PO-6 - WITS
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Une étude et une classification des algorithmes distribués d’ordonnancement des réseaux de capteurs sans fil Mitta Nourreddine1 1 Laboratoire Génie Electriques & Systèmes Energétiques Faculté des Sciences, Université Ibn Tofail Kénitra, Maroc [email protected] Résumé— Le champ des réseaux de capteurs sans fil est un domaine émergent ou plusieurs contributions sur l’ordonnancement existent. Nous avons sélectionné huit algorithmes sur l’ordonnancement distribués dans les réseaux de capteurs. Un récapitulatif de tous les algorithmes est évoqué dans le papier avec une discussion comparative et une classification. Toute personne nouvelle dans le domaine de l’ordonnancement distribuée pour les réseaux de capteurs sans fil peut débuter par ce papier, puis rentrer dans les détails en se référant aux documents cités. Une variété d'algorithmes de l’ordonnancement distribuée des réseaux de capteurs existe et ils sont assez comparables. On peut ainsi trouver quel type d’algorithme est adapté à la demande sur la base de ses conditions d'application. Index Termes— Ordonnancement; programmation distribuée; FQ; PEPS; GPS; WFQ. I. INTRODUCTION La révolution des réseaux de capteur est la troisième vague des révolutions d’aujourd'hui après l'industrie des PCs des années 1980 et l'industrie de l'Internet des années 1990 [1]. Les capteurs depuis la fin des années 1990 jusqu'à aujourd’hui ont donné lieu à des applications considérables en matière de surveillance, suivi, et environnements intelligents etc. Un réseau de capteur est une grande collection de nœuds minuscules intelligents pas cher, portable, jetable, intégrable, d’efficacité énergétique importante. Individuellement chaque nœud est autonome et de courte portée; collectivement, les noeuds sont coopératifs et efficaces sur une grande zone. Ils partagent des tâches de détection communes à savoir, la détection de redondance, ce qui implique que tous les capteurs sont requis pour effectuer des tâches de détection au cours de la vie de l'ensemble du système. Faire somnoler quelque nœuds n'affecte pas la fonction globale du système aussi longtemps qu’il ya assez de nœuds assurant le travail. Par conséquent, si nous avons d'abord déployé un grand nombre de capteurs et programmés pour travailler alternativement, la durée de vie du système peut être prolongée de manière correspondante, c'est à dire, que la redondance est exploitée pour augmenter la durée de vie du système. Donc il est important de planifier ceci pour les nœuds. Rachid El Gouri1,2, Hlou Laamari1 2 Ecole Nationale des Sciences Appliquée (ENSA) Université Ibn Tofail Kénitra, Maroc [email protected], [email protected] Le concept d'ordonnancement provient de systèmes d'exploitation. Dans les réseaux informatiques à commutation de paquets et autres multiplexeurs statistiques, la notion d'un algorithme d'ordonnancement est utilisée comme une alternative des paquets de données mis en attente en forme de premier arrivé premier servi. Les algorithmes simples d'ordonnancement de meilleur effort sont effectués sous forme d’un tournoi à la ronde et files d'attente juste. Si la différence ou la garantie de qualité de service est offert, par opposition à la communication de meilleur effort, la file d'attente équitable pondérée peut être utilisés [2]. Le tournoi à la ronde est l'un des algorithmes les plus simples d’ordonnancement de processus dans un système d'exploitation, il attribue des tranches de temps à chaque processus en portions égales et dans l'ordre, la gestion de tous les processus est non prioritaire. Dans les réseaux, ces procédés peuvent être remplacés par des paquets ou des nœuds. La file d'attente – File Queue- (FQ) permet juste à plusieurs flux de données de partager équitablement la capacité de liaison. L'avantage par rapport a la conventionnelle file d’attente à premier entré, premier sorti -first in first out- (FIFO), est qu’un dysfonctionnement de flux (constitué de grands paquets de données ou des éclats de nombreux paquets) ne sera que luimême puni et pas les autres flux. FQ peut être interprété comme une approximation de paquets de partage de processeur généralisé -Generalized Processor Sharing- (GPS). GPS a été développé en tant que discipline de service à part la capacité de communication encombrés des liens de manière efficace, souple et équitable. Le round-robin pondéré est l'émulation simple de la discipline de GPS. Alors que la queue à foire pondéré -Weighted Fair Queuing- (WFQ) est une technique d'ordonnancement de paquets de données permettant différentes priorités de programmation pour multiplexer statistiquement les flux de données [2]. II. CLASSIFICATION DES ALGORITHMES D'ORDONNANCEMENT DISTRIBUE DES RESEAUX DE CAPTEURS L'informatique répartie est un concept relatif au traitement pour ordinateurs où différentes parties d'un programme s'exécutent simultanément sur deux ou plusieurs processeurs communiquant entre eux sur un réseau [2]. Le traitement de l’ordonnancement peut être distribué entre les différents nœuds d’un réseau de capteurs. Un nœud dans un réseau de capteurs est habituellement équipé d'un microcontrôleur comme processeur. Les algorithmes d'ordonnancement distribués sont indispensables pour les réseaux de capteur parce que si tous les calculs sont effectués sur un seul nœud alors il épuisera toute son énergie. En outre, un algorithme centralisé peut avoir besoin d’entête global de synchronisation et peut ne pas être évolutive sur des grands réseaux peuplée [3]. Tous les algorithmes de programmation distribuée pour les capteurs réseaux conservent leurs énergies en programmation. Les huit algorithmes discuté dans la section suivante sont issues de huit papiers différents nous représentons leur classification détaillée dans cette section pour renforcer la compréhension, les titres des sous-sections décrivent les algorithmes selon leur classification. Les algorithmes peuvent être classés comme ceux qui fournissent une couverture complète de la détection ou non. La plupart des algorithmes ([4], [5], [6], [7], [8]) ne font pas de tentative de couverture de chaque point de la région qui doit être détectée. Ce qui signifie que dans les algorithmes des angles morts (régions qui ne sont pas détecté) sont introduits lors de l’ordonnancement sur les nœuds de capteurs. Les algorithmes qui fournissent une couverture complète ([9], [10], [11]) exigent que les emplacements des nœuds puissent être obtenus à partir de positionnement globale avec système de localisation (GPS) ou une technique de localisation [12]. Les algorithmes d'ordonnancement distribués pour les réseaux de capteurs peuvent également être classés suivant l'emplacement de base et l'emplacement libre. Donc les algorithmes qui fournissent une couverture complète sont à emplacement de base. Alors que tous les autres algorithmes qui ne fournissent pas la couverture complète ne sont pas à localisation libres. Par exemple, Akkaya et al [4] (section 3.1) décrit un algorithme d'ordonnancement de paquets nécessitant la localisation d’un nœud passerelle. Dans un autre exemple Gui et al [7] (section 3.6) décrivent un algorithme qui est basé sur l'emplacement d'un cas spécifique. D'autre part, certains algorithmes ([5], [6], [8]) sont à base de localisation libre. Une autre classification est fondées sur l’optimisation, alors que certains algorithmes sont optimisés d'autres ne le sont pas. Un algorithme optimisé [6] utilise une technique d'optimisation pour déterminer le calendrier de base. Une autre classification est l’ordonnancement de paquets [4] et les algorithmes à base de sommeil-ordonnancement. La plupart des algorithmes d'ordonnancement distribués pour réseaux de capteurs sont des algorithmes à base de sommeil-ordonnancement. III. ALGORITHMES D’ORDONNANCEMENT POUR DES RESEAUX DE CAPTEURS SANS FIL L’ordonnancement distribué est un domaine riche de nombreux algorithmes/ systèmes /techniques/ méthodes appliquées aux réseaux de capteurs. Les plus importantes sont énumérées ci-dessous. 3.1 Ordonnancement de paquets pour le regroupement des données L'idée principale de l'agrégation des données dans un réseau est d'éliminer la transmission de paquets inutiles en filtrant les données redondantes de capteur et/ou en effectuant une évaluation incrémentale de la sémantique des données, par exemple la cueillette de la lecture de la température maximale. Une pondération de queue lointaine est un mécanisme basé sur l'ordonnancement de paquets est utilisé sur chaque nœud afin d'effectuer la différenciation de service et garantir le retard borné par contrainte (en temps réel) du trafic. L’ordonnanceur gère les flux en temps réel et les flux de temps non réel dans des files d'attente distinctes. Les auteurs [4] ont présentés une approche efficace en temps opportun dans les réseaux de capteurs quand l’agrégation en réseau des données est utilisée. Les capteurs répondent au besoin d'un ou plusieurs nœuds de commandement. Les commandements de nœuds peuvent être fixes ou mobiles. Un nœud passerelle est un nœud de proximité physiquement contraint énergétiquement et moins déployée comme capteur. La passerelle est responsable de l'organisation des activités au niveau des nœuds de capteurs pour réaliser une mission, la fusion des données collectées par les nœuds de capteurs, la coordination de la communication entre les nœuds de capteurs et l’interaction avec la commande des nœuds. L'emplacement des nœuds de passerelle est déterminé en utilisant le système de positionnement global (GPS) et est utilisée dans l'algorithme. 3.2 Nœud à base de localisation avec schéma de sommeil prévoyant K-couverture (configurable) et la connectivité garanti Le papier [9] contient une intéressante discussion sur la couverture de détection et la connectivité de communication. Ses auteurs ont fourni une analyse géométrique de la relation fondamentale entre la couverture et la connectivité. Ils ont présenté un protocole -Configuration Protocol Couverture(PCC) qui peut dynamiquement configurer le réseau pour fournir différents degrés possibles de la couverture demandée par les applications. Cette flexibilité permet au réseau de s’'auto-configurer pour une large gamme d’applications et d’environnements avec divers exigences de changement de couverture. Dans PCC, chaque nœud exécute un algorithme d'admissibilité pour déterminer s'il est nécessaire de devenir active. Une région est dite avoir un degré K de couverture (c'est à dire, K-couvert) si tous les emplacements à l'intérieur sont recouverts par au moins K nœuds. Compte tenu d'un degré de couverture K demandée, un nœud v est inadmissible si chaque emplacement dans sa zone de couverture est déjà Kcouverts par d'autres nœuds actifs dans son voisinage. En pratique, un réseau avec un degré plus élevé de la couverture peut atteindre une plus grande précision de détection et être plus robuste contre les défaillances de détection. PCC a plusieurs avantages clés: -CCP peut configurer un réseau par la couverture spécifique d’un degré requis par l'application. Il s'agit d'un protocole décentralisé qui ne dépend que des états locaux des voisins de détection. Cela permet à PCC de travailler à l'échelle efficace dans les grands réseaux de capteurs où les nœuds tombent en échec à l'exécution. Il permet également aux applications de modifier leur degré de couverture au moment de l'exécution sans recourir à une communication aérienne haute. -L'analyse géométrique prouve que CCP peut fournir des degrés garanti de couverture. Les auteurs [9] ont intégré PCC avec un protocole de maintenance de connectivité (SPAN [11]) pour fournir la couverture et les garanties de connectivité. En outre, ils ont montrés que SPAN + CCP peut prolonger de manière significative la durée de vie du système tout en maintenant la capacité de couverture et la communication. 3.3 Ordonnancement du schéma de sommeil par géolocalisation de nœud prévoyant la couverture complète (non configurable) Chaque nœud calcule sa zone de détection circulaire 2-D puis la compare avec celle de son voisin. Si un ensemble de voisins peut couvrir la zone de détection du nœud courant, le nœud courant s'endort (son unité s’éteint et/ou l’unité de la communication de détection ou ignore les événements détectés sans s’éteindre) sans réduire l'ensemble du système de détection de la couverture. Lorsque la portée de transmission des nœuds est grande par rapport à leur gamme de détection, la connectivité réseau peut encore être assurée, même après avoir éteint plusieurs nœuds simultanément. Toutefois, lorsque la distance de transmission est relativement petite, la connectivité du réseau initial peut être détruite après ordonnancement-nœud. Pour l’empêcher, chaque nœud peut examiner la connectivité de ses voisins à l'aide de leurs informations de position. Si deux voisins d'un nœud ne peuvent pas s’atteindre mutuellement directement, le nœud doit rester en service même si ses voisins peuvent couvrir sa zone de détection. Ce schéma vise à préserver totalement théoriquement la couverture de détection originale. Pratiquement, la dégradation de la couverture de détection causée par erreur de localisation, la perte de paquets et la défaillance d'un nœud sont très limitée, pas plus de 1%, comme indiqué par les résultats expérimentaux dans [11]. On a supposé dans ce cas que chaque nœud a la même gamme de détection. Pour le cas des nœuds à différents gamme de détection, le lecteur peut toujours se référer au document [11]. Les hypothèses faites dans cet algorithme sont que chaque nœud connaît son propre emplacement et l'emplacement de ses voisins (par GPS ou toute autre technique de localisation [6]), chaque nœud connait la taille de sa zone de détection, qui est supposée être de forme circulaire dans un plan 2-D, et tous les nœuds du réseau sont temporellement synchronisés. Dans l’algorithme [11], l'opération est divisée en cycles de travail. Chaque cycle de travail commence par une phase d'autoprogrammation, suivie d'une phase de travail. Dans la phase d'auto-programmation, les nœuds enquête sur la règle d'admissibilité (c’est-à-dire, si un nœud est éligible à dormir) et détermine leur fonctionnement de détection des tâches au cours de la phase de travail et deviennent responsables de collecte et de distribution de données sur le nœud récepteur. Afin de minimiser l'énergie consommée dans la phase de l'auto-programmation, la phase de travail doit être longue par rapport à la phase d'auto-programmation. Chaque phase d’auto ordonnancement consiste en deux étapes. Tout d'abord, chaque nœud annonce sa position et écoute l'annonce des messages d'autres nœuds pour obtenir l'information de position des nœuds voisins. Ensuite, chaque nœud décide s'il est hors service ou non par le calcul de la couverture de ses voisins et sa comparaison avec sa propre zone de détection et attend tout mode repos annoncé par ses voisins avant de dormir. Ce système nécessite le calcul (à la complexité O (nombre de voisins)) de l'angle qui sous-tend les nodales à la zone de détection commune pour savoir si les voisins couvrent la zone de détection de ce nœud. 3.4 Schéma de localisation et sommeil sans calcul d'ordonnancement fournit pas couverture complète Lorsque la portée de transmission des nœuds est faible par rapport à sa gamme de détection, le schéma précédent implique la localisation de nœud et ses voisins ainsi que le calcul de la zone de détection du nœud et ses voisins au cours de l’ordonnancement nœuds. Les mêmes auteurs ont mis au point trois systèmes indépendant de la localisation et de calcul libre mais nécessitent soit la distance relative entre les nœuds (une estimation approximative de ce qui peut être obtenu à partir de mesures d'intensité de signal), ou le nombre de voisins et/ou d'une table mémorisée. Le schéma qui est le plus simple et le plus léger (parmi les trois) est basée sur la probabilité et ne nécessite aucune information voisine (de distance ou nombre) mais nécessite un nombre aléatoire. Un nœud choisit un nombre aléatoire de [0,1] et si elle est inférieure à la probabilité éteint (en mémoire), le nœud passe en mode repos (comme expliqué dans le schéma précédent). L’inconvénient de ce schéma de probabilité fondée est que cela a une plus grande couverture de perte par rapport aux deux autres. Ces schémas ne préservent pas complètement la couverture du système d'origine. 3.5 Horaires de sommeil fondée sur l'optimisation pour la détection d'événements rares fournit par la couverture partielle Les auteurs [6] ont proposé un protocole pour l’ordonnancement du sommeil du nœud qui garantit une couverture de détection par retard borné tout en maximisant la durée de vie du réseau. La moyenne de retard de détection d'un point où l'événement s'est produit est définie comme le temps moyen écoulé jusqu'à ce que l'événement soit détecté. Le retard total appelé retard de surveillance comprend le délai de détection et la livraison de paquets de latence. Les auteurs [6] ont optimisé ces deux rares retards (mais urgent) de cas de détection, où le réseau est normalement silencieux, sauf lorsque les événements se produisent. Ce sont des événements de courte durée de vie. Un événement avec une courte durée de vie peut être détecté aussi longtemps que sa durée de vie croise l'une des périodes de veille des capteurs nœuds voisins. Il est facile de montrer que la probabilité d'une telle intersection est maximisée lorsque les périodes de réveil sont également espacées. Ainsi, l’ordonnancement du sommeil qui optimise le retard de détection maximise également la probabilité de détection des événements de courte durée. Ils réduisent le délai de détection moyenne soumis à une contrainte sur la consommation d'énergie (exprimée comme une contrainte cyclique). Le résultat final est un système cadre flexible dans lequel les concepteurs d'applications peuvent s’échanger hors énergie par rapport à la latence de détection d'événement. Dans ce schéma, la zone n'est que partiellement couvert. A tout moment le système sélectionne un ensemble de nœuds primaires qui sont en service à un moment donné dans le temps. Les auteurs [6] ont proposé un protocole de maintien de la connectivité pour minimiser le retard de livraison multi-saut à une station de base. 3.6 Schéma d'aménagement de sommeil-éveille fournissant une couverture partielle pour la poursuite de cible Deux étapes existent, l’étape de surveillance (lorsque la cible n'est pas à proximité des nœuds et les nœuds en place sont en mode de faible puissance) et l'étape de suivi (lorsque les nœuds sont en poursuite d'une cible). L’ordonnancement de sommeil de chaque nœud lors de la phase de surveillance peut être effectué comme suit: Pour les nœuds capteurs répartis uniformément, les auteurs [7] ont proposé un schéma distribué -Neighborhood Cooperative Sleeping- (NCS) appelé Environnement de sondage et de collaboration adapté de sommeil -Probing Environment and Collaborating Adaptive Sleeping- (PECAS). Initialement, chaque nœud dort une durée suivant une distribution exponentielle c’est à dire que les temps de sommeil sont distribués de façon exponentielle. Dans l'environnement de sondage, lorsqu'un nœud se réveille, il envoie un message sonde à ses voisins et attend un intervalle de temps donné pour le recevoir. S'il ne trouve pas de nœud en fonction, il travaille pour une durée donnée. Sinon, il peut dormir à un moment donné suivant l'algorithme adaptatif de sommeil, en utilisant les informations locales recueillies au cours de l'opération de sondage. L'utilisation de ce procédé, assurent que, quand un nœud de travail commence à dormir, le(s) autre(s) nœud (s) en sommeil dans le voisinage se réactivent et sondent. Un exemple est donné dans la figure 1. Pour la distribution de nœuds de capteurs non uniforme (prévu), le système est basé sur la localisation. Seuls les nœuds aux endroits prévus restent actifs de telle sorte que leur distribution forme un motif prévu. Lors de la phase de trac, il est nécessaire que chaque nœud soit pro-activement informé quand une cible est en mouvement vers lui. Si un nœud reçoit des paquets de suivi (marqué comme suivi et envoyé par les nœuds qui peuvent détecter la cible), mais ne peut pas détecter une cible, il faut être conscient que la cible peut venir dans un avenir proche. Donc, il s'agit d'un mode (même à faible puissance en phase de surveillance), dans laquelle il est en attente de la cible. Les auteurs [7] n’ont pas traité exhaustivement la question de la connectivité. Fig. 1. Exemple d'opérations dans le protocole PECAS [7] 3.7 Schéma d’ordonnancement du sommeil sur la base de sondage-ne fournissant pas une couverture complète Les auteurs [8] ont proposé une densité à base de contrôle de l’algorithme de sondage pour ordonnancer un nœud. Dans ce protocole, un sous-ensemble de nœuds sont sélectionnés dans un premier temps et sont maintenues en mode de fonctionnement jusqu'à épuisement de leur énergie ou sont détruit (donc l'algorithme n'est pas complètement distribué). D’autres nœuds redondants sont autorisés à s'endormir et si nécessaires se réveiller à l'occasion pour sonder leur voisinage. Les nœuds en sommeil ne commencent à fonctionner que s'il n'y a pas un nœud en travail au sein de sa gamme de sondage. Dans cet algorithme, la connaissance de la géométrie est utilisée pour calculer la valeur de sondage en fonction de la redondance. Ainsi, la redondance souhaitée peut être obtenues en choisissant la gamme de sondage correspondante [11]. Lorsque la plage de transmission est supérieure ou égal à la gamme de détection, satisfaisant la couverture de redondance la connectivité de la communication sera assurée en même temps. Cependant, si la gamme de transmission est beaucoup plus faible, ceci pourrait former la déconnection de la topologie de travail du nœud. Ainsi la gamme de sondage doit être réglée en fonction de la plus petite des deux. La gamme de sondage est la gamme de transmission jusqu'à un nœud qui sonde le voisinage. 3.8 Ordonnancement du schéma de sommeil de nœud géolocalisé offrant une couverture différenciée pour la surveillance Cette surveillance prend en charge différents scénarios pour une couverture partielle (moins de 100%) suffisante ou un degré élevé de couverture (supérieure à 100%) souhaitée. La technique de base utilisée est la distribution des temps de réveil des nœuds (au sens commun) dans un intervalle de temps T de manière non-recouvert à 100 %. Pour les autres garanties, les temps de réveil sont prolongées ou rétrécies par chevauchement (impliquant de plus de 100 % de couverture) ou non couvert (impliquant moins de 100 % de couverture) ne se chevauchent respectivement à la durée T à la fois. La durée T est la période des horaires. Les auteurs [10] font une hypothèse que les nœuds peuvent communiquer directement avec les nœuds des régions voisines à l'intérieur d'un rayon plus grand que 2r (r étant le rayon de détection nominal). Actuellement, c'est une hypothèse en option. Ils affirment que leur protocole fonctionne tant que le les nœuds sont capables de communiquer directement ou indirectement avec les autres à l'intérieur de la distance 2r de la communication et la gamme de communication ne doit pas être régulière. Ils font cette hypothèse pour simplifier la description du protocole de routage et d'éviter un entête pour deux nœuds qui peuvent détecter un espace commun. Cette hypothèse permet également d'assurer une garantie de connectivité lorsque la couverture complète de détection est atteinte. IV. DISCUSSION Cette section contient une comparaison des algorithmes. Tous les systèmes d'ordonnancement du sommeil sont basés sur l'hypothèse que la zone de détection de chaque nœud est un cercle symétrique. Dans la pratique, les obstacles, les conditions météorologiques ou d'autres facteurs peuvent influer sur la zone de détection et à changer la forme irrégulière et asymétrique. L'évaluation de la sensibilité de ces systèmes à ces facteurs de l'environnement extérieur est nécessaire [11]. De plus, les auteurs [10] affirment également faire face aux variations de couverture irrégulière et/ou non uniforme et détecter des zones à condition que les nœuds voisins soient conscients les uns des autres de la zone de détection, et que leur protocole peut être étendu à un espace de trois dimensions ou une courbe surface sans trop de difficulté. Dans le schéma [7] de la section 3.6, le nœud de faible puissance avec le mode en phase de surveillance peut recevoir des paquets de suivi d'une cible connue près de lui. Ainsi, le mode de faible puissance doit être telle qu'il peut recevoir des paquets en repos comme dans Tian et al [11] qui ne seront pas entièrement applicable. Dans le schéma [8] de la section 3.7, le calcul de la relation entre la plage et la redondance de sondage est basé sur l'hypothèse implicite que tous les nœuds ont exactement la même plage de détection. Il est difficile d'obtenir l'équation, si les nœuds ont différentes gammes de détection. Cette restriction n’existe pas dans le schéma [11] de la section 3.3. En outre, le schéma à base de sonde PECAS (de la phase de surveillance) du schéma [7] de la section 3.6. Dans ce dernier, la différence est que les nœuds une fois sélectionnés pour le mode de travail vont dormir quand ils ne détectent pas la cible ou la cible n'est pas près d’eux. Dans le premier cas, le sousensemble de nœuds, une fois sélectionné pour travailler en mode d'exécution jusqu'à ce qu'ils épuisent toutes leurs énergies. Dans le schéma [11] de la section 3.3, une couverture complète de la surveillance est supportée par un système de nœuds sur la base de l'ordonnancement règles d’éligibilité en repos, ce qui permet de tourner les nœuds hors tension tant que les nœuds voisins peuvent couvrir leur zone. Cette règle garantit une couverture de détection de 100 % tant qu’il n’ya pas de vide. Toutefois, cette règle sous-estime le fait que les nœuds voisins peuvent couvrir la zone, ce qui conduit à l'excès de la consommation d'énergie. Dans le schéma [8] de la section 3.7, la couverture de la surveillance est réalisée par un mécanisme de sondage. Dans cette solution, après le réveil d’un nœud, celui-ci diffuse un message de sondage dans une certaine plage et attend pour une réponse. Si aucune réponse n'est reçue dans un délai, il prendra la responsabilité de la surveillance jusqu'à ce qu'il épuise son l'énergie. Dans cette solution, la gamme de sondage et le taux de réveil peut être ajustée pour affecter le degré de couverture de manière indirecte. Cependant, cette approche fondée sur le sondage n'a aucune garantie sur les points de couverture et reste aveugles à la détection qui peut se produire. Cependant, le schéma [10] de la section 3.8 est différent de ces solutions dans le sens où il ne peut pas garantir une couverture de détection dans une certaine zone géographique, mais il peut aussi s'adapter au degré de la couverture de cette zone, à la limite imposée par le nombre de nœuds de capteurs présents. En outre, il réduit la quantité totale d'énergie consommée, réduit la variation de l'énergie entre les nœuds et réduit les frais généraux de l’établissement de communication, les horaires de travail des nœuds. En outre, le schéma [9] section 3.2 adapte le degré de couverture de la région tout en offrant une couverture complète, mais ne fournit pas la couverture partielle qui est prévu par le schéma [10] de la section 3.8. En fait, Wang et al [9] et Yan et al [10] ont fait leurs preuves mieux que Tian et al [11] dans leurs journaux respectifs. Une des choses importantes intéressant les concepteurs de réseaux de capteurs est, qu’après un certain nombre de temps entre le moment où le réseau est déployé, la quantité de la zone cible couverte par les capteurs en travail [10]. Pour répondre à cette question, nous détaillons les parcelles de pourcentage de la couverture temps w.r.t.. Les figures 2 et 3 montrent la couverture durant la vie du réseau de tous les nœuds d'origine avec les trois algorithmes décrits dans le paragraphe précédent. Le système configurable [9] est appelé SPAN + PCC dans la figure 2. Le schéma non-configurable [11] est appelé sponsorisés sur la figure 3. Le schéma différencié [10] est appelé proposé sur la figure 3. Dans l'expérience sur la figure 2, la densité de déploiement du nœud est 300 c’est-à-dire que les nœuds sont répartis au hasard dans un réseau de champ de 400 par 400 mètres carré [9]. Le ratio de la gamme de communication à la gamme de détection est de 2,5. Nous pouvons voir dans la figure 2 que dans le réseau d'origine avec tous les nœuds, les pourcentages de couverture du système tombent en dessous de 90 % soit 280s, et une chute forte par la suite, car une majorité de nœuds ont manqué d’énergie. D'autre part SPAN + PCC maintient la couverture de plus de 90 % soit jusqu'à 560 secondes. Nous pouvons voir aussi que la mort de nœuds actifs peut causer de légères fluctuations des courbes de pourcentage de couverture. Cependant, les nœuds en échecs n'affectent pas le pourcentage Fig. 2. Durée de vie du système de couverture Fig 3. Perception de couverture dans le temps de couverture du réseau original jusqu'à ce que la majorité des nœuds meurt [9]. C’est parce que dans le réseau d'origine avec tous les nœuds, une grande partie du champ a des degrés de couverture supérieur à 1 ce qui n’est pas le cas pour SPAN + PCC parce SPAN + PCC à atteint le degré de couverture demandée avec des nœuds moins actifs. Dans l'expérience de la figure 3, avec similaire mais différent configuration, les simulations sont effectuées qui donne le temps en minutes. Les densités de nœuds sont en nombre de nœuds r * r où r est le rayon de détection. Au fil du temps avec le même nœud densité, la zone cible est couvert avec plus de proposés qu’avec sponsorisés [10]. V. CONCLUSION Nous avons présenté huit algorithmes de programmation distribuée des réseaux de capteurs qui sont très utiles dans le domaine. Pour conclure, nous tenons à dire qu’une variété d'algorithmes de programmation distribuée des réseaux de capteurs existe et sont assez comparables. On peut trouver l'algorithme adapté à sa demande sur la base de son application. REFERENCES [1] L. O. Chua and T. Roska. Cellular Neural Networks and Visual Computing Foundations and Applications, Chapter 1, page 1. Cambridge University Press, 2003. [2] Wang, Xiao-Dong; Chen, Xiao; Min, Jie; Zhou, Yu. A Priority-Based Weighted fair Queuing Algorithm Wireless Sensor network. In 8 th International Conference on Wireless Communications, Networking and Mobile Computing (WiCOM), IEEE Xplore Digital Library, pages: 1-7, 21-23 Sept 2012. [3] M. Singaram, S. Finney Daniel Shadrach, N. Sathish Kumar, V. Chandraprasad. Energy Efficient Self-Scheduling Algorithm For Wireless Sensor Networks. In International Journal of Scientific & Technology Research Vol.3, Issue 1, January 2014. [4] K. Akkaya, M. Younis, and M. Youssef. 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