de 7.655,00€ HT portant le montant du marché à la somme de 366.138,00 € HT. Montant du marché d’origine 347.995,00 € HT Montant de l’avenant n° 1 10.488,00 € HT Montant de l’avenant n° 2 7.655,00 € HT Nouveau montant du marché 366.138,00 € HT Soit +5,21 % du montant du marché d’origine. DIT Que le montant de la dépense à engager au titre de cet avenant sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 : Nature 2318 Fonction 824 Opération 9015 AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. 116 48 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS - SERVICE PATRIMOINE AVENANT N° 1 – BERI – MAITRISE D’ŒUVRE – QUARTIER TELTOW – CONSTRUCTION D’UN LOCAL JEUNES VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le Code des Marché Publics, - le Budget Primitif 2011 La Ville de Gonfreville l’Orcher a décidé que le réaménagement du quartier Teltow/1er Mai/Elsa Triolet était un objectif prioritaire de la Municipalité. Le Conseil Municipal du 24 mars 2003 a approuvé le dossier de consultation établi par les Services Techniques concernant les marchés de définition, selon la procédure d’Appel d’Offres Restreint, et composé la Commission d’Appel d’Offres. Le Conseil Municipal du 23 juin 2003 a retenu trois équipes de Maîtrise d’œuvre pour les marchés de définition : - Equipe ARCHETUDE - Equipe BERI ZIC ZAG - Equipe ARCHI’MIXTE Le conseil municipal du 19 novembre 2007 a approuvé le contrat de maîtrise d’œuvre, pour le local jeunes, de l’équipe BERI d’un montant de 38.482,50 € HT calculé de la façon suivante : Montant des travaux : 256.550,00 € HT Taux de rémunération Base 14,30 % 36.686,65 € HT EXE 0,70 % 1.795,85 € HT CONSIDERANT : - que le conseil municipal du 16 mai 2011 a approuvé l’avant projet détaillé, proposé par l’équipe BERI, pour un montant de 425.000,00 € HT (valeur février 2011) et la nouvelle enveloppe financière afin de permettre le calcul de la rémunération définitive de la maîtrise d’œuvre. - l’avis de la commission d’appel d’offres en date du 15 juin 2011 approuvant un avenant n° 1 d’un montant de13.665,00 € HT portant le montant du marché de maîtrise d’œuvre de l’équipe BERI à la somme de 52.147,50 € HT et calculé de la façon suivante : Coût prévisionnel des travaux de 256.550,00 € HT en valeur octobre 2005 117 Taux de rémunération 14,3 % + EXE 0,7 % soit un taux de 15 % Ancien montant des honoraires = 38.482,50 € HT Nouvelle enveloppe financière 425.000,00 € HT (valeur février 2011) soit 347.650,00 € HT (valeur octobre 2005) Nouveau calcul de la rémunération : 347.650,00€ HT x 15 % = 52.147,50 € HT LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE Un avenant n° 1 d’un montant de 13.665,00 € HT portant le montant du marché de maîtrise d’œuvre de l’équipe BERI à la somme de 52.147,50 € HT, Montant du marché d’origine 38.482,50 € HT Montant de l’avenant n° 1 13.665,00 € HT Nouveau montant du marché 52.147,50 € HT Soit + 35,51 % du montant du marché d’origine DIT Que le montant de la dépense à engager au titre de cet avenant sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 : Nature 2313 Fonction 824 Programme 9047 AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? des avis contraires ? des abstentions ? Vote unanime. 118 49 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS - SERVICE PATRIMOINE AVENANT N° 1 – BERI – MAITRISE D’ŒUVRE – QUARTIER TELTOW – CONSTRUCTION D’UN LOCAL TERTIAIRE VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le Code des Marché Publics, - le Budget Primitif 2011 La Ville de Gonfreville l’Orcher a décidé que le réaménagement du quartier Teltow/1er Mai/Elsa Triolet était un objectif prioritaire de la Municipalité. Le Conseil Municipal du 24 mars 2003 a approuvé le dossier de consultation établi par les Services Techniques concernant les marchés de définition, selon la procédure d’Appel d’Offres Restreint, et composé la Commission d’Appel d’Offres. Le Conseil Municipal du 23 juin 2003 a retenu trois équipes de Maîtrise d’œuvre pour les marchés de définition : - Equipe ARCHETUDE - Equipe BERI ZIC ZAG - Equipe ARCHI’MIXTE Le conseil municipal du 19 novembre 2007 a approuvé le contrat de maîtrise d’œuvre, pour le local tertiaire, de l’équipe BERI d’un montant de 85.611,50 € HT calculé de la façon suivante : Montant des travaux : 658.550,00 € HT Taux de rémunération Base 12,30 % 81.001,65 € HT EXE 0,70 % 4.609,85 € HT CONSIDERANT : - que le conseil municipal du 4 avril 2011 a approuvé l’avant projet détaillé, proposé par l’équipe BERI, pour un montant de 995.000,00 € HT (valeur juillet 2010) et la nouvelle enveloppe financière afin de permettre le calcul de la rémunération définitive de la maîtrise d’œuvre. - l’avis de la commission d’appel d’offres en date du 15 juin 2011 approuvant un avenant n° 1 d’un montant de 23.171,85 € HT portant le montant du marché de maîtrise d’œuvre de l’équipe BERI à la somme de 108.783,35 € HT et calculé de la façon suivante modifiant le montant de la rémunération de la l’équipe BERI : Coût prévisionnel des travaux de 658.550,00 € HT en valeur octobre 2005 119 Taux de rémunération 12,3 % + EXE 0,7 % soit un taux de 13 % Ancien montant des honoraires = 85.611,50 € HT Nouvelle enveloppe financière 995.000,00 € HT (valeur juillet 2010) soit 836.795,00 € HT (valeur octobre 2005) Nouveau calcul de la rémunération : 836.795,00€ HT x 13 % = 108.783,35 € HT LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE Un avenant n° 1 d’un montant de 23.171,85 € HT portant le montant du marché de maîtrise d’œuvre de l’équipe BERI à la somme de 108.783,35 € HT, Montant du marché d’origine 85.611,50 € HT Montant de l’avenant n° 1 23.171,85 € HT Nouveau montant du marché 108.783,35 € HT Soit + 27,07 % du montant du marché d’origine DIT Que le montant de la dépense à engager au titre de cet avenant sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 : Nature 2313 Fonction 824 Programme 9051 AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. 120 50 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS - SERVICE PATRIMOINE - AVENANT N° 1 – QUALICONSULT – MISSION CONTROLE TECHNIQUE – RENOVATION DE L’ESPACE CULTUREL POINTE DE CAUX VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le Code des Marché Publics, - le Budget Primitif 2011 La ville de Gonfreville l’Orcher a décidé la rénovation de l’Espace Culturel de la Pointe de Caux. La réalisation de ces travaux nécessitant le recours à une mission de Contrôle Technique, une prospection a été faite auprès de différentes sociétés pour connaître leur proposition financière. La société QUALICONSULT a fait l’offre la mieux disante répondant en tous points au cahier des charges, pour un montant de 7.430,00 € HT. Le maire, par décision en date du 11 mars 2010 a approuvé la proposition de la société QUALICONSULT pour un montant de 7.430,00 € HT. CONSIDERANT : - l’avis de la commission des marchés en date du 8 juin 2011 approuvant un avenant n° 1 modifiant le montant de la rémunération de la société QUALICONSULT en raison de : Elaboration de nouveaux rapports finaux et participation du représentant de la société QUALICONSULT à une deuxième commission de sécurité en raison de l’augmentation des travaux pour un montant de 1.030,00 € HT ramené à 875,50 € HT (rabais commercial de 15 %). LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE Un avenant n° 1 de modification du montant de la rémunération, Montant du marché d’origine Montant de l’avenant n° 1 Nouveau montant du marché 7.430,00 € HT 875,50 € HT 8.305,50 € HT Soit + 11,78 % du montant du marché d’origine. DIT 121 Que le montant de la dépense à engager au titre de cet avenant sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 : Nature 2313 Fonction 331 Programme 9065 AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? des avis contraires ? des abstentions ? Vote unanime. 122 51 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS - SERVICE PATRIMOINE AVENANT N° 3 – EXPLOITATION DES CHAUFFERIES, DES PRODUCTIONS D’EAU CHAUDE SANITAIRE ET DES VENTILATIONS – CRAM VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le Code des Marché Publics, - le Budget Primitif 2011 La ville de Gonfreville l’Orcher ayant renouvelé son contrat de chauffage et la production d’eau chaude sanitaire des bâtiments communaux depuis juin 2006. Le conseil municipal du 22 mai 2006 a attribué le marché à l’entreprise CRAM Montant annuel marché de base au gaz : 317.495,69 € HT - P1 : 209.684,69 € HT (fournitures d’énergie) - P2 : 56.799,00 € HT (petite maintenance) - P3 : 51.012,00 € HT (gros entretien ou remplacement) Montant annuel marché après mise en service de la chaufferie bois : 183.368,09 € HT - P1 : 86.557,09 € HT (l’énergie bois n’étant pas comptabilisée) - P2 : 49.299,00 € HT - P3 : 47.567,00 € HT Soit un total sur 10 ans (2 ans marché de base + 8 ans marché après raccordement réseau) soit un montant de 2.102.376,10 € HT Le conseil municipal du 19 novembre 2007 a approuvé un avenant n° 1 ramenant le montant du marché à la somme de 2.070.439,05 € HT. Le conseil municipal du 25 mai 2009 a approuvé un avenant n° 2 portant le montant du marché à la somme de 2.176.366,53 € HT. CONSIDERANT : - l’avis de la commission d’appel d’offres en date du 15 juin 2011 approuvant un avenant n° 3 modifiant le marché de la façon suivante : - prise en compte des modifications des horaires de chauffe de certains sites avec les impacts P1 correspondants pour un montant de 6.237,00 € Ht / an - prise en charge de nouveaux matériels en Entretien + Garantie Totale, avec les impacts P2 pour un montant de 1.099,00 € HT / an et P3 pour un montant de 963,00 € HT / an et Portant le montant annuel du marché après mise en service de la chaufferie bois à 201.515,70 € HT - P1 : 80.563,70 € HT (l’énergie bois n’étant pas comptabilisée) - P2 : 66.930,00 € HT 123 - P3 : 54.022,00 € HT LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE Un avenant n° 3 de modification des prestations, DIT Que le montant de la dépense à engager au titre de cet avenant sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 : Nature 611 Fonction correspondante AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : Daniel PALFRAY a demandé la parole Daniel PALFRAY : faisant partie de la commission d’appel d’offres et étant absent ce jour-là j’ai essayé de comprendre, j’ai eu beaucoup de mal P1, P2, P3 , qu’est-ce que c’est ? Marc GUERIN : je m’adresse à Rémi HAUCHARD Rémi HAUCHARD : Ce sont des éléments de facturation d’un contrat de fourniture d’énergie. P1 correspond au paiement de l’énergie, P2 au petit entretien et P3 au gros entretien, comme par exemple le remplacement de matériel important. Daniel PALFRAY : donc marché annuel au gaz. Donc c’est si on s’était chauffé qu’avec du gaz est-ce qu’il fallait comprendre ça comme ça? En dessous, l’énergie bois n’étant pas comptabilisée en service de la chaufferie, on ne peut pas tirer de conclusion. Est-ce que dans le chiffre du dessus le gaz est compté? je pense qu’il serait intéressant d’avoir... Marc GUERIN : Monsieur ROY Jacques ROY : Dans le P1 à 86 557.09 €, il est spécifié que ce n’est que du gaz et le bois n’est pas compté. Daniel PALFRAY : le fond de ma question qu’est-ce qu’on gagne? 124 Jacques ROY : c’est très compliqué Daniel PALFRAY : d’accord. Je pense qu’il est intéressant après avoir fait un tel investissement de savoir. Nous n'utilisons pas le gaz. Ecologiquement parlant c’est très bien mais après? Jacques ROY : Il faut croiser les données de la D.S.P Chauffage bois et du contrat d’entretien des chaufferies municipales Marc GUERIN : est-ce que ça répond à la question posée? Daniel PALFRAY : je ne sais pas si un jour on avait quelqu’un qui avait un peu de temps même à la louche de nous dire ce qu’on gagne à avoir tout ça. Jacques ROY : nous avons chaque année un rapport du délégataire. Marc GUERIN : merci beaucoup ça veut dire qu’on a des traces et c’est vérifiable. Jacques ROY : oui, mais on n’a pas encore atteint toutes les précisions de raccordement (Chemin Vert, local tertiaire et école de musique) ce qui fait que le tarif n’est pas encore au tarif optimum. Marc GUERIN : ce serait intéressant l’information est accessible, donc on peut vérifier. Je vous propose de passer au vote y a-t-il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime et je vous en remercie. 125 52 - PRET DE CAR À L’ASSOCIATION « COMITE DU MOUVEMENT DE LA PAIX » DE GONFREVILLE L’ORCHER VU - le Code Général des Collectivités Territoriales - le courrier de l’association Comité du Mouvement de la Paix de Gonfreville l’Orcher en date du 15 juin dernier CONSIDERANT Que le Mouvement de la paix de Gonfreville l’Orcher a sollicité la commune afin de bénéficier d’un car le 18 septembre prochain afin de se rendre au Bourget à l’occasion de la fête de l’Humanité. A cette occasion, un important débat aura lieu au stand du Mouvement de la paix portant sur la conférence de révision du Traité de Non Prolifération (TNP) et sur la politique de la France dans le domaine militaire. Que la Ville de Gonfreville l’Orcher est engagée dans la culture de Paix depuis de nombreuses années. Qu’à ce titre, elle multiplie les actions sur ce thème (Journée Internationale de la Paix, réception du Peace Boat, participation à la délégation d’élus français à la conférence sur la révision du TNP) en partenariat avec le monde associatif et notamment le comité local du Mouvement de la Paix. Qu’afin de permettre aux adhérents et militants de cette association Gonfrevillaise de participer aux débats organisés le 18 septembre sur le thème de la Paix, LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré et à l’unanimité DECIDE De mettre à disposition du Comité du Mouvement de la paix de Gonfreville l’Orcher, un car communal, ainsi qu’un chauffeur pour la journée du 18 septembre 2011, afin de se rendre à la fête de l’Humanité au Bourget. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : est-ce qu’il y a des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime merci 126 Affaire présentée par Monsieur Alban BRUNEAU, Adjoint au Maire 53 - ENQUETE PUBLIQUE : TOTAL RAFFINERIE DE NORMANDIE : DRAGAGE AU DROIT L’APPONTEMENT P0 RIVE GAUCHE DU CANAL DE TANCARVILLE VU : - le Code général des collectivités territoriales le Code de l’Environnement le dossier d’enquête publique CONSIDERANT L’enquête publique relative à la demande de dragage au niveau de l’appontement P0 LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, EMET un avis favorable au projet de dragage présenté par TOTAL Raffinerie de Normandie La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Alban BRUNEAU : il s’agit à nouveau de TOTAL afin d’émettre un avis dans le cadre d’une enquête publique qui concerne le dragage au droit de l’appontement P0 rive gauche du Canal de Tancarville. Il est nécessaire d’effectuer des opérations de dragage afin de conforter l’appontement pour l’accostage des navires dans le canal de Tancarville. On a étudié un peu le dossier, il va y avoir un remous des dépôts de sédiments. Evidemment on va récupérer ces vases et elles ne vont pas être mises au large comme ça peut être fait. Ces vases sont polluées de métaux lourds. Tout va être fait dans les règles de l’art j’ai envie de dire, pour récupérer, dépolluer ces matériaux et de les stocker dans des lieux de stockage adaptés. Nous avons bien vérifié tout ça. Je vous propose d’émettre un avis favorable afin que l’activité fluviale et maritime de l’entreprise TOTAL puisse perdurer. Marc GUERIN : y a-t-il des questions par rapport à cette délibération. Je vous propose de passer au vote y a t’il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime. 127 Affaire présentée par Madame Marie-Claire DOUMBIA, Adjointe au Maire 54 - PRISE EN CHARGE DES FRAIS REELS LIES A LA PARTICIPATION DE MEMBRES DU CONSEIL DES SAGES AU 3E FORUM NATIONAL DE LA DEMOCRATIE PARTICIPATIVE Considérant que le Conseil des Sages a été invité par la commune à participer au 3 e forum national de la démocratie participative, organisé par le CIDEFE (Centre d’Information, de Documentation, d’Etude et de Formation des Elus), qui s’est tenu à Gennevilliers les 27 et 28 mai dernier. Considérant que 2 membres de cette institution ont participé à ce forum, Mesdames Henriette Hervieu et Danielle Fourny, accompagnées par Madame Marie-Claire Doumbia, Adjointe au Maire. Considérant qu’il convient de prendre en charge les frais réels liés à cette formation (hébergement, restauration) pour les 3 personnes. Considérant que Monsieur Daniel VATTIER, adjoint au maire a avancé les sommes correspondantes. LE CONSEIL MUNICIPAL DECIDE De prendre en charge les frais réels liés à la participation des 3 membres du conseil des sages : - Frais de restauration (dîner) = 40, 28 € au total, - Frais d’hébergement (1 nuit d’hôtel) = 60, 10 €/pers, soit un total de 180, 30 €. Total global = 220, 58 € DIT Que la somme de 220,58 € sera remboursée à Monsieur Daniel VATTIER en remboursement des sommes avancées. DIT Que les dépenses seront imputées au budget ville nature 6532/020. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération 128 Marc GUERIN : des questions ? Y a-t-il des avis contraires ? Des abstentions ? Vote unanime 129 Affaires présentées par Monsieur Daniel VATTIER, Adjoint au Maire 55 - CESSION DE PATRIMOINE – 9 RUE HENRI PAUL SCHNEIDER A GONFREVILLE L’ORCHER VU : • le Code Général des Collectivités Territoriales • conformément aux dispositions de l’article L443-12 du Code de la construction et de l’Habitation, modifié par la loi ENL « Engagement National pour le Logement » ALCEANE, Office Public d’Habitation de la Ville du Havre, souhaite recueillir l’avis favorable de la Ville sur la cession de pavillons à Mayville LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, EMET un avis favorable A la vente du pavillon mitoyen situé : • 9 rue Henri-Paul Schneider à Gonfreville l’Orcher, aux locataires actuels ; prix de vente 75 000 €, commission pour l’office de 2 600 € à la charge de l’acquéreur. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : pour respecter la chronologie des points on est obligé de faire des votes séparés avez-vous des questions ? Des avis contraires ? Des absentions ? Vote unanime 130 56 - CESSION DE PATRIMOINE – 66 RUE JACQUES DUCLOS A GONFREVILLE L’ORCHER VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - conformément aux dispositions de l’article L443-12 du Code de la construction et de l’Habitation, modifié par la loi ENL « Engagement National pour le Logement » HABITAT 76, souhaite recueillir l’avis favorable de la Ville sur la cession de ce pavillon. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, EMET un avis favorable A la vente du pavillon mitoyen situé : - 66 rue Jacques Duclos à Gonfreville l’Orcher, aux locataires actuels ; prix de vente 119 000 €. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : avez-vous des questions ? des avis contraires ? des abstentions ? Vote unanime. 131 Affaire présentée par Madame Sandra HAUCHECORNE, Adjointe au Maire 57 - SERVICE ENFANCE JEUNESSE ENSEIGNEMENT CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE LA VILLE ET LE CENTRE SOCIAL AGIES RELATIVE A L’ORGANISATION D’ACCUEILS PERISCOLAIRES EN FAVEUR DES ENFANTS D’AGES MATERNELS ET ELEMENTAIRES VU: - le Code Général des Collectivités Territoriales - le code de l’action sociale et des familles relatif à l’accueil de mineurs hors du domicile parental - le code de la santé publique - l’arrêté du 10 décembre 2002 relatif au projet éducatif - les arrêtés de juin 2003, septembre 2006, février 2007, mars 2007 relatifs aux déclarations préalables, à l’encadrement et aux diplômes requis - vu les instructions et circulaires ministériels - le projet d’éducation global de la ville - le contrat de projet du centre social - vu l’avis du conseil des adjoints à ce sujet - vu l’avis de la commission Enfance Jeunesse Enseignement du 12 avril 2011 CONSIDERANT : Que l’évolution sociale et démographique de la commune met en évidence de nouvelles attentes des familles en matière de scolarisation et de lieux d’accueils périscolaires. Que les projets de requalifications urbaines et de constructions nouvelles vont permettre d’accueillir de nouveaux habitants sur la ville. Que l’offre actuelle en matière d’accueils éducatifs et d’accompagnement à la scolarité est en deçà des besoins, précisément sur le Plateau d’’Orcher. Que les accueils seront organisés dès septembre 2011 LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE, 132 Le Maire à signer une convention partenariale avec le centre social AGIES qui précise les conditions et moyens de mise en œuvre d’accueils éducatifs avant et après la classe uniformément pour l’ensemble du territoire et prioritairement en faveur des familles dont les deux parents travaillent et les enfants relevant du Programme de Réussites Educatives. Selon les places disponibles, il sera permis d’examiner les demandes des familles désireuses d’offrir un cadre éducatif épanouissant pour leurs enfants. L’action sera concentrée sur les primaires. Horaires : matin 7 h 30 – 8 h 30 soir 16 h 00 – 18 h 00 ou 16 h 30 – 18 h 30 Les modalités d’organisation entre la Ville et le Centre Social seront précisées dans la convention. La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Sandra HAUCHECORNE : peut-être voulez-vous que je reprécise les modalités des accueils. Il y aura une heure sur le temps du matin, ouvert pour les maternelles 7 h.30/8h.30 et pour le soir deux heures pour les maternelles ou primaires. Pour certaines écoles, ce sera 16 h/18 h. pour d’autres 16h.30/18h.30 Ces temps du soir seront orchestrés en trois temps : un premier temps calme pour le goûter, un second temps d’aide aux devoirs et puis un troisième temps d’activités éducatives visant à épanouir l’enfant et à présenter également les actions qui se font sur la ville, un temps d’ouverture un peu plus social. Le centre social jouera un rôle clé sur les accueils du soir. C’est la raison pour laquelle je vous propose d’accepter que le maire signe une convention partenariale avec le centre social AGIES qui est en cours d’écriture et qui précisera les modalités et les conditions ainsi que les moyens de mise en œuvre de ces accueils éducatifs après la classe, uniformément pour l’ensemble du territoire et prioritairement en faveur des familles dont les deux parents travaillent et les enfants relevant du programme de réussite éducative. Ce qui signifie bien que pour les enfants du PRE il n’y aura pas de changement. AGIES maintiendra ses activités telles qu’elles sont à l’heure actuelle, ce sera du plus. Selon les places disponibles, il sera permis d’examiner les demandes des familles désireuses d’offrir un cadre éducatif épanouissant pour leurs enfants et les modalités d’organisation entre la ville et le centre social seront précisées dans la convention. Avez-vous des questions ? c’est une nouveauté. 133 Catherine NORDET : je regrette que ce service soit mis en place un peu dans l’urgence sans qu’on ait les chiffres des besoins de la population. Sandra HAUCHECORNE : par rapport aux chiffres, je peux préciser que ça fait deux années que je travaille sur le projet. Nous avions mandaté aussi un groupe de travail, constitué de personnes de la commission enfance jeunesse et d’agents communaux. Il y avait déjà eu un premier questionnaire adressé aux familles, nous avions déjà pu recueillir leurs besoins. A l’heure actuelle, il y a un nouveau questionnaire en direction des familles. Aussi un diagnostic qui a été fait par une jeune fille, qui effectue un diagnostic global des activités et des offres de la ville, ce qui nous permet d’avoir un premier point sur lequel on peut s’appuyer. Dès que nous aurons les chiffres effectivement, nous pourrons préciser les choses. Là nous sommes uniquement dans la définition de la structure, ensuite il faudra mettre en place, en face les effectifs nécessaires. D’après les premiers chiffres, nous avons une offre qui est encore plus importante que ce qu’on imaginait. Catherine NORDET : je suis tout à fait pour cet accueil, ça m’embêtait que ce soit fait dans l’urgence Sandra HAUCHECORNE : l’urgence se justifie par le fait que nous avons eu aussi cette année, deux menaces les fermetures de classe en primaire qui ne sont pas encore effectives. Le but était d’endiguer cette fuite des élèves qui peuvent aller dans les communes extérieures. Les communes limitrophes proposent toutes un mode de garde après la classe que nous n’avions pas. C’est aussi une des raisons qui a fait que nous avons été contraints de mettre en place ce mode de garde dès septembre. A mon sens l’urgence est toute relative. Marc GUERIN : autre question ? Catherine NORDET : simplement, ça s’adresse en priorité aux familles dont les deux parents travaillent. Il ne faut pas qu’on ait après une dérive de familles dont la maman ne travaille pas, on met l’enfant là en garde. Sandra HAUCHECORNE : ce qu’on a signalé en fait c’est que pour qu’il y ait une forme d’équité, effectivement, le terme priorité a été employé, mais j’aurai dû ajouter que les parents qui souhaitent mettre leurs enfants à garder, mais qui ne travaillent pas, auront la possibilité de le faire en fonction des places disponibles d’une part, et d’autre part on espère aussi avoir leur participation puisque ces temps d’accueil seront ouverts aux parents qui pourront bien entendu accompagner leurs enfants, participer aux activités proposées et pourquoi pas apporter leur savoir. Marc GUERIN : Marie-Aline BEKHEDDA a demandé la parole Marie-Aline BEKHEDDA : une question par rapport au nombre de personnes qui vont garder ces enfants, il faudrait que l’AGIES embauche? Sandra HAUCHECORNE : oui. A plusieurs reprises j’ai rencontré Pascal DUMESNIL. Nous avons visiblement trouvé une solution commune. Il s’agirait d’un partenariat. J’ai réussi à le convaincre. Au départ, il était plutôt hostile à une collaboration entre des animateurs ville et 134 des référents AGIES. Nous envisageons de déléguer les choses. AGIES aurait la responsabilité pédagogique des projets, le travail avec les directrices d’école, l’interface avec les écoles, travail au sein des locaux, et il aurait aussi la gestion de tout ce qui est aide aux devoirs. Les animateurs seront présents pendant toute la durée du temps d’accueil, mais ils apporteront davantage leurs compétences sur les temps d’activité... Marie-Aline BEKHEDDA : d’accord Sandra HAUCHECORNE : … qui compléteront l’aide aux devoirs. Marc GUERIN : Cédric PELLETIER a demandé la parole Cédric PELLETIER : pourquoi ne pas demander aux animateurs qui font déjà de l’aide aux devoirs de continuer de leur donner plus d’heures? Sandra HAUCHECORNE : c’est-à-dire les animateurs AGIES ou les animateurs ville ? Cédric PELLETIER : les animateurs AGIES Sandra HAUCHECORNE : en fait ce qu’on va faire, nous allons augmenter la subvention que l’on adresse à AGIES mais ce sera toujours AGIES qui sera recruteur. Ce qui signifie que si AGIES a l’intention de recruter du personnel qu’il recrutait habituellement, il n’y aura pas de contre indication. Marc GUERIN : Julia RUSSO a demandé la parole Julia RUSSO : en fait ça passe de 8 animateurs à 16 ? Sandra l’a signalé tout à l’heure l’AGIES sera recruteur, mais il y aura le double d’effectif au niveau animateur centre social AGIES Sandra HAUCHECORNE : pour l’instant nous n'avons pas encore les chiffres. Nous attendons de voir les besoins. Effectivement ce sur quoi on s’est entendu, c’est au moins un animateur ville et un référent AGIES par site. Voilà. Pour les maternelles, la question se pose un peu différemment puisqu’on envisage de faire appel à d’autres forces en présence comme par exemple les ATSEM où là encore uniquement nos animateurs ville. Au vu du fait qu’il n’y a pas besoin d’aide aux devoirs pour les maternelles, j’aurai dû préciser qu’AGIES se concentrera sur les primaires. Marc GUERIN : débat intéressant! Cela répond à vos questions? je vous propose de passer au vote y a t’il des avis contraires ? des abstentions ? vote unanime. Merci. 135 Affaire présentée par Monsieur Marc GUERIN, Adjoint au Maire 58 - SERVICE FINANCES / MARCHES PUBLICS – SERVICE PATRIMOINE - AVENANT N° 2 – VALLOIS – CHEMIN VERT - LES VILLAS – LOT 3 – PLANTATIONS VU : - le Code Général des Collectivités Territoriales - le Code des Marché Publics, - le Budget primitif 2011 La ville de Gonfreville l’Orcher a décidé la continuation des travaux d’aménagement dans la ZAC du Chemin Vert en aménageant le secteur « Les Villas » après avoir réalisé le secteur « Les Clos ». Le conseil municipal du 25 juin 2001 a approuvé l’équipe F. SYLVOS / X. LAUZERAL / CONFLUENCES / N. CHPILEVSKI pour la Maîtrise d’œuvre de l’aménagement du secteur d’urbanisation « Le Chemin Vert ». Un dossier d’Appel d’Offres Ouvert, en 5 lots, a été établi par l’équipe de Madame Florence SYLVOS pour le secteur « Les Villas » pour un montant de travaux estimé à 6.553.216,94 € HT (en base). - Lot 1 : Travaux de Voirie – Réseaux divers et Colonnes enterrées - Lot 2 : Ouvrages hydrauliques - Lot 3 : Plantations – Mobilier - Lot 4 : Entretien des plantations - Lot 5 : Passerelles, ponton, ponceaux Les commissions d’appel d’offres devant se dérouler les 1 er et 22 juillet 2009, le conseil municipal du 29 juin 2009 a autorisé le Maire à signer une décision attribuant les marchés de travaux. Par décision en date du 3 août 2009, le Maire a attribué le lot 3 : Plantations à l’entreprise VALLOIS pour un montant de 1.008.045,40 € HT. Le conseil municipal du 10 janvier 2011 a approuvé un avenant n° 1 de travaux supplémentaires pour un montant de 23.733,25 € HT. CONSIDERANT : - la nécessité de réaliser des travaux supplémentaires pour un montant de 17.691,88 € HT : - travaux en plus-value pour un montant de 57.097,69 € HT - débroussaillage de la végétation roncière du vallon de la Fondance pour implantation du géomètre pour un montant de 5.796,62 € HT - fourniture et pose de corbeilles ORLAM pour un montant de 35.725,56 € HT 136 - fourniture et pose d’un volige en délimitation de l’aire de jeux pour un montant de 2.582,10 € HT - reprise et mise en place de terre selon profil de l’aire de jeux pour un montant de 458,00 € HT - réalisation d’un drainage y compris raccordement sur réseaux EP pour un montant de 997,20 € HT - remise en état de la prairie détériorée par les travaux ERDF pour un montant de 7.125,00 € HT - création de différentes rampes d’accès entretien de part et d’autre des passerelles et à l’arrière du gabion pour un montant de 2.956,32 € HT - reprise de nivellement, apport de terre complémentaire et ensemencement du rond point pour un montant de 1.456,59 € HT - travaux en moins-value pour un montant de 39.405,81 € HT - prix 3.1.13 – clôture de chantier 3 fils hauteur 1 m pour un montant de 6.806,88 € HT - prix 3.6.5 - fourniture et pose de corbeilles VIGIPIRAT ORLAM pour un montant de 23.155,08 € HT - prix 3.7.3 - rive de bois de l’aire de jeux pour un montant de 9.443,85 € HT - de prolonger le délai de réalisation des travaux pour permettre une réception au 12 juillet 2011 LE CONSEIL MUNICIPAL, Après en avoir délibéré, APPROUVE Un avenant n° 2 d’un montant de 17.691,88 € HT portant le montant du marché de travaux à la somme de 1.049.470,53 € HT soit + 4,11 % du marché d’origine et prolongeant le délai de réalisation pour permettre une réception au 12 juillet 2011 Montant du marché d’origine 1.008.045,40 € HT Montant de l’avenant n° 1 23.733,25 € HT Montant de l’avenant n° 2 17.691,88 € HT Nouveau montant du marché 1.049.470,53 € HT Soit +4,11 % du montant du marché d’origine. DIT Que le montant de la dépense à engager au titre de cet avenant sera rattaché aux opérations budgétaires 2011 : Nature 2318 Fonction 824 Opération 9056 AUTORISE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires. 137 La délibération est adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif de ROUEN dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Monsieur le Maire et Monsieur le Receveur Municipal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente délibération Marc GUERIN : il s’agit de travaux supplémentaires à réaliser, il y avait des travaux en plus value des travaux en moins value. Je vous invite à voter. Est-ce qu’il y a des avis contraires par rapport à cette délibération? des absentions? il s’agit également d’un vote unanime. Nous arrivons mes chers collègues au terme de nos travaux du conseil municipal. Est-ce qu’il y a d’autres questions que vous auriez aimées ou des interventions en particulier? Daniel PALFRAY Daniel PALFRAY : deux petites interventions. Puisque la ville a aidé Pascal TESNIERE avec son « bras de l’océan » il a dû le mettre à l’eau aujourd’hui? Deuxième intervention : c’est pour prévenir des travaux qui auront lieu sur la RD 6015, donc route bouchée! je voulais peut être avoir plus d’information sur cette chose. Marc GUERIN : merci de me permettre de le faire. Il y a eu deux réunions publiques auxquelles un certain nombre parmi nous a participé. Sur les travaux de la RD 6015 à hauteur des 8 fermes, mais surtout entre la jonction des travaux juste après Conforama et juste devant la boulangerie, ça a donné lieu à des explications importantes de la part de la CODAH et de l’entreprise intervenante, notamment sur le détail des travaux, mais également le phasage. Je crois que c’était un point important de savoir comment tout ça va s’articuler et qui a mis en évidence au moins deux choses importantes : • c’est l’inquiétude formulée par les commerçants de Gainneville, le maire de Gainneville était représenté Hubert BENARD était présent sur les conséquences qui pourraient y avoir au niveau du commerce, en sachant qu’ils ont vécu une première épreuve avec les longs travaux et les dérives des délais qui ont impacté le commerce gainnevillais créant un sentiment de corporatisme et de frilosité. Finalement ces mêmes personnes considéraient que la sécurité passait après le chiffre d’affaire de leurs commerces. Ce qui n’a pas été le cas le lendemain avec les riverains de la RD 6015. Il me semble que ça aurait gagné encore en qualité notamment sur les riverains du hameau des Cambrettes qui seront impactés également par la déviation des véhicules pendant onze semaines. • Le deuxième point comment nous allons communiquer ou nous ou la CODAH ou conjointement pour permettre d’expliquer les travaux, les impacts. Aussi au niveau de la population qui utilise cette voie routière pour déplacement. C’est bien, il y avait du monde à chaque fois, c’était intéressant. Justement à l’occasion d’une de ces réunions, ce fut l’occasion pour Daniel PALFRAY en tant que riverain de citer un rapport qui avait 138 été fait à l’époque par Claude LEROYER en 1971, ça remonte à quelques années pour noter qu’à hauteur du café des cyclistes, il y avait énormément de décès à cause des accidents déjà en 1971, et qu’il est grand temps qu’on trouve de ce côté-là de la ville, une entrée de ville qui soit sécurisée et attrayante. Il faut qu'elle permette aussi aux gournaysiens de pouvoir se désenclaver de ce côté-là. Nous nous souvenons des files d’automobiles interminables à hauteur de l’échangeur à une époque donc il y avait vraiment un grand besoin de désenclavement. C’est aussi l’occasion pour la ville de refaire l’axe routier rural qui descend de ce côté-là. On nous a expliqué aussi qu’une fois qu’on aura fait la réfection de la voirie, il y aura un constat et un état des lieux après travaux pour que la CODAH prenne en compte la réfection de la chaussée. Nous avons plaidé pour imaginer, mais ça c’était un vœu pieux, que la société autoroutière puisse à partir de l’échangeur de Saint-Romain, jouer la gratuité pour les gens qui se rendent ou en centre ville ou qui en sortent. Là nous avons échoué. Les affaires sont les affaires! C'est bien regrettable, parce que c’est aussi l’occasion de rappeler, au combien notre Pointe de Caux est enclavée, avec les péages autoroutiers du Pont de Normandie, du Pont de Tancarville et également du péage d’Epretôt qui placent notre situation de Pointe de Caux en situation de prise d’otage. A chaque fois qu’on a à sortir du Bec de Caux, il faut payer. Je serai tenté de dire le dossier suit son cours. Il passionne à défaut d’inquiéter. C’est le fait que les services de la CODAH ont privilégie le sens de circulation Le Havre Rouen plutôt que Rouen Le Havre considérant que ça pouvait impacter de façon significative les commerçants. On ne peut pas dire qu’on n’a pas tenu compte de ça, c’était un point important dans la dernière période de ces réunions publiques. Il est 21 h.34 et je vous propose... Christian CHICOT a demandé la parole Christian CHICOT : je voulais informer les élus que le chantier du local tertiaire a commencé. Des visites par groupe sont possibles, le vendredi après-midi sur réservation, auprès de l’accueil des services techniques. Il y a aussi la salle des fêtes de l’hôtel de ville qui est réservée à l’exposition CEMATERRE. Marc GUERIN : donc, nous retenons Christian CHICOT l’invitation pour les membres du conseil municipal. Des choses pourront être organisées, il faudra qu’on mette sur pied quelque chose. Il est 21 h.35 cette fois-ci je vous propose de lever la séance et de vous remercier de votre collaboration. Bonne soirée. 139