Cancer du foie - Cancer Environnement

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Cancer du foie
Messages clés
Il existe plusieurs formes de cancers du foie : le plus répandu est l’hépatocarcinome. Il existe aussi
le cholangicarcinome et l’angioscarcome, moins fréquents. Toute maladie chronique du foie susceptible d’évoluer en cirrhose expose au risque de cancer du
foie. C’est le cas de la consommation excessive d’alcool et des hépatites B et C.
Selon le CIRC , la consommation de boissons alcoolisées est responsable de 31.8% des cancers
du foie chez l’homme et 8.4% des cancers du foie chez la femme. Selon les données actualisées du WCRF (2015) il y existe des preuves solides qui montrent que la
graisse corporelle en excès augmente le risque de cancer du foie. De plus, le lien évident entre la
consommation d'alcool et le cancer du foie est confirmé ( risque augmenté avec la
consommation de trois verres par jour).
Les autres facteurs de risque d’hépatocarcinome sont : la cirrhose, les virus des hépatites B et C,
les aflatoxines, le chlorure de vinyle monomère , l’arsenic, les contraceptifs oraux, les radiations
ionisantes, et le tabagisme. L’exposition principale au CVM pourrait être sa présence dans les réseaux de distribution d’eau
potable (relarguage de CVM par les conduites en PVC). L’exposition professionnelle au chlorure de
vinyle a presque disparu en France depuis plusieurs décennies.
Il existe 5 tableaux de maladies professionnelles qui classent des cancers hépatiques
(hépatocarcinome ou angiosarcome) en lien avec des expositions au CVM, à l’arsenic, ou à des
virus hépatiques.
Epidémiologie du cancer du foie
Les facteurs de risques
Expositions environnementales et professionnelles
Cancer du foie et maladies professionnelles
Les mesures de prévention
Evolution récentes
Epidémiologie du cancer du foie
Le nombre de nouveaux cas de cancer du foie (on parle aussi de cancer hépatique) a sensiblement
augmenté ces dernières décennies. Les facteurs de risque de ce cancer de mauvais pronostic sont variés. Ils
tiennent à des expositions environnementales et professionnelles (arsenic, chlorure de vinyle…), aux hépatites
virales, à des champignons, ainsi qu’à des comportements individuels (consommation excessive d’alcool…).
Le foie est une volumineuse glande annexe au tube digestif, situé sous les côtes. Il secrète la bile et a de
multiples fonctions métaboliques indispensables à la vie. Il épure le sang issu des produits de la digestion, qu’il
reçoit par la veine porte, puis le renvoie au cœur. Il remplit cette fonction d’épuration et de détoxification
(ammoniaque…) en éliminant la plupart des substances à excréter dans la bile ou dans les urines. Le foie
régule aussi les glucides, lipides et protides (synthèse, mise en réserve).
Il existe plusieurs formes de cancer du foie. Le carcinome hépatocellulaire (ou hépatocarcinome) est le plus
répandu. Il se développe à partir des cellules majoritaires du foie appelées hépatocytes. D’autres tumeurs
peuvent cependant apparaître mais beaucoup plus rarement. C’est le cas du cholangiocarcinome se formant
à partir des cellules des voies biliaires du foie ou de l’angiosarcome qui se développe au niveau des cellules des
vaisseaux hépatiques.
Le cancer du foie est l’une des localisations de cancer dont l’incidence croissante contribue ces dernières
décennies à l’augmentation des cancers en France.
On estime à 6 433 le nombre de nouveaux cas d’hépatocarcinomes survenus en 2005, dont 79% chez
l’homme. 95% des personnes atteintes avaient 50 ans et plus, les âges moyens au diagnostic étant de 71
ans chez la femme et 68 ans chez l’homme. L’évolution de l’incidence diffère chez l’homme et la femme. Chez
celle­ci, la hausse est régulière sur l’ensemble de la période 1980­2005 : 4% de plus par an en moyenne.
Chez l’homme, elle est moins marquée à la fin de la période qu’au début : 3,8% d’évolution annuelle entre
1980 et 2005 mais seulement 1,9% de plus par an entre 2000 et 2005 (INCa, 2009). Il y aurait 7 à 16
nouveaux cas d’angiosarcomes par an en France, selon l’InVS (2010).
En 2006, l’InVS a placé les cancers du foie au 7ème rang de priorité de 25 localisations. Il a effectué ce
classement à partir de 16 critères relevant des liens avec l’environnement, de la santé publique et de la
perception sociale. La référence aux seuls critères des liens avec l’environnement, situait ces cancers au 9ème
rang de la hiérarchie des cancers à surveiller et étudier, d’autres localisations correspondant aussi aux organes
d’élimination et de détoxification de l’organisme étant également présents dans les premiers rangs de ce
classement (vessie, rein...). Concernant l’augmentation des cancers du foie durant la période 1980­2005, l’InVS donne trois explications
à cette évolution jugée inquiétante : l’amélioration de la prise en charge des patients porteurs d’une
cirrhose qui laisse le temps au cancer de se développer, la part sans doute grandissante que prend le
syndrome métabolique, ainsi que peut­être celle des virus de l’hépatite B et C. Cette observation a conduit
l’InVS à préconiser des études à visées étiologiques sur ce cancer (InVS, 2008).
Les facteurs de risque
Les facteurs de risque connus de l’angiosarcome sont :
le chlorure de vinyle monomère (CVM),
l’arsenic,
le dioxyde de thorium
On suspecte également d’autres substances : les stéroïdes anabolisants, les œstrogènes (hormones
féminines) et les contraceptifs oraux.
L e CIRC classe toutes ces substances parmi les cancérogènes avérés (groupe 1) hormis les stéroïdes
anabolisants considérés cancérogènes probables (groupe 2A), l’arsenic représentant un cancérogène certain
lorsqu’il est présent dans l’eau de boisson.
Les stéroïdes sont des hormones aussi connues sous le nom de stéroïdes androgéniques anabolisants (SAA).
Ils sont utilisés à des fins médicales (ex : induction de la puberté masculine) mais aussi à des fins esthétiques
pour leurs effets d’augmentation des muscles et par des sportifs professionnels. Le CIRC considère que le dioxyde de thorium est cancérogène pour le foie, les voies et vésicule biliaire. Utilisé
comme produit de contraste dans les examens d’imagerie médicale jusqu’en 1964, il l’est encore pour
certaines soudures par l’industrie (tungstène). Plusieurs de ces facteurs de risque sont aussi ceux de l’hépatocarcinome qui survient 9 fois sur 10 chez des
personnes souffrant d’une cirrhose, qu’elle que soit l’origine de celle­ci (alcoolique ou non). En dehors de la
cirrhose, ce cancer a pour principaux facteurs le CVM et les virus des hépatites B (VHB) et hépatites C (VHC).
Les aflatoxines, contraceptifs oraux, radiations ionisantes, tabagisme et arsenic sont également les autres
facteurs de risque de l’hépatocarcinome.
Les facteurs propres à l’hépatocarcinome, c’est­à­dire les boissons alcoolisées, les infections chroniques aux
VHB et VHC, les aflatoxines, les radiations ionisantes et le tabagisme sont aussi des cancérogènes avérés
(classés groupe 1 du CIRC).
Le foie est l’une des localisations de cancer pour laquelle les indications de cancérogénicité pour l’Homme du
tabagisme actif, de la fumée du tabac et des boissons alcoolisées sont suffisantes. En 2008, le CIRC a estimé
que le chlorure de vinyle était un facteur de risque pour l’angiosarcome hépatique et pour le carcinome
hépatocellulaire, l’Union européenne le classant également parmi les cancérogènes avérés (catégorie 1A).
Le CIRC attribue aux boissons alcoolisées 31,8% des cas masculins de cancers hépatiques et 8,4% des cas
féminins. Il est estimé qu’une consommation régulière et élevée de boissons alcoolisées favoriserait l’hépatite
ou d’autres pathologies du foie (notamment la cirrhose hépatique), elles­mêmes facteurs de risque du cancer
du foie, et que la consommation d’alcool augmenterait ce risque chez des personnes atteintes de cirrhose
(INCa / Réseau NACRe, octobre 2009).
Selon une étude publiée en mars 2009, l’obésité apparaît en tant que telle comme un facteur de risque du
cancer du foie. La forte augmentation du cancer du foie est corrélée à celle de l’obésité et du diabète de type
2. Le syndrome métabolique, qui peut faire suite à une obésité, associe résistance à l’insuline, obésité
abdominale et anomalie des lipides sanguins. Il peut aussi entrainer une surcharge en graisses dans le foie
nuisible aux fonctions hépatiques et un cancer du foie. On attire aussi l’attention sur les mécanismes
d’apparition de cancers du foie développés dans ce contexte qui pourraient être différents de ceux
habituellement connus, ceux des patients obèses se développant en quasi absence de lésions hépatiques
prééxistantes dans un foie surchargé en graisse ou présentant un adénome (Paradis, 2009).
Expositions environnementales et professionnelles L’arsenic, le chlorure de vinyle et les aflatoxines sont des substances impliquées dans des expositions
environnementales et professionnelles.
L’arsenic et le chlorure de vinyle renvoient à des tableaux de maladies professionnelles qui décrivent les
secteurs et activités concernés (voir plus bas). Ces deux substances sont aussi impliquées dans la pollution de
l’eau de consommation.
L’arsenic est naturellement présent en France, dans le sol des roches anciennes ou volcaniques (Massif
Central, Vosges...). Les sites miniers fermés depuis des décennies génèrent encore des contaminations
(rivières…) ainsi que les activités industrielles qui l’utilisent encore couramment (alliages de métaux,
insecticides, traitements médicaux, imprimantes ou photocopieuses…).
L’exposition à l’arsenic peut se produire par l’inhalation de poussières émises à partir des sols ou par l’ingestion
(par exemple chez des enfants en bas âge qui portent leurs mains à leur bouche). Elle peut aussi se faire par
l’ingestion de certains produits cultivés sur les sols pollués ou de produits de la mer. L’InVS estime cependant
que l’eau distribuée constituerait la quasi­totalité de l’exposition à l’arsenic, en France. Ce risque est toutefois
local et en régression, concernant des populations d’Auvergne et de Savoie (voir aussi le dossier en ligne
« eau et santé » de l’InVS).
Le chlorure de vinyle est un composé chimique de synthèse dont les voies d’exposition environnementales
sont inhalatoire et orale et les sources variées (rejets industriels..). L’exposition professionnelle au chlorure de
vinyle ayant presque disparu en France depuis plusieurs décennies, l’InVS considère que l’exposition actuelle
principale pourrait être sa présence dans l’eau des réseaux de distribution d’eau potable, liée à son relarguage
de CVM par les conduites en PVC.
L’Institut estime la population alimentée par ces conduites susceptibles d’être à l’origine de relarguage de
chlorure de vinyle, à moins de 600 000 habitants, à partir des données actuelles. Depuis 2008, le CIRC
associe également le chlorure de vinyle aux cancers du foie les plus fréquents, les hépatocarcinomes, ce qui
amène à envisager un impact potentiel de son exposition pouvant être plus important que pour les seuls
angiosarcomes (Note de position sur le CVM et les cancers hépatiques et annexe, 2010).
Les aflatoxines contaminent les aliments mais les travailleurs, qui les manipulent, sont aussi exposés (ports,
silos). Les laboratoires de recherche les utilisent aussi. Classées parmi les cancérogènes avérés, leurs
composants retrouvés dans le lait de vaches nourries avec un fourrage contaminé le sont dans le groupe 2B
des cancérogènes possibles.
Cancer du foie et maladies professionnelles Huit tableaux de maladies professionnelles se rapportent notamment à des atteintes hépatiques, cinq d’entre
eux concernant des cancers.
Le tableau 12 du Régime général définit des pathologies liées à l’exposition à des hydrocarbures aliphatiques
halogénés dont il dresse les listes correspondant à chaque pathologie considérée, dont des hépatites aigues.
Les tableaux 13 du Régime agricole et 14 du général traitent tous les deux de travaux à l’origine d’exposition
aux mêmes substances (dérivés du phénol…), l’une des maladies évoquées étant une atteinte hépatique dans
le cas d’une intoxication suraiguë.
Les 5 tableaux considérant des cancers du foie relèvent aussi des 2 régimes de la Sécurité sociale. Ils mettent
en cause le chlorure de vinyle, l’arsenic et les 5 virus des hépatites.
Le tableau 52 du Régime général reconnaît comme maladie professionnelle l’angiosarcome si le travailleur a
été exposé au moins 6 mois dans certains travaux de fabrication des plastiques, le délai de prise en charge
étant de 30 ans. Mis à jour en 1991, ce tableau, prend en compte avec le même délai, certaines formes
d’hypertension de la veine porte et deux autres pathologies selon des délais de 3 et 5 ans.
Le tableau 33 du Régime agricole et 45 du général, mis à jour en 1999, portent sur les infections par les virus
des hépatites. Ils désignent des expositions par différentes voies pour des délais de prise en charge allant de
40 jours à 30 ans concernant des atteintes diverses du foie : hépatites aiguë, fulminante, chronique, active
ou non, cirrhose. Le carcinome hépato­cellulaire, lié au virus B ou au virus C, bénéficie d’un délai de prise en
charge de 30 ans. Il concerne des travaux exposant aux produits biologiques d’origine humaine et aux
objets contaminés par eux. Ce sont, par exemple, divers établissements de soins, des laboratoires d’analyses
de biologie médicale, des services de traitement des déchets, de soins funéraires.
Les tableaux 10 du Régime agricole et 20 du général donnent la mesure de la multiplicité des secteurs
professionnels dans lesquels on utilise l’arsenic et ses composés. Ils désignent des maladies plus ou moins
graves dont le délai de prise en charge va de 7 jours à 40 ans. Le tableau 20 désigne 3 affections
cancéreuses dont l’angiosarcome du foie qu’il associe à des activités menées dans la métallurgie, dans la
fabrication ou l’emploi des pesticides et dans le travail du cuir, en verrerie et en électronique (40 ans de prise
en charge). Le tableau 10 évoque quant à lui, à côté d’autres cancers aussi, à la fois l’angiosarcome du foie,
sous réserve d’une exposition de 10 ans, et l’adénocarcinome hépatocellulaire, avec 5 ans d’exposition. Ces
cancers sont associés à toute manipulation ou emploi de l’arsenic ou de ses composés, notamment des
traitements de la vigne ou usinages de bois.
Toxines : effets sur la santé et exemples de secteurs professionnels
concernés (source INRS, 2009)
Allergie (asthme, rhinite, Industrie céréalière
pneumopahtie
Mycotoxines
d'hypersensibilité)
Industrie agroalimentaire
produites par des
(transformation et fabrication
moisissures
Cancer du foie
d'aliments pour animaux)
Les mesures de prévention
D'une manière générale, toutes les maladies chroniques du foie susceptibles d’évoluer en cirrhose exposent
au risque de cancer du foie. Les prévenir revient donc indirectement à diminuer le risque de ces cancers, ce
d’autant qu’il s’agit des plus fréquentes et des plus contagieuses. C’est tout particulièrement le cas de la
consommation excessive de boissons alcoolisées et des hépatites B et C. La prévention de ces dernières fait
l’objet d’un 3ème plan national (2009­2012) dont les axes sont la transmission du virus (couverture
vaccinale, transmission chez les usagers de drogues…), le dépistage, les soins (accès, qualité de vie), les
mesures adaptées au milieu carcéral et l’épidémiologie.
Plusieurs règlements européens concourent à réduire la présence des aflatoxines dans différents aliments. Le
règlement (CE) n°1881/2006 fixe des taux maximum dans les aliments, les produits les dépassant ne devant
pas être mis sur le marché européen. Une autre directive, la 2002/32/CE, fixe les taux maximum autorisés
d’aflatoxines B1 dans les matières destinées à l’alimentation animale. Enfin, le règlement n°401/2006
détermine des méthodes d’échantillonnage et d’analyse, communes à toute l’Europe, pour le contrôle officiel
des mycotoxines, dont les aflatoxines.
Evolutions récentes
La dernière évaluation de la cancérogénicité du chlorure de vinyle par le CIRC, en 2008, considère qu’il est un
facteur de risque non seulement pour l’angiosarcome hépatique mais aussi pour le cancer du foie le plus
fréquent, le carcinome hépatocellulaire. En 2008 et 2009, l’InVS constatait une migration du chlorure de vinyle dans l’eau potable de canalisations en
PVC, entrainant des dépassements de la limite de qualité de l’eau. La conjonction de ce constat, du récent
avis du CIRC et de la longue période de latence des cancers du foie conduisent l’InVS à mettre en exergue
l’impact potentiel de la pollution du système de distribution d’eau potable par le chlorure de vinyle sur
l’incidence du cancer du foie. Cet impact pourrait constituer un enjeu important de santé publique (InVS,
2010).
Depuis 2009, les Agences de santé contribuent de façon concertée à des actions de prévention et de
recherche sur la thématique du chlorure de viynle et de l’eau destinée à la consommation humaine
(campagnes d’échantillonnage d’eau par l’AFSSA…). Les buts sont de mieux comprendre les phénomènes de
migration et de préciser l’exposition des usagers. L’InVS met en place, quant à lui, une surveillance
épidémiologique des angiosarcomes hépatiques.
Sources rédactionnelles : AFSSA, AFSSET, ARC, CIRC, CNRS, INCa, INRS, InVS, INSERM, Ministère de la
Santé, NACRE, Union européenne
Auteur : Unité Cancer et Environnement
Relecteurs : Pr Michel Rivoire Département de chirurgie, Centre Léon Bérard, Lyon ; Dr Mattia Stella
Département de chirurgie, Centre Léon Bérard, Lyon
Nos fiches sur ce thème
Classification des substances cancérogènes par le Centre international de Recherche sur le Cancer
Classification européenne des produits chimiques cancérogènes
Cancer de la vessie
Pour aller plus loin
Etudes et publications scientifiques
AFSSA, 2005 : Seuil de préoccupation toxicologique pour l’analyse de risque sanitaire des [...]
Cowey, 2006 : The Metabolic Syndrome. A High­Risk State for Cancer ?
INRS, 1999 : Exposition professionnelle aux métaux lors de l’usinage de bois traités au cuivre [...]
INRS, 2004 : Exposition à l’arsenic en viticulture : apports de la biométrologie
INRS, 2005 : Consommation excessive d’alcool chez les salariés. Du repérage précoce à la prise [...]
INRS, 2006 : Fiche toxicologique Arsenic et composés minéraux
INRS, 2007 : Surveillance des contaminations professionnelles par le VIH, VHC et le VHB chez [...]
InVS, 2008 : Etude de l’exposition au plomb, au cadmium et à l’arsenic par des sols pollués(Aveyron)
InVS, 2008 : Surveillance épidémiologique des donneurs de sang. Risque résiduel de transmission
InVS, 2009 : Estimation nationale de l'incidence et de la mortalité par cancer en France (1980­2005)
InVS, 2010 : Etude sur l’état de santé, l’accès aux soins et l’accès aux droits des personnes [...]
Observatoire Européen du Cancer, Fiche cancer du foie
Paradis. V, 2009 : Hepatocellular carcinomas in patients with metabolic syndrome often develop [...]
Prouteau, 2008 : Abus de stéroïdes anabolisants androgènes et physiopathologie
WCRF/AICR, 2015 : Actualisation des données sur les liens entre cancer du foie et obésité et alcool
Rapports et textes officiels
AFSSA, 2004­2007: Evaluation risques sanitaires liés situations de dépassement des limites et références de
qualité des eaux pour consommation humaine
IARC, 2016 Mycotoxin control in low­ and middle­ income countries
INRS, Régime agricole Tableau 10 : Affections provoquées par l'arsenic et ses composés minéraux
INRS, Régime agricole Tableau 13 : Affections provoquées par dérivés nitrés du phénol, le
pentachlorophénol et les pentachlorophénates
INRS, Régime agricole Tableau 33 : Infections d’origine professionnelle par les virus des hépatites A,B,C,D et
E INRS, Régime général Tableau 12 : Affections professionnelles provoquées par les hydrocarbures
aliphatiques halogénés énumérés
INRS, Régime Général Tableau 14 : Affections provoquées par les dérivés nitrés du phénol, par le
pentachlorophénol et les pentachlorophénates
INRS, Régime général Tableau 45 : Infections d’origine professionnelle par les virus des hépatites A,B,C,D et
E INRS, Régime général Tableau 52 : Affections provoquées par le chlorure de vinyle monomère
INRS, Régime général,Tableau 20 : Affections provoquées par l’arsenic et ses composés minéraux
Informations des publics
AFSSET, 2005 : Cancer et environnement : brochure d’information
ARC, 2010 : Informations sur le cancer du foie
Assurance maladie : Site Internet Ameli.fr Rubrique "En cas de maladie professionnelle"
FNATH, 2010 : Brochure Cancers professionnels, des clés pour agir
INCa, 2006 : Brochure Détection des cancers d’origine professionnelle : quelques clés pour agir
INCa, 2008 : Fiche repère Environnement et cancer
INCa, 2009 : Fiche repère Cancers et substances chimiques
INCa, 2009 : Fiche repère Cancers et tabac, cadre général
Ligue contre le cancer, 2009 : Informations sur le cancer du foie
Site Internet Alcool info service
Stadler B., Jacquet F., CMR, réglementation et suivi médical 2008
Site Internet Sida Info Service
Site Internet du Centre international de Recherche sur le Cancer
Site Internet de l'Association pour la recherche contre le cancer
Site Internet de l'INPES
Dossiers et autres ressources
AIDES, Rubrique Hépatites virales
Anses, 2010 : Dossier Risques liés aux contaminants chimiques de l’eau
Anses, Dossier Cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la Reproduction (CMR)
Carnets de santé, 2010 : Vaccin Aider chacun à faire un choix personnel
INRS, 2009 : Risque biologique en milieu professionnel
INRS, Dossier Addictions et travail
Institut Pasteur, 2005 : Hépatites B et C : présentation
InVS, ressources sur les cancers du foie
Ministère de la santé, 2006 : Dossier Hépatite C
EFSA, Dossier : Aflatoxines dans les denrées alimentaires
Fondation pour la recherche médicale, 2009, Cancer du foie : un nouveau facteur de risque identifié
Site Internet de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie
Site internet de l'Agence Nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales
Mise à jour le 26 févr. 2016
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