Baie-Mahault Située au Nord-est de la Basse Terre, Baie Mahault

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Baie-Mahault Située au Nord-est de la Basse Terre, Baie Mahault
Baie-Mahault
Située au Nord-est de la Basse Terre, Baie Mahault est située en face du Grand
Cul de Sac Marin. Elle a pour voisine Petit Bourg et le Lamentin en Basse Terre
et face à elle, en Grande Terre, se trouve Pointe à Pitre et les Abymes.
Aujourd’hui forte d’une activité économique très variée et très développée, la
commune fut longtemps tournée vers l’activité cannière. De nombreuses terres
agricoles y sont d’ailleurs toujours consacrées.
Habitants Repères Géographiques Repères Historiques Le saviez‐vous ? Baie Mahault Baie Mahault est la commune la plus peuplée après celle des Abymes. En effet, elle possédait 29 503 habitants en 2008. Ces derniers portent les noms de Baie Mahaultiens et Baie Mahaultiennes. Se trouvant entre la Basse Terre et la Grande Terre, la commune, qui fait 4 600 hectares, constitue un passage obligé pour toute personne voulant aller d’un côté ou de l’autre de la Guadeloupe (Grande Terre et Basse Terre). Ses coordonnées sont les suivantes : 16° 16° 00° Nord 65° 35° 00° Ouest C’est la commune qui a accueilli la première centrale à vapeur de 2 750 kilowatts, construite en 1934 et inaugurée en 1936. Après 1946, elle sera complétée par une centrale diesel d'une puissance de trois fois 600 kilowatts. La légende veut que les arbres mahaults (variété de palétuvier) soient à l’origine du nom de la commune. Pourtant, aucun texte ne confirme cette légende. En revanche, Charles HOUËL DU PETIT PRE, Gouverneur de la Guadeloupe, fit de la commune un marquisat auquel il donna le nom de Houëlboug. Fiche ressource Professeur Les mangroves ou forêts humides du littoral (FHL) Souvent considérée par l’homme comme une zone insalubre, la forêt humide est malheureusement victime de la pollution domestique, de remblaiement ou carrément utilisée comme une décharge (dépôts sauvages, rejets d’égouts et d’effluents pollués). Pourtant, avec ses 8.000 ha, ce milieu est très riche et sert d’abri à de nombreuses espèces animales. Longtemps maltraitées et malaimées, les mangroves jouent pourtant un rôle écologique majeur en milieu tropical. Véritables nurseries pour la faune et la flore, elles participent également à la bonne santé des herbiers et des récifs coralliens en épurant l’eau. Face aux tsunamis et houles cycloniques, elles constituent une barrière de protection et représentent un attrait touristique majeur. La mangrove, caractérisée par un groupe de plantes ligneuses, se développe dans un milieu à dépôt salin le long des côtes protégées des zones tropicales et subtropicales, en zone basse inondée par l'eau de mer ou en zone marécageuse. En Guadeloupe, on la trouve sur les côtes basses, dans les zones protégées des grosses vagues, en bordure du Grand et du Petit Cul‐de‐sac Marin et à Marie‐Galante. On y rencontre deux grands types de formations boisées : la mangrove maritime, puis la forêt marécageuse : La mangrove maritime Elle est constituée de trois types de formations végétales : ‐
La mangrove de bord de mer, frange arborée constamment inondée et en contact avec les eaux du lagon. Son originalité tient de l'enchevêtrement de racines aériennes en arceaux et des racines qui pendent du haut des branches. Elle est presque exclusivement peuplée de Palétuvier rouge (Rhizophora mangle) ‐
la mangrove arbustive, en arrière de la ceinture côtière. On y trouve des étendues arbustives composées de Palétuviers rouges formant des fourrés, desquels émergent des Palétuviers noirs (Avicenniagerminans et Avicenniaschauberiana) qui constituent une strate arborée haute et clairsemée. Les Palétuviers noirs se développent sur des sols sursalés (1,5 à 2 fois la salinité de la mer) et pauvres en éléments nutritifs. Lorsque le seuil de tolérance au sel de ces arbres est atteint, ils meurent. ‐
La mangrove haute, dominée par le Palétuvier blanc (Lagunculariaracemosa). La forêt marécageuse Elle fait suite à la mangrove maritime dans les endroits inondables mais hors d'atteinte de la marée. Elle est dominée par le Mangle médaille (Pterocarpusofficinalis). La Mangrove est un écosystème où se côtoient une flore peu diversifiée et une faune très riche. La vie végétale est confrontée à un sol asphyxiant, très souvent inondé, à une forte salinité et à des embruns. Pour autant, les arbres ont su s'adapter à ce milieu si particulier grâce à des mécanismes originaux : ‐
pour rester debout malgré les sols mous, leurs racines échasses couvrent le sol sur une grande surface ‐
pour survivre aux sols asphyxiants et inondés, ils disposent de ces racines échasses et des pneumatophores, des excroissances des racines qui leur permettent de respirer ‐
pour résister à la salinité, les racines servent de filtres et les arbres ont des glandes qui éliminent le sel, qui est aussi stocké dans les vieilles feuilles ‐
pour assurer la reproduction, les fruits germent sur l'arbre et quand ils tombent, peuvent se planter dans la vase ou flotter au gré des flots jusqu'à atteindre un banc de vase. En Guadeloupe, les forêts humides du littoral se situent sur le domaine public maritime et le domaine public lacustre. L’ONF et le Conservatoire du Littoral gèrent ces espaces naturels présents aussi bien dans le Grand Cul‐de‐sac Marin que du Petit Cul‐de‐sac Marin. On rencontre également ce type d'écosystème à Goyave, au Moule ainsi qu'à Marie‐Galante mais les surfaces sont plus réduites. En tout, 19 communes sont concernées par les ces forêts humides pour une surface totale de 6.227 ha, soit environ 3,5% de la superficie de l'archipel. Au cœur de cet habitat cohabitent des crabes (dont le crabe de palétuvier (Aratuspisonii), le petit crabe nageur (Pachygrapsusgracilis), le carbe à barbe (Ucidescordatus) ou encore le crabe sémafot (Ucarapax) ..), des mammifères (rats, mangoustes, racoons..), des oiseaux (Pic de la Guadeloupe (Melanerpesherminieri), parulines jaunes (Dendroicapetechia), parulinescaféiettes (Dendroicaplumbea), sporophiles rouge‐gorge (Loxigillanoctis)...). Cet écosystème tropical très riche et caractéristique reste également très fragile et menacé par les activités humaines. Les mangroves sont depuis des décennies des sites naturels en souffrance. Ils doivent faire face à l'extension des pôles d'activités urbaines, à la prolifération des décharges sauvages, des réseaux routiers mais également aux rejets d'effluents pollués. La zone de Jarry recouvre désormais plus de 80% de la mangrove initialement présente avec des conséquences dommageables sur cet écosystème fragile. Pour limiter le développement de ces dégradations et leurs conséquences, l'ONF s’attache à la fois à protéger ces milieux et à les conserver. Pour aller dans ce sens, un film intitulé « Il faut sauver Jarry » a ainsi été réalisé. Co‐produit par BCA/BCI et France Télévisions en partenariat avec l’ONF, la DEAL et les partenaires du projet INTERREG, il a été diffusé en avant‐première en février 2010 et, durant l’année, il est passé sur plusieurs chaînes nationales. Sources : http://www.onf.fr http://www.conservatoire‐du‐littoral.fr Fiche Elève 1 La Mangrove La mangrove est un lieu plein de vie ! En effet, on y trouve différents arbres et beaucoup d’animaux. Le palétuvier est l’une des espèces d’arbre que l’on trouve le plus dans la mangrove. Mais, attention, il en existe plusieurs variétés. Dans les mangroves guadeloupéennes, il y a des palétuviers rouges, des palétuviers blancs et des palétuviers gris (ou noirs), tout dépend de la quantité de sel qu’il y a dans l’eau. Ces arbres sont prodigieux : pour pouvoir respirer et rester stable, leurs racines aériennes plongent dans l’eau de la mangrove et s’enfoncent dans le sol. Mais dans la mangrove, il y a aussi des animaux : des crabes, des rats, des mangoustes, des ratons laveurs, des oiseaux et bien sûr, il y a aussi beaucoup de poissons et de crustacés différents. Un vrai petit monde cette mangrove ! 1) Réponds aux questions suivantes : a. Pourquoi peut‐on dire que la mangrove est un lieu plein de vie ? b. Quelle est l’espèce d’arbre que l’on trouve le plus dans la mangrove ? c. De quelle couleur peut être le palétuvier ? d. Pourquoi les racines du palétuvier plongent dans l’eau de la mangrove ? e. Quels animaux peut‐on trouver dans la mangrove ? 2) Le coloriage ci‐dessous représente la mangrove. Colories le et dessines y le nombre d’animaux suivants : 2 oiseaux noirs ‐ 3 crabes rouges ‐ 2 poissons gris 3) Combien d’animaux as‐tu ajouté sur le dessin ? 4) Si tu ajoutes 4 crevettes et deux mangoustes au résultat que tu as trouvé, combien cela fera ‐ t‐il d’animaux ? Fiche Elève 1 La Mangrove La mangrove est un lieu plein de vie ! En effet, on y trouve différents arbres et beaucoup d’animaux. Le palétuvier est l’une des espèces d’arbre que l’on trouve le plus dans la mangrove. Mais, attention, il en existe plusieurs variétés. Dans les mangroves guadeloupéennes, il y a des palétuviers rouges, des palétuviers blancs et des palétuviers gris (ou noirs), tout dépend de la quantité de sel qu’il y a dans l’eau. Ces arbres sont prodigieux : pour pouvoir respirer et rester stable, leurs racines aériennes plongent dans l’eau de la mangrove et s’enfoncent dans le sol. Mais dans la mangrove, il y a aussi des animaux : des crabes, des rats, des mangoustes, des ratons laveurs, des oiseaux et bien sûr, il y a aussi beaucoup de poissons et de crustacés différents. Un vrai petit monde cette mangrove ! 1) Réponds aux questions suivantes : a. Pourquoi peut‐on dire que la mangrove est un lieu plein de vie ? On peut dire que la mangrove est un lieu plein de vie car il y a beaucoup d’êtres vivants qui y vivent b. Quelle est l’espèce d’arbre que l’on trouve le plus dans la mangrove ? L’arbre que l’on trouve le plus dans la mangrove est le palétuvier c. De quelle couleur peut être le palétuvier ? Le palétuvier peut être rouge, blanc, gris ou noir. d. Pourquoi les racines du palétuvier plongent dans l’eau de la mangrove ? Les racines du palétuvier plongent dans l’eau de la mangrove pour que l’arbre puisse respirer et rester stable e. Quels animaux peut‐on trouver dans la mangrove ? On peut trouver des crabes, des rats, des mangoustes, des ratons laveurs, des oiseaux, des poissons et des crustacés dans la mangrove. 2) Le coloriage ci‐dessous représente la mangrove. Colories le et dessines y le nombre d’animaux suivants : 2 oiseaux noirs ‐ 3 crabes rouges ‐ 2 poissons gris 3) Combien d’animaux as‐tu ajouté sur le dessin ? Il y a 7 animaux sur le dessin 4) Si tu ajoutes 4 crevettes et deux mangoustes au résultat que tu as trouvé, combien cela fera ‐ t‐il d’animaux ?Il y aura 13 animaux sur le dessin Fiche Ressource Enseignant Les déchets inertes On appelle « déchets inertes » les déchets minéraux non pollués ; comparés à d’autres déchets, ceux‐
ci ne se décomposent pas, ne brûlent pas et ne produisent aucune réaction physique ou chimique et surtout, ils ne se détériorent pas au contact d'autres matières d'une manière susceptible d'entraîner une pollution de l'environnement ou de nuire à la santé humaine. Ils ne sont pas biodégradables. Ils proviennent la plupart du temps des activités liées aux secteurs du bâtiment (construction, démolition, etc) ou des travaux publics. Sont considérés comme déchets inertes : le béton, les briques, les tuiles, les céramiques, le carrelage, tous les matériaux à base de gypse, les cailloux, terres, déblais et tous les déchets minéraux liés aux travaux publics (que l’on retrouve surtout après les démolitions). Compte tenu de ses spécificités, le plâtre n’est pas considéré comme un déchet inerte. Cependant, il est accepté comme déchet inerte par les décharges lorsqu’il est dans les dispositions fixées par le Minière en charge de l’Environnement en En général, un tri s’effectue sur les chantiers pour séparer les différents matériaux dans le but de les recycler. Ce tri n’est cependant pas systématique car il nécessite un engagement non seulement de la part des sociétés qui sont sur le chantier mais aussi des ouvriers eux même, qui sont en première ligne pour effectuer ce tri. Une fois les bennes de tri remplie, elles sont transportées vers les différents centres de tri selon les matériaux qu’elles contiennent. On estime à peu près à 90% le taux de déchets du bâtiment qui seront mis en décharge ; ce chiffre inclus les décharges sauvages. Actuellement, la très grande majorité des déchets inertes est éliminée en mélange, en particulier ceux du secteur du bâtiment, ce qui limite les possibilités de valorisation. Pour le reste, ils sont transformés : les plus gros éléments sont réduits avec un brise roche hydraulique. Les éléments longs sont cisaillés. Le tout est ensuite concassé selon la taille désirée. Tous les déchets inertes ne peuvent pas être recyclés mais la plupart peuvent être transformés pour resservir dans la réalisation de travaux publics ou dans le bâtiment. Ainsi, ils peuvent servir de remblais ou de couches de forme sur les chantiers de travaux publics Le recyclage des déchets inertes en Guadeloupe Le gisement départemental de déchets inertes est estimé à 412 000 tonnes/an. De plus, les opérations liées à la Rénovation Urbaine de l’Agglomération Pointoise (RUAP) vont générer environ 207 000 tonnes de déchets supplémentaires. Qu’est ce que l’ISDI Jarry ? L’ISDI Jarry (Installation de Stockage de Déchets Inertes) est une plate‐forme ouverte aux professionnels du BTP, aux collectivités, aux centres de collecte ainsi qu’aux particuliers. Elle permet la récupération de déchets inertes en vue de leur traitement et de leur transformation en matériaux de remblaiement utilisable sans risque pour tout type de chantier. L’ISDI Jarry peut recevoir : ‐ les déblais alluvionnaires propres, ‐ les déblais en béton non ferraillés, ‐ les déblais en béton ferraillés, ‐ le verre, ‐ les briques, tuiles et céramiques, ‐ la terre et les pierres. L’ISDI Jarry aide à la protection de l’environnement car il permet le tri sélectif et le recyclage des déchets inertes (les plus courants). Il contribue aussi à la gestion et au renouvellement de ces déchets, évitant ainsi l’ouverture de nouvelles carrières. L’ISDI Jarry est un axe du développement économique et stratégique du Port Autonome de la Guadeloupe mais c’est surtout une innovation environnementale en Guadeloupe : la 1ère filière de valorisation des déchets inertes en Guadeloupe. Elle offre une alternative au rejet sauvage et garantit le recyclage des matériaux à 100%. Sources : http://www.terredavenir.org http://installationsclassees.ecologie.gouv.fr http://www.arecpc.com http://www2.ademe.fr Fiche Elève 2 Les déchets inertes ‐
Tu sais maman, aujourd’hui on a vu un film sur les déchets. ‐
A bon mon chéri ! Alors raconte‐moi ce que tu as retenu de ce film. ‐
Hum… Un monsieur parlait du recyclage des déchets, des bouteilles en plastiques, des journaux et plein d’autres choses mais ce que j’ai préféré, c’est quand il a montré tout ce qu’on pouvait faire avec le reste d’une maison démolie ! ‐
Et qu’est‐ce qu’on peut faire ? ‐
Plein de choses ! En fait, quand on démolit un bâtiment, il reste des déchets comme du béton, des briques, des tuiles ou des cailloux. On appelle ça des déchets inertes. Ces déchets‐
là, on ne peut pas les recycler comme les autres car ils sont différents des autres déchets. Ils ne polluent pas l’environnement et ne sont pas dangereux pour l’homme mais ils sont encombrants et on ne peut pas les laisser dans la nature. Alors on les emmène dans des endroits pour qu’ils soient triés et on les coupe en petits morceaux. Après on peut s’en resservir pour refaire des bâtiments, faire des routes, et beaucoup d’autres choses encore. ‐
C’est très bien mon chéri. Tu sais, c’est très important de réutiliser des matériaux qui existent déjà. Ça évite d’aller chercher ce dont on a besoin dans la nature et ça permet de la protéger ! Question 1 : Vrai ou Faux ? 1‐ C’est un petit garçon qui parle à sa maman. 2‐ C’est la maman qui raconte le film. 3‐ L’enfant dit qu’il a vu un film sur les énergies. 4‐ Quand on démolit un immeuble, il reste des déchets inertes. 5‐ Ces déchets permettent de protéger l’environnement. Question 2 : A quoi peuvent servir les déchets inertes ? Question 3 : Réfléchis et donne au moins trois éléments du paysage qui t’entoure qui peuvent avoir été fait avec des déchets inertes. Fiche Enseignant 2 Les déchets inertes ‐
Tu sais maman, aujourd’hui on a vu un film sur les déchets. ‐
A bon mon chéri ! Alors raconte‐moi ce que tu as retenu de ce film. ‐
Hum… Un monsieur parlait du recyclage des déchets, des bouteilles en plastiques, des journaux et plein d’autres choses mais ce que j’ai préféré, c’est quand il a montré tout ce qu’on pouvait faire avec le reste d’une maison démolie ! ‐
Et qu’est‐ce qu’on peut faire ? ‐
Plein de choses ! En fait, quand on démolit un bâtiment, il reste des déchets comme du béton, des briques, des tuiles ou des cailloux. On appelle ça des déchets inertes. Ces déchets‐
là, on ne peut pas les recycler comme les autres car ils sont différents des autres déchets. Ils ne polluent pas l’environnement et ne sont pas dangereux pour l’homme mais ils sont encombrants et on ne peut pas les laisser dans la nature. Alors on les emmène dans des endroits pour qu’ils soient triés et on les coupe en petits morceaux. Après on peut s’en resservir pour refaire des bâtiments, faire des routes, et beaucoup d’autres choses encore. ‐
C’est très bien mon chéri. Tu sais, c’est très important de réutiliser des matériaux qui existent déjà. Ça évite d’aller chercher ce dont on a besoin dans la nature et ça permet de la protéger ! Question 1 : Vrai ou Faux ? 6‐ C’est un petit garçon qui parle à sa maman. Vrai 7‐ C’est la maman qui raconte le film. Faux 8‐ L’enfant dit qu’il a vu un film sur les énergies. Faux 9‐ Quand on démolit un immeuble, il reste des déchets inertes. Vrai 10‐ Ces déchets permettent de protéger l’environnement. Vrai Question 2 : A quoi peuvent servir les déchets inertes ? Les déchets inertes peuvent servir à faire des bâtiments ou des routes Question 3 : Réfléchis et donne au moins trois éléments du paysage qui t’entoure qui peuvent avoir été fait avec des déchets inertes. Les immeubles qui entourent l’école mais aussi la route et le trottoir peuvent avoir été faits avec des déchets inertes. 

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