Télécharger les textes. - Cité scolaire Marie Curie

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Radioo Magie Curie
C
2014 - 2015
Journée au collège
Aujourd’hui, notre envoyé spéci l est sur pl ce d ns le collè e M
ique pour suivre une cl sse de sixième. Je lui
donne l p role.
- En effet, je suis d ns l cl sse de 6è 3. Voici leur emploi du temps pour cette journée : Le m tin, cours de vol de
dr
ons de 9h et demi ) 11h et demi, puis près l récré tion, cours de SVM. Ensuite, ils iront u réfectoire pour
déjeuner. L’ près-midi, cours de l n ue de 14h ) 15h, et Technolo ie de 15h ) 16h. Je me diri e ) présent vers l
tour de contrôle pour suivre le cours de vol de dr
D ns le collè e M
ons p r lequel débute cette journée.
ique, les élèves pprennent ) piloter des dr
ons. Je n Nél trouille en est le professeur. Les
élèves sont obli és d’ voir un p r chute. En effet, be ucoup d’ ccidents se sont produits. Ainsi, l tour de
contrôle s’est effondrée récemment. M is nous continuons )
rder les dr
ons pour les termin les. Suite ) ce
r ve ccident qui n’ heureusement f it ucune victime p rmi nos élèves, le directeur
lo iciel ultr perform nt de simul tion de vol qui permettr
comm ndé et reçu un
ux élèves de s’entr iner de f çon presque réelle fin
d’éviter que ce enre d’ ccident ne se reproduise.
Les élèves sont censés s voir correctement diri er un dr
on et ccomplir toutes les m nœuvres comme, p r
exemple, ttr per un objet u vol, f ire des loopin s.
Désorm is cet entr înement, indispens ble pour former de bons pilotes, est s ns d n er.
Je v is m inten nt poser quelques questions ) Monsieur Je n Nél trouille.
- Bonjour, Monsieur Nél trouille, comment les dr
ons sont-ils entretenus ?
- Il sont brossés quotidiennement. Ils sont p rfois l vés m is ils détestent cel
lors, ils cr chent du feu, ce qui
peut être d n ereux pour les enf nts.
Je suis ) présent les élèves vers le cours de SVM, Sortilè es et Vie M léfique. C’est M d me Méréline
Lench ntrice qui s’occupe de ce cours très spéci l.
- Aujourd’hui les élèves vont pprendre ) f ire des expériences de m
ie. Ils vont tester des formules m
iques
sur différents insectes et sur des ron eurs. Ce m tin, nous llons tr v iller sur l’étirement de ces bestioles. Voici
l formule m
ique : « Priori inc nt tum etirus nim lis extr lon us tot lus ».
Un élève réussit ) f ire une fourmi d’un mètre de lon ! Cette formule m rche très bien, m is deux c ncres se
sont f it pousser un nez de cochon et des oreilles d’éléph nt. C’est insi que le cours se termine. Les élèves vont
ensuite u cours de l n ue m is le professeur est bsent ) c use du virus Ebolivre qui s’est ussi rép ndu d ns
les r yons de littér ture n lophone.
Donc, près l’heure de perm nence p ssée u CDI, les élèves se diri ent vers le cours de Monsieur Théo Techno,
le professeur de technolo ie. C’est d ns l c ve de l’ét blissement que le collè e f brique des b
m
uettes
iques. Les élèves vont donc ssister ) l production de celles-ci.
Monsieur Techno explique que ces b
uettes sont constituées de bois, de verre, de poudre m
m is ussi d’étincelles pour enclencher l poudre m
ique, d’une plume,
ique.
Quelques m chines très sensibles ssurent l f bric tion. Les b
uettes sont ensuite disposées d ns de petites
boites très robustes sur un lit de coton fin d’éliminer u m ximum l c sse de b
uettes. M is m l ré ce
système, il est possible que si l’une d’entre elles tombe, elle se c sse. C’est pour cel qu’elles sont précieusement
rdées.
2
- Monsieur Théo Techno. Combien de b
uettes sont produites p r jour ?
- Six. C’est pour cel qu’elles sont précieuses.
- Qu’étudiez-vous ) p rt l f bric tion des b
uettes ?
- Nous étudions ussi tous les m téri ux de sorcellerie.
- Que pensent les élèves de cette discipline ?
- C’est une m tière import nte c r c’est cel qui permet de f ire les tours de m
- Merci ) tous de nous voir livré ces f scin nts témoi n
ie.
es.
3
Visite guidée
Bonjour, chers uditeurs, nous retrouvons Ch rles M
nous f ire p rt
ne, notre envoyé spéci l u Collè e M
ie Curie qui v
er l vie d ns cet ét blissement très p rticulier.
Bonjour, Monsieur Ch rles M
ne, pouvez-vous nous décrire cet intern t ?
- Cert inement ! cet intern t est unique en son enre.
Si vous conn issez Poudl rd, vous pourrez im
iner ) quoi ressemble l’endroit c r l’ uteur de H rry Potter l’
pris comme modèle. L s lle du r nd b nquet, le st de de quiddich (où se pr tique le Pe
b ll) existent ) M
ie
Curie.
En rev nche, l technolo ie
f it son pp rition u collè e : il
toujours be ucoup d’esc liers qui tournent ou de
r nds corridors qui servent de terr in de jeux pour le concier e qui s’ muse ) y débouler vec s bicyclettevol nte. M is on y
inst llé des scenseurs qui servent de discothèque ux souris et des esc l tors, dont il f ut
né nmoins se méfier c r ils jouent des tours comme p rtir soud inement en m rche rrière.
J’ i p rlé ux élèves, cert ins m’ont révélé que des t ble ux s’ niment. Les portr its et st tues vivent et p rlent.
Les f meuses citrouilles poussent sur des rbres. Il y
co neurs m is ussi des pins-sots qui font des bl
des rbres nimés, ce ne sont p s que des s ules-
ues idiotes.
- Merci bien Ch rles.
M inten nt nous llons écouter des élèves qui nous font p rt de leur témoi n
Nous voil) en comp
nie de Je n Sériens qui
e.
r ndi ici.
- Que pensez-vous de cette pension, Je n ?
- Cette pension est ori in le, elle
des spects biz rres. P r exemple, les s lles se dépl cent p rtout pend nt les
récré tions. M is elles sont d n ereuses c r on peut se f ire renverser ! M l ré leurs petites j mbes, elles vont
vr iment vite. Les t bles font des numéros de cl quettes. Il y
stylos-b
ussi des f ntômes qui dérobent ux élèves leurs
uettes : les outils f voris de l’ pprenti-sorcier.
- Très bien, merci pour votre témoi n
e f scin nt. M inten nt, p rlons de l pension en elle-même.
Interro eons donc M demoiselle Gl ce O’Frez qui est rrivée il y
un mois en t nt que professeur de fr nç is
d ns cette pension.
- Bonjour Monsieur, depuis que je suis rrivée, je f is ch que jour des découvertes u sujet de cet intern t qui
forme les sorciers.
S vez-vous qu’on pprend ux élèves ) ré liser toutes sortes de potions ? Ici, ont été entr înés des sorciers
m chi véliques tout comme des sorciers bienveill nts.
Il peut, toutefois, sembler r ssur nt ) cert ins élèves c r l form tion est effic ce. Bien sûr, elle est p rfois
inquiét nte pour les enf nts ) c use des incidents qui peuvent survenir d ns l f bric tion des potions ou le
l ncer de sortilè es.
- Merci M d me Gl ce O’Frez !
4
Pegaball
Bonjour ) tous,
Nous nous retrouvons pour une nouvelle p
e sportive.
Aujourd’hui nous llons vous évoquer le Pe
b ll, sport méconnu du r nd public moldu, m is très pprécié des
sorciers et pr tiqué u collè e m
Leur équipe est ctuellement 4
ème
ique M
ie Curie.
u cl ssement du r nd ch mpionn t inter-collè e. Ils p rticipent ch que
nnée ) ce tournoi.
L’objectif est de m rquer le plus de points en envoy nt vec une r quette un freeze d ns les buts dverses. Le
freeze est une b lle l cée. Il en existe deux sortes, le freeze de pierre qui v ut 2 points et le freeze doré qui
v ut 5 points. Ch que joueur monte un chev l ilé et les deux équipes s’ ffrontent u dessus d’un terr in
enfl mmé.
L’équipe
n nte est celle qui m rque le plus de points ) l fin du temps imp rti.
Notre envoyé spéci l, P ul Auchon, commente le m tch en direct depuis le terr in où l’équipe du collè e M
ie
Curie domine très l r ement l p rtie f ce ) l’équipe du collè e M lk n l.
- Tout ) f it, il ne reste que trente secondes de jeu et l’équipe du collè e M
Pend nt que je vous p rle le c pit ine du collè e M
ie Curie mène 54 ) 34.
ie Curie, Luc Asseur, intercepte le freeze de pierre. Il perce
l défense dverse, il tire, m rque et c’est le but !!!!!
L’ rbitre siffle l fin du m tch, cette m
nifique rencontre se termine sur l victoire du collè e M
ie Curie, le
score fin l est 56 ) 34.
- Je crois d’ illeurs que vous êtes ux côtés de Luc Asseur le c pit ine de M
ie Curie et uteur du dernier but,
P ul.
- Tout ) f it ! Bonjour, félicit tions ! C’ét it un r nd m tch ! Comment vous sentez-vous, Luc, près cette
victoire ?
- Très bien, nous sommes très heureux ; not mment M non Pompon et M rtin Gr s qui p rticipent pour l
première fois u ch mpionn t.
- Comment vous-êtes-vous prép rés ) cette rencontre ?
- Nous vons be ucoup re
rdé les vidéos et de leurs précédents m tches et nous nous sommes rendus compte
qu v ient un déf ut défensif ) l’ ile droite. Nous en vons tiré profit.
- Merci Luc pour votre témoi n
e et br vo pour ce r nd moment de sport.
Merci P ul, de nous voir f it vivre ce m tch et merci ux uditeurs de nous voir suivis. Nous nous retrouvons
lundi proch in ) 8 heures, en ttend nt je vous souh ite une très bonne journée !
5
Un agent infiltré
Bonjour,
Aujourd’hui nous vons ppris qu’un
ent infiltré se dissimuler it d ns le collè e M
ie-Curie. Un témoin, qui
idé l police ) dresser son portr it robot, le décrit :
- Il est brun, il
les yeux bleus et le teint b s né. De plus, il est r nd et semble thlétique.
Nos équipes de vi i-sorciers sont sur s piste. Ils l’ont repéré hier d ns les c n lis tions souterr ines de l ville.
Il p r iss it se diri er vers le collè e M lk n l. Un
ent de vi i-sorcier nous explique ce qui s’est p ssé :
- Il r mp it d ns les c n lis tions qu nd nous l’ vons vu. P r réflexe, nous l’ vons suivi jusqu’) une tr ppe qu’il
v it m lheureusement bloquée, puis il s’est enfui.
Nous soupçonnons le professeur de sport du collè e M lk n l, M. Dolrioux. Il est le co ch de l’équipe dverse du
sport « Le voleur volé en vol nt ». Il est bsent depuis m inten nt plusieurs jours. Il ser it en rrêt m l die.
Nous supposons que son but est de comprendre les techniques d’entr înement des élèves du collè e en sport.
Nous vons re
rdé les résult ts des m tches des dernières s isons... Si le collè e M
ie-Curie est le der de s
poole, M lk n l est ré ulièrement v incu p r ses ennemis hérédit ires... Il voudr it donc prendre s rev nche
sur M
ie Curie.
ATTENTION, il s it se mét morphoser en enf nt et se c che sûrement p rmi les élèves. Il est s ns scrupule et
prêt ) tout pour p rvenir ) ses fins, or, il ser it rmé d’un poi n rd.
Si vous le voyez ou si vous vez des inform tions sur lui, cont ctez-nous u : 0806098715.
Sur ce, je vous remercie et bonne journée.
6
La cantine
Bonjour,
Les p rents se pl i nent du service de rest ur tion scol ire. Nous llons interro er un élève ppelé Glopdu, qui
fréquente l c ntine :
- Bonjour, comment vous ppelez vous ? Quel O e vez vous ?
– Je m' ppelle Glopdu, j' i onze ns, et je suis en 6ème.
- Comment décririez-vous l'
– L'
ent de service de l c ntine ?
ent de service est un poulpe. Elle s’ ppelle Bé . Elle peut f ire plusieurs choses ) l fois : elle distribue l
nourriture ux élèves, elle r m sse les ssiettes s les, les l ve. Elle n'hésite p s ) envoyer u CDI ceux qui ne
m n ent p s tout ce qu'il y
d ns leurs ssiettes.
– Que m n ez vous ) l c ntine ?
– A l c ntine, nous m n eons des nim ux, des lim ces, des chiens, des ch ts, des oise ux, et p rfois même,
des my
les. Hier, on
même trouvé des doi ts hum ins d ns l nourriture, une bonne cinqu nt ine, je crois.
– Ah, bon ?!!
– Oui ! Et v nt-hier, il s'est p ssé quelque chose d'étr n e, que nous ne s vons expliquer : cinq élèves de l
sixième 3 ont…DISPARU !
Pour le oûter, des distributeurs de fri ndises ont été inst llés d ns le pré u.
Je suis en f ce du distributeur du collè e. Ce distributeur est un épouv nt il ench nté. Il ch n e d'humeur et de
couleur en fonction de l météo du jour. Lorsqu'il pleut, il distribue de l'e u, lorsqu'il f it ch ud, il sert du
coc ­pollen pétill nt, et les jours de fête, le distributeur vend du loupimousse.
M is l dernière fois qu’il en
servi, les élèves sont devenus bleus et ont rétréci. Nous enquêtons pour s voir si
ces boissons sont empoisonnées, et qui ur it eu intérêt ) nuire ux élèves... En ttend nt, le professeur de
mét morphose m
ique
lo é ses élèves d ns des ch mpi nons et tente de leur rendre une pp rence hum ine.
Nous sommes pleins d’espér nce, c’est une r nde m
icienne…
7
Bataille de confréries
Bonjour !
Nous retrouvons notre envoyé spéci l, Dodo Rémi, pour un nouve u 19 40000, qui vous propose une édition
spéci le sur le collè e m
ique.
Deux confréries s’opposent d ns ce collè e. L confrérie Bl ck et l confrérie White. Nous llons d’ bord
rencontrer Mick ël, le chef de l confrérie Bl ck. Il veut contrôler le monde vec l m
des plus r nd m ître de l m
ie noire. Souvenez-vous, il v it provoqué, il y
ie noire. Il est le fils d’un
une vin t ine d’ nnées, un
énocide de moldus.
M l ré leur interdiction d ns le monde de l m
ie, il v it utilisé les sorts v d c d vr , petrifiquitoustot lus
et éométrie mortelle, fin de « purifier », selon ce qu’il v it ffirmé lors de son projet, l r ce des sorciers.
- Mick ël, que pouvez-vous nous dire, u sujet du conflit qui oppose vos deux confréries?
- J’ i été dési né p r le choixpe u pour être le chef de l confrérie Bl ck c r je suis l’un des meilleurs ) contrôler
l m
ie noire. Je veux me ven er de l confrérie White. Un jour, il y
fort lon temps, un de leurs élèves
l ncé
un sort dénommé cr che-lim ces sur un de nos élèves qui détest it les moldus.
Nous interro eons ensuite Benoît, le chef des White.
- Nous nous ttelons, m confrérie et moi, ) f ire le bien utour de nous. M is l confrérie Bl ck nous en
empêche. Il y
peu de temps, elle nous
empêchés de s uver un enf nt en tr in de souffrir d’un sort l ncé p r
une personne de leur confrérie. Ils tent ient de nous rrêter vec le sort prote o. Ce sont des ens m lhonnêtes.
Leur m
ie est interdite, m is ils ne respectent p s les rè lements du conseil m
- M is Mick ël vient de nous dire qu’il y
lim ce
ique c r ils sont corrompus.
fort lon temps, quelqu’un de votre confrérie v it jeté le sort cr che
un élève de l confrérie Bl ck.
- Je nie que quelqu’un de notre confrérie it f it une telle chose.
Mon père, chef de l confrérie White v nt moi, surveill it les élèves pour ne p s qu’ils tr înent d ns les couloirs.
GrOce ) un sort permett nt de se cloner, ils ét ient nombreux pour f ire respecter l’ordre d ns les corridors de
l’ét blissement. Il ur it donc vu l scène. C’est impossible que ce sort it été utilisé.
Nous const tons que les riv lités entre l confrérie Bl ck et l confrérie White risquent de perdurer.
8
Parents mécontents
Bonjour chers Auditeurs,
Des p rents sont mécontents du collè e de leurs enf nts. Nous rencontrons M d me Fri o :
« Bonjour, depuis peu, j’ i pu const ter que mon fils support it de moins en moins son collè e et ses professeurs
en p rticulier. Ainsi l sem ine dernière, j’ i retrouvé mon fils en pleurs. Comme il refus it de me p rler, je suis
llée ) son collè e pour rencontrer le Directeur. »
Monsieur Fri o nous rejoint d ns le s lon et prend pl ce sur le c n pé.
« Bonjour. Je voudr is border un problème qui me p r ît r ve : mon fils
eu une év lu tion. Il v it pourt nt
sérieusement révisé s leçon ; je l’ i même interro é l veille. Le jour où son professeur lui
év lu tion, il lui
rendu son
donné zéro.
Qu nd mon fils est rentré ) l m ison, il m’ montré son év lu tion et j’ i trouvé que c’ét it très injuste : il m’
semblé qu’il v it de bonnes réponses. »
Nous llons m inten nt ccueillir le Professeur de m
ie qui v nous expliquer pourquoi il lui
ttribué cette
note.
« Bonjour je suis le professeur de m
ie du collè e. J’ i mis zéro ) cet élève c r il
osé b v rder dur nt
l’év lu tion et c’est interdit de p rler pend nt un contrôle. Je ne fer i p s d’ utres décl r tions.»
L présidente de l’ ssoci tion des p rents d’élèves tient ) pporter des précisions : « Bonjour, je suis M d me
H ribo. Je voudr is dire quelques mots sur les professeurs de mon fils. Il n’y
p s très lon temps, je suis llée le
chercher ) l sortie du collè e et je l’ i retrouvé couvert de boue. Je lui i dem ndé ce qui s’ét it p ssé, il m’
répondu que lors de son dernier cours de l journée, son professeur de m
m
ie lui v it l ncé un coup de b
uette
ique et qu’il s’ét it retrouvé m culé de boue. »
« Bonjour, je suis Monsieur H ribo. Je v is revenir sur ce que m femme
dit. Je pense que les professeurs de ce
collè e sont devenus cruels vec les élèves, ils trouvent qu’ils ne sont p s ssez bons. Ils sont trop élitistes. Ils
utilisent les enf nts comme cob yes pour leur expliquer les sorts et n’hésitent p s ) les punir p r l m
ie. Moi,
je trouve cel horrible de leur p rt de l ncer des sorts toute l journée u lieu d’ensei ner. »
9
Morsures au CDI
L peur rè ne u collè e m
Ccitrouilles M
ique depuis que des élèves ont été mordus, le m rdi 63 m rsus, u C rrefour des
iques, le CDI du collè e. Les m lheureuses victimes souffrent de l’infection « ébolivre ».
Nous rencontrons Thom s Gicien, document liste de l’ét blissement qui v nous r conter les f its.
- Ébolivre est une infection qui s’ ttr pe p r l morsure d’un livre. Tous les livres sont d n ereux, tous peuvent
mordre du moment qu’ils pl isent ) leur lecteur.
Les personnes infectées deviennent folles des livres et, petit ) petit, les mordus doptent l personn lité du
héros de l’histoire. Si l’infection s’
P r exemple, on
r ve l personne entre d ns le livre.
vu Luc s D br , élève de 6
chercher p rtout le chemin de l m ison de s
ème
3, se promener vec un c puchon rou e et un petit p nier,
r nd-mère ! Une utre élève, M rie Tuel, jette, depuis trois
jours, de petits c illoux bl ncs derrière elle pour retrouver l m ison de ses p rents !
L’ori ine du virus est toujours inconnue.
Il n’y
p s encore de remède ) cette m l die, m is des médecins cherchent un v ccin.
Merci Monsieur Gicien, le professeur Mehdi K m n nous explique m inten nt où en est l recherche.
Ils sembler ient que les r ts de bibliothèque soient immunisés contre cette terrible infection. Donc, u collè e, je
tr v ille sur une potion m
ique él borée ) p rtir de ces nim ux.
En ttend nt que nous ne trouvions un ntidote, soyez vi il nts ! Il est impossible de distin uer les livres
mordeurs des utres. M is tous les livres d’ venture et les rom ns ont été ôtés des r yons. Ils sont rempl cés
p r des c hiers de tr v ux pr tiques, p r des encyclopédies ou encore p r des tl s.
Nous espérons insi réduire le nombre des victimes.
- Merci monsieur K m n, À vous les studios !
10
Un voleur d’âmes au collège
Des crimes dr m tiques se déroulent u collè e : un f ntôme, voleur d’Omes, sévit l nuit u pensionn t. Pour
proté er les enf nts, tous les policiers sont de
rde jour et nuit. Les élèves sont ffolés et le proviseur est
outré.
Nous vons rencontrés un des internes :
« Bonjour, je m’ ppelle M xime Le Gr nd. L nuit dernière, j’ i entendu un bruit de verre brisé. Je me suis levé et
j’ i vu une ombre se dépl cer. J’ i eu très peur. Je suis immédi tement retourné d ns mon lit. »
Cet individu s’en est pris ) cinq victimes :
Je n Filmonshort, Els Rivenret rd, Debbie Scoto, Alphonse P t moto et Andy Vosj mbon.
Tous les enf nts touchés p r ce terrible incident sont devenus complètement inc p bles de réfléchir ou de
penser ) l moindre chose. Ils sont hospit lisés d ns un centre spéci lisé. Pour ess yer de leur rendre l
mémoire, ils sont pris en ch r e p r une équipe de sorcellerie médic le de pointe : les enf nts p ssent d ns un
tuy u très ch ud, ) 73°C qui tourne sur lui-même ) 161 km/h. Ils doivent boire ensuite 2,5 litres d’une potion )
b se de ch mp
ne bien pétill nte. Les p tients sont ensuite secoués le plus fort possible p r des robots : cel
élimine le poison de leur corps. Après quelques jours de repos, ils sont tout ) f it uéris.
Pour l sécurité des élèves des c mér s de vidéosurveill nce ont été inst llées d ns tous les recoins des
bOtiments. Sur les im
es vidéo, on perçoit une forme floue d ns le dortoir des filles penchée sur une élève
endormie. Elle souffle des sortes de p illettes. Depuis l fillette
Une c mér
perdu son Ome.
enre istré une preuve qui dénonce le f ntôme Pierre C illou, décédé depuis 32 ns :
« Un f ntôme ser it entré d ns les toilettes des
d’électricité, l’im
rçons, p s plus t rd qu’hier soir. Suite ) une coupure
e s’est brouillée. Lorsque le cour nt
été rét bli, on n’y voit plus personne. Seules quelques
p illettes bl nches recouvr ient le sol. »
Le proviseur voudr it jouter quelque chose :
« Pierre ét it m teur de scr pbookin . Il v it toujours des tubes de p illettes d ns les poches qu nd il ét it
viv nt. M is c’est un f ntôme dor ble qui ime les enf nts. Je ne comprends p s ce qui
Nous vous mettons en
pu lui rriver. »
rde : si vos enf nts semblent endormis toute l journée, s’ils ne p rlent plus, s’ils ne
m n ent plus et s’ils restent immobiles l l n ue pend nte en b v nt, ppelez s ns plus t rder le service de
soins intensifs u : 04 13 18 98 22.
11
Profanation d’une tombe
Bonjour,
Un événement dr m tique et inquiét nt bouleverse le collè e m
ique : l prof n tion de l tombe du fond teur
du collè e. Monsieur Q simododo, le proviseur de cet ét blissement, nous ccorde un entretien.
«Bonjour monsieur qu’ vez vous vu ex ctement ?
-J' rriv is pour me recueillir sur l tombe de notre fond teur et interro er son esprit sur une épineuse question
qu nt ) l conduite de l’ét blissement qu nd j’ i vu, près de l tombe, deux individus coiffés d'une c
oule noire
et vêtus d'une robe sombre. Je me suis dissimulé derrière l' rbre co neur -qui m'obéit- et je les i surveillés.
- A votre vis, pourquoi s’en pren ient-ils ) cette tombe?
- ils voul ient surement voler l b
uette l plus puiss nte du monde qui s’y trouve.
- Pourquoi est elle ussi puiss nte ?
- Elle est puiss nte c r elle constituée de plumes de Dodo
- De Dodo ?...
- Oui, le Dodo est un nim l qui
disp ru. Il ét it doté de pouvoirs surn turels. Voil pourquoi cette b
uette )
ut nt de v leur : elle est extrêmement r re c r les plumes de Dodo ne se trouvent plus.
- Ont-ils réussi ) l voler?
- Heureusement que non… Qu nd ils m'ont entendu rriver ils se sont enfuis.
- Où est cette b
uette désorm is?
- Nous l' vons enfermée d ns une s lle, ) triple tour. Un dr
on rincheux monte l
rde dev nt l porte.
- A votre vis, si on retrouve ces voleurs, quelle ser leur s nction?
- Vue l
r vité de leur cte, qu nd nous retrouverons les m lf iteurs, ils seront enfermés d ns l prison du
Di ble.
- L prison du Di ble ! Pensez-vous que des élèves de votre ét blissement ur ient pu commettre cet cte ?
- Je ne l'espère p s, les élèves de mon ét blissement sont bien élevés et ont le sens des v leurs m
- Voyez-vous qui ur it pu tenter de s’emp rer de l b
iques.
uette ?
- Oui, je pense qu’Emm Léfique, l proviseur du collè e des Démons, est d ns le coup.
- Pourquoi ?
- Lors de nos compétitions de Pé
b ll, ses élèves perdent toujours contre nous. Lors du dernier m tch, Emm
Léfique ét it tellement énervée qu'elle nous
men cés en nous dis nt qu'elle ll it nous réduire ) né nt.
- Merci de nous voir ccordé de votre temps précieux. J'espère que les voleurs seront bientôt rrêtés. »
12
Laboratoire secret
Bonjour ) tous,
Suite ) l mét morphose de cert ins élèves, l police tiendr it peut être une piste depuis l découverte d’un
l bor toire secret. Notre envoyé spéci l est sur les lieux.
- Chers uditeurs, je me trouve d ns le l bor toire qui
été découvert. Autour de moi se trouvent des rimoires
poussiéreux, reliés de cuir : cert ins, ouverts, montrent d’étr n es illustr tions. Je me fr ye un chemin d ns le
noir p rmi des t bles encombrées de fioles ux contenus étonn nts comme des yeux ou des m ins, une t ble
d’opér tion et je tombe sur un phonoreile. C’est une étr n e m chine en forme de phono r phe vec plusieurs
oreilles u bout du tube. Ces oreilles pourr ient être celles des élèves disp rus. L pièce est sombre : elle me
donne l ch ir de poule.
Merci Y nn pour ce témoi n
e. Des élèves ffirment voir été mét morphosés p r l’infirmière : Alice Erin ue.
D’ illeurs, on l’ ur it perçue en tr in de tr nsformer un élève. L police soupçonne é
c ntine. Elle est suspectée de
lement l’
ent de
rder en retenue les élèves qui s lissent l c ntine et de les tr nsformer pour se
ven er.
Nous llons interro er une élève qui
subi ces expériences terribles. Elle s’ ppelle Emm et elle
11 ns.
- Peux-tu nous r conter ton c lv ire ?
- J’ i f it un m l ise et je me suis réveillée vec des doi ts de cr p ud. J’ét is llée ) l’infirmerie p rce que je me
sent is m l. L’infirmière m’ donné un médic ment et je me suis endormie, m is d ns mon rêve j’ i perçu l
présence d’une personne qui v it les cheveux bruns dont ém n it une odeur de médic ments.
- En effet cel correspond u portr it de l’infirmière c r l’
ent de c ntine
les cheveux blonds.
Merci N th lie Ch pe upointu pour cette interview. Nous vons pu rencontrer un des r res témoins qui
vu
l’infirmière tr nsformer un enf nt.
- Bonjour, je suis Hu o V nier, je f is mon st
e
e de 3 ) l’infirmerie, p rce que je voudr is devenir ch m n, plus
t rd…
- Qu’ vez-vous vu ex ctement ?
-J’ ll is r n er des médic ments ) l réserve, qu nd j’ i entendu du bruit. Je suis lors llé voir ce qui ce p ss it
et j’ i vu l’infirmière en tr in de couper un br s vec s b
uette et de rempl cer celui-ci p r une tent cule. Elle
f is it cette expérience sur un élève de ce collè e. J’ét is horrifié.
-Merci.
Une inform tion de dernière minute vient de nous être tr nsmise, les inspecteurs ont trouvé les empreintes
di it les de l’infirmière sur un boc l d ns le l bor toire secret. L d me de c ntine sembler it innocentée.
L’infirmière devr p sser ux veux et expliquer pourquoi elle
commis de telles horreurs. GrOce ) des
ntidotes, les enf nts tr nsformés retrouveront leur pp rence norm le… enfin, souh itons-le !
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Disparition des sixièmes
Bonjour ) tous,
Inform tion spéci le :
Nous vons découvert que plusieurs sixièmes du collè e M
ie Curie ont disp ru. Ainsi, Willi m L R me n’est
j m is entré d ns son cours de technolo ie. Depuis ce jour, nous vons perdu s tr ce. Nous vons interviewé
son professeur de technolo ie:
- Avez-vous rem rqué quelque chose de suspect ?
- Comme vous le s vez, nous sommes d ns un collè e m
ique, les petits pois crient qu nd on les jette ) l’e u, les
fourchettes p rlent ux coute ux, l’infirmière est ) moitié folle, les st tues s’ niment et les t ble ux ont m uv is
c r ctère.
- M is uriez-vous une idée de ce qui
pu se produire ?
Je s is que les t ble ux sont m ltr ités p r les élèves. Peut-être qu’ u moment où je vous p rle, Willi m est
retenu p r un t ble u, ou pire m ltr ité ) son tour. Cel est peu prob ble m is de nos jours, les élèves n’ont plus
ucun respect pour rien, même p s pour l’ rt…
- Pourquoi pensez-vous que Willi m L R me ur it été retenu p r un t ble u ?
- Je pense cel c r il y
qu trième ét
une diz ine de jours, je les i entendus. Ils cri ient tellement fort que même moi du
e, j’ét is dér n é p r leur bouc n. Puis un silence l ci l s’est inst llé.
Trois jours près, pour ne p s s’ennuyer, Willi m
proposé un jeu plutôt irrespectueux envers les t ble ux. Il
l ncé « hey, les mis, prenez vos b l is et vos chewin - ums, le premier qui les
est suspendu u qu trième ét
e f ce ) l fenêtre est le plus fort ! Trois, deux, un, o… » .
Voil) pourquoi je pense que Willi m
Je conseiller is de re
tous collés sur le t ble u qui
été enlevé p r un de ces t ble ux.
rder ttentivement l’ rrière-pl n de ces t ble ux. J’ imer is retrouver mon élève u plus
vite.
L cl sse est bouleversée. Nous sommes tous très inquiets.
info de dernière minute, un élève du collè e
livré son témoi n
e l police. Nous l’interro eons ) s sortie du
commiss ri t.
- J’ét is vec Willi m qu nd il
disp ru.
- Pouvez-vous nous dire ce qui s’est p ssé ce jour-l) ?
- Willi m s’est f it spirer p r un t ble u ; celui qui est f ce ) l fenêtre. C’ét it une représent tion d’une d me
et de son m ri. Qui ur it cru qu’il ser it coup ble de cet enlèvement.
- Nous retournons dev nt le collè e, où l police est en tr in d’intervenir. Merci de nous voir suivis lors de cette
enquête. Nous vous tiendront informés de l’évolution de l situ tion.
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