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FHCOM pour Paramount Home Entertainment 27/09/07 HAPPY DAYS EN DVD PARAMOUNT HOME ENTERTAINMENT LE 9 OCTOBRE ! Monday, Tuesday, Happy Days ! Une des sitcoms les plus connues au monde pour la première fois en DVD. Le 22 août 1976, en pleine période disco, apparaissait à la télévision française une série devenue aussi culte qu’intemporelle dont l’action se situait 20 ans auparavant : un phénomène culturel et international dépeignant les années 50 : Happy Days !! Les Fifties et leur univers acidulé, des personnages inscrits dans l’inconscient collectif (Fonzie, Richie, Ralph, Potsie, les Cunningham…), une musique inoubliable, 11 saisons, autant d’années d’audiences au top, et quatre séries dérivées et même 2 dessins animés qui ont fait de ce show un must incontournable ! Plus de trente ans après, Paramount Home Entertainment édite en DVD la première saison inédite. Happy Days, Pretty Woman : quand le talent scénaristique surgit ! Dans l’Histoire des séries, Happy Days a obtenu son statut culte et mythique en réunissant une multitude de talents exceptionnels ! Qui aurait pu prévoir que la douce vie de la famille américaine type des années 50, les Cunningham, vue à travers le regard de leur fils Richie, sage adolescent, allait devenir une des séries les plus populaires de la télévision mondiale et rester gravée dans l’inconscient collectif alors que la terre entière ne jurait lors de son lancement en 76 que par les pistes disco, la libération des mœurs et les paillettes ? Une série au succès si phénoménal qu’elle se déclina (bien avant la mode des spin offs) sur trois autres formats. La série remporta une flopée de récompenses : 2 Golden Globe, 5 Emmy Awards, 18 nominations aux Emmy Awards. Henry Winkler, nominé trois années de suite aux Emmy de 1976 à 1978, repartira bredouille. Mais nommé une seule fois aux Golden Globe, il repartira avec le précieux trophée en 1978. Garry Marshall, scénariste et producteur de talent, est à l’origine de cette série. L’idée est née d’un épisode qu’il écrivit en 1971 pour une sitcom appelée Love, American Style, relatant la vie d’une famille américaine type des fifties. Lucas s’en inspira pour son premier succès de 1973, American Graffiti. Il multiplie les réussites notamment en découvrant Julia Roberts dans Pretty Woman ou en réunissant un autre couple mythique à l’écran, Michelle Pfeiffer et Al Pacino dans CP HAPPY DAYS Conso – Octobre 2007 v° draft avant relecture FHCOM pour Paramount Home Entertainment 27/09/07 Frankie & Johnny. Sa patte est devenue légendaire : les comédies qu’il met en scène alliance de nostalgie, de romance, d’ironie et d’un humour faisant toujours mouche, sont toujours des succès. Une recette qu’il réutilisera avec bonheur dans Just Married (ou presque) réunissant de nouveau Richard Gere et Julia Roberts, 10 ans après avoir créé leur couple mythique à l’écran. Ses personnages ont en permanence un regard plein de douceur sur leur environnement et le monde qui les entourent, malgré leur ironie apparente. Good Bye Grey Sky, Hello Blue ! Le rock dans tous ces états ! Le symbole de cette série culte, c’est également les deux génériques qui encadrent la série avec deux musiques connues à travers le monde et reconnues comme des classiques intemporels. Happy Days tout d’abord, chanson écrite par deux compositeurs de génie : Charles Fox et Norman Gimbel, créateur de plusieurs classiques dont le fameux Girl From Ipanema réutilisé dans de nombreux films dont Shrek. Mais celle qui a marqué à jamais les esprits, c’est surtout le Rock Around The Clock de Bill Haley and the Comets, monument de la musique mondiale écrit en 1953 par Bill Haley lui-même, et qui ouvre la série. À l’origine, ce fut un échec commercial. C’est en 1954, un an plus tard, que le titre apparaît dans le film Graine de Violence de Richard Brooks (La Chatte sur un toit brûlant) avec Glenn Ford et Sidney Poitier, pour le propulser en haut des charts et en faire un hit planétaire, une véritable révolution musicale qui lança un son nouveau et traça la voie à de nombreux artistes dont le plus célèbre d’entre tous, Elvis Presley. Vingt ans plus tard, Happy Days, avec l’utilisation de ce morceau, ne fit que transmettre à de nouvelles générations cet esprit Rock’n Roll et la pérennité du style. CP HAPPY DAYS Conso – Octobre 2007 v° draft avant relecture FHCOM pour Paramount Home Entertainment 27/09/07 Fonzie EST la « coolitude ! Fonzie est à l’instar de la série l’incarnation culte d’un état d’esprit ! Celui qui n’était prévu à la base que pour être un personnage secondaire, voire un figurant, allait devenir au fil des épisodes le cœur de la série. Avec une dizaine de lignes de texte dans le premier épisode, personne ne pouvait prévoir que Henry Winkler, alias Arthur “Fonzie” Fonzarelli, allait traverser la décennie que dura la série et en resterait le pilier indéboulonnable par lequel se fit sa gloire. Le personnage devint si populaire que ABC (Grey’s Anatomy, Lost), diffuseur de la série, voulut même la renommer Fonzie’s Happy Days puis tout simplement Fonzie, mais Garry Marshall et Ron Howard s’y opposèrent farouchement et obtinrent gain de cause. Bien que le casting de base évolua au fil des années, voyant les membres de la famille Cunningham disparaître du show, les audiences ne faiblirent jamais sans doute grâce à la présence permanente de Fonzie et ses deux pouces levés dans le casting. Et bien que les années passent, chaque apparition cinématographique ou télévisuelle de Henry Winkler (Scream, MacGyver, New York Unité Spéciale) devenu aujourd’hui également producteur, nous transporte irrémédiablement dans les années 50. Richie ou quand la gentillesse mène aux portes de la gloire Richie Cunningham est un jeune homme bien sous tout rapport, adulé par l’Amérique puis le monde entier, interprété par un adolescent au regard poil de carotte, Ron Howard qui débuta sa carrière à l’âge de 18 mois et traversa le paysage audiovisuel mondial dans des séries aux noms évocateurs telles que Denis la Malice, Lassie puis Happy Days. Avec le rôle de Richie Cunningham, il confirme une carrière prolifique avec cette interprétation de fils vertueux et d’ami fidèle, découvrant les joies et les turpitudes qui mènent à la vie d’adulte. Un an avant d’incarner le fils Cunningham pour la télévision, il jouait déjà dans un film à la saveur similaire, American Graffiti, réalisé par une autre grande figure du cinéma, George Lucas. Lorsqu’il décide de suivre les traces de son aîné et se tourne vers le métier de réalisateur, son génie créatif explose en mettant en scène des blockbusters tels que Cocoon, Horizons Lointains, Apollo 13, ou dernièrement Da Vinci Code. CP HAPPY DAYS Conso – Octobre 2007 v° draft avant relecture FHCOM pour Paramount Home Entertainment 27/09/07 La plus tendance des séries Rock and Roll Le culte voué à l’esprit rock alors qu’on assiste à une véritable renaissance de cette musique avec des groupes plus tendances les uns que les autres tels que les Nast ou les Plasticines, ne fait que souligné l’aspect culte de Happy Days, la série la plus Rock&Roll, qui entre en scène 30 ans après avec le même enthousiasme, servant de référence à tous ces jeunes groupes, stars du moment ! Cette série est une ode nostalgique à l’Amérique des années 50. Le pays sort de la guerre et découvre la société de consommation. La voiture devient le bien qui fait rêver. Richie rêve de conduire une Chevrolet Corvette ou une Ford T-Bird. Son père remplace sa vieille Dodge par une rutilante Packard. Fonzie roule dans une gimbarde qu’il a kitté. L’ancêtre du tuning ! Même si la Harley Davidson, qu’il conduit sans casque, lui permet d’exhiber une coupe aérodynamisée par les vertus de la gomina. C’est une période aussi paradoxale pour les femmes. Les années cinquante sont les prémices de la libération sexuelle. Les jeunes filles, qui ont un pouvoir d’achat exhibent, robes cerceau, imprimés Vichy et serre têtes multicolores. Elles dansent le rock, ont des « dates » et vont à leurs « prom nights ». Alors que leurs mères, fidèles à leur cuisine, commençent à se lasser des Apple Pie ! Entre candeur, valeur et sexualité, Happy Days, s’est aussi une Amérique triomphante qui se libère des carcans de son passé. Le saviez-vous ? Fonzie (Henry Winkler) a toujours détesté les motos et ne supportent pas les blousons en cuir et les T-shirts blancs. Au sommet de sa popularité, on avait lancé une gamme de vêtements Fonzie Son poster, vendu entre 1974 et 1978 a rapporté plus d’argent que celui de Farah Fawcett à l’époque des Drôles de dames. Anson Williams (Potsie) s’est aussi lancé dans la réalisation de films. Avec beaucoup de moins de succès que Ron Howard ! Tom Bosley, le papa Cunningham, a 80 ans. Il tourne toujours et a connu un autre succès entre 1987 et 1991 avec « The father Dowlings mysteries » dans lequel il incarnait un prêtre détective. Marion Ross, la maman Cuningham a toujours bon pied, bon œil. A 79 ans, elle enchaîne comédies musicales (son premier métier) et téléfilms. La chaîne britannique ITV a tourné un remake en téléfilm : Head over heels en 1993. Ce fut un bide ! Happy Days saison 1 CP HAPPY DAYS Conso – Octobre 2007 v° draft avant relecture FHCOM pour Paramount Home Entertainment 27/09/07 Disponibilité : 9 octobre 2007 Coffret DVD : 3 DVD 16 épisodes Prix Public Conseillé : 29,99 € Images Remastérisées, Format Plein Écran Langues VF et VO Relations Médias Paramount Home Entertainment France : RELATIONS MÉDIAS FHCOM 42, rue des Jeûneurs - 75002 Paris Tél. : 01 55 34 24 24 / Fax : 01 55 34 24 24 [email protected] / www.frederic-henry.com CP HAPPY DAYS Conso – Octobre 2007 v° draft avant relecture